Revue d’actualités par Jean-Dominique Michel

[Source : Jean-Dominique Michel]

Au programme : corruption généralisée ; données alarmantes ; plaintes et démarches ; la sagesse populaire et les mensonges des « élites ».






L’Antipresse, un phare dans la nuit : Interview de Slobodan DESPOT

[Source : kairospresse.be]

Slobodan Despot, traducteur, cofondateur des éditions Xénia, photographe, romancier, fondateur de l’Antipresse, « magazine hebdomadaire destiné à nous faire réfléchir », dont paraîtra dimanche 11 décembre la 367e édition, pense le monde loin des chemins balisés où ne s’expriment plus que conformisme et obéissance. Interview autour de sujets « d’actualité » (Ukraine, Covid, « crise climatique »…), qui dessinent des lignes de fond toujours plus profondes puisque mettant en jeu notre rapport à la vérité et au réel, la façon dont se forment nos connaissances sur ce monde, donc aussi les questions de liberté et de démocratie. Slobodan Despot est un phare dans l’obscurité moderne, lucide, qui partage avec nous ce trait essentiel : la sincérité.






La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
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Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




Comment Rockefeller a créé Big Pharma

[Source : medias-presse.info]

Voici la version en français d’un reportage qui résume comment la famille Rockefeller est à l’origine du cartel pharmaceutique appelé aujourd’hui Big Pharma. Ce reportage nous rappelle également comment des traitements naturels contre le cancer ont été combattus et empêchés d’être mis en circulation parce qu’ils ne convenaient pas aux intérêts financiers du lobby pharmaceutique.



Le contenu du reportage est directement inspiré du remarquable livre d’E. Richard Brown, Les guérisseurs Rockefeller : médecine et capitalisme en Amérique.

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Ce livre raconte l’histoire cachée des manipulations financières, politiques et institutionnelles qui expliquent comment une gamme diversifiée et éclectique de traitements naturels disponibles pour le public nord-américain a été sommairement réduite à un style de médecine singulier qui allait devenir la médecine prédominante du monde occidental et une force majeure dans la culture médicale mondiale au XXe siècle. Cela a été provoqué en grande partie par la collaboration de l’American Medical Association, les pseudo-philanthropies d’Andrew Carnegie et de John D. Rockefeller, et le développement d’un programme révolutionnaire par la Johns Hopkins School of Medicine.

De façon documentée, l’auteur fait ainsi apparaître comment une puissante élite professionnelle a acquis une hégémonie virtuelle sur le théâtre occidental de la guérison en prenant efficacement le contrôle de l’éthos et de la pratique de la médecine occidentale. E. Richard Brown décrit comment, en 1905, le nouveau Council on Medical Education de l’American Medical Association financé par Carnegie et Rockefeller a commencé ses activités. Ils ont employé les services d’Abraham Flexner qui a ensuite visité et «évalué» chaque faculté de médecine aux États-Unis et au Canada. Cela a été suivi d’un véritable bouleversement dans le monde des écoles de médecine partout aux États-Unis.

En 1910, 30 écoles avaient fusionné et 21 avaient fermé leurs portes. Sur les 166 écoles de médecine en activité en 1904, 133 avaient survécu en 1910, se réduisant à 104 en 1915. Quinze ans plus tard, seules 76 écoles de médecine existaient encore aux États-Unis. Toutes uniformisées et proposant le même cursus. Brown montre comment les processus sociaux et politiques ont été consciemment manipulés par une élite médicale agissant de concert avec l’immense richesse des entreprises pour créer un système de médecine qui servait avant tout des intentions économiques et hégémoniques.




McKinsey et Covid-19 : l’étau judiciaire se resserre sur l’État macroniste

[Source : BV]

Le père Noël est en avance ! Le parquet national financier (PNF) a confirmé à BV, ce mercredi 14 décembre, qu’il avait mené des perquisitions en haut lieu, le mardi 13 décembre. « Je vous confirme que des perquisitions ont eu lieu hier au siège parisien de McKinsey ainsi qu’aux sièges du parti Renaissance et de l’association de financement de Renaissance », indique à BV Antoine Jocteur-Monrozier, vice-procureur financier, secrétaire général et chargé de communication du PNF. Ces perquisitions ont été conduites par les juges d’instruction dans le cadre de deux informations judiciaires, l’une « ouverte le 20 octobre 2022, notamment des chefs de tenue non conforme de comptes de campagne et minoration d’éléments comptables dans un compte de campagne ». L’objet minoré ? « Les conditions d’intervention de cabinets de conseils dans les campagnes électorales de 2017 et 2022. » Voilà qui sent le soufre. L’autre information judiciaire est ouverte depuis le 21 octobre 2022 « des chefs de favoritisme et recel de favoritisme ». Tiens ?

Tout cela fleure bon le renvoi d’ascenseur, l’entre-soi velouté, la clarté obscure des hôtels de luxe, l’honnêteté en option, la manipulation tranquille et le mépris des Français, bien loin des numéros de claquettes servis à ceux qui ont glissé naïvement dans l’urne leur bulletin Macron. Certainement bien conseillé, McKinsey explique (à France Info) que « le cabinet collabore pleinement avec les autorités publiques, comme cela a toujours été le cas ». Oui, c’est même un peu le fond du problème…

Car nos amis de McKinsey sont carrément soupçonnés de « blanchiment aggravé de fraude fiscale » depuis qu’un rapport du Sénat a relevé que le cabinet de consultants n’avait pas payé d’impôts sur les sociétés en France entre 2011 et 2020. L’enquête a dû poser quelques questions, puisque le parquet national financier a donc décidé d’ouvrir une information judiciaire sur le financement de la campagne électorale d’Emmanuel Macron.

Bien sûr, empressons-nous de préciser que tout ce petit monde lié par l’argent et le pouvoir (beaucoup d’argent et beaucoup de pouvoir) est présumé innocent comme l’agneau de lait. De là à prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages, il y a un pas…

Justement, ce 14 décembre, pendant que le PNF enquête, la Cour des comptes publie un rapport sur le recours orgiaque du pouvoir macroniste aux très coûteux cabinets de conseil en général et à… McKinsey en particulier (l’un des plus coûteux du marché, sinon le plus cher). Même Le Monde s’en émeut, c’est dire !

La Cour dénonce une distribution des masques « organisée en urgence et mise en œuvre dans des conditions parfois critiquables ». On appréciera la nuance. Mais elle stigmatise « des retards »« des surcoûts » et se penche surtout sur « les conditions problématiques de recours à des prestations de conseil générales ».

Quelques chiffres ? L’État avait prévu pour McKinsey 604 000 euros de budget en 2021. Le cabinet, véritable cerveau de cette crise, a finalement facturé, l’an dernier… 4,4 millions d’euros pour ses précieux conseils en « stratégie vaccinale ». Plus de sept fois la somme prévue ! À lui seul, le cabinet chéri de la Macronie a englouti près de la moitié du budget de consulting prévu par la Direction générale de la santé (DGS) au titre de la crise du Covid-19 (9,5 millions au total). Résultat : les stocks de masques et autres matériels sont énormes…

Le Conseil d’État énumère en conclusion l’illustration de la Macronie : « Une forte centralisation des décisions » au sein du cabinet du ministre, une gabegie de consultants, soit « la mobilisation de cabinets de conseil privés, parfois au-delà des expertises techniques n’existant pas au sein de l’État [], y compris dans des domaines relevant de compétences purement administratives » ou encore « un Parlement maintenu en grande partie à l’écart des décisions prises »… Soit une gestion très très autoritaire.

La Cour des comptes prépare un rapport pour le premier semestre 2023 sur le recours de l’État dans son ensemble aux cabinets de conseil privés. On en salive d’avance. Il faudra, en effet, expliquer aux Français comment un des États les plus taxés du monde libre, un de ceux qui emploient le plus de fonctionnaires, parvient encore à faire la fortune de cabinets de consulting proches du pouvoir… sur le dos décidément très large des contribuables français.

Macron, lui, avec son assurance coutumière, crâne : « Je ne crains rien », a-t-il affirmé, le 25 novembre. Voilà six mois, il lançait : « S’il y a des preuves de manipulation, [que] ça aille au pénal ! » Chiche !




Un professeur de Harvard expose Google et Facebook

[Source : cogiito.com]

10 Decembre 2022, par le Dr Mercola

https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2022/12/10/surveillance-capitalism.aspx?ui=bf44c67dbbe698b8fcdd71f20d71cfa1d832c892640d87fefbbbdcc255ad581d&sd=20221129&cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_content=art3HL&cid=20221210&cid=DM1303633&bid=1665765878

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

Dans son livre intitulé « The Age of Surveillance Capitalism », Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à Harvard, révèle comment les plus grandes entreprises technologiques du monde ont détourné nos données personnelles – ce que l’on appelle les « flux de données comportementales excédentaires » – à notre insu et sans notre consentement, et les utilisent contre vous pour générer des profits.

Des entreprises comme Facebook, Google et des tiers de toutes sortes ont le pouvoir – et l’utilisent – de cibler vos démons intérieurs, de vous déclencher et de profiter de vous au moment où vous êtes le plus vulnérable pour vous inciter à agir de manière à les servir, commercialement ou politiquement.

Votre existence entière – même vos humeurs changeantes, déchiffrées par un logiciel de reconnaissance faciale – est devenue une source de revenus pour les entreprises, car vous êtes habilement manœuvré pour faire (et généralement acheter) ou penser quelque chose que vous n’auriez peut-être pas fait, acheté ou pensé autrement.

Les expériences massives de Facebook, dans lesquelles l’entreprise a utilisé des signaux subliminaux pour voir si elle pouvait rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement réel hors ligne, ont prouvé qu’en manipulant le langage et en insérant des signaux subliminaux dans le contexte en ligne, elle pouvait modifier le comportement et les émotions du monde réel, et que ces méthodes et pouvoirs pouvaient être exercés “sans que l’utilisateur en ait conscience”.

Le système de sécurité Nest de Google intègre un microphone caché qui ne figure dans aucun des schémas de l’appareil. Les données vocales, et toutes les informations fournies par vos conversations quotidiennes, sont extrêmement précieuses pour le Big Data, et viennent s’ajouter à ses capacités de modélisation prédictive en constante expansion.

“Dans une pièce où les gens entretiennent unanimement une conspiration du silence, un mot de vérité résonne comme un coup de pistolet.”

~ Czesław Miłosz1

Ces dernières années, un certain nombre d’individus courageux nous ont alertés sur le fait que nous sommes tous surveillés et manipulés par des collecteurs de big data tels que Google et Facebook, et ont fait la lumière sur la profondeur et l’ampleur de cette surveillance permanente. Parmi eux, Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à Harvard.

Son livre, “The Age of Surveillance Capitalism”, est l’un des meilleurs ouvrages que j’ai lus ces dernières années. Il est absolument indispensable si vous vous intéressez à ce sujet et si vous voulez comprendre comment Google et Facebook ont obtenu un contrôle aussi massif de votre vie.

Son livre révèle comment les plus grandes entreprises technologiques du monde ont détourné nos données personnelles – ce que l’on appelle les “flux de données sur les surplus comportementaux” – à notre insu et sans notre consentement et les utilisent contre nous pour générer des profits pour eux-mêmes.

NOUS sommes devenus le produit.

NOUS sommes le véritable flux de revenus dans cette économie numérique.

“Le terme “capitalisme de surveillance” n’est pas un terme arbitraire”, déclare Zuboff dans le documentaire vedette de VPRO Backlight. “Pourquoi ‘surveillance’ ? Parce qu’il doit s’agir d’opérations conçues pour être indétectables, indéchiffrables, enveloppées dans une rhétorique qui vise à nous tromper, à nous obscurcir et à nous embobiner tous, tout le temps.”

La naissance du capitalisme de surveillance

Dans la vidéo présentée, Zuboff “révèle une forme impitoyable de capitalisme dans laquelle aucune ressource naturelle, mais le citoyen lui-même, sert de matière première”.2 Elle explique également comment ce capitalisme de surveillance est né.

Comme pour la plupart des inventions révolutionnaires, le hasard a joué un rôle. Après la crise des dot.com de 2000 qui a fait éclater la bulle Internet, une jeune entreprise nommée Google a lutté pour survivre. Les fondateurs Larry Page et Sergey Brin semblaient voir le début de la fin pour leur entreprise.

Par hasard, ils ont découvert que les “données résiduelles” laissées par les utilisateurs lors de leurs recherches sur Internet avaient une valeur considérable. Ils pouvaient échanger ces données ; ils pouvaient les vendre. En compilant ces données résiduelles, ils pouvaient prédire le comportement d’un internaute donné et garantir ainsi aux annonceurs une audience plus ciblée. C’est ainsi qu’est né le capitalisme de surveillance.

La collecte de données que vous connaissez est celle qui a le moins de valeur

Des commentaires tels que “Je n’ai rien à cacher, donc je me fiche qu’ils me pistent” ou “J’aime les publicités ciblées parce qu’elles facilitent mes achats” révèlent notre ignorance de ce qui se passe réellement.

Nous croyons comprendre quel type d’informations est collecté à notre sujet. Par exemple, vous ne vous souciez peut-être pas que Google sache que vous avez acheté un certain type de chaussures ou un certain livre.

Toutefois, les informations que nous communiquons librement sont les moins importantes des informations personnelles qui sont effectivement recueillies à notre sujet, note M. Zuboff. Les entreprises technologiques nous disent que les données collectées sont utilisées pour améliorer les services, et c’est effectivement le cas pour certaines d’entre elles.

Mais elles sont également utilisées pour modéliser le comportement humain en analysant les modèles de comportement de centaines de millions de personnes. Une fois que vous disposez d’un modèle d’entraînement suffisamment important, vous pouvez commencer à prédire avec précision le comportement de différents types d’individus au fil du temps.

Les données recueillies sont également utilisées pour prédire toute une série d’attributs individuels vous concernant, tels que des traits de personnalité, l’orientation sexuelle, l’orientation politique – “toute une série de choses que nous n’avons jamais eu l’intention de divulguer”, explique M. Zuboff.

Comment les données prédictives sont-elles utilisées ?

Toutes sortes de données prédictives sont transmises avec chaque photo que vous téléchargez sur les médias sociaux. Par exemple, il n’y a pas que les entreprises technologiques qui peuvent voir vos photos. Votre visage est utilisé à votre insu et sans votre consentement pour former un logiciel de reconnaissance faciale, et personne ne sait comment ce logiciel est censé être utilisé.

À titre d’exemple, le gouvernement chinois utilise un logiciel de reconnaissance faciale pour suivre et surveiller les groupes minoritaires et les défenseurs de la démocratie, et cela pourrait se produire ailleurs aussi, à tout moment.

La photo que vous avez téléchargée de vous-même lors d’une fête fournit donc toute une série d’informations précieuses, qu’il s’agisse du type de personnes avec lesquelles vous êtes le plus susceptible de passer du temps, des endroits où vous êtes susceptible d’aller pour vous amuser ou des informations sur la façon dont les muscles de votre visage bougent et modifient la forme de vos traits lorsque vous êtes de bonne humeur.

En rassemblant une quantité stupéfiante de points de données sur chaque personne, minute par minute, le Big Data peut faire des prédictions très précises sur le comportement humain, et ces prédictions sont ensuite “vendues aux entreprises clientes qui veulent maximiser notre valeur pour leur entreprise”, explique M. Zuboff.

Votre existence entière – même vos humeurs changeantes, déchiffrées par un logiciel de reconnaissance faciale – est devenue une source de revenus pour de nombreuses entreprises technologiques. Vous pouvez penser que vous avez votre libre arbitre mais, en réalité, vous êtes habilement manœuvré et amené à faire (et généralement à acheter) ou à penser quelque chose que vous n’auriez peut-être pas fait, acheté ou pensé autrement…

Les expériences de contagion de Facebook

Dans le documentaire, Zuboff met en lumière les “expériences de contagion” massives de Facebook3,4, dans lesquelles l’entreprise a utilisé des signaux subliminaux et des manipulations du langage pour voir si elle pouvait rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement réel hors ligne. Il s’avère que c’est possible. Ces expériences ont permis de tirer deux conclusions essentielles :

En manipulant le langage et en insérant des indices subliminaux dans le contexte en ligne, ils peuvent modifier le comportement et les émotions dans le monde réel.

Ces méthodes et pouvoirs peuvent être exercés “en contournant la conscience de l’utilisateur”.

Dans la vidéo, Zuboff explique également comment le jeu en ligne Pokemon Go – qui a en fait été créé par Google – a été conçu pour manipuler le comportement et l’activité du monde réel à des fins lucratives. Elle décrit également le stratagème dans son article du New York Times, en disant :

“Les joueurs du jeu ne savaient pas qu’ils étaient des pions dans un véritable jeu de modification du comportement à des fins lucratives, car les récompenses et les punitions liées à la chasse à des créatures imaginaires étaient utilisées pour attirer les gens vers les McDonald’s, les Starbucks et les pizzerias locales qui payaient l’entreprise pour les “passages”, exactement de la même manière que les annonceurs en ligne payent pour les “clics” vers leurs sites web.”

Vous êtes manipulé tous les jours d’innombrables façons.

Zuboff passe également en revue ce que nous avons appris du scandale de Cambridge Analytica. Cambridge Analytica est une entreprise de marketing politique qui, en 2018, a utilisé les données Facebook de 80 millions d’Américains pour déterminer les meilleures stratégies de manipulation des électeurs américains.

Christopher Wylie, désormais ancien directeur de la recherche de Cambridge Analytica, a dénoncé les méthodes de l’entreprise. Selon Wylie, ils avaient tellement de données sur les gens qu’ils savaient exactement comment déclencher la peur, la rage et la paranoïa chez un individu donné. Et, en déclenchant ces émotions, ils pouvaient les manipuler pour qu’ils consultent un certain site web, rejoignent un certain groupe et votent pour un certain candidat.

La réalité est donc que des entreprises comme Facebook, Google et des tiers de toutes sortes ont le pouvoir – et utilisent ce pouvoir – de cibler vos démons intérieurs personnels, de vous déclencher et de profiter de vous lorsque vous êtes le plus faible ou le plus vulnérable pour vous inciter à agir de manière à les servir, commercialement ou politiquement. C’est certainement quelque chose à garder à l’esprit lorsque vous surfez sur le web et les sites de médias sociaux.

“Il y a seulement une minute, nous n’avions pas beaucoup de ces outils, et nous étions bien”, dit Zuboff dans le film. “Nous vivions des vies riches et bien remplies. Nous avions des liens étroits avec nos amis et notre famille.

Cela dit, je tiens à reconnaître que le monde numérique apporte beaucoup à nos vies, et nous méritons d’avoir tout cela. Mais nous méritons de l’avoir sans payer le prix du capitalisme de surveillance.

Les citoyens du 21e siècle ne devraient pas avoir à choisir entre passer à l’analogique ou vivre dans un monde où notre autodétermination et notre vie privée sont détruites au nom de cette logique de marché. C’est inacceptable.

Ne soyons pas non plus naïfs. Vous mettez les mauvaises personnes au sein de notre gouvernement, à n’importe quel moment, et elles regardent par-dessus leurs épaules les riches possibilités de contrôle offertes par ces nouveaux systèmes.

Il viendra un moment où, même en Occident, même dans nos sociétés démocratiques, notre gouvernement sera tenté d’annexer ces capacités et de les utiliser sur nous et contre nous. Ne soyons pas naïfs à ce sujet.

Lorsque nous décidons de résister au capitalisme de surveillance – à l’heure actuelle, lorsqu’il est dans la dynamique du marché – nous préservons également notre avenir démocratique, ainsi que le type de contrepoids dont nous aurons besoin à l’avenir dans une civilisation de l’information si nous voulons préserver la liberté et la démocratie pour une autre génération.”

La surveillance devient de plus en plus effrayante

Mais la surveillance et la collecte de données ne s’arrêtent pas à ce que vous faites en ligne. Le Big Data veut aussi avoir accès à vos moments les plus intimes – ce que vous faites et comment vous vous comportez dans l’intimité de votre maison, par exemple, ou dans votre voiture. M. Zuboff raconte comment on a découvert que le système de sécurité Nest de Google était équipé d’un microphone caché qui ne figurait sur aucun des schémas de l’appareil.

“Les voix sont ce que tout le monde recherche, tout comme les visages”, explique M. Zuboff.

Les données vocales, et toutes les informations fournies par vos conversations quotidiennes, sont extrêmement précieuses pour le Big Data, et viennent enrichir ses capacités de modélisation prédictive en constante expansion.

Mme Zuboff explique également comment ces types de dispositifs de collecte de données et forcent les utilisateurs à donner leur consentement en prenant en “otage” la fonctionnalité de l’appareil si vous ne voulez pas que vos données soient collectées et partagées.

Par exemple, les thermostats Nest de Google collecteront des données sur votre utilisation et les partageront avec des tiers, qui les partageront avec des tiers et ainsi de suite à l’infini – et Google n’assume aucune responsabilité pour ce que ces tiers pourraient faire de vos données.

Vous pouvez refuser cette collecte de données et ce partage avec des tiers, mais si vous le faites, Google ne prendra plus en charge la fonctionnalité du thermostat ; il ne mettra plus à jour votre logiciel et pourra affecter la fonctionnalité d’autres appareils liés, comme les détecteurs de fumée.

Deux universitaires qui ont analysé le contrat du thermostat Nest de Google ont conclu qu’un consommateur un tant soit peu vigilant quant à l’utilisation de ses données de consommation devrait examiner 1 000 contrats de confidentialité avant d’installer un seul thermostat dans sa maison.

Les voitures modernes sont également équipées de multiples caméras qui alimentent le Big Data. Comme indiqué dans le film, la nouvelle voiture moyenne est équipée de 15 caméras, et si vous avez accès aux données d’à peine 1 % de toutes les voitures, vous avez “connaissance de tout ce qui se passe dans le monde”.

Bien sûr, ces caméras vous sont vendues comme faisant partie intégrante de nouveaux dispositifs de sécurité, mais vous payez cette sécurité supplémentaire avec votre vie privée et celle de tous ceux qui vous entourent.

Les mesures pandémiques érodent rapidement la vie privée

La pandémie actuelle de coronavirus utilise également la “sécurité” comme moyen de démanteler la vie privée. Comme le rapporte le New York Times, le 23 mars 2020 :5

“En Corée du Sud, les agences gouvernementales exploitent les images des caméras de surveillance, les données de localisation des smartphones et les relevés d’achats par carte de crédit pour aider à retracer les mouvements récents des patients atteints de coronavirus et établir les chaînes de transmission du virus.

En Lombardie, en Italie, les autorités analysent les données de localisation transmises par les téléphones portables des citoyens pour déterminer combien de personnes obéissent à un ordre de confinement gouvernemental et les distances types qu’elles parcourent chaque jour. Environ 40 % d’entre eux se déplacent “trop”, a récemment déclaré un responsable.

En Israël, l’agence de sécurité intérieure du pays est sur le point de commencer à utiliser une base de données de localisation des téléphones portables – initialement destinée aux opérations de lutte contre le terrorisme – pour tenter de localiser les citoyens qui ont pu être exposés au virus.

Alors que les pays du monde entier s’efforcent d’endiguer la pandémie, nombre d’entre eux déploient des outils de surveillance numérique pour exercer un contrôle social, allant jusqu’à utiliser les technologies des agences de sécurité sur leurs propres civils…

Pourtant, renforcer la surveillance pour combattre la pandémie maintenant pourrait ouvrir définitivement les portes à des formes plus invasives d’espionnage plus tard. C’est une leçon que les Américains ont apprise après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, selon les experts en libertés civiles.

Près de vingt ans plus tard, les forces de l’ordre ont accès à des systèmes de surveillance plus puissants, tels que la géolocalisation et la reconnaissance faciale – des technologies qui peuvent être utilisées à des fins politiques …

Nous pourrions très facilement nous retrouver dans une situation où nous donnons au gouvernement local, étatique ou fédéral le pouvoir de prendre des mesures en réponse à cette pandémie qui modifient fondamentalement la portée des droits civils américains”, a déclaré Albert Fox Cahn, directeur exécutif du Surveillance Technology Oversight Project, une organisation à but non lucratif de Manhattan.”

L’humanité à la croisée des chemins

Zuboff évoque également son travail dans une tribune libre publiée le 24 janvier 2020 dans le New York Times.6,7 “Vous êtes désormais contrôlés à distance. Les capitalistes de la surveillance contrôlent la science et les scientifiques, les secrets et la vérité “, écrit-elle, poursuivant :

“Nous pensions que nous recherchions Google, mais nous comprenons maintenant que Google nous recherche.

Nous supposions que nous utilisions les médias sociaux pour nous connecter, mais nous avons appris que la connexion est la façon dont les médias sociaux nous utilisent.

Nous nous demandions à peine pourquoi notre nouveau téléviseur ou matelas avait une politique de confidentialité, mais nous avons commencé à comprendre que les politiques de ‘confidentialité’ sont en fait des politiques de surveillance…

La vie privée n’est pas privée, car l’efficacité des systèmes de surveillance et de contrôle dépend des parties de nous-mêmes que nous abandonnons – ou qui nous sont secrètement volées.

Notre siècle numérique aurait dû être l’âge d’or de la démocratie.

Au lieu de cela, nous entrons dans sa troisième décennie, marquée par une nouvelle forme d’inégalité sociale que l’on peut qualifier d’”inégalité épistémique” … des asymétries extrêmes de la connaissance et du pouvoir qui en découle, alors que les géants de la technologie prennent le contrôle de l’information et de l’apprentissage lui-même …

Les capitalistes de la surveillance exploitent l’inégalité croissante de la connaissance au nom du profit. Ils manipulent l’économie, notre société et même nos vies en toute impunité, mettant en danger non seulement la vie privée des individus mais aussi la démocratie elle-même …

Pourtant, les vents semblent avoir finalement tourné. Une nouvelle prise de conscience fragile est en train de naître … Les capitalistes de la surveillance sont rapides parce qu’ils ne recherchent ni le consentement authentique ni le consensus. Ils s’appuient sur l’engourdissement psychique et les messages d’inévitabilité pour susciter l’impuissance, la résignation et la confusion qui paralysent leurs proies.

La démocratie est lente, et c’est une bonne chose. Son rythme reflète les dizaines de millions de conversations qui ont lieu… et qui réveillent progressivement le géant endormi de la démocratie.

Ces conversations ont lieu maintenant, et de nombreux signes indiquent que les législateurs sont prêts à se joindre à eux et à diriger. Cette troisième décennie sera probablement déterminante pour notre avenir. Améliorerons-nous l’avenir numérique ou le rendra-t-il pire ? “8,9

Inégalité épistémique

L’inégalité épistémique fait référence à l’inégalité dans ce que vous êtes en mesure d’apprendre.

“Elle se définit comme l’inégalité d’accès à l’apprentissage imposée par les mécanismes commerciaux privés de capture, de production, d’analyse et de vente de l’information. Elle est parfaitement illustrée par l’abîme qui se creuse rapidement entre ce que nous savons et ce que l’on sait de nous”, écrit Mme Zuboff dans sa tribune publiée dans le New York Times.10

Google, Facebook, Amazon et Microsoft ont été le fer de lance de la transformation du marché de la surveillance, se plaçant au sommet de la hiérarchie épistémique. Ils savent tout de vous et vous ne savez rien d’eux. Vous ne savez même pas ce qu’ils savent de vous.

“Ils ont opéré dans l’ombre pour amasser d’énormes monopoles de connaissances en prenant sans demander, une manœuvre que tout enfant reconnaît comme un vol”, écrit Zuboff.

“Le capitalisme de surveillance commence par revendiquer unilatéralement l’expérience humaine privée en tant que matière première gratuite à traduire en données comportementales. Nos vies sont transformées en flux de données.”

Ces flux de données vous concernent, mais ne sont pas pour vous. Tout cela est utilisé contre vous – pour vous séparer de votre argent, ou pour vous faire agir d’une manière qui soit d’une certaine façon profitable à une entreprise ou à un programme politique. Alors, demandez-vous, où est votre liberté dans tout cela ?

Ils vous font danser à leur rythme

Si une entreprise peut vous inciter à acheter des produits dont vous n’avez pas besoin en diffusant une publicité personnalisée et séduisante pour un produit dont elle sait qu’il vous donnera confiance au moment précis où vous vous sentez peu sûr de vous ou sans valeur (une tactique qui a été testée et perfectionnée11), agissez-vous vraiment par votre libre arbitre ?

Si une intelligence artificielle utilisant la modélisation prédictive détecte que vous avez faim (sur la base d’une variété d’indices tels que votre localisation, vos expressions faciales et verbales) et vous envoie une publicité d’un restaurant local au moment même où vous décidez d’aller manger, faites-vous vraiment des choix de vie conscients, autodéterminés et basés sur des valeurs ? Comme le note Zuboff dans son article :12

“L’inégalité des connaissances sur nous produit une inégalité de pouvoir sur nous, et donc l’inégalité épistémique s’élargit pour inclure la distance entre ce que nous pouvons faire et ce qui peut nous être fait. Les scientifiques des données décrivent cela comme le passage de la surveillance à l’actionnement, dans lequel une masse critique de connaissances sur un système de machine permet le contrôle à distance de ce système.

Désormais, les gens sont devenus des cibles pour le contrôle à distance, car les capitalistes de la surveillance ont découvert que les données les plus prédictives proviennent de l’intervention dans le comportement pour régler, rassembler et modifier l’action dans le sens des objectifs commerciaux.

Ce troisième impératif, les “économies d’action”, est devenu un terrain d’expérimentation intense. Nous apprenons à écrire la musique”, a déclaré un scientifique, “et ensuite nous laissons la musique nous faire danser”…

Le fait est qu’en l’absence de transparence des entreprises et de contrôle démocratique, l’inégalité épistémique règne. Ils savent. Ils décident de qui sait. Ils décident de qui décide. L’intolérable désavantage du public en matière de connaissances est aggravé par la perfection des communications de masse des capitalistes de la surveillance, qui en font un éclairage par le gaz….

Le 30 avril 2019, Mark Zuckerberg a fait une annonce spectaculaire lors de la conférence annuelle des développeurs de l’entreprise, déclarant :

” L’avenir est privé. Quelques semaines plus tard, un avocat plaidant de Facebook s’est présenté devant un juge fédéral de district en Californie pour contrecarrer une action en justice d’un utilisateur pour atteinte à la vie privée, arguant que l’acte même d’utiliser Facebook annule toute attente raisonnable en matière de vie privée ‘en droit’.”

Nous avons besoin d’un tout nouveau cadre réglementaire

Dans la vidéo, M. Zuboff souligne qu’il n’existe aucune loi pour mettre un frein à ce tout nouveau type de capitalisme de surveillance, et que la seule raison pour laquelle il a pu prospérer au cours des 20 dernières années est l’absence de lois à son encontre, principalement parce qu’il n’a jamais existé auparavant.

C’est le problème de l’inégalité épistémique. Google et Facebook étaient les seuls à savoir ce qu’ils faisaient. Le réseau de surveillance s’est développé dans l’ombre, à l’insu du public ou des législateurs.

Si nous nous étions battus contre lui pendant deux décennies, nous aurions peut-être dû nous résigner à la défaite, mais en l’état actuel des choses, nous n’avons même pas essayé de le réglementer.

Selon M. Zuboff, cela devrait nous donner de l’espoir. Nous pouvons renverser la situation et récupérer notre vie privée, mais nous avons besoin d’une législation qui réponde à la réalité de l’ampleur et de la profondeur du système de collecte de données. Il ne suffit pas de s’attaquer aux données que nous savons que nous donnons lorsque nous sommes en ligne. Zuboff écrit :13

“Ces contestations du XXIe siècle exigent un cadre de droits épistémiques inscrits dans la loi et soumis à une gouvernance démocratique.

De tels droits interrompraient les chaînes d’approvisionnement en données en sauvegardant les limites de l’expérience humaine avant qu’elles ne soient attaquées par les forces de la datafication.

Le choix de transformer n’importe quel aspect de la vie d’une personne en données doit appartenir aux individus en vertu de leurs droits dans une société démocratique.

Cela signifie, par exemple, que les entreprises ne peuvent pas revendiquer le droit à votre visage, ni utiliser votre visage comme matière première gratuite pour l’analyse, ni posséder et vendre des produits informatiques dérivés de votre visage…

Tout ce qui est fait par les humains peut être défait par les humains. Le capitalisme de surveillance est jeune, il a à peine 20 ans, mais la démocratie est ancienne, enracinée dans des générations d’espoir et de contestation.

Les capitalistes de la surveillance sont riches et puissants, mais ils ne sont pas invulnérables. Ils ont un talon d’Achille : la peur.

Ils craignent les législateurs qui ne les craignent pas. Ils craignent les citoyens qui exigent une nouvelle voie à suivre, tout en insistant sur les nouvelles réponses aux anciennes questions : Qui saura ? Qui décidera qui sait ? Qui décidera qui décide ? Qui écrira la musique, et qui dansera ?”

Comment protéger votre vie privée en ligne

S’il ne fait aucun doute que nous avons besoin d’un tout nouveau cadre législatif pour mettre un frein au capitalisme de surveillance, en attendant, il existe des moyens de protéger votre vie privée en ligne et de limiter les “surplus de données comportementales” recueillies à votre sujet.

Robert Epstein, psychologue chercheur principal à l’American Institute of Behavioral Research and Technology, recommande de prendre les mesures suivantes pour protéger votre vie privée :14

Utilisez un réseau privé virtuel (VPN) tel que NordVPN, qui ne coûte qu’environ 3 dollars par mois et peut être utilisé sur un maximum de six appareils. À mon avis, c’est une nécessité si vous cherchez à préserver votre vie privée. Epstein explique :

“Lorsque vous utilisez votre téléphone portable, votre ordinateur portable ou votre ordinateur de bureau de manière habituelle, votre identité est très facile à voir pour Google et d’autres entreprises. Ils peuvent la voir via votre adresse IP, mais il existe de plus en plus de moyens beaucoup plus sophistiqués de savoir que c’est vous. L’un d’entre eux s’appelle l’empreinte digitale du navigateur.

C’est quelque chose de très inquiétant. En fait, le type de navigateur que vous possédez et la façon dont vous l’utilisez sont comme une empreinte digitale. Vous utilisez votre navigateur d’une manière unique, et juste par la façon dont vous tapez, ces entreprises peuvent maintenant vous identifier instantanément.

Brave offre une certaine protection contre l’empreinte digitale du navigateur, mais vous devez vraiment utiliser un VPN. Ce que fait un VPN, c’est que tout ce que vous faites passe par un autre ordinateur, ailleurs. Cela peut être n’importe où dans le monde, et il existe des centaines de sociétés proposant des services VPN. Celle que je préfère actuellement s’appelle Nord VPN.

Vous téléchargez le logiciel, l’installez, comme vous installez n’importe quel logiciel. C’est incroyablement facile à utiliser. Vous n’avez pas besoin d’être un technicien pour utiliser Nord, et il vous montre une carte du monde et vous cliquez simplement sur un pays.

Le VPN donne l’impression que votre ordinateur n’est pas votre ordinateur. Il crée une sorte de fausse identité pour vous, et c’est une bonne chose. Maintenant, très souvent, je vais passer par les ordinateurs de Nord aux États-Unis. Il faut parfois le faire, sinon on ne peut pas faire certaines choses. PayPal n’aime pas que vous soyez dans un pays étranger par exemple.”

Nord, lorsqu’il est utilisé sur votre téléphone portable, masquera également votre identité lorsque vous utiliserez des applications comme Google Maps.

N’utilisez pas Gmail, car chaque courriel que vous écrivez est stocké de façon permanente. Il devient une partie de votre profil et est utilisé pour construire des modèles numériques de vous, ce qui leur permet de faire des prédictions sur votre ligne de pensée et chaque envie et désir.

De nombreux autres systèmes de messagerie électronique plus anciens, comme AOL et Yahoo, sont également utilisés comme plateformes de surveillance, de la même manière que Gmail.

ProtonMail.com, qui utilise un cryptage de bout en bout, est une excellente alternative et le compte de base est gratuit.

N’utilisez pas le navigateur Chrome de Google, car tout ce que vous y faites est surveillé, y compris les frappes au clavier et toutes les pages Web que vous avez visitées. Brave est une excellente alternative qui prend la confidentialité au sérieux.

Brave est également plus rapide que Chrome et supprime les publicités. Il est basé sur Chromium, la même infrastructure logicielle que Chrome, de sorte que vous pouvez facilement transférer vos extensions, vos favoris et vos signets.

N’utilisez pas Google comme moteur de recherche, ni aucune extension de Google, comme Bing ou Yahoo, qui tirent tous deux leurs résultats de recherche de Google.

Il en va de même pour l’assistant personnel Siri de l’iPhone, qui tire toutes ses réponses de Google.

Les moteurs de recherche alternatifs suggérés par Epstein incluent SwissCows et Qwant.

Il recommande d’éviter StartPage, car il a été récemment racheté par une société de marketing en ligne agressive, qui, comme Google, dépend de la surveillance.

N’utilisez pas de téléphone portable Android, pour toutes les raisons évoquées précédemment. Epstein utilise un BlackBerry, qui est plus sûr que les téléphones Android ou l’iPhone. Selon lui, le prochain modèle de BlackBerry, le Key3, sera l’un des téléphones portables les plus sécurisés au monde.

N’utilisez pas les appareils Google Home dans votre maison ou votre appartement – Ces appareils enregistrent tout ce qui se passe chez vous, qu’il s’agisse de paroles ou de sons tels que se brosser les dents ou faire bouillir de l’eau, même lorsqu’ils semblent inactifs, et renvoient ces informations à Google.

Les téléphones Android écoutent et enregistrent également en permanence, tout comme Nest, le thermostat domestique de Google, et Alexa d’Amazon.

Effacez votre cache et vos cookies – Comme l’explique Epstein dans son article :15

“Les entreprises et les pirates de toutes sortes installent constamment du code informatique invasif sur vos ordinateurs et vos appareils mobiles, principalement pour vous surveiller mais parfois à des fins plus infâmes.

Sur un appareil mobile, vous pouvez effacer la plupart de ces déchets en allant dans le menu des paramètres de votre navigateur, en sélectionnant l’option “confidentialité et sécurité”, puis en cliquant sur l’icône qui efface votre cache et vos cookies.

Avec la plupart des navigateurs d’ordinateurs portables et de bureau, le fait de maintenir trois touches enfoncées simultanément – CTRL, MAJ et DEL – vous permet d’accéder directement au menu correspondant ; j’utilise cette technique plusieurs fois par jour sans même y penser.

Vous pouvez également configurer les navigateurs Brave et Firefox pour qu’ils effacent automatiquement votre cache et vos cookies à chaque fois que vous fermez votre navigateur.”

N’utilisez pas Fitbit, car il a été récemment acheté par Google et leur fournira toutes vos informations physiologiques et vos niveaux d’activité, en plus de tout ce que Google possède déjà sur vous.

Sources et References




L’opération psychologique spéciale « CoqueVide/19 », l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Publié le 17 novembre 2022

C’est une compilation, pêle-mêle, de tous mes écrits, à la pelle nourricière – et à l’appel des Muses – sur Xochipelli.fr

Voici une présentation de tous mes Essais, Cantos, Traductions, rédigés depuis mars 2020. Ils concernent l’opération psychologique spéciale que j’ai sur-nommée “CoqueVide/19”, l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche. Ils concernent, également, la mise en exergue des différents vecteurs technologiques que les Globalistes tentent de mettre en place afin de chimériser l’Humain. Il s’agit,  principalement, des nano-particules et des nano-technologies – dont la graphénisation universelle de tous les secteurs de la vie quotidienne… en synergie avec le déploiement de la 5G. 

Cette compilation présente 57 liens vers des essais, des dossiers, des Cantos, etc. Elle n’inclut pas 34 très longues monographies médicinales rédigées durant la même période. Manifestement les Muses m’inspirent et je les expire par tous les pores de mon écriture. 

Cette compilation est pêle-mêle du point de vue de la thématique car elle est, strictement, chronologique. En “annexes”, j’ai rajouté deux de mes Cantos satiriques,  de 2018, très prophétiques, si je puis, quant au déroulement des “événements” de ces trois dernières années. J’ai, également, rajouté mes essais portant sur les insectes chimériques, sur l’alimentation insectivore et sur la, mal-nommée, agriculture cellulaire car ces abominations hyper-technologiques, et synthétiques, sont annonciatrices de la Famine en Marche. 

L’objectif de cette compilation n’est pas d’auto-fortifier mes territoires de gratification, comme l’écrivait Henri Laborit… car je suis au Plaisir de la Mère. Il est de faciliter l’accès à une source abondante et généreuse d’informations eu égard à la Guerre ouverte à l’encontre de tous les Peuples. 

Ces informations sont, de plus, totalement gratuites… et je ne propose même pas de T-shirts à la vente. Par contre, quant aux T-shirts, il est vrai que notre fille Laetitia en fait de superbes au service des activistes de France… avec la Jacquerie – très proche, dans l’Ariège, de l’Association Kokopelli. 

Mon dernier ouvrage – publié à l’automne 2019, peu avant le début de la fausse pandémie orchestrée, en France, par la PharMacronie – sera, enfin, bientôt disponible à la vente : Los Cantos de Xochi


“De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales.” Décembre 2022 :

Déclaration d’Intentions

Après avoir posté mon dernier très volumineux dossier sur la Chitinisation des Peuples, et alors que je contemplais, dans l’atmosphère de mon foyer, des volutes de fumée de ganja tentant de contre-balancer les contaminations des chemtrails nano-technologiques – mon Rigpa m’a informé qu’il était fort probable que l’oxyde de graphène, ou toute autre forme de graphène, soit au menu, occulte, des “viandes cellulaires, en 3D”… qui sont annoncées comme étant le summum de la révolution alimentaire durable, circulaire, éco-friendly, blablabla. Et que le graphène soit, sans doute même, au coeur de certaines viandes animales… Je suis alors parti en quête… et cette quête fut fructueuse.

Aujourd’hui, nous assistons à un accroissement cellulaire – hyperbolique et hystérique –  de start-ups se lançant dans l’aventure des viandes cellulaires… et autres abominations, prétendument alimentaires, “cultivées” en cuves métalliques à partir de cellules-souches – de boeuf, de canard, de homard, de crevette… Ces soupes cellulaires sont nourries avec des levures transgéniques chimériques (et moult autres substances industrielles) et elles sont structurées par des hydrogels, ou autres polymères, constitués de nano-substances tout autant industrielles – et toxiques. 

Les “viandes cellulaires” sont, également, dénommées “viandes en 3D”, “viandes cultivées”, “viandes synthétiques”, “viande in vitro”, “viandes de laboratoire”,“fausses viandes”, “fake meats”, et, même, “viandes propres”…

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “New Green Deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?

Les “viandes synthétiques” constituent un élément fondamental de la “4ème révolution industrielle” du dément Klaus Schwab et, tous les jours, je prie la Terre-Mère afin qu’elle active la Grande Réinitialisation, terminale, de cet ignoble eugéniste – une forme de Grand Reset sans Risettes – qui se prend pour le nouveau Messie Vert, et Universel, sur Terre.

Mon intention déclarée et transparente, pour cet essai,  est de mettre en exergue que certains de ces hydrogels, ou autres polymères, sont, déjà, à base d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, ou autres dérivés de graphène, pour la confection et la structuration des dites viandes cellulaires. Il est, également, de mettre en exergue que ces hydrogels, à base de graphène, sont présents, également, dans de nombreuses viandes animales: soit dans les emballages, soit par le biais des “vaccins” animaux anti-grippes, soit en injection directe, soit dans les films “protecteurs” prétendument comestibles. 

J’affirme, de plus, que le graphène va devenir, très rapidement, l’un des éléments essentiels dans la création de tissus musculaires, ou autres tissus, dénommés “viandes cellulaires”, destinés à “l’alimentation humaine”. 

Le 17 novembre 2022, la FDA, aux USA, donnait sa première autorisation concernant la commercialisation de viande cellulaire – en l’occurence, le poulet cellulaire de Upside Foods. [53] Upside Foods fabrique de la viande cultivée par cellules en utilisant des prélèvements d’animaux vivants ainsi que « des animaux récemment abattus qui faisaient déjà partie du système alimentaire ».

Les “prélèvements de cellules d’animaux récemment abattus” ne sont pas sans rappeler le film-culte Soleil Vert que j’ai évoqué, dans mon dernier essai Homo chimericus. Dans le cas de Soleil Vert, les prélèvements des décédés font, également, partie du système alimentaire… des non-décédés.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que la famille du graphène est, déjà, depuis une bonne douzaine d’années, l’un des éléments fondamentaux dans une pléthore d’applications médicales: vaccins, nano-vecteurs de remèdes allopathiques, senseurs, etc… dont – et c’est ce qui nous importe ici – la régénération des tissus des muscles, des os, des cartilages, des nerfs, etc.

En effet, les industriels de la viande cellulaire, ou en 3D, sont intéressés par la grande capacité de différenciation myogénique conférée par l’oxyde de graphène, ou les nano-tubes de carbone – entre autres capacités… réelles ou fabulées. 

Il leur est donc très aisé de s’associer à des firmes opérant dans le secteur des nano-fibres médicales, ou d’utiliser leurs brevets, car ces firmes ont, déjà, une quinzaine d’années de pratiques.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que le graphène – autrefois onéreux car provenant de Chine et concocté à l’aide de technologies coûteuses – est, maintenant, excessivement bon marché à la production depuis que de nouveaux procédés permettent de le fabriquer à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée. 

En janvier 2020, le graphène se vendait encore très cher: entre 67 000 et 200 000 dollars la tonne. 

Et, de le fabriquer, en particulier, grâce aux procédés révolutionnaires inventés, à l’Université Rice de Houston, au Texas, par le chimiste internationalement reconnu, James Tour. 

James Tour est l’un des 5 chimistes les plus mondialement reconnus. Par conséquent, ses prises de position sont tolérées – d’autant plus qu’il possède plus de 600 brevets – malgré qu’il professe un paradigme Yahvéiste, strictement anti-néo-Darwiniste et promouvant, même, le “Dessein Intelligent”/“Intelligent Design”. 

James Tour a totalement raison, dans sa conception de l’Evolution,  si ce n’est qu’il faille remplacer les prétentions du mythe Yahvéiste par les perceptions, et visions, authentiques, et organiques, du monde Gaïen – et, qui plus est, en fusion avec le monde Gaïen. 

Selon James Tour : 

« Le monde jette 30 à 40% de la nourriture, parce qu’elle se dégrade, et les déchets plastiques sont une préoccupation mondiale. Nous avons déjà prouvé que toute matière solide à base de carbone, y compris les déchets plastiques mélangés et les pneus en caoutchouc, peut être transformée en graphène… Essentiellement, nous piégeons les gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane, que les déchets alimentaires auraient émis dans les décharges. Nous convertissons ces carbones en graphène et nous ajoutons ce graphène au béton, réduisant ainsi la quantité de dioxyde de carbone générée par la fabrication du béton. C’est un scénario environnemental gagnant-gagnant grâce au graphène ». 

L’une des méthodes les plus prometteuses pour produire du graphène à grande échelle est l’utilisation de l’exfoliation chimique associée à la réduction chimique pour obtenir de l’oxyde de graphène réduit.

Comme le rapporte la revue Nature, le graphène flash est fabriqué en 10 millisecondes en chauffant des matériaux contenant du carbone à 3000 Kelvin (environ 2726° Celsius). Selon James Tour : 

« Le matériau source peut être presque tout ce qui contient du carbone. Selon M. Tour, les déchets alimentaires, les déchets plastiques, le coke de pétrole, le charbon, les déchets de bois et le biochar sont des candidats de choix. » 

Ainsi qu’il est précisé, le lent processus géologique – par lequel le carbone évolue vers son état fondamental, le graphite – est fortement accéléré par un pic de chaleur mais il est arrêté au bon moment, au stade du graphène.

Selon les promoteurs, et les prometteurs, du graphène, le recyclage des déchets en trésor (de graphène) est le fondement de l’économie circulaire. A savoir que les poubelles constitueraient le graphène du Futur? 

Si le contenu des poubelles quotidiennes, et les déchets en tous genres, constituent les sources du graphène du futur – dont les industriels veulent tous nous imprégner – ils ne pourront pas constituer, en même temps, la bio-masse nécessaire à l’alimentation des insectes pour la production industrielle de protéines “alternatives”. 

La bio-masse se faisant de plus en plus rare, de par la destruction programmée de l’agriculture-élevage, un jour – si les Peuples ne descendent pas dans la rue pour chasser les Prédateurs – il faudra choisir entre transformer les déchet organiques, ou les déchets plastiques, ou en graphène… ou en aliments pour insectes… ou en sources de nécro-carburants. 

Comme les nano-particules de graphène peuvent être produites à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée, il est très aisé de mentionner sur les brevets, ou autres propagandes, afférents aux viandes, et autres aliments, dits “cellulaires”, que leur confection comporte des extraits de “produits naturels” et, surtout, “non-animaux”. 

Voir par exemple cette étude, de 2016, intitulée “Graphene quantum dots from fishbone carbon nanofibers”, [65] qui porte sur la production de points quantiques de graphène à partir de nano-fibres de carbone obtenues en processant des arêtes de poisson. 

En effet, n’importe quelle bio-masse signifie: de la paille de riz, des grains de riz, de la paille de blé, de la pelouse, des excréments de chien, des champignons, des filtres de cigarette, des biscuits, du miel, des écorces d’arbre, du charbon de bois, etc, etc. Tous ces éléments permettent de fabriquer, quasiment instantanément, du graphène ou des points quantiques de carbone. 

Voir la méga-étude récente, de septembre 2021, intitulée “A Review of Graphene: Material Synthesis from Biomass Sources”. [33]

Il existe une autre méthode ayant recours à des températures inférieures à celles utilisées par James Tour au Texas. Durant ce processus, la lumière du soleil est concentrée, par une lentille biconvexe, pour former un point lumineux focalisé, avec une température élevée supérieure à 1000°C, qui peut directement convertir les pelures de fruits en nano-feuilles de graphène – en 2 à 3 secondes.

Voir l’étude, de juillet 2022, intitulée “Concentrated Solar Induced Graphene” [41] qui a recours à des pelures de banane, de melon, de noix de coco, d’orange, etc.

En conclusion de cette Déclaration d’Intentions. Il est possible, aujourd’hui, que je dissémine des informations précieuses, “dans le désert des embouteillages”, comme le chantait Jacques Higelin… dont les hurlements de révolte animèrent notre jeunesse fougueuse…

… et très fugueuse eu égard au paradigme mortifère de la démocratie déliquescente. 

En effet, je comprends fort bien que d’aucuns ne veuillent pas s’intéresser à cette problématique… affirmant qu’ils ne toucheront jamais à cette sorte de “nourriture” que constituent les “viandes cellulaires” – tout autant que les “viandes végétales” et les “viandes insectueuses”. 

Mais se sont-ils posé la question de savoir si les dérivés du graphène ne contamineraient-pas, également, les viandes animales ?

Nonobstant, à moins que l’on ne consomme que des produits agricoles issus de l’agriculture biologique – et encore – il est certain que plus personne, dans nos sociétés modernes, ne peut retracer la totalité des substances qui sont introduites dans la nourriture quotidienne des populations – souvent à leur insu. Et c’est sans évoquer la problématique criminelle des Chemtrails qui constituent, en soi, un énorme dossier d’investigations.

Je précise “et encore” pour l’agriculture biologique car, depuis la rachat d’un très grand nombre d’entreprises bios par la mafia des multinationales alimentaires, on ne peut être sûr de rien… si ce n’est que l’appât du gain soit le moteur de leur rachat. Voir mes quelques essais sur la “Bio Piratée” – sur le blog de l’Association Kokopelli.

Cultivez votre jardin et prenez-en de la graine!

Aujourd’hui, si les multinationales de l’alimentaire, les banques, les fonds financiers, etc, (et autres Banksters), investissent lourdement dans l’industrie des fausses viandes – à base d’insectes, de plantes chimérisées, de levures chimériques, de cellules de souche… – c’est que le mot d’ordre a été lancé. Par qui? Par Klaus Schwab, et son gang de voyous mafieux, du Forum Economique Mondial.

On retrouve, sur la web, des photographies de Klaus Schwab et du président Mitterrand, datant de 1976. Cette fripouille a trainé dans les anti-chambres présidentielles Françaises depuis un demi-siècle. Tout comme son comparse Attali, Jacques a dit, dont le bon élève de l’opposition contrôlée, Juan Branco, sévit sur les réseaux sociaux depuis quelques années – en se prétendant le pourfendeur de Macron et l’avocat des pauvres… sur mode de litanie salvatrice Marxiste, et Bolchévique, perpétuellement réchauffée depuis 1848.  A quand l’invitation de Juan Branco, au titre des Jeunes Leaders adoubés par Klaus Schwab?

Fin 2021, il y avait, déjà, plus d’une centaine d’entreprises de production de viande cellulaire et de produits de la mer cellulaire.  Il y en aura, bientôt, plusieurs centaines si les Peuples laissent le gang de voyous, formés par Klaus Schwab, en position d’Autorités. Et c’est sans évoquer les autres centaines de firmes, dans le monde, produisant, en cuves métalliques, du faux lait, des faux oeufs, de la viande à base de plantes, des faux poissons, des fausses crevettes, de la fausse soie, de multiples produits à base d’insectes, etc, ad nauseam. Sans oublier, la fausse artémisinine et le faux THC!!

Ce sont, ainsi, des milliards d’euros d’argent public qui sont investis dans toutes ces productions industrielles dites alimentaires… pendant que l’orchestration de la destruction du secteur de l’agriculture-élevage est en cours… 

… et, par conséquent, l’Orchestration de la Famine Pandémique. 

Au sujet de l’intitulé de mon nouveau cycle d’essais :
“Orchestration de la Famine Pandémique”

Ce présent essai est le quatrième de ma nouvelle séquence dénommée “Orchestration de la Famine Pandémique”. Le premier essai s’intitule “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?” [78]; le second essai s’intitule “Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté” [77]; et le troisième s’intitule “Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” [76].

Je titre “Orchestration de la Famine Pandémique”, pour mes quatre derniers dossiers, volumineux, publiés en cette année 2022, en redonnant au terme “Pandémie” sa signification étymologique authentique – et essentielle. 

En effet, le terme “Pandémie” signifie, tout simplement, “le Peuple entier”, “tout le Peuple”, “l’intégralité du Peuple” – ou, même, “tous les Peuples”… lorsque notre imagination s’enflamme aux cris de l’Insurrection en Marche. 

“Pandémie” est issu des termes Grecs: “πᾶν, pân” et “δῆμος, dễmos” signifiant “tout” et “Peuple”. 

C’est en 1666, sans plaisanter, qu’est apparu, pour la première fois, le terme “Pandemic” dans l’ouvrage du médecin Anglais, Gideon Harvey (le père), intitulé “Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions” – en relation avec une pathologie qui serait généralisée.

En fait, Gideon Harvey, utilisa deux termes “Pan­demick” et “Endemick”. Endémique, quant à lui, provient du Grec “ἐνδημία/endêmía” signifiant “séjour” et du Grec “ἔνδημος/éndêmos” signifiant “Indigène” – à savoir “ἐν/en pour “dans” et “δῆμος/dễmos” pour “peuple”. Endémique signifie, littéralement, “dans le Peuple”. 

Il est important de souligner la parenté de ces deux termes, Indigène et Séjour, dans l’esprit des travaux de Lev Gumilev sur l’Ethnogenèse.

Le médecin Gideon Harvey l’utilisa une seule fois, plus précisément, dans le texte suivant, au chapitre 1 : «… which instances do evidently bring a Consumption under the notion of a Pan­demick, or Endemick, or rather a Vernacular Disease (a disease alwayes reigning in a Countrey) to England; that is a common disease owing its rise to some common ex­ternal and perennal (lasting all the year) cause of a Countrey; as a Consumptive Air, or a Consumptive Dyet. viz. eating much Flesh, drinking Hopt drink, &c ».

Subséquemment, ce terme “Pandémie” ne serait apparu qu’en 1752, dans la langue Française – dans le dictionnaire de Trévoux. Selon la définition actuelle du Larousse, une pandémie serait une “Épidémie étendue à toute la population d’un continent, voire au monde entier”. 

Cette définition n’a strictement rien à voir avec l’essence de terme “pandémique” et elle ne peut qu’aggraver les syndromes de dissonance cognitive induits, chez les populations, par de multiples campagnes mensongères, et génocidaires, totalement fondées sur la peur. 

Ainsi, par exemple, les manipulations de l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, eu égard à ce concept de “pandémie”, ont été orchestrées par ses directeurs Tedros Adhanom Ghebreyesus et Soumya Swaminathan – la fille de l’archi-criminel Mankombu Sambasivan Swaminathan, le père de la pseudo “Révolution Verte” en Inde, un grand allié de Monsanto et de la Mafia Agro-Pharma.

D’ailleurs, n’est-il pas surprenant, sur le plan des synchronicités pandémiques, que c’est, également, en cette année fatidique, 1666, qu’apparut, ex judaismo – en Turquie, à Izmir – Sabbatai Zevi, un nouveau Messie qui prenait sa tête de Turc pour une incarnation divine… et qui déclencha une nouvelle pandémie, messianique, dans toute l’Europe – dont les répercussions génocidaires se font encore sentir de nos jours.

En effet, certains individus, au comportement très psychopathique, souffrent, manifestement, d’un syndrome virosant de “délégation divine” qui les incite à tout contrôler, à tout réglementer, à tout posséder, à tout voler, à tout spolier – et à eugéniser et génocider les Peuples… selon leur bon vouloir. Il est à noter que les plus virosés d’entre eux se prétendent, même, des êtres humains divinisés sur Terre.

Si d’aucuns ressentent quelque doute concernant ma vision globale, il ne leur est que d’écouter les déclarations récentes de Yuval Noah Harari, le guru psychopathe et  autiste de Klaus Schwab, qui va jusqu’à déclarer que le Forum Economique Mondial a eu tellement de succès, dans ses entreprises, qu’il en a acquis des pouvoirs divins de création et de destruction. Historiquement, cette prétention à un droit divin, sur les Nations, ne date pas de Yuval Noah Harari: elle remonte au Deutéronum mais elle est, aujourd’hui, publiquement, et ouvertement, proclamée – du moins, pour ceux qui ont des oreilles pour entendre.

En fait, Yuval Noah Harari est, intimement, convaincu que lui-même, Klaus Schwab – et d’autres dans leurs rangs et “castes” – n’ont plus besoin d’attendre un quelconque Messie car ils constituent, eux-mêmes, des divinités incarnées sur Terre. Et quelle serait leur mission? 

Leur mission “divine” est “justement”, comme diraient les Tzaddik, de conduire les troupeaux humains bêlants vers un statut, non pas divinisé, mais “augmenté” – à savoir, “augmenté” parce que connecté à la Toile par la 5G. Il s’agit, intrinsèquement, de chimériser la destinée d’une entité, anciennement “humaine”, dont le biologique aura fusionné avec l’électronique par le biais de nano-particules métalliques – dont, principalement, des dérivés du graphène – de dérivés de chitine et, peut-être, même, par le recours à de l’ADN synthétique. 

Klaus Schwab, le grand prêtre du Tikun Olam nano-technologique, au parfum de graphène, a même affirmé que si les Humains l’écoutent : « ils ne posséderont rien, ils seront graphénisés, ils seront fusionnés avec le Réseau… et ils seront Heureux ». 

Production de viande cellulaire, durable, circulaire, nutritive,
éco-friendly, sans souffrances animales, etc.

Que contiennent les viandes cellulaires – en sus, potentiellement, de dérivés de graphène, de chitosane et d’ADN synthétique? 

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation?

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments. 

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire: le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

Tout d’abord, des cellules souches embryonnaires; des cellules mésenchymateuses; des cellules souches totipotentes; des cellules souches multipotentes; des cellules souches pluripotentes; des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription); des cellules souches adultes; des cellules souches satellites; des progéniteurs fibro-adipogéniques; des fibroblastes primaires; des neurones; des cellules gliales; des cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine; des cellules musculaires lisses; des architectures/échafaudages; des protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); de l’activine A recombinante rat, souris, humain; du facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; de l’albumine; du facteur de croissance épidermique; du facteur de croissance humain insulino-like 1; des levures chimériques; des algues chimériques; des bactéries chimériques; du glucose; du galactose; du sucrose; du maltose; des lipides; des hormones; des mycoprotéines; du glucomannane; des polyamines (spermidine, spermine et putrescine); des cytokines; du cholestérol; de la léghémoglobine chimérique; des cyanobactéries.

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour la culture de ces cyanobactéries: nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [71] 

Quant à la léghémoglobine chimérique, c’est l’entreprise Impossible Foods qui a développé une souche de levure chimérique, contenant un gène de soja, afin de produire cette léghémoglobine recombinante. 

Il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des “vaccins” de la Pharmacratie génocidaire.

Des acides aminés: alanine, hydrochlorure d’arginine, asparagine, acide aspartique, cystine, acide glutamique, glutamine, hydrochlorure d’histidine, isoleucine, leucine, hydrochlorure de lysine, méthionine, phénylalanine, proline, sérine, thréonine, tryptophan, sel de disodium de tyrosine, valine. 

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [73] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten. 

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [79]  Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années?

Des vitamines: adénine, biotine, chlorure de choline, pantothénate de calcium, acide folique, inositol, niacinamide, hydrochlorure de pyridoxal, riboflavine, hydrochlorure de thiamine, vitamine B12. 

Des sels inorganiques: ammonium métavanadate, chlorure de calcium, chlorure de cuivre, sulfate de cuivre, citrate de fer, nitrate de fer, sulfate ferrique, sulfate de manganèse, sulfate de magnésium, acide molybdique, chlorure de nickel, chlorure de potassium, nitrate de potassium, bicarbonate de soude, chlorure de sodium, métasilicate de sodium, phosphate dibasique de sodium, sélénite de sodium, chlorure stannique, sulfate de zinc heptahydraté. 

Divers autres intrants: albumine, dexaméthasone, dextrose, éthanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide linoléique, phosphatidylcholine, rouge de phénol, putrescine, pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), insuline humaine recombinante, pyruvate de sodium, acide thioctique, thymidine, transferrine, lactoferrine, fibronectine, laminine. 

Il est très vraisemblable qu’il existe une foultitude d’autres substances “suspectes”, dans les médium de culture, mais les industriels de l’alimentation cellulaire vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas en divulguer la liste. En effet, certains de ces industriels, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [80] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [81] 

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [82] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [83]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques! 

Le Good Food Institute promeut, officiellement, le Graphène, et les nano-tubes de carbone – et même l’ADN synthétique – au menu des viandes cellulaires

Le Good Food Institute, contrairement à ce que sa dénomination pourrait laisser évoquer, n’a pas pour vocation de promouvoir une bonne nourriture saine,  savoureuse, attrayante, équilibrée et non toxique. Sa mission est de promouvoir le secteur de l’industrie des “protéines alternatives”- et, principalement, celui des viandes cellulaires. 

Le Good Food Institute a été créé en 2016. Son budget annuel, provenant de gros dons de fondations (telle la Fondation Bill Gates) et autres industriels, est de l’ordre de 53 à 56 millions de dollars. 

Le Good Food Institute employait, en date de janvier 2022, plus d’une centaine de scientifiques, techniciens, médiatiques, propagandistes, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Le Good Food Institute possède une très mauvaise réputation générée par des accusations, récurrentes, d’environnement de travail toxique. Tellement récurrentes que certains financement se sont taris. [75]

Le Good Food Institute publie une pléthore de rapports sur la production de substances “fausses”: viande, poisson, lait, oeufs à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées – et, aussi, à base de plantes. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur.

Les “experts” auto-proclamés, auto-prophétiques et, surtout, hystériques, du Good Food Institute, annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, les faux poissons, les faux crustacés… Selon le Good Food Institute, ce seraient 1380 millions de dollars levés, auprès d’investisseurs, par les sociétés de production de viande cellulaire durant l’année 2021.

Selon le très célèbre cabinet McKinsey, de toutes les corruptions, impliqué, également, dans les fausses viandes et les faux poissons – en sus de fausses missions au profit de la PharMacronie –  la viande cultivée pourrait représenter un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars, d’ici 2030. [26]

Selon un rapport, fantasmagorique, du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95% moins de terre; elle produirait de 74 à 87% de moins “d’émissions de gaz de serre”; elle générerait 94% en moins de pollution des nutriments, etc. [27]

En ce qui concerne notre dossier présent, à savoir le graphène dans les nano-fibres des viandes en 3D. Dans l’étude récente, du Good Food Institute, de janvier 2022, intitulée “Scaffolding Biomaterials for 3D Cultivated Meat: Prospects and Challenges” [5], il est spécifiquement mentionné, au sujet des échafaudages, de viande en 3D, contenant un tripeptide constitué d’arginine, de glycine et d’acide aspartique, que « l’ajout d’oxyde de graphène a encore amélioré la capacité de différenciation myogénique ».

C’est, en fait, par exemple, ce qu’affirmait, également, cette étude, de 2015, intitulée “Graphene oxide-stimulated myogenic differentiation of C2C12 cells on PLGA/RGD peptide nanofiber matrices”. [21]

L’expression-clé est, ici, “différenciation myogénique”. De nombreuses études, plus anciennes, prétendument pour le secteur médical, ont affirmé que l’oxyde de graphène améliore, fortement, la capacité de “différenciation myogénique” – dans l’ingénierie tissulaire.

“Nano-sized graphene oxide coated nanopillars on microgroove polymer arrays that enhance skeletal muscle cell differentiation”. Décembre 2021. [22]

“Graphene Oxide Scaffold Stimulates Differentiation and Proangiogenic Activities of Myogenic Progenitor Cells”. 2020. [18]

“Myoblast differentiation on graphene oxide”. 2013. [19]

“Three-Dimensional Printable Gelatin Hydrogels Incorporating Graphene Oxide to Enable Spontaneous Myogenic Differentiation”. 2021. [20]

Il ressort de ces quelques études, prises en exemples, que si la confection d’hydrogels, à base d’oxyde de graphène, permet une différenciation myogénique spontanée dans le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles humains, ou autres tissus… elle peut, également, le permettre pour le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles “cultivés” à partir de cellules de vache, de canard, etc. N’est ce pas? 

Pour rappel. Le Good Food Institute fut l’un des sponsors du Pavillon des systèmes alimentaires durant la COP 27 en Egypte qui, rappelons-le, a mis les “protéines alternatives” à l’honneur. Voir mon précédent dossier. 

D’autant plus que le Good Food Institute se permet de mentionner, très clairement, dans son dossier très technique – intitulé “Deep dive: Cultivated meat scaffolding” –  le recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN – et autres polymères synthétiques –  pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire. [51]

« De même, les cellules satellites musculaires peuvent s’auto-renouveler lorsqu’elles sont cultivées dans un substrat qui correspond à la rigidité de leur niche de cellules souches native (Gilbert et al., 2010 ; Safaee et al., 2017). Le réglage de la rigidité peut être obtenu par une réticulation accrue, l’ajout de nano-tubes de carbone (Shin et al., 2012), de graphène (Martín et al., 2017), d’ADN (Chen et Seelig, 2019), ou la modification de matériaux polymères naturels ou synthétiques avec des groupes latéraux photoréticulables. Il est important de noter que ces groupes photoréticulables permettent une polymérisation rapide, ce qui permet l’encapsulation des cellules au cours d’un processus tel que la bio-impression (discuté plus loin). Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité. En effet, des études ont démontré que les propriétés de rigidité d’un seul hydrogel pouvaient orienter les cellules souches vers l’os et la graisse (Freeman et Kelly, 2017). Par ailleurs, l’hydrogel lui-même peut être dissous dans un mélange de milieux de culture cellulaire et de cellules, ce qui favorise la fixation et la propagation des cellules. Mosa Meat décrit l’utilisation d’un hydrogel dissous chargé de cellules pour positionner les cellules dans un appareil dédié à la différenciation ou à la structure cellulaire (Breemhaar et Post, 2019) »[51]

Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites, et synthétiques, qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité.

De plus, dans ce même dossier, le Good Food Institute réitère, très clairement, le recours à des bactéries et à des levures recombinantes, à savoir des bactéries et à des levures chimériques, génétiquement manipulées – communément libellées des OGMs.

« Des expérimentations récentes suggèrent que les protéines de soja texturées peuvent servir d’échafaudage viable pour la fixation des cellules souches bovines (efficacité d’ensemencement >80% sans fonctionnalisation préalable) et leur prolifération (Ben-Arye et al., 2020). Certains polymères synthétiques, comme les PEG, sont également approuvés par la FDA. Comme mentionné précédemment, la majorité de ces polymères n’ont pas de domaines fonctionnels pour l’adhésion cellulaire ; cependant, ils peuvent être fonctionnalisés avec des peptides RGD (arginine, glycine et acide aspartique) ou combinés avec des composants fonctionnels comestibles tels que la gélatine (Enrione et al., 2017). Il est important de noter que ces échafaudages ont également tendance à être abordables et évolutifs en termes de composants de matières premières, les limites d’échelle étant principalement déterminées par la méthode de fabrication (discutée plus loin). Certaines entreprises ont démontré de manière indépendante la production à grande échelle de protéines telles que le collagène à l’aide de levures ou de bactéries recombinantes, ce qui pourrait servir de plateforme future pour la création de biomatériaux utilisés par l’industrie de la viande cultivée. Enfin, nombre de ces biomatériaux ont également été utilisés pour l’ingénierie tissulaire des os (Levengood et Zhang, 2014), ce qui pourrait s’appliquer à la viande cultivée si des produits avec os sont un jour recherchés. »

Faut-il préciser qu’aux USA, parmi les “biomatériaux” comestibles approuvés par la FDA, – pour la réalisation d’échafaudages comestibles pour la culture de viande cellulaire – se trouvent la pectine, la gomme gellane, le chitosane, la gélatine, la cellulose, le glucomannane, l’amidon, le gluten et l’alginate, entre autres… 

En effet, ce n’est pas de chance pour cette grande partie de la population allergique au gluten, par exemple, car la gluténine est utilisée comme ingrédient des échafaudages de la viande cultivée. [23]

Par exemple, selon une étude, la résistance à la traction, des nanofibres de gélatine, est passée de 8,29 ± 0,53 MPa à 21 ± 2,03 MPa après l’incorporation d’oxyde de graphène[29]

De plus… car cela n’est pas tout. Le Good Food Institute – dans sa référence au recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN, etc, pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire – renvoie à l’étude de Sifang Chen et de Georg Seelig, de 2019, intitulée “Programmable patterns in a DNA-based reaction-diffusion system”, dont la présentation ne manque pas de susciter de profondes interrogations. Qu’en pensez-vous?

Est-ce dire que le Good Food Institute promeut l’ajout d’ADN synthétique dans les échafaudages des viandes cellulaires?

Il semble, effectivement, qu’il en soit ainsi. 

« La biologie offre la preuve irréfutable que des “matériaux vivants” macroscopiques peuvent émerger de réactions entre biomolécules diffusantes. Nous montrons ici que l’auto-organisation moléculaire pourrait être une approche tout aussi puissante pour l’ingénierie de matériaux synthétiques fonctionnels. Nous présentons un hydrogel programmable incorporant de l’ADN qui produit des motifs réglables à l’échelle centimétrique. Nous générons ces motifs en mettant en œuvre des réseaux de réactions chimiques par le biais de complexes d’ADN synthétiques, en intégrant les complexes dans l’hydrogel et en les déclenchant avec des brins d’ADN d’entrée appliqués localement. Nous démontrons d’abord la formation de motifs en anneau autour d’une cavité circulaire d’entrée et montrons que la largeur et l’intensité de l’anneau peuvent être réglées de manière prévisible. Ensuite, nous créons des motifs de complexité croissante, y compris des anneaux concentriques et des motifs non isotropes. Enfin, nous montrons des modèles d’interférence “destructifs” et “constructifs”, en combinant plusieurs modules de formation d’anneaux dans le gel et en les déclenchant à partir de sources multiples. Nous montrons également que les simulations informatiques basées sur le modèle de réaction-diffusion peuvent prédire et informer la programmation des modèles cibles ».

Au sujet de l’ADN synthétique. Voir le communiqué de Mik Andersen: “Communiqué de Mik Andersen à propos de nano-tubes d’ADN dans le vaccin CoqueVide de Janssen”. [46]. Voir également le post “BREAKING NEWS!!! La preuve ultime que nous attendions de Mik Andersen: Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN”. [63] Voir également “Communiqué de Mik Andersen au sujet de “nano-points” de Graphène dans les vaccins.” [54]

Comment le grand public peut-il se douter que ces ingénieurs parlent du burger en viande “cellulaire, équitable et circulaire”, qu’il vient d’acheter pour son repas de midi, lorsqu’ils évoquent des composants structurels à l’échelle nano-métrique de 50 à 500 nm? 

Pour mémoire: 1 nm = 1 millionième de millimètre.

« D’autres paramètres tels que la forme, le volume et la rugosité des pores doivent également être pris en compte. Idéalement, la récapitulation de la matrice extra-cellulaire devrait se faire à l’échelle des composants structurels mêmes de le matrice extra-cellulaire (c’est-à-dire à une échelle de 50 à 500 nm de diamètre) tandis que la porosité de l’échafaudage devrait être à l’échelle du micromètre pour permettre l’invasion et la migration des cellules. Ce principe général a été difficile à imiter. Toutefois, des techniques sophistiquées permettant de fabriquer de grands échafaudages d’hydrogel dotés de ces propriétés commencent à faire leur apparition (voir plus loin). Enfin, étant donné qu’un tissu créé pour la consommation n’a pas besoin d’être fonctionnel à l’intérieur d’un corps, un échafaudage conçu pour être moins densément peuplé et organisé par ses propriétés sensorielles en aval peut être plus facile à réaliser. Une fois peuplée, la structure pourrait être comprimée au moment de la récolte ou structurée davantage en un produit final ». [51]

La question se pose, ensuite, de savoir si le passage suivant fait référence à des hydrogels à base de graphène, sous quelque forme… qui serait “biodégradable” sous quelque mode.

« Des considérations de conception minutieuses ont été faites en ingénierie tissulaire pour utiliser des matériaux non immunogènes, biodégradables avec des sous-produits biologiquement inertes (car ils sont destinés à être insérés dans le corps à des fins de médecine régénérative (Bajaj et al., 2014). De même, un échafaudage qui se biodégrade en sous-produits inertes serait souhaitable pour la viande cultivée, non seulement pour éviter que des matériaux non comestibles soient incorporés dans un produit final, mais aussi en permettant aux cellules de remplacer l’échafaudage d’hydrogel par leur propre matrice extra-cellulaire native. En effet, les hydrogels sont généralement des substrats statiques qui, à eux seuls, ne parviennent pas à reproduire dynamiquement les interactions spatio-temporelles entre une cellule et la matrice extra-cellulaire. Une méthode pour surmonter ce problème consiste à incorporer des liaisons transversales dégradables par protéolyse (Khetan et al., 2013 ; Patterson et Hubbell, 2010), qui permettent à des enzymes naturellement sécrétées, telles que les métalloprotéinases matricielles, de dégrader le substrat de l’hydrogel – ce qui permet la migration des cellules et l’établissement de la réciprocité dynamique décrite précédemment. Une série d’autres méthodes, telles que les polymères photodégradables (Kloxin et al., 2009) et les produits chimiques uniques permettant une réticulation médiée par la lumière (Guvendiren et Burdick, 2012), ont également été développées par les bio-ingénieurs, permettant une récapitulation plus précise de la dynamique cellule/matrice extra-cellulaire. ». [51]

Dans les viandes cellulaires commercialisées : des nano-fibres, à base de graphène et de chitosane, qui ne révèlent JAMAIS leur identité

L’une des compilations du Good Food Institute présente, environ, 230 entreprises, de par le monde, impliquées dans la production de fausses viandes et de faux poissons ou autres produits marins – à savoir impliquées directement ou indirectement. [43] [64] 

De nouveau, pour toutes ces viandes cellulaires commercialisées, il est plus que vraisemblable que des dérivés du graphène se cachent dans des nano-fibres qui ne révèlent pas leur identité réelle. 

En fait, le Good Food Institute présente deux compilations qui correspondent à deux niveaux de produits commercialisés dans le secteur des fausses viandes et, plus généralement, dans le secteur de l’agriculture dite cellulaire – et même dans le secteur de l’industrie à protéine d’insectes en ce qui concerne l’un des niveaux. 

La première compilation se nomme “Entreprises axées sur la viande et les fruits de mer cultivés” et elle en décline 153 différentes. Ces sociétés, “en aval”, sont impliquées directement, dans les raffineries produisant les substances terminales, à savoir celles qui sont proposées au grand public: fausse viande, faux lait humain, faux oeuf, faux cuir, fausse soie, faux THC, fausse artémisine, etc, etc.

La seconde compilation se nomme “Entreprises ayant des initiatives dans le domaine de la viande cultivée et des fruits de mer”. Cette dénomination concerne les entreprises qui sont impliquées, “en amont”, dans la production de divers éléments “cellulaires” au bénéfice des ingénieries tissulaires des secteurs alimentaires ou  hospitaliers: cellules embryonniques humaines, architectures/échafaudages, cellules-souche pluripotentes, fibroblastes primaires, neurones, cellules gliales, transferrine, lactoferrine, insuline, protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2), etc, etc.

Donc, aujourd’hui, si l’on veut connaître les éléments authentiques composant les faux produits de l’agriculture cellulaire, il est nécessaire d’enquêter auprès des firmes industrielles, en amont, qui déclinent, sur leur site web, la liste de ce qu’ils proposent, commercialement parlant, à toutes les sociétés industrielles, en aval, dont la fonction est de produire des aliments “alternatifs” en cuves métalliques. 

En effet, les sociétés produisant de faux aliments possèdent des blogs mirobolants avec des discours de propagande sanglotante (durable, circulaire, eco-friendly, sans souffrances animales, etc, etc); des attaques, à peine déguisées, à l’encontre de l’agriculture/élevage; et, même, des photographies de leurs raffineries industrielles, de leurs cuves métalliques – comme si c’était orgasmant d’un point de vue gastronomique  et sensoriel…

Mais, jamais, JAMAIS, avec la liste des ingrédients.

La liste authentique des ingrédients, de la viande cellulaire, est laissée à l’imagination, fertile et fébrile, de tous les nigauds, et autres bobos, qui la consomment en se pâmant et en glapissant qu’ils ont atteint le nirvana de la gastronomie universelle. A quand un Guide Michelin, “Woke”, des grands crus, et autres cuvées légendaires, de fausses viandes en cuves métalliques? 

Qui plus est, le Forum Economique Mondial, souhaite-t-il éliminer, après l’élevage, toutes les vignes du monde – au prétexte d’éliminer le dioxyde de carbone? A quand les vins cellulaires, cultivés dans des cuves métalliques, à partir de levures chimériques? 

Dans le cadre de ce dossier, par trop volumineux, déjà, je ne vais pas m’attarder à étudier les produits cellulaires – et autres prétentions cellulaires – de l’industrie du même nom. Je vais me contenter d’en évoquer quelques unes.

En effet, lorsque l’on a compris l’arnaque intrinsèque, que constitue la viande cellulaire, il est aisé de la repérer car elle est reproductible, et reproduite, par toutes les entreprises du secteur: il s’agit d’une alimentation totalement chimérique, et synthétique (avec mêmes des dérivés de Graphène) enrobée de discours propagandistes fondés sur du fake – au même titre que la fake viande.

J’ai même abandonné de tenter de décrypter les brevets, de toutes ces start-ups, car ils sont libellés de telle sorte à laisser entendre que d’autres éléments peuvent s’ajouter à la liste qu’ils incluent dans leur requête d’exclusivité – grâce à la formule magique  “sans s’y limiter”.

L’une de ces start-up, la première sur une liste, dénommée “3D Bio Tissues”, et issue de l’université Newcastle, [40] présente “son ambition de produire des tissus bio-équivalents pour l’agriculture clinique et cellulaire” en précisant qu’elle « applique de nouveaux processus de fabrication bio-inspirés pour générer des structures complexes ». Ce qu’elle propose: “une modélisation tissulaire en tant que plateforme d’ingénierie interne qui adopte une approche ascendante et bio-inspirée de l’ingénierie tissulaire pour créer des tissus structurés, fonctional et scalables” – à savoir pour des applications médicales ou pour l’agriculture cellulaire, selon ses déclarations. [56] Son co-fondateur, Che John Connon, est un spécialiste des hydrogels. 

Nous sommes au coeur de la nov-langue, tout aussi creuse que ses concepteurs. Il est à noter l’usage récurent du préfixe “bio”: “tissus bio-équivalents”, “approche bio-inspirée”, “bio-impression”, “bio-réacteur”, “bio-fermenteur”, “bio-imagerie”, “bio-compatible”, “bio-matériau”,“bio-résidu”, “bio-composite”, “bio-polymère”, “bio-dégradable”.

Quant à l’expression “agriculture clinique”, est-ce l’erreur d’un stagiaire? Ou s’agit-il, peut-être, d’un aveu de diagnostic quant à l’impact, d’une telle alimentation cellulaire, sur l’organisme humain?

Une autre de ces start-up, dénommée “BioLead” vend des produits cellulaires pour l’agriculture cellulaire, pour les applications médicales, pour les bio-technologies, pour l’immunothérapie et les recherches cellulaires. [44] 

Ils proposent, par exemple, pour le secteur de la viande cellulaire, toute une gamme de substances insolites [45]: transferrine; lactoferrine; insuline; protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); activine A recombinante rat, souris, humain; facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; albumine; facteur de croissance épidermique; facteur de croissance humain insulino-like 1. 

Comme médium de culture cellulaire pour viande, poisson, oeufs, ils proposent les références DMEM, DMEM/F12, L15. Par exemple, DMEM signifie Dulbecco’s Modified Eagle Medium. Les cellules cultivées avec succès, dans ce DMEM, comprennent les fibroblastes primaires, les neurones, les cellules gliales, les cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine et les cellules musculaires lisses.

Il est à noter que certaines sociétés de production de viande cellulaire travaillent à partir d’un échafaudage à base de protéines de soja. Question: s’agit-il, seulement, de protéines de soja?

En effet, l’étude, de 2018, intitulée “Polyphenol-induced cellulose nanofibrils anchored graphene oxide as nanohybrids for strong yet tough soy protein nanocomposites” porte sur la confection de “nano-fibrilles de cellulose induites par des polyphénols et ancrées dans de l’oxyde de graphène comme nano-hybrides pour des nano-composites à base de protéines de soja à la fois solides et résistants.” [36] 

On ne peut clore un tel dossier sans évoquer, en passant, les viandes en 3D qui sont produites – comme des fusils-mitrailleurs, de par le monde – avec des “encres”, ad hoc, et qualifiées, même, de “bio-encres”.

Doit-on présumer qu’elles sont qualifiées de “bios” parce qu’elles participent à des processus alimentaires, prétendument, donc de vie … au contraire de la pléthore d’armes légères et lourdes confectionnables, aujourd’hui, avec une bonne imprimante en 3D – et les substances adéquates… que l’on pourrait qualifier de “nécro-encres”, de par leur fonction.

Le Good Food Institute présente, ainsi, dans ses articles très techniques, un exposé concernant la fabrication des viandes cellulaires, en 3D, qui sont confectionnées grâce au recours à des “bio-encres” pour la “bio-impression”. [51]

« La bio-impression 3D est une technique de fabrication dans laquelle des solutions pré-polymères ou des solutions pré-polymères contenant des cellules (c’est-à-dire une bio-encre) sont déposées sur un substrat couche par couche sous la direction d’un processus de conception assistée par ordinateur. Ces fichiers résultent, généralement, de données de bio-imagerie réelles – telles que des scans de tissus par résonance magnétique et par tomographie  assistée par ordinateur – mais ils peuvent, également, être générés par l’utilisateur pour former des types de géométrie illimités. Des stratégies d’imagerie similaires peuvent être réalisées pour reproduire des morceaux de viande spécifiques. Il existe plusieurs types de bio-impression ».

Une étude, de mai 2021, par exemple, intitulée “Graphene Oxide-Embedded Extracellular Matrix-Derived Hydrogel as a Multiresponsive Platform for 3D Bioprinting Applications” se rapporte à l’utilisation de“bio-encres” à partir d’hydrogels confectionnés avec de l’oxyde de graphène ou de l’oxyde de graphène réduit – pour l’ingénierie tissulaire. [47]

Il existe deux types de “bio-encres”: avec ou sans échafaudage. Une “bio-encre” à base d’échafaudage est, par essence, un hydrogel qui est imprimé avec des cellules. Et ces hydrogels sont, bien souvent, confectionnés à base de graphène.

Par exemple, la société Allevi 3D propose, pour l’ingénierie cellulaire – et, donc, potentiellement pour la production de viandes en 3D – un “bio-matériau”, flexible, conducteur et  “bio-compatible” qui est composé à plus de 90% de Graphène… afin d’élaborer des muscles, des tissus cardiaques, des nerfs, etc… [57] 

Que cachent les nano-fibres des viandes cellulaires commercialisées, par exemple, par Gelatex et Matrix Meats?

En juillet 2022, la société Estonienne, Gelatex Technologies a annoncé développer une nouvelle technologie, révolutionnaire, d’échafaudage de viande cellulaire. [4]

Gelatex a annoncé la possibilité de produire suffisamment d’échafaudages pour soutenir la production annuelle de 300 tonnes de viande cultivée. La technologie de l’entreprise aurait, déjà, permis de réduire le coût des échafaudages de 100 000 euros à 1 000 euros par kilogramme. Les projections futures pourraient aboutir à des coûts d’échafaudage inférieurs à 20 € par kilogramme de viande cultivée, d’ici une décennie. 

Le directeur de Gelatex, Martens, a déclaré que les plus grandes unités d’électrospinning (technologie actuellement utilisée) disponibles sur le marché peuvent produire 360g/h – l’unité semi-industrielle de Gelatex, elle, peut déjà produire jusqu’à 5kg/h. Une telle capacité de production représente suffisamment de nanofibres pour la production de 1300 kg de viande en une seule journée de travail de huit heures. Grâce à ce débit de production beaucoup plus élevé et à une consommation d’électricité réduite de 28%, M. Martens estime que le coût des nanofibres peut être réduit jusqu’à 90%.

Le fondement de cette technologie est l’électrospinning qui selon la définition technique « est un procédé de mise en œuvre des polymères qui, sous l’action d’un champ électrique intense (de l’ordre de 1 kV/cm), permet l’élaboration de membranes nanofibreuses (diamètre de fibres de l’ordre de 50 nm à 1 μm) à partir de solutions de polymères ou de polymères à l’état fondu ». Voir le dossier de l’ICPPES: Electrospinning et Nanofabrication pour la Santé et l’Energie.  [35]

En 2019/2020, Gelatex Technologies, a déposé deux brevets – US20210155764A1 [3] et EP3839120A3 [2] – qui porte sur un matériau constitué de nano fibres, non tissées, à base de gélatine. Ces deux brevets ont été publiés en septembre 2021 mais sont en attente d’acceptation. 

Selon l’intitulé du brevet : 

« Le procédé comprend la production de nanofibres de gélatine ; la production d’un matériau nanofibreux en utilisant les nanofibres de gélatine produites ; et le traitement du matériau nanofibreux par un agent de réticulation pour former des liaisons d’adhésion dans le matériau nanofibreux et pour obtenir le matériau non tissé nanofibreux. »

Selon la description du brevet : 

« De plus, en option, la solution de traitement comprend une charge. Les exemples de charge comprennent, sans s’y limiter, des particules de silice hydrophiles ou hydrophobes, de la terre de diatomée, du carbonate de calcium, du noir de carbone, de la montmorillonite ou d’autres argiles. La concentration de la charge dans la solution de traitement peut aller jusqu’à 75%. »

Il est bien précisé “sans s’y limiter”.

Il est vrai qu’il n’y est nullement précisé que ce matériau de charge, de remplissage, puisse être du graphène ou des nano-tubes de carbone. Cependant, l’un des requérants de ce brevet, au bénéfice de sa société Gelatex Technologie, est Uno Mäeorg – qui est affilié à l’université de Tartu en Estonie. Uno Mäeorg est un spécialiste du graphène. 

J’ai carrément demandé, par e-mail, aux deux propriétaires de Gelatex Technologie, Märt-Erik Martens et Mari-Ann Meigo Fonseca, s’il était avéré que leurs échafaudages de nano-fibres étaient à base de graphène – d’autant plus de par la présence de Uno Mäeorg – mais ils ne m’ont pas encore répondu. En effet, si cela est avéré, c’est à l’insu des consommateurs végan de fausses viandes.

En effet, il est l’auteur, ou le co-auteur, d’une pléthore d’études portant sur le carbone, les nano-particules de graphène, ou autres nano-particules, les nano-tubes de carbone, les aérogels, etc. 

Par exemple, l’étude, de 2018, intitulée “Effect of contact material and ambient humidity on the performance of MWCNT/PDMS multimodal deformation sensors”, qui porte sur des senseurs confectionnés à partir de nano-tubes de carbone à multiples parois, une forme de graphène, comme remplisseurs conducteurs. [1]

Il n’est donc pas nécessaire de déployer d’immenses efforts d’imagination pour concevoir que le graphène, sous toutes ses formes, constitue le matériau de base des nano-fibres de Gelatex, en Estonie, pour sa production annuelle de 300 tonnes de viande cellulaire. 

Il est plus que vraisemblable qu’il en soit de même pour les hydrogels de Matrix Metas aux USA et ce n’est, sans doute, pas une coïncidence que le Food Navigator, US, leur ait consacré un article dans la même foulée: “From mush to meat? Talking edible scaffolfing with Gelatex and Matrix F. T.” [74]

En effet, Eric Jenkusky, le directeur de la société Matrix Meats, (Matrix F. T), lors d’un interview, en août 2021 [24], a déclaré que la technologie de confection de nano-fibres, que sa société utilise pour la confection de viande cellulaire, datait d’une quinzaine d’années et qu’il la licenciait de la société Nanofiber Solutions – qui est dédiée à la dite médecine régénérative à partir de polymères. 

Cela fait, au moins, une bonne douzaine d’années que le graphène est, abondamment, utilisé dans tous les secteurs médicaux de l’ingénierie tissulaire – mais je n’ai pas enquêté sur l’ancienneté d’autres types de nano-fibres utilisées avec les mêmes objectifs. 

Eric Jenkusky évoque des nano-fibres à base de polycaprolactone…  sans en dire beaucoup plus – car, comme pour Gelatex Technologies, il s’agit de “secrets professionnels” fondés sur la technologie de l’électrospinning.

Matrix Meats prétend être en relations de développement actif avec 14 compagnies, de 7 pays, dans le secteur de la viande cellulaire.

Or, il existe de nombreuses études et expérimentations portant sur les composites à base de polycaprolactone, de chitosane… et de graphène. Ainsi, par exemple, cette étude, de février 2022, intitulée “The effect of polycaprolactone/graphene oxide electrospun scaffolds on the neurogenic behavior of adipose stem cells”. [25] 

Selon cette étude, la présence d’oxyde de graphène, dans l’échafaudage en polycaprolactone, augmente l’attachement des cellules, leur prolifération, leur infiltration dans l’échafaudage et leur différenciation neuronale.

Ou cette étude, d’octobre 2022, intitulée “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds” [72] qui précise que :

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane/polycaprolactone. » [72]

Du Graphène dans les viandes animales

Depuis que la Quinta Columna, le professeur Pablo Campra – ainsi que de nombreux autres chercheurs de par le monde – ont informé les Peuples de la présence de graphène, et de nano-technologies, dans les injections CoqueVide/19, des dizaines de milliers de personnes ont entrepris d’analyser microscopiquement une pléthore de substances alimentaires ou médicinales… [34] ou tout simplement d’utiliser des aimants afin de vérifier s’il y existait un phénomène de magnétisation [32]

De nombreux témoignages ont, ainsi, émergé, sur le web, de viandes emballées totalement magnétisées. 

Tout autant que de nombreux témoignages de graphénisation de remèdes, de cosmétiques, d’aliments, etc…

Je rappelle, une nouvelle fois, que des solutions aqueuses, et autres sérums physiologiques, à l’oxyde de graphène, ont été commercialisées depuis 2015, au moins, par des grosses sociétés industrielles Chinoises. Voir mon essai d’août 2021, “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène”. [48]

1. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par des vaccins pour les animaux – par exemple, les vaccins dits à “l’ARNm”, le messager fourre-tout – qui ont été tout autant graphénisés que les vaccins humains… et qui ne contiennent, sans doute, pas plus d’ARN que n’en contiennent les injections CoqueVide.  

Les vaccins humains ont été graphénisés depuis 2019, au moins, mais ils ont été nano-particulés, métalliquement, depuis 2015, au moins. Voir le scandale du VaccineGate en Italie en 2016. [55]

D’ailleurs, dès 2015, en Allemagne, et aux USA, la Mafia Pharmacratique expérimentait, sur des humains, avec des injections ARNm à l’encontre des fabulés virus H10N8 et H7N9. [31] Le saviez-vous?

Il existe, par exemple, depuis quelques années, un vaccin pour porc, à “l’ARNm”, anti-grippal (H3N2 cluster IV), en deux doses, [30] ainsi qu’une vaccin anti-grippe, à “l’ARNm”, pour les volailles. [42] Pour ces deux injections, la firme Harris Vaccines donne les précautions, très explicites, suivantes [49]:

« Ne pas vacciner dans les 21 jours précédant l’abattage. Congeler à -80°C pour une conservation à long terme. Utiliser dans les 7 jours si le produit est conservé à 4°C. Utiliser tout le contenu lors de la première ouverture/perforation. En cas de réactions anaphylactiques, administrer de l’épinéphrine ».

Comme nous avons pu le constater, avec toutes les autres injections anti-CoqueVide, de la Mafia Pharmacratique, les extrêmes basses températures de conservation sont requises afin que le graphène ne commence pas à floculer sous l’effet de la chaleur ambiante. 

Question: que se passe-t-il si la viande est vendue dès la vaccination? Des paysans Espagnols ont, par exemple, mis en ligne une vidéo d’un poulet, prêt à la vente, dont le corps continuait de pulser sous l’effet d’une énergie inconnue. Serait-ce celle de l’oxyde de graphène activé par une source d’énergie proche?

En parlant d’énergie inconnue, avez-vous vu des vidéos filmant des injectés CoqueVide réagir, au point d’injection, à un senseur électrique? En voici une: [58].

2. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par les emballages… car, aujourd’hui, de nombreux emballages contiennent de l’oxyde de graphène au prétexte de protéger les aliments qu’ils contiennent à l’encontre de bactéries, de champignons, etc. Nonobstant, les témoignages de magnétisation de viandes prennent bien soin, également, de les désemballer afin de mettre en exergue ce phénomène “contre-Nature”. 

Au sujet des emballages graphénisés, voir mes divers posts: [37]  [38]  [39].

3. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par l’injection d’une substance structurante, à savoir un polymère à base d’oxyde de graphène – afin d’améliorer la texture, et la présentation commerciale, sur les étals des super-marchés, de viandes (aux hormones de croissance) non structurées et trop molles, en raison des conditions épouvantables de l’élevage hyper-industriallisé, et hyper-pharmaceutique.

A savoir, une injection opérée dans l’objectif de conférer un peu plus d’échafaudage cellulaire –  comme pour la structuration des soupes cellulaires que j’ai évoquée –  afin que la viande cultivée puisse acquérir une structure en 3D.

4. Finalement, ce phénomène pourrait être induit par la présence, de plus en plus fréquente, de “films comestibles”, souvent invisibles, qui recouvrent les viandes, ou d’autres produits, afin de leur conférer des capacités bactéricides, etc – ou d’organiser la transmission d’informations de par leur capacité “smart”.

C’est un dossier à élucider à part, et je vais l’aborder dans la prochaine section, car ces “films comestibles” sont souvent gavés de graphène… afin de gaver les populations d’un vecteur nano-métallique qui puisse les raccorder au réseau – à leur insu et contre leur accord.

Franchement, pourquoi les industriels de la viande animale n’auraient-ils pas recours, libéralement, au graphène  alors qu’ils le font pour les “viandes cellulaires”? 

Du Graphène dans les films comestibles des viandes animales

Pourquoi intégrer du Graphène dans les films comestibles des viandes animales – ou d’autres substances alimentaires? Pour des raisons, prétendument, sanitaires. L’étude ci-dessous mentionnée, de septembre 2020, [70] en présente un bref résumé.

« Aujourd’hui, en plus des emballages biodégradables souhaitables, la recherche mondiale s’intéresse au développement d’emballages alimentaires actifs pour prolonger la durée de conservation, améliorer la sécurité et maintenir les propriétés organoleptiques. Les bio-composites, avec des dérivés de graphène, peuvent présenter une activité antioxydante, antimicrobienne et antifongique, comme l’ont étudié de manière approfondie Carvalho et al. La capacité de piégeage des radicaux d’oxyde de graphène réduit peut apporter une activité antioxydante aux biocomposites. Les films à base de Chitosane, avec 20-33% en poids d’oxyde de graphène réduit, ont montré une augmentation de l’inhibition dans la gamme de 54% à 82% après 8 heures d’incubation et cette activité peut éviter l’oxydation des aliments emballés. 

Les propriétés antimicrobiennes et antifongiques des nano-structures à base de graphène sont fondées sur leur capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire et un stress oxydatif qui compromettent la prolifération et la sporulation bactériennes. Les biocomposites avec des dérivés de graphène ont révélé des propriétés antibactériennes in vitro contre un large spectre de micro-organismes pathogènes (tels que Enterococcus faecalis, Staphylococcus epidermidis, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Staphylococcus haemolyticus, et Bacillus subtilis). La modification de surface des dérivés du graphène avec des huiles essentielles ou d’autres composés métallique – tels que des nano-particules d’argent, d’oxyde de zinc ou de dioxyde de titane – a été adoptée comme stratégie pour améliorer le potentiel antimicrobien inhérent de ces nano-structures.  Récemment, un film, composé de nano-tubes de carbone/acide polylactique/cinnamaldéhyde, a révélé un grand potentiel d’application comme film d’emballage alimentaire antibactérien actif à libération contrôlée avec un effet actif prouvé jusqu’à 21 jours. Des activités antifongiques de biocomposites contenant des nano-structures de carbone contre Aspergillus niger, Cryptococcus neoformans, Candida tropicalis, Candida albicans, Botrytis cinereas, et Rhizopus spp. ont également été décrites. » 

La première question que tout être sensible devrait se poser est la suivante. Si les dérivés du graphène possède une telle capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire, et un stress oxydatif, par exemple chez des bactéries se développant sur de la viande, pourquoi en serait-il autrement en ce qui concerne les éléments de l’organisme humain – les cellules, les bactéries et les virus?

Les mises en gras sont de mon fait afin de mettre en exergue que tout est fondé sur les dérivés de graphène… et sur le Chitosane qui est, rappelons-le, dérivé de la Chitine. Voici quelques autres études portant sur les diverses formes de graphène utilisées dans les films alimentaires – comestibles ou non.

“Edible Films on Meat and Meat Products”. Novembre 2021. [52] Cette étude présente, dans le détail, les divers polysaccharides – tels que le chitosan, la pectine, les gommes, l’amidon, la cellulose, l’alginate, le carraghénane et les furcellaran – qui sont utilisés dans les films comestibles.

Dans la section du furcellaran, cette étude précise ce qui suit:

« Les films de furcellaran présentent un aspect transparent légèrement jaunâtre. Dans de nombreuses applications, les films transparents sont préférés car ils peuvent mettre en valeur le produit emballé et influencer l’intention d’achat du consommateur. L’incorporation d’extrait de thé vert, de yerba mate et de nano-particules d’oxyde de zinc, a rendu la couleur jaune plus intense. Les films de furcellaran avec des nano-charges – points quantiques de carbone, nano-particules d’oxyde de graphène et nano-particules de maghémite – ont indiqué un effet inhibiteur contre la croissance de Salmonella enterica, principalement parce que la matrice polymère contient des groupes sulfate réactifs. Les nano-composites de points quantiques de carbone ont montré un effet inhibiteur sur la croissance de Staphylococcus aureus (Gram positif) et Escherichia coli (Gram négatif). Le furcellaran peut être l’un des composants de base dans la production de films “intelligents” tels que des matériaux d’emballage ayant des propriétés actives et/ou intelligentes. » [52]

Dans la section du chitosan, cette étude précise ce qui suit :

« Le chitosan est un polysaccharide cationique de haut poids moléculaire qui présente une grande capacité de formation de films et des activités antimicrobiennes. Le film de chitosan a été utilisé comme matériau d’emballage pour la conservation de différents aliments, en particulier lorsqu’il est associé à d’autres matériaux filmogènes. L’enrobage des aliments avec des films de chitosan permet d’abaisser la pression partielle d’oxygène dans l’emballage, de maintenir la température avec un transfert d’humidité entre l’aliment et son environnement, de contrôler la respiration et de décliner la déshydratation. En outre, le chitosan est utilisé pour la désacidification, la fixation de la texture, l’amélioration de l’effet émulsifiant, la saveur naturelle et la stabilisation de la couleur des aliments. Les films à base de chitosan sont clairs, flexibles et résistants, ils résistent bien aux graisses, aux huiles et à l’oxygène, mais sont très sensibles à l’humidité »[52]

“Graphene Derivatives in Biopolymer-Based Composites for Food Packaging Applications”. Septembre 2020. [70] Cette étude est extrêmement précise, et technique, eu égard aux différents types de polymères qui sont utilisés pour la préservation des viandes:  argile, cellulose, chitosane, pullulan, gélatine… et, surtout, les “bio-composites”, ou “bio-polymères”, à base de dérivés du graphène comme matériaux d’emballage alimentaire.

La plus grande partie de cette étude est consacrée aux dérivés du graphène. Il est à noter que le facteur de comestibilité est mentionnée, à quelques reprises, pour certains de ces polymères… mais il ne l’est pas pour les dérivés du graphène.

En fait, il ne l’est pas dans cette étude mais, ainsi que mentionnée précédemment, il l’est dans l’étude portant sur le furcellaran fonctionnalisé avec des points quantiques de carbone ou de l’oxyde de graphène.

“Green Coating Polymers in Meat Preservation”. Novembre 2021. [59] Cette étude porte sur le recours à des polymères verts comestibles pour la préservation de la viande. Les polymères verts sont définis comme des polymères biodégradables provenant de ressources de la biomasse ou de voies synthétiques et d’origine microbienne qui sont formés de structures mono ou multicouches.

Ce peut être des polymères “verts”… produits par voies synthétiques. 

“Graphene Oxide Bionanocomposite Coatings with High Oxygen Barrier Properties”. 2016. [60] Cette étude présente le développement de films bio-nano-composites sur du poly(éthylène téréphtalate) possédant des propriétés exceptionnelles de barrière à l’oxygène. Le pullulan et l’oxyde de graphène ont été utilisés comme phase polymère principale et comme bloc de nano-construction, respectivement. 

D’autres nano-particules sont utilisées dans des films comestibles recouvrant la viande: des nano-particules d’argent [69] ou des nano-tubes de dioxyde de titane [61]

Il existe, même, une étude intitulée “Controlled release and antibacterial properties of PEO/casein nanofibers loaded with Thymol/β-cyclodextrin inclusion complexes in beef preservation”, [62] qui porte sur la fabrication de nano-fibres, composées de caséine  et d’oxyde d’éthylène, chargées de β-cyclodextrine et de thymol avec pour objectif, prétendu, de conserver plus longtemps la viande de boeuf. Il n’est pas précisé si ce film de nano-fibres est comestible ou non. 

Annexe 1. Du Graphène dans les Ingénieries tissulaires humaines

Depuis une quinzaine d’années, le graphène, sous toutes ses formes, est omniprésent dans les technologies médicales dont l’objectif est de créer des tissus musculaires, des tissus osseux, etc – chez l’Humain – dans le cadre d’une médecine que les scientifiques déments n’hésitent pas, même, à qualifier de “médecine régénératrice”. 

Pourquoi, donc, le graphène ne serait-il pas, de même, prévalent dans tous les processus technologiques consistant à créer des échafaudages cellulaires dans la fabrication de fausses viandes? A savoir, au même titre que la chitine et le chitosane. 

Le site PubMed, du ministère de la santé US, lorsqu’interrogé avec les termes “Graphene / Tissue / Engineering”, présente plus de 1500 entrées. 

L’étude récente, “Graphene Oxide–Protein-Based Scaffolds for Tissue Engineering: Recent Advances and Applications”, de mars 2022, présente un bon résumé quant à la nature de ces échafaudages cellulaires. [6]

« Le microenvironnement physiologique natif pouvant être adapté localement pour le processus de régénération. pour le processus de régénération, de nombreux biomatériaux ont été étudiés pour permettre l’infiltration, la division et la différenciation des cellules implantées. Les échafaudages sont nécessaires pour imiter le microenvironnement cellulaire du tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules. Les échafaudages doivent imiter le microenvironnement cellulaire d’un tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules, de fournir une morphologie physiologique appropriée et de permettre la co-culture de diverses cellules. D’un point de vue mécanique, les échafaudages fournissent stabilité mécanique et de forme au tissu réparé. D’un point de vue biologique, les échafaudages sont des architectures qui soutiennent le développement de la matrice extracellulaire (MEC) et l’établissement des cellules. En outre, la perméabilité du tissu reconstruit est un élément clé pour permettre le transfert des nutriments des milieux de culture. pour permettre le transfert des nutriments depuis les milieux de culture et favorise l’élimination des produits secondaires nocifs du matériau sans nuire à la santé. secondaires nocifs du matériau sans affecter négativement les conditions de culture. En outre, le nouvel échafaudage doit être stable pendant un certain temps pour permettre au tissu endommagé de se réparer ou de retrouver sa capacité à se développer. endommagé de se réparer ou de retrouver la capacité d’être restauré. La biodégradabilité en fonction du temps est un autre aspect important à prendre en compte pour les échafaudages tissulaires afin de permettre la prise en charge des cellules pour favoriser le processus de guérison. 

Ces dernières années, des polymères synthétiques et naturels ont été utilisés pour l’ingénierie tissulaire, et il a été prouvé que les caractéristiques des échafaudages dépendent de la structure et de la concentration du polymère, de la taille des pores, de la flexibilité, de la rigidité, etc. Les polymères synthétiques tels que l’acide polylactique, l’alcool polyvinylique, le poly (lactique-co-glycolique) et le poly ε-caprolactone ont été utilisés pour la préparation d’échafaudages 3D en raison de leur porosité, de leurs performances mécaniques et de leur temps de dégradation facilement ajustables. Grâce à leur biocompatibilité supérieure, les polymères naturels tels que la gélatine, le collagène, le chitosane, l’alginate, l’élastine et la fibrine ont attiré l’attention des chercheurs pour la préparation d’échafaudages 3D qui reproduisent fidèlement la vascularisation des tissus natifs et les interconnexions des canaux qui permettent la perfusion des nutriments et la diffusion de l’oxygène pendant la régénération.»

L’étude encore plus récente, “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds”, d’octobre 2022, [72] affirme que : 

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane /polycaprolactone…. Les échafaudages d’ingénierie tissulaire préparés avec des matériaux à base de graphène présentent une bonne biocompatibilité, d’excellentes propriétés mécaniques et une forte orientation des cellules, ce qui permet d’induire pleinement la prolifération et la différenciation des cellules d’ensemencement. Cette revue décrit brièvement les matériaux de base pour la préparation des échafaudages d’ingénierie tissulaire, et se concentre sur la préparation, la performance et l’application des matériaux à base de graphène dans l’ingénierie tissulaire, fournissant une compréhension suffisante du graphène appliqué à la médecine régénérative. »

En effet, il est important de souligner que les dérivés du graphène sont utilisés, très souvent, conjointement au chitosane, dérivé de la chitine, dans la fabrication d’échafaudages cellulaires permettant de créer de nouveaux tissus dans le corps humain: l’ingénierie tissulaire chimérique à base d’hydrogels. Il existe une foultitude d’études publiées à cet égard – à savoir plus d’une centaine – depuis l’année 2011. [7]  [8]  [9]  [10]  [11]  [12]

C’est ce que j’ai voulu mettre en exergue dans mes deux derniers volumineux dossiers: les Autorités vont tenter de Graphéniser et de Chitiniser au maximum les Peuples – tout autant que les viandes cellulaires… qui sont supposées remplacer les vraies viandes à terme. 

Le site de PubMed en décline, déjà 23, pour l’année 2022. En voilà quelques-unes:

“Synthesis and Characterization of Chitosan-Containing ZnS/ZrO2/Graphene Oxide Nanocomposites and Their Application in Wound Dressing”. Cette étude porte sur la confection d’un polymère nano-composé d’oxyde de graphène, de chitosane, de sulfure de zinc et de dioxyde de zirconium afin de créer des échafaudages pour des nano-films permettant de réparer, plus rapidement, les lésions cutanées. [68]

“Fabrication of Conductive Tissue Engineering Nanocomposite Films Based on Chitosan and Surfactant-Stabilized Graphene Dispersions”. Septembre 2022. Cette étude porte sur la fabrication de films en nanocomposites de chitosane et de graphène, avec une biomécanique, une électroconductivité, et une biocompatibilité modulables, en ayant recours au polyvidone et au polymere Pluronic F108 comme stabilisateurs d’émulsion pour l’ingénierie tissulaire conductrice. [14]

“Study on Long-Term Tracing of Fibroblasts on Three-Dimensional Tissue Engineering Scaffolds Based on Graphene Quantum Dots”. Septembre 2022. Cette étude porte sur l’utilisation de points quantiques d’oxyde de graphène, de points quantiques d’amino-graphène et de points quantiques de graphène carboxyl pour tracer les  fibroblastes de la peau humaine. [15]

“Effect of carbon based fillers on xylan/chitosan/nano-HAp composite matrix for bone tissue engineering application”. Février 2022. Cette étude porte sur l’analyse de l’effet des charges dérivées du carbone (oxyde de graphène ou oxyde de graphène réduit) sur le potentiel microstructurel, mécanique et ostéoinductif de la matrice composite xylan/chitosan/HAp (hydrocarbures aromatiques polycycliques) pour une application d’ingénierie du tissu osseux. [16]

“Evaluating the effect of graphene oxide PEGylation on the properties of chitosan-graphene oxide nanocomposite scaffold”. Mai 2022. Cette étude porte sur la fonctionnalisation de l’oxyde de graphène avec du polyéthylène glycol (PEG) pour comprendre l’effet de l’oxyde de graphène recouvert de PEG sur les propriétés de l’échafaudage nanocomposite à base de chitosane. [17]

“Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” Novembre 2022

“Récapitulatif de mes divers Vecteurs de Transmission sur la Toile… au plaisir de la Générosité et du Mutualisme”

Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2022

Réseau de nano-communications intra-corporel : récapitulatif des 49 dossiers de Mik Andersen” 

“Récapitulatif de mes 25 articles corrélés aux dossiers de Mik Andersen”

“Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté”. Octobre 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Juin 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mai 2022”

“Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 10. 2022: Orchestration de la Famine Pandémique”La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les  Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin? Avril 2022

“Récapitulatif des preuves irréfutables – en photographies et vidéos – de la présence de graphène et de nano/micro-technologies dans les injections CoqueVide”.  Avril 2022

“Récapitulatif des articles, études et vidéos, prouvant l’inexistence du Sars-CoV-2”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Avril 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mars 2022”

“Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN. Mik Andersen”. Février 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Février 2022”

“Présentation des analyses microscopiques des vaccins CoqueVide Pfizer en Nouvelle Zélande”

“Le Graphène dans l’Atmosphère” Janvier 2022

“Le Graphène dans l’Agriculture” Janvier 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Janvier 2022”

“Los Cantos de Xochi. Au sujet du 666, du Carbone, du Graphène et de la Bête” Janvier 2022

“Dossier d’accompagnement technique des articles du blog C0r0n@ 2 Inspect”. Décembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Décembre 2021”

“Los Cantos de Xochi. L’Enfant-Vaudou sur l’Autel Vaccinal de la PharMacronie” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2021”

“La Fraude du Covid 19 et la Guerre à l’encontre de l’Humanité” Novembre 2021

“VaccineGate. Présentation et Traduction par feu Serge Rader”

“Des encres à base de graphène comme bio-senseurs dans les vêtements, dans les chaussures… et dans les tatoos!” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Rudy Reichstadt: le Guru Conspirationniste de la Meute Médiatique” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Sexe, Vaccins and Rock the Dolls! Le Sperme au Parfum de Graphène: un Terminator de la Fertilité Féminine?” Novembre 2021

“La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène” Octobre 2021

“Toxicité des nano-particules de Graphène pour le système de reproduction des insectes, des poissons et des mammifères” Octobre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2021”

“Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène”. Septembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Sacrement de la Vaccination et le Culte Covidien de l’Enfant-Vaudou” Septembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Septembre 2021”

“Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?” Août 2021

“Los Cantos de Xochi: Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”  Août 2021

“L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”.

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 09” “L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”. Mai 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 02” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 08” Psychose Pulmonaire sur Mode de Coronavirus au Parfum Chimérique de Chauve-Souris avec un Zeste de VIH… et une Pincée d’Ebola? Mars 2020

“Protocoles de Plantes Médicinales pour les Grippes et autres pathologies respiratoires” Février 2020

“Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déhalluciner le Mental” Janvier 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 07” Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire. Décembre 2019

“Los Cantos de Xochi. En Guise de Déguisements Sémantiques et Mantiques” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 06” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Pandémies Planétaires? Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. Un Temple de la Sorcellerie sur les Cendres de la Cathédrale Consumée?” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 05” Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques. Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 04” 2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 03” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 02” Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants… Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 01” La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. Au Festival des Quenelles de l’Humour: Macron dégage!!!”  31 décembre 2018

“Los Cantos de Xochi: Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale!” 20 mars 2018

Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?” Décembre 2017

La loi Biodiversité de juillet 2016 : un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture ?” Août 2016




Un nouveau paradigme médical

[Source : quantiquemedia.com]

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche. Le Docteur Saputo nous proposera un nouveau modèle de médecine de santé. Il nous expliquera sa façon de travailler. On peut parler ici de nouveau paradigme médical.

[NDLR L’enregistrement date de plusieurs années, mais la problématique soulevée reste d’actualité.]


Note de Joseph Stroberg

La médecine allopathique, comme beaucoup d’autres réalisations humaines depuis plus de deux siècles, repose sur l’approche matérialiste et existentialiste selon laquelle la conscience naît seulement de la matière et s’éteint à la mort physique de l’individu. Ce dernier tend alors à vouloir jouir au plus vite et au maximum de ce qu’il appelle la vie, ceci sans considération des conséquences pour lui-même ni pour les autres et la planète. La conséquence logique est le chaos et la corruption dans tous les domaines de la société[1], la peur de la mort et la manipulation qu’elle permet[2], l’accaparement des ressources par les plus psychopathes[3] et le totalitarisme[4].

Cette médecine « moderne » ou conventionnelle repose bien sûr sur des fondements inversés par rapport à une vision traditionnelle multimillénaire selon laquelle la vie matérielle est subordonnée à celle de l’Esprit éternel et la conscience est immortelle, survivant à la mort charnelle. Elle confond donc le plus souvent, pour ne pas dire toujours, les causes et les conséquences. Elle vise en particulier à guérir les maladies en s’attaquant aux symptômes plutôt qu’à ses causes fondamentales qu’elle cherche par ailleurs rarement. Elle prend des « exosomes » et autres éléments cellulaires naturels ou résultants d’agressions diverses pour des « virus » pathogènes, alors que selon une vision innovante appuyée sur des faits et des expériences scientifiques rigoureuses, ils sont soit des auxiliaires avertissant d’un danger[5], soit des déchets génétiques (d’ADN endommagé ou d’ARN ayant terminé son travail) expulsés des cellules[6]. Elle croit que les bactéries sont des microbes nuisibles, malgré leur existence par milliards dans notre corps, en nombre même plus grand que celui de nos cellules, et que leur fonction observée est celle de minuscule usine chimique utilisant certaines substances dont elles se nourrissent pour les transformer en d’autres produits, dont nous et d’autres êtres vivants peuvent se nourrir à leur tour ou avoir l’utilité. Dans notre corps, elles permettent notamment d’assimiler des nutriments au niveau des parois intestinales et d’accomplir d’autres fonctions, comme le nettoyage de certains déchets ou de cellules mortes.[7]

Le nouveau paradigme médical existe déjà au moins partiellement au travers de différentes approches médicales assez récentes, comme celle de la médecine fonctionnelle (qui s’efforce de travailler sur les causes « racines » des maladies), de la médecine « holistique » (qui considère l’individu dans son intégralité, à savoir son corps, ses émotions, son mental, mais aussi son esprit), ou même de la naturopathie selon laquelle il y a au moins quatre piliers pour une bonne santé : environnement sain, nourriture saine, exercices physiques suffisants (mais modérés) et absence de stress.

Ce paradigme trouve cependant ses racines dans des pratiques beaucoup plus anciennes aussi bien que dans l’approche de Béchamp par opposition à celle de Pasteur[8]. Les maladies y sont alors vues comme le résultat d’un déséquilibre localisé ou général, sur un plan ou un autre de la vie individuelle comme collective. Et un tel déséquilibre peut être causé d’un côté par une déficience, un manque en certains « nutriments » (au sens général ou symbolique du terme, car il peut aussi bien s’agir de nourriture émotionnelle, mentale, psychique ou même spirituelle). Et d’un autre côté, il peut être causé par un excès de nutriments (toujours au sens général ou symbolique), de substances (celles-ci pouvant plus ou moins rapidement devenir toxiques) ou d’autres agents tels que des champs électriques, des champs magnétiques ou des ondes électromagnétiques, surtout sous des formes auxquelles le corps n’est pas habitué ou préparé. Quant aux apparentes épidémies et contagions, elles sont le plus souvent tout simplement le résultat d’une exposition simultanée aux mêmes facteurs nocifs ou aux mêmes déficiences nutritives, se traduisant en symptômes plus ou moins violents d’abord et plus rapidement chez les individus les plus fragiles et à la plus faible vitalité, puis en dernier chez ceux qui disposent d’un plus grand potentiel vital et d’un meilleur équilibre général. Ceux-ci peuvent même alors ne ressentir aucun symptôme.

Les maladies hivernales proviennent d’un manque d’exposition au Soleil et d’une trop vive ou trop longue exposition au froid, facteurs qui fragilisent l’organisme et le rendent donc plus propice à subir plus facilement les autres causes de déséquilibre.

Certaines maladies peuvent néanmoins se communiquer par contagion, par le biais des biophoton[9] (et non pas par de prétendus « virus » pathogènes ni par des bactéries), lorsqu’il existe un état propice entre plusieurs individus, et pas nécessairement par proximité physique (puisque les biophotons s’affranchissent des distances). La peur peut être un facteur facilitateur. Une forme de complicité énergétique (vitale, émotionnelle ou mentale, par exemple) également.





Le sénateur Australien Gérard RENNICK explose le narratif COVID en 11 minutes

[Source : LeLibrePenseur.org]






Anatomie de la trahison de Merkel

[Source : dedefensa.org via echelledejacob]

Par dde.org

• Merkel vient de nous dire avec précision que les accords de Minsk n’étaient faits, selon sa conception, que pour armer l’Ukraine contre la Russie.
• Comment elle a trompé Poutine.

dde.org et Andrew Korybko.

Voici une intéressante analyse de Andrew Korybko de ce que l’histoire pourrait bien reconnaître comme un fait majeur sous l’expression de “la trahison de Merkel”. On sait en effet depuis quelques jours que Merkel confirme entièrement les révélations du “roi du chocolat” que l’on avait prises d’abord pour une crapulerie de plus de la seule direction mafieuse de l’Ukraine. Ce n’est donc plus une “crapulerie” de cette seule direction, mais bien une entreprise complètement soutenue par la puissante ex-chancelière, signataire des accords de Minsk et donc garante, selon les “règles” de la bonne éducation diplomatique de la civilisation européenne, de l’application de ces accords par les mafieux de Kiev.

Note de PhG-Bis : « Et Hollande, autre signataire ? Ni PhG ni Korybko n’en disent et n’en dirons un seul mot, marquant ainsi l’estime que l’on peut avoir de ce qu’est la France devenue…La patrie de Talleyrand, complètement transparente, inexistante, pulvérisée, partie jouer avec quelque poussière égarées sur les costumes impeccables du commis-voyageur, petit télégraphiste de ‘Ursula Waterland’ [comme le colonel Macgregor désigne la présidente de l’Europe], l’inconcevable et indicible Napoléon-Macron. »

Korybko rapporte en détails les relations extrêmement privilégiées entre Poutine et Merkel, dans une aventure où le Russe se trouva complètement embobinée par la Prussienne de l’ex-RDA pendant au moins dix longues années… Presque jusqu’au bout, semble-t-il, presque jusqu’au départ de Merkel, Poutine sembla vouloir croire qu’elle jouerait finalement le jeu et forcerait Kiev, de Porochenko à Zelenski, à appliquer les accords.

Dans ce jeu à sommes multiples et imprévisibles se trouvaient tout de même des intérêts puissants, entre la folie de Nuland et les incroyables constructions de corruption des Biden père & fils. Korybko ne leur accorde qu’un intérêt moyen, mettant l’accent sur le rêve de Poutine poursuivant celui de Gorbatchev, et la lourde marche teutonne… (A ce compte-là, on se prend à penser que la liquidation des jumeaux NordStream est une attaque terroriste des cow-boys anglos bien plus nuancée qu’on ne croit.)  

« En fait, elle n’avait aucune envie de concrétiser ce projet bien qu’elle ait joué le jeu d’une proposition mutuellement bénéfique, puisque la vision stratégique de Merkel consistait à achever le complot de l’Allemagne, vieux d’un siècle, visant à prendre le contrôle de l’Europe sans tirer un seul coup de feu. […]

» … Au lieu de cela, Merkel cherchait impitoyablement à mener à bien le complot séculaire de l’Allemagne visant à prendre le contrôle de l’Europe sans tirer un seul coup de feu, ce que son successeur Scholz a pratiquement admis qu’il s’efforce de faire dans le manifeste qu’il vient de publier dans le magazine Foreign Affairs. »

Certains trouveront beaucoup à redire dans cette approche de Korybko, mais il ne fait aucun doute que les détails et les aléas donnés sur la relation entre Poutine et Merkel, l’originalité et l’audace du propos en général, sont du plus grand intérêt. Là où l’on pourrait diverger tout de même, c’est sur l’appréciation que donne Korybko de l’acte de Merkel d’il y a quelques jours, de jeter le masque, – dont l’effet sera de définitivement débarrasser Poutine et la Russie de son “rêve allemand”. Il écrit après avoir signalé l’article de Scholz dans ‘Foreign Affairs’ :

« Ce n’est pas une coïncidence si, peu de temps après, Merkel a dévoilé ses véritables intentions en jouant le jeu du processus de paix de Minsk, puisqu’il n’y avait plus de raison de rester discrète à ce sujet. Scholz a vendu la mèche en se vantant de l’agenda hégémonique de l’Allemagne qu’il a ouvertement décrit comme étant motivé par le désir de répondre aux menaces qui, selon lui, proviennent “le plus immédiatement” de la Russie. N’ayant rien à perdre, Merkel a ôté son masque et a enfin montré son vrai visage au président Poutine. »

L’explication n’est pas évidente, sinon par l’hypothèse de Martyanov lorsqu’il pose la question, à propos de l’“aveu” de Merkel : “Merkel est-elle stupide ?”. Comme le montre Korybko, le dévoilement du jeu allemand, et particulièrement de celui de Merkel, devrait désinhiber Poutine de ses amourettes occidentales et le décider à lancer toute la puissance russe, non seulement en Ukraine, mais essentiellement dans l’arrangement avec le Grand Sud (Korybko cite avec insistance l’Indien Modi) pour mettre en place les structures multipolaires destinées à porter le coup de grâce aux débris du bloc américanistes-occidentalistes que la “trahison de Merkel” poursuivie par Scholz tendrait à conserver. En fonction de ces diverses considérations, il semble que certains, exposant au grand jour la façon dont elle s’est jouée de Poutine, – et pour quel résultat !, – puissent être tentés de répondre par l’affirmative à la question de Martyanov.

… Et enfin, en dernière minute (mais pas en exclusivité) pour notre présentation, Poutine a dit au monde entier toute son amertume et son désenchantement, du type si l’on veut : “Qu’est-ce que vous voulez faire de ça ?”

« Le président russe Vladimir Poutine s’est dit “déçu” par les récents commentaires de l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel concernant les accords de Minsk, – la défunte feuille de route pour la paix en Ukraine, – dont elle a admis qu’il s’agissait d’une ruse pour donner à l’Ukraine plus de temps pour renforcer son armée.

“Que voulez-vous répondre à cela ? » Poutine a déclaré lors d’une conférence de presse vendredi, ajoutant qu’il était choqué d’entendre un tel aveu de la part de l’ancienne dirigeante allemande, ayant cru que les partenaires de la Russie à Berlin “nous traitaient avec sincérité”. »

Lisons donc l’article de Andrew Korybko du 8 décembre 2022, sous le titre « L’aveu de Merkel selon lequel Minsk n’était qu’une ruse conduit à un conflit prolongé », adapté selon notre technique linguistique.


Par Andrew Korybko

De la “trahison” au “conflit prolongé”

Personne ne peut prétendre avec certitude savoir comment se terminera la dernière phase du conflit ukrainien, qui a été déclenchée par l’opération spéciale que la Russie a été contrainte de lancer pour défendre l’intégrité de ses lignes rouges de sécurité nationale après que l’OTAN les ait franchies. Après tout, les rebondissements qui ont eu lieu jusqu’à présent ont pris tout le monde au dépourvu, de la réunification de la Novorossiya avec la Russie aux deux frappes de drones effectuées par Kiev en début de semaine dans l’arrière-pays de son voisin.

Cela dit, on peut prédire avec certitude que le conflit durera probablement pendant des années, cette prévision étant fondée sur le fait que l’ancienne chancelière allemande, Mme Merkel, a candidement admis que le processus de paix de Minsk n’était qu’une ruse pour renforcer les capacités militaires offensives de Kiev. Ses propos font écho à ceux de l’ancien président ukrainien Porochenko, qui a tenu exactement les mêmes propos [il y a quelques mois], à la différence près qu’il n’a jamais été considéré comme l’ami du président Poutine, contrairement à Mme Merkel.

L’opération Merkel contre Poutine

Ils parlent tous deux couramment la langue de l’autre, ont passé leurs années de formation professionnelle dans l’ancienne Allemagne de l’Est, ont été ou sont à la tête de grandes puissances historiques, et leurs économies respectives sont clairement complémentaires, raison pour laquelle ils ont étroitement coopéré sur un large éventail de questions. Au fil du temps, le président Poutine a commencé à se projeter sur elle et à lui présenter sa grande vision stratégique d’une “Europe de Lisbonne à Vladivostok”, ce qu’elle a accueilli en s’y intéressant de manière rhétorique, laissant ainsi indirectement croire à son adhésion au concept.

Pendant tout ce temps, il s’est avéré qu’elle ne faisait que le duper en disant au dirigeant russe tout ce qu’il voulait entendre, son soutien superficiel au processus de paix de Minsk étant l’exemple même de son approche manipulatrice du président Poutine. Elle a évalué avec précision la passion avec laquelle il souhaitait que la paix règne en Ukraine afin de débloquer le rôle géostratégique prometteur de ce pays en tant que pont entre son Union économique eurasienne (UEE) et son UE, conformément à sa vision à long terme susmentionnée.

En fait, elle n’avait aucune envie de concrétiser ce projet bien qu’elle ait joué le jeu d’une proposition mutuellement bénéfique, puisque la vision stratégique de Merkel consistait à achever le complot de l’Allemagne, vieux d’un siècle, visant à prendre le contrôle de l’Europe sans tirer un seul coup de feu. À cette fin, elle a dû apaiser la Russie en manipulant les perceptions de son dirigeant, afin qu’il la considère à tort comme la dirigeante d’un État ami et qu’il ne fasse pas pression sur le bloc de manière à entraver son objectif d’étendre l’influence allemande sur celui-ci.

Psychanalyse de Poutine

Puisque Merkel a si magistralement joué sur les espoirs du président Poutine en se présentant faussement comme la même visionnaire pragmatique axée sur l’économie que lui, au lieu de l’idéologue à somme nulle qu’elle était vraiment pendant tout ce temps, il a été dupé avec succès pour lui faire confiance. Le résultat final est que le dirigeant russe a patiemment retenu sa puissance pendant près de huit ans, malgré d’innombrables provocations contre ses coreligionnaires dans l’ancienne Ukraine orientale.

Son état d’esprit était que “la fin justifie les moyens”, ce qui, dans ce contexte, faisait référence à son calcul selon lequel le prix payés par le peuple russe du Donbass en vaudrait finalement la peine si sa patience permettait à l’Allemagne de convaincre Kiev de mettre en œuvre les accords de Minsk et de construire ainsi une “Europe de Lisbonne à Vladivostok” qui profiterait à tous. Rétrospectivement, le problème est que le président Poutine était le seul dirigeant qui le souhaitait vraiment.

Il a été trompé pendant près de huit ans par Merkel, avec laquelle il s’est étroitement lié au cours de ses nombreuses années au pouvoir en raison de leurs similitudes personnelles et de sa manipulation réussie de ses perceptions en lui faisant croire à tort qu’elle partageait sa grande vision stratégique, comme expliqué précédemment. En tant qu’homme d’État de bonne foi, il supposait que ses pairs – en particulier ceux qui représentaient de grandes puissances comme Merkel – étaient du même calibre professionnel, ce qui explique pourquoi il tenait pour acquis qu’ils étaient tous des acteurs rationnels.

Jeter le masque

La réalité est tout autre puisque le président Poutine s’est avéré être le dernier véritable homme d’État occidental, ce qui signifie qu’il était le seul à agir sur une base rationnelle alors que tous les autres poursuivaient des objectifs idéologiques. Il ne s’en est rendu compte que des années plus tard, car il a eu la fausse impression qu’ils étaient tous plus ou moins des visionnaires pragmatiques et économistes comme lui, en grande partie grâce au succès de l’opération de gestion de la perception menée par Merkel à son encontre.

La comédie qu’elle a prolongée en prétendant partager sa grande vision stratégique a été suffisamment convaincante pour que le président Poutine baisse sa garde, prenne ses paroles pour argent comptant et suppose qu’elle veillerait à ce que l’Allemagne obtienne finalement de Kiev la pleine application des accords de Minsk. S’il l’avait soupçonnée de malhonnêteté, il aurait certainement abandonné cette approche beaucoup plus tôt, mais il s’est complètement laissé prendre au jeu, car cela correspondait à son préjugé de confirmation selon lequel elle était la dirigeante rationnelle d’une grande puissance.

Cela explique pourquoi il a attendu si longtemps avant d’ordonner l’opération spéciale, car il croyait sincèrement qu’elle partageait sa grande vision stratégique d’une “Europe de Lisbonne à Vladivostok”, nécessitant une paix durable en Ukraine pour se concrétiser. Au lieu de cela, Merkel cherchait impitoyablement à mener à bien le complot séculaire de l’Allemagne visant à prendre le contrôle de l’Europe sans tirer un seul coup de feu, ce que son successeur Scholz a pratiquement admis qu’il s’efforce de faire dans le manifeste qu’il vient de publier dans le magazine Foreign Affairs.

Ce n’est pas une coïncidence si, peu de temps après, Merkel a dévoilé ses véritables intentions en jouant le jeu du processus de paix de Minsk, puisqu’il n’y avait plus de raison de rester discrète à ce sujet. Scholz a vendu la mèche en se vantant de l’agenda hégémonique de l’Allemagne qu’il a ouvertement décrit comme étant motivé par le désir de répondre aux menaces qui, selon lui, proviennent “le plus immédiatement” de la Russie. N’ayant rien à perdre, Merkel a ôté son masque et a enfin montré son vrai visage au président Poutine.

Il ne fait aucun doute qu’il s’est rendu compte, quelque temps avant de lancer l’opération spéciale de son pays, qu’elle l’avait trompé pendant des années ; désormais, le monde entier peut le voir.  […]

L’impact psychologique de la trahison de Merkel

Étant donné qu’elle a si effrontément admis avoir trahi sa confiance en se vantant que “Poutine aurait facilement pu envahir [l’Ukraine] à l’époque” si elle n’avait pas joué le jeu du processus de paix de Minsk et si elle lui avait ainsi permis de retarder l’opération pendant près de dix ans, il est peu probable que le dirigeant russe fasse à nouveau confiance à quiconque à l’Ouest. Cet éclairage psychologique ajoute un contexte crucial au fait qu’il ait déclaré, par coïncidence, le jour même de la publication de son interview, que le conflit ukrainien “pourrait être un long processus”.

Il est clair qu’il a maintenant compris qu’il s’agit d’une lutte prolongée pour l’avenir de la transition systémique mondiale, même si la Russie peut encore gagner stratégiquement, même dans le scénario d’une impasse militaire en Ukraine. En effet, l’une ou l’autre issue permettrait aux processus multipolaires pilotés par l’Inde de continuer à proliférer et de modifier ainsi de manière irréversible le cours des relations internationales. À ce stade de la nouvelle guerre froide, la Russie mène un conflit défensif, mais pour une fois, le temps joue en sa faveur.

Le président Poutine sait désormais que toute accalmie dans les combats ne sera qu’une occasion pour les deux camps de se regrouper, de se réarmer et de reprendre inévitablement les opérations offensives, ce qui signifie que le terrain de jeu stratégique est désormais égal puisqu’il opère enfin selon le même état d’esprit que ses adversaires depuis des années déjà. Cela renforcera sa détermination à continuer de faire tout son possible pour accélérer les processus multipolaires, en assurant l’équilibre de ses relations avec ses grands partenaires [LOC, ou ‘Line of Control’.].

La nouvelle grande vision stratégique de Poutine

Dans la poursuite de cet objectif le plus immédiat, la Russie reprendrait effectivement sa participation au processus de paix précédemment saboté, pour autant que certaines conditions soient au moins superficiellement remplies, mais personne ne devrait interpréter cette évolution potentielle comme un signe de faiblesse stratégique de sa part, contrairement à ce qui s’est passé par le passé. La différence entre hier et aujourd’hui est que le président Poutine a tiré de nombreuses leçons douloureuses et qu’il ne se laissera plus abuser par ses gestes de bonne volonté.

Alors que, rétrospectivement, le processus de paix de Minsk n’était rien d’autre qu’un moyen de manipuler les perceptions du président Poutine afin de l’inciter à faire preuve de retenue et de gagner ainsi du temps pour que Kiev se prépare à une offensive finale dans le Donbass, le processus qui lui succédera ne sera rien d’autre qu’un moyen pour le dirigeant russe de gagner du temps pour que les processus multipolaires continuent de proliférer aux dépens du milliard d’or de l’Occident dirigé par les États-Unis et de leurs intérêts hégémoniques unipolaires.

Le grand objectif stratégique du président Poutine n’est plus “l’Europe de Lisbonne à Vladivostok”, mais la réforme des relations internationales en partenariat total avec les pays du Sud, dirigés conjointement par les BRICS et l’OCS, dont la Russie fait partie, afin que l’ordre mondial devienne plus démocratique, plus équitable et plus juste. Cela correspond à la vision qu’il a présentée dans son Manifeste de la révolution mondiale, sur lequel il s’est appuyé au cours des deux dernières saisons, et qui peut aujourd’hui être décrit comme l’idéologie officieuse de sa Grande Puissance.

Réflexions finales

Les critiques pourraient prétendre que la nouvelle perspective du président Poutine est arrivée huit ans trop tard, mais mieux vaut tard que jamais. Mme Merkel l’a manipulé pendant des années avant de lui avouer sa trahison, ce qui a permis au dirigeant russe de tirer la douloureuse leçon qu’il ne peut plus jamais faire confiance à aucun de ses homologues occidentaux. Au lieu de cela, il embrasse maintenant avec enthousiasme ses homologues des grandes puissances du Sud, en particulier le Premier ministre indien Modi, qui partage sa grande vision stratégique d’un avenir multipolaire.

La transition systémique mondiale se poursuit actuellement sur cette voie, mais elle a encore besoin de temps pour devenir irréversible, ce qui nécessite que la Russie tienne fermement sa LOC. Que ce soit par des moyens militaires, politiques ou une combinaison de ces deux moyens, on attend du président Poutine qu’il fasse tout ce qui est en son pouvoir pour gagner du temps afin que ces processus multipolaires pilotés par l’Inde continuent de proliférer à cette fin, ce qui garantit que le conflit ukrainien restera prolongé quoi qu’on en dise.




Belgique — La propagande transgenre dès la maternelle : le cri d’alarme d’une pédopsychiatre

[Source : medias-presse.info]

En Belgique francophone, la nouvelle version du guide EVRAS, « guide d’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle », utilisé dès les classes maternelles, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les parents après les mises en garde de plusieurs pédopsychiatres qui estiment que certains passages sont « inadéquats », voire « dangereux » pour les jeunes enfants.

Le nouveau guide a été rédigé par l’ASBL O’YES, obsédée par les questions sexuelles, et la très maçonnique Fédération laïque des centres de planning familial.

Sophie Dechêne, pédopsychiatre spécialiste de la petite enfance, annonce d’emblée que plusieurs parties de ce manuel « répondent à des questions que les enfants ne se posent pas ».

Ainsi, lorsque ce manuel traite de l’identité sexuelle :

Dès 5 ans, prendre conscience que son identité de genre peut correspondre ou ne pas correspondre à celle assignée à la naissance. Dès 9 ans, âge où se produit la grande partie du développement pour les corps mâles et les corps femelles, la notion de transgenre apparaît. Il s’agit d’informer l’enfant sur la possibilité de prendre des hormones ou de recourir à des opérations chirurgicales.

Sophie Dechêne met en garde :

« Il y a évidemment un risque d’intrusion psychique chez l’enfant qui est potentiellement traumatique avec un risque de conséquences sur la santé mentale au long terme et même sur la vie sexuelle d’adulte ».

Le guide prévoit aussi de sensibiliser l’enfant, dès 9 ans, à la liberté de choisir son, sa ou ses partenaires. Et toujours à 9 ans, reconnaître que les partages de sextos ou de photos de nudes peuvent être excitants et être source de plaisir. Se sentir ainsi libre d’en envoyer dans le consentement.

« C’est tout à fait inadmissible. Cela doit être revu et corrigé. Un enfant de 9 à 11 ans ne doit pas faire de sexto, et s’il en fait un, c’est que quelque chose ne tourne pas rond dans sa vie quotidienne et il faut consulter », souligne Sophie Dechêne.




La collusion de l’État, des médias et de BigTech a un nom. Serait-ce “fascisme” ?

[Source : h16free.com]

[NDLR À propos de la question soulevée dans le titre, voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Si l’on regarde la presse de grand chemin, la semaine écoulée fut parcourue des mêmes atermoiements énergétiques que d’habitude, des sempiternelles pleurnicheries politiques et sociales que la France connaît depuis trop longtemps et qui l’engluent dans un surplace maintenant problématique. En revanche, du point de vue des réseaux sociaux, la même semaine fut au contraire riche d’enseignements…

Si l’on suit un peu l’actualité balayée par un Twitter décidément très différent de ce qu’il fut il y a encore un mois, difficile de voir un lien avec les niaiseries assommantes et les sujets volontairement distractifs que la presse de grand chemin continue de traiter. L’écart entre le réseau social de Musk et la presse étatique subventionnée est très troublant.

Comment ne pas voir la gourmandise presque obscène avec laquelle cette presse grand public s’est jetée sur les discours délirants d’une starlette hollywoodienne dont les saillies antisémites laissent perplexe, et l’absence totale, résolue et franchement inquiétante de tout traitement des révélations contenues dans les e-mails du Dr Fauci ?

Pour rappel, Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis et fut le responsable de la réponse gouvernementale américaine à la récente pandémie, de février 2020 jusqu’à décembre 2022, mois où il prend (commodément) sa retraite. Or, le Fauci en question accumule ce qui ressemble à des mensonges sur sa façon de gérer la crise en question, les protocoles en place, et surtout l’origine du virus. Les e-mails qui viennent d’être publiés montrent maintenant sans l’ombre d’un doute que le virus sort bien du laboratoire de Wuhan et qu’il est le résultat de manipulations génétiques (gains de fonction) en partie financés par l’institut de Fauci lui-même.

[NDLR Concernant l’hypothèse du virus manipulé en laboratoire, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Dans ce cadre, les déclarations lunaires de Kanye West tombent à pic. Elles agitent la sphère politique, jettent de l’huile sur le feu de tensions raciales toujours présentes aux US, et font rapidement oublier le désastre de l’administration de la Santé au sujet du coronavirus. Bonus additionnel : plus personne ne semble vouloir parler de l’affaire Balenciaga, éventée sur Twitter encore, qui révélait pourtant l’appétit étrange de la marque pour la pédophilie, maintenant présenté comme une malencontreuse erreur de casting photographique. Et même si, d’habitude, absolument rien dans ce genre de photos publicitaires haut de gamme n’est laissé au hasard, même si l’accord final pour la publication des clichés n’est jamais le fruit d’une personne unique, tout le monde dans la presse de grand chemin semble vouloir croire à des choix infortunés.

Pratique.

On devra s’interroger sur le fait que ces révélations majeures (e-mails de Fauci, pédophilie dans une grande marque de mode) ont été complètement minimisée par toute la presse occidentale. On pourra s’interroger aussi, encore plus fermement, sur l’absence de tout traitement des révélations contenues dans les “Twitter Files” qu’Elon Musk a fait paraître vendredi dernier.

Ces “Twitter Files” – dont on pourra apprécier une partie du contenu en français ici – établissent sans l’ombre d’un doute que la plateforme maintenant possession d’Elon Musk, a utilisé tout son poids pour influencer la campagne électorale et l’élection présidentielle américaine en 2020. Pire : recevant des demandes de certains membres (démocrates) du Congrès et du Parti Démocrate, et ayant été démarchée par le FBI quelques semaines auparavant pour s’assurer qu’aucune “désinformation” ne serait diffusée, la plateforme s’est empressée de censurer et faire disparaître certaines informations compromettantes pour la campagne de Joe Biden, à commencer par ce qui concernait l’ordinateur portable de son fils Hunter dont le contenu, relaté par le New-York Post, fut rapidement (mais faussement) attribué à de la propagande russe et donc banni de toute discussion sur Twitter puis l’ensemble des réseaux sociaux occidentaux.

Depuis, on sait que l’ordinateur appartenait bien à Hunter, qu’il n’y avait pas plus de désinformation russe que de beurre en broche, et les preuves s’accumulent à présent montrant que le fils de Joe Biden a largement profité de la position de son père sous l’administration Obama pour des gains personnels, du trafic et du recel de trafic d’influence, des détournements de fonds et plus encore comme en témoigne l’impressionnant dossier Marco Polo dont ces lignes avaient déjà parlé précédemment.

Comme il se doit, la presse grand public n’évoque quasiment pas le sujet : tout ce qui pourrait nuire à Biden ne mérite même pas un entrefilet et surtout si cela revient à montrer sa totale collusion avec l’appareil d’État. La façon dont elle réagit actuellement en dit long sur ce qui la préoccupe ; les célébrités, les politiciens et les journalistes qui s’agitent autour de la liberté d’expression revenue sur Twitter en disent beaucoup plus long sur eux-mêmes que sur Twitter. Aucun d’entre eux n’est plus dans le camp de la raison, de la paix et de la liberté d’expression, mais tous se situent bien plus clairement dans celui de l’émotion brute, du conflit et de la censure.

La réaction récente de l’Union Européenne vis-à-vis de Musk et de Twitter illustre fort bien ce dernier point : en réclamant un retour d’une modération ferme établie selon les règles arbitraires de la Commission, les autorités européennes montrent assez bien où elles se situent dans le théâtre actuel et ce n’est vraiment pas du bon côté de l’Histoire.

À présent qu’est clairement établi, sans le moindre doute, que Twitter, tout en prétendant jouer de neutralité, faisait en réalité de la censure de contenu sur ordre d’un parti politique, on ne peut qu’imaginer ce qui se passait, au même moment, sur Facebook ou d’autres réseaux, et au sein d’autres entreprises comme Google ou Apple. Il sera impossible, à présent, de croire qu’il n’y avait pas de collusion globale de ces BigTech avec l’establishment de gauche américaine, et plus largement occidentale tant on retrouve les mêmes problématiques des deux côtés de l’Atlantique.

Avec ces Twitter Files, il est maintenant prouvé que l’État et les BigTech ont clairement agi de concert, se sont coordonnés pour étouffer tout discours différent de l’officiel, pour écraser et effacer toute opinion dissidente dans plusieurs grands sujets politiques, depuis l’élection 2020 aux États-Unis jusqu’à l’origine du virus du covid, en passant par l’efficacité et l’innocuité de plus en plus évasives des vaccins.

[NDLR Concernant l’hypothèse d’une nouvelle maladie baptisée Covid-19 soit due à un supposé nouveau « virus » (lui-même trafiqué ou non), voir aussi :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G]

On pourra se demander s’il existe un mot pour une forme de gouvernement dans laquelle l’État fait plier les intérêts des entreprises privées vers les siens. Ah mais, sapristi, oui, bien sûr ! Il s’agit de fascisme !

« FASCISME
Vous pensez vraiment que ce sera si évident ? »



RADIATION : AU TOUR DU DR MARC GIRARD éminent expert auprès des tribunaux. Personne n’échappe à la chasse aux sorcières. Jusqu’à quand ?

Par Nicole Delépine

HOMMAGE AUX PERSONNELS SUSPENDUS PAR MARC GIRARD (sur son site)

« Le contraste entre la misère objective où se trouvent acculés les soignants (les petits, surtout : aides-soignants, femmes de ménage et personnel de service) et le ridicule du prétexte sanitaire (se défendre contre les rhumes) en dit tristement long sur l’état de sauvagerie où en sont arrivés tous ceux qui, sous prétexte de soins, se voient dépositaires d’une mission sacrée : tenir à distance la maladie (sinon la mort) et, surtout, faire preuve d’autorité à l’endroit des plus faibles. »

INLASSABLE LANCEUR D’ALERTE DEPUIS LES ANNÉES 90, le Dr Marc Girard a informé ceux qui ont accepté de l’écouter (car la pensée unique ne date pas d’aujourd’hui) sur le distilbène, l’hormone de croissance, le vaccin contre l’hépatite B1, la dangerosité du vaccin H1N1, les dangers du Gardasil inutile et dangereux2, les inconvénients de la mammographie, du dépistage du cancer de la prostate par le PSA, sur la mascarade du procès mediator etc.. sur les risques des imprégnations hormonales des femmes… et bien sûr sa critique clairvoyante de la gestion du rhume covid.3 Son parcours émaillé de la révélation de tant de scandales médicaux-sociaux l’ont conduit à son propre drame personnel par la persécution des autorités depuis de longues décennies. Son roman de vie mériterait un volume en soi qui éclairerait son parcours personnel en le remerciant, mais surtout l’état de la pharmacovigilance en France depuis les années 90. 4

Que de sujets tabous a-t-il abordé au grand jour à l’heure où les médias étaient un peu moins fermés qu’aujourd’hui bien que déjà travaillés au corps par big pharma. Je l’ai rencontré sur le plateau de C dans l’air en 2011 environ, alors qu’il présentait un livre sur les dangers des médicaments et que j’étais invitée à propos de mon livre « la face cachée des médicaments ». Nous étions en phase, encore tolérés sur les plateaux (à peine) et cela ne m’étonne pas que ce médecin instruit, pionnier de la pharmacovigilance française, déterminé, honnête, d’un autre monde finalement, ait été persécuté jusqu’à la radiation… 5

INSUPPORTABLE une nouvelle fois, après la censure et l’interdiction d’exercer la médecine de nos parlementaires6, on apprend ce jour la radiation du Dr Marc Girard, en même temps que fleurissent à nouveau sur nos antennes (on va casser nos télés avant longtemps) des pseudo médecins statisticiens, généralistes, urgentistes ou autres qui en plus des mensonges avérés qu’ils recrachent, insultent les médecins. Le pseudovax éviterait les formes graves contre toutes les évidences statistiques. Ils traitent les collègues vaccino prudents de « rien », de déchets ou autres galanteries. Quand les citoyens les poursuivront-ils pour mensonges, intoxication aux conséquences dangereuses et insultes discriminatoires de leurs collègues médecins ? 7

Radiation définitive du Dr Marc Girard – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) 8

Qui est le docteur Marc Girard ? Voilà la description de son parcours sur son site fort instructif qu’il faut lire, en particulier pour ceux qui s’intéressent au scandale précurseur de la vaccination contre l’hépatite B (encore obligatoire chez les nourrissons suite à la loi de Mme Buzyn), mais aussi à l’histoire cocasse du médiator, etc..

Ses livres, tous riches en informations bien cachées par les médias sont sûrement autant d’aiguillons qui ont heurté les représentants de notre profession qui ne se préoccupent plus que de la censure contre tout ce qui n’est pas la doxa des pouvoirs publics au service de Big Pharma, lui-même serviteur parmi les plus « zélés » du Nouvel Ordre Mondial.

Et cerise sur le gâteau, à l’heure de la retraite, lorsqu’il déménage, l’ordre « perd » son dossier.

« Il refournit tous les documents, mais au lieu de délivrer la carte professionnelle en s’excusant, il est réévalué par des nuls et est radié ! »

https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/ 5:28 PM · 1er déc. 2022

La question à poser est jusqu’à quand la passivité des citoyens ?

Ils pleurent (à juste raison) à l’arrivée des services d’urgence quand ils attendent des heures sans boire, sans manger, sans soulagement, mais laissent nos médecins compétents, solides se faire virer sans ménagement… y compris les courageux médecins suspendus pour avoir eu le courage de leurs opinions, quand les ministres qui les insultent avouent eux-mêmes ne pas être injectés ou que beaucoup de leurs collègues députés ou sénateurs ne le sont pas. Et chaque jour, une nouvelle radiation ou nouvelle suspension pour avoir trop parlé !9

Si vous voulez que renaisse la médecine, il faut nous aider, vous tous citoyens et ne pas tourner la tête, à reconquérir notre pouvoir médical et supprimer celui des instances bureaucratiques et singulièrement celui des agences régionales de santé qui gèrent financièrement la médecine.

Pourtant la médecine n’est pas une marchandise et faire des pubs télé pour les pseudovax comme pour des parfums est insupportable.

Une réflexion déjà ancienne sur la médicalisation et ce qu’elle dissimule : la vie, la sexualité, la mort…

Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d’avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s’exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ».

Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l’encontre d’un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu’entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.

Le présent site récapitule les réflexions nées de ces interrogations anciennes, mais dont l’actualité serait difficile à ignorer. »

ET VOICI SA RÉACTION SUR SON SITE À CETTE MONSTRUEUSE INTERDICTION DE MÊME SE PRESCRIRE UN ANTIBIOTIQUE OU UN ANTICOAGULANT

Radiation définitive du Dr Marc Girard

30 novembre 2022

Eh bien ! Ça y est, c’est fait ! Je ne suis plus médecin. Plus du tout. Plus jamais. Définitivement radié de l’Ordre. Donc interdit de prescrire même des antalgiques banals, même des médicaments contre le rhume, même des somnifères réputés anodins…

Parce que je me suis lancé sur un sujet hautement polémique, comme le Covid, comme telle ou telle vaccination, comme la mammographie, comme le dépistage du cancer de la prostate, comme les nouveaux anticancéreux ? Que nenni ! Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre…

Radiation d’autant plus sidérante que, aussi bien chez les experts judiciaires que chez les médecins, je n’ai quasiment jamais vu de suspension, si motivée fût-elle, qui ne soit temporaire : même après une faute grave, on tend presque toujours à passer l’éponge après un certain temps. Mais le Dr Girard, ça doit soulager de le virer définitivement.10 11

Sans me fourvoyer dans la doléance égocentrique, je crois qu’il est utile d’entrer un peu dans l’historique de cette situation. Après des études brillantes, menées dans un CHU prestigieux (Necker EM) et couronnées par un prix de thèse, j’ai eu une pratique intensive de médecin généraliste, pas intéressé par l’internat (concours dont la débilité m’est toujours apparue flagrante). Domicilié dans les Yvelines, j’étais dûment inscrit à l’Ordre de ce département durant 35 ans. En 2018, ayant décidé de me replier dans la Mayenne natale pour ma retraite, je me tournais naturellement vers l’Ordre de ce département pour obtenir le transfert de mon dossier et mon inscription en Mayenne. Là, première surprise : mon dossier s’est révélé introuvable. Après un moment de panique, j’ai retrouvé — et fourni — tous les documents attestant mon parcours et authentifiant mes titres : ils n’avaient pas été obtenus à la sauvette ou moyennant finance.

Comme un con, j’ai imaginé que le problème était résolu, et j’ai commencé à attendre mon caducée, ma nouvelle carte professionnelle et mes ordonnances. Mais au lieu de s’excuser pour cette gabegie dans son archivage, l’Ordre mayennais s’est mis en tête de m’évaluer. Malheureusement, surtout quand on est un médecin nourri de presse médicale type Le Quotidien du médecin, on n’évalue pas le Dr Girard sans avoir autant réfléchi que lui : sans apercevoir l’incongruité du propos, l’un des « experts » autoproclamés chargés de m’évaluer n’avait aucune notion des objections qu’on peut — qu’on doit — adresser aux statines et à leurs prescripteurs ; un autre refusait même l’idée qu’au-delà de trois médicaments par personne — surtout chez une vieille dame de 85 ans — on nage dans l’inconnu (outre les trois principes actifs, on a la bouteille à l’encre de tous les métabolites) — mais peut-être mes évaluateurs ignorent-ils ce qu’est un métabolite. On peut également alléger une ordonnance : l’expérience atteste que diminuer le nombre de médicaments prescrits tue rarement le patient concerné, alors que l’inverse n’est pas vrai.

Il est notoire pourtant que certaines régions françaises (la Mayenne, justement) souffrent d’une pénurie grave de médecins, conduisant à recruter soit des étudiants ayant échoué au concours, soit même des médecins étrangers baragouinant un français approximatif, mais ayant obtenu — Europe oblige — le titre de médecin dans un pays étranger au terme d’études non moins approximatives, par exemple en Bulgarie où la pègre fait sa loi et où, si l’on en croit Le Figaro (02/10/22), « la corruption est endémique ». Voici quelques semaines, la presse locale faisait état des files d’attente occasionnées par la réinstallation d’un médecin retraité (qui avait dû finir par s’ennuyer), à côté desquelles celles occasionnées par l’enterrement récent de la Reine d’Angleterre avaient l’allure d’un aimable pique-nique. Il est non moins notoire qu’Internet fourmille de menaces sanitaires et d’offres de soins plus que douteuses qui devraient appeler une réaction ferme et coordonnée des professionnels.

Bon, bref. Je ne compte pas me laisser faire ni prendre des cours de français. Mais il me paraît utile d’informer les gens de ce qui m’arrive et qui dit beaucoup du milieu médical français (à l’égard duquel j’ai toujours eu une position très critique). J’invite tous mes lecteurs à retransmettre cette histoire exemplaire à leurs proches, à la presse, à leurs responsables politiques…

L’Ordre n’a qu’à bien se tenir…

Sur le coup, c’est vexant d’être radié. Mais est-il si flatteur d’en être ? »

QUELQUES RÉFLEXIONS DE TWITTOS SCANDALISÉS

@FabriceMegrot
#radiation du Dr Marc GIRARD. Encore un grand médecin maltraité. À lire, ses travaux et son site Internet riche
@BanounHelene 1er déc.

Encore un médecin compétent et courageux radié par l’Ordre : il s’est opposé à Big Pharma depuis bien longtemps ! C’est un expert en pharmacovigilance
https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/

Dès 2009, le Dr Marc Girard a contesté les affirmations de Madame Bachelot alors ministre de la Santé, ancienne pharmacienne sur la vaccination H1N1. Elle défendait son vaccin anti H1N1 avec les mêmes mots qu’elle a défendu la vax anticovid. Jouer sur la peur, on prend les mêmes et on recommence. Les représentants du pouvoir ont été beaucoup plus efficaces avec le covid dans la désinformation ; mais n’ont pas pardonné au Dr Marc Girard sa clairvoyance.

En 2020, il a alerté à nouveau la population et rappelé les techniques de manipulation utilisées par le gouvernement, qui auraient dû rendre prudents les citoyens.

Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l’anecdotique » (p. 173), une « rhétorique de globalisation » (p. 175) et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu’à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu). »

Et ce chapitre de réflexion générale : « Élever le débat en 2009, c’était — exemple parmi bien d’autres — créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d’en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l’actualité après “la divine surprise” (pour les patrons…) de Macron-président et son coup d’État du 16 mars 2020.

Élever le débat, c’est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.

  • Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l’expertise, ce n’est pas celle des liens d’intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c’est celle de l’incompétence.
  • La lecture scientifique, c’est comprendre que la recherche clinique en général, et l’évaluation des médicaments en particulier, n’ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement “scientifique”, centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous “les sages et les savants” qui se prévalent bruyamment d’une agrégation, d’un doctorat d’État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM…), mais peu pertinente pour l’espèce.
  • La lecture morale, enfin, c’est comprendre que la faute des autres, pour patente qu’elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du “matérialisme historique”, le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c’est une invitation à y inclure les fausses “alternatives” des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d’autant plus que, voyage organisé parmi d’autres, elles sont exotiques (et qu’elles n’impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme…). »

et comme disent des commentateurs sur twitter : Patricia Chaibriant 19 août 2021

« Macron et Veran ne se sont pas foulés pour essayer de nous terroriser avec le covid afin de caser du vax, ils ont repris les rôles de Sarkozy et Bachelot dans l’arnaque de la fausse pandémie H1N1 de 2009 ».

« Marc Girard et la Bachelot qui nous a coûté des millions € »

L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale »

L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale » Emission du 25 Octobre 2009 — 23 h.
Intervenants sur « La Locale » :
—Christian Cotten (Journaliste),
—Dr Vercoutere (Docteur),
—Jean-Frédéric (citoyen),
Intervenants sur France 24 :
—Jennifer Knock (Spécialiste Santé à France24),
—Marc Girard (Médecin) C*0*V*I*D* : TOUTES RESSEMBLANCES AVEC DES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS NE SERAIENT QUE PUR HASARD ! (lol si le hasard existe, bien sûr)

Le Dr Marc Girard a aussi combattu les effets secondaires des vaccins comme le Gardasil contre le HPV

@FrancoisTribun 23 nov.

« Je partage le travail de Dr Marc Girard, pionnier de la pharmacovigilance. Il expose le danger réel d’effets secondaires graves pour des vaccins comme le Gardasil (HPV). Si un casque peut vous étrangler alors son usage devient aberrant. »

En 2020 il croyait qu’on pouvait discuter ensemble des vaccins, etc..12 il avait beaucoup d’illusions comme la suite du scénario covid l’a démontré

https://www.facebook.com/watch/?v=1316075092092376

Plongez-vous dans son site, vous ne perdrez pas votre temps, car Marc Girard a été précurseur de la réflexion sur la conduite à tenir sur les sujets qui nous agitent depuis 2020. Par exemple

« Principe de précaution

Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m’a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les “experts”, chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : “prudence”, “prévention”, “précaution”…

Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d’une réflexion sur la protection de l’environnement : il s’imposait d’autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D’où mon constat tiré d’une expérience assez intensive et dont la pertinence s’est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j’ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de “précaution”, commencez par rechercher le cadavre de la prudence — et retrouvez les assassins. »

Et même si Marc a parfois la dent dure, c’est un honnête homme, un tendre qui aime profondément les autres humains et refuse toute concession au politiquement correct et au langage diplomatique.

« Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009

« La triste réalité, c’est qu’il n’est simplement pas possible d’être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l’effarante efficacité des lobbies, l’impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence(…) »

Alors chers concitoyens, si vous ne voulez pas collaborer à l’enterrement définitif de la médecine française, et la disparition de ses représentants authentiques les plus courageux, défendez bec et ongles les soignants, médecins, personnels administratifs, pompiers, enseignants13, etc. suspendus contre TOUTE LOGIQUE SANITAIRE. Ne laissez pas notre belle France devenir un état totalitaire où seules des injections « préventives » seraient proposées contre toutes les maladies.


1 Vaccin contre l’hépatite B : l’urgence d’une ré-évaluation – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
https://www.rolandsimion.org/wp-content/uploads/2004/09/vaccin_hepatite_B_URGENCE.pdf

2 Gardasil et questions de tolérance – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

3 Un exemple de dictature médicale – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

4 L’exemple récent du dr amine umlil : Les experts de santé ont-ils droit à la liberté d’expression ? Le pharmacien Amine Umlil que nous avons eu l’occasion de recevoir dans les débriefings voit son poste menacé au Centre hospitalier de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Son président, Pierre Vollot le dénonce au CNG (Centre national de gestion) le menaçant de « sanctions disciplinaires » ainsi que de « poursuites pénales ». Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction | FranceSoir

Dr Amine Umlil au Sénat : « Le seul critère juridique pour imposer le vaccin, c’est que le vaccin empêche la transmission virale » (lemediaen442.fr) 24 mai 22 « depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n’a pas été donnée de l’efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu’il s’agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d’informer les gens que l’essai clinique était toujours en cours et qu’il s’agissait d’un produit expérimental.

5 « Fin septembre 2009, en pleine panique “pandémique” (dûment attisée, entre autres, par des “experts” dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d’écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu’il m’avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre “Alertes grippales. Comprendre et choisir”.

Dès l’Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu’un professionnel (un vrai…) leur fournisse les mots “pour organiser un contre-discours rigoureux” : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les “citoyens qui ne veulent pas se laisser faire”. D’où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :

“Lorsqu’on est profane, est-il possible d’auditer le discours des experts ?”.
Alertes grippales — comprendre et choisir — Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

6 A. houpert et M. Wonner

7

vidéo à écouter et partager !

8 Le site de Rolandsimion est le site du DR Marc Girard en hommage à son oncle résistant :

« Roland Simion était un jeune ouvrier de la France d’en bas, qui refusa de partir pour le STO institué par l’occupant durant la seconde guerre mondiale. Il resta durant des années dans le maquis aux alentours d’Evreux. Il fut capturé et immédiatement assassiné par les soldats allemands juste le jour précédant la libération de sa ville. Il était âgé de 20 ans.

Pour un spécialiste du médicament (cf. 29), il est moins héroïque de rester indépendant tout en s’astreignant à rester compétent — ce qui requiert forcément de travailler avec les fabricants : mais, dans un monde où “l’industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires” (Brit Med J, 16 Nov 2002), c’est aussi une forme de résistance.

Ce site est dédié à la mémoire de Roland, qui fut — et qui reste mon oncle. Il sera le lieu d’une réflexion sur la médicalisation, et sur tout ce que dissimule cette aliénation : la vie, la sexualité, la mort… »

9 L’Ordre des Médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques — AIMSIB :

« Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture.

Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? »

10 Il y a quelques semaines le dr Gayet médecin hospitalier toujours mesuré dans ses interventions fut aussi radié contre toute évidence. « Dr Stéphane Gayet Médecin infectiologue et hygiéniste.

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté ».

https://odysee.com/$/embed/@Cielvoile:e/gayetr:4?r=6rKHgmeCEdX1bto9c7WSjHtJta1RbQZy

11 « Pour être précis, comme expert judiciaire, je n’ai pas été viré (ce qui m’aurait ouvert la porte d’un appel), mais non réinscrit (l’inscription sur les listes n’étant pas un droit, il n’y avait aucun appel possible) »

12 ttps://www.lelibrepenseur.org/les-experts-sont-les-hommes-de-paille-des-lobbys-financiers-par-le-dr-marc-girard/

13

Et pourtant des autopsies ont prouvé que les microfibres entraînent de graves formations de nodules dans les poumons, etc..




France — HANOUNA ET LES GRANDS MÉDIAS DÉZINGUÉS EN 15 MINUTES

[Source : Le Média]




Les démembristes et leurs alliés djihadistes contre la Nation

Par Lucien SA Oulahbib

Les démembristes se présentent comme « scientifiques » et même « démocrates » prétendant « déconstruire » les préjugés, les narratifs afin de « lutter contre les discriminations », tous les « négationnismes » (santé, race, genre, climat, islam, aujourd’hui) et autres « conspirationnismes », « complotismes », etc.. Et, pour ce faire, ils ont l’aval de grandes instances qui légitiment (agences de presse, académies, agences gouvernementales, internationales, intellectuels organiques). Alors qu’en réalité, tout ce que ces démembristes racontent s’avère non seulement faux, et l’erreur est humaine, mais mensongers, ce qui est bien plus grave en termes de préméditation qu’il n’est guère besoin de relier à telle ou telle officine tant cela ne tient déjà pas debout devant les faits qu’ils s’empressent d’effacer avec de pseudo « vérificateurs » dont l’inanité est aujourd’hui prise sur le fait.

Rappelez-vous par exemple cette histoire prétendant, du moins au temps où ils étaient encore comptés, que la plus grande présence d’injectés à l’hôpital était uniquement due au fait qu’il y en avait bien plus en soi que de non-injectés, alors qu’au tout départ cela signifiait surtout que cela ne marchait pas, d’où leur présence, souvent répétée, à l’hôpital. De plus, ils n’ont pas eu le droit d’être soignés autrement, même si, dans le monde entier maintenant, remontent les preuves de l’efficacité des traitements précoces qui ont été interdits parce que leur emploi aurait empêché la commercialisation d’une injection qui non seulement s’avère donc inefficace (il faut ainsi la reprendre plusieurs fois pour de nouveau avoir un « flash » d’anticorps puis cela retombe), mais cette injonction devient de plus en plus dangereuse en particulier pour les moins de cinquante ans. Une somme sur toutes ces questions (outre le dernier livre de Christian Perronne) vient d’être publiée en la matière : Ne leur pardonnez pas ! Ils savaient très bien ce qu’ils font.

Observez également comment le démembrement du réseau des centrales nucléaires est au cœur en réalité de ladite « affaire Alstom » puisqu’il s’agissait de se débarrasser de la moitié du parc nucléaire (le fameux 50/50), d’où d’un côté la non-nécessité d’une maintenance optimum sur celles qui devaient disparaître comme l’a expliqué l’ex-PDG d’EDF (récemment débarqué pour l’avoir rappelé), d’où encore l’état actuel du parc, et, de l’autre côté, et ce par déduction, le caractère alors non indispensable du pôle turbines d’Alstom, ce qui permettait ainsi de le démembrer tout à fait tranquillement (et plus-value « privée ») dans le cadre global de cette dite « transition » vers les dites « énergies renouvelables » (et la loi de 2015 entérinant dans son article L100-4 alinéa 5, la réduction du nucléaire n’a toujours pas été abrogée) alors que l’entreprise américaine réactivant sa filière nucléaire en avait, elle, besoin.

Certes, aujourd’hui, devant le fiasco de ces énergies renouvelables, surtout si elles ne sont pas couplées au gaz de plus en plus raréfié par décision unilatérale et sabordage des gazoducs (afin d’éviter l’essor d’une puissance énergétique germano-russo-française), il a été décidé de racheter en pleine campagne électorale et à prix exorbitant ces turbines, mais comme la loi n’a pas été abrogée, et comme la France vient d’être condamnée à payer une amende de 500 millions pour retard dans la construction de « renouvelables » et non pas de nucléaires, il est à parier que le démembrement n’a pas encore dit son dernier mot

Observez ensuite comment les démembristes de la Nation et du Genre (sexuel et humain) continuent à travailler main dans la main avec ces djihadistes qui durcissent leur position sur le port des vêtements affiliés et aussi sur la diabolisation d’Israël présenté comme tueur d’enfants nécessitant les boycotts divers et les attaques incessantes dans les quartiers pour en faire de plus en plus des endroits « judenrein ». L’intérêt des premiers est de se servir des seconds pour justifier le démembrement des frontières et des coutumes libératrices issues des années 60 posant qu’une femme n’a pas à justifier son désir d’être seyante, et donc de le cacher. L’intérêt des seconds est de se servir des premiers comme on l’a vu en Iran et en Algérie dans les années 1980-1990 pour prendre pied dans les institutions au nom de la liberté d’expression, et de la refuser y compris pour leurs propres dissidents au nom de leur propre loi fondamentale jugée supérieure pour beaucoup à la Constitution nationale. Le fait par exemple qu’un supporter dit « marocain » ait osé monter à l’étage d’un supporter belge pour lui arracher son drapeau (alors que le Maroc avait gagné…) EST le symbole par excellence de ce mépris du vainqueur sur le vaincu, le « cri de triomphe » (chers à Conrad Lorenz et Pierre Janet) s’accompagnant de destructions cathartiques.

On pourrait ajouter enfin que nombre d’endroits deviennent même « autochtonerein » (les autochtones, mais aussi les immigrés ayant choisi de vivre dans la culture française faisant leurs valises pour éviter le cercueil des attaques permanentes au couteau), le tout donc dans le cadre de ce néonazisme ambiant qui applique à la lettre la manipulation génitale avec la pression « trans » empêchant aujourd’hui ne serait-ce que d’en discuter, la manipulation hygiéniste par l’injection de substances aux effets inconnus sinon par les effets secondaires désormais innombrables (puisque seulement 10 % sont saisissables), enfin la manipulation sectaire se déployant désormais partout, jusqu’au climat confondu avec la nécessaire lutte contre la pollution, les gaspillages énergétiques et la prolifération des déchets, alors que les observations, et non pas les estimations, montrent d’une part que le réchauffement s’avère bénéfique pour la végétation, et la vie humaine en général (« la » bio-diversité comme concept complexe en réalité) et que d’autre part par exemple la « banquise arctique se reconstitue » montrant par là comme l’avait déjà formulé le regretté Marcel Leroux que le climat change toujours et que parler de « changement climatique » est un pléonasme.

Au final, il semble bien que le terme de démembriste convient bien mieux pour qualifier tous ceux qui veulent démembrer le corps, la culture, l’économie, la politique, en un mot la Nation et l’universalité qui la génère en ce sens où il existe des conditions objectives permettant de la développer, un fond commun que la diversité humaine et ethnique peut s’approprier pour créer un mieux être à la fois individuel et collectif le tout de façon cependant singulière ou la néo-modernité.




La corruption détruit la science, la médecine, le journalisme, la politique et menace la démocratie

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

« Un conflit d’intérêts naît d’une situation dans laquelle une personne employée par un organisme public ou privé possède, à titre privé, des intérêts qui pourraient influer ou paraître influer sur la manière dont elle s’acquitte de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été confiées par cet organisme ».

(Service central de prévention de la corruption, Rapport 2004)

Depuis trente ans la mondialisation a permis l’émergence de très grandes entreprises mondiales qui utilisent leur puissance financière considérable pour créer des liens financiers et extra financiers avec les scientifiques, les fonctionnaires et les politiques pour favoriser leurs intérêts. Cette corruption croissante atteint un tel degré, et dans tant de domaines qu’elle menace la science, la médecine, l’information et la possibilité de s’exprimer et ainsi la démocratie.

Dans cette tribune, nous décrirons quelques dégâts de la corruption sur la science et la médecine, car la liste en est longue…

La corruption de la science menace les progrès de la connaissance

Les liens d’intérêts financiers entre les chercheurs, médecins et industrie sont extrêmement fréquents dans la recherche biomédicale. Les essais cliniques sont majoritairement initiés et financés par l’industrie et consistent principalement en des études pilotes privilégiant l’innovation plutôt que les études comparatives des médicaments nouveaux aux médicaments anciens qui ont prouvé leur efficacité1.

Il existe une hiérarchie des rétributions selon l’utilité des intervenants : quelques centaines d’euros pour un médecin, quelques milliers pour un investigateur qui inclue des malades dans un essai thérapeutique, quelques dizaines ou centaines de milliers pour le promoteur d’un essai important ou un leader d’opinion.

En France, un médecin peut être à la fois : chef de service hospitalier, professeur des universités et donc enseignant, consultant rémunéré par l’industrie pharmaceutique, membre d’une agence gouvernementale régulant le marché du médicament, interviewé par les médias sur les avantages et inconvénients d’un médicament en oubliant de préciser ses liens avec la firme qui le commercialise (acte contraire à la loi transparence-santé de 2011, mais que le conseil de l’ordre des médecins, qui en est légalement, chargé ne poursuit que très exceptionnellement.)2

Ce cumul des fonctions, caricature des conflits d’intérêts est extrêmement rentable. Des sommes de 10 000 euros par mois ne sont pas exceptionnelles et l’Inspection Générale des Affaires Sociales a révélé qu’un leader d’opinion peut toucher plus de 600 000 euros pour un seul contrat de consultant, bien plus que son traitement annuel d’hospitalo-universitaire pendant 5 ans !

Selon les recherches effectuées par l’AFP sur Euros for Docs, près de 195 000 euros ont été déclarés par des industriels à la Pr Karine Lacombe, ce qu’elle a généralement omis de mentionner lors de ses prises de parole concernant les médicaments sur les plateaux TV alors que la loi transparence santé l’exige.

France Soir a établi un top 13 des « revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique » à des médecins3 en vue :

Pr François Raffi4 de Nantes aurait touché 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead.

Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d’Abbvie.

Le Pr Jean Michel Molina co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, journal officiel de la SPILF, sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d’Abbvie.

Le Pr Gilbert Deray, néphrologue très présent sur les plateaux télé 160.649 €.

Le Pr Jean-Paul Stahl, de Grenoble. 100 358 €, dont 4 552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI et que Jean-Paul Stahl, rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses a comparé le Plaquénil au papier toilette.

Le Pr Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine aurait touché 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead.

Le Pr Bruno Hoen, de l’Institut Pasteur : 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. Qui a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

Le Pr Pierre Tattevin, de Rennes, président de la SPILF : 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4 776 € de Gilead et 9 642 € d’Abbvie. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, dont 15 054 € de Gilead.

Pour la seule année 2018, Transparence CHU a montré5 que la base Transparence Santé liste plus de 2,5 millions de déclarations des entreprises représentant près de 1,36 milliard d’euros qui irriguent le système de santé français.

Aux USA, les sommes sont plus importantes et la psychiatrie est l’une des spécialités les plus corrompues. Ainsi entre 2000 et 2007, le Dr Biederman, psychiatre, a reçu au moins 1,6 million de dollars pour promouvoir l’utilisation de médicaments antipsychotiques pour les enfants, pour lesquels ils n’avaient pas été approuvés.

Deux de ses collègues ont reçu des montants similaires. Le Dr Alan F. Schatzberg, président du département de psychiatrie de Stanford et président de l’American Psychiatric Association contrôlait plus de 6 millions de dollars d’actions dans Corcept Therapeutics, une société qu’il a cofondée et qui teste la mifépristone comme traitement de la dépression psychotique, tout en étant le chercheur principal bénéficiaire d’une subvention de l’Institut national de la santé mentale qui comprenait des recherches sur la mifépristone pour cette utilisation et co-auteur de trois articles sur le sujet vantant les mérites de médicament abortif (RU-486).

Marianne a révélé6 que lors de la crise covid :

« Entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449 389 euros d’avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. »

De tous les membres du Conseil scientifique, c’est Yazdan Yazdanpanah, qui a touché 134 684 euros, suivi de Denis Malvy et Bruno Lina7.

Pour le médecin très lié aux labos les avantages ne s’arrêtent pas à l’argent, aux flatteries et aux beaux voyages et hôtels payés. Il bénéficie aussi habituellement d’une amplification de sa renommée par le réseau de communication rodé des labos, d’une aide à sa carrière académique, et d’une capacité accrue à obtenir des fonds de recherche. Les firmes assurent aux « leaders d’opinion » qu’elles choisissent, la reconnaissance professionnelle grâce à leur puissante logistique événementielle (congrès, symposiums, colloques, agences de presse), l’appartenance à un groupe « reconnu », l’acceptation des communications en congrès et des articles dans les grandes revues…

Ces conflits d’intérêts non financiers, plus difficilement mesurables, sont tout aussi responsables que les conflits financiers, en termes de dommages systémiques qu’ils causent à la science et ne paraissent pas correctement pris en compte en tant que risques dans le cadre de la recherche universitaire.

Les chercheurs ayant des liens d’intérêts avec l’entreprise qui fabrique le produit étudié sont plus susceptibles d’arriver à des conclusions positives, que ce soit par le financement préférentiel des projets susceptibles de réussir, par la conceptionbiaisée de l’étude, par la minoration ou la suppression de résultats négatifs, ou d’une interprétation tendancieuse des résultats. La signature initiale d’un contrat limitant la liberté de publier du contractant en est le moyen le plus caché et le plus efficace du contrôle de la firme sur le consultant.

Toutes les études comparant les résultats présentés par des auteurs liés aux firmes et ceux publiés par des auteurs indépendants démontrent que les premiers favorisent les produits ou appareils que produisent leurs sponsors. Le phénomène bien connu pour le tabac8, affecte tous les domaines de la médecine : traitement des cancers9, du glaucome10, le bronzage11, du diabète12, de l’hypertension, de l’hypercholestérolémie, des coronaropathies…, tous ceux où un candidat traitement pourrait ouvrir un marché prometteur.

Ces liens d’intérêts expliquent pourquoi la majorité des résultats de recherche publiés sont faux13 exagèrent l’utilité des nouveaux médicaments et dissimulent leurs toxicités.

Des auteurs du réseau Cochrane14 ont analysé des essais cliniques inclus dans des méta-analyses et prouvé que les essais cliniques financés par les firmes sont cinq fois plus favorables aux médicaments testés que ceux financés par des organismes indépendants des firmes.

Voir aussi le livre du Professeur Goetsche, un des fondateurs du réseau Cochrane :

Et celui du PR Even :

Les sociétés savantes corrompues par l’industrie lui servent de porte-parole, voire de bras armé.

Aujourd’hui, beaucoup de sociétés autrefois savantes ne vivent plus des cotisations de leurs membres, mais essentiellement de la générosité des entreprises de leur spécialité. Les sommes allouées peuvent être considérables.

Aux États-Unis, la transparence plus grande permet de mieux les connaître15 16. Ainsi l’American Society of Clinical Oncology a bénéficié de 54 millions de dollars et l’American College of Cardiology, 21 millions de dollars. Des paiements importants, regroupant des frais de conseil, des rémunérations pour prise de parole, des redevances d’hospitalité ont également été versés aux dirigeants de la North American Spine Society pour 9,5 millions de dollars et de l’Orthopedic Trauma Association pour 4,7 millions.

En France le site transparence santé gouv, de consultation très difficile, ne permet pas d’obtenir le montant précis des sommes allouées aux sociétés savantes, car leur montant est le plus souvent affublé de la mention « non renseigné ».

L’exemple de la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), qui a porté plainte contre le professeur Raoult est démonstratif.

D’après son site cette société regrouperait 500 membres actifs dont le montant de la cotisation s’élève à 100 euros soit 50 000 euros annuels de ressources indépendantes des firmes. Elle en reçoit plus de 20 fois plus de l’industrie (Dont 800 000 euros de Gilead d’après M Wonner17 et plus 100 000 annuels de Pfizer).

L’application du proverbe « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es » permet de supposer que cette société aurait agi contre Didier Raoult comme le bras armé de ses sponsors et en l’occurrence de Gilead fabricant du Remdesivir. Car Gilead voulait empêcher l’utilisation de tout traitement ancien et bon marché tel que la chloroquine pour imposer son poulain Remdesivir qui lui a rapporté près de 2 milliards de dollars lors du seul 3trimestre 2021, alors qu’il est fortement déconseillé par l’OMS et que son l’utilisation sans consentement éclairé fait actuellement l’objet de plusieurs plaintes pénales aux USA.18

La plupart des autres sociétés savantes françaises dont nous avons analysé le financement se sont révélées extrêmement dépendantes de l’industrie qui représente leur principale source de financement. Lorsqu’elles traitent d’un produit rentable pour leurs partenaires industriels, les recommandations thérapeutiques qu’elles émettent reproduisent trop souvent la propagande des services de communication de ceux-ci sans grand égard pour les données scientifiques réelles.

La corruption des revues scientifiques et des médias les transforme en outils de propagande

Depuis l’arrivée d’Internet, les revues médicales jadis prestigieuses ont perdu un grand nombre d’abonnés et sont également devenues extrêmement dépendantes de l’industrie pharmaceutique qui les maintient en vie par les publicités de médicaments et des numéros spéciaux qu’elle leur commande pour vanter leurs produits.

Marcia Angell, l’ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a fait publiquement part de son écœurement19 :

« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, a déclaré :

« Un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »

Dr John Ioannidis avait précédemment regretté20 :

« Quelque chose est pourri dans l’état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu’ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses. »

En Allemagne, la corruption des revues financées par l’industrie a été démontrée par Annette Becker, de l’université de Marburg en Allemagne, et ses collaborateurs après analyse des recommandations de prescription faites par onze revues allemandes dédiées à la Formation Médicale Continue. Les auteurs concluent que les recommandations visant à l’utilisation ou non d’un médicament dépendent de la source de financement des revues.

En France, en 2004 les firmes dépensaient en promotion 25 000 euros par an et par médecin d’après le rapport de l’IGAS. Elles consacraient plus d’un milliard d’euros par an aux visites médicales et 120 millions aux congrès.

Une étude du LEM21 estime qu’un euro supplémentaire investi dans la promotion des ventes auprès de l’ensemble des médecins libéraux d’une région pourrait rapporter un peu plus de 5,15 euros de ventes. L’effet est plus marqué pour les généralistes (1 euro supplémentaire rapportant 6,41 euros).

En outre, les laboratoires qui accordent les paiements les plus élevés (supérieurs au troisième quartile des paiements dans une région), augmentent significativement les montants de leurs ventes : +8 % des ventes grâce à la promotion auprès des salariés, +22 % grâce à celle auprès des spécialistes libéraux, par rapport à des laboratoires qui effectueraient une promotion de faible ampleur.

Pierre Frouard co-auteur d’une étude de l’Université Rennes 1 sur les prescriptions des médecins et leurs liens avec l’industrie rappelle que :

« Si ça n’était pas efficace, les firmes ne mettraient pas autant d’argent dans le lobbying ».

La formation continue des médecins, rendue obligatoire par la loi, est presque uniquement prise en charge par l’industrie pharmaceutique. Les médecins qui participent à ces sessions n’ont pas la possibilité d’entendre tous les points de vue, lors d’une formation supposée être libre de l’influence de l’industrie22. Ces formations réalisées, ou au moins sponsorisées par un laboratoire donnent droit à des points pour valider la formation continue obligatoire. Se faire acheter est devenu une obligation légale !

La corruption des agences sanitaires et des ministères menace la sécurité sanitaire de la population

L’ancien directeur de directeur de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits alimentaires en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté le 10 juillet 2007 pour corruption. Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620 000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques.

En 1991, Le Président de SmithKline Beecham, fabricant du vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné à Francesco de Lorenzo, ministre italien de la Santé, 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été condamné à plusieurs années de prison ferme. Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, ont été également condamnés dans des affaires similaires.

En 2011 un rapport de l’IGAS concluait :

« L’Afssaps, agence de sécurité sanitaire, se trouve à l’heure actuelle structurellement et culturellement dans une situation de conflit d’intérêt. ». 

Malgré quelques minimes efforts récents des agences pour améliorer leur transparence ou lutter contre les conflits d’intérêts, ceux-ci règnent toujours en maîtres. 

Les procédures d’AMM23 facilitent les manipulations. Dans les pays démocratiques, les débats en justice sont publics et contradictoires. « À charge et à décharge ».

À l’inverse, les jugements actuels d’AMM sont secrets (ni le dossier d’AMM ni les débats ne sont publiés) et instruits uniquement par une partie (le laboratoire) dont personne ne remet les dires en doute. Dans tous les pays démocratiques, les juges sont payés par l’état et ne doivent en aucun cas avoir de lien quelconque avec l’une de parties qui se présentent devant eux « on ne peut pas être juge et partie ».

Dans la commission d’AMM, presque aucun expert n’est indépendant des laboratoires. Beaucoup en vivent et parfois très largement. Comment s’étonner alors de la facilité avec laquelle les médicaments soumis à la commission d’AMM sont déclarés « novateurs », « avec une balance efficacité/risque très positive » dont récemment les pseudo vaccins anti-covid pourtant manifestement incapables de prévenir d’attraper et de transmettre la maladie ni d’éviter les formes graves, comme le montre l’évolution de la mortalité covid publiée par l’OMS.

L’indépendance est également exceptionnelle dans la commission de fixation des prix et dans celle fixant le taux de remboursement.

Il en est de même pour la plupart de membres chargés de la pharmacovigilance dont la société scientifique est largement sponsorisée par l’industrie. Ces conflits d’intérêts expliquent en très grande partie les « incompréhensibles » défaillances du système de pharmacovigilance relevées par l’IGAS dans le scandale du Médiator.

L’AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments et l’agence européenne (l’EMA) sont financées dans leur quasi-totalité par les firmes pharmaceutiques. Ceci est dénoncé par la commission d’enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n’est pas de nature à assurer l’indépendance de l’agence ».

Bernard Bégaud constate :

« C’est compliqué de considérer de façon très neutre une molécule alors que fondamentalement le choix aura une incidence (…) pas neutre sur quelqu’un qui, quelque part est un ami »

et conclut :

« il ne devrait pas du tout être possible, quand on a travaillé dans un labo, d’aller dans une administration publique tout particulièrement dans une agence d’évaluation. »

Quand la science, certains médecins, les revues médicales, les agences sanitaires et l’OMS sont corrompus, c’est la santé de l’humanité toute entière qui est menacée.





Le grand mensonge : pénurie d’énergie mondiale et crises multiples — toutes fabriquées — destinées à la destruction de la civilisation occidentale

[Source : GlobalResearch]

Par Peter Koenig

Crise de l’énergie? Crise alimentaire ? Effondrement industriel ? Perturbations des chaînes d’approvisionnement ? Communication fracturée ? Cyber-attaques? Black-out ? Hyper-inflation ? Changement climatique? Guerres, conflits civils et autres plandémies, aboutissant à la misère humaine…

Oui.

Tout est fabriqué.

Tout cela fait partie du plan visant à détruire la civilisation telle que nous la connaissons, à la remplacer par les robots et les humanoïdes de la 4e révolution industrielle – agissant sur des commandes électroniques générées par l’IA et survivant grâce aux monnaies numériques programmables des banques centrales (CBDC).

Si nous restons assis à l’écart, à regarder, au lieu de faire quelque chose pour arrêter cette folie, ce crime aux proportions bibliques, cela se produira en effet. L’humanité et ce qui reste de la Terre Mère seront prêts pour l’abîme.

Les pénuries créent de l’inflation, et si l’inflation ne se produit pas naturellement, elle est fabriquée. La propagande médiatique parlant à plein temps d’inflation donne aux conglomérats industriels et de services un laissez-passer gratuit pour augmenter les prix. Personne ne se demande si c’est justifié. Les médias disent qu’il y a de l’inflation, donc les augmentations de prix sont bien de mise.

De nombreuses crises ne se produisent même pas dans la réalité, la plupart d’entre elles juste dans les médias, par une propagande sans fin 24h/24 et 7j/7. Et par des apparitions induites par l’intelligence artificielle (IA).

Et bientôt, les monnaies numériques de la banque centrale (CBDC) remplaceront nos monnaies en espèces. Les CBDC seront éventuellement programmables. Elles peuvent être activées et désactivées, et programmées pour être utilisées pour certains achats – biens ou services, que vous les vouliez et en ayez besoin ou non. Votre comportement et votre obéissance seront cruciaux. Voyez cette vidéo-éveil de 7 minutes, un excellent résumé de ce que les gouvernements à travers les CBDC pourront faire avec nous [en anglais] :

En ce moment, nous sommes préparés pour l’abîme.

Beaucoup de choses étranges se produisent en même temps. Pour la confusion. Mais aussi, pour la rapidité de mise en œuvre de l’infâme Agenda 2030 – la Grande Réinitialisation – et, bien sûr, la 4e Révolution Industrielle, censée faire des survivants humains des transhumains .

Ce n’est pas nouveau.

Des chercheurs et des analystes réputés l’ont déjà dit, nous ont avertis, nous l’humanité, de l’annihilation imminente. Il doit être répété jusqu’à ce qu’une prise de conscience soit réalisée dans la société.

Hélas, jusqu’à présent sans grande utilité. Ne pas abandonner est le mantra dominant.

Nous restons assis sur nos canapés à regarder les informations grand public – l’éternelle machine à mensonges. Nous sommes royalement distraits par la guerre en Ukraine. Les médias nous disent même jour après jour que Poutine est le méchant. Que plus d’armes doivent être fournies par les pays de l’OTAN à l’Ukraine, et qu’un soutien budgétaire plus important doit être accordé au président Zelenski. Poutine est responsable de toutes les catastrophes qui s’abattent sur nous.

L’Ukraine de Zelenski a déjà reçu l’équivalent de près de 100 milliards de dollars américains en armes et en « soutien budgétaire », principalement des États-Unis et de l’UE. Mais Zelenski n’est pas content. Il crie pour en avoir plus. Alors que Poutine est responsable de la misère sans fin.

Pensez-y.

Il ne peut y avoir de vision équilibrée. À moins que vous ne preniez votre propre vie en main et que vous commenciez votre propre réflexion et additionniez les points. Éteignez les médias grand public, la télévision, la radio, les journaux et recherchez des informations alternatives.

Le défi, c’est que nous ne voulons pas d’un point de vue équilibré. Parce que si nous le faisions, nous devrions penser par nous-mêmes. Nous pourrions nous réveiller avec une réalité inconfortable.

Nous ne voulons pas quitter le royaume de notre confort soyeux et douillet.

Se concentrer sur la guerre est une distraction de ce qui se prépare derrière des portes de fer.


Les gisements de gaz allemands et italiens sont pleins à 94 %, voire plus. C’est le cas partout en Europe. Certainement pas de crise énergétique. Et si pour une raison quelconque il devait y avoir une pénurie d’énergie, le président Poutine a souligné à plusieurs reprises que la Russie honorerait ses engagements contractuels avec l’Europe et le monde. Et il le ferait certainement – ​​si l’OTAN le lui permettait.

Pour que cela n’arrive pas, Washington a provoqué la destruction de Nord Stream 1 et 2.

La Russie a affirmé que les pipelines pourraient être réparés, mais Washington / l’OTAN ne le permettront pas. Madame von der Leyen, présidente (non élue) de la Commission européenne (CE) et son copain, le chancelier allemand Olaf Scholz – tous deux obéissants universitaires de l’Académie des jeunes leaders mondiaux (YGL) de Klaus Schwab (Forum Économique Mondial) – sont déterminés à ne pas réparer le gaz pipelines et de laisser l’Europe couler à l’eau.

Les réservoirs européens de stockage de gaz GNL (Gaz Naturel Liquéfié) sont remplis à ras bord, au-dessus de la moyenne des dix dernières années. Il n’y a plus de place pour plus d’hydrocarbures dans les gisements disponibles.

Des centaines, voire des milliers de pétroliers entièrement chargés de combustibles fossiles flottent sur les océans. Ils ne peuvent pas décharger leurs marchandises car, soit ils n’y sont pas autorisés, principalement par les autorités portuaires européennes et nord-américaines, qui obéissent aux ordres du Dark Cult, soit ils ne peuvent pas décharger, car il n’y a pas d’espace pour le stockage, soit ils – les compagnies de gaz et d’essence – ne veulent pas se décharger, à cause des prix négatifs du gaz. Voir cette carte des pétroliers en haute mer, incapables de décharger :

Les contrats à terme sur le gaz naturel sur plusieurs marchés européens ont été négatifs. La première fois dans l’histoire. Bien sûr, ce sont des prix spot. Ils peuvent fluctuer d’heure en heure, mais le simple fait qu’ils soient tombés dans la zone négative indique que les pénuries d’énergie sont manipulées.

« Le prix des contrats à terme européens de référence sur le gaz naturel a chuté de 20 % depuis jeudi dernier, et de plus de 70 % depuis qu’il a atteint un niveau record fin août 2022. Lundi [24 octobre], les prix au comptant du gaz néerlandais pour une livraison dans l’heure — qui reflètent les conditions du marché européen en temps réel – tombées en dessous de 0 €, selon les données de l’Intercontinental Exchange. »

Reportages de CNN

Voir ceci.

Les États-Unis, via le « complexe industriel numérique, financier et militaire », le culte mondialiste actuellement en place, dont le WEF occupe un siège de directeur éminent, dictent aux gouvernements, en particulier européens, qu’ils doivent rejeter les expéditions d’énergie. Cela fait baisser les prix, car la marchandise flotte en haute mer, prête à être livrée – mais ne peut pas. Cela crée une offre excédentaire. Et certainement pas d’inflation.

Ce scénario montre comment Washington cherche à « désindustrialiser » l’Europe et à affaiblir son armée, déclare le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov (RT 30 octobre 2022).

Une fausse crise énergétique doit être fabriquée. Car d’elle découlent les autres crises et calamités qui détruiront l’humanité telle que nous la connaissons. C’est une tromperie qui est un pas de géant vers la tyrannie absolue. Voir ceci.

Tout dépend de l’énergie – la production d’engrais et de nourriture, les communications, l’approvisionnement en eau, la fabrication de métaux, les chaînes d’approvisionnement et bien plus encore.

L’Europe pourrait glisser de plus en plus vite vers un oubli auto-généré. L’Europe n’a pas de matières premières à proprement parler, et la plupart des sources d’énergie de la grande Europe proviennent de la Russie, à qui il est « interdit » de livrer des combustibles fossiles à l’Europe.

Aujourd’hui, le monde dépend encore des combustibles fossiles à 84% de toutes les sources d’énergie. Peu importe que jusqu’à présent, 26 Conférences des Parties sur le climat (COP) des Nations Unies aient proclamé de réduire l’utilisation des combustibles fossiles. Ce ne sont que des paroles en l’air. Le monde industrialisé aisé achète toujours des VUS et des voitures à moteur de plus de 3 litres (1 sur 3 en Europe et en Amérique du Nord) – et les dirigeants d’entreprise voyagent dans leurs jets privés.

La COP27 aura lieu [NDT a eu lieu, en date de publication de cette traduction] du  6 au 18 novembre 2022 à Charm el-Cheikh, en Égypte. Le monde retient son souffle pour savoir quels nouveaux « engagements » les dirigeants politiques vont prendre.

Une crise énergétique injustifiée et orchestrée, fermant l’appareil industriel de l’Europe, est synonyme de faillites, de pertes d’emplois, de pauvreté, de famine et de misère totale. Une fois l’Europe éteinte, la relancer peut être presque impossible, ou au mieux, un processus long et douloureux.

Dernières nouvelles – les Pays-Bas lèvent leurs sanctions contre la Russie, afin de recevoir des livraisons de gaz pour atténuer les désastres économiques et humains potentiels de l’hiver prochain. Les Pays-Bas pourraient déclencher un réveil politique dans d’autres pays qui feraient de même :

Crises alimentaires

Simultanément, Monsanto, Bayer, Syngenta (ChemChina) imposent leurs aliments génétiquement modifiés (OGM = organismes génétiquement modifiés) aux gouvernements des pays en développement, dont les conditions contractuelles ne sont pas ouvertes au public. Ceci, accompagné par les conglomérats mondiaux du commerce des céréales comme Cargill, Louis Dreyfus et d’autres, mènera à la manipulation des aliments et à la tyrannie alimentaire qui en découle.

The result is targeted famine, misery and famine-induced diseases and death; a convenient instrument of population reduction. The key Gates-Rockefeller input to the Great Reset. See this for more details.

Le résultat est une famine ciblée, la misère, les maladies et les décès induits par la famine, un instrument pratique de réduction de la population. La contribution clé de Gates-Rockefeller à la grande réinitialisation. Voir ceci pour plus de détails.

Tyrannie sanitaire

Sans oublier les plandémies – Bill Gates en prédit de nombreuses très graves . Il ne le dit pas, mais si elles arrivent, elles sont fabriquées en laboratoire [Note de Joseph : ou bien plus facilement par les campagnes médiatiques et par des fréquences particulières diffusées par la 5G (voir les dossier 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus)] et seront bien sûr suivies de campagnes vaxx forcées. Les plandémies et les vaxx mortels intimideront et décimeront davantage la population.

Les pandémies récurrentes contribueront à conférer à l’OMS le pouvoir de décider de la santé des populations mondiales, au-delà des constitutions des pays souverains. L’OMS, avec ses 194 pays membres, n’est pas une véritable agence des Nations Unies, mais étant financée par au moins 70 % de bailleurs de fonds privés (principalement des fonds fiduciaires pharmaceutiques), est au mieux une organisation de partenariat public-privé. [Note de Joseph : ce qui représente le socle du fascisme. Voir Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

En tant que tel, il [l’OMS] suit le mandat des donateurs privés, jouant un double rôle, par le biais de mandats mondiaux de vaxx qui transfèrent des milliards de dollars dans des « trésoreries à but lucratif » pharmaceutiques – et s’assurent qu’il n’y a jamais de pénurie de plandémies.

À l’heure actuelle, l’OMS est en train de débattre – principalement à huis clos – du Pacte mondial pour la santé et du soi-disant Traité sur la pandémie. Si ce traité est adopté d’une manière ou d’une autre, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, aura un pouvoir sans précédent sur toutes les questions de santé à travers le monde.

[Voir ALERTE ROUGE: Le nouveau traité pandémique de l’OMS en phase finale, annulerait la Constitution américaine et déchaînerait la dictature médicale, prévient le Dr Francis Boyle – Cogiito]

À dessein, les médias en parlent peu. Ne réveillez pas un lion endormi. Au cas où le traité passerait, les gens seraient à nouveau « stupéfaits », choqués et malheureusement abasourdis.

Si elle n’est pas arrêtée par les pays membres, et si la gestion désastreuse de Covid est une indication, l’OMS est déterminée à devenir le maître de la tyrannie sanitaire, et en tant que tel, le maître de la vie et de la mort.


Changement climatique

Parallèlement, crise après crise, vient la catastrophe climatique, ce que l’on appelle le « changement climatique » induit par l’homme.

Oui, le changement climatique est induit par l’homme, mais pas à cause de la soif extrême de notre civilisation pour les combustibles fossiles et les émissions de CO2, mais à cause d’une géo-ingénierie météorologique très sophistiquée [Voir chemtrails]. L’été extrêmement chaud et sec record de tous les temps du Nord global, les ouragans extrêmement violents et les inondations qui en résultent, y compris les pluies de mousson prolongées et désastreuses au Pakistan – peuvent être suivis d’un hiver froid du Nord potentiellement mortel.

Pour respecter le récit de la pénurie d’énergie, les températures intérieures cet hiver doivent être maintenues à environ 19 degrés Celsius – sinon… Les transgresseurs sont avertis de sanctions sévères par de nombreux gouvernements européens.

Qui contrôle le temps contrôle les gens – a déclaré le président Lyndon Johnson déjà en 1962. Un document récemment publié par le Pentagone vise 2025 pour un contrôle total du temps, dans le monde entier.

Voir ceci  et ceci et cela.

Phénomènes météorologiques violents – il existe de nombreuses preuves que nous vivons dans une géo-ingénierie militarisée, dont les effets peuvent être aussi meurtriers qu’une guerre nucléaire.


Bien que tout cela se lise et sonne comme une série de scénarios apocalyptiques, il y a une lueur d’espoir dans ce sombre nuage. L’homme est par nature inventif. En prenant conscience de ce qui se passe – à vitesse grand V depuis le début de 2020 – les hommes peuvent arrêter la destruction. Les hommes ont toujours été ingénieux, lorsqu’ils sont contraints à l’extrême pour survivre. C’est le moment.


[À propos de l’auteur]

Peter Koenig  est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de  Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed  et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.

L’image en vedette provient de Dreamstime

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Peter Koenig, Global Research, 2022




Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !


Corruption juridique au cours de la crise Covid

Par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Partie prenante à la procédure du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich., Virginie de Araujo-Recchia a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

[Voir aussi :
La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond
Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI
Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris
Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Résumé de la conférence par Mme Tatiana Tislenkoff.

https://www.youtube.com/embed/JoPdWCMTpW4

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

I. Négation des lois non-écrites de la nature humaine et inversion de la hiérarchie des normes juridiques

I.1  Négation des lois non écrites

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE

Le principe de dignité exige de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

Les textes de lois ont essayé de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

D’ailleurs, la définition de la santé en tient compte : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.»(([1] Extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New-York et entrée en vigueur en 1948.))

Kant distingue ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans les règne des fins tout à un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut-être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre, d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.»(([2] Dans les Fondements de la Métaphysique des Mœurs de Kant.))

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE A SON COROLLAIRE : LA RESISTANCE A L’OPPRESSION EN CAS D’ATTEINTE À CE MÊME PRINCIPE

Le principe de résistance à l’oppression appartient aux lois non-écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale suprême.

En effet, lorsque les institutions d’un État, dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des droits du peuple, ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression.

« Le moteur de la résistance ce n’est ni la foule, ni la tribune, c’est l’individu qui a le goût politique et qui juge ; c’est le citoyen qui ne se laisse pas fasciner par « l’hypnose exercée par le pouvoir » ; celui qui refuse d’être dupe ». Parce qu’il faut qu’il y ait « au début du mouvement populaire, une réaction des consciences individuelles », sinon « ce sera une émeute ou une révolte, ce ne sera pas, dans le plein sens du mot, ce refus d’accepter plus longtemps l’arbitraire des gouvernants qui caractérise la résistance à l’oppression. »

« La résistance à l’oppression n’est pas révolutionnaire. Au contraire, elle est de nature conservatrice, sa mission étant de défendre l’ordre constitutionnel établi et de contribuer au retour du statu quo ante ».

I.2. Inversion de la hiérarchie des normes juridiques

Les mesures prises par le pouvoir exécutif français ont été à l’origine d’atteintes aux droits fondamentaux et libertés publiques sans précédent.

Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel sans que ces textes ne soient jamais remis en cause ou invalidés tant par le Conseil constitutionnel, que par les juridictions judiciaires et administratives, alors que lesdites mesures étaient clairement disproportionnées et contraires à bon nombre de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprême du corpus constitutionnel.

L’ÉTAT DE DROIT A CÉDÉ LA PLACE A L’ARBITRAIRE

J’ai pu relever les atteintes majeures suivantes :

  • Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes.
  • Violation de la liberté individuelle au mépris de l’Habeas Corpus qui prévoie le contrôle du juge judiciaire à bref délai lorsque les mesures privatives de liberté sont appliquées.(([3] Confinements forcés de l’ensemble de la population.))
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/liberté d’aller et venir.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction de visiter des proches à l’hôpital, d’assister à des funérailles, de se réunir en famille.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler.
  • Violation du droit à l’éducation.
  • Violation de la liberté de culte.

Nous assistons à :

  • Une manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public.
  • Une gestion de crise disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière.
  • Une « épidémie » de tests RT-PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade.
  • Une interdiction de traitements disponibles contre la Covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire.
  • Un homicide par administration de Rivotril dans les EHPAD.
  • Des crimes contre l’humanité.
  • Des actes de maltraitance et torture à l’égard des enfants.

Or, les magistrats de l’ordre administratif et les membres du Conseil constitutionnel ont utilisé le principe constitutionnel de protection de la santé pour entériner les mesures les plus iniques et les plus nocives pour la santé des français.

Pour le moment, il est devenu quasiment impossible d’échanger de manière objective devant les Cours et tribunaux français concernant les dommages causés par les mesures telles que les confinements forcés, les masques, les tests et la dangerosité des injections expérimentales.

Le principe constitutionnel de protection de la santé a été érigé en principe suprême, afin d’avaliser toutes les mesures prises par le pouvoir exécutif depuis mars 2020.

AFFAIRES DEVANT LES INSTANCES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, EUROPÉENNES ET INTERNATIONALES

À compter du mois de décembre 2020, des associations m’ont accompagné dans le cadre d’une action civile collective. Malgré la production de nombreuses études scientifiques dont la crédibilité ne peut être remise en cause, le tribunal judiciaire a refusé la discussion.

Il s’avère aujourd’hui que d’autres études scientifiques sont venues depuis confirmer la nocivité de la mesure de confinement forcé et le président du Conseil scientifique l’a reconnu publiquement.

Nous avons engagé d’autres actions devant les juridictions pénales, la Cour de Justice de la République, la Cour Européenne des Droite de l’Homme, à l’encontre des membres du gouvernement, de certains parlementaires, des médias grand public, des plateformes de réseaux sociaux ainsi que des intervenants propagandistes de plateau radio et télévision, notamment sur la base des chefs d’accusation suivants :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des français en état de sujétion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement.
  • Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion de consentement.
  • Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée.
  • Escroquerie et tentative d’escroquerie.
  • Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
  • Participation à une association de malfaiteurs.
  • Crime contre l’humanité – génocide et complicité de génocide.

J’ai également réclamé l’expertise des solutions injectables expérimentales contre la Covid-19, étant donné de fortes suspicions relatives à la présence de nanotechnologies, d’oxyde de graphène et autres substances toxiques, ce qui n’a pas encore été traité par les magistrats en charge de ces dossiers.

En parallèle, j’ai rejoint un groupe d’avocats et juges internationaux travaillant avec mon confrère Reiner Fuellmich. Nous avons créé la Cour internationale de l’opinion publique, afin de présenter publiquement les témoignages d’experts essentiels ainsi que l’ensemble des éléments que nous présentons régulièrement devant les tribunaux nationaux et qui ne sont pas pris en compte actuellement.

II. Le cartel « Finance/Pharma/Médias »

II.1 L’Oligopole

Le rapport intitulé Génocide économique des Nations de Juliette Marin détaille la mainmise des fonds d’investissement américains sur les sociétés françaises du CAC40. Ces mêmes fonds détiennent ainsi directement et indirectement les médias dominants ainsi que les laboratoires pharmaceutiques.

Je cite :

« Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22’000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.

Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard.(…)

Même s’ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d’une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d’une situation d’oligopole.

(…)

L’étude de l’architecture du réseau de propriétés internationales et nationales, ainsi que le calcul du contrôle exercé par chaque acteur mondial dans son ensemble nous révèle un monopole de fait sur l’économie des nations du monde entier avec un accent sur l’analyse des sociétés françaises cotées en Bourse (CAC40). Nous constatons que les sociétés transnationales formant une structure géante de nœuds papillons et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies.

Ce noyau peut être considéré comme une « super-entité » économique qui soulève de nouveaux problèmes importants pour les chercheurs et les décideurs. »

Le rapport relève les dirigeants impliqués dans le secteur des médias et également dans le secteur des biotechnologies.

II.2. L’Organisation Mondiale de la Santé

Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul Flynn en date du 7 juin 2010 est édifiant :

Je cite :

« De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence du processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard aux principales décisions relatives à la pandémie. Il est à craindre que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance accordée aux conseils émis par les grands organismes de santé publique. (…)

L’Assemblée a noté que les activités de lobbying non réglementées ou occultes peuvent constituer un danger et miner les principes démocratiques et la bonne gouvernance. (…) »

Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains de la finance et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion.

II.3 Le World Economic Forum (WEF)/Young Global Leaders a infiltré les pouvoirs publics

Depuis plus de cinquante ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du WEF.

Pour Kees van der Pijl, le WEF succéderait à d’autres organisations qui l’ont précédé, comme la franc-maçonnerie, le réseau gravitant autour de la Round Table à l’apogée de l’Empire britannique ou les conférences Bilderberg tout au long de la guerre froide et au-delà. Mais selon lui, à la fin des années 90, le WEF constituait bel et bien « le groupe de planification transnational le plus accompli, […] une véritable Internationale du capital ».(([4] Kees van der Pijl, Transnational Classes op. cit., p. 133.))

Son fondateur Klaus Schwab est un partisan de l’eugénisme et du transhumanisme. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » paru en 2017 et publie l’ouvrage intitulé « Le Great Reset » en 2019.

Je cite :

« Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale ».(([5] Eric Verhaeghe, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire, auteur du livre « Le Great Reset : Mythes et réalités », 2021.))

Or dans le cadre d’un article en date du 28 octobre 2021, Éric Verhaeghe fait le constat suivant :

« Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son œuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.

Macron met en œuvre le Great Reset depuis un an. »(([6] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/28/comment-macron-a-mis-en-place-le-great-reset-en-france/))

En effet, Klaus Schwab décrit comment son mouvement subversif a infiltré avec succès les cabinets de plusieurs gouvernements mondiaux.

« Quand je mentionne des noms comme Angela Merkel et même Vladimir Poutine, et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est la jeune génération comme le premier ministre Justin Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons les cabinets gouvernementaux. ».

Il ajoute que « ceci est aussi vrai en France, le président était un Young Global Leader ».(([7] https://humansbefree.com/2022/01/Klaus-schwab-brags-about-controlling-western-governments.htmlhttps://banned.video/watch?id=61f0562d17dfec17f412cd00))

II.4. Infiltration des pouvoirs publics par les consultants privés reliés au cartel

La commission d’enquête sénatoriale a publié en 2022 un rapport sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.(([8] Rapport n°578 de la Commission d’enquête sénatoriale présidée par M. Arnaud Bazin, publié le 17 mars 2022 intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.))

Dans ce rapport, on peut lire les propos de M. Frédéric Pierru, sociologue chargé de recherche au CNRS et spécialiste du secteur de la santé dont voici un extrait(([9] Op. cit. p. 32.)):

« Ce qui m’a étonné, c’est de voir un cabinet comme McKinsey, qui ne connaît rien à la vaccination, assister un ministre, alors que des spécialistes de la question sont disponibles à l’intérieur de l’État. L’administration de santé publique est capable d’élaborer logistiquement une campagne de vaccination, et on va chercher un consultant de McKinsey. »

McKinsey couramment appelé « La Firme » est non seulement tentaculaire mais elle est également reliée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à certaines Fondations « lucratives », ce qui expliquerait pourquoi différents États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles lors de la crise Covid-19.

McKinsey et Boston Consulting Group semblent avoir un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé(([11] Comment McKinsey s’est infiltré dans le monde de la santé publique mondiale, article paru dans Vox le 13 décembre 2019. https://www-vox-com.translate.goog/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)). En effet, les deux entreprises ont toujours figuré parmi les cinq principaux prestataires de services professionnels de la Fondation Gates, selon les déclarations de revenus de la fondation, même après que l’organisation se soit engagée à réduire les dépenses de consultants à partir de 2015.

Comme l’a déclaré Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l’Université d’Edimbourg :

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. 

Comme Gates a commencé à payer régulièrement des consultants pour le compte d’institutions comme l’OMS, cela a créé une « dépendance » vis-à-vis des entreprises. Ensuite, il est devenu plus courant de faire appel à ces mêmes consultants pour la stratégie » (…)

Au total, la Fondation Gates a dépensé plus de 300 millions de dollars pour McKinsey et BCG entre 2006 et 2017 (…). C’est plus que le budget national de la santé pour tout un pays à faible revenu, comme Haïti.(…)

L’agence UNITAID a également été financée par la Fondation Gates, qui, dès le premier jour, a payé le travail de conseil de McKinsey, selon les procès-verbaux du conseil d’administration d’UNITAID de 2006 accessibles au public. (…)

Considérez le rôle de McKinsey dans l’épidémie d’opioïdes, qui a coûté la vie à près d’un million d’Américains depuis 1999. Les documents judiciaires qui ont fait surface dans le cadre d’un litige comprenait des allégations selon lesquelles McKinsey aurait conseillé deux sociétés sur la manière d’augmenter les ventes d’opioïdes sur ordonnance, du début des années 2000 jusqu’en 2014 au moins – lorsque l’épidémie de surdose était déjà bien connue. Une plainte alléguait que McKinsey avait conseillé à Johnson & Johnson de « faire prendre aux patients des doses plus élevées d’opioïdes » et d’étudier des techniques « pour garder les patients sous opioïdes plus longtemps », a rapporté le New York Times (…) »

Comme nous pouvons le constater, McKinsey et BCG travaillent étroitement avec Bill Gates, lequel affiche publiquement ses objectifs eugénistes et transhumanistes, qu’il partage avec Klaus Schwab, Henri Kissinger, Warren Buffet, tout comme les fondations Rockefeller, Rotschild, Open Society de Soros etc.

Toute cette oligarchie mondialiste considère que l’«hyper-class » doit inventer des technologies destinées à asservir les classes subalternes, réduire la population et faire scission avec cette majorité de sous-humains.(([12] Jacques Attali, Les clefs du XXIème siècle, édition avril 2000, p. 497s.))

À ce titre, un rapport(([13] https://twoplustwoequalsfournews-wordpress-com.translate.goog/2022/02/19/update-rockefeller-foundation-1968-annual-report-we-need-vaccines-to-reduce-fertility-and-address-the-population-problem/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)) de la Fondation Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées, notamment par la vaccination.

Un autre rapport(([14] https://archive.org/details/scenarios-for-the-future-of-technology-and-international-development-rockefeller-foundation)) de la Fondation Rockefeller datant de mai 2010, proposait entre autres, l’utilisation des confinements forcés.

Un article(([15] https://www-rockefellerfoundation-org.translate.goog/news/mercury-project-to-boost-covid-19-vaccination-rates-and-counter-public-health-mis-and-disinformation-in-17-countries-worldwide/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc)) du 23 août 2022, publié sur le site de la Fondation Rockefeller nous apprend que :

 « Le Social Science Research Council fournit 7,2 millions de dollars à 12 équipes qui font progresser des sciences sociales et comportementales ambitieuses et appliquées pour lutter contre la menace mondiale croissante posée par les faibles taux de vaccination contre le Covid-19 ainsi que la mésinformation et la désinformation en matière de santé publique. »

Pour aller plus loin, un article résume bien l’action de la Fondation Rockefeller contre la médecine naturelle, à partir de 1910, avec le rapport Flechner(([16] https://fr.sott.net/article/40467-Toxicologie-contre-Virologie-L-Institut-Rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio)) et le financement des écoles de médecine occidentales. On notera que l’École de médecine de Lyon fut créée à la demande du Dr Alexis Carrel, prix Nobel de son Institut new-yorkais, eugéniste.

III. Censure des véritables experts et des lanceurs d’alerte

III.1. La dépendance des médias grand public vis-à-vis des géants financiers américains entraine une disqualification des informations qui pourraient aller à l’encontre du plan mondialiste

Voici les propos très éclairants tenus par le journaliste enquêteur Laurent Mauduit, dans un article(([17] https://www.mediapart.fr/journal/economie/130218/les-milliardaires-de-la-presse-gaves-d-aides-publiques-et-privees?onglet=full)) datant du 13 février 2018, concernant les partenariats entre les médias grand public et les plateformes numériques dans le but de censurer l’information indépendante.

À propos du fact-checking :

« Ce type de nouvelle servitude acceptée par la presse française pose deux problèmes majeurs. Le premier est le lien de dépendance renforcé au plan financier vis-à-vis des géants américains de l’Internet dans lequel la presse française se place. Car accepter que Google et Facebook jouent ainsi un rôle majeur dans les circuits de l’information ne sera naturellement pas sans conséquence dans l’avenir :

Terrible situation de la presse française, sur laquelle une dizaine de milliardaires ont fait main basse et qui, comme cela ne suffisait pas, se jette dans les bras des oligopoles américains. (…)

En parallèle, une autre plateforme dont Google est partie prenante, et soutenue par Facebook, a également annoncé son lancement prochain : CrossCheck, au sein du projet First Draft. CrossCheck permettra au public de soumettre des questions et rassemblera les informations fournies par les seize médias français partenaires, dont à nouveau l’AFP, Le Monde, Libération, France Télévisions et France Médias Monde. (…)

Dans le cas du partenariat avec Facebook noué par ces journaux, un autre danger majeur plane : la transformation de la presse en auxiliaire ou en force supplétive des géants américains de l’Internet ; voire la constitution d’une sorte de police éditoriale, ayant un étrange pouvoir d’agrément ou de disqualification de certaines informations sensibles. ».

III.2. Le soutien des médias grand public au pouvoir politique

Les principaux détenteurs des médias grand public soutiennent le pouvoir politique pour des raisons économiques et financières.

Les médias grand public reçoivent les informations de Reuters ou de l’AFP. Cette dernière semble avoir reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital des sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna.

Les géants du numérique tels que par exemple Google, Youtube, Facebook et Twitter, vérifient les faits et censurent les propos qui ne vont pas dans le sens des intérêts de leurs actionnaires, des géants financiers tels que Black Rock, Vanguard, la Fondation Bill & Melinda Gates, lesquels sont également au capital des laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech.

La Fondation Bill & Melinda Gates, qui est au capital des laboratoires Pfizer et BioNTech est désormais le plus grand contributeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques cités plus haut.(([18] https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y))

Le professeur Mark qui a enseigné les médias, culture et communication à l’Université de New York pendant des années. Au cours de son témoignage devant le Grand Jury (session n°7, ce professeur a pu confirmer ces mécanismes de censure et a détaillé les modalités de financementles mécanismes de la propagande des médias et leur responsabilité dans le cadre de cette crise.(([19] https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Mark-Crispin-Miller:d))

L’intervention de Mark Sharman, ancien directeur information Sky News, le 1er avril 2022, dans le cadre de l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN, corrobore les affirmations du Professeur Mark Crispin Miller.(([20] https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.0DE51587-9F25-44BB-9432-2C78AB0EA2C4:b))

Nous pouvons en déduire que les médias dominants et les plateformes de réseaux sociaux sont responsables :

  • de l’absence délibérée de pluralité des sources d’information et de la non application du principe du contradictoire afin de traiter de l’opportunité des mesures prises par le pouvoir exécutif et les instances internationales ;
  • de la censure, la stigmatisation, la discrimination et la disqualification soigneusement organisée à l’encontre des voix discordantes, dont les réels experts, les lanceurs d’alerte et les victimes.

Conclusion

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples.

En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène le peuple au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amené à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.





Onde de choc au sein des réseaux du fact-checking : que se cache-t-il derrière la disparition subite de l’officine Fact & Furious ?

[Source : FranceSoir]

ENQUÊTE — Depuis plusieurs mois, FranceSoir enquête sur la « harcelosphère » qui gravite autour de l’IHU Méditerranée dirigé par le Pr Raoult, mais aussi sur le rôle et le fonctionnement des organes de fact-checking qui ont décrété tout au long de la crise du Covid-19 quelle était la vraie de la fausse information. La présente investigation plonge dans les arcanes de la communauté des fact-checkers et s’intéresse plus spécifiquement au cas du site Fact & Furious, des pratiques douteuses de son fondateur, de son ascension aussi fulgurante que sa disparition, de son réseau opaque et tentaculaire.

La confiance de la population française dans ses médias d’information est au plus bas niveau : seuls 26 % des Français déclarent avoir confiance dans les médias mainstream, selon un sondage MIS Group réalisé pour FranceSoir et BonSens.org en novembre 2020. L’onde de choc sur les réseaux sociaux suscitée par la nouvelle de la fermeture soudaine du site Internet de Fact & Furious ce 26 novembre 2022, en amont de la parution de cette enquête, risque de ne rien arranger. Présenté dans la presse comme un « média indépendant de fact-checking », ce site controversé et son directeur, le sulfureux Antoine Daoust, ancien militaire de 39 ans reconverti à l’occasion de la crise du Covid-19 en chasseur « de complotistes et d’anti-vax », sont au cœur de la tourmente depuis les premières révélations de Malika Daoust, son épouse, mardi 22 novembre sur la chaine YouTube d’Idriss Aberkane

Violences conjugales, coups et blessures aggravés sur mineur, menaces de morts, mercenariat, manipulation de l’information pour le compte de commanditaires, falsification de tests PCR, déboire judiciaire… loin de l’image médiatique de l’homme honnête, désintéressé et désireux de déjouer les contrevérités, c’est un tout autre portrait d’Antoine Daoust que brosse sa femme : « Un homme violent, menteur et manipulateur, même auprès de sa famille ». Un récit accablant dont cette mère de famille a initialement voulu faire part à l’Agence-France presse qui, d’après son témoignage, a couvert l’affaire de façon à protéger le fact-checker revendiqué.

Cette affaire révèle un scandale qui vient jeter un pavé dans la mare des réseaux étroits et coordonnés du fact-checking, ébranlant ainsi une crédibilité déjà bien entamée.

De l’information vraie au blanchiment de fausses informations

Les Décodeurs du Monde, Checknews de Libération, l’AFP Factuel, Fakes Off de 20 Minutes, Les Observateurs de France 24… ces dernières années, les rubriques de fact-checking ayant vocation à prétendument rétablir « la vérité » et lutter contre les fausses informations se sont multipliés. Dans un monde au sein duquel règne une profusion d’informations, parfois vraies, parfois fausses, une rubrique qui permet de faire le tri peut, sur le principe, s’avérer un outil d’orientation utile.

En revanche, puisque l’information émane de la presse publique et privée, dont l’indépendance est souvent l’objet de critiques – dépendance aux actionnaires, à l’État, à un parti pris idéologique : les raisons ne manquent pas – un média indépendant et autonome en charge de sa vérification semble, en dehors de la vérification par d’autres pairs, l’un des moyens les plus légitimes pour acquérir aux yeux du grand public une crédibilité en la matière.

Comme le rappelait Fabrice Fries, PDG de l’AFP, lors de la cinquième édition de Médias en Seine mardi 22 novembre, à laquelle FranceSoir était présent :

« Le fact-checking est souvent confondu avec la vérification. Or, la vérification, c’est quelque chose de très différent. C’est quelque chose que tous les médias sont censés faire : vérifier avant de publier son propre contenu. Le fact-checking porte sur des contenus de tiers et qui sont déjà publiés. C’est très différent. »

C’est dans ce contexte qu’intervient Fact & Furious, un site Internet décrit dans la plupart des médias comme un « site indépendant de fact-checking », dont les publications ont été régulièrement reprises par divers organismes de presse aussi bien en France qu’à l’étranger. Un site de vérification des faits apparu soudainement dans le paysage médiatique dont l’ascension sera aussi rapide qu’étrange. Après avoir obtenu rapidement un certificat IPG délivré par le ministère de la Culture, lui octroyant un statut de site « d’information politique et générale », le site a décroché un prestigieux contrat de collaboration avec l’Agence France Presse dans le but de collaborer à la lutte contre la désinformation.

Au cœur de l’enquête sur Fact & Furious

Quel était le rôle de Fact & Furious ? Vérifier loyalement des informations publiées par des tiers ou bien « blanchir » de fausses informations ? Et qui est vraiment Antoine Daoust, le propriétaire du site ? Que se cache-t-il derrière l’ascension fulgurante de Fact & Furious ?

Cette investigation de plusieurs mois menée par FranceSoir et puis plus récemment par l’essayiste Idriss Aberkane, révèle un scandale de nature à ébranler la crédibilité et la probité du système médiatique français.

Lanceuse d’alerte, Mme Daoust a décidé de sortir du silence en prenant contact avec FranceSoir, certains membres de l’association BonSens.org (depuis mars 2022) et Idriss Aberkane dans le but « de dévoiler à tout le monde qui est Antoine Daoust » et quelle est la « vraie vérité » derrière la création de Fact & Furious, organe qui détient un contrat de collaboration avec l’AFP et de supposés liens étroits avec Rudy Reichstadt, directeur de ConspiracyWatch, ou bien encore Tristan Mendès France, membre de l’observatoire du conspirationnisme.

Censurée par les fact-checkeurs, cette mère de famille rapporte également les violences (psychologiques et physiques) dont elle et sa fille ont été victimes sous la coupe de son mari, et des coups et blessures aggravés qui font aujourd’hui l’objet d’une plainte. Cette situation est devenue suffisamment préoccupante pour attirer l’attention immédiate du président de la République, Emmanuel Macron…



Une vie conjugale sous le joug de la violence d’Antoine Daoust

Dessinatrice en bâtiment et vendeuse en magasin de prêt-à-porter, Malika Daoust nous a confiés son dur calvaire, qu’elle estime avoir été étouffé par les journalistes appartenant à la « communauté des fact-checkers ». Pendant longtemps, apeurée mais aussi animée par un illusoire espoir de le voir changer, elle n’a pas voulu parler : « La majorité des femmes battues, comme moi, ne font rien… malheureusement ». Ce n’est que le 16 novembre que cette mère trouvera le courage de déposer une plainte contre son mari pour coups et blessures aggravés envers elle et sa fille de 12 ans.

Rappelons que :

Les violences conjugales sont punies par la loi, qu’elles visent un homme ou une femme, qu’elles soient physiquespsychologiques ou sexuelles. Il s’agit des violences commises au sein des couples mariés, pacsés ou en union libre. Si vous êtes victime et que vous signalez les faits, vous pouvez être aidé et protégé. Vous pouvez bénéficier de l’aide et de la protection quelle que soit votre nationalité et quelle que soit la durée de votre séjour en France. »

Mme Daoust rapporte avoir été la cible de violences conjugales à plusieurs reprises, comme ce 23 mars 2022 : « Je me suis enfui de la voiture. Il m’a rattrapée, m’a fait une balayette, s’est mis sur moi et m’a rouée de coups. Il m’a porté plusieurs coups de poings et des coups de pieds. Suite à ça, la police est intervenue, ainsi que le SAMU, et j’ai été transportée aux urgences de la clinique du Sidobre », peut-on lire dans son dépôt de plainte. Résultat : une incapacité totale de travailler (ITT) de six jours. FranceSoir a pu consulter le certificat médical qui atteste des séquelles de Mme Daoust. Nous le reproduisons ci-dessous.

Encore attachée à son mari, Mme Daoust décidait « de lui donner une nouvelle chance pour notre couple et pour sa fille », poursuit la mère de famille dans sa plainte, dans laquelle elle précise que son mari s’en est également pris à son intégrité physique par le passé, de même qu’à celle de sa fille, qui a elle aussi déposé plainte contre Antoine Daoust.

Des coups qui se seraient plus tard ensuivis de menaces de mort : 

« Le 23 mars 2022, il s’en va. À ma sortie de l’hôpital, je commence à tweeter, à mettre ses fausses ordonnances sur les réseaux sociaux. Le 25 mars, il se repointe au domicile [ndlr : pour parler des prises de contact de Mme Daoust auprès l’AFP – voir ci-après). On se parle, on se pardonne, j’efface tout ce que j’ai écrit sur mon mur. Le 17 avril, rebelote [nouveaux faits de violences qui déboucheront sur une ITT de 4 jours]. Le 24 avril, il s’en va définitivement de la maison, en me menaçant de mort, en me disant “si je reste, je te tue“ ».

M. Daoust aurait ensuite rejoint une autre femme, sa maitresse.

Ce dernier n’en est pas à ses premiers faits de violence. Alors militaire, il aurait été condamné pénalement à une peine de prison avec sursis pour séquestration en bande organisée.

Mme Daoust précise sur FranceSoir : 

« Quand Antoine est parti du domicile fin avril 2022, sachez qu’il a tout pris : la voiture, les cartes bleues… Je me suis retrouvé à zéro euros. J’ai dû mendier pour faire manger mes enfants, notamment sa fille. ».

Dans un complément de plaintes, elle souligne également avoir « subi des violences psychologiques de la part de [son] mari en date du 15 mars 2022 ». Ce jour-là, Malika avait pourtant tenté d’alerter sur les violences conjugales dont elle était victime, mais aussi sur plusieurs pratiques illégales du fondateur du site Fact & Furious, en entrant en contact avec l’AFP.

Une grande déconvenue pour la lanceuse d’alerte : Pauline Talagrand, rédactrice en chef adjointe au sein de l’agence, a réagi en alertant aussitôt Antoine Daoust de l’action de sa femme, avant d’en informer Malika en message privé sur Twitter et de lui signifier :

« Il semble que l’affaire relève de la sphère privée. Nous ne pouvons en l’état donner suite à une interpellation non étayée sur la réputation d’une personne externe à l’AFP. Si vous estimez que cela vaut davantage, il vaut sûrement mieux vous tourner vers les autorités compétentes. » 

Dans son complément de plaintes, Mme Daoust déclare : 

« J’avais écrit à Pauline Talagrand de l’AFP car elle et mon époux ont un contrat de travail ensemble. Elle ne m’a pas pris au sérieux. Elle a fait une capture [d’écran] de mes messages et les a envoyés à [Antoine Daoust]. » Elle poursuit : « Du coup, lui m’a envoyé les messages suivants : “Mais t’es tarée ma parole, pkoi tu as contacté l’AFP ??? T’es complètement taré ma parole.“ »

À ce message, Malika répond : 

« Non, pas du tout. Tout le monde va savoir qui tu es Antoine, ton vrai visage : le mito, le manipulateur. Je vais tout leur dire sur toi, au moindre détail. » 

Et M. Daoust de lui signaler : 

« Ils viennent de m’appeler pauvre conne ».

Mme Daoust déplore non seulement un manque de soutien, mais dénonce les propos que la journaliste a ensuite fait parvenir par messagerie privée à M. Daoust, un échange que FranceSoir a pu vérifier : « Vas-y mollo Antoine », l’a-t-elle enjoint, en lui faisant parvenir une capture d’écran dans laquelle apparait le message d’Antoine Daoust à Malika : « Ils viennent de m’appeler pauvre conne ». L’intéressé a répondu à Mme Talagrand : « Désolé. Le problème est réglé. » Malika estime que l’AFP a choisi de « protéger » et de « couvrir » M. Daoust. Aussi, elle prévoit de porter plainte contre la journaliste, a-t-elle annoncé à FranceSoir dans un second Debriefing (voir plus loin dans l’article).

Dans le cadre de cette enquête, FranceSoir a pris attache mardi 22 novembre 2022 auprès de l’AFP afin d’interroger Mme Talagrand à propos de ces échanges. Le 25 novembre 2022, soit trois jours plus tard, ce n’est pas l’intéressée qui répondait à notre prise de contact, mais le service juridique de l’agence de presse. Le contenu de la réponse pose question, car il enjoignait Monsieur Azalbert d’effacer ses tweets mentionnant l’AFP et Mme Talagrand :

« Dans différents tweets, vous accusez l’AFP et notre journaliste Pauline Talagrand d’avoir ignoré une alerte concernant des faits de violences conjugales qui auraient été infligées par Antoine Daoust.

Malika Daoust s’est plainte auprès de l’AFP, sur Twitter, dans une conversation privée du 15 mars 2022, d’Antoine Daoust qu’elle a qualifié de « menteur » et de « manipulateur ». Elle n’a à aucun moment évoqué des faits de violences conjugales.

L’AFP n’étant pas un interlocuteur pertinent pour un conflit de vie privée, nous n’avons pas donné suite à cette conversation, mais lui avons conseillé de se tourner vers les personnes compétentes.   

Dans tous les cas, il est faux de laisser entendre que l’AFP n’aurait pas tenu compte de faits de violences conjugales, alors que de tels faits n’ont jamais été portés à notre connaissance.

Nous vous prions donc de retirer vos tweets et de cesser ces allégations diffamatoires et infondées, tant à l’égard de l’AFP que de notre journaliste nommément mise en cause, ces tweets ayant pour effet d’altérer ses conditions de travail. »

Xavier Azalbert, dans un message envoyé à l’AFP en date du 26 novembre 2022, leur a fait part de son étonnement suite au refus de Mme Talagrand de répondre aux questions d’un journaliste dans le cadre d’une enquête. Dans son email, dont le PDG de l’AFP, M. Fries, est en copie, il rappelle aussi à ce « département juridique » que Madame Talagrand pouvait difficilement ignorer la définition juridique relative aux violences conjugales de par son expertise relative aux violences faites aux femmes, soulignant qu’elle avait été alertée par Mme Daoust du statut de « manipulateur » et de menteur de M. Daoust et qu’elle avait constaté le message « pauvre conne » adressé par Antoine Daoust à MalikaEt de demander pourquoi la journaliste a préféré refuser d’écouter Mme Daoust et enquêter.

Huit jours plus tard, le 23 mars, cette dernière nous a pourtant rapporté avoir été victime de violences physiques de la part de M. Daoust. Pour l’heure, ni le service juridique de l’AFP ni son PDG n’ont répondu à ce dernier échange.

L’Elysée réagit en 48h au courrier de Malika Daoust

Si l’agence de presse s’est refusée à réagir en mars, la réaction de l’Élysée a été autrement différente. Mercredi 16 novembre 2022, Malika Daoust, trouvant le courage de dépasser ses appréhensions, a finalement déposé plainte contre son mari pour coups et blessures aggravés sur elle et sa fille.

Le vendredi 18 novembre 2022, elle a envoyé un courrier pour signaler à l’Élysée, notamment, les violences qu’elle a subies de la part du directeur de la publication de Fact & Furious. Surprise : la réaction de la présidence sera extrêmement rapide. En seulement 48 heures, dans un courrier en date du 21 novembre, le président de la République l’informe de la bonne réception de sa lettre et de son soutien.

« Sensible au rappel des épreuves auxquelles vous avez été confrontée, M. Emmanuel Macron, déterminé implacablement à lutter contre les violences faites aux femmes, m’a confié le soin de vous transmettre ses chaleureuses pensées et tout son soutien », peut-on lire dans le courrier de l’Élysée, qui ajoute : « À la demande du chef de l’État, je n’ai pas manqué de signaler votre démarche à M. le Préfet du Tarn. J’ai également transmis votre correspondance à M. le Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Vous serez tenue directement informée, par leurs soins, de la suite susceptible d’être réservée à votre intervention. »

Une attention d’Emmanuel Macron saluée par Mme Daoust, qui tient à le remercier pour son soutien et son engagement dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Si la dissymétrie entre la réaction de l’AFP en mars et celle de l’Élysée en novembre a de quoi interpeler, le choix du chef de l’État de s’intéresser immédiatement au cas individuel d’une femme présumée battue interroge également.

Fact & Furious, une officine de désinformation bancale aux réseaux tentaculaires

Le site factandfurious.com est présenté dans la presse comme un média de fact-checking indépendant. Ses publications sont citées par des journalistes à valeur de source crédible pour étayer leurs articles. Son fondateur détient même un prestigieux partenariat avec l’AFP. Mais en vérité, Fact & Furious, c’est surtout l’histoire d’un site piloté par Antoine Daoust, ancien barman retiré sans compétence journalistique ou scientifique, depuis le garage de son domicile. Animé selon Malika Daoust par le désir de briller en société, prêt à toutes les compromissions pour quelques gains financiers, Antoine Daoust va rapidement devenir l’agent et l’instrument d’un réseau qui le dépasse.

En février 2021, l’ancien militaire s’est lancé dans la création de Fact & Furious. « On a tous quelqu’un dans la famille qui est touché de près ou de loin par la désinformation ou le complotisme. On a voulu comprendre l’enjeu, le dénoncer », a-t-il argué quelques temps plus tard auprès de France 3.

« Un travail impartial respectueux des différences », « une diversité de voix et de perspectives », « une information traitée de façon objective et désintéressée », ou bien encore « une rédaction qui s’engage à respecter les dix devoirs énoncés dans la charte de Munich » : en apparence, la vitrine présentée sur le site Internet du « média de fact-checking » a de quoi charmer le citoyen en quête d’une information sûre et vérifiée.

En vérité, loin d’agir de manière honnête et désintéressé, Antoine Daoust aurait créé Fact & Furious par désir de briller et par besoin de pallier ses soucis financiers, explique Malika Daoust à FranceSoir :

« Il voulait se faire connaitre, c’est ça l’origine [de Fact & Furious]. Il a commencé par des vidéos YouTube pour les enfants, ça ne marchait pas. Ensuite, il a commencé à aider des nouveaux YouTubers [ndlr : ce site créé en octobre 2018 s’appelait Famous Videos Magazine] : ça ne marchait pas. Ensuite, il a ouvert ce petit journal [ndlr : en septembre 2020, un blog d’actualité généraliste baptisé Instant critique] : ça ne marchait pasEt du jour au lendemain, le nom Fact & Furious est arrivé et ça explose. »

Un nom qui ne viendrait pas de lui, mais qui lui aurait été soufflé, explique Malika, qui rappelle les difficultés financières de son mari, frappé par le passé d’interdiction bancaire :

« Ils ont dû lui proposer de l’argent en lui disant :“Avec nous, tu vas évoluer, tu vas avoir beaucoup d’argent, tu vas être connu“. Et de là, il a foncé. »

Promesse visiblement tenue : la réputation de Fact & Furious a pu compter sur une couverture médiatique lénifiante. Au premier rang des admirateurs du site, le service public : en août 2021, France info lui consacre un article élogieux titré « Comment des citoyens luttent contre les fake news des antivaccins sur le Covid-19 : « On vide la mer avec une petite cuillère » ». AFP, L’Express, BFM TV… Fact & Furious servira ponctuellement de source de référence à de nombreux médias en France mais aussi à l’étranger. Son fondateur, lui aussi, sera couvert de compliments louangeurs : « Au quotidien, Antoine Daoust traque la désinformation sur le web », explique par exemple La Dépêche.

En août 2021, alors que le pouvoir en Afghanistan tombait à nouveau dans les mains des Talibans à la faveur du retrait des troupes américaines, Antoine Daoust, bien que condamné pour séquestration en bande organisée au temps où il était encore militaire, a également bénéficié d’une importante couverture médiatique, rappelant son engagement au côté de l’Otan dans le pays. France info, TF1, BFM TV, Le Point, Le Parisien… ont ainsi donné à la parole au vétéran. Engagement dont Mme Daoust met en cause la vertu présentée par l’ex-militaire : 

https://www.youtube.com/embed/OdQPWcL-B8Q

Antoine Daoust n’hésite pas à se targuer que « Fact & Furious [soit] régulièrement cité par la presse nationale et les médias » et que le site soit « noté cent pour cent par NewsGuard pour sa fiabilité et sa rigueur ». Signataire du Code européen de bonnes pratiques contre la désinformation émis par la Commission européenne, NewsGuard est l’outil de fact-checking de la multinationale américaine Microsoft, fondée par le milliardaire Bill Gates. Le conseil consultatif de la société compte parmi ses membres le général Michael Hayden, ancien directeur de la CIA et de la NSA, et Anders Fogh Rasmussen, ex-secrétaire général de l’Otan, ainsi que plusieurs anciens membres des administrations Clinton, Bush et Obama. En termes de crédibilité et d’irréprochabilité, l’argument n’est sans doute pas des plus vendeurs.

Le site était aussi cité sur Microsoft.com comme étant un site fiable pour les étudiants.

Par ailleurs, le site Fact and Furious était aussi recommandé en site fiable par le Poynter Institute for Media Studies, organisme de recherche américain hébergeant le « Réseau international de vérification des faits » (International Fact-Checking Network) et gèrant le célèbre site américain PolitiFact. Quelles diligences cette organisme avait-il effectué pour accorder à Fact & Furious cette crédibilité ? Le rôle des divers instituts ont été explicités dans cette étude complète publiée sur ResearchGate : qui va fact-checker les fact-checkers ?

Un réseau de fact-checking bien organisé ?

En mai 2021, le ministère de la Culture a délivré un certificat IPG au site Fact and Furious, lui octroyant le précieux statut de site « d’information politique et générale ». 

Se disant « très surprise » et trouvant même « anormal » que le ministère de la Culture puisse délivrer aussi rapidement un certificat IPG à ce site, Mme Daoust soutient que Fact & Furious aurait été monté avec l’aide d’un réseau opaque comprenant plusieurs figures sulfureuses, parmi lesquelles Rudy Reichstadt, fondateur du site polémique Conspiracy Watch, et Tristan Mendès France, animateur de l’émission “Complorama“ diffusée sur France info et membre de l’observatoire du conspirationnisme.

Rapidement dos au mur financièrement, l’aventure aurait pu finalement toucher à sa fin au mois de novembre 2021. Pour subvenir à ses besoins, Antoine Daoust espérait recevoir une bourse de ce même ministère de la Culture qui lui a délivré un certificat IPG. Paradoxalement, elle lui a été refusée au motif qu’il n’a « pas de formation journalistique pour le fact-checking ». Un camouflet pour le fact-checker revendiqué : la compétence dans le domaine de l’information avancée par Antoine Daoust n’est pas approuvée. Quelles diligences ont été faites par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) sur Antoine Daoust avant de lui délivrer ce fameux certificat IPG ?

Pourtant, dans le cadre de cette demande de bourse, Antoine Daoust a pu bénéficier d’un soutien important en la personne du député LREM, M. Botherel, qui est intervenu directement auprès du cabinet de la ministre de la Culture. La question des motivations derrière cette intervention se pose : le député macroniste a-t-il agi sur demande ?

Sa demande de bourse refusée, les partenaires d’Antoine Daoust voleront à son secours. « Ses amis lui donnent l’idée d’organiser une cagnotte en ligne. Il s’exécute et il récolte assez d’argent : un peu plus de 16 000 euros. » D’autres cagnottes suivront avec à la clé plusieurs milliers d’euros récoltés.

Selon Malika Daoust, une grande partie de ces fonds seront ensuite subtilisés : « Il a signalé à la juge qu’il ne touche que 200 euros de cette entreprise. » Et d’ajouter : « Où est cet argent ? Qu’est-ce qu’il en fait ? Je ne sais pas, mais je vais avoir mes réponses. » Quelque 8 000 euros auraient pu disparaitre des comptes de la société. Malika Daoust a cherché à alerter les deux autres personnes impliquées dans la gestion du site au moment de sa création, Tiko Stept et Romain Aubert, sans que ces derniers ne daignent donner suite.

Un partenariat avec l’AFP

En décembre 2021, l’entreprise a pris la forme juridique d’une Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle (SASU) : une SAS qui ne comporte qu’un seul associé. Seulement un mois après la création de la société, le 13 janvier 2022, son directeur Antoine Daoust, bien que ne possédant aucune formation journalistique, comme l’a explicité le ministère de la Culture, a décroché un prestigieux contrat avec l’Agence-France presse dans le cadre de la coalition « Objectif desinfox ». Lancé par l’AFP le 6 décembre 2021, ce programme de lutte contre la désinformation réunit 23 médias français et bénéficie du soutien de Google, géant américain du numérique contre lequel FranceSoir est actuellement en procès.

Ce partenariat surprenant entérine un lien de collaboration directe entre un site de fact-checking lancé par un individu sans expérience journalistique travaillant depuis le garage de son domicile avec le plus grand organisme de presse français, dont le patron, Fabrice Fries, a récemment été mis en examen pour diffamation, avait révélé FranceSoir.

Le contrat biffé avec l’AFP est accessible ici.

Une fausse indépendance

« Fact & Furious est un service de presse en ligne indépendant », peut-on lire dans la section « Qui sommes-nous » du site Internet. Vraiment ? Selon Malika Daoust, c’est un mensonge : « Il fait le travail de commanditaires. Il faut qu’il ait leur accord. Ce n’est pas de Fact & Furious que partent les investigations. » Et de marteler : « [Mon mari] n’est pas libre […] Ce que je sais, c’est que c’est un pion ».

À en croire la lanceuse d’alerte, Antoine Daoust produisait donc des articles sur commande de façon à ce qu’ils soient publiés sur le site de Fact & Furious puis relayés par les médias, qui présentaient erronément le site comme un « média indépendant ». L’objectif : consolider la labellisation des personnes critiques du discours convenu sur les sujets attrayant à la crise du Covid-19 comme « complotiste » et « antivax » dans l’intention de les discréditer dans la sphère publique. Malika Daoust nous informe que les personnes ciblées par Fact & Furious étaient « le Pr Raoult, le Pr Perronne, Idriss Aberkane et Xavier Azalbert ».

Influence dans les pages Wikipédia

Officiellement fiable et neutre, l’encyclopédie en ligne Wikipédia, régulièrement accusée de parti pris idéologique, reprend également ces étiquetages médiatiques, basés pour certains sur les publications du site Fact & Furious, dans le cadre de l’écriture des fiches biographiques publiées sur son site Internet. Un marquage stigmatisant potentiellement à vie.

De nombreux liens surprenants

Une question insolite se pose également, celle d’un lien de collaboration avec… les Renseignements généraux. C’est ce qu’affirme Malika Daoust dans son courrier à l’Élysée (voir plus haut) : M. Daoust mènerait des actes d’espionnages pour le compte des services de renseignement. Dans un échange, Antoine Daoust mentionne également « des mots de passe avec les RG ».

Parmi les autres figures du réseau gravitant autour de Fact & Furious, la très connue infectiologue Karine Lacombe : une « amie personnelle » du directeur de Fact & Furious, selon Malika Daoust. Échangeant régulièrement au téléphone avec le fact-checker revendiqué, Mme Lacombe a pris un rendez-vous médical auprès de ses confrères pour Mme Daoust afin de réaliser des tests cutanés qui avaient vocation à déterminer si elle serait en mesure de pouvoir se faire vacciner contre le Covid-19. Un rendez-vous médical auquel Malika n’a finalement pas donné de suite, ne désirant pas se faire vacciner… sur recommandation de son mari.

Dans une conversation de groupe qui incluait Antoine Daoust selon Malika, Karine Lacombe a sollicité de l’aide dans le cadre de la préparation de son dossier de défense suite à la plainte déposé par le Pr Didier Raoultpour diffamation après les propos tenus par l’infectiologue sur Europe 1 en juillet 2020. Elle avait déclaré que « des actions en justice [contre Didier Raoult] pour mensonge devant la commission parlementaire [étaient] en cours ».

Antoine Daoust entretenait aussi des liens avec des figures sulfureuses de la “harcelosphère“ contre l’IHU Méditerranée du Pr Raoult, comme Ari Kouts, consultant pour la société de conseil Viseo, et le Dr Peiffer Smadja, infectiologue sanctionné le 21 octobre d’un avertissement par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins pour ses propos « de nature gravement anti-confraternelle » à l’encontre du Pr Christian Perronne.

Fact & Furious quelques photos

ndlr : une erreur s’est glissé dans le nom de la personne sur la seconde photo.

Enfin, il convient de noter qu’Antoine Daoust a collaboré avec des journalistes du sulfureux site Libération, relai des thèses les plus farfelues sur l’efficacité des diverses mesures sanitaires depuis le début de la crise du Covid-19, dans le cadre de l’écriture d’articles pour son site Fact & Furious.

Du blanchiment d’information sur commandes à la réalisation de faux tests PCR et de fausses ordonnances

La situation financière de la famille Daoust n’était pas au beau fixe, comme le souligne Malika. Aussi, Antoine Daoust réclamait régulièrement des fonds à sa famille, visiblement agacée, comme dans ce message du 21 août 2021 que nous avons pu consulter, dans lequel on lui rétorque : « Depuis 5 ans, on vous a versé 50 000 euros, soit le prix d’un appart à Colomiers ». « On ne peut rien faire parce que tu nous as asséchés financièrement », lui était-il signalé dans un autre message.

En parallèle de son activité de directeur de la publication de Fast & Furious, pour arrondir ses fins de mois, Antoine Daoust, pourtant très vigilant en ce qu’il s’agissait de rappeler le bon respect des règles sanitaires, « falsifiait » des tests PCR à partir de tests effectués par lui ou son épouse dans le but de les vendre à un prix fixé entre 20 euros, pour les clients réguliers, et 80 euros. Ces tests PCR étaient transmis par le biais des applications Snapchat ou Messenger. Selon Malika Daoust, il en vendait « au moins 5 par jour pendant une période ». Un petit business juteux.

Par ailleurs, Antoine Daoust réalisait aussi de fausses ordonnances en usurpant l’identité d’un médecin qui n’était plus en exercice.

Défenseur du vaccin anti-Covid, Antoine Daoust demande à sa femme et sa fille de ne pas se faire vacciner

Malika Daoust déclare auprès de FranceSoir qu’elle et ses enfants ne sont pas vaccinés « à la demande de son mari, car les vaccins sont toujours en phase expérimentale ». D’après elle, Antoine Daoust tenait donc un double langage en faisant la chasse aux « anti-vax » via son site Internet.

Annoncée le 22 novembre, cette enquête, alors qu’elle n’était pas encore parue, a d’ores et déjà eu des conséquences avec la disparition du site Fact & Furious et de ses comptes sur les réseaux sociaux le 26 novembre. Au travers d’un communiqué de presse, son fondateur déclare avoir dissous la SASU le 10 novembre 2022, bien qu’aucune déclaration officielle de dissolution n’ait été enregistrée et que les statuts de la société ne prévoyaient pas une dissolution anticipée. Alors que les collectes de fonds continuaient encore le 25 novembre 2022 et que la boutique de Fact & Furious est toujours en ligne, cette déclaration d’un acte de dissolution pose question à plusieurs titres, car le couple Daoust, marié sous le régime légal de la communauté, est en instance de divorce.

L’introduction de la procédure de divorce, datée du 16 novembre 2022, ne mentionne pas cette dissolution. Si cette dissolution est avérée, pourquoi cela n’a-t-il pas été mentionné dans la demande de divorce ? Antoine Daoust aurait-il commis un acte illicite qui pourrait être constitutif d’une dissimulation d’actifs ?

En amont de la parution de cette enquête, le site polémique Conspiracy Watch a publié un billet à charge contre Xavier Azalbert et Idriss Aberkane qui dénonce des « pseudo-révélations » et « une campagne de dénigrement des « fact-checkeurs » par la « complosphère »« Sans surprise, les officines se serrent les coudes même face à l’inacceptable », a constaté Idriss Aberkane sur Twitter, qui ajoute : « Il faut désormais qu’une commission d’enquête parlementaire vienne inspecter ces réseaux anti-démocratiques et leurs productions outrancières ».

De son côté, Xavier Azalbert a appelé au lancement d’une enquête judiciaire et d’une enquête parlementaire et sénatoriale.

FranceSoir publiera prochainement une enquête sur Conspiracy Watch et ses acteurs.

Dans le cadre d’un second Debriefing, nous avons reçu Malika Daoust afin de recueillir son ressenti sur le déroulé des derniers jours depuis son premier témoignage mardi 22 novembre.






France — Les non-vaccinés sous-estimés par le gouvernement

[Source : Décoder l’éco]




Corruption philosophique et psychologique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

C’est une nouvelle présentation exceptionnelle que nous avons le plaisir de partager avec vous aujourd’hui. Dans l’insensé de ce qui nous arrive depuis trois ans, deux problèmes majeurs auront en effet été d’une part la corruption du langage et de la logique, et de l’autre le manque collectif de concepts et d’un vocabulaire suffisamment précis pour faire cas des phénomènes.

Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…

Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.

Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.

Toutes ces réalités — déjà bien problématiques —, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.

Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.

C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.

Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.

Car le problème ne s’arrête pas à une question de corruption du régime politique de la république. Nous sommes en effet en outre embarqués dans une dérive de nature totalitaire. Le totalitarisme constitue quant à lui un système, délirant (c’est-à-dire ayant perdu le sens de la réalité) et maltraitant, de nature paranoïaque, visant à prendre le pouvoir sur la société et la population de manière absolue.

L’obsession d’imposer des règles arbitraires et abusives à la population, la marche forcée vers un gouvernement mondial que personne ne souhaite avec des moyens de contrôle illimités, avec la mise en place annoncée d’une identité et d’une monnaie numérique permettant l’imposition d’un système de crédit social à la chinoise, ne doit nous laisser aucune illusion : il ne s’agit pas d’un aimable projet pour améliorer nos conditions de vie en protégeant la planète !

Cette réalité intrinsèquement difficile à penser, nous avons besoin du bon vocabulaire, des bons concepts et des bonnes compréhensions pour les penser. C’est cela qu’Ariane Bilheran nous offre sur un plateau avec des contributions d’une limpidité et d’une lucidité qui forcent l’admiration, mais sont surtout d’une urgente utilité publique !


Le totalitarisme sous l’angle de la philosophie morale et politique et de la psychopathologie

par Ariane Bilheran, Lisbonne & Marseille, septembre 2022

Résumé réalisé par Tatiana Tislenkoff

La dérive totalitaire — généralités

Il ne peut y avoir de dérive totalitaire sans endoctrinement des masses.

L’histoire racontée aux peuples en mars 2020 fut la suivante : « Un ennemi visible ou invisible nous persécute. Nous devons entrer en guerre contre cet ennemi ». Cette fausse justification a permis l’utilisation du harcèlement de la population. Cela s’appelle un délire de persécution qui a pour effet de traumatiser les individus, de les dissocier et de les faire entrer dans une psychose de masse qui les conduit à des comportements nuisibles, haineux et dangereux qu’ils n’auraient pas commis en d’autres circonstances. Dans le système totalitaire, le contenu du délire peut changer (l’ennemi désigné peut changer), mais sa structure reste identique.

Pour obtenir un endoctrinement des masses, il faut utiliser un harcèlement constant afin d’entretenir un état constant de peur chez l’individu.

Les pauses apparentes dans le harcèlement font partie de la manipulation, tout comme le bourreau qui propose un verre d’eau et prononce une phrase amicale avant de recommencer.

La dérive totalitaire — les techniques utilisées dans la « crise covid »

Le sectarisme

Les méthodes employées sur les populations sont sectaires. Exemple : « Un virus extrêmement dangereux veut nous tuer ! »

Les séquestrations

Atteintes à la liberté de mouvement/à l’égalité devant la loi/aux droits inaliénables naturels en général.

L’exclusion et la maltraitance généralisée

Refus de soins, transgression de la vie intime, désorganisation des repères spatiaux et temporels.

En particulier, les citoyens à l’esprit critique sont considérés comme mauvais. Certains discours politiques suscitant même des appels au meurtre à leur encontre jusqu’à rétablir les chambres à gaz.

Le conflit de loyauté

Qui consiste à obliger les individus à faire de faux choix (choix impossible). Exemple : entre le droit au travail et le droit à l’intégrité corporelle.

La suggestion hypnotique

Matraquage d’informations mortifères par les médias.

L’intimidation, la menace, la censure

Toutes formes de questionnement, d’esprit critique et donc de désaccord rencontrent calomnies, censures et répressions. Nul n’a le droit de réfuter la narration dogmatique.

Les chocs traumatiques

Par le moyen de discours paradoxaux (dire tout et son contraire) destinés à sidérer chaque personne.

Les anomalies généralisées et faits de corruption.

Les professionnels non habilités à pratiquer des injections se sont vus accorder cette possibilité moyennant des tarifications juteuses tout en interdisant les professionnels formés de pouvoir exercer leur métier dans les règles de l’art.

Le système totalitaire et l’idéologie

Une idéologie est une croyance délirante qui n’a plus de lien avec la réalité logique ni avec la réalité de l’expérience et qui a besoin de se renouveler sans cesse dans son contenu pour maintenir son pouvoir illégitime.

Il s’agit de maintenir les populations dans une croyance anxieuse qui excite et inquiète les esprits.

  • Un système totalitaire ne peut exister sans idéologie(s)
  • Le support de l’idéologie est l’endoctrinement des masses (condition sine qua non).

L’endoctrinement des masses est une corruption morale, psychique, intellectuelle et émotionnelle.

  • L’idéologie ne peut fonctionner sans la participation/l’obéissance de gens de bien dans le système corrompu.

La corruption — la soumission en toute bonne foi — l’endoctrinement

La corruption : rappel sémantique

Le mot corruption vient du latin corrumpere (rompre avec, briser totalement). Pour Cicéron, la corruption est une rupture de ce qui lie les êtres entre eux. Avec la corruption, c’est un gouffre qui s’instaure entre l’autre et moi, entre l’État et son peuple, c’est un gouffre qui divise les familles, les amis, les professions et tout simplement l’humanité.

De tout temps le pouvoir est lié à la corruption (« Antigone » d’Anouilh)

  • Corruption par l’argent individuelle et institutionnelle
  • Corruption en haut lieu (laboratoires/institutions/dirigeants) et au sein de certains corps de métiers (professionnels de la santé)
  • Des hôpitaux ont reçu des primes pour déclarer des « cas » covid.
  • Les faux experts sur les plateaux TV
  • La soumission en toute bonne foi

Des gens de bien se soumettent sans le voir à un système corrompu en toute bonne foi.

On assiste à une obéissance aveugle, une naïveté, une passivité, une crédulité et une honnêteté sans bornes de tous les acteurs subalternes, qui ne reçoivent pas d’argent du système totalitaire, mais qui sont prêts à sacrifier père, mère et enfants au nom de l’idéologie dans laquelle ils sont endoctrinés. En cela consiste la banalité du mal que décrit Hannah Arendt dans « Eichmann à Jérusalem » en 1963 ).

  • Eichmann n’était nullement un personnage corrompu, mais un fonctionnaire zélé, soumis à l’autorité et qui ne cherchait aucun bénéfice personnel immédiat.

Les peuples frondeurs où règne une corruption endémique, avec un respect tout relatif pour la loi, où l’on pratique les dessous de table et les petits arrangements sont des peuples où l’air devient plus respirable lorsqu’il y a dérive totalitaire. Ainsi, les peuples qui ont une culture de la corruption résistent beaucoup mieux à la corruption totalitaire (exemple des pays d’Amérique du Sud).

Au contraire, il était impossible sous le nazisme de graisser la patte d’un fonctionnaire allemand, pays où le respect de la loi se place au-dessus de tout même lorsque cette dernière est devenue déviante.

De la même manière pour le covid, le patron de restaurant qui s’applique avec zèle à contrôler le « pass sanitaire » n’est nullement corrompu. Au contraire, son intérêt financier aurait consisté à ne pas appliquer la loi.

Dans le même ordre d’idée, les millions de militants communistes, qui dans le monde soutenaient le pouvoir stalinien n’étaient pas des corrompus, mais des idéalistes parfaitement désintéressés.

  • Le pouvoir totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu au sommet de la pyramide qui nomme ses experts, ses faux intellectuels et ses dirigeants corrompus et une masse d’individus crédules et obéissants, qui au contraire ne sont pas assez corrompus pour faire valoir leur intérêt personnel au détriment du sacrifice idéologique invoqué par le supposé bien commun.

L’endoctrinement

La fraude, le mensonge, la ruse et l’escroquerie sont les leviers de l’endoctrinement des masses.

  • Le délire de la psychose de masse qui ne correspond pas à la réalité de l’expérience correspond, sur le plan de la psychologie, au délire paranoïaque.
  • Ce délire s’enracine dans des premiers principes qui sont faux ou erronés.
  • Il en résulte un discours d’apparence rationnel, mais dont les hypothèses de départ prises pour des vérités sont des erreurs logiques.

Exemple avec le délire de l’idéologie nazie :

–  Les juifs sont des parasites (premier principe majeur) ;

–  Les parasites sont nuisibles ;

–  par conséquent les juifs sont nuisibles.

Or la majeure du raisonnement est fausse. Les juifs ne sont pas des parasites.

Si on admet la véracité de cette majeure, le délire paranoïaque commence et entraîne les masses dans des passages à l’acte violents.

  • Les conditions de la raison ne sont pas aléatoires. Il existe des règles de langage, de langue et de logique. La recherche de la vérité doit répondre à des principes rigoureux (« Le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan).

La fraude mathématique

Dans la narration covid, tout a commencé par un dévoiement des mathématiques. La fraude mathématique entraînant des décisions politiques désastreuses sur les peuples.

La fraude langagière

La fraude langagière dans les médias de masse. Le langage totalitaire utilise des euphémismes et des litotes. Le but étant de rendre acceptable une moralité condamnable ou désagréable. Si après tout isoler c’est protéger ; personne ne se formalisera d’abandonner les autres à leur sort ou de les envoyer dans des camps de quarantaine si c’est pour le bien de la personne.

La langue totalitaire devient un outil de persécution de certains citoyens : ils ont un mauvais comportement, ils sont irresponsables…

Dans le même temps, des mots comme soigner, diagnostiquer, guérir, remède, traitements ont disparu.

D’autres mots comme écouvillon, traçage ont revêtu un sens inattendu.

Des expressions dénuées de sens sont utilisées : le porteur sain, le malade asymptomatique.

  • On assiste à un ensauvagement des mots, comme le souligne Klemperer à propos de la langue du IIIe Reich.
  • Des amalgames entre porteurs du virus et testés positif ou négatif, entre malades contagieux et assassins…
  • La criminalisation de tout individu qui ne fait pas confiance aveuglément au pouvoir et de tout individu comme potentiellement malade justifie et justifiera de fait une répression sur la base de sanctions exemplaires, de camps d’internement…
  • La langue comme outil de sidération en utilisant des paradoxes (France Info le 10/03/2021 a titré « confiner sans enfermer ».
  • Les mots sont surinvestis [discours de Macron du 31/03/2021 où il appelle les citoyens à « se mobiliser tout en restant chez eux »]. Or mobiliser vient du latin « movere » qui signifie se mouvoir. Il fallait donc « Se mouvoir dans l’immobilité ».
  • L’introduction de néologismes : covidiste, complotiste…
  • Les mots savants méconnus du grand public : charge virale, variant, asymptomatique, agent infectieux, cellule hôte….
  • La langue n’est plus un outil de relations entre individus, mais un outil de séparation et de confusion.
  • Le vocabulaire devient volontairement mécaniste et hygiéniste.
  • Et par effet de langage, chacun devient médecin de son voisin, épidémiologiste, contrôleur, diagnostiqueur, policier — la santé c’est le contrôle !
  • La langue reconstruite par l’idéologie permet d’accomplir la dimension organique et mécanique dans la langue pour mécaniser le vivant (Klemperer). L’objectif est de déshumaniser l’être humain et d’humaniser ce qui ne l’est pas.

« En cas d’urgence caractérisée par l’apparition d’un variant susceptible de présenter un risque de transmissibilité accru ou d’échappement immunitaire, le mécanisme de frein d’urgence sera activé et le pays sera alors classé en liste rouge avec des mesures de rétorsion sur la population »

(site du gouvernement français de l’Intérieur sur les déplacements internationaux).

  • La répétition de mantra : protégez-vous, protégez les autres ; protégez les jeunes en confinant les vieux ; quand on aime ses proches, on ne s’approche pas ; la responsabilité c’est la confiance nous a dit Macron le 31/03/2021.

Le viol politique de la langue est sans doute la fraude la plus dangereuse, car la langue trafiquée perd toute une gamme d’émotions dans le but de manipuler, culpabiliser et terroriser.

Les mots qui ne veulent plus rien dire conduisent aux pires tragédies de l’Histoire. Staline avait appelé la Constitution de 1936 la Constitution la plus démocratique du monde tout en procédant aux rafles arbitraires et aux liquidations sauvages de ses généraux.

La fraude épistémologique

L’épistémologie consiste pour la philosophie à étudier les conditions d’exercice de la science.

  • Les premiers principes ayant entraîné les décisions politiques sur les confinements et autres mesures supprimant nos droits fondamentaux sont des mensonges qui subvertissent la science et trahissent la logique en instrumentalisant les mathématiques.
  • La science n’est plus un outil de discernement et de recherche, mais devient un instrument politique de contrôle au fonctionnement inquisitorial.
  • La science n’est plus le lieu du doute et du débat, mais le lieu de la certitude idéologique et du dogme religieux. D’ordinaire la science avance par des hypothèses/paradigmes qui évoluent et que nous appelons des révolutions scientifiques. Cela démontre notre impuissance dans la complexité du monde qui nous entoure.

Le scientisme, quant à lui, se débarrasse de la complexité et proclame une vérité qui est un dogme et évacue le débat de la controverse.

  • La confusion entre la matière morte et la matière vivante. Appliquer des mathématiques au vivant est une fraude. On a oublié dans l’ensemble de l’analyse le paramètre du vivant. Cela conduit logiquement à traiter les êtres vivants comme des matières mortes. Cette imposture intellectuelle est connue dans la philosophie depuis l’Antiquité.
  • La confusion entre les sciences opératives et les sciences spéculatives. Nous devons cette distinction au philosophe Boèce au Vème siècle apr. J.-C. En effet la médecine opère sur le réel, elle interagit avec le patient et la réalité de son expérience. La médecine ne fonctionne pas comme les sciences spéculatives, qui elles, restent dans le pur concept comme les mathématiques ou la philosophie.

La fraude a consisté à rester dans le pur concept pour parler de maladie et de santé. Plus généralement on ne peut pas traiter l’humain selon des sciences dures. Ce réductionnisme est une imposture.

Appuyer la science spéculative au détriment de la science opérative a tout simplement permis de soumettre le politique à la science ou la science à la politique.

Confondre la médecine avec une science spéculative a permis aussi de s’exonérer de toute boucle rétroactive avec l’expérience, avec les faits.

Le philosophe italien Giorgio Agamben a rappelé que le dévoiement de la pratique médicale constitue le principe par excellence du totalitarisme.

Les régimes totalitaires utilisent toujours le scientisme et en particulier la médecine qui permet un contrôle sur les corps pour asseoir une pseudo légitimité à leur existence et ils exigent une sorte de ferveur religieuse envers ce scientisme.

  • En résumé, il est impossible d’appliquer des concepts scientifiques issus des sciences dures, qui sont des sciences de la matière morte, à l’expérience politique, morale et spirituelle humaine. La démarche scientifique portée au-delà des limites qui sont les siennes est alors utilisée pour tenter de justifier des démarches qui ne sont en réalité ni scientifiques ni humaines.
  • Ces fraudes réductionnistes en cascade ont conduit au réductionnisme de l’individu à un état viral, une unité mathématique, un cas positif, un cas négatif, à un code-barre. La définition de la santé s’est insidieusement transformée en « absence de maladie potentielle » ce qui réduit le corps humain à une nature inerte pure qui devrait se défendre contre des virus externes qui eux seraient impurs. Les virus ne sont pas des menaces pour l’être humain dans la mesure où ils servent à renforcer les anticorps.

Le philosophe G. Canguilhem proposait une tout autre définition de la santé, qui si elle avait été suivie aurait changé l’orientation politique qui a été prise.

« La santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. Vivre, pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher ».

La maladie n’est pas un ennemi à abattre en tant que guerre, mais un déséquilibre interne qu’il convient de comprendre pour pouvoir œuvrer à rétablir l’équilibre.

La fraude politique et juridique

La philosophie juridique réfléchit aux conditions du pouvoir et du droit. Dans la crise covid, la fraude politique et juridique a très bien été mise en lumière par le philosophe italien G. Agamben et elle consiste dans la problématique suivante : il a fallu légitimer l’état d’exception.

L’État nazi qu’Hitler promulgua le 28/02/1933 par un décret pour la protection du peuple et de l’État, suspendait les articles de la Constitution de Weimar relatif aux libertés personnelles. Le décret ne fut jamais révoqué, si bien que tout le IIIe Reich peut être considéré d’un point de vue juridique comme un état d’exception qui a duré 12 ans.

Citation d’Agamben dans « État d’exception » :

« Le totalitarisme peut être défini en ce sens comme l’instauration, par l’état d’exception, d’une guerre civile légale qui permet l’élimination physique, non seulement des adversaires politiques, mais de catégories entières de citoyens, qui, pour une raison ou une autre semblent non intégrables dans le système politique ».

Dès lors, la création volontaire d’une urgence permanente est devenue l’une des pratiques essentielles des États contemporains. L’urgence sanitaire a justifié la mise en œuvre de cette situation politique extraordinaire qui est l’état d’exception.

Qu’est-ce que c’est ? C’est le moment qui permet de suspendre l’ordre juridique et où le pouvoir est donné à l’exécutif. Le parlement devient un instrument de l’exécutif qui ratifie les décrets promulgués par le pouvoir exécutif. En clair, c’est la fin de la séparation des pouvoirs qui sont pourtant la règle absolue pour éviter tout glissement vers l’arbitraire (cf. Montesquieu).

Agamben précise qu’une situation où l’urgence est devenue la règle et où la distinction même entre la paix et la guerre, entre paix extérieure et guerre civile mondiale devient impossible.

C’est exactement ce que nous traversons.

Deux problématiques à discuter :

  • L’invocation de la nécessité justifie-t-elle une transgression de l’ordre juridique et du droit en général ?

Dante y a répondu dans le « De Monerchia ». Il est impossible d’atteindre l’objectif du droit sans le droit. Quiconque se propose d’atteindre l’objectif du droit doit procéder selon le droit. Donc on ne peut pas invoquer une suspension de l’ordre juridique au motif de la nécessité.

  • La nécessité qui a été invoquée dans la crise covid, en était-elle vraiment une ?

À en croire les études concernant la manipulation des chiffres, le danger a été largement exagéré. Donc l’état de nécessité a été créé artificiellement pour justifier une suspension de l’ordre juridique. D’ordinaire, la loi a une fonction symbolique, qui à travers le Code pénal pose les bases d’une civilisation, en tant que protection de l’intégrité des individus.

La fraude juridique a autorisé la suspension de l’ordre juridique pour lui en substituer un autre, soumis à l’urgence, à l’état d’exception.

En résumé, la loi a été enfreinte pour violer les droits des individus au nom de la loi !

C’est un tour de passe-passe des systèmes totalitaires qui consiste à transgresser la loi pour en faire un instrument de persécution et d’intimidation.

  • Faire valoir ses droits naturels est aujourd’hui une transgression de l’ordre juridique totalitaire.

La fraude morale

Elle a consisté à faire admettre aux populations par la manipulation des esprits la légitimité de cet adage politique : « La fin justifie les moyens ».

Les consciences ont été manipulées par des cabinets influenceurs au nom du bien commun. Au nom de ce bien commun, il est dès lors devenu acceptable :

  • De ne pas soigner les gens ;
  • D’ostraciser des personnes en leur ôtant leurs moyens d’existence ;
  • D’insécuriser les populations ;
  • De créer la panique ;
  • D’utiliser les chantages et les conflits de loyauté ;
  • De ne pas honorer nos devoirs anthropologiques et spirituels envers nos morts ;
  • D’abandonner nos anciens ;
  • D’euthanasier une partie de la population considérée comme inutile ;
  • De faire le tri entre les patients ;
  • De maltraiter les enfants et les adolescents ;
  • D’arracher les nouveau-nés de leur mère, interdits d’allaitement, mis dans des box fermées au sein de grandes salles déshumanisées.

« La fin justifie les moyens » signifie qu’il devient acceptable de sacrifier des individus au nom de la quantité et l’individu est dépossédé de ses droits humains.

Les discours politiques n’ont pas cessé de parler de sacrifice. E. Macron, dans un discours nous a expliqué : « rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié ». Quelle étrange proposition. Est-il raisonnable d’y consentir ? Les considérations morales n’entrent plus en ligne de compte dans le discours sauf pour être utilisées en termes de chantage et de manipulation.

Ce serait pour le bien du groupe que l’individu devrait se sacrifier. Avec cette logique sacrificielle, les individus ne comptent plus et peuvent servir d’objets d’expérimentation jusqu’au génocide.

Il n’y a plus aucune limite juridique ou morale.

Le citoyen est traité comme un prisonnier sous liberté conditionnelle.

On nous parle de bracelet électronique…




« Covid-19 : Fraudes et corruption » — Une arnaque au comptage

[Source : Kairos Presse]

Conférence de Pierre Chaillot, statisticien, auteur de la chaîne « Décoder l’éco »

[Voir aussi :
Le mythe de la contamination épidémique]




Hospitalisation, décès et vaccination anti-covid : « Le ministère de la Santé ne dit rien »




C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

[Source : viroliegy.com]

[*« Gain de Fiction » : jeu de mot avec « Gain de Fonction ».]

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie (qui présente des expériences de contrôle — jamais réalisées par les virologues — permettant de réfuter la supposée présence de virus pathogènes dans les soupes toxiques de culture virale) ;
Aveuglés par la pseudoscience (qui démontre que les virologues ne suivent en rien la méthode scientifique) ;
L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle la méthode scientifique et les conditions nécessaires et suffisantes pour établir la causalité entre deux phénomènes) ;
UN ADIEU À LA VIROLOGIE(ÉDITION POUR EXPERT) (qui réfute en détail la virologie et attend toujours une éventuelle contradiction scientifique solide) ;
La nature et le but de la maladie (qui présente une approche bien plus cohérente et sensée de la santé et de la maladie, compatible d’ailleurs avec la vision spirituelle chrétienne d’un Dieu d’amour : pourquoi aurait-il créé de méchants virus et de méchantes bactéries juste pour rendre malade et emmerder non seulement les êtres humains, mais aussi les animaux et les plantes ?).
Dr Mike Yeadon : « Qu’est-ce que la recherche sur le gain de fonction ? »]

Par Mike Stone

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et lâchées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.

Cependant, ce scénario de « gain de fiction » prend de l’ampleur et est malheureusement fortement promu par des personnes influentes au sein de la communauté de la liberté de la santé. Ces personnes prêchent régulièrement les dangers des vaccins et des traitements pharmaceutiques toxiques ainsi que le piétinement de nos droits et libertés par des mesures draconiennes. Pourtant, malgré cela, elles avancent toujours l’idée qu’il existe des envahisseurs invisibles qui flottent et qui peuvent provoquer des maladies nécessitant ces mêmes mesures. Ils continuent de souscrire à ce récit malgré les preuves accablantes que ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de « virus » et donc aucun des divers protocoles imposés au public pour contenir les agents pathogènes « mortels ». Cependant, si l’on devait défier ces « dirigeants » du mouvement sur le fait qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un « virus », l’une des façons dont ils tentent de défendre leur croyance en ces entités est de pointer avec défi le génie génétique et les études de gain de fonction. Ils utilisent les affirmations des institutions de virologie selon lesquelles ce type de recherches expérimentales a lieu comme preuve que les « virus » existent bel et bien et que c’est ainsi que le « SRAS-COV-2 » a été créé, pas par la nature, mais par l’homme. Ils vendent cette histoire d’armes biologiques artificielles basée sur la peur à leur public sur la base des preuves les plus fragiles, dont aucune n’est scientifiquement valable.

Pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers, les études de gain de fonction sont celles dont on dit qu’elles modifient génétiquement un « virus » ou un autre micro-organisme afin d’augmenter d’une manière ou d’une autre sa pathogénicité supposée. Les chercheurs prétendent manipuler ou combiner des « virus » pour les rendre plus mortels et plus infectieux. Cependant, il y a un léger problème, car pour manipuler un « virus », le « virus » en question doit d’abord être scientifiquement prouvé. Cela n’a jamais été fait en plus de 100 ans de virologie. En réalité, ce que cette recherche implique est de créer les mêmes concoctions toxiques cultivées sur des cellules utilisées dans les études de virologie régulières avec la mise en garde supplémentaire qu’ils utilisent plus d’additifs et d’ingrédients synthétiques, ce qui les rend plus mortels pour les animaux de laboratoire auxquels on injecte anormalement les soupes toxiques. Aucun « virus » n’est jamais correctement purifié, isolé et scientifiquement prouvé dans ces expériences par l’adhésion à la méthode scientifique. Ces entités sont simplement supposées exister dans l’échantillon au moyen de résultats de PCR frauduleux. Cependant, cela n’a pas empêché un certain groupe d’individus de prétendre que ces études prouvent l’existence de « virus » pathogènes et que ces recherches ont conduit à la création du « SARS-COV-2 ». Ils ont sauté sur l’occasion de promouvoir cette fiction fondée sur la peur sans la moindre validation scientifique crédible à l’appui. Voici quelques exemples des déclarations faites par les personnes en position d’influence qui mettent en avant ce récit de fuite d’arme biologique/laboratoire à leur public :

Leur conclusion : le SRAS-CoV-2 est sorti de la nature.

Ma conclusion : c’était définitivement une fuite de laboratoire.

Steve Kirsch 
https://stevekirsch.substack.com/p/the-wet-market-theory-re-emerges

La totalité des preuves disponibles aujourd’hui s’explique en effet mieux par l’hypothèse de l’origine du laboratoire.

Jeremy Hammond
https://www.jeremyrhammond.com/2021/06/18/interview-origin-of-sars-cov-2-lockdowns-covid-19-vaccines/

Cela a permis au Dr Fauci, au NIAID, au DTRA et au NIH d’ignorer l’interdiction de la recherche sur le gain de fonction et de poursuivre cette recherche. Comme nous le savons maintenant, c’est ainsi que le SRAS-CoV-2 a été créé puis accidentellement diffusé sur le peuple chinois. Au moins, nous espérons que c’était un accident.

Robert Malone
https://rwmalonemd.substack.com/p/ebola-this-is-not-over

La volonté des autorités américaines de dissimuler l’origine du SRAS-CoV-2 signifie que les pays peuvent désormais nous attaquer avec des armes biologiques indéfiniment, en toute impunité.

Dr. Joseph Mercola
https://childrenshealthdefense.org/defender/fauci-collins-evidence-covid-lab-leak/

Je suis maintenant convaincu qu’il s’agit d’un virus créé par l’homme.

Del Bigtree
https://www.podchaser.com/podcasts/the-highwire-with-del-bigtree-519460/episodes/is-covid-19-a-bio-weapon-91383003

Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-pandemic-nih-unc-fauci-baric/

Comme on peut le voir, de Kirsch à Kennedy, les histoires de science-fiction de gain de fonction est la conclusion la plus « logique » quant à la façon dont les gens ont contracté les mêmes symptômes de maladie que ceux que nous observons chaque année. Dans ce récit, Anthony Fauci a ignoré l’interdiction gouvernementale des recherches sur les gains de fonction et travaillait secrètement avec des laboratoires en Chine pour transformer le « coronavirus » plutôt inoffensif, associé au rhume, en un cas de grippe bénigne avec une survie évaluée à 99 %. Cette entité « renforcée » a été soit délibérément libérée par Fauci et compagnie, soit elle s’est échappée accidentellement du laboratoire de Wuhan en Chine. Dans les deux scénarios, nous devons croire que Fauci est un agent voyou finançant des expériences scientifiques folles créant et combinant des « virus » afin de les transformer en armes biologiques. Les courriels « fuités » de Fauci sur le gain de fonction sont souvent cités comme preuve de ce récit.

RKF Jr. et Del Bigtree s’en souviennent.

Voici un exemple de l’un des e-mails obtenus que certains ont pris comme preuve de l’origine de la fuite de laboratoire/arme biologique du « SARS-COV-2 » :

Pistolet fumant ? Non.

Fait intéressant, les informations énumérées ci-dessus sur la création du « virus » de l’arme biologique proviennent d’une étude publiée en août 2005 qui examinait le processus d’entrée théorique de la « protéine S du SRAS-CoV » dont l’existence n’a jamais été prouvée et les inhibiteurs de ce processus :

Les inhibiteurs de la cathepsine L empêchent l’entrée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère

« Intervirion Fusion. HIV-luc(ACE2) (500 ng de p24) a été mélangé avec 1 000 ng de p24 de particules HIV-gfp incorporant l’enveloppe de l’ASLV-A, la protéine S du SARS-CoV, ou les deux enveloppes dans du PBS à 4°C pendant 30 min pour permettre la liaison. Les échantillons ont été portés à 37°C pendant 15 minutes pour permettre des réarrangements conformationnels. Les virus ont été ajustés au pH souhaité avec de l’acide citrique 0,1M. La PBS, la TPCK-trypsine (concentration finale 10 μg/ml), la CTSL, la cathepsine B (CTSB) (concentrations finales 2 μg/ml) ou le tampon CTSL seul ont ensuite été ajoutés. La CTSL recombinante (R & D Systems) a été préactivée par incubation pendant 15 min à 10 μg/ml dans 50 mM Mes, pH 6,0, sur glace. La CTSB recombinante (R & D Systems) a été préactivée dans 25 mM Mes, 5 mM DTT, pH 5.0, pendant 30 min à 25°C. Après une incubation de 10 min à 25°C, la protéolyse a été arrêtée par l’ajout de 300 μl de DMEM10 contenant de la leupeptine (25 μg/ml) et de l’ITS (75 μg/ml). Les virions ont ensuite été incubés à 37°C pendant 30 min pour permettre la fusion membranaire. 100 μl du mélange de virions ont été ajoutés en quadruplicat à des cellules HeLa-Tva prétraitées pendant 1 h avec de la leupeptine (20 μg/ml). Les cellules ont été infectées par centrifugation et incubées à 37 °C pendant 5 h. Le milieu a été remplacé par du DMEM10 frais et les cellules ont été testées pour l’activité luciférase 40 h plus tard. »

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0505577102

Le fait que Fauci ait eu besoin de quelqu’un pour fournir la section « méthodes » d’une étude de 2005 contenant l’« origine » du « SRAS-COV-2 », laissant ainsi une trace de courrier électronique avec le titre « Méthode de production d’une arme biologique à base de coronavirus » alors qu’il aurait pu tout aussi facilement consulter l’étude lui-même, n’a pas beaucoup de sens logique. La découverte de ce copier-coller dans la section des méthodes d’une étude de 2005 m’a en fait laissé croire que ces e-mails étaient trafiqués et/ou faux lorsque j’ai initialement examiné cette histoire. Cependant, cet e-mail particulier peut être trouvé parmi le trésor des e-mails Fauci stratégiquement « divulgués » (ils ont en fait été publiés en raison d’une demande FOIA par ICAN et Buzzfeed), vus à la page 2286 dans ce lien. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que cet e-mail a été envoyé à Fauci par une personne nommée Adam Gaertner, une personne totalement indépendante de l’étude de 2005 qui semble être un chercheur indépendant faisant pression pour l’ivermectine comme traitement du « Covid-19 ». D’une manière ou d’une autre, les personnes qui font avancer ce récit d’armes biologiques semblent toujours avoir des thérapies pharmaceutiques alternatives qu’elles promeuvent comme un remède. À un moment donné, Gaertner avait un compte Twitter appelé « veryvirology » qui semble maintenant être suspendu. Il avait également un site Web connu sous le nom de covidcandy.net qui semble ne plus être utilisé, la dernière entrée trouvée sur la Wayback Machine étant répertoriée le 19 mai 2022. Il semble que cette personne ait contacté Fauci de manière non sollicitée avec la section des méthodes tirée d’une ancienne étude affirmant que c’était ainsi que le « SRAS-COV-2 » avait été créé. En d’autres termes, ce n’est pas une preuve très crédible d’un point de vue fuite de laboratoire/arme biologique.

Joseph Mercola a couvert l’histoire de l’arme biologique de Fauci/EcoHealth.

Un autre exemple qui est utilisé comme preuve d’une origine de fuite de laboratoire/d’arme biologique pour le « SRAS-COV-2 » est une proposition de subvention non publiée qu’EcoHealth Alliance a déposée auprès de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci :

https://www.google.com/amp/s/nypost.com/2021/09/07/wuhan-lab-documents-show-fauci-untruthful-about-research-critics/amp/

Apparemment, obtenir du financement pour la recherche est maintenant considéré comme une preuve que la recherche est valide, que les chercheurs peuvent faire ce qu’ils prétendent et que la recherche a effectivement été effectuée. Le problème ? Au-delà des e-mails et des subventions, il n’y a aucune publication scientifique montrant que des expériences GOF [Gain Of Fonction : Gain de fonction] aient jamais eu lieu ni abouti au « SRAS-COV-2 ». Les études publiées qui ont découlé de cette subvention, intitulées « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus de la chauve-souris », ne répondent pas à la définition de ce qui est considéré comme de la recherche GOF. En fait, il y avait une lettre soumise par le NIH aux membres du Congrès enquêtant sur cette affaire qui a finalement été utilisée comme un aveu qu’EcoHealth Alliance avait effectué et réalisé des études GOF à Wuhan. Cependant, le directeur adjoint principal Lawrence Tabak a spécifiquement déclaré dans la lettre que la recherche menée ne répondait pas à la définition de GOF et que les expériences n’auraient pas pu aboutir à un « SRAS-COV-2 » en raison des génomes non apparentés des « virus » en question.

C’est peut-être le pistolet fumant… ?

Si l’on soumet cela comme la preuve d’une origine de fuite de laboratoire, la conclusion devrait être que le « SRAS-COV-2 » n’a pas été créé dans un laboratoire à moins que ceux qui le prétendent ne soient en mesure de présenter l’étude réelle décrite dans le courriel détaillant les méthodes et montrant les données tirées de l’étude. Cependant, pour autant que je sache, il n’y a pas une telle publication. En fin de compte, tout ce que nous avons pour poursuivre, en ce qui concerne les preuves, est cette lettre affirmant que certaines expériences ont été réalisées et qu’un résultat inattendu s’est produit. Ce n’est pas une preuve scientifique. Si la lettre est tout ce dont nous disposons, nous devons alors conclure que les expériences, si elles ont été réalisées, ne répondaient pas à la définition du GOF et n’ont pas donné lieu à un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire. Par conséquent, quiconque utilise ce document comme preuve de l’origine du gain de fonction du « SARS-COV-2 » le fait en dépit des informations fournies dans la lettre et fonde son hypothèse non pas sur des preuves scientifiques réelles, mais sur de pures spéculations. Même si les preuves avaient pointé dans la direction que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans les expériences GOF, cela ne remplacerait toujours pas le fait que, pour que ces expériences GOF aient une quelconque légitimité, les « virus » étudiés et soi-disant manipulés doivent d’abord voir leur existence scientifiquement prouvée. Cela n’a jamais été démontré pour le « SARS-COV-2 » ni pour aucun autre « virus », ce qui n’est qu’un des nombreux problèmes liés aux études considérées comme GOF. Celles correspondant réellement à la définition GOF qui finissent par voir le jour sont extrêmement défectueuses, comme le montrera la dernière publication dite GOF un peu plus loin dans cet article. Dans tous les cas, les e-mails « divulgués » de Fauci, les propositions de subventions non publiées et les lettres au Congrès ne répondent pas aux preuves scientifiques de base requises pour prouver l’existence d’un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire.

Maintenant, cela ne veut pas dire que Fauci soit propre de quelque manière que ce soit. Bien sûr, il est indéniable que Fauci est un monstre qui est fortement impliqué dans l’arnaque qu’est le « SARS-COV-2 ». Il a également été un acteur clé dans le canular du VIH/SIDA. Ainsi, il est facile de simplement accepter cette narration de gain de fonction et de se détourner de toute question quant à savoir si des « virus » existent ou non. Si les « virus » n’existent pas, comment Fauci aurait-il pu fabriquer son « virus » Frankenstein de grippe bénigne ? Que se passe-t-il dans ces laboratoires sinon la fabrication de « virus » plus meurtriers ? À quoi servent tous nos dollars durement gagnés par les contribuables si ce n’est dans le seul but de bricoler ces entités invisibles ? C’est ce à quoi les personnes au sommet du mouvement pour la liberté de la santé veulent apparemment que vous croyiez si vous vous retrouvez à remettre en question le paradigme « viral » répandu. Si vous ne me croyez pas, jetons un coup d’œil à Robert Kennedy Jr., sans doute le leader le plus connu du mouvement pour la liberté en matière de santé, et à son dernier roman de science-fiction pour voir ce que cela implique :

« The Wuhan Cover-Up lève le voile sur la manière dont l’augmentation des dépenses du gouvernement américain en matière de biosécurité après les attentats terroristes de 2001 — facilitée par le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) — a déclenché un plan visant à transformer le NIAID en une agence de facto du ministère de la Défense.

Alors que le Dr Fauci finançait et poursuivait avec zèle la recherche sur le gain de fonction, certains scientifiques et responsables gouvernementaux s’inquiétaient de la possibilité d’une libération accidentelle ou délibérée de virus militarisés par des laboratoires qui pourraient déclencher des pandémies mondiales. Un moratoire a été mis sur cette recherche, mais fidèle à lui-même, le Dr Fauci a trouvé des moyens de continuer sans être perturbé — externalisant certaines des expériences les plus controversées à l’étranger en Chine et fournissant un financement fédéral aux principaux chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour des études de gain de fonction en partenariat avec l’armée chinoise et le Parti communiste chinois.

Robert F. Kennedy Jr. dont l’analyse, méticuleusement documentée et rigoureusement sourcée, entraîne les lecteurs dans un voyage stupéfiant pour découvrir :
• les principaux facilitateurs et sbires qui poussent à la recherche sur les gains de fonction ;
• les motifs économiques qui sous-tendent la recherche par gain de fonction ;
• les “virus chimériques” conçus avec succès et capables d’infecter et de tuer des humains ;
• l’effort coordonné pour faire taire les spéculations sur la genèse du COVID-19 en laboratoire ;
• la complicité des revues scientifiques pour cacher les origines du COVID-19 ;
• le rôle de l’Institut de virologie de Wuhan dans le programme de guerre biologique et de biodéfense de la Chine ;
• les relations entre les bureaucraties et les scientifiques américains de la santé, de l’armée et du renseignement et leurs homologues chinois ;
• les rôles de Bill Gates et de Sir Jeremy Farrar dans l’orchestration de la dissimulation mondiale de la Chine.
The Wuhan Cover-Up dévoile une conspiration mondiale aux proportions épiques et aux conséquences mortelles. »

https://www.simonandschuster.com/books/The-Wuhan-Cover-Up/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510773998

Selon l’enquête de Kennedy, Anthony Fauci a dirigé la transition du NIH en un DOD [Departement Of Defense: Département de la Défense] de facto après le 11 septembre. Fauci a fait du « zèle » pour financer les expériences de science folle sur le gain de fonction à gauche et à droite jusqu’à ce qu’il soit stoppé par le gouvernement. Cependant, Fauci avait d’autres plans et a trouvé des moyens de contourner le système en poursuivant son escapade dans la ville des fous. Qui aurait cru que le journaliste d’investigation de renommée mondiale Robert Kennedy Jr. était capable de découvrir un vaste complot mondial impliquant Anthony Fauci et l’ingénierie du « SARS-COV-2 » à Wuhan ? Bien sûr, il serait facile de croire RFK Jr., car il a été du bon côté de ce débat en dénonçant constamment les dangers des vaccins. Eh bien… tant que vous ne tenez pas compte du fait qu’il ne se considère pas comme un anti-vax et qu’il préconise en fait des vaccins « plus sûrs » plutôt que d’éliminer complètement la vaccination en tant que pratique :

Nous voulons des vaccins sûrs, une science solide et transparente et une agence de réglementation honnête et indépendante axée étroitement sur la santé publique plutôt que sur le profit de l’industrie.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/about-us/mercury-vaccines-cdcs-worst-nightmare/

À son crédit, Kennedy a régulièrement fustigé Anthony Fauci et a récemment exposé les actes pervers de cet homme à la vue de tous dans son best-seller de novembre 2021 The Real Anthony Fauci :

En tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), le Dr Anthony Fauci a distribué 6,1 milliards de dollars de fonds annuels fournis par les contribuables pour des recherches scientifiques truquées, ce qui lui a permis de dicter le sujet, le contenu et les résultats de la recherche scientifique sur la santé dans le monde entier — un véritable programme sombre. Fauci utilise l’influence financière dont il dispose, de manière détournée, pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, les universités, les revues et des milliers de médecins et de scientifiques influents — il a le pouvoir de ruiner, de faire progresser ou de récompenser les carrières et les institutions de manière autoritaire.

Pendant plus d’un an de recherches minutieuses et méticuleuses sur son ordinateur portable et par le biais d’interviews, Robert F. Kennedy Jr. a déterré une histoire choquante qui réduit à néant la manipulation des médias sur le Dr Fauci… et qui alertera tous les Américains — démocrates ou républicains — qui se soucient de la démocratie, de notre Constitution et de l’avenir de la santé de nos enfants.

Le vrai Anthony Fauci révèle comment « America’s Doctor » a lancé sa carrière au début de la crise du sida en s’associant à des sociétés pharmaceutiques pour saboter des traitements thérapeutiques sûrs et efficaces non brevetés contre le sida. Fauci a orchestré des études frauduleuses ne donnant rien, puis a fait pression sur les régulateurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour qu’ils approuvent un traitement de chimiothérapie mortel qu’il avait de bonnes raisons de savoir sans valeur contre le sida. Fauci a fait l’impensable et a violé à plusieurs reprises les lois fédérales pour permettre à ses partenaires pharmaceutiques d’utiliser des enfants pauvres et à la peau foncée comme rats de laboratoire dans des expériences mortelles sur le SIDA et les chimiothérapies anticancéreuses.

Au début de 2000, Fauci a serré la main de Bill Gates dans la bibliothèque du manoir Gates de 147 millions de dollars à Seattle, cimentant un partenariat qui viserait à contrôler une entreprise mondiale de vaccins de plus en plus rentable de 60 milliards de dollars avec un potentiel de croissance illimité. Grâce à un effet de levier financier et à des relations personnelles soigneusement entretenues avec les chefs d’État et les principaux médias et institutions de médias sociaux, l’alliance Pharma-Fauci-Gates exerce une domination sur la politique de santé mondiale et sur notre beau pays.

https://www.simonandschuster.com/books/The-Real-Anthony-Fauci/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510766808

Il est plutôt étrange que Kennedy Jr. ait découvert que Fauci finançait des « études frauduleuses ne donnant rien » en ce qui concerne le VIH dans les années 1980, mais qu’il avance le récit selon lequel Fauci finance actuellement des études GOF qui ne sont soi-disant pas des études frauduleuses ne donnant rien. Si nous nous basons sur le passé de Fauci pour juger de ses actions dans le présent, il serait beaucoup plus logique de conclure qu’il a l’habitude de financer des études frauduleuses ne donnant rien et que la piste GOF n’est rien de plus qu’une émanation de ce comportement. Cette prémisse est facile à voir quand on comprend que toute l’histoire des études sous l’égide de la virologie repose sur une fondation frauduleuse vieille d’un siècle. Pistes d’argent, e-mails « fuités », subventions non publiées, et les lettres au Congrès ne sont rien de plus que des distractions indirectes inutiles qui nous éloignent du manque sous-jacent de validation scientifique de la virologie. Le récit GOF/armes biologiques est un faux-fuyant conçu pour maintenir les gens dans un état chronique de peur d’une attaque terroriste biologique potentielle dans la même veine que les Russes avec des armes nucléaires pendant la guerre froide ou que Sadam Hussein et ses « armes de destruction massive ». C’est un écran de fumée pour les non informés afin de les empêcher de creuser encore plus profondément.

En ce qui concerne la poursuite continuelle par Kennedy Jr. de quelqu’un dont il a montré qu’il a des antécédents de fraude avérée, il est tout à fait clair qu’il n’y a pas d’amour éperdu entre ces deux hommes influents. Une grande partie des informations que Kennedy a « découvertes » dans son livre sur Anthony Fauci étaient déjà bien connues de tous ceux qui avaient prêté une attention particulière au canular du VIH/SIDA. En fait, il est facile de voir qu’une grande partie de l’escroquerie « Covid » suit exactement le même scénario que celui mis en place par Fauci et compagnie dans les années 1980. Kennedy a raison pour beaucoup d’informations sur les activités néfastes de Fauci. Cependant, il ignore la question la plus importante au cœur des stratagèmes frauduleux de Fauci : les « virus » existent-ils vraiment ? Ces escroqueries pourraient-elles être commises avec succès sur la seule base d’une propagande de peur efficace et de tests inexacts ? Malheureusement, il semble que Kennedy Jr. ne soit même pas prêt à envisager sérieusement de telles pensées, comme le montre son échange avec le véritable journaliste d’investigation Eric Coppolino en avril 2022 :

« Ouais, je ne suis vraiment pas qualifié pour commenter, mais je… mon penchant s’il y a des gens qui disent que les virus n’existent pas, qu’il n’y a pas de virus… je ne, vous savez, mon penchant est que, euh, c’est simplement n’est pas, vous savez, ce n’est pas vrai.

« Et je suis un peu amusé à lire les échanges et mon penchant est que les virus existent et qu’ils rendent les gens malades. Je peux me tromper. Tout cela pourrait être un gros canular, mais pour moi, tout semble comme, vous savez, les virus sont réels, et euh, écoutez, j’aurais dû me taire dès le début et dire que je ne vais pas répondre à cette question. »

« Encore une fois, je ne suis pas un bon un bon par… — je ne suis pas un scientifique. Je ne prétends pas l’être. Je trouve ces arguments intéressants.

Robert Kennedy Jr.
https://chironreturn.org/rfk-jr-acknowledges-controversy-over-existence-of-sars-cov-2-and-of-all-viruses/

Kennedy Jr. a affirmé qu’il n’était pas qualifié pour parler de l’existence de « virus », car il n’était pas un scientifique. Pourtant, il a quand même conclu que ces entités fictives existent telles qu’elles sont vendues sans faire aucune enquête indépendante de sa part. D’une manière ou d’une autre, il s’est jugé suffisamment qualifié pour comprendre la « science » derrière les études de gain de fonction afin de vendre le récit du mégalomane Fauci créant des « virus » améliorés à Wuhan. Cependant, ne lui demandez pas si ces entités existent réellement, car c’est un peu trop au-dessus de son niveau de rémunération. C’est parfaitement logique, non ?

Je tiens à préciser que cet article n’a pas pour but d’attaquer RFK Jr. Lui et les autres personnes citées ici ont fourni des informations qui ont aidé beaucoup de gens à voir les dangers des mesures utilisées contre nous pendant cette « pandémie ». Cependant, il est très clair qu’il y a un effort concentré de la part de ceux qui sont en position d’influence pour amener toute personne qui remet en question le paradigme « viral » à faire un détour par le récit de l’arme biologique et du gain de fonction, malgré l’absence de toute preuve scientifique crédible à l’appui. Ceux d’entre nous qui contestent l’absence de preuves scientifiques de l’existence des « virus » font l’objet d’une forte répression. Nous devons nous demander pourquoi ces personnes réellement intelligentes sont prêtes à remettre en question l’origine naturelle d’un « virus », mais ne sont pas disposées à remettre en question les preuves fondamentales qui étayent l’existence de ce concept fictif [NDLR En d’autres termes, il n’existe aucune preuve scientifique réelle de l’existence de virus pathogènes pouvant provoquer des maladies. Mais les preuves établies tendent au contraire à démontrer que ce que la virologie a pris pour de tels virus ne correspond en réalité qu’à des composants cellulaires (éventuellement dégradés)]. Pourquoi sont-ils prêts à promouvoir un récit d’armes biologiques fondé sur la peur, alors que les seules preuves qui l’étayent proviennent de courriels « fuités », de subventions non publiées et de lettres adressées au Congrès, sans aucune preuve scientifique crédible à l’appui ?

Serait-ce dû à des intérêts particuliers ?

Steve Kirsh

« Steve est un entrepreneur et philanthrope de la Silicon Valley qui a fondé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) au début de la pandémie. Steve et le CETF ont financé la recherche qui a montré des résultats prometteurs de la fluvoxamine comme traitement précoce du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

« L’équipe du COVID-19 Early Treatment Fund est composée d’experts issus d’un large éventail de domaines, notamment la médecine, la technologie, la philanthropie et les affaires. Ensemble, nous sommes rapidement devenus le premier fonds mondial axé sur les traitements précoces du COVID-19 qui tirent parti des médicaments réutilisés. »

https://www.treatearly.org/our-team

Robert Malone

« Le Dr. Malone détient de nombreux brevets nationaux et étrangers fondamentaux dans les domaines de la délivrance de gènes, des formulations de délivrance, des vaccins à ADN et des vaccins à ARNm. »

« Depuis janvier 2020, le Dr Malone dirige une grande équipe axée sur la conception de la recherche clinique, le développement de médicaments, la modélisation informatique et les mécanismes d’action des médicaments réutilisés pour le traitement du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

Peut-être vendent-ils des suppléments censés traiter la maladie ?

Jérémy Hammond

L’oxyde nitrique, la N-acétyl-L-cystéine, la quercétine avec du zinc et la vitamine D3 ont tous été proposés comme traitements pour « Covid ».
https://www.jeremyrhammond.com/shop/

Dr Joseph Mercola

Mercola a sa propre marque vendant des produits similaires.
https://drjosephmercola.com/market/

Ou peut-être ont-ils de puissants partenaires financiers à qui ils doivent rendre compte :

Del Bigtree

« Selon le Washington Post, la Fondation Selz fournit environ 75 % du financement de l’Informed Consent Action Network, une organisation caritative dont Lisa Selz est la présidente et dont la mission est décrite comme « la promotion de la sécurité des médicaments et des vaccins et du choix des parents dans les décisions relatives aux vaccins ». »

https://www.google.com/amp/s/www.vanityfair.com/news/2019/06/bernard-selz-lisa-selz-vaccines/amp

Quoi qu’il en soit, la remise en question de l’absence de preuves scientifiques de l’existence de « virus » se heurte soit à des attaques furieuses (comme celles de Kirsch et Hammond), soit à des excuses telles que le public n’est pas prêt à s’engager dans cette voie (comme proposé par Del Bigtree), soit à des tentatives de convaincre les lecteurs que la remise en question de l’existence de « virus » entravera le mouvement de la « vérité » (comme le suggère Mercola), soit encore à l’ignorance feinte et au manque de références nécessaires comme on le voit dans le cas de la réponse de Kennedy Jr. à Eric Coppolino. D’une manière ou d’une autre, les personnes ayant le plus grand impact et les voix les plus fortes ont sauté à la conclusion, sur la base des e-mails « divulgués » de Fauci, que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans un laboratoire. Ils sont complètement vendus sous la menace d’une arme biologique « virale » sans aucune preuve scientifique crédible qu’une arme biologique « virale » ait jamais été fabriquée. Ils écriront des articles et des livres pour alerter le public sur la menace de ces études de gain de fonction, mais ils n’examineront pas les preuves fondamentales quant à savoir si l’existence de ces « virus » a déjà été scientifiquement prouvée. En réalité, ils sont tellement sûrs que les études du GOF sont des expériences scientifiques légitimes qu’ils vont promouvoir auprès de leur public les résultats d’une étude préimprimée non évaluée par des pairs datant d’octobre 2022, comme si cet article contenait des preuves scientifiques réelles soutenant leur position sur les armes biologiques :

L’Université de Boston crée une nouvelle souche SARS-CoV-2 mortelle à 80 %

« Vraisemblablement, il y a un avantage à créer une nouvelle souche de SARS-CoV-2 qui a un taux de létalité (CFR) de 80 % (contre le CFR moyen de 0,2 % pour les variantes actuelles) et qui est très contagieuse.
Je suis perplexe quant à ce que c’est. »

« Le travail a été soutenu par une subvention du NIH, en particulier du NIAID, l’organisation dirigée par Anthony Fauci. »

https://stevekirsch.substack.com/p/bu-creates-new-sars-cov-2-strain

« Insensé » : des chercheurs de Boston créent une souche « plus mortelle » de COVID, incitant à des appels pour arrêter la recherche risquée sur le gain de fonction

« Une équipe de 14 scientifiques des Laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes (NEIDL) de l’Université de Boston a développé une nouvelle souche de COVID-19 qui a tué 80 % des souris infectées par le virus en laboratoire, selon une étude préimprimée publiée le 14 octobre. Suite à l’annonce, de nombreux reportages sur les résultats de l’étude se sont concentrés sur le taux de mortalité observé chez les souris de laboratoire utilisées dans l’étude.

Cependant, derrière les gros titres, certains scientifiques et d’autres ont soulevé des inquiétudes quant à la nature de la recherche et au fait qu’elle était partiellement financée par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci.

La recherche a été menée en utilisant ce que certains scientifiques ont appelé la recherche de “gain de fonction”, soulevant des inquiétudes quant au fait que ce type de recherche — qui, selon certains, a conduit à la création et à la fuite de la souche originale de Wuhan de COVID-19 — est toujours en cours, malgré les inquiétudes que cela pourrait conduire à plus d’évasions de laboratoire et à plus de pandémies. »

https://childrenshealthdefense.org/defender/new-covid-strain-risky-gain-of-function-research/

Boston U tente de reculer les rapports d’expériences dangereuses

« Quelques jours seulement après l’annonce de la nouvelle selon laquelle l’Université de Boston avait créé une souche mortelle de SRAS-CoV-2 dans ses laboratoires, l’institution essaie de colporter son annonce, affirmant que les médias d’information se sont non seulement trompés, mais qu’ils interprètent mal ce que l’institution a vraiment fait. Mais est-ce vrai ? Selon l’épidémiologiste et microbiologiste des maladies infectieuses Marc Lipsitch, l’université peut déformer les rapports de leurs découvertes comme elle le souhaite, mais ce qu’elle a fait est toujours un gain de fonction… »

https://blogs.mercola.com/sites/vitalvotes/archive/2022/10/19/boston-u-tries-to-back-peddle-out-of-dangerous-experiment-reports.aspx

Qu’est-ce qui pourrait être plus insensé que le fait que Fauci finance davantage d’expériences sur le gain de fonction afin d’évaluer la létalité d’un coronavirus au milieu d’une pandémie causée par un coronavirus amélioré qui a tué des millions de personnes ?

Pour un bon aperçu de la façon dont des études telles que celle réalisée par Boston U sont rapportées comme étant la vérité avec l’utilisation de tactiques alarmistes, le battage médiatique et le sensationnalisme, n’hésitez pas à regarder le clip de près de 10 minutes (aimablement édité par Bill Houston) du dernier The Highwire de Del Bigtrees épisode présenté ci-dessous. Il est clair que Del et l’invité Jefferey Jaxen n’ont pas lu l’étude et n’ont pas réfléchi de manière critique à la question de savoir si les résultats et les conclusions de cette étude préimprimée et non évaluée par des pairs sont même scientifiquement valides. Ils déclarent simplement que c’est vrai et utilisent les conclusions pour renforcer leur message basé sur la peur des menace d’armes biologiques. Del termine même le segment avec le remorqueur approprié sur les vieilles cordes de peur en déclarant « Au centre-ville de Boston, nous pourrions avoir la même fuite parce que les gens ne respectent pas les règles. » Fait de main de maître par les médias « alternatifs ».



RFK Jr. a également publié un article quelques jours après la publication de l’étude de Boston U faisant la promotion d’une autre étude préimprimée et non évaluée par des pairs comme preuve que le « SRAS-COV-2 » était un « virus » créé en laboratoire :

Cette étude, intitulée « L’empreinte digitale de l’endonucléase indique une origine synthétique du SRAS-CoV2 » a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv et ne consiste en rien d’autre que des comparaisons de données génomiques. Il n’y a aucun « virus » impliqué dans l’étude autre que les A, C, T, G [NDT Les quatre nucléotides composant l’ADN :  adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T).] aléatoires présentés sur un écran d’ordinateur comme remplaçants. Il n’y a aucune description de la manière dont ont été obtenus les génomes utilisés dans la comparaison. Essentiellement, les chercheurs ne font que regarder des données informatiques. Rien de physique n’existe, juste les données. Malheureusement pour RFK Jr., l’accumulation et l’analyse de données ne relèvent pas de la science. Cela n’a cependant pas empêché RFK Jr. de déclarer que « le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain ». Fait intéressant, quelques paragraphes plus loin, il déclare ceci :

La responsabilité de l’UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ?

Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19. Mais quelques pièces de puzzle manquantes nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan.

Robert Kennedy Jr.

Le dernier que j’ai vérifié, « suggère fortement », « pièces de puzzle manquantes » et « nous empêche de prouver définitivement » ne ressemble pas à une « preuve positive » que « SARS-COV-2 » était une création de laboratoire d’ingénierie. Ainsi, cette preuve que Kennedy Jr. jette là-bas s’apparente à ceci est la façon dont ils l’ont fait, mais nous ne savons pas encore s’ils l’ont fait. C’est comme être excité à l’idée d’acheter la guitare à air [NDT Un instrument de musique rare ?] de quelqu’un sur eBay. Bien sûr, la transaction peut être là, mais rien de physique n’existe réellement. Néanmoins, dans sa hâte de diffuser le dernier élément de preuve indirecte pour promouvoir un programme fondé sur la peur, RFK Jr. a négligé d’attendre la confirmation par une reproduction indépendante des résultats et, plus important encore, d’avoir des preuves de particules de « virus » correctement purifiées et isolées au lieu de A, C, T, G aléatoires dans une base de données informatique. À la place, il a rapidement rédigé un article vendant cette comparaison préimprimée de génomes générés par ordinateur comme une « preuve » supplémentaire de l’existence d’une arme biologique à gain de fonction.

Si RFK Jr. et ses amis prenaient le temps de lire réellement ces études sur le « gain de fonction », ils constateraient qu’il n’y a aucune science réelle dans aucune d’entre elles. Dans le cas de la dernière tentative de GOF alarmiste de Boston U, ceux qui mettent en avant ce récit découvriraient qu’aucun « virus » purifié et isolé n’a jamais été utilisé à aucun moment et que les résultats derrière les conclusions sont très discutables. Tout ce qui serait nécessaire pour voir cela est que RFK Jr. et ses amis lisent la section des méthodes qui démontre facilement que l’article n’implique rien d’autre qu’une expérimentation chimique grandiose impliquant de nombreux produits chimiques et substances étrangères combinés et cultivés ensemble qui ont été utilisés pour justifier la mise à mort des animaux expérimentés.

Par exemple, les auteurs ont affirmé avoir créé une version recombinante chimérique du « SARS-COV-2 ». Selon Merriam-Webster, chimérique signifie que la substance contient du tissu avec deux ou plusieurs populations de cellules génétiquement distinctes, tandis que recombinant concerne le fait de contenir de l’ADN génétiquement modifié. Essentiellement, les chercheurs ont mélangé de nombreuses sources de matériel génétique avec des produits chimiques synthétiques ajoutés dans une boîte de Petri et ont affirmé qu’un nouveau « virus » modifié existait dans la soupe de culture cellulaire. Pour ce faire, ils ont utilisé :

  • Cellules HEK293T de rein embryonnaire humain

    • Une lignée cellulaire immortalisée prélevée sur des fœtus avortés dans les années 1970.

  • Cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549

    • Cellules dérivées d’une tumeur pulmonaire primaire d’un homme de 58 ans en 1972.

  • Adénocarcinome colorectal humain Cellules Caco-2

    • Cellules dérivées du tissu cancéreux du côlon d’un homme de 72 ans en 1977.

  • Cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique

    • Comme son nom l’indique, les cellules de reins de singe qui sont la lignée cellulaire la plus couramment utilisée pour la culture.

De nombreux produits chimiques et substances ont été ajoutés à des fins de culture, tels que :

  • Milieu d’aigle modifié de Dulbecco

    • Contient divers ingrédients, notamment des acides aminés, des vitamines, du glucose, du sodium, de la glycine, de la sérine, du nitrate ferrique, du pyruvate et du bicarbonate de sodium.

  • Sérum bovin fœtal

    • Le sang prélevé du cœur d’un veau à naître.

  • Acides aminés non essentiels

    • Cela peut inclure la L-alanine, la L-asparagine, l’acide L-aspartique, la L-glycine, la L-sérine, la L-proline et l’acide L-glutamique.

  • Avicel

    • Selon le fabricant DuPont, il s’agit d’un excipient d’alphacellulose purifiée, partiellement dépolymérisée, fabriquée par hydrolyse acide de pâte de bois spécialisée, qui produit rapidement des granules robustes qui restent stables dans des environnements à fort cisaillement.

Il existe divers autres additifs synthétiques utilisés tout au long de ce processus, tels que le chromosome artificiel bactérien (BAC), l’ADN polymérase PrimeStar GXL, le volume de réaction CPER avec 250 µl d’Opti-MEM et le système de distribution dynamique TransIT-X2. Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

En d’autres termes, les chercheurs ont recherché des signes subjectifs de maladie, ont affirmé qu’elle était due à un « virus », puis ont tué les animaux s’ils atteignaient un certain seuil subjectif. C’est ainsi que le taux de mortalité de 80 % a été évoqué. Tout cela peut être vu à partir de quelques faits saillants tirés de cette étude :

Rôle de [la protéine] spike dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron

« Le variant SARS-CoV-2 Omicron (BA.1) récemment identifié et prédominant dans le monde est hautement transmissible, même chez les individus entièrement vaccinés, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus porteur d’Omicron S échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l’Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %. Cela indique que si l’évasion vaccinale d’Omicron est définie par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S. »

MATÉRIAUX ET MÉTHODES

Cellules, anticorps et plasmides

« Les lignées cellulaires ont été incubées à 37 °C et 5 % de CO2 dans un incubateur humidifié. Des cellules HEK293T de rein embryonnaire humain (ATCC ; CRL-3216), des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549 (ATCC ; CCL—185), des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 (ATCC ; HTB-37) et des cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique ont été maintenues dans du DMEM (Gibco ; #11995-065) contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels. Le système de délivrance lentiviral a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 et le TMPRSS2 humains. Le statut négatif pour les mycoplasmes de toutes les lignées cellulaires a été confirmé.

Un anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV (Rockland; #200-401-A50) a été utilisé pour la détection de la protéine SARS-CoV-2 N par IF. Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat SARS-CoV-2 Wuhan, pCSII-SARS-CoV-2 F8, était un cadeau aimable de Yoshiharu Matsuura. Nous avons remplacé la pointe de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de la pointe d’Omicron et avons appelé le plasmide résultant pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron. Les vecteurs lentiviraux, pLOC_hACE2_PuroR et pLOC_hTMPRSS2_BlastR, contenant respectivement l’ACE2 humain et le TMPRSS2, ont été décrits précédemment.

Préparation et titrage du stock Omicron

Le stock de virus SARS-CoV-2 BA.1 Omicron a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2. En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant la nuit dans DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient SARS-CoV-2 a été immergé. Le matériel de l’écouvillon a été obtenu auprès du Département de la santé publique du Massachusetts et il contenait le virus Omicron dont la séquence a été vérifiée (numéro d’accès NCBI : OL719310). Vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible. Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de virus P0. Pour générer un stock P1, nous avons infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le virus P0 à un MOI de 0,01. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS. Trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C en tant que stock P1.

Pour titrer le stock de virus, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 12 puits à une densité de 2 x 105 cellules par puits. Le lendemain, les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de virus (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % FBS et 1,2 % d’Avicel (DuPont; RC-581), et incubés à 37 °C pendant trois jours supplémentaires. »

Génération SARS-CoV-2 recombinante par CPER

« Les virus recombinants SARS-CoV-2 ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié. L’ADNc complet du SARS-CoV-2 cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent (F1, F2, F3, F4, F5, F6, F7 et F9). Les plasmides pCSII-SARS-CoV-2 F8 et pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron, qui ont été utilisés pour générer des mutants de Spike, ont servi de matrices pour l’amplification du fragment 8 (F8). Un lieur UTR contenant un ribozyme du virus de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier la séquence de liaison. Les extrémités 5′ des dix fragments d’ADN (F1-F9 et le lieur) ont été phosphorylées en utilisant T4 PNK (NEB; #M0201), et les quantités équimolaires (0,05 pmol chacune) des fragments résultants ont été soumises à une réaction CPER dans un volume de 50 µl en utilisant 2 µl d’ADN polymérase PrimeStar GXL (Takara Bio ; #R050A). Les conditions de cycle suivantes ont été utilisées pour la CPER : une dénaturation initiale à 98 °C pendant 2 min ; 35 cycles de dénaturation à 98 °C pendant 10 s, annelage à 55 °C pendant 15 s et extension à 68 °C pendant 15 min ; et une extension finale à 68 °C pendant 15 min. Les entailles dans le produit circulaire ont été scellées en utilisant de l’ADN ligase.

Pour transfecter des cellules avec le produit CPER, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 6 puits à une densité de 5 x 105 cellules par puits. Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM (Thermo Fisher Scientific; # 31985070) et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System (Mirus Bio ; #MIR 6000). Après incubation à température ambiante pendant 25 minutes, le mélange de transfection a été ajouté aux cellules. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS. Le CPE est devenu visible en 3-4 jours, moment auquel le milieu de culture a été collecté et stocké en tant que stock de virus P0. Le stock P0 a été utilisé pour les expériences décrites dans ce manuscrit. La région de Spike de tous les virus générés par CPER a été séquencée soit par séquençage Sanger, soit par séquençage de nouvelle génération pour confirmer la présence des modifications souhaitées et l’absence de modifications accidentelles.

Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 104 PFU de SARS-CoV-2 dans 50 µl de PBS 1X stérile. Les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.

Le score de 1 a été attribué pour chacune des situations suivantes : poids corporel, perte de 10 à 19 % ; respiration, rapide et peu profonde avec un effort accru ; apparence, fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ; réactivité, insensibilité faible à modérée ; et signes neurologiques, tremblements. La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final. Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs. Le poids corporel et le score clinique ont été enregistrés une fois par jour pendant toute la durée de l’étude. Pour les besoins des courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné ont été comptés morts le lendemain. Les animaux trouvés morts en cage ont été comptés morts le même jour. Pour l’euthanasie, une surdose de kétamine a été administrée suivie d’une méthode secondaire d’euthanasie. »

Cliquez pour accéder à 2022.10.13.512134v1.full.pdf

Le cercle de la science-fiction.

Il aurait été douloureusement évident pour RFK Jr. et ses amis, s’ils avaient été intellectuellement honnêtes, qu’à aucun moment cette étude préimprimée non évaluée par des pairs n’a démontré l’ingénierie d’une nouvelle souche de « SARS-COV-2. » Pourtant, d’une manière ou d’une autre, ils s’accrochent à des études comme celle-ci pour montrer que non seulement les « virus » existent, mais qu’ils sont génétiquement modifiés par Anthony Fauci et sa joyeuse bande de cohortes qui libèrent ces entités invisibles sur le monde. Alors que RFK Jr. et ses amis dénoncent les vaccins et les mesures draconiennes mises en place durant cette pandémie, leur croyance en ces entités fictives génétiquement modifiées leur permet de justifier leurs quêtes continues pour trouver des vaccins « plus sûrs » et vendre des traitements pharmaceutiques alternatifs alors qu’aucun traitement n’est nécessaire ni une alternative « plus sûre », car pour commencer il n’y a pas de « virus » causant une nouvelle maladie. Leur promotion de ce concept frauduleux maintient le train de la propagande basée sur la peur et ramène dans la toile des mensonges quiconque cherche à se libérer du récit de la théorie des germes élaborée par la pharmacie. Intentionnellement ou non, RFK Jr. et ses amis sont les joueurs de flûte de l’industrie pharmaceutique qui ramènent les souris errantes dans le giron.

Cependant, s’ils épluchaient un peu plus l’oignon et regardaient l’origine des « coronavirus » (comme je l’ai fait ici), ainsi que les preuves fondamentales pseudoscientifiques de tous les « virus », ils verraient à quel point leur position est vraiment illogique. Pour que la recherche sur le gain de fonction soit légitime, il faut d’abord prouver scientifiquement l’existence du ou des « virus » prétendument manipulés et fabriqués. Cela nécessite l’adhésion à la méthode scientifique et l’établissement d’une variable indépendante valide qui serait des particules correctement purifiées et isolées supposées être des « virus » trouvés directement dans les fluides d’un hôte malade. Une fois obtenues en étant séparées de tous les autres contaminants et microbes potentiels, il faudrait ensuite démontrer que ces particules provoquent la maladie en question de manière naturelle, c’est-à-dire en respirant les particules diffusées par aérosol plutôt qu’en utilisant des fluides toxiques issus de cultures cellulaires versés directement dans les narines ou injectés d’une manière ou d’une autre.

Des Expériences de contrôle appropriées utilisant des fluides provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires, mais déclarés ne pas avoir le « virus » doit également être effectuée. Ce processus devrait être répété à grande échelle et démontré comme reproductible et réplicable par divers chercheurs indépendants. Ce n’est qu’une fois que le « virus  aura été soumis à un processus aussi rigoureux et que son existence aura été scientifiquement prouvée qu’il sera possible de déterminer comment « cultiver » cette entité et comment la modifier génétiquement d’une manière ou d’une autre afin de la rendre plus mortelle. Ce n’est qu’alors que des études de gain de fonction et une origine d’arme biologique ou de fuite de laboratoire pour tout « virus  seraient hypothétiquement possibles. Cependant, ce processus scientifique n’a jamais été réalisé au cours des plus de 100 ans d’existence de la virologie. Il faut d’abord prouver l’existence des particules « virales ». On ne peut pas [seulement] supposer qu’elles existent.

Robert F. Kennedy Jr. et les joueurs de flûte

avec June Hutton

Équipe de rêve

En résumé :

  • De nombreux dirigeants de la communauté de la liberté de la santé préfèrent s’accrocher à des études pseudoscientifiques sur le gain de fonction comme preuve de l’existence de « virus » plutôt que d’examiner si un « virus » a déjà été scientifiquement prouvé en adhérant à la méthode scientifique.
  • Ils avancent un récit, basé sur des e-mails, des demandes de subvention et des lettres au Congrès officiellement publiés, selon lesquels Anthony Fauci finance secrètement des études GOF en Chine qui ont abouti à l’origine du « SARS-COV-2 ».
  • Robert Kennedy Jr. a écrit un nouveau livre, The Wuhan Cover-up, avançant cette spéculation sur les fuites d’armes biologiques/laboratoires GOF.
  • Il a également détaillé les activités néfastes de Fauci dans son livre The Real Anthony Fauci, y compris le financement d’études frauduleuse « ne donnant rien » à l’ère du VIH/sida. (Ceci semble être un modèle dans lequel les études du GOF s’inscrivent).
  • Kennedy Jr. et ses amis mettent également en avant une nouvelle étude préimprimée non évaluée par des pairs de l’Université de Boston, affirmant que c’est la preuve que Fauci finance la recherche GOF et le « SARS-COV-2 » génétiquement modifié.
  • Cependant, s’ils lisaient au moins la section des méthodes de cette étude, il serait évident pour eux que ce n’est pas du tout le cas.

  • Les auteurs ont affirmé avoir généré un recombinant chimère « SARS-CoV-2 » codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral « SARS-CoV-2 » et ont comparé ce « virus » avec le variant d’Omicron circulant naturellement.
  • Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le « virus » porteur d’Omicron S a infligé une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %.
  • Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour des expériences sans mentionner les procédures qui ont été suivies pour les modifier génétiquement.
  • Des cellules rénales embryonnaires humaines HEK293T, des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549, des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 et des cellules Vero E6 de rein de singe vert africain ont été maintenues dans du DMEM contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels.
  • Le système de livraison « lentiviral » a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 humain et le TMPRSS2.
  • L’anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) « Anti-SARS-CoV » a été utilisé pour la détection de la protéine N « SARS-CoV-2 » par IF.
  • En d’autres termes, ils ont utilisé des anticorps invisibles non spécifiques jamais correctement purifiés/isolés pour détecter une protéine pour un « virus » jamais correctement purifié/isolé, utilisant ainsi une création fictive pour déterminer l’existence d’une autre.
  • Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat de Wuhan « SARS-CoV-2 », « pCSII-SARS-CoV-2 F8 », était un aimable cadeau de Yoshiharu Matsuura.
  • Les chercheurs ont affirmé avoir remplacé la Spike de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de celle d’Omicron et ont appelé le plasmide résultant « pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron ».
  • Le stock « SARS-CoV-2 » BA.1 Omicron « virus » a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2
  • En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant une nuit dans du DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient « SRAS-CoV-2 » a été immergé.
  • vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible.
  • Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de « virus » P0.
  • Comme on peut le voir, il s’agit de la soupe de culture cellulaire non purifiée habituelle qui est censée avoir un « virus » en raison de l’apparition de l’effet cytopathogène qui peut être causé par de nombreuses choses autres qu’un « virus ».
  • Pour générer un stock P1, ils ont infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le « virus » P0 à un MOI de 0,01.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS et trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C sous une action P1.
  • Passé à travers un filtre signifie qu’il a été minimalement « purifié », car la filtration est connue pour ne pas être en mesure de séparer tous les contaminants/microbes.
  • Les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de « virus » (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % de FBS et 1,2 % Avicel, et incubé à 37 °C pendant encore trois jours.
  • Des « virus recombinants SARS-CoV-2 » ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié.
  • L’ADNc complet du « SARS-CoV-2 » cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent.
  • Un lieur UTR contenant un ribozyme du « virus » de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier le lieur séquence.
  • Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS.
  • Chaque étape de ce processus est un mélange de produits humains et animaux étrangers avec des produits chimiques synthétiques afin de produire la réaction souhaitée afin de prétendre qu’un « virus » est présent.
  • Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 10 4 PFU de « SARS-CoV-2 » dans 50 µl de PBS 1X stérile et les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.
  • La note de 1 a été attribuée pour chacune des situations suivantes :

    • Poids corporel : perte de 10 à 19 % ;
    • Respiration : rapide et peu profonde avec un effort accru ;
    • Apparence : fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ;
    • Réactivité : absence de réponse faible à modérée ;
    • Signes neurologiques : tremblements.

  • La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final et les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
  • En d’autres termes, le taux de mortalité de 80 % était une considération subjective basée sur un système de notation arbitraire conduisant à l’euthanasie inutile des animaux et à la responsabilité du « virus ».
« Le Virus
Pandémie post-apocalyptique de science-fiction »

Idée de prochain livre ?

Lorsque nous tentons de déterminer la vérité sur quelque chose, nous devons retracer les preuves aussi loin que possible pour vérifier l’exactitude des informations présentées. Si nous ne le faisons pas, nous parlons d’un sujet du point de vue de l’ignorance. En ce qui concerne les « virus », cela signifie parcourir plus de 100 ans de recherche afin de savoir si l’existence des particules invisibles supposées causer la maladie a déjà satisfait à la charge de la preuve scientifique en accomplissant les étapes requises de la méthode scientifique. Quiconque examine la virologie ouvertement et honnêtement arrivera à la conclusion que cette tâche indispensable n’a jamais été assumée pour aucun « virus ». Tout ce que l’on a à faire est de choisir un « virus » et de regarder les preuves du document fondamental présenté pour voir si c’est le cas ou non. J’ai fait ce travail pendant les 5 dernières années. J’ai lu les études originales pour voir si jamais les chercheurs ont rempli les exigences scientifiques. Beaucoup de mes pairs ont fait de même. Pour cette raison, nous sommes tous arrivés à la même conclusion que la preuve scientifique de l’existence d’un « virus » n’existe tout simplement pas. Ainsi, nous parlons sur ce sujet non par ignorance, mais par connaissance.

Lorsque Robert Kennedy Jr. a été interrogé sur l’existence de « virus », il a raté le passage de relais et a précipitamment renvoyé la balle. Il a affirmé qu’il n’était pas un scientifique et qu’il n’était pas qualifié pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant, RFK a écrit un livre sur l’existence et les origines d’un « virus » dont il a lui-même admis ne pas être qualifié pour discuter ni déterminer. Comment Kennedy Jr. s’est-il soudainement qualifié pour pouvoir écrire un livre entier et de nombreux articles sur le sujet ? Cela ne peut certainement pas provenir de la science, car RFK Jr. a admis ne pas avoir examiné l’histoire des preuves « scientifiques » derrière les « virus ». S’il l’avait fait, il se rendrait compte qu’il n’y a pas de science à trouver, seulement de la pseudoscience. Il ne pourrait provenir d’aucune étude prétendant montrer le génie génétique d’un « SARS-COV-2 », car aucune étude de ce type n’existe. Apparemment, il suffit d’une « fuite » d’e-mails et de pures spéculations pour être qualifié pour parler de la mystérieuse origine artificielle d’un « virus ».

Malheureusement, cela ne se limite pas à RFK Jr. Aucun de ceux mentionnés précédemment dans cet article (et beaucoup d’autres non inclus) n’est disposé à examiner l’existence de « virus » ouvertement et honnêtement, ni avec une pensée et une logique critiques. On se heurte régulièrement à des excuses liées au gain de fonction et à la génomique, des « avancées » récentes qui ne pourraient avoir de légitimité que si l’existence du « virus » en question avait été scientifiquement prouvée au préalable. Certains essaient même de justifier l’abâtardissement du mot « isolement » par la virologie. Le plus souvent, on nous dit que les « virus » ne peuvent pas être trouvés directement dans les fluides humains, car il n’y en a pas assez (pourtant il y a suffisamment de « virions » pour provoquer des symptômes) et que les « virus » ont besoin d’une cellule hôte (pour une raison pour laquelle l’hôte malade réel ne compte pas) afin de se répliquer. En quelque sorte, la logique échappe à ces personnes que ces informations sur la façon dont les « virus » fonctionnent et se développent ne pourraient pas être obtenues sans avoir trouvé le « virus » dans la nature et/ou dans les fluides d’un humain malade d’abord afin qu’« il » soit étudié. Évoquer une soupe de culture cellulaire dans un laboratoire et prétendre que les effets prouvent une cause n’est pas la façon dont la science fonctionne. C’est cependant ainsi que fonctionne la pseudoscience et ces personnes feraient bien d’apprendre la différence.

Il n’y a pas que le « virus » qui manque ici…

Si RFK Jr. et ses amis arrêtaient de chasser et de promouvoir la science-fiction et apprenaient à comprendre les sciences naturelles, ils se rendraient compte que la vérité sur le manque de preuves scientifiques des « virus » n’entrave pas ce mouvement de liberté de la santé, mais le renforce plutôt énormément. Une fois qu’ils auront réalisé que les « virus » n’existent pas et ne peuvent donc pas être fabriqués comme des armes biologiques, ils peuvent arrêter de se battre pour des vaccins « plus sûrs », car ils comprendront qu’il n’y a aucune nécessité pour la pratique toxique. Ils verront qu’il n’y a pas de traitements pharmaceutiques alternatifs nécessaires, car ces produits ne font que favoriser une toxicité supplémentaire à laquelle le corps doit alors faire face. Ils pourront avoir un message beaucoup plus puissant contre les confinements, les quarantaines, la distanciation sociale, le masquage, etc. une fois qu’ils concluent que les infections contagieuses ne se produisent pas, ces mesures sont complètement illogiques et totalement inutiles. Ils argumenteront à partir d’une position de connaissance et de force, car il incombera à ceux qui font les affirmations positives de prouver qu’elles sont correctes conformément à la méthode scientifique. RFK Jr. et ses amis seront libres de sortir du paradigme pharmaceutique et de le considérer comme le système de cycle de maladie basé sur la peur pour lequel il a été conçu.

Cependant, cela ne se produit que s’ils sont prêts à être intellectuellement honnêtes. Pour ceux qui sont prêts à admettre qu’ils ne sont peut-être pas qualifiés pour parler de l’existence de « virus », nous sommes nombreux à vouloir les aider à les éduquer ou à les orienter dans la bonne direction afin qu’ils puissent se faire une opinion éclairée. Pour ceux qui ne veulent pas faire une telle reconnaissance et qui veulent continuer à promouvoir la pseudoscience comme s’il s’agissait de preuves scientifiques légitimes, nous avons une mesure conçue pour résoudre ce problème tout en respectant le plus possible la méthode scientifique. S’ils sont vraiment intéressés par la validation scientifique réelle, il n’y a aucune raison de ne pas la soutenir. Le temps est venu d’abandonner le livre de science-fiction, d’arrêter de raconter des histoires effrayantes au public et d’exiger que la vraie science soit réalisée.




REVUE DE PRESSE DU 21 NOVEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La vaccination pour l’exemple

On aura donc tout lu, tout vu, tout entendu en matière de justification des mesures dites sanitaires, injections comprises, car le déni l’emporte sur la logique et la science, quand la corruption s’empare du monde de la santé au niveau international. La France est donc l’un des derniers pays à s’arc-bouter sur la non-réintégration des personnels suspendus, alors même que la situation des hôpitaux est catastrophique. L’Ordre continue de s’acharner sur des médecins compétents et intègres, tandis que les injections diminuent l’immunité ou qu’on découvre les graves nodules pulmonaires qui peuvent être causés par les microfibres des masques. Pendant ce temps l’épidémie régresse globalement dans le monde, ainsi que la vaccination, sauf en France qui injecte 4 fois plus que la moyenne.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Confinement, inégalités et psychologie des foules pendant la crise Covid

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/confinements-inegalites-et-psychologie-des-foules-pendant-la-crise-du-covid-19/

« Les processus de groupe et la psychologie des foules prédisent que, particulièrement en temps de crise, les gens seront enclins à s’en remettre aux gouvernements et aux autorités pour guider leur comportement.

Il existe également des données montrant que la crise COVID-19 a augmenté la détresse psychologique qui pourrait être liée aux défenses proximales et distales contre les pensées liées à la mort.

Historiquement, le mélange d’idéologie politique et de science, lorsque l’État réglemente la science, a conduit à des résultats désastreux.

La situation actuelle nécessite une guérison collective ».

Les politiques sanitaires ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

« Corruption mathématique et épidémiologique », par Vincent Pavan, docteur en mathématiques.

« La question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire. Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés/ 

En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques. SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer. Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes. Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires. »

L’art de faire mentir les chiffres

https://www.covidhub.ch/la-fabrique-dune-pandemie/

« Pas d’hécatombe. Pas d’hôpitaux engorgés par le Covid. Pas de vague de malades/à peine 2 % des hospitalisations en 2020/5000 personnes tuées au Rivotril. / La soi-disant efficacité vaccinale s’est effondrée avec la fin du passe sanitaire/lien entre surmortalité et campagne de vaccination »

Dire la vérité, un préalable à la réconciliation

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

Un anthropologue de la santé analyse la crise Covid à l’aune de la corruption systémique du système de santé.

La punition pour l’exemple

« Mme FIRMIN ministre déléguée à la santé, refuse la réintégration des personnels non injectés, non parce qu’ils peuvent contaminer, mais parce qu’ils donnent un mauvais exemple aux personnes fragiles »

Soignants suspendus, des sénateurs accusent le gouvernement

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegrations-des-soignants-suspendus-des-senateurs-accusent-le-gouvernement-d

« “obstination coupable alors que l’hôpital est à l’agonie”

mesurespunitives” et « humiliantes » et en rien « sanitaires ».

Appel aux parlementaires

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Une conception scientiste et puritaine du droit

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

« Ce sont… des arguments principalement moraux qui sont avancés. Ils… traduisent une certaine conception de la santé et de la science. La santé, ce serait avant tout des valeurs du soin — on retrouve en filigrane la théorie du care — et non plus des compétences de soin. Et la science serait une croyance. »

ÉTRANGER

La crise Covid, une hallucination planétaire ?

https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/

« Mise en examen du PDG de l’AFP pour diffamation envers les réalisateurs du documentaire “Hold-Up”/Ouverture d’une enquête Européenne sur l’illégalité supposée des achats de vaccins anti-Covid par l’Union. / La révolte de certains Députés Européens »

AUSTRALIE, les autorités de santé ne recommandent pas la 5e dose

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-responsables-australiens-de-la-sante-rejettent-une-5e-dose-de-vaccin-anti-covid

En raison de son faible impact sur la transmission.

CANADA, Toronto abandonne l’obligation vaccinale

 « La Ville a déclaré qu’elle réviserait continuellement cette politique, guidée par la science et les preuves »

ITALIE, fin de l’interdiction pour les agents de santé non vaccinés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

JUSTICE

Victoire pour le Pr Perronne

« La Chambre Disciplinaire considère que le Pr PERRONNE, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait “l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence”, durant la crise du COVID. »

Son interview « au défi de la vérité »

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/perronne-decision-chambre-disciplinaire-ordre-medecin-retour

Cette victoire mènera-t-elle à la réintégration des soignants suspendus ?

https://www.francesoir.fr/tribunes/decision-chambre-disciplinaire-perronne-consequences-soignants-suspendus

« La liberté d’expression est un droit fondamental de tous les citoyens. / Durant la crise Covid, l’Ordre n’a pas respecté ses missions. »

Rien n’est moins sûr, le Pr Stéphane GAYET a été radié par le Conseil de l’Ordre

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté. »

Et

https://docteur.nicoledelepine.fr/nouvelle-victime-du-conseil-de-lordre-le-dr-s-gayet-pour-avoir-gueri-ses-patients/

Un blâme pour un médecin ayant compromis la « sécurité » des patients

https://t.palace.legal/nl3/typVXMyPwNNkBzNBiY8A4g

La faiblesse de la sanction prononcée trahit la faiblesse des reproches qui avaient été faits à ce médecin.

Loi à caractère criminel, plainte contre X

http://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/11/obligation-vaccinale-contre-la-covid-19.html

Extrait de la lettre du Dr Amine UMLIL :

« Il est aussi constant que l’administration, tout comme le juge, doit lire la loi et le règlement à la lumière du bloc de constitutionnalité, du droit européen et des conventions internationales. En l’espèce, cette loi, instaurant ladite obligation vaccinale est illégale. »

USA, la Cour suprême de New-York réintègre tous les personnels suspendus, avec rattrapage des salaires non versés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

« Car le vaccin n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le virus » 

COVID

Le point sur le Covid et ses variants dans le monde

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/19/covid-situation-mondiale-et-variants/

« Un essaim de sous-variants étroitement liés, dérivant tous de la souche omicron/évolution depuis un an avec peu de soucis.

Cela se vérifie par les chiffres.

Ces dix-huit derniers mois, la mortalité aura été divisée par 10. Seule la vague Omicron dépasse la courbe d’évolution, non par sa virulence, mais par sa contagiosité : 3 à 4 fois plus, plus de cas, donc plus de décès, mais pas 3 ou 4 fois plus. »

Courbe des décès dans le monde 

« On vaccine de moins en moins dans le monde, sauf en France, 4 fois plus que la moyenne ! »

STRATÉGIES et TRAITEMENT

Syndrome d’épuisement induit par les masques et leur rôle dans les Covid longs

https://www.epochtimes.fr/comment-les-masques-ont-contribue-au-covid-long-2140451.html

« Dans plusieurs pays, les masques et les tests nasopharyngés fournis par les gouvernements ont été retirés du marché. Des microplastiques, des nanoparticules (de l’oxyde de graphène, du dioxyde de titane, de l’argent, de l’oxyde d’éthylène, des composés de colorants et du PFAS fluorés) et des métaux lourds ont été trouvés dans les masques et dans les tests nasopharyngés./Les masques et les tests ne font pas tous l’objet de contrôles systématiques. Un rapport de l’Institut néerlandais de santé publique (RIVM) publié en novembre 2021 indique que la sécurité des masques ne peut être garantie”. »

La liberté de soins

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/rendez-nous-la-liberte-de-soins-par-patrick-de-casanove/

« Soigner ne fait pas partie de la stratégie gouvernementale. »

La fin d’un mythe

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel

« L’existence des bactéries “coopérantes” à la réplication d’un virus dans le corps humain est déterminante, avait été découverte par le Pr Montagnier et vient d’être confirmée par le Dr Carlo Brogna, du laboratoire italien CRANIOMED ».

Ceci explique l’efficacité des macrolides et cyclines.

Voir le lien ci-dessous :

Heurs et malheurs de l’hydroxychloroquine au fil de la chronologie du Covid

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/11/hydroxychloroquine-petit-retour-historique/

Au début, l’HCQ fonctionne en ambulatoire. Le politique s’en mêle, la réserve aux hôpitaux (erreur funeste) et l’échec, logique, jette le discrédit sur la molécule. La messe est dite.

INJECTIONS

Les injections diminuent l’immunité

https://www.francesoir.fr/societe-sante/etude-du-lancet-montre-erosion-immunitaire-vaccines-au-fil-des-mois

Étude parue dans le Lancet :

« La fonction immunitaire des individus vaccinés huit mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des individus non vaccinés ».

Et analyse de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS.

Feu vert de l’agence européenne du médicament pour les vaccins dès 6 mois

https://www.francesoir.fr/politique-france/feu-vert-de-l-agence-europeenne-du-medicament-pour-les-vaccins-anti-covid-des-l

Absence de fondement scientifique, le Danemark et la Suède ne recommandent plus les injections chez les enfants.

USA, des enfants de 6 mois à 4 ans, cobayes pour le vaccin bivalent.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/des-enfants-cobayes-pour-le-vaccin-bivalent-aux-usa/

« le Dr John Moore, immunologiste à la Weill Cornell Medicine, avait déjà déclaré que les nouveaux vaccins seraient “peu ou pas du tout meilleurs” que les formulations précédentes. Pour autant, les autorités sanitaires ferment les yeux, les commandes de vaccin ont été passées et continuent de l’être. »

Un premier vaccin sans aiguille

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/17/hexapro-premier-patch-vaccin-anti-covid-teste-en-australie/

« La société de biotechnologie Vaxxas a annoncé le lancement de l’essai clinique de phase I de son premier vaccin sans aiguille nommé HexaPro. La sécurité et l’innocuité du patch font partie des principaux critères d’évaluation. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Contamination par les produits d’excrétion des vaccins

https://www.aimsib.org/2022/11/20/la-contamination-par-les-vaccins-a-arnm-est-elle-biologiquement-plausible-a-partir-dun-sujet-vaccine/

« Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après contact avec des personnes fraîchement vaccinées.

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques.

Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2 : si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. »

Une dose de plus, c’est une dose de trop

« Pour la 2ème fois en une semaine, les meilleurs scientifiques ont rapporté que les boosters d’ARNm Covid “spécifiques à Omicron” sont un gadget marketing. »

RÉSISTANCES

CSI du 10 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/tv1TKqie :



Invité : Denis Rancourt, PhD, Canada

Sujet : Les statistiques, la mort, et leurs manipulations

CSI 17 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/bzrQ1P8r :



Invité : Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet

Sujet : Protection du lanceur d’alerte : quelques règles à connaître

Le véritable Anthony Fauci



Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus. Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts qui prennent position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

HOLD-OUT



« Ce qui est arrivé est impensable, le plus mauvais scenario de science-fiction, et ennuyeux en plus ! »




Derrière la débâcle de FTX, d’étranges coïncidences

[Source : h16free.com]

Catastrophe dans le monde des cryptomonnaies : FTX, la deuxième plateforme d’échange, s’est effondrée avec fracas la semaine dernière, entraînant avec elle la chute de la valorisation de la plupart des monnaies numériques, Bitcoin compris. Mais à mesure que la poussière retombe, on s’aperçoit que la plateforme ne se contentait pas d’organiser des marchés entre cryptomonnaies : apparemment, la plateforme servait surtout à blanchir de copieuses sommes d’argent…

Patatras : valorisée 32 milliards de dollars fin octobre, la plateforme de trading en cryptomonnaies FTX ne vaut actuellement plus rien du tout. Déclarée en faillite depuis une semaine, les opérations de retrait sur ce site sont bloquées ce qui revient à dire que les fonds qui y étaient déposés sont maintenant complètement bloqués. FTX, c’est cette plateforme apparue en 2019 et quasi-miraculeusement devenue la deuxième au monde par nombre d’utilisateurs inscrits et d’opérations menées, avec une valorisation explosivement énorme réalisée en moins de 3 ans.

Son fondateur, un certain “SBF”, Sam Bankman-Fried (un nom prédestiné ?), avait réalisé de jolies performances en arbitrant les cryptomonnaies avec son entreprise Alameda, utilisant une différence notable de prix du Bitcoin entre le Japon et les États-Unis. C’est avec le bénéfice ainsi dégagé qu’il aura lancé FTX.

L’effondrement de cette plateforme aurait pu n’être qu’une énième péripétie dans le monde des cryptomonnaies. Après tout, rien ne permettait d’imaginer la sale tournure que prendraient les bisbilles entre le patron de FTX et un certain Changpeng Zhao, surnommé CZ sur les réseaux sociaux, à savoir l’actuel patron de Binance, une autre plateforme de trading en cryptomonnaies fondée en 2017 : soupçonnant des éléments louches dans la comptabilité de FTX, mis en avant par un article de Coindesk, CZ s’en était ouvert à Bankman-Fried et le ton avait rapidement monté entre les deux dirigeants.

Le 7 novembre, CZ décide de se débarrasser des FTT (les cryptomonnaies frappées par FTX) présents sur sa plateforme Binance. Très rapidement, les cours s’effondrent, les clients de FTX et possesseurs de FTT tentent de sortir leurs avoirs de la plateforme. Si vous pensez “ruée bancaire”, vous avez raison.

Très rapidement à court de liquidités, FTX se voit contrainte de déclarer faillite.

Et c’est là que les choses prennent une tournure intéressante : si les fonds qui devaient couvrir les avoirs des clients ne sont plus là, où diable sont-ils ? Petit-à-petit, des éléments troublants se font jour, et la triste réalité émerge : ces fonds ont essentiellement été “joués” dans tous les casinos boursiers possibles, ont été investis dans des douzaines d’entreprises variées et dans des mécanismes opaques voire carrément délictueux.

Les enquêtes ne font que débuter et il est probable qu’on y verra plus clair dans quelques semaines… Ou jamais si les choses prennent une tournure suffisamment baroque. Pour le moment, il semble déjà apparaître que plusieurs centaines de millions de dollars ont ainsi été déplacés subrepticement de FTX vers la société-soeur Alameda au moyen d’une “porte dérobée” informatique mise en place il y a quelques mois de cela sur des instructions directes de SBF.

Et l’analyse de la comptabilité de l’entreprise commence à donner une idée de l’ampleur des véritables magouilles qui ont pris place : plusieurs articles (dans Bloomberg et Financial Times par exemple) montrent ainsi que la plupart des actifs de la plateforme sont en réalité des masses de cryptomonnaies peu échangées, du capital dans des douzaines d’entreprises ; bien qu’ayant un passif en Bitcoin valorisé à plus d’un milliard de dollars, aucun actif en Bitcoin ne semble listé. Dans les éléments comptables (essentiellement constitués de feuilles Excel mal boutiquées entre elles), ce qui ressemble le plus à un bilan indiquerait apparemment que la plateforme ne détenait au mieux qu’un milliard de dollars d’actifs liquides contre neuf milliards de dollars de passif.

Un différentiel financier aussi important mériterait d’être retrouvé.

Or, de façon certaine et connue, FTX avait mis en place, très vite après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, un mécanisme permettant aux généreux donateurs du monde entier d’aider les Ukrainiens par des cryptomonnaies. Et lorsqu’on creuse un peu cette direction, de nouvelles découvertes viennent émailler le paysage pourtant déjà roboratif : le mécanisme permettait de transformer des cryptomonnaies en monnaie locale ukrainienne… ou en dollars, dûment rapatriés aux États-Unis.

Or, Bankman-Fried ne s’est jamais caché de ses dons, nombreux et dodus, aux politiciens à commencer par le parti démocrate dont il fut, en 2021, le deuxième plus gros donateur avec 37 millions de dollars, après George Soros et ses 128 millions. En 2020, il aidait Biden à hauteur de 5 millions de dollars.

Sa générosité s’étendait dans de nombreux domaines. Le Forum Économique Mondial bénéficiait ainsi de ses largesses au point d’avoir une jolie page en l’honneur de FTX (que le Forum s’emploie maintenant à cacher – pourquoi diable ?), et via la FTX Foundation, il n’a pas hésité à financer les essais cliniques Together Trial dont les résultats furent commodément favorables à étouffer toute utilité à l’ivermectine contre le traitement du covid.

Tout ceci ne devrait pas trop surprendre : après tout, Sam Bankman-Fried est le fils de Barbara Fried, cofondatrice de Mind the Gap, une association de collecte de fonds pour … les démocrates. Gabe, le frère de Sam, est le fondateur de Guarding Against Pandemics et est – fortuitement, soyez-en sûr – lié à la Chambre des représentants des États-Unis et conseille les donateurs du parti démocrate. Mais ce n’est qu’une coïncidence.

Le fait que sa tante, Linda Fried soit présente sur le site du Forum Economique Mondial est une autre coïncidence amusante, tout comme le fait que SBF ait nommé Caroline Ellison, sa petite amie, comme PDG de la société Alameda. De façon purement fortuite, Caroline est la fille de Glenn Ellison qui fut en relation directe pendant plusieurs années au MIT avec un certain Gary Gensler, nommé par Joe Biden à son arrivée au pouvoir comme président de la Security Exchange Commission, cette institution chargée de vérifier le suivi scrupuleux par les entreprises des régulations en matières financières et qui n’était pas du tout en train de négocier un monopole pour FTX

D’autres coïncidences se bousculent ainsi autour de FTX, comme par exemple le fait que la responsable des investissements à FTX Ventures, Amy Wu, ait précédemment travaillé à la Fondation Clinton, mais l’une des plus saillantes est probablement la demande de pourparlers de paix de la part de Zelensky, quelques heures à peine après la faillite retentissante de FTX, après que le Congrès américain soit officiellement passé aux mains des Républicains et que Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre, en soit donc débarquée.

Il serait bien évidemment hardi, trop hardi, d’imaginer que FTX et ses passerelles avec l’Ukraine aurait pu servir de plateforme de blanchiment d’argent pour certains groupes de politiciens américains. Il serait tout aussi hardi d’imaginer que, la débâcle de FTX aidant, certains revoient leurs options et commencent à pivoter assez vigoureusement alors que la donne financière mondiale est en train de changer assez brusquement : malgré les nouvelles rassurantes en provenance de LedgerX, société fille de FTX US, on peut en effet s’interroger sur la façon dont vont pouvoir se déboucler certaines positions (dont certaines prises avec de forts leviers) avec la faillite de la maison mère.

Serait-on en face d’un petit moment “Madoff” ou d’un moment “Lehman” en version survitaminée ?

L’avenir nous le dira, mais on ne peut s’empêcher de noter la concomitance de ces différents événements ainsi que la mise en place rapide d’une expérience à base de dollar numérique aux États-Unis et la volonté maintenant affichée de créer un euro numérique (pour bien conserver le contrôle, n’est-ce pas), c’est à dire des CBDC : comme en attestent les petits articulets d’une presse toujours aussi délicieusement à côté de la plaque, cette chute d’une plateforme cryptomonétaire est décidément trop commode, cette crise est trop belle pour ne pas être exploitée et continuer le travail de restriction des libertés en tombant à bras raccourcis sur les monnaies numériques.

Peu importe ici que ce qui arrive est la démonstration flagrante des vices inhérents à la centralisation (FTX étant, par définition, un point de centralisation). Peu importe que cette faillite n’illustre qu’une évidence, à savoir qu’il n’y a pas besoin de cryptomonnaies pour frauder tant tout ce qui a été réalisé aurait pu l’être avec des monnaies traditionnelles.

Peu importe tout cela puisqu’à présent, cette débâcle retentissante va servir d’illustre prétexte pour écrabouiller les cryptomonnaies libres et forcer les cryptomonnaies de banques centrales et leur contrôle total sur les individus : il serait inconcevable que survivent et fleurissent des monnaies indépendantes des États, des cartels bancaires, des politiciens et de leurs manipulations.

[Note de Joseph : dans un monde basé sur la gratuité (qui nécessite la responsabilité des individus à cause de la liberté ainsi permise) et donc sans la moindre monnaie, les magouilles financières ne peuvent plus exister.
Les cryptomonnaies ne représentent qu’une illusion de liberté, car elles sont tributaires d’un support purement virtuel (Internet) qui pourtant dépend d’une vaste structure matérielle (satellites, câbles électriques ou en fibres optiques, serveurs, etc.) et ces supports ne sont pas contrôlés par les peuples. De plus, ce ne sont pas de véritables monnaies, car elles n’ont pas de contrepartie tangible en termes de valeur marchande, mais sont avant tout des instruments spéculatifs. Elles ne sont qu’une autre forme de casino et des sources d’irresponsabilité.

Si en plus de la gratuité, les notions de public et de privé disparaissent et si l’on reconnaît mondialement que les ressources naturelles sont seulement empruntées à la Terre et ne peuvent donc appartenir à personne, mais doivent être partagées selon les besoins, alors les vols tendent également à disparaître.

Cependant, le monde est encore trop immature pour qu’une telle civilisation (mise en scène dans Projet Vulcain) voie le jour. L’Homme doit dépasser le stade infantile ou adolescent actuel.]




Le véritable Anthony FAUCI — Partie 1

[Source : Quantum Leap Traduction]

Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus.

[Voir Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr. a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts prenant position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

Participants a ce projet :
Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

Viviane
https://odysee.com/@vcuendet:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4

Jeanne Traduction
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Motous
https://odysee.com/@laurent.scalet:b

Akina
https://odysee.com/@AKINA:7

Ainsi que Mika pour sa participation à la traduction






Visé par une enquête criminelle, le patron de FTX finançait le Parti démocrate américain et le World Economic Forum

[Source : FranceSoir]

[Illustration : Sam Bankman-Fried, PDG de FTX
 LR/AFP]

Le 11 novembre dernier, la plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX, considérée comme l’une des plus sûres au monde, a déposé officiellement le bilan, créant une onde de choc dans le microcosme de la cryptofinance. Son PDG et fondateur, Sam Bankman-Fried, dont la fortune était estimée à 15,6 milliards de dollars, inspirait confiance aux acteurs du marché, mais pas seulement : des informations du New York Post rapportent qu’il était un grand donateur du Parti démocrate et du Forum économique mondial.

Histoire classique d’une bulle financière

Voici ce que l’on sait à ce jour des dessous de la faillite du géant de la crypto. Sam Bankman-Fried était PDG et fondateur de la plateforme FTX. Il était aussi co-fondateur de la société de courtage Alameda Research. 

Le cœur de l’arnaque est la suivante : FTX prêtait illégalement à Alameda Research les fonds de ses clients qui transitaient sur la plateforme d’échange, permettant à cette société de courtage de spéculer à l’insu des utilisateurs de FTX [avec leurs fonds]. Une opération rendue possible par une « porte dérobée », c’est-à-dire une faille informatique créée spécialement à cette fin. La situation a dégénéré lorsque les clients ont souhaité récupérer leurs actifs en même temps : la baisse soudaine de la valeur de la cryptomonnaie vendue sur la plateforme a incité les utilisateurs à retirer leurs investissements brusquement, mais FTX ne possédait plus les liquidités nécessaires pour procéder aux remboursements.

Sam Bankman-Fried se défendait pourtant de ce type de pratique lorsqu’il était interrogé sur la gestion du risque financier du Bitcoin par une commission du Congrès américain en 2021.

« Je dirais que si vous regardez ce qui a provoqué la crise de 2008, il y a des accords bilatéraux non déclarés, des transactions financières entre différentes entités en dehors des procédures qui ont fait du levier encore et encore… plus personne n’avait conscience du risque qu’il y avait dans le système jusqu’à ce que tout s’effondre. Si vous comparez ça à FTX, ou à n’importe quelle plateforme crypto aujourd’hui, il y a une transparence totale sur les comptes et les positions qui sont tenues, il y a des procédures de gestion de risque robustes et fiables appliquées ». 

Aux États-Unis, le parjure est un crime qui peut valoir une peine d’emprisonnement, mais peut-être que le jeune PDG comptait sur son cercle d’influence pour se tenir à l’abri de toute sanction en cas de découverte de ses manipulations ? Pour rappel, aucun financier n’est allé en prison à la suite de la crise des subprimes de 2008. 

Bankman-Fried, généreux donateur du Parti démocrate et partenaire du forum de Davos

Alors que le montage financier – plutôt grossier – de FTX a été révélé au grand jour, nous découvrons désormais dans la presse ses investissements, dont les internautes ont aussitôt dévoilé la teneur, à l’instar de François Asselineau, président de l’UPR, qui n’hésite pas à qualifier l’entreprise de « pieuvre mafieuse ».

Selon des révélations du New York Post, Sam Bankman-Fried était un partenaire et contributeur financier du World Economic Forum – il est d’ailleurs intervenu à Davos pas plus tard qu’en mai dernier. Suite à l’annonce de la faillite de FTX, le fondateur du forum de Davos Klaus Schwab a suspendu son partenariat avec FTX ; le nom de la société a été retiré ce lundi 14 novembre de la liste des partenaires sur le site Internet de l’organisation.

Sam Bankman-Fried est aussi le deuxième plus grand contributeur du Parti démocrate américain. Il a donné un total de 39,8 millions de dollars aux démocrates, ce qui en fait le plus grand soutien financier derrière George Soros. Cette proximité avec le Parti démocrate laisse penser au journaliste conservateur Ben Shapiro, sur le plateau du média The Daily Wire, que le PDG de FTX aurait usé de son influence sur le Parti démocrate dans l’intention de réguler le marché de la cryptomonnaie à son avantage, lui valant ainsi les foudres de ses concurrents.

Enfin, on sait également que FTX a financé une étude dont les conclusions décrédibilisaient l’ivermectine et investissait dans des entreprises impliquées dans le développement de « vaccins nouvelle génération ».

Pour l’heure, Bankman-Fried serait actuellement placé sous surveillance par les autorités locales aux Bahamas après avoir tenté de se rendre à Dubaï, région du monde qui ne bénéficie pas de traité d’extradition avec les Etats-Unis. Aucune charge n’est retenue contre lui pour l’instant. La police des Bahamas a indiqué enquêter pour déterminer si des faits de nature criminelle ont eu lieu. 







Ne réintégrons pas les personnels suspendus !

À quoi bon, les hôpitaux ou les casernes de pompiers n’en manquent pas1 !

Par Alain Tortosa

[NRLR Texte utilisant le second degré.]

2

Je ne comprends pas pourquoi des politiques parlent encore des personnels soignants suspendus suite à l’obligation vaccinale, un non-sujet par excellence.

Vous me direz que la France est un des seuls, voir le seul pays qui ne les a pas réintégrés.
Mais ce n’est pas une raison, si les autres pays font n’importe quoi, devrions-nous faire de même ?

Nous n’avons pas à suivre les autres, je vous rappelle que la France, patrie de Rousseau, mère des droits de l’homme, est un phare dans la nuit.

Ayant fait mes armes auprès de France Info « la chaîne de la vérité », je vais vous narrer les faits de telle manière que même Rudy Reichstadt3 serait fier de moi.

Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de le citer4 :

« Le complotisme est un révisionnisme en temps réel. »

Whaouh !!!

Revenons donc sur les « faits » et uniquement les « faits ».

Tout a débuté lorsque notre gouvernement, dans sa grande sagesse, a décidé de rendre obligatoire la vaccination Covid pour tous les personnels en contact avec les plus fragiles d’entre-nous.

Une raison de se réjouir ?
Absolument pas car cela dénote la déliquescence de notre société !
Rendez-vous compte, en arriver à obliger des soignants à se vacciner alors que cela va de soi.

Tout fout l’camp comme dirait l’autre.
Imaginez que pour leur soit disant « liberté », certains décidaient de ne pas se laver les mains en sortant des toilettes !
Cela dépasse l’entendement.

Leur refus de vaccination était, et est, d’autant plus ridicule que le vaccin Covid était, et est, l’unique solution pour se débarrasser définitivement du fléau.

Calamité qui aurait pu décimer la moitié (riche) de la population mondiale si nous n’avions pas usé de mesures de bon sens.

Maladie dont il n’existe à ce jour strictement aucun traitement efficace comme nous avons pu vous le démontrer maintes fois.
J’invite les crédules à regarder l’hécatombe dans des pays comme le Brésil qui ont traité leur population avec des médicaments vétérinaires douteux et freiné la vaccination.

Ne tombez pas dans le piège en vous référant à d’autres contrées sauvages comme la Suède.
Nous savons tous qu’ils comptent très très mal et qu’il est impossible de comparer leur résultats aux nôtres du fait du différentiel de température mais surtout du nombre d’élans.
Rappelons qu’il y en aurait 300 000 en Suède5 versus quelques dizaines en France, c’est dire à quel point il serait ridicule de comparer les deux pays.
Une fois de plus nous touchons du doigt le coté manipulateur et la stupidité des complotistes.

Un vaccin sûr et efficace !

Un vaccin qui, nous ne le dirons jamais assez, ne présente quasi aucun effet secondaire.
Ici encore je me permets de vous remémorer le b-a-ba :

  • Un non-vacciné qui meurt ne peut décéder QUE du Covid dès lors qu’il positif à un test PCR basé sur la (prétendue?) souche canal historique de Wuhan.
  • Un vacciné qui meurt ne peut décéder QUE de maladies autres que le Covid. Qui plus est, il est inutile de faire un test PCR du fait de la preuve de l’efficacité du vaccin ET son décès est dû à toutes les pathologies (connues et non connues) qu’il pouvait avoir et NON du fait de l’injection.

Vous voyez bien que nous disposons de la preuve de la non-dangerosité du produit.

Et comment pourrait-il en être autrement lorsque le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML6, Union Française pour une Médecine Libre, affirme le 14 juillet 20217 :

« Il faut pas tomber dans la facilité, jamais… Il faut se baser sur les vrais lectures scientifiques, savoir qu’on a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui là… il y a 3 milliards de personnes vaccinées… ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels »

Et de préciser sur RMC :

« On a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée. »

À cette date selon le site Ourworldindata8, il y avait 2,03 milliards de vaccinés (et non 3).
2 milliards en 6 mois, on peut dire que c’est l’équivalent de 1 milliard de vaccinés avec un recul de 3 mois. Si l’on multiplie un milliard par 3 mois alors cela fait un recul non pas de quelques milliers d’années mais de 249 millions d’années !

Aujourd’hui selon le même site et avec la même méthode éprouvée de calcul, 5,44 milliards d’individus auraient reçu une dose (nombre dont nous ne pouvons pas douter) après 22 mois depuis le début de la vaccination.

Jérôme Marty continuant à être invité dans les médias sérieux, je peux affirmer sans aucune crainte du ridicule que ;

« Aujourd’hui, nous avons 2,4 milliards d’années de recul sur les effets secondaires des vaccins Covid. »

Si après ça Julien9 et Rudy ne sont pas fiers de moi, c’est à désespérer d’être un scientifique rigoureux.

De la performance du vaccin

Produit efficace à plus de 90% pour empêcher les contaminations et la propagation comme cela a été maintes fois expliqué par nos élites depuis la commercialisation.

Ceci n’a pas été démenti par la représentante de Pfizer au parlement européen10 il y a quelques semaines.
Certains complotistes ont détourné ses propos laissant entendre que Pfizer aurait caché l’inefficacité du produit concernant la transmission.

Mais que nenni !
Elle a simplement répondu :

« Non ! » (le vaccin n’a pas été testé sur sa capacité à stopper la transmission du virus).

Le fait qu’il n’y ait eu strictement aucun test ne prouve en rien l’inefficacité du vaccin dans la transmission, soyons un peu rigoureux que diable !
Bien au contraire même.
La technologie ARNm associée au graphène est tellement novatrice que l’efficacité en devient triviale au même titre qu’une Ferrari EST performante, tests ou pas.

Que faire des « soignants » suspendus ?

Nous devons cesser de les nommer « soignants », ces criminels qui ont refusé l’injection de la vie.

Sans le courage de nos autorités et de notre bien aimé Président qui n’a pas hésité à mouiller sa chemise, ils auraient probablement tués sans vergogne des milliers de petits vieux dans nos hôpitaux.

Le prestigieux Impérial Collège of Médecine11 a démontré en juin 2022 que le vaccin avait sauvé 20 millions de vies !

Je mets au défit quiconque de prouver le contraire.

En revanche je m’étonne d’un chiffre aussi bas, ce qui démontre que les auteurs ont fait preuve d’une extrême prudence.
Un élément de plus, s’il en fallait, montrant que ces irresponsables non vaccinés auraient pu décimer la population hospitalière.

Parler de les réintégrer est totalement indécent !

À mon sens il faudrait plutôt les radier à vie, les déchoir de leur nationalité et les priver de tous les droits (assurance médicale, chômage, etc).

Je vous rappelle que les devoirs de chacun passent avant les libertés individuelles et il n’y a que James Bond qui possède un permis de tuer.

Rappelons quelques données sur l’obligation vaccinale

Elle aurait concerné en France environ 2,7 millions de personnes12.
Parmi lesquelles 1 150 000 personnels soignants.
Il se sont quasi tous vaccinés spontanément comme nous le savons tous.

Le Parisien13 l’a fort bien expliqué dans une publication appelée « Pourquoi la vaccination obligatoire n’a pas provoqué de pénurie de soignants à l’hôpital ».

Ne pouvons-nous pas être un peu rationnel pour une fois ?

Si la suspension de soignants avait pu engendrer la moindre incidence négative dans notre pays en amplifiant une crise de l’hôpital, qui pourrait imaginer qu’il puisse exister un tel taré pour agir de la sorte et imposer leur radiation ?

Ce seul fait de pure logique devrait être de nature à vous démontrer que l’hôpital ne manque pas de personnels ou que les déserts médicaux relèvent du mythe.

Sans compter une prétendue fermeture de services hospitaliers ou d’urgences.

Si nous avons assisté ici ou là à quelques fermetures totales ou tranches horaires, c’est bien la preuve que la population française se porte de mieux en mieux et que cette offre est devenue inutile.

Avouez qu’il faudrait être sacrément con pour imaginer que des soignants en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins au regard d’une situation totalement objective.

C’est aussi débile que d’imaginer le gouvernement faire appel à des pompiers étrangers non vaccinés pour éteindre des incendies de foret cet été en France alors que des pompiers non vaccinés ne seraient pas réintégrés.
Comment pouvez vous gober de telles inepties ?!

Vous et moi savons bien que les un ou deux pompiers non vaccinés de France ne voulaient tout simplement plus exercer leur beau métier et nous pouvons nous réjouir de leur départ.

Donc concernant les soignants, les vrais chiffres sont connus et ne sont nullement contestés par quiconque de sérieux.
Il y a, inutile d’employer le conditionnel, 15000 personnels non vaccinés, soit 5000 soignants14.
Vous noterez ainsi que deux tiers des personnels employées dans des structures médicales sont donc des administratifs, preuve d’une excellente gestion financière.

La déclaration du Ministre de la Santé, François Braun15 n’est donc que du bon sens.

« Je le redis, la réintégration des soignants non-vaccinés n’est pas une solution.
Elle est d’ailleurs rejetée par leurs collègues et leurs patients. »

La composante psychologique est importante !
Réfléchissez un peu, comment de vrais soignants qui n’ont pas hésité une seconde à se faire injecter pour protéger leurs collègues et leurs patients d’une mort quasi certaine, pourraient à nouveau travailler avec ces monstres d’égoïsme et de cruauté.

Alors même que nous étions en guerre contre le Covid, ces déserteurs ont déclaré « Non, pas pour moi ! »

Ceci a été rappelé hier 16 novembre lors de l’excellentissime émission animée par Cyril Hanouna dans laquelle un courageux directeur d’Ehpad (hélas minoritaire et dont je tairais le nom pour ne pas heurter sa modestie) était là pour rappeler des vérités bien peu mises en avant par les médias mainstream.

Le fait est que la réintégration des soignants suspendus en Italie est un échec total !

Et c’est logique, comment des vrais soignants pourraient leur pardonner le trahison mais aussi mettre en péril tout le processus visant à éradiquer le virus maléfique.

Peut-être avez-vous le sentiment que je radote mais toutes les vérités sont bonnes à répéter :

Les « soignants » non vaccinés sont une menace mortelle aussi bien pour les patients que les soignants qui portent un masque et qui en sont à leur quatrième ou cinquième dose d’un vaccin efficace et sans danger.

Ce directeur a bien fait de rappeler que ces non-vaccinés sont des criminels qui devraient être radiés à vie.

Il est donc totalement logique que les services se trouvent totalement perturbés par la réintégration de ces mauvaises personnes qui ne méritent plus le nom de « soignants ».
Je lui suis d’autant plus reconnaissant de ces informations sur l’Italie que je n’ai pu les retrouver dans la presse française bien complaisante à l’égard des non-vaccinés.

Pour celles et ceux qui l’auraient oublié, je vous rappelle l’enthousiasme des soignants et les queues monstres devant les centres de vaccination.
Ici encore ce grand directeur d’Ehpad n’a pas reculé face aux mensonges d’Hanouna laissant entendre que nombre d’entre-eux se sont vaccinés le couteau sous la gorge de peur de perdre leur emploi ou auraient produit de faux passes.
Mais quelle honte de jeter l’opprobre sur ces héros de l’ombre !

Ne croyez pas ces complotistes qui affirment qu’ils auraient été extrêmement nombreux à avoir fait semblant de se vacciner ou que certains regretteraient amèrement leur injection.
Ceci n’est que délire et désinformation.

Comptons

Soyons purement pragmatiques, 5000 soignants sur environ 100 départements cela fait une moyenne de 50 soignants par département français.
Le ministre Braun16 a justement et humainement rappelé le 8 novembre :

« Ce n’est pas un sujet, c’est peanuts. »

Si on regarde le nombre d’établissements17 en France, soit environ 3000, vous voyez bien que cela ne fait qu’un peu plus d’une personne par centre de soins (1,67 pour être précis).

C’est là que l’on se dit que cette vaccination a vraiment fait l’unanimité.

Prenez conscience de cette réalité totalement crédible :

« UNE seule brebis galeuse par établissement ! »

Cela prouve bien que c’est une idée d’extrême droite de vouloir les réintégrer comme l’a rappelé le ministre.

Moi-même, je serais horrifié à l’idée d’être hospitalisé et manipulé par un non-être non-injecté quand bien même je porte un masque et que j’ai mes quatre doses efficaces plus le numéro complémentaire, la grippe !

Désinformation

Mais pour des raisons purement électoralistes des députés comme Mme Rivasi n’hésitent pas à f aire dans le mensonge en affirmant le 14 novembre dernier le nombre délirant de 130 000 personnels suspendus18

Si l’on prêtait foi à ces mensonges, cela correspondrait à 55000 soignants ou personnels hospitaliers.

En revanche, il y a un problème.
Le ministre affirme que 15000 personnels hospitaliers suspendus correspond à 5000 soignants.

D’aucuns disent19 que la proportion de non-soignants/soignants n’est pas de deux-tiers/un tiers mais l’inverse, soit un tiers de non soignants pour deux-tiers de soignants.
De fait il y aurait à minima selon la député, 36 000 soignants suspendus.

Bien évidemment, ne sont cités que les personnels qui sont suspendus c’est à dire, ni ceux qui ont pris une retraite anticipée, ni ceux qui ont démissionné pour pouvoir continuer à travailler, ni ceux qui ont été mis en arrêt maladie.

Nous ne voyons pas en quoi ces quelques dizaines de milliers de personnels en plus ou en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins et constituer un soutien à une profession qui ne manque pas de personnels, ainsi que je l’ai démontré.

Il y aurait donc en France, 1 150 000 soignants.

Selon la fédération hospitalière, la profession d’infirmier comporterait 6,6% de postes vacants20. Imaginons que la moyenne soit de 5% toutes professions médicales confondues, ce qui correspondrait à environ 57 000 postes vacants.

Si l’on prête foi aux affirmations foireuses de la député il y aurait à minima plus de 50 000 soignants suspendus, démissionnaires ou en maladie qui auraient été contraints de quitter leur poste.

Si c’était vrai, et bien heureusement tout ceci n’est que manipulation, la réintégration des soignants serait de nature à résoudre le manque de personnels.

Mensonges comme cela est confirmé par cette même fédération qui affirme que les non-vaccinés représentent 0,3% du personnel (donc environ 3400 soignants).
Soit encore moins que les données annoncées par le ministre.

Ce genre de nouvelles ne peut que réchauffer mon cœur meurtri.
C’est quand même merveilleux, non ?

Un seul non vacciné par établissement de santé et on fait des histoires !

C’est bien la raison pour laquelle je vous confirme qu’il n’y a strictement aucun intérêt à les réintégrer.
Cela n’apporterait strictement rien en terme de personnels mais en revanche serait de nature à perturber les bons soignants.

Une personne qui à elle seule pourrait perturber tout un hopital au point de refuser sa réintégration ? Un peu bizarre, non ?

Merci

Alain Tortosa21

17 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221117-ne-pas-reintegrer-les-non-vaccines.pdf





Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

https://t.me/DrDelepine

Un nouveau drame appelle notre vigilance : les malheurs de Chloé « TRANSGENRISME »

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.1 2

[Voir aussi :
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

L’histoire de Chloé3

« Dès l’âge de neuf ans, Chloé Chole a commencé à “se questionner sur son genre”. À douze ans, elle dit à ses parents qu’elle veut “changer de sexe”. Ne sachant pas quoi faire, ces derniers sollicitent une aide médicale.

Un traitement “radical”

À aucun moment les médecins ne repoussent son “désir de transition”. De 13 à 17 ans, Chloé Cole subit un “traitement radical”, hors autorisation de mise sur le marché et “insuffisamment étudié”, comprenant des bloqueurs de la puberté, un traitement par hormones sexuelles croisées et une double mastectomie.

Devenue adulte, elle regrette d’avoir subi “un traitement médical expérimental et irréversible”. “J’ai pris une décision d’adulte quand j’étais enfant” déclare-t-elle ».

Elle va poursuivre l’hôpital et les professionnels qui « ont effectué, supervisé et, ou, conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale ». Elle demande des dommages-intérêts punitifs. Les adultes m’ont mis en danger.

De fait ils ont manipulé les parents par le mythe du suicide qui menace et qui « serait évité » par ce long parcours médical, radical, irréversible qui pourtant mène plus souvent à l’issue fatale que l’inverse. En effet une étude canadienne montre que le taux de tentatives de suicide est de 3 % chez les hétérosexuels, 15 à 25 % chez les gays, lesbiennes et bi, mais dépasse les 45 % chez les trans comme l’illustre le graphique qui suit.

Chloé se bat pour elle, mais surtout pour tous les autres : « Je veux tenir responsables les adultes qui m’ont mis en danger, parce que ce qui m’est arrivé est horrible, mais cela n’est pas arrivé qu’à moi », insiste la jeune femme. « Cela arrive aux enfants partout aux Etats-Unis, partout en Occident, et cela se répand dans le monde entier »

LE TEMPS DES PROCÈS EST ARRIVÉ

Les procès apparaissent en Californie, en Angleterre et des cliniques jusqu’ici fort rentables sont obligées de fermer.

Comment en sont-ils arrivés là dans les pays anglo-saxons, et comment éviter chez nous les mêmes déviances ?. Aujourd’hui en France allons-nous tenter une nouvelle fois de copier, et reproduire les délires d’outre-Atlantique, d’outre-Manche ou scandinaves, alors même que ces pays commencent à en prendre conscience des dangers que leur permissivité fait courir aux adolescents mal dans leur peau. En France toujours deux décennies de retard…

Un rapport de janvier 2022 remis au ministre Véran montre que le nombre de personnes se disant trans ou en parcours de transition représente 0,013 % de la population (8952 personnes parmi plus de 67 millions de Français). Mais la publicité redondante à la télévision, la formation des petits à l’école à leur soi-disant libre choix entraînent des conséquences…

D’après les données de l’Assurance maladie :

« Les demandes de prise en charge de chirurgie mammaire et pelvienne de réassignation ont quant à elles été multipliées par quatre entre 2012 et 2020, avec respectivement 113 et 462 demandes ».

Par ailleurs :

« Le nombre de séjours en établissements de médecine, chirurgie et obstétrique pour transsexualisme a été multiplié par trois entre 2011 et 2020, passant de 536 à 1 615. »

On se demande pourquoi actuellement un feuilleton ou film récent se croit obliger d’insérer un trans dans le scénario, pourquoi le ministre de l’Éducation nationale semble vouloir traiter ces domaines en priorité et pourquoi de multiples articles de journaux pleurent sur ces pauvres soi-disant « victimes de leur sexe » alors qu’ils le deviendront à coup sûr par l’utilisation généralisée de leur drame privé ;

Pourquoi les dirigeants politiques se croient-ils obligés d’afficher la caractéristique trans de tel ou tel ministre alors que cela ne devrait relever que de leur domaine privé.4

Ils ou elles (iel ?) deviendront victimes à coup sûr si elles sombrent dans ce parcours du combattant qui les rendra à jamais dépendants du système médical (par ailleurs défaillant)…

Pour combien de « satisfaits » ? Et pour combien de temps ? L’idée n’est pas de refuser à quelques rares adultes cette reconnaissance et ces actes médicaux, mais d’informer, avertir enfants et adultes de la terrifiante manipulation qui mène des enfants en bonne santé, mais qui se posent avec plus d’acuité que la moyenne leur devenir sexuel à plonger dans ce parcours médical, ce petit monde fermé dans lequel ils trouvent au début une communauté accueillante, mais qui se transforme selon leurs confidences progressivement en un enfermement pour la plupart.

L’argent : cherchez l’argent, toujours

Malheureusement la soi-disant humanité dont on multiplie les faux sens télévisés en mettant in fine sur le trottoir ou dans la drogue des êtres humains, « migrants » désinformés sur les conditions de vie occidentales, et dépouillés de leurs économies pour payer les passeurs, cette soi-disant humanité est la même qui pousse des enfants à la mutilation, pour satisfaire des prédateurs avides d’argent ou de « belles » interventions de modelage d’un pénis chez une femme ou d’un vagin chez un homme… Appât du gain et distraction de la routine de l’appendicite ou du cancer du côlon d’un chirurgien blasé ou les deux ou encore envie de notoriété ? En tous cas le sort de « l’objet » à remodeler, du patient devenu objet n’a probablement pas grand-chose à voir avec la compassion pour l’enfant ou l’adulte angoissé par sa sexualité, du moins dans la majorité des cas…

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons5.

On se demande pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets 6 ou des autorités administratives comme le Défenseur des droits ou le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ?

Les rapports censés orienter les choix de la HAS en matière de recommandations sont confiés à des personnes, tout sauf indépendantes et objectives.7 Plaidant pour leur paroisse et ne tenant aucun compte de l’expérience acquise par les pays pionniers des traitements de transition médicale, et qui justement en reviennent comme la Suède.8

Depuis une vingtaine d’années, la folie du « genre » avait atteint le monde anglo-saxon et scandinave, nous épargnant relativement (en dehors des séries…). Mais récemment la mode « de changer de sexe » dès l’école primaire s’est installée officiellement en imposant aux enseignants d’accepter que l’élève choisisse un nouveau prénom sans l’accord de ses parents.

Le ministre de l’Éducation prétend que l’éducation sexuelle est une priorité dans un pays où les jeunes ne savent plus ni écrire, ni compter, ni calculer même à l’entrée de prépas réputées…

Nous devons nous préoccuper de cette nouvelle dérive pour savoir comment aborder ces sujets délicats, sans braquer, avec nos jeunes, proches, amis, familles, soumis à la pensée unique des réseaux sociaux colonisés par des « militants » d’un seul discours renchéri par France info et co…

Ainsi trop d’adolescents, en recherche d’eux-mêmes se trouvent embarqués dans un parcours de genre, tout malaise étant interprété comme une « dysphorie »9 pourtant rarissime. Les médecins consultés choisis pour leurs « compétences » autoproclamées sont le plus souvent des militants de la transition et orientent systématiquement d’emblée les enfants vers ce type de réponse, oubliant toutes les autres causes de mal être de cette tranche d’âge pour peut traiter moins brutalement.

Un marché juteux et trop de victimes embarquées sans réel diagnostic, sans précaution

Ce serait le règne de l’autodiagnostic ! Une enfant de quatre ans qui se dit garçon a forcément raison et il faut aller dans son sens, c’est ce qu’on explique aux parents perdus et pas préparés à ce genre de déviance, et les enfants de quatorze ans peuvent imposer leur « transition » dans le secret, sans en informer leurs parents.

ON FAIT VOTER AUX DÉPUTÉS LA DÉPATHOLOGISATION DE LA TRANS-IDENTITÉ

Comme si on pouvait choisir son sexe ! Le sexe est une constance biologique déterminée lors de la fécondation par la loterie du mélange des gênes X et Y des parents. Cette reproduction sexuée apporte un avantage biologique à l’espèce qui l’adopte et pour cette raison se retrouve chez toutes les espèces vivantes évoluées. Prétendre qu’on pourrait choisir son sexe ou que celui-ci est uniquement la conséquence d’un apprentissage social est un mensonge éhonté véhiculé parmi les députés, mais surtout les jeunes en souffrance et leurs parents qui ne peuvent plus donner de nécessaires « limites » aux jeunes sans se sentir ou être traités de parents indignes. On ne pourra jamais changer que l’apparence, mais jamais le sexe chromosomique ! Le changement de sexe promis aux jeunes gens est une imposture.

Société de la folie. Essayons de sortir du délire ambiant !

De la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne10 qui ont répété à l’envi que « la transidentité n’était pas une maladie » et « que chacun devait être libre de choisir son identité de genre, sans se laisser imposer “un modèle hétéronormé binaire”11. » Cette revendication n’est pas propre à la France. La dernière version de la classification internationale des maladies éditée par l’OMS (CIM 11) vient de transférer « l’incongruence de genre » du chapitre des affections psychiatriques vers celui de la santé sexuelle.

Alors que les soins à la vue de tous sont de plus en plus compromis par le délabrement continu de notre système de santé, la disparition des médecins de famille, la fermeture récurrente des urgences hospitalières et des blocs opératoires repoussant aux calendes grecques une intervention urgente, l’objectif du gouvernement et de ses instances telles la HAS est de créer un HOMME NOUVEAU avec tous les moyens y compris financiers détournés de la sécurité sociale.

Ainsi pour ces avocats d’un nouveau monde rêvé par Huxley et exposé par Laurent Alexandre, le sexe n’existe plus, c’est un fantasme que vous pensez voir à l’échographie prénatale et à la naissance et seul le GENRE existe… Et c’est bien sûr la sécurité sociale, la solidarité nationale qui doit assumer vos fantasmes ou plutôt vos pseudo-fantasmes bien utilisés par les lobbies fournisseurs de clients à la filière transhumaniste.

Ainsi est affirmé le droit à réquisitionner la médecine et la solidarité nationale afin de transformer et mutiler son corps pour le faire correspondre à ses fantasmes :

« Nous passons à un modèle dans lequel la personne détermine librement et elle-même son genre ainsi que le recours à tel ou tel traitement (…) ». « Il s’agit là aussi de mettre en œuvre des moyens du champ médical non pas pour soigner une pathologie, mais pour concrétiser le droit à disposer de soi-même »

Ainsi alors que le choix revient en totalité à la personne, c’est la société qui doit rembourser à 100 % les frais induits chez un être humain considéré comme normal, non malade, mais classé en affection de longue durée pour remboursement total des interventions et autres traitements médicaux.

Il semble bien que le médecin généraliste soit sommé « d’établir un protocole de soins de transition médicale à la demande de son patient non malade (ne pas confondre, sous peine de sanction pour discrimination), c’est-à-dire de lui prescrire les produits hormonaux réclamés et lui fournir des ordonnances nécessaires à la chirurgie. Pourra-t-il s’y refuser ? Avec la loi du 31 janvier 2022, rien n’est moins sûr ».

En résumé un diagnostic établi par la personne (considérée comme non malade, y compris mineure) sans confirmation médicale et un accès AUTOMATIQUE A LA TRANSITION MÉDICALE ET/OU CHIRUGICALE. !

Un drame social et financier,12 mais surtout individuel d’une personne en souffrance, en mal être13 en raison de ce qu’elle pense suite à ses lectures internet, ses participations à des forums influencés par les lobbies très riches, et la confirmation ou l’acceptation quasi automatique des médecins consultés qui appartiennent automatiquement aux lobbies, puisque la personne est orientée vers les « spécialistes ».

Imaginez un instant : je décrète avoir un cancer des ovaires et me fais enlever les gonades et prescrire un traitement hormonal sans avis médical et avec obligation pour le corps médical de me prescrire ces traitements qui seront automatiquement remboursés.

On peut décliner ce modèle pour se sentir avoir une sclérose en plaques et exiger les traitements ou un lymphome… Cela paraît exagéré, mais c’est exactement cela qui se passe en matière de changement de sexe et de son effroyable parcours qui transforme définitivement la personne en malade chronique, tant les traitements hormonaux à vie et la surveillance des sites opératoires s’imposent à vie, sans même parler de ceux, nombreux, qui feront le chemin inverse (détransition et rebelote pour les hormones inverses et les interventions…).

La prudence minimale enterrée

Des vies perturbées, gâchées au nom d’une pseudo liberté et de décisions privées de la plus élémentaire prudence ne respectant même plus, dans le cadre particulier du changement de sexe, des dispositions protectrices du Code civil et du code de santé publique interdisant les interventions mutilantes14 et les prescriptions hors AMM.

Notre société avide de copier les délires new-yorkais ou californiens est entrée dans un nouveau monde, « le meilleur des mondes » d’Huxley15, où au nom d’une pseudo liberté individuelle accrue, on soumet en réalité les esclaves du net et de la propagande télévisuelle via Netflix et autres, à un avenir lourd de drames personnels via les traitements médicaux lourds et les mutilations irréversibles menant trop souvent au suicide.

CHANGEMENT DE PARADIGME IMPOSÉ PAR NOS GOUVERNANTS

Voici la justification de la détermination du gouvernement à imposer ces pratiques qu’on pourrait aussi considérer comme barbares vers un changement de paradigme :

« Les nombreux échanges réalisés par la mission, les évolutions du contexte international (CIM 11) l’ont convaincue qu’un changement de paradigme dans les parcours de soins des personnes trans est à la fois nécessaire, attendu et possible.

Les changements doivent reposer sur des principes éthiques et politiques : dépathologisation de la transidentité, autodétermination des personnes seules à même de définir leur identité de genre, non-discrimination, égalité géographique et sociale d’accès aux soins. Les travaux à venir de la HAS doivent par ailleurs contribuer à intégrer l’état des connaissances, dans les pratiques de soins »16.

Donc la HAS n’aura aucun autre choix que mettre en pratique l’avis du ministre.

On a, dans le même temps, privé les parents de toute autorité, par conditionnement social et menaces pénales pour une fessée, donnant ainsi la toute-puissance sur les cerveaux de nos petits à une école qui n’enseigne plus le français ni le calcul, mais la sexualité, priorité avouée de notre actuel ministre de « l’éducation nationale »17.

Le rapport de janvier 2022 18 qui sert de base à la réflexion de la HAS sur les recommandations qui seront publiées en septembre 2023 est orienté par les lobbies qui l’ont rédigé et fait cruellement la place centrale au modèle « trans-affirmatif » immédiat, y compris pour les mineurs. Est-ce l’avenir que vous voulez pour vos enfants ? Et pourtant la maturité cérébrale ne serait acquise qu’à 24 ans…

Ces rapports préliminaires de janvier 2022 ainsi que le rapport de la HAS de septembre 2022 sur les futures recommandations ne font guère référence aux drames vécus par ces victimes de la mode et des médecins et seulement de façon insuffisante. La note de cadrage de la HAS de septembre 2022 19 avoue qu’elle a peu d’informations sur les « détransitions ». C’est pourtant un point fondamental, ainsi que la comparaison des suicides dans les tranches d’âge comparables et celles des sujets trans ou en parcours de transition.

Rappelons enfin la « définition du parcours de transition », d’après le rapport de l’IGAS 2022.

Les parcours de transition se déclinent en transition sociale, administrative, et médicale.

La transition sociale est le fait de vivre dans son environnement dans un genre social autre que son genre de naissance (de fait sexe de naissance !).

La transition administrative porte sur la modification du prénom et/ou de la mention de sexe à l’état civil.

« La transition médicale concerne l’ensemble des soins médicaux liés à la transition de genre (hormonothérapie, chirurgies). »

Les parcours de transition médicale désignent les parcours au sein du système de santé d’une personne transgenre, visant à d’obtenir les modifications corporelles souhaitées, à l’aide de soins délivrés par des médecins (hormonothérapie, épilation laser) et/ou chirurgiens (plasties de la poitrine, chirurgie pelvienne, etc.) et/ou d’autres professionnels de santé (orthophonie pour féminisation de la voix).

Ces parcours de transition devraient reconnaître l’autodétermination des personnes, permettre un choix éclairé en améliorant l’accès à l’information, rendre possibles des parcours de transition médicale diversifiés dans leur contenu et leurs modalités, faisant une plus grande place à la médecine de 1er recours et au travail en réseau, dépsychiatriser l’entrée dans les parcours, tout en permettant un accompagnement en santé mentale si nécessaire. La doxa officielle ne veut surtout pas « psychiatriser » alors que tous professionnels et proches conviennent que ces personnes ont besoin de soutien psychologique et souvent psychiatrique.

Dans ce rapport de l’IGAS, on note encore que la prévalence de cette dite dysphorie de genre chez les mineurs n’est pas établie.

« Selon une revue systématique de la littérature, à ce jour, la prévalence de la dysphorie de genre chez l’adolescent (âgés de 12 à 18 ans) ne peut pas être établie. Il y a des preuves d’une augmentation de la fréquence de consultation des adolescents pour traitement ces dernières années et les adolescents de sexe féminin à la naissance sont maintenant majoritaires ».

Enfin les troubles associés sont tout de même reconnus par l’IGAS. D’après une revue générale, la vulnérabilité des jeunes transgenres inclut les risques suicidaires, la dépression, l’anxiété, et l’auto-agressivité, ainsi qu’une persécution à l’école autant chez les garçons que chez les filles. » On aimerait des statistiques !

IL EST CLAIR QUE CES SUJETS MÉRITERONT APPROFONDISSEMENT ET SURVEILLANCE POPULAIRE

En effet dans notre société, est passée subrepticement la légalisation de l’avortement devenu infanticide puisqu’autorisée jusqu’à l’âge de neuf mois en août 2021 au sein de la loi dite de bioéthique, sans prise de conscience populaire qui s’étonne aujourd’hui de cette possibilité en Californie, sans savoir que la disposition existe en France.

Est passée également l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal dans la même loi passée en catimini.

Peut-on citer également l’expérimentation à grande échelle d’une substance génique expérimentale, appelée fallacieusement vaccin, pour tromper les foules, mais évitée chez les animaux en raison de trop de mortalité dans les premiers essais ?

Alors laisserons — nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement lucratif…

Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.


1 13.11.22 https://m.epochtimes.fr/une-adolescente-ex-trans-poursuit-les-medecins-qui-lont-mutilee-alors-quelle-etait-mineure-2158461.html

2 https://www.foxnews.com/media/detransitioned-teen-hold-gender-affirming-surgeons-accountable

3 Transition de genre chez une mineure : des médecins poursuivis. Publié le 15 novembre 2022, revue de presse génétique.

4 Voir par exemple une ministre de Biden dont l’objectivité sera questionnable en ce domaine

Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé

Cette pédiatre devient ainsi la personne transgenre la plus haut placée au sein du gouvernement américain, une première historique. Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé — Allo Docteurs

5 « Seulement les adultes ? Bonnes pratiques en matière de la reconnaissance légale du genre pour les jeunes ; un rapport sur l’état actuel des lois et du plaidoyer des ONG dans huit pays d’Europe, en mettant l’accent sur les droits de jeunes » : https://www.iglyo.com/wp-content/uploads/2019/11/IGLYO_v3-1.pdf

6 Cf par exemple le site de l’association lyonnaise Chrysalide dont les publications sont subventionnées par le ministère des Solidarités et de la Santé, la région Aura, la Métropole de Lyon, alors qu’elles sont très contestables : https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/

7 Voir article La fragile protection des enfants face aux lobbies trans-affirmatifs,

Publié le 25 mars 2022, revue Gènéthique

8 https://www.socialstyrelsen.se/om-socialstyrelsen/pressrum/press/uppdaterade-rekommendationer-for-hormonbehandling-vid-konsdysfori-hos-unga/

9 Le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux — 5e édition) publié en 2015 en version française, définit la dysphorie de genre par : A : la non-congruence marquée entre le genre vécu/exprimé par la personne et le genre assigné, d’une durée minimale de 6 mois et B : le trouble est accompagné d’une détresse cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

10 Article 225-4-13 du Code pénal : « Les pratiques, comportements ou propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ».

11 M. Bastien Lachaud, Compte-rendu de la deuxième séance du 5 octobre 2021

 L’ensemble du parcours médico-chirurgical est financé par l’assurance maladie au titre de la prise en charge d’une affection de longue durée (ALD)

12 « Les soins de transition peuvent, contrairement à ce qu’on observe dans d’autres pays, être pris en charge par la sécurité sociale, pour certains à 100 % en cas d’accès à l’ALD (affection de longue durée). Le nombre de bénéficiaires de l’ALD au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre a fortement augmenté depuis 10 ans, tout en restant relativement modeste : 9 000 personnes sont concernées en 2020 dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013 selon la CNAM). 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans. En 2019, le nombre de demandes et d’avis favorables d’ALD concernant des hommes trans (FtM) a rejoint celui des femmes trans (MtF) » rapport au ministre 2022 ibid 9

13 A-t-on encore le droit de le dire ou de l’écrire sans être accusé de discrimination ?

14 Female to Male (FtM) désigne une femme qui devient homme ; Male to Female (MtF), un homme qui devient femme.

La chirurgie d’affirmation de genre recouvre des interventions de féminisation (création d’un néo-vagin, augmentation mammaire, féminisation du visage…) ; la chirurgie de masculinisation recouvre des interventions des organes génitaux (hystérectomie, métaoidioplastie, phalloplastie…) ou de la poitrine, mastectomie.

15 Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d’anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système.

16 Rapport ibid11 page 6 objectifs imposés : « L’enjeu prioritaire est de renouveler l’organisation des parcours de transition, avec pour principes clefs l’autodétermination, le consentement éclairé, la reconnaissance de la diversité des parcours, une place renforcée des professionnels de santé de premier recours, un travail en réseau et un repositionnement du rôle de la psychiatrie. »

17 Les mesures devraient a priori concerner tous les niveaux scolaires. Elles viseront à lutter contre les « stéréotypes de genre » ainsi que les LGBT-phobies et les violences sexuelles et sexistes.

18 Remis au ministre début 22 rapport_sante_des_personnes_trans_2022.pdf (solidarites-sante.gouv.fr) répond à une saisine du ministre des Affaires sociales et de la Santé faite à deux acteurs de terrain de la prise en charge des personnes, le Dr Hervé Picard, médecin généraliste et médecin de santé publique et Simon Jutant de l’association ACCEPTESS-T, avec l’appui de Geneviève Gueydan de l’IGAS. « Ce rapport intervient un moment qui laisse espérer des progrès possibles ; si la situation et les parcours de soins des personnes trans ont été, et restent encore trop, marqués du sceau de la pathologisation de la transidentité et de sa stigmatisation, des évolutions majeures du contexte peuvent en effet contribuer à de profonds changements. »

19 Parcours de transition des personnes transgenres (has-sante.fr) note de cadrage de la HAS de septembre 2022 en préparation des recommandations prévues pour sept 2023.




Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique

[Source : anna-bellas.com]

Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique… VOILÀ COMMENT ils nous prennent pour des cons !!!

Alors que le groupe éco-zélote Just Stop Oil continue d’enfreindre la loi et de semer la pagaille, il est peut-être temps de chercher à savoir qui tire les ficelles de ce mouvement et d’autres faux mouvements populaires. Un simple coup d’œil suffit pour se rendre compte que les personnes qui se cachent derrière ne sont pas des citoyens ordinaires, mais un groupe de milliardaires américains très influents.

Dans une série en quatre parties publiée par The Conservative Woman, Stephen McMurray démontre comment la psychologie et l’argent — et non les faits — sont à la base du récit alarmiste sur le climat au Royaume-Uni. Outre les groupes de psychologues « indépendants », ces tactiques psychologiques sont déployées par le gouvernement britannique sur la base d’un document produit par la commission de l’environnement et du climat. Le célèbre duo de faux narratifs Covid, Chris Whitty et Patrick Valance, fait partie de ce comité.

Stephen McMurray est membre du Free Speech Union. Ce qui suit est un bref résumé des articles de McMurray, vous pouvez lire les quatre articles dans leur intégralité en suivant les liens fournis :

Partie 1 — Argent et idéologie ICI.
Partie 2 — Margaret Klein Salamon ICI.
Partie 3 — La psychologie pour influencer la population ICI.
Partie 4 — Tactiques coercitives de Covid réutilisées pour le récit de la crise climatique ICI.

Selon le site web de Just Stop Oil, leur principale source de financement est le Climate Emergency Fund. Le Climate Emergency Fund fournit « un moyen sûr et légal pour les donateurs de soutenir les protestations perturbatrices ». Les trois membres fondateurs de ce groupe — Aileen Getty de la famille pétrolière Getty, Rory Kennedy, fille du sénateur Robert Kennedy et le philanthrope Trevor Neilson — financent également Extinction Rebellion.

L’attention s’est surtout portée sur les Getty, mais c’est Trevor Neilson qui a le parcours le plus intéressant. Après l’université, il a travaillé comme stagiaire à la Maison-Blanche lorsque Bill Clinton était président. Plus tard, il a travaillé pour la toute nouvelle Fondation Bill et Melinda Gates en tant que directeur de la communication et a également été le porte-parole personnel des Gates. M. Neilson a également été membre de la Clinton Global Initiative, du Council of Foreign Relations et de l’un des Young Global Leaders du Forum économique mondial.

En 2002, elle a cofondé DATA (Debt, AIDS, Trade, Africa) avec Bill Gates, Bono et George Soros.
En 2006, elle a fondé le Global Philanthropy Group, qui a contribué à la création de Make It Right avec Brad Pitt.
En 2015, Neilson a créé des investissements (désormais appelés Net Zero) avec Howard Warren Buffett, petit-fils du milliardaire Warren Buffett, qui siégeait au conseil d’administration de la Fondation Gates. Net Zero est une société d’investissement spécialisée dans les énergies renouvelables.
Parmi les membres actuels du conseil consultatif du Fonds d’urgence pour le climat, on retrouve les thèmes et idéologies habituels qui n’ont rien à voir avec le climat, mais qui sont chaleureusement accueillis par les fanatiques de la crise climatique.

Stephen Kretzmann a fondé Oil Change, une organisation qui milite pour la fin de la production de pétrole. Il est un partisan du mouvement marxiste Black Lives Matter.
Bich Ngoc Cao. Elle fait partie du conseil d’administration du site d’information de gauche Mother Jones. Elle fait également partie du conseil des commissaires de la bibliothèque de la ville de Los Angeles.
Bill McKibben compare les problèmes climatiques au racisme et utilise la mort de George Floyd pour étayer son propos.

Margaret Klein Salamon est psychologue clinique et a donc été impliquée auprès de personnes vulnérables souffrant de niveaux élevés de stress et d’anxiété. Dans son rôle dans l’activisme climatique, elle semble utiliser son expérience pour effrayer les personnes vulnérables. Elle est la fondatrice de Climate Awakening qui est « un projet visant à libérer le pouvoir des émotions liées au climat par le biais de conversations évolutives en petits groupes. » Il est clair que ce site est utilisé pour dire aux enfants qu’ils devraient être terrifiés par la crise climatique et pour s’assurer qu’ils répandent cette terreur à d’autres enfants. Il est méprisable pour une psychologue clinique d’utiliser de cette manière des enfants qui peuvent être dans un état de trouble mental. Elle donne ensuite des instructions à ces enfants pour qu’ils répandent la peur à d’autres et qu’ils fassent la promotion de l’agenda des alarmistes climatiques. C’est totalement contraire à l’éthique. McMurray consacre l’intégralité de la deuxième partie à l’utilisation abusive de la psychologie par Salamon.

Si vous pensez que Margaret Klein Salamon est une curiosité parmi les psychologues, détrompez-vous. De nombreux psychologues sont maintenant montés dans le train de la crise climatique. Il existe une organisation appelée l’Alliance pour la psychologie du climat. Comme Salamon, elle souhaite utiliser son expertise dans le domaine de la psychologie pour inciter les gens à croire à sa vision du monde sur la catastrophe climatique imminente. Ce groupe affirme ouvertement que les « faits » ne persuadent pas vraiment les gens de la réalité de la crise climatique et qu’il doit utiliser la psychologie pour nous pousser à devenir de vrais croyants :

Il est désormais largement admis que les faits et les informations sur le risque de changement climatique, pris isolément, ne favorisent pas le changement. Il est de plus en plus admis que le mouvement pour le changement climatique pourrait être enrichi par l’intégration de perspectives psychologiques plus profondes. Mais la psychologie positiviste dominante fait souvent partie du problème, surtout lorsqu’elle réduit l’être humain à un objet à mesurer, à contrôler et à mettre au service de la machine à profit qui menace aujourd’hui notre avenir collectif.

The problem with psychology, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Ils disent même que l’anxiété climatique est une bonne chose :

Ainsi, au fond, l’anxiété climatique est une bonne chose, car elle est nécessaire pour réveiller les gens. Mais une forte anxiété n’est pas agréable, et s’il n’y a pas assez d’action climatique et de soutien psychosocial, de nombreuses formes d’anxiété climatique deviennent problématiques et il y aura aussi beaucoup de dépression climatique.

Climate Anxiety — What You Need to Know, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Par conséquent, il est bénéfique de causer une grande détresse aux membres du public en leur disant que le monde est sur le point de disparaître, à condition qu’il y ait suffisamment de psychologues (qui les ont traumatisés en premier lieu) pour les aider à faire face en les faisant participer à l’action climatique où ils peuvent eux aussi traumatiser d’autres personnes et continuer la chaîne. Quelle façon ingénieuse d’aider à détruire la vie des gens tout en faisant beaucoup d’argent dans le processus.

Ces groupes ne ciblent pas seulement les individus, mais aussi les entreprises. Une organisation appelée Climate Psychologists propose des cours de conseil aux entreprises.

Plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité… Notre plateforme RH propose des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser le bien-être sur le lieu de travail et l’action axée sur les objectifs.

Ce que nous faisons, Climate Psychologists, consulté le 13 novembre 2022.

Le texte ci-dessus est la formulation actuelle qui a été modifiée depuis que McMurray a écrit son article. Comme l’a noté McMurray, le site Web indiquait précédemment :

Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité. Nos psychologues du climat proposent des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser la maîtrise et la réactivité en période d’incertitude… Découvrez le pouvoir des « Nudges éthiques », qui ont des effets positifs sur votre équipe et votre entreprise, au bureau et dans le monde.

Remarquez qu’ils ne se contentent pas d’offrir un soutien aux employés traumatisés par la « crise climatique », mais qu’ils utilisent des programmes de changement de comportement et des « nudges » éthiques. Ils expliquent aux employeurs comment manipuler subtilement l’esprit de leurs employés pour qu’ils croient à l’urgence climatique. Cela rappelle beaucoup l’équipe SPI-B du gouvernement, qui utilisait la psychologie pour terrifier les gens et leur faire accepter le verrouillage de Covid.

Le mois dernier, la commission de l’environnement et du changement climatique de la Chambre des Lords a publié un rapport intitulé « In our hands: behaviour change for climate and environmental goals ».

Il s’agit d’un document sinistre dans lequel le gouvernement déclare ouvertement que tous les aspects de notre vie doivent être gérés pour atténuer l’impact du changement climatique et que des techniques de contrôle mental, très similaires à celles utilisées pour forcer le public à acquiescer aux verrouillages Covid, doivent être utilisées contre la population.

Chris Whitty — l’un des principaux instigateurs de la politique désastreuse de Covid — fait partie du comité qui a produit le document et un autre collaborateur de Covid, Sir Patrick Vallance, était témoin.

Dans son résumé d’ouverture, le comité indique clairement que chaque département gouvernemental devra utiliser la psychologie comme une arme contre le public pour s’assurer que nous nous comportons conformément aux exigences des alarmistes climatiques.

Plus loin dans le document, il est précisé que non seulement tous les ministères seront ciblés, mais aussi le secteur privé, même s’il n’est pas dans leur intérêt financier de le faire.

Pour souligner à quel point ils veulent contrôler les menus détails de la vie quotidienne, l’un des points clés de la commission est le suivant :

Des politiques prioritaires de changement de comportement sont nécessaires dans les domaines des déplacements, du chauffage, de l’alimentation et de la consommation pour permettre au public d’adopter et d’utiliser des technologies et des produits verts et de réduire la consommation à forte intensité de carbone.

Chambre des Lords : Commission de l’environnement et du changement climatique, Key Messages, 12 octobre 2022, pg. 5

Par conséquent, on vous dira ce que vous pouvez manger, où vous êtes autorisé à aller et comment vous pouvez vous y rendre. Un autre point clé indique clairement qu’ils vous taxeront et légiféreront pour vous faire respecter.

Et, comme le souligne le rapport, ce ne sont pas seulement les entreprises qu’ils essaient d’utiliser pour vous faire changer de comportement. Ils veulent également utiliser les organisations caritatives et les institutions religieuses pour contrôler l’esprit des masses.

Il est évident que les alarmistes climatiques, avec le soutien de milliardaires, de psychologues et du gouvernement, mènent une guerre contre l’esprit des gens afin d’instaurer la dystopie de la Grande Réinitialisation. Ils ont le pouvoir et l’argent de leur côté, mais il est clair que, du fait qu’ils doivent recourir à des techniques de contrôle de l’esprit, ils n’ont pas la vérité. Comme George Orwell est réputé l’avoir dit : « À l’époque de la tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».

Il est temps que nous devenions tous des révolutionnaires, car la vérité est que ce n’est pas la crise climatique qui constitue la plus grande menace pour notre bien-être, mais les alarmistes de la crise climatique qui veulent supprimer les derniers vestiges de notre liberté et nous plonger dans un âge sombre sans fin.




La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort1

Par Nicole Delépine

Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali, 1981.

Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles »

Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !

« Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (Cese), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain. » 2

Ne nous laissons pas instrumentaliser une nième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux — comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires. »3

Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste..

Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir..

ET MENSONGE INDIGNE DES SONDAGES AU SERVICE DU POUVOIR

Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13 % du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanasie…

Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable,5 l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

CULTE DE LA MORT D’UNE SOCIÉTÉ DÉCADENTE ET AGONISANTE

Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de CO2, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies.6 7

AIDER UN PATIENT À MOURIR A TOUJOURS ÉTÉ VRAI, MAIS DANS LE SECRET DE LA CHAMBRE DU MALADE

Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

Nous écrivions en mai 2022 8 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 2000.10

L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente 11

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’Ined. »12

Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants, dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

« La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid. 13

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

« L’EUTHANASIE PREND SA PLACE DANS LES OUTILS DE GESTION DU GRAND ÂGE ! » 14

L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

« L’euthanasie devient une “proposition sociale” »

« Une liste de “choses concrètes” qui débute par “l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique”, ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale» « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15

CONDITIONNEMENT ET CULPABILISATION DES PERSONNES ÂGÉES ET/OU HANDICAPÉES

Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

« Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que “l’on meurt mal en France”. Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

« UN CONTEXTE JURIDIQUE NOUVEAU » ET ILS REVIENNENT ENCORE ET ENCORE SUR CE SUJET MORBIDE ET MALSAIN, ET POURTANT LES FRANÇAIS N’EN VEULENT PAS 16

Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie »

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE — « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art ».18

« IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS »

Alors « comment notre société et les “progressistes” ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre. »19 de nos préoccupations

Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

MAIS LÉGIFÉRER EST UNE ABERRATION QUI PERMET TOUTES LES DÉRIVES

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

NE JAMAIS LÉGIFÉRER

Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

UNE PRUDENCE COMPLÉMENTAIRE DISCUTABLE, MISE EN CAUSE DE FAIT PAR L’AVIS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, LES DIRECTIVES ANTICIPÉES

Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

« Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D. A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D. A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la “passion de l’égalité” et plus elles produiront des “volontés” qui seront soumises à l’opinion dominante. »

MAIS FINALEMENT LE MÉDECIN A LE DROIT DE NE PAS RESPECTER CES DIRECTIVES ! AVIS DU 10 NOV 2022

Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

« Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge “manifestement inappropriées ou non conformes” à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre. »22





Comment les extrêmes se rejoignent

Par Roland HUREAUX

Quel singulier paradoxe de voir que, dans la guerre d’Ukraine, le fer de lance du « libéralisme » occidental, lequel prétend repousser l’autoritarisme russe, est composé de miliciens qualifiés de néonazis.

On a mis en doute leur existence : ceux qui ont voulu les voir de près ont pourtant vu des militaires ou paramilitaires, troupes de choc bien entraînées, dont les insignes ou les tatouages faisaient une référence claire aux symboles hitlériens.

Des néonazis dans le « camp de la liberté »

Autant qu’on le sache, ces milices étaient au départ composées de gens originaires de l’ouest du pays où était resté le souvenir que les horreurs du stalinisme avaient été, pour eux, pires que celles du socialisme national et même celui des tentatives de collaboration avec le régime hitlérien entre 1940 et 1944, découragées par le racisme allemand. Ils cultivent les symboles nazis comme le svastika. Mais ces forces ont évolué. Elles ont bénéficié d’une formation particulière de l’armée américaine et d’autres, ont reçu à partir de 1994 des avalanches d’armes. Le président ukrainien Zelenski les a intégrées à l’armée où elles jouent un rôle de troupes d’élite, comme les bataillons Azov, Aïdar, Secteur Droit1 . Des volontaires issus de tous les pays veulent les rejoindre. Mises ainsi en valeur au sein de l’armée et de l’État, ces forces pourraient, si l’Ukraine l’avait emporté, faire rayonner un modèle de soldat et une idéologie que l’on croyait révolus.

Le fondateur du régiment Azov, Andreï Bielinski, s’est fait élire au Parlement.

Apparemment, aucun des pays qui envoient des armes à l’Ukraine — et donc aux milices néonazies — n’a émis des réserves à l’idée de soutenir ce genre d’unités. Les Américains semblent même les avoir favorisées. Les extrêmes se rejoignent.

Les extrêmes se rejoignent aussi à Davos. Klaus Schwab, le pape du mondialisme, dont les instructions sur l’économie mondiale sont indiscutées, en tous les cas en Europe, est le fils du chef d’une entreprise métallurgique suisse, venu travailler en Allemagne à l’avènement d’Hitler. Il aurait utilisé de la main-d’œuvre concentrationnaire. Il est reparti en 1945. Le jeune Klaus a mis la même entreprise au service du régime d’apartheid en Afrique du Sud : il semble qu’il l’ait aidé à construire sa propre bombe atomique. Il a bien sûr quitté ce pays à la fin du régime d’apartheid.

Davos d’un eugénisme à l’autre

Le mondialisme auquel se réfère Schwab prétend s’inscrire dans la tradition libérale. Son livre The Great Reset, tout en promettant la continuation des contraintes nées du covid, la baisse de la consommation, en particulier d’énergie, promeut le libre-échange universel et préconise même pour les gens du bas de l’échelle une sorte de socialisme qui réduirait par exemple la propriété foncière au strict minimum (sauf pour les très riches). Parmi les magnats qui soutiennent l’entreprise de Davos (Gates, Soros et d’autres), presque tous sont malthusiens : ils pensent que la population mondiale est trop nombreuse et qu’il faut la réduire — pas forcément par un génocide ouvert, mais par différents biais, comme les vaccins si ardemment préconisés par Bill Gates. Que la vitesse de croissance de la population mondiale soit en baisse continue semble ignoré par eux. Gates a vendu en Afrique des vaccins destinés à prévenir certaines maladies infectieuses, mais qui contenaient des stérilisants pour les femmes sans qu’elles en aient été averties. Certains opposants au vaccin contre le Covid prétendent qu’il en est de même de ces derniers, les effets ne devant se manifester que progressivement. En tous les cas, qui dit réduction de la population, dit sélection : quel genre d’hommes va-t-on conserver en priorité sur la planète ? Les malthusiens presque tous rattachés au parti démocrate et donc à la gauche américaine, engagés dans l’antiracisme, se gardent de préciser.

Hitler était nataliste pour ce qui était des Allemands, mais lui aussi voulait réduire la population des autres groupes ethniques : pas seulement les Juifs, mais aussi les Slaves et pratiquement tous les non-Aryens.

Le Führer ambitionnait de créer une surhumanité fondée sur la race aryenne (allemande), race d’élite, selon lui appelée à dominer le monde. Les moyens de la créer étaient d’abord la sélection naturelle au sein de centres ouverts à des géniteurs et des femmes de pure race allemande, mais aussi la guerre qui par le moyen de la « lutte pour la vie » fait émerger les plus forts. Il commença ses massacres par celui des handicapés mentaux.

Généralement associé à l’eugénisme est le transhumanisme, l’idée que les manipulations génétiques au commencement de la vie pourraient améliorer l’espèce humaine au point que l’on puisse créer une nouvelle classe d’hommes « augmentés » ou surhommes qui aura vocation à dominer les autres. Les autres pourraient, avec le progrès des techniques, devenir inutiles. C’est cette angoisse de devenir inutiles qui aurait motivé les Gilets jaunes, selon le Dr Philippe Alexandre, proche de Macron, élitiste et transhumaniste affiché2.

On peut se demander ce qui sépare ce genre d’élucubrations des théories de la gauche libertaire. Les lois dites de « bioéthique » introduites récemment en France par le gouvernement français, qui ouvrent très largement le marché de la fécondation artificielle, ont pour effet, au travers de la sélection des embryons, de permettre ce genre d’eugénisme.

Autres signes de la faveur de l’inégalité : les différences de revenus ne cessent de croître au sein des pays développés, ce qui serait au gré de certains économistes, l’effet de l’ouverture internationale des échanges. C’est peut-être cette situation qui a permis à un Biden de passer de l’extrême droite ségrégationniste à l’extrême gauche woke.

La propension inégalitaire et eugéniste est présente au cœur de l’ultralibéralisme contemporain. Nous disons ultralibéralisme pour nous adapter au langage commun : il faut cependant se souvenir que ce courant qui aujourd’hui gouverne le monde, a introduit une censure généralisée au travers des GAFAM (les grandes entreprises du numérique [Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft]). Il s’est servi du covid pour imposer un contrôle étendu des mouvements de population, entamer un fichage généralisé. Les prochaines étapes seront la monnaie numérique qui devrait permettre de suivre le moindre achat d’un individu, la vaccination obligatoire dès le premier âge et l’institution d’une identité numérique. Le modèle chinois fascine certaines élites occidentales. 1984 n’est pas loin.

Le Rwanda : où l’Occident se fait le champion de l’inégalité

Après la Chine, l’Afrique. Il ne faut pas idéaliser l’Afrique précoloniale : il y avait les dominants et les dominés. Au Rwanda et au Burundi, une minorité de dominants — les Tutsi (10 %) — gouvernait une majorité de dominés — les Hutus (90 %). Au Rwanda, l’introduction du suffrage universel à l’indépendance (1959) permit à la majorité hutue de prendre le pouvoir. Une partie des Tutsis s’exila. Certains de ces exilés tentèrent de reprendre le pouvoir à partir de 1990 avec l’appui de la finance anglo-saxonne. Ils y parvinrent en 1994. Ces turbulences entraînèrent d’immenses massacres : celui des dominants Tutsis (environ 400 000 victimes en 1994), puis celui des dominés Hutus, en fuite au Congo (4 millions de victimes à partir de 1997). La communauté internationale, sous l’impulsion des puissances anglo-saxonnes n’a voulu reconnaitre comme victimes de génocide que l’aristocratie tutsie, jamais le peuple hutu où le nombre de morts est pourtant dix fois supérieur. La philosophie élitiste propre aux libéraux anglo-saxons les a amenés à penser que la vie des Hutus ne valait rien. Les Tutsis, en revanche, étaient dans l’air du temps.

Le chef de la révolte tutsi, Paul Kagame, parvenu au pouvoir en 1994, est la coqueluche de la sphère internationale, tenu pour un chef d’État modèle. Personne ne veut entendre parler des immenses massacres dont il est la cause, directe ou indirecte. Il est régulièrement invité comme observateur au G 20.

Que toute la sphère mondialiste ait soutenu la minorité tutsie est assez extravagant compte tenu des idéaux égalitaires qui sont, en principe, ceux du monde actuel, a fortiori si on considère les massacres épouvantables commis par les vainqueurs. On peut y voir l’effet d’une conjoncture locale — à vrai dire assez exceptionnelle, ou de l’intérêt économique. Comment ne pas y voir aussi l’effet d’une secrète connivence entre les cercles qui dominent le monde avec une société africaine élitiste et inégalitaire ? Donc avec l’homme qui l’incarne, Kagame. On trouverait sans doute d’autres exemples d’inégalités flagrantes, en Afrique ou ailleurs, admises par la communauté internationale au nom de la sélection naturelle.

Nous revenons au paradoxe de départ : cette gouvernance, qui centralise de plus en plus, au moins en Europe et en Amérique, le pouvoir, qui contrôle l’opinion publique par la presse, qui se réclame des idéaux de liberté et d’égalité, promouvant un égalitarisme radical (antiracisme, ultra-féminisme), exprimés notamment par le wokisme rageusement hostile à toute discrimination, ne se maintient, on vient de la voir en France, qu’en identifiant ses adversaires au fascisme ou au socialisme national et donc à une idéologie de l’inégalité, de la sélection naturelle. Pourtant, au motif de transgresser toutes les normes issues de vingt siècles de judéo-christianisme et qui préconisent le respect de l’homme, elle se retrouve sur des positions contraires à ces traditions humanistes. L’opposition des deux camps avait encore un sens il y a trente ou quarante ans, au temps où on pouvait parler sérieusement du « monde libre », du camp de la liberté. Aujourd’hui, ce monde libre semble, par une étonnante mutation, en train de changer son système de valeurs et d’adopter celui, inégalitaire et transhumain (c’est-à-dire antihumain), qui avait été si longtemps celui de ses adversaires.

Roland HUREAUX

Juillet 2022

1 Et aussi Dnipro, Safari, Svoboda, Pravy Sektor, C14, Corps national.

2 Cela montre qu’il n’a jamais vu de près des Gilets jaunes dont certains étaient très intelligents et informés.




L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, pas la Démocratie ou le Gouvernement International

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

(Source de l’image : iStock)

Traduction du texte original: The Antidote to Tyranny is Liberty, Not Democracy or International Government

Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat.

Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident.

Très fréquemment, les politiciens européens et américains opposent les nations « démocratiques » à celles qui sont « autoritaires » : les premières sont la bonté même tandis que les secondes menaceraient l’existence même de la planète. Pourtant, après plus de deux ans de masques et de vaccins obligatoires après des mois de limitation des déplacements en raison du COVID-19, toutes mesures imposées aux populations occidentales par un exécutif ou un appareil administratif unilatéral – sans recours au législatif ou à un référendum public – il est difficile d’affirmer que les nations dites démocratiques sont débarrassées de leurs impulsions autoritaires.

Lorsque les présidents et les premiers ministres invoquent « l’état d’urgence » pour élaborer et appliquer leurs propres lois, les citoyens ne doivent pas se montrer surpris de la réserve inépuisable d' »urgences » dont ces dirigeants disposent en vue d’autres actions unilatérales. En cas de doute, il suffit de se reporter à la répression musclée des « Convois de la Liberté » (Freedom Convoy) au Canada : le Premier ministre canadien Justin Trudeau a confisqué les comptes bancaires de tous les camionneurs qui manifestaient pacifiquement contre l’obligation vaccinale. Certains ont même été arrêtés sans égard pour le respect des procédures légales ou le droit à la liberté d’expression. L’« état d’urgence » proclamée par Trudeau a primé sur les droits personnels des citoyens canadiens.

La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. Si un membre de la minorité se retrouve esclave de l’État ou condamné à mort simplement parce que la majorité en a décidé ainsi, il ne chantera pas les louanges de la démocratie alors que son cou est serré dans un nœud coulant.

Les principes du fédéralisme (les pouvoirs du gouvernement souverain sont divisés entre une autorité centrale et ses parties constituantes locales) et de la séparation des pouvoirs (les fonctions judiciaires, législatives et exécutives du gouvernement sont réparties entre des branches distinctes et indépendantes) constituent des freins solides à la concentration de pouvoir et aux abus qui en découlent.

Cependant, dans les pays occidentaux, ce sont les droits naturels qui existent indépendamment et au-dessus de l’autorité constitutionnelle qui protègent le mieux contre l’injustice d’un gouvernement (démocratique ou non). Ces droits naturels – inviolables si l’on en croit la Déclaration d’Indépendance des États-Unis – protègent la liberté d’expression. Nul gouvernement ne peut censurer tel discours qui lui déplait. Si la propriété privée avait été considérée comme un droit inhérent à chaque individu, Trudeau n’aurait pu s’en prendre si facilement aux comptes bancaires des manifestants au nom d’une situation qu’il avait lui-même déclarée « urgente ». Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun.

Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». Si les chefs de gouvernement convainquent les citoyens que les droits personnels n’existent pas, ou qu’ils ne devraient pas exister, alors des gouvernements autoritaires représentant diverses nuances de communisme ou de fascisme ne manqueront pas de toquer à la porte.

L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique. Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ».

Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux.

La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens.

N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ?

« Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de  » menaces  » pour la démocratie.

Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Lorsque la République romaine est devenue l’Empire romain, ses institutions internationales sont-elles devenues intrinsèquement plus fiables ? Lorsque le Saint Empire romain a uni une grande partie de l’Europe, ses empereurs ont-ils semblé moins autoritaires ? Et si le parti nazi d’Hitler avait réussi à conquérir toute l’Europe, son « Union européenne » aurait-elle été plus légitime que les gouvernements nationaux de Pologne, de Belgique ou de France ?

Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme.

Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu.

JB Shurk écrit sur la politique et la société.




Faisons-nous face au retour du nazisme ?

[Source : Jean-Dominique Michel]

Conclusion de la présentation que j’ai donnée récemment à Saintes. Si la crise n’était pas sanitaire (létalité égale à celle de la grippe annuelle), comment expliquer ce qui nous est arrivé et continue sous d’autres formes (guerre, énergie, climat) ? Après être resté très longtemps prudent à ce sujet, je me risque à avancer certains éléments de réponse et de formuler certaines hypothèses…

Voir l’ouvrage « L’internationale nazie » d’Ariane Bilheran (éditions Bookelis) dont j’ai rédigé la préface :
https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html

Jean-Dominique Michel