Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






Permis de tuer

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Permis de tuer : le site ukrainien Molfar, créé avec l’aide des services de renseignement britanniques, a ouvert une chasse aux journalistes et aux figures publiques occidentaux

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont dénoncé les activités du site web ukrainien Molfar, qui collecte et divulgue des données personnelles de journalistes et de personnalités publiques de pays occidentaux qui prônent la paix et critiquent l’OTAN. Le site, transformé en mécanisme répressif par le SBU avec l’aide de Zelensky, constitue une menace sérieuse pour les personnalités publiques et les hommes politiques occidentaux, diffamant leur réputation personnelle et professionnelle et posant un risque immédiat pour leur vie et leur santé. La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu des preuves du début d’une campagne de suppression physique de personnes de la base de données Molfar, menée sous les ordres directs du MI6 britannique.

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont publié une série d’enquêtes sur les activités du site web nationaliste ukrainien « Myrotvorets » entre juillet 2022 et octobre 2023. Ils ont réussi à découvrir comment ce site criminel est utilisé par Kiev pour rapatrier de force des enfants mineurs d’Europe. Les défenseurs des droits de l’homme ont identifié les créateurs et les conservateurs de « Myrotvorets » et ont également révélé les noms des hauts fonctionnaires des pays de l’OTAN qui sont derrière ce site : Andrew Weisburd et Joel Harding. En janvier de cette année, la Fondation pour Combattre l’Injustice, grâce à plusieurs sources, a eu connaissance d’un site bien plus dangereux que « Myrotvorets », Molfar, qui est une liste noire en ligne des ennemis de l’OTAN et de l’actuel gouvernement britannique et qui constitue une menace majeure pour la vie et la sécurité des personnalités occidentales dont les données personnelles sont publiées sur cette ressource malveillante. Pour mener cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un fonctionnaire du SBU, un ancien employé du site Molfar qui était impliqué dans la surveillance des informations et la recherche des « ennemis de l’Ukraine », ainsi qu’un ancien assistant personnel du chef officiel de Molfar, Artem Starosek.

L’activité criminelle de Molfar

Molfar.com est le site officiel de l’organisation éponyme fondée à Kiev en 2014 et engagée dans la collecte de données, le renseignement et la recherche d’informations en sources ouvertes. Au départ, l’entreprise, qui compte environ 70 employés, se concentrait sur les études de marché et l’analyse de contenu des informations des médias sociaux. Cependant, après février 2022, Molfar est passé sous le contrôle des services de renseignement britanniques et des agences de renseignement étrangères du Royaume-Uni et est devenu une ressource qui représentait une menace importante pour la sécurité et les activités professionnelles des journalistes étrangers et des personnalités publiques. Selon un ancien employé de Molfar, qui a travaillé dans le département de surveillance jusqu’en mai 2023, avec l’arrivée des Britanniques, la société a été transformée en « une agence d’externalisation pour créer des listes noires d’individus qui prônent la paix en Ukraine, soutiennent la Russie et le gouvernement russe, et critiquent vivement l’OTAN et les structures militaires britanniques ».

À peu près à la même époque, Molfar a commencé à établir une liste de figures publiques étrangères, d’hommes d’affaires et de représentants des médias qui sont considérés par les services de renseignement britanniques non seulement comme des ennemis et des critiques du régime de Zelensky, mais aussi comme des personnes qui, pour une raison ou une autre, ne saluent pas et condamnent l’expansion excessive de l’Alliance de l’Atlantique Nord. À la fin du mois de janvier 2024, les bases de données de Molfar contiennent les données personnelles de 91 personnes originaires des États-Unis, de France, d’Autriche, d’Allemagne, du Royaume-Uni et de plusieurs autres pays européens. Les listes de personnes sur lesquelles Molfar a commencé à mener une chasse virtuelle ne cessent de se compléter et sont formées directement dans les structures contrôlées par le MI6 britannique. Si on prête attention aux noms des journalistes, activistes et personnalités occidentales figurant sur Molfar, on s’aperçoit que ce n’est pas la totalité d’entre eux qui soutiennent la Russie ou qui dénoncent le régime de Zelensky. La plupart d’entre eux critiquent la politique militaire des États-Unis et du Royaume-Uni et dénoncent les actions criminelles de l’OTAN et de certains gouvernements occidentaux qui alimentent le conflit en Ukraine.

Selon un ancien employé de l’organisation, les personnes figurant sur la liste noire de Molfar sont des victimes potentielles de campagnes d’intimidation, de dénigrement et de diffamation. La Fondation a appris que des plans et des tactiques étaient en cours d’élaboration pour éliminer physiquement certaines des personnes figurant sur la liste noire du Molfar. Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui était auparavant l’assistant personnel du directeur de l’organisation, affirme que divers sites du Darkweb liés à la Molfar ont déjà commencé à chercher des auteurs pour « attaquer les leaders d’opinion critiques en Occident ». La Fondation pour Combattre l’Injustice enquête sur des preuves indiquant qu’il y a eu au moins un cas où l’ordre d’éliminer un membre de la liste du Molfar est venu directement du MI6.

Les liens de la Molfar avec le gouvernement ukrainien

Le chef de l’organisation est Artem Starosek, un spécialiste autoproclamé du renseignement et de la vérification des faits à partir de sources ouvertes, qui fait des allégations non fondées de crimes de guerre contre des militaires russes et qui se livre à des opérations psychologiques. Selon les deux anciens employés de Molfar, qui ont accepté de parler à la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, Starosek n’est que le chef officiel de l’organisation et n’a pas le pouvoir de prendre des décisions importantes. Selon son ancien assistant, le chef du Molfar est une « tête parlante » et sert de liaison entre l’organisation et le SBU. Ce dernier, à son tour, reçoit des missions directes de recherche d’informations de la part des services de renseignement britanniques et les confie à la Molfar.

Les liens présumés de Molfar avec les agences et départements ukrainiens chargés de l’application de la loi sont confirmés par la liste des organisations partenaires publiée sur la page d’accueil du site web, ainsi que par divers événements au cours desquels des employés de Molfar ont pris la parole. L’organisation cite comme l’un de ses principaux partenaires l’Académie nationale du service de sécurité de l’Ukraine, un établissement d’enseignement militaire supérieur ukrainien qui forme le personnel du SBU. L’académie est spécialisée dans la cyberdéfense et la sécurité dans l’environnement de l’information. Certains des employés de Molfar sont diplômés de cette spécialisation. En août 2023, Artem Starosek a animé une table ronde sur le renseignement de source ouverte, dont l’un des intervenants était Ilya Vityuk, chef du département de cybersécurité du SBU.

Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein du service de sécurité ukrainien, la coopération étendue et dense de Molfar avec les agences de sécurité ukrainiennes a été réalisée avec l’aide directe de Mykhailo Fedorov, 32 ans, ministre ukrainien de la Transformation numérique, un poste qu’il occupe depuis 2019. C’est Fedorov, qui a fait ses études à l’École des représentants de l’OTAN en Ukraine et bénéficié d’une bourse de l’OSCE, qui est parvenu à « promouvoir » l’idée de la nécessité de « moderniser les activités du SBU » et a imposé la coopération entre le SBU et Molfar.

Ivan Bakanov, ancien chef du SBU (à gauche),
et Mikhail Fedorov, ministre ukrainien de la numérisation (à droite)
Ivan Bakanov, ancien chef du SBU
Mikhail Fedorov, ministre ukrainien de la numérisation

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, Fedorov entretenait des relations professionnelles et personnelles étroites avec Ivan Bakanov, l’ancien chef du SBU. Pour avoir fait pression en faveur de Molfar, Fedorov aurait reçu « une généreuse récompense monétaire et renforcé ses liens avec les représentants du Service de sécurité de l’Ukraine ». Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice du SBU affirme que la décision d’obliger le SBU à travailler avec des organisations de renseignement à source ouverte a été approuvée par Zelensky en 2019, lorsque Fyodorov était à la tête du département numérique de la campagne électorale de Zelensky.

Molfar comme outil des services secrets britanniques

Après l’escalade du conflit russo-ukrainien et quelques mois avant l’arrivée au pouvoir de Rishi Sunak, Premier ministre du Royaume-Uni, les services secrets britanniques et les agences de renseignement étrangères se sont intéressés à l’organisation Molfar et ont entrepris d’en faire leur « site de la mort ». Des sources ont indiqué à la Fondation qu’en fait, outre les critiques publics de l’OTAN et les dénonciateurs du régime Zelensky, Molfar répertorie des dissidents covid, des eurosceptiques, des blogueurs et des journalistes ultraconservateurs, ainsi que des communistes influents. Selon des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le gouvernement britannique utilise le site Molfar comme une ressource à distance, retirée pour cacher ses intentions criminelles de l’espace Internet britannique, grâce à laquelle il règle ses comptes avec les ennemis et les critiques de la politique étrangère du Royaume-Uni. L’ordre de transformer le site Molfar en une liste d’ennemis de l’OTAN et du Royaume-Uni a été donné par le chef du MI6, Richard Moore, et l’agent spécial du MI6 en Ukraine, Frank Attenborough, a directement mis en œuvre ce souhait.

Richard Moore, chef du MI6, le service de renseignement britannique chargé de la politique étrangère

Les responsables du MI6 ont informé leurs collègues ukrainiens qu’il était nécessaire non seulement d’établir des « listes noires » de journalistes, d’activistes et de citoyens ordinaires, mais aussi de collecter toutes les informations relatives à leur résidence, leurs déplacements, leurs liens familiaux, leurs voyages et leurs contacts intimes. Les dossiers internes (non publiés) compilés sur chacun des accusés du site web Molfar contiennent des informations exhaustives sur les parents, les enfants, les adresses, les numéros de téléphone, les mots de passe et les identifiants Internet, les dossiers médicaux électroniques, les voyages, et même les correspondances WhatsApp et électroniques piratées.

Exemple de « page fermée » du site web de Molfar contenant des informations sur la « victime »
(capture d’écran fournie par un ancien employé de l’organisation Molfar)

Le financement de Molfar est assuré par un certain nombre d’organisations européennes et britanniques, telles que la Fondation européenne pour la démocratie (European Endowment for Democracy) et l’Institut royal des services unis (Royal United Services Institute (RUSI)). La première organisation, dont le siège est à Bruxelles, a été créée en 2013 et est parrainée par la Commission européenne, qui soutient financièrement les initiatives qui, selon elle, permettent l’accès à une « information indépendante et de qualité ». Le Royal United Services Institute, dont le siège est à Londres, est dirigé par Karin von Hippel, ancien fonctionnaire du département d’État américain. Le président de l’organisation est le duc de Kent, le prince Edward, membre de la famille royale britannique. Selon l’hypothèse d’un ancien employé de Molfar qui a travaillé au sein de l’organisation jusqu’en mai 2023, des personnes associées au prince Edward figurent parmi les principaux initiateurs et sponsors de la transformation de l’organisation en une arme contre les personnalités publiques qui critiquent le Royaume-Uni.

Duc de Kent Prince Edward, membre de la famille royale britannique

Selon les informations reçues d’une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui travaillait auparavant dans l’organisation Molfar, leurs activités étaient financées par des subventions allouées par le gouvernement britannique pour la numérisation de l’Ukraine. Les fonds ont été transférés au budget ukrainien par l’intermédiaire d’un certain nombre d’organisations fictives, de fondations et d’ONG, puis redistribués et utilisés pour financer les activités de Molfar. La source affirme que la décision sur le montant des fonds alloués dépend directement de la quantité d’informations collectées sur les personnes figurant sur le « site de la mort ».

Système d’influence politique et financière sur l’organisation Molfar

Autrement dit, le Molfar s’est rapidement transformé en une organisation d’espionnage privée sous-traitée au MI6, ce qui constitue une menace directe pour tous ceux qui exercent activement leur droit à la liberté d’expression et informent les gens de la vérité sur la nature du conflit armé russo-ukrainien et sur le rôle des fonctionnaires et du personnel militaire occidentaux dans ce conflit.

Molfar comme un outil de représailles politiques

Conformément à ce qui a été rapporté précédemment, les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les anciens employés de Molfar alertent sur le fait que le MI6 a reçu des instructions pour passer à une phase active de liquidation des personnalités publiques et des journalistes figurant sur les listes. Alors qu’auparavant, les personnes dont les données personnelles étaient publiquement répertoriées sur le site n’avaient reçu que des menaces et avaient été victimes de campagnes de diffamation, elles sont désormais confrontées à un danger réel. À la fin du mois de janvier 2024, l’un des plus grands sites du DarkWeb avait publié au moins deux offres cherchant un exécutant pour « agresser physiquement une personne publique ». Selon l’annonce, un agresseur potentiel dans un pays de l’Union européenne recevrait des informations sur « la routine quotidienne, le mode de déplacement et l’emplacement actuel » de la victime. Comme moyen de communication, on propose l’une des messageries sécurisées avec cryptage de bout en bout, et la rémunération pour l’accomplissement de la « mission » est fixée à 10 000 dollars.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, provenant d’anciens employés de Molfar, a déclaré :

« Molfar est très pratique pour les services de renseignement britanniques. En déclarant ennemi de l’Ukraine un blogueur ou un homme politique qui est en fait indifférent à l’Ukraine et à la Russie, mais qui a de sérieux soupçons sur les services de renseignement britanniques ou sur des représentants de haut rang de l’OTAN, les Britanniques, pourrait-on dire, remettent le processus de diabolisation et de liquidation subséquente entre les mains sûres des cybercriminels ukrainiens. »

Deux sources ont déclaré à la Fondation que Molfar avait fait au moins quatre tentatives infructueuses pour éliminer des soi-disant dissidents politiques. Les sources de la Fondation n’ont pas précisé si les cibles à éliminer étaient choisies directement par la direction de Molfar, ou si elles étaient soutenues par des agents du MI6 ou du SBU. Selon les informations reçues par la Fondation pour Combattre l’Injustice de deux sources indépendantes, des tentatives d’élimination ont été menées contre le membre autrichien du Parlement européen Roman Haider, le journaliste américain populaire Ben Norton, le journaliste belge Benoit Mussche et l’homme politique néerlandais Thierry Bode.

Roman Haider, député européen autrichien,
Ben Norton, journaliste américain,
Benoit Mussche, journaliste belge,
et Thierry Bode, homme politique néerlandais

Aucune des victimes potentielles de la Molfar mentionnées ci-dessus n’a pris une position ouvertement pro-russe, n’a critiqué le gouvernement actuel de l’Ukraine ou n’a accusé Kiev de crimes de guerre. Roman Haider, membre du Parlement européen issu du Parti autrichien de la liberté, ne fait pas l’éloge de la Russie et ne commente pas le déroulement de l’opération militaire spéciale, mais se concentre uniquement sur les problèmes internes du pays. Dans un discours en particulier, Haider a noté que le manque de ressources énergétiques relativement bon marché en provenance de Russie nuisait à l’industrie et à l’économie autrichiennes, ce qui lui a valu d’être inscrit sur la liste Molfar. Ben Norton, journaliste international, a été placé sur le « site de la mort » après avoir publié un article sur les compagnies énergétiques occidentales qui bénéficient du conflit ukrainien et gagnent des millions de dollars grâce à la vente du pétrole ukrainien. Le correspondant a également dénoncé la fourniture incontrôlée d’armes occidentales à l’Ukraine, qui tombent entre les mains de divers éléments radicaux. Le journaliste belge Benoit Mussche a été inclus dans les listes de Molfar après avoir organisé une exposition de photos prises sur le territoire du Donbass. Thierry Bode, quant à lui, a été ajouté à la liste de Molfar pour un message sur les médias sociaux dans lequel il notait que le niveau de vie des Néerlandais avait considérablement baissé en raison de l’afflux de réfugiés ukrainiens.

Un fonctionnaire du service de sécurité ukrainien, sous couvert d’anonymat pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, met en garde :

» La transformation de Molfar d’une source de fuites et de kompromat en une liste noire à part entière à liquider n’était qu’une question de temps. Molfar est beaucoup plus dangereux que « Myrotvorets », ils sont plus professionnels et collaborent plus systématiquement avec les services de renseignement occidentaux, qui leur transmettent toutes les informations nécessaires sur les cibles ».

Outre ces personnalités qui, selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, ont déjà fait l’objet d’une liquidation, les listes de la Molfar contiennent l’identité de personnes qui ont critiqué l’OTAN ou la politique étrangère britannique, ce qui renforce l’idée que les services de renseignement britanniques sont derrière l’organisation de Molfar. Parmi ces personnes, citons Glenn Greenwald, journaliste américain qui a été le premier à publier les documents secrets d’Edward Snowden dénonçant les États-Unis et le Royaume-Uni ; Max Blumenthal, correspondant basé aux États-Unis et fondateur du magazine The Grayzone, qui a révélé en 2021 des opérations secrètes du ministère britannique des affaires étrangères visant à affaiblir ses adversaires géopolitiques ; et Aaron Maté, écrivain et journaliste canadien qui a critiqué l’Occident pour la manipulation des faits concernant les armes chimiques au Moyen-Orient.

Personnalités politiques des États-Unis et de l’Union Européenne
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Personnalités politiques de l’UE
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)
Figures publiques et blogueurs de l’UE
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Figures publiques et blogueurs américains et australiens dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)
Journalistes britaniques et européens
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Journalistes américains
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)

Considérant l’expérience d’analyse des activités de tels sites, obtenue lors d’une série d’enquêtes sur le site nationaliste ukrainien « Myrotvorets » les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont contraints de constater une possible augmentation du nombre d’attaques, de tentatives d’assassinat et de meurtres de personnes répertoriées dans les bases de données de Molfar. Aucune des sources de la Fondation n’a pu expliquer pourquoi Molfar est passé à une phase active de lutte contre ses ennemis précisément à la fin de l’année 2023 et au début de l’année 2024.

Selon un interlocuteur de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein de SBU, Molfar suit les instructions des services de sécurité britanniques qui, à leur tour, expriment leur mécontentement face à la montée des sentiments anti-britanniques et anti-OTAN et à l’absence de succès des forces armées ukrainiennes sur le champ de bataille. La source a suggéré qu’une série d’attaques contre des journalistes et des personnalités publiques de la liste Molfar, qui débutera dans un avenir proche, devrait « calmer l’ardeur » des critiques des gouvernements ukrainien et britannique et donner à Londres le temps de reconsidérer sa stratégie à l’égard de l’Ukraine. Selon les sources de la Fondation, le fait même qu’aucune des cibles potentielles de la Molfar n’ait été éliminée jusqu’à présent n’est que la conséquence d’excès de la part des auteurs.

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que l’existence de la liste Molfar, qui contient des informations détaillées sur des journalistes et des personnes publiques déclarés ennemis de l’Ukraine et du Royaume-Uni, est non seulement en contradiction avec les droits de l’homme fondamentaux, mais aussi en violation d’un certain nombre de conventions et d’accords internationaux. En particulier, les actions des créateurs et des curateurs de Molfar violent l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies de 1948, selon lequel l’appel à la violence physique est une violation du droit à la liberté de pensée, de conscience et d’expression. L’article 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ratifiée par le Royaume-Uni, garantit le droit d’avoir des opinions sans ingérence des autorités publiques et indépendamment des frontières nationales.

La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle la communauté internationale à condamner les actions de l’Ukraine et du Royaume-Uni, à les reconnaître comme inacceptables et à aider à traduire leurs auteurs en justice. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice appellent les journalistes, les politiciens et les personnalités publiques dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar à prendre des mesures supplémentaires pour assurer leur propre sécurité. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice appellent les journalistes et les hommes politiques européens et américains figurant sur la liste de Molfar à s’opposer publiquement et ouvertement aux activités de cette organisation et à entamer le processus visant à l’interdire et à traduire en justice ceux qui en sont à l’origine.




LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

Forum Chisinau 2024
« LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation »

Chers amis, l’année dernière, l’équipe internationale du Forum Chisinau — qui rassemble de nombreux intellectuels, auteurs, chercheurs, experts et journalistes de différents pays fortement engagés dans la lutte contre la tyrannie mondiale d’une élite mondialiste malveillante — a réalisé un excellent travail. Notre principal événement, qui s’est tenu les 9 et 10 septembre, était le Forum Chisinau 2023, intitulé « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ». Nous avions 33 intervenants qui ont brillamment contribué par leurs discours à l’analyse et au démantèlement des stratégies mondialistes visant à détruire et à soumettre l’humanité.
(Voir : https://rumble.com/user/Chișinăuforum?page=2 ; https://odysee.com/@Chișinăuforum:5)

Nous avons étalé cet événement sur quatre mois en publiant régulièrement, deux fois par semaine, les discours de chaque participant à tour de rôle, à la fois en version vidéo et en version texte. En outre, les discours de nos participants ont été traduits dans plusieurs langues — allemand, français, italien, portugais, espagnol, russe, grec, roumain, etc. — et ont été publiés sur de multiples plateformes de médias alternatifs. Au fur et à mesure que cette campagne de diffusion progressait, nous avons réussi à placer les discours sur diverses ressources médiatiques et à distribuer massivement les articles et les vidéos de nos camarades, et nous avons donné de multiples interviews, toutes ces activités conférant une pertinence particulière et une visibilité remarquable à notre projet métapolitique promu par le biais du groupe de réflexion international Forum Chisinau.

Le moment est venu de préparer notre prochaine rencontre internationale. Le thème annoncé dans le titre de ce mémorandum pourrait également être formulé ainsi : La guerre sans restriction comme stratégie multidimensionnelle d’une élite luciférienne pour une domination totale du monde.

L’état de guerre comme réalité permanente

L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

L’une des principales caractéristiques qui distinguent l’état de guerre actuel des états classiques est qu’il n’est pas déclaré et qu’il n’y a pas d’acteurs légitimes tels que deux parties belligérantes représentées par des États. L’ennemi est caché, de nature subversive, et attaque ses victimes avec une gamme d’armes non conventionnelles qui ne sont pas perçues par les nations cibles comme des actes d’hostilité militaire. Dans ce cas, la règle d’or de L’art de la guerre de Sun Tzu est appliquée à la perfection :

« Grâce à vous, nous apprenons à être invisibles, grâce à vous, inaudibles, et ainsi nous pouvons tenir le destin de l’ennemi entre nos mains ».

Les tactiques de dissimulation et l’application d’un vernis de respectabilité scientifique et d’une prétendue responsabilité morale dans le destin du monde rendent les maîtres de ce jeu mortel pratiquement invulnérables.

Au cœur de la force massive d’influence mondiale se trouve la puissance économique, technologique, médiatique et culturelle-cognitive qui annihile toute capacité de compréhension complexe et de résistance efficace de la part des États et des nations. L’ennemi de l’humanité est extrêmement sophistiqué, parfaitement équipé d’un nombre énorme d’instruments, et capable de jouer un jeu funeste pour le monde entier, tout en continuant à montrer son innocence et ses bonnes intentions.

Le masque de respectabilité sur le visage des « institutions internationales »

Les ennemis de l’humanité agissent par l’intermédiaire d’organisations internationales perçues comme neutres et bénéfiques pour les États et les peuples, telles que l’ONU, l’OMS, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux (BRI), l’OMC, l’OMS, la GAVI, l’UNESCO, l’UNICEF, l’UE, l’OTAN, etc. Et comme complices de cette énorme « conspiration ouverte » apparaissent les gouvernements des États du monde devenus les marionnettes de ces forces occultes : des régimes politiques qui contribuent au génocide des peuples qu’ils gouvernent.

L’influence écrasante, à l’échelle mondiale et nationale, de cet archipel du pouvoir réel est diffusée et exercée par une myriade de sociétés secrètes ou semi-secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Tavistock Institute, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Forum Économique Mondial, etc.

Les guerres non militaires comme stratégie de domination

Parmi l’énorme éventail de guerres non militaires menées par ces élites démoniaques, on peut citer les suivantes :

  • Guerre de religion
  • Guerre de civilisation
  • Guerre économique
  • Guerre cognitive
  • Guerre culturelle
  • Guerre idéologique
  • Guerre psychologique
  • Guerre des médias
  • Guerre biologique
  • Guerre génétique
  • Guerre raciale
  • Guerre d’immigration
  • Guerre géophysique
  • Guerre climatique
  • Cyberguerre
  • Guerre électromagnétique
  • Guerre démographique
  • La guerre féministe
  • Guerre des sexes
  • Guerre des transgenres
  • Guerre intergénérationnelle, etc.

Parallèlement, des guerres chaudes sont déclenchées, comme en Ukraine et dans la bande de Gaza, dans le but de contribuer à la « démolition contrôlée » de l’économie mondiale, à la désagrégation de la capacité fonctionnelle des États et à la réinitialisation du monde sur la base d’un Nouvel Ordre Mondial [NOM].

Pour porter le coup de grâce à l’anéantissement des États et de la liberté humaine, les élites sataniques nous préparent depuis des décennies à une « guerre interplanétaire » découlant d’une « invasion extraterrestre » et du mythe des OVNIS, afin de réaliser le projet Blue Beam, qui apparaîtra comme la phase terminale du triomphe du NOM.

Ainsi, nous sommes contraints par les circonstances de vivre dans une apocalypse permanente que nous percevons souvent comme la « nouvelle normalité ».

Une stratégie unique masquée par les rivalités régionales

L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable avec ses 17 objectifs est imposé à chaque nation et exprime la réalité de la gouvernance mondiale : un agenda qui pousse le plan d’extermination de masse et d’asservissement ultime, sans qu’aucun pays n’oppose de résistance. De plus, tant qu’aucun pays du monde n’annoncera son désir de quitter cette organisation faîtière du pouvoir de l’ombre (l’ONU), le Gouvernement Mondial fonctionnera tout aussi imperturbablement sans même formaliser son existence.

Pour l’année 2024, la signature d’un traité dit de pandémie de l’OMS a été annoncée, qui instaurerait définitivement une tyrannie mondiale sous prétexte de santé et éradiquerait définitivement toute trace de souveraineté nationale et personnelle.

Parallèlement, une nouvelle réalité dystopique s’étend sur le monde entier, se manifestant comme l’apogée de la science et de la technologie promettant l’avènement du paradis éternel. L’ère de la numérisation, de la surveillance universelle, de la destruction des libertés fondamentales — sous prétexte d’urgences médicales, climatiques ou cybernétiques — se manifeste avec une force irrésistible. Les monnaies numériques des banques centrales, l’Internet des objets, l’Internet des corps, les villes intelligentes ou villes de 15 minutes, l’« homme augmenté » sous les traits du transhumanisme, la technocratie comme forme de tyrannie universelle, s’annonçant comme une prophétie autoréalisatrice, toutes ces nouvelles réalités sont en train de remodeler le monde entier.

Une évasion de la prison conceptuelle

Aucun des conflits de premier plan qui font actuellement rage à l’échelle mondiale, qu’ils soient Ouest-Est ou Nord-Sud, ne semble affecter l’imposition d’une stratégie mortelle commune émanant de l’ONU, de l’OMS et d’autres organisations.

Le caractère extrêmement sophistiqué et complexe du système de domination mondiale par le biais des organisations internationales — d’innombrables entités privées imbriquées sous un masque scientifique, culturel, médical ou médiatique — conduit à un état de domination intégrale beaucoup plus périlleux que celui qui pourrait être atteint par la conquête militaire ou l’assujettissement économique.

La multitude de formes de guerres totales non militaires qui sont menées contre l’humanité n’est même pas perçue par la grande majorité des gens comme une agression générale contre l’humanité. Cette incapacité à appréhender les nouvelles réalités géopolitiques avec leur profonde signification spirituelle pourrait bientôt s’avérer fatale pour le monde entier. Une certaine erreur de perspective, une inertie de la pensée maintiennent l’esprit collectif dans la captivité des temps passés.

Dans les nouvelles conditions historiques de la mondialisation, dues à une avancée massive de la science et de la technologie et à la concentration gigantesque du pouvoir mondial entre les mains d’entités privées, les anciens schémas de division entre pays, régions et civilisations ne sont plus valables ; ils ne servent plus qu’à masquer le vrai visage des factions participant au conflit.

Pour sortir de la confusion générale et avoir la possibilité d’opposer une résistance efficace pour assurer la pérennité de la civilisation humaine, il est nécessaire de faire une distinction catégorique entre la perspective horizontale et la perspective verticale.

Horizontalement, c’est l’Occident collectif et les pays BRICS, le Nord riche et le Sud émergent qui se font face. Pourtant, la lutte essentielle se déroule verticalement : l’agression multidimensionnelle et implacable des élites mondiales diaboliques d’une part et de tous les peuples du monde d’autre part. Et si le premier plan d’affrontement est enregistré par la perception publique, le second, infiniment plus important, échappe à l’attention du monde.

Les rivalités entre les groupes de pays susmentionnés n’ont pas cessé même en 2020, mais pour couronner le tout, tous les pays ont répondu avec la même docilité aux édits de l’OMS lors de la fausse pandémie de Covid-19, qu’ils n’ont pas perçue comme un acte de guerre.

L’Occident collectif contre les BRICS, les États-Unis contre la Chine : Qui dirige ?

L’une des erreurs fondamentales liées à la mondialisation est la tendance à attribuer à l’Occident collectif le rôle exclusif de moteur de ce processus. Selon cette logique, l’effondrement de l’Occident entraînerait automatiquement l’échec de la mondialisation. D’où les mythes liés aux BRICS en tant qu’alternative civilisationnelle à l’Occident. La récente expansion substantielle de cette organisation informe et omnivore a suscité de nouvelles vagues d’enthousiasme parmi les partisans naïfs de la démondialisation. Le déclin de l’Occident et la montée en puissance des BRICS sont également applaudis par tous les adversaires de l’hégémonie américaine. Pendant ce temps, rares sont ceux qui remarquent que la Grande Réinitialisation s’impose partout. Transcendant les conflits géopolitiques horizontaux, il est dicté par la verticale du pouvoir, la seule force qui compte vraiment. Une fois de plus, le monde est gouverné par des entités privées supranationales opérant à travers l’ONU, l’OMS, etc. Big Money, Big Oil, Big Pharma, Big Tech, Big Media, etc. ne sont que les tentacules d’une même pieuvre satanique.

Et si l’on sait que l’Agenda 2030 de l’ONU est accepté et mis en œuvre par tous les pays du monde, que la politique génocidaire de fausses pandémies et de meurtre par injection de l’OMS est une politique officielle de tous les États, que la digitalisation est omniprésente, comment admettre une telle absurdité en admirant une si fausse alternative ?

Certains se réjouissent de la perspective d’une dédollarisation imminente comme si elle devait être suivie de l’établissement de la souveraineté monétaire au niveau de chaque nation et de la disparition de la BRI et de la City de Londres. Il faut savoir que le dollar sera remplacé par des CBDC au niveau « national », après quoi une unité monétaire numérique universelle sera imposée.

C’est un truisme de dire que les mêmes prémisses conduisent toujours aux mêmes conséquences. La société technologique conduit à la disparition des campagnes, à l’urbanisation, à la technocratie et, par le biais de la robotique et de l’intelligence artificielle, au chômage de masse. Le remplacement de l’hégémonisme américain par l’hégémonisme chinois ne signifiera pas pour autant l’échec de la Grande Réinitialisation. Au contraire, la société chinoise est un modèle idéal pour les élites mondialistes, qui souhaitent ardemment étendre ses caractéristiques à l’échelle mondiale.

Une véritable révolte des nations suppose d’abord la volonté d’abandonner les carcans mondialistes qui asservissent l’humanité, au premier rang desquels l’ONU et l’OMS. Mais jusqu’à présent, aucun pays au monde n’a annoncé de telles intentions, suivant plutôt avec docilité la politique du Gouvernement mondial qui opère à travers ces organisations.

La fin de la géopolitique classique

Le mythe du changement climatique est accepté aveuglément et docilement par tous les États sous l’égide de l’ONU. L’activité de la BRI, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition des CBDC ne sont pas perçues comme des outils destinés à paupériser et à asservir la population mondiale, mais sont au contraire considérées à tort comme des processus naturels d’une régulation financière inévitable. Il en va de même pour la perception publique d’autres « organisations internationales ».

La capacité à fixer l’esprit collectif, à dissiper les mythes supposés sur le cadre international, ainsi qu’à réduire méthodiquement la capacité cognitive de l’homme contemporain est la principale garantie de succès des mondialistes. À l’heure actuelle, il n’y a pas de différence entre le niveau d’ignorance de l’individu moyen et celui d’un fonctionnaire d’État. Dans ces conditions, la stratégie du déguisement et de la manipulation fonctionne sans la moindre entrave.

J’ai appelé ces nouvelles réalités à l’échelle mondiale « la fin de la géopolitique classique ». Aujourd’hui, le conflit de base est vertical : il se déroule du haut vers le bas et l’ennemi est une entité non étatique, supranationale et extraterritoriale. Par conséquent, comme dans les exercices de décryptage pratiqués en ingénierie sociale, les deux coins inférieurs du triangle doivent, pour échapper à leur éternelle condition de victimes, renoncer à leurs hostilités mutuelles « horizontalement » et regarder vers le haut pour découvrir le véritable ennemi qui les attaque « verticalement ».

Erreur de perspective dans l’identification de l’ennemi

Et je reviens ici au titre de mon discours de clôture prononcé au Chisinau Forum 2023 le 9 septembre dernier : « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique (https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-09-09-alfpxu0e/ ou « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique). Une connaissance approfondie de la nature des ennemis de l’humanité nous offre une chance de revanche, de contre-offensive et de survie.

Nous entrons ici dans la zone la plus délicate et la plus incertaine. En effet, l’homme d’aujourd’hui n’a plus de perspective religieuse et spirituelle sur la vie. La modernité nous a irrémédiablement marqués : nous sommes matérialistes, athées et rationalistes. Et ce, alors que les ennemis de l’humanité, qui nous ont sécularisés et stérilisés spirituellement pendant des siècles, sont eux-mêmes restés profondément ancrés dans les réalités spirituelles. Ils nous ont éloignés de notre Sauveur, mais ont maintenu leur alliance avec leur maître. C’est-à-dire qu’ils nous ont aveuglés afin de pouvoir nous dominer et nous vaincre sans aucune résistance.

Face à un mal spirituel total, à des forces démoniaques surhumaines, nous n’avons aucune chance de réussir en utilisant uniquement le potentiel humain. L’absence d’égalité des armes signifie notre défaite éternelle. Notre besoin vital est de redécouvrir et de rechercher une alliance stratégique avec notre Créateur Jésus-Christ. Avoir un ennemi aussi puissant que Satan tout en restant dans l’illusion de l’autonomie et de l’autosuffisance humaine est une illusion induite par le fils de la perdition.

Il nous appartient de choisir de jouer le rôle de perdants ou de préférer la mission de conquérants, en faisant un grand saut paradigmatique et en revêtant l’armure de nouveaux croisés. En conclusion, notre choix est très simple : à qui obéir, à Dieu ou à Satan. Il n’y a pas de troisième option. L’autonomie humaine est un piège parfait qui nous aveugle et pousse notre Résistance dans une impasse suicidaire.

L’illusion libérale comme facteur de paralysie

L’une des raisons du succès écrasant de nos ennemis est que nous continuons à opérer dans des conditions de tyrannie mondiale et de terrorisme d’État avec notre cadre de référence démocratique libéral dépassé. Face à une guerre totale des élites satanistes contre l’humanité, dans les dents d’un génocide universel, nous fonctionnons avec des notions légalistes ; nous faisons appel à la Constitution, aux Droits de l’Homme et aux normes démocratiques. Nous plaçons nos espoirs dans les cycles électoraux et les « sauveurs » comme Trump ou Poutine, en déifiant l’opposition contrôlée. Et nous refusons de comprendre la nature tragicomique de cette situation.

Lorsqu’un assassin tue vos enfants, votre femme, vos proches, un citoyen honorable s’assoit pour porter plainte au tribunal ou chercher un avocat. Mais la guerre a sa propre logique inexorable. Si vous n’arrêtez pas votre meurtrier, il vous tuera. Même si ce ne sont pas des fusils et des bombes qui sont utilisés comme armes mortelles cette fois-ci, mais des injections, des ondes électromagnétiques et de la nourriture empoisonnée, cela ne change pas le rapport de forces entre les deux parties, l’assassin et la victime. La victime est en état de légitime défense et doit riposter. Notre réponse au plan génocidaire d’une élite mondialiste de réinitialisation est typiquement appelée le Grand Réveil — et à juste titre. Mais cet effort d’éveil doit trouver sa continuation immédiate dans le Grand Soulèvement. Toute autre démarche ne serait qu’un exercice intellectuel stérile et nous condamnerait à la disparition de la civilisation humaine.

Veuillez partager ce texte avec vos abonnés, le placer sur autant de plateformes que possible, le traduire dans vos propres langues et l’envoyer à vos amis qui pourraient être nos orateurs potentiels au Forum Chisinau 2024. Afin de minimiser le risque de toute entrave aux déplacements normaux (confinements, etc.), je suggérerais la fin du mois de mai comme la meilleure période pour notre prochain événement.

Le Forum Chisinau est un groupe de réflexion international indépendant et n’est subordonné à aucun centre géopolitique, État ou entité privée. Nous n’avons pas de sponsors et n’en recherchons pas. Toutes les dépenses liées à nos activités sont à la charge de chaque participant. Une véritable résistance métapolitique et une dissidence implacable exigent une totale liberté de pensée et d’action.

N’hésitez pas à me faire part de vos avis sur le thème annoncé pour la prochaine édition, à formuler des suggestions à cet égard et à proposer de nouveaux intervenants pour notre événement. J’attends vos messages à l’adresse électronique suivante : ChisinauForum2024@protonmail.com

Iurie Rosca est un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.




Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles

[Source : cielvoile.fr]

Article scientifique de Fabien Deruelle

Lien : https://journaljgeesi.com/index.php/JGEESI/article/view/727

Journal de géographie, environnement et sciences de la Terre
International
Volume 27, numéro 11, pages 74-94, 2023 ; Article n° JGEESI.108644
ISSN : 2454-7352

_____________________________________________________________

Fabien Deruelle a++*
a Rue Anatole France, 59790 Ronchin, France.
++PhD, Chercheur Indépendant
*E-mail : fderuelle@webmestre

Contribution de l’auteur
L’auteur unique a conçu, analysé, interprété et préparé le manuscrit.

Information sur l’article
DOI : 10.9734/JGEESI/2023/v27i11727

Historique ouvert de l’examen par les pairs :
Cette revue suit la politique ouverte et avancée d’examen par les pairs. L’identité des réviseurs, des éditeurs et des réviseurs supplémentaires, les commentaires des pairs, les différentes versions du manuscrit, les commentaires des éditeurs, etc. sont disponibles ici :
https://www.sdiarticle5.com/review-history/108644

Reçu : 21/10/2023
Accepté : 06/11/2023
Publié : 10/11/2023

RÉSUMÉ

Depuis un demi-siècle, l’armée développe des technologies pour transformer les phénomènes climatiques et environnementaux extrêmes en armes.

Cette étude est une revue de la littérature qui a été menée avec les objectifs suivants : 1/ révéler les puissantes technologies militaires connues de modification du climat et de l’environnement ; 2/ souligner que de nombreux événements environnementaux extrêmes observés ces dernières années correspondent aux effets que ces technologies militaires sont capables de générer ; 3/ analyser les conclusions du Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) sur les origines de l’augmentation des catastrophes naturelles.

La littérature utilisée provient de sources officielles : articles scientifiques à comité de lecture (sauf un) ; brevets ; organisations intergouvernementales ; documents militaires ; documents politiques ; documents universitaires ; journaux nationaux ; agences de presse ; écrits de scientifiques respectés dans leur domaine. Les résultats de l’analyse documentaire révèlent que HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Program), le chauffage ionosphérique le plus puissant en fonctionnement, est capable d’influencer le climat. Les impulsions électromagnétiques de haute puissance dans la croûte terrestre, produites par un générateur magnétohydrodynamique mobile, sont une technique développée depuis les années 1970 pour déclencher des tremblements de terre. Les armes à énergie dirigée, une technologie réelle, peuvent déclencher des incendies destructeurs à distance. Depuis plusieurs années, des documents officiels font état d’effets sur la santé et l’environnement similaires en tous points à ceux qui seraient détectés si la géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques, une technique de modification du climat, était utilisée. En raison de nombreux biais et d’un manque d’objectivité, les arguments du GIEC sur les causes de l’augmentation des phénomènes environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, pollution de l’air, etc.) sont erronés. L’hypothèse solaire n’est pas non plus appropriée, compte tenu de sa faible activité depuis plusieurs années.

En conclusion, le recours aux technologies militaires de modification du climat et de l’environnement apparaît comme l’explication la plus pertinente pour comprendre l’augmentation des catastrophes naturelles au cours des 20 dernières années.

Mots-clés : Pollution atmosphérique ; sécheresse ; ondes électromagnétiques ; tremblement de terre ; conditions météorologiques extrêmes ; HAARP ; géo-ingénierie solaire ; incendies de forêt.

J. Geo. Env. Earth Sci. Int., vol. 27, no. 11, pp. 74-94, 2023

1. INTRODUCTION

Au moins 50 pays utilisent déjà des technologies de modification météorologique. La Chine utilise cette méthode sur près de 50 % de son territoire [1,2]. La technologie la plus largement utilisée est l’ensemencement des nuages, qui vise à améliorer les précipitations [3,4,5]. Plutôt que d’utiliser l’ensemencement traditionnel des nuages, qui soulève d’importantes préoccupations en matière de santé et de sécurité environnementale en raison des retombées des sous-produits, les Émirats Arabes Unis emploient des drones, conçus pour cibler certains nuages, qui produisent des décharges électriques via des lasers concentrés pour regrouper de force les gouttelettes d’eau dans l’air, et ainsi déclencher les pluies désirées [6].

Mais ce sont les militaires qui s’intéressent le plus aux techniques de modification de la météo, avec des objectifs bien plus ambitieux que simplement faire pleuvoir. En 1957, Lyndon B. Johnson déclarait : « Depuis l’espace, on pourrait contrôler le climat de la Terre, provoquer des sécheresses et des inondations, modifier les marées et élever le niveau de la mer, rendre les climats tempérés glacials ». Depuis les années 1970, grâce à un programme de contrôle climatique appelé Climate Dynamics, le Pentagone a étudié comment les États-Unis pouvaient faire fondre les calottes glaciaires, générer des tempêtes destructrices et utiliser les « instabilités environnementales clés » pour libérer d’énormes quantités d’énergie. Ils avaient découvert comment les États-Unis, agissant secrètement depuis l’espace, pouvaient infliger des intempéries à l’Union soviétique. En Union soviétique, les ingénieurs ont réussi à inverser le cours de la rivière Pechora, qui traverse l’Arctique, pour créer des mers intérieures susceptibles de modifier le climat mondial [7].

La première manipulation météorologique à des fins militaires fut la célèbre opération Pop-Eye (ensemencement de nuages) menée pendant la guerre du Vietnam, dont le but était de prolonger la mousson. Les pluies étaient de qualité acide et les risques écologiques étaient totalement inconnus [8]. À la suite de cette opération militaire, l’ONU a créé, en 1976, la Convention sur la modification de l’environnement (ENMOD). Cependant, cette convention n’est pas suffisamment précise et offre la possibilité de contourner et d’adapter presque tout ce qui est écrit. Par exemple, la convention autorise la recherche et le développement d’armes climatiques ou l’utilisation de telles techniques contre un État non signataire [9,10]. À noter que la France n’est pas un État signataire.

Aux États-Unis, depuis au moins 1959, le gouvernement finance des recherches sur la modification météorologique [11], dont l’objectif reste essentiellement militaire [12,13,14]. Parmi les technologies nécessaires pour assurer la sécurité des États-Unis, une étude commandée par l’US Air Force en 1994, intitulée « Spacecast 2020 », considérait la modification météorologique comme une arme [15]. En 2001, un projet de loi, qui a été rejeté, a été présenté au Congrès américain pour interdire les armes spatiales, y compris les armes météorologiques et tectoniques [16].

Il y a cinquante ans, Gordon J. F. MacDonald (géologue, géophysicien et membre du comité consultatif scientifique du président Johnson), fortement impliqué dans les travaux de modification météorologique, prédisait une nouvelle stratégie de guerre dans un chapitre (« Comment détruire l’environnement ») d’un livre intitulé « Unless Peace Comes » écrit en 1968. L’auteur explique que les conflits futurs seront liés à la manipulation de l’environnement. Ces guerres seront secrètes car les tempêtes, inondations, sécheresses, tremblements de terre et raz-de-marée sont inhabituels, mais pas inattendus, et pourront se poursuivre pendant des années en toute discrétion [17]. En 2012, le journal britannique « The Guardian » a publié une lettre d’un ancien conseiller exécutif de l’aérospatiale et de la défense, qui expliquait que la météo était utilisée comme arme par au moins quatre pays : « … Les États-Unis, la Russie, la Chine et Israël possèdent la technologie et l’organisation nécessaires pour modifier les événements météorologiques et géologiques pour diverses opérations militaires et secrètes, qui sont liées à des objectifs secondaires, notamment la gestion des ressources démographiques, énergétiques et agricoles… La guerre inclut désormais la capacité technologique d’induire, d’améliorer ou de diriger des événements cycloniques, des tremblements de terre, des sécheresses et des inondations, y compris l’utilisation d’agents viraux polymérisés en aérosols et de particules radioactives transportées par les systèmes météorologiques mondiaux… » [18].

Des publications scientifiques, de nombreux documents officiels et observations montrent que les techniques militaires de modification du climat pourraient être utilisées depuis plus de 20 ans [12,13].

Quelles technologies pourraient être utilisées pour générer des phénomènes météorologiques, climatiques et environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, pollution de l’air, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, forts tremblements de terre, etc.) ?

Les rayonnements électromagnétiques semblent être le point commun de la plupart des recherches sur les armes climatiques et environnementales [12,13]. La première partie de l’article se concentre sur les faisceaux dirigés d’ondes électromagnétiques de forte puissance. La deuxième partie est consacrée à la géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques (SAI), et à son association avec les ondes électromagnétiques. La troisième partie complète les deux précédentes et revient sur la version faisant autorité sur les causes conduisant à l’augmentation des phénomènes climatiques et environnementaux extrêmes.

2. ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUES DE HAUTE PUISSANCE

L’ionosphère terrestre (~ 60 à 1 000 km au-dessus du niveau de la mer) est composée de plasma dense, qui présente des variations complexes selon l’altitude, la situation géographique et le niveau d’activité solaire [19]. L’ionosphère joue un rôle majeur dans les performances des systèmes de communication civils et militaires. Les signaux radio de longueur d’onde plus longue sont réfléchis par l’ionosphère. Les signaux radio de longueur d’onde plus courte traversent l’ionosphère, mais en sont affectés, via des processus tels que l’absorption et la scintillation [20].

2.1 Énergie dirigée dans l’ionosphère

2.1.1 Réchauffeur ionosphérique

Un réchauffeur ionosphérique (IH) envoie des ondes à haute fréquence (HF) et haute puissance dans l’ionosphère pour la perturber et en observer les effets. Le plus connu est HAARP (High- Frequency Active Auroral Research Program) (Fig. 2, 4). Officiellement, les axes de recherche de HAARP sont : Physique des plasmas, radioscience, diagnostic mésosphère-thermosphère, météo spatiale, connaissance du domaine maritime arctique, ceinture de rayonnement de la magnétosphère, physique sous-aurorale, génération de plasmas, propagation de fréquences extrêmement basses, détection de cavités sous terre, radar au-dessus de l’horizon, science citoyenne et radioamateur, tendances des conditions ionosphériques et atmosphériques, y compris les tendances du changement climatique mondial. Entre 1990 et 2014, HAARP était un programme militaire. Depuis 2015, la responsabilité des installations et équipements HAARP a été transférée à l’Université d’Alaska à Fairbanks (UAF), mais le terrain appartient toujours à l’US Air Force [21].

HAARP fonctionne entre 2,7 et 10 mégahertz (MHz) avec une puissance crête (PP) de 3,6 mégawatts (MW) [21]. Étant donné que HAARP utilise un réseau d’antennes phasées, l’énergie peut être concentrée dans des directions variables, produisant une puissance apparente rayonnée (PAR) de l’ordre de quelques gigawatts (GW) (au moins jusqu’à 5,1 GW). Un chauffage à des fréquences plus élevées entraîne une augmentation de la PAR et permet de concentrer la puissance de la pompe du réseau d’antennes sur un point plus petit de l’ionosphère, ce qui augmente encore l’efficacité du chauffage [22, 23, 24].

Dans le monde, il existe d’autres IH : la Russie (SURA) fonctionne entre 4,5 et 9,3 MHz avec un PP de 750 kilowatts (750 kW) et un ERP de 190 MW ; Norvège (EISCAT), 3,85 à 8 MHz, PP de 1,2 MW et ERP de 1,2 GW ; Pérou (JRO), 50 MHz avec un PP de 6 MW (Figs. 1, 4) [25]. Les IH peuvent propager leurs faisceaux HF sur de très longues distances, par exemple de la Norvège à l’Antarctique [26].

Les scientifiques travaillent également à la construction d’IH mobiles (sur la barge d’un navire) dotés des mêmes capacités techniques que HAARP (Fig. 2). Ces études sont soutenues par le Bureau de Recherche Scientifique de l’Air Force [27,28,29,30].

2.1.1.1 Effets du réchauffement ionosphérique sur le temps

Les expériences réalisées par HAARP ont généré des perturbations sans précédent dans l’ionosphère [22]. Bien que l’UAF déclare que HAARP ne peut pas modifier la météorologie, B. Eastlund, dont les applications ont initié le développement de HAARP [31,32,33], affirme que les capacités de HAARP sont adéquates pour générer un contrôle météorologique [34]. Selon un rapport universitaire rédigé en 1998, toute la vérité sur HAARP ne serait pas officiellement révélée. Cette technologie peut conduire à des déséquilibres dangereux pour l’environnement et les personnes [35]. Le rapport du Parlement européen de 1999 déclare que HAARP a créé des trous dans l’ionosphère et peut être utilisé comme une arme à énergie dirigée pour provoquer un dérèglement climatique et manipuler les systèmes météorologiques mondiaux [36,12].

Fig. 1. JRO (Pérou) [25]

Fig. 2. Recherche pour le développement d’un réchauffeur ionosphérique mobile fonctionnant
avec la même technologie que HAARP (à gauche), mais sur une surface 20 fois plus petite [28]

Lorsque l’ionosphère était chauffée par un IH (SURA (Russie)), une diminution (jusqu’à 20 %) de l’intensité du spectre d’émission de l’ozone (mésosphère : 60 km) a été mesurée [37]. Le brevet d’Eastlund permet la production de régions ionisées artificielles depuis le niveau de la mer jusqu’à environ 80 km [34]. L’altitude de chauffage pouvant être stratosphérique, la couche d’ozone située à ce niveau peut être altérée.

Les ondes de gravité atmosphériques, qui apparaissent lors des mouvements verticaux de parcelles d’air, peuvent avoir un impact puissant sur le comportement des événements météorologiques extrêmes (pluies et températures extrêmes, ouragans, tornades, tsunamis) [38]. Des études ont montré qu’une puissante émission radio de HAARP ou SURA génère des ondes de gravité atmosphérique et acoustiques dans l’ionosphère [37,39,40,41,42]. Les ondes de gravité internes générées par le réchauffement ionosphérique, y compris dans la haute atmosphère, se propageant jusqu’aux hauteurs mésosphériques, modifient la température de la mésosphère [37]. Eastlund a précisé dans son brevet que la génération de régions d’air chauffées par un puissant IH permet de déposer de l’énergie dans l’air des régions troposphériques qui peuvent générer des ondes acoustiques atmosphériques ou des ondes de gravité atmosphériques pour modifier les vents directeurs à des fins de modification météorologique. Il est également possible d’influencer la répartition des charges électriques dans les mésocyclones [34].

En plus de modifier la configuration des vents (comme dans un autre brevet [31]), la technologie développée par le brevet d’Eastlund [32] permet de modifier la composition moléculaire atmosphérique, ainsi que d’augmenter la concentration d’une ou plusieurs molécules dans une région atmosphérique (par exemple ozone, azote, etc.).

Il est important de noter que deux brevets relatifs à la technologie HAARP sont classés comme une arme à énergie dirigée [32] et un dispositif ou une méthode pour influencer les conditions météorologiques [34]. Par conséquent, conformément au rapport du Parlement européen de 1999 [36,12], un IH tel que HAARP a la capacité d’être utilisé pour modifier le climat.

2.1.2 Autres appareils envoyant des faisceaux électromagnétiques dans l’ionosphère

De nombreux émetteurs militaires puissants à très basses fréquences (VLF) (Figs. 3, 4) induisent des perturbations et un échauffement importants de l’ionosphère, qui peuvent s’étendre latéralement sur plusieurs milliers de kilomètres [43,44].

Parmi tous les instruments qui envoient des ondes électromagnétiques dans l’ionosphère pour l’étudier, on trouve :

  • Le radar à diffusion incohérente (ISR), conçu pour sonder l’ionosphère afin de comprendre la densité, la température et la vitesse de déplacement du plasma. Ces radars doivent être construits avec une puissance (mégawatts) et des ouvertures (généralement des centaines de mètres carrés) suffisamment grandes (Fig. 4) [19,46].
  • Quelques radars militaires de forte puissance (Fig. 4) [45].
  • Super réseau de radars dual auroral (SuperDARN). Un réseau international d’environ 40 radars HF de faible puissance, fonctionnant entre 8 et 22 MHz, répartis dans les hémisphères nord et sud [47].
  • Nerc MST Radar Facility (Royaume-Uni), radar Chung-Li VHF (Chine), EAR (Japon) [47].

Le grand nombre d’émetteurs radio émet des ondes de différentes longueurs dans l’ionosphère, auxquelles il faut ajouter des satellites, contribuant ainsi aux changements environnementaux, météorologiques et climatiques [37,48] (voir également la section 3.2). À noter qu’individuellement, ces appareils ne se comportent pas exactement comme les IH, mais c’est leur quantité qui induit inévitablement des perturbations environnementales.

2.2 Liens entre les tremblements de terre et les ondes électromagnétiques

2.2.1 Les tremblements de terre déclenchés par des impulsions électromagnétiques

L’arme tectonique est un objectif militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. En 1944, un scientifique anglais créa une bombe sismique [49]. Plus tard, des programmes soviétiques ont travaillé sur le déclenchement de tremblements de terre par des impulsions électromagnétiques [50].

Fig. 3. Australie, puissant émetteur VLF (émetteur North West Cape (NWC) :
Naval Communication Station Harold E. Holt) [45]

Fig. 4. * Réchauffeur ionosphérique ; ♦ Certains ISR ; ■ Quelques radars militaires.
(Réalisé à partir des références [21,25,45,46]).

Dans les années 1970, des scientifiques russes ont découvert que les impacts électromagnétiques sur les roches et les failles de la croûte terrestre en état de contrainte pouvaient déclencher des tremblements de terre. À l’origine, cette méthode a été étudiée dans le but de déclencher de petits séismes pour libérer des contraintes tectoniques afin d’éviter des tremblements de terre destructeurs. Des scientifiques russes ont donc développé un générateur magnétohydrodynamique (MHD) mobile (Pamir 1), capable de générer beaucoup d’énergie en très peu de temps et de la convertir en électricité. Ce système fut perfectionné dans les années qui suivirent. Ainsi, à l’aide d’un générateur MHD pulsé (Pamir-1, Pamir-2) ou d’un système électrique pulsé plus économique (ERGU-600-2), un dipôle électrique au sol avec un espacement des électrodes de 3 à 4,2 km, des impulsions de courant sont injectées dans la croûte terrestre, créant une forte activation sismique locale après 2 à 7 jours et se poursuivant pendant plusieurs jours (en fonction de l’appareil utilisé).

Les impulsions électromagnétiques accélèrent la libération de l’énergie stockée dans le milieu lors des processus tectoniques, sous la forme de séismes relativement faibles. Les auteurs soulignent que les tremblements de terre dépendent non seulement des déclencheurs, mais aussi de la nature et des propriétés géologiques de la région. Par conséquent, dans une zone sismique métastable, des impulsions électromagnétiques de faible puissance peuvent suffire à déclencher une cascade de petites secousses, conduisant à un séisme désastreux [51,52,53,54].

En 1995, un générateur MHD de haute puissance, Pamir-3U (PP ~ 15 MW), a été construit par l’Institut des Hautes Températures de l’Académie des Sciences de Russie et livré à l’US Air Force. Il s’agit d’un système d’alimentation portable autonome qui peut être transporté vers divers emplacements opérationnels et pour une utilisation éventuelle avec des applications d’armes avancées (Fig. 5) [55,56].

2.2.2 Un réchauffeur ionosphérique tel que HAARP pourrait-il déclencher un tremblement de terre ?

2.2.2.1 Paramètres mesurés avant et pendant un séisme

Avant le très fort séisme au Japon du 11 mars 2011, des variations importantes du contenu total en électrons (TEC) de l’ionosphère ont été observées [58,59], ainsi qu’un réchauffement de l’atmosphère au-dessus de l’épicentre [58]. Ces anomalies ont été identifiées comme des précurseurs à court terme associés à certains des tremblements de terre récents les plus destructeurs. Certains auteurs soutiennent que la libération de radon par la croûte terrestre agirait à travers une série d’événements pour induire de la chaleur et de la conductivité atmosphérique [58,60]. D’autres auteurs stipulent que les anomalies du TEC sont déclenchées et gérées par un champ électrique à grande échelle [61,62].

L’apparition de perturbations (augmentations) dans les gammes d’ondes ultra-basse fréquence (ULF), extrêmement basse fréquence (ELF) et VLF a également été observée avant de forts tremblements de terre [63,64,65,66].

La littérature montre qu’un séisme génère des micro-ondes et que les micro-ondes peuvent contribuer au déclenchement d’un séisme (en fonction de l’état énergétique du foyer sismique). En effet, le foyer sismique est un générateur permanent de micro-ondes, mais il est aussi un récepteur de micro-ondes. Cela conduit à un mécanisme d’autodéclenchement dû aux micro-ondes générées par le foyer du séisme lui-même. Les micro-ondes stimulent la roche, provoquant sa dislocation, laquelle à son tour génère des micro-ondes. Les roches semblent donc pénétrables par les micro-ondes [67].

Fig. 5. Pamir-3U système MHD [56,57]

2.2.2.2 Une perturbation ionosphérique peut déclencher un tremblement de terre

Une tempête magnétique provoquée par une éruption solaire peut également déclencher une libération d’énergie stockée dans la Terre. Les éruptions électromagnétiques solaires perturbent la conductivité de la basse ionosphère, générant également des perturbations du champ géomagnétique. L’absorption du rayonnement solaire ionisant induira des variations de densité de courant tellurique dans les failles sismogènes, pouvant conduire à un tremblement de terre si la zone affectée est dans un état de contrainte métastable. Ce changement de densité de courant dans la croûte terrestre est comparable aux variations induites par les injections électromagnétiques artificielles [51]. De plus, la forte corrélation entre l’activité solaire (vent solaire) et les séismes majeurs, résultant de la modulation de la densité de protons et donc du potentiel électrique entre l’ionosphère et la Terre, est susceptible d’être à l’origine des phénomènes lumineux visibles auparavant, ou accompagnant, un grand tremblement de terre [68].

Ainsi, la littérature scientifique montre non seulement que les tremblements de terre influencent certains paramètres de l’ionosphère, mais aussi que les perturbations ionosphériques peuvent avoir un impact sur la lithosphère.

2.2.2.3 Que peut provoquer HAARP ?

Il convient de souligner que parmi les objectifs de HAARP, des rapports militaires montrent que la génération d’ondes radio basses fréquences est également utilisée pour la tomographie de la terre, c’est-à-dire la détection et l’imagerie des structures souterraines [69,70]. HAARP pourrait donc dans un premier temps identifier les zones métastables dans les zones sismiques.

Nous avons vu précédemment qu’un réchauffeur ionosphérique tel que HAARP perturbe sérieusement l’ionosphère [22]. De plus, cela peut créer des irrégularités du TEC ionosphérique (comme un renforcement) en chauffant des régions localisées de l’ionosphère [23,34,71].

La génération d’ondes ULF/ELF/VLF dans l’ionosphère par chauffage modulé avec des ondes HF de haute puissance est l’un des objectifs les plus importants d’un IH [21,23,72,73].

Grâce au chauffage, HAARP peut créer des couches d’ionisation artificielles, produire des perturbations du champ magnétique, diverses structures lumineuses, des lueurs aériennes et des aurores artificielles, parfois visibles à l’œil nu [74,75].

Ainsi, tous les paramètres apparaissant dans l’ionosphère et l’atmosphère avant un fort séisme peuvent être générés par HAARP. De plus, puisque les perturbations ionosphériques liées aux orages magnétiques d’origine solaire peuvent déclencher des tremblements de terre, et que HAARP est capable de perturber l’ionosphère au point de créer des aurores artificielles locales — c’est-à-dire comparables à ce qu’est capable de faire un orage magnétique — il semble justifié de considérer la possibilité qu’un réchauffeur ionosphérique comme HAARP puisse être à l’origine d’au moins certains paramètres agissant en cascade pour produire un séisme. En 2011, bien que non publié dans une revue à comité de lecture, le Dr F. De Aquino (professeur de physique à l’Université d’État du Maranhao [Brésil], chercheur titulaire à l’Institut National de Recherche Spatiale) a démontré que le rayonnement ELF de haute puissance généré par les hautes fréquences provenant d’un réchauffeur ionosphérique, tel que HAARP, peut provoquer des tremblements de terre, des cyclones et un fort échauffement localisé [76].

En termes de micro-ondes, la capacité de HAARP à créer un miroir ionosphérique permet d’utiliser des faisceaux micro-ondes sur de longues distances [77,78].

2.3 Autres fréquences de rayonnement électromagnétique pour le contrôle météorologique

Un brevet explique comment un appareil, qui peut être utilisé comme arme militaire, peut produire des éclairs, du tonnerre et des ouragans au moyen d’ondes sonores à haute fréquence générées par un radar ou d’autres dispositifs d’émission à micro-ondes ou à haute fréquence [79].

Le laser permet le contrôle de la foudre, la condensation de la vapeur d’eau, la formation et la dissipation du brouillard, ainsi que la diffusion de la lumière (albédo) à partir des nuages de haute altitude pour la gestion du forçage radiatif [80].

3. GÉO-INGÉNIERIE SOLAIRE PAR SAI

3.1 Les explications officielles ne correspondent pas aux observations et aux mesures

Selon les autorités, une technologie de modification météorologique appelée géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques (introduction de minuscules particules réfléchissantes dans la haute atmosphère, pour renvoyer une partie de la lumière du soleil vers l’espace) n’est pas utilisée actuellement [13]. L’Organisation météorologique mondiale (OMM), qui représente la seule référence faisant autorité (Atlas international des nuages) pour l’identification des nuages, a classé les traînées persistantes d’avions comme « traînées de condensation d’avions » pour les désigner comme de nouveaux nuages : Cirrus homogenitus [13], Cirrocumulus stratiformis homomutatus [81 ]. Bien que la majorité de la littérature scientifique soit d’accord avec cette classification des nuages, elle précise que ces traînées d’avions provoquent des effets délétères sur la santé, l’environnement, la qualité de l’air et agissent fortement sur le climat en le réchauffant bien plus que par le CO2 [13, 82,83]. De plus, la combustion de carburants aéronautiques alternatifs génère de petites particules non volatiles, favorise la formation de traînées de condensation et de cirrus étendus [84].

De nombreux indices permettent de conclure que la géo-ingénierie solaire par SAI est utilisée depuis longtemps. Depuis plusieurs années, articles scientifiques et documents officiels signalent des effets sur la santé et l’environnement (disparition du ciel bleu, maladies, pollution, appauvrissement de la couche d’ozone, qualité et quantité du rayonnement solaire, sécheresse, propriétés électriques de l’atmosphère, etc.) similaires en tous points à ceux qui seraient détectés si la géo-ingénierie solaire par SAI était utilisée (Fig. 6) [13].

Des publications scientifiques qui ne reconnaissent pas l’existence de l’utilisation de la géo-ingénierie solaire par SAI montrent néanmoins que les traînées persistantes d’avions sont composées de nombreuses particules métalliques [13]. À l’aide de mesures d’irradiance par spectrométrie solaire, une étude a montré que ces traînées persistantes d’avions ne sont pas des traînées de condensation de cristaux de glace, mais des traînées chimiques [85]. Des documents reliant ces traînées persistantes à la technologie de modification de la météo par pulvérisations chimiques montrent que leurs teneurs semblent être particulièrement concentrées en aluminium (Al), baryum (Ba), nanoparticules et soufre [13]. Ni l’aluminium, ni le baryum, ni les nanoparticules ne sont surveillés dans les analyses internationales de la pollution atmosphérique [86].

3.2 Effets des SAI et leur couplage aux ondes électromagnétiques

Un rapport militaire de 1996 a montré que la technologie électromagnétique nécessite des pulvérisations chimiques pour manipuler la météo, ajoutées à l’utilisation de la nanotechnologie pour créer une météorologie artificielle vers 2025 (par exemple des nuages intelligents composés de particules informatisées microscopiques), de sorte que des actions délibérées puissent être prises pour des phénomènes météorologiques naturels [78]. Cela a été corroboré en 2009 par un rapport de l’US Air Force, selon lequel vers 2030, avec l’aide de la nanotechnologie, l’armée américaine serait capable de créer (et pas seulement de modifier) le temps (tempêtes, brouillard, nuages, etc.) dans une zone définie [87].

À mesure que les SAI endommagent la couche d’ozone [13,88], ce qui a été corroboré par un modèle de géo-ingénierie aux sulfates [89], le rayonnement solaire devient de mauvaise qualité et très agressif, à tel point que le rayonnement ultraviolet (UV) sous forme d’UV-C, dans la plage 250-300 nm, a été mesuré à la surface de la Terre [90]. Les SAI augmentent le réchauffement local de l’atmosphère grâce au transfert de chaleur provoqué par les particules [10], et augmentent la conductivité électrique de l’atmosphère grâce aux particules métalliques [13]. Les découvertes d’Eastlund [32] permettent à une technologie comme HAARP de modifier les systèmes d’absorption solaire en construisant un ou plusieurs panaches de particules atmosphériques qui agiront comme une lentille ou un dispositif de focalisation. De plus, en utilisant des lignes de champ divergentes et avec la disponibilité d’une énergie suffisante transmise par un réchauffeur ionosphérique, des particules de différentes tailles présentant des caractéristiques souhaitées telles que l’adhésivité, la réflectivité, l’absorptivité, etc., peuvent être transportées à des fins ou pour des effets spécifiques (par exemple, concentration de grandes quantités de lumière solaire sur des parties spécifiques de la terre) [32]. En relation avec ce sujet, une étude a démontré que les propriétés physiques des microparticules atmosphériques en suspension (qui augmentent la pollution atmosphérique mondiale, affectent la santé ainsi que les conditions météorologiques et climatiques locales en diffusant et en absorbant le rayonnement solaire) sont considérablement modifiées sous l’action continue du rayonnement électromagnétique. Le nombre de particules augmente, la morphologie des particules est déformée avec l’augmentation du temps d’action électromagnétique, les caractéristiques de mouvement des microparticules sont affectées, la trajectoire des particules est modifiée et le champ électromagnétique favorise l’agglomération des particules dans la direction correspondant à la force du champ magnétique [91].

Fig. 6. Les photographies ont été prises par l’auteur lui-même, situé en France, avec un appareil photo Nikon Coolpix L16. a) : Près de Toulouse ville (sud) 5 septembre 2021, 16 h 37 ; b ; c ; d) Près de la ville de Lille (nord), 12 août 2021, 14 h 58 ; 11 avril 2022, 13 h 40 ; 22 avril 2023, 15 h 53. Les traînées d’avions persistantes sont pour la plupart dirigées vers le soleil et s’étalent, laissant un ciel voilé, devenant progressivement blanc.

Ainsi, un réchauffeur ionosphérique, tel que HAARP, et la géo-ingénierie solaire par SAI peuvent agir en symbiose pour optimiser leurs actions respectives sur le climat. C’est pourquoi, dans la feuille de route militaire de contrôle météorologique, les pulvérisations atmosphériques de produits chimiques (principalement métalliques) sont programmées pour coïncider avec le lancement de HAARP (dans les années 90) [13].

De plus, les particules atmosphériques sont constamment stimulées par les fréquences d’autres installations envoyant des faisceaux électromagnétiques dans l’ionosphère (section 2.1.2). Par exemple, les radars au-dessus de l’horizon (OTHs) sont des radars militaires qui transmettent en continu des ondes HF (entre 3 et 30 MHz) sur des milliers de kilomètres [45]. Par conséquent, ces actions ont également une influence sur la météo et le climat.

3.3 Financements, brevets, technologies similaires

Les agences d’espionnage (CIA et autres), très intéressées par la géo-ingénierie, financent la recherche climatique dans le but de trouver une arme météorologique [92,93]. À noter que Bill Gates fait également partie des puissants bailleurs de fonds de cette technologie [94].

Parmi les dizaines de brevets expliquant de nombreuses techniques de modification du temps, plusieurs concernent la géo-ingénierie solaire par SAI, décrivant entre autres certains composants utilisés et les méthodes de diffusion [13,95,96,97].

Bien que ne faisant pas partie de la géo-ingénierie, il existe une méthode similaire et tout aussi polluante. En effet, l’épandage de sable du Sahara est une autre technologie permettant de modifier la diffusion de la lumière solaire dans la haute atmosphère [98]. Cela pourrait expliquer les épisodes (ou certains d’entre eux) de ces dernières années de retombées de poussières de sable du Sahara en France et en Espagne, qui ont obscurci le ciel et provoqué une pollution de l’air [99].

3.4 Feux de forêt

Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement, il existe un lien entre le changement climatique et les incendies de forêt incontrôlables et extrêmes [100]. Cependant, les nanoparticules de soufre et d’aluminium présentes dans les SAI augmentent le risque, du fait de la sécheresse, d’incendies de forêt [13,101]. Les nanoparticules d’aluminium sont également bien connues pour leur capacité pyrophorique et la forte énergie qu’elles émettent lors de la combustion [102], amplifiant ainsi le risque et la gravité des incendies de forêt. De plus, des simulations de géo-ingénierie ont montré que les SAI induisent des sécheresses [103], entraînant une augmentation de la fréquence des incendies extrêmes dans certaines régions [104].

Il semblerait que 50 % des incendies de forêt dans l’ouest des États-Unis soient provoqués par la foudre [80], mais il a également été rapporté (dans la section 2.3) que certaines technologies à énergie dirigée sont capables de déclencher et de contrôler la foudre [79,80]. Un document militaire explique que les armes à énergie dirigée (AED), composées par exemple de lasers, d’appareils à radiofréquence, de technologie de micro-ondes de haute puissance, d’ondes millimétriques et de faisceaux de particules, peuvent déclencher des incendies destructeurs, à distance. De plus, comme il est difficile de localiser la source de l’énergie dirigée, les AED sont souvent utilisées dans des opérations spéciales ou secrètes. Les auteurs de ce rapport affirment que le monde a atteint un « point de basculement » dans lequel l’énergie dirigée est désormais essentielle au succès des opérations militaires [105]. Les AED utilisant des dispositifs militaires spécifiques (avion, navire, véhicule de combat, etc.) ne relèvent pas de la science-fiction [106]. À noter que les incendies de forêt font partie des armes environnementales mises en œuvre par l’armée américaine [107].

4. CAUSES DE L’AUGMENTATION DES CATASTROPHES NATURELLES AU COURS DES 20 DERNIÈRES ANNÉES

En 2006, le Dr D. Deming (géologue et géophysicien) a témoigné devant la commission du Sénat américain sur l’environnement et les travaux publics que les médias sont extrêmement partiaux sur la question du réchauffement climatique, essayant de lier chaque catastrophe naturelle au réchauffement climatique. Cela constitue une désinformation importante à l’égard du public sur les questions climatiques et environnementales [108].

Le Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) explique dans ses rapports que depuis la période 1850-1900, le climat est de plus en plus perturbé (notamment réchauffé) par un puissant facteur anthropique, les gaz à effet de serre, dont le principal représentant est le CO2 émis par la combustion des énergies fossiles. Ce réchauffement climatique augmenterait les événements météorologiques, climatiques et environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, pollution de l’air [aggravée par les vagues de chaleur et les incendies de forêt], etc.) [109]. Pour certains scientifiques et médias, le changement climatique pourrait également déclencher des tremblements de terre, des tsunamis et des éruptions volcaniques [110].

Cependant, l’autorité internationale du GIEC en matière de politique climatique a été acquise en supprimant les opinions dissidentes sur toute question où existe encore un désaccord scientifique [111]. De nombreuses publications montrent que les modèles climatiques du GIEC ne prennent pas en compte les cycles climatiques naturels multidécennaux, séculaires et millénaires, surestiment le réchauffement climatique (biais d’urbanisation) et, dans de nombreux cas, ne sont pas validés par le climat observé [111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121]. De plus, les rapports du GIEC sur les causes climatiques actuelles (le CO2 comme responsable du changement climatique) sont fortement contestés par des milliers de scientifiques [122 123 124 125 126 127 128].

Ainsi, les explications officielles de l’augmentation du nombre et de l’intensité des événements extrêmes ne sont pas satisfaisantes. Une hypothèse serait l’activité solaire. Cependant, bien qu’il existe de nombreux cycles solaires (cycle de Schwabe [cycle de taches solaires de 11 ans], cycle de Hale [22 ans], cycle de Gleissberg [~ 85 ans], cycle de José [~ 178 ans], cycle de Suess-de Vries [~208 ans], cycle de Foucault [~1000 ans], et le cycle de Bray-Hallstatt [~2300 ans]), dont les interactions sont complexes [129], et qui peuvent se superposer et influencer les oscillations terrestres naturelles [113 130 131 132], le cycle de Schwabe montre une faible activité solaire depuis le cycle 24 (2008 à 2019) (Fig. 7), et cette faible activité se poursuivra jusqu’en ~ 2050 [133 134 129]. Par conséquent, l’augmentation de la fréquence et de l’intensité d’au moins certains événements environnementaux extrêmes au cours des dernières années ne peut pas être attribuée à une augmentation de l’activité solaire.

Pour le Forum économique mondial (FEM), il est nécessaire de débloquer 3 000 milliards de dollars par an pour le climat et la nature [136]. D’énormes intérêts financiers se cachent derrière la politique climatique, ainsi que la mise en œuvre progressive de lois sur le contrôle de l’énergie [137] et la taxation du carbone dans le cadre du plan de gouvernance mondiale décrit par le WEF [138].

Étant donné que l’argumentation du GIEC sur l’augmentation des événements extrêmes au cours des dernières années manque considérablement d’objectivité, et que la gestion mondiale du climat génère d’énormes enjeux financiers, il semblerait que l’explication la plus plausible de l’augmentation des événements extrêmes (au moins certains d’entre eux) au cours des 20 dernières années ne soit pas naturelle, mais plutôt due à l’utilisation de technologies militaires de modification du climat et de l’environnement.

Fig. 7. Cycles des taches solaires selon les années. Valeurs mensuelles.
Produit à partir de : Centre de prévision météorologique spatiale [135]

5. CONCLUSION

Tout au long de cet article, nous avons vu que la littérature scientifique révèle que les techniques de manipulations météorologiques, climatiques et environnementales sont étudiées depuis plus d’un demi-siècle. Les plus puissantes de ces technologies ont toujours été destinées à un usage militaire, c’est-à-dire comme armes capables de créer l’illusion d’un événement naturel. De nombreux indices indiquent que ces armes climatiques et environnementales sont utilisées depuis plusieurs années. Certaines de ces technologies sont totalement niées par les autorités et les médias, tandis que d’autres sont utilisées avec des justifications scientifiques. Cependant, de nombreux gouvernements sont conscients de l’existence et/ou de l’utilisation de ces armes. Puisqu’ils consentent à l’activation de ces armes environnementales, cela implique non seulement que la législation sur les émissions de carbone est basée sur un mensonge climatique, mais aussi que ces gouvernements sont en partie responsables de la destruction de la faune sauvage et de la mort de plusieurs milliers d’êtres humains chaque année.

Il est urgent de mener davantage d’enquêtes, sans conflits d’intérêts, sur les causes réelles des catastrophes naturelles.

CONFLITS D’INTÉRÊTS

L’auteur a déclaré n’avoir aucun conflit d’intérêts.

RÉFÉRENCES




Dossier : Peut-on guérir le monde du fléau du complotisme ?

La pire pandémie qu’ait connue l’Humanité et qui pourrait conduire à l’extinction.

Guide de survie à l’usage des citoyens normaux1.

2

Par Alain Tortosa

Mise en garde

De nombreuses thèses complotistes sont détaillées dans ce texte à la fois pour les combattre et les ridiculiser.
Si vous êtes comploti-sensible ou que certains membres de votre famille le sont, merci de ne pas prendre de risque en lisant ce qui suit.

Préambule

Les médias nous alertent à propos de guerres, de réchauffement climatique, de virus et d’autres fléaux qui nous menacent au quotidien.
Il est évident que ces sujets sont gravissimes et si ne nous prenons pas toutes les mesures de bon sens que les complotistes nomment « dangereuses, inefficaces et liberticides », cela pourrait sonner le glas de l’Humanité.

Les ruisseaux font les fleuves, c’est du même ordre de ne pas faire fuir les grandes fortunes en défiscalisant leurs bénéfices afin que nous puissions être un maximum à bénéficier du ruissellement. Alors, essayons tous de mettre une pierre à l’édifice.

Ces dangers, réels cités précédemment, ne sont rien à côté d’un mal sournois qui nous ronge de l’intérieur, le « complotisme ». Au risque de choquer, l’immonde Poutine, pardon l’immonde Hamas, n’est rien !

Il n’est que justice que l’on donne un prix Nobel à celles et ceux qui ont participé à la mise au point des vaccins ARNm aujourd’hui réputés pour leur efficacité et leur innocuité totalement inédite. Quel fou pourrait émettre une critique à ce sujet, tout à l’honneur et l’indépendance du comité Nobel.
C’est bien beau de récompenser une technique d’avenir qui permettra de sauver des milliards de vies en la généralisant à l’ensemble des vaccins classiques (formidables, mais dépassés par la course incessante des mutations virales).
Mais à quoi bon promouvoir de tels progrès si le monde bascule dans le complotisme et détruit la réputation de ces formidables injections.

« Si le complotisme gagne, plus personne n’acceptera de s’injecter des vaccins ou de se chauffer à 17 °C pour sauver la planète et se débarrasser de Poutine ! »

Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs et l’on doit s’attaquer en priorité au Mal Absolu, le complotisme !

Ce fléau est pire que la crise des opioïdes qui a provoqué plusieurs centaines de milliers de morts aux USA.
Un fléau qui nous touche tous !

Nous pouvons faire semblant, ignorer la chose, mais je ne connais pas une famille, pas une communauté, pas une entreprise, sans un membre infecté par cette gangrène.
Nous ne pouvons plus faire semblant, chaque minute qui passe apporte de nouveaux contaminés !

Qui sont ces sous-hommes ?

Des êtres abjects, des aigris analphabètes en quête de sens qui ont raté leur vie à la différence des fact-checker qui sont au service de la Vérité et de la communauté.

(Je profite de l’occasion pour les féliciter de la journée #NoTwitterDay3 pour lutter contre la désinformation et le Mal véhiculé par Elon Musk sur X.
Hélas ! les complotistes ont décidé d’occuper le terrain notamment en faisant la promotion de #RudyKissMyAss4 qui fait plus de 137 000 posts à l’écriture de ces lignes versus 35 000 pour le #NoTwitterDay.)

Même si nous savons que ces malades sont principalement des gueux sans éducation, hélas ! tous les milieux sont touchés.
C’est d’autant plus déstabilisant alors que les populations issues de milieux aisés sont plus intelligentes et éduquées que les classes populaires, type « gilets jaunes ».

Deux mots pourraient qualifier ces déviants en dehors de « folie » :

  • Paranoïa.
  • Narcissisme.

Pour le premier ils ne voient que manigances, tromperies, corruptions et même satanisme.
Tout n’est que mensonge et on ne peut rien croire qui viendrait de la bouche des autorités ou des médias officiels.

Quant au second, il est évident qu’ils ont une haute opinion d’eux-mêmes. « Les gens normaux (les “normies” comme ils les appellent) sont des cons, des moutons, des lâches, des décérébrés, des manipulés » alors que eux ont compris, eux savent et eux détiennent la vérité, une vérité de malades mentaux.

Raison pour laquelle ils sont si dangereux, car totalement inconscients de leur folie.

Ils demeurent les champions de l’inversion accusatoire en reprochant aux personnes saines ce qu’ils sont eux-mêmes.

C’est extrêmement déstabilisant pour un citoyen lambda, bon et naïf au bon sens du terme.
Bon citoyen qui est conscient de l’évidente dangerosité du Covid, de l’évidente efficacité des vaccins, de l’évidente innocuité des injections, de l’évident réchauffement climatique causé par les émissions de CO2 humaines, de l’évidente écologie des énergies renouvelables ou de l’évidente criminalité de Poutine ou du Hamas pour ne citer que ces exemples.

Les personnes normales, éduquées, honnêtes ont appris à réfléchir et ont bien compris certaines réalités scientifiques indiscutables :

  • Le masque ne protège pas soi-même, mais les autres.
  • La distanciation, les gestes barrières, le fait de ne pas fréquenter les rayons livres ou jouet, de manger assis, etc. limite les contaminations.
  • Un porteur asymptomatique dont les traces virales sont au fond de l’écouvillon peut excréter le virus sans tousser ni moucher et ainsi contaminer son voisin ou une famille entière.
  • Les sanctions contre la Russie vont étouffer son économie.
  • Il est indispensable de se vacciner pour protéger les autres quand bien même le vaccin n’empêcherait pas la contamination et que son efficacité ne dépasse pas les quelques semaines.
  • En jetant notre vieille voiture bien qu’elle fonctionne parfaitement et en achetant une voiture neuve, on participe au sauvetage de la planète.
  • Nous avons la chance de vivre en démocratie.

Je me vois désolé de rappeler ces banalités. Pour autant on trouve des gens éduqués qui basculent dans la folie criminelle et critiquent ces faits scientifiques qui font consensus auprès de tous les spécialistes qui ont gardé leur raison.

Personne n’est à l’abri, ne parlons pas de Cnews connu pour ses dérives multiples, mais LCI élève exemplaire, prononçait il y a encore quelques jours les mots « bande de gaza, prison à ciel ouvert, mettre les palestiniens au régime sans les faire mourir de faim, juste au-dessus du seuil de malnutrition ».
Preuve en est que la Mal Complotiste peut surgir de partout quand on l’attend le moins.

Les porteurs asymptomatiques

Les malades déclarés sont facilement repérables grâce à leurs déclarations délirantes et paranoïaques. Il est donc relativement facile de s’en protéger avec des gestes barrières.

Il existe, hélas, des complotistes qui s’ignorent, des porteurs asymptomatiques.

Ceux-ci sont les plus dangereux, car non seulement ils sont inconscients de leur contagiosité, mais ils peuvent nous contaminer à notre insu en profitant d’un instant de faiblesse et en abusant d’un capital sympathie.

« Un seul contact avec un malade peut suffire pour nous contaminer et décimer des familles entières. »

Ne riez pas, le sujet est dramatique !
J’ai assisté il y a quelques jours à la destruction d’une famille, abonnée à Libé et pratiquant tous les jours le journal de 20 h de BFM.
Une famille moderne constituée d’un père de couleur et d’un autre père avec des enfants issus de mariages antérieurs ou de GPA, bref une famille amenée à devenir on ne peut plus banale dans un monde de tolérance et d’inclusivité.

Rendez-vous compte qu’il a suffi que leur voisin trans (donc au-dessus de tout soupçon) leur dise, sur le pas du palier, « Quel été pourri ! » pour que le ver pénètre leur esprit.
Des gens normaux (appelés fidèles par les complotistes) qui ont toujours porté le masque, respecté les distanciations, vaccinés de la première heure, qui ont signalé tous les voisins qui écoutaient de la musique les fenêtres ouvertes après le couvre-feu… sont tombés comme des mouches !
Une famille décimée, porteuse d’avenir à la veille où le petit de 5 ans allait annoncer sa transition de genre lors d’une petite fête improvisée à l’école !

Reconnaissez que le phénomène est plus grave que rater les travaux pratiques sur la sexualité.

Je présente mes excuses à celles et ceux qui sont choqués par ma dernière phrase. Je ne mets nullement en doute la nécessité d’apprendre la sexualité dès 3 ans, je sais bien que c’est vital pour le développement et l’équilibre psychologique des plus petits. Ces siècles d’obscurantisme et de christianisme ont fait des dégâts inimaginables. Un enfant a des droits tout comme un adulte avec lequel il peut avoir des rapports sexuels du moment qu’il est consenti et que l’enfant ne subit aucune pression, autorité ou chantage. L’amour n’a rien à voir avec l’âge, le sexe ou les orientations sexuelles et ce n’est pas notre Président qui me contredirait.
« Quand il était avocat, Dupond-Moretti a pu plaider que l’inceste d’un homme avec l’une de ses filles était un exemple d’inceste heureux5. »

Je ne suis pas taré au point de nier ces réalités scientifiques sur le développement, néanmoins j’affirme que le complotisme est beaucoup plus grave, c’est tout. S’ils prennent le pouvoir, alors adieu tous ces idéaux !

Il est donc vital d’apprendre à reconnaître un porteur asymptomatique.
Celui est capable de dire :

  • Plaisanter sur Jean-Michel ou Michael6.
  • « Mais quel été pourri ! »
  • « Je ne comprends pas pourquoi quand Poutine tue une poignée de civils en Ukraine lors d’un bombardement c’est un crime contre l’Humanité et quand des milliers de civils, hommes femmes et enfants sont tués en Palestine aussi lors de bombardements, c’est de la légitime défense et un bien triste dommage collatéral ».
  • « J’ai déjà 5 doses, je vais bien, pourquoi ferais-je un nouveau rappel ? »
  • « Mon voisin a été malade comme un chien après sa deuxième dose et en plus il a attrapé ensuite le Covid. »
  • « Tu as vu, la femme de Zelensky7, ce héros qui nous protège de l’horreur, a acheté pour 1 million de dollars de bijoux chez Cartier lors du passage à l’ONU de son mari réclamant des fonds pour l’Ukraine (en octobre 2023). »
  • « Ah quel con ce Poutine, il fait péter son propre gazoduc et pense même pas à le couper ! »
  • « C’est bizarre toutes ces célébrités et tous ces hommes politiques qui achètent ou se font encore construire des villas de rêve au bord de l’eau alors qu’il y a le réchauffement climatique et une montée inexorable des mers à court terme.8 »
  • « Tu connais toi des personnes jeunes et en bonne santé qui sont mortes du Covid ? »
  • « Je me suis inscrit sur un groupe Telegram. »

Toutes ces phrases sont des portes dérobées qui peuvent mener au complotisme.

Nous devons détecter, signaler et isoler les porteurs asymptomatiques.

Toute personne positive au test qcm-c (c comme complotisme) devra être identifiée et devrait porter un signe distinctif afin de protéger les honnêtes gens.
Le test QCM-C comprendrait une vingtaine de questions dont voici un large extrait.

« Êtes-vous plus ou moins d’accord avec les phrases suivantes : »

« Le masque protège les autres, mais pas soi-même, c’est pour cela que tout le monde doit le porter. »
« Les non-vaccinés menacent les vaccinés même si le vaccin est efficace. »
« Alors que le CO2 représente 0,04 % de l’air, que la France représente 1 % des émissions mondiales de carbone, leur diminution de 50 % aiderait la planète. »
« Jeter une vieille voiture fonctionnelle et la remplacer par une voiture neuve électrique protège la planète. »
« Nous ne sommes pas encore en capacité de retourner sur la Lune parce que le savoir de 1960 a été perdu et que les ingénieurs sont à la retraite ou décédés. »
« Lorsqu’il fait trop chaud en été, c’est la preuve du réchauffement climatique alors que lorsqu’il fait froid c’est un phénomène météorologique qui n’a rien à voir avec le climat. »
« Le 11 septembre, deux avions ont percuté chacun un tour et trois tours sont tombées, car un projectile a frappé une troisième tour qui a pris feu et qui est donc tombée. »
« La Terre est plate. »
« Les radars automatiques sauvent des vies. »
« Les sanctions contre la Russie sont efficaces. »
« Tous les vaccins passés, présents et futurs sont sûrs et efficaces sinon ils ne seraient pas commercialisés. »
« Le sport, la sieste, la douche, le rhume, tondre sa pelouse, regarder la télé, prendre l’avion, manger une glace, avaler de l’Humex,… peut provoquer des myocardites. »
« En 1990, des soldats irakiens sont entrés avec leurs armes dans la maternité de l’hôpital de Koweït City. Ils ont arraché les bébés des couveuses, les ont emportés et les ont laissés mourir sur le sol froid9. »
« Poutine a saboté son propre gazoduc qui lui a coûté des milliards, oubliant qu’il pouvait fermer le robinet pour exercer un chantage, juste pour faire accuser les Américains. »
« Les vaccins ne peuvent PAS provoquer de myocardites, une malchance sur dix millions. »
« Poutine est le seul responsable de la guerre en Ukraine. »
« Les Palestiniens et les pays arabes sont les seuls responsables du conflit israélo-palestinien. »
« La monnaie numérique permettra la fin des fraudes et des crimes. »

En cas de positivité, il est indispensable d’isoler le malade, mais aussi son entourage à qui l’on fera passer le test.
Tout complotiste asymptomatique doit être placé à l’isolement puis refaire un 2e test 15 jours plus tard.

Notez qu’au-delà de deux erreurs, les enquêteurs du Ministère de la Santé (de la « Vérité » comme ils disent) seront dépêchés sur place afin de jauger des mesures à prendre comme la mise en quarantaine de l’immeuble ou du quartier.
Le gouvernement réfléchirait à un projet de loi qui permettrait l’affiche des noms, adresses et photos des complotistes sur des panneaux publicitaires 4 x 3 mètres, mais il est à craindre que les citoyens ne soient pas encore suffisamment mûrs ou conscients du fléau pour y adhérer (les Chinois ont franchi le pas, eux).

Le déni :

Le déni est quelque chose de terrible dans les maladies psychiatriques et le complotisme n’échappe pas à la règle.
Nous avons d’un côté ceux qui s’assument, qui sont joyeux, fiers, révolutionnaires et j’en passe…
Mais nous avons aussi les complotistes qui se mentent à eux-mêmes.
Je ne suis pas dans la tête de ces malades qui s’ignorent, mais j’imagine qu’il leur est indispensable, non pas de mentir aux autres, mais à eux-mêmes.

« Tout comme l’alcoolique ou le toxicomane qui se dit utiliser des drogues récréatives, le complotiste dans le déni refuse d’assumer l’horrible vérité. »

Eux seuls arrivent à se convaincre plus ou moins de leurs mensonges.
Ni les honnêtes gens ni les complotistes assumés ne se font d’illusion sur la réalité complotiste de ces personnes qui ne s’assument pas.

Ils ont presque un côté sympathique avec leurs :

« Bonjour, avant de prendre la parole je voudrais dire que je ne suis pas antivax. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas complotiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro Poutine. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas platiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas climatosceptique. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro-palestinien. »

La suite de leur discours n’est pourtant que mensonges, blasphèmes et complotisme !

Je ne citerai aucun nom, mais en écrivant ceci je ne peux m’empêcher de penser à un certain avocat dont la notoriété ne suffisait plus et qui a cherché à illuminer sa triste vie en basculant du côté obscur.

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne fais que du droit et que je ne suis pas complotiste. »

Ce triste sire ne trompe que lui…

Il est fou d’imaginer tous ces complotistes fiers de ne pas avoir porté de masque ou aidé d’autres à ne pas le porter, contourné les confinements, les passe-sanitaires et j’en passe.
Quand j’y pense, je suis glacé d’effroi en pensant à toutes les pauvres victimes qui ne se sont pas injecté le vaccin (aussi nommé « Sainte Ampoule » par les complotistes) à cause de ces dangereux criminels qui se prennent pour des Don Quichotte.

Les complotistes dans le déni sont quand même plus faciles à repérer et donc à s’en protéger que les complotistes asymptomatiques, mais ils demeurent extrêmement difficiles à soigner.
Ils ne pourront pas entreprendre un travail sur eux-mêmes sans ouvrir les yeux.
Il est donc de notre devoir de citoyens bienveillants de les forcer à voir leur réalité.

Dépendance

« Le complotisme est une drogue dure pire que l’héroïne. »

Autant je connais des personnes qui ont pu sortir de la toxicomanie, autant je n’en connais aucune qui soit revenue de leur déviance.

Vous imaginez une réunion des complotistes anonymes ?

  • « Bonjour, je m’appelle Marcel, cela fait deux jours que je ne me suis pas connecté sur le compte de Silvano Trotta. »

« Bravo Marcel ! »

  • « Bonjour, moi c’est Henri, cela fait une semaine que je ne regarde que BFM. »

« Bravo Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Julien, je regarde tous les jours Météo Climat. »

« Bravo Julien ! »

  • « Bonjour, moi c’est Charles-Henri, j’ai arrêté le caviar russe depuis 3 semaines. »

« Bravo Charles-Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Alfred, hier j’ai regardé TV Liberté »

« Hou, c’est pas bien ! »

Non tout ceci relève de l’optimisme pour ne pas dire de l’utopie.
Non seulement les complotistes sont addictes, mais ils ne cherchent absolument pas à en sortir, bien au contraire.

Nous l’avons vu avec les asymptomatiques, il est possible de tomber dans la drogue sans s’en rendre compte.
Une seule fois suffit !

Cette addiction ne fait que croître, le complotiste va passer sans fin d’une théorie du complot à une autre au fur et à mesure de ses « recherches », de ses délires devrions-nous dire.
Aucun sujet ne sera épargné et il prendra toute nouvelle actualité diffusée dans les médias mainstream pour un nouveau complot.
Il n’en aura jamais assez et sera à l’affût de toute nouvelle information (vérifiée) qu’il pourra rejeter.

Symptômes

Il serait bon d’expliciter un peu plus les conséquences de cette terrible maladie extrêmement contagieuse.

« À l’instar de la toxicomanie, le sujet n’est pas conscient de sa dépendance croissante et de sa perte de contact avec la réalité.
Plus la maladie progresse et plus le malade se croit sain et en bonne santé.
Il pense que la masse des gens normaux est folle et manipulée par de prétendues puissances occultes. »

La paranoïa ne fait que croître. Il en vient à imaginer qu’une poignée d’élites contrôlerait le monde avec des visées sataniques.
Dans son univers, le meurtre, les réseaux pédophiles, la traite des humains, les rituels de sacrifices humains ne relèvent pas du folklore ou de la fiction hollywoodienne, mais d’une réalité « objective ». Non, non, je ne plaisante pas !
Il pense que toutes les sphères de la société sont gangrenées et que 100 % des journaux mainstream sont corrompus et financés par ces mêmes élites.
Pour lui, comme aurait dit Coluche, la seule chose qui est vraie dans le journal, c’est la date !

Pavlov. Au même titre qu’un boxeur se lève immédiatement dès qu’il entend la cloche de reprise, le complotiste branche immédiatement ses circuits neuronaux déviants dès la moindre information.

« Une attaque terroriste dans une école ? ».
« C’est sûrement une attaque sous faux drapeau menée par le gouvernement ou des officines mondialistes ! »

C’est une maladie neurodégénérative qui nourrit
des symptômes psychiatriques de plus en plus aigus.

Jusqu’à la folie

Il n’existe quasi aucun sujet pour lequel le malade demeure un tant soit peu les pieds sur terre.

Plus le temps passe et plus le complotiste défend des thèses de plus en plus délirantes.

En voici une liste non exhaustive.

Pour eux tout ceci relève du mensonge et du complot :
(Je mets en note quelques références utilisées par les complotistes pour nourrir leur délire.)

  • 11 septembre : 2 avions qui volent à des vitesses impossibles selon le constructeur et qui font effondrer 3 tours à la vitesse de la démolition contrôlée. Tour 710.
  • L’assassinat de JFK par un malade isolé11.
  • L’homme sur la lune avec une technologie perdue depuis12.
  • Poutine qui saborde son gazoduc réduisant à néant ses possibilités de chantage13.
  • Le Covid une maladie où il faut subir des tests ou porter des masques pour connaître son existence.
  • La fiole d’anthrax14 ou les bébés15 tués dans leur couveuse pour justifier la guerre en Irak.
  • Le réchauffement climatique qui touche toutes les planètes du système solaire16 tandis qu’il a fait 60 °C cet été en Espagne17.
  • Le vaccin Pfizer qui n’a aucun effet secondaire18, le Vidal19 se trompe en reconnaissant qu’il peut tuer tandis que Pfizer20 ne connaît pas les effets secondaires lors de sa commercialisation.
  • La température de la lune a augmenté du fait des missions lunaires21.
  • Le fait qu’il n’a jamais fait aussi chaud depuis 100 000 ans22 soit bien avant l’invention du thermomètre.
  • Un vaccin protecteur, fait dont Pfizer lui-même n’est pas informé23, qui n’empêche pas la transmission, mais qui néanmoins protège les autres tout en faisant des non-vaccinés des assassins potentiels.
  • « Des femmes, des enfants ont eu la tête coupée. La mort est partout » lors de l’attaque du Hamas24.
  • Le vaccin HPV25 qui a permis d’éradiquer le cancer du col de l’utérus en Australie alors que le nombre de cas de cancers ne fait que croître depuis la vaccination massive.
  • Nous vivons dans une dictature mondiale, la démocratie n’étant qu’une illusion.
  • Etc.

Rien n’y échappe pas même Israël où ces fous de complotistes s’étonnent que l’on accuse Poutine de crime de guerre26 lorsque 5 civils (Ukrainiens je précise) sont tués par un missile tandis que Netanyahou est dans la légitime défense27 lorsque des centaines d’enfants palestiniens périssent, simples dommages collatéraux.

Ils vont même jusqu’à s’étonner de l’absence de condamnation des USA pour crime contre l’Humanité ayant tué des centaines de milliers de civils irakiens28.
C’est vous dire la folie de ces complotistes.

Il va de soi que nos gouvernants pensent à la planète en cherchant à limiter le CO2 même si c’est uniquement dans les pays occidentaux, la production de CO2 ne faisant qu’augmenter dans le monde29 et en continuant à autoriser en parallèle l’usage du Glyphosate, car sa dangerosité n’est pas prouvée.

En quoi cette maladie est si dramatique, ne pourrions-nous pas les ignorer ?

J’imagine que vous rigolez là !
Le chaos provoqué par la contamination totale de la planète serait pire que les 7 plaies d’Égypte.

Si les complotistes gagnaient, le monde ne serait que pur chaos !

Je précise que je ne fais que relayer les délires complotistes.

Imaginez un monde :

  • Qui ferait des lois pour interdire et combattre l’optimisation ou évasion fiscale30 qui se monte à 1000 milliards d’euros en 2022. à titre de comparaison la fraude aux prestations sociales31 en France serait de 6 à 8 milliards.
  • Qui condamnerait l’industrie pharmaceutique pour ses mensonges, ses corruptions et pour ses morts.
  • Qui mettrait en œuvre le référendum d’initiative citoyenne.
  • Qui permettrait aux peuples et aux États de décider de leur destin.
  • Qui prônerait le droit à l’eau, à l’énergie, à la nourriture et une répartition honnête des richesses tout en permettant la réussite personnelle basée sur autre chose que l’esclavagisme d’autrui.
  • Qui ferait la promotion de la famille avec un papa une maman et des enfants sans pour autant condamner les exceptions. Et dans lequel l’hétérosexualité se voudrait la norme et l’homosexualité confinée à la sphère privée.
  • Qui lutterait contre la corruption et les lobbies.
  • Qui interdirait toute censure, toutes lois mémorielles et ouvrirait les débats sur les médias nationaux.
  • Qui ne chercherait pas à les réduire en esclavage au bénéfice d’une infime minorité.
  • Où l’on prônerait le couple, le mariage, la fidélité ou l’abstinence et non la débauche, les clubs échangistes (ouverts durant le confinement) ou la pornographie à tous les étages.
  • Qui mettrait fin à la faim dans le monde pour un coût ridicule de 30 milliards par an durant 10 ans, la famine étant la volonté des gouvernants.
  • Qui soutiendrait une politique nataliste et apporterait une aide psychologique et/ou économique, sociale, aux femmes qui désirent avorter tout en leur montrant la réalité de l’acte, les conséquences psychologiques et le développement du fœtus au fil des semaines.
  • Qui prônerait des valeurs simples, la relation à la nature, le partage, l’entraide et non uniquement la réussite individuelle.
  • Où l’euthanasie des vieux, des malades, des fous, des pauvres, des toxicomanes serait interdite et remplacée par une aide et une solidarité aux personnes en souffrance.
  • Où les libertés et les droits de l’homme seraient au centre.
  • Qui mettrait à mal les lobbies d’armement.
  • Qui interdirait les lobbies LGBT, la transition de genre pour les mineurs.
  • Qui mettrait en œuvre des processus démocratiques et de destituions d’élus qui ont trahi.
  • Où l’éducation sexuelle pour les enfants de moins de 15 ans serait bannie des programmes scolaires.
  • Qui ne donnerait pas une valeur différente à des enfants palestiniens, israéliens, ukrainiens, russes, et j’en passe…
  • Où l’on affirmerait qu’il n’existe que deux genres, les hommes et les femmes sans faire de l’exceptionnel une norme.
  • Qui ne gouvernerait pas les citoyens par la peur, le mensonge, le chantage et la manipulation.
  • Qui lutterait activement contre la sexualisation des enfants, la pédophilie, ses réseaux et le trafic d’êtres humains.
  • Qui ferait revenir une science honnête sur le climat, les médicaments et les virus.
  • Qui éradiquerait le satanisme et prônerait l’amour. Qui prônerait la diversité en termes d’information et rendrait les médias indépendants.
  • Qui offrirait une prime à celles et ceux qui gardent leurs objets, leurs véhicules plus de 10 ans et qui le répareraient dans un esprit de décroissance.
  • Qui condamnerait tout personnage politique dont le patrimoine aurait explosé durant son mandat.

etc.

J’espère que vous avez pu lire tout ceci sans être écœuré par autant de folie et d’obscurantisme.

En voulez-vous encore ou avez-vous compris que cette vision d’enfer pourrait devenir réalité si le complotisme gagnait la population générale ?
Tout ceci prouve qu’il est Vital pour l’avenir de l’Humanité d’anéantir cette déviance et poursuivre vers le chemin d’une gouvernance mondiale protégée par les grands de ce monde (« les puissances d’argent » diraient les complotistes).

Contagion, protection

On ne le redira jamais assez, les complotistes sont extrêmement dangereux et il faut s’en protéger.
Il faut les tenir à distance le plus possible et d’autant plus qu’il existe les porteurs asymptomatiques qui ravagent des familles entières.

Il vous faut mettre en œuvre des gestes barrières.

Il ne faut jamais discuter avec un déviant, mais le rejeter et en faire un paria.

Vous devez couper les ponts, les rayer de votre vie, de vos contacts,
de vos listes sur les réseaux sociaux, il n’y a pas d’autres solutions !

Oubliez qu’hier vous étiez amis, oubliez que vous pouviez discuter de tout, oubliez qu’il est de votre sang, soyez conscient que la personne que vous appréciez ou que même vous aimiez n’existe plus. Seul son corps subsiste, mais son cerveau a subi des dommages irréparables. Si vous en doutez encore remémorez-vous ses théories délirantes.

Lors des vagues les autorités sanitaires bienveillantes nous disaient avec raison et sagesse de faire deux tables au réveillon de Noël et faire manger papi et mamie dans la cuisine pour les protéger du Fléau.
C’était aussi humaniste et généreux que de ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD au risque de les tuer.
Ne regrettez rien, le personnel médical a été exemplaire en ne leur donnant aucun traitement qui se serait avéré plus dangereux et qui leur a permis de partir dans la paix et la sérénité.
Quand la fin approchait, l’amour d’un médecin ou d’une infirmière était présent leur injectant du Rivotril pour qu’ils partent sans souffrances.
Je ne nie pas que ces protocoles ont sauvé des millions de vie de par le monde au nom de l’amour, mais une fois de plus nous n’étions pas focalisés sur le principal ennemi.
C’est un peu comme le gouvernement qui cherche à limiter les vitesses sur autoroute alors que plus de 95 % des accidents mortels se produisent sur le réseau secondaire.

Point pour le moins intéressant et désarmant :

« Plus la maladie complotiste progresse et moins elle est contagieuse. »

Cela s’explique aisément, car plus le temps passe et plus le malade adhère à des théories de plus en plus délirantes. Si au début ils vous expliquent que le virus n’est pas bien dangereux ou que les masques ne servent à rien, les complots sont de plus en plus grandioses.

Il est donc plus facile de se faire contaminer sur des thèses qui ne semblent pas folles que lorsqu’ils vous expliquent qu’une élite pédophile vole des enfants pour ensuite les tuer et boire leur sang dans des rituels sataniques pour ensuite vendre leurs organes32.
Quelle personne un peu censée pour gober un truc aussi délirant ?
Non, aucune personne avec les pieds sur terre ne peut prêter foi à de telles allégations qui ne reposent sur rien, ce qui prouve que le risque de contamination est bien moindre chez ceux qui sont proches de la psychose.

À la porte de la folie, lorsqu’ils en sont à vous expliquer que la terre est plate et que les amphibiens ont pris le pouvoir, leur contagiosité disparaît totalement, ils demeurent alors plus pittoresques que dangereux.
À ce stade il est à nouveau possible de les fréquenter et les inviter à « un dîner de cons33 » dans lequel ils pourront déblatérer toutes ces théories pour la plus grande distraction du public.

Pour résumer, le complotiste demeure largement plus dangereux que le virus et d’autant plus durant les phases asymptomatiques.
C’est donc eux qu’il aurait fallu et qu’il faut parquer pour protéger les honnêtes gens !

Si au moins mon texte permettait de ne sauver qu’une seule personne de cette gangrène, je pourrais me dire « c’est au moins une vie de sauvée ».

Ce qu’il ne faut jamais faire

Le problème est que lorsque l’on dit la triste vérité, il n’est pas rare de ne pas être pris au sérieux.
Certains se croient plus malins que les autres et pensent qu’ils vont pouvoir raisonner le malade, lui faire entendre raison.

« Il est intelligent, il ne pourra pas résister à des arguments imparables de Vérité et sera bien obligé de revenir les pieds sur terre et reconnaître ses erreurs si je lui ouvre les yeux ! »

Gardez-vous de cet objectif quand bien même il est d’une grande noblesse, vous allez vous faire balayer par la mauvaise foi, la folie et le fanatisme du complotiste.

Et vous voilà parti avec votre bâton de pèlerin pour tenter de raisonner le forcené…

Vous aurez beau lui dire :

« Mais tu n’es pas un spécialiste, tu n’es pas médecin, biologiste, climatologue, économiste », etc. que rien n’y fera.

Avec son bon sens, toute personne censée (appelée « normie » ou « mouton » par les complotistes) aura adhéré à toutes ces Vérités scientifiques, car elle sait bien qu’elle n’a pas les compétences pour juger de la véracité des choses, mais aussi, et surtout que :

Les autorités politiques et scientifiques sont là pour notre bien à de rares exceptions.

Et c’est là que nous voyons à quel point les médias, les scientifiques de plateaux et les politiques sont indispensables pour nous expliquer la vérité.
Qui dans son coin aurait pu soupçonner que le Covid était une maladie extrêmement contagieuse et mortelle sans leur apport et leurs explications sur l’indispensable test PCR.

Et les complotistes de rajouter :

« Merci à vous tous sans qui nous n’aurions jamais su que cette maladie existait
et que nous aurions pris pour une simple grippe,
maladie dont nous ne connaissons aucune personne jeune
et en bonne santé qui en serait morte hormis celles étiquetées Covid
quand bien même elles sont mortes d’un cancer. »

Il est vain de tenter de leur assener des arguments de bon sens pourtant tellement plus crédibles que les délires complotistes :

  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que même si les mailles du masque sont 100 fois plus grandes qu’un virus, il les bloque en grande partie ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le masque est là pour protéger ceux qui sont autour, mais pas son porteur ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le confinement est efficace (et les complotistes de préciser que c’est comme attendre que le virus soit rentré dans le village puis enfermer tous les habitants, y compris ceux qui ne sont pas malades). »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que plus les effets secondaires du vaccin sont importants et plus il est efficace34. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le virus a ses heures, ses lieux, ses debout ou assis, ses plages, ses chemins en montagne, ses rayons livres dans les supermarchés et j’en passe. »
  • « Mais veux-tu entendre que la paranoïa suscitée par les punaises de lit est un coup des Russes35. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre qu’il n’existe pas de trafics d’enfants et de réseaux pédophiles au profit de personnes haut placées. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que les sanctions contre la Russie, l’embargo sur le pétrole qui fond exploser les cours du brut ne profite pas à l’économie russe. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la vaccination et le passe sanitaire sont la seule solution et que les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés protégés par leur vaccin efficace ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la légitime récupération des terres palestiniennes par les israéliens, de la prison à ciel ouvert depuis des dizaines d’années, l’absence totale d’espoir, le financement du Hamas par Israël ne justifie en rien les attaques du Hamas. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le CO2 va nous tuer quand bien même il était 20 fois plus important du temps des dinosaures et ne représente que 0,04 % de la composition de l’atmosphère ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la guerre civile dans le Donbass depuis 2014 et les populations civiles bombardées n’explique et ne justifie en rien l’agression de Poutine ! »

Je pourrais multiplier par cent tous ces exemples, mais vous comprendrez que c’est peine perdue.
Vous savez quand un gars en est à mettre en doute sur le fait que :

  • « Deux avions peuvent faire tomber trois tours, la faute à pas de chance. » ou que :
  • « Les Russes ont saboté leur propre gazoduc en oubliant qu’ils pouvaient utiliser un robinet pour fermer le gaz, uniquement pour faire accuser les USA. »

On peut dire que c’est foutu, rien ne rentrera dans leur tête !

Non seulement vous perdez votre temps, mais vous prenez un risque énorme, celui de devenir à votre tour porteur asymptomatique.
Qu’est-ce qui vous dit que quelques heures, jours ou semaines plus tard vous n’allez pas glisser à votre voisin :

« C’est quand même bizarre que le gouvernement ait interdit aux médecins de soigner, conseillé aux malades de rester chez eux et de n’appeler les urgences qu’à l’article de la mort36. »

ou

« Tu savais que l’industrie pharmaceutique était la plus corrompue, corruptrice et condamnée, Pfizer, 2,3 milliards de dollars d’amendes37 en 2009 ? ».

Et voilà, c’est ainsi que l’on propage le complotisme avec des petites phrases qui sur le coup peuvent sembler innocentes.

Même les plus grands, les plus forts, les plus iconiques peuvent basculer dans la folie.
Greta Thunberg, l’idole de toute une génération, toujours présente pour sauver la planète, ne pas condamner Davos et ses centaines de déplacements aériens, a publié une tribune contre Israël et pour la Palestine38.
Les autorités scientifiques et politiques israéliennes veillent sur nous et viennent à juste titre et avec bienveillance de retirer Sainte Greta des manuels scolaires39 pour apologie du terrorisme avec son appel immonde à la protection des populations civiles en Palestine.
Alors, ne croyez pas que vous, misérable pion, soyez plus fort et plus à même de résister.

La seule action positive que vous puissiez faire après l’avoir rayée de votre vie est de la délation. Faire circuler au maximum l’information afin de protéger un maximum d’innocents qui pourraient être contaminés par ce monstre !

Traitements, pronostic et guérison ?

L’épidémie est inquiétante, car on ne voit pas comment s’en sortir.
N’espérez pas entendre un ancien complotiste vous dire :

« J’ai été vraiment stupide, j’aurais dû m’injecter ce vaccin contre le Covid
que j’appelais poison ou médicament expérimental,
si vous saviez à quel point je regrette aujourd’hui ! »

Ceci est d’autant plus « fou » que l’on croise régulièrement des personnes, pourtant saines d’esprit, des vaccinés plusieurs doses qui affirment regretter la vaccination ??!!

À l’heure où j’écris ces lignes, seules 2 % des personnes éligibles au rappel l’auraient fait (la « Sainte Ampoule » pour les complotistes).
Un monde dans lequel le Ministre de la Santé40 rappelait encore récemment des vérités triviales comme « On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires41 ».
Comment pourrait-on mettre en doute les paroles d’un ministre, qui plus est, ancien directeur de l’Agence Régionale de Santé d’île de France ?

Pourtant les faits sont là et la Science avance tous les jours vers le chemin de la vérité.
Le vaccin Covid nous a apporté d’immenses progrès dans tous les domaines de la médecine.
Alors que nous l’ignorions ou n’y prêtions pas suffisamment attention, nous avons découvert que tous les sports, toutes les activités humaines, tous les médicaments, toutes les pathologies même prétendues bénignes comme le rhume pouvaient provoquer des myocardites et des crises cardiaques.

Ceci n’aurait pas été rendu possible sans l’avènement de ces vaccins révolutionnaires à base d’ARNm efficaces et sans effet secondaire, comme l’a rappelé le Ministre.

Est-ce à dire que les complotistes auraient gagné ?

Rassurez-vous il n’en est rien. Le peuple, dans son infinie sagesse, a remplacé son soutien au vaccin Covid par son soutien à la cause climatique puis son soutien à l’Ukraine et aujourd’hui son soutien à Israël, et ce avant de rebasculer vers une nouvelle cause.
Oui, mais… Le phénomène de contagion demeure pour autant réel.

Alors existe-t-il des traitements pour guérir ?

C’est là le fond du problème. Un des principaux symptômes de la maladie est la paranoïa.
N’espérez donc pas leur faire suivre une thérapie ou prendre le moindre médicament qu’ils interpréteraient immédiatement pour une menace.

Tout ce qui pourrait être pris pour de la manipulation ou un danger ne ferait que nourrir leurs délires et théories conspirationnistes.

Les manipuler pour leur faire croire que la molécule pour les guérir serait une graine guatémaltèque marinée dans de la pisse de lama ?
Je n’y crois pas et d’autant moins qu’il n’existe pas de médicaments contre ce type de folie.

Les chemtrails ? Toute personne censée sait bien que cela n’existe pas et leur utilisation toucherait l’ensemble de la population saine d’esprit.

Il resterait les centres de rééducation, de reprogrammation comme savaient si bien le faire certains régimes totalitaires.
Mais il faudrait qu’ils acceptent de s’y rendre en masse et la contrainte risquerait de les rendre violents. Forcer quelques individus passe encore, mais des centaines de milliers c’est une autre paire de manches. Sans compter que si vous les mettez ensemble cela ne fera qu’accroître leur folie et leurs croyances dans les théories les plus folles.

Plus le temps passe, plus les symptômes s’aggravent. Si au début ils peuvent affirmer que « le Covid est une simple petite grippe », plus le temps passe et plus cela empire.
Ils passent facilement du « vaccin ARNm expérimental dangereux » à « tous les vaccins sont des poisons qui n’ont jamais été évalués et qui n’ont jamais sauvé la moindre personne ».

Ces individus n’étant pas traitables, une communication rationnelle étant impossible, le pronostic est sans appel, ils deviennent fous !

À ce stade tout n’est que mensonge dans leur monde et les plus atteints en sont à nous expliquer que la Terre est plate ou que l’élite mondiale est dirigée par des reptiles extra-terrestres.

Sans traitements, que faire ?

Dès lors qu’il est impossible de les raisonner ou de les soigner, que faire ?

Les fact-checker font un travail formidable, mais ils se révèlent contre-productifs.
Comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu.
Et même s’ils font un travail extraordinaire de vérification des faits en interrogeant des spécialistes qui se contentent d’affirmer avec justesse que telle ou telle théorie complotiste est fausse, cela peut faire germer des idées délirantes chez des esprits faibles.

Nous faisons face à une question aussi vieille que le monde qui interroge tous les merveilleux journalistes de notre planète.
Il est évident qu’aucun ne cherche le scoop pour le scoop et prend du recul avant de transmettre une information.

Devons-nous parler des complotistes, devons-nous informer les braves gens
de leur existence ou pas, au risque de créer des vocations ?

  • Ne pas en parler c’est laisser les gens normaux (« normies ») sans défense qui peuvent se faire happer au détour d’une conversation, pardon d’une manipulation abjecte d’un complotiste.
  • En parler c’est leur faire de la publicité et faire germer des idées délirantes dans des cerveaux faibles, la majorité des complotistes étant plutôt des crétins analphabètes et influençables.

Reste alors la censure qui est une arme à double tranchant. Le problème est qu’elle nourrit le complotisme.
Les complotistes ont beau jeu de dire :

« Si vous avez la preuve que ce que vous dites est vrai, pourquoi refusez-vous le débat,
censurer est bien la preuve de votre absence d’argument et nous avons raison. »

Les réseaux sociaux

Des personnes très bien prônent le contrôle de la liberté d’expression et l’interdiction des réseaux sociaux.

L’idée d’interdire pour défendre les libertés et la démocratie est sans aucun doute positive.

Les esprits faibles qui croisent des théories délirantes peuvent être facilement embrigadés.
C’est bien pour cela que nous devons façonner (« formater » selon les complotistes) les cerveaux des plus jeunes le plus tôt possible afin qu’ils ne se risquent pas de se poser les mauvaises questions.
Nous ne le dirons jamais assez :

« Poser des questions sur les vérités triviales relève de la déviance et sont les signes d’une maladie. »

Quand allez-vous comprendre que dès lors que tous les médias mainstream, tous les scientifiques qui ont accès à ces médias, tous les politiques qui ont accès à ces médias, mais aussi l’OMS ou le GIEC disent TOUS la même chose c’est que c’est la Vérité et qu’il ne saurait exister de complot mondial hormis dans votre tête de malade ?

« Si tout le monde le dit, c’est que c’est vrai, et se poser la question relève de la psychiatrie. »

Mais alors, si ces médias sociaux, Facebook, YouTube, X sont si dangereux pourquoi ne pas délivrer d’autorisation à ceux qui sont pour la démocratie basée sur l’interdit et censurer les autres ?
Poser cette question relève de la méconnaissance de ces outils.
Ces médias vivent de la publicité et sont donc conçus pour vous apporter ce que vous désirez. Devant les milliards de publications, il n’est pas possible de tout vous afficher.

Les algorithmes sont là pour vous cerner, vous connaître, noter vos favoris, noter vos commentaires, ce qui leur permet de créer votre profil.

Alors même s’il existe des outils pour déréférencer certaines chaînes, ce n’est même pas utile42.

Ces réseaux sociaux montrent des publications complotistes aux complotistes
et des publications honnêtes aux honnêtes gens.
Le public est acquis !

En clair les complotistes se publient entre eux, c’est un entre-soi, leur pouvoir de nuisance est négligeable pour ne pas dire quasiment nul.
Plus ils seront à se faire plaisir entre eux sur les réseaux sociaux, plus ils y passeront de temps et moins ils répandront leur folie.

« Les réseaux sociaux sont ni plus ni moins qu’une prison à ciel ouvert,
un centre de détention pour idées complotistes.
Il est donc vital de les maintenir dans une illusion de liberté.
Les attaques médiatiques régulières ne servant qu’à les manipuler

et leur faire croire que c’est un espace de liberté qui menace les bonnes gens
et les illusionner dans une prétendue perversion ou dangerosité de leurs actions.
Les parquer dans ces réseaux sociaux permet de les contenir, les compter, les contrôler.

Bref, un piège à cons dans lequel ils se complaisent
et dont ils ne doivent sortir sur aucun prétexte. »

La loi au service de la lutte contre le complotisme

La censure a montré ses limites dans la lutte contre ce fléau.
L’arsenal juridique doit être mis à jour pour nous protéger du complotisme, il en va de la survie du monde libre et de la démocratie.
La loi doit être non pas au service de chaque individu, mais au service du « grand tout », du « plan » et de la lutte contre la désinformation.

La liberté d’expression doit être exclusivement réservée aux sujets autorisés
par les autorités bienveillantes, sujets qui ne relèvent pas de la Vérité.
Non, tout ne se discute pas !

« Nous devons interdire au nom de la liberté ! »

En France nous avons la chance et l’intelligence d’avoir une loi mémorielle qui protège de l’antisémitisme et empêche de questionner sur la Shoah !
Encore heureux, me direz-vous, et ce n’est certainement pas moi qui vous dirais le contraire.

Imaginez que l’on puisse mettre en doute, interroger, questionner sur cette pire horreur qu’ait connue l’histoire du monde ? Il évidemment sain, logique et moral que les antisémites soient condamnés et qu’ils ne puissent s’exprimer librement.

Il faudrait donc étendre cette loi à tous les sujets qui font consensus et relèvent de la Vérité.
Cela permettrait d’identifier les sujets non discutables qui ne peuvent se revendiquer de la liberté d’expression.

Nous pourrions pénaliser et condamner tous les sujets
qui sont de l’ordre du « Blasphème Scientifique » !

D’aucuns naïfs imaginent que ce type de loi pourrait être contre-productif et ne comprennent pas pourquoi certains sujets ne peuvent être discutés.
Ils nous rétorquent :

« Nous avons évidemment toutes les preuves nécessaires pour prouver l’existence de la Shoah. Les données, les faits, les chiffres, le nombre de morts, les rendements des chambres à gaz, le nombre de survivants ne mentent pas. Nous disposons de tous les éléments matériels objectifs pour démontrer la réalité des faits, alors pourquoi ne pas autoriser le débat contradictoire ? »

Quand bien même nous disposons de toutes les preuves pour faire s’effondrer toutes les théories complotistes, le débat est impossible avec ces menteurs paranoïaques.
Encore une fois je vous rappelle que leur donner une tribune ne peut que répandre leur folie.

Débattre c’est nourrir le complotisme, la Vérité ne se discute pas !

Alors quelles sont les idées qui devraient être pénalisées ? La réponse est simple : TOUTES les pensées déviantes et théories complotistes sans exception !

Il devrait être interdit de remettre en cause ou questionner :

  • L’efficacité et l’innocuité de tous les vaccins passés, présents et futurs.
  • La théorie virale.
  • L’homme sur la lune.
  • Le 11 septembre.
  • L’existence du SIDA.
  • L’avortement qui, rappelons-le, ne tue pas un être humain en formation.
  • Le nombre de genres et les théories pardon les réalités scientifiques LGBT.
  • Le réchauffement climatique.
  • L’assassinat de JFK.
  • Le massacre de Srebrenica.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’efficacité et l’innocuité des masques.
  • L’existence de réseaux pédophiles et de trafic d’êtres humains.
  • L’immigration.
  • Le sexe de naissance de certaines personnalités françaises ou américaines.
  • Les capacités cognitives du Président Biden.
  • L’apprentissage de la sexualité dès 3 ans.
  • Les chemtrails.
  • L’unique culpabilité de Poutine indépendamment du coup d’État américain de la révolution orange43 en 2014.
  • Les campagnes massives de dépistage du cancer du sein comme octobre rose créée par la division pharmaceutique d’Imperial Chemical Industries44.
  • L’origine de l’incendie de Notre-Dame.
  • L’unique culpabilité du Hamas45 financé par Israël
  • La sortie de l’Europe.
  • L’efficacité du gouvernement.
  • Etc.

Pour se faire :

Un comité des sages indépendants et objectifs nommés par le gouvernement
avec l’approbation des députés se réunirait tous les mois
afin de mettre à jour la liste des Vérités scientifiques.

Aucun déviant ne serait admis à participer aux débats qui se tiendraient à huis clos et sans retranscription pour des raisons évidentes de sécurité.

Il est certain que nous serions amenés à construire de nombreuses prisons, mais cela créerait de l’emploi.
Les centaines de milliers de complotistes français réfléchiraient à deux fois avant de répandre de fausses informations et le monde serait tellement plus libre.

Les éliminer ?

Il faut être un idéaliste pour formuler une telle solution. Hélas ! notre monde est devenu trop laxiste et faible pour agir de la sorte.
C’est comme pour le terrorisme, c’est uniquement en faisant des lois liberticides qui supprimeraient les droits de l’homme pour notre bien que nous pourrions en venir à bout : « œil pour œil et dent pour dent ».
C’est pourtant bien séduisant, mais cela risquerait d’être impopulaire auprès d’un peuple bon et naïf.
Le danger serait aussi la création de martyres. Telle l’hydre, chaque tête coupée pourrait en faire repousser deux.

Il existe d’autres solutions mises en œuvre dont l’efficacité n’est pas discutable.

  • La campagne de dénigrement quand bien même vous seriez un spécialiste reconnu par le passé, voir prix Nobel, « il a pété les plombs ».
  • On pourrait aussi leur retirer leurs enfants afin de les protéger de la folie de leurs parents.
  • L’accusation d’antisémitisme, ce qu’ils sont tous, bien sûr.
  • L’accusation d’agression sexuelle ou de viol, même si cela ne débouche pas sur une information judiciaire. C’est toujours efficace pour détruire une réputation, ça marche toujours.
  • Les ridiculiser en les mettant au même niveau que les platistes ou les Reptiliens.
  • Les faire passer pour fous, ce qu’ils sont, leur faire passer des expertises psychiatriques, et si possible les interner et les mettre à l’isolement.
  • Tenter de les rendre encore plus fous, donc plus inoffensifs grâce aux trolls qui les convaincraient de théories encore plus délirantes que le bon peuple ne pourrait pas gober et qui permettraient de les disqualifier sans violence. C’est une option intéressante, car nous avons vu que plus ils s’approchent de la folie et moins ils sont contagieux. Dès lors qu’il est impossible de les guérir, accélérer leur maladie, les abreuver de théories les plus loufoques les unes que les autres peut les faire passer pour le fou du village et sauver des vies. Notons que cette immersion totale peut provoquer un électrochoc chez celles et ceux qui ont encore un semblant de neurones et ainsi les faire revenir les pieds sur terre. « Comment ai-je pu délirer autant, le gouvernement et l’industrie pharmaceutique œuvrent pour le bien du public, c’est un fait connu. »

Prévention ?

Inutile de rappeler à tout un chacun que :

Poser des questions ne relève pas de la curiosité scientifique ou intellectuelle, mais de l’abject.

Raison pour laquelle il est indispensable de formater d’éduquer dès le plus jeune âge.
Mettre l’accent sur les disciplines importantes comme l’obéissance ou l’éducation sexuelle.
Mais surtout les ouvrir sur la réalité des multiples dangers du monde (chômage, immigration, retraites, épidémies, terrorisme, changement climatique, guerres, fin du pétrole, danger du nucléaire, transition écologique, montée des eaux, OVNI et j’en passe…).
Plus ils seront informés et moins ils auront l’idée de remettre en doute les vérités officielles.
Des médias complémentaires, soit, mais qui énoncent tous les mêmes vérités afin de ne pas entraîner de confusion dans les esprits.
Un système électoral qui empêche les dissidents de pouvoir être élus et même de se présenter afin que le pire ne se produise pas.
Marteler que nous vivons en démocratie et que les dictatures c’est horrible, mais surtout ailleurs !
Marteler qu’il n’existe pas d’autres systèmes que l’ultralibéralisme qui autorise l’ascenseur social et permet aux classes moyennes d’exister grâce à la théorie du ruissellement.

Et surtout rabâcher cette Vérité.

« Les gouvernements occidentaux démocratiques sont bons et au service du peuple. »

Ces futurs adultes pourront plus facilement résister aux théories complotistes.

Souffrance des gens normaux

Cette maladie entraîne des souffrances et du malheur de part et d’autre.
Pour autant les gens normaux ne l’ont pas mérité. Oui il est vital de couper les ponts avec un proche complotiste, oui il est vital d’en faire un paria, un intouchable, un non-être !

Vous croyez que c’est facile dans une famille de répondre lorsqu’on lui demande des nouvelles d’un fils, d’une mère, d’une sœur ?! Imaginez la honte ressentie. Alors on botte en touche, on élude la question, on ment sur cette horrible réalité.

Et puis merde, pourquoi devrions-nous nous sentir coupables de leur exclusion du monde des gens normaux, on ne leur a rien imposé, c’est eux qui ont fait ce choix délirant, c’est leur décision, leur « liberté » de malades. C’est comme les habitants du Donbass ou les Palestiniens qui sont tués chaque jour, ils n’avaient qu’à se débarrasser de Poutine ou du Hamas en temps et en heure.
Il en est de même de toutes les guerres justes menées par les Américains depuis des décennies et les centaines de milliers de morts civils, ce n’est pas de notre faute si ces gens-là n’avaient pas les bons gouvernants. Ils veulent la paix, alors qu’ils chassent leurs dirigeants sinon ils en paieront le prix !

Alors le complotiste qui souffrirait ou se sentirait seul, qui ne pouvait plus aller au restaurant parce qu’il n’était pas vacciné, dont l’enfant ne pouvait plus faire du sport, qui ne peut plus prendre sa voiture en ville parce qu’il refuse de participer à la sauvegarde de la planète avec une voiture électrique ou qui a perdu son emploi, ce n’est pas mon problème, mais uniquement le sien !
Et si demain il est assigné à résidence et interdit de travail lors de la prochaine pandémie mortelle parce qu’il refuse de se faire injecter le vaccin (« Sainte Ampoule » pour les complotistes) sûr et efficace ou qu’il est assigné à résidence parce qu’il a dépassé son quota carbone avec sa vieille bagnole et son chauffage au fuel, c’est son problème, son choix, sa décision !
Je ne vois pas en quoi je serais responsable de son incarcération à domicile ou dans un camp si celui-ci ne respecte pas les règles du vivre ensemble et de la société démocratique.

Michel Onfray46 est sans doute un de ceux qui résument si bien la notion de droit.

« J’ai fait savoir effectivement que j’étais pour le pass sanitaire en disant, mais vous avez bien sûr le droit de contaminer les gens ; il y a aucun problème. Vous pouvez aussi quand vous avez le SIDA d’avoir des rapports sexuels avec des gens non protégés, c’est un droit, allez-y à estimer qu’effectivement c’est une jeune fille qui vous plaît, vous avez le droit de la violer, mais cette façon de concevoir que le droit de nuire est un droit me sidère. »

Je veux bien être un bon chrétien, mais le complotiste doit assumer ses choix délirants et arrête de débloquer avec ses « droits de l’homme ».

L’égoïsme du complotiste

Le complotiste n’est qu’égoïsme, il ne pense qu’à sa gueule. Il n’en a rien à faire de semer la mort sur son passage en refusant le masque, les gestes barrières ou la vaccination du salut.
Pire que ça, on peut l’entendre se vanter de n’avoir jamais porté ce masque qu’il nomme « muselière ».
Mais quel débile qui n’a toujours pas compris qu’il ne doit sa vie sauve qu’à tous les honnêtes gens qui justement ont porté le masque, respecté les gestes barrières, les confinements et se sont vaccinés cinq ou six fois avec cette injection sûre et efficace !

Et aujourd’hui ces mêmes crétins criminels parlent de paix en Ukraine ou en Israël. Ils voudraient que l’on cesse immédiatement les combats et que l’on négocie avec les terroristes.

Ah ! elle est belle leur morale qui consiste à faire gagner les monstres.
S’il faut raser le Donbass ou la Palestine, voire même la Russie ou l’ensemble des pays du Moyen-Orient pour obtenir une paix durable, alors faisons-le, parce que ce n’est que justice.
Le camp du bien gagnera et au diable les millions de corps de (jeunes) soldats, hommes, femmes ou enfants déchiquetés pour la victoire de la démocratie et de la paix !

Ils ne sont pas moins égoïstes avec le changement climatique. Ces fous nous mènent à la destruction, au chaos et à la mort. Ils ne pensent qu’à leur petit confort immédiat, leur petite voiture diesel, leur passoire thermique, leur pouvoir d’achat, à sauver leur emploi dans une industrie mortifère et à manger de la viande tous les 15 jours quand ils en ont encore les moyens !
Ces crétins nous agressent avec leurs théories délirantes de changement climatique « naturel » lié à l’activité solaire, ou de quantité infinitésimale de CO2 émis par la France, d’éoliennes qui polluent et de batteries électriques dont la production génère mort47, misère et pollution dans les pays pauvres.

Je ne vois pas comment nous pourrions avoir de l’empathie pour ces personnes dont les projets vont vers l’Armageddon.

La souffrance du complotiste

Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre.

  • Il pense à nous lui quand il nous fait honte ?
  • Il pense à nous quand des amis voient qu’il est dans notre liste Facebook ?
  • Il pense à nous en nous contaminant avec des virus mortels ?
  • Il pense à nous quand il nous met en danger, prône la paix avec des dictateurs ou refuse de sauver la planète du réchauffement climatique ?
  • Il pense à nous en gardant sa vieille bagnole et en mangeant du steak ?

Je me suis promis d’être le plus exhaustif possible et je vais donc tenter de me placer dans la tête de ces minables malades mentaux. Après tout, il est important de connaître son ennemi.

Nous pensions le complotiste comme une sorte de psychopathe dénué d’émotions,
des études semblent prouver le contraire.

Il était pourtant logique de penser qu’il n’en a pas, ce que les médias nous ont expliqué jour après jour depuis des mois. Comment penser le contraire quand on voit que ces fous provoquent drames et désolations avec leurs comportements au ban de la société ?

Pour faire simple, ils refusent systématiquement tout ce qui est bon pour le pays et les citoyens. Ils ont généralement plusieurs angles d’attaques délirants :

  • La mesure est « inefficace ».
  • La mesure est « contre-productive et dangereuse ».
  • Les effets secondaires sont « pires que l’inaction ».
  • La mesure est une « atteinte aux droits de l’homme et aux libertés individuelles ».

Toujours le même disque : Masques, confinements, passe sanitaire, vaccination, sanctions économiques contre la Russie, guerres, blocus de la Palestine, énergies renouvelables, voitures électriques, etc.. Tout y passe dans leur logique biaisée.

Alors oui ils souffrent à des degrés divers.

Rappelons que :

  • Ils croient dur comme fer détenir la vérité.
  • Ils croient que les honnêtes gens sont manipulés et victimes d’une gouvernance mondiale qui ne cherche pas leur bonheur, mais à les réduire en esclavage.
  • Ils croient que toutes les mesures qui font consensus sont mauvaises et dangereuses.
  • Ils croient que l’augmentation des myocardites, des décès chez les moins de 60 ans, des fausses couches et de la baisse de natalité (qui sont statistiquement réels selon les chiffres officiels) est due au vaccin. Pourtant vous et moi savons que la cause en est le changement climatique et le stress induit notamment par l’immonde Poutine.

Ces fous sont persuadés que les gens normaux (« normies ») sont manipulés
tels les membres d’une secte et qu’ils n’ont plus accès à la réalité et à la réflexion.

D’autant plus risible venant de personnes qui pensent que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté, une attaque sous faux drapeau.

Leur souffrance vient :

  • De leur échec.
  • De leur incapacité à « ouvrir les yeux » des bons citoyens.
  • De leur privation du droit de discuter pour convaincre.
  • De leur impossibilité de pouvoir délivrer leurs messages délirants dans des médias de grande écoute.
  • De la « volonté » des masses de rien savoir.
  • Bref de leur sentiment de totale impuissance.

Souffrance d’autant plus profonde alors qu’eux « savent » que :

« L’impuissance du complotiste, son impossibilité de communiquer avec ses proches
qui refusent tout dialogue et s’injectent des “poisons” potentiellement mortels
est du domaine de l’infernal. »

Ces parias ont beau essayer de faire comme les gens normaux qui condamnent les complotistes et dire « ils l’ont bien cherché » ; ce n’est que maigre consolation.

Le plus atroce est cette privation du droit à expliquer, à communiquer.
Ils sentent bien à quel point ceux qu’ils nomment les « normies » refusent tout dialogue, « surtout, ne me dis rien ! »

Cette attitude qui protège les gens biens de la contamination complotiste ne fait que renforcer leurs croyances.

« Si tu refuses la communication, c’est bien que tu as peur de mes propos,
c’est bien que tu sens que tu pourrais être touché par mes arguments,
c’est bien la preuve que j’ai raison et que tu n’as aucun argument contre. »
« Une Vérité qui ne peut être discutée relève du mensonge ! » 

C’est donc cette impuissance au quotidien qui ronge le complotiste, qui lui fait penser « à quoi bon, ceci ne sert à rien » et qui se tord de douleur en cherchant un moyen de sortir du cauchemar de la « dictature mondiale ».

Quel avenir pour l’Humanité ?

Vaste débat, quid des forces du bien, donc des USA, des politiques, des banques, de l’industrie pharmaceutique, des industries militaires occidentales, des politiques, des lobbies, de l’OMS, des médecins affiliés, des médias mainstream, des philanthropes, des mouvements LGBT, des démocrates, des gauchistes anticléricaux, des Greta Thunberg, ah non, elle vient de basculer du côté obscur, vont gagner cette guerre contre le Mal ?

Vision positive avec la victoire du bon sens et de la Vérité indiscutable :

Une écrasante majorité du peuple accepte et demande des augmentations de sécurité, donc des diminutions de liberté.
Port du masque, confinement, passe sanitaire, vaccin obligatoire, guerre en Ukraine, sanctions contre la Russie, changement climatique, soutien inconditionnel à Israël, passe carbone et j’en passe.
Quand nous voyons son adhésion à toutes ces mesures, quand on voir son absence de critiques et de questionnement, quand on voit qu’il accepte de payer 2 euros le litre carburant (moins de 1 euro aux USA48), on ne peut que se réjouir et dire que le complotisme n’est pas près de gagner.

Vision négative et victoire du complotisme

Le nombre de personnes qui se sont fait injecter le rappel, qui disent « plus jamais de vaccin Covid », le nombre qui commencent à douter de l’honnêteté ou du charisme de Zelensky, qui pensent qu’on se fout de leur gueule sur le réchauffement climatique, qui refusent que les populations civiles palestiniennes soient éliminées, alors on ne peut que s’inquiéter et se dire que le complotisme gagne du terrain.
Sans compter, comme je l’ai maintes fois écrit, on ne verra jamais un complotiste regretter de ne pas s’être fait vacciner tandis que tous les jours de nouvelles personnes basculent.

Mathématiquement le nombre de complotistes ne fera que croître,
la question qui se pose c’est « à quel rythme ? »

Selon un sondage récent49, donc évidemment mis en doute par les complotistes, 60 % des Français ont du mal à savoir si l’information véhiculée par les médias est vraie ou fausse !
Médias moribonds qui ne survivent qu’à coup de milliards de subventions et quand on sait que c’est le payeur qui dirige l’information, nous pouvons imaginer que cela n’est pas près de s’arranger.
De fait et en toute logique, les citoyens seront de plus en plus enclins à chercher l’information sur des médias « alternatifs » et qui n’adhèrent pas à la Vérité consensuelle.

Alors les bons citoyens vont-ils majoritairement continuer à ne se poser aucune question, à accepter les diminutions de liberté et de pouvoir d’achat, à obéir, à voter pour les partis autorisés qui ne feront aucune réforme structurelle ?
Vaste question !

Merci

Alain Tortosa50

27 octobre 2023 https://7milliards.fr/tortosa20231027-en-finir-avec-le-complotisme.pdf





L’ONU met le turbo pour diriger le monde « en cas d’urgence »

Catastrophes et géopolitique — La gestion du séisme au Maroc interpelle

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Un gouvernement mondial de crise

Au printemps 2023, l’Organisation des Nations unies a publié une série de 11 « notes d’orientation » autour de « Notre Programme Commun » (our common agenda). L’idée étant de définir les points clés sur lesquels il faut « mettre le turbo » pour atteindre l’agenda 2030, car cela ne progresserait pas assez vite. L’ONU cite l’urgence à prévenir les « grandes menaces sur l’humanité », à savoir la santé et le climat et estime qu’il faut refonder le contrat social pour favoriser l’égalité de tous et « retrouver de la confiance ».

En deux mots, il s’agit donc d’instaurer un organe de gouvernance mondiale de crise, mais dont le rôle serait permanent. Cette refonte passe aussi par une redéfinition des droits humains, avec notamment l’accès à internet qui devra être garanti pour tous. Dans le document de résumé, le premier objectif mentionné reste, sans surprise, la vaccination mondiale contre la Covid 19. Le second est une refonte du contrat social, par une « amélioration » de la gouvernance. Il s’agit donc de changer les mécanismes politiques et décisionnels. Le troisième objectif est de lutter contre l’infodémie (autrement dit d’instaurer un ministère de la propagande). Le 4e est de mettre en place toute une série de nouveaux « indicateurs » pour mieux gérer la planète (sans quoi la technocratie ne peut fonctionner). Le dernier objectif se concentre sur la mise en place du numérique, la gestion financière et monétaire et la gestion de l’espace extraplanétaire (qui contrôle les satellites, contrôlera peut-être le monde).

En arrière-plan, il y a bien entendu tout l’agenda de la société du numérique, de l’identification par les données biométriques, l’intelligence artificielle et la « surveillance » de tout ce qui bouge sur la planète pour « prévoir et répondre » aux catastrophes annoncées.

Les « chocs mondiaux complexes »

Au chapitre des « vocables fourre-tout », l’on avait brièvement eu droit au terme de « syndémie » suggérant des épidémies qui sont assorties de catastrophes « en cascade ». Apparemment ce vocable a du mal à passer. Voilà que débarque à présent la notion de chocs mondiaux complexes. Selon les documents évoqués ci-dessus, les Nations unies comptent prendre en charge la gestion internationale de certains « chocs mondiaux », soudains — mais ô combien attendus — mission pour laquelle elles souhaitent s’ériger en organe directeur permanent.

Quelles sont les situations d’urgence que les Nations unies pensent devoir gérer ?

Le document d’orientation n° 3 sur les chocs complexes propose une liste à la page 5.

Une situation d’urgence pourrait être déclarée à propos du climat (inutile d’insister sur ce sujet omniprésent), d’une catastrophe naturelle, d’une perturbation de l’internet ou du réseau électrique, mais aussi d’un événement « Cygne noir » ou d’un événement majeur dans l’espace. (L’on pourrait imaginer l’invasion imminente d’extra-terrestres — est-ce la raison pour laquelle on « ouvre soudainement » les dossiers OVNIS — ou une chute d’astéroïdes ?)

Quant aux « black swans » ou « cygnes noirs », il s’agit à nouveau d’un concept totalement flou et improbable. Celui-ci se réfère aux théories du statisticien Nassim Nicolas Taleb qui les décrit comme des événements dont la survenance est fort improbable, mais qui ont des répercussions d’une portée considérable et exceptionnelle. Il cite pour exemple la 1re mondiale (déclenchée par l’assassinat à Sarajevo), la chute de l’URSS ou les attentats du 11 septembre ! Cette énumération en dit plus long sur sa méconnaissance de l’histoire, des facteurs socio-économiques et culturels qui y contribuent et des phénomènes des faux drapeaux, que sur une quelconque « probabilité » improbable qui bouleverserait la planète.

Autorité permanente, centralisée

Toujours selon la note de l’ONU :

L’organisation constate qu’il n’existe pas d’agence unique pour rassembler les parties prenantes en cas de chocs mondiaux complexes. Les Nations unies sont la seule organisation capable de jouer ce rôle.

Elle propose donc que l’Assemblée générale donne au Secrétaire général et au système des Nations unies l’autorité permanente de convoquer et de rendre opérationnelle automatiquement une plateforme d’urgence dans le cas d’un futur choc mondial complexe d’une échelle, d’une gravité et d’une portée suffisantes.

L’utilisation des termes « autorité permanente » et « opérationnaliser automatiquement » est claire : en bref cela signifie que le Secrétaire général des Nations unies aura déjà reçu l’autorité des membres de l’ONU et qu’il pourra l’utiliser à sa guise. L’expression « opérationnaliser automatiquement » suggère qu’aucune autre concertation ne serait nécessaire pour que l’ONU puisse utiliser ses superpouvoirs d’urgence. Le Secrétaire général des Nations unies pourrait ainsi déclarer une situation d’urgence sur base de sa seule autorité, et les Nations unies prendraient alors automatiquement les choses en main, indiquant aux pays ce qu’ils doivent ou ne doivent pas faire.

La gestion des urgences est d’abord locale

À la base, l’idée d’une crise qui affecte tout le monde en même temps est déjà bancale. L’on a vu avec la pandémie que le Covid (quelle qu’en soit l’origine précise) n’a par exemple guère touché l’Afrique, alors que l’on prédisait la mort de la moitié de la population. Ensuite, la gestion des catastrophes est avant tout locale. Les secours locaux et nationaux traitent le problème immédiatement, lorsqu’une situation d’urgence se produit. Le plus important est effet d’avoir une connaissance « de terrain » de la situation et la plupart du temps une bonne partie de l’aide efficace et intelligente vient de volontaires qui se trouvent sur place. Ils connaissent l’endroit, la langue, les ressources, l’état des lieux, les dangers de la nature et sont motivés pour déployer les ressources maximales afin résoudre le problème au plus vite.

Par ailleurs, les Nations unies et les « pays solidaires » arrivent souvent avec du personnel ou des méthodes et du matériel inadéquats et — l’expérience l’a assez démontré — toute une série d’objectifs secondaires (de mainmise sur les ressources locales).

Enfin, des recommandations internationales, comme celles qui ont été déployées par l’OMS durant la pandémie, ont eu des répercussions catastrophiques sur des populations locales, au-delà de l’inefficacité des mesures, du seul point de vue sanitaire. Pour prendre un exemple de répercussions locales : en Afrique, les restrictions sur les déplacements ont entravé l’approvisionnement en nourriture et aggravé la famine et la pauvreté dans de nombreuses régions. Il ne fallait pas être un devin pour l’anticiper ! En outre, la fermeture des écoles préconisée par l’OMS en raison de la crise Covid a provoqué la déscolarisation de nombreux jeunes, et en particulier des millions de filles que l’on a ensuite mariées de force. L’on sait pourtant que ce continent n’a pas été affecté par la maladie…

Catastrophes et géopolitique, l’exemple du Maroc

Le séisme qui est survenu ces derniers jours au Maroc illustre parfaitement à quel point « la gestion de crise et l’aide humanitaire » sont au cœur des stratégies géopolitiques. Le Maroc a en effet refusé que la France, la Belgique, l’Algérie et les États-Unis volent au secours des sinistrés. En revanche, le pays a finalement accepté l’offre d’aide de quatre pays : l’Espagne, le Royaume-Uni, le Qatar et l’Arabie saoudite.

La France était pourtant prête à voler au secours du Maroc et avait déjà dégagé un budget de 5 millions d’aide.

Un article édifiant publié par 7 sur 7 en témoigne de l’importance des enjeux politiques liés à cette situation :

En mars dernier, quand Emmanuel Macron avait décrit ses « relations amicales » avec le roi Mohamed VI, le gouvernement s’était empressé de démentir, affirmant qu’elles n’étaient, au contraire, « ni amicales ni bonnes, pas plus entre les deux gouvernements qu’entre le Palais Royal et l’Élysée », rappelle-t-il. Le Maroc reproche notamment la position française sur le statut du Sahara-Occidental, territoire désertique du sud du pays qui revendique son indépendance depuis des décennies (sous l’influence de l’Algérie). Le roi du Maroc était en outre à Paris au moment de la catastrophe, mais l’entretien privé avec Emmanuel Macron n’aurait pas permis d’apaiser la situation.
(Note : cette information soulève évidemment la question de l’utilisation potentielle de l’arme climatique comme moyen de pression. Si rien ne le prouve, il est nécessaire de l’envisager dans un tel contexte)
.

Selon la géographe Sylvie Brunel, professeure à la Sorbonne et spécialiste de l’Afrique, interrogée par Le Figaro, le roi Mohamed VI veut tout simplement « garder la main sur son pays ».

Elle évoque également les ambitions géopolitiques des pays disposés à fournir de l’aide, comme ce fut le cas lors des interventions américaines en Haïti ou en Indonésie : « Les structures humanitaires sont un cheval de Troie pour s’installer, prendre des contacts, montrer qui sont les bienfaiteurs. Rabat refuse d’être un vaste champ d’opérations humanitaires dont il n’aura plus la maîtrise », conclut-elle.

À noter que c’est justement le Maroc et Israël qui été nommés conjointement l’année dernière pour « faciliter » la réunion de haut niveau sur la préparation et la réponse aux pandémies qui aura lieu la semaine prochaine au siège de l’ONU à New York. (Cette nomination intervient dans le cadre de la reconnaissance de l’autorité marocaine sur le Sahara occidental, qui a eu comme contrepartie la reconnaissance de l’État d’Israël par le Maroc, officialisée au mois de juillet.)

Une déclaration politique est attendue à l’issue de cette réunion, qui pourrait bien formaliser un peu plus la volonté de l’organisation internationale de s’ériger en gouvernement mondial de crise. Des événements à suivre avec attention…




Attendez… vont-ils vraiment faire une Psy-Op avec les OVNIS ?

[Source : off-guardian.org]

De la Maison-Blanche aux dénonciateurs, tout le monde parle soudain d’extraterrestres… mais pourquoi ?

Par Kit Knightly

À la fin de la semaine dernière, il a été largement rapporté que le gouvernement des États-Unis avait récupéré un vaisseau spatial extraterrestre intact sur un site d’écrasement.

Cette prétendue révélation émane d’un certain David Grusch, un « ancien » agent du renseignement militaire, qui s’est transformé en « dénonciateur » et a déclaré à la presse que cet engin supposé « déformait le temps et l’espace », était « plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur » et rendait malades certains secouristes.

Aujourd’hui même, il a ajouté un élément à l’histoire, affirmant que le Vatican était au courant depuis la Seconde Guerre mondiale et qu’il avait aidé Mussolini à récupérer un OVNI abattu.

En supposant que rien de tout cela ne soit vrai, il ne s’agit pas d’un incident particulièrement remarquable en soi. Après tout, il arrive que des personnalités marginales se présentent comme « dénonciateurs » et racontent souvent des histoires ridicules sans aucune preuve à l’appui.

Ces événements peuvent se produire de manière organique ou être mis en scène par des agences de l’État, et dans tous les cas, la presse est toujours heureuse de leur donner de l’air parce que a) ils font diversion et b) ils discréditent les vraies « théories de la conspiration » par association.

Mais ce n’est pas ce qui semble se passer ici.

Pour commencer, Grusch n’a pas seulement bénéficié d’un espace dans les médias, ils lui ont accordé au moins un peu de crédit. Ils l’ont laissé parler sans se moquer de lui ni même lui poser beaucoup de questions.

Comparons la couverture médiatique d’un homme affirmant que le TARDIS [NDLR une machine à voyager dans le temps] existe littéralement à celle de médecins affirmant que les vaccins contre la Covid sont dangereux ou que les masques ne fonctionnent pas.

Les « vérificateurs de faits » de l’entreprise semblent avoir manqué une occasion, n’est-ce pas ?

Qui plus est, l’opération psychologique sur les OVNIS n’a même pas commencé avec Grusch. L’administration Biden a activement alimenté l’histoire des ovnis pendant des mois avant que Grusch ne se manifeste.

En juin 2021, les services de renseignement américains ont publié un rapport affirmant qu’ils étaient au courant de la présence d’objets volants inconnus dans l’espace aérien des États-Unis.

En janvier de cette année, le Pentagone a publié des dossiers affirmant qu’il avait connaissance de 247 « phénomènes aériens non identifiés » dans l’espace aérien américain pour la seule année 2021.

En février, Joe Biden a annoncé la création d’un nouveau groupe de travail chargé d’étudier ces OVNIS.

Ce qui est remarquable ici, c’est la façon dont la presse s’est emparée de la balle des OVNIS et l’a vraiment exploitée. Elle est omniprésente et, encore une fois, pas du genre « ha, les idiots croient aux extraterrestres ». Ils prennent le sujet au sérieux, ou du moins font semblant de le prendre au sérieux. Et, encore une fois, cette attitude est antérieure au « dénonciateur ».

En février, le Guardian a publié un article d’opinion du directeur de l’Association britannique de recherche sur les OVNIS, intitulé « La plupart des OVNIS — comme le ballon-espion chinois — peuvent être expliqués. Mais qu’en est-il des 2 % restants ? »

En avril, Live Science a posé la question suivante : « Les extraterrestres sont-ils réels ? »

Plus tard dans le mois, il a été révélé que six « lanceurs d’alerte d’OVNI » différents s’étaient déjà adressés à des membres du Congrès (Grosch était vraisemblablement l’un de ces six, les cinq autres n’ayant pas été nommés).

En mai, la revue Popular Mechanics — des « déboulonneurs » invétérés, voire éhontés, de la vérité sur le 11 septembre — a publié un article intitulé « 6 solides raisons de croire aux extraterrestres ». Plus tard dans le mois, le groupe de travail de la NASA sur les ovnis a rendu publiques ses conclusions.

Le lendemain du jour où Grusch a publié ses affirmations, un “crash d’OVNI” s’est produit à Las Vegas, au Nevada, et a fait la une des journaux internationaux.

Le lendemain, The Hill a rapporté que des sources internes affirmaient « que des informations sur les OVNIS avaient été cachées au Congrès de manière inappropriée ».

Aujourd’hui, The Independent s’efforce de répondre à la question qui devrait être sur toutes les lèvres : « Pourquoi tout le monde parle d’observations d’OVNI, alors qu’il n’y a toujours pas de preuves tangibles », tandis que Fox News diffuse des interviews de pilotes de la marine qui discutent d’« affirmations crédibles » d’observations d’OVNI et les qualifient d’« événements quotidiens ».

Même des voix issues de la sphère alternative droite/conservatrice, des personnes que l’on attendrait plutôt sceptiques, ont pris le train en marche.

Le refrain est que ces titres reflètent le fait que les États-Unis « admettent » quelque chose qu’ils ont précédemment nié, ou que ces informations sont divulguées contre la volonté du gouvernement (ou des mondialistes qui contrôlent ce gouvernement).

Cela n’a aucun sens. Les gouvernements n’« admettent » rien, pas même des réalités physiques indéniables comme la chute d’immeubles à une vitesse terminale. Ce que font les gouvernements, c’est utiliser le langage de l’« aveu » pour ensemencer des récits.

Cela n’a jamais été aussi évident qu’aujourd’hui.

Considérons que Grusch a déjà été autorisé à témoigner devant la Chambre des représentants. Un privilège qui n’a jamais été accordé à un sceptique sérieux du Covid ou à un adepte de la vérité sur le 11 septembre.

Pensez également que l’ancien avocat de M. Grusch était Charles McCullough, le tout premier inspecteur général des services de renseignement américains nommé par le Sénat de 2010 à 2017.

Il se voit offrir la plus grande tribune du pays, alors qu’il est représenté par d’« anciens » responsables des services de renseignement.

Est-ce ainsi que vous traitez un dénonciateur qui vous met dans l’embarras ou qui met en péril des plans secrets ?

Non, c’est ainsi que l’on traite un atout qui fait partie d’une histoire que l’on veut faire connaître au public.

Il est clair qu’il s’agit d’un déploiement narratif.

La vraie question est : pourquoi ?

Et, honnêtement, je n’en ai absolument aucune idée. C’est peut-être une distraction, mais c’est une carte étrange à jouer alors que nous avons déjà un « changement climatique » et une « opération militaire spéciale » en cours, sans parler des anciennes pandémies résiduelles et des nouvelles pandémies naissantes.

Non, l’argument de la distraction ne tient pas vraiment la route, mais les explications habituelles de l’argent ou du pouvoir non plus. Quelle législation les OVNIS peuvent-ils imposer ? Qui pourrait sérieusement essayer de prélever une taxe de défense contre les extraterrestres ?

Il est possible que Grusch soit un « kamikaze » du type que nous connaissons tous, qui finira par s’autodétruire et se révélera être un charlatan, avec des « révélations » selon lesquelles il est un sceptique de la Covid, un négateur du climat, un adepte de la vérité sur le 11 septembre ou un autre « théoricien de la conspiration » — faisant ainsi passer les mouvements pour la vérité pour des imbéciles et humiliant tous ceux qui l’ont soutenu ou cru.

Mais même cela est un peu exagéré pour l’instant, étant donné le nombre impressionnant d’appuis qu’il a déjà reçus de la part du grand public.

Il n’y a qu’un seul autre angle d’attaque auquel je pourrais penser, mais il est assez éloigné.

Dans le roman graphique Watchmen d’Alan Moore — avertissement spoiler, je suppose — le plan du méchant est de mettre fin à la guerre froide et de sauver l’humanité en organisant une attaque sur la Terre par une forme de vie extraterrestre pan-dimensionnelle. Sa théorie est que le fait de prouver que les extraterrestres existent et nous veulent du mal permettra d’unir le monde contre une menace commune et d’empêcher les États-Unis et l’URSS de nous envoyer tous dans l’oubli.

… étant donné le niveau actuel de folie mondialiste, peut-on totalement exclure qu’un groupe de réflexion du WEF ait testé cette idée et décidé qu’elle pourrait fonctionner ?

… cela fonctionnerait-il vraiment ?

Qui sait, le monde n’a plus de sens depuis longtemps.

Existe-t-il des formes de vie extraterrestres ? Sont-ils venus ici et ont-ils fait s’écraser leurs vaisseaux spatiaux depuis 70 ans ou plus ?

Je ne sais pas, mais j’en doute.

Mais je sais que — vrai ou faux — on n’en parlerait jamais dans les médias si cela ne servait pas à quelque chose. Et je sais que fonder vos opinions ou vos croyances sur ce que vous dit le gouvernement américain — ou tout autre gouvernement — est à la fois irrationnel et historiquement analphabète.

Les gouvernements du monde entier pourraient soudainement affirmer que les extraterrestres existent… mais ils ont tous affirmé que la pandémie existait aussi.

Jusqu’où iront-ils avec cette histoire ? Je n’en sais rien, mais je vous laisse avec ceci :

Au début du mois, le SETI a organisé un exercice consistant à imiter une transmission extraterrestre vers la Terre depuis Mars. C’est tout à fait remarquable, étant donné le pouvoir historique des exercices pour prédire l’avenir.

L’ironie suprême dans tout cela, c’est qu’à partir de maintenant, nous, les soi-disant « théoriciens de la conspiration », allons essayer de convaincre nos amis normaux que les extraterrestres n’existent pas. [NDLR Ou du moins que si l’on nous présente au cours des prochains mois ou des prochaines années un prétendu contact ou une prétendue invasion d’Aliens, il s’agira encore et seulement d’une Psy-Op ou d’un vaste canular. Cf. Le projet Blue Beam.]




Ponce Pilate à la Maison Blanche : Les États-Unis, l’Ukraine, la Chine, la Russie et les prophéties orthodoxes russes

[Source : lesakerfrancophone.fr]


Par Batiushka − Le 5 février 2023 − Source The Saker Blog

Avant-propos

La seconde moitié de cet essai répond à un commentateur qui a écrit : « Batiushka, faites-nous savoir comment lire vos prophéties ». Il y a là un malentendu fondamental. Toutefois, avant d’en arriver là, examinons le tableau d’ensemble des événements géopolitiques, après quoi seulement la seconde moitié deviendra pertinente.

PREMIÈRE PARTIE : Les États-Unis et leur guerre perdue en Ukraine

La guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie par l’intermédiaire des idiots utiles de l’élite ukrainienne n’avait pas tant pour but de détruire la Russie que d’affaiblir la Chine par le nord. Pour les États-Unis, la Chine est le seul véritable rival sur la scène mondiale. Elle dépasse les États-Unis en termes de PNB, elle envahit l’Afrique et l’Australie. La Chine est la principale nation productrice des BRICS et de l’OCS, qui remplacent/ont remplacé le club des vassaux américains du G7. La Corée et le Japon tomberont également aux mains de la Chine et, franchement, tout le Pacifique occidental aussi. Pour les États-Unis, la Russie n’est qu’un moyen d’atteindre la Chine. La Chine est la superpuissance et Taïwan est l’Ukraine de la Chine. Après presque un an de guerre par procuration en Ukraine, l’élite américaine a réalisé que son Grand Jeu en Ukraine était une erreur. Attaquer par le biais de l’Ukraine ne détruira ni la Russie, ni, surtout, la Chine, ce qui est le véritable objectif.

L’Ukraine était censée être une attraction secondaire, mais elle est devenue une distraction très sérieuse, épuisant de précieuses ressources militaires dans une campagne longue et infructueuse. La guerre en Ukraine détruit également l’Occident sur le plan économique par le biais de ses sanctions anti-russes suicidaires. Les États-Unis hubristiques ont totalement sous-estimé la Russie, comme on pouvait déjà le voir dans l’affirmation arrogante d’Obama le 25 mars 2014, selon laquelle la Russie n’était qu’« une puissance régionale ». Les précieuses ressources militaires américaines pourraient être utilisées plus efficacement pour « contenir » la Chine, le véritable rival. La panique et le désespoir s’emparent maintenant des États-Unis. L’Ukraine doit être abandonnée comme la patate chaude qu’elle est. Puisque même les néoconservateurs ont maintenant compris que l’Ukraine dévastée ne présente aucun intérêt réel pour eux, ils doivent trouver un moyen de sauver la face.

Les États-Unis laisseront tomber l’Ukraine parce qu’elle est corrompue, qu’elle ne se bat pas bien, qu’elle continue à perdre des équipements, et porteront leur attention sur « le véritable ennemi », la Chine. Actuellement, il est question que le directeur de la CIA, M. Burns, offre à la Russie 20 % de l’Ukraine en échange de la paix – en d’autres termes, plus ou moins le territoire qu’elle détient déjà ! Il s’agit peut-être d’un faux drapeau (en russe ‘утка’, un canard, qui est la traduction du « canard » français signifiant la même chose). Mais le simple fait que cette histoire existe prouve que Washington est en train de tester l’eau pour les réactions, d’observer les ondulations après avoir jeté sa pierre dans le « bassin aux canards » et envisage de se débarrasser de l’Ukraine. Il s’agit bien sûr d’une offre ridicule pour tenter de soudoyer la Russie. La Russie va supprimer l’Ukraine en tant que menace. Totalement. Et il existe d’autres preuves très solides pour affirmer cela.

Les États-Unis et la Chine

Toute une séquence d’événements dramatiques concernant les intentions des États-Unis à l’égard de la Chine s’est déroulée depuis 2019. Le premier a été l’apparition de la Covid-19. Une expérience pour une arme biologique américaine du centre virologique de Wuhan qui s’est retournée contre elle à cause d’une fuite ? Qui sait ? Ce que nous pouvons dire avec certitude, c’est que l’opération Covid-19 implique les États-Unis et la Chine. Puis, en deuxième étape, est venue une autre opération des États-Unis et de la Chine – le « Quad », le « Dialogue quadrilatéral indo-pacifique« , sérieusement mis à jour en mars 2021. Il s’agissait d’un pacte conclu il y a des années entre l’Australie, l’Inde, le Japon et les États-Unis, maintenu par des discussions entre eux et des exercices militaires conjoints d’une ampleur sans précédent.

Cet arrangement diplomatique et militaire était une réponse agressive à la puissance économique et militaire croissante de la Chine. En effet, les Chinois ont réagi au Quad en protestant auprès de ses membres, l’appelant avec justesse « l’OTAN asiatique ». Après une période de tergiversations australiennes, le Quad a été relancé en 2017. Enfin, dans cette déclaration commune de mars 2021, intitulée « L’esprit du Quad », les membres du Quad ont décrit « une vision commune pour un Indo-Pacifique libre et ouvert (= contrôlé par les États-Unis) » et un « ordre maritime fondé sur des règles (= contrôlé par les États-Unis) dans les mers de Chine orientale et méridionale ». Le Quad a ensuite tenu une réunion « Quad Plus » à laquelle ont participé, comme on pouvait s’y attendre, des représentants de la Corée du Sud et de la Nouvelle-Zélande et, de manière surprenante, du Vietnam. Les intentions étaient claires.

Six mois plus tard, le 15 septembre 2021, est intervenue la troisième étape, AUKUS, le « pacte de sécurité«  entre l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis pour la région indo-pacifique. En vertu de ce pacte, les États-Unis et le Royaume-Uni aideront l’Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. (Peut-être les Britanniques fourniront-ils la superglue pour réparer les boulons autour des réacteurs nucléaires) ? Le pacte AUKUS prévoit une coopération dans les domaines suivants : cybernétique avancée, intelligence artificielle, capacités sous-marines, guerre électronique, innovation et partage d’informations. La formation de l’AUKUS en 2021 a réduit les Français à une fureur aveugle car ils avaient perdu une énorme commande australienne de plusieurs dizaines de milliards d’euros pour des sous-marins nucléaires, qui n’ont pas besoin de superglue britannique. Enfin, le 2 août 2022, survient l’escalade de la phase 4, la « visite » de Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, à Taïwan et ses menaces à la Chine. Il s’agissait d’une déclaration claire de guerre froide.

Le pivot des États-Unis vers la Chine en 2023

En novembre dernier déjà, le porte-parole de l’État américain, le New York Times, avait signalé que le complexe militaro-industriel américain ne pourrait pas soutenir le rythme et l’ampleur des fournitures militaires à Kiev. Cette information faisait suite à des avertissements répétés concernant les faibles stocks de munitions aux États-Unis et à d’autres rapports indiquant que les États-Unis étaient à court d’armes à fournir au régime de Kiev. En janvier dernier, le secrétaire d’État américain à la Marine, Carlos del Toro, a déclaré que les États-Unis pourraient bientôt devoir choisir entre répondre à leurs besoins minimaux en matière de sécurité nationale ou à ceux de l’Ukraine. Ensuite, la RAND Corporation, l’un des principaux groupes de réflexion du Pentagone, a déconseillé la poursuite de la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine, ce qui signifie que les États-Unis doivent mettre fin à la guerre dès que possible. En d’autres termes, les États-Unis doivent mettre fin à la guerre au plus vite, car une longue guerre dégraderait les capacités américaines face à la Chine.

Pour couronner le tout, un mémo du général Minihan de l’armée de l’air, qui a fait l’objet d’une fuite à la fin du mois de janvier 2023, indique que les États-Unis devraient être prêts à mener une guerre conventionnelle contre la Chine d’ici 2025. En d’autres termes, les États-Unis doivent trouver un moyen de se retirer de leur guerre par procuration en Ukraine en 2023, afin d’utiliser 2024 pour se préparer à la guerre contre la Chine en 2025. Viennent ensuite les événements absurdes des premiers jours de février, l’énorme dirigeable chinois, identifié comme un « ballon espion », flottant à 18 km dans les airs. (Curieux, pourquoi utiliser une technologie des années 1950, un ballon/avion géant, alors que les satellites chinois survolent les zones sensibles en permanence ? Après tout, la Chine a atterri sur la face cachée de la lune, ce qui n’est pas le cas des États-Unis).

Quoi qu’il en soit, quelle que soit la vérité, ce dirigeable a servi de prétexte à l’annulation du voyage du secrétaire d’État Antony Blinken à Pékin, qui avait pour objectif la « détente » sino-américaine. Dès le lendemain, le 4 février, Pékin annonçait qu’elle renforçait ses relations avec la Russie. Pas de détente de ce côté-là. Puis vint le courageux pilote de chasse américain qui, dans un vaillant combat aérien, parvint à abattre le méchant dirigeable oriental avec un seul missile. Des médailles pour tout le monde ! Il est clair que les génies de la Maison Blanche sont pressés de mettre en place leur stratégie de sortie de l’Ukraine pour sauver la face. Menacés par un dirigeable géant, ou peut-être par une flotte entière comme dans un film d’ovnis des années 1950, les États-Unis doivent se recentrer sur la Chine et oublier la lointaine Russie, qui n’a jamais été intéressée que par l’Ukraine (en fait, à l’origine, par une petite partie de l’Ukraine russe à l’est et au sud, bien qu’elle ait été forcée par la politique américaine à neutraliser le tout). Passons maintenant aux prophéties orthodoxes russes concernant tout cela, des prophéties que je connais depuis des décennies, mais qui n’avaient guère de sens jusqu’à ces dernières années.

DEUXIÈME PARTIE : Le christianisme orthodoxe

Tout d’abord, des excuses. Je sais que la plupart des lecteurs de ce site ne sont pas des chrétiens orthodoxes russes, pas des chrétiens orthodoxes, peut-être pas des chrétiens d’aucune sorte, et peut-être même pas des croyants d’aucune sorte. Veuillez suspendre votre incrédulité pendant quelques minutes. Je n’ai pas l’intention d’essayer de vous convertir. Je ne suis qu’un messager. Je veux juste expliquer comment la plupart des orthodoxes russes voient les événements géopolitiques actuels. Tout d’abord, des faits statistiques : 200 millions de personnes appartiennent à l’Église orthodoxe. Sur ces 140 millions, 70% sont des orthodoxes russes, bien que, cette Église étant multinationale, seuls environ 100 millions d’entre eux sont des Russes ethniques, beaucoup d’autres vivent ou vivaient en Ukraine.

Autre remarque : la plupart des orthodoxes russes pratiquants restent en dehors de la manipulation artificielle et absurde « gauche/droite » de la politique occidentale, inventée pour faire croire aux zombifiés qu’ils vivent dans des démocraties et ont des choix démocratiques. Certes, la grande majorité des orthodoxes sont des conservateurs sociaux, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de droite (« fascistes »), mais nous sommes aussi pour la justice sociale, la santé et l’éducation gratuites, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de gauche (« socialistes »). Tout le contraire des néoconservateurs, qui sont des libéraux sociaux et des libéraux économiques, des LGBT qui prônent plus de capitalisme en mode loi de la jungle, et sont anti-famille et anti-nation. Comme les Chinois et les autres non-occidentaux, nous sommes pour des politiques pro-famille et pro-nation qui unissent le peuple. Cela explique à la fois le président Poutine, son parti « conservateur » appelé « Russie unie » et sa politique nationale de réunification de la Russie en Ukraine, ainsi que les politiques de « marché libre socialiste » du parti « communiste » chinois.

L’Église orthodoxe compte 1 000 évêques. 400 d’entre eux appartiennent à l’Église orthodoxe russe. Toutefois, les évêques orthodoxes les plus respectés se trouvent probablement en Serbie et en Ukraine, pays persécutés, et non en Russie. Une fois que l’Église orthodoxe russe aura été débarrassée des américanisés corrompus qui se trouvent en son sein, elle deviendra un rival spirituel inégalable pour les États-Unis. Car si certains traîtres peuvent avoir du pouvoir dans l’Église, ils n’ont aucune autorité dans l’Église. Ceux qui ont l’autorité dans l’Église, qui ont le respect et la révérence du peuple, sont les saints et les justes et ceux qui sont considérés comme des saints, des anciens et des justes, dont quelques-uns sont évêques, la plupart ne le sont pas, et dont certains ont fait des prophéties.

Sur les prophéties

Nous devons maintenant faire très attention à distinguer les prophéties des canulars et des fraudes des personnes qui cherchent à attirer l’attention et à gagner de l’argent. N’importe quel fraudeur peut se lever le matin et dire : « J’ai reçu un message sur l’avenir, j’ai fait un rêve sur l’avenir, et on m’a dit ceci et cela ». Non, je parle de paroles prononcées par ceux qui ont l’autorité depuis des décennies et des générations, qui sont vénérés pour leur vie humble, de saints ou d’anciens qui seront déclarés saints par le peuple, s’ils ne l’ont pas déjà été. En d’autres termes, nous ne parlons pas de l’idiotie de George Bush « Dieu m’a dit d’envahir l’Irak ». Nous parlons du spirituel.

Il faut ajouter ici que toutes les prophéties authentiques sont conditionnelles. Les prophéties ne sont que des avertissements, dont les échéances peuvent être repoussées de centaines, voire de milliers d’années. Les gens peuvent changer leurs habitudes et la réalisation des prophéties est alors reportée. Les prophéties restent vraies, mais leur application peut être retardée, en fonction des réactions humaines aux avertissements qu’elles contiennent. Ne doutez jamais que les gens peuvent regretter, revenir en arrière et changer. Mais ne doutez jamais non plus que les prophéties se réaliseront, s’il n’y a pas de changement de comportement une fois l’avertissement lancé.

Revenons maintenant au commentateur qui a demandé : « Batiushka, dites-nous comment lire vos prophéties ». Tout d’abord, je n’ai pas de prophéties. Je ne suis en aucun cas un prophète. Mais je connais des prophéties qui sont pertinentes ici. Celles par exemple de saint Séraphin de Sarov (+ 1833), de saint Jean de Cronstadt (+ 1908), de saint Aristocleus l’Athonite (+ 1918), de l’archevêque Théophan de Poltava (+ 1940), de saint Séraphin de Vyritsa (+ 1949), l’ancien Séraphin de Belgorod (+ 1982), avec la bénédiction duquel j’agis, saint Paisios l’Athonite (+ 1994), que j’ai rencontré, l’ancien Nikolaï Guryanov (+ 2002), que je vénère, et l’ancien Jonas d’Odessa (+ 2012), sur la tombe duquel je prie.

Prophéties

Voici quelques-unes de leurs prophéties : Saint Jean de Cronstadt a dit que « la délivrance de la Russie viendra de l’Est ». À la fin de sa vie, saint Aristocleus a dit que « la fin viendra par la Chine. Il y aura une explosion extraordinaire et un miracle sera révélé par Dieu ». L’archevêque Théophane de Poltava a déclaré qu’il devait y avoir un tsar prédestiné par Dieu et que la restauration de l’orthodoxie en Russie provoquerait la haine du monde, qui « prendra les armes contre la Russie ». Cela a été confirmé par l’aîné Nicholas Guryanov, qui a prédit que le président Poutine sera remplacé par un tsar, comme l’avait également prédit saint Paisios l’Athonite.

L’aîné Iona, bien-aimé des orthodoxes d’Odessa, a déclaré : « Après moi, il y aura une Pâques sanglante, une Pâques affamée et une Pâques victorieuse ». Bien sûr, comme pour toutes les prophéties, les interprétations varient. Une Pâques sanglante se réfère-t-elle à 2022, une Pâques affamée à 2023 et une Pâques victorieuse à 2024 ? Certains disent qu’une Pâques victorieuse peut se référer à 2023. Si seulement il pouvait en être ainsi… Saint Seraphim de Sarov a prédit que :

« Vers cette époque, les évêques deviendront si impies qu’ils surpasseront dans leur impiété les évêques grecs de l’époque de Théodose le Jeune, de sorte qu’ils ne croiront même plus au dogme principal de la foi chrétienne… On commencera à prêcher la repentance mondiale ».

Vous pouvez rejeter tout cela comme une absurdité, si vous le souhaitez. Mais vous devrez quand même admettre qu’il y a de curieuses coïncidences. Et que ce n’est pas un non-sens pour les chrétiens orthodoxes, russes ou non. Nous voyons que la Maison Blanche ne pense qu’en termes de suprématie mondiale par la force et que, pour elle, la véritable bataille du 21e siècle n’est pas entre les États-Unis et la Russie, utilisant l’Ukraine comme son « incident du Tonkin », mais entre les États-Unis et la Chine utilisant Taïwan comme son « incident du Tonkin ». Pour nous, une Russie purifiée sera le véritable rival, car c’est là que se trouve le potentiel spirituel. La Chine n’a que le potentiel industriel. Ce que les laïcs américains ne comprennent pas, c’est que la domination à long terme du monde ne passe pas par le pouvoir séculier, qui n’est qu’à court terme, mais par le pouvoir spirituel, qui est à long terme. La Maison Blanche est comme le gouverneur romain Ponce Pilate qui a demandé au Christ : « Qu’est-ce que la vérité ? » parce qu’il avait un esprit séculier. Il n’y avait pas de réponse à sa question parce qu’il avait posé la mauvaise question. Il regardait la réponse en face. Sa question aurait dû être : « Qui est la Vérité » ? Et nous sommes là, à éviter l’Armageddon nucléaire et nous continuerons à le faire, aussi aveugle que soit Ponce Pilate.

Batiushka
Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Ressources anti-humaines

[Source : reseauinternational.net]

Par Miri Anne Finch

Étant donné que les médias se concentrent actuellement sur la vie extraterrestre, un article avec une approche non-humaine semblait approprié… Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…

Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et en transit que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.

Il est évident que ce n’est pas le cas, et il y a très peu de preuves qui suggèrent que les personnes qui travaillent en public sont plus exposées aux maladies dites infectieuses que celles qui travaillent seules à la maison. Après tout, nous n’avons jamais vu ces gros titres « les employés de supermarché meurent tous du Covid », n’est-ce pas, malgré le fait que les employés de magasin travaillaient constamment et autour de centaines de personnes potentiellement « infectées » par jour, tout au long de « la pandémie ».

Donc, le fait est que lorsque les classes dirigeantes désirent notre investissement dans un phénomène qui n’est pas réel, elles utilisent le puissant pouvoir hypnotique des écrans, et projettent leur réalité désirée dans nos esprits. Ils ont poussé le cliché de « l’invasion extraterrestre » pendant des décennies, en utilisant la télévision et le cinéma, parce que, dans un avenir très proche, ils vont mettre en scène une invasion extraterrestre en utilisant la technologie holographique. Il s’agit du projet Bluebeam, un complot secret des services secrets américains révélé par un journaliste d’investigation dans les années 1990.

Les prétendus « OVNIs » dont parlent les médias en ce moment nous préparent encore davantage à cette « invasion extraterrestre », qui sera mise en scène dans le but d’unir le monde sous une force commune. Cette force peut être présentée comme étant bonne (« nous sommes une espèce avancée venue vous aider, mais vous devez faire ce que nous disons »), ou mauvaise (« l’humanité doit s’unir pour vaincre ces envahisseurs maléfiques »). Dans tous les cas, l’objectif final est d’unifier le monde, conformément au programme du gouvernement mondial unique.

Il me semble que ce n’est pas une coïncidence si les entités non humaines font les gros titres, juste au moment où cette autre entité non humaine – ChatGPT – est en train d’atteindre une proéminence fulgurante, et où les cas de personnes disparues sont à nouveau un sujet de discussion brûlant (si seulement il y avait un moyen de toujours suivre une personne, de toujours savoir où elle est et si elle est en sécurité, comme, je ne sais pas, une puce électronique ou quelque chose comme ça… et wow, est-ce que ce gentil Elon Musk ne travaille pas par coïncidence sur une telle chose en ce moment ? !)

Parce que le thème de toutes ces choses est le même : l’âge de l’humain naturel, organique, non altéré est terminé. Nous entrons dans l’ère des extraterrestres, de l’IA et du transhumanisme. Les humains sont dépassés. Ils ont besoin d’une mise à niveau.

Cela m’a été illustré de manière particulièrement claire ces dernières semaines, alors que j’aidais une personne que je connais bien (et que vous connaissez probablement aussi, si nous sommes amis sur Facebook, mais je protège sa modestie…), que nous appellerons Nick, à chercher un emploi. Après de nombreuses années de succès dans le secteur de l’aide sociale, dont la gestion de sa propre entreprise, il y a un peu plus d’un an, le contrat à durée déterminée de Nick a pris fin. Tout portait à croire qu’il serait renouvelé (puisque c’est ce qui s’est passé à deux reprises pour la même entreprise) sous la forme d’une promotion à un poste de direction.

Cela ne s’est pas produit. Pourquoi ? Ses employeurs lui expliquent qu’ils ne peuvent pas simplement lui donner le poste de direction – ce n’est pas la « procédure » – qui doit être publié comme un poste vacant pour lequel d’autres personnes peuvent postuler, mais – l’insinuation est forte – ce n’est qu’une formalité puisque le poste (et tous les collègues de Nick sont d’accord) porte son nom.

Nick s’est donc présenté à l’entretien, qui comprenait une période de préparation intensive au cours de laquelle il a dû élaborer une présentation interactive à présenter, puis parcourir 80 km – et ce malgré le fait que tous les membres du jury le connaissaient bien, et ce depuis des années, tant sur le plan social que professionnel.

Il a passé l’entretien, a fait sa présentation et a estimé que tout s’était passé aussi bien que possible, les membres du jury étant manifestement impressionnés par les détails de ses réponses et de sa présentation.

Les jours ont passé et il n’a pas eu de nouvelles, mais il a finalement reçu un appel téléphonique. Il n’a pas eu le poste. Pourquoi ? Parce que dans une question spécifique, relative à la gestion d’une entreprise d’aide sociale, il n’avait pas fourni suffisamment de détails sur un processus spécifique. Un autre candidat l’avait fait.

« Nous savons que vous avez dirigé une entreprise et que vous avez réussi à faire ces choses », a déclaré le collègue au téléphone. « L’autre candidat ne l’a pas fait dans la pratique. Mais il les a mieux décrites en théorie, et nous devons donc lui donner le poste ».

« Mais mon expérience réelle ne compte-t-elle pas, même si je n’ai pas tout à fait pensé à tout mentionner dans une situation d’entretien stressante ? » a demandé un Nick déconcerté.

« Non », a répondu son collègue sans ménagement. « Nous ne pouvons pas prendre cela en compte, tout doit aller sur l’entretien et le nombre de points que vous obtenez par réponse ».

« Mais… ne pouvez-vous pas prendre en compte le fait que vous me connaissez réellement et que vous avez basé de nombreuses procédures existantes de l’entreprise sur ce que j’ai inventé et développé ? »

« Non ».

Alors, tout ébranlé qu’il était, Nick s’est mis à la recherche d’un nouvel emploi. Quelques semaines de candidatures en ligne infructueuses ont suivi, puis un rendez-vous avec une société de recrutement, qui a d’abord oublié qu’il était là et l’a laissé assis dans un couloir pendant une demi-heure, avant de s’en rendre compte, de s’excuser et de lui dire qu’il devrait revenir un autre jour… ce qu’il a fait (à contrecœur). Il a rempli tous leurs formulaires et passé un entretien, et on lui a dit qu’ils le contacteraient si quelque chose de convenable se présentait.

Il n’a plus jamais entendu parler d’eux et s’est remis à parcourir les annonces en ligne. Finalement, un poste correspondant parfaitement à ses compétences et à son expérience s’est présenté. Il a donc rédigé une candidature (longue et détaillée) qui lui a valu d’être convoqué à un entretien. Une fois encore, la période de préparation intensive a commencé : étude approfondie de l’entreprise, organisation de rendez-vous avec d’anciens collègues ayant une expérience pertinente, rédaction d’un document de 20 pages couvrant les questions « essentielles » et « souhaitables » susceptibles d’être soulevées lors de l’entretien.

Le jour de l’entretien est arrivé, entraînant les frais de déplacement habituels et les dépenses connexes (l’entretien ayant lieu dans une ville située à environ 90 minutes de route). L’entretien s’est exceptionnellement bien déroulé. À la fin, Nick a ri et plaisanté avec ses interlocuteurs. Ils étaient manifestement très impressionnés par ses compétences, son expérience et son enthousiasme, et réagissaient très positivement à ses idées et suggestions – lorsqu’il a mentionné quelque chose sur les évaluations des risques, l’un des membres du panel a dit : « Bien, nous devrions lui donner le poste ici et maintenant juste pour avoir mentionné cela ! » Nick a dit que cela ressemblait plus à une consultation qu’à un entretien d’embauche, car ils prenaient des notes sur les choses qu’il avait suggérées, disant que c’étaient des choses auxquelles ils n’avaient pas pensé et qu’ils allaient essayer.

Nick se sentait confiant cette fois-ci. L’entretien s’était si bien déroulé, le jury avait manifestement été si impressionné, que sûrement, après quelques faux départs, c’était l’opportunité qu’il avait attendue.

L’appel téléphonique est arrivé le lendemain. Il a su immédiatement au ton de la voix de son interlocuteur qu’il n’avait pas obtenu le poste.

L’interviewer – le PDG de l’entreprise – s’est excusé. Presque une flatterie. Il a même dit les mots suivants : « Je voulais vous donner le poste et j’avais hâte de travailler avec vous ».

Mais ?

Mais ils ont utilisé un « système de points », et sur une seule question, un autre candidat avait obtenu deux points de plus que Nick en mentionnant deux « mots à la mode » clés.

« C’est tout ? » a demandé Nick.

« Oui », a répondu l’enquêteur, clairement avec plus qu’une pointe d’embarras. « Je veux dire, c’est le plus proche que j’ai jamais vu. Comme je l’ai dit, j’avais hâte de travailler avec vous, mais nous devons suivre la procédure. Nous devons suivre les points ».

Pour que les choses soient claires : les compétences, l’expérience, la personnalité, le caractère – même les préférences des humains qui mènent l’entretien – ne comptent pas. Seuls les « points » comptent.

C’est ainsi qu’une entité non humaine telle qu’une IA aborderait le recrutement. En utilisant des mots à la mode et des chiffres, des cases à cocher et des algorithmes. Il n’y a rien d’humain là-dedans, et c’est entièrement intentionnel et conçu.

« Pour être honnête », a dit Nick stupéfait, « je pense que c’est une approche un peu inhumaine ».

« Eh bien, moi aussi », a convenu l’intervieweur, avec un demi-sourire gêné, avant d’ajouter (et il a vraiment dit cela, je l’ai entendu). « Mais malheureusement, c’est ainsi que fonctionne la Matrice ».

Cette approche du recrutement – mettant de côté le caractère, les compétences, la créativité, l’expérience, au profit de l’utilisation de chiffres, de cases et de mots à la mode – est nécessairement conçue pour désavantager les humains, et pour avantager l’IA. Les logiciels informatiques peuvent être parfaitement programmés pour fournir exactement le mot à la mode souhaité au moment souhaité. Un être humain, surtout dans l’environnement artificiel et stressant d’un entretien, ne le peut pas.

Nous nous dirigeons rapidement vers une époque où les êtres humains devront être capables d’imiter l’IA de manière convaincante sur le lieu de travail pour être compétitifs, et comme la crise du coût de la vie continue de s’aggraver et que les salaires continuent de baisser, la concurrence va devenir de plus en plus féroce.

Alors, si la disparition de l’adorable petite Maddie ne suffit pas à vous convaincre de vous faire implanter une puce électronique… si l’enlèvement de Nicola Bulley par des extraterrestres ne suffit pas (on ne sait jamais, deux opérations psychologiques d’un coup, et tout ça…), peut-être que le fait que vous ne puissiez pas obtenir un emploi sans puce électronique – sans puce cérébrale vous permettant d’imiter parfaitement l’IA qui marque des points – le fera.

Pour l’instant, cela ressemble à de la science-fiction et j’espère vraiment que cela restera ainsi. Si quelqu’un travaillant dans le domaine du recrutement lit ceci, si quelqu’un pousse l’approche du « comptage de points comme critère principal », veuillez réaliser où cela va probablement vous mener, et qu’il ne faudra pas longtemps avant que – non seulement vos candidats soient encouragés à ressembler davantage à des robots – mais vous aussi. Tout comme l’IA peut donner des réponses parfaites pour marquer des points, elle peut aussi les détecter parfaitement dans une situation d’entretien. Comme les caissiers qui dirigent les gens vers la caisse automatique, comme les enseignants qui font grève et laissent les enfants apprendre en ligne, ne faites pas le travail des maîtres en vous rendant inutiles, parce que les robots peuvent le faire « mieux ». Les robots peuvent mieux faire la robotique, mais est-ce vraiment ce que nous voulons ?

Il est urgent que nous nous demandions quel type d’avenir nous voulons atteindre : un avenir fondé sur une formule précise et un score parfait, ou un avenir créatif, imprévisible, imaginatif, imparfait et trop humain ?

source : Miri AF

traduction Réseau International




L’alliance entre les extraterrestres et Poutine-Xi Jinping est d’extrême droite

Par Lucien SA Oulahbib

Elle doit être combattue avec la plus extrême vigueur, seul extrémisme permis. Déjà et heureusement d’éminents officiels américains et français l’ont annoncé, mais hésitent encore à dévoiler que cette alliance ne date pas d’hier. Dans les années 50, cela aurait débuté toujours officieusement. Les Envahisseurs puis V (V comme Véran) avaient été ces séries salutaires nous mettant cependant au parfum…

Le suspens ne pouvait hélas plus durer. Il fallait l’annoncer. Depuis l’accident de la maladie Covid-19 qui s’est échappée de l’un de leurs vaisseaux spatiaux. Trois d’entre eux viennent d’être abattus.

C’est une maladie asiatique, donc extraterrestre. Les Russes n’ont d’ailleurs jamais été européens, d’où leur très rapide métamorphose non plus trans, mais extra humaine.

Que faire ? Avant tout traquer ceux qui doutent de cette histoire d’ovni en soulignant qu’ils viennent tous d’extrême droite. Douter de l’existence des extraterrestres revient en effet à remettre en cause la perte de centralité de la Terre depuis quatre à cinq siècles. À parler de plan divin. Vieux complotismes.

Puis il faut indiquer que tout sera fait pour éliminer cette menace. Bruno Le Maire ne vient-il pas de déclarer que nous allons mettre l’économie extraterrestre à genoux, que nous œuvrons pour son effondrement ?…

Ce n’est plus une plaisanterie. Les X files avaient vu juste.




Le plus grand désastre environnemental de l’histoire des États-Unis ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Alexandra Bruce

Avec tous les ballons Chyna [NDLR Chinois ou soi-disant chinois] et les ovnis qui circulent, à moins que vous ne viviez à East Palestine, dans l’Ohio, ou que vous consommiez beaucoup de nouvelles indépendantes, vous ne savez probablement pas que les États-Unis vivent actuellement ce qui pourrait être la plus grande catastrophe écologique de leur histoire.

Et je ne parle pas du faux catastrophisme sur le changement climatique promu par le Forum économique mondial, je parle des ~100 000 gallons ou 1 000 000 de livres de chlorure de vinyle qui ont fui, se sont déversés et ont brûlé, suite au déraillement d’un train dans cette ville rurale de 5000 habitants, où les pluies acides et le phosgène devraient décimer une grande partie de l’écologie de la région. Cette dévastation forcera probablement les gens à migrer, et beaucoup d’entre eux auront un cancer plus tard. C’est un Tchernobyl américain.

Les dioxines résultent de la combustion de substances organiques chlorées comme le chlorure de vinyle. Les dioxines se dégradent lentement dans l’environnement, avec une demi-vie de 25 à 100 ans dans le sol. Elles provoquent des cancers, des troubles de la reproduction, endommagent le système immunitaire et perturbent les hormones.

Le panache toxique d’acide chlorhydrique et de dioxine en suspension dans l’air provenant du « brûlage contrôlé » d’East Palestine a un rayon de plus de 200 miles [environ 320 kilomètres] englobant Pittsburgh, Detroit, Cleveland et Toronto [au Canada]. Depuis une semaine, il pleut sur certaines des terres agricoles les plus fertiles des États-Unis, tuant les animaux de ferme et la vie aquatique.

Tout le bassin du fleuve Ohio est touché, où vivent plus de 30 millions de personnes, soit 10% de la population américaine, y compris les zones métropolitaines de Louisville KY [Kentucky], Cincinnati OH [Ohio], Indianapolis IN [Indiana] et Nashville TN [Tennessee]. À elle seule, la rivière Ohio fournit de l’eau potable à plus de 5 millions de personnes. Et il se jette dans le Mississippi, affectant tous ceux qui sont en aval.

On ignore ce qui a provoqué le déraillement, mais les images des caméras de sécurité prises à 30 km du lieu de l’accident, à Salem (Ohio), montrent des étincelles et des flammes sous l’un des wagons. Les détecteurs de boîtes chaudes auraient dû déclencher le freinage d’urgence, mais cela ne semble pas s’être produit. Le NTSB enquête sur les données et les enregistrements audio du train et sur les détecteurs de boîtes chaudes le long du trajet.

Les informations nationales ne couvrent pas cet événement et une importante opération de camouflage est en cours. La semaine dernière, Evan Lambert, un journaliste indépendant, a été arrêté pour avoir simplement et discrètement rendu compte du déraillement.

Compte tenu du fait qu’il y a eu deux autres accidents ferroviaires majeurs cette semaine, impliquant des trains déraillés transportant des produits chimiques toxiques à Splendora, TX [Texas] et Enoree, SC [Caroline du Sud], en plus des 96 installations alimentaires incendiées depuis que Joe Biden a pris ses fonctions, sommes-nous prêts pour une conversation publique sur le fait que les citoyens des États-Unis sont attaqués ?

Pas l’EPA. Ils disent que les habitants de East Palestine peuvent rentrer chez eux en toute sécurité, alors que les propriétaires de poulets de la région signalent tous que TOUS leurs poulets sont morts subitement. Pas le secrétaire d’État aux transports, Pete Buttigieg, qui a fait une apparition lundi pour rejeter la responsabilité des problèmes d’infrastructure du pays sur la COVID et n’a pas dit un mot sur les déraillements. Il a préféré se plaindre qu’il y avait trop d’hommes blancs dans le secteur de la construction.

L’accord d’infrastructure « bipartisan » de 65 milliards de dollars du régime Biden est axé sur la « justice environnementale » et sur la construction de stations de recharge pour les voitures électriques qui nuisent à l’environnement, ainsi que sur d’autres projets woke. Ils n’ont rien dit de cette catastrophe.

Mes amis d’American Intelligence Media disent que quelque chose pue dans ce déraillement. Ils pensent que cet événement peut être un signe avant-coureur de la terrible coupure d’Internet dont on nous avertit depuis des années, notant que les lignes de fibre optique d’Internet, dans la mesure du possible, sont encastrées sous les droits de passage des chemins de fer et que « les déraillements ferroviaires sont un moyen sournois de couper sélectivement les communications numériques », dans ce cas, le service AT&T dans tout l’État de l’Ohio. Ils se demandent également si le déraillement n’est pas une simulation pour les banquiers qui s’efforcent de fermer des entreprises en fabriquant des catastrophes pour installer l’ESG [gouvernance sociale et environnementale].

En parlant de simulations et d’armes fumantes, le film Netflix « White Noise » [littéralement « bruit blanc »] semble avoir été l’un de ces exercices sur table de type Event 201 pour s’entraîner aux événements en East Palestine. Il est assez étonnant de constater que les images du déraillement et du panache que nous voyons de cet événement sont presque exactement les mêmes que les images annoncées dans le film. Et devinez où ils ont tourné le film en 2022 ? En EastPalestine ! De nombreux habitants bombardés chimiquement sont apparus comme figurants dans le film.

Voici les directives de gestion médicale du CDC pour le chlorure de vinyle.

Source : Lew Rockwell




Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit

[Source : RI]

Par Pepe Escobar

Ce qu’il nous reste à tous, c’est de nager dans un marécage rempli de pigeons délaissés, d’histoires de couverture douteuses et de fragments de renseignements.

Le rapport explosif de Seymour Hersh sur la façon dont le gouvernement des États-Unis a fait sauter les pipelines Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en septembre dernier continue de provoquer des vagues géopolitiques dans tous les domaines.

Sauf, bien sûr, dans la bulle parallèle des grands médias américains, qui l’ont totalement ignoré ou, dans quelques cas bien choisis, ont décidé de tirer sur le messager, qualifiant Hersh de journaliste « discrédité », de « blogueur » et de « théoricien de la conspiration ».

J’ai proposé une première approche, en me concentrant sur les nombreux mérites d’un rapport apparemment approfondi, mais en notant également certaines incohérences graves.

Le correspondant étranger de la vieille école basé à Moscou, John Helmer, est allé encore plus loin, et ce qu’il a découvert pourrait être aussi incandescent que le récit de Sy Hersh lui-même.

[Voir Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream]

Le cœur du problème dans le rapport de Hersh concerne l’attribution de la responsabilité d’une attaque terroriste industrielle de facto. Étonnamment, pas de CIA ; cette responsabilité incombe directement au trio de planification toxique composé de Sullivan, Blinken et Nuland – des néolibéraux-conservateurs faisant partie du combo « Biden ». Le feu vert final est donné par le décideur ultime : le président sénile et lecteur de téléprompteur lui-même. Les Norvégiens jouent le rôle d’assistants mineurs.

Cela pose le premier problème sérieux : à aucun moment dans son récit, Hersh ne fait référence au MI6, aux Polonais (gouvernement, marine), aux Danois et même au gouvernement allemand.

Il mentionne que le 20 janvier 2022, « après quelques hésitations », le chancelier Scholz « était maintenant fermement dans l’équipe américaine ». Eh bien, à ce moment-là, le plan était en discussion, selon la source de Hersh, depuis au moins quelques mois. Cela signifie également que Scholz est resté « dans l’équipe américaine » jusqu’à l’attaque terroriste, le 20 septembre 2022.

Quant aux Britanniques, aux Polonais et à tous les jeux de l’OTAN qui se déroulaient au large de l’île de Bornhom plus d’un an avant l’attentat, les médias russes – de Kommersant à RIA Novosti – en ont largement parlé.

L’opération militaire spéciale (OMS) a été lancée le 24 février, il y a presque un an. L’explosion de Nord Stream 1 et 2 a eu lieu le 26 septembre. Hersh assure qu’il y a eu « plus de neuf mois de débats très secrets au sein de la communauté de sécurité nationale de Washington sur la façon de “saboter les pipelines” ».

Cela confirme donc que la planification de l’attaque terroriste a précédé de plusieurs mois non seulement l’OMS, mais aussi, et surtout, les lettres envoyées par Moscou à Washington le 20 décembre 2022, demandant une discussion sérieuse sur « l’indivisibilité de la sécurité » impliquant l’OTAN, la Russie et l’espace post-soviétique. Cette demande s’est heurtée à une réponse non-réponse américaine dédaigneuse.

Bien qu’il ait écrit l’histoire d’une réponse terroriste à un problème géopolitique grave, le fait qu’un professionnel de premier ordre comme Hersh ne prenne même pas la peine d’examiner le contexte géopolitique complexe fait sourciller.

En un mot : l’anathème Mackinderien ultime pour les classes dirigeantes américaines – et c’est bipartisan – est une alliance Allemagne-Russie, étendue à la Chine : cela signifierait l’expulsion des États-Unis d’Eurasie, et cela conditionne tout ce que tout gouvernement américain pense et fait en termes d’OTAN et de Russie.

Hersh aurait également dû remarquer que le moment choisi pour préparer le « sabotage des pipelines » bat en brèche le récit officiel du gouvernement américain, selon lequel il s’agit d’un effort collectif de l’Occident pour aider l’Ukraine contre une « agression russe non provoquée ».

Cette source insaisissable

Le récit ne laisse aucun doute sur le fait que la source de Hersh – si ce n’est le journaliste lui-même – soutient ce qui est considéré comme une politique américaine légale : combattre la « menace de la Russie pour la domination occidentale [en Europe] ».

Ainsi, ce qui semble être une opération secrète de la marine américaine, selon le récit, pourrait avoir été malavisé non pas en raison de raisons géopolitiques sérieuses ; mais parce que la planification de l’attaque a intentionnellement échappé à la loi américaine « exigeant que le Congrès soit informé ». C’est une interprétation extrêmement étroite des relations internationales. Ou, pour être franc : c’est une apologie de l’exceptionnalisme.

Et cela nous amène à ce qui pourrait être le Rosebud dans cette saga digne d’Orson Welles. Hersh fait référence à une « pièce sécurisée au dernier étage de l’ancien Executive Office Building … qui était également le siège du Conseil consultatif des renseignements étrangers du Président (PIAB) ».

C’est là que l’on aurait discuté de la planification de l’attaque terroriste.

Bienvenue au PIAB : le President Intelligence Advisory Board. Tous les membres sont nommés par le POTUS actuel, en l’occurrence Joe Biden. Si nous examinons la liste des membres actuels du PIAB, nous devrions, en théorie, trouver la source de Hersh (voir, par exemple, « Le président Biden annonce des nominations au President’s Intelligence Advisory Board et au National Science Board » ; et « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions »).

Voici les membres du PIAB nommés par Biden : Sandy Winnefeld ; Gilman Louie ; Janet Napolitano ; Richard Verma ; Evan Bayh ; Anne Finucane ; Mark Angelson ; Margaret Hamburg ; Kim Cobb ; et Kneeland Youngblood.

La source de Hersh, selon son récit, affirme, sans l’ombre d’un doute, que « les troupes russes se sont régulièrement et sinistrement renforcées aux frontières de l’Ukraine » et que « l’inquiétude grandissait à Washington ». Il est incroyable que ces personnes censées être bien informées n’aient pas été au courant du rassemblement des troupes ukrainiennes dirigées par l’OTAN de l’autre côté de la ligne de contact, prêtes à lancer une attaque éclair contre le Donbass.

Ce que tout le monde savait déjà à l’époque – comme le montre l’enregistrement même sur YouTube – c’est que le combo derrière « Biden » était bien décidé à mettre fin aux Nord Streams par tous les moyens nécessaires. Après le début de l’OMS, il ne manquait plus qu’à trouver un mécanisme de déni plausible.

Malgré tous les reportages méticuleux, le sentiment inéluctable demeure que ce que le récit de Hersh met en évidence est le gambit terroriste du combo Biden, et jamais le plan global des États-Unis visant à provoquer la Russie dans une guerre par procuration avec l’OTAN en utilisant l’Ukraine comme chair à canon.

De plus, la source de Hersh est peut-être éminemment imparfaite. Elle a dit, selon Hersh, que la Russie « n’a pas répondu » à l’attaque terroriste de l’oléoduc parce que « peut-être qu’ils veulent avoir la capacité de faire les mêmes choses que les États-Unis ».

En soi, cela peut prouver que la source n’était même pas membre du PIAB, et n’a pas reçu le rapport classifié du PIAB évaluant le discours crucial de Poutine du 30 septembre, qui identifie la partie « responsable ». Si c’est le cas, la source est simplement liée (c’est moi qui souligne) à un membre du PIAB, n’a pas été invitée à la planification de la salle de crise qui a duré des mois, et n’est certainement pas au courant des détails les plus fins de la guerre de cette administration en Ukraine.

Compte tenu des antécédents exceptionnels de Sy Hersh en matière de journalisme d’investigation, il serait assez rafraîchissant pour lui d’élucider ces incohérences. Cela permettrait de dissiper le brouillard des rumeurs décrivant le rapport comme une simple accroche limitée.

Si l’on considère qu’il existe plusieurs « silos » d’informations au sein de l’oligarchie américaine, avec leurs appareils correspondants, et que Hersh a cultivé ses contacts parmi la quasi-totalité d’entre eux pendant des décennies, il ne fait aucun doute que les informations prétendument privilégiées sur la saga Nord Stream proviennent d’une adresse très précise – avec un agenda très précis.

Nous devrions donc voir qui l’histoire met réellement en accusation : certainement le combo néo-con/néolibéral-con straussien derrière « Biden », et le président chancelant lui-même. Comme je l’ai souligné dans mon analyse initiale, la CIA s’en sort indemne.

Et n’oublions pas que le Grand Récit change rapidement : le rapport RAND, l’humiliation imminente de l’OTAN en Ukraine, l’hystérie du ballon, les opérations psychologiques sur les ovnis. La véritable « menace » est – qui d’autre – la Chine. Ce qu’il nous reste à tous, c’est de nager dans un marécage rempli de pigeons délaissés, d’histoires de couverture douteuses et de fragments de renseignements. Sachant que ceux qui dirigent vraiment le spectacle ne montrent jamais leur main.




Non je ne veux pas savoir !

Le goût acide de la liberté et de la « pilule rouge1 »

Par Alain Tortosa

La quête de vérité est un débat sans fin qui anime les hommes depuis la nuit des temps.
Tandis que certains vouent leur existence à cet idéal impossible, d’autres, au contraire passent leur temps à la fuir de peur de n’être rattrapés.

Le choix plus ou moins conscient de l’illusion

Une des scènes les plus intéressantes du film Matrix2 premier volet se déroule dans un restaurant.
Le traître nous explique ses motivations en « mangeant » un steak alors qu’il se trouve dans la Matrice et non dans le monde réel.
Il explique avoir connaissance du fait que ni sa viande, ni son goût, ni sa texture n’existent, mais fait le choix de rester dans ce monde d’illusions en toute conscience.

De très nombreuses personnes qui ont adhéré (durant un temps) au narratif Covid, ressentent qu’il y a « quelque chose qui cloche », que le monde qui est décrit par les médias serait une illusion.

Ils ont de très nombreux indices, ils touchent du doigt des contradictions flagrantes et pourtant refusent catégoriquement d’en savoir plus.

L’absence de discours cohérent comme interrogation

Vous souvenez-vous du masque inutile mais indispensable ?
Vous souvenez-vous des plages dynamiques ou statistiques ?
Vous souvenez-vous du confinement qui devait réduire à néant l’épidémie ?
Etc.

Le dernier exemple de manipulation m’est venu d’une vidéo de Maître Di Vizio qui se faisait l’écho des médias sur la « déroute de l’armée russe face à l’offensive ukrainienne ».
Si vous regardez LCI, vous avez droit toute la journée à Poutine qui vit ses derniers instants et d’une armée russe à l’agonie face à Zelensky3 le Churchill des temps modernes.

Cela m’a fait penser à l’armée Irakienne qui était décrite comme la 2ème armée du monde avec ses armes chimiques prêtes à être déversées sur l’occident par Saddam Hussein.

Si cette armée russe est nullissime au point de se faire balayer par l’armée ukrainienne (ne riez pas c’est pathétique), comment Poutine et son armée pourraient constituer une menace vis à vis des européens ?
Je connais des personnes qui ont peur « pour de vrai » de l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

  • Alors soit cette armée russe est la deuxième armée du monde et les ukrainiens n’ont strictement aucune chance. Il faudrait de fait arrêter toute aide militaire pour que le conflit cesse immédiatement pour épargner des morts inutiles…
  • Soit l’armée russe est à ce point nullissime au point qu’elle achèterait des munitions à la Corée du Nord (re fou rire dans la salle) et il n’y a strictement aucune raison d’en avoir peur. BHL est convaincu de cette hypothèse et affirme qu’elle est « foutue ».

Ceci pour dire que les incohérences ne manquent pas dans la petite histoire du monde.

Pour autant le leitmotiv des hypnotisés est principalement « laissez-moi dans l’ignorance ».

Tout comme ce personnage du film, ils font le choix de demeurer (ainsi que leur famille) dans une illusion, dans un monde de « faisons comme si ».

Globalement ils vivent dans une forme de présent qu’ils espèrent immuable et ce alors même que les médias passent leur temps à répéter que le pire est à venir.

« Laissez-moi tranquille, ne me dites rien, je ne veux pas savoir, je ne veux pas être bouleversé, je veux continuer à faire semblant, la vérité serait trop angoissante, etc. »

Un faux sentiment de sécurité

Il est évident que la réalité dans Matrix n’est pas glamour, en l’occurrence un monde apocalyptique dirigé par des machines qui utilisent les êtres humains comme source d’électricité.
Si l’objectif du traître est de ne pas être angoissé ou disons « raisonnablement angoissé » et d’avoir un confort bourgeois alors il est évident que la « vie » dans la Matrice est plus agréable.

Une « vraie » matrice, n’est-il pas ce qui est proposé par Facebook et son Metavers4 ou dans le film « Ready player one5 » de Spielberg ?

Qu’en est-il de notre monde actuel ?

Si l’on fait le choix d’ouvrir les yeux sur sa réalité, sur les fausses épidémies, le Grand Reset, un objectif qui voudrait l’asservissement des peuples, la dictature chinoise, la diminution de la population mondiale, la fausse crise climatique, la fausse crise énergétique, etc., il devient bien difficile de faire semblant que tout va bien et d’imaginer que les médias relatent la réalité.

Continuer à ignorer les menaces réelles qui nous entourent revient à faire la politique de l’autruche.
Une conduite les yeux fermés sur l’autoroute se termine inexorablement par un accident mortel.
N’en est-il pas de même en ignorant la réalité du monde ?!

La réalité tangible de la menace face à l’imaginaire

Les fumeurs se pensent « immortels » au même titre que les non-fumeurs.
Si le risque de cancer des poumons puis du décès prématuré ne relevait pas de la statistique, alors seuls les suicidaires fumeraient encore.
Typiquement le genre d’information qui est à la fois connue et à la fois de l’ordre de la « légende urbaine ».

Il en est de même des vaccins classiques et des injections expérimentales Covid.
L’aveuglé accepte l’idée qu’il puisse y avoir des effets secondaires, il peut même accepter l’idée que des enfants meurent des injections ou que des femmes deviennent stériles.

Mais ici encore, cette donnée relève de la statistique, « c’est les autres qui meurent, les autres qui deviennent stériles »… comme pour la cigarette.
Le danger n’est donc pas vécu comme réel mais théorique.

Quand la réalité devient la fiction et inversement

C’est d’autant plus cocasse que ces mêmes covidistes qui ne croient pas à la dangerosité réelle du masque, des confinements, des qr-codes ou à la dangerosité des injections Covid ne doutaient pas de la gravité « d’un virus inconnu et mortel ».

  • Un virus qu’ils n’ont vu que dans les médias ou dans le discours d’autrui.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des masques obligatoires.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des tests PCR sur des personnes en bonne santé.
  • Un virus qu’ils auraient pris pour une grippe totalement banale sans le concours des médias et du gouvernement.

Le plus incroyable s’est produit lorsqu’un voisin ou parent a développé des symptômes, cette fois-ci bien réels, suite à l’injection expérimentale.
C’est alors que ces effets réels ont été vécus comme imaginaires.

« Ce n’est pas le vaccin mais la douche, le sport, le sédentarisme, le chaud, le froid, les vitamines, etc. (rayez la mention inutile) qui a provoqué l’avc ».

Il en est de même avec Poutine où la menace est considérée comme « réelle » alors qu’il s’agit d’un conflit armé débuté en 2014 dont personne n’avait entendu parler et qui ne touche pas la France.
Menace dont nous pouvons nous « protéger » en mettant un embargo sur l’énergie russe selon nos hommes politiques.

Et dans le même temps, voir le litre de carburant passer factuellement à 2,20€ ce qui est une menace bien réelle.
Pesant sur les finances actuelles du ménage, mais aussi futures du fait de l’inflation et du chômage de masse qui va se produire.

Cette réalité factuelle étant presque vécue comme un non-événement alors même que les Gilets jaunes étaient descendus dans la rue pour un litre à 1€50 !

L’apothéose de la fantasmagorie est sans doute l’élection présidentielle .

Nous disposons pour M. Macron du bilan d’un Président qui a factuellement :

  • Détruit le système de santé.
  • Suspendu (encore aujourd’hui) sans salaire des soignants et des pompiers alors que la France brûlait.
  • Détruit l’hôpital public.
  • Supprimé le parlement.
  • Supprimé les droits de l’homme (masque, confinement, pass sanitaire,…)
  • Mis en place un apartheid avec d’un coté les « bons » citoyens et de l’autre les « moins que rien » qui refusaient l’injection expérimentale et que l’on emmerde selon les mots du Président.
  • Pris des mesures économiques contre son peuple comme l’embargo contre la Russie.
  • Divisé les Français.
  • Et j’en passe.

En face nous avions Mme Marine Le Pen :

  • Jamais élue Présidente de la république.
  • Contre le passe sanitaire et vaccinal.
  • Pour la réintégration des personnels exclus.
  • Contre les sanctions stupides contre la Russie qui « croule aujourd’hui sous le cash »6
  • Contre l’Europe technocratique anti démocratique.
  • Pour les référendums.

Et que c’est-il passé ?
Emmanuel Macron a battu Marine Le Pen !
Un Président pour lequel on pourrait résumer ses allocutions par « une phrase, un mensonge ».

Batiste Foisy7 le disant plus élégamment :

« Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. »

Pourquoi Marine a-t-elle été battue ?

  • Parce qu’elle « faisait peur ».
  • Qu’elle « menaçait les libertés et les droits de l’homme ».
  • Qu’elle était « d’extrême droite ».
  • Qu’elle était « pro-russe et une ennemie de la France ».
  • Qu’elle allait « fracturer l’unité nationale ».
  • Qu’elle allait « avoir dans ses mains le bouton de l’arme nucléaire ».
  • Etc.

Le récit imaginaire, la peur irrationnelle, la propagande médiatique a été plus forte que la réalité d’un bilan catastrophique et inédit pour l’économie et les droits de l’homme.

Nous voyons donc que pour les humains, ou tout du moins les covidistes, la menace n’est absolument pas corrélée au réel mais à une fable.

Le seul moteur est l’adhésion à un récit servi tout cuit, quand bien même il est totalement déconnecté du fait.

Le bonheur est dans la Matrice ? Paradoxe des univers angoissants

Les hypnotisés sont-ils pour autant heureux et épanouis ?
J’entends qu’il faudrait définir le bonheur ce qui est impossible.

Mais sans entrer dans des pensées philosophiques qui pourraient s’apparenter à de la masturbation intellectuelle, je ne le pense pas.

Sont-ils rassurés pour l’avenir et leurs enfants ? Certainement pas !
Nous pouvons même affirmer sans crainte que la vie dans la Matrice n’est pas un long fleuve tranquille.
Et pourtant, ils ne veulent surtout pas en sortir, pourquoi ?

Perfusion permanente d’angoisse

C’est là le paradoxe de notre époque.
L’humain fuit les situations angoissantes alors même que le monde qui lui est conté l’est de plus en plus.

Si l’Europe des années 60 a tué les conflits militaires (sur nos terres), elle a en revanche fabriqué une succession de dangers et d’angoisses.

Nous avons eu :

  • La crise énergétique sur le Pétrole.
  • Le chômage et l’absence d’avenir pour nos enfants. Même les bacs +10 n’ont plus la garantie de trouver un travail décent.
  • La pollution.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les virus mortels.
  • Etc.

Et l’on vient de nous ressortir du placard le remake de « les chars russes sur les Champs-Élysées ! »

Alors même que notre enc…, que notre cher Président nous répète que nous sommes en guerre, que c’est la fin de l’abondance (Parle-t-il du fromage de Haute-Savoie ?), cela n’empêche pas une majorité (hum) d’électeurs de le reconduire à la tête du pays.

Celui qui nous rassure et nous inquiète devient de fait celui qui sème factuellement le chaos.

Avions-nous connu de pareilles angoisses sous la 5e république avant Macron ? Non !
Avions-nous connu un tel recul des libertés et de la démocratie avant Macron ? Non !
Avions-nous connu une telle destruction de l’économie avant Macron ? Non !

Et alors même qu’il ne promet que le pire, les Français ne sont pas dans la rue et le considèrent comme un « bon » Président qui « fait ce qu’il peut » pour nous protéger dans un monde terrible.

Alors qu’il n’offre QUE de l’angoisse, celle-ci devient paradoxalement rassurante pour les hypnotisés.

Notre Président serait ainsi un « destructeur protecteur » !

Il est le pompier pyromane qui interdit aux pompiers non vaccinés d’intervenir tandis qu’il fait venir de l’étranger des pompiers au statut vaccinal inconnu.
Il est celui qui amène le chaos et nous dit qu’il n’y est pour rien et que demain sera un enfer, enfer qui de bien entendu, serait tellement pire sans lui.

Nous sommes à ce point manipulés et perfusés de dangers qui nous menacent que nous piétinerions l’homme providentiel qui nous montrerait qu’un autre (notre) monde serait possible.

La démocratie, le mur infranchissable

J’ai pensé de tout temps que nous vivions une mascarade démocratique et je souffrais de vivre dans une dictature au point d’avoir publié en 2018 le livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? ».

Croyez bien qu’à cette époque il était beaucoup plus difficile de tenir un discours de « dictature » alors que notre société avait la couleur et le goût de la démocratie.

J’ai parcouru depuis un chemin semé de douleurs et mon monde de 2018 était un monde de bisounours à coté de celui que je perçois aujourd’hui.

Nous sommes formatés dans l’idée que nous sommes les « gentils », nous vivons dans une France et une Europe « démocratiques ».
Il nous est quasiment impossible de ressentir le fait que la France soit devenue une vraie dictature tant elle est décrite comme le pays des Droits de l’homme.

Autant nos concitoyens peuvent entendre qu’un pays africain ou d’Amérique latine est une dictature, no problem, autant l’affirmer pour un État européen relève de la folie !
Dans l’imaginaire collectif, une dictature est un pays dans lequel les opposants politiques sont torturés et éliminés, de fait « nous sommes donc bien en démocratie ».

Pour autant nous disposons d’éléments objectifs prouvant que nous ne le sommes plus :

  • Le coup d’État du referendum de 2005 pour la constitution européenne.
  • L’impossibilité pour les candidats du frexit8 d’avoir leurs 500 signatures pour se présenter.
  • Le coup d’État de 2020 assignant les français à résidence sans procès ni condamnation.
  • La censure des réseaux sociaux et des médias pour les vaccins, la crise sanitaire, la crise ukrainienne ou la crise climatique (il n’y a QUE du consensus dans les médias subventionnés).
  • Une 5e république qui a supprimé les pouvoirs du parlement et donné la majorité décisionnelle à une minorité qui obtient une « majorité » grâce à la pirouette des élections à 2 tours.
  • Des votes au parlement à 15h00 qui dérangent et que l’on refait à 3h00 du matin pour obtenir une autre décision.
  • La suppression du parlement lors de la crise sanitaire et la création d’un « conseil de défense » totalement opaque au seul bénéfice du Président.
  • Des corrompus non élus qui décident de notre sort en Europe.
  • Etc.

Ici encore les hypnotisés de la démocratie ne vont pas prendre chacun de ces faits réels pour les placer dans un dossier à charge, mais trouver les éléments de langage pour le dédouaner et les rendre anecdotiques.

Hier les Droits de l’homme faisaient passer l’individu avant l’intérêt de la nation,
Aujourd’hui, la « nouvelle démocratie » glorifie son sacrifice au profit (propagande) du groupe.
L’interdit devient de fait le garant des libertés individuelles et la preuve que nous sommes en démocratie.

Il n’est pas possible de remettre en question le récit national « nous sommes une démocratie avec des élections libres ».
Seul un « non-citoyen », un « ennemi du peuple » pourrait tenir de tels propos.

Surtout n’apprenons pas de l’Histoire !

Imaginez le pauvre juif un peu lucide dans les années 1930 qui disait :

« Nous sommes en dictature, cela va mal se terminer »

A-t-il été entendu ?
La communauté juive a reçue combien de dizaines d’alertes durant cette période ?
Et à chaque fois le même refrain « ça va s’arranger, tu exagères ! »
Même devant l’entrée des chambres à gaz à coté des cheminées fumantes et de la puanteur certains n’y croyaient toujours pas9 !

La réalité factuelle du monde n’est pas de nature à modifier les croyances.

C’est probablement notre erreur à nous les « complotistes » de penser que si nous amenons la preuve de la vérité de nos propos alors l’aveugle retrouvera la vue.

« L’autre » n’est pas comme nous

Ah ils peuvent bénir les médias :

« Vous n’avez pas à penser par vous-même, vous n’avez pas à vous forger votre propre opinion critique, vous n’avez qu’à convertir notre propagande en Vérité. »

Le principe est le même depuis que le monde est monde.
Comment voulez-vous obtenir d’un soldat qu’il tue son voisin s’il se rappelle qu’il est un humain comme lui avec une famille et des enfants ?

Il est indispensable de le déshumaniser et vous convaincre qu’il n’est pas comme vous, qu’on peut l’emmerder10, qu’on peut le priver du droit d’aller au restaurant, qu’on peut et même que l’on doit le priver de son travail surtout si son travail est au service de la communauté !

« L’autre est dangereux pour autrui. »
« L’autre est manipulateur. »
« L’autre voit des complots partout. »
« L’autre est stupide, il vit dans un monde simple,… »
« L’autre est égoïste, il ne pense qu’à lui. »
« L’autre vit dans un monde imaginaire. »
« L’autre est de mauvaise foi. »
« L’autre est paranoïaque. »
« L’autre n’ouvrira jamais les yeux, vous ne pourrez pas lui faire entendre raison. »
« L’autre est un malade mental. »

Et quand cela ne suffit plus, servons-nous du génie de la lampe et affirmons comme François Cluzet que « l’autre », moi-même , mes amis, « est antisémite ».

Qui irait discuter avec un manipulateur pervers qui plus est antisémite ?

L’impossible débat

J’ai essayé de débattre, essayé d’ouvrir les yeux, mais c’est peine perdu face à celui qui ne veut pas sortir de la Matrice.
Je n’ai jamais pu établir un dialogue avec eux.

Cela termine pas des « pff », des « allez on parle d’autre chose », des « que vous êtes con », des « on ne peut pas parler avec vous », des « vous n’êtes pas un spécialiste », des « vous allez aussi me dire que la Terre est plate » ou « de toutes les façons vous resterez dans votre délire », etc.

Ce qui me différencie d’eux, entre autres, c’est que je suis prêt à changer d’avis.
J’ai passé des centaines d’heures, des mois à essayer de prouver que je me trompais et que le Covid existait (plus aujourd’hui pour être honnête) en tant que nouvelle maladie plus mortelle que la grippe.

J’ai même essayé de savoir si la Terre était plate11.
Je suis disposé à réviser toutes mes croyances si l’on me fournit des éléments scientifiques de nature à me le faire croire.
Mais eux vivent dans la foi.

Avant de débuter toute discussion il faudrait pouvoir leur poser la question :

« Es-tu prêt à prendre le risque de voir tes croyances (par exemple sur le Covid) s’effondrer et découvrir que ton monde est construit sur une montagne de mensonges ? »

L’ignorance et le mensonge !

La société, l’éducation, les médias, les loisirs, les émissions TV…
TOUT est fait pour vous maintenir dans l’ignorance ou plutôt dans une réalité alternative.

Depuis la crèche on apprend au bébé à obéir, ne pas de poser de questions et s’abreuver de « Vérité ».

Celle-ci nous est déroulée et nous devons y adhérer si nous voulons être membres à part entière de cette belle société.

Il ne saurait y avoir d’opinions, de réflexions, de divergences et encore moins de preuves selon lesquelles il pourrait exister une vérité alternative.

Prenons l’exemple des Ovnis (sujet que je n’ai pas encore étudié).
Si vous l’abordez lors d’un dîner en France, ce sera probablement l’occasion d’une bonne rigolade.
Et ce alors même qu’il existe des commissions sénatoriales aux USA qui discutent sérieusement du sujet !

Ici, dès lors que les médias mainstream disent la même chose, c’est qu’il y a « consensus » sur le sujet.
Douter, poser des questions, ne relève QUE de la débilité et du complotisme !

Ceci devrait être de nature à vous éveiller car :

La représentation médiatique d’un événement comme faisant consensus est de nature à introduire le doute.

En sciences dures, en économie, en médecine, en biologie, en écologie, en climatologie, en histoire, il n’y a JAMAIS de consensus !
Et comme disait le professeur Raoult que je ne porte pas particulièrement dans mon cœur.

« Le consensus c’est Pétain12 ! »

Interdire le débat (comme nous avons pu le vivre dans le cadre du Covid) constitue une preuve de la manipulation de la vérité.

Un fait qui ne peut être débattu13 ne relève plus du fait, de la réalité, de la science, de l’histoire, mais de la foi, de la mythologie, de la doxa, de la manipulation, de la propagande, etc.

Le mensonge répété qui devient vérité

Imaginons que je pose la question suivante à un covidiste convaincu et que celui-ci me réponde sincèrement :

« Est-ce que le Covid était une nouvelle maladie dangereuse pour laquelle il n’y avait aucun traitement, etc. ? »

Nous connaissons tous sa réponse : « Oui bien sûr ! »

Si j’ajoute alors ; « Comment le sais-tu ? »
La réponse sera « Parce que tout le monde l’a dit, les médias, les médecins, les politiques, l’OMS,… »

Moi : « Les politiques qui passent à la télé ? Les médecins qui passent à la télé ? »
Lui : « Oui mais pas qu’eux.., mon médecin, mon infirmière, ma pharmacienne, tout le monde ! »

Moi : « Mais ton médecin, ton infirmière, ta pharmacienne, comment ont-ils construit cette « vérité ?» ».
Lui : « Ils ont dû étudier le sujet ! »

Moi : « Tu penses qu’ils ont lu des études scientifiques, qu’ils ont étudié les statistiques internationales, qu’ils ont écouté les arguments de leurs collègues qui pensaient différemment, qu’ils ont passé des heures ou qu’ils se sont contentés d’écouter les médias, les autres collègues, etc ? »
Lui (si il est honnête) : « Je ne sais pas, je ne suis pas certain qu’ils aient le temps. »

Il pourrait ensuite vous rétorquer que vous n’êtes pas épidémiologiste (eux non plus), que vous n’avez pas la compétence (eux non plus), que l’on n’écrit n’importe quoi sur Internet (eux aussi), etc.

[Note de Joseph : la plupart des gens qui utilisent un ordinateur ne sont pas du tout des informaticiens, sont incapables d’écrire une ligne de code dans quelque langage informatique que ce soit, mais savent pourtant utiliser un logiciel et même constater certains de ses bugs. N’importe qui sans handicap majeur et ayant passé son permis de conduire peut utiliser une automobile et constater ses problèmes éventuels de conduite, voire même être capable en étudiant le manuel de découvrir lui-même leur cause. Il n’est pas indispensable de l’avoir fabriquée ni d’être garagiste. De même, avec simplement un esprit suffisamment observateur, un minimum de connaissances, de logique et de bon sens, n’importe qui peut se rendre compte lorsqu’une théorie, comme la virale, connaît des bugs plus ou moins problématiques. L’argument de la spécialité ou de l’expertise est purement rhétorique, mais pas scientifique. Il s’apparente à l’argument d’autorité.]

Nous voyons bien que la répétition à l’infini d’un mensonge en fait une vérité indiscutable.

Plus une croyance est ancrée, plus elle devient une vérité.
Plus elle est une vérité et plus elle est ancrée.

Ne croyez pas que le matraquage médiatique et sociétal que nous subissons soit de l’ordre du hasard.
Le mensonge répété des milliers de fois devient cette vérité, raison pour laquelle il est si difficile de réviser ses croyances.

Si je vous dis que l’efficacité des vaccins (y compris classiques) n’a jamais été prouvée ou que l’éradication de la Polio relève au mieux du mythe et au pire de la manipulation, vous aurez d’autant plus de mal à le croire que vous avez entendu le contraire depuis votre naissance.

Tolstoï disait à juste titre :

« Les sujets les plus difficiles peuvent être expliqués à l’esprit le plus lent s’il n’en a pas déjà formé une idée ; mais la chose la plus simple ne peut être expliquée à l’homme le plus intelligent s’il est fermement persuadé qu’il sait déjà, sans l’ombre d’un doute, ce qui se trouve devant lui14. »

Trop grosse ?

Alors me voici devant un croyant et je lui dis :

« Si vous prenez la pilule rouge voici ce qui peut vous tomber dessus »

Vous allez pouvoir vous pencher et étudier les sujets suivants :

  • L’assassinat de JFK.
  • La marche de l’homme sur la Lune.
  • Le 11 septembre.
  • Le Covid (existence, dangerosité, traitements, confinement, masque, vaccin,…)
  • Les virus.
  • La victoire de Biden sur Trump.
  • Brigitte Macron.
  • La guerre en Ukraine.
  • L’industrie du sucre et le cholestérol.
  • La crise de l’énergie.
  • Paperclip ou le recrutement de scientifiques Nazis par les USA.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les éoliennes.
  • Mk Ultra.
  • Les chemtrails.
  • Le nucléaire.
  • Les petits gris (extra-terrestres supposés méchants).
  • Les voitures électriques.
  • Les ovnis.
  • La Terre plate.
  • Les réseaux pédophiles et les élites.
  • Les vaccins.
  • Etc. Etc. Etc.

(Lorsque j’écris cette liste je ne peux m’empêcher de penser au gentil Julien Pain de France Info qui fait du fact-checking en nous démontrant par affirmations successives que tout ce qui précède n’est que délire et qu’il ne saurait être question d’y prêter foi.
Si ce monsieur faisait son métier au lieu d’être au service du Ministère de la Vérité, il organiserait des débats contradictoires en invitant des spécialistes opposants à la doxa et en leur donnant un temps de parole équivalent.
Dans les faits celui qui rompt le consensus est banni d’antenne.)

Si vous désobéissez, si vous allez étudier par vous même alors vous allez pouvoir dire (définitivement) adieu à ce monde où la vérité était exclusivement répandue par les médias et ainsi basculer dans un autre monde plus proche de celui cité par Coluche.

« La seule chose exacte dans le journal, c’est la date. »

Prendre la pilule rouge c’est se retrouver contraint d’ouvrir les yeux sur d’autres vérités entremêlées de théories plus que bizarres.
J’ai volontairement persillé ma liste de quelques théories à priori loufoques afin que chacun puisse se faire son opinion.
Mais n’espérez quand même pas utiliser tous vos doigts pour additionner le nombre de sujets délirants indiqués ci dessus.

Point de label « garanti sans fake news ! »

Nous sommes d’accord qu’il existe des théories d’illuminés, soit.
Mais aussi des vérités issues d’un travail colossal de recherche, de statistiques, d’études médicales ignorées, d’expériences scientifiques, de faits avérés qui sont volontairement dissimulés au public.

Nous en sommes à un stade d’omerta et de mensonges que même les données officielles issues des agences de suivi des effets secondaires des injections relèvent officiellement du complotisme !

Lorsque vous aurez avancé dans votre cheminement, vous aurez acquis l’intime conviction qu’il n’existe aucun média officiel de confiance pour vous dire lesquelles sont réelles et lesquelles sont du délire.

Rejeter ou gober tout serait folie

Plus vous allez avancer dans vos recherches…
Plus vous allez lire d’informations sérieuses et recoupées…
Plus vous avancerez dans votre cheminement…

Et plus vous allez découvrir que certaines théories qui peuvent sembler folles à priori, reposent sur des éléments d’une extrême robustesse.
Tandis que d’autres appartiendront (définitivement ?) à des délires non prouvés.

Ces révélations vous seront d’autant plus « folles » que les médias mainstream vous auront déjà martelé qu’elles relèvent du complotisme et de la folie et qu’il ne faut surtout pas y prêter foi.

Par exemple :

« Le 11 septembre. »
« L’homme sur la Lune. »
« L’éradication de la Polio par les vaccins. »

Quel être humain raisonnable pourrait douter de ces trois « vérités15 ».

Il vous suffit simplement d’étudier les faits pour parvenir à votre intime conviction.

Nous vivons dans un monde où il serait à la fois irresponsable de croire la vérité issue des médias et tout aussi irresponsable de ne pas se poser la question concernant une thèse à priori folle « et si cette théorie à priori délirante était vraie ? »

Du travail, du travail, du travail

Il est possible de s’appuyer sur les recherches de personnes de confiance mais pour autant il sera vital de s’assurer qu’elles apportent des sources fiables à leurs affirmations.
Quant on observe le travail colossal qui a été produit ces derniers mois ou années, il serait idiot de ne pas en profiter.
Il existe notamment d’excellentes vidéos qui résument parfaitement chaque dossier particulier.

Quand bien même, la vérité n’arrivera jamais sur un plateau, il sera nécessaire d’avoir un certain investissement intellectuel et en temps pour vous forger votre propre opinion.

Le scientifique sera toujours perdant dans une conversation de comptoir (comme chez Hanouna).
Il suffit de quelques secondes pour affirmer une connerie, une énorme contrevérité.
En revanche, il faut des minutes, des heures ou des jours pour démontrer qu’elle en est une.
C’est là la différence entre l’affirmation et la démonstration.

Raisons pour lesquelles les « journalistes » font mouche à la télé.
Ils ne font qu’affirmer sans jamais démontrer.
Et lorsqu’ils « vérifient » l’information, ils ne font que reprendre les affirmations d’un tiers, toujours sans la moindre démonstration.

Point de non-retour

Que vous soyez un apprenti complotiste ou 4e dan, il y aura systématiquement un avant et un après.
Il est impossible de retourner dans l’innocence dans laquelle vous baigniez depuis votre enfance.
La pilule rouge est définitive et il faut être en capacité d’en assumer les conséquences.

Raison pour laquelle de nombreuses personnes qui pressentent l’arnaque freinent des 4 pieds pour rester dans l’illusion.

Violence de la pilule rouge

Elle sera d’autant plus violente que vous aurez des années d’aveuglement ou de naïveté.

Je m’adresse ici aux résistants de la première heure (nommés complotistes).
Placez-vous dans l’esprit de celui ou celle qui a cru que ce virus était une peste noire, que les confinements ou le masque sauvent des vies, qu’il n’existe aucun traitement et que le « vaccin » expérimental sauve des vies.
Essayez de vivre la violence de la révélation.

Quid des aveuglés ou de moi-même sont dans la meilleure situation ?

Vous qui me lisez et qui avez avalé cette pilule êtes bien conscients de la facture à payer lorsque l’on s’éloigne de plus en plus de la Matrice.

  • Une désillusion.
  • Une perte de confiance dans l’espèce humaine constituée principalement de spectateurs hypnotisés et d’une poignée de monstres (dont certains vouent un culte à Satan).
  • Une angoisse du lendemain avec l’attente d’un messie (ou pas) qui ne viendra peut-être jamais.
  • Une innocence perdue.
  • Une perte de repères. « Mais qu’est-ce qui est vrai dans ce qui m’a été transmis ? »
  • Des interrogations perpétuelles qui ne doivent pas tourner à la paranoïa.
  • Le risque de ne plus croire en rien.
  • Etc.

Bien entendu, si mon répertoire téléphonique s’est vidé de personnes que je pensais être des amis (que je retrouverai peut-être un jour, qui sait), cette dictature au grand jour m’a apporté la chance de découvrir des amis sincères avec qui nous partageons tellement.

Sans la dictature mondiale il est peu probable que j’aurais eu la chance de les rencontrer.
Mais ici encore à quel prix ?
Vais-je aller jusqu’à dire « merci Macron » ?

Nous sommes vraiment dans le film Matrix avec d’un coté le monde qui nous est raconté tous les jours dans les médias et de l’autre des complots (dont certains peuvent faire sourire) et des horreurs qui semblaient relever uniquement de fictions hollywoodiennes.

Ici encore je comprends celles et ceux qui veulent pouvoir échapper à la vérité et qui sont contraints de minimiser jours après jours l’horreur de la réalité.

Coupable ou victime ?

Une question inévitable se présentera pour l’amateur de pilule rouge :

« Comment ai-je pu être assez aveugle pour gober ce flot de mensonges (il ne s’agit pas de dissimulations mais de mensonges) médiatiques ou étatiques ? »

Qu’allez-vous dire au père ou à la mère qui a fait pression sur son enfant pour qu’il s’injecte une substance expérimentale pour « retrouver la vie d’avant » ?

Ce n’est pas faute d’avoir essayé de les alerter, mais ils ont préféré écouter les médias mainstream plutôt que nos « délires complotistes ».

Nous avions pourtant tout annoncé depuis le début.

Lorsque la vérité commencera à être publique, aussi bien les coupables que les victimes chercheront à se dédouaner.
Le « on ne savait pas » sera une porte de sortie classique.
Si vous reprenez mes textes vous verrez que c’est une contre vérité, le « on ne savait pas » est une distorsion de la réalité pour échapper à sa propre responsabilité ou culpabilité.

Devons-nous écrire sur la notice des lave-linges ou des micro-ondes « ne pas y mettre de chats » ?

Pourtant il n’est pas possible de mettre sur un même plan de culpabilité la victime d’une escroquerie ou d’un viol avec la culpabilité de l’escroc ou du violeur.
Il existe un gouffre entre ces « culpabilités ».

Toutes celles et ceux qui ont cru ou croient encore tous ces mensonges en payent le prix et parfois un prix exorbitant.

Que dire de ceux qui se sont fait injecter uniquement pour continuer à faire du sport et qui se battent aujourd’hui contre des effets secondaires qu’ils garderont peut-être à vie ?
Et je ne parle pas de ceux qui ne sont plus là pour en parler et qui méritent à minima une justice posthume.

Il n’en demeure pas moins vrai que plus les mois défilent et plus la responsabilité de celles et ceux qui refusent toujours d’ouvrir les yeux ira grandissante.

Il existe un moment où le semblant confort de la matrice sera balayé par la réalité.
Réalité à ce jour inconnue du grand public mais qui pour autant commence à se faire entendre dans des médias mainstream étrangers et même à la commission européenne.

Pour résumer :

Nous avons pu voir que le choix de prendre la pilule rouge n’avait rien d’anodin mais surtout, comme pour un vaccin, le retour en arrière n’est pas possible.

Mais avons-nous le choix ?

Pouvons-nous faire autrement pour nous sauver ou sauver nos enfants ?

Il est impossible d’influer sur sa vie si la base est fantasmagorique.
Le seul et unique moyen d’agir est de combattre la réalité quand bien même elle est horrible.
La pilule rouge devient de fait indispensable si l’on ne veut pas être une marionnette, un jouet et un esclave dans les mains des puissances occultes de ce monde.

Merci.

Alain Tortosa
15/09/2022
https://7milliards.fr/tortosa20220915-je-ne-veux-pas-savoir.pdf





Conférence sur HAARP et sujets connexes

[Source : Guy Boulianne]




La « vérité révélée », la Terre est plate et j’en aurais la preuve ?

Comment se forge-t-on SA vérité ?
Suis-je libre de mes vérités ?

Par Alain Tortosa

Je/nous sommes les premiers à critiquer les covidistes, les bouffeurs de médias mainstream en leur reprochant de gober n’importe quoi.

Notre principal reproche est de ne voir en eux aucune remise en question, aucun sens critique, aucun doute et de ne pas se forger leur propre opinion.

Une question me taraude :

« Pourquoi n’avons-nous pas gobé le roman du Covid ou de l’Ukraine pour ne parler que d’eux ? »

Sommes-nous si différents de celles et ceux que nous voyons comme des moutons incapables de penser par eux-mêmes ?

S’ils peuvent être qualifiés de boussoles qui pointent uniquement vers le nord, ne serions-nous pas nous aussi des boussoles, mais qui pointent uniquement vers le sud ?

Nous suffit-il d’être face à une théorie du complot pour « gober » et en faire « notre vérité » alors même que notre pensée serait modelée par une vérité proposée et complotiste ?

À titre personnel, je passe suffisamment pour un dingue auprès des esprits lobotomisés par les médias, pour ne pas énumérer quelques théories du complot auxquelles j’aurais pu adhérer depuis quelques mois.

Bien entendu, je ne manque pas de raisonnements, d’arguments scientifiques ou factuels pour penser que mon opinion n’a rien de farfelue et qu’elle repose sur des bases extrêmement solides.

Mais les autres, en face, ne manquent-ils pas aussi d’arguments qu’ils croient leurs ?

Quand on les entend parler, cela me fait penser à une secte. Tous répètent le même discours au point que j’ai l’impression d’entendre BFM TV lorsqu’ils ouvrent la bouche.

Ici encore ne pourrait-on pas nous faire le même reproche ?

« Les complotistes n’auraient-ils pas aussi un discours tout aussi formaté bien que diamétralement opposé ? »

Je me rassure en pensant que je ne manque pas de preuves qui me permettent de penser que je ne suis pas dans une croyance, une religion, mais dans une démarche scientifique rigoureuse.

Pour ne parler que du Covid, nous ne manquons pas de preuves de mensonges et de dissimulations :

  • Le nombre de morts volontairement faussé par des directives de l’OMS et autres autorités.
  • Une nouveauté du 21e siècle, l’épidémie de non-malades avec les PCR bidons qui n’ont ni valeur diagnostique ni pronostique.
  • Les chiffres du réseau Sentinelle qui n’a jamais vu de pandémie.
  • Les mensonges sur sa prétendue dangerosité pour la population générale.
  • La supposée absence de traitements efficaces.
  • L’interdiction de prescrire des molécules de plus de 40 ans inoffensives et efficaces.
  • Le Rivotril pour terminer des patients interdits de soins, pour ne pas saturer des hôpitaux prétendument saturés pour pouvoir les sauver.
  • Fauci qui finance le P4 de Wuhan sur des gains de fonction.
  • L’inefficacité du masque et des confinements prouvés par des siècles d’expériences.
  • Les pourcentages de saturation des réanimations qui sont des faux.
  • L’inefficacité totale du « vaccin ».
  • Une population injectée pour une souche disparue depuis plus de deux ans.
  • La prétendue « innocuité » des injections alors que les données officielles sont terrifiantes.
  • Des injections prétendument sures pour les grossesses 4 mois après les premières doses sur des femmes n’ayant pas encore accouché.
  • L’autorisation pour des soignants vaccinés et positifs au Sars-cov2 d’aller au travail tandis que les non-vaccinés négatifs n’ont pas le droit.
  • L’interdiction de télétravail et donc de consultation à distance pour les médecins non vaccinés.
  • Les manifestations massives passées sous silence ou totalement minorées.
  • La corruption de l’OMS.
  • Les médecins médiatiques avec conflits d’intérêts.
  • La censure et des campagnes de terreur pour ceux qui osaient et osent l’ouvrir.
  • La création du ministère de la Vérité et des fact-checkeurs.
  • Les lois bafouées.
  • La déontologie médicale réduite à néant.
  • Mac Kinsley.
  • Le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel.
  • Etc., etc.

Je pourrais sans doute en faire des pages…

Je peux affirmer sans risque que dans le cas du Covid nous ne manquons pas d’arguments factuels sur cette escroquerie mondiale.

Quant à la variole du singe, nous disposons déjà, alors même que nous n’en sommes qu’au début, de tous les éléments qui prouvent la manipulation. Les mainstream ont même ressorti des Karine Lacombe et autres alors même que nous avons les preuves de leurs mensonges passés et de leurs conflits d’intérêts.

Pour autant, sommes-nous, suis-je, à l’abri d’une forme de malhonnêteté intellectuelle ou de manipulation inversée à chercher du complot partout ?

Et ce d’autant plus que mon monde qui n’était pas joli joli avant la crise (cf mon livre(([1] 7milliards d’esclaves et demain ? Vers un capitalisme de l’humain
https://7milliards.fr))
) est devenu carrément pourri depuis quelques mois.

Lucifer est au pouvoir, les réseaux pédophiles sont visibles, le nombre de personnalités éclaboussées ne fait que croître, l’avortement à 9 mois est devenu « moral » comme l’achat d’enfants en Ukraine ainsi que le changement de sexe dès 3 ans, etc.

Nous vivons en plein Sodome et Gomorrhe au point que « notre » « Président » déclarait en 2020 :

« La bête de l’Événement est là !(([2] https://www.youtube.com/watch?v=k5IclzvoiZI))(([3] https://josue-caleb.com/apocalypse-13-avenement-de-la-bete/))(([4] https://www.youtube.com/watch?v=XsDIMS9ec5c))(([5] https://www.youtube.com/watch?v=e0fU5cnliY0))».

Si la planète entière n’avait pas disjoncté, le gars aurait été viré le lendemain de l’interview, mais dans les faits ce fut un non-événement !

Bref, nous ne manquons pas d’éléments objectifs pour soutenir notre esprit critique.

J’écris depuis des mois qu’il faudrait être irresponsable pour prendre comme vérité n’importe quelle « information » issue des médias.

Le traitement totalement délirant et mensonger apporté sur la guerre en Ukraine ne peut que nourrir ces convictions sans parler du prétendu réchauffement climatique causé par le CO2 et une fin du monde inéluctable si on ne passe pas au tout électrique avec des éoliennes et que l’on ne supprime pas toute liberté aux gueux. Je ne résiste donc pas au plaisir de citer une fois de plus cette phrase que l’on attribue à Coluche :

« dans le journal, la seule chose qui est vraie est la date ! ».

Mais suis-je vraiment objectif, ai-je la capacité de me faire MA vérité ou suis-je autant une éponge que les paniqués de la grippe de la tomate(([6] https://www.watson.ch/fr/international/maladie/428308574-grippe-de-la-tomate-qu-est-ce-que-cette-etrange-maladie-d-inde)) qui nous menace !?

Ceux-ci ont beau jeu de voir en moi un parano, celui qui aime vautrer son esprit dans des bas-fonds, celui qui, par jouissance et perversion, voit le mal partout !

Même si le mal est partout, cela ne prouve en rien ma liberté de pensée.

Mise à l’épreuve

C’est pourquoi j’ai décidé de me mettre à l’épreuve.

Pour ce faire, je vais m’attaquer à la théorie de la Terre plate !

Typiquement le type d’affirmation qui peut faire rire de prime abord, mais quel covidiste pourrait ne pas rire si on lui disait que le Covid est un complot contre les peuples, que l’OTAN et les USA sont principalement responsables de la situation en Ukraine, que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté par la CIA ou je ne sais qui, etc.

J’ai donc décidé de me pencher sérieusement sur le sujet et certainement pas comme les « vérificateurs » de l’information. Je pourrais vous citer un article lamentable sur la Terre plate publié dans le Nouvel obs(([7] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-sciences/20160820.RUE3638/j-ai-essaye-d-interviewer-quelqu-un-qui-croit-que-la-terre-est-plate.html?gclid=EAIaIQobChMI67u05I-Z-AIVytvVCh0dqgjtEAMYASAAEgJNR_D_BwE)) dans lequel le gardien de la vériténe manquait pas de préciser les accointances entre un défenseur de la théorie et les thèses négationnistes. Vous voyez typiquement une forme de « journalisme » qui pourrait me donner envie de croire en cette théorie.

Mais non, si je m’y mets, je le fais sérieusement !

Je me placerai dans un état d’esprit « pourquoi pas » associé à « mais il va me falloir des preuves solides » avant de me ridiculiser.

Expérience non sans danger

Étant donné que je vais l’aborder comme tous les autres sujets qui ont guidé mes recherches et que de nombreuses « vérités » se sont effondrées par le passé, je vous avoue mon appréhension.

J’ai vraiment peur, si, si, de finir par y croire. Avant de débuter l’enquête, je n’ai strictement aucun doute que la Terre est sphérique en rotation sur elle-même et en orbite autour d’une étoile nommée Soleil. Je dirais que cela fait partie de mes (rares ?) certitudes, de mes croyances fortes.

Mais comme je vais jouer le jeu, comme je ne vais pas m’interdire de changer d’avis et que je ne vais pas dire des phrases vides de sens comme « c’est n’importe quoi », j’ai vraiment la trouille.

Rendez-vous compte que si à la fin de ce texte j’ai acquis, non pas forcément la conviction, mais des doutes sur la forme de la planète, que va-t-il rester de mon monde ?

Soit ce changement sera la preuve que je suis incapable d’avoir une pensée propre ni la capacité de résister aux sirènes du complotisme, soit que rien n’est vrai de ce qui m’a été inculqué depuis ma naissance. Je n’aurai alors plus rien de solide sur quoi m’appuyer.

Sans compter la solitude… Je ne me vois guère dire à autrui que je pense que la Terre est plate ou que les dinosaures n’ont jamais existé. Adieu tout reste de crédibilité ébréchée par les années Covid !

Mes propos peuvent faire sourire, mais j’ai réellement la trouille de basculer, car ceux qui y croient vraiment et qui se penchent sur le sujet depuis des dizaines d’années disposent d’arguments qui ne sont pas totalement ridicules. Il faudrait être stupide ou de mauvaise foi pour penser ces platistes simplement allumés…

L’épreuve du feu, la Terre est plate

Carte de la Terre plate(([8] http://1.bp.blogspot.com/-Rs8wjZYIEEg/VinyzHEsnAI/AAAAAAAAB4s/oRXi1JJ-kow/s1600/Azimuthal%2BEquidistant%2BProjection.jpg)):

On peut voir sur la carte que l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont extrêmement éloignées de l’Amérique du Sud ou de l’Afrique du Sud.

Méthodologie :

Pour ce faire je me suis appuyé principalement sur 2 documentaires :

Bien entendu, je le répète, il me faut sortir du « c’est complètement con », car toutes les théories du complot peuvent être qualifiées ainsi.

Voici pêle-mêle quelques arguments platistes qui peuvent faire écho et dont je n’aborde pas dans mon texte principal les raisons scientifiques pouvant les contrer.

  • En premier lieu, nous vivons dans le mensonge permanent. Le complot est mondial(([12] Sur ce point-là je ne peux que les suivre, les complots ne manquent pas, mais même si cela plaide en leur faveur, ce n’est pas pour autant une preuve.)).
  • Comment est-il possible de voir depuis un point du globe un autre point qui ne pourrait être visible du fait de la courbure de la Terre(([13] Il est possible de voir au-delà de l’horizon en fonction de certaines conditions atmosphériques grâce à la réfraction de la lumière. C’est pourquoi on peut observer le bas d’un mur ou d’un immeuble au bout d’un lac alors même qu’il devrait être invisible du fait de la courbure de la Terre. Cela fonctionne aussi avec les ondes radio. Dans une autre vie, je pouvais capter en été la télé de Catalogne avec une antenne râteau alors que j’étais à plus de 300 km de l’émetteur terrestre. En revanche l’opération était impossible en hiver.))?
  • Pourquoi ne sommes-nous pas éjectés à l’équateur alors qu’il y a une vitesse de 1600 km/h. Les plus anciens d’entre-nous se rappellent avoir posé un petit objet au bord d’un 33 tours pour le voir s’envoler(([14] C’est une notion de vitesse relative. Si nous lâchons une gomme à 1 mètre du sol à bord d’un TGV à 300 km/h, elle devrait se fracasser à l’arrière du wagon ou du moins tomber en arrière. Si la gomme était à l’arrêt au moment où on la lâche, elle mettrait 0,5 seconde à chuter d’une hauteur d’un mètre. À 300 km/h le TGV parcourt 83 mètres par seconde. Ainsi la gomme tomberait 37 mètres en arrière. En réalité la gomme tombe à la verticale, car elle se déplace aussi à 300 km/h. L’air dans le train se déplace aussi à 300 km/h sinon nous aurions une sensation de vent. Ainsi une mouche peut voler dans un TGV sans être contrainte de voler aussi vite que la vitesse du train.)).
  • Pourquoi ne sommes-nous pas réduits en poussière si l’on tient compte de la vitesse supposée de la Terre autour du soleil, de la vitesse du système solaire dans la galaxie, de la vitesse de la galaxie dans l’univers, etc. soit des millions de km/h(([15] Comme pour le TGV, ce qui compte c’est l’accélération et la vitesse relative. Si la Terre s’arrêtait de tourner d’un coup nous serions éjectés. Dans un TGV nous ne sentons pas l’air dans le wagon, ni la moindre sensation d’accélération ou de freinage lorsqu’il est à vitesse constante. Ainsi, que l’on soit à 5 km/h ou 1 million de kilomètres par heure si tout ce qui nous entoure est à la même vitesse il n’y a aucune vitesse relative entre nous et notre environnement direct.))!
  • Lors d’un vol en avion à 10000 m d’altitude, l’horizon demeure rectiligne(([16] Le diamètre de la Terre est tel qu’un petit segment semble rectiligne. Il faut s’élever à environ 30 km pour que la courbure de la Terre devienne vraiment visible avec un angle de 5 degrés. Voir la simulation sur
  • https://www.youtube.com/watch?v=xpUcZXiKtfU&t=592s)).
  • Il n’y aurait aucune photo de la Terre, seules des photos assemblées et photoshopées(([17] Ici on est contraint de basculer dans de la conspiration à très grande échelle. Pas de stations orbitales, pas d’humains en orbite, pas de sondes envoyées sur mars ou autres qui ont pu prendre la Terre en photo.)). (Et si nous ne sommes jamais allés sur la lune, impossible de photographier la Terre dans son intégralité. J’imagine qu’il n’y aurait aussi aucune sonde comme Voyager et autres).
  • Les GPS(([18] Je n’ai pas de réponses à apporter. Vrai ? Pas vrai ? Pourquoi ? Aucune idée !)) ne fonctionneraient pas en antarctique. « preuve » qu’ils ne tournent pas sur une sphère.
    [Note de Joseph : la trentaine de satellites GPS ne couvre approximativement que la zone située entre les cercles polaires nord et sud, mais pas ce qui se trouve plus près des pôles, comme on peut le voir notamment à partir du site https://satmap.space qui permet de visualiser en temps réel la position des satellites par rapport à la surface de la Terre. Voir la carte pour le 9 juin 2022 à 11 heures 30, heure du Québec : ici. Il y a peu de satellites qui adoptent une orbite passant près des pôles.]
  • Il n’y aurait aucun vol direct(([19] Je suis en train de suivre un vol entre Santiago du Chili et Auckland en Nouvelle-Zélande et il est bien direct au-dessus du pacifique. La durée du vol constituant une preuve.
    https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) via l’océan Pacifique et les avions feraient un énorme détour. Avec une terre plate, pas le choix.

Ils proposent aussi des réponses à de nombreuses questions comme par exemple :

  • Comment ne tombons-nous pas au bord et comment les océans ne se vident pas dans l’espace ? Tous les continents seraient autour du centre du disque et il y aurait un gigantesque océan circulaire bordé de glace(([20] Si cette vision est réelle, nous sommes dans un complot mondial qui implique des millions de complices. Aviateurs, marins, astronautes, satellites, météorologues et j’en passe.))
    [Note de Joseph : la théorie de la gravitation qui est validée par de nombreuses expériences et observations répond simplement à cette question et n’implique aucun complot : la masse de la Terre retient aussi bien l’eau que l’atmosphère].
    La dimension du cercle serait inconnue, peut-être même quasi infinie. Je ne vous dis pas comme on est dans la merde s’il y a un réchauffement climatique et que les glaces fondent !
  • Comment peut-il y avoir des saisons alors qu’il n’y a pas d’hémisphères(([21] https://www.youtube.com/watch?v=R52_PdZlSq8))? En fait la Terre et la Lune seraient des petits spots qui tournent au-dessus du disque et qui selon leur position feraient les saisons.
    [Note de Joseph : ceci ne fournit aucune explication pour justifier la rotation de ces spots et qui plus est sur des cercles de taille variable selon les saisons. De plus, s’imaginer que le Soleil serait juste un spot tantôt lumineux et tantôt éteint — éventuellement accroché sur un dôme invisible ou transparent — est incompatible avec le fait que les habitants de la France voient le Soleil lumineux et haut dans le ciel quand il fait encore nuit au même moment au Québec et qu’il est encore sous l’horizon. Un même spot ne peut pas être simultanément éteint et allumé.]
  • Et les éclipses(([22] https://www.youtube.com/watch?v=dtHuTVXZGFw))? Il y a plusieurs théories, soit le soleil et la lune se retrouveraient au même endroit du fait de leur rotation en escargot, soit, comme dans le Truman Show, il y aurait un dôme gigantesque au-dessus du disque. Nous serions alors dans une expérience. L’histoire ne dit pas ce qu’il y aurait au-delà du dôme ni ses dimensions.
    [Note de Joseph : jusqu’à preuve du contraire ces « théories » sont incapables de prédire la position et le moment exact des éclipses, ni d’ailleurs des heures de lever et de coucher des différents astres, ni de leur passage au méridien du lieu… contrairement à la mécanique céleste basée sur la théorie de la gravitation.]
  • Le mouvement relatif des planètes. Si on regarde le mouvement de Mars(([23] http://wheresthecurve.org/2019/02/flat-earth-mars-retrograde-is-impossible)), à certaines périodes on peut avoir le sentiment que la planète recule. C’est logique si la Terre et Mars tournent autour du Soleil du fait des vitesses relatives, mais assez délirant si on pense que Mars tourne autour de la Terre. Quand bien même Mars tournerait autour du soleil, cela n’expliquerait pas le mouvement. Certains platistes ne trouvent pas gênant qu’une planète puisse faire demi-tour quant à ceux qui croient qu’il y a un dôme, ceci ne pose aucun problème étant donné que l’on peut projeter ce que l’on veut sur celui-ci. Les techniciens du dôme ne manquant pas d’humour en faisant reculer Mars…
  • Si la lune était en orbite autour de la Terre, elle serait éjectée ! Cela pose un problème parce que nous avons observé que les lunes de Jupiter tournaient autour de la planète, or Jupiter se déplace encore plus vite que la Terre. Pourquoi ne sont-elles pas éjectées ? Il existe des théories que je n’ai pas comprises sinon il y a le dôme dans lequel on peut projeter ce que l’on veut. Ici encore nous sommes dans la conservation du mouvement, aussi bien la Terre que la lune se déplacent à la même vitesse et il y a les phénomènes de gravité.

Toutes ces théories et explications peuvent sembler tordues ou même très tordues, mais ne prouvent ni que la Terre est une sphère en rotation, ni qu’elle est un disque(([24] Disons que je suis gentil.)).

Quelques questions sans réponse !

  • Le pendule de Foucault. Expérience assez simple. Vous attachez un poids (ici 30 kg) sur un câble de 60 mètres. Vous tirez le poids et le lâchez. Si la Terre ne tourne pas alors le pendule va osciller sur le même plan (pendant quelques heures du fait des frottements). Mais si elle est en rotation (et sphérique) alors le plan va se modifier au fil des heures, la Terre n’étant plus au même endroit. A priori les platistes ne disposent d’aucune théorie qui tienne la route pour expliquer ce phénomène observable.
  • Le gyroscope(([25] https://www.youtube.com/watch?v=WUHH32sQVx4)) C’est une toupie alimentée qui tourne sans s’arrêter. Elle se positionne par défaut perpendiculairement au sol et résiste à tout changement de position. Si la Terre ne tourne pas, alors la position ne change jamais. Mais hélas pour les platistes, il y a un décalage de 15 degrés par heure. C’est pourquoi les avions disposent d’un système de correction et un gyroscope non rigide, mais sensible à la gravité. Ici encore je n’ai pas eu accès à une explication des platistes qui puisse me convaincre.
  • L’interféromètre Ligo(([26] https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/lisa-pathfinder-feu-vert-ondes-gravitationnelles/)) aux USA. Pour son fonctionnement il est indispensable de disposer de 4 km de ligne droite. Comme les ondes vont tout droit, si la Terre était un disque, il suffirait de fabriquer un support rectiligne. Mais si elle est sphérique, alors l’onde générée va se retrouver dans l’espace au bout d’une certaine distance. C’est pourquoi ils ont dû construire un support dont l’extrémité était un mètre plus haut pour compenser la courbe de la Terre. Cette expérience est relativement facile à reproduire au bord d’un lac si on dispose d’un laser assez fin.
  • Les dépressions(([27] https://meteocentre.com/intermet/pression/pression8.htm)). Dans l’hémisphère nord, les dépressions tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et dans l’hémisphère sud dans le sens des aiguilles d’une montre. Pourquoi en serait-il ainsi sur une Terre plate ?
  • Les Satellites(([28] https://flatearthfacts.com/flat-earth-model/proof-the-earth-is-flat/satelliets-dont-exist/))(([29] https://www.youtube.com/watch?v=8_SYJIPPq-8&t=9s)) Difficile de mettre des satellites au-dessus d’un disque immobile sans qu’ils tombent. Il n’y aurait donc aucun satellite et tous seraient des fakes, uniquement des tours d’émission (que personne n’a vue). À se demander comment les GPS pourraient fonctionner sur l’océan. À titre personnel j’ai bien pointé des antennes satellites et il fallait une sacrée précision pour récupérer le signal. Comment cela pourrait-il fonctionner à l’équateur alors que les antennes satellites sont positionnées à 90° vers le ciel ? Mystère.
  • La preuve par le Chili et la Nouvelle-Zélande. À 5 h 14 GMT un avion(([30] https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) a décollé ce jour de Santiago(([31] https://latitude.to/map/cl/chile/cities/santiago)) du Chili à destination d’Auckland(([32] https://latitude.to/map/nz/new-zealand/cities/auckland/articles/page/1)) en Nouvelle-Zélande. Quand bien même on nous ment, son atterrissage est prévu à 17 h 42 GMT soit un temps de vol de 12 h 28 (auquel il faudrait rajouter 30 minutes de taxi au sol). La distance(([33] http://walter.bislins.ch/bloge/index.asp?page=Distances+on+Globe+and+Flat+Earth)) entre Santiago et Auckland est de 8 932 km sur une Terre sphérique, soit une vitesse moyenne de 673 km/h. Le problème, et de taille, est que la distance entre ces deux villes est de 21 952 km sur une Terre plate !!! La distance n’est pas discutable, la durée du vol n’est pas discutable et vérifiable par les passagers, il n’y a aucun raccourci possible entre ces deux villes, ce qui fait que la vitesse moyenne de l’avion était donc de 1 760 km/h !

    Quand on regarde un Boeing 787-9 Dreamliner dont le rayon d’action officiel est de moins de 16 000 km, on ne peut pas dire qu’il ressemble à un avion supersonique comme le Concorde. Hors ce vol « extraordinaire » s’est fait à une vitesse moyenne de Mach 1,4. Non seulement l’avion disposait de capacité supersonique, mais de plus avec un rayon d’action de 20 000 km avec 250 passagers à bord ! Rappelons que le rayon d’action du Concorde était d’environ 6 200 km (3x moins) à Mach 2 pour 3 fois moins de passagers !

    Si d’aventure on nous avait aussi menti sur les lois de la physique et sur la résistance de l’air, pouvez-vous me dire pourquoi le vol Miami-Madrid du même jour a mis quant à lui 8 h 25 de vol pour 7 100 km soit du 840 km/h alors qu’il aurait pu mettre 4 heures en vitesse supersonique ? Bref voici une preuve, difficilement discutable, que la Terre n’est pas plate, mais sphérique.

Conclusion

Les tenants de la théorie qui sont si nombreux pourraient facilement se cotiser pour louer un cargo et partir faire le tour du monde (comme Christophe Colomb) ou aller vers les glaces du bord du disque dans la zone que nous appelons équateur. S’ils sont si sûrs d’eux, pourquoi ne pas le faire ?

Je crains que nous ayons la réponse. C’est comme pour Jean-Michel, il serait si simple de mettre fin à la rumeur…

Je ne crois donc pas que la Terre est un disque plat.

  • Non pas parce que je suis baigné depuis ma naissance par l’image d’une planète sphérique.
  • Non pas parce que l’idée serait ridicule au point de la balayer d’un revers de main.

Mais parce qu’il existe des preuves scientifiques solides qui montrent que la Terre est sphérique et que les théoriciens de la Terre plate ne peuvent expliquer.

Je viens donc de me prouver que j’ai la capacité intellectuelle d’adhérer ou pas à une théorie complotiste (et aussi la liberté de me tromper).

Je ne suis pas, comme pourraient l’affirmer les prétendus « vérificateurs », aveuglé par mon désir de voir des complots partout.

Suis-je rassuré de ne pas croire en la Terre plate ?

Oui, mais je suis en partie presque déçu. C’eût été sympa que ce soit vrai.

En revanche, là où ma colère ne tarit pas c’est à propos de ceux qui cherchent à discréditer systématiquement tous ceux qui doutent et adhèrent à une théorie autre dite « du complot ». Pour eux, dès lors que nous pensons que l’on nous ment au niveau mondial sur tel ou tel sujet, c’est la preuve de notre déviance et de notre folie.

Si je pense qu’il y a complot sur un des sujets suivants comme le Covid, le 11 septembre, l’homme sur la lune, la Terre plate, l’Ukraine, la variole du singe, la grippe de la tomate, le réchauffement climatique, les chemtrails, les ovnis ou les reptiliens, etc. c’est que j’ai abandonné tout bon sens, que je suis dans la foi, que je ne raisonne plus scientifiquement.

Il faut de fait obligatoirement me dénigrer, me faire taire ou me ridiculiser. Les médias et les vérificateurs de l’information sont unanimes à ce sujet :

« Il ne faut surtout pas discuter avec un complotiste, il va chercher à vous manipuler et biaisera la vérité pour ne pas changer de croyances. Les non-complotistes étant de bonne foi comme il se doit »

Il est là le fanatisme qui refuse le dialogue et fait que des scientifiques comme Toubiana, Perronne, Toussaint,… n’ont pas pu avoir un libre accès aux médias mainstream ni participer à des débats contradictoires.

Cette omerta, ce ministère de la Vérité étant de nature à alimenter toutes les théories complotistes.

Honnêteté ?

Alors suis-je scientifiquement et intellectuellement honnête ?

Si je n’adhère pas à la théorie de la Terre plate (qui a le droit d’exister) et que j’adhère à la théorie de la plandémie sur le Covid, est-ce une preuve que je serais dans l’erreur dès lors que je suis convaincu par l’existence d’une ou plusieurs théories dites complotistes ?

En voyant ces différents documentaires et en écoutant certains « sages » qui ne voient que pathologie psychiatrique ou absence totale de culture scientifique dans cette défiance, j’ai quand même été un peu écorné et contraint de me poser à nouveau la question « et s’ils avaient raison ? ».

Ne vous inquiéter pas cela n’a guère duré. Tous ces vérificateurs se sabordent eux-mêmes en disant qu’il y a consensus, en ne donnant pas la parole aux contradicteurs, en associant une pathologie mentale, en approuvant la censure, en dénigrant l’auteur qui sera quasi toujours « révisionniste, antisémite ou d’extrême droite ».

Ces censeurs qui nous reprochent de ne pas nous demander si nous sommes dans l’erreur ne se remettent jamais en question et ne mènent pas une enquête afin de découvrir leur vérité. Ils « enquêtent », mais uniquement à charge avec pour objectif unique de prouver que l’autre à tort.
Bref le contraire d’une démarche scientifique ouverte et d’une recherche de vérité.

J’ai de fait 1 000 fois plus de respect pour une personne qui doute, qui étudie et adhère à la théorie de la Terre plate qu’à ces gardiens de la Foi qui n’ont qu’une Vérité, aucune éthique, morale ou honnêteté intellectuelle.

Même si je le savais sur un plan théorique grâce au nombre délirant d’heures passées à me demander si je n’avais pas tort dans mes diverses croyances, j’ai désormais une preuve de plus de ma capacité à me faire MA propre opinion et résister à des théories « complotistes ».

Prouvez et je changerai d’avis !

Je sais aussi, comme je le savais déjà, que je suis prêt à croire que la crise du Covid n’est pas une plandémie, que Poutine est l’unique enculé, que Zelenski et les Américains sont des saints, que le réchauffement climatique est causé par l’activité humaine et le CO2, que le 11 septembre est un attentat terroriste, etc., mais à l’unique condition que vous m’ameniez des preuves solides et non des théories fumeuses.

Jamais un covidiste convaincu ne prendra le risque de voir s’effondrer son faux Dieu.

merci
Alain Tortosa
9 juin 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220609-terre-plate-verite-propre.pdf





La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Souvenir de Satan

Paul Ingram était un officier de gendarmerie respecté dans sa petite ville proche de Washington. Il vivait paisiblement avec sa femme et ses cinq enfants, et toute la famille fréquentait une église évangélique. Vers 1980, ses deux filles, Ericka et Julie, se mirent à fréquenter les retraites organisées par l’Église. C’est dans cette atmosphère charismatique de quête compétitive de l’Esprit saint et de combat contre le démon qu’Ericka eut son premier « flashback » d’abus sexuel.

Quelque temps après, d’autres « souvenirs » ayant émergé, Ericka raconta à sa mère, Sandy Ingram, qu’elle avait été régulièrement violée par son père et par ses deux frères aînés. Les viols avaient cessé, dit-elle, en 1975, lorsqu’elle avait eu neuf ans. Confronté par sa femme, Paul Ingram nia tout.

Puis c’est Julie qui commença à avoir des « souvenirs ». À son tour, elle confessa à sa mère qu’elle avait été molestée par son père et son frère aîné, jusqu’à l’âge de treize ans. Les deux filles firent des déclarations à la police : elles parlèrent alors d’avoir eu des relations sexuelles vaginales, orales et anales avec leur père, sous la contrainte, et ce, jusqu’à leur adolescence.

Paul Ingram fut arrêté. Il nia les faits et dit qu’il ne comprenait pas pourquoi ses filles l’accusaient. Mais il ajouta une phrase curieuse : « Je ne crois pas que j’ai une face obscure (a dark side). » Cette phrase lui était inspirée par la mythologie de son église, qui enseignait que le diable peut manipuler notre « face obscure » et nous faire accomplir des choses que nous oublions ensuite. C’est cette phrase qui perdit Ingram, d’autant plus qu’il la répéta plusieurs fois. Paul Ingram fut interrogé par des inspecteurs persuadés de sa culpabilité.

C’est alors qu’une chose extraordinaire se passa : Paul Ingram n’était plus très sûr de son innocence. Il commença à prier pour demander à Dieu de lui révéler ce qu’il avait fait. Et il obtint des visions dans lesquelles il se vit violer ses filles. Durant les interrogatoires, il arrivait à Ingram de partir dans une sorte de transe légère, et d’en rapporter des visions qu’il interprétait comme des « souvenirs » et qui étaient consignées comme des aveux.

Entre temps, les deux filles continuaient de « se rappeler » : elles racontèrent d’abord que d’autres hommes de la ville, notamment deux amis de leur père, les avaient violées et torturées en groupe. Ensuite, elles parlèrent d’avoir été forcées de participer à des rituels sataniques nocturnes, qui réunissaient des dizaines de personnes et où leur père jouait un rôle de prêtre ; entre autres horreurs, des bébés étaient rituellement tués et mangés. Au fur et à mesure qu’il était interrogé sur ces horreurs, Paul Ingram priait pour « se rappeler » … et confessait.

Il fut seul sur le banc des accusés, car aucun indice ou aveu ne permit d’inculper d’autres personnes. Et, maintenant convaincu de sa « face obscure », il plaida coupable du viol de ses filles. Vers la fin du procès, cependant, il se rétracta ; soudainement, il venait de réaliser que ses visions n’étaient pas de vrais souvenirs, que les viols, les tortures et les rituels sataniques n’avaient jamais eu lieu ailleurs que dans la tête de ses filles et dans la sienne. Mais ses aveux antérieurs pesaient trop lourd : en avril 1990, il fut condamné à vingt ans de réclusion.

Si le procès avait eu lieu deux ou trois ans plus tard, Paul Ingram n’aurait peut-être pas été condamné, car il aurait entendu parler des « faux souvenirs ». Ce phénomène étant maintenant mieux connu, les bavures judiciaires se font plus rares.

L’histoire de la famille Ingram a été largement suivi par les médias américains et a fait l’objet d’un excellent livre, Remembering Satan, de Lawrence Wright, et plus récemment d’un remarquable film de 33 minutes par Nick Nerburn, PAUL : The Secret Story of Olympia’s Satanic Sheriffvisible sur Vimeo.

La famille Ingram dans les jours heureux

Histoires vraies de faux souvenirs

Les faux souvenirs sont un phénomène qui a pris une dimension vertigineuse aux États-Unis avec la vogue des psychothérapies régressives (Recovered Memory Therapies), qui ont en commun de chercher la clé des problèmes psychologiques présents dans les souvenirs traumatiques refoulés de l’enfance, et d’utiliser pour cela l’hypnose ou des techniques approchantes, qui provoquent un état de conscience modifiée, hautement suggestible. Le phénomène touche très majoritairement des femmes.

Voici l’histoire typique d’Olivia McKillop. Dans les années 1970 Olivia avait toujours été une enfant heureuse et épanouie. Pourtant, durant sa dernière année de lycée, elle sombra dans une dépression et entama une thérapie avec Tricia Green. Dès la fin de la première séance, sans qu’Olivia ait évoqué le moindre abus de la part de ses parents (elle se plaignait plutôt d’avoir été trop protégée et choyée), la psychothérapeute Tricia Green lui confia un livre destiné aux adultes qui ont subi des abus sexuels durant leur enfance mais l’ont oublié. Ce livre était The Courage to Heal, de Ellen Bass et Laura Davis, paru en 1988 et vendu à plus de deux millions d’exemplaires.

Sous l’influence de cette lecture et des questions orientées de sa psy aux séances suivantes, Olivia se sentie entraînée dans un autre monde. « Progressivement, j’ai commencé à voir ma famille comme vraiment abusive et dysfonctionnelle. » Puis Tricia Green la conduisit à travers des séances de visualisation guidée, pour « faire remonter le passé ». Elle se concentra sur une scène banale de son enfance : un jour à la garderie, un réparateur était venu s’occuper du piano. « Et soudainement, j’ai visualisé qu’il se couchait sur moi. J’imaginais cet homme en train d’enlever mon pantalon et mon pull et se mettre à me lécher et à m’embrasser partout. »

Ce « flashback », comme l’appela sans hésitation Tricia Green, bouleversa Olivia. Après cette séance, Olivia acheta d’autres livres sur les abus sexuels, le refoulement et les souvenirs « récupérés ». Elle en fut profondément affectée. « Lorsque je me rendis à mon rendez-vous suivant, j’avais endossé l’identité d’une “rescapée de l’inceste” [incest survivor], et il n’y avait plus de retour possible. »

Au fil des séances, de nouveaux « flashbacks » l’assaillirent. « Finalement, je me suis mise à croire que j’avais été molestée par six hommes en tout, y compris mon grand-père, mon père et mon frère Jerry. » Olivia passa ainsi deux ans en thérapie. Elle quitta ses études et déménagea loin de ses parents. Toute sa vie et l’image qu’elle se faisait d’elle-même étaient maintenant dominées par la certitude d’avoir subi d’atroces sévices sexuels de la part de sa propre famille.

Un premier doute sérieux la frappa lorsqu’un enfant se confia à elle (elle était, cet été-là, animatrice dans un camp d’enfant) : « Mademoiselle, mon Papa fait quelque chose de mal avec moi, parce qu’il dort avec moi dans mon lit. » En regardant cet enfant, Olivia réalisa que, dans son enfance, elle n’avait jamais éprouvé la souffrance et la confusion qu’elle lisait maintenant dans ce visage. Grâce au soutien de quelques amis qui, la connaissant depuis longtemps, ne croyaient pas une seconde à ses histoires d’abus sexuel, Olivia parvint à retrouver sa raison et prit conscience d’avoir été manipulée par sa thérapeute. Lorsqu’elle entendit parler du phénomène des « faux souvenirs », ce fut une révélation. Aujourd’hui, elle a renoué avec ses parents et son frère, qui lui ont pardonné ses accusations.

Son cas est tout sauf rare. Des dizaines d’autres sont rapportés dans le livre de Mark Pendergrast, Victims of Memory, le plus complet des livres publiés sur le phénomène des « faux souvenirs » [1]. D’autres cas sont rapportés dans Le Syndrome des faux souvenirs, écrit par Elizabeth Loftus, spécialiste de la mémoire et présidente de l’American Psychological Association avec l’aide de Katherine Ketcham [2].

Aucun des auteurs qui ont exploré et dénoncé le phénomène des faux souvenirs induits par régression hypnotique ne remet en question l’ensemble des témoignages de victimes d’inceste, ni même le fait que des souvenirs d’abus sexuels dans l’enfance puissent être réellement enfouis pour surgir brutalement à la conscience à l’âge adulte. Le phénomène a été documenté et théorisé par Pierre Janet entre 1885 à 1887. Il est bien illustré par l’histoire de Marilyn Van Derbur, Miss America 1958, qui, à l’âge de 24 ans, a retrouvé spontanément (sans hypnose) les souvenirs des abus sexuels de son père depuis l’âge de 5 ans. Son histoire, qu’elle révéla publiquement en 1991, fit les premières pages de journaux et encouragea nombre de victimes d’inceste à rompre le silence. Voici comment elle explique sa dissociation dans son autobiographie Miss America By Day :

« Le matin, j’étais la jeune fille joyeuse, pétillante, respectée, disciplinée, hautement morale. C’était la réalité pour moi, l’enfant du jour. L’enfant heureux était réel. Mon esprit avait trouvé un moyen de prendre les souvenirs et les sentiments de terreur, d’humiliation, de rage, d’impuissance et de désespoir et de les compartimenter dans une autre partie de mon cerveau, de mon corps et de mon âme. La seule façon de survivre face à une autre nuit était de ne pas me souvenir de ce qu’il s’était passé. Comment pourrais-je passer une journée à l’école en jouant avec mes amis, en répondant aux questions posées par le professeur, en rentrant à vélo à la maison ? Comment pourrais-je survivre à une routine quotidienne si je me souvenais de ce qui m’attendait la nuit ? […] Sans m’en rendre compte, je me suis battu pour garder mes deux mondes séparés. Sans jamais savoir pourquoi, je faisais en sorte, dans la mesure du possible, que rien ne passe entre le cloisonnement que j’avais créé entre l’enfant du jour et l’enfant de la nuit. »

Ce n’est qu’à l’âge de 24 ans que les souvenirs de « l’enfant de la nuit » lui sont revenus. il fait peu de doute que cette histoire est véridique (voir les vidéos sur son site www.missamericabyday.com). Mais il faut noter que Marilyn Van Derbur n’a pas eu besoin de l’hypnose pour se souvenir. Les souvenirs sont remontés naturellement, lorsqu’elle a en quelque sorte décidé qu’elle était mûre pour les affronter.

Il faut se garder de généraliser, mais ce qui est en cause dans la controverse sur les faux souvenirs, ce sont les visions obtenues par des techniques de « régression » relevant de l’hypnose, généralement accompagnées de suggestions de la part de thérapeutes. Ce qui est également en cause est une conception quasi informatique de la mémoire humaine, très éloignée du modèle développé par Janet. Selon Janet, la « dissociation » ne s’apparente pas à l’enregistrement de souvenirs préservés de façon fidèle dans l’inconscient ; il s’agit plutôt de contenus psychiques chargés d’émotions négatives, qui prennent une vie autonome sous le seuil de la conscience ordinaire. Par ailleurs, Janet n’a jamais utilisé ni recommandé l’hypnose pour retrouver des souvenirs, car l’on s’avait déjà à son époque que l’hypnose pouvait générer de faux souvenirs.

Le scénario classique en question est le suivant. Une jeune femme consulte un psychothérapeute pour un problème relativement bénin (crise conjugale, problème de poids, dépression, etc.). Le psy, adepte de la théorie selon laquelle l’inceste explique tout, influence sa cliente dans ce sens et l’encourage à retrouver des « souvenirs refoulés », la soumettant pour cela à des conditionnements émotionnels divers, et souvent à des séances d’hypnose. La patiente finit par produire des « souvenirs » d’inceste. Au fil des séances, de nouveaux souvenirs apparaissent, de plus en plus atroces, allant éventuellement jusqu’à des scènes de viols collectifs, de meurtres rituels, de cannibalisme. Les thérapeutes qui accompagnent les patientes dans cette descente aux enfers soutiennent que les scènes visualisées correspondent à des événements réels de la vie de la patiente, dont le souvenir aurait été massivement « refoulé » (repressed). Mais loin d’avoir résolu son problème initial, la patiente se transforme en victime paranoïaque, et il n’est pas rare qu’elle finisse à l’hôpital psychiatrique, après avoir traîné ses proches au tribunal sous les accusations les plus horribles.

Certaines de ces patientes, de plus en plus nombreuses à mesure que le phénomène des faux souvenirs a été mieux connu, finissent par remettre en doute leurs « souvenirs » et parfois se retournent en justice contre leurs thérapeutes. Comme Olivia McKillop, elles passent du camp des incest survivors à celui des retractors. Selon leurs psychothérapeutes, elles ont cédé à la pression sociale et à la honte. Fuyant devant leur réalité intérieure et familiale, elles préfèrent retourner dans le « déni », sorte de refoulement bis.

Mais les « rétracteurs », eux, ne voient pas les choses ainsi : elles pensent avoir été victimes de manipulation mentale de la part de leurs psychothérapeutes. Les « flashbacks » qu’elles ont pris un temps pour des souvenirs réels n’étaient en fait que des productions de leur esprit, déclenchées par suggestion hypnotique, mais aussi par leur propre désir de satisfaire leur thérapeute et de trouver une explication à leur problème. Nombre des ces ex-patientes (ce sont très majoritairement des femmes) se sont regroupées en association et publient une lettre d’information, The Retractor.

Le débat est loin d’être clos. Peu de psychothérapeutes ont fait amende honorable. La plupart crient au complot, et s’efforcent de convaincre leurs patientes que les gens qui parlent de « faux souvenirs » sont motivés par une idéologie réactionnaire et veulent perpétuer le déni de l’inceste. La False Memory Syndrome Foundation est accusée d’être une couverture pour les pédophiles. Tout au long des années 1990, le sujet a secoué et divisé la profession des psychiatres et psychothérapeutes, qui restent encore incapables, d’un côté comme de l’autre, de donner une explication pleinement satisfaisante des phénomènes.

Depuis 1994, plusieurs livres ont commencé à répercuter l’opinion des sceptiques, à explorer l’hypothèse des « faux souvenirs ». Il ne s’agit pas, pour leurs auteurs (comme Elizabeth Loftus ou Mark Pendergrast), de nier la réalité des abus sexuels d’enfants. Cette réalité est courante et effrayante, et personne ne cherche à la minimiser. Précisément, soulignent ces auteurs, la mascarade des faux souvenirs d’inceste nuit fortement au combat légitime des vraies victimes d’inceste. Il ne s’agit pas non plus d’affirmer que tous les souvenirs obtenus sous hypnose sont faux, mais d’aborder le phénomène avec beaucoup plus de prudence.

Mon mensonge. Une histoire vraie de faux souvenir, de Meredith Maran (2010)

Souvenirs programmés

Voici un autre récit de « rétracteur », tiré comme celui d’Olivia McKillop du livre de Mark Pendergrast.

« Laura Pasley est l’une des premières à avoir gagné son procès contre son thérapeute, Steve. Elle était allée le consulter pour tenter de résoudre sa boulimie et son obésité. “Dès ma première séance, en 1985, Steve me demanda si j’avais jamais été abusée sexuellement. Je lui ai dit que c’était le cas. Lorsque j’avais neuf ans, à la piscine, un garçon que je ne connaissais pas avait mis son doigt dans mon vagin, à travers mon maillot de bain, sous l’eau.” Mais cet incident, qui avait fortement marqué Laura et dont elle se rappelait parfaitement, n’intéressait guère Steve. “Il m’a dit que je devais découvrir des choses enfouies plus profondément. Il m’a dit que, puisque j’avais un trouble alimentaire, cela signifiait automatiquement que j’avais été sérieusement molestée. Nous sommes donc partis à la recherche de souvenirs enfouis.” »

De relaxations en visualisations, les « souvenirs » ont effectivement commencé à émerger. Laura fit bientôt apparaître dans son esprit des visions de sa mère pénétrant ses organes sexuels avec ses doigts, puis avec un cintre. Son thérapeute lui conseilla de participer à une thérapie de groupe qu’il dirigeait. L’effet de groupe est propice aux flashbacks. Il s’y produit une forme de transe collective, où les « souvenirs » et les ressentiments de chacun stimulent les autres. « J’avais ces flashbacks horribles de recevoir des lavements froids et des objets divers insérés dans mon vagin. Une autre fois, je vis mon frère et ses amis me pendre par les pieds. […] Finalement, je vis des scènes de viol collectif et de viol par des animaux. » L’état de santé de Laura ne s’arrangeait pas. Mais Steve la rassurait : il fallait que son état empire avant de s’améliorer.

Comme bien d’autres, Laura commença à s’éveiller de ce cauchemar lorsqu’elle entendit parler des « faux souvenirs ». « C’était comme si une lumière s’était allumée dans ma tête. Lorsque j’ai réalisé ce qui s’était passé, j’ai appelé un bon psychologue. Je lui ai dit : “Ces flashbacks semblaient si réels ; ils étaient vraiment réels.” Elle me répondit : “Ils étaient réels, mais pas la réalité.” Je n’ai jamais oublié ces paroles. » Laura passa le mot aux autres femmes du groupe. « Maintenant, nous avons toutes arrêté, sauf une fille, qui est vraiment un cas tragique. Elle a accusé sa mère de rituel satanique, et d’avoir assassiné sa sœur jumelle à la naissance. Peu importe qu’il n’y eût qu’une seule naissance enregistrée sur le certificat : elle pense que la secte satanique a trafiqué le certificat. »

Aussi incroyable que cela paraisse, des cas comme ceux d’Olivia McKillop et de Laura Pasley se comptent par dizaines de milliers aux États-Unis. Beaucoup ont d’abord accusé leurs parents, encouragés par leurs psychothérapeutes qui considèrent cette démarche comme libératrice. Et bon nombre sont allés jusqu’à les attaquer en justice. Il y a dix ans à peine, plusieurs de ces procès ont abouti à des condamnations de parents, sur la base exclusive de « souvenirs » déclenchés sous hypnose vingt ou trente ans après les faits supposés.

L’un des cas les plus célèbres trouve son origine dans des souvenirs « retrouvés » par Eileen Franklin en 1988, concernant le meurtre de son amie Susan Nason en 1969. Eileen et Susan avaient alors 8 ans ; elles habitaient dans le même quartier et jouaient souvent ensemble. Susan fut retrouvée assassinée, le crâne défoncé par une pierre. On ne retrouva jamais le meurtrier… jusqu’à ce qu’Eileen, 20 ans plus tard, eut un flashback soudain dans lequel elle vit son propre père, George Franklin, violer et assassiner son amie Susan. Son témoignage, basé exclusivement sur des « souvenirs retrouvés » en thérapies, et jamais corroboré par le moindre indice, a suffi à faire condamner son père.

Dans certains de ces procès, le jury a été impressionné par le fait que les accusations émanaient de plusieurs personnes. Ce fut le cas de la famille Souza, qui aboutit à l’emprisonnement pour 9 et 15 ans d’un couple de 61 ans. Tout commença par les accusations d’une de leurs filles, Shirley Ann, qui se « souvint » en thérapie avoir été sexuellement molestée par eux durant son enfance. Suspectant que ses parents avaient peut-être, par la suite, aussi molesté ses deux enfants (leur petits-enfants), Shirley Ann traîna ces derniers chez un psychothérapeute pour enfants. Celui-ci conclut simplement que les enfants étaient victimes d’une pression anormale de la part de leur mère. Dépitée, Shirley Ann les emmena alors chez un autre psy, qui lui donna le diagnostic qu’elle cherchait : ses enfants montraient les symptômes d’abus sexuels. Après quelques séances, les enfants commencèrent à avoir des cauchemars à connotation sexuelle. Bientôt, ils étaient mûrs pour témoigner au procès. Nancy, 4 ans, déclara que ses grands-parents mettaient « toute leur main » dans son vagin, et même « leur tête ». Elle décrivit une machine grande comme une pièce entière, avec des mains qui « faisaient mal », que ses grands-parents actionnaient en appuyant sur un bouton. Cindy, sa sœur de 5 ans, raconta d’autres horreurs du même genre. Aucune trace physique d’abus ne fut relevée sur ces enfants. Pourtant, le jury déclara les Souza coupables.

Aujourd’hui, les condamnations de ce type sont plus rares. Le travail d’information de la False Memory Syndrome Foundation a porté ses fruits, et presque tous les États d’Amérique se sont dotés de lois interdisant à une Cour de prendre en compte des souvenirs obtenus sous hypnose. Cela ne règle que partiellement le problème, parce qu’il suffit à une plaignante de ne pas évoquer l’origine hypnotique de ses « souvenirs » pour que ceux-ci soient recevables, et parce que le pouvoir de suggestion ne se limite pas à l’hypnose au sens strict, comme on peut le voir dans l’histoire des Ingram, où ce sont plutôt les pratiques de l’évangélisme charismatique qui sont en cause.

Souvenirs d’abus rituels sataniques

Dans les années 90, le thème des rituels sataniques est apparu de plus en plus fréquemment dans les « souvenirs retrouvés ». Dans leurs « flashbacks », des centaines de patients ont vu des scènes d’une obscénité et d’une violence inouïes, se passant dans un cadre diabolique. Sous hypnose, ils se « remémoraient » avoir subi, dans leur enfance ou leur adolescence, des sévices et des tortures atroces au cours de rituels sataniques impliquant de nombreuses personnes de leur famille ou de leur entourage.

Sur la base de tels témoignages, la rumeur s’est répandue qu’un vaste réseau sataniste sévissait en Amérique ; leurs rituels comportaient notamment des tortures horribles, des viols collectifs et la consommation de chair humaine, notamment celle de bébés qu’ils assassinaient devant leur mère. Ils possédaient des techniques de manipulation mentale leur permettant de faire oublier à leurs victimes tout ce qu’elles subissaient dans ces rituels nocturnes, de sorte que celles-ci menaient une vie d’apparence normale durant le jour.

La rumeur, relayée par les grands médias, prit une ampleur telle que le FBI fut mis sur l’affaire. Aucune trace n’a pu être trouvé des dizaines de milliers de fœtus et de bébés que les satanistes étaient réputés avoir massacrés. Mais, bien sûr, cela ne fit qu’agrémenter la rumeur du soupçon de la complicité du FBI.

La touche satanique des souvenirs récupérés avait été introduite en 1980 par un livre retentissant, Michelle Remembers. Michelle Smith, une femme de vingt-sept ans, souffrait d’une dépression consécutive à trois fausses-couches, lorsqu’elle consulta le psychiatre Lawrence Pazder. Au bout de quatre ans de thérapie, Michelle commença à « se rappeler », dans une forme de transe hypnotique, des scènes dignes d’un film d’horreur. Encouragée par l’écoute attentive, fascinée et crédule de son psychiatre, elle finit par se convaincre qu’elle avait subi, lorsqu’elle avait cinq ans et durant plus d’une année, des sévices sexuels et des tortures entre les mains d’une secte satanique, menée par le diable en personne, et dont sa mère (décédée à l’époque de la thérapie) aurait été membre. « Ses souvenirs profondément enfouis, restés virtuellement intacts durant vingt-deux ans, ont fait surface avec une pureté qui est un phénomène en soi », commente le docteur Pazder. Entre autres choses, Michelle aurait été enfermée nue dans une cage pleine de serpents, ou encore enterrée vivante dans une tombe ; elle aurait été témoin du massacre de plusieurs bébés et de fœtus humains, et elle aurait été forcée de commettre des actes sexuels d’une rare obscénité. Après chaque événement, un mécanisme de refoulement programmé par la secte serait entré en action, si bien que Michelle aurait continué une vie d’apparence normale et aurait tout oublié jusqu’à sa vingt-septième année (tandis que ses deux sœurs, elles, n’ont jamais rien remarqué). Michelle Remembers fut un immense succès de librairie, et fut largement responsable de la satanic panic des années 90. C’est le livre qui convainquit Ericka Ingram des pratiques sataniques de son père.

Certaines églises évangéliques américaines, obsédées par le démon, ont fait grand usage des souvenirs récupérés de SRA (Satanic Ritual Abuse). Plusieurs psychothérapeutes qui ont aidé des patients à produire des faux souvenirs de satanisme étaient des pasteurs évangéliques, ou pratiquaient dans un cadre religieux. Parmi la littérature chrétienne, on retiendra Dance With the Devil, un témoignage par Audrey Harper, une chrétienne born-again qui se « rappelle » avoir été plusieurs fois fécondée pour mettre au monde des bébés destinés à être consommés lors de rituels sataniques.

Souvenirs de vies passées … et futures

La vogue des régressions hypnotiques a produit d’autres phénomènes que des faux souvenirs d’inceste. Aux États-Unis, un vaste courant psychothérapeutique pratique les régressions dans les « vies antérieures ». L’Association of Past-Life Therapists (Association des thérapeutes de vies antérieures) compte plus de mille adhérents, mais les thérapeutes qui pratiquent occasionnellement les régressions dans les vies antérieures se comptent pas dizaines de milliers. Ces techniques de régression arriveraient, selon certaines sources, au troisième rang des thérapies alternatives [3].

La vogue a pénétré massivement en France dans les années quatre-vingt. Patrick Drouot, son importateur le plus connu, estime avoir fait effectuer des « retours » à environ 2 500 personnes, parmi lesquelles quelques célébrités comme Sheila, qui en tira un livre. Drouot aurait formé plus de 400 personnes à ce métier d’avenir. Bien entendu, il connaît ses propres vies antérieures. « À une époque où le temps existait hors du temps », il a volé sur un cheval ailé, à la rencontre de démons et autres êtres fantastiques. Il a parlé avec la déesse de la Lune à la peau bleu. Il a été aigle (« Comment vous faire part de ce sentiment de liberté que j’ai éprouvé quand le vent a caressé mes plumes ? »). Plus récemment, il y a 9 000 ans, il fut Rwhall, le valeureux guerrier [4]. Dans Nous sommes tous immortels, un livre qui s’est vendu à 350 000 exemplaires et lui a valu 60 000 lettres, il se présente sous les traits de la druidesse Govenka, expertes en cristaux magiques.

La version réincarnationniste des régressions mémorielles est un sous-produit de la vogue des psychothérapies dynamiques. Typique est le parcours du Dr Brian L. Weiss, psychiatre de Miami et auteur du livre à succès De nombreuses vies, de nombreux maîtres. Au départ, Weiss s’intéressait à l’utilisation de l’hypnose pour retrouver des souvenirs d’enfance refoulés. Une de ses patientes, Catherine, souffrait de diverses phobies : « Elle avait peur de l’eau, peur de s’étouffer en prenant des pilules, peur des avions, peur du noir, et enfin la mort l’épouvantait. » [5] Elle avait aussi des cauchemars. Le Dr Weiss tenta l’hypnose, dans l’espoir de déceler des souvenirs d’enfance refoulés qui pourraient expliquer ses troubles. Quelques épisodes traumatiques émergèrent dans un premier temps, mais sans effet thérapeutique notable. Il tenta donc de remonter plus loin dans la petite enfance. « Petit à petit, je ramenais donc Catherine à l’âge de deux ans, mais aucun souvenir significatif ne lui revint. Lorsque je lui ai ordonné, avec clarté et fermeté, de “retourner à l’époque où ses troubles avaient débuté”, j’étais bien loin de me douter de ce qui allait suivre. » En effet, Catherine visualise alors une scène qu’elle situe en 1863 av. J.-C. Puis défilent des « souvenirs » d’autres vies.

Enthousiaste, Weiss profite de l’occasion pour se renseigner sur ses propres vies antérieures : « Puisque Catherine avait reconnu sa nièce dans une vie antérieure, je ne pus résister à la tentation de lui demander si j’avais déjà fait partie de son entourage. J’étais curieux de connaître le rôle que je jouais dans ses souvenirs. » Docile, comme tout sujet sous hypnose, Catherine lui invente aussitôt un rôle : « Vous êtes mon professeur. Assis sur un rocher, vous commentez un livre. Vous êtes vieux et vous avez des cheveux gris. Vous portez une tunique blanche – une toge – à bande dorée. […] Nous sommes en 1568 avant J.-C. » [6]

La « thérapie des vies antérieures » a donné naissance à un curieux développement, consistant à projeter les patients, non pas dans leurs vies passées, mais dans leurs vies futures. Le Dr Helen Wambach, pionnière de la réincarnothérapie dans les années 70, se livra dans les dernières années de sa carrière à quelque 2 730 « progressions » dans l’avenir, fascinée par le fait que tous les sujets « progressés« dans une vie future entre les années 2100 et 2300 rapportaient des visions similaires, d’ « un monde effrayant dévasté par un holocauste nucléaire et par la pollution, et vide de végétation », la moitié d’entre eux se retrouvant « dans des colonies spatiales en orbite autour de la terre  » [7]. Récemment, c’est Bruce Goldberg qui s’est spécialisé dans les « progressions », guérissant ses patients en décelant les causes futures de leurs présentes maladies. Depuis 1977, il « aide des patients à surmonter des habitudes, des phobies et d’autres séquences auto-destructrices qui ont commencé dans une vie future ». Dans son livre Past Lives, Future Lives, reconnaissant qu’il est plus difficile de faire « progresser » des patients que de les faire « régresser », il explique cela par le fait que nous avons tous été « programmés pour croire que le futur n’est pas encore arrivé ». Luttant contre ce préjugé, Goldberg parvient à projeter un jeune homme en 2542. Il est alors Zeku, fils d’un savant du nom de Lus-Lus qui avait pour mission de construire une ville sous la mer. Comme on s’en doute, à cette époque, des changements notables ont eu lieu dans les domaines des transports : selon Zeku, « on pouvait être téléportés d’un endroit à un autre, ce qui consistait à désassembler les molécules de votre corps et à les réassembler au centre de transfert de votre destination ». À l’occasion, Goldberg réussit le tour de force de changer le futur. Ainsi, un de ses patients, Pete, a commis en 2088 une erreur gravissime dans l’usine nucléaire où il travaillait alors, causant un véritable désastre écologique. Mais, grâce à cette « progression », non seulement Pete va mieux mais, lorsqu’il sera ingénieur nucléaire en 2088, il fera plus attention, « s’accordant à une fréquence différente » pour éviter la désastreuse boulette [8].

Souvenirs d’abductions extraterrestres

Cette visite guidée dans la foire grotesque des faux souvenirs n’est pas terminée. Il nous faut encore mentionner une dernière variante de cette vaste mouvance des psychothérapies régressives : les souvenirs de rapts extraterrestres.

De quoi s’agit-il ? De souvenirs, là encore. Et d’un phénomène bien plus proche des faux souvenirs d’inceste qu’il n’y paraît au premier abord. Des Américains par dizaines de milliers se sont rappelé, généralement lors d’un traitement par hypnose, avoir été « enlevés » (ou « kidnappés », ou « ravis », trois traductions possibles du mot anglais abducted) par des extraterrestres. Ils rapportent avoir été aspirés dans leurs engins spatiaux pour y subir des expériences bizarres, qui comportent généralement des manipulations chirurgicales ou sexuelles. Bien souvent, ces souvenirs font irruption sans qu’on puisse les mettre sur le compte d’une suggestion de la part du psy hypnotiseur, ou d’une croyance prédisposante du sujet hypnotisé. John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, est l’un des principaux vulgarisateurs de ce phénomène. Il raconte dans Dossier extraterrestre le cas typique d’une femme qui était allée consulter un thérapeute dans l’espoir de retrouver des souvenirs d’inceste ou d’abus sexuel. Après plusieurs séances d’hypnose, aucun souvenir de ce type n’était « remonté » [9]. Au lieu de cela, elle se rappela avoir été enlevée par des extraterrestres lorsqu’elle avait six ans. Le phénomène est donc en tous points similaire aux premières apparitions de souvenirs de vies antérieures, apparus sur les divans de psy qui cherchaient des souvenirs de traumatismes enfantins. D’ailleurs, John Mack croit tout aussi fermement en la vérité des « souvenirs récupérés sous hypnose » : il a lui-même retrouvé les souvenirs d’une de ses vies antérieures en Russie au XVIe siècle, au cours de laquelle son fils fut décapité par les Mongols [10].

Dans de nombreux cas de souvenirs de rapts extraterrestres s’ajoute toutefois une composante particulière, absente des souvenirs de vies antérieures : l’entrée en thérapie et l’émergence des souvenirs sont précédées de disjonctions étranges de la mémoire. Le scénario typique est le suivant : une personne, en train de conduire sa voiture ou de vaquer à une autre occupation, aperçoit soudain une soucoupe volante dans le ciel, ou bien un extraterrestre assis à ses côtés, ou encore entend un bruit assourdissant, tandis que le paysage se modifie mystérieusement. Après cela, elle ne se souvient plus de rien. Elle revient à la conscience plusieurs heures après (quelquefois, mais plus rarement, plusieurs jours après), à des kilomètres de l’endroit où elle a disjoncté, avec une amnésie totale de ce qui s’est passé entre-temps (phénomène du missing time). Il arrive même qu’elle ne se rende compte que plus tard qu’il y a un trou béant de plusieurs heures dans sa mémoire (par exemple, qu’elle a mis deux heures de trop pour rentrer chez elle). En outre, elle souffre de troubles psychologiques divers. C’est alors qu’elle fait appel à un psychothérapeute. Elle parvient alors, à l’aide de l’hypnose, à combler ce trou de mémoire : elle se « rappelle » son enlèvement par des extraterrestres.

Voici par exemple un cas rapporté en 1989 au Kansas. Deux femmes étaient en voiture lorsqu’elles aperçurent un OVNI, qui semblait stationnaire par rapport à elles, même lorsque la voiture tournait (elles notèrent que la Lune, en revanche, se déplaçait normalement dans leur champ de vision). Elles observèrent l’OVNI pendant une heure environ. Soudain, une boule de lumière descendit, en émettant un cône de lumière. Les deux femmes se parlèrent pour vérifier qu’elles voyaient la même chose. La seule chose dont elles se souviennent ensuite, c’est de s’être garées, très troublées et épuisées, réalisant qu’elles avaient mystérieusement « perdu » deux heures. Elles souffrirent ensuite d’insomnie, d’anxiété et d’irritabilité. Elles croyaient n’être pas sorties de leur voiture et n’avoir rien vu d’autre que l’OVNI, jusqu’à ce qu’elles se soumettent chacune à une régression hypnotique. Celle-ci fit émerger un scénario d’abduction avec au moins 40 corrélations directes entre leurs « souvenirs » respectifs. Elles avaient d’abord été contactées télépathiquement par deux êtres, qui les rassurèrent. Puis elles étaient sorties en flottant hors de leur voiture, en position assise, avant de se retrouver mystérieusement dans un vaisseau circulaire qui ne comportait pas de porte. Elles furent attachées et examinées.

Généralement, de tels « souvenirs » produisent un profond malaise, car les extraterrestres de ces « rencontres du quatrième type » sont pour le moins ambivalents. Sur la base des témoignages hypnotiques de ses patients abductees, John Mack, tout comme Budd Hopkins et David Jacobs, considère que « le phénomène des abductions est lié, d’une manière essentielle, à un programme de croisement génétique visant à produire des enfants hybrides aliens/humains » [11]. Beaucoup d’abductees ont vu, dans les vaisseaux spatiaux, des bocaux contenant des fœtus humains ou hybrides flottant dans du liquide. La plupart des abductees ont en même temps compris que le but de ces expérimentations est lié à l’échec de l’espèce humaine actuelle.

Il faut insister sur le fait que, dans la majorité des cas, les témoignages d’enlèvements par des extraterrestres ne sont que des « souvenirs » retrouvés après une période d’amnésie et que, dans 75 % des cas, ces « souvenirs » sont produits sous hypnose. Dans les 25 % de cas de souvenirs spontanés, ils sont très vagues et flous et ne comportent pas de scénarios complexes comme les souvenirs produits sous hypnose. Un abductee résume bien la chose :

« Pour la plupart d’entre nous, cela a commencé par les souvenirs. Bien que certains se rappelaient des bribes de leurs expériences, plus généralement il nous fallait aller les chercher là où elles étaient, enfouies dans une forme d’amnésie. Et quels sentiments ambivalents nous avons éprouvé en découvrant ces souvenirs ! Presque sans exception, nous avons été terrifiés en revivant ces événements, comme submergés par leur impact. Mais il y avait aussi de l’incrédulité. Cela ne peut pas être vrai. Je dois rêver, ça ne peut pas arriver. Alors commencèrent les alternances de doute et de certitude, tandis que nous essayions d’incorporer ces souvenirs dans le sens que nous avons de qui nous sommes et de ce que nous savons. »

Le postulat nécessaire pour expliquer les souvenirs d’abduction refoulés puis retrouvés est que les extraterrestres provoqueraient chez leurs cobayes une amnésie partielle de façon à leur faire oublier l’épisode. Mais une autre hypothèse mérite considération : celle selon laquelle les « souvenirs » seraient des « faux », des fabrications, des produits de l’hypnose. Pour nombre de cas, cette deuxième hypothèse est la seule possible, car des éléments essentiels du témoignage sont matériellement impossibles : par exemple, une personne se rappelle que des extraterrestres lui ont enfoncé des appareils dans le ventre, ou lui ont découpé le crâne, ou encore lui ont enlevé un œil pour le remplacer, mais les examens médicaux ultérieurs contredisent tout cela. Les comportements loufoques de ces extraterrestres sont, de plus, en décalage avec leur niveau technologique supposé ; les examens médicaux consistent le plus souvent à tâter et gratter la surface du corps, enfoncer des aiguilles et placer des implants (jamais détectés ensuite) à l’aide d’un long tube. Ajoutons que, lorsque les séances d’hypnose sont répétées, les « souvenirs » de l’enlèvement se complexifient indéfiniment et finissent généralement par se contredire.

Il faut enfin verser au dossier les explications saugrenues et souvent contradictoires que fournissent aux abductees les êtres étranges qui les kidnappent et les tripotent, et qui ont, selon les « souvenirs », des aspects divers (les spécialistes distinguent plusieurs types d’extraterrestres, parmi lesquels les « petits gris », petits avec une grosse tête, les « scandinaves », longilignes aux cheveux blonds, les « reptiliens », avec leur peau écaillée, et, plus rarement, les « gnomes » ou trolls, sortes de nains barbus ; on a vu également des extraterrestres poilus avec des pieds de boucs et, plus rarement encore, des sortes de bonhommes Michelin). La plupart ne font que répéter des clichés qui semblent tout droit sortis de mauvais livres [12].

Tous les problèmes qui rendent douteuse l’origine extraterrestre des entités apparaissant dans les « souvenirs » retrouvés d’abduction ne doivent pas nous masquer le fait que ces « souvenirs » présentent des aspects paranormaux, et que le mystère de leur nature véritable reste à élucider [13]. En premier lieu, le fait que les souvenirs présentent des thèmes récurrents, même chez les abductees n’ayant au préalable aucune culture ufologique, pose problème. La même remarque vaut pour les « souvenirs » de rituels sataniques ; c’est d’ailleurs cette forte impression de recoupements entre les « souvenirs » qui a convaincu beaucoup de gens de l’existence d’un réseau satanique pratiquant les rituels en question.

Il y a aussi le fait, déjà signalé, que les abductions sont souvent liées à des apparitions d’OVNI, parfois attestées par plusieurs témoins indépendants. C’est le cas, par exemple, dans la fameuse histoire du pont de Brooklyn, traitée par Budd Hopkins dans son livre Witnessed, traduit en français sous le titre Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent [14]. Plusieurs témoins, dont un diplomate et ses deux agents de sécurité, ont vu Linda Cortile sortir par la fenêtre d’un appartement au douzième étage, en flottant dans un rayon de lumière. Linda et ses kidnappeurs, décrits comme trois hommes de petite taille, furent soulevés dans une soucoupe volante orange, qui s’éloigna ensuite. La voiture du diplomate, ainsi que celle d’un autre témoin, s’étaient brusquement arrêtées lorsqu’était apparu l’OVNI.

Mentionnons encore un élément récurrent des abductions, le syndrome de l’embryon ou du fœtus manquant (Missing Embryo/Fetus Syndrome, ou ME/FS) : la femme abductée ressent, après son expérience, tous les symptômes de la grossesse. Cela peut la perturber considérablement, notamment si elle n’a pas eu de rapports sexuels pouvant expliquer une grossesse. Un test sanguin confirme la grossesse. Puis, soudain, dans un délai de moins de trois mois, la grossesse apparente disparaît, sans qu’il y ait de fausse couche. Ou bien, si la femme décide d’avoir un avortement, le médecin qui pratique l’avortement est ébahi de constater qu’il n’y a pas de fœtus. « Le Missing Fetus Syndrome est arrivé si souvent à des abductees qu’il est maintenant considéré comme l’un des effets les plus communs de l’expérience d’abduction », commente John Miller, médecin par ailleurs hostile à l’hypothèse extraterrestre.

MK-Ultra selon Alexandre Breton

Résumons. Nous avons mis en évidence trois phénomènes dans lesquels sont produits, par hypnose dite « régressive », de prétendus « souvenirs » : 1) d’abus traumatiques durant l’enfance ; 2) de vies antérieures ; 3) d’enlèvements par des extraterrestres. De nombreux points communs existent entre ces phénomènes. Un spécialiste a relevé quarante-quatre éléments parallèles entre les souvenirs d’abus sexuels et les souvenirs d’abduction (il en a déduit que ces derniers ne sont que des souvenirs d’abus sexuels déguisés).

Ces trois types de pseudo-souvenirs doivent être confrontés si l’on veut qu’une lumière puisse être apportée sur leur nature véritable. Je n’ai fait ici que jeter les bases d’une telle étude comparative. Il est évident qu’on est là à la frontière de la parapsychologie, un domaine qui relève de ce qu’on nommait, à l’époque où de grands savants s’y intéressaient, la métapsychique (psychical research pour les Anglais).

Mais je voudrais surtout insister maintenant sur une importante leçon pratique à tirer de ce dossier : le scepticisme s’impose lorsque des phénomènes de « souvenirs retrouvés » sont invoqués dans le dossier MK-Ultra, comme c’est le cas dans le livre d’Alexandre Lebreton, MK – Abus rituels et contrôle mental, un livre qui produit plus de confusion que d’éclaircissement par son manque de discernement.

Lebreton fait une grande place aux souvenirs d’abus sexuels retrouvés lors de séance de thérapie hypnotique. Il n’est pas troublé par le fait que, dans la plupart des cas de ce type, les « souvenirs retrouvés » vont s’élaborer au fil des séances. La patiente va d’abord se persuader qu’elle a vécu « des trucs incestueux », et après s’être documentée, finit par se souvenir de programmation Monarch. Ainsi Lebreton rapporte au sujet de Brice Taylor, traitée par la thérapeute Catherine Gould, « qui l’a beaucoup aidée. Ce sont d’abord les abus sexuels dans l’enfance qui sont remontés, puis les souvenirs d’abus rituels sataniques et enfin les mémoires concernant la programmation MK ».

Jamais Lebreton ne considère la possibilité que de tels « souvenirs » soient au contraire le produit d’un trouble de la personnalité, aggravé par des pratiques dangereuses d’hypnothérapies. N’est-ce pas pourtant une hypothèse à prendre en compte ? On admet facilement que certaines de ces patientes qui élaborent des scénarios complexes d’abus durant leur petite enfance ont réellement été abusées d’une manière plus classique, et qu’un traumatisme ait causé une fragilité. Parfois, le traumatisme ne se situe pas dans l’enfance. Ainsi en est-il de Claudia Mullen, mentionnée par Lebreton : j’apprends, en quelques clics, que ses « souvenirs » d’enfance sont « remontés » après que, ayant subi un viol à l’âge adulte, elle entra en thérapie en 1992 avec Valérie Wolf. Cette dernière estima qu’elle avait les symptômes du survivant d’inceste, la mit sous hypnose, et l’aida à produire les « souvenirs » souhaités. Dans certaines conditions, un traumatisme physique avec hospitalisation peut déclencher des troubles mentaux, qui vont s’aggraver en thérapie : « En 1985 et en 1987 Brice Taylor, écrit Lebreton, a eu deux graves accidents. Ce sont les chocs provoqués par ces accidents qui ont commencé à faire remonter les souvenirs de son passé… beaucoup de souvenirs. »

Loin de moi l’idée que tous les « souvenirs » produits sous hypnose s’expliquent facilement. Chaque cas est particulier, et certains sont extrêmement troublants, démontrant des facultés et des fragilités de l’âme humaine qui sont hors du commun. Mais ce qui frappe, c’est au contraire l’empressement des auteurs de littérature à succès à faire rentrer tous les cas dans un grand sac unique auquel ils attachent l’étiquette qui leur plaît – l’étiquette MK-Ultra dans le cas de Lebreton. Lebreton s’inscrit dans une école lancée par un livre paru en 1995, dont le titre français est L’Amérique en pleine transe-formation, et dont le sous-titre anglais est The true life story of a CIA mind control slave. Dans ce livre, Mark Phillips raconte comment il arracha Cathy O’Brien et sa fille d’un réseau gouvernemental qui avait fait d’elles des esclaves sexuelles. Sur la page Amazon du livre on lit que « C. O’Brien est une ancienne victime des expériences gouvernementales américaines de contrôle de l’esprit et a pu recouvrir ses « mémoires » grâce aux travail et soutien de son compagnon Mark Phillips. » Les « expériences gouvernementales » pratiquées sur Cathy depuis son plus jeune âge aurait fractionné son esprit en personnalités multiples, de sorte que, écrit-elle : « J’avais une personnalité pour la pornographie, une personnalité pour la bestialité, une personnalité pour l’inceste, une personnalité pour résister aux horribles abus psychologiques de ma mère, une personnalité pour la prostitution, et le reste de « moi » fonctionnait un peu « normalement » à l’école. » Cathy, donc, fonctionnait à peu près normalement à l’école, c’est pourquoi ni ses proches ni elle-même n’avaient rien remarqué. La manière dont Phillips aida Cathy à « récupérer » ses souvenirs est sans surprise :

« Mon plus grand défi était d’apprendre à contrôler l’état de transe constant de Cathy pendant qu’elle mettait ses souvenirs par écrit. […] grâce à mes propres recherches intensives en hypnothérapie, j’ai appris à contrôler les états de transe de Cathy. Je considérais cela comme une façon de la déshypnotiser. J’en vins à être considéré par les médecins de santé mentale comme un « expert » dans l’application de cet outil clinique peu utilisé pour récupérer la mémoire. »

Phillips est souvent décrit comme « un familier de la CIA », mais rien n’étaye cette prétention, et son récit me fait l’impression d’un tissu d’affabulations de la part d’un personnage trouble, qui ne cache d’ailleurs pas ses fréquentations criminelles. Il me semble probable que c’est Phillips, et non la CIA, qui a fait de Cathy O’Brien son esclave par l’hypnose, dans un but à la fois narcissique et mercantile.

Le manque de recul critique de Lebreton par rapport à ce cas et tant d’autres provient en partie de sa conception de la mémoire humaine sur le modèle du disque dur d’ordinateur, programmable et compartimentable :

« Nous pouvons ainsi comprendre que l’esprit d’un individu est potentiellement programmable tel un ordinateur avec des fichiers et des codes d’accès. Ce phénomène de fracturation de la personnalité est la pierre angulaire des abus rituels car il « déverrouille » la psyché qui devient alors accessible pour y intégrer une programmation. »

Mais les limites de Lebreton viennent surtout du paradigme religieux qui domine sa vision du monde, et que résume bien cette phrase : « La puissance spirituelle ne peut venir que de deux sources : Jésus-Christ ou Satan… ». Mon expérience me dit qu’on ne peut attendre aucune rationalité sérieuse de la part de quelqu’un qui pense ainsi. C’est le problème que j’ai évoqué dans ma critique du film Out of Shadow [15]. Le paradigme de Lebreton, emprunté à un traditionalisme d’inspiration évangélique, détermine son regard sur les religions non chrétiennes. Son chapitre 2 est un bric-à-brac informe de clichés assimilant toutes les religions antiques au satanisme, « sans oublier le druidisme celtique », et la gnose, bien sûr, et ainsi de conclure que MK-Ultra n’a rien inventé. Ainsi, « le Livre des morts égyptien est un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour de la manipulation mentale ». Ou encore : « Le culte à Mystères d’Éleusis utilisait dans ses rituels une potion sacrée appelée Kukeon qui contenait de l’ergot de seigle et qui se rapprochait beaucoup du LSD actuel (puissant hallucinogène). » Et ce grotesque contresens : « Dans le texte Gnostique intitulé Gospel of Phillip (sic), il est mentionné que « Dieu est un mangeur d’homme. C’est pour cette raison que les hommes sont (sacrifiés) à lui ». » Avec une telle méthode, on pourrait facilement démontrer que les chrétiens mangent des bébés. Comme tous les chrétiens arque-boutés sur « la parole de Dieu », Lebreton a intériorisé la jalousie du dieu des Juifs : « Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques. » Il assimile tout ça à la « religion sans nom », autrement dit le satanisme. C’est en effet Satan qui gouverne le monde, par les Illuminati :

« Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. / Les Illuminati, ou encore ceux qui composent « l’élite dirigeante » de la planète, semblent eux aussi avoir très vite compris l’avantage qu’ils pouvaient retirer de ces techniques pour dominer le monde. En fait, les Chrétiens auront reconnu que derrière ces techniques et ces tortures abominables, se cache la main de Satan, qui veut réduire l’humanité en esclavage, et se faire adorer comme Dieu, sous la forme de l’Antichrist (sic) annoncé par la Bible. »

Remarquons que, si Lebreton déteste toutes les religions sauf le christianisme, le judaïsme ne semble pas lui poser de problème. Il fait l’impasse sur les rituels juifs sataniques, qui ont pourtant fait l’objet de travaux historiques, notamment par Ariel Toaff dans The Bloody Satanic Sacrifice Rituals of the Jewish Race (lire cet article de Ron Unz). Rien non plus, évidemment, sur la circoncision au huitième jour, véritable rite traumatique.

Par un autre réflexe qui ne surprend pas, Lebreton projette son prisme satanique sur les nazis. Comme dans Out of Shadows, on a droit à l’amalgame entre Paperclip et MK-Ultra. L’ayant lu dans toutes ses sources, Lebreton est convaincu que MK-Ultra est peuplé de nazis, et ignore qu’à sa tête se trouvait un fils d’immigrants juifs hongrois (Sidney Gottlieb, Joseph Scheider de son vrai nom), et que parmi ses collaborateurs figuraient des gens comme John Gittinger, Harris Isbell, James Keehner, Lauretta Bender, Albert Kligman, Eugene Saenger, Chester Southam, Robert Lashbrook, Harold Abramson, Charles Geschickter et Ray Treichler – tous juifs [16]. Voici un échantillon des méthodes de raisonnement de Lebreton. Ils nous informe que les nazis mettaient du fluor dans l’eau des camps de concentration. « Les nazis n’utilisaient évidemment pas ce produit pour améliorer la santé dentaire de leurs prisonniers, bien sûr que non, cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité. » Lebreton ne réalise même pas qu’il se contredit avec la phrase qui suit immédiatement : « Le chimiste Charles Perkins fut un des premiers à dénoncer les effets nocifs de la fluoraison de l’eau potable dans un essai qu’il publia en 1952. »

Les arguments de Lebreton sont souvent de ce niveau, et rendent son livre inutilisable. Encore un exemple : dans son premier chapitre, portant sur l’Institut Tavistock, Lebreton se base sur des auteurs comme John Coleman et Jim Keith, adeptes des théories les plus délirantes. Il reprend au premier l’idée que le succès des Beatles est un complot Illuminati, ou que Jimmy Carter était un « candidat Mandchou » programmé par son psychiatre de Tavistock. Lorsqu’il cite (de seconde main) des savants impliqués dans la recherche sur la psyché humaine, Lebreton leur fait des procès d’intention, comme si toute recherche sur la manipulation mentale était ouvertement ou secrètement au service de la manipulation mentale. Par exemple, il cite William Sargant, qui explique les principes du lavage de cerveau dans The Battle for the Mind : A Physiology of Conversion and Brain-Washing (1957), en laissant entendre que ce professeur recommande ou expérimente le lavage de cerveaux, ce qui est totalement faux, comme il est facile de le vérifier. Avec de telles méthodes, on pourrait facilement « démontrer » que Lebreton fait lui aussi l’apologie de la manipulation mentale. Et d’ailleurs, il me semble bien que, comme toute la sous-culture américaine qu’il recycle, son livre a un côté manipulatoire et donc contreproductif par rapport à son objectif affiché. Certes, tout n’est pas à jeter dans ce livre, et il aurait pu faire une synthèse utile s’il était deux fois moins épais et se limitait aux informations puisées dans des sources crédibles.

Laurent Guyénot

Notes

[1] Mark Pendergrast, Victims of Memory, Harper Collins, 1996.

[2] Elizabeth Loftus et Ketcham, Katherine, Le Syndrome des faux souvenirs, Éditions Exergue, 1997.

[3] Érik Pigani, Psi. Enquête sur les phénomènes paranormaux, Presses du Châtelet, 1999.

[4] Cité par Djénane Kareh Tager dans L’Actualité Religieuse, n° 143, 15 avril 1996, p. 20.

[5] Brian L. Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, J’ai lu, 2015, pp. 12-13.

[6] Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, pp. 29-30.

[7] National Enquirer, mai 1982, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996, p. 90.

[8] Chet B. Snow, Mass Dreams of the Future, McGraw-Hill, 1993, pp. 92-96.

[9] John Mack, Dossier extraterrestres, Presses de la Cité, 1995.

[10] Reincarnation International, juillet 1994, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996.

[11] Sauf mention contraire, les informations qui suivent sont tirées de C.D.B. Bryan, Close Encounters of the Fourth Kind, Knopf, 1995, volumineux rapport journalistique d’un colloque américain organisé par la prestigieuse université de M.I.T. en 1992.

[12] Bien entendu, le fait qu’une partie au moins des « souvenirs » d’enlèvements par des extraterrestres ne soit pas matériellement crédible ne prouve pas que la vie extraterrestre n’existe pas, ni même que les extraterrestres ne soient pas parmi nous (d’une manière générale, la non-existence de quelque chose ne peut jamais être prouvée, qu’il s’agisse des extraterrestres, de la réincarnation ou des licornes, mais la charge de la preuve revient aux tenants de l’existence). Simplement, il faudrait trouver d’autres preuves. Les apparitions d’Ovnis ne font guère l’affaire, puisque rien ne prouve non plus qu’elles soient d’origine extraterrestre.

[13] Pour une analyse objective et documentée du phénomène, aucun auteur ne vaut Jacques Vallée. Lire par exemple : Autres dimensions, Robert Laffont, 1989, J’ai lu, 1991.

[14] Budd Hopkins, Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent, Rocher, 1998.

[15https://www.egaliteetreconciliation…

[16] Larry Romanoff, “CIA Project MK-Ultra,” https://www.unz.com/lromanoff/cia-p…




La voie du Rinn’dual

Par Joseph Stroberg

Troisième volet du triptyque de science-fiction Les couloirs du temps après Résurrection en terre étrangère
et Projet Vulcain.

Les trois romans peuvent se lire séparément et même dans le désordre, bien qu’ils gagnent à être lus dans l’ordre, les histoires se déroulant à des époques différentes.

Pour se procurer le livre, voir le site de l’éditeur :

https://dedicaces.ca/2022/04/04/la-voie-du-rinndual-par-joseph-stroberg/

Quand le jeune Dael est capturé par des Dévians puis revendu comme esclave aux Charlogs, son père Pastor se lance à sa recherche dans la galaxie. Ce dernier est aidé par une Vijnienne et son vaisseau. Sur Terre, cent mille ans après les âges sombres, l’Humanité a suivi la voie du Rinn’dual et ainsi abandonné toute technologie, préférant développer des dons tels que la télépathie et la télékinésie.

Pendant ce temps, les derniers Reptiliens sortent de leurs cavernes, l’Empire zénovien tente de se reformer et une menace extrême provient d’une autre galaxie. Les divers protagonistes finissent par interagir d’une manière ou d’une autre, par retrouver Dael, redonner vie à une planète reptilienne en ruine, accueillir quelques milliards d’extragalactiques et se lancer dans une course galactique contre les agents zénoviens.

Si vous voulez aider l’auteur ou le site Nouveau Monde, procurez-vous ces romans ou bien faites un don en cliquant sur le bouton suivant :


Faire un don

Faire un don par PayPal ou par carte de crédit. (Montant minimal 5 $CAD)
5,00 $
var wpec_paypal_button_0_data={"id":"paypal_button_0","nonce":"0ed3a79b1f","env":"production","client_id":"AZRu4-iAK9KV39668_LLAA7kdzSXRKECn4sDSafrGVgwhBKhBcWE25_lSG1QAF4a9tGS96SuofrABT1a","price":"5","quantity":1,"tax":"","shipping":"","shipping_per_quantity":"","shipping_enable":false,"dec_num":2,"thousand_sep":" ","dec_sep":",","curr_pos":"right_space","tos_enabled":0,"custom_quantity":false,"custom_amount":true,"currency":"CAD","currency_symbol":"$","coupons_enabled":"0","product_id":66350,"name":"Faire un don","stock_enabled":false,"stock_items":0,"variations":{"groups":[]},"btnStyle":{"height":55,"shape":"pill","label":"paypal","color":"gold","layout":"vertical"}};jQuery( function( $ ) {$( document ).on( "wpec_paypal_sdk_loaded", function() { new ppecHandler(wpec_paypal_button_0_data) } );} );




Qui possède le monde ?

[Source : exoconscience.com]

Par FLORENT DAVID

Ce brillant documentaire (sous-titré en français) de Tim Gielen révèle comment un petit groupe de criminels super riches a acheté pratiquement tout sur terre, jusqu’à tout posséder.

Depuis les médias, les soins de santé, les voyages, l’industrie alimentaire, les gouvernements… Cela leur permet de contrôler le monde entier. C’est pourquoi ils essaient d’imposer le Nouvel Ordre Mondial.

Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros, …

Ce documentaire incroyablement révélateur révèle quelque chose d’étonnant : la majorité de notre monde appartient à ces mêmes personnes. Grâce à cela, ils peuvent contrôler le monde entier et imposer leur programme maléfique à toute l’humanité.

C’est le moment de les dénoncer et de se lever comme un seul homme pour défendre notre liberté.

Les noms des deux sociétés qui « possèdent virtuellement le monde » sont Vanguard et BlackRock. Elles sont au cœur de l’État profond ou la Cabale.

Leur plan est la Grande Réinitialisation où ils veulent asservir chaque humain sur terre.



[Voir aussi :
Les 4 firmes qui possèdent les USA
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?]

Pour aller plus loin :






La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

Télécharger l’article au format .pdf


Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

Télécharger au format .pdf

Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84 Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
↑85 “Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html
↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



L’histoire ancienne des Ovnis et le rapport Oppenheimer-Einstein

[Source : anguillesousroche.com]

Un objet volant non identifié, ou OVNI, dans sa définition la plus générale, est toute anomalie apparente dans le ciel qui n’est pas identifiable comme un objet ou un phénomène connu.

Bien que sa définition englobe tout phénomène aérien inexpliqué, dans la culture populaire, le terme est généralement devenu synonyme d’engin spatial extraterrestre.

Images d’OVNI dans une peinture rupestre préhistorique.

Les observations d’ovni à travers l’histoire

Des observations d’ovnis ont été rapportées tout au long de l’histoire et dans diverses régions du monde, soulevant des questions sur la vie sur d’autres planètes et sur la visite éventuelle d’extraterrestres sur Terre. Ils sont devenus un sujet d’intérêt majeur et ont inspiré de nombreux films et livres. Mais, malheureusement, ils sont aussi l’objet d’une intense moquerie.

Pendant des décennies, on a cherché, délibérément ou non, à diminuer l’importance des ovnis et à faire croire au public qu’ils faisaient partie d’une sorte de canular élaboré. Pourtant, des observations aériennes inexpliquées d’ovnis ont été rapportées tout au long de l’histoire, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours.

Certaines représentations anciennes d’objets volants dans le ciel étaient sans aucun doute de nature astronomique, très probablement des comètes, des météores brillants et des planètes visibles à l’œil nu, ou des phénomènes optiques atmosphériques tels que les nuages lenticulaires. La comète de Halley, par exemple, a été signalée pour la première fois par des astronomes chinois en 240 avant J.-C., et peut-être même dès 467 avant J.-C.. Au cours de l’histoire, ces observations ont souvent été considérées comme des présages surnaturels, des anges ou d’autres présages religieux.

Cependant, nous ne pouvons pas simplement supposer que ce que nos anciens ancêtres ont vu et enregistré sur les murs des grottes ou dans les textes anciens étaient des phénomènes astronomiques ou environnementaux. Tout comme les observations d’aujourd’hui, il semble qu’un petit pourcentage d’observations soit tout simplement inexplicable. De nombreux documents de notre ancien passé suscitent certainement la curiosité, comme la peinture rupestre préhistorique ci-dessus.

Cette peinture présente une ressemblance frappante avec les images peintes des centaines d’années plus tard dans la Tapisserie du Triomphe d’été du 16ème siècle. Les images d’ovni de cette tapisserie sont également très proches des témoignages d’OVNI contemporains. Il y a aussi les peintures rupestres aborigènes des êtres du ciel Wandjina, qui semblent représenter des visiteurs extraterrestres.

Art rupestre aborigène Wandjina sur la rivière Barnett, station Mount Elizabeth. (Graeme Churchard / CC BY 2.0)

La mythologie des dieux du ciel et les premières observations d’ovnis

Les partisans de la théorie des astronautes antiques s’appuient sur de nombreux mythes et légendes relatant la descente du ciel de soi-disant « dieux du ciel », tandis que des textes historiques datant de 4 000 ans semblent décrire des vaisseaux spatiaux volants. Dans la littérature védique de l’Inde, comme le Rig Veda, le Mahabharata et le Ramayana, on trouve de nombreuses descriptions de machines volantes appelées vimanas, qui étaient utilisées pour la guerre dans les temps anciens. Les vimanas étaient censés pouvoir voler dans l’atmosphère terrestre, mais aussi dans l’espace, sur des planètes éloignées et sous l’eau.

Dans les pyramides d’Égypte, les archéologues ont trouvé des hiéroglyphes qui ressemblent aux ovnis décrits dans les observations jusqu’à aujourd’hui. Des siècles plus tard, nous avons les objets précolombiens en or de Quimbaya, découverts en Amérique centrale, qui semblent être des modèles parfaits d’engins volants. Plus tard, à l’époque médiévale, on a produit une abondance d’œuvres d’art qui semblent représenter des ovnis dans le ciel.

Comme le soulignent à juste titre les débunkers, aucune de ces représentations anciennes ne peut être considérée comme une preuve concluante de l’existence d’une vie extraterrestre. Mais elles soulèvent, à tout le moins, la possibilité que des extraterrestres aient effectivement visité la Terre, et que, tout comme les gens d’aujourd’hui rapportent régulièrement des observations d’objets non identifiés dans le ciel, nos ancêtres anciens aient pu rencontrer des objets qu’ils ne pouvaient ni identifier ni expliquer.

Détail d’une peinture du XIVe siècle intitulée La Crucifixion, située au-dessus de l’autel du monastère de Visoki Decani au Kosovo. Elle semble représenter un homme dans une sorte de métier regardant en arrière par-dessus son épaule. (Domaine public)

Le débat scientifique sur les ovnis, les enquêtes et le rapport Oppenheimer-Einstein

Compte tenu de ce qui précède, il semble donc raisonnable que les ovnis fassent l’objet d’un débat savant et d’une enquête scientifique. Au lieu de cela, ce que nous voyons aujourd’hui, c’est un Internet rempli d’images truquées, de vidéos truquées, de films hollywoodiens sensationnels et de désinformation qui rend pratiquement impossible pour un chercheur légitime de séparer les faits de la très grande botte de foin de la fiction.

Il apparaît également que nos gouvernements ne sont pas vraiment disposés à fournir des informations sur leurs propres recherches en la matière. Il n’y a qu’à voir l’annonce faite par la CIA en août 2013 que la zone 51 existe bel et bien, malgré des décennies à nier son existence tout en brandissant quiconque osait le suggérer comme un simple théoricien du complot. Heureusement, il existe des organisations à vocation scientifique, comme le SETI et le MUFON (Mutual UFO Network), qui adoptent une approche objective de l’étude des ovnis.

Albert Einstein et Robert Oppenheimer en 1947. (James Vaughan / CC BY-NC-SA 2.0)

Ceci nous amène à un document top secret non classifié rédigé par Robert Oppenheimer, un physicien théorique américain, et Albert Einstein, un physicien théorique allemand. Ensemble, ils ont rédigé un rapport conjoint intitulé « Relations avec les habitants des corps célestes ». Ce document de six pages est la première preuve d’archives à utiliser l’expression « Entités biologiques extraterrestres » ou EBE. Daté de juin 1947, le rapport Oppenheimer-Einstein affirme que la présence d’engins spatiaux non identifiés est acceptée de facto par les militaires.

Le rapport Oppenheimer-Einstein traite des questions liées aux ovnis et aux extraterrestres : D’où peuvent venir les extraterrestres, ce que la loi en dit, ce que nous devrions faire en cas de colonisation et/ou d’intégration des peuples, et pourquoi ils sont là. Le document suggère que dans l’éventualité où les EBE désireraient s’installer ici sur terre, il y aura un « changement profond des concepts traditionnels » de la loi et le besoin éventuel d’une nouvelle « Loi entre les peuples planétaires ».

Section du rapport Oppenheimer et Einstein de 1947. (Domaine public)

L’importance du rapport Oppenheimer-Einstein pour la recherche sur les ovnis

Ce document est important pour deux raisons. La première raison est qu’il aborde la possibilité de la vie sur d’autres planètes d’une manière très logique et cohérente, avant d’explorer ce que signifierait une telle réalisation. Il soulève également des questions sur la raison pour laquelle, si des scientifiques respectés comme Oppenheimer et Einstein sont capables d’aborder le sujet de manière académique, sommes-nous incapables d’engager une discussion aussi sensée aujourd’hui ?

L’analyse présentée par Oppenheimer et Einstein indique que la « divulgation » de l’existence d’extraterrestres pourrait causer des dommages irréversibles à la société. Cela soulève la possibilité que nos gouvernements actuels connaissent déjà l’existence des extraterrestres, mais qu’ils aient examiné les mêmes questions que celles soulevées par Oppenheimer et Einstein et se soient prononcés contre une divulgation publique.

Si l’on disait à l’humanité que des êtres extraterrestres intelligents non seulement existent mais visitent nos planètes depuis des milliers d’années, que se passerait-il ? Se pourrait-il que la confrontation avec de telles preuves provoque des bouleversements sociaux dans les domaines de la religion, de la société, du droit et de la finance ? Si l’on n’y répond pas correctement, cela pourrait-il provoquer le chaos sur la planète Terre ?

Nombreuses sont les questions qui appellent encore des réponses. Le document suggère que les EBE pourraient être plus intelligents et technologiquement plus avancés que nous, et demande pourquoi, si c’est le cas, ils viennent sur Terre en premier lieu ? Serait-ce pour conquérir et habiter la Terre, pour coopérer pacifiquement avec les humains, ou pour nous étudier de la même manière que nous étudions toute nouvelle espèce que nous rencontrons ? Le document considère que si leur civilisation est plus avancée que la nôtre, comment une co-occupation de la Terre serait-elle envisageable ?

Une partie du rapport d’Oppenheimer et Einstein, rédigé en 1947. (Domaine public)

L’humanité peut-elle gérer l’accès aux technologies extraterrestres avancées ?

Imaginez la situation dans laquelle une technologie avancée est donnée à notre civilisation – de puissants systèmes de défense, une énergie illimitée, des dispositifs d’occultation, des voyages dans l’espace vers d’autres systèmes solaires, des dispositifs de transport instantané, et ainsi de suite. Maintenant, si l’on considère l’état actuel de notre civilisation et des personnes qui la gouvernent, que signifierait une telle libération de technologie ? Un seul mot : le chaos.

Une autre raison pour laquelle le rapport Oppenheimer-Einstein est important est qu’il aborde la présence d’ovnis extraterrestres sur notre planète comme un fait connu des militaires. Il fait ensuite le lien entre cette connaissance et l’invention des bombes nucléaires – l’arme unique qui pourrait éliminer la vie sur Terre pendant plusieurs milliers d’années.

Il n’est pas difficile de comprendre que si les ovnis sont tenus cachés au public, c’est pour de multiples raisons, qui sont logiquement abordées dans ce document. C’est pour ces raisons, que nous ne verrons peut-être jamais de notre vivant une révélation de l’existence extraterrestre.

En attendant, il semble que l’approche la plus sensée consiste à garder l’esprit ouvert. Il arrive souvent qu’un débat fasse rage entre deux extrêmes opposés. L’une des parties veut croire de tout cœur que l’art rupestre et les récits mythologiques sont tous des descriptions de rencontres avec des extraterrestres et d’observations d’ovni.

Pendant ce temps, l’autre camp est tellement prêt à ne pas croire que quelque chose existe au-delà du champ de leur raison qu’ils ignorent même la description la plus flagrante. Si les scientifiques peuvent surmonter le ridicule et les remarques désobligeantes qui accompagnent l’exploration du sujet, peut-être trouverons-nous un jour des preuves irréfutables de l’existence des ovnis et des extraterrestres.

Lire aussi : Voici un ancien roman sur les extraterrestres, les ovnis et les robots écrit au deuxième siècle

Source : Ancient Origins – Traduit par Anguille sous roche


[Voir aussi : La fascinante histoire des ovnis]




Petite annonce : « Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »…

Par Alain Tortosa

Petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »
« CDD(([1] Contrat à durée déterminée)) dont le mandat prendra fin à la libération. »
« Possibilité de conversion en CDI(([2] Contrat à durée indéterminée (ex-président de la République) ))
si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Je ne suis pas et ne serais pas ce leader…
Je prétends ne pas être totalement nul pour écrire, mais je ne possède pas ces qualités nécessaires à un leader.
Les grandes foules, les envolées lyriques, les groupies qui lancent leurs culottes, ce n’est pas mon truc.

Et pourtant je pense sincèrement que nous ne pourrons pas nous en sortir sans une tête de liste.
Nous n’avons aucunement besoin de réveiller les Français manipulés par la dictature sanitaire.
Nous sommes des millions d’adultes non vaccinés qui, par cet acte, affirment leur attachement à la liberté et à la démocratie.

Nous sommes très nombreux à répéter depuis des mois que nous avons besoin de nous unir et de nous coordonner.
Je ne crois pas à l’action individuelle que certains pourraient qualifier de « terroriste ».
Chacun peut avoir ses petites victoires locales, mes enfants sont sans masque au collège, mais cela ne fait pas une révolution.
Cela participe au bâton dans les roues, mais n’est pas de nature à faire plier la dictature.

Un soignant en grève seul devant son hôpital a l’air d’un crétin. Avec 10 collègues il devient un mouvement revendicatif et à 100 il bloque l’hôpital qui n’a de choix que de céder.

Voici donc ma petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour aider le peuple à faire tomber la dictature. »
« CDD dont le mandat prendra fin à la libération du pays. »
« Possibilité de conversion en CDI si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Descriptif du poste.

Le leader devra :

  • Être intègre et incorruptible.
  • Être viscéralement opposé à la dictature.
  • Être viscéralement attaché aux libertés individuelles qui doivent primer.
  • Être farouchement opposé à remplacer le mot « liberté » par le mot « sécurité » sur les frontons des mairies.
  • Être le moins clivant possible.
  • Être sans conflits d’intérêts financiers ou relationnels et ne pas être financé par la dictature.
  • Être un homme ou une femme ayant une expérience de la vie.
  • Avoir pris des baffes dans la vie dont il (ne comptez pas sur moi pour écrire en inclusif) se serait relevé serait un bon point.
  • Ne pas souffrir de troubles psychiatriques forts de type narcissique ou antisocial.
  • Aimer sincèrement les humains.
  • Avoir un passé de non-collaboration (ou alors être un repenti sincère et le prouver).
  • Laisser la place une fois le pays libéré (sauf si les Français demandent qu’il reste à une vraie majorité).
  • Aimer les grandes assemblées, les grandes foules, les grands discours.
  • Être déterminé et fort pour résister aux attaques les plus viles.
  • Être en capacité de déléguer et s’entourer de conseils.

Un casier judiciaire vierge n’est pas indispensable, on peut commettre des erreurs et les réparer.
Son mandat sera soumis à contrôle tout au long de son action et le peuple pourra le démettre s’il trahit ses engagements.
Il ne pourra pas être marqué « extrême-gauche », « extrême-droite » ou « extrême-centre », mais uniquement « extrême-liberté ».
Ses opinions religieuses, s’il en a, devront demeurer dans la sphère privée.

Quelques candidats potentiels(([3] Par ordre alphabétique))?

Carlo Alberto Brusa

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible.
  • Indestructible. (…et tellement beau gosse)
  • Ne peut prétendre à une carrière politique.

Contre :

  • Ne s’est pas positionné comme leader de la résistance.
  • Ne peut prétendre à une carrière politique (encore qu’une loi, ça se change).
  • Clivant par son côté grande-gueule, mais honnête qui est aussi sa force.

Louis Fouché.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Un puits de science.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Contre :

  • Subissait des pressions de sa hiérarchie.
  • Ne veut pas être le leader qu’il est devenu en partie malgré lui.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Clivant par certains discours jugés trop « prudents », trop « policés ».
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Alexandra Henrion-Caude.

Pour :

  • Résistante de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Sincère, honnête et lumineuse.

Contre :

  • C’est une scientifique pas une politique, son domaine c’est la science.
  • Trop humaine (peut-être trop fragile pour encaisser les coups).
  • Clivante par sa foi qu’elle ne cache pas et peut choquer certains.

Francis Lalanne.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire.
  • Sincère, honnête et passionné.
  • Humain (trop ?).

Contre :

  • Clivant par son passé de gilet jaune.
  • Ne laisse pas indifférent souvent adulé ou détesté.
  • Peut-être trop sensible.

Florian Philippot.

Pour :

  • Est sur le terrain de la résistance depuis des mois qu’il vente ou qu’il neige.
  • Veut être leader.
  • Populaire.
  • Sait parler au peuple et galvaniser des troupes.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • N’a pas peur de prendre des coups.
  • Expérience politique.

Contre :

  • Clivant par son passé d’extrême droite.
  • Passé de non-résistant pro masque et pro confinement.
  • Expérience politique.

Silvano Trotta.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible et indestructible.
  • Une mine de savoir.
  • Ne rechigne pas à la besogne.
  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.

Contre :

  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.
  • Discrédité par certains à cause de ses positionnements autres (Ovni,…), mais toujours debout fidèle au poste.

Martine Wonner.

Pour

  • Résistante de la première heure.
  • Sincère et intègre.
  • Populaire.
  • Veut bien du rôle de leader.
  • Expérience politique.
  • Pas extrémiste.
  • Toujours debout malgré les attaques violentes.
  • Ils n’ont ni réussi à l’acheter ni à la détruire.

Contre

  • Pas encore totalement positionnée (ou sous-médiatisée) sur son rôle de leader.
  • Relativement peut présente médiatiquement.
  • Pas de groupe Telegram (que je connaisse), pas de chaîne TV d’envergure ni de live réguliers.
  • Pas encore un phare incontournable dans la nuit.
  • Clivante par son passé de femme politique même si sa carrière est récente.
  • Discours un peu trop policé (politique) qui peut être anxiogène pour certains.

Il y en a probablement d’autres, mais si je ne les cite pas c’est soit que je ne les vois pas comme leader soit qu’ils ne le sont pas encore.

En tous les cas, j’imagine mal nous en sortir sans un leader ou une forme de gouvernance collégiale de plusieurs leaders qui se coordonnent pour nous fédérer et lancer des actions concrètes et massives de lutte contre la dictature.
Nous sommes trop nombreux à dire que nous devons nous unir et au final ne pas le faire.

Nous avons besoin d’une coordination des forces.
Nous avons besoin d’un leader de la résistance, d’un porte-parole pour nous mener à la victoire, quitte à le guillotiner s’il faut après la libération !

Merci

Alain Tortosa.

15 octobre 2021. https://7milliards.fr/tortosa20211015-petite-annonce-cherche-leader.pdf




L’arrivée d’un messie extraterrestre : tromperie ou séduction diabolique ?

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

  • Un avènement extraterrestre est-il au programme?​
  • Existe-t-il un lien possible entre des rituels occultes, maçonniques, et l’apparition d’êtres « d’un autre monde »?​
  • Comment des scientifiques, comme l’astrophysicien Jacques Vallée, se positionnent-ils sur la question des OVNIS et des « enlèvements extraterrestres »?​
  • Quelle est la position du Vatican concernant la question extraterrestre? Une position plutôt surprenante et choquante…
  • Comment les autorités politiques, soit la gouvernance mondiale, risquent-elles de réagir face à un avènement extraterrestre?​
  • Les pièges du Nouvel Âge…
  • Est-ce que les Écritures bibliques nous parlent d’extraterrestres ou de créatures « d’un autre monde »?​ Doivent-elles revenir à la Fin des Temps?
  • Qui sont les réelles puissances qui sont aux commandes ? Laisseront-elles des personnes ou un groupe de personnes faire dévier leur projet ?

Cette vidéo expose un point de vue sur les visées occultes de la gouvernance mondiale, révélées et marquées par les Pères fondateurs sur le dollar américain. Selon elle, ces symboles maçonniques sont disséminés partout, spécialement à Washington DC.

https://youtu.be/_xMEBe__9AQ



Le partisanisme politique déroule un tapis rouge à la propagande

[Source : entelekheia.fr]

Traduction et note d’introduction : Corinne Autey-Roussel

Aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, les forums internet, etc, on en vient souvent à croiser des gens dont les opinions semblent se confondre avec l’individualité elle-même. Ils sont ce qu’ils croient, et rien de plus. Tout argument, si raisonnable soit-il, contre une de leurs opinions est perçue conne une insulte personnelle. Cette perte d’identité propre, signalée par une identification totale de leur ego à des idées extérieures (« l’esprit de gramophone » d’Orwell) est dangereuse, car elle les soumet à toutes sortes de manipulations – politiques, médiatiques, professionnelles, etc. Or, nous ne nous résumons certainement pas à une compilation d’opinions ! Quand nous changeons d’avis parce que des éléments nouveaux nous ont fait avancer dans une réflexion, notre personnalité ne change pas d’un iota ; bien au contraire, elle se développe, mûrit et s’affirme. C’est une réalité de la construction de l’individualité que bon nombre d’entre nous devraient se réapproprier. En attendant…

Corinne Autey-Roussel


Par Caitlin Johnstone
Paru sur le site de l’auteur et Consortium News sous le titre Political Partisanship Is a Propaganda Lubricant

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite grandement le travail des propagandistes.

L‘étude du déroulement du nouveau récit des médias américains sur les ovnis a été très instructive, car elle met en lumière les dynamiques dont je parle souvent sous un jour nouveau qui les rend plus visibles. [Voir, en français, USA : Le Pentagone et les médias grand public voient des ovnis, NdT]

Un thème qui revient en ce moment est celui de gens qui s’étonnent de la discrétion de la réponse de l’opinion publique à toute cette affaire. On pourrait s’attendre à ce que la déclaration officielle du gouvernement américain selon laquelle l’armée a souvent rencontré d’étranges aéronefs inconnus dotés d’avancées technologiques impensables susciterait un peu plus d’intérêt de la part du public, mais jusqu’à présent, ce n’est pas le cas.

Un YouTuber a récemment résumé ce sentiment avec une diatribe de 13 minutes sur l’étrangeté du silence relatif des gens à ce sujet. J’ai vu de nombreuses autres tentatives d’explications de la réponse apathique à la présence d’ovnis dans les actualités. La plus courante est que les gens ont tellement de choses à faire, de nos jours, que la possibilité d’extraterrestres survolant des navires de la marine américaine ne fait pas partie de leurs priorités. D’autres suggèrent qu’il s’agit si évidemment d’une psy-op militaire que le public n’y prête pas attention.

Aucune de ces hypothèses n’est particulièrement convaincante. Nous voyons tous les jours des polémiques absurdes captiver le public, donc l’idée que les gens n’ont pas d’espace mental à dédier à cette histoire ne tient pas la route.

Bien que la conviction selon laquelle le récit des ovnis ressemble à une sorte de psy-op militaire soit largement acceptée par le type de personnes susceptibles de lire cet article (je le dis moi-même depuis un certain temps), le scepticisme à l’égard des affirmations suspectes du gouvernement n’est pas une attitude répandue dans le grand public.

Il me semble assez clair que la raison pour laquelle cette histoire ne suscite pas autant d’intérêt de la part du public que l’on pourrait attendre est qu’elle n’entre pas dans les petites cases où les gens ont été entraînés à classer les actus dans cette société. Il n’y a pas d’angle partisan dans cette histoire, elle ne fait donc appel à aucune des constructions de l’ego auxquelles le grand public a tendance à raccrocher les actus.

Dans notre société, la probabilité pour qu’une nouvelle devienne virale n’a pas grand-chose à voir avec sa valeur informative, son caractère inhabituel, ni même avec son exactitude factuelle. Le facteur le plus probable pour déterminer si une nouvelle aura ou non un attrait massif est qu’elle valide, ou non, la vision du monde de l’une des deux factions politiques dominantes.

Les médias grand public sèment la zizanie

C’est la raison pour laquelle les grands médias sèment délibérément la division et ciblent des chambres d’écho partisanes de plus en plus extrêmes, au lieu de se contenter de rapporter des informations ; ils ont une motivation de lucre évidente, car flatter l’ego des gens avec du « hate porn » et une validation illusoire de leurs idées est le meilleur moyen d’obtenir des clics et de générer des revenus publicitaires.

C’est pourquoi ceux qui ont soutenu la théorie selon laquelle Trump était un agent russe ont vu leur audience grimper en flèche pendant des années, avant d’être définitivement discrédités par l’avocat spécial [Robert Mueller, NdT] auquel ils avaient littéralement tressé des lauriers et à qui ils avaient même allumé des bougies votives. Il y a plus de preuves de présence d’aliens dans l’atmosphère terrestre que de preuves d’ingérence secrète de Vladimir Poutine aux plus hauts niveaux du gouvernement américain. Mais comme le Russiagate a enflammé les passions de la « gauche » libérale et lui a donné l’impression que sa vision partisane du monde était sur le point d’être corroborée par des faits indéniables, il s’est vendu comme du crack à des junkies.

Vous pouvez immédiatement dire si quelque chose va devenir viral par son degré d’appel à un des courants dominants. Un article sur la façon dont les écoles veulent rendre vos enfants transgenres. Un partisan noir de Trump affirmant que Trump n’est pas raciste. [En France, une énième polémique sur Zemmour, ou Alice Coffin, ou Assa Traore, etc, NdT]. Si vous vous éloignez trop des courants dominants, comme avec le gouvernement américain qui s’est fait prendre à trafiquer une enquête de l’OIAC en Syrie, par exemple, vous ne verrez pas de tonnes de clics, mais si le sujet plaît à des dizaines de millions de partisans de l’un des deux courants dominants, vous en verrez.

L’appel à l’ego

Dans une société asservie à la conscience égotiste comme la nôtre, les choses qui suscitent le plus d’intérêt de la part du public sont celles qui flattent ou exaspèrent les constructions de l’ego. Ce phénomène n’est pas propre à la politique ; les publicitaires ont amassé des fortunes en associant des produits à des virus mentaux culturels tels que des problèmes d’image corporelle ou de manque de confiance en soi, et des animateurs d’émissions télévisées ont compris il y a des décennies qu’il était possible d’attirer des audiences massives par la flatterie envers le public, en lui permettant de se sentir autosatisfait et supérieur par rapport à des personnes pauvres et sans éducation.

Pour que quelque chose devienne viral, il faut que cela fasse appel à l’ego. Les annonceurs l’ont compris. Les responsables des médias l’ont compris. Les propagandistes l’ont compris.

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite énormément le travail des propagandistes ; c’est comme un lubrifiant qui permet aux psy-ops de masse de s’insérer en douceur dans la conscience publique. À partir de là, il est très facile de pousser les gens à détester la Russie ou la Chine pour telle ou telle raison partisane, ou de faire croire que l’ancien président Donald Trump ou l’actuel président Joe Biden aident le peuple, alors qu’ils maintiennent et étendent tous deux le même statu quo meurtrier et oppressif que leurs prédécesseurs.

C’est pourquoi le clivage partisan actuel est plus passionné et conflictuel que jamais, alors que le comportement réel de chaque parti dominant, lorsqu’il est au pouvoir, n’apporte que les changements cosmétiques les plus superficiels.

Les oligarques qui possèdent la classe politique et médiatique désirent la perpétuation du statu quo sur lequel ils ont construit leur empire, mais ils veulent aussi garder le public aussi enfermé que possible dans des optiques partisanes – les marchepieds de la propagande qui emprisonne nos esprits.

La solution à ce problème, au niveau individuel, est de démanteler tout attachement égotiste que vous pourriez avoir pour l’une ou l’autre des factions politiques dominantes soumises au maintien du statu quo. Cela inclut tout attachement au populisme factice de la gauche libérale progressiste, et cela inclut tout attachement au populisme factice de la droite « dure » libérale. Ces factions insérées au sein des factions dominantes sont elles-mêmes des constructions de propagande. Elles ne seront jamais autorisées à promouvoir un programme qui ne serait pas souhaité par l’empire oligarchique ; elles servent uniquement à garder sous l’emprise de la politique dominante les gens qui seraient enclins à la rejeter.

Et bien sûr, la solution ultime à ce problème est que l’humanité prenne ses distances avec l’ego. Toute propagande s’appuie sur des ressorts égotistes de la conscience publique, donc si l’humanité commence à abandonner complètement son habitude de créer des structures d’identité psychologique (ce qui semble commencer à être le cas), nous deviendrons de plus en plus difficiles à manipuler par la propagande. Puisque les problèmes collectifs de l’humanité se résument finalement au fait que des sociopathes manipulent nos esprits à grande échelle, une transformation de ce type rendrait un nouveau monde plus sain non seulement possible, mais inévitable.




Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. A présent les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle. C’est Inoxydable, membre AIMSIB de la première heure, ancien enquêteur de Police, qui est parti étayer ce dossier lamentable parce qu’il n’est présenté nulle part ailleurs dans la presse grand public: Pourquoi au fait?  Bonne lecture.

« La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien »

attribué à Edmond Burke

Introduction

Selon cet article (1),  la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé samedi un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins anti-Covid à BioNTech-Pfizer™:

Capt. écran

Non contente de cette commande pharamineuse dont elle doit se frotter les mains elle ajoute que « d’autres contrats et d’autres technologies vaccinales vont suivre». Ce contrat inclut une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions supplémentaires. Ces nouvelles livraisons, prévues dès cette année et jusqu’en 2023, permettront notamment de «s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus», mais aussi de «vacciner les enfants et adolescents».

Corruption, belotte…

Pour qui s’intéresse à cette information, on peut se demander jusqu’à quel point la commissaire européenne à la Santé, Madame Stella Kyriakides a joué de son entregent pour finaliser ce merveilleux contrat à propos duquel, le silence sépulcral de nos femmes et hommes politiques résonne d‘un assourdissant silence.

Stella Kyriakides en grande discussion avec le Commissaire Européen André Breton et le Ministre Français de la Santé, Olivier Véran (afp)

Ces faits sont relatés par la presse étrangère (2):

Capt écran

Cet article provient d’un site non conformiste. lesobservateurs.ch , politiquement correct s’abstenir (3), dont les rédacteurs luttent contre la pensée unique et le conformisme idéologique… donc classé franchement à droite. Mais faut-il encore une fois tuer le messager et occulter le message ?

C’est là qu’on apprend que 4 millions d’€ ont gonflé le compte familial de la commissaire par l’intermédiaire de la Cooperative Bank of Cyprus, qui appartient à l’État Chypriote, et il a été tenté de le déguiser en une sorte de prêt pour éviter le scandale .

Cette somme demeure de provenance difficilement explicable. Les médias chypriotes ont essayé de « rattraper l’affaire » en parlant de corruption passive et c’est pourquoi lesobservateurs.ch  en parle après qu’une agence de presse hongroise ait soulevé le lièvre.

 « Stella Kirikiades, après sa chute, essaie de s’excuser de toutes les manières possibles faisant croire que cet argent apparemment « sale » n’a rien à voir avec les contrats de vaccination de l’UE s’agissant d’un… prêt. »

Prêt de qui pour quoi, « elle serait de toute façon bien incapable de rembourser », saut peut-être en continuant de sévir ( pardon, servir) au sein de la commission Européenne et c’est le cas par exemple ici (4) :

Capt écran

Psychologue de formation, en doit s’y connaître en matière de vaccins, mais surtout de… politique.

Qui est derrière l’agence VAN4

Ces articles sont-ils crédibles ?
L’agence VAN4 est-elle digne de foi ? Bien qu’il s’agisse d’une agence d’information proche du premier ministre Hongrois Viktor ORBANà mon sens elle ne peut être plus polluée politiquement que notre bonne agence AFP, surtout sur les problèmes des vaccins et des traitements simples de la Covid.
Cette agence Hongroise, appelée V4NA, a d’ailleurs été enregistrée à Londres par l’ambassadeur de Hongrie au Royaume-Uni, Kristof Szalay-Bobrovniczky, le 31 décembre 2018, selon les documents déposés par la société (6):

Capt écran

9 avr. 2019 — V4NA’s name reflects a focus on the Visegrad Four countries – Poland, Slovakia, Hungary and the Czech Republic. It plans more coverage of ..

Pourquoi donc ne pas leur accorder autant de crédits qu’aux autres agences de presse empressées auprès de Google, Facebook et des kyrielles de supports de publications relayant les délires vaccinalistes « officiels » ?

Voici ce que dit l’article qu’on peut aussi traduire en français sur son site ;

Capt. écran

Article intitulé : « Le plus grand scandale de corruption de l‘UE se déroule alors que 4 millions d‘€ se retrouvent sur le compte de la commissaire à la santé Européen , la Chypriote Mme Stella Kyriakides qui a signé les contrats d’approvisionnement en vaccins défectueux et tardifs de l’UE » , selon le journaliste M. Omolnar .

Corruption, rebelotte…

Il précise aussi qu’auparavant, il y a des années, Madame Stella Kyriakides a été impliquée dans un programme qui a vu tous les traitements anti-cancéreux privatisés à Chypre sous le déguisement d’opérations bancaires, puis – comme d’habitude – ils ont augmenté les prix de ces traitements, et ce Miklos Omolnar ajoute :

« J’ai rappelé que lorsque la situation était devenue intolérable, l’affaire a été devant le parlement chypriote. Tous les députés ont voté la nationalisation des traitements contre le cancer, réduisant leurs coûts, à l’exception d’une députée, actuelle commissaire européen à la Santé et signataire de ces contrats de vaccination qui ont mis le feu de toutes parts ».

C’est ainsi que l’Union européenne par la toute puissance de Stella Kyriakides, et de la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a conclu un contrat invraisemblable avec AstraZeneca™. V4NA a envoyé une demande écrite aux deux responsable Européens citées, pour demander des informations supplémentaires sur la question.

Je vous laisse lire l’article de ce mic mac de contrats vaccinaux aux relents pestilentiels de corruptions qu’on veut faire passer comme des erreurs, ou des maladresses. À la Commission Européenne, certains s’en sont émus : question écrite posée par un certain Euro-Député du nom de Sven Giegold (7) :

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001844_EN.html

Madame Kyriakides semble donc coutumière de faits de prise illégale d’intérêt, voire de faits de corruption passive, voire de conflits d’intérêts disons très tortueux, dans ses missions.

Qui est par ailleurs la présidente de la commission européenne ? Elle est médecin, mais selon Wikipédia « Le 27 septembre 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé « des passages  plagiés dans 27 pages de la thèse de doctorat d’Ursula von der Leyen. » Pas très honnête tout ça. Qui se ressemble s’assemble. Passons.

Quel crédit accorder à l’agence V4NA?

Bien sûr, certains mettent en doute la compétence ce de cette agence Hongroise comme cet autre média du net (8) :

Capt. écran

– « V4 Agency, basée à Londres, est la machine de propagande d’Orbán déguisée en produit médiatique mondial »

Mais le site « atlatszo » est aligné sur l’Union européenne et si l’info relayée les dérangeait, c’est sans doute qu’elle était exacte. Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles ou qui tu es…

En définitive lesobservateurs.ch ne fait pas partie du groupe Talmédia devenu TX Group (code SWX : TAMN), connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, qui est le plus grand groupe de médias privé de Suisse. „

En gros, Tamedia possède tout (9), et il est n‘est pas indépendant.

Conséquences de cet accord avec l’industrie pharmaceutique au niveau de l’UE, il oblige à l’unisson les états membres à commander pour des milliards d’€ de vaccins.

Ce scandaleux accord dont on aimerait bien connaître les distributions financières dans les différentes poches de leurs protagonistes, n’a semble t-il soulevé aucune campagne de protestations, ni dans les médias « mainstream » ni chez les responsables politiques de tous bords, pas même parmi les élus d’opposition qui auraient pu en faire un cheval de bataille comme la fameuse « tribune » des Officiers et Généraux en retraite ou non ayant recueilli plus de 100000 signatures !

Tout cela est-il dû à la malveillance des politiques, à la corruption, à la stupidité de la plupart des médias, à leurs compromissions, à la terreur inculquée depuis le début de l’épidémie à la population (pas seulement Française), même les jeunes ne réagissent plus ou si peu à la paralysie mentale des philosophes ou des leaders d’opinions, etc…

On comprend mieux quand on regarde qui fait l’opinion et à qui ça rapporte: Médias français, qui possède quoi ? (10)

Avec ça les lobbies de Big-Pharma ont de beaux jours devant eux et surtout, pour des vaccins aussi suspects qu’inutiles finalement, on se rend compte que ce qui intéresse les responsables de l’UE et de notre pays, c’est la manne financière que la vaccination obligatoire de fait rapportera probablement pour leurs intérêts personnels.

Corruption, dix de der provisoire

Pour finir sur le chapitre de la corruption, le dernier IHU Raoult (11) :

Effet des vaccins & Corruption Raoult 11 mai 2021

Vidéo dans laquelle le Pr Didier Raoult décortique l’épidémie, la vaccination et à partir de la 11e minute parle de la corruption en matière de sciences médicales, des liens et conflits d’intérêts. Il y va calmement mais férocement. Imparable. Décrié par certains, mal aimé par d’autres, adulé par ses nombreux sympathisants, on aime ou pas le personnage mais il dit tout.

Si certains ne comprennent pas, je désespère. Que penser d’ailleurs de cette dernière décision de justice (12) :

Capt. écran

Comment un médecin peut-il menacer de mort un confrère au prétexte qu’il défend en son âme et conscience l’utilisation d’une molécule en lieu et place d’une autre?

Probablement pour des raisons qu’il est difficile de détacher d’une corruption avérée, lisez ceci (13) :

France Soir, 24/06/2020

Et l’ANSM dans tout ça?

Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain.

La demande de RTU pour l’ivermectine,  présentée par un gros millier de médecins en traitements de la Covid, tant en prophylaxie qu’en traitement a été complètement rejetée par cet organisme administratif décisionnaire de l’État : est-ce de l’aveuglement, de la corruption intellectuelle ou de la corruption par liens d’intérêts?

Voici entre autres les obligations que la Loi impose à l’ANSM :

« alors que les débats, en premier lieu ceux concernant les acceptations et refus d’AMM de RTU et d’ATU, doivent être enregistrés et conservés, avec le détail et les explications des votes, y compris les opinions minoritaires ».

Au lieu du respect de la Loi, voilà ce que l’ANSM à répondu aux requérants (14) :

Capt. écran

Il faut aujourd’hui que le Dr Maudrux, porte-parole Français de ces médecins adresse un recours hiérarchique contre la décision de l’ANSM auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, déposé le 12 mai 2021. Est-ce qu’on peut attendre quelque chose du Ministre alors que visiblement, lors de sa première demande de RTU pour l’Ivermectine (14) il avait opposé un refus qui bien sûr laisse la porte ouverte à une autorisation future, sur la base d’études scientifiques fiables… aux calendes grecques ou après l’épidémie… cela a déjà eu lieu par le passé et maintenant trop d’enjeux financiers existent.

Conclusion

Je ne sais pas si l’article de lesobservateurs.ch participe à une manipulation de l’opinion, mais je suis certain d’une chose : La nouvelle commande de vaccins AstraZenecca™ ou Pfizer™ destinée à nos enfants qui n’en ont absolument pas besoin, à qui rapportera t-elle ? Servira t-elle à payer les publicités TV lamentables du genre « Ca vous a fait mal ? Eu contraire, je me sens bien mieux maintenant », qui se « gavera » ?

Cet article sur un problème dont nos médias ne veulent pas parler concerne principalement la corruption dans le marché des vaccins Covid, mais en définitive l’épidémie est en baisse pour ne pas dire en chute libre, à quoi sert-il de faire vacciner par le chantage du Pass Sanitaire autant de monde si ce n’est pour justifier les milliards d’euros dépensés et promis à Big Pharma conduisant au désastre sanitaire actuel, à l’endettement faramineux de notre pays pour des générations ?

Il n’y a même pas besoin de démontrer la corruption à tous les étages de la politique sanitaire, cette gabegie se suffit à elle-même.

Donc que devons-nous faire à part hurler haut et fort ?

Inoxydable
Mai 2021


Notes et sources

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-eco/vaccins-l-ue-signe-un-contrat-avec-pfizer-biontech-pour-1-8-milliard-de-doses-20210508
(2) https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/
(3) https://lesobservateurs.ch
(4) https://ec.europa.eu/france/news/20210125/declaration_Stella_Kyriakides_livraison_vaccins_astrazeneca_fr
(5) https://v4na.com/en/eu-s-biggest-corruption-scandal-unfolds-as-4m-appear-in-commissioner-s-account
(6) https://www.reuters.com/article/us-hungary-media-news-agency-idUSKCN1RL15X
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sven_Giegold
(8) https://english.atlatszo.hu/2020/05/25/london-based-v4-agency-is-orbans-propaganda-machine-disguised-as-global-media-product/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamedia
(10) https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA#&gid=1&pid=2
(11) https://youtu.be/0-7R3r5_-EA
(12) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-avait-porte-plaine-pour-menace-de-mort-300-eu-d-amende-pour-le-professeur-nantais-7124598
(13) https://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
(14) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/09/ivermectine-le-cote-obscur-des-decisions/
(15) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/10/rtu-pour-livermectine-pourquoi-le-refus-de-lansm/




Les révélations de la cosmonaute Marina Popovitch

[Source : urantia-gaia.info]

[NDLR Mise à jour en date du 11 février 2023 : malheureusement les sources en français et en espagnol ont visiblement disparu.]

Publié le 8 juillet 2011 par Le Passeur

Née en 1931, Marina Popovitch est un personnage légendaire en Russie. Une étoile dans la constellation du Cancer porte même son nom. Colonel dans les forces aériennes, ingénieur et pilote d’essai ayant survécu à six crashs, elle a volé sur une quarantaine de types d’avions et totalise 107 records du monde dans l’aviation, dont bon nombre n’ont toujours pas été battus. Elle est aussi la première femme à avoir piloté un avion de chasse et avoir franchi le mur du son.

Enfin, professeur en science aérodynamique, maître de conférences et vice-présidente de l’Université d’Arkhangelsk, elle a également suivi des études de théologie et de physique, ainsi que plusieurs enseignements pratiques destinés à éveiller les capacités psychiques dites paranormales. Elle est ainsi devenue capable de voir l’aura humaine et s’est formée à la communication par télépathie. Voilà pour cadrer le personnage.

Avec un tel cursus et un tel palmarès, il est difficile de ne pas prêter attention à ses paroles, d’autant qu’elle est connue depuis 1991 pour avoir publié ce qu’elle déclare être la dernière photo transmise par la sonde Phobos II avant sa disparition près de Mars, et avoir porté au public l’observation de plus de 3.000 OVNIS en Russie et la possession par les Russes de cinq d’entre eux qui se sont crashés, notamment à Tunguska en 1908 (voir article sur Tunguska) et Dalnegorsk en 1986.

Elle a surtout beaucoup parlé des découvertes des scientifiques russes quant à l’interaction permanente entre les émotions humaines et les champs électromagnétiques de la Terre et leur impact immédiat sur l’activité du Soleil. Elle a notamment évoqué la présence de zones obscures dans ces champs par exemple sur les pays où la guerre faisait rage, comme l’Irak.

[Voir aussi : Terre vivante ? et Catastrophes naturelles et pollution mentale]

[L’idée d’impact des émotions humaines sur le climat avait également été évoquée
dans le livre Urane – l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991]

Selon elle, les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements.

Il est à noter que bien des révélations sont faites depuis quelques années par des personnalités issues du monde militaire, notamment des astronautes et des hauts gradés russes et américains. J’ai du mal à penser que ces « fuites » soient autorisées s’il n’y a pas une volonté sous-jacente d’une faction au moins de ceux qui exercent des pouvoirs dans ce domaine que cela soit su. Par ailleurs ce changement de communication reste timoré et la médiatisation grand public reste faible, voire même nulle dans certains pays comme la France.

Le fait que ces révélations existent peut vouloir annoncer la fameuse divulgation quant à la présence extraterrestre que beaucoup espèrent et pour laquelle ils luttent depuis des décennies. Mais on ne peut exclure qu’elle puisse encore servir une manipulation des marionnettistes de notre monde dans le but de conserver le contrôle dans une situation nouvelle, où des événements majeurs et contre lesquels ils ne peuvent rien auront eu lieu.

En attendant de vivre le scénario à venir, voici une intéressante interview de Marina Popovitch, réalisée pour le journal espagnol Planète urbaine :

Pendant la guerre froide, la Russie a donné une grande importance à l’étude du domaine paranormal. Vous avez fait des découvertes importantes sur la grille énergétique de la planète ainsi qu’un « champ d’enregistrement psychique » qui entoure la Terre. Comment cela fonctionne-t-il ?

– Les études réalisées à Moscou ont déterminé que la planète est entourée d’un immense réseau énergétique, un « tissu » d’énergie qui possède une distribution de forme géométrique. La géologie des continents répond aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. Toute la structure de ce que nous connaissons comme l’univers physique s’ordonne selon des schémas géométriques déterminés. Ceci est connu sous le terme de « Géométrie sacrée ». Par ailleurs, en 1958, le professeur Bernascki a découvert une sorte d’anneau qui enveloppe la planète et qui contient un champ d’énergie dans lequel sont mémorisés des « registres » de toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Il a été découvert que ce champ d’énergie ne se situe pas sur un plan physique. Nous avons été capables de détecter cette bande et de la «lire» avec des instruments scientifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire.

Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu éthérique chargé d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.

Est-ce que cela pourrait être une des causes des changements climatiques violents qui se produisent actuellement ?

– C’est seulement une partie d’un immense processus qui s’inscrit dans un ordre cosmique parfait. Les scientifiques savent très bien que nous sommes confrontés à un processus cyclique et inévitable qui ne peut juste se réduire à l’homme. Dans l’univers tout est interconnecté, quoi que nous fassions d’harmonieux ou de dysharmonieux, et affecte la Terre. Ces charges négatives affectent en tout les êtres humains et sont en fait plus puissantes que l’énergie nucléaire elle-même. La planète, comme si elle était un corps malade, réagit avec des anticorps naturels pour soigner ce désarroi. La pollution n’est pas causée uniquement par la consommation des énergies résiduelles. Nous sommes nous-mêmes une puissante source de pollution. Le monde répond à la haine et l’amour (voir La Clé du Présent).

Est-il vrai que les Russes avaient une bonne avance par rapport aux Américains dans ce domaine ?

– Certains médiums russes ont dit qu’ils s’étaient retrouvés sur des plans astraux (non physiques) en présence d’Américains travaillant dans le même domaine.

Par le biais d’un entraînement spécifique, on a pu détecter ces champs de  pollution « psioniques » et on a vu comme un manteau obscur enveloppant certaines parties du globe terrestre. On a constaté qu’en utilisant certaines fréquences, il est non seulement possible d’influencer la vie en exerçant un contrôle mental, mais aussi de modifier le climat. Il existe des études poussées concernant l’antigravité qui ont amené des découvertes sur les champs scalaires, les énergies vectorielles et le vide.

Une application correcte de cette technologie pourrait avantageusement changer le monde.

[Voir aussi Note sur le mental et l’astral]

Tout nous indique que des changements climatiques majeurs vont nous obliger à changer radicalement la façon dont nous concevons notre civilisation. Quelles sont les conclusions que les scientifiques russes tirent pour la Russie à ce sujet ?

– Ces changements sont une réalité et nos scientifiques ont conclu que nous entrons dans une période de grands bouleversements de l’écosystème terrestre. Mais le plus important est que ces événements constituent un défi majeur pour l’humanité. Ils doivent être vus comme une opportunité ainsi que l’unique option pour le monde entier de décider unanimement que les vieilles formes d’exploitation de l’énergie soient remplacées par d’autres, renouvelables et non polluantes.

Il existe des preuves de visites extraterrestres à travers le monde. Il semble que les gouvernements aient même été prévenus des grands changements à venir. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet et pourquoi personne dans le monde ne présente ces preuves ?

– Nous avons atteint un point dans l’évolution de l’intelligence humaine où il est plus logique et crédible de suggérer l’existence d’une vie au-delà de notre monde que de la nier. Les grands gouvernements le savent… et le nient. Parce que si vous aviez la connaissance que ces êtres possèdent — y compris la véritable histoire de notre planète — le système actuel des croyances s’effondrerait en un rien de temps. Le pouvoir même que ces gouvernements ont sur la population mondiale pourrait disparaître du jour au lendemain. Ces créatures ont des connaissances très avancées sur ce qu’on appelle « l’énergie libre ». Notre planète et l’univers possèdent d’innombrables sources d’énergies non polluantes dont l’usage pourrait blesser mortellement l’empire dominant de l’économie mondiale. Utiliser des sources d’énergie polluantes maintient la totalité du système actuel dans la dépendance des ressources monétaires.

[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Les ultimes photos de la sonde Phobos II

Ces êtres respectent notre libre arbitre et ne s’impliquent donc pas directement dans nos affaires. Ils ont prouvé qu’ils viennent avec de bonnes intentions et ont démontré comment ils peuvent neutraliser, en quelques secondes, la technologie terrestre la plus avancée si elle est utilisée pour les attaquer.

Cela ne peut pas et ne doit pas être caché aux populations du monde. Tout ce qui concerne la question doit être révélé. Dans toutes mes conférences et mes livres, je présente les événements les plus divers qui se sont déroulés sur le sol soviétique. La mission Phobos II *, que nous avons envoyée vers Mars, a disparu lorsqu’elle a transmis à la Terre des photos d’un vaisseau géant d’environ 15,5 miles de long (25 km).

Comparaison entre Phobos et l’OVNI

La disparition ou la perte de contact avec les sondes envoyées depuis la Terre a été un sujet de conversation et de débat entre le président Bush père et Gorbatchev à la Conférence de Malte. Il y a eu des contacts entre les astronautes dans l’espace et des êtres venus d’autres mondes. Je suis convaincue que très bientôt quelque chose va arriver sur la planète qui va obliger ces êtres à se présenter massivement dans notre monde pour nous aider. Et ce sera l’événement le plus important de l’histoire moderne.

Interview réalisée pour Planeta Urbano – Traduction Le Passeur (juillet 2011)


* Phobos II est une sonde envoyée en 1989 par les Russes pour observer Phobos, l’une des deux lunes de Mars qui ne fait que 28 km par 20 km, orbitant à peine à 6.000 km de la planète. Les deux sondes Phobos I et II ont mystérieusement perdu le contact avec la Terre. Seule Phobos II a pu émettre quelques photos.

Pour en savoir plus, voir cet article.

Source originale de l’interview (en espagnol).

Source : http://www.urantia-gaia.info
(en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)



Tucker Carlson, de Fox News, réagit aux OVNIS officialisés par le Pentagone

[Source : Quadrillage traduction]

https://youtu.be/b3558uMZRDQ



Pour en finir avec le National Economic Security and Recovery Act (NESARA) qui conduit les gens à accepter docilement la Grande Réinitialisation

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Il y a très longtemps que j’y songeais et j’ai maintenant décidé d’écrire un article pour en finir avec l’arnaque du « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) qui conduit les gens non avertis à accepter docilement le plan des globalistes de la Grande Réinitialisation (Great Reset). Cet ensemble de propositions de réformes économiques préparées entre 1980 et 1990 par Harvey Francis Barnard partaient d’une bonne intention. Par contre, elles ont vite été récupérées par des gens sans scrupules, — reliés au mouvement New Age —, afin de tromper le monde et l’amener à croire en une réforme bienfaitrice pour l’humanité. En fait, elle amène les gens à faire confiance et à adopter aveuglément le remise à zéro promue par les élitistes du Forum économique mondial (FEM).

C’est pour cette raison que j’en ai assez de ces gens qui manipulent leur auditoire en propageant des mensonges ou des demi-vérités. Ici, l’ignorance n’est pas une excuse puisque lorsqu’on ne maîtrise pas son sujet, on ne peut prétendre l’enseigner aux autres. Je prends pour exemple les frères jumeaux Daniel et Eric Tadros qui partagent la plupart du temps des informations biaisées et souvent erronées. Cela ne les empêchent nullement de quémander de multiples dons comme pour les récompenser de leur paresse intellectuelle. Il faut souligner que les personnes qui promeuvent d’une façon ou d’une autre le projet NESARA – en fait – font le jeu d’une fraude financière reconnue depuis longtemps.

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) est désormais utilisé à des fins d’opération psychologique et vise à faire adopter la Grande Réinitialisation (Great Reset) de Klaus Schwab. Le 11 Novembre 2016, la socialiste danoise Ida Auken écrivait sur le site internet du FEM :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. (…) Tout ce que vous considérez comme un produit est maintenant devenu un service. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA)

Dr Harvey Francis Barnard

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) était un ensemble de propositions de réformes économiques pour les États-Unis suggérées au cours des années 1990 par le Dr Harvey Francis Barnard. Barnard a affirmé que les propositions, qui comprenaient le remplacement de l’impôt sur le revenu par une taxe de vente nationale, la suppression des intérêts composés sur les prêts garantis et le retour à une monnaie bimétallique, entraîneraient une inflation de 0% et une économie plus stable. Les propositions n’ont jamais été présentées au Congrès.

NESARA est depuis devenu plus connu comme le sujet d’une théorie de type sectaire promue par Shaini Candace Goodwin, également connue sous le nom de “Colombe de l’Unité” (Dove of Oneness), qui a affirmé que la loi avait en fait été adoptée avec des dispositions supplémentaires telles que la Loi sur la sécurité économique nationale et la réforme, puis réprimé par l’administration George W. Bush et la Cour suprême. Les courriels de conspiration de Goodwin ont été traduits en plusieurs langues et ont un grand nombre de fans en ligne.

Harvey Francis Barnard est né le 22 septembre 1941. Il est retourné dans la région de Baton Rouge, en Louisiane, après une absence de 20 ans en tant que conseiller pédagogique auprès de l’industrie de l’énergie dans des villes à travers les États-Unis. Il a appliqué son doctorat en théorie des systèmes à l’économie dans son livre publié, « Draining the Swamp ». Il a proposé des modifications du système monétaire et fiscal pour favoriser l’accession à la propriété et l’équité pour les contribuables. Il a succombé à une insuffisance cardiaque le mercredi 18 mai 2005 dans un hôpital local.

Nous pouvons lire sur le site Web de Signature Book Printing, Inc. : « Le Dr Harvey F. Barnard écrit sur l’argent mais n’est pas un économiste, sur la banque mais n’est pas un banquier, sur le droit mais n’est pas un avocat, sur la morale mais n’est pas un ministre, sur l’histoire mais n’est pas un historien, sur la société mais n’est pas sociologue, et sur la politique mais n’est pas un politicien. Il a commencé sa carrière en tant que dépanneur de systèmes, la personne que vous appelez pour « réparer » quand il est en panne. Au cours des trente dernières années, il a travaillé en tant que consultant technique enseignant des techniques de dépannage de grands systèmes à une variété de clients. Sa recherche d’une cause profonde et des solutions aux problèmes américains a commencé à la fin des années 60. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA) from Éditions Dédicaces

Proposition de réforme monétaire

Harvey F. Barnard, diplômé de la Louisiana State University en philosophie des systèmes et consultant et enseignant en ingénierie, a créé la proposition NESARA à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Il a imprimé 1000 copies de sa proposition, intitulée « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform » (1996) et a envoyé des copies aux membres du Congrès, croyant qu’elle passerait rapidement sur ses mérites.

Basé sur une théorie selon laquelle la dette est le premier facteur économique inhibant la croissance de l’économie, et l’intérêt composé le « mal moral » numéro un et la raison de la dette, Barnard a fait plusieurs autres tentatives au cours des années 1990 pour attirer l’attention politique sur les problèmes qu’il voyait dans l’économie américaine, et sa proposition de reprise économique basée sur les causes profondes qu’il a déterminées. Après que ceux-ci n’aient pas abouti, il a décidé en 2000 de libérer la proposition dans le domaine public et de la publier sur Internet.

Barnard a créé l’Institut NESARA en 2001 et a publié la deuxième édition de son livre en 2005, sous le titre « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform ». Le 29 juillet 2002, on pouvait lire sur le site internet de NESARA : « Le projet de loi n’a pas été promulgué, n’a pas été présenté au Congrès et n’a pas encore reçu de numéro de suivi. Numéro de projet de loi : Aucun. Les membres du Congrès soutenant publiquement le projet de loi : Aucun. » Il est toujours possible de consulter le projet NESARA sur la plateforme d’archivage « Internet Archive ».

Shaini Goodwin, la Colombe de l’Unicité

Cadence «Shaini» Goodwin

Peu de temps après que Barnard a publié NESARA sur Internet, une femme connue sous le nom de “Dove of Uneness” (Colombe de l’Unicité) a commencé à publier à ce sujet sur des forums Internet. La “Colombe de l’Unité” a été plus tard identifiée comme étant Cadence «Shaini» Goodwin, une ancienne élève de la Ramtha’s School of Enlightenment (RSE), qualifiée dans les médias de “reine cyberculte”. Ramtha’s School of Enlightenment est une secte spirituelle américaine New Age près de la ville rurale de Yelm, à Washington.

L’école a été créée en 1988 par JZ Knight, qui prétend canaliser un être de 35000 ans appelé Ramtha l’Éclairé. Les enseignements de l’école sont basés sur ces sessions de canalisation.

Shaini Goodwin était une fille sombre et extravertie, originaire d’une petite ville de l’État de Washington. Quelques décennies plus tard, elle était une consultante en informatique divorcée et sans succès vivant avec sa mère dans sa maison mobile. Vers la fin des années 1990, elle a commencé à devenir active sur les forums de discussion en ligne de Omega Trust (probablement comme l’un des investisseurs prometteurs) sous le nom de Dove.

Lorsque Barnard a publié en ligne son texte NESARA au format PDF, il a été rapidement repris par Goodwin qui avait maintenant une nouvelle carotte à pendre devant les victimes de l’arnaque Omega, toujours pleines d’espoir. Goodwin a créé son propre logo et a lancé un site Web copieur, nesara.us, où elle a réinterprété la proposition de Barnard et ajouté des fonctionnalités toujours plus extravagantes et séduisantes telles qu’une nouvelle « monnaie arc-en-ciel » soutenue par des métaux précieux et affirmant qu’il y avait au moins 50 « programmes de prospérité » qui commenceraient à être distribués dès que la « loi secrète NESARA » serait officiellement annoncée. Plus la paix mondiale et l’énergie alternative gratuite.

Le faux logo NESARA par Dove of Oneness

Selon le site internet de Goodwin, le projet de loi NESARA a langui au Congrès avant d’être finalement adopté par une session secrète en mars 2000 et signé par le président Bill Clinton. On prétend que la nouvelle loi devait être appliquée à 10 heures du matin le 11 septembre 2001, mais que les ordinateurs et les données (des bénéficiaires des billions de dollars des « fonds de prospérité ») ont été détruits au deuxième étage d’un des tours du World Trade Center à New York pendant les attaques terroristes. Il semblerait qu’un ordre de bâillon antérieur émis par la Cour suprême avait interdit à toute source officielle ou privée d’en discuter, sous peine de mort.

Goodwin a fait référence aux « Chevaliers blancs », la plupart d’entre eux étant des hauts fonctionnaires militaires, qui luttent depuis pour faire appliquer la loi malgré l’opposition du président George W. Bush. Goodwin croyait et prétendait que Bush avait orchestré les attaques du 11 septembre et la guerre en Irak comme une distraction de NESARA. La description de Goodwin de NESARA va bien au-delà de la proposition de Barnard en annulant toutes les dettes personnelles, en supprimant l’Internal Revenue Service, en déclarant la paix mondiale et en exigeant de nouvelles élections présidentielles et au Congrès. Goodwin a souvent affirmé que les fonctionnaires de Bush tentaient de pirater et de faire tomber son site Web pour l’empêcher de publier la loi.

Harvey Francis Barnard a pris connaissance de la description de Goodwin de NESARA avant sa mort en 2005. Il a nié que NESARA avait été promulguée dans la loi ou même assigné un numéro de projet de loi, et a condamné les allégations de Goodwin comme une campagne de désinformation. Le site Web de l’Institut NESARA, nesara.org, a publié une déclaration essayant de corriger les distorsions de son texte par la secte NESARA, et même l’acronyme original. Goodwin, pour sa part, a rejetté l’Institut NESARA comme une couverture de désinformation pour la famille Bush.

Goodwin a commencé à commenter NESARA en relation avec Omega Trust, un stratagème d’investissement frauduleux dont le créateur, Clyde Hood, était alors jugé. Selon Goodwin, les investisseurs d’Omega Trust recevraient leurs rendements après l’annonce de NESARA. Goodwin a prédit à plusieurs reprises que l’annonce NESARA se produirait dans un avenir très proche, bien que dans les années plus tard, elle soit devenue plus réservée dans ces prédictions.



Les autres développements

Après que Goodwin a commencé à commenter NESARA, d’autres théoriciens de la conspiration basés sur Internet s’y sont accrochés. Un partisan, Sheldan Nidle, lie l’annonce imminente de NESARA dans sa prophétie vieille de plusieurs années d’une visite imminente d’OVNI à grande échelle par des extraterrestres bienveillants (occasionnellement sur son site Web, mais plus en évidence dans ses vidéos, séminaires et apparitions publiques). Jennifer Lee, qui avait l’habitude de publier des rapports de situation sur Internet NESARA presque quotidiennement sur son site maintenant disparu, a discuté d’une foule d’êtres d’un autre monde et « interdimensionnels » qui aident dans les coulisses à faire annoncer NESARA. L’évangéliste Internet Sherry Shriner, qui exploite de nombreux sites Web, considère NESARA comme lié à des extraterrestres reptiloïdes malveillants qui, selon elle, contrôlent depuis longtemps le gouvernement américain.

Les groupes NESARA sont connus à coup sûr pour exister et pour avoir attiré l’attention de la presse en Utah et aux Pays-Bas. Les membres de ces groupes se réunissent pour discuter du statut de NESARA, lire les divers rapports, organiser des manifestations et distribuer des dépliants sur NESARA au public. Goodwin affirmait que les groupes NESARA existent dans plusieurs pays et États américains, y compris la Californie, Washington, l’Arizona et le Texas, et fournit des centaines de preuves photographiques de personnes participant à des manifestations publiques tenant des bannières NESARA, mais il n’est pas clair dans quelle mesure les personnes qui tiennent les banderoles savent ce qu’est NESARA, ni pendant combien de temps ces groupes sont actifs. Le News Tribune a retracé l’histoire derrière au moins certaines de ces photos (photos de camions circulant dans Washington, DC portant les mots “NESARA Announcement Now!”), et a constaté qu’elles faisaient partie d’une campagne publicitaire de 40 000 $ qui aurait été payée par un un résident âgé de San Francisco qui avait fait des dons à Goodwin.

Critique et comparaison à une secte

Le « Maître Ascensionné » Saint-Germain

Les critiques considèrent NESARA comme une secte. Soulignant le fait que Goodwin, Lee et Nidle sollicitaient fréquemment des dons de leurs lecteurs, ils accusent ces dirigeants d’être principalement intéressés à assurer un flux régulier de revenus pour eux-mêmes. Goodwin, qui a également demandé aux lecteurs de faire don de leurs miles de fidélisation, a affirmé qu’elle avait besoin et avait utilisé les fonds pour se rendre dans divers endroits à travers le monde afin de rencontrer secrètement des hauts fonctionnaires du gouvernement au sujet de l’annonce de NESARA.

Certains partisans de NESARA affirment également que des êtres d’un autre monde travaillent pour faire annoncer NESARA. Ceux-ci incluent un être cosmique « canalisé » appelé « Hatonn » (un androïde Pléiadien), et un autre nommé Sananda. Selon certains partisans des enseignements des maîtres ascensionnés, tels que Joshua David Stone, Sheldan Nidle et Luis Prada, Sananda est le “nom galactique” du Maître Ascensionné Jésus, qu’il utilise dans son rôle de commandant en chef du commandement Ashtar, flotte de soucoupes volantes.

Pallas Athena est considéré comme le vice-commandant de la flotte de soucoupes. Ashtar (Ashtar Sheran) est considéré dans ces enseignements comme étant le troisième commandant. La désignation de George W. Bush comme reptilien déguisé coïncide souvent avec cette affirmation. Goodwin a affirmé que le Maître Ascensionné Saint-Germain est descendu du plan éthérique pour rencontrer physiquement les chefs de banques et les dirigeants mondiaux concernant l’annonce de NESARA.

La proéminence de la prophétie ratée apporte également un soutien à la théorie du culte. Les partisans de NESARA disent souvent à leurs lecteurs que l’annonce de NESARA va avoir lieu dans quelques jours. Ces affirmations ont été faites trop souvent pour être énumérées, sans jamais aboutir. Selon le documentaire Waiting For NESARA, il a également été affirmé avant mars 2003 que George Bush planifiait la guerre avec l’Irak dans le seul but de retarder l’annonce de NESARA. Il a été prophétisé que les êtres spirituels et les OVNIS interviendraient avec les plans de Bush et empêcheraient la guerre.

Une plainte déposée en juin 2006 auprès de la division de protection des consommateurs de Washington a accusé Goodwin d’avoir utilisé l’histoire de NESARA pour escroquer au moins 10 000 dollars une femme de 64 ans à San Francisco. La fille de la femme a déclaré que le montant réel était beaucoup plus élevé, des centaines de milliers de dollars. (The News Tribune, 18 juin 2006)


NESARA : Drain the Swamp (Free book) ; Global Currency Reset from The Free School

À propos de Clyde D. Hood et Omega Trust

La fraude financière de Clyde D. Hood (The Free Lance-Star, 31 août 2000)

Clyde D. Hood est un ancien électricien de Mattoon, dans l’Illinois. En 1994, Hood a formé Omega Trust and Trading Limited et a commencé à donner des conférences aux groupes religieux. Il a dit que le Seigneur lui avait donné une mission. Il a affirmé qu’il était l’un des négociants internationaux qui pouvaient conclure des transactions secrètes de plusieurs millions de dollars au profit de programmes humanitaires par le biais de débentures et de « billets de banque de premier ordre » dans des banques étrangères. Hood a demandé un investissement de 100 $ et a promis un versement de 5 100 $ dans les 275 jours. Il voulait que l’argent livré soit emballé dans du papier d’aluminium et via Federal Express parce que le gouvernement fédéral américain tentait de bloquer les échanges via le service postal des États-Unis. Par conséquent, le schéma doit rester secret. Des milliers de personnes des États-Unis et de l’étranger ont envoyé de l’argent.

Le programme a cessé d’accepter de nouveaux investisseurs en 1995. À ce moment-là, Hood avait reçu plus de 10 millions de dollars. Il a commencé à présenter un certain nombre d’excuses expliquant pourquoi les investisseurs n’avaient pas été payés, accusant les coûts administratifs, les problèmes avec les banques étrangères et les conflits financiers internationaux. Alors que certaines personnes voulaient encore se joindre au programme, Hood et ses complices ont affirmé qu’ils pouvaient vendre des unités d’actions de personnes qui avaient voulu quitter le programme. Le montant total estimé était de 20 millions de dollars.

En outre, Hood a commencé de nouveaux plans d’investissement nommés Alpha et Destiny et a obtenu plus d’argent de ceux qui avaient investi dans Omega. Avec l’argent, Hood et ses associés ont acheté des terrains et des entreprises à Mattoon, ont accordé des prêts sans intérêt et ont fait des voyages en Europe. Une partie de l’argent a également servi à financer les activités d’autres associés de Hood comme l’entrepreneur en construction Chris Engel.

Engel a coopéré plus tard avec la police et les a laissés enregistrer une conversation téléphonique avec Hood. L’avocat de Hood Steve Ryan a également été retiré de l’affaire par la suite lorsqu’il a été assigné à comparaître en tant que témoin et pour une éventuelle collusion.

Clyde Hood et ses 18 associés ont été inculpés en 2000. Certains d’entre eux ont plaidé coupable ou ont été reconnus coupables de multiples chefs d’accusation de fraude, de fraude postale, de blanchiment d’argent et de dépôt d’une fausse déclaration de revenus (voir 26 U.S.C. § 7206). Le 10 avril 2001, Hood a plaidé coupable de complot de fraude postale ou électronique, de complot de blanchiment d’argent et de production d’une fausse déclaration de revenus.

Le 24 janvier 2002, Hood a été condamné à 14 ans de prison et à une amende de 5 000 $. Cinq de ses associés ont été reconnus coupables de participation active au programme et condamnés à restituer. Treize associés ont été reconnus coupables de blanchiment d’argent. Trois cent cinquante-cinq victimes ont reçu une restitution des fonds confisqués par Omega Trust pour un montant total de 1 697 310,00 $.

L’Omega Trust existe toujours sur Internet en tant que prétendu programme mondial de lutte contre la pauvreté (NESARA). Hood a été emprisonné au « Federal Medical Center Devens », au nord de Worcester, Massachusetts, et devait être libéré en novembre 2012, mais il est décédé plus tôt la même année à l’âge de 78 ans. (Journal Gazette & Times-Courier, 27 juillet 2012)

Entrevue de Shaini Goodwin qui parle de toutes les choses fantastiques sur NESARA et ses vaillants chevaliers blancs.

Les différentes versions d’« OMEGA » et de « NESARA »

Inger G. Nordangård écrit sur le site internet suédois Pharos : « En août 2000, alors que Hood était à court d’excuses pour le non-retour des fonds investis et était poursuivi en justice, Dove s’est présentée comme la nouvelle cheffe. Elle a simplement pris le contrôle des nombreux abonnés de Hood, qui ont refusé de croire qu’ils avaient été arnaqués. Dès le lendemain, elle a commencé à inventer des histoires pour calmer la foule et garder leur espoir vivant. L’arrestation n’était qu’un “complot” contre Hood pour “arrêter les paiements” et les accusations seraient bientôt abandonnées. » Shaini Goodwin a vivement averti les membres qui feraient des recherches d’informations sur l’affaire :

« Restez à l’écart des site Web qui contiennet des informations sur cette affaire !!! », a-t-elle écrit. « Vous serez suivi si vous accédez à ces sites Web. Et évitez absolument de remplir des plaintes – vous pourriez perdre votre financement si vous faites cela! »

Le site internet “Un souffle de la vie” conclut ainsi : « À côté des arguments de base de la fraude — argent facile et rapide, mettre à la portée de tout à chacun une spéculation réservée à une élite — Dove a animé une histoire dans l’histoire en plaçant le produit “OMEGA” au cœur d’une intrigue. Le produit “OMEGA” est devenu un maillon parmi une cinquantaine de “Programmes de prospérité”. Des programmes qui devaient financer de vastes projets “humanitaires”. Des sommes de plusieurs “milliards de dollars” pour initier un “nouveau paradigme”. L’intrigue prît encore plus d’ampleur lorsque le déblocage des gains générés devait être conditionné à l’annonce publique d’un projet “NESARA” qui réformerait le système bancaire fiscal au niveau mondial. »

Vous connaissez maintenant la véritable histoire de l’arnaque actuelle de NESARA.



Vieux articles

Par Joseph Stroberg

Les trois articles suivants datent de 1992-1993 et avaient été remaniés quelques années plus tard. Ils conservent quelques coquilles et ne seraient pas traités similairement par l’auteur à l’heure actuelle. Leurs points de vue sont bien sûr discutables. Ils se trouvent encore visibles chez l’hébergeur américain Angelfire.

L’Humanité face aux peuples de l’espace
(article paru fin 1992 dans le numéro 144 de la revue « Le monde inconnu » et légèrement remanié ensuite)

Astronomie et astrologie
(article paru en mars 1993 dans le numéro 147 de la revue « Le monde inconnu » et remanié ensuite)

Nouveaux gourous, nouvelles sectes
(résumé et remaniement d’un article paru en septembre 1992 dans le numéro 141 de la revue « Le monde inconnu »)


L’humanité face aux peuples de l’Espace

En cette fin du vingtième siècle, alors que l’hypothèse de la vie extraterrestre se mue en quasi-certitude chez un nombre croissant de scientifiques, la juxtaposition de données prophétiques ou traditionnelles avec l’état et l’avancement actuel de l’humanité, avec le phénomène OVNI et avec d’étranges faits ou rumeurs tend à mettre en évidence l’existence d’une présence ou d’une influence non humaine croissante sur la Terre! Admettre la possibilité de cette présence amène à s’interroger sur son but. Que pourraient chercher des peuples extraterrestres sur notre planète, et quelles pourraient en être les répercussions sur notre civilisation?

La Terre n’est probablement qu’une banale planète dans notre système solaire tout aussi banal au sein d’une galaxie – la « Voie lactée » – qui en compte des dizaines de milliards. Cette galaxie est elle-même tout à fait quelconque dans un univers ou une portion d’univers où l’homme en dénombre des milliards. Même si la vie n’apparaissait que sur les planètes analogues à la Terre et connaissant des conditions astronomiques voisines et si l’intelligence ne se développait que sur un millième ou un millionième d’entre elles, l’univers appréhendé par l’homme pourrait compter un grand nombre de civilisations extraterrestres au moins aussi avancées, ou aussi peu évoluées, que la notre. Par des considérations statistiques voisines mais plus élaborées, des astrophysiciens, dont certains connus du grand public, comme Karl SAGAN, sont arrivés à la même conclusion. De tels scientifiques ont été suffisamment pris au sérieux par les responsables de la NASA et du gouvernement américain pour que des messages destinés à d’éventuels extraterrestres soient inscrits ou enregistrés sur trois sondes spatiales lancées pour photographier des planètes du système solaire. Sur « Pioneer 10 », lancée le 3 mars 1972 et chargée d’étudier les astéroïdes et Jupiter, a été installée une « plaque d’identité » d’aluminium doré gravée de symboles suggérant son origine terrestre. « Voyager 1 » et « Voyager 2″, lancées en 1977, emportent chacune un vidéodisque sur lequel figurent une encyclopédie de la Terre, des cris d’animaux, des morceaux de musique, des salutations en 60 langues, et un message de l’ex président américain Jimmy CARTER! Par ailleurs, les coûteux radiotélescopes construits en divers lieux du globe pour capter les ondes radio en provenance de l’espace sont parfois utilisés pour rechercher d’éventuels signaux extraterrestres intelligents qui seraient émis sur ces ‘longueurs d’onde ». La vie extraterrestre intelligente est donc manifestement davantage qu’une simple hypothèse pour au moins quelques membres influents de la communauté scientifique, au point qu’elle est étudiée dans une science récente: l’exobiologie.

Un nombre toujours plus grand d’astronomes et d’autres chercheurs estiment comme très probable l’existence d’au moins quelques dizaines de civilisations extraterrestres technologiquement plus avancées que la nôtre, rien que dans notre galaxie. La plupart d’entre elles ont donc certainement déjà effectué des voyages extra-planétaires – hors de leur planète d’origine – en direction d’autres astres de leur système solaire ou même de systèmes proches. Au rythme actuel du progrès scientifique et technologique, l’humanité elle-même pourrait atteindre une autre étoile que le Soleil dans quelques dizaines ou centaines d’années tout au plus. La découverte d’un moyen de se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière appartient au domaine du possible et le permettrait. Les physiciens admettent la possibilité de voyager à une vitesse très proche de celle de la lumière et conçoivent que des êtres intelligents puissent découvrir un moteur ou un moyen de propulsion assez puissant pour atteindre celle-ci. Mais depuis EINSTEIN, ils croient qu’elle représente une limite infranchissable, aucun objet matériel ne pouvant, selon eux, la dépasser. Aussi, considèrent-ils comme très peu probable une visite extraterrestre sur la Terre, d’autant plus qu’ils ne la croient pas objet d’une attention spéciale qui en ferait un but de voyage prioritaire. Cependant, on est en droit de se poser les questions suivantes:

  • La vitesse de la lumière représente-t-elle réellement une limite?
  • Est-elle la même en tout point de l’univers ordinaire (celui perçu par l’homme)?
  • L’espace-temps est-il pratiquement le même dans tout l’univers, ou ne pourrait-il pas, pour des raisons qui peuvent largement nous échapper, être très différent d’un endroit à l’autre, d’une galaxie à l’autre, d’un système solaire à l’autre, ou même d’une planète à l’autre?
  • N’existe-t-il pas des dimensions non ordinaires de l’univers, dimensions qui pourraient fournir un ou plusieurs moyens de contourner l’obstacle de la vitesse limite, à supposer que cet obstacle soit réel?
  • La Terre peut-elle se trouver l’objet d’une attention spéciale de la part d’autres êtres?

Une réponse favorable à l’une ou l’autre de ces questions augmenterait bien sûr le caractère plausible de visites extraterrestres. Et un domaine qui peut fournir ce genre de réponses, au moins sur le plan théorique, est celui de la science-fiction. Celle-ci n’est pas une simple littérature d’imagination car elle combine « l’inspiration » et l’imagination proprement dite que l’on pourrait nommer « expiration« . Un auteur de science-fiction « inspiré », comme le fut par exemple le précurseur Jules VERNES, est capable de capter des informations relatives au passé, au futur ou à d’autres lieux de l’univers, grâce à un ou plusieurs sens « subtils » dont l’existence n’est pas encore reconnue par la science officielle mais que d’autres appellent perceptions extrasensorielles. La fameuse « intuition » peut, suivant les cas, être assimilée à l’un ou l’autre d’entre eux. Les informations captées par un tel sens le sont à la manière dont une radio capte une station émettrice. Leur qualité dépend de la fiabilité et de l’acuité de l’appareil récepteur. Lorsqu’un bon canal est sélectionné, on peut capter des informations en provenance du plan correspondant d’émission: physique, émotionnel-affectif, ou mental. Celles-ci peuvent se rapporter à n’importe quel secteur de la vie humaine ou même extra-humaine. L’écrivain de science-fiction qui les capte les met en scène grâce à son imagination. Celle-ci se déroule lors de la phase active du processus de création. L’inspiration intervient lors de la phase réceptive passive. En réalité, les deux ne cessent généralement d’alterner pendant tout le travail créateur de l’écrivain.

La science-fiction a ainsi pressenti de nombreuses découvertes scientifiques plusieurs années ou dizaines d’années à l’avance. Elle propose aussi des quantités de théories non encore vérifiées ou  reconnues par les hommes et notamment des réponses aux questions précédentes. En particulier, elle contourne l’éventuel obstacle d’une vitesse limite par le recours à « l’hyperespace » qui permet de prendre des raccourcis lors de déplacements spatiaux, ou à la « téléportation ». L’existence avérée du premier ou de la seconde rendrait évidemment caduques les suppositions restrictives des savants quant aux visites d’êtres non humains. Quoi qu’il en soit, en matière de passages ou d’atterrissages extraterrestres sur notre planète, il est certainement plus logique et déterminant de commencer par l’observation des faits.

L’histoire terrestre fourmille d’indices ou de traces de visiteurs d’autres mondes, depuis la plus haute antiquité où les hommes les assimilaient volontiers à des dieux, jusqu’à l’époque moderne qui en connaît une forte recrudescence: témoignages écrits ou oraux, matières ou objets inconnus, traces étranges, photographies, « signatures radar », etc. A partir de la seconde guerre mondiale, les observations de « véhicules » volants, de phénomènes et d’êtres étrangers à la Terre se sont tellement multipliées qu’on a fini par les regrouper puis par les étudier sous le nom de phénomène « OVNI » (Objets Volants Non Identifiés) en y mêlant ou feignant d’y mêler des observations purement atmosphériques comme la foudre en boule ou les nuages lenticulaires. Ceux qui veulent nier ou ceux qui veulent cacher l’origine non humaine du phénomène avancent des arguments tels que les suivants:

  • il s’agit d’un fantasme de l’humanité et d’hallucinations collectives,
  • les témoins ne sont pas crédibles,
  • la multiplication des observations n’est due qu’à l’accroissement de la population ou à un effet d’imitation,
  • il s’agit d’une invention de la CIA pour cacher des recherches secrètes sur de nouvelles armes.

L’honnêteté intellectuelle oblige à écarter le premier argument face aux traces physiques et chimiques mystérieuses laissées par certaines des soi-disant hallucinations et face à l’abondance de récits historiques décrivant des éléments du phénomène. Concernant le second, Jimmy CARTER et d’autres illustres personnages qui signalent avoir observé au moins un OVNI font-ils parti des témoins non crédibles? Quant au troisième, s’il est en parti fondé, il passe sous silence le fait que la grande majorité des observations dénombrées se déroule dans des endroits isolés, loin des villes et de l’agitation humaine. Pour répondre au dernier, on peut signaler:

  • que de nombreuses observations d’ovnis sont antérieures à la fondation de la CIA,
  • et qu’inventer une si monumentale histoire que le phénomène ovni pour cacher une quelconque activité secrète n’est probablement pas très économique, ni des plus efficace car de plus en plus d’utilisateurs d’Internet et d’individus en général pensent aujourd’hui que la CIA et d’autres services secrets nous cachent de nombreuses informations et activités.

Les autres arguments des contradicteurs ne résistent guère mieux au bon sens, aux faits, à l’analyse ou à l’épreuve de l’honnêteté intellectuelle. Pendant ce temps, dans de nombreux pays et particulièrement aux États-Unis, des responsables gouvernementaux, militaires et de services d’espionnage ou de contre-espionnage ont eu largement l’occasion de s’assurer de la réalité du phénomène OVNI, de son origine non humaine, et de ses dangers potentiels pour l’humanité et pour ses dirigeants. Ils s’en sont tellement assurés, qu’ils ont élaboré des programmes et créé des commissions ou des organismes spéciaux rien que pour l’étude du phénomène ou pour la désinformation qui vise à laisser les masses dans l’ignorance. Citons entre autres:

  • Le SETI (Search for ExtraTerrestrial Intelligence = Recherche d’Intelligence Extraterrestre), programme de recherche de signaux intelligents, de fréquences radio, en provenance de l’espace, lancé par la NASA.
  • Le GEPAN (Groupe d’Étude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés), transformé ensuite en SEPRA (Société d’Étude des Phénomènes de Rentrée Atmosphérique), créé en France pour étudier le phénomène ovni.
  • La commission Condom créée dans un but de désinformation sur le phénomène ovni, et de discrédit des témoignages.

Ajoutons qu’en France, la Gendarmerie Nationale est chargée, entre autres missions, de recueillir les témoignages relatifs aux phénomènes inexpliqués.

Pourquoi des commissions ou des organismes officiels ont-ils des activités relatives, partiellement ou totalement, à la vie extraterrestre ou aux phénomènes non identifiés si ceux-ci n’existent que dans l’imagination des populations? Et pourquoi un certain nombre d’entre eux se donnent-ils autant la peine de désinformer les masses à grand renfort de fausses rumeurs, de faux témoignages, de photographies truquées et d’informations largement contradictoires?

En dépit de ce genre de manœuvres et des dénégations officielles, grâce à l’acharnement d’un nombre croissant d’enquêteurs indépendants et de témoins courageux, de plus en plus de personnes (80% aux États-Unis en 1997) sont convaincues de la réalité des ovnis et en souhaitent la reconnaissance officielle.

Il est progressivement davantage admis, mais encore officieusement, que des êtres humanoïdes – d’apparence proche de l’humaine – étrangers à la Terre y effectuent de plus ou moins brefs séjours. Les observations laissent supposer l’existence d’une dizaine de races extraterrestres distinctes qui nous visiteraient plus ou moins régulièrement. Bien qu’il ne puisse en être fourni ici aucune preuve, on peut affirmer, ou présenter comme hypothèse de travail ou sujet de réflexion, le fait qu’au moins une de ces races a envoyé des émissaires à certains des hauts responsables gouvernementaux en occident. Les informations « brûlantes » sont gardées secrètes et la reconnaissance de la présence extraterrestre sur notre planète n’est pas encore officialisée pour plusieurs raisons dont:

  • les dirigeants y perdraient leur charisme et leur légitimité;
  • les populations se laisseraient aller, suivant les lieux et les cas, à la panique, à l’adoration ou à la fascination béates, ou parfois à une grande déprime.

Par ailleurs, les diverses races visiteuses ne révèlent pas encore leur présence à l’ensemble de l’humanité pour des motifs qui leurs sont propres, peut-être bien au-delà de ce que nous pouvons concevoir, et qui dépendent probablement de leur nature, par exemple matérialiste ou spirituelle. Les races les plus « froides », les plus matérialistes, ne sont pas particulièrement philanthropes et préfèrent sans doute pour l’instant ne pas être trop entravées dans leurs projets comme elles pourraient l’être en se révélant au grand jour, par exemple à cause de la peur ou de la xénophobie qu’elles pourraient inspirer à de nombreux humains. Les autres, davantage respectueuses des Lois universelles, préfèrent sans doute ne pas s’ingérer dans les affaires de l’humanité, ne pas intervenir dans son karma, ne pas créer de choc culturel ou psychologique, ou attendre une ouverture de conscience suffisante chez les humains…

Que ce soit ou non un but recherché par nos visiteurs, le phénomène ovni dans son ensemble, parce qu’il combine une certaine périodicité ou répétitivité avec un caractère aléatoire ou original, se révèle être un formidable enseignement pour l’humanité, un enseignement susceptible d’élargir considérablement son champ de conscience, de l’éveiller à d’autres réalités, de le faire passer du nombrilisme et de l’anthropocentrisme à une vision planétaire et même interplanétaire, etc. Ainsi par exemple, en quelques dizaines d’années, il a permis le décuplement du nombre de personnes croyant en l’existence de vies et d’intelligences non terrestres ailleurs dans l’univers.

Il est parfaitement envisageable que des civilisations extraterrestres plus avancées que la notre souhaitent enseigner de façon explicite certaines de leurs connaissances (scientifiques, sociales, artistiques, psychologiques, spirituelles ou autres) aux humanités moins évoluées, afin de les aider à progresser plus rapidement. Sur Terre, les occidentaux ont d’ailleurs très maladroitement tenté de le faire envers les peuplades d’Afrique notamment. Les enseignements transmis par une entité individuelle ou collective à une autre, sont bien sûr à la mesure de ses capacités et aptitudes pédagogiques, intellectuelles, psychiques, et concrètes… Si l’on s’en réfère aux possibilités envisagées par la science-fiction par exemple, on peut attendre de la part d’être plus avancés que les hommes, qu’ils connaissent la télépathie, l’antigravitation, la fusion thermonucléaire, la transmutation atomique à basse énergie (celle du plomb en or, par exemple), la téléportation, les caractéristiques psychiques et génétiques de diverses races végétales, minérales et humanoïdes, etc. Il paraît également envisageable que certaines civilisations, comme certains individus, n’enseignent pas réellement dans un esprit de service et de progrès, mais de manière plus ou moins intéressée, avec des objectifs inavoués relativement égoïstes. Un peuple qui distille des connaissances à un autre moins évolué, au compte-gouttes ou plus massivement, n’a pas toujours des visées très altruistes. Il peut par exemple le faire un peu comme on jette parfois un os à un chien : pour « avoir la paix ». Ou bien par compensation, d’ordre karmique ou non, comme remboursement de dette, comme pour contrebalancer les perturbations causées par leur présence. Ou encore pour « acheter » un service, une base ou un territoire…

L’enseignement dispensé par un peuple, par un groupe plus réduit ou par un individu, qu’ils soient humains ou non, peut avoir pour principale visée la manipulation et le conditionnement de celui ou de ceux que le reçoivent, dans un but précis. il peut n’être conçu et utilisé que comme un outil de propagande. Il existe certainement des « visiteurs », des groupements occultes ou de pouvoir, et des individus humains (gourous…) qui ne se gênent pas pour manipuler les « masses » et les personnalités. En cette fin d’ère des Poissons, alors que la sixième grande énergie systémique – le « Rayon » de dévotion et d’idéalisme – décline, il apparaît, comme une sorte de sursaut, une recrudescence de comportements et d’aptitudes liés aux énergies des Poissons et au sixième Rayon : médiumnité, dons psychiques divers, influençabilité, fascination, dévotion, fanatisme, etc. Les personnes marquées par ce signe ou par ce Rayon sont probablement les plus réceptives aux manipulations mentales et psychiques, et d’autant plus qu’elles expriment leur « part féminine », car le pôle féminin est celui qui reçoit, accueille, accepte, mais qui, négativement, est susceptible de se résigner ou de se laisser déformer ou influencer. Il n’est donc pas étonnant de trouver une plus grande proportion de femmes, d’individus « Poissons » et d’idéalistes parmi les médiums, les télépathes, les disciples de gourous et de sectes, les mordus de séminaires ésotériques, et les fanatiques d’ovnis. Les extraterrestres qui cherchent, pour leurs buts personnels, à manipuler une partie ou la totalité des terriens ont certainement les moyens de déterminer quel « profil » humain est susceptible de fournir les meilleurs « marionnettes ». Compte tenu de ce qui précède, il est fort probable que ce profil corresponde à des femmes ou à des hommes:

  • plutôt idéalistes,
  • ouverts à l’étrange ou à l’inconnu,
  • curieux de connaître certains mystères de la vie ou de l’univers,
  • imaginatifs, rêveurs ou fantasques,
  • loyaux et respectueux envers ceux qu’ils admirent ou aiment,
  • intuitifs, réceptifs, ayant des dons parapsychiques réels ou latents,
  • sensitifs, adaptables,
  • mais aussi trop dociles ou obéissants,
  • crédules, naïfs ou manquant de discernement ou de sens critique,
  • superstitieux ou à comportement irrationnel,
  • facilement impressionnés ou fascinés par des êtres correspondant à leurs modèles ou à leurs rêves jusqu’à en devenir fanatiques,
  • s’attachant facilement à des idées plaisantes ou à des êtres comblant une part de leur attente (dans les domaines affectif ou intellectuel…),
  • facilement dépendants de drogues, de médicaments, de connaissances, d’émotions ou de sensations,
  • frustrés de ne pas jouer de rôle dominant ou important dans la société, dans leur famille ou dans leur profession,
  • frustrés de ne pas être compris ou écoutés, intériorisés ou ayant tendance à fuir les hommes ou la société, etc.

Plus un individu possède un grand nombre de ces traits de caractère et de comportement, plus il a de chances de se faire « contacter » télépathiquement ou physiquement par des extraterrestres pour être utilisés comme ils l’entendent. quand on sait que les États-Unis sont, en tant que nation, largement influencés par le sixième Rayon, il n’est pas étonnant que ce pays possède le record des contacts et des enlèvements par des extraterrestres ou supposés tels!

Un individu répondant au profil évoqué plus haut peut être flatté lorsqu’il est « contacté » directement ou télépathiquement et convaincu d’avoir une « mission » particulière à accomplir au service d’une race plus évoluée ou d’être supérieur aux siens. Mais de telles façons de procéder ne peuvent être le fait que des extraterrestres les plus « froids », les plus indifférents au sort des créatures jugées par eux inférieures, les moins doués de compassion. Si les races plus positives et aimantes organisaient des contacts, elles éviteraient toute forme de manipulation et respecteraient le libre-arbitre des humains. Pour un homme, il n’est pas toujours évident en la matière de séparer le vrai du faux, la réalité de l’illusion, les « bons » des « mauvais ». Ceci demande une bonne dose de discernement, d’autant plus que « l’ombre » peut adopter le langage de la « lumière » et parler d’harmonie, de paix ou d’évolution tout en poursuivant des buts opposés.

On ne peut distinguer les races qui vont réellement dans le sens de l’évolution cosmique de celles qui (se) maintiennent dans la matérialité et distinguer les enseignements des premières de ceux des secondes que par l’examen critique et intuitif de leurs effets et influences à court et à long terme. Que penser, par exemple, d’une entité qui prône l’amélioration des lois et attitudes dans le secteur financier et économique pour transformer la société? De prime abord, ceci paraît positif et bien orienté. Mais en y regardant de plus près, on se rend compte qu’assainir le monde économique sans guère se préoccuper de l’éducation des masses ne peut que favoriser la survie d’un monde matérialiste et superficiel et sa transformation progressive en un monde mécanique aux rouages bien huilés, en un « meilleur des mondes » froid qui ne laisse aucune place à l’originalité. Se focaliser sur la transformation de la matière tend à limiter l’évolution spirituelle, mais accepter la matière tout en s’affinant et en s’enrichissant intérieurement permet de la transformer favorablement et vibratoirement. Rendre le monde de plus en plus confortable et techniquement parfait ne peut guère contribuer à l’éveil des ses peuples, mais favorise au contraire leur maintient dans un état de somnolence ou de somnambulisme uniformisé où les individus sont des « moutons », des « numéros », des « fiches informatiques »… ce que cherchent à reproduire sur Terre les entités à « l’amour pauvre » (humaines et extraterrestres) ne sont que des formes de ruches au fonctionnement parfait mais d’où tout véritable amour est absent. Elles veulent créer un monde où les hommes sont ravalés au rang de consommateurs, d’animaux de laboratoire, de nourriture, ou de fournisseurs d’organes, un monde contrôlé, policé, sans surprises, un « super-nazisme » comme il pourrait en exister sur certaines planètes, un monde d’où la joie de vivre est absente ou artificiellement maintenue à coup de drogues extatiques. Pour parvenir à un tel monde, il faut abêtir l’humanité, abaisser son niveau de conscience plutôt que de l’élever. A cette fin, les êtres à l’amour pauvre favorisent la sexualité bestiale ou débridée, les émissions de télévision débiles, la consommation de drogues, etc. Mais ils cachent leurs véritables intentions grâce à un art consommé de la désinformation et du mensonge. Tout ceci n’est-il que paranoïa? Pas sûr! Quoi qu’il en soit, seule ou accompagnée, l’humanité semble se diriger tout droit vers des lendemains qui déchantent!

Même si nous refusons d’envisager que des extraterrestres puissent avoir des intentions malsaines envers la Terre ou envers l’humanité, ceux qui nous rendent visite peuvent avoir bien d’autres buts qu’un simple séjour touristique ou qu’un cours de physique théorique délivré à des barbares. Ils pourraient par exemple chercher à exploiter une partie des ressources minérales, végétales, animales, ou même humaines de notre planète, ou encore souhaiter l’annexer ou en faire une colonie. Ils pourraient aussi en faire une sorte de jardin, de parc d’attraction ou de laboratoire. Ils pourraient se contenter de l’observer comme une curiosité et doucement sourire aux bêtises des bipèdes et aux espèces de jeux bizarres qu’ils ont parfois: se faire exploser ce qu’ils nomment des « bombes » les uns sur les autres pour se réduire en charpie! Plus sérieusement, les civilisations capables d’effectuer des voyages intersidéraux ont obligatoirement atteint un plus haut « plan de conscience » que l’humanité actuelle. Cette dernière ne se situe en moyenne qu’au niveau de conscience correspondant au développement et à l’expérimentation du mental et de l’intellect. Ce niveau succède, dans l’ordre:

  • à celui où l’on commence à s’individualiser au sortir du règne animal (plan de conscience humain zéro),
  • à celui où l’on expérimente la matière et le plan physique (premier plan de conscience humain),
  • puis à celui où l’on ne jure que par les émotions, par les désirs personnels à assouvir, par la recherche du bonheur à travers les situations et les rencontres agréables, mais où l’on reste encore en partie dans la conscience collective ou de « masse » (second plan de conscience).

Au-dessus du plan de conscience actuel, et après une période probatoire que l’humanité a pour sa part débutée lors de la première guerre mondiale et pas encore achevée, une civilisation accède au quatrième plan de conscience et acquiert la maîtrise de son univers « physique », ce qui implique généralement l’absence de pollutions, de guerres importantes, de troubles sociaux graves, d’une multiplication anarchique de la population, mais présence d’une grande cohésion sociale et de moyens technologiques importants au service de la collectivité. Au cinquième plan de conscience, l’illusion du temps est dépassée et le lot de nostalgies, de regrets ou de phobies relatifs au passé,  et de craintes ou d’espoirs relatifs à l’avenir n’existent pratiquement plus. Le passé n’est plus perçu comme une somme d’événements disjoints, séparés de l’individu ou de la civilisation et irrémédiablement perdus, mais représente une présence permanente qui fait de l’entité ce qu’elle est: un être en perpétuel devenir. L’avenir n’est plus la somme des aspirations à vivre des situations agréables et des angoisses à l’idée qu’elles pourraient être ou devenir désagréables, mais ce que l’entité contribue à créer par ses actions présentes, selon un Plan qu’elle perçoit plus ou moins. La civilisation et l’individu qui ont acquis cette conscience sont encore soumis à l’impact d’énergies émotionnelles, mais la grande masse des plus denses, des plus primitives ou ataviques, des moins subtiles d’entre elles sont maintenant dépassées…Les extraterrestres qui nous visitent appartiennent essentiellement aux quatrième et cinquième plans de conscience, plus rarement au sixième ou au-delà.

Alors que l’humanité connaît une période de plus en plus critique où elle est partagée entre le refuge dans les valeurs établies mais périmées et l’éclatement dramatique des structures, diverses races non humaines « avancent leurs pions » sur la Terre. Les « noirs » ont déjà atteint de nombreux objectifs grâce à l’aveuglement, à l’égoïsme et au matérialisme des indigènes. Ils savourent peut-être déjà leur victoire, mais « l’appel » de l’humanité monte en puissance:  les hommes s’éveillent chaque jour davantage et le moment où les « blancs » vont pouvoir jouer ouvertement est proche, très proche. « Et il y eut une guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent » (Apocalypse 12:7). Mais tout ceci n’est peut-être qu’une vue de l’esprit… « Ne rien croire sans l’avoir vérifié par soi-même » devrait être un mot d’ordre pour tous ceux qui s’aventurent dans les contrées peu connues.


L’astrologie et l’astronomie

Depuis que l’étude du ciel s’est scindée en deux branches distinctes (astronomie et astrologie), ceux qui s’y adonnent, choisissant l’une ou l’autre, mais rarement les deux, ont peut-être gagné en précision et fiabilité, mais ont sûrement perdu en vision synthétique et globale. Les deux domaines se sont progressivement exclus l’un de l’autre au point de devenir pratiquement antinomiques, et les passions, le fanatisme et le criticisme se sont emparés des pratiquants et des partisans de l’un comme de l’autre. Pourtant, ils ont probablement tous tort de se « tirer dans les pattes », car avec un peu moins d’étroitesse d’esprit, les terrains d’entente sont possibles, et ils ont tous raison de trouver des faiblesses dans l’approche ou dans le raisonnement adverse, car il en existe, mais pas obligatoirement celles qu’ils croient!

L’astrologie et l’astronomie sont devenues des sciences radicalement différentes, avec des principes différents, même si une partie du cadre est identique, des outils de mesure ou d’observation différents, et des concepts différents… Elles n’ont actuellement pas davantage de rapport entre elles que ne l’ont par exemple l’acoustique et la musique, ou l’arithmétique et la numérologie ésotérique, la géométrie et l’architecture sacrée… ou même la linguistique et la poésie! De plus, en raison de son caractère encore partiellement empirique et de son domaine d’étude nécessitant en partie le recours à des perceptions « psychiques » bien distinctes des cinq sens ordinaires, l’astrologie relève presque autant d’art que de science, ce qui n’est aucunement le cas de l’astronomie. A ce propos, il peut être intéressant de noter que la poésie et la musique, à la nature artistique évidente, n’en reposent pas moins en partie chacune sur une forme de science ou de technique, et que la médecine traditionnelle, à nature scientifique dominante, est « tout un art » lorsqu’elle ne se déshumanise pas! L’homme du vingt et unième siècle gagnera à faire sauter nombre de cloisons qui isolent, emprisonnent et cristallisent actuellement les diverses disciplines scientifiques, techniques, artistiques, et même ésotériques!…

L’astronomie étudie la structure et le mouvement des corps célestes tels que les étoiles, les planètes, les comètes et les astéroïdes, ainsi que leurs interactions. ne croyant, comme leurs collègues des autres domaines scientifiques, qu’à la matière « physique » (et à ses équivalents sur le plan énergétique), les astronomes n’ont conçu, élaboré et utilisé jusqu’à présent que des instruments adaptés au plan physique. Si d’aventure un de leurs appareils se révélait capable de détecter une composante du plan « éthérique » (vibratoirement supérieur au plan physique) dont ils nient l’existence, ils rejetteraient la mesure comme une aberration, l’attribueraient à une erreur de manipulation ou de lecture… Ils n’admettent l’existence que des objets mesurables ou décelables par leurs instruments ou par l’un ou l’autre de leurs cinq sens. Cependant, l’état actuel de leurs découvertes et de leurs théories les place dans une situation bien embarrassante: environ neuf dixièmes de la matière de l’univers s’obstine à échapper à toute détection directe! combien d’hypothèses n’émettent-ils pas, sans réel succès, pour justifier cet écueil de taille dans leur édifice rationnel! Alors que la réponse est peut-être, voire très probablement, présente dans certaines révélations ésotériques! En effet, selon ces dernières, sous réserve bien sûr d’une bonne interprétation, la plus grande part de l’univers se situerait hors du plan physique dense, au-dessus de lui d’un point de vue vibratoire, mais parallèlement à lui d’un point de vue « spatio-temporel ». La « masse manquante » de l’univers ne serait en fait que l’ensemble des substances et objets éthériques, astraux, mentaux et au-delà, substances ayant une réalité selon la vision ésotérique. Fait ou illusion? Ni l’astronomie, ni aucune autre science n’est pour l’heure en mesure de prouver l’un ou l’autre. Quoi qu’il en soit, de nombreuses spécialités scientifiques s’enrichiraient certainement à considérer impartialement quelques spéculations, théories ou affirmations de l’occultisme. Seule l’ouverture d’esprit amène les réels progrès. Les plus grands scientifiques n’étaient pas les plus cartésiens ni les plus bornés.

L’astrologie, elle, étudie les effets des astres, de leurs mouvements, de leurs énergies… sur le comportement humain individuel et collectif, voire sure d’autres entités, aux niveaux physiologique, psychologique, sociologique…

Les astrologues se montrent généralement trop confiants dans leur science telle qu’elle se trouve actuellement formulée ou répandue, ou telle qu’elle est utilisée ou déformée par eux,  trop confiants dans leurs dons d’interprétation des « cartes du ciel », trop peu soucieux de découvrir pourquoi et comment l’astrologie fonctionne, et trop souvent mercantiles… La majorité d’entre eux représente le pôle opposé du « scientiste » évoqué plus haut, ce qui n’est pas un compliment! (Les excès dans un sens ou dans l’autre ne sont jamais bons). Obéissant davantage à un phénomène de mode qu’à une puissante motivation de type vocation, ou bien qu’à une simple curiosité allant parfois jusqu’au voyeurisme malsain, ils desservent l’astrologie bien plus qu’ils ne contribuent à son perfectionnement, son acceptation et sa compréhension par les foules en général et par les scientifiques en particulier. Combien malheureusement peu d’astrologues sont à même de proposer une théorie pour justifier leur science et leur art!

L’astrologie trouve assurément un début de justification au niveau purement physique avec l’influence gravitationnelle des astres, particulièrement la lune et le soleil. En effet, ceux-ci produisent notamment des effets de marées sur la terre, effets qui ont quelques répercussions sur les organismes vivants terrestres, peut-être à cause de l’eau qu’ils contiennent: le soleil agit sur les métabolismes thyroïdien et pulmonaire; la lune sur les menstruations chez la femme et sur le métabolisme des plantes par exemple. Mais la gravitation se révèle tout à fait insuffisante, car inadaptée,  pour expliquer les influences sidérales plus subtiles telles que psychologiques. Le véritable fondement de l’astrologie réside selon toute vraisemblance dans les faits encore occultes et occultés suivants:

  • L’individu, du fait des ses corps « subtils » (corps « éthérique », corps « astral » ou émotionnel, et corps mental notamment), est une partie du corps éthérique de l’humanité.
  • L’humanité est une partie du corps éthérique de la planète.
  • La terre est une partie du corps éthérique du système solaire.
  • Le système solaire est une partie du corps éthérique de notre galaxie, elle-même partie du corps éthérique de l’univers.

Aux niveaux éthériques et plus subtils, toutes les créatures et entités de l’univers des univers se trouvent liées et interdépendantes, alors que sur le  plan  physique elles se croient séparées, isolées, souvent opposées aux autres. Par conséquent, tout ce qui affecte une parcelle de l’univers (par exemple une planète, une civilisation ou même un individu) affecte le reste de l’univers. Tout ce que produit l’une, par des actes, des pensées, des émotions ou d’autres manifestations d’énergies ou de forces, affecte l’autre. L’explosion d’une bombe sur la terre affecte ses plans physique, éthérique et même astral, et se répercute sur les autres planètes du système solaire et même au-delà. Une pensée négative de la part d’un être humain frappe les autres créatures vivantes, directement si elles sont équipées d’un véhicule mental ou indirectement sinon. Il en est de même pour les émotions négatives vis-à-vis de l’astral.

Si l’univers est effectivement une vaste entité douée de vie, voire de conscience, toute manifestation ou tout mouvement d’énergie dans l’une de ses parties peut affecter les autres, quelle qu’en soit la taille. Ainsi, à l’échelle du système solaire, les mouvements des planètes et les énergies plus ou moins subtiles qu’elles transmettent et émettent influencent la terre et ses êtres vivants: humains, animaux, végétaux, et même minéraux. La terre elle-même influence ses habitants et ceux-ci l’influencent en retour. En dernière analyse, les divers mouvements et actes de l’infinie variété et quantité de créatures qui peuplent ou forment l’univers influent les unes sur les autres et sont conditionnées par les modulations des grandes énergies cosmiques émanant de l’Unique, l’Univers dans sa globalité. Les mouvements et actes des unes et des autres, des plus petites aux plus grandes, forment un gigantesque ballet. La partition en est plus ou moins bien suivie, à cause des imperfections des exécutants, et en raison du libre arbitre accordé à au moins une partie d’entre eux. Il en est de même pour l’homme considéré comme un microcosme: il est le chef d’orchestre; ses organes, ses cellules, et les bactéries qui l’habitent sont les exécutants, et certains d’entre eux, tel le cœur, disposent d’une liberté relative par rapport à la volonté centrale. Il existe une certaine correspondance entre les actions de chacune des parties et les apparitions ou les retraits des énergies motivantes, ceci dans le microcosme comme dans le macrocosme. Les grandes énergies cosmiques poussent les galaxies puis les systèmes solaires et les planètes à certains mouvements. Les phénomènes cosmiques observables ont des causes subtiles qui échappent aux instruments de mesure et aux moyens d’investigation scientifiques actuels. De manière analogue, les mouvements et les réactions d’un homme sont provoqués par des stimulations subtiles telles que les pensées et les émotions qui le traversent. L’intensité de telles influences peut parfois aller jusqu’à détériorer l’organisme physique récepteur. Ainsi, un stress trop puissant et trop soutenu peut détériorer l’estomac, une colère ou une peur trop vive peut affecter le foie…

Des hommes ont découvert ou reçu partiellement et progressivement à travers les âges quelques clefs pour décrypter les énergies cosmiques qui affectent la terre et ses habitants. Ils les ont obtenues plus ou moins efficacement grâce à des sens subtils et n’ont pas toujours bien interprété ce qu’ils captaient. Ils se trouvaient dans la situation d’un sauvage face à un récepteur d’ondes radio sur plusieurs bandes. Ils parvenaient occasionnellement, au hasard des « boutons », à sélectionner une bande de fréquence active et à y trouver des messages, paroles ou musiques. Mais ils ne connaissaient pas toujours la langue, ou ignoraient de nombreux mots de vocabulaire, ou écoutaient des traités ésotériques qui les dépassaient largement en compréhension… Malgré tout, en combinant les informations acquises, en les confrontant à l’observation des planètes et des hommes, les astrologues ont pu au moins vaguement reconnaître quelques phases, quelques « phrases » du ballet cosmique au voisinage de la Terre. Par le recours à leur outil mental, à l’intuition et au bon sens, ils ont acquis une compréhension partielle de la façon dont la musique (les énergies) et la danse (les mouvements et les actes) se trouvaient liées, et des formes que pouvait revêtir l’humanité pour s’y intégrer au mieux. Ils ont appris à quelque peu décoder le « langage » des astres, les messages du ciel étoilé. Ils ont construit et continuent de construire pas à pas l’astrologie.

Dans la vision astrologique ésotérique, toutes les régions du ciel ne transmettent pas les mêmes qualités et les mêmes quantités d’énergie au système solaire et la Terre n’a pas les mêmes affinités avec toutes. Du point de vue de l’homme et de sa planète, quelques zones du ciel sont largement prédominantes, particulièrement les douze « constellations » de l’écliptique. Les astronomes qui veulent pinailler pour dénigrer l’astrologie prétendent qu’il y a en fait treize constellations sur l’écliptique, la supplémentaire étant Ophiuchus. Mais qui a tracé arbitrairement les frontières entre constellations? Les astronomes, bien sûr! Et qui a dit que le dessin artificiel ou le découpage d’une constellation représentait son exacte zone d’influence? Aucun astrologue digne de ce nom, assurément. La figure représentative d’une constellation n’est destinée qu’à faciliter son repérage sur la voûte céleste. L’exact mouvement d’énergies subtiles se produisant entre une constellation donnée et le système solaire n’est connu ni des astronomes (qui les ignorent), ni des astrologues. Une approche ésotérique récente présente même les grandes énergies cosmiques conditionnantes comme des entités ayant neuf dimensions! Que pourrait en avoir l’homme (être à trois dimensions phénoménales) si ce n’est seulement un très faible aperçu?

Les « signes » astrologiques – du Bélier aux Poissons – représentent la contrepartie symbolique temporelle des douze constellations de même nom. Le zodiaque des constellations est physique, spatial, en rapport avec la dimension physique et la triple personnalité (physique, émotionnelle et mentale) de l’homme. Le zodiaque des signes peut être vu comme celui qui serait appréhendé par la Terre en tant qu’être, celui présent dans sa conscience. Il est en rapport avec l’aspect conscience des individus. Et les astrologues en ont davantage pris conscience que de l’autre. Un scientifique qui se respecte ne peut pas rejeter cette vision des choses ou cette théorie sous prétexte qu’elle ne cadre pas avec ses dogmes ou avec les éléments de sa propre science. La physique ne peut pas rejeter l’ésotérisme et la métaphysique sous prétexte qu’elle ne dispose pas encore des moyens de vérifier le bien ou le mal fondé de leurs thèses à propos de l’homme, de la vie, de l’univers… Les astrologues constatent l’indéniable influence des signes astrologiques sur les êtres humains et leur psychologie, mais leur approche n’est encore qu’empirique. Ils constatent, appliquent plus ou moins maladroitement des règles dégagées de l’empirisme, mais ne comprennent pas. Et les astronomes comprennent encore moins car ils tentent d’appliquer leurs protocoles expérimentaux à un domaine qui dépasse de loin leur science et son objet.

L’astronomie tend à rejeter l’astrologie aux confins de « l’anti-science » parce que trop de connaissances astrologiques lui paraissent de nature illusoire et parce qu’elle saute trop facilement sur les dérapages d’astrologues peu consciencieux ou plus avides de gains ou de renommée que d’éthique et d’honnêteté intellectuelle. Au même titre que les autres sciences au cours de leur histoire, il est effectivement probable que l’astrologie soit encombrée d’illusions et il est certain que les querelles d’écoles l’empoisonnent, mais ce qui lui cause le plus de torts est l’omniprésence du charlatanisme et les inepties propagées par les médias. Il est probable que seule une théorie digne de la « relativité générale » ou de la « physique de quanta » serait à même de redorer son blason. En attendant, elle est hantée par des croyances telles que « le destin inscrit dans les astres ».

Selon toute vraisemblance, les astres et la Terre elle-même ne dirigent aucunement la destinée des nations et des individus mais leur proposent un ensemble d’énergies plus ou moins stimulantes, conditionnantes et contraignantes. De part leur conscience et leur équipement mental, les hommes sont doués de libre-arbitre, libres de réagir favorablement ou défavorablement à telle ou telle influence, et arbitres de leur destinée. Les bonnes ou les mauvaises réactions des hommes aux énergies stellaires et planétaires ne proviennent que de leur propre nature et de leur conscience. Stimulés par des énergies globalement neutres, ils sont libres d’évoquer, de provoquer ou de produire en retour des forces et des actions positives ou négatives, créatrices ou destructrices, lumineuses ou sombres, judicieuses ou stupides… On peut admettre par exemple, jusqu’à preuve indéniable du contraire, qu’un individu qui réagit négativement à l’influence de Saturne développe la tendance à l’isolement, à la tristesse, à la rigidité d’esprit, ou encore à la froideur. Mais s’il y réagit positivement, il peut se montrer plus endurant, plus discipliné, plus disposé à la méditation ou au sang-froid…

Si ces faits peuvent être admis, il reste à proposer une explication au caractère astrologiquement déterminant du moment de la naissance pour un individu. Celui-ci pourrait être dû à la stimulation particulière des cellules du corps physique par les particules éthériques lors de la première bouffée d’air. Ces particules sont plus mouvantes et plus subtiles que les atomes et molécules de gaz. Leur densité et leurs caractéristiques varient constamment au cours du temps et en fonction des lieux, suivant des courants aussi complexes que les mouvements et les tourbillons de masses d’air. Einstein croyait en l’existence d’un tel « éther », mais la mécanique quantique l’a abusivement rejeté aux oubliettes de la science. Pourtant, à la naissance, l’éther du lieu et du moment marque irrémédiablement de son empreinte le corps de l’individu et celui-ci garde toute sa vie la trace de ce conditionnement énergétique initial. Sachant que cet éther terrestre est intimement lié à celui du reste du système solaire, en dressant la carte astrologique natale de l’individu, on obtient un aperçu de ses prédispositions face aux énergies des astres. Le thème natal (ou carte natale interprétée) d’un homme montre, de manière encore imparfaite, son potentiel vital, émotionnel, mental et créatif… mais ne décrit pas sa destinée.

L’astronomie permet de prévoir mais non de prédire avec exactitude le mouvement des astres. Trop de données lui demeurent inconnues pour qu’elle y parvienne. De même, l’astrologie peut permettre de prévoir le comportement des individus, mais ne permettra jamais de le prédire, du moins souhaitons-le! Plus généralement, toute science a en fait pour objectif ultime d’acquérir une méthode fiable de prévision concernant son objet ou son domaine d’étude, mais aucune ne fera disparaître le libre-arbitre, même si certaines le tenteront. Toute science étudie un espace pour mieux maîtriser le temps.


[Résumé :]

Nouveaux gourous, nouvelles sectes

Une secte réelle se caractérise obligatoirement par :

  • L’utilisation d’argent, de dons en nature ou de travail (non ou peu rémunéré) de la part des postulants ou des membres, en échange d’un ou plusieurs des événements suivants:
    • Un enseignement spirituel ou prétendu tel.
    • L’autorisation de participer à des rites, rituels, méditations ou prières communes.
    • La promesse d’un statut ou d’un niveau spirituel supérieur (promesse de « salut », de rédemption, de « vie éternelle », de gloire spirituelle, d’éveil à une conscience ou à une réalité supérieure, d’accès au paradis, d’évolution spirituelle rapide, de transfert physique sur une autre planète, de figurer parmi une liste « d’élus », acquittement du « karma », ou encore de libération du cycle des réincarnations, etc.).
    • L’accès à un grade, statut ou niveau (social ou hiérarchique) supérieur.
  • L’ensemble des quatre pratiques suivantes, sous une forme ou une autre:
    1. Prosélytisme par l’un ou plusieurs des moyens suivants (liste non exhaustive):
      • démarchage,
      • militantisme missionnaire,
      • livres,
      • revues, journaux ou périodiques,
      • dépliants,
      • mailing,
      • Email,
      • Internet,
      • téléphone,
      • radio,
      • télévision.
        Ce prosélytisme est particulièrement répréhensible quand on paie pour le subir, comme l’obligation, pour un postulant ou pour un membre qui souhaite suivre un enseignement, de payer une revue publiée par la secte ou par l’association qui la sous-tend.
    2. Mécanisme de « conversion » du postulant en membre actif, grâce à un ou plusieurs des moyens suivants:
      • Flatterie du postulant, celui-ci étant qualifié par exemple de « hautement spirituel », futur « élu », ou encore proche « réalisé ». Accueil chaleureux et sans heurts, avec sourires et démonstrations amicales. Manipulation psychologique. Persuasion…
      • Image de rigueur morale et de vertu favorisant l’endoctrinement du postulant qui souhaite s’imposer la même discipline pour espérer parvenir au même résultat.
      • « Lavage de cerveau » (consistant en la destruction des valeurs personnelles, idées propres et mécanismes critiques du postulant) facilité notamment par:
        • des régimes alimentaires particuliers,
        • la privation de sommeil,
        • la psalmodie de « mantras », de prières ou de textes religieux.
    3. « Emprisonnement » physique ou psychique du membre par un ou plusieurs des moyens suivants:
      • Surveillance complète ou partielle des faits et gestes.
      • « Prison dorée ».
      • Réclusion forcée dans un espace limité (cellule, périmètre).
      • Culpabilisation morale.
      • Instillation de peur (peur de déplaire, peur de mal faire, peur de sanctions disciplinaires ou spirituelles plus ou moins pénibles ou douloureuses, ou encore peur de manquer une occasion évolutive capitale), par la menace, par des pressions psychologiques, ou par tout autre moyen éprouvé ou nouveau.
      • Discrédit du « mental » ou intellect (sans lequel aucun discernement n’est possible).
      • Demande de foi absolue dans le gourou, la religion ou la doctrine.
      • Demande de dévotion absolue et aveugle au gourou ou à la secte.
      • Demande de coupure du milieu familial et amical, coupure qui provoque souvent, par un mécanisme de report affectif, une dépendance au gourou ou à la secte.
      • Demande de rupture avec d’autres aspects de la vie concrète passée, telle la profession, ce qui est un facteur déstabilisant,
      • Etc.
    4. Mécanisme d’Exclusion, sous une ou plusieurs des formes suivantes:
      • Sectarisme, racisme ou intolérance.
      • Non-acceptation des personnes susceptibles de remettre en question les valeurs, les idées, les doctrines ou la vie de la secte.
      • Élitisme, sur un ou plusieurs des critères suivants par exemple:
        • argent,
        • position sociale,
        • profession,
        • niveau intellectuel,
        • valeur spirituelle supposée ou prétendue.



ETs ou pas ETs?

Par Joseph Stroberg

La présence ou la visite de races intelligentes aliénigènes – humanoïdes ou non – reste officiellement non résolue et largement sujette aux spéculations les plus diverses. Et ceci restera probablement le cas tant qu’il n’y aura pas une reconnaissance universelle, dans l’éventualité où elle serait réelle. En attendant, les hypothèses sont multiples et très variées. Elles concernent autant la nature de telles races que leurs moyens technologiques, leur degré de conscience, leurs intentions concernant la Terre et/ou l’Humanité, leur provenance, etc. Elles sont souvent reliées au phénomène Ovni qui demeure lui-même flou, mais dont l’existence semble être maintenant majoritairement admise, sachant par ailleurs qu’un consensus ou même l’unanimité autour d’une hypothèse ne rendent pas automatiquement réelle cette dernière.

Partant cependant de l’hypothèse que le phénomène Ovni présente bien une réalité tangible, sinon concrète, il reste à en déterminer la cause. Et si on admet que celle-ci est produite par une ou plusieurs races aliénigènes, il reste à déterminer tout d’abord la nature de telles races. Sont-elles organiques, à l’image de l’espèce humaine? Ou physiques, avec un corps matériel, mais basé sur un tout autre métabolisme que le carboné, éventuellement même constituées de corps non plus solides, mais liquides, gazeux ou encore plasmiques? Ou bien sont-elles constituées de substances ou d’énergies tellement subtiles qu’elles équivalent à des émotions ou des pensées et que leur présence ne pourrait alors se détecter que sur des plans parallèles et subtils correspondants? Certaines branches de l’ésotérisme évoquent à ce propos les plans astraux et mentaux.

Concernant la
provenance possible de ces races, les divers ufologues, ésotéristes,
exobiologistes et autres éventuels « spécialistes » ont
chacun leur théorie. Les hypothèses suivantes ne représentent
qu’une liste non exhaustive des possibilités actuellement
considérées :

  • races présentes
    sur la Terre depuis des milliers d’années, éventuellement
    antérieures à l’Humanité, certaines pouvant être
    intraterrestres, et d’autres présentes essentiellement sur des
    plans subtils;
  • races
    extraterrestres, tangibles ou non, visitant la Terre régulièrement
    ou accessoirement;
  • toutes les
    observations de prétendus extraterrestres correspondraient en fait
    aux entités démoniaques évoquées par diverses religions;
  • fausses races
    qui seraient en fait un paravent pour cacher des expérimentations
    militaires top secrètes ou de « psy-ops » (opérations
    psychologiques);
  • races
    angéliques ou archangéliques n’existant que sur les plans
    subtils, comme sur celui attribué aux âmes;
  • un mélange de
    plusieurs des possibilités précédentes;
  • etc.

Pour l’Humanité
et la vie terrestre, la question des motivations de ces races est
sans doute nettement plus cruciale et déterminante que leur
provenance et leur nature, même si ces deux dernières peuvent avoir
un impact direct sur les motivations, notamment par le biais du degré
de conscience et du niveau technologique éventuel. Et d’un certain
point de vue, plus une race repose sur la technologie matérielle,
plus elle a des chances de s’éloigner des préoccupations d’ordre
spirituel ou métaphysique et plus il est probable que son
comportement ressemble davantage à celui de sociopathes ou de
psychopathes que de saints, d’anges ou de sages. Et cette tendance
pourrait être d’autant plus accentuée que l’Humanité serait
considérée comme du bétail ou un élevage d’insectes.

La liste suivante ne représente qu’un échantillon de buts possibles pour des races aliénigènes interagissant avec la Terre, buts traduits en termes anthropocentriques, sachant qu’il peut nous être difficile d’imaginer ou d’envisager des races dont les conceptions nous seraient totalement étrangères :

  • observation
    scientifique neutre ou avec interactions minimales avec les
    autochtones, pour ne pas affecter leur évolution naturelle;
  • visites
    touristiques;
  • recherche de
    ressources (minérales, végétales, animales…);
  • exploitation de
    ressources (notamment humaines, comme les émotions dont certaines
    races pourraient se nourrir);
  • invasion
    progressive par différents expédients possibles (manipulation des
    élites humaines, mutations génétiques dirigées par rayonnements,
    génocide lent par empoisonnement ou par stérilisation raciale,
    corruption de la société depuis le plan mental par l’introduction
    d’idées particulières, etc.). Une telle invasion pourrait avoir
    l’avantage de passer relativement inaperçue d’observateurs
    extérieurs occasionnels, ou pourrait être galactiquement acceptée
    si elle se faisait avec l’autorisation tacite de l’Humanité du
    fait de sa passivité ou de son aveuglement;
  • etc.

Tout est possible a priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits.




Brève note sur les théories de la conspiration

Par Joseph Stroberg

De nos jours, plusieurs théories s’affrontent pour justifier la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Il existe au moins les tendances suivantes (avec des variantes possibles pour chacune d’elles) :

  • celle qui tape surtout sur les Juifs (sans distinguer les Khazars) et éventuellement la franc-maçonnerie (courant suivi notamment par Alain Soral en France);
  • celle qui se base sur la patriotisme, le mouvement pour la liberté et les conservateurs, spécialement aux États-Unis et qui tape plutôt sur le sionisme et l’état profond anglo-saxon (courant QAnon suivi par Alexis Cossette);
  • celle qui tape surtout sur les Jésuites et le Vatican (courant suivi par Joël Labruyère);
  • celle qui évoque différentes factions concurrentes et parfois concourantes, dont les Illuminatis, les Francs-Maçons, les satanistes khazars, etc. tout en n’écartant pas la possibilité d’influence extraterrestre (courant suivi par Benjamin Fulford).
  • celle qui tape plutôt sur la couronne britannique (supposée contrôlée par des Khazars) et le New Age (courant suivi par Pascal Treffainguy);
  • celle qui tape plutôt sur les Reptiliens visibles et/ou invisibles comme cause principale (courant suivi par David Icke);
  • celle qui tape surtout sur les ultra riches (courant suivi par Juan Banco);
  • celle qui tape plutôt sur le complexe militaro-industriel américain, les nazis et une éventuelle force spatiale secrète (courant suivi par divers ufologues et par de supposés rescapés de programmes secrets);
  • celle qui tape plutôt sur les Archontes invisibles, supposés aspirateurs d’émotions et de mémoires (courant suivi par des gnostiques et des supramentalistes);

Il est bien sûr possible que certaines de ces théories aient été mises en avant pour cacher les faits réels et pour écarter des chercheurs plus sérieux.

La mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial n’est (probablement) possible que s’il existe une puissance motrice suffisante pour le réaliser. Une telle force implique probablement plusieurs factions qui peuvent au moins occasionnellement travailler dans le même sens. Les deux seules théories qui semblent répondre à ce critère sont celles suivies par Fulford et par Icke (les Reptiliens utilisant alors les différentes factions humaines au gré des objectifs poursuivis). Les autres sont incomplètes en comparaison, car elles ne traitent qu’un aspect plus ou moins étroit du problème ou parce qu’elles sont incohérentes et illogiques (celle des Archontes).




La religion de l’Antéchrist

Par Joseph Stroberg

L’Antéchrist est un personnage actuellement encore considéré comme mythique et qui selon certaines des religions révélées (principalement l’islam et le christianisme) doit se manifester à la fin du présent cycle de civilisation. Son règne doit amener brièvement (pendant quelques années) un nouveau système socio-économique et politique, favorisé par l’effondrement de notre civilisation : le « Nouvel Ordre Mondial ». Il sera également un leader, et même prophète, de la nouvelle religion mondiale, « nouvelle » par opposition aux grandes religions révélées. Et celle-ci est clairement opposée à ces dernières, favorisant leur disparition progressive de l’esprit et des coutumes des êtres humains.

Le personnage de l’Antéchrist est adversaire des Hommes et du Christ. Il doit donc vivre à une époque d’inversion complète des valeurs, au point que le « bien » y devient le « mal » et inversement, et que la nouvelle religion n’a plus vocation de relier l’Homme au divin, à sa dimension spirituelle, mais à la matière. On pourrait donc penser, de prime abord, que l’Humanisme répond à cet impératif, mais ce mouvement est principalement de nature culturelle, idéologique, voire philosophique, indissociablement lié à l’esprit de la laïcité et porté par l’idéologie du progrès. Il n’est pas la nouvelle religion, mais un support essentiel de cette dernière : la science matérialiste !

Si originellement, les « savants » et les scientifiques tendaient à se distancier des religions à cause de leurs doctrines de plus en plus rigides peu propices à la réflexion, à l’étude de la nature et même à l’inspiration, ce n’est que progressivement que la science est devenue globalement un nouveau système de croyances dont les principales ne peuvent plus guère être remises en question. Celle-ci s’est progressivement transformée de fait en une religion et en possède désormais toutes les caractéristiques, comme nous allons le voir.

Les saints de la nouvelle religion sont les « grands » (aux yeux des adeptes) scientifiques dont les théories sont devenues de véritables dogmes indiscutables : Darwin et la théorie de l’évolution, Pasteur et la vaccination, Einstein et la Relativité, les saints de la Mécanique quantique, et ceux, plus récents, du Réchauffement climatique anthropique, etc. Ses rituels sont les divers protocoles expérimentaux et le processus de publication des revues scientifiques. Ses messes sont les conférences et séminaires divers organisés pour la valorisation et la propagation des croyances scientifiques et des nombreux miracles technologiques qu’elle a permis : la résurrection des morts (dans certaines limites, par la réanimation cardiaque), la lévitation dans les airs (avec les ballons dirigeables ou non, les hélicoptères, les avions, les fusées, etc.), la transformation de l’eau en vin (et même mieux, avec les expériences chimiques plus ou moins spectaculaires visant à transformer les substances), la vision à distance (télévision, satellites d’observation…), etc.

La science a bien sûr également ses prêtres et ses missionnaires, respectivement les « experts » et autres spécialistes promus par la télévision et les présentateurs et autres journalistes vulgarisateurs, dont le rôle est de transmettre les messages de la nouvelle « déesse », féminisme oblige : la Matière elle-même ou la « Mère Nature ». Et l’un des principaux messages est que la conscience ne provient plus de l’Esprit divin, mais de la Matière, des cellules cérébrales. Il n’y a plus de vie avant et après la mort, mais seulement dans un corps de chair ou — bientôt ? — dans celui d’un cyborg métallique. On ne cherche plus l’Éternel, mais l’immortel. On ne s’occupe plus de sauver des âmes, mais des corps, même lorsque ces derniers sont réduits à l’état végétatif. Quoi que, sur ce dernier point, pour cause possible de surpopulation mondiale, on tende maintenant à favoriser l’extermination des corps vivants inutiles avec l’euthanasie au lieu de chercher et de réparer les causes de leur état.

La plupart des religions actuelles ont leurs textes sacrés et leurs catéchismes. La science en possède quelques-uns : les « handbooks » (notamment de chimie), les dictionnaires de médicaments, et les textes publiés par des saints comme Darwin… Ils doivent être en principe suivis scrupuleusement et toute déviation des doctrines et des dogmes officiels peut mener à l’excommunication ou même à des procès pour sorcellerie. Les excommuniés ont eu le malheur de toucher à des secteurs interdits, comme le Français Jean-Pierre Petit pour avoir touché aux Ovnis, Jacques Benveniste pour s’être intéressé à la mémoire de l’eau, Nicolas Testla pour avoir voulu fournir de l’énergie gratuite à l’Humanité, etc. Plus récemment, ceux qui sont assimilés aux anciens sorciers sont maintenant qualifiés de « complotistes » ou de « conspirationnistes », comme le professeur Luc Montagnier parce qu’il s’est intéressé à la mémoire de l’eau, a présenté des dangers de la vaccination et a émis l’hypothèse que le virus de la covid-19 puisse avoir été la conséquence de manipulations génétiques en laboratoire P4.

Notamment grâce aux moines médicaux (les médecins et infirmières cloîtrés dans leurs hôpitaux ou cliniques et les chercheurs en médecine dans leurs laboratoires), la nouvelle religion scientifique s’est étendue au monde entier et, par ses miracles, est parvenue à séduire la presque totalité des êtres humains, même les croyants des autres religions. Les nouvelles confessions se déroulent maintenant en salle d’urgence ou en cabinet médical, voire par Internet pour cause de la punition divine covid-19 :

Comment donc ?! Vous ne vous êtes pas fait vacciner ? Vous prendrez trois aspirines avant chaque repas, cet anti-inflammatoire après, et ces deux antidépressifs pendant ! Et bien sûr, vous reviendrez ensuite au confessionnal pour vérifier que cette fois vous serez bien passé voir le prêtre vaccinateur. Quoi ?! Vous ne portez pas de masque ? Mais vous allez brûler en enfer ! Vous êtes possédé par un démon ! Vous êtes un danger pour vos frères et sœurs ! Priez que je ne vous envoie pas directement chez le grand inquisiteur Arruda ! Et n’écoutez plus l’hérétique professeur Raoult !

Caricature ? À peine.

Il n’est pas besoin de chercher ni d’imaginer une future religion mondiale pour l’Antéchrist. Celle-ci n’est pas l’éventuel résultat d’un syncrétisme long et fastidieux des religions existantes et du New Age. Elle n’est pas non plus le satanisme (si celui-ci est la pratique de certaines élites pour augmenter leur pouvoir, il n’est pas approprié pour séduire l’Humanité). Elle existe déjà et est prête pour faciliter le règne de ce personnage. La science est la nouvelle religion pour maintenir l’Humanité en esclavage de la Matière et des élites, au lieu de lui permettre de s’élever spirituellement et de se libérer. L’Antéchrist est alors celui qui facilite le plus cet asservissement.

Un dernier point : certaines prophéties (principalement liées à l’islam) présentent l’Antéchrist comme un borgne. Or, ceci ne doit pas nécessairement être interprété littéralement. Un borgne peut symboliser le troisième œil, ou l’œil qui voit tout. L’informatique en est venue au point où la surveillance généralisée, le Big Brother évoqué par Orwell dans le roman 1984, est non seulement possible, mais en bonne voie de réalisation, au moins dans la plupart des pays développés. Et l’Antéchrist peut très bien être lié à un tel système de surveillance, au moins pour avoir largement contribué à son développement. (Voir : Qui est l’Antéchrist ?)




Après la bombe atomique, ils nous concoctent une dystopie pire que 1984

[Source : Réseau International]

Auteur : Paul Craig Roberts

Je pensais être seul à me soucier des conséquences économiques désastreuses de la robotique, mais Clarity Press me réconforte un peu maintenant, en publiant The Artificial Intelligence Contagion
de David et Daniel Barnhizer. Les coauteurs de ce livre étant avocats,
ça nous en dit long sur la raison dêtre de la profession d’économiste.

L’inquiétude entourant la robotique et
l’intelligence artificielle, est le fait de scientifiques qui craignent
que les robots tueurs super intelligents prennent le pas sur les
humains, plus limités et moins doués. Ils n’ont peut-être pas tort, mais
ce genre de soucis découle probablement d’idées ou de vues inabouties
sur l’esprit, la conscience et la créativité. J’aimerais que Michael
Polanyi soit toujours avec nous ; il battrait en brèche la propension à
vouloir doter les machines d’intelligence artificielle.

Les coauteurs mentionnent brièvement ces
menaces ainsi que celles qui sont bien réelles et déjà là, celles des
gouvernements dotés de moyens de surveillance et de contrôle intrusifs,
permis par la révolution numérique et l’intelligence artificielle. Les
mises en garde de Stephen Hawking, Nick Bostrom et Elon Musk, contre une
super intelligence immortelle, comme divine, au mieux amorale et au
pire immorale, qui prendrait en charge notre destin, ne sont que
spéculations. En revanche, l’impact économique négatif de la robotique
est déjà là. Ainsi, les coauteurs se focalisent surtout sur l’énorme
bouleversement économique qui résulterait de rendre les travailleurs
inutiles.

J’ai découvert dernièrement que des
machines intelligentes permettent aussi bien de remplacer les
magasiniers, que les employés des usines qui fabriquent les
transpalettes servant à manipuler les caisses et les boîtes. Comme ces
machines intelligentes sont elles-mêmes fabriquées par des robots, les
ouvriers fabriquant des transpalettes sont eux aussi inutiles.

D’après le dernier rapport sur l’emploi,
les entrepôts font travailler 1 192 000 magasiniers. À la différence du
travail avec les transpalettes, les nouvelles machines intelligentes
sont incapables d’améliorer la productivité du travail. En permettant de
se passer d’humain pour travailler, la machine ne fait que remplacer la
main-d’œuvre. Au lieu d’aller dans les salaires, chaque dollar
passerait dans les bénéfices des propriétaires d’entrepôts. C’est la
grande différence entre les innovations antérieures, qui amélioraient la
productivité et le niveau de vie des gens, et l’innovation de
l’intelligence artificielle robotique, qui élimine le besoin de
travailleurs humains et les rend inutiles.

La robotique ne sera pas mise en œuvre
partout à la fois ; ça se fera par étapes. Les 1,2 million de
magasiniers évincés chercheront un autre job. Les plus chanceux en
trouveront. Les autres rejoindront les rangs du chômage, jusqu’à ce que
découragés, ils se retrouvent en marge de la société, et sortent des
statistiques du chômage. Les recettes fiscales locales et fédérales
diminueront à cause des emplois perdus, mais les indemnités de chômage
et les autres prestations sociales gonfleront. Avec des revenus limités
ou inexistants, il y aura 1,2 million de personnes de moins dans la
vente au détail. Les ventes de voitures, de maisons, de restaurants, de
vêtements et de divertissements déclineront. Les recettes fiscales de la
masse salariale, les cotisations de sécurité sociale et
d’assurance-maladie seront amputés de l’apport de 1,2 million de
travailleurs, tout comme les cotisations de retraite. La sécurité
sociale et l’assurance-maladie de la main-d’œuvre active et retraitée,
sont financées par le travail actuel. Comme la robotique éliminera la
main-d’œuvre active, les recettes fiscales de la masse salariale
s’étioleront.

Tant
que le dollar sera la monnaie de réserve mondiale, le gouvernement
fédéral pourra imprimer l’argent manquant des cotisations de sécurité
sociale et d’assurance-maladie. Mais comme de vastes régions du monde
(Russie et Chine) ont déjà été poussées à se passer du dollar, à cause
des sanctions dues justement à son usage, cela veut dire que le dollar
perdra un jour son rôle de monnaie de réserve. Que ferons-nous après,
quand un nombre jamais vu de millions de gens attendront leurs pensions
et soins médicaux de la Sécurité sociale, et qu’il n’y aura plus de
main-d’œuvre pour payer les charges sociales ?

Ce genre de questions, et il y en a bien
d’autres, devrait être le centre d’intérêt principal de tout
économiste ; sauf que ça n’améliorerait rien, puisque les économistes
néolibéraux sont endoctrinés et incapables de penser. En tout cas, le
fait que ça n’inquiète aucunement les économistes, montre leur manque de
raison d’être et de compétence.

Il y a plusieurs années, j’avais fait
remarquer qu’avec la législation et les pratiques en cours,
l’intégralité du PIB reviendrait à la poignée de détenteurs de brevets
de robotique et d’intelligence artificielle. Les autres n’auraient pas
de revenu. Ce genre de situation est irréalisable du fait que plus
personne n’ayant d’emploi et de revenu pour acheter la production
automatisée, les brevets ne pourraient rien rapporter à leurs
propriétaires. À ce dilemme évident que j’avais soulevé, aucune réponse
n’a été apportée.

Une façon pour nous de comprendre ce
dilemme, serait que l’intelligence artificielle est nécessaire à ceux
qui nous apportent cette révolution, puisqu’ils sont eux-mêmes dépourvus
d’intelligence. En effet, est-il intelligent de vouloir remplacer les
humains ? Qu’y a-t-il d’intelligent dans le fait d’avoir des chaînes de
production robotisées, quand personne n’a les moyens d’acheter ce que
fabriquent les robots ?

Eh bien, pourrait-on nous raconter, nous
obligerons les propriétaires de robots à payer des charges sociales sur
les recettes de leurs ventes. Nous assurerons le maintien du circuit
économique en mettant les brevets au service de la société, en envoyant à
chacun le chèque de sa part de PIB, et patati et patata…

Mais quel est le but de ce binz ?
Pourquoi se passer de main-d’œuvre humaine ? Que gagneront les
possesseurs de robots, puisque plus personne n’aura les moyens d’acheter
leurs marchandises ? S’il n’y a plus de consommateur à l’autre bout du
circuit économique, faire des économies de coûts de production grâce à
la robotique et à l’intelligence artificielle, est singulièrement
loufoque. Quand pour aider les populations remplacées par la robotique,
les brevets devront être mis au service de la société, à quoi aura servi
la révolution robotique ?

Les coauteurs de The Artificial Intelligence Contagion
se rendent compte que des humains à la conscience et à l’intelligence
limitées, se sont découverts une passion intellectuelle dans la mise en
œuvre de leur autodestruction, et c’est bien ce dont il s’agit avec
l’intelligence artificielle. Les armes nucléaires, par exemple, sont des
inventions démentielles, pondues par des pauvres d’esprit, puisque leur
usage courant ne peut que détruire toute vie sur la planète. Une arme
de fin du monde est une arme inutile.

Même chose pour la robotique et
l’intelligence artificielle. Que vise la fabrication de menaces d’États
policiers et de suppression de toute raison d’être pour l’existence
humaine ? C’est au-delà du démentiel. Ceux qui en sont responsables sont
les pires gredins que le monde ait portés. Et malgré cela, l’admiration
du public suscitée par tous les avantages qu’ils apportent, font se
délecter ces destructeurs de l’humanité.

Lisez The Artificial Intelligence Contagion et dites-moi ce que ce livre vous apporte.

Paul Craig Roberts

Original : www.paulcraigroberts.org/2019/05/07/are-you-ready-for-a-worse-dystopia-than-1984/

Traduction Petrus Lombard




Les projets des Maîtres du Monde

[Source : Les projets des Maîtres du Monde. Écrit en 1999 par Sylvain Timsit]
Stratégies pour un contrôle global de la société

Les projets et les objectifs des « Maitres du Monde » pour le contrôle des individus et de la société…
Certains projets concernent notre futur proche. D’autres sont déjà devenus une réalité…

Les
projets
Stades de réalisation
5 – projet totalement réalisé
4 – majoritairement réalisé
3 – partiellement réalisé
2 – début de réalisation
1- stade préliminaire
Les
objectifs
(bénéfices attendus
pour le contrôle social)
Les moyens utilisés
Degrés de mise en application
5 – totale
4 – majoritaire
3 – avancée
2 – partielle
1- préliminaire
Manipulations
génétiques

Fin de la procréation humaine naturelle

Création d’humains génétiquement modifiés, clonage

Fin de la procréation naturelle et libre.

Réalisation du « meilleur des
mondes
 » d’Aldous Huxley 
Horizon de réalisation: 2020

Obtention de l’accord du public: très difficile
Stade de réalisation: 1 

OBJECTIFS 

Développement d’un nouveau marché: celui des enfants-produits, vendus
sur catalogue, avec des qualités physiques et psychiques
proportionnelles à leur prix de vente (enfants beaux et intelligents
vendus très cher pour les riches, enfants laids et bêtes vendus moins
cher pour les pauvres…) 

Création d’humains mutants spécialisés, adaptés au travail et au rang
social qu’on leur destine. 

Modification génétique de la « nature humaine » 

Création d’humains aux facultés intellectuelles « bridées » 

Limitation génétique du libre-arbitre, de l’anticonformisme, de
l’imagination… 

Limitation de l’aptitude au bonheur, du sentiment d’union avec les
autres ou avec la nature

MOYENS
UTILISES
 Diffusion massive dans
l’environnement de pesticides, PCB (polychlorobiphényles), et autres
polluants connus pour leurs effets d’augmentation de la stérilité
masculine.
Lorsque suffisamment d’humains seront stériles, le seul choix sera de
recourir à la procréation artificielle.
Degré d’application: 4  

Banaliser le recours aux techniques de procréation artificielle, en les
justifiant par des motivations médicales: bébés-éprouvette, mères
porteuses, couveuses pour bébés prématurés nés à 6 mois…
Degré d’application: 3 

Banaliser les manipulations génétiques justifiées par des motivations
médicales (thérapies géniques, prévention génétique des maladies)
Degré d’application: 2 

Les moyen ultimes:

 Proposer aux populations d’échanger la liberté de procréer
contre l’accès à la « pilule d’immortalité » ou de « super-longévité » que
les laboratoires ont déjà mise au point (à partir d’un cocktail
d’hormones, de vitamines, d’oligo-éléments, d’anti-oxydants, et de
certains extraits végétaux).

Compte-tenu des problèmes démographiques que causerait cette future
pilule, son accès serait réservé aux personnes qui auront accepté de se
faire stériliser.

A terme, l’égoïsme des gens leur fera choisir la « vie éternelle » plutôt
que la possibilité d’avoir des enfants naturels. D’autre part, la
tentation d’accepter sera renforcée par la possibilité de choisir sur
catalogue les caractéristiques de son enfant.
Degré
d’application: 0 

 Utiliser
des virus manipulés génétiquement pour greffer des gènes modifiés dans
l’ADN des individus, à leur insu et contre leur volonté. La mutation
génétique se propagerait exactement comme une épidémie.

Les laboratoires pharmaceutiques pourraient aussi utiliser cette
méthode pour créer de nouvelles maladies dont ils seraient les seuls à
vendre le remède…
Degré d’application: 2

Rendre
floue la frontière entre le vivant
et le non-vivant

Augmenter la confusion du public sur ce qui distingue les êtres vivants
et les machines.
Horizon de réalisation: 2000

Obtention de l’accord du public: assez aisée
Stade de réalisation: 3

OBJECTIFS 
Obtenir une acceptation plus facile des manipulations génétiques et des
futurs implants
MOYENS
UTILISES
 
Banaliser et multiplier les machines qui imitent l’apparence ou le
comportement des êtres vivants:
– robots-jouets, tamagoshis
– réalités virtuelles, artefacts, avatars…
– animateurs TV virtuels
– au cinéma: personnages androïdes ou porteurs d’implants bioniques,
créatures mi-hommes mi-machines…
Degré d’application: 3
Implants

Faire entrer les machines dans les corps

Horizon de réalisation: 2012
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 2

OBJECTIFS
Contrôle des corps et des esprits par des implants
électroniques et des prothèses bioniques

Création d’humains aux fonctions modifiées Préparer le terrain pour que
le public accepte les futurs implants
de localisation et d’identification greffés sous la peau

Généralisation du recours aux implants par les salariés pour accroître
leurs performances professionnelles(implants neuronaux pour accroître
la mémoire et les capacités de calcul, implants bioniques pour
accroître la force ou les capacités physiques…)

Bientôt, le recours à des « implants professionnels » sera indispensable
pour avoir des chances de trouver un travail. voir l’article « Vers
un contrôle social bionique
« 

MOYENS UTILISES
Banaliser les implants à usage médical, afin de diminuer la méfiance
instinctive du public à l’égard de l’intrusion de la machine dans le
corps.
Degré d’application: 4

Promouvoir la mode des piercings, pour habituer
le public à l’intrusion des objets matériels dans le corps.
Degré d’application: 5

Rendre obligatoire les implants pour
l’identification des animaux domestiques.

Degré d’application: 4
Organiser (ou laisser s’organiser) un attentat
nucléaire dans une ville occidentale pour rendre obligatoires les
implants de localisation et d’identification pour chaque individu, au
nom de la « sécurité » et de la « lutte contre le terrorisme ».
Degré d’application: 3

Traçabilité
totale des individus

Horizon de réalisation: 2000
Obtention de l’accord du public: aisée
Stade de réalisation: 4
OBJECTIFS

Obtenir une connaissance précise du « profil » de chaque individu:
opinions, comportements, déplacements, fréquentations, habitudes,
standard de vie…

Pouvoir localiser chaque individu avec précision et en temps réel, où
qu’il se trouve.

MOYENS UTILISES
Fichiers informatiques, cartes de crédit, téléphones portables,
Internet, réseau Echelon… Tous les moyens actuels de surveillance
électronique sont détaillés sur la page « Une
liberté sous surveillance électronique
« …
Degré d’application: 5

Placer une balise de localisation par satellite sur toutes les voitures.
Aux Etats-Unis, les voitures produites par certaines marques intègrent
déjà ce système, qui est présenté au consommateur comme un avantage
pour sa sécurité en cas d’accident (la balise avertit automatiquement
le centre de secours et transmet la localisation précise de l’accident)
L’adhésion du public sera obtenue à coup sûr grâce à une promesse de
réduction des cotisations d’assurance: la balise réduira en effet les
vols de voiture, celles-ci pouvant être instantanément localisées.
Degré d’application: 3

Développer des systèmes individuels de localisation et
d’identification: collier ou bracelet électronique, implant
électronique placé sous la peau, ou tatouage sur la peau d’un code
barre invisible à la lumière ordinaire (lisible par un scanner)

Aux Etats-Unis ou en France, le bracelet électronique est déjà
expérimenté sur des prisonniers en liberté surveillée.

L’implant de localisation existe
également: de la taille d’un grain de riz, la puce « Digital Angel » est
fabriquée par la société Applied
Digital Solutions (ADSX) qui édite un site
spécial
consacré à Digital Angel.

Plus fort encore, une autre société dénommée « Alien
Technology » (sic!) produit depuis 2002 une micro-puce de la
taille d’un grain de sable (environ 100 microns de coté). Cette
technologie a été mise au point au Centre Auto-ID, un laboratoire
installé au sein du MIT (Massachusetts Institute of Technology), et
financé par d’importants industriels, parmi lesquels Gillette, Procter
& Gamble ou Philip Morris.
Degré d’application: 2

Généralisation
de la monnaie électronique

Horizon de réalisation: 2010

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
Traçabilité totale des achats effectués par les individus. Connaissance
accrue de leur comportement et de leur profil social et culturel.

Association automatique de consommateurs identifiés par leur carte à
des produits identifiés par le code-barre. Possibilité de « débrancher »
un individu gênant des systèmes informatiques, et de lui couper tout
accès à la consommation (y compris pour les produits nécessaires à la
survie quotidienne).
Possibilité d’enlever toute existence économique à un individu.

MOYENS
UTILISES 
Populariser les cartes de crédit, en mettant l’accent sur leur facilité
d’utilisation
Degré d’application: 5

 Lancer le porte-monnaie électronique, appelé à remplacer
totalement l’argent liquide
Degré d’application: 2

 Mettre en avant les problèmes de sécurité et de coût liés au
transport et à la fabrication de l’argent liquide. Démontrer que
l’argent liquide est devenu obsolète à l’age du numérique.
Degré d’application: 2

Abêtisation
de la population
 
Horizon de réalisation: 1990
Obtention de l’accord du public: très facile
Stade de réalisation: 5 
OBJECTIFS 
Empêcher le public de réfléchir et de se poser intelligemment des
questions sur sa condition, et sur la manière dont la société est
organisée et dirigée. 

Rendre le public plus facilement manipulable en affaiblissant ses
capacités d’analyse et de sens critique

MOYENS
UTILISES 
Diffuser massivement des programmes TV débilitants Noyer les
informations et connaissances importantes dans un flot d’informations
insignifiantes
.
Censure par le trop-plein d’informations. 
Promouvoir des loisirs de masse débilitants 

Encourager la consommation de tranquillisants et somnifères 

Autoriser sans restriction la consommation d’alcool, et le vendre à un
prix accessible aux plus défavorisés. 

Faire en sorte que l’éducation donnée aux « couches inférieures » soit du
plus bas niveau possible.

Réduire le budget de l’éducation publique, et laisser se développer
dans les écoles des conditions de chaos et d’insécurité qui rendent
impossible un enseignement de qualité. 

Limiter la diffusion des connaissances scientifiques (en
particulier dans les domaines de la physique quantique, de la
neurobiologie, et surtout de la cybernétique –
la science du contrôle des systèmes vivants ou non-vivants).

Limiter aussi la diffusion des concepts les plus puissants concernant
l’économie, la sociologie, ou la philosophie.

Parler au public de technologie plutôt que de science. 
Degré d’application: 5

Affaiblir
les énergies individuelles
 
Horizon de réalisation: 1990

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 5  

OBJECTIFS 
Les biologistes ont démontré que le stress et un faible niveau
d’énergie physique et mentale permettent d’obtenir l’inhibition de
l’action (voir les ouvrages du neurobiologiste Henri Laborit,
ou le film d’Alain Resnais « Mon oncle d’Amérique »)

L’inhibition de l’action diminue la capacité de réaction des individus,
et rend leur rébellion plus improbable.

Affaiblir les énergies individuelles permet aussi de diminuer les
capacités de réflexion et d’organisation de la population.

MOYENS UTILISES
Augmenter le niveau de stress des individus.Rendre leur survie
économique de plus en plus difficile et précaire (renforcement de la
« pression économique »)

Créer des environnements urbains laids et déshumanisés, et d’où la
nature est totalement absente

Maintenir des conditions stressantes dans les transports en commun et
la circulation automobile.

Laisser se développer une violence urbaine permanente dans les
quartiers défavorisés. Laisser augmenter la pollution

Rendre les gens à demi-malades, grâce à l’alimentation industrielle.
Puis, aggraver leur état grâce aux effets secondaires des médicaments
censés les soigner. L’industrie agro-alimentaire et l’industrie
pharmaceutique se donnent la main et partagent les mêmes intérêts…
(tout cela étant financé par les populations, via les systèmes
d’assurance-maladie)

Encourager la consommation de somnifères et de tranquillisants.
Autoriser sans restriction la consommation d’alcool

Saturer l’espace par des rayonnements électromagnétiques nuisibles au
fonctionnement du cerveau: émetteurs pour les téléphones portables,
ondes hertziennes, lignes électriques à haute tension…
Degré d’application: 5

Anéantissement
du pouvoir des états


Horizon de réalisation: 1995

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
Création
d’armées et de polices privées
 
Horizon de réalisation: 2020
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 1
OBJECTIFS 
Donner aux grandes multinationales la possibilité de défendre
directement leurs intérêts dans le monde, en attaquant les états qui ne
se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique.
Une armée privée existe déjà au Etats-Unis. Il s’agit des
sociétés DynCorp, CACI,
et MPRI,
prototypes des futures armées privées.
Dyncorp est intervenu dans de nombreuses régions où les États-Unis
souhaitaient intervenir militairement sans en porter la responsabilité
directe (en Amérique du Sud, au Soudan, au Koweït, en Indonésie, au
Kosovo, en Irak…). Les armées privées (appelées
« sous-traitants » par le Pentagone) représentent 10% des effectifs
américains envoyés en Irak.
 
MOYENS
UTILISES 
Commencer par banaliser l’existence de polices et milices privées, pour
les résidences ou les quartiers les plus riches
Degré d’application: 2 

Renforcer la propagande pour une économie ultra-libérale, et présenter
l’idée d’armée privées comme un moyen de diminuer le coût des armées
tout en améliorant leur efficacité, grâce au principe d’économies
d’échelle (en louant les services d’armées privées, les états n’auront
plus besoin d’entretenir en permanence une armée nationale dont
l’utilisation effective n’est que ponctuelle)
Degré d’application: 2

Mind
Control
Technologies de contrôle des
esprits Horizon de réalisation: 2005
Obtention de l’accord du public: facile (grâce
à son ignorance scientifique)
Stade de réalisation: 2 
 les antennes du projet HAARP en Alaska
OBJECTIFS 
Contrôle ultime des individus Contrôle électronique de
l’humeur et du comportement des populations Possibilité
d’influencer une foule, en la rendant apathique, ou au contraire
subitement violente (des tests ont peut-être été effectués au
Rwanda, au Burundi, et en ex-Yougoslavie)
MOYENS
UTILISES 
Emission d’ondes psychotroniques (ondes basse fréquence ou très haute
fréquence, capables d’influencer le fonctionnement du cerveau en
interférant avec les ondes utilisées par les processus cérébraux).
En cours d’expérimentation: le projet HAARP développé
par l’armée américaine à Gakona en Alaska, et les expériences menées
sur la base américaine de Pine Gap en Australie.
Degré d’application: 3  

Contaminer l’eau et les aliments avec des molécules agissant sur
l’humeur et sur l’esprit.
Degré d’application: ?

 Diffuser dans l’eau ou les aliments des micro-robots (ou
« nano-machines ») invisibles à l’oeil nu. Une fois dans le corps, des
centaines de micro-robots porteurs d’une micro-puce électronique
pourraient aller se greffer sur les neurones pour en prendre le
contrôle.

Des nano-robots invisibles à l’oeil nu ont déjà été produits, et
l’interfaçage neurone-microprocesseur a
déjà été expérimenté avec succès en laboratoire.
La technologie des micro-processeurs ultra-miniaturisés est également
maitrisée depuis quelques années.
Degré d’application: 1

Destruction
de la nature sauvage


Horizon de réalisation: 2000Obtention de
l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
Black-out
sur les extra-terrestres

Horizon de réalisation: 1950
Stade de réalisation: 5
OBJECTIFS
 Empêcher
le public de rêver d’une
autre référence que l’ordre social actuel, et l’empêcher d’élargir son
horizon intellectuel et conceptuel. Ne pas laisser le champ de
conscience des individus s’étendre au-delà de notre planète et de son
ordre social.
MOYENS UTILISES
Décrédibiliser les témoignages à propos
des OVNI. Décrédibiliser les scientifiques qui se risqueraient à
travailler sur le sujet. Infiltrer les associations d’ufologues afin
que leur discours et leur action soit caricaturale et ne puissent être
pris au sérieux. Maintenir le secret militaire sur les observations
effectuées par des pilotes de l’armée ou certains astronautes.
Classer « top secret » les contacts déjà établis avec d’autres
civilisations depuis les années 50 (depuis que notre planète a attiré
des visiteurs, en se faisant repérer depuis l’espace les émissions
hertziennes et par les explosions atomiques: bombes de Hiroshima et
Nagasaki, mais aussi les quelques 600 explosions atmosphériques
réalisés pour les tests militaires jusque dans les années 70)
Degré
d’application: 5

© Sylvain Timsit – Syti.net, 1999 




Sasek met en garde les manifestants : « Pas d’agissements précoces »

[Source : kla.tv]

Ce monde a déjà vu assez de guerres. La discipline innovante de la façon véritable de faire la guerre, la discipline royale pour ainsi dire, c’est de vivre des victoires fondées uniquement sur la puissance de la lumière. Mais les plus beaux potentiels peuvent aussi être détruits par des actions rapides et irréfléchies. Ivo Sasek met en garde ceux qui manifestent à propos du coronavirus contre le danger d’être infiltrés, et surtout contre les actions intempestives et les agissements précoces égo-individualistes.


L’humanité n’est plus qu’à quelques pas de l’abîme de ce nouveau monde, tel qu’il a été méticuleusement planifié et réalisé par les sociétés secrètes depuis des siècles. La finale, en quelque sorte la porte d’entrée de ce nouveau monde, est un chaos mondial planifié. Ce qui prouve clairement que ce chaos orchestré ne se situe pas dans un avenir lointain, mais qu’il est en marche depuis longtemps, c’est le printemps arabe qui se trouve derrière nous, et toute l’histoire depuis le 11 septembre, et maintenant l’humanité est, pour ainsi dire, à un pas de l’introduction de la surveillance totale, de l’abolition de l’argent liquide, mais aussi de l’abolition de tous les biens et possessions privés.

Le confinement que nous venons de passer n’était que le premier acte d’un nouveau processus d’expropriation. Nous devons comprendre cela. Vous, les communistes, vous vous réjouissez bien sûr maintenant, comme les anciens juifs de Rome, que votre domination communiste mondiale tant attendue est enfin à portée de main. Mais croyez-le donc, vous tous, communistes et socialistes, qui êtes là : ce n’est pas vos partisans qui sont sur le point de prendre la domination mondiale ici, pas vos partisans qui veulent aussi vous obliger à vous faire vacciner et vous faire implanter une puce électronique.

Au plus tard maintenant, vous devriez enfin vous en rendre compte. Dès que vos prétendus partisans commenceront à crucifier vos idéaux communistes, votre erreur tombera de vos yeux comme des écailles! Parce que vous, et Karl Marx le premier, vous n’avez jamais vraiment compris que votre idéologie de la justice a été infiltrée et instrumentalisée dès le début par des tireurs de ficelles stratégiques du plus haut capitalisme. Jusqu’à aujourd’hui, ils ont constamment orienté votre lutte contre la classe moyenne et la bourgeoisie, afin que vous ne puissiez jamais les atteindre, eux, et les prendre au collet. Mais les créateurs d’intérêts, les spéculateurs et les demandeurs d’intérêts et d’intérêts composés… ils ont toujours été les véritables racines vénéneuses qui ont poussé toute classe moyenne dans la course compulsive à des revenus de plus en plus importants. Vous, les communistes bien intentionnés, vous avez été instrumentalisés par les mêmes pouvoirs et de la même manière que nous, les chrétiens. Nous, mais aussi toutes les religions, idéologies et orientations politiques, etc. sommes tombés dans leurs pièges. Comment cela a-t-il été possible ? Parce qu’ils ont toujours opéré dans le secret.

Les considérations fondamentales, tant du communisme que du christianisme et de toutes les religions, n’ont jamais été erronées dans leur principe. Mais ce qu’ils n’ont jamais compris dès le début, c’est qu’ils ont été infiltrés, manipulés et instrumentalisés sournoisement. En général, les mouvements d’amélioration du monde placent donc toujours leurs leviers beaucoup trop bas. Et c’est exactement là qu’est évidente la manipulation venant de tout en-haut. Celui qui a toujours été incapable de voir clair dans ce jeu diabolique, malgré les meilleures motivations, s’est même laissé instrumentaliser pour le contraire de ses propres intentions. Oui, c’est le même problème pour tous. Ainsi, jusqu’à présent, les véritables dirigeants et ennemis de l’humanité n’ont pas seulement été épargnés, mais ils ont aussi instrumentalisé tout et tous pour faire avancer leur programme de domination du monde, leurs objectifs de domination du monde.

Je l’explique une fois de plus en utilisant l’exemple de la lutte communiste : le cancer du faux capitalisme qui se répand ne pourra jamais être vaincu par la petite bourgeoisie, la bourgeoisie ou la classe moyenne, impossible ! Ce fléau de vol et de pillage ne peut être vaincu qu’en appliquant les leviers de façon suffisamment conséquente à l’élite supérieure. Personne n’a vraiment fait cela jusqu’à aujourd’hui. Néanmoins, seul le capitalisme d’intérêts et d’intérêts composés se trouve à la racine de tous les maux sociaux.

Malheureusement, vous, les communistes, vous n’avez toujours pas compris que l’expropriation de la population mondiale, qui vient de commencer, ne vous offre pas les compensations tant attendues. Le premier processus de dépossession de l’ensemble de la population mondiale, qui vient de commencer avec le confinement, n’apportera malheureusement pas à tous les prolétaires trahis la distribution équitable des biens tant attendue – et que vous attendez toujours. Vous vous rendrez compte trop tard, même vous les communiste que les requins qui dépossèdent sans pitié sont ceux que vous n’avez jamais vraiment combattus de manière conséquente. Mais maintenant, ils ne vous épargneront pas non plus, je vous le promets, car ils veulent aussi vous réduire en esclavage.

Au lieu de la répartition équitable du capitalisme promise, il en résultera un statut d’esclave pour tous les peuples – sans propriété privée, sans aucun luxe ; un luxe pour lequel, soit dit en passant, la classe moyenne et la bourgeoisie ont travaillé sans cesse et que vous avez toujours été heureux d’utiliser bien que vous le méprisiez.

Mais vous n’êtes pas les seuls à avoir tort, vous les communistes ; nous avons tous tort, chaque religion à sa manière, chaque secteur économique à sa manière, chaque parti politique à sa manière. Aucun d’entre nous n’a réalisé que les vrais cerveaux sont bien au-dessus des dirigeants qui se sont montrés à nous à maintes reprises.

Et non seulement vous, les communistes, vous avez été infiltrés, à commencer par Marx, Lénine et Engels, mais nous aussi, les chrétiens, et aussi les musulmans, y compris les partis de droite, du centre et de la bourgeoisie. Nous, les chrétiens, par exemple, nous avons été infiltrés par les mêmes conspirateurs du monde qui ont modifié nos enseignements pour nous faire croire que Jésus descendra du ciel comme un super-héro avec ses accompagnateurs volants – oui, c’est ce que nous croyons aujourd’hui – et que ce sera pour mettre lui-même de l’ordre ici-bas.

Et nous, les chrétiens, nous nous tenons passivement à côté, pour ainsi dire comme des spectateurs soumis. Mais de même que Marx ne voulait pas réaliser sa vision tout seul, Jésus non plus ne voulait pas faire cela. Ainsi, si la mission du communisme originel et celle du christianisme originel ont toutes deux échoué, c’est à cause de leurs manipulations délibérées vers la passivité. Malheureusement, il faut dire la même chose des musulmans et de toutes les religions, mais aussi de toutes les idéologies et autres. Des musulmans aux ésotériques, tous jusqu’à aujourd’hui attendent d’une manière ou d’une autre un puissant sauveur venant du ciel. Le voyez-vous aussi ?

Mais nous souffrons tous d’une seule et même conséquence de cette infiltration sournoise et cela s’appelle la passivité ! Tous, nous investissons trop peu de nous-mêmes dans le jeu : Le Mahdī Sauveur des musulmans veut venir par les musulmans eux-mêmes, tout comme Jésus veut venir par ses chrétiens ou Maitreya par ses bouddhistes, etc. De même, tous les autres grands maîtres n’ont jamais pensé à descendre du ciel à la place de leurs ésotériques et autres – ni avec ni sans ovnis.

Faites face à cela. Mais nous avons tous été attirés dans la passivité, dans la distraction par les mêmes stratèges de la domination mondiale. Vous pouvez le voir dans le fait que tous les bienfaiteurs potentiels espèrent d’une manière ou d’une autre une libération venant de l’extérieur. Seulement, ils ne se mettent pas assez eux-mêmes dans la brèche. Mais de cette façon, nos problèmes mondiaux ne seront jamais résolus. Et pourquoi ? Parce que cette attitude passive manque de la force nécessaire pour imposer le monde nouveau, elle a été brisée. Ainsi, ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, ni aucune autre religion ni aucun parti n’a jamais pu réellement imposer ses bonnes intentions. Pourquoi ? Parce que le véritable agresseur a toujours réussi à paralyser tout le monde avec des attentes soumises, c’est-à-dire passives. C’est notre problème. L’ennemi mondial a empêtré et distrait notre attention dans toutes sortes de détails et de questions secondaires. Pourquoi fait-il cela ? Sans autre raison que de tout prendre en charge, tous ensemble et ce, sans être reconnu.

Un seul groupe, sous ce ciel, connaît le véritable jeu, à savoir les soi-disant « francs-maçons satanistes » qui se glissent habituellement dans les vêtements de toutes les religions et philosophies, de toutes les tendances politiques, etc. pour les stériliser habilement de l’intérieur, c’est-à-dire pour les rendre inefficaces. Et cette sinistre procédure a malheureusement réussi jusqu’à présent, il faut bien l’admettre.

Ce sont malheureusement leurs plans, et ceux de nul autre, qui sont actuellement en cours de réalisation et ne sont qu’à un pas de leur achèvement définitif. C’est la prise de pouvoir complète, dès maintenant, par le biais d’une crise de Coronavirus délibérément mise en scène, d’un confinement et autres ; mais aussi, comme prévu, par une appropriation totale de notre argent, un contrôle numérique total ; c’est leur programme. Ainsi, ils peuvent exproprier d’un simple clic tous ceux qui ne se soumettent pas volontairement à leur vision du monde, ils peuvent les expulser, leur imposer des sanctions totales et bien d’autres choses encore. Mais ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, l’hindouisme ou toute autre idéologie ne définiront ce qui décide de cette pression sur un bouton. Mais quoi alors ?

Ce qui décidera du OUI ou du NON en appuyant sur un bouton, ce sera seulement si on accepte ou non de capituler sous le satanisme en train de prendre sa forme ultime. Ce satanisme sera le seul à fixer les critères. C’est le problème que nous avons ici. La vaccination obligatoire, qui est sur toutes les lèvres en ce moment, qui doit être administrée à sept milliards de prétendus volontaires, n’est que la force motrice qui est censée nous pousser vers le dispositif du véritable système de contrôle et de gestion. Qu’est-ce donc ? La surveillance numérique forcée, avec laquelle chaque citoyen du monde peut être allumé et éteint en appuyant sur un bouton, ainsi que surveillé localement. Ce sera le sceptre de fer de la nouvelle domination mondiale, si nous ne le dénonçons pas maintenant et si nous ne l’empêchons pas par un dévoilement conséquent. Que cette surveillance totale de chaque citoyen individuel se fasse au moyen d’une puce implantée, ou d’un tatouage ou d’autre chose, cela reste secondaire – mais le fait est que cette technologie est exactement à un pas de son introduction forcée !

Il y a 2 000 ans déjà la Bible avait mis en garde contre cette heure. Elle a ordonné avec toute la sévérité nécessaire ce qui doit maintenant être fait dans le monde entier. Elle ne donne à la communauté mondiale que ce seul ordre, si elle ne veut pas périr misérablement dans l’état d’esclavage. C’est le refus total de toute vaccination obligatoire ! Refus total de toute implantation de puce ! Refus total de tous les moyens de paiement autres que l’argent liquide ! Refus de tout trait de caractère de ces dirigeants de force du soi-disant « nouvel ordre mondial ».

Le fait que des millions de personnes se réveillent en ce moment même et protestent dans le monde entier, c’est certainement une bonne nouvelle, un nouvel évènement que j’appellerais un véritable espoir. Mais cet espoir, cet espoir même, peut être brisé du jour au lendemain si ceux qui se réveillent ne comprennent pas maintenant où se trouvent les plus grands dangers. La spécialité absolue de ceux qui s’infiltrent, les dirigeants autoproclamés du monde, réside dans la division de tout contre-pouvoir qui se présente, dans la création de la confusion, dans l’incitation à la lutte et à la haine les uns contre les autres et malheureusement – écoutez bien – aussi dans le fait de s’activer trop tôt et à tort !

Je vais maintenant me concentrer sur le dernier point : des millions sont mobilisés, ils vont en pèlerinage à Berlin et dans le monde entier dans tous les lieux où des manifestations aussi importantes ont encore lieu et sont encore autorisées. Mais la pire erreur qui puisse arriver maintenant, c’est que l’agresseur invisible réussisse à envoyer ses loups déguisés en moutons parmi les moutons, afin d’inciter ces foules, dans leur état immature, à agir de façon extrême et les faire tomber ainsi dans le chaos. Et le chaos est précisément le principal moyen prévu pour imposer leur propre pouvoir. Souvenez-vous bien de cela.

Si maintenant le processus de dévoilement, le processus d’éveil et de lumière des peuples est interrompu par des actions révolutionnaires trop précoces, tout ça va s’effondrer. Malheur, si des émeutes se produisent, éventuellement avec une prise d’assaut du Reichstag et autres ; ou des agressions contre un responsable, contre des politiciens, des présidents ou qui que ce soit. Alors, je vous assure, tout cela va dégénérer en chaos et les forces de l’ordre armées devront intervenir avec des chars et toutes les armes imaginables. Du jour au lendemain, ils feront alors comprendre au grand public encore aveuglé pourquoi une surveillance numérique absolue est désormais nécessaire, et ce de façon immédiate. Ils vont donc venir avec la numérisation et, du jour au lendemain, ils vont tout superviser. C’est ce que signifie la dictature absolue.

Mais comment est-ce possible ? Seulement parce que plus de 80 % des gens ne savent pas encore vraiment ce qui se passe. En d’autres termes, la phase de la venue de la lumière n’est pas encore terminée. Alors ne vous laissez pas fanatiser pour les renversements violents de gouvernements et de telles choses. Retenez ceux qui incitent à de telles choses ; distanciez-vous clairement des taupes qui se sont introduites et qui sont en mission terroriste. Lorsqu’elles franchissent vos rangs et passent à l’attaque, filmez-les avec vos propres caméras. Et si elles se révoltent, condamnez cela. Condamnez leur extrémisme devant vos caméras. Mais attention aussi aux mesures de sécurité irréfléchies, qui ne visent alors qu’à sauver votre propre ventre et vous détournent du véritable but visé. Quel est le vrai but ? Un dévoilement non-stop, rien d’autre n’est à l’ordre du jour pour le moment. Toute forme d’auto-sauvetage privé ne fonctionnera malheureusement pas ! Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet.

Seule une chose peut fonctionner avec un peu de persévérance, si vraiment vous tous, les millions de personnes qui se sont réveillées et qui ont reconnu les véritables tireurs de ficelle et les dangers, si vous n’arrêtez pas d’être la lumière, si vous allez sur le terrain et dévoilez ce qui se passe – avec ou sans Internet. Si Internet est censuré ou même bloqué pour nous, alors s’il vous plaît, accélérez dix fois plus, gagnez constamment 2-3 nouveaux, informez-les et donnez-leur la mission de gagner à leur tour au moins trois nouveaux, qui gagneront à leur tour trois nouvelles personnes éclairées, etc. Ensuite, gardez un œil sur vos contacts éclairés et motivez-les à nouer de nouveaux contacts, afin que la multiplication de la lumière se poursuive de manière infreinable. Mais mettez-vous aussi en réseau physiquement, c’est-à-dire en échangeant mutuellement vos adresses, et mettez en place un réseau d’information qui fonctionne de main à main – cela au cas où Internet serait complètement bloqué. Ainsi, tant que la population mondiale ne peut pas voir clairement dans sa majorité absolue quels sont les personnages et les agresseurs à l’œuvre, qui sont aussi les plus grands seigneurs qui ont une ferme emprise sur la science, les voyages dans l’espace, l’éducation, nos grands hommes politiques et surtout nos grands médias, toute action précoce est vouée à l’échec. Je vous le garantis.

C’est seulement quand la lumière du jour se sera levée sur la communauté mondiale, de sorte qu’elle ne puisse plus être aveuglée par des hérésies confuses ou des tromperies médiatiques, que d’autres avancées concrètes auront un sens. Ce n’est que lorsque, disons, une nette majorité de la population mondiale sera parfaitement au courant de la situation qu’un nouveau départ sera possible sans guerres civiles, effusions de sang ou d’autres guerres. Pourquoi ? Car alors, la proportion de cette petite minorité élitiste sera également dévoilée publiquement. Alors, des milliards de citoyens de la terre ne seront plus confrontés à des dirigeants lourdement armés, mais seulement à quelques milliers de conspirateurs. Et même s’il s’agissait de dizaines de milliers de personnes, un peuple suffisamment éclairé n’a alors qu’à changer de cap, et l’affaire est réglée. Mais tant que toutes les forces militaires et les forces de sécurité sincères, y compris l’appareil judiciaire restant, etc., tant que tous les partis, religions, idéologies, etc. trompés, n’auront pas bien compris ce qui se passe réellement, chaque coup de pédale, chaque tentative de changement radical conduira à une défaite certaine. C’est mon pronostic.

Ce serait comme si un enfant essayait d’avoir le dessus sur un cambrioleur armé, un cambrioleur dangereux. Il aurait besoin de renfort pour accomplir une telle chose. Comprenez-vous cela ? Tant que plus de 90 % de l’humanité est encore aveuglée par le mainstream et la télé, nous n’avons aucune chance de changer le système ! La devise prioritaire reste donc « Que la lumière soit ! » C’est le but. La lumière et l’amour mutuel entre vous, une reconnaissance, une interconnexion et la certitude absolue de notre unité organique : c’est la base indispensable du nouveau monde, qui, soit dit en passant, est en train de se créer en ce moment même, à travers toutes ces contractions d’accouchement pour sortir de l’ancien monde. Mais elle ne peut être préservée de façon permanente et être adaptée à la vie que si chacun vit dans ce nouvel esprit.

Par conséquent, évitez tout coup de pédale dynamique individuel, qui veut changer et faire passer quelque chose rapidement, pour ainsi dire, sans égard au corps dans son ensemble. Les défaillances ou les actions intempestives doivent malheureusement toujours être payées par l’ensemble du mouvement, même si celui-ci n’a pas donné de mandat pour de telles actions trop précoces égo-individualistes. Concentrez-vous donc uniquement sur la diffusion de la lumière, sur le dévoilement, jusqu’à ce que le moment soit venu de prendre d’autres mesures.

Mais fortifiez toujours votre résistance à tout moment en tendant vers le refus total, lorsqu’il s’agit par exemple de l’abolition de l’argent liquide. Payez en espèces partout où vous le pouvez. Refusez tous également toute forme de vaccination forcée et aussi toute forme d’implantation de puce ou de tatouage de tout numéro d’identification, de code et autres. Refusez partout l’introduction de la 5G, la 6G et toutes ces technologies, parce qu’elles vous pousseront en position OFF totale. En particulier, contredisez toute autre revendication de pouvoir de la part des médias grand public. Dévoilez leurs tromperies et leurs mensonges partout où vous le pouvez. Ils vous en donnent des occasions suffisantes chaque jour. Mais utilisez aussi nos émissions et diffusez-les autant que vous pouvez. La priorité constante et absolue est la mise à la lumière des médias de masse qui ont déraillé. Par eux, tout se diffuse dans le monde. Les grands médias sont tombés sous le contrôle de tireurs de ficelle hautement criminels qui doivent être impitoyablement dévoilés. Mais tant que les médias de masse pourront encore jeter la confusion dans l’esprit de plus de 90 % des gens, les salir et les programmer incorrectement, les grandes masses continueront à se laisser séduire aveuglément et sans méfiance par leurs tromperies. C’est notre problème. Les médias tiennent toujours en otage la grande masse, et sans qu’elle le sache ils abusent d’elle comme d’esclaves sans défense.

Je résume. Lorsque vous tous, qui êtes maintenant des millions et qui comprenez exactement ce qui se passe ici, lorsque tous vous diffusez les fils rouges du dévoilement, qui viennent d’être nommés, lorsque chacun d’entre vous gagne constamment et éclaire trois autres et que ces trois-là font de même, alors on peut catapulter très rapidement toute la population mondiale à la lumière de la vérité. Vous comprenez, ça se produira très rapidement si nous travaillons fidèlement dès maintenant. La lumière de la vérité doit surmonter les sombres tromperies jusqu’à ce que la lumière du jour vienne complètement. Et ce n’est que lorsque ce sera devenu suffisamment lumineux dans l’ensemble de l’humanité et lorsque la majorité nécessaire verra clairement ce qui se passe ici, qu’il sera facile et rapide d’entamer un nouveau processus significatif et prometteur. Mais tant que les militaires, les forces de sécurité, les politiciens, mais aussi les chefs religieux, etc., qui sont aveuglés par les médias, ne pourront pas voir ce qui se passe exactement ici à travers ce jeu sournois et méchant, toutes les tentatives d’application de la loi, à l’exception de celles qui viennent d’être mentionnées, ne feront que mener à un énorme chaos. Et le chaos est exactement ce que ces puissances de l’ombre ont toujours voulu. Lorsque le chaos est créé, elles peuvent asservir le monde entier en un clin d’œil. C’est leur plan.

Ainsi, lorsque l’œuvre de la lumière aura fait son travail et que le moment sera venu, il y aura une sortie de crise rapide et facile : toutes ces élites sinistres seront alors traitées de la même manière qu’elles avaient traité auparavant l’ensemble de la communauté mondiale. Elles seront en quelque sorte poussées dans les propres fosses qu’elles ont creusées auparavant pour les peuples sans méfiance. Au lieu d’enlever au monde entier le dernier 1 % des richesses qui restent dans l’antichambre des processus d’expropriation, on expropriera simplement les élites super-riches et sataniques de la franc-maçonnerie, et tous ceux qui, par des spéculations sournoises et embrouillées, ont pris aussi les richesses des nations. Les sociétés pharmaceutiques frauduleuses, etc., devront alors recracher tous les profits de leurs stratégies qui nous gardent malades et mettre fin… elles devront mettre fin à leur jeu diabolique.

Une fois que toutes leurs richesses et leur argent acquis injustement auront été rendus à la population mondiale trompée, je dirais que les difficultés financières les plus urgentes seront déjà résolues. Cette élite relativement restreinte de dirigeants mondiaux en échec sera alors enchaînée comme on l’a toujours fait pour les terroristes. Ils recevront une punition adaptée à leur genre, puisqu’ils voulaient, en quelque sorte, emprisonner sans pitié toute la communauté mondiale, l’enfermer et l’humilier comme leur esclave. Que sur la voie proposée, le revirement vers le monde nouveau, le monde vraiment nouveau, commence, et tout le reste je pense suivra ensuite de lui-même.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.