Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

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Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




Deuxième Guerre mondiale : faut-il vraiment commémorer le 6 juin 1944 ?

[Source : entelekheia.fr]

Par Corinne Autey-Roussel

« Quand les États conquis sont, comme je l’ai dit, accoutumés à vivre libres sous leurs propres lois, le conquérant peut s’y prendre de trois manières pour s’y maintenir : la première est de les détruire ; la seconde, d’aller y résider en personne ; la troisième, de leur laisser leurs lois, se bornant à exiger un tribut, et à y établir un gouvernement peu nombreux qui les contiendra. dans l’obéissance et la fidélité : ce qu’un tel gouvernement fera sans doute ; car, tenant toute son existence du conquérant, il sait qu’il ne peut la conserver sans son appui et sans sa protection ; d’ailleurs, un État accoutumé à la liberté est plus aisément gouverné par ses propres citoyens que par d’autres. »

Machiavel, Le Prince

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort . »

François Mitterrand

Le véritable vainqueur de la Deuxième Guerre mondiale n’est pas l’alliance des puissances occidentales, mais Staline. La terrible bataille de Stalingrad, la plus meurtrière de toute l’histoire de la guerre (17 juillet 1942 – 2 février 1943), le bourbier de la Campagne du Caucase (23 juillet 1942 – 9 octobre 1943) 1 et la gigantesque bataille de Koursk (5 juillet–23 août 1943), véritables points de bascule de la Deuxième Guerre mondiale, signeront l’échec de l’opération Barbarossa, l’enlisement de la Wehrmacht en Union Soviétique et à terme, la défaite de l’Allemagne. 2

Après ces retournements de situation, les tanks et les katiouchas de l’Armée rouge, à l’offensive, avancent vers l’ouest, luttant pied à pied contre les troupes nazies et menaçant de libérer à eux seuls l’Europe entière. Les Américains et les Britanniques s’en alarmeront et décideront d’une attaque en Normandie, ostensiblement pour vaincre l’Allemagne, en réalité pour préserver leurs intérêts en Europe.

Car les Américains, contrairement à ce que croit la majeure partie de la population, n’étaient pas, à l’origine, des ennemis du régime d’Hitler. Loin de là.

L’Allemagne nazie et les USA, un panier d’intérêts communs

Depuis le Traité de Versailles, des investissements américains acheminés via des des firmes d’avocats d’affaires, par exemple Sullivan & Cromwell (où œuvrent les frères Allen et John Foster Dulles, plus tard respectivement directeur de la CIA et Secrétaire d’État), Brown Brothers Harriman (propriétaires de la Union Bank of New York présidée par Prescott Bush, le père de George H. W. Bush) ou la BIS (Banque des règlements internationaux 3) bâtissent peu à peu le complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie. Les investissements de part et d’autre créent un inextricable appareil d’obligations et de complicités qui compte des entreprises comme DuPont, Union Carbide, IBM, Coca Cola, Gillette, Westinghouse, General Electric, Goodrich, Singer, Kodak, ITT, JP Morgan, Ford, General Motors et d’autres, y compris le mastodonte allemand I.G. Farben, qui détient des parts d’entreprises américaines comme Bayer Co, General Aniline Works, Agfa Ansco, Winthrop Chemical Company, etc 4 :

« Après les Rockefeller, le plus grand actionnaire de la Standard Oil [aujourd’hui Exxon] était I.G. Farben, le géant chimique allemand. Cet investissement faisait partie d’un schéma d’investissements réciproques entre les USA et l’Allemagne au cours des années nazies. Pendant la Grande Dépression, l’Allemagne était considérée comme un point de convergence pour investisseurs. » 

The Thistle, Volume 13, Number 2, 2000-2001, Massachusetts Institute of Technology. 5

Mais la Grande Dépression de 1929 entame sévèrement les profits et à Berlin, des accrochages explosifs entre communistes et nazis font craindre la récidive d’un scénario de type révolution soviétique. Pour contrer la menace, des puissances industrielles telles que Thyssen, la Union Bank de Prescott Bush, Krupp et Schacht financent la montée d’Hitler. 6

En 1933, Hitler accède au pouvoir. Les affaires sont sauvées. Le programme de réarmement du Troisième Reich, en particulier, voit prospérer des entreprises américaines implantées sur le sol allemand – même Coca Cola, avec son soda caféiné propre à « soutenir l’effort des ouvriers qui doivent travailler dur », passera de 243 000 à 4,5 millions de caisses entre 1934 et 1939.

En cette même année 1939, deux compagnies américaines, General Motors et Ford, contrôlent 70% du marché automobile allemand. Selon un rapport au Sénat US présenté par l’historien Bradford C. Snell en 1974 :

« Le début de la guerre, en septembre 1939, verra la conversion intégrale des usines de la General Motors et de Ford à la production d’avions militaires et de camions blindés… sur le terrain, des filiales de GM et Ford construisaient presque 90% des autochenilles Maultier/Sd.Kfz et plus de 70% des camions de transport du Reich. Ces véhicules, selon les services de renseignement américains, représentaient « la colonne vertébrale du système de transports de l’armée allemande. » Sur un ton très pince-sans rire, Snell ajoute « Grâce à leur domination de la production de véhicules automobiles, GM et Ford sont devenus les principaux fournisseurs des forces du fascisme tout autant que des forces de la démocratie. On peut, bien sûr, arguer qu’une participation aux deux côtés d’un conflit international, tout comme la pratique d’investir dans deux partis opposés avant une élection, est une activité appropriée de la part d’une compagnie. Si les nazis avaient gagné, GM et Ford auraient été considérés comme des nazis impeccables ; s’ils perdaient, ces compagnies apparaissaient comme impeccablement américaines. Dans les deux cas, la viabilité de ces corporations et les intérêts de leurs actionnaires respectifs étaient préservés. » 7

La version américaine du gagnant-gagnant.

Et la Grande-Bretagne ?

Pour les USA empêtrés dans les suites de la Crise de 1929, si le New Deal est un fiasco, la guerre en Europe offre de fascinantes perspectives économiques, moyennant quelques menues réformes. Mais à partir du 3 septembre 1939, les allers-retours entre les USA et l’Allemagne chutent à cause du blocus naval britannique, qui entrave les exportations vers l’Allemagne. 8

Étant donnée la défaite de la France et sa mise sous tutelle nazie, pour maintenir les profits de leurs exportateurs en Europe, il ne reste aux USA que le seul marché du Royaume-Uni, mais le système de « Cash and carry » américain (paiement immédiat, livraison à la charge de l’acheteur) et l’impécuniosité de la Grande-Bretagne en limitent le développement. Un nouvelle méthode introduite par Roosevelt en 1941, le prêt-bail (lend-lease), réglera le problème et lancera la machine à profits en accordant des crédits à l’acheteur, ce qui permettra de multiplier exponentiellement les livraisons à la Grande-Bretagne et pour les fournisseurs américains, de manipuler au passage leurs prix à la hausse. 9

De plus, « l’aide » américaine s’assortit de conditions, par exemple la promesse d’abolir le protectionnisme dès la fin de la guerre sur tous les territoires et dominions de l’empire britannique (les Etats-Unis n’aiment pas les anciennes colonies européennes, non pas par humanitarisme, mais parce que ce sont des marchés captifs qui leur sont fermés). Avant même la bataille d’Angleterre (10 juillet-31 octobre 1940), Churchill multiplie les appels à l’entrée en guerre des USA en utilisant tous les recours de la flatterie, mais ses offensives de charme auprès d’Américains influents 10 ne lui vaudront en tout et pour tout que le droit de signer la Charte de l’Atlantique (14 août 41) par laquelle la Grande-Bretagne renonce virtuellement à ses colonies impériales, et de s’endetter toujours plus par le prêt-bail. 11

A bout du compte, en engendrant des liens qui perdurent à ce jour, le prêt-bail se révélera un formidable outil d’interdépendance économique des USA avec le Royaume-Uni. 12

Même si initialement, le milieu du business américain a plus d’affinités avec le régime nazi 13 qu’avec le ronron des démocraties européennes, 14 la bonne marche des affaires entre le Royaume-Uni et les USA amèneront des revirements chez ces derniers, d’autant plus qu’Hitler, tout en restant dépendant d’importations pour soutenir son effort de guerre, s’oriente vers une économie autarcique mal vue par les USA. Entre 1933 et 1938, les exportations américaines en Allemagne plongent de 8,4 % à 3,4 %. Même si la situation n’a aucune incidence sur les entreprises américaines établies sur le sol allemand, elle alarme autant les dirigeants des USA, tous adeptes inconditionnels du libre-échange, que les entreprises exportatrices du pays. De plus, à mesure des conquêtes des Allemands, leur territoire isolationniste s’agrandit d’autant, de sorte que des divisions se creusent entre entreprises installées en Allemagne (dont les profits augmentent en flèche) et entreprises exportatrices américaines qui, voyant leurs débouchés européens s’amenuiser, se tournent vers la Grande-Bretagne.

C’est ici qu’intervient un élément crucial : pour que la Grande-Bretagne puisse continuer d’importer et d’honorer ses traites, elle ne doit pas être vaincue, mais elle n’a pas à être victorieuse non plus. En fait, le scénario le plus satisfaisant pour les différents acteurs américains du business de la guerre en Europe tient à une prolongation indéfinie du conflit.

Henry Ford, pourtant antisémite notoire et compagnon de route loyal du Troisième Reich, 15 ira jusqu’à demander que les États-Unis approvisionnent aussi bien les Alliés que les puissances de l’Axe avec « les outils qui leur permettraient de continuer le combat jusqu’à ce que les deux s’effondrent »16 Il appliquera lui-même sa vision de la « morale » égalitaire démocratique en fournissant aussi bien la Grande-Bretagne que l’Allemagne nazie en matériel militaire.

Ces sombres manigances ne peuvent bien sûr tenir que si les USA se confinent dans la neutralité, et effectivement, en 1940, Roosevelt se déclarera défavorable à toute intervention à l’étranger. Si les USA finiront par se joindre à la mêlée, ce sera plus tard et uniquement parce qu’Hitler leur déclarera la guerre.

Les USA entrent en guerre malgré eux

Le 22 juin 1941, quand Hitler attaque l’Union Soviétique, l’opinion américaine a déjà définitivement basculé en défaveur du nazisme. Outre que dans leur vaste majorité, les Américains prennent naturellement fait et cause pour leurs frères anglo-saxons, le répit économique apporté par la politique du prêt-bail renforce encore leur sentiment antinazi. Et puis, l’offensive allemande contre l’URSS n’inquiète pas Washington, qui n’y voit qu’un soulagement éphémère pour les Britanniques – pour les experts militaires des USA, les Soviétiques ne résisteront de toutes façons pas plus de quatre à six semaines à la Wehrmacht ; au mieux, selon les estimations les plus optimistes de Roosevelt, jusqu’en octobre.

Staline demande d’urgence des armes via le prêt-bail aux USA, elles lui seront refusées : on ne prête pas à un client dont la faillite est assurée. L’URSS devra payer comptant les miettes que les Américains veulent bien lui vendre (l’historien Bernd Martin parle d’une aide « purement fictive »), alors qu’ils prévoient déjà d’installer des gouvernements non communistes dans les territoires qui auraient la chance d’échapper au joug nazi, par exemple la Sibérie.

Mais, sur le terrain, la résistance acharnée, héroïque de l’Armée rouge change rapidement la donne. Dans un prélude à la défaite de Stalingrad, le 5 décembre 1941, la blitzkrieg allemande avorte aux portes de Moscou, l’URSS passe à la contre-offensive et s’avère un allié précieux pour la Grande-Bretagne. 17 Pour les Américains préoccupés avant tout par leurs comptes d’apothicaire, c’est une bonne nouvelle : l’enlisement des Allemands sur le front de l’Est allonge l’espérance de vie de la Grande-Bretagne (et donc, du business des fournitures militaires) et lui permet de continuer la guerre sans aide en troupes américaines. Et, comme l’Union Soviétique s’avère plus coriace que prévu, elle se mue également en débouché commercial prometteur.

Les USA tiennent la guerre de longue durée dont ils rêvaient.

En novembre 41, le nouvel ambassadeur soviétique Maxime Litvinov est reçu à Washington avec la plus grande cordialité, et les Américains signent un accord de prêt-bail avec l’URSS.

Bien que les Allemands aient fait exactement ce que l’élite américaine souhaitait en attaquant l’URSS, à ce stade, une victoire allemande aurait desservi ses intérêts en mettant un point final au négoce juteux du prêt-bail. L’Amérique des corporations, jusque-là partagée, met donc son anticommunisme de côté et devient viscéralement antinazie, mais ses aspirations restent inchangées : elle veut un conflit aussi long que possible. La fièvre des profits qui a poussé le sénateur Harry S. Truman à déclarer, quelques jours après le lancement de l’opération Barbarossa, « Si nous voyons l’Allemagne gagner, nous devrions aider la Russie et, si la Russie est en train de gagner, nous devrions aider l’Allemagne, pour que le plus grand nombre possible périsse des deux côtés » gagne les médias ; vue des USA, cette guerre est une « bonne guerre » non pas forcément parce qu’elle est menée contre le mal incarné par le nazisme, mais avant tout parce qu’elle panse les blessures économiques de la Grande dépression.

L’historien Jacques Pauwels met d’ailleurs en garde contre l’idée reçue selon laquelle sans le prêt-bail des USA, l’URSS aurait été perdue : en sous-main, les Américains implantés dans l’Allemagne nazie l’aidaient massivement depuis le début de la guerre, surtout en pétrole et en huile pour moteurs, des fournitures sans lesquelles l’opération Barbarossa n’aurait jamais pu être entreprise. De plus, les fournitures du prêt-bail à l’URSS n’arriveront qu’en 1942 et ne compteront que pour 4 à 5% dans l’effort de guerre soviétique. Et, même si 5% peuvent s’avérer déterminants dans une situation critique, rien ne prouve que sans eux, les Soviétiques ne seraient pas de toutes façons venus à bout des Allemands.

Notons par ailleurs que les ventes d’armes et de fournitures militaires aux deux opposants d’un conflit 18 ainsi que l’allongement artificiel de la durée des guerres 19 restent l’une des marques distinctives de la « politique étrangère » des corporations nord-américaines et de Washington.

Sur le front européen, les choses se déroulent donc à l’avantage des Américains sans qu’ils aient besoin d’y mettre un seul pied pour préserver ou développer leurs intérêts. Mais le 11 décembre 1941, pour des raisons encore obscures aujourd’hui, Hitler et Mussolini bouleversent le ronron des tiroirs-caisses des USA en leur déclarant la guerre. Pour l’historien Jacques Pauwels, Hitler se serait solidarisé avec le Japon (qui avait lancé son assaut contre Pearl Harbor quatre jours auparavant) pour tenter d’obtenir qu’il lui rende la pareille en déclarant la guerre à l’URSS, ce qui l’aurait affaiblie en ouvrant un deuxième front sur le Pacifique. 20

Quant aux motivations de Mussolini, mystère. Sa dépendance à l’Allemagne ?

Pour les USA, l’entrée en guerre marque le début d’une prospérité sans précédent. Les usines tournent à plein régime, l’armée absorbe des chômeurs en masse et les grandes entreprises engrangent des bénéfices inespérés. Parallèlement, les milieux d’affaires et industriels investissent l’arène politique, en particulier les secteurs de la défense et des affaires étrangères où ils établiront des bases d’opérations qui perdurent à ce jour. 21

Les USA, la Grande-Bretagne et la procrastination « stratégique »

Si dans le Pacifique, les USA n’ont d’autre choix que se battre, en Europe, ils traînent les pieds. Dès le printemps 1942, Staline demande l’ouverture d’un nouveau front allié sur les côtes de la Mer du Nord, en France, en Belgique ou en Hollande. Contrairement à ce que les livres d’histoire en disent, les alliés occidentaux ont à ce moment tous les moyens nécessaires à un débarquement, d’une part parce que leurs troupes réunissent désormais Britanniques, Américains et Canadiens et que les équipements y sont assurés, d’autre part parce qu’Hitler, très pris sur le front de l’Est, n’a laissé que des forces de second ordre en Europe occidentale.

Roosevelt approuve tellement l’idée d’un front occidental qu’en mai 1942, il le promet « avant la fin de l’année » à Vyacheslav Molotov, ministre soviétique des affaires étrangères. Mais Churchill rejette catégoriquement tout plan de débarquement, très probablement dans l’espoir que les Allemands et les Soviétiques s’affaibliront mutuellement au point de ne plus présenter de danger pour Washington et Londres. Une théorie plus indulgente voudrait que Churchill ait craint une réédition des boucheries de la Première guerre mondiale sur les plages de France ou de Belgique, mais étant donné son mépris total bien documenté des vies humaines, 22 nous n’y souscrivons pas.

Quoi qu’il en soit, Churchill gagne Roosevelt à la cause d’un attentisme bien plus prometteur qu’un débarquement précipité : plus les belligérants s’épuiseront, plus la situation permettra la planification d’une intervention décisive au moment le mieux choisi pour en tirer le plus grand bénéfice possible et minimiser les pertes. En d’autres termes, il est très probable que sous l’impulsion de Churchill, ils aient prévu d’attendre que l’Allemagne et l’URSS se retrouvent exsangues pour intervenir, s’approprier la victoire et arbitrer les négociations de paix à leur avantage. 23 Évidemment, cette stratégie digne d’un Machiavel n’aurait pu aboutir que si l’URSS s’affaiblissait, mais pas mortellement – si elle s’effondrait, la Grande-Bretagne et les USA se retrouveraient à endosser seuls l’effort de guerre contre la Wehrmacht. On transigera donc en multipliant les envois de fournitures militaires à l’Union Soviétique et en prévoyant un débarquement in extremis au cas où la guerre tournerait à l’avantage décisif des Allemands. Le scénario inverse, l’effondrement des troupes d’Hitler, n’était pas prévu au programme, ou juste en passant. On ne s’y attarda pas.

A ce stade, nous entrons dans une période de questions sans réponse : Les Britanniques et les Américains souhaitent-ils faire acte de présence tout en préservant leur stratégie de départ, à savoir une intervention terrestre au moment le plus opportun, ou sont-ils tout bonnement d’une rare incompétence ? Au lieu d’ouvrir un deuxième front sur la côte de la Mer du Nord comme il se devrait et comme la majeure partie de l’opinion occidentale le réclame d’urgence, la RAF et l’USAF bravent la DCA de la Wehrmacht pour bombarder des villes allemandes et des territoires occupés, au prix de lourdes pertes en vies civiles, en avions et en équipages (pour les seuls Américains, 40 000 soldats et 6000 avions seront abattus ou tués au cours de ces bombardements incompréhensibles).

De plus, le 19 août 1942, quelques dix mille soldats canadiens envoyés sur ordre britannique débarqueront à Dieppe, le port de la côte française le mieux gardé par les Allemands et, de par sa topographie, le moins propice à un débarquement : il est verrouillé par des falaises qui en font un piège sans issue. Les soldats canadiens se feront littéralement massacrer. Churchill a-t-il voulu prouver à l’opinion publique, aux médias, aux juifs, aux Soviétiques, à tous ceux qui pressent les alliés occidentaux d’intervenir, qu’ils ne sont « pas prêts à un débarquement » en sacrifiant volontairement des milliers de soldats dans une opération suicidaire ?

Personne ne donnera d’explication convaincante à cet atroce fiasco. Une malencontreuse erreur stratégique ? Un test préliminaire au débarquement de Normandie, qui ne sera mené que deux ans plus tard et pouvait très bien se passer de cobayes ? Une opération destinée à recueillir des renseignements, quitte à sacrifier autant de vies, comme cela a été suggéré ? 24 Qui peut le croire ? D’autres opérations étaient tout à fait réalisables sur des ports plus accessibles, avec des vols de reconnaissance, des renseignements préalables, des bombardements de soutien à l’infanterie, etc. Les malheureux de Dieppe n’ont eu droit à rien de tout cela. 25

Pendant ce temps, à Londres et à Washington, à part l’opération désastreuse de Dieppe et les bombardements de civils qui n’entravent en rien la montée en puissance de la production de guerre allemande (et pour cause, puisqu’ils évitent soigneusement les installations germano-américaines, par exemple les usines d’I.G. Farben 26), on continue d’atermoyer. Malgré tout, la nécessité d’une action concrète pousse Churchill à ouvrir un deuxième front, certes, mais là où l’appelle son sens des affaires rondement menées : vers Gibraltar, le canal de Suez et le pétrole du Moyen-Orient. En conséquence, les alliés débarquent en Afrique du Nord en novembre 42 et tentent ensuite d’accéder à Berlin par l’Italie.

La stratégie, mal conçue, offre deux ouvertures aux Allemands : d’une part, ils bloquent en toute facilité l’avancée alliée en Italie grâce à la topographie montagneuse des lieux et d’autre part, ils comprennent qu’aucun front occidental supplémentaire n’est imminent et qu’ils peuvent concentrer le gros de leurs forces à l’Est. Staline, dont l’armée sera d’autant plus harcelée, réalise qu’il ne peut pas se fier à ses « alliés ». Il est seul et il le sait. Mais au prix d’immenses souffrances, l’Armée rouge finit par battre les Allemands à Stalingrad (23 août 1942 – 2 févier 1943). Quelques mois plus tard, en juillet 1943 à Koursk, elle consentira encore de lourds sacrifices pour infliger une défaite décisive à la Wehrmacht dans la plus terrible bataille de tanks de toute l’histoire de la guerre. 27

Si les Allemands voient leur fortune fondre à Stalingrad, Koursk garantit leur défaite. Ce qui n’empêchera pas les alliés occidentaux, plus tard, de critiquer la « mauvaise stratégie » des « médiocres » officiers de l’Armée rouge et de s’attribuer les lauriers de la victoire de Koursk, qui aurait été selon eux « impossible sans l’aide cruciale occidentale » en matériel militaire dont Staline bénéficiait à ce moment.

Les victoires soviétiques de Stalingrad et de Koursk tireront néanmoins les alliés de leur torpeur et les lanceront dans de fiévreuses réévaluations de la nécessité d’un deuxième front stratégiquement cohérent en lieu et place du bourbier italien.

De fait, le plus sombre des scénarios prévus par les alliés occidentaux est en bonne marche : au lieu d’apparaître comme « une grande alliance » de sauveurs de l’humanité qui arriveraient à la rescousse de troupes soviétiques au bord de l’effondrement total et pourraient imposer leurs conditions, ils se font escamoter « leur » victoire par Staline. En effet, l’Armée rouge, désormais forte de ses succès, progresse mètre par mètre vers Berlin.

Les quartiers généraux des alliés se transforment en ruches où les spéculations les plus folles engendrent une pluie de mémorandums alarmistes : Staline va envahir l’Allemagne, peut-être même passera-t-il le Rhin et qui sait quoi d’autre encore ? Prendra-t-il toute l’Europe ? Chez ces libéraux recuits, la vieille peur de « l’expansion communiste » reprend comme un feu de broussailles mal éteint, mais comme la lente progression de l’Armée rouge se fait contre la très vaste majorité des forces de la Wehrmacht (les alliés n’ayant jamais à combattre plus de 10% des troupes allemandes), tout peut encore basculer en défaveur des Soviétiques. C’est une maigre consolation. 

Quid des Français ?

Les Français, à ce moment, ont éclaté en deux camps. L’un suit les consignes du régime de Vichy et collabore activement avec l’occupant 28 mais, réalisant rapidement les faibles chances d’une victoire durable d’Hitler, il bascule dès 1941 d’une soumission à l’Allemagne nazie à la prévision d’une soumission aux USA. « Déjà les États-Unis sont sortis seuls vainqueurs de la guerre de 1918 : ils en sortiront plus encore du conflit actuel. Leur puissance économique, leur haute civilisation, le chiffre de leur population, leur influence croissante sur tous les continents, l’affaiblissement des États européens qui pouvaient rivaliser avec eux font que, quoi qu’il arrive, le monde devra, dans les prochaines décades, se soumettre à la volonté des États-Unis. » – rapport du général Paul Doyen, président de la délégation française à la Commission allemande d’armistice de Wiesbaden, rédigé par son collaborateur diplomatique Armand Bérard, juillet 1941. 29 Même Laval, en 43, se rêvera un avenir américain tout en protestant de son absolue loyauté au Troisième Reich. Nous retrouverons cette tendance, après la guerre, chez les personnages qui prendront les manettes de la construction de l’UE sous les auspices du Plan Marshall. 30 Ils représentent le patronat libéral français que le seul mot « communisme » jette dans l’effroi, si bien que, déjà au cours de la guerre, Washington compte sur eux pour se débarrasser de l’encombrant de Gaulle, détesté pour son souverainisme et ses liens organiques avec une Résistance intérieure majoritairement composée de communistes et de souverainistes, tous gens voués à s’opposer à la Pax Americana prévue pour l’Europe de l’après-guerre.

Pendant ce temps, les Américains et leurs collaborateurs français manœuvrent pour imposer leurs hommes dans le meilleur style des républiques bananières d’Amérique Centrale : seront successivement choisis Maxime Weygand, délégué général de Vichy pour l’Afrique jusqu’en novembre 1941, le général Henri Giraud, puis l’amiral François Darlan, vice-président du Conseil du gouvernement de Vichy et successeur désigné de Pétain qui, le 22 novembre 1942, signera un accord avec le général américain Mark W. Clark 31 mettant « l’Afrique du Nord à la disposition des Américains », abaissant la France au statut de « pays vassal soumis à des capitulations » (sic) et attribuant aux USA des droits sur les déplacements des troupes françaises, le contrôle et le commandement des ports, des aérodromes, des fortifications, des arsenaux, des télécommunications, de la marine marchande, une liberté de réquisitions, une exemption fiscale, un droit d’exterritorialité et l’administration des zones militaires. Le maintien de l’ordre, l’administration courante, l’économie et la censure auraient été confiées à des « administrations mixtes »32

Le 24 décembre 1942, Darlan sera assassiné, très probablement par des gaullistes.

Les Américains se tourneront alors vers Pierre Pucheu, ministre de la production industrielle puis de l’intérieur de Darlan et Pétain, délégué de la banque Worms et du Comité des Forges et tortionnaire anticommuniste. En avertissement aux USA et à la Grande-Bretagne, Pucheu sera jugé et condamné à mort à Alger en mars 1944 par de Gaulle. Reste Giraud, mais de Gaulle n’attend que le bon moment pour s’en débarrasser. C’est que depuis le 26 septembre 41, il peut tenir tête aux anglo-saxons grâce à un allié en forme de poids lourd : l’Union Soviétique, qui a reconnu en lui et dans le réseau des Résistants français le « Gouvernement de la vraie France ». 33 Tout en traitant de Gaulle de « dictateur de droite » et de « pantin du Kremlin », Roosevelt finira par lâcher prise ; le 23 octobre 1944, il reconnaîtra le Gouvernement provisoire de la République française et renoncera à imposer le dollar dans les territoires libérés. Le 10 décembre 44, de Gaulle consolidera la position de la France libre en signant un traité d’aide et d’assistance mutuelle avec Staline. 34

Mais l’agent des USA Jean Monnet arrivera à s’insérer dans l’appareil du CFLN de de Gaulle. De là, il mènera un travail de sape qui, un jour, aboutira à l’UE.

L’autre camp se compose des résistants précités et des populations frappées par les bombardements aberrants des alliés, qui font pleuvoir depuis 1942 des tonnes de métal au hasard sur la banlieue de Paris, sur Nantes, Strasbourg, Annecy, Caen, Le Havre, Lorient, Saint-Nazaire ou Toulon, mais là encore, sans particulièrement viser les installations nécessaires aux Allemands 35 – les victimes sont majoritairement des civils, surtout des quartiers populaires et des cités ouvrières qui y voient une volonté des capitalistes anglo-saxons de mater leurs velléités futures de revendications sociales, 36 et aussi, dans les cas de cibles industrielles, d’annihiler la concurrence locale. La France, pays collaborateur donc perçu comme une simple région de la zone d’influence allemande, est appelée à subir le même traitement que l’Allemagne une fois vaincue : l’occupation par les vainqueurs. Il se serait donc agi, d’une part, de démoraliser l’opposition intérieure représentée par une classe ouvrière française à l’époque notoirement bagarreuse et pro-communiste, et d’autre part, dans une moindre mesure, de se débarrasser des industries locales – une théorie du complot que les bombardements des usines Renault de Boulogne-Billancourt, en 1942 et 43, 37 semblent bien étayer. Car, même si Renault est effectivement collaborationniste et fournit des camions aux Allemands, peut-être l’entreprise automobile a-t-elle surtout froissé certaines sensibilités en tentant de s’appuyer sur Hitler pour évincer la concurrence américaine, une ambition affichée par son administrateur François Lehideux avec la phrase « aucune voiture américaine ! » dans un rapport de collaboration de décembre 1940. 38

Bombardez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens

Quant à la « doctrine » militaire régissant ces bombardements sans but tactique précis (car il y en a une), elle est censément le fait d’un maréchal en chef britannique, Arthur « Bomber » Harris. A la tête du « Bomber Command » 39 de la RAF à partir du 22 février 42, il déclenchera l’enfer.

Au début de la guerre, la Grande-Bretagne a tenté des frappes de précision, mais elle admet dans un rapport de 1941 qu’elle n’arrive à endommager que très peu de ses cibles. Harris tient la solution : le bombardement « de zones ». Selon lui, il faut larguer des tapis de bombes sur des zones étendues, surtout des centres-villes, et causer autant de dégâts que possible dans l’espoir que peut-être, au passage, la RAF touchera des installations de la Wehrmacht. Mieux encore, ses tapis de bombes sur des populations et des infrastructures civiles « démoraliseront l’ennemi » et « abrégeront la guerre ». Ses massacres terroristes lui vaudront une telle réprobation de l’opinion publique britannique qu’après la guerre, entre plusieurs autres brimades, il se verra dénier tout rôle ultérieur dans l’armée et l’accès aux archives officielles – mais, précisément, l’examen des dites archives révèle que Harris n’a été que l’exécuteur des basses œuvres, puis le fusible d’un gouvernement tout aussi coupable que lui. La décision de bombarder des civils à tire-larigot a été prise bien avant l’arrivée de Harris, le 28 octobre 1940, par un criminel de guerre célèbre, Winston Churchill, qui déclarera devant son Cabinet de guerre « alors même que nous devrions adhérer à la règle selon laquelle nos objectifs devraient être militaires, nous devons faire sentir le poids de la guerre aux populations civiles qui vivent aux alentours des zones de ces objectifs. » Le 14 février 1942, une semaine avant l’arrivée du bourreau Harris, le Cabinet britannique donne déjà l’ordre aux bombardiers de la RAF de « se concentrer sur le moral de la population civile ennemie et en particulier sur les ouvriers, cible prioritaire du Bomber Command »40

Bien qu’il n’y ait aucune explication rationnelle à cette « stratégie », les Américains emboîteront le pas aux Britanniques. 41

Effectivement :

« Les dégâts humains provoqués par la campagne de bombardement sur la France entre 1940 et 1944 furent considérables. L’estimation des pertes n’est jamais complètement fiable dans le cas de bombardements, mais le bilan est certainement supérieur au chiffre officiel de 53 000 morts : on peut plutôt parler de 70 000 Français tués – c’est-à-dire autant que les pertes pendant le Blitz. Ces chiffres remettent les choses en perspective, car le Blitz est un épisode très connu, notamment en Grande-Bretagne, alors que le bombardement des civils français l’est beaucoup moins. Entre 1940 et 1944, Britanniques et Américains lâchèrent un nombre infiniment plus important de bombes sur la France que les Allemands sur la Grande-Bretagne. »

Richard Overty, historien britannique. 42

Un « nombre infiniment plus important ». Précisément, huit fois plus important. 43

Face à l’incohérence sanguinaire de l’action alliée et à son immobilisme contre l’Allemagne, tous les espoirs de la population se portent vers l’Union Soviétique. 44

L’après-Stalingrad

Après Stalingrad, Londres et Washington épluchent anxieusement les développements possibles : même le scénario le plus optimiste reste sombre, puisqu’il consiste, dans le cadre de l’assaut allié par l’Italie ou d’une opération par la France visant à soulager l’Armée rouge, à ensuite devoir laisser une place de choix à Staline à la table des négociations. Le pire donne la victoire totale à Staline, hissant les Soviétiques au rang de « maîtres de l’Europe » à même de dicter d’inacceptables conditions socialistes. Mais un troisième scénario possible est tout aussi dévastateur : que Staline repousse les Allemands hors de l’URSS et ensuite, qu’il négocie un accord de non-agression avec Hitler, et les alliés occidentaux n’auront plus d’autre choix que se confronter seuls à la Wehrmacht. Ces messieurs réalisent que Staline ne leur doit rien, qu’il est en position de force pour négocier avec Hitler et qu’il peut leur faire payer leur déloyauté en se retirant de la guerre. 45 Même s’ils sous-estiment la détermination antifasciste de Staline et partant, l’invraisemblance d’un second accord germano-soviétique, la stratégie de l’attentisme opportuniste a fait long feu. Il faudra agir concrètement et de plus, composer avec l’Union Soviétique.

Du 28 novembre au 1er décembre 43, la rencontre des « Trois Grands » à Téhéran voit les alliés occidentaux accéder à presque toutes les revendications territoriales de Staline – qui ne sont, au passage, pas plus déraisonnables que celles de ses « alliés » occidentaux. La bonne volonté de part et d’autre est telle que Staline accède à une demande de Roosevelt, celle de venir soulager l’effort des USA contre le Japon en lui déclarant la guerre après en avoir fini avec l’Allemagne. Et de fait, la spectaculaire invasion de la Mandchourie (le « Mandchoukouo ») entreprise par l’Armée rouge le 6 août 1945 constituera probablement l’un des éléments-clé de la reddition du Japon et non, comme on l’a martelé dans nos livres d’histoire, les bombes atomiques inutiles et meurtrières d’Hiroshima et de Nagasaki. 46

Les alliés occidentaux pris à leur propre piège

À l’été 43, l’ouverture d’un front en France devient cruciale. « Nous serons encore en train de discuter lorsque les Russes feront irruption dans Berlin » – Général Henry Arnold, USAF, mémo du printemps 43. Le problème suivant tiendra au transfert du matériel nécessaire au débarquement du front méditerranéen jusqu’en Grande-Bretagne. Il prendra des mois supplémentaires.

Les alliés ne seront prêts à lancer l’opération Overlord qu’au printemps 44, alors qu’en Italie, à Monte Cassino (12 janvier – 18 mai 1944), 47 Rome et Naples, des combats terribles entre alliés et Allemands ont ramené les boucheries de la Première Guerre mondiale.

Même si la course est désormais clairement perdue d’avance, les préparatifs du front de Normandie s’accélèrent à mesure des avancées des troupes de Staline, qui à ce moment finissent de libérer la Hongrie et de la Roumanie : il s’agit désormais non pas tant d’être les premiers à Berlin que d’empêcher les troupes de Staline de prendre toute l’Europe. Pire encore, les troupes d’Hitler pourraient s’effondrer d’un moment à l’autre et laisser le champ totalement libre à l’Armée rouge, qui pourrait dès lors foncer vers l’ouest en n’arrêtant ses colonnes que pour ses pleins de carburant. « La possibilité d’une victoire complète des Russes sur l’Allemagne avant que les forces américaines n’aient débarqué sur le continent constituait un cauchemar » – Mark A Stoler, historien spécialiste d’histoire militaire. 48 À telle enseigne que le plan du débarquement de Normandie se doublera d’une autre prévision d’opération militaire (nom de code Rankin) destinée à occuper autant de territoires d’Europe de l’Ouest que possible en larguant des troupes aéroportées un peu partout avant l’arrivée des Soviétiques.

6 juin 44, opération Overlord

A l’opposé de l’imagerie officielle du « D-Day », la population n’a pas accueilli ses libérateurs alliés avec toute la ferveur souhaitable, et pour cause : 

« Au matin du 6 juin, nous allons quand même au bureau et mon père va porter son lait à la ville ! On nous annonce, « Ça y est le débarquement a commencé. Ils sont à Sainte Marie du Mont ! » D’autres continuaient, « Oui, oui, ils seront là à 5 heures cet après-midi. » Mais, ils n’étaient pas là à 5 heures… Ils ont bombardé Coutances à deux reprises et nous en avons été sonnés. Nous leur en avons voulu pour cela car ils savaient qu’il n’y avait plus d’Allemands dans la ville… » 

Mme Dalarun, témoignage vécu. 49

Coutances finira détruite par ses sauveteurs, tout comme Vire, Saint-Lô, Lisieux ou encore Royan. Revenons aux propos de l’historien britannique Richard Overty, déjà cité plus haut : 

« Les bombardements alliés sur la France en 1944 – avant et après le Débarquement – furent parmi les plus violents de la guerre. Celui des lignes de communication dans le nord de la France jusqu’en juin 1944 a représenté 63 000 tonnes de bombes – c’est plus que les bombes lâchées par les Allemands sur l’Angleterre lors du Blitz. Le bombardement en 1944 des sites de lancement des armes V1 et V2 stationnées dans le nord de la France et aux Pays-Bas, c’est encore plus : 118 000 tonnes. Des tonnages comme ceux-là s’accompagnent nécessairement de gigantesques destructions, et de pertes humaines très importantes. » 50

Y avait-il moyen de faire autrement dans le cadre d’un bombardement de soutien à une opération militaire terrestre? Dans nombre de cas, par exemple celui de Royan (rasée à 85% par les bombes alliées), Overty dénie toute valeur tactique à ces bombardements. De simples tirs de barrage d’infanterie, dit-il, pouvaient se charger d’en démanteler les objectifs militaires en épargnant les civils. De plus, ajoute-t-il, les bombardiers lourds choisis pour l’opération bombardaient à trop haute altitude pour être d’une quelconque efficacité et rataient généralement leurs cibles ; des bombardiers moyens et des chasseurs-bombardiers opérant de plus bas, capables de voler en piquer et de bombarder avec précision des cibles délimitées auraient infiniment mieux rempli leur fonction de soutien à l’infanterie.

Ce ne sera qu’après le bombardement accidentel de cent soldats américains, en juillet 44, qu’Eisenhower mettra un point final à l’emploi des bombardiers lourds. 51

Comme on peut s’en persuader par l’étude du déroulement des débarquements en Méditerranée et en Normandie, ils n’ont été ni bien maîtrisés, ni comme nous l’avons longuement vu, exempts d’arrières-pensées sans le moindre rapport avec la libération de peuples asservis par le nazisme. Il est même douteux que les soldats américains aient pu se sentir très mobilisés par la lutte contre le nazisme. À cette époque, les théories racialistes et suprémacistes ne choquent pas grand-monde aux USA, au contraire. 52 L’armée américaine est elle-même profondément raciste : à son arrivée sous le commandement américain de Patton, Leclerc, la mort dans l’âme, doit abandonner ses tirailleurs sénégalais parce que les USA refusent catégoriquement de faire libérer Paris par des soldats noirs ; 53 en effet, la légende américaine des noirs qui seraient par nature « trop lâches pour se battre en première ligne » ne doit pas être contredite par des faits. 54 De la même façon, lors du défilé des troupes américaines à la libération de Paris, les soldats noirs devront rester « à leur place », à l’arrière, hors du champ des appareils photo. 55

Que ce soit par affinité avec le racialisme nazi ou, comme une théorie officielle l’avance, parce que les soldats américains manquent d’entraînement et d’expérience, la réticence de nombre d’entre eux à se battre (documentée par les historiens Max Hastings, John Keegan et Olivier Wieviorka 56) est telle que pour stimuler ses hommes, les médias comme le commandement américain doivent trouver autre chose que la haine contre le mal incarné par les nazis : les femmes françaises, leur supposée légèreté et l’accueil chaleureux que de toute évidence, elles réserveront à leur libérateurs américains. Selon l’historienne Mary Louise Roberts, 57 cette propagande aboutira à une épidémie de viols perpétrés par des soldats américains déçus de ne pas trouver « l’immense bordel habité par 40 millions d’hédonistes qui passent tout leur temps à manger, à boire et à faire l’amour » 58 annoncé par des magazines comme Life. Au bout du compte, entre leurs viols, leurs actes de délinquance et leur mépris envers les locaux – les Français sont affublés de l’étiquette « Surrender monkeys » (« singes défaitistes ») qui perdure aujourd’hui – les soldats américains en France se comportent non comme des libérateurs, mais comme une armée de conquête.

Après la guerre, tout le travail consistera à faire des occidentaux les « vrais vainqueurs » de la Deuxième Guerre mondiale, un travail accompli sur des décennies par une diabolisation systématique de Staline, la minimisation du rôle décisif de l’Armée rouge, la valorisation des alliés occidentaux et une amnésie générale sur les tractations qui, en coulisses, visaient à l’occupation de la France par les USA, bref, par tous les recours et artifices de ce qu’aujourd’hui, on regroupe sous l’euphémisme « communication ». Notons aussi, au passage, que l’anticommunisme primaire de de Gaulle, à l’époque, a servi ses opposants atlantistes en laissant le champ libre à des organismes-relais de la propagande libérale « de gauche » anticommuniste, par exemple le Congress for Cultural Freedom, une officine de la CIA implantée à Paris.

Une politique américaine pour les territoires libérés, l’AMGOT

Les USA n’ont que fort peu de considération pour la souveraineté des pays qu’ils libèrent, et espèrent même qu’aucune tracasserie locale ne leur sera opposée. Un mémorandum du Département du Trésor américain du 23 septembre 1943 établit que :

« L’argument selon lequel l’usage de monnaies non placées sous leur contrôle peut empiéter sur la souveraineté des gouvernements en exil semble fondé sur une fausse perspective. Ces gouvernements devront leur existence même aux efforts de la machine de guerre alliée. Sauf s’ils ont des objections à l’utilisation des armées alliées en tant qu’empiétement sur leur souveraineté, ils n’ont aucune base pour émettre des objections à l’utilisation d’une des armes économiques que ces armées jugent efficace pour assurer la victoire totale. » 59

Le cas de l’Italie apporte un bon éclairage. Après le renversement de Mussolini en juillet 43, l’Italie sort de l’Axe et le 3 septembre, signe un armistice avec les alliés dont les termes ne seront pas immédiatement rendus publics. Et pour cause : il s’agit d’une capitulation inconditionnelle. Deux ans après, le 5 février 45, le Premier ministre italien Bonomi la décrira en ces termes :

« l’armistice suit la formule de la reddition inconditionnelle et ainsi, confère aux Alliés le contrôle total de la vie interne, financière, économique et militaire de la nation. »

Même si ces conditions seront légèrement assouplies au cours des années suivantes, l’Italie est le premier pays a se voir infliger l’AMGOT (« Allied Military Government for Occupied Territories », en français « Gouvernement militaire allié des territoires occupés »), et ce jusqu’à la signature du Traité de paix avec l’Italie, le 10 février 1947, où la présence de l’URSS 60 et d’autres pays sourcilleux sur leur souveraineté à la table des négociations exclut la poursuite de l’occupation abusive de l’Italie. Malgré tout, à ce jour, l’Italie compte encore six bases militaires américaines sur son sol. 61

Suivante sur la liste, la France, pays vaincu et politiquement désorganisé, est tout aussi rétive à un interventionnisme sur son sol. La question de l’AMGOT est au cœur des conflits entre la France libre et les USA depuis l’arrivée de ces derniers dans la guerre en Europe. Rappelons pour commencer que les Américains ne reconnaîtront le gouvernement provisoire de de Gaulle que le 2 octobre 44, soit trois mois après le débarquement de Normandie et deux mois après la libération de Paris.

Comme exposé plus haut, depuis le début, Roosevelt se méfie de de Gaulle et tente de s’en débarrasser en lui substituant des séides de Washington, dont Jean Monnet. Après plusieurs passes d’armes au cours desquelles de Gaulle ne cède jamais un pouce de terrain aux pro-américains Monnet et Henri Giraud (commandant en chef de l’Afrique française depuis l’assassinat de Darlan, en novembre 42, et codirecteur du Comité national français), la patience de Roosevelt s’épuise :

« Je ne sais pas quoi faire de de Gaulle. Je suis de plus en plus sûr que nous devons considérer la France comme un pays occupé gouverné par des généraux Britanniques et Américains. »

Roosevelt à Churchill, lettre du 8 mai 1943.

Le 3 juin 43, 62 le Comité national français, co-présidé par de Gaulle et Giraud, se réunit pour la deuxième fois à Alger et vote à 5 contre 2 pour les propositions de de Gaulle. Étrangement, Monnet est de ceux qui votent pour. Il y a une bonne raison au revirement de Monnet, jusque-là un indéfectible outil des volontés de l’axe Roosevelt-Churchill : les manœuvres de plus en plus visibles des Américains indisposent nombre d’officiels français, de sorte que Monnet ne peut pas continuer à soutenir la ligne de Washington sans se discréditer et mettre sa position d’acteur privilégié en danger. Le Comité français de libération nationale (CFLN) est créé 63 – avec Monnet dans ses rangs.

Roosevelt pique une colère, mais s’en tient à des diatribes venimeuses contre de Gaulle. Le même mois, le Secrétaire d’État Cordell Hull, redoutant une prise de pouvoir de de Gaulle sur l’armée française, demande à Eisenhower de l’en empêcher par tous les moyens possibles. 64 Non seulement Eisenhower – allié imprévu de de Gaulle – n’en fera rien mais plus tard, il donnera le feu vert à la libération de Paris par le général français Leclerc, un symbole du retour de la France à sa souveraineté. 65

En août 43, de Gaulle évince Henri Giraud de la codirection du Comité national français et en prend seul la barre. Avec ce Comité, la France libre a son gouvernement, mais les USA se valent néanmoins d’une supposée « vacance de pouvoir » pour tenter de dicter, via la coopération d’hommes comme le diplomate René Massigli, des conditions équivalentes à une reddition. 66

Le 9 novembre 43, le CFLN entérine le commandement du seul de Gaulle. Giraud, l’homme de Roosevelt, est définitivement hors-jeu. Pour couper l’herbe sous le pied des Américains, à partir de septembre 43 et jusqu’en août 44, le CFLN émettra 400 ordonnances visant majoritairement à établir la légitimité du gouvernement de la France libre en préparant les structures de la république française de l’après-guerre. 67

Et déjà, Jean Monnet prend la responsabilité des fournitures et de la Reconstruction…

À l’hiver 43, Eisenhower et le général Bedell Smith discutent avec de Gaulle et Giraud de la participation française au débarquement de Normandie et au delà, de la libération de Paris soit par des troupes américaines, soit par leurs homologues français. Évidemment, comme les deux scénarios ont des valeurs symboliques opposées, de Gaulle insiste pour obtenir une libération de Paris par l’armée française. Techniquement, c’est illogique : la plupart des divisons françaises se trouvant en Afrique du Nord, le plus simple est de les débarquer en Provence, trop loin de Paris. 68 La libération de Paris par des Français, si elle doit se faire, nécessitera l’envoi d’une division sur le front de Normandie. Einsehower commence par arguer de son incapacité à transférer toute une division blindée de l’Afrique du Nord jusqu’en Angleterre, puis transige en proposant d’envoyer seulement les troupes et de les équiper sur place. Il s’engage en outre à ne pas libérer Paris sans troupes françaises et, à titre personnel, il reconnaît le gouvernement du CFLN. 69 Eisenhower travaillera ensuite à améliorer l’image de de Gaulle auprès de son administration, ce qui adoucira plusieurs hauts fonctionnaires comme le Secrétaire à la guerre Stimson ou le Secrétaire d’État Cordell Hull, mais ratera auprès d’un Roosevelt uniquement préoccupé de son AMGOT et à terme, de la mainmise américaine sur l’Europe de l’après-guerre. 70

Le 6 juillet 44, de Gaulle rend visite à Roosevelt à Washington et en revient sérieusement inquiet : d’après lui, à travers un interventionnisme incessant dans les affaires mondiales, le président américain vise à établir un réseau planétaire de pays-clients des USA. 71

Le fait est que de Gaulle a raison. 72 Selon les travaux de l’économiste Bertrand Roehner, qui a eu l’excellente idée de comparer les conditions appliquées aux différents pays où les USA se sont installés à la suite de guerres, 73 le schéma américain pour l’occupation de la France était très similaire au cas de l’Allemagne ou d’autres pays comme le Japon, le Danemark, l’Italie ou la Corée du Sud. C’était une mécanique hégémonique mise au point à Washington qui, avec des variantes locales mineures, s’appliquait telle quelle aux uns comme aux autres au gré des possibilités. 74 Par exemple, comme au Japon où, malgré un procès spectaculaire similaire à celui de Nuremberg, les USA remettront en selle une grande partie de l’administration de guerre de Hiro-Hito, ou en Allemagne où des nazis retrouveront un poste officiel, 75 les Américains avaient prévu de restaurer des officiels de Pétain dans leurs fonctions. 

« Nous devrions garder 90% des maires de Vichy. Les postes importants resteront sous la responsabilité du commandement militaire au moins pendant six mois à un an. »

Lettre de Roosevelt à Churchill, 8 mai 1943. 76

À la libération de Paris, deux défilés se succèdent : le 26 août 44, au milieu d’une marée humaine applaudissant à tout rompre, les généraux de Gaulle, Leclerc, Koenig, Valin, Juin et l’amiral d’Argenlieu descendent les Champs-Élysées derrière quatre chars de la « Nueve » du capitaine Dronne, de la 2ème DB. Le 29, c’est le tour des alliés : les troupes américaines investissent les Champs-Élysées pour s’y faire acclamer. 77

Deux armées de libération dans le même pays, deux défilés distincts. Tout un symbole.

De l’AMGOT à la construction de l’UE

Dans les mois et même les années qui suivront, les Américains tout comme les Français tairont l’étendue des pouvoirs civils que l’administration américaine s’est arrogée en France. Par exemple, un mémorandum du 3 mai 46 envoyé par le Département de la Guerre au général commandant des forces US sur le théâtre européen autorise le recours à la force contre les populations françaises en cas de « menaces sur les vies ou les propriétés américaines »78 Mais il n’est pas question d’admettre que les USA ont la main un peu partout : même si, surtout après le départ de de Gaulle en janvier 46, ils manipulent autant qu’ils le peuvent l’administration française et la vie politique du pays via le Plan Marshall (1947-51), tout doit sembler revenu à la normale aux yeux des populations.

En 1958, de Gaulle revient au pouvoir sans provoquer trop de grimaces à Washington, d’une part parce qu’à ce moment, son anticommunisme sert les intérêts américains et par ailleurs, parce qu’il s’est engagé à rester dans l’OTAN. De Gaulle tiendra parole le temps d’un mandat : il ne retirera la France du commandement intégré de l’OTAN qu’en 66, après sa seconde investiture. Malgré tout, avec une présence d’agents de Washington aux plus hauts niveaux politiques et culturels du pays héritée du Plan Marshall et des capitaux américains qui orienteront toujours davantage la vie politique vers une intégration économique européenne, les USA ont pris le dessus.
La construction de l’UE est en marche. 79

Références :

1 Caucasus Campaign 23 Jul 1942 – 9 Oct 1943
http://ww2db.com/battle_spec.php?battle_id=284

2 Bataille de Stalingrad: un tournant de la Seconde Guerre mondiale
http://fr.sputniknews.com/international/20120717/195382794.html

Battle of Stalingrad 17 Jul 1942 – 2 Feb 1943
http://ww2db.com/battle_spec.php?battle_id=3

Shadowy Bank in Basel Funded Nazis, Pushed Euro: Books
http://www.bloomberg.com/news/articles/2013-06-09/shadowy-bank-in-basel-funded-nazis-pushed-euro-books

4Trading With the Enemy: An exposé of the Nazi-American money plot, 1933-1949, par Charles Higham
http://www.amazon.com/Trading-With-Enemy-Nazi-American-1933-1949/dp/0440090644

A People’s History of the United States, The Thistle, 2000- 2001, MIT.
http://www.mit.edu/~thistle/v13/3/oil.html

6Profits über Alles! American Corporations and Hitler, par Jacques Pauwels.
http://www.globalresearch.ca/profits-ber-alles-american-corporations-and-hitler/4607?print=1

Bradford C. Snell, American Ground Transport: A Proposal for Restructuring the Automobile, Truck, Bus and Rail Industries. Rapport présenté au Sénat des USA, Washington, 1974, pp. 16-24.
http://www.corpwatch.org/article.php?id=4368

8British naval blockade of Germany – De Bello
http://ww2.debello.ca/1942/atlantic/blockade.html

9Jacques R. Pauwels, le Mythe de la bonne guerre, page 20.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

10Privately Churchill called them ‘bloody Yankees’ – but with a lover’s ardour he fawned, flattered and flirted to woo the U.S.
http://www.dailymail.co.uk/debate/article-1207763/Privately-Churchill-called-bloody-Yankees–lovers-ardour-fawned-flattered-flirted-woo-U-S.html

11Atlantic Charter
http://avalon.law.yale.edu/wwii/atlantic.asp

12Jacques R. Pauwels, le Mythe de la bonne guerre, page 21.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

13Arming the enemy: US industry, Hitler and the Holocaust, par David Turner, Jerusalem Post
http://www.jpost.com/Blogs/The-Jewish-Problem—From-anti-Judaism-to-anti-Semitism/Arming-the-enemy-US-industry-Hitler-and-the-Holocaust-366097

Before Hitler America sought racial improvement, its Aryan Master Race
http://www.jpost.com/Blogs/The-Jewish-Problem—From-anti-Judaism-to-anti-Semitism/Before-Hitler-America-sought-racial-improvement-its-Aryan-Master-Race-366208

14Jacques Pauwels sur Hitler, interview à l’occasion de la parution du livre Big Business avec Hitler (2013).
http://www.marx.be/fr/content/jacques-pauwels-sur-hitler

15Henry Ford receiving the Grand Cross of the German Eagle from Nazi officials, 1938
http://rarehistoricalphotos.com/henry-ford-receiving-grand-cross-german-eagle-nazi-officials-1938/

16Jacques R. Pauwels, le Mythe de la bonne guerre, page 22.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

17Hitler’s Failed Blitzkrieg against the Soviet Union. The “Battle of Moscow” and Stalingrad: Turning Point of World War II
http://www.globalresearch.ca/70-years-ago-december-1941-turning-point-of-world-war-ii/28059

18The US: Feeding the War Machine
http://www.counterpunch.org/2015/11/05/the-us-feeding-the-war-machine/

19Big money behind war: the military-industrial complex
http://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2014/01/big-money-behind-war-military-industrial-complex-20141473026736533.html
et There’s No Such Thing as Peacetime
http://foreignpolicy.com/2015/03/13/theres-no-such-thing-as-peacetime-forever-war-terror-civil-liberties/

20Jacques Pauwels, Le Mythe de la bonne guerre », page 26.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

21The Military-Industrial-Complex 54 Years After Eisenhower
http://www.afsc.org/story/military-industrial-complex-54-years-after-eisenhower

22Winston Churchill: the Imperial Monster, par Michael Dickinson
http://www.counterpunch.org/2015/01/28/winston-churchill-the-imperial-monster/

23Pauwels, le Mythe de la bonne guerre. Page 31.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

24One Day in August: The Untold Story Behind Canada’s Tragedy at Dieppe, by David O’Keefe. Book review.
http://www.canadashistory.ca/Books/Lire-sur-l%E2%80%99histoire/Reviews/One-Day-in-August-The-Untold-Story-Behind-Canada%E2%80%99s

25Le débarquement de Dieppe
http://secondeguerre.net/articles/evenements/ou/42/ev_dieppe.html

26Le débarquement du 6 juin 1944 du mythe d’aujourd’hui à la réalité historique, par Annie Lacroix-Riz
http://www.lafauteadiderot.net/Le-debarquement-du-6-juin-1944-du

27WWII’s Greatest Battle: How Kursk Changed the War
http://www.thedailybeast.com/articles/2013/08/31/wwii-s-greatest-battle-how-kursk-changed-the-war.html

28Industriels et banquiers français sous l’Occupation
http://www.amazon.fr/Industriels-banquiers-fran%C3%A7ais-sous-lOccupation/dp/2200277768

29Le débarquement du 6 juin 1944 du mythe d’aujourd’hui à la réalité historique, par Annie Lacroix-Riz
Chapitre « La Pax Americana vue par Armand Bérard en juillet 1941 »
http://www.lafauteadiderot.net/Le-debarquement-du-6-juin-1944-du

30Quand les héritiers de la synarchie…, par Annie Lacroix-Riz
http://encyclopedie-marxiste.over-blog.com/pages/QUAND_LES_HERITIERS_DE_LA_SYNARCHIE_par_Annie_LacroixRiz-563449.html
et
L’intégration européenne de la France : La tutelle de l’Allemagne et des Etats-Unis, par Annie Lacroix-Riz
http://www.amazon.fr/Lint%C3%A9gration-europ%C3%A9enne-France-lAllemagne-Etats-Unis/dp/2841096971

31General Mark Clark
http://www.historylearningsite.co.uk/world-war-two/military-commanders-of-world-war-two/general-mark-clark/

32Quand les Américains voulaient gouverner la France, par Annie Lacroix-Riz
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/05/LACROIX_RIZ/10168

33Lorsque le 18 juin 1940, le général De Gaulle décide de continuer la guerre au nom de la France à partir du territoire anglais, un écueil le guette lui et le mouvement qu’il s’apprête à mettre en place : devenir le chef d’une force d’appoint française vouée à ne jamais s’affirmer politiquement.
http://www.france-libre.net/alliance-franco-russe/

34Comment fut signé à Moscou le pacte franco-soviétique
https://www.monde-diplomatique.fr/1955/01/GARREAU/21307

35Le débarquement du 6 juin 1944 du mythe d’aujourd’hui à la réalité historique, par Annie Lacroix-Riz
Chapitre … contre les espérances populaires
http://www.lafauteadiderot.net/Le-debarquement-du-6-juin-1944-du

36Le bombardement « allié » de l’impérialisme anglo-américain en 1944 sur la France
http://www.matierevolution.fr/spip.php?breve357

37Boulogne-Billancourt sous les bombes
http://www.boulognebillancourt.com/cms/images/pdf/BBI/2011/mars/memoire_vive.pdf

38La collaboration de Renault avec le fascisme durant la seconde guerre mondiale
http://www.gauchemip.org/spip.php?article16193
« Aucune voiture américaine », dans Industriels et banquiers français sous l’Occupation, par Annie Lacroix-Riz,  page 111

39About Bomber Command
https://www.rafbf.org/bomber-command-memorial/about-bomber-command

40His Master’s Voice: Air Chief Marshal Sir Arthur Travers Harris, 1892-1984, par Charles Lutton
http://www.ihr.org/jhr/v05/v05p431_Lutton.html

41Timeline of the Air War, 1939-1945 (le lien ne mentionne pas tous les bombardements menés sur le sol français).
http://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/timeline/bombing/
Pour une liste plus détaillée des cibles françaises, voir ici :
http://www.matierevolution.fr/spip.php?breve357

42Pourquoi tant de bombes ? par Richard Overy
http://www.histoire.presse.fr/actualite/infos/pourquoi-tant-bombes-27-05-2014-100381

43Bombing France: Allied Strategies, 1940-1945 / Bombarder la France: stratégies des Alliés, 1940-1945
http://blogs.reading.ac.uk/france-under-allied-air-attack/?page_id=396

44Le débarquement du 6 juin 1944 du mythe d’aujourd’hui à la réalité historique, par Annie Lacroix-Riz
http://www.lafauteadiderot.net/Le-debarquement-du-6-juin-1944-du

45Pauwels, le Mythe de la bonne guerre. Page 34.
http://www.communisme-bolchevisme.net/download/Pauwels_Le_mythe_de_la_bonne_guerre.pdf

46The Bomb Didn’t Beat Japan… Stalin Did
http://foreignpolicy.com/2013/05/30/the-bomb-didnt-beat-japan-stalin-did/

47 Bizarres et négligées : les campagnes sicilienne et italienne (1943-1945) (Seconde partie), par Carl Pépin, historien
http://carlpepin.com/tag/seconde-guerre-mondiale/

48Le Mythe de la bonne guerre, page 39.

49La population normande sous le bombardement américain du 6 juin 1944
http://www.parolesdhommesetdefemmes.fr/la-population-normande-sous-le-bombardement-americain-du-6-juin-1944-article0083.html

50Pourquoi tant de bombes ? par Richard Overy
http://www.histoire.presse.fr/actualite/infos/pourquoi-tant-bombes-27-05-2014-100381

51Pourquoi tant de bombes ? par Richard Overy
http://www.histoire.presse.fr/actualite/infos/pourquoi-tant-bombes-27-05-2014-100381

52The jewish Threat, Anti-semitic Politics Of The American Army par Joseph W. Bendersky
http://www.amazon.com/exec/obidos/ASIN/0465006175
https://www.h-net.org/reviews/showrev.php?id=4946

53French black soldiers excluded in ‘whites only’ liberation of Paris
http://afroeurope.blogspot.fr/2009/06/french-black-soldiers-excluded-in.html

54Yes, there were black-soldiers in the liberation of France during WW2
https://kathmanduk2.wordpress.com/2010/06/21/yes-there-were-black-soldiers-in-the-liberation-of-france-during-wwii/

55The Liberation of Paris: whites only
https://abagond.wordpress.com/2010/06/17/the-liberation-of-paris-whites-only/
Liberation of Paris: The hidden truth
Months before D-Day, American and British commanders decided that only French troops who were 100 per cent white could take part in the operation to free Paris. John Lichfield reports
http://www.independent.co.uk/news/world/europe/liberation-of-paris-the-hidden-truth-434403.html

56Liberation of Paris: The hidden truth
http://www.independent.co.uk/news/world/europe/liberation-of-paris-the-hidden-truth-434403.html

57D-Day GIs ‘raped and killed their French allies while US army generals turned a blind eye’
http://www.express.co.uk/news/world/422860/D-Day-GIs-raped-and-killed-their-French-allies-while-US-army-generals-turned-a-blind-eye

58What Soldiers Do: Sex and the American GI in World War II France, par Mary Louise Roberts
https://books.google.fr/books?id=UklBYaXMAp0C&pg=PA2&lpg=PA2&dq=time+france+brothel+hedonists&source=bl&ots=ojzcX5FUgZ&sig=r9Ds96MYCtC8FjDNiCOuppNla9I&hl=en&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=time%20france%20brothel%20hedonists&f=false

59Voir page 51
https://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

60Treaty of peace with Italy
https://www.loc.gov/law/help/us-treaties/bevans/m-ust000004-0311.pdf

61US military bases in Italy
http://militarybases.com/italy/

62Le Comité français de la libération nationale
http://mjp.univ-perp.fr/france/co1943cfln.htm#3/6/43

63Le Comité français de Libération nationale
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1940-1944-la-seconde-guerre-mondiale/le-comite-francais-de-liberation-nationale.php

64Pages 57 et 58.
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

6530 décembre 1943 :À ALGER LE GÉNÉRAL de GAULLE REÇOIT LE GÉNÉRAL EISENHOWER
http://www.fondation-leclerc.com/252/il-y-a-70-ans/decembre-1943-alger-general-gaulle-recoit-general_85.htm

66Allied Military Government of Occupied Territories A.M.G.O.T
http://www.ffi33.org/cnr/amgot/amgot5.pdf

67Les ordonnances d’Alger
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1940-1944-la-seconde-guerre-mondiale/le-comite-francais-de-liberation-nationale/analyses/les-ordonnances-d-alger.php

68« La mémoire a blanchi le débarquement en Provence »
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140814.OBS6425/la-memoire-a-blanchi-le-debarquement-en-provence.html

69De Gaulle, Eisenhower et la Résistance en 1944
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1940-1944-la-seconde-guerre-mondiale/la-france-libre-et-les-allies/les-etats-unis/de-gaulle-eisenhower-et-la-resistance-en-1944.php

70American Grand Strategy in the Mediterranean during World War II, par Andrew Buchanan. Page 179.
https://books.google.fr/books?id=r1tbAgAAQBAJ&pg=PA179&lpg=PA179&dq=President+Roosevelt+to+General+Eisenhower+France+march+15+1944&source=bl&ots=MpQUunwP9w&sig=vt_v1sXD0ITgcgCKCteb_-35vRU&hl=en&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=President%20Roosevelt%20to%20General%20Eisenhower%20France%20march%2015%201944&f=false

71Pages 65 et 66.
www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

72Page 62.
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

73Occupation Cases, page de Bertrand M. Roehner
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/occupation.html

74How did Europe become an American turf?
Bertrand M. Roehner, University of Paris 6 (UPMC: University Pierre and Marie Curie)
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

75The Nazi past of Germany’s post-war political elite
https://www.wsws.org/en/articles/2015/07/07/nazi-j07.html

76 Page 55.
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf
et
https://rall.com/1991/11/05/dubious-liberators-allied-plans-to-occupy-france-1942-1944/embed#?secret=IaRzfFtbOH#?secret=xLSnqHTELq

77 http://collections.forumdesimages.fr/CogniTellUI/faces/details.xhtml?id=VDP7223

78 Page 72.
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf

79 Page 74
http://www.lpthe.jussieu.fr/~roehner/ocn.pdf




Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité

[Source : anguillesousroche.com]

Dans le passé, si vous osiez suggérer que le monde était contrôlé par des « élites » psychopathes maléfiques, déterminées à asservir la race humaine, vous étiez considéré comme un « théoricien du complot » portant un chapeau en aluminium et on vous disait probablement que vous deviez sortir davantage. Comme les temps changent. Avance rapide jusqu’en 2022 et les élites psychopathes maléfiques n’essaient même pas de prétendre qu’elles ne sont pas déterminées à détruire nos vies.

Par le biais de ses sommets annuels de Davos, le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab tente de légitimer et de normaliser son influence sur le monde en faisant en sorte qu’un panel de leaders mondiaux participent et s’expriment lors de l’événement.

Un rapide coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Selon les médias grand public, les réunions de Davos rassemblent les grands et les petits pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM sont bien plus profonds et plus sombres que les « inégalités ».

Rapport de Vigilant Citizen : Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très inquiétants, qui n’ont jamais retenu l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème dominant émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Lorsque l’on parle de « l’élite mondiale », on fait généralement référence à un petit groupe d’individus riches et puissants qui opèrent au-delà des frontières nationales. Par le biais de diverses organisations, ces personnes non élues se réunissent dans le plus grand secret pour décider des politiques qu’elles souhaitent voir appliquées au niveau mondial.

Le Forum économique mondial (FEM) se trouve en plein milieu de tout cela. En effet, par le biais de ses réunions annuelles de Davos, le FEM tente de légitimer et de normaliser son influence sur les nations démocratiques du monde en invitant un panel de leaders mondiaux à participer et à s’exprimer lors de l’événement.

Un simple coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Page 34 (sur 58) de la liste des participants à la réunion de Davos de 2022. Grands noms, grandes entreprises, grande influence.

Selon les médias, les réunions de Davos rassemblent des personnes pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM vont bien au-delà des « inégalités ».

Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très dérangeants, qui n’ont pas suscité l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème primordial émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Si cela ressemble à une théorie du complot tirée par les cheveux, continuez à lire. Voici les 10 choses les plus dystopiques qui sont poussées par le FEM en ce moment. Cette liste triée n’est pas dans un ordre particulier. Parce qu’elles sont toutes aussi folles les unes que les autres.

[Voir aussi :
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
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#10 Infiltrer les gouvernements

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Klaus Schwab, le fondateur et le chef du FEM, n’est pas un fan de la démocratie. En fait, il la perçoit comme un obstacle à un monde entièrement globalisé.

Dans le rapport 2010 du FEM intitulé « Global Redesign », Schwab postule qu’un monde globalisé est mieux géré par une « coalition auto-sélectionnée de sociétés multinationales, de gouvernements (y compris par le biais du système des Nations unies) et d’organisations de la société civile (OSC) sélectionnées ». C’est exactement le contraire d’une démocratie.

Il a fait valoir que les gouvernements ne sont plus « les acteurs dominants sur la scène mondiale » et que « le temps est venu d’un nouveau paradigme de gouvernance internationale ». Pour cette raison, le Transnational Institute (TNI) a décrit le FEM comme « un coup d’État mondial silencieux » pour s’emparer de la gouvernance.

En 2017, à la John F. Kennedy School of Government de Harvard, Schwab a admis sans ambages ce qui est continuellement rejeté comme une « théorie du complot » par les médias de masse : Le FEM « infiltre » les gouvernements du monde entier.

Head of the World Economic Forum Klaus Schwab at Harvard’s John F. Kennedy School of Government in 2017:

“What we are very proud of, is that we penetrate the global cabinets of countries with our WEF Young Global Leaders… like Trudeau”pic.twitter.com/D6odR5mqI6

— Maajid أبو عمّار (@MaajidNawaz) January 25, 2022

Schwab a déclaré :

« Je dois dire que lorsque je cite des noms, comme celui de Mme (Angela) Merkel et même celui de Vladimir Poutine, etc., ils ont tous été des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre [Justin] Trudeau, le président de l’Argentine, etc.

Nous infiltrons les cabinets. Ainsi, hier, j’étais à une réception pour le Premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, ou même plus de la moitié de son cabinet, sont en fait des Young Global Leaders du Forum économique mondial. (…) C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France, avec le président – un Young Global Leader. »

Dans cet exposé exceptionnel, Schwab a déclaré sans ambages qu’Angela Merkel d’Allemagne, Vladimir Poutine de Russie, Justin Trudeau du Canada et Emmanuel Macron de France ont été « préparés » par le FEM. Il ajoute même qu’au moins la moitié du cabinet canadien est composée de représentants vendus à l’agenda du FEM. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot. C’est la vérité absolue, confirmée par le chef du FEM lui-même.

#9 Contrôler les esprits à l’aide d’ondes sonores

En 2018, l’un des sujets de discussion du FEM était « Le contrôle des esprits à l’aide d’ondes sonores » (lisez mon article complet à ce sujet ici). Je n’ai pas modifié ce titre pour faire du sensationnalisme, ce sont exactement les mots utilisés par le FEM.

C’est le titre d’un article réel publié sur le site officiel du FEM. Il a été supprimé pour des raisons obscures, mais il est toujours consultable dans les archives du site.

Dans cet article, la technologie est présentée comme un traitement possible des maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Toutefois, l’article indique également qu’« elle peut vous guérir, vous rendre dépendant et vous tuer ». Elle peut également être utilisée pour contrôler complètement l’esprit d’une personne, à distance. L’article précise :

« Je vois venir le jour où un scientifique sera capable de contrôler ce qu’une personne voit dans son esprit, en envoyant les bonnes ondes au bon endroit dans son cerveau. Je pense que la plupart des objections seront semblables à celles que nous entendons aujourd’hui à propos des messages subliminaux dans les publicités, mais beaucoup plus véhémentes.

Cette technologie n’est pas sans risque de mauvaise utilisation. Il pourrait s’agir d’une technologie de soins de santé révolutionnaire pour les malades, ou d’un outil de contrôle parfait permettant aux impitoyables de contrôler les faibles. Mais cette fois, le contrôle serait littéral. »

La conclusion de l’article : Personne ne peut empêcher les scientifiques de développer cette technologie. Pour éviter toute utilisation abusive, elle devrait être réglementée par des organisations telles que … le FEM. C’est pratique car certaines entreprises développant cette technologie font partie du FEM. Vous voyez où cela nous mène ?

#8 Des pilules qui contiennent des micro-puces

Une fois de plus, ce titre ressemble à une théorie du complot farfelue, habilement formulée pour faire du sensationnel. Ce n’est pas le cas. Voici une vidéo de la réunion 2018 du FEM où Albert Bourla, le PDG de Pfizer, parle de pilules contenant des micropuces.

https://www.youtube.com/embed/1NR1b2NmD4A

Bourla a dit :

« La FDA a approuvé la première ‘pilule électronique’, si je peux l’appeler ainsi. Il s’agit essentiellement d’une puce biologique qui se trouve dans le comprimé et, une fois que vous avez pris le comprimé et qu’il s’est dissous dans votre estomac, elle envoie un signal indiquant que vous avez pris le comprimé. Imaginez donc les applications de ce système, la conformité. Les compagnies d’assurance sauraient que les médicaments que les patients doivent prendre, ils les prennent effectivement. C’est fascinant ce qui se passe dans ce domaine. »

Ce domaine est-il vraiment fascinant ? Ou tout à fait dystopique ? Comme l’a dit Bourla lui-même : Imaginez la conformité. Ce type de technologie pourrait facilement ouvrir la porte à toutes sortes d’applications néfastes. Depuis lors, COVID a placé Pfizer dans une position de pouvoir jamais vue pour une entreprise pharmaceutique.

Tout comme Pfizer, le FEM utilise le COVID pour faire avancer son agenda.

#7 Faire l’éloge des confinements brutaux

En 2020 et 2021, des villes du monde entier ont été soumises à des confinements massifs et drastiques, provoquant des pertes d’emplois, des suicides, des overdoses de drogues, l’isolement, des problèmes de santé mentale, des violences domestiques, des faillites et des sans-abris. Pendant cette période horrible, les enfants n’ont pas pu aller à l’école pendant des mois et n’ont pas pu interagir avec d’autres enfants. Un grand nombre de petites et moyennes entreprises ont été détruites alors que les grandes sociétés se démenaient.

Malgré tout cela, le FEM n’a pas pu cacher son amour pour les fermetures drastiques et destructrices de vies. En fait, il a publié une vidéo intitulée de façon surréaliste « Les confinements améliorent tranquillement les villes du monde entier ». Voici ce morceau de folie totale.

https://www.youtube.com/embed/fb6U8xkn8jM

La vidéo indique que « Les confinements ont considérablement réduit l’activité humaine … conduisant à la période la plus calme de la Terre depuis des décennies », tout en montrant des images dystopiques de villes vides et d’avions bloqués au sol.

Ignorant complètement l’immense souffrance humaine causée par ces confinements, le FEM a considéré que tout cela en valait la peine car « les émissions de carbone ont diminué de 7% en 2020 ».

Lorsque cette vidéo a été publiée pour la première fois, elle a suscité de vives réactions. Le FEM a donc supprimé la vidéo ci-dessus et posté ce tweet.

Comme vous pouvez le voir, malgré la suppression de la vidéo, le FEM a continué à faire l’éloge des confinements. C’est parce que le FEM aimerait voir la vie « covidienne » devenir permanente.

#6 « Jetez un coup d’œil à l’avenir »

À en juger par les commentaires sur YouTube et les médias sociaux, les gens détestent absolument les vidéos créées par le FEM. Mais ils continuent à venir. Parce qu’ils ne se soucient pas de ce que vous pensez. Ils veulent juste planter leur graine d’insanité dans votre esprit. Dans une vidéo intitulée « How our lives could soon look » (lisez mon article complet à ce sujet ici), le FEM invite les spectateurs à « jeter un coup d’œil au futur ». Et il est BRUTAL. Il s’agit de rendre la vie du COVID permanente.

La vidéo est remplie de personnes masquées, de distributeurs de gel et de QR codes. C’est le futur qu’ils veulent. Ensuite, il y a cette pépite de folie.

Non. Allez-vous en.

La vidéo dit fièrement :

« La NASA a inventé un système qui peut vous identifier à partir des battements de votre cœur en utilisant un laser. »

Comme si cela ne suffisait pas, la vidéo montre des enfants coincés à la maison et scolarisés à travers des écrans. La vidéo se termine en montrant des personnes portant des masques à l’extérieur, comme des fous.

AUCUN. Allez-vous en.

#5 Pousser à une Grande Réinitialisation

Comme indiqué ci-dessus, le FEM perçoit la pandémie comme une « opportunité ». Il ne s’agit pas seulement d’une opportunité de remodeler notre existence personnelle mais de restructurer la structure mondiale entière selon ses principes. Le FEM l’appelle « la Grande Réinitialisation ». Pour promouvoir cette réinitialisation (dont absolument personne ne veut), le FEM a publié une vidéo de propagande (elle correspond vraiment à la définition de « propagande »). La voici dans toute sa folie.

https://www.youtube.com/embed/uPYx12xJFUQ

Cette courte vidéo parvient à contenir une quantité incroyable de messages subversifs. Elle ridiculise même les « théories du complot » tout en les confirmant, de manière stupéfiante.

Une capture d’écran de la vidéo. Vous êtes sérieux ?

La vidéo annonce également la « mort du capitalisme ».

Une autre capture d’écran surréaliste de la vidéo.

Alors que le capitalisme est basé sur un système d’autorégulation de l’offre et de la demande, le Great Reset cherche à redéfinir la manière dont les entreprises sont évaluées à travers de nouveaux paramètres. Le principal d’entre eux : La conformité avec les agendas sociaux et politiques de l’élite.

Vers la fin, le narrateur prononce cette phrase énigmatique :

« Et il s’agit de mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment. »

Bien que la vidéo n’explique pas vraiment ce que cette phrase signifie dans des situations réelles, ses implications sont plutôt effrayantes. Au lieu de permettre aux individus et aux entreprises qui réussissent de se développer organiquement, le système de l’élite s’ingénierait à « mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment », conformément à son programme. En d’autres termes, le système serait truqué et la conformité à un agenda plus large serait obligatoire dans une nouvelle économie.

La vidéo se termine par un appel aux téléspectateurs à s’impliquer. Cependant, bien sûr, vous n’êtes pas réellement invité au FEM. En fait, ils cherchent à « recalibrer » votre liberté d’expression.

#4 « Recalibrer » la liberté d’expression

Un moyen facile d’identifier les leaders mondiaux qui sont préparés par le FEM est de les voir s’élever sans cesse contre la liberté d’expression. Ils la détestent absolument et demandent constamment qu’Internet soit censuré et fortement réglementé. Lors de la réunion de Davos en 2022, la « commissaire à l’e-sécurité » australienne Julie Inman Grant a déclaré que nous avions besoin d’un « recalibrage de la liberté d’expression ».

Grant a déclaré :

« Nous nous trouvons dans une situation où la polarisation augmente partout et où tout semble binaire alors que ce n’est pas nécessaire. Je pense donc que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une série de droits de l’homme qui se jouent en ligne. Vous savez, de la liberté d’expression à la liberté d’être libre de la violence en ligne. »

Ici, Grant appelle essentiellement à la censure. Elle croit même que la liberté d’expression en tant que droit de l’homme devrait être « recalibrée » en utilisant la « violence en ligne » comme excuse. La « violence en ligne » n’existe pas. Ils adorent assimiler la parole à la violence. C’est une façon extrêmement manipulatrice de justifier la censure à la chinoise.

La liberté d’expression est, en fait, binaire. Soit elle existe, soit elle n’existe pas. Et ils ne veulent clairement pas qu’elle existe.

#3 Le suivi de vos vêtements

Le FEM veut contrôler vos vêtements. Et ils ont fait une vidéo à ce sujet. Ai-je mentionné que les gens détestent absolument les vidéos du FEM ? En voici une autre qui a fait bouillir le sang des gens.

https://www.youtube.com/embed/h8SWY6_b67A

Utilisant l’environnement comme excuse (comme d’habitude), le FEM a annoncé l’arrivée de vêtements dotés de « passeports numériques » pouvant être tracés à tout moment. Soutenus par Microsoft (bien sûr), ces vêtements vont apparemment inonder le marché d’ici 2025.

Ils veulent vraiment des puces RFID et des QR codes partout.

Selon le FEM, ces puces permettront aux marques de mode de revendre leurs vêtements. Je n’ai aucune idée de comment cela pourrait fonctionner. La vidéo s’assure de ne PAS mentionner que cette technologie serait un excellent moyen de suivre ceux qui ont abandonné leurs smartphones.

Mais se débarrasser de son smartphone pourrait devenir… impossible.

#2 « Les smartphones seront dans votre corps d’ici 2030 »

Lors de la réunion de Davos 2022, la PDG de Nokia, Pekka Lundmark, a affirmé que, d’ici 2030, « les smartphones seront implantés directement dans le corps ». Cela coïnciderait avec l’arrivée de la technologie 6G, qui devrait être lancée à la fin de la décennie.

https://www.youtube.com/embed/LJpBJAHqY0M

Depuis des années, ce site documente la poussée incessante de l’élite vers le transhumanisme, qui consiste à fusionner les humains avec les machines. Ils cherchent à accélérer cette transition en rendant les choses dont les gens ne peuvent se passer (comme les smartphones) disponibles sous une forme transhumaniste.

Avez-vous remarqué leur empressement effrayant à insérer des objets dans nos corps ?

#1 « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. »

C’est probablement le moment le plus dystopique de l’histoire du FEM. En 2016, Ida Auken, membre du Parlement danois, a déclaré :

« Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle. »

Le FEM a tellement aimé cette citation qu’il l’a reprise sur Twitter.

Le FEM a également créé une vidéo (que tout le monde a absolument détestée) intitulée « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». Voici une capture d’écran.

Le FEM adore formuler ses « prédictions » sous une forme inconditionnelle, comme si elles étaient inévitables. Mais regardez ce type souriant. Il est clairement heureux. Merci au FEM !

Un article sur le site du FEM explique :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil électroménager ni aucun vêtement », écrit la députée danoise Ida Auken. Le shopping est un lointain souvenir dans la ville de 2030, dont les habitants ont craqué l’énergie propre et empruntent ce dont ils ont besoin à la demande. Tout cela semble utopique, jusqu’à ce qu’elle mentionne que le moindre de ses mouvements est suivi et qu’à l’extérieur de la ville vivent des nuées de mécontents, vision ultime d’une société coupée en deux.

Dans ce futur dystopique, il n’y a pas de produits que l’on peut posséder. Seulement des « services » qui sont loués et livrés par des drones. Ce système rendrait tous les humains complètement dépendants des entreprises contrôlées par le FEM pour chaque besoin fondamental. Il n’y aurait absolument aucune autonomie, aucune liberté, et aucune vie privée. Et vous serez heureux.

Mention honorable : Suivi individuel de l’empreinte carbone

Lors de la réunion de Davos 2022, le président d’Alibaba Group, J. Michael Evans, a annoncé le développement d’un « tracker individuel de carbone ».

Une fois de plus, le FEM utilise l’environnement pour promouvoir la micro-gestion du comportement humain. Evans affirme que le tracker peut surveiller « où ils voyagent, comment ils voyagent, ce qu’ils mangent et ce qu’ils consomment sur la plateforme ».

Notez qu’il a utilisé le pronom « ils » et non « nous » parce qu’il n’y a aucune chance qu’il utilise cette chose. Moi non plus.

En conclusion

En examinant cette liste, deux thèmes communs deviennent évidents. Le premier thème est « l’infiltration ». Le FEM veut infiltrer les gouvernements en utilisant les « Global Leaders » (alias les candidats mandchous). Il veut également infiltrer nos corps par le biais de pilules, de micropuces et de vaccins. Il veut aussi infiltrer nos esprits en utilisant les ondes sonores, la censure et la propagande.

L’autre thème est le « contrôle ». Ils veulent contrôler ce que nous pensons, où nous allons, ce que nous disons, ce que nous mangeons et ce que nous portons.

Savez-vous qui est d’accord avec le FEM ? La Chine. La censure est répandue, un système de crédit social contrôle les comportements des gens et le COVID est toujours utilisé comme excuse pour des confinements massifs et un contrôle total de la population. Sans parler des camps de concentration au sens propre. Malgré tout cela, les officiels chinois sont constamment présents aux réunions du FEM. Pourquoi ? Parce que la Chine est en fait un laboratoire pour les politiques du FEM.

Tout cela étant dit, comment pouvons-nous contrer la folie du FEM ? Comment pouvons-nous les chasser s’ils n’ont jamais été élus ? Une première étape serait d’élire – à tous les niveaux du gouvernement – des représentants qui ne veulent rien avoir à faire avec le FEM. Si nos élus traitaient le FEM comme l’organisation illégitime et voyou qu’il est, son influence serait grandement réduite.

Deuxièmement, nous pouvons boycotter toutes les entreprises qui font partie du FEM. Je réalise que c’est plus facile à dire qu’à faire car beaucoup de ces entreprises sont des monopoles virtuels. Cependant, si nous cessons de leur donner notre argent, elles cesseront d’utiliser notre argent pour empoisonner nos vies.

Alors, elles ne posséderont plus rien. Et nous serons tous heureux.




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

confinement

Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

delfraissy

Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

jean-francois-delfraissy-au-senat-le-15-septembre-2020_6280158

Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

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On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

2022-06-02 19_55_55-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

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On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

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On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




L’agenda de la réunion du Groupe Bilderberg 2022 : Désinformation, démondialisation et perturbation du système financier mondial

[Source : aubedigitale.com]

[Illustration : source ici]

Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.

La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.

Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.

Le Groupe Bilderberg est fier d’appliquer la règle de Chatham House, selon laquelle les participants sont libres d’utiliser toutes les précieuses informations qu’ils souhaitent, car ceux qui assistent à ces réunions sont tenus de ne pas divulguer la source d’une quelconque information sensible ni ce qui a été dit exactement. Cette règle contribue à garantir le secret légendaire du groupe Bilderberg, à l’origine d’une myriade de théories du complot. Mais, comme le fait remarquer Pepe Escobarcela ne signifie pas que le secret le plus étrange ne sera pas révélé.

Selon le groupe, voici la liste des sujets qui seront abordés :

  1. Les réalignements géopolitiques
  2. Les défis de l’OTAN
  3. La Chine
  4. Le réalignement indo-pacifique
  5. La compétition technologique sino-américaine
  6. La Russie
  7. La continuité du gouvernement et de l’économie
  8. La perturbation du système financier mondial
  9. La désinformation
  10. La sécurité énergétique et le développement durable
  11. La santé post-pandémique
  12. La fragmentation des sociétés démocratiques
  13. Le commerce et la démondialisation
  14. L’Ukraine

Comme on peut le constater, les membres (deux tiers des participants sont originaires d’Europe et le reste d’Amérique du Nord) discuteront (comploteront ?) des moyens de gérer l’émergence d’un monde bipolaire. L’ordre du jour semble également s’éloigner de la liberté puisque le groupe discutera de plans pour combattre la « désinformation », c’est-à-dire le fait que les élites réduisent au silence leurs opposants.

Le thème principal du week-end sera « Les réalignements géopolitiques » suite à l’invasion russe en Ukraine. Le deuxième est « Les défis de l’OTAN » et la manière dont les membres européens vont probablement dissuader l’agression russe. Et le troisième est la Chine, alors que Pékin menace d’envahir Taïwan.

En fin de compte, les décisions prises ne verront jamais la lumière du jour, mais elles deviendront des politiques officielles au service de l’élite des Bilderberg. Et si l’histoire est un indicateur, cela ne fera qu’empirer la situation mondiale actuelle.

« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne ».

– C. Gordon Tether, un écrivain du Financial Times, a déclaré en mai 1975.

Et voici comment le groupe Bilderberg contrôle le monde.

En attendant…

Le PDG de Pfizer, le chef de la CIA, le directeur du NSC, le vice-président de Facebook, le roi de Hollande et le secrétaire général de l’OTAN se réunissent en ce moment même à huis clos à Washington.

Cela s’appelle le Groupe Bilderberg, et pas un seul grand média n’en a fait état.

Comme ce groupe d’élites se réunit régulièrement depuis des décennies, nous sommes sûrs que les événements de ces dernières années n’ont rien à voir avec eux.

Enfin, nous notons la conviction d’Alastair Crooke que le début de la fin de la vision Bilderberg/Soros est en vue.

Le Vieil Ordre tiendra bon, même jusqu’au bout de ses ongles. La vision du Groupe Bilderberg est la notion d’un cosmopolitisme multiculturel et international qui surpasse le nationalisme d’antan, annonçant la fin des frontières et menant à une gouvernance économique et politique mondiale « technocratique » dirigée par les États-Unis.

Ses origines remontent à des personnalités telles que James Burnham, un anti-stalinien, ancien trotskiste, qui, dès 1941, a plaidé pour que les leviers du pouvoir financier et économique soient placés entre les mains d’une classe dirigeante : une élite – qui seule serait capable de diriger l’État contemporain – grâce à son savoir-faire technique en matière de marché et de finance. Il s’agit, en clair, d’un appel à une oligarchie experte et technocratique.

Burnham a renoncé à son allégeance à Trotsky et au marxisme, sous toutes ses formes, en 1940, mais il a emporté avec lui les tactiques et les stratégies d’infiltration et de subversion (apprises en tant que membre du cercle intime de Léon Trotsky), et a élevé la gestion trotskiste de la « politique identitaire » au rang de « dispositif » de fragmentation prêt à faire exploser la culture nationale sur une nouvelle scène, dans la sphère occidentale. Son livre de 1941, « The Managerial Revolution », a attiré l’attention de Frank Wisner, devenu par la suite une figure légendaire de la CIA, qui a vu dans les travaux de Burnham et de son collègue trotskyste, Sidney Hook, la perspective de forger une alliance efficace d’anciens trotskistes contre le stalinisme.

Mais, en outre, Wisner a perçu ses mérites comme le plan d’un ordre mondial pseudo-libéral, dirigé par la CIA et les États-Unis. (« Pseudo », parce que, comme Burnham l’a clairement exprimé, dans The Machiavellians, Defenders of Freedom, sa version de la liberté signifiait tout sauf la liberté intellectuelle ou les libertés définies par la Constitution américaine. « Ce que cela signifiait vraiment, c’était la conformité et la soumission »).

En bref, (comme l’ont noté Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould), « en 1947, la transformation de James Burnham de radical communiste à conservateur américain du Nouvel Ordre Mondial était complète. Son Struggle for the World [converti en un mémo pour l’Office of Strategic Services (OSS, l’ancêtre de la CIA)], avait fait un « tour Français » sur la révolution communiste permanente de Trotsky, et l’avait transformée en un plan de bataille permanent pour un empire américain mondial. Tout ce qui était nécessaire pour compléter la dialectique de Burnham était un ennemi permanent, et cela nécessiterait une campagne psychologique sophistiquée pour maintenir la haine de la Russie vivante, « pour des générations ».

Pourtant, comme Charlie Skelton l’a écrit précédemment, la plus grande question éthique à laquelle est confronté le sommet n’est pas de savoir s’il faut exploiter la folie de la guerre à des fins lucratives. Bombarder et reconstruire des pays, des missiles et de la dette, c’est très bien : c’est ainsi que fonctionne le néolibéralisme. Ce qui est plus difficile à justifier, dans un cadre démocratique, c’est le processus pratique par lequel les conflits sont débattus, à huis clos, par des décideurs politiques de haut rang, de concert avec des industriels milliardaires et des profiteurs du secteur privé. Le premier ministre des Pays-Bas discute des points chauds mondiaux dans une luxueuse intimité avec le PDG de Royal Dutch Shell et le président de Goldman Sachs International. C’est optique horrible horrible.




Le cycliste à casque militaire

Par Lucien SA Oulahbib

N’avez-vous pas remarqué ?

Le casque traditionnel du cycliste faisant sans doute trop « coureur » (de jupons ?) a été abandonné par les nouveaux militants de la cause anti-automobile.

Au sens fort : auto mobile, même si elles sont cent fois moins polluantes.

Bientôt, seuls seront autorisés les fauteuils de handicapés, des « personnes à mobilité réduite ».

Le casque genre militaire, onusien au mieux, se dresse donc fièrement sur le crâne surtout ancien.

Et depuis que l’aliment principal des plantes, le CO2, a été déclaré persona non grata, cela empire.

Quand bien même nous respirons bien mieux qu’il y a vingt ans tant les moteurs sont moins voraces.

Et leurs pots catalytiques bien plus performants. Les particules restantes provenant des centrales à charbon allemandes.

Légende urbaine ! S’empressent de contrer les nouveaux censeurs chassant l’hérétique (le « complotiste »).

Pensez ! Croire que la Technique pourrait mieux nous tirer d’affaire que la coercition « douce » est un blasphème.

À quoi ? Envers cette idée annonçant le caractère maudit définitif de l’espèce humaine (surtout non augmentée).

Son enfer ? La Chine. Purgatoire ? L’Union Européenne. Paradis ? On cherche encore.

Qui « on » ? C’est secret. Vous le dire exposerait à de sanglantes représailles des GAFAM… Et des « supporters anglais »….




Embargo du pétrole russe ou comment tuer (encore plus) la population roulant au diesel en France

Par Lucien SA Oulahbib

Un site spécialiste « auto » relate que la « complotiste » Barbara Pompili avait déclaré en mars dernier : « Nous avons en Europe et en France à faire face à ce besoin de diesel, qui risque de se faire de plus en plus crucial si des décisions sont prises dans les jours ou les semaines à venir ». Il note aussi que la Russie « exporte également 1,5 million de barils par jour de gazole, dont l’Europe et notamment la France sont très friandes. Dans l’Hexagone, la part du diesel dans la consommation de carburants routiers reste encore prépondérante à 75,7 % en février 2022, selon les chiffres des professionnels du secteur pétrolier ». (…).

Ainsi, et alors que les « sanctions » contre la Russie n’ont rien donné (bien au contraire, le rouble et les exportations russes sont en pleine forme), aggraver celles-ci revient en réalité de nouveau à jouer au billard à mille bandes (comme pour les « incidents » du Stade de France) en les utilisant contre cette population réfractaire qui roule au diesel hors des mégapoles dominées par l’alliance objective (et subjective autour de l’islam et de l’eugénisme de « genre ») entre les deux M (Macron et Mélenchon).

C’est honteux, odieux, criminel.

Honteux, car au lieu de dire les choses et en voyant bien que ce n’est pas pour demain que les voitures électriques vont être achetées par une France en état de mort industrielle et qui survit avec peine à sa dégringolade faramineuse (déficits divers, guerre civile larvée contre tout ce qui est femme, gay, pompiers, profs, flics, même s’ils ne sont pas » blancs »), le Pouvoir et sa fausse opposition se servent de la guerre de plus en plus otanienne (interdisant à Kiev de négocier au mieux, comme il a été vu à Istanbul) pour faire avancer leur faux agenda de la fausse transition qui n’a rien d’énergétique (car dans ce cas il aurait fallu protéger et étendre le nucléaire tout en le rendant plus propre) ni d’industriel (la fiscalité et l’inégalité entre grandes et petites entreprises plombent toute « reconquête »…).

Odieux, car en mentant ainsi effrontément, le Pouvoir des deux M instrumentalise (au-delà des « pudeurs de gazelle » du second M) la souffrance directe des populations qui subissent la guerre ayant débuté depuis que les accords de Minsk 2 n’ont pas été respectés par le régime issu du coup d’État de 2014 à Kiev, alors que la France tout comme l’Allemagne avaient comme devoir de vérifier la bonne tenue de ces accords sur le terrain ce qui n’a pas été fait. Les Américains de Biden, mais aussi avant lui de l’État profond, aveuglés par la fausse théorie du pivot (opposée à celle du « glacis ») ont en même temps et depuis 2020 incité le régime de Kiev à profiter de ces huit ans de tension, à concentrer des troupes par ailleurs enclavées dans le Donbass, à agir en mars 2022 afin de le reconquérir en profondeur (sans oublier la Crimée…). Alors que si la Serbie avait fait de même après avoir perdu le Kosovo (pourtant légalement partie intégrante), les puissances « démocratiques » l’auraient vertement sermonné et sanctionné. Deux poids, deux mesures, donc bien sûr…

Criminel, enfin, car le propre du préposé à la « chose » est de mentir et aussi de camoufler son méfait (paradoxe du menteur) jusqu’à le faire disparaître (Foucault était fasciné par ce dernier point d’où son intérêt pour le « crime » chez Sade et aussi chez Pierre Rivière). Le Pouvoir en place utilise à fond ce procédé (tant vanté dans les Salons) depuis que le nihilisme domine après disons la prégnance de l’Absurde secrétée par l’existentialisme et ses dérivées (nous serions « jetés » dans le monde sans racines ni autre identité que celle (re)produite par le « milieu » ambiant). Le tout s’est accentué après 68 par la mort de Pompidou (dernier homme d’État, Mitterrand en étant seulement la simulation) et par la suite la montée en puissance d’une technostructure persuadée que le monde se conduit comme une fusée ou un missile et se réduit donc à des modélisations de trajectoire, ce qui est bien sûr faux et surtout ridicule. Tout cela aura débouché sur une frénésie du Pouvoir, tant celui-ci œuvrait non seulement à l’enrichissement par la corruption (mort de Boulin et de Fontanet par exemple), mais aussi à cette espèce de drogue narcissique secrétée par les médias et donc à l’orgueil et à la vanité exacerbés (surtout à l’époque de « l’enfant roi ») que seule la prise de coke en permanence (freinée en descente par des opiacés et le sexe, d’où les « accidents » genre ancien dirlo de SciencePo) peut suppléer entre deux couvertures de magazine à grand tirage ou d’émissions apologétiques, un peu comme ces grands acteurs qui ne supportent pas les entre-deux films et s’abandonnent à l’alcool, à la drogue et à la consommation d’éphèbes comme des éternels adulescents en manque continu de reconnaissance.

Nous sommes au fond gouvernés de plus en plus par des criminels au sourire d’ange (les mamies sont ravies, y compris celles de la Nupes, en votant comme il faut).

Et le peuple des villes ainsi soumis y acquiesce, content lui aussi de voir le peuple de la campagne de plus en plus dans la mouise et « détruit » par une population bigarrée que les criminels au Pouvoir espèrent des plus (in) conciliantes — ce qui cependant (ne) se vérifie (pas) à voir les méandres de ce qui s’est passé au Stade de France qui s’avère juste être le condensé (hyperréaliste) de ce qui se passe au quotidien dans le pays, mais dans l’indifférence tartufienne générale, tant le dénoncer passe pour « hérétique » (« conspirationniste »).

« Encore un moment monsieur le bourreau »…




Comment les « anti-complotistes » sont-ils devenus eux-mêmes « complotistes » ?

Par Lucien SA Oulahbib

Un site comme « Conspiracy Watch » est de cette mouture : à force de voir des complots partout, l’un de ses deux initiateurs en vient à douter du caractère antisémite du meurtre sordide de Sarah Halimi, tandis que l’autre, par perception trotskistebiaisée au préalable (celle sans doute de « leur morale et la nôtre »), sous prétexte d’étudier « l’extrême droite » (son fonds de commerce « moral », dit-elle, remplacé aujourd’hui par la lutte contre les « antivax ») réduit la mouvance souverainiste issue du Front National à « l’extrême droite négationniste » (à la Faurisson). Elle ne voit pas, par exemple, qu’Ordre Nouveau — l’un des principaux partis fondateurs du « Front » — s’est construit à la fin des années 1960 (à Assas via le GUD) sur des bases fondamentalement anticommunistes et non pas antisémites (comme étudié ici dans Les biais sociologistes : Matonti et Bourdieu in « misère du monde » et « militantisme au Front National » Dogma, N° 15, p. 256).

Ceci fait que l’analyse qui réduit l’antisémitisme à l’extrême droite et celle-ci au nazisme et au fascisme ne sert à rien sinon comme fonds de commerce sur le second marché des idées reçues (les médias de « masse »), comme si en effet fascisme et nazisme n’étaient, en France, que du conservatisme (antilibéral) extrême (Drumont…) et n’avaient pas également, par antilibéralisme précisément, des accointances avec la pensée par exemple antijuive de la gauche (Proudhon, Marx… La Vieille Taupe…, Hitler reprochant au bolchevisme sa direction juive) sans oublier le christianisme protestant très fort en Allemagne (Luther) et enfin surtout aujourd’hui la pensée djihadiste revigorée par le wahhabisme, les Frères musulmans et le nassérisme, ces deux derniers courants très admiratifs du nazisme (« classique »).

En fait cette pseudo pensée dite « antifa » est inutile, médiocre (comme le souligne François Furet à propos du Georges Bataille stalinien, mais « antifa » avant l’heure). Elle n’a même pas le style et la culture d’un Marx ou d’un Trotski (ne parlons pas de Rosa Luxembourg, Lukacs, Adorno…) pour tenter par exemple de comprendre pourquoi en France, lors de trois présidentielles, un candidat issu de la mouvance « Front National » a pu arriver au second tour….

À moins que — comme cela se fait maintenant (bien au-delà de ce site « anti-conspi ») et faute donc d’analyse sérieuse — l’on se targue d’expliquer cette prégnance de plus en plus pérenne du courant souverainiste de « droite » (celui de « gauche » se couchant au dernier moment, car préférant être sous férule globaliste sectaire : ceux qui se ressemblent s’assemblent) en accusant au fond non plus seulement la complaisance multiforme des « dominants » qui cherchent à « blanchir » le remugle « négationniste », mais également maintenant à accuser son support « ethnique » — le « blanc » : CQFD ; ainsi, lorsque l’on veut noyer son chien l’on accuse d’être porteur de la rage (idem pour les « non-vaccinés » cible nouvelle du site ci-dessus qui veut sans doute élargir ses segments de marché).

Le « blanc » serait donc pour toute cette mouvance enfermiste (et non pas « éveillée ») comme sinon génétiquement du moins systématiquement raciste. Il faut dans ce cas (c’est un devoir « moral ») l’écarter (ou le ségrégationnisme à l’envers), déjà en continuant à exclure les plus catalogués en amont d’ » extrême droite » (donc « complotistes »), car ayant été exposé (contaminé, ce qui empêche de les fréquenter) « aux idées nauséabondes » du « racisme » (alors qu’il s’agit dans la plupart des cas d’égalité : les citoyens doivent avoir des droits distincts des non-citoyens ou l’éternel débat depuis la Grèce antique ce qui n’empêche pas des passerelles).

Mais comment exclure les « contaminés » ? (Vieille histoire là aussi…) En les écartant déjà des postes de la Fonction Publique (à l’Opéra dernièrement, à l’Université aussi bien, dans les médias également, la culture, bref, de façon certes analogique, mais néanmoins similaire quant au procédé — en plus hypocrite cependant, car informel — à ce que fit Vichy dans ses lois antijuives), avant de les chasser des structures privées en les dénonçant par des catégorisations infamantes (comme le fait Conspiracy Watch qui établit même une échelle des sites les plus « complotistes »…). Ceci permet ainsi de les diaboliser, les rendre hérétiques, les « confiner » à la marge, en ternissant, brûlant leur image sur le bûcher médiatique, afin au bout du compte de les détruire financièrement en empêchant à la longue leur financement par la publicité en ligne par exemple (les firmes restant soucieuses de ne pas voir leur image institutionnelle être flétrie par des campagnes médiatiques nocives à leur prégnance fragilisée en permanence par un marché hautement concurrentiel).

Et comme cela ne suffit pas il faut exciter les hordes « antifa » et les lumpen « anti-racistes » imprégnés, injectés de ces injonctions pour qu’elles aillent dans la rue dépouiller du « bourgeois », du « blanc », jusqu’à le (ou la) violer. Elles sont sûres de leur impunité puisque le Pouvoir en place aura beau jeu de trouver les boucs émissaires adéquats (le supporter anglais, le « néo-libéralisme » quand il s’agit de casser des devantures de commerces et de banques), ceci agrémenté des explications idoines (ils n’ont pas les « bons » codes donc il ne faut pas les dénoncer à la justice « de classe » blanche, « rappel à la loi » ou « stage citoyen », et hop là ! dit donc).

Ainsi ces chasseurs d’« extrême droite » autoproclamés (et recevant moult subventions) et pourtant issus de l’extrême gauche totalitaire ont la part belle.

Pourquoi ? Déjà parce qu’il n’y a pas eu en France ni d’ailleurs dans le monde un tribunal de type de Nuremberg pour juger les crimes « marxistes léninistes » et non pas seulement « staliniens ». Ceci fait qu’ensuite la mouvance issue de ces crimes a finalement réussi à suffisamment les maquiller en « accidents de l’Histoire », en « dysfonctionnements » de la (The) doctrine pour mieux se réclamer de celle-ci (qui resterait ainsi toujours vierge et belle) comme le font leurs maîtres d’œuvre actuels en l’utilisant toujours comme appât, en la recyclant bien sûr dans du Vert et ses 99 nuances, ce qui n’a rien à envier aux 72 vierges des djihadistes. Ceci explique d’ailleurs cela ou la collusion mythologique actuelle de ces deux sphères en un « islamo-gauchisme » (issu également de la repentance tiers-mondiste) qu’il vaut mieux cependant nommer « alter-islamique » en ce sens où depuis le 11 septembre 2001 c’est bien la mouvance pan djihadiste palestiniste (incluant le khomeynisme iranien) qui aujourd’hui donne le (comme le concédait Foucault lui-même dans son analyse de la « révolution » khomeyniste, désirant même qu’elle aille plus loin).

Ces nouveaux « maîtres penseurs » qui ont aujourd’hui pignon sur rue et sont dorénavant recyclés dans la chasse hygiéniste « antivax » vont uniquement focaliser leur piètre analyse sur quelques résidus farfelus, mais antisémites que l’on retrouve d’ailleurs aussi à « gauche » sous l’étiquetage de » l’antisionisme » aux origines également djihadistes patentées et non pas seulement issues du fait que certains « jeunes » soient influencés par quelques humoristes ayant mal tourné (Dieudonné) comme le prétend sans rire l’une des initiatrices de ce site dit anti-conspirationniste

Au fond, l’inutilité de cette mouvance dite « antifa » et « antiraciste » à étudier la montée en (im) puissance (tant elle est divisée) du souverainisme dit « national » est patente. Elle fait plutôt aujourd’hui office de nervis au service du néonazisme, c’est-à-dire à la solde du globalisme sectaire, hygiéniste, eugéniste, scientiste et affairiste (comme l’explique bien Ariane Bilheran à 35’08). Cela s’observe dans les « analyses » de cette mouvance qui mettent en exergue tel ou tel microcourant ultra-minoritaire, anti Illuminati, anti 5G, ou anti reptilien, au lieu, au moins, d’approfondir, l’analyse d’une Hannah Arendt qui tente d’appréhender au sein des systèmes anti-modernes que furent le léninisme, le fascisme et le nazisme (canal historique) leur similitude intrinsèque à vouloir œuvrer au sein même des consciences pour créer le « surhomme » ou « l’homme nouveau » (promis aujourd’hui par le transhumanisme) — jusqu’à s’emparer de leur pouvoir intime à sentir, penser, aimer, créer.

Et bien sûr ces gens vont nier leur néonazisme patenté (c’est-à-dire hygiéniste, eugéniste, scientiste et affairiste) sous couvert bien sûr de chasse anti-complotiste, ou comment à force de faire l’ange on devient la Bête. C’est qu’ils développent une mentalité de criminel (déjà présente dans l’anarchisme blanquiste, sorelien, et le léninisme) qui immédiatement va évidemment masquer son méfait, jusqu’à retourner la charge de la preuve en accusant l’accusateur (d’être d’extrême droite ou raciste par exemple), puis se présenter comme étant au fond la victime des crimes qu’ils effectuent eux-mêmes ou qu’ils camouflent évidemment lorsqu’ils sont en service commandé.

Il est dommage que certains sites dits pourtant de « ré-information » succombent à cette intimidation en refusant par exemple de référencer ou d’inviter toute personne cataloguée « complotiste » par ces criminels sinon en acte du moins en puissance.

Ceci nécessite d’ailleurs aussi une criminologie bien spécifique, celle de la tératologie politique.




La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Souvenir de Satan

Paul Ingram était un officier de gendarmerie respecté dans sa petite ville proche de Washington. Il vivait paisiblement avec sa femme et ses cinq enfants, et toute la famille fréquentait une église évangélique. Vers 1980, ses deux filles, Ericka et Julie, se mirent à fréquenter les retraites organisées par l’Église. C’est dans cette atmosphère charismatique de quête compétitive de l’Esprit saint et de combat contre le démon qu’Ericka eut son premier « flashback » d’abus sexuel.

Quelque temps après, d’autres « souvenirs » ayant émergé, Ericka raconta à sa mère, Sandy Ingram, qu’elle avait été régulièrement violée par son père et par ses deux frères aînés. Les viols avaient cessé, dit-elle, en 1975, lorsqu’elle avait eu neuf ans. Confronté par sa femme, Paul Ingram nia tout.

Puis c’est Julie qui commença à avoir des « souvenirs ». À son tour, elle confessa à sa mère qu’elle avait été molestée par son père et son frère aîné, jusqu’à l’âge de treize ans. Les deux filles firent des déclarations à la police : elles parlèrent alors d’avoir eu des relations sexuelles vaginales, orales et anales avec leur père, sous la contrainte, et ce, jusqu’à leur adolescence.

Paul Ingram fut arrêté. Il nia les faits et dit qu’il ne comprenait pas pourquoi ses filles l’accusaient. Mais il ajouta une phrase curieuse : « Je ne crois pas que j’ai une face obscure (a dark side). » Cette phrase lui était inspirée par la mythologie de son église, qui enseignait que le diable peut manipuler notre « face obscure » et nous faire accomplir des choses que nous oublions ensuite. C’est cette phrase qui perdit Ingram, d’autant plus qu’il la répéta plusieurs fois. Paul Ingram fut interrogé par des inspecteurs persuadés de sa culpabilité.

C’est alors qu’une chose extraordinaire se passa : Paul Ingram n’était plus très sûr de son innocence. Il commença à prier pour demander à Dieu de lui révéler ce qu’il avait fait. Et il obtint des visions dans lesquelles il se vit violer ses filles. Durant les interrogatoires, il arrivait à Ingram de partir dans une sorte de transe légère, et d’en rapporter des visions qu’il interprétait comme des « souvenirs » et qui étaient consignées comme des aveux.

Entre temps, les deux filles continuaient de « se rappeler » : elles racontèrent d’abord que d’autres hommes de la ville, notamment deux amis de leur père, les avaient violées et torturées en groupe. Ensuite, elles parlèrent d’avoir été forcées de participer à des rituels sataniques nocturnes, qui réunissaient des dizaines de personnes et où leur père jouait un rôle de prêtre ; entre autres horreurs, des bébés étaient rituellement tués et mangés. Au fur et à mesure qu’il était interrogé sur ces horreurs, Paul Ingram priait pour « se rappeler » … et confessait.

Il fut seul sur le banc des accusés, car aucun indice ou aveu ne permit d’inculper d’autres personnes. Et, maintenant convaincu de sa « face obscure », il plaida coupable du viol de ses filles. Vers la fin du procès, cependant, il se rétracta ; soudainement, il venait de réaliser que ses visions n’étaient pas de vrais souvenirs, que les viols, les tortures et les rituels sataniques n’avaient jamais eu lieu ailleurs que dans la tête de ses filles et dans la sienne. Mais ses aveux antérieurs pesaient trop lourd : en avril 1990, il fut condamné à vingt ans de réclusion.

Si le procès avait eu lieu deux ou trois ans plus tard, Paul Ingram n’aurait peut-être pas été condamné, car il aurait entendu parler des « faux souvenirs ». Ce phénomène étant maintenant mieux connu, les bavures judiciaires se font plus rares.

L’histoire de la famille Ingram a été largement suivi par les médias américains et a fait l’objet d’un excellent livre, Remembering Satan, de Lawrence Wright, et plus récemment d’un remarquable film de 33 minutes par Nick Nerburn, PAUL : The Secret Story of Olympia’s Satanic Sheriffvisible sur Vimeo.

La famille Ingram dans les jours heureux

Histoires vraies de faux souvenirs

Les faux souvenirs sont un phénomène qui a pris une dimension vertigineuse aux États-Unis avec la vogue des psychothérapies régressives (Recovered Memory Therapies), qui ont en commun de chercher la clé des problèmes psychologiques présents dans les souvenirs traumatiques refoulés de l’enfance, et d’utiliser pour cela l’hypnose ou des techniques approchantes, qui provoquent un état de conscience modifiée, hautement suggestible. Le phénomène touche très majoritairement des femmes.

Voici l’histoire typique d’Olivia McKillop. Dans les années 1970 Olivia avait toujours été une enfant heureuse et épanouie. Pourtant, durant sa dernière année de lycée, elle sombra dans une dépression et entama une thérapie avec Tricia Green. Dès la fin de la première séance, sans qu’Olivia ait évoqué le moindre abus de la part de ses parents (elle se plaignait plutôt d’avoir été trop protégée et choyée), la psychothérapeute Tricia Green lui confia un livre destiné aux adultes qui ont subi des abus sexuels durant leur enfance mais l’ont oublié. Ce livre était The Courage to Heal, de Ellen Bass et Laura Davis, paru en 1988 et vendu à plus de deux millions d’exemplaires.

Sous l’influence de cette lecture et des questions orientées de sa psy aux séances suivantes, Olivia se sentie entraînée dans un autre monde. « Progressivement, j’ai commencé à voir ma famille comme vraiment abusive et dysfonctionnelle. » Puis Tricia Green la conduisit à travers des séances de visualisation guidée, pour « faire remonter le passé ». Elle se concentra sur une scène banale de son enfance : un jour à la garderie, un réparateur était venu s’occuper du piano. « Et soudainement, j’ai visualisé qu’il se couchait sur moi. J’imaginais cet homme en train d’enlever mon pantalon et mon pull et se mettre à me lécher et à m’embrasser partout. »

Ce « flashback », comme l’appela sans hésitation Tricia Green, bouleversa Olivia. Après cette séance, Olivia acheta d’autres livres sur les abus sexuels, le refoulement et les souvenirs « récupérés ». Elle en fut profondément affectée. « Lorsque je me rendis à mon rendez-vous suivant, j’avais endossé l’identité d’une “rescapée de l’inceste” [incest survivor], et il n’y avait plus de retour possible. »

Au fil des séances, de nouveaux « flashbacks » l’assaillirent. « Finalement, je me suis mise à croire que j’avais été molestée par six hommes en tout, y compris mon grand-père, mon père et mon frère Jerry. » Olivia passa ainsi deux ans en thérapie. Elle quitta ses études et déménagea loin de ses parents. Toute sa vie et l’image qu’elle se faisait d’elle-même étaient maintenant dominées par la certitude d’avoir subi d’atroces sévices sexuels de la part de sa propre famille.

Un premier doute sérieux la frappa lorsqu’un enfant se confia à elle (elle était, cet été-là, animatrice dans un camp d’enfant) : « Mademoiselle, mon Papa fait quelque chose de mal avec moi, parce qu’il dort avec moi dans mon lit. » En regardant cet enfant, Olivia réalisa que, dans son enfance, elle n’avait jamais éprouvé la souffrance et la confusion qu’elle lisait maintenant dans ce visage. Grâce au soutien de quelques amis qui, la connaissant depuis longtemps, ne croyaient pas une seconde à ses histoires d’abus sexuel, Olivia parvint à retrouver sa raison et prit conscience d’avoir été manipulée par sa thérapeute. Lorsqu’elle entendit parler du phénomène des « faux souvenirs », ce fut une révélation. Aujourd’hui, elle a renoué avec ses parents et son frère, qui lui ont pardonné ses accusations.

Son cas est tout sauf rare. Des dizaines d’autres sont rapportés dans le livre de Mark Pendergrast, Victims of Memory, le plus complet des livres publiés sur le phénomène des « faux souvenirs » [1]. D’autres cas sont rapportés dans Le Syndrome des faux souvenirs, écrit par Elizabeth Loftus, spécialiste de la mémoire et présidente de l’American Psychological Association avec l’aide de Katherine Ketcham [2].

Aucun des auteurs qui ont exploré et dénoncé le phénomène des faux souvenirs induits par régression hypnotique ne remet en question l’ensemble des témoignages de victimes d’inceste, ni même le fait que des souvenirs d’abus sexuels dans l’enfance puissent être réellement enfouis pour surgir brutalement à la conscience à l’âge adulte. Le phénomène a été documenté et théorisé par Pierre Janet entre 1885 à 1887. Il est bien illustré par l’histoire de Marilyn Van Derbur, Miss America 1958, qui, à l’âge de 24 ans, a retrouvé spontanément (sans hypnose) les souvenirs des abus sexuels de son père depuis l’âge de 5 ans. Son histoire, qu’elle révéla publiquement en 1991, fit les premières pages de journaux et encouragea nombre de victimes d’inceste à rompre le silence. Voici comment elle explique sa dissociation dans son autobiographie Miss America By Day :

« Le matin, j’étais la jeune fille joyeuse, pétillante, respectée, disciplinée, hautement morale. C’était la réalité pour moi, l’enfant du jour. L’enfant heureux était réel. Mon esprit avait trouvé un moyen de prendre les souvenirs et les sentiments de terreur, d’humiliation, de rage, d’impuissance et de désespoir et de les compartimenter dans une autre partie de mon cerveau, de mon corps et de mon âme. La seule façon de survivre face à une autre nuit était de ne pas me souvenir de ce qu’il s’était passé. Comment pourrais-je passer une journée à l’école en jouant avec mes amis, en répondant aux questions posées par le professeur, en rentrant à vélo à la maison ? Comment pourrais-je survivre à une routine quotidienne si je me souvenais de ce qui m’attendait la nuit ? […] Sans m’en rendre compte, je me suis battu pour garder mes deux mondes séparés. Sans jamais savoir pourquoi, je faisais en sorte, dans la mesure du possible, que rien ne passe entre le cloisonnement que j’avais créé entre l’enfant du jour et l’enfant de la nuit. »

Ce n’est qu’à l’âge de 24 ans que les souvenirs de « l’enfant de la nuit » lui sont revenus. il fait peu de doute que cette histoire est véridique (voir les vidéos sur son site www.missamericabyday.com). Mais il faut noter que Marilyn Van Derbur n’a pas eu besoin de l’hypnose pour se souvenir. Les souvenirs sont remontés naturellement, lorsqu’elle a en quelque sorte décidé qu’elle était mûre pour les affronter.

Il faut se garder de généraliser, mais ce qui est en cause dans la controverse sur les faux souvenirs, ce sont les visions obtenues par des techniques de « régression » relevant de l’hypnose, généralement accompagnées de suggestions de la part de thérapeutes. Ce qui est également en cause est une conception quasi informatique de la mémoire humaine, très éloignée du modèle développé par Janet. Selon Janet, la « dissociation » ne s’apparente pas à l’enregistrement de souvenirs préservés de façon fidèle dans l’inconscient ; il s’agit plutôt de contenus psychiques chargés d’émotions négatives, qui prennent une vie autonome sous le seuil de la conscience ordinaire. Par ailleurs, Janet n’a jamais utilisé ni recommandé l’hypnose pour retrouver des souvenirs, car l’on s’avait déjà à son époque que l’hypnose pouvait générer de faux souvenirs.

Le scénario classique en question est le suivant. Une jeune femme consulte un psychothérapeute pour un problème relativement bénin (crise conjugale, problème de poids, dépression, etc.). Le psy, adepte de la théorie selon laquelle l’inceste explique tout, influence sa cliente dans ce sens et l’encourage à retrouver des « souvenirs refoulés », la soumettant pour cela à des conditionnements émotionnels divers, et souvent à des séances d’hypnose. La patiente finit par produire des « souvenirs » d’inceste. Au fil des séances, de nouveaux souvenirs apparaissent, de plus en plus atroces, allant éventuellement jusqu’à des scènes de viols collectifs, de meurtres rituels, de cannibalisme. Les thérapeutes qui accompagnent les patientes dans cette descente aux enfers soutiennent que les scènes visualisées correspondent à des événements réels de la vie de la patiente, dont le souvenir aurait été massivement « refoulé » (repressed). Mais loin d’avoir résolu son problème initial, la patiente se transforme en victime paranoïaque, et il n’est pas rare qu’elle finisse à l’hôpital psychiatrique, après avoir traîné ses proches au tribunal sous les accusations les plus horribles.

Certaines de ces patientes, de plus en plus nombreuses à mesure que le phénomène des faux souvenirs a été mieux connu, finissent par remettre en doute leurs « souvenirs » et parfois se retournent en justice contre leurs thérapeutes. Comme Olivia McKillop, elles passent du camp des incest survivors à celui des retractors. Selon leurs psychothérapeutes, elles ont cédé à la pression sociale et à la honte. Fuyant devant leur réalité intérieure et familiale, elles préfèrent retourner dans le « déni », sorte de refoulement bis.

Mais les « rétracteurs », eux, ne voient pas les choses ainsi : elles pensent avoir été victimes de manipulation mentale de la part de leurs psychothérapeutes. Les « flashbacks » qu’elles ont pris un temps pour des souvenirs réels n’étaient en fait que des productions de leur esprit, déclenchées par suggestion hypnotique, mais aussi par leur propre désir de satisfaire leur thérapeute et de trouver une explication à leur problème. Nombre des ces ex-patientes (ce sont très majoritairement des femmes) se sont regroupées en association et publient une lettre d’information, The Retractor.

Le débat est loin d’être clos. Peu de psychothérapeutes ont fait amende honorable. La plupart crient au complot, et s’efforcent de convaincre leurs patientes que les gens qui parlent de « faux souvenirs » sont motivés par une idéologie réactionnaire et veulent perpétuer le déni de l’inceste. La False Memory Syndrome Foundation est accusée d’être une couverture pour les pédophiles. Tout au long des années 1990, le sujet a secoué et divisé la profession des psychiatres et psychothérapeutes, qui restent encore incapables, d’un côté comme de l’autre, de donner une explication pleinement satisfaisante des phénomènes.

Depuis 1994, plusieurs livres ont commencé à répercuter l’opinion des sceptiques, à explorer l’hypothèse des « faux souvenirs ». Il ne s’agit pas, pour leurs auteurs (comme Elizabeth Loftus ou Mark Pendergrast), de nier la réalité des abus sexuels d’enfants. Cette réalité est courante et effrayante, et personne ne cherche à la minimiser. Précisément, soulignent ces auteurs, la mascarade des faux souvenirs d’inceste nuit fortement au combat légitime des vraies victimes d’inceste. Il ne s’agit pas non plus d’affirmer que tous les souvenirs obtenus sous hypnose sont faux, mais d’aborder le phénomène avec beaucoup plus de prudence.

Mon mensonge. Une histoire vraie de faux souvenir, de Meredith Maran (2010)

Souvenirs programmés

Voici un autre récit de « rétracteur », tiré comme celui d’Olivia McKillop du livre de Mark Pendergrast.

« Laura Pasley est l’une des premières à avoir gagné son procès contre son thérapeute, Steve. Elle était allée le consulter pour tenter de résoudre sa boulimie et son obésité. “Dès ma première séance, en 1985, Steve me demanda si j’avais jamais été abusée sexuellement. Je lui ai dit que c’était le cas. Lorsque j’avais neuf ans, à la piscine, un garçon que je ne connaissais pas avait mis son doigt dans mon vagin, à travers mon maillot de bain, sous l’eau.” Mais cet incident, qui avait fortement marqué Laura et dont elle se rappelait parfaitement, n’intéressait guère Steve. “Il m’a dit que je devais découvrir des choses enfouies plus profondément. Il m’a dit que, puisque j’avais un trouble alimentaire, cela signifiait automatiquement que j’avais été sérieusement molestée. Nous sommes donc partis à la recherche de souvenirs enfouis.” »

De relaxations en visualisations, les « souvenirs » ont effectivement commencé à émerger. Laura fit bientôt apparaître dans son esprit des visions de sa mère pénétrant ses organes sexuels avec ses doigts, puis avec un cintre. Son thérapeute lui conseilla de participer à une thérapie de groupe qu’il dirigeait. L’effet de groupe est propice aux flashbacks. Il s’y produit une forme de transe collective, où les « souvenirs » et les ressentiments de chacun stimulent les autres. « J’avais ces flashbacks horribles de recevoir des lavements froids et des objets divers insérés dans mon vagin. Une autre fois, je vis mon frère et ses amis me pendre par les pieds. […] Finalement, je vis des scènes de viol collectif et de viol par des animaux. » L’état de santé de Laura ne s’arrangeait pas. Mais Steve la rassurait : il fallait que son état empire avant de s’améliorer.

Comme bien d’autres, Laura commença à s’éveiller de ce cauchemar lorsqu’elle entendit parler des « faux souvenirs ». « C’était comme si une lumière s’était allumée dans ma tête. Lorsque j’ai réalisé ce qui s’était passé, j’ai appelé un bon psychologue. Je lui ai dit : “Ces flashbacks semblaient si réels ; ils étaient vraiment réels.” Elle me répondit : “Ils étaient réels, mais pas la réalité.” Je n’ai jamais oublié ces paroles. » Laura passa le mot aux autres femmes du groupe. « Maintenant, nous avons toutes arrêté, sauf une fille, qui est vraiment un cas tragique. Elle a accusé sa mère de rituel satanique, et d’avoir assassiné sa sœur jumelle à la naissance. Peu importe qu’il n’y eût qu’une seule naissance enregistrée sur le certificat : elle pense que la secte satanique a trafiqué le certificat. »

Aussi incroyable que cela paraisse, des cas comme ceux d’Olivia McKillop et de Laura Pasley se comptent par dizaines de milliers aux États-Unis. Beaucoup ont d’abord accusé leurs parents, encouragés par leurs psychothérapeutes qui considèrent cette démarche comme libératrice. Et bon nombre sont allés jusqu’à les attaquer en justice. Il y a dix ans à peine, plusieurs de ces procès ont abouti à des condamnations de parents, sur la base exclusive de « souvenirs » déclenchés sous hypnose vingt ou trente ans après les faits supposés.

L’un des cas les plus célèbres trouve son origine dans des souvenirs « retrouvés » par Eileen Franklin en 1988, concernant le meurtre de son amie Susan Nason en 1969. Eileen et Susan avaient alors 8 ans ; elles habitaient dans le même quartier et jouaient souvent ensemble. Susan fut retrouvée assassinée, le crâne défoncé par une pierre. On ne retrouva jamais le meurtrier… jusqu’à ce qu’Eileen, 20 ans plus tard, eut un flashback soudain dans lequel elle vit son propre père, George Franklin, violer et assassiner son amie Susan. Son témoignage, basé exclusivement sur des « souvenirs retrouvés » en thérapies, et jamais corroboré par le moindre indice, a suffi à faire condamner son père.

Dans certains de ces procès, le jury a été impressionné par le fait que les accusations émanaient de plusieurs personnes. Ce fut le cas de la famille Souza, qui aboutit à l’emprisonnement pour 9 et 15 ans d’un couple de 61 ans. Tout commença par les accusations d’une de leurs filles, Shirley Ann, qui se « souvint » en thérapie avoir été sexuellement molestée par eux durant son enfance. Suspectant que ses parents avaient peut-être, par la suite, aussi molesté ses deux enfants (leur petits-enfants), Shirley Ann traîna ces derniers chez un psychothérapeute pour enfants. Celui-ci conclut simplement que les enfants étaient victimes d’une pression anormale de la part de leur mère. Dépitée, Shirley Ann les emmena alors chez un autre psy, qui lui donna le diagnostic qu’elle cherchait : ses enfants montraient les symptômes d’abus sexuels. Après quelques séances, les enfants commencèrent à avoir des cauchemars à connotation sexuelle. Bientôt, ils étaient mûrs pour témoigner au procès. Nancy, 4 ans, déclara que ses grands-parents mettaient « toute leur main » dans son vagin, et même « leur tête ». Elle décrivit une machine grande comme une pièce entière, avec des mains qui « faisaient mal », que ses grands-parents actionnaient en appuyant sur un bouton. Cindy, sa sœur de 5 ans, raconta d’autres horreurs du même genre. Aucune trace physique d’abus ne fut relevée sur ces enfants. Pourtant, le jury déclara les Souza coupables.

Aujourd’hui, les condamnations de ce type sont plus rares. Le travail d’information de la False Memory Syndrome Foundation a porté ses fruits, et presque tous les États d’Amérique se sont dotés de lois interdisant à une Cour de prendre en compte des souvenirs obtenus sous hypnose. Cela ne règle que partiellement le problème, parce qu’il suffit à une plaignante de ne pas évoquer l’origine hypnotique de ses « souvenirs » pour que ceux-ci soient recevables, et parce que le pouvoir de suggestion ne se limite pas à l’hypnose au sens strict, comme on peut le voir dans l’histoire des Ingram, où ce sont plutôt les pratiques de l’évangélisme charismatique qui sont en cause.

Souvenirs d’abus rituels sataniques

Dans les années 90, le thème des rituels sataniques est apparu de plus en plus fréquemment dans les « souvenirs retrouvés ». Dans leurs « flashbacks », des centaines de patients ont vu des scènes d’une obscénité et d’une violence inouïes, se passant dans un cadre diabolique. Sous hypnose, ils se « remémoraient » avoir subi, dans leur enfance ou leur adolescence, des sévices et des tortures atroces au cours de rituels sataniques impliquant de nombreuses personnes de leur famille ou de leur entourage.

Sur la base de tels témoignages, la rumeur s’est répandue qu’un vaste réseau sataniste sévissait en Amérique ; leurs rituels comportaient notamment des tortures horribles, des viols collectifs et la consommation de chair humaine, notamment celle de bébés qu’ils assassinaient devant leur mère. Ils possédaient des techniques de manipulation mentale leur permettant de faire oublier à leurs victimes tout ce qu’elles subissaient dans ces rituels nocturnes, de sorte que celles-ci menaient une vie d’apparence normale durant le jour.

La rumeur, relayée par les grands médias, prit une ampleur telle que le FBI fut mis sur l’affaire. Aucune trace n’a pu être trouvé des dizaines de milliers de fœtus et de bébés que les satanistes étaient réputés avoir massacrés. Mais, bien sûr, cela ne fit qu’agrémenter la rumeur du soupçon de la complicité du FBI.

La touche satanique des souvenirs récupérés avait été introduite en 1980 par un livre retentissant, Michelle Remembers. Michelle Smith, une femme de vingt-sept ans, souffrait d’une dépression consécutive à trois fausses-couches, lorsqu’elle consulta le psychiatre Lawrence Pazder. Au bout de quatre ans de thérapie, Michelle commença à « se rappeler », dans une forme de transe hypnotique, des scènes dignes d’un film d’horreur. Encouragée par l’écoute attentive, fascinée et crédule de son psychiatre, elle finit par se convaincre qu’elle avait subi, lorsqu’elle avait cinq ans et durant plus d’une année, des sévices sexuels et des tortures entre les mains d’une secte satanique, menée par le diable en personne, et dont sa mère (décédée à l’époque de la thérapie) aurait été membre. « Ses souvenirs profondément enfouis, restés virtuellement intacts durant vingt-deux ans, ont fait surface avec une pureté qui est un phénomène en soi », commente le docteur Pazder. Entre autres choses, Michelle aurait été enfermée nue dans une cage pleine de serpents, ou encore enterrée vivante dans une tombe ; elle aurait été témoin du massacre de plusieurs bébés et de fœtus humains, et elle aurait été forcée de commettre des actes sexuels d’une rare obscénité. Après chaque événement, un mécanisme de refoulement programmé par la secte serait entré en action, si bien que Michelle aurait continué une vie d’apparence normale et aurait tout oublié jusqu’à sa vingt-septième année (tandis que ses deux sœurs, elles, n’ont jamais rien remarqué). Michelle Remembers fut un immense succès de librairie, et fut largement responsable de la satanic panic des années 90. C’est le livre qui convainquit Ericka Ingram des pratiques sataniques de son père.

Certaines églises évangéliques américaines, obsédées par le démon, ont fait grand usage des souvenirs récupérés de SRA (Satanic Ritual Abuse). Plusieurs psychothérapeutes qui ont aidé des patients à produire des faux souvenirs de satanisme étaient des pasteurs évangéliques, ou pratiquaient dans un cadre religieux. Parmi la littérature chrétienne, on retiendra Dance With the Devil, un témoignage par Audrey Harper, une chrétienne born-again qui se « rappelle » avoir été plusieurs fois fécondée pour mettre au monde des bébés destinés à être consommés lors de rituels sataniques.

Souvenirs de vies passées … et futures

La vogue des régressions hypnotiques a produit d’autres phénomènes que des faux souvenirs d’inceste. Aux États-Unis, un vaste courant psychothérapeutique pratique les régressions dans les « vies antérieures ». L’Association of Past-Life Therapists (Association des thérapeutes de vies antérieures) compte plus de mille adhérents, mais les thérapeutes qui pratiquent occasionnellement les régressions dans les vies antérieures se comptent pas dizaines de milliers. Ces techniques de régression arriveraient, selon certaines sources, au troisième rang des thérapies alternatives [3].

La vogue a pénétré massivement en France dans les années quatre-vingt. Patrick Drouot, son importateur le plus connu, estime avoir fait effectuer des « retours » à environ 2 500 personnes, parmi lesquelles quelques célébrités comme Sheila, qui en tira un livre. Drouot aurait formé plus de 400 personnes à ce métier d’avenir. Bien entendu, il connaît ses propres vies antérieures. « À une époque où le temps existait hors du temps », il a volé sur un cheval ailé, à la rencontre de démons et autres êtres fantastiques. Il a parlé avec la déesse de la Lune à la peau bleu. Il a été aigle (« Comment vous faire part de ce sentiment de liberté que j’ai éprouvé quand le vent a caressé mes plumes ? »). Plus récemment, il y a 9 000 ans, il fut Rwhall, le valeureux guerrier [4]. Dans Nous sommes tous immortels, un livre qui s’est vendu à 350 000 exemplaires et lui a valu 60 000 lettres, il se présente sous les traits de la druidesse Govenka, expertes en cristaux magiques.

La version réincarnationniste des régressions mémorielles est un sous-produit de la vogue des psychothérapies dynamiques. Typique est le parcours du Dr Brian L. Weiss, psychiatre de Miami et auteur du livre à succès De nombreuses vies, de nombreux maîtres. Au départ, Weiss s’intéressait à l’utilisation de l’hypnose pour retrouver des souvenirs d’enfance refoulés. Une de ses patientes, Catherine, souffrait de diverses phobies : « Elle avait peur de l’eau, peur de s’étouffer en prenant des pilules, peur des avions, peur du noir, et enfin la mort l’épouvantait. » [5] Elle avait aussi des cauchemars. Le Dr Weiss tenta l’hypnose, dans l’espoir de déceler des souvenirs d’enfance refoulés qui pourraient expliquer ses troubles. Quelques épisodes traumatiques émergèrent dans un premier temps, mais sans effet thérapeutique notable. Il tenta donc de remonter plus loin dans la petite enfance. « Petit à petit, je ramenais donc Catherine à l’âge de deux ans, mais aucun souvenir significatif ne lui revint. Lorsque je lui ai ordonné, avec clarté et fermeté, de “retourner à l’époque où ses troubles avaient débuté”, j’étais bien loin de me douter de ce qui allait suivre. » En effet, Catherine visualise alors une scène qu’elle situe en 1863 av. J.-C. Puis défilent des « souvenirs » d’autres vies.

Enthousiaste, Weiss profite de l’occasion pour se renseigner sur ses propres vies antérieures : « Puisque Catherine avait reconnu sa nièce dans une vie antérieure, je ne pus résister à la tentation de lui demander si j’avais déjà fait partie de son entourage. J’étais curieux de connaître le rôle que je jouais dans ses souvenirs. » Docile, comme tout sujet sous hypnose, Catherine lui invente aussitôt un rôle : « Vous êtes mon professeur. Assis sur un rocher, vous commentez un livre. Vous êtes vieux et vous avez des cheveux gris. Vous portez une tunique blanche – une toge – à bande dorée. […] Nous sommes en 1568 avant J.-C. » [6]

La « thérapie des vies antérieures » a donné naissance à un curieux développement, consistant à projeter les patients, non pas dans leurs vies passées, mais dans leurs vies futures. Le Dr Helen Wambach, pionnière de la réincarnothérapie dans les années 70, se livra dans les dernières années de sa carrière à quelque 2 730 « progressions » dans l’avenir, fascinée par le fait que tous les sujets « progressés« dans une vie future entre les années 2100 et 2300 rapportaient des visions similaires, d’ « un monde effrayant dévasté par un holocauste nucléaire et par la pollution, et vide de végétation », la moitié d’entre eux se retrouvant « dans des colonies spatiales en orbite autour de la terre  » [7]. Récemment, c’est Bruce Goldberg qui s’est spécialisé dans les « progressions », guérissant ses patients en décelant les causes futures de leurs présentes maladies. Depuis 1977, il « aide des patients à surmonter des habitudes, des phobies et d’autres séquences auto-destructrices qui ont commencé dans une vie future ». Dans son livre Past Lives, Future Lives, reconnaissant qu’il est plus difficile de faire « progresser » des patients que de les faire « régresser », il explique cela par le fait que nous avons tous été « programmés pour croire que le futur n’est pas encore arrivé ». Luttant contre ce préjugé, Goldberg parvient à projeter un jeune homme en 2542. Il est alors Zeku, fils d’un savant du nom de Lus-Lus qui avait pour mission de construire une ville sous la mer. Comme on s’en doute, à cette époque, des changements notables ont eu lieu dans les domaines des transports : selon Zeku, « on pouvait être téléportés d’un endroit à un autre, ce qui consistait à désassembler les molécules de votre corps et à les réassembler au centre de transfert de votre destination ». À l’occasion, Goldberg réussit le tour de force de changer le futur. Ainsi, un de ses patients, Pete, a commis en 2088 une erreur gravissime dans l’usine nucléaire où il travaillait alors, causant un véritable désastre écologique. Mais, grâce à cette « progression », non seulement Pete va mieux mais, lorsqu’il sera ingénieur nucléaire en 2088, il fera plus attention, « s’accordant à une fréquence différente » pour éviter la désastreuse boulette [8].

Souvenirs d’abductions extraterrestres

Cette visite guidée dans la foire grotesque des faux souvenirs n’est pas terminée. Il nous faut encore mentionner une dernière variante de cette vaste mouvance des psychothérapies régressives : les souvenirs de rapts extraterrestres.

De quoi s’agit-il ? De souvenirs, là encore. Et d’un phénomène bien plus proche des faux souvenirs d’inceste qu’il n’y paraît au premier abord. Des Américains par dizaines de milliers se sont rappelé, généralement lors d’un traitement par hypnose, avoir été « enlevés » (ou « kidnappés », ou « ravis », trois traductions possibles du mot anglais abducted) par des extraterrestres. Ils rapportent avoir été aspirés dans leurs engins spatiaux pour y subir des expériences bizarres, qui comportent généralement des manipulations chirurgicales ou sexuelles. Bien souvent, ces souvenirs font irruption sans qu’on puisse les mettre sur le compte d’une suggestion de la part du psy hypnotiseur, ou d’une croyance prédisposante du sujet hypnotisé. John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, est l’un des principaux vulgarisateurs de ce phénomène. Il raconte dans Dossier extraterrestre le cas typique d’une femme qui était allée consulter un thérapeute dans l’espoir de retrouver des souvenirs d’inceste ou d’abus sexuel. Après plusieurs séances d’hypnose, aucun souvenir de ce type n’était « remonté » [9]. Au lieu de cela, elle se rappela avoir été enlevée par des extraterrestres lorsqu’elle avait six ans. Le phénomène est donc en tous points similaire aux premières apparitions de souvenirs de vies antérieures, apparus sur les divans de psy qui cherchaient des souvenirs de traumatismes enfantins. D’ailleurs, John Mack croit tout aussi fermement en la vérité des « souvenirs récupérés sous hypnose » : il a lui-même retrouvé les souvenirs d’une de ses vies antérieures en Russie au XVIe siècle, au cours de laquelle son fils fut décapité par les Mongols [10].

Dans de nombreux cas de souvenirs de rapts extraterrestres s’ajoute toutefois une composante particulière, absente des souvenirs de vies antérieures : l’entrée en thérapie et l’émergence des souvenirs sont précédées de disjonctions étranges de la mémoire. Le scénario typique est le suivant : une personne, en train de conduire sa voiture ou de vaquer à une autre occupation, aperçoit soudain une soucoupe volante dans le ciel, ou bien un extraterrestre assis à ses côtés, ou encore entend un bruit assourdissant, tandis que le paysage se modifie mystérieusement. Après cela, elle ne se souvient plus de rien. Elle revient à la conscience plusieurs heures après (quelquefois, mais plus rarement, plusieurs jours après), à des kilomètres de l’endroit où elle a disjoncté, avec une amnésie totale de ce qui s’est passé entre-temps (phénomène du missing time). Il arrive même qu’elle ne se rende compte que plus tard qu’il y a un trou béant de plusieurs heures dans sa mémoire (par exemple, qu’elle a mis deux heures de trop pour rentrer chez elle). En outre, elle souffre de troubles psychologiques divers. C’est alors qu’elle fait appel à un psychothérapeute. Elle parvient alors, à l’aide de l’hypnose, à combler ce trou de mémoire : elle se « rappelle » son enlèvement par des extraterrestres.

Voici par exemple un cas rapporté en 1989 au Kansas. Deux femmes étaient en voiture lorsqu’elles aperçurent un OVNI, qui semblait stationnaire par rapport à elles, même lorsque la voiture tournait (elles notèrent que la Lune, en revanche, se déplaçait normalement dans leur champ de vision). Elles observèrent l’OVNI pendant une heure environ. Soudain, une boule de lumière descendit, en émettant un cône de lumière. Les deux femmes se parlèrent pour vérifier qu’elles voyaient la même chose. La seule chose dont elles se souviennent ensuite, c’est de s’être garées, très troublées et épuisées, réalisant qu’elles avaient mystérieusement « perdu » deux heures. Elles souffrirent ensuite d’insomnie, d’anxiété et d’irritabilité. Elles croyaient n’être pas sorties de leur voiture et n’avoir rien vu d’autre que l’OVNI, jusqu’à ce qu’elles se soumettent chacune à une régression hypnotique. Celle-ci fit émerger un scénario d’abduction avec au moins 40 corrélations directes entre leurs « souvenirs » respectifs. Elles avaient d’abord été contactées télépathiquement par deux êtres, qui les rassurèrent. Puis elles étaient sorties en flottant hors de leur voiture, en position assise, avant de se retrouver mystérieusement dans un vaisseau circulaire qui ne comportait pas de porte. Elles furent attachées et examinées.

Généralement, de tels « souvenirs » produisent un profond malaise, car les extraterrestres de ces « rencontres du quatrième type » sont pour le moins ambivalents. Sur la base des témoignages hypnotiques de ses patients abductees, John Mack, tout comme Budd Hopkins et David Jacobs, considère que « le phénomène des abductions est lié, d’une manière essentielle, à un programme de croisement génétique visant à produire des enfants hybrides aliens/humains » [11]. Beaucoup d’abductees ont vu, dans les vaisseaux spatiaux, des bocaux contenant des fœtus humains ou hybrides flottant dans du liquide. La plupart des abductees ont en même temps compris que le but de ces expérimentations est lié à l’échec de l’espèce humaine actuelle.

Il faut insister sur le fait que, dans la majorité des cas, les témoignages d’enlèvements par des extraterrestres ne sont que des « souvenirs » retrouvés après une période d’amnésie et que, dans 75 % des cas, ces « souvenirs » sont produits sous hypnose. Dans les 25 % de cas de souvenirs spontanés, ils sont très vagues et flous et ne comportent pas de scénarios complexes comme les souvenirs produits sous hypnose. Un abductee résume bien la chose :

« Pour la plupart d’entre nous, cela a commencé par les souvenirs. Bien que certains se rappelaient des bribes de leurs expériences, plus généralement il nous fallait aller les chercher là où elles étaient, enfouies dans une forme d’amnésie. Et quels sentiments ambivalents nous avons éprouvé en découvrant ces souvenirs ! Presque sans exception, nous avons été terrifiés en revivant ces événements, comme submergés par leur impact. Mais il y avait aussi de l’incrédulité. Cela ne peut pas être vrai. Je dois rêver, ça ne peut pas arriver. Alors commencèrent les alternances de doute et de certitude, tandis que nous essayions d’incorporer ces souvenirs dans le sens que nous avons de qui nous sommes et de ce que nous savons. »

Le postulat nécessaire pour expliquer les souvenirs d’abduction refoulés puis retrouvés est que les extraterrestres provoqueraient chez leurs cobayes une amnésie partielle de façon à leur faire oublier l’épisode. Mais une autre hypothèse mérite considération : celle selon laquelle les « souvenirs » seraient des « faux », des fabrications, des produits de l’hypnose. Pour nombre de cas, cette deuxième hypothèse est la seule possible, car des éléments essentiels du témoignage sont matériellement impossibles : par exemple, une personne se rappelle que des extraterrestres lui ont enfoncé des appareils dans le ventre, ou lui ont découpé le crâne, ou encore lui ont enlevé un œil pour le remplacer, mais les examens médicaux ultérieurs contredisent tout cela. Les comportements loufoques de ces extraterrestres sont, de plus, en décalage avec leur niveau technologique supposé ; les examens médicaux consistent le plus souvent à tâter et gratter la surface du corps, enfoncer des aiguilles et placer des implants (jamais détectés ensuite) à l’aide d’un long tube. Ajoutons que, lorsque les séances d’hypnose sont répétées, les « souvenirs » de l’enlèvement se complexifient indéfiniment et finissent généralement par se contredire.

Il faut enfin verser au dossier les explications saugrenues et souvent contradictoires que fournissent aux abductees les êtres étranges qui les kidnappent et les tripotent, et qui ont, selon les « souvenirs », des aspects divers (les spécialistes distinguent plusieurs types d’extraterrestres, parmi lesquels les « petits gris », petits avec une grosse tête, les « scandinaves », longilignes aux cheveux blonds, les « reptiliens », avec leur peau écaillée, et, plus rarement, les « gnomes » ou trolls, sortes de nains barbus ; on a vu également des extraterrestres poilus avec des pieds de boucs et, plus rarement encore, des sortes de bonhommes Michelin). La plupart ne font que répéter des clichés qui semblent tout droit sortis de mauvais livres [12].

Tous les problèmes qui rendent douteuse l’origine extraterrestre des entités apparaissant dans les « souvenirs » retrouvés d’abduction ne doivent pas nous masquer le fait que ces « souvenirs » présentent des aspects paranormaux, et que le mystère de leur nature véritable reste à élucider [13]. En premier lieu, le fait que les souvenirs présentent des thèmes récurrents, même chez les abductees n’ayant au préalable aucune culture ufologique, pose problème. La même remarque vaut pour les « souvenirs » de rituels sataniques ; c’est d’ailleurs cette forte impression de recoupements entre les « souvenirs » qui a convaincu beaucoup de gens de l’existence d’un réseau satanique pratiquant les rituels en question.

Il y a aussi le fait, déjà signalé, que les abductions sont souvent liées à des apparitions d’OVNI, parfois attestées par plusieurs témoins indépendants. C’est le cas, par exemple, dans la fameuse histoire du pont de Brooklyn, traitée par Budd Hopkins dans son livre Witnessed, traduit en français sous le titre Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent [14]. Plusieurs témoins, dont un diplomate et ses deux agents de sécurité, ont vu Linda Cortile sortir par la fenêtre d’un appartement au douzième étage, en flottant dans un rayon de lumière. Linda et ses kidnappeurs, décrits comme trois hommes de petite taille, furent soulevés dans une soucoupe volante orange, qui s’éloigna ensuite. La voiture du diplomate, ainsi que celle d’un autre témoin, s’étaient brusquement arrêtées lorsqu’était apparu l’OVNI.

Mentionnons encore un élément récurrent des abductions, le syndrome de l’embryon ou du fœtus manquant (Missing Embryo/Fetus Syndrome, ou ME/FS) : la femme abductée ressent, après son expérience, tous les symptômes de la grossesse. Cela peut la perturber considérablement, notamment si elle n’a pas eu de rapports sexuels pouvant expliquer une grossesse. Un test sanguin confirme la grossesse. Puis, soudain, dans un délai de moins de trois mois, la grossesse apparente disparaît, sans qu’il y ait de fausse couche. Ou bien, si la femme décide d’avoir un avortement, le médecin qui pratique l’avortement est ébahi de constater qu’il n’y a pas de fœtus. « Le Missing Fetus Syndrome est arrivé si souvent à des abductees qu’il est maintenant considéré comme l’un des effets les plus communs de l’expérience d’abduction », commente John Miller, médecin par ailleurs hostile à l’hypothèse extraterrestre.

MK-Ultra selon Alexandre Breton

Résumons. Nous avons mis en évidence trois phénomènes dans lesquels sont produits, par hypnose dite « régressive », de prétendus « souvenirs » : 1) d’abus traumatiques durant l’enfance ; 2) de vies antérieures ; 3) d’enlèvements par des extraterrestres. De nombreux points communs existent entre ces phénomènes. Un spécialiste a relevé quarante-quatre éléments parallèles entre les souvenirs d’abus sexuels et les souvenirs d’abduction (il en a déduit que ces derniers ne sont que des souvenirs d’abus sexuels déguisés).

Ces trois types de pseudo-souvenirs doivent être confrontés si l’on veut qu’une lumière puisse être apportée sur leur nature véritable. Je n’ai fait ici que jeter les bases d’une telle étude comparative. Il est évident qu’on est là à la frontière de la parapsychologie, un domaine qui relève de ce qu’on nommait, à l’époque où de grands savants s’y intéressaient, la métapsychique (psychical research pour les Anglais).

Mais je voudrais surtout insister maintenant sur une importante leçon pratique à tirer de ce dossier : le scepticisme s’impose lorsque des phénomènes de « souvenirs retrouvés » sont invoqués dans le dossier MK-Ultra, comme c’est le cas dans le livre d’Alexandre Lebreton, MK – Abus rituels et contrôle mental, un livre qui produit plus de confusion que d’éclaircissement par son manque de discernement.

Lebreton fait une grande place aux souvenirs d’abus sexuels retrouvés lors de séance de thérapie hypnotique. Il n’est pas troublé par le fait que, dans la plupart des cas de ce type, les « souvenirs retrouvés » vont s’élaborer au fil des séances. La patiente va d’abord se persuader qu’elle a vécu « des trucs incestueux », et après s’être documentée, finit par se souvenir de programmation Monarch. Ainsi Lebreton rapporte au sujet de Brice Taylor, traitée par la thérapeute Catherine Gould, « qui l’a beaucoup aidée. Ce sont d’abord les abus sexuels dans l’enfance qui sont remontés, puis les souvenirs d’abus rituels sataniques et enfin les mémoires concernant la programmation MK ».

Jamais Lebreton ne considère la possibilité que de tels « souvenirs » soient au contraire le produit d’un trouble de la personnalité, aggravé par des pratiques dangereuses d’hypnothérapies. N’est-ce pas pourtant une hypothèse à prendre en compte ? On admet facilement que certaines de ces patientes qui élaborent des scénarios complexes d’abus durant leur petite enfance ont réellement été abusées d’une manière plus classique, et qu’un traumatisme ait causé une fragilité. Parfois, le traumatisme ne se situe pas dans l’enfance. Ainsi en est-il de Claudia Mullen, mentionnée par Lebreton : j’apprends, en quelques clics, que ses « souvenirs » d’enfance sont « remontés » après que, ayant subi un viol à l’âge adulte, elle entra en thérapie en 1992 avec Valérie Wolf. Cette dernière estima qu’elle avait les symptômes du survivant d’inceste, la mit sous hypnose, et l’aida à produire les « souvenirs » souhaités. Dans certaines conditions, un traumatisme physique avec hospitalisation peut déclencher des troubles mentaux, qui vont s’aggraver en thérapie : « En 1985 et en 1987 Brice Taylor, écrit Lebreton, a eu deux graves accidents. Ce sont les chocs provoqués par ces accidents qui ont commencé à faire remonter les souvenirs de son passé… beaucoup de souvenirs. »

Loin de moi l’idée que tous les « souvenirs » produits sous hypnose s’expliquent facilement. Chaque cas est particulier, et certains sont extrêmement troublants, démontrant des facultés et des fragilités de l’âme humaine qui sont hors du commun. Mais ce qui frappe, c’est au contraire l’empressement des auteurs de littérature à succès à faire rentrer tous les cas dans un grand sac unique auquel ils attachent l’étiquette qui leur plaît – l’étiquette MK-Ultra dans le cas de Lebreton. Lebreton s’inscrit dans une école lancée par un livre paru en 1995, dont le titre français est L’Amérique en pleine transe-formation, et dont le sous-titre anglais est The true life story of a CIA mind control slave. Dans ce livre, Mark Phillips raconte comment il arracha Cathy O’Brien et sa fille d’un réseau gouvernemental qui avait fait d’elles des esclaves sexuelles. Sur la page Amazon du livre on lit que « C. O’Brien est une ancienne victime des expériences gouvernementales américaines de contrôle de l’esprit et a pu recouvrir ses « mémoires » grâce aux travail et soutien de son compagnon Mark Phillips. » Les « expériences gouvernementales » pratiquées sur Cathy depuis son plus jeune âge aurait fractionné son esprit en personnalités multiples, de sorte que, écrit-elle : « J’avais une personnalité pour la pornographie, une personnalité pour la bestialité, une personnalité pour l’inceste, une personnalité pour résister aux horribles abus psychologiques de ma mère, une personnalité pour la prostitution, et le reste de « moi » fonctionnait un peu « normalement » à l’école. » Cathy, donc, fonctionnait à peu près normalement à l’école, c’est pourquoi ni ses proches ni elle-même n’avaient rien remarqué. La manière dont Phillips aida Cathy à « récupérer » ses souvenirs est sans surprise :

« Mon plus grand défi était d’apprendre à contrôler l’état de transe constant de Cathy pendant qu’elle mettait ses souvenirs par écrit. […] grâce à mes propres recherches intensives en hypnothérapie, j’ai appris à contrôler les états de transe de Cathy. Je considérais cela comme une façon de la déshypnotiser. J’en vins à être considéré par les médecins de santé mentale comme un « expert » dans l’application de cet outil clinique peu utilisé pour récupérer la mémoire. »

Phillips est souvent décrit comme « un familier de la CIA », mais rien n’étaye cette prétention, et son récit me fait l’impression d’un tissu d’affabulations de la part d’un personnage trouble, qui ne cache d’ailleurs pas ses fréquentations criminelles. Il me semble probable que c’est Phillips, et non la CIA, qui a fait de Cathy O’Brien son esclave par l’hypnose, dans un but à la fois narcissique et mercantile.

Le manque de recul critique de Lebreton par rapport à ce cas et tant d’autres provient en partie de sa conception de la mémoire humaine sur le modèle du disque dur d’ordinateur, programmable et compartimentable :

« Nous pouvons ainsi comprendre que l’esprit d’un individu est potentiellement programmable tel un ordinateur avec des fichiers et des codes d’accès. Ce phénomène de fracturation de la personnalité est la pierre angulaire des abus rituels car il « déverrouille » la psyché qui devient alors accessible pour y intégrer une programmation. »

Mais les limites de Lebreton viennent surtout du paradigme religieux qui domine sa vision du monde, et que résume bien cette phrase : « La puissance spirituelle ne peut venir que de deux sources : Jésus-Christ ou Satan… ». Mon expérience me dit qu’on ne peut attendre aucune rationalité sérieuse de la part de quelqu’un qui pense ainsi. C’est le problème que j’ai évoqué dans ma critique du film Out of Shadow [15]. Le paradigme de Lebreton, emprunté à un traditionalisme d’inspiration évangélique, détermine son regard sur les religions non chrétiennes. Son chapitre 2 est un bric-à-brac informe de clichés assimilant toutes les religions antiques au satanisme, « sans oublier le druidisme celtique », et la gnose, bien sûr, et ainsi de conclure que MK-Ultra n’a rien inventé. Ainsi, « le Livre des morts égyptien est un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour de la manipulation mentale ». Ou encore : « Le culte à Mystères d’Éleusis utilisait dans ses rituels une potion sacrée appelée Kukeon qui contenait de l’ergot de seigle et qui se rapprochait beaucoup du LSD actuel (puissant hallucinogène). » Et ce grotesque contresens : « Dans le texte Gnostique intitulé Gospel of Phillip (sic), il est mentionné que « Dieu est un mangeur d’homme. C’est pour cette raison que les hommes sont (sacrifiés) à lui ». » Avec une telle méthode, on pourrait facilement démontrer que les chrétiens mangent des bébés. Comme tous les chrétiens arque-boutés sur « la parole de Dieu », Lebreton a intériorisé la jalousie du dieu des Juifs : « Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques. » Il assimile tout ça à la « religion sans nom », autrement dit le satanisme. C’est en effet Satan qui gouverne le monde, par les Illuminati :

« Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. / Les Illuminati, ou encore ceux qui composent « l’élite dirigeante » de la planète, semblent eux aussi avoir très vite compris l’avantage qu’ils pouvaient retirer de ces techniques pour dominer le monde. En fait, les Chrétiens auront reconnu que derrière ces techniques et ces tortures abominables, se cache la main de Satan, qui veut réduire l’humanité en esclavage, et se faire adorer comme Dieu, sous la forme de l’Antichrist (sic) annoncé par la Bible. »

Remarquons que, si Lebreton déteste toutes les religions sauf le christianisme, le judaïsme ne semble pas lui poser de problème. Il fait l’impasse sur les rituels juifs sataniques, qui ont pourtant fait l’objet de travaux historiques, notamment par Ariel Toaff dans The Bloody Satanic Sacrifice Rituals of the Jewish Race (lire cet article de Ron Unz). Rien non plus, évidemment, sur la circoncision au huitième jour, véritable rite traumatique.

Par un autre réflexe qui ne surprend pas, Lebreton projette son prisme satanique sur les nazis. Comme dans Out of Shadows, on a droit à l’amalgame entre Paperclip et MK-Ultra. L’ayant lu dans toutes ses sources, Lebreton est convaincu que MK-Ultra est peuplé de nazis, et ignore qu’à sa tête se trouvait un fils d’immigrants juifs hongrois (Sidney Gottlieb, Joseph Scheider de son vrai nom), et que parmi ses collaborateurs figuraient des gens comme John Gittinger, Harris Isbell, James Keehner, Lauretta Bender, Albert Kligman, Eugene Saenger, Chester Southam, Robert Lashbrook, Harold Abramson, Charles Geschickter et Ray Treichler – tous juifs [16]. Voici un échantillon des méthodes de raisonnement de Lebreton. Ils nous informe que les nazis mettaient du fluor dans l’eau des camps de concentration. « Les nazis n’utilisaient évidemment pas ce produit pour améliorer la santé dentaire de leurs prisonniers, bien sûr que non, cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité. » Lebreton ne réalise même pas qu’il se contredit avec la phrase qui suit immédiatement : « Le chimiste Charles Perkins fut un des premiers à dénoncer les effets nocifs de la fluoraison de l’eau potable dans un essai qu’il publia en 1952. »

Les arguments de Lebreton sont souvent de ce niveau, et rendent son livre inutilisable. Encore un exemple : dans son premier chapitre, portant sur l’Institut Tavistock, Lebreton se base sur des auteurs comme John Coleman et Jim Keith, adeptes des théories les plus délirantes. Il reprend au premier l’idée que le succès des Beatles est un complot Illuminati, ou que Jimmy Carter était un « candidat Mandchou » programmé par son psychiatre de Tavistock. Lorsqu’il cite (de seconde main) des savants impliqués dans la recherche sur la psyché humaine, Lebreton leur fait des procès d’intention, comme si toute recherche sur la manipulation mentale était ouvertement ou secrètement au service de la manipulation mentale. Par exemple, il cite William Sargant, qui explique les principes du lavage de cerveau dans The Battle for the Mind : A Physiology of Conversion and Brain-Washing (1957), en laissant entendre que ce professeur recommande ou expérimente le lavage de cerveaux, ce qui est totalement faux, comme il est facile de le vérifier. Avec de telles méthodes, on pourrait facilement « démontrer » que Lebreton fait lui aussi l’apologie de la manipulation mentale. Et d’ailleurs, il me semble bien que, comme toute la sous-culture américaine qu’il recycle, son livre a un côté manipulatoire et donc contreproductif par rapport à son objectif affiché. Certes, tout n’est pas à jeter dans ce livre, et il aurait pu faire une synthèse utile s’il était deux fois moins épais et se limitait aux informations puisées dans des sources crédibles.

Laurent Guyénot

Notes

[1] Mark Pendergrast, Victims of Memory, Harper Collins, 1996.

[2] Elizabeth Loftus et Ketcham, Katherine, Le Syndrome des faux souvenirs, Éditions Exergue, 1997.

[3] Érik Pigani, Psi. Enquête sur les phénomènes paranormaux, Presses du Châtelet, 1999.

[4] Cité par Djénane Kareh Tager dans L’Actualité Religieuse, n° 143, 15 avril 1996, p. 20.

[5] Brian L. Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, J’ai lu, 2015, pp. 12-13.

[6] Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, pp. 29-30.

[7] National Enquirer, mai 1982, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996, p. 90.

[8] Chet B. Snow, Mass Dreams of the Future, McGraw-Hill, 1993, pp. 92-96.

[9] John Mack, Dossier extraterrestres, Presses de la Cité, 1995.

[10] Reincarnation International, juillet 1994, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996.

[11] Sauf mention contraire, les informations qui suivent sont tirées de C.D.B. Bryan, Close Encounters of the Fourth Kind, Knopf, 1995, volumineux rapport journalistique d’un colloque américain organisé par la prestigieuse université de M.I.T. en 1992.

[12] Bien entendu, le fait qu’une partie au moins des « souvenirs » d’enlèvements par des extraterrestres ne soit pas matériellement crédible ne prouve pas que la vie extraterrestre n’existe pas, ni même que les extraterrestres ne soient pas parmi nous (d’une manière générale, la non-existence de quelque chose ne peut jamais être prouvée, qu’il s’agisse des extraterrestres, de la réincarnation ou des licornes, mais la charge de la preuve revient aux tenants de l’existence). Simplement, il faudrait trouver d’autres preuves. Les apparitions d’Ovnis ne font guère l’affaire, puisque rien ne prouve non plus qu’elles soient d’origine extraterrestre.

[13] Pour une analyse objective et documentée du phénomène, aucun auteur ne vaut Jacques Vallée. Lire par exemple : Autres dimensions, Robert Laffont, 1989, J’ai lu, 1991.

[14] Budd Hopkins, Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent, Rocher, 1998.

[15https://www.egaliteetreconciliation…

[16] Larry Romanoff, “CIA Project MK-Ultra,” https://www.unz.com/lromanoff/cia-p…




Rand Paul : « Les élitistes veulent un gouvernement mondial unique ; ce n’est pas une théorie du complot »

[Source : anguillesousroche.com]

« C’est dans leur déclaration de mission ; C’est le pire cauchemar de tout le monde. »

Le sénateur Rand Paul est apparu sur Fox News jeudi et a discuté de la réunion du Forum économique mondial à Davos, en Suisse. Il a fait remarquer que ce n’est pas une théorie du complot que de suggérer que l’organisation cherche à instaurer un gouvernement mondial unique, mais que cela figure « dans leur déclaration de mission ».

Paul a insisté sur le fait que :

« le vrai danger ici, qui est encore plus dangereux que tous leurs soucis bidons concernant l’empreinte carbone, le vrai danger est le suivant : regardez à quel point votre gouvernement est mauvais dans un pays où vous pouvez voter pour ces gens ».

« Ce serait un gouvernement, un gouvernement mondial où vous n’avez pas le droit de voter pour qui que ce soit. C’est le pire cauchemar de tout le monde », a affirmé Paul, faisant référence à « l’infiltration » du FEM, pour citer son chef Klaus Schwab, dans les gouvernements nationaux.

« Pouvez-vous imaginer la bureaucratie d’un seul monde de tous ces élitistes et leurs jets privés qui dirigeraient notre pays et nous ne pourrions pas voter ? » a déclaré Paul.

Le sénateur a poursuivi : 

« Je suis donc résolument contre cela et ils avaient l’habitude d’appeler les gens qui parlaient d’un gouvernement mondial unique et de dire que c’était une conspiration. Nous disions toujours non, c’est dans leur déclaration de mission. »

« Ils le disent à chaque réunion. C’est pour ça qu’ils sont », a proclamé Paul, ajoutant que « le manque de souveraineté signifie le manque de liberté, il signifie le manque de réactivité et c’est complètement antithétique à tout ce que notre pays représente ».

Regardez :

https://www.youtube.com/embed/W70zjwnBiAg

[Voir aussi :
De l’État profond au gouvernement mondial
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




L’importance d’un cérémonial pharaonique dans la fabrication de la peur

Par Lucien SA Oulahbib


Imaginez ces grandes cérémonies pharaoniques qu’organisent les empires théocratiques depuis les temps immémoriaux avec moult démonstrations de force, acclamations d’une énorme foule, le tout au sein d’une architecture monumentale qui fait office de fond solide, réaliste, aux propos pourtant démentiels énoncés. Eh bien, vous avez là les ingrédients magiques ensorcelants jusqu’à susciter, sécréter dans les esprits humains (pour une part animaux également) ces substances nécessaires pour la sidération, la fascination, l’admiration et une peur jouissive mêlées (l’adoration, la soumission) et par là l’abandon progressif ou soudain à ce désir démesuré de fusion jusqu’à ne faire qu’un avec tout ce cadre qui ainsi suscite tant de sensations enveloppantes, sécurisantes, jouissives jusqu’à même « combler » (confirme Docteur Strange).

Un tel cadre majestueux, prestigieux, fait ainsi office de référent suprême qui permet de donner un sens définitif au contenu de la cérémonie (signifié) ainsi qu’à sa forme (discours, danses, chants, défilés virils, ou signifiants) quand bien même tout ceci serait faux, vil, vulgairement viril en réalité. D’où, pour en accroître l’intimidation, la nécessité d’effacer les imperfections, de sanctifier un tel cérémonial, de l’élever au rang de ce sacré qu’il n’est plus possible de remettre en cause sans que tout s’effondre, car la saisie « colle » ou pas dans l’instant (d’où sa fragilité). Aussi, pas même une question ne peut être admise, surtout à grande écoute, sous peine de passer pour hérétique et donc capable de briser le sortilège : aujourd’hui elle sera classée de complotiste, conspirationniste par les nouveaux officiants — tels les Smith dans Matrix — qui auront pour mission de pourchasser les moindres résilients.

Ainsi, un tel cadre qui se veut aussi fort, une référence aussi sacralisée, se trouvera déployé en vue non seulement de légitimer le lien qui veut connecter un contenu (le message) à un contenant (les justifications formelles), mais aussi de faire en sorte que son déploiement, majestueux, fabuleux, ne s’adresse pas seulement à l’entendement, mais aussi aux sens (aux « tripes ») y compris ce sens intime, celui de la conviction, et ce de telle manière que la seule issue s’avère être soit l’adhésion passionnée, totale, fusionnelle, « servitude volontaire », soit le refus, la révulsion, la « haine » : cette mise à distance disait Marx dans sa thèse sur Démocrite et Épicure.

Cette adhésion et son contraire (la répulsion) ne sont donc pas liés à un « trauma » ou à un désir ourdi de comploter en soi. Il ne s’agit pas seulement d’un « choc » comme s’il s’agissait d’une agression à la suite d’un « coup d’État », d’une « occupation », d’un « viol », ou encore comme si nous restions passifs dans un « eux » et « nous » alors qu’il y a ici plutôt intrication (nous sommes censés être en démocratie et en État de droit, nous votons et nous obéissons aux lois), d’où la difficulté précisément de s’en soustraire, de haïr au sens de repousser, sous peine de sentir naître une culpabilité, une angoisse, un doute.

Ce dernier va d’ailleurs être combattu, balayé, parfois volontairement, préventivement, voire de manière ostentatoire (le port du « masque »), par un surcroît d’adhésion, comme l’y incitent aussi la communication sacralisée (« se vacciner est un devoir moral ») et la frénésie violente qui vise à écarter les opposants avec l’invective permanente des officiants agissant comme des tortionnaires moraux jusqu’à susciter chez le supplicié « volontaire » ce désir de plus en plus forcé, forcené, fanatisé de s’abandonner totalement à la fin, telle l’antilope qui s’abandonne aux pressions de la lionne ou comment accepter se rendre à l’attraction de l’objet désirant, ici l’État, puisque celui-ci fait désormais office de « moi » et non plus seulement de « surmoi »), jusqu’à même en mourir parfois, ou, de l’autre côté (du manche), jusqu’à emprisonner, tuer, harceler les récalcitrants lorsqu’il s’agit des cas extrêmes comme en Chine actuellement (ou sous les régimes totalitaires et les démocratures dont la France désormais de plus en plus mal classée) afin de sceller ainsi définitivement l’adhésion et d’en chasser la moindre humanité ou raison.

D’où, à un moment donné de tension ultime, l’impossibilité même de dialoguer à un tel stade de fermeture frénétique des esprits. Ceci fait d’ailleurs qu’historiquement parlant seule la résistance, armée, hélas, s’est souvent avérée de mise pour haïr un tel sortilège, ou alors une mobilisation générale comme l’avait promulguée Gandhi.

Aujourd’hui par exemple un tel cadre fanatisant se déploiera lors d’une conférence de presse solennelle ou d’un 20 heures décisif avec comme démonstration de force la toute-puissance du média choisi, le prestige des interviewers, et aussi des intervenants venant par la suite valider sur un ton souvent badin la parole pourtant très violente ainsi sacralisée.

Comment mettre en doute alors ce qui va être dit ? En mettant d’abord en cause tout ce processus en le mettant à distance, le repoussant, le haïssant : cadre médiatique boursouflé et surtout incompétent pour valider une argumentation, officiants divers souvent guère recevables ou contestés par leurs pairs (ces derniers bien sûr écartés, alors qu’ils sont, eux, hautement compétents), venant alors justifier avec de faux ou piètres arguments la parole énoncée qui cherche à être sacralisée par le cadre ainsi renforcé.

Souvent, ils viennent la valider du seul fait de leur présence, peu importe la véracité du contenu. Par exemple une parole présidentielle, déjà par ailleurs légitimée par ce qu’elle incarne, s’en trouvera renforcée par toute cette pompe qui elle-même pourra être encore plus validée si des comités ad hoc intitulés « de défense » ou « scientifiques » viennent la renforcer alors que leurs propos seront insignifiants, disproportionnés, voire inexacts et même volontairement mensongers.

En fait, il s’avère que pour contrer ceci toute parole contestatrice, si elle ne critique pas d’emblée au préalable ce cadre, si elle ne remet pas en cause d’emblée tous les a priori, les justifications, les « preuves », se trouvera elle aussi d’emblée relativisée ou rejetée.
Comme il a été vu lors du débat entre E. Macron et M. Le Pen, cette dernière n’a jamais remis en cause en amont les justifications de la politique sanitaire, climatique, antirusse, mais seulement en aval les moyens (idem pour E. Zemmour et JP. Mélenchon). Ceci fait que ces « opposants » deviennent tous trois des éléments d’ambiance qui justifient a posteriori le cadre (réchauffement inédit, crise sanitaire exceptionnelle, agression soudaine et inédite de Poutine) même s’ils en critiquent quelques contenus (« il faudrait faire plus ceci, moins cela »).

Alors qu’il s’agirait de nier d’emblée, chiffres et observations à l’appui, l’importance démesurée donnée désormais à tout virus, à toute élévation de température, ou, au contraire, à relativiser d’emblée toute violation d’accords (Minsk 2), tout refus de revisiter l’historique, comme si ces termes de virus, température, violation, venaient d’être inventés et allaient sur le champ remettre en cause la survie même de toute l’Humanité, à l’instar de ce qui se trouve répété en long et en large comme mantra :

« la planète n’en a plus que pour quelques années si l’on ne fait rien, l’avenir de l’espèce humaine est en danger, Poutine nous amène vers la 3e guerre mondiale ».

Le « vu à la TV » marche donc et de mieux en mieux au vu des résultats électoraux qui ont scellé désormais en France par exemple une alliance non seulement objective, mais subjective entre les deux M (Macron et Mélenchon) à l’encontre de ce bien timide sursaut de souveraineté (« encore une minute monsieur le bourreau ») alors qu’il s’agit de faire exploser de plus en plus le cadre lui-même, puisqu’il ne s’agit même plus de validation des compétences, de manque de pondération, alors que des personnes hautement spécialisées, modérées, calmes, au langage toujours « sourcé », sont écartées d’office, menacées dans leur poste, harcelées en permanence lorsqu’elles n’acceptent pas de faire peur et d’en jouir.

Le roi pourtant est nu, de plus en plus, combien même tous ces artifices, hormis cette « pompe » actionnée en permanence pour nous faire croire le contraire.




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




Guerre en Ukraine : pour le Salut du peuple Russe (et de la France)

[Source : agoravox.fr via RI]

Un énorme merci pour ce texte brillant, absolument remarquable en tout point. Oui, les russes et les français sont des grands peuples qui ont tout pour s’entendre : une histoire millénaire et une culture humaniste, toute à l’opposé des anglo-saxons, mercantiles et destructeurs. À nous maintenant de nous libérer de leur esclavage mondialiste et covidiste avant d’être réduits par Bill Gates à la planète des singes.

Jean-Michel


Par Nicopol

Ah, Vladimir Poutine et ses rêves de « Grande Russie », son projet de reconstituer l’URSS, ses plans d’invasion de l’Ukraine, de la Finlande, de la Pologne, des Pays Baltes ; mais Poutine vaincu par l’héroïque résistance ukrainienne, Poutine humilié, Poutine effondré par la défaite cuisante de son armée, les images de soldats russes en pleurs, les Sukhoi tombant comme des mouches, les chars abandonnés sur le champ de bataille, son navire-amiral coulé… La Russie détruite par les sanctions, à genoux économiquement, le rouble effondré, la population sur le point de renverser son « dictateur », avide de démocratie et de McDonalds… « Poutine le boucher », les atrocités commise par l’Armée russe, la torture, les massacres et les viols de civils, les « crimes contre l’humanité », la condamnation unanime de la « Communauté internationale » ; Poutine isolé sur la « scène internationale », ostracisé, abandonné par ses derniers soutiens, coupé du monde, terré comme une bête dans un bunker du Kremlin ; Poutine malade, agonisant d’un cancer, d’une leucémie, de Parkinson, quitté par sa femme, se baignant dans du sang de cerf ; Poutine acculé, au pied du mur, prêt à tout, y compris l’holocauste nucléaire, si on ne l’assassine pas dans les plus brefs délais…

Voilà, pour résumer, la vision de la guerre en Ukraine qu’aurait légitimement l’« Occidental moyen » informé par la presse mainstream, les chaîne d’info en continu et les communiqués officiels des chancelleries. Une vision univoque, sans nuance ni concession, à la hauteur de la « menace existentielle » que Vladimir Poutine et ses hordes slaves feraient peser sur nos belles démocraties libérales… Le petit souci étant que tout ce qui précède est bien entendu complètement faux (à l’exception, qui sait, du sang de cerf)… Peut-on avoir une autre vision, alors, de ce qui se passe là-bas, à la frontière de l’Occident et du Monde slave ? Une vision russe, peut-être aussi un peu française ?

Des Esclaves antiques aux Untermenschen du IIIe Reich…

Une autre vision qui, pour bien s’en imprégner, nécessite de remonter dans le temps, il y a près de 3000 ans, à l’aube de la civilisation européenne. Car c’est bien depuis l’Antiquité que le malheureux peuple Slave fait l’objet d’une détestation, d’un mépris et, il faut bien le dire, d’un racisme farouche de la part des autres peuples indo-européens. C’était déjà le cas à l’époque des Grecs et des Romains, qui les plaçaient au dernier niveau de la barbarie, et même en-deçà, dans une espèce de sous-humanité plus proche de l’animalité. On retrouve pareille xénophobie chez les peuples scandinaves, germaniques et, par extension, anglo-saxons. Cela s’est traduit tout au long de l’histoire par des razzias, massacres et déportations en esclavage organisés par les Grecs, les Vikings et plus généralement l’ensemble de la chrétienté médiévale (rappelons que le mot « Slave » a donné en langues latines et anglo-saxonnes sclavus et slave, « esclave »), et même du monde musulman.

À l’époque moderne, cette tradition de haine raciale se retrouve dans la politique nazie d’« épuration ethnique » de l’Europe de l’Est, slave ou assimilée (Polonais, Ukrainiens, Serbes…), et bien sûr aussi, fantasmaient-ils, de la Russie elle-même, condition requise pour tailler un « espace vital » suffisant à la race supérieure aryenne. Le génocide des Slaves, rabaissés au rang d’Untermenschen, constitue en fait le cœur de l’utopie raciste-suprémaciste du IIIe Reich, comme c’est parfaitement expliqué dans Mein Kampf et confirmé par la politique d’extermination systématique des Slaves en Pologne et en Ukraine – mais aussi par la suicidaire opération Barbarossa de 1941, au cours de laquelle les troupes SS firent preuve d’un acharnement proprement inhumain contre les populations civiles et les prisonniers de guerre soviétiques. Ce n’est qu’après la défaite de Stalingrad que le régime nazi a concentré sa fureur meurtrière, en quelque sorte par dépit et frustration, sur les infortunés juifs, dont il était plutôt question jusqu’alors de les déplacer à Madagascar.

Ce projet monstrueux des nazis a quand même couté 30 millions de morts au peuple russe, qui a dû lutter purement et simplement pour sa survie. Les Russes, encore aujourd’hui, ont une perception aigüe de l’immense sacrifice que leurs parents et grands-parents ont offert pour sauver leur peuple et leur identité. Chaque Russe a d’innombrables morts dans sa propre famille, comme a pu en avoir chaque Français après la guerre de 14-18. C’est d’ailleurs le cas de Vladimir Poutine lui-même, et celui-ci, dans chacun de ses discours, ne manque pas de rappeler cette dimension héroïque et sacrificielle des Russes pendant la Seconde Guerre mondiale : pour eux, « lutter contre le nazisme » ne s’est pas limité à une résistance plus ou moins de la dernière heure (comme les Communistes français), mais une lutte proprement « existentielle » contre une puissance implacable qui avait juré sa destruction absolue…

Mais il serait faux de croire que les Nazis germaniques étaient seuls sur le coup : avant le déclenchement de la guerre, les grandes puissances anglo-saxonnes (Angleterre et États-Unis en première ligne) étaient en fait clairement des soutiens du pouvoir allemand dans sa « lutte contre le bolchévisme », et les appuyaient financièrement et même militairement. Et une fois le tournant de Stalingrad et la défaite allemande inéluctable, l’obsession des Américains, et probablement la véritable raison de leur débarquement en Normandie (alors que sur le plan militaire tout était déjà joué), ne fut pas du tout de « sauver l’Europe de la barbarie nazie », mais de contenir la poussée de l’Armée rouge en Europe centrale… Par ailleurs, pendant la guerre, les Allemands ont pu compter sur le soutien assidu d’une partie des populations d’Europe centrale et de l’Est pour organiser leur campagne d’épuration des Slaves, que ce soient les Croates oustachis (que l’on retrouvera 50 ans plus tard à l’œuvre contre les Serbes d’ex-Yougoslavie), une partie des Polonais mais aussi des Ukrainiens (le fameux mouvement nationaliste des « bandéristes », antisémite mais surtout antirusse, et qui collabora avec enthousiasme aux côtés de l’occupant nazi).

De l’impérialisme anglo-saxon à l’« exceptionnalisme » américain

Pour bien comprendre la situation actuelle, il faut également prendre en compte la mentalité profondément manichéenne et suprémaciste des Anglo-saxons, et en particulier des États-Unis. Descendant des Puritains anglais, l’élite américaine, marquée par l’idéologie de sa « Destinée manifeste », se considère littéralement comme le « nouveau Peuple élu », investi par le Dieu de l’Ancien Testament d’un droit absolu sur les autres peuples (à commencer par les malheureux Amérindiens, exterminés sans ménagement sur le même modèle que les occupants de Canaan au retour des juifs d’Égypte). De là cet insupportable « deux poids deux mesures », déjà présent dans le Pentateuque, qui revient à dire : « nous avons le droit divin de faire de vous ce que nous voulons, mais vous avez l’interdiction absolue de porter la main sur nous, et même de nous contredire, et même de résister ».

À l’époque moderne, ce suprémacisme religieux profondément totalitaire, et le « double standard » révoltant qui l’accompagne, s’incarnent dans la doctrine de l’« Exceptionnalisme américain », au nom de laquelle les USA réclament unilatéralement le droit de jouer les « gendarmes du monde » et de commander à la « communauté internationale », tout en s’exonérant sans aucune vergogne des règles qu’ils imposent aux autres par leur domination monétaire (le pétrodollar) et militaire (celle-ci étant permise par celle-là). Un « exceptionnalisme » bien commode lorsqu’il s’agit pour les politiciens américains de justifier, et même d’être fiers, d’avoir rasé des villes entières à coup de bombes thermiques (Dresde) ou atomiques (Hiroshima, Nagasaki), grillé des femmes et des enfants vietnamiens au napalm, et même, comme la sympathique Madeleine Albright, provoqué la mort de plus de 500 000 enfants innocents au Proche et Moyen-Orient (Irak, Afghanistan, Syrie…). Tout en mentant effrontément eux-mêmes, dans la plus parfaite inversion accusatoire, à propos de prétendus charniers serbes, massacres de bébés dans des couveuses koweitiennes, attaques à l’arme chimique syrienne et autres manipulations barbouzesques orchestrées avec le soutien des médias corporate. Sans oublier de s’autodécerner, avec le plus parfait cynisme, un « Prix Nobel de la Paix » au goût de sang (combien de familles innocentes réduites en charpie par les drones téléguidées de Obama ?).

Inévitablement, la prétention à la domination totale des États-Unis et de leurs dominions anglo-saxons et germaniques (mais hélas aussi, depuis Sarkozy, notre pauvre vieille France…) devait clacher avec un certain nombre d’autres peuples qui, de plus en plus nombreux, allaient vouloir s’opposer à cette prétention hégémonique et défendre ou restaurer leur indépendance. Dans un premier temps, ces peuples indociles purent être mâtés à coup de juntes paramilitaires d’extrême-droite (Amérique Latine), de « révolutions colorées » (type Shah d’Iran ou Boris Eltsine…), voire, lorsqu’on voulait être sympa avec ses amis du complexe militaro-industriel, de quelques tapis de bombes ou de missiles (Serbes de Yougoslavie, Irakiens, Libyens). Certes, il y a eu quelques petits loupés (le Cuba de Castro, le Vietnam, la Révolution islamiste en Iran, plus récemment l’Afghanistan), mais enfin, quand même, tout était sous contrôle, il y avait clairement d’un côté le « Camp du Bien » dirigé par les Yankees, fixant les règles du jeu international, et de l’autre le « Camp du Mal » avec quelques « états-voyous » isolés type Venezuela, Iran, Corée du Nord et cie. Et depuis la Chute du Mur de Berlin, l’effondrement de l’Union soviétique et la conversion de la Russie au capitalisme sauvage, les Américains pouvaient enfin triompher : c’était la « Fin de l’Histoire », le « Nouvel ordre mondial » unipolaire, l’Empire américain étendu à la planète entière, la domination sans partage des néo-conservateurs, de Wall Street et d’Hollywood – une hégémonie globale comme l’humanité n’en avait jamais connue jusqu’alors, économique et industrielle, financière, monétaire, militaire, politique, culturelle et même sportive…

Le réveil du Peuple russe

Mais voilà, « divine surprise », comme aurait dit Maurras : Poutine est arrivé. Le peuple russe s’est redressé, il a remis au pas ses capitalistes oligarques, il s’est réarmé militairement, économiquement et surtout moralement. Il a retrouvé foi dans son destin, la fierté de sa culture et de ses mœurs, le sentiment aigu de son particularisme identitaire et spirituel, frontalement opposée au matérialisme consumériste de l’Occident. Avec la ferme intention de redevenir une grande puissance régionale et de retrouver son autonomie au sein d’un monde multipolaire dans lequel aucun peuple ne peut plus se prétendre au-dessus des autres. Autant de prétentions insupportables aux yeux des impérialistes anglo-saxons, qui ne supportent pas qu’un peuple inférieur réduit en esclavage se rebelle et veuille s’émanciper…

Oh, certes, au début, on ne l’a pas trop pris au sérieux, ce petit agent du KGB sans grand charisme ; mais tout à coup, au moment de la Guerre en Syrie, on a réalisé qu’il était beaucoup, beaucoup plus fort qu’imaginé, et qu’il avait vraiment refait de la Russie une puissance de haut niveau, qu’il serait bien difficile, et même impossible, de remettre au pas. Pire, depuis cette renaissance de la Russie, les USA et leurs alliés connaissent revers sur revers à chaque fois qu’ils essayent de s’imposer par la force et l’intimidation, comme au bon vieux temps de Reagan et du clan Bush : incapacité à renverser Bachar El Assad, Hugo Chavez et même son pâle successeur Maduro ; fronde des pays latino-américains, menée par le Mexique et le Brésil ; indocilité et même désormais franche hostilité des pays pétroliers arabes, jusqu’à récemment alliés inconditionnels ; prise de distance de l’Inde, opposition frontale de la Turquie, émancipation progressive des pays africains…

En fait, ce n’est pas Poutine mais les USA et leurs valets qui sont de plus en plus isolés : dégoutés par leur arrogance, leur brutalité, leurs mensonges et double-jeu permanent, leur absence totale de morale et d’humanité envers les autres, les peuples du monde entier se détournent peu à peu des Occidentaux et construisent un autre monde sans eux, avec leur système bancaire et monétaire déconnecté du dollar, leurs industries de pointe, leurs accords commerciaux et de défense, leur internet, leurs propres compétitions sportives et musicales… Et comme c’est en fait l’Occident qui a besoin du reste du monde, et pas l’inverse (pour le pétrole, pour le blé, pour les terres et les métaux rares…), ça se traduit par la crise économique catastrophique que nous vivons actuellement et qui s’accélère avec les sanctions suicidaires prises contre la Russie…

Et l’Ukraine dans tout cela…

C’est dans ce contexte, donc, de déclin inéluctable de l’Occident, de crise financière en révoltes populaires, qu’il faut comprendre le conflit actuel en Ukraine. Cela fait maintenant près de dix ans que les Américains, ayant réalisé sur le tard que Poutine ne plaisantait pas et remettait vraiment en question leur suprématie eschatologique, sont prêts à tout pour supprimer Poutine et mater ce peuple russe indocile – et par « tout », il faut bien entendre « vraiment tout », comme le démontre le refus farouche des néoconservateurs, des démocrates et des leaders de l’OTAN d’adopter une doctrine de NFU (« No First Use ») nucléaire. Malheureusement pour eux – et heureusement pour les Russes – les États-Unis sont à tel point gangrenés par la corruption, le clientélisme, l’obésité, la violence raciale et désormais l’idéologie « woke », qu’ils n’ont plus les moyens de leurs ambitions ; et ça les rend très, très furieux et très, très méchants – un peu, en fait, comme les dirigeants du IIIe Reich après avoir compris que Stalingrad marquait la fin de leurs rêves millénaristes…

L’ultime tentative, après l’échec de l’option « barbus islamistes » (Al Qaeda, Tchéchènes, Daech…), c’est de lancer contre la Russie ces peuples européens qui partagent leur haine raciale du Slave. D’où le coup d’État de 2014 en Ukraine, orchestré par l’Ambassade des États-Unis, et qui a conduit à remplacer un président pro-russe légitime, Ianoukovytch, par un fantoche pro-occidental soutenu par des partis d’extrême-droite voire ouvertement néo-nazis (Svoboda, Pravyï sektor) ; mais aussi le « coup d’État soft » des milices bandéristes qui ont repris en main l’actuel président Zelensky, pourtant élu sur un programme de réconciliation avec la Russie, et l’ont obligé à torpiller les Accords de Minsk (qui prévoyaient l’autonomie des Républiques autoproclamées du Donbass) et à se lancer dans cette politique meurtrière d’oppression et de bombardement permanent des minorités russes (dans le silence le plus total des médias occidentaux, cela va de soi). Les mondialistes pro-américains jouent ici leur dernière carte, celle de la division tragique de l’Ukraine entre un Ouest qui s’identifie plutôt à l’ancienne Europe germanique et austro-hongroise, aspirant à rejoindre l’OTAN et l’Union européenne – un Ouest désormais dirigé de fait par une minorité d’extrémistes se revendiquant fièrement de la collaboration pronazie et appelant ouvertement à l’épuration culturelle, si ce n’est ethnique, des populations russophones ; et à l’Est des populations ethniquement russes en Crimée et dans le Donbass, qui ont commencé à s’inquiéter légitimement en 2014 lorsqu’ils ont vu arriver ces héritiers du IIIe Reich au pouvoir, et ont immédiatement demandé la protection de la Russie (voire, pour les Criméens, leur rattachement pur et simple à la « Mère Patrie »)…

Et nous en arrivons aux toutes dernières années, depuis l’élection de Joe Biden, avec une accélération du soutien de l‘OTAN à l’armée ukrainienne, son armement, sa formation, et l’encadrement direct des bataillons paramilitaires de fanatiques nazis, dits « bataillons Azov ». Fin 2021, tout était en place pour une opération massive contre le Donbass, avec comme projet global d’instrumentaliser le racisme anti-slave des Ukrainiens néo-nazis pour attaquer les populations russophones et provoquer une réaction de la Russie – qu’il serait alors facile de désigner comme l’« agresseur », permettant de dresser la « communauté internationale » contre eux, s’il le fallait en médiatisant quelques « atrocités » bien télégéniques des « bouchers russes » ; de pousser l’Allemagne à annuler le projet Northstream 2, et plus généralement l’Europe à arrêter de se fournir en énergie peu chère auprès de la Russie pour acheter du gaz de schiste américain, beaucoup plus coûteux et polluant ; de justifier des sanctions destinées à « mettre à genoux » l’économie russe, détruire le rouble, ruiner les oligarques proches du pouvoir, provoquer des troubles socio-politiques et finalement, dans les rêves les plus mouillés des milieux néocons et démocrates, attiser les braises d’une nouvelle « révolution de couleur », et pourquoi pas d’un coup d’État, pour (re)mettre au pouvoir à Moscou une marionnette pro-occidentale type Eltsine/Kasparov/Navalny…

Tout cela ressemble à un gigantesque complot, et le dénoncer sonne donc très « conspirationniste » – sauf que voilà, tout ce plan machiavélique a été préparé à l’avance par différent think-tanks proches du Pentagone, type RAND Corporation, dont les rapports tout ce qu’il y a de plus officiels recommandent ouvertement de provoquer, d’agresser et d’affaiblir économiquement et militairement la Russie par proxy ukrainien interposé (« nous résisterons jusqu’au dernier soldat ukrainien », pour reprendre la bonne blague qui circule dans les cercles de l’OTAN). Un véritable script cinématographique comme les Américains en ont le secret, et qui prévoit au passage, faisant d’une pierre deux coups, de « neutraliser » et vassaliser une bonne fois pour toute l’Union européenne…

La « lutte existentielle » du Peuple russe

Poutine, bien entendu, savait tout cela, et s’était préparé au scénario du pire avancé de plus en plus frontalement par les Occidentaux. Il avait pourtant joué carte sur table depuis le début, tracé sa « ligne rouge » – l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Car si l’Ukraine tombait dans le camp occidental, c’est la Russie elle-même qui serait acculée sur ses frontières, menacée dans son existence même : « Où pourrions-nous encore reculer ? », se demandait dramatiquement le président russe dans une de ses interventions télévisées, parlant au nom de son peuple… Oui, depuis le début, les Russes le proclament : pour eux, l’Ukraine, ce n’est pas une simple question de « territoire » ou d’« aire d’influence » : comme en 1941 lorsque les troupes nazies sont entrées sur leur territoire, c’est, littéralement, une question de vie ou de mort… Et les Occidentaux le savaient pertinemment, et c’est précisément pour cela qu’ils ont continué d’avancer méthodiquement, pas à pas, par cette tactique oppressante de l’« effet-cliquet » chère aux fondateurs de l’Union européenne, avec la certitude que l’Ours russe, tôt ou tard, sortirait de sa tanière et tomberait dans leur piège mortel…

Il faut donc bien comprendre que lorsque Poutine parle de « dénazifier » l’Ukraine, de « menace existentielle » contre la Russie, de « légitime défense », il parle très sérieusement, et ce qu’il dit est vrai. Ce sont bien les Américains et leurs alliés qui provoquent et agressent la Russie depuis 30 ans, en étendant l’OTAN vers l’est en violation totale de leurs promesses solennelles ; Il y a bien un mouvement néonazi, et même nazi tout court, qui a persisté en Europe centrale et de l’est, avec la bénédiction des Anglo-saxons ; il y a bien une volonté millénaire des Occidentaux de domestiquer, et même pour certains d’exterminer, le peuple slave de Russie ; la Russie est le Mal absolu, l’Ennemi à abattre, le dernier obstacle dans la quête de domination millénariste des USA ; pour la détruire, tout est donc autorisé, comme tout était autorisé au Peuple élu à son retour d’Égypte ; il n’y aura aucune limite à la propagande, au mensonge, à la manipulation. Car on ne se limite pas à vaincre un ennemi sur le champ de bataille, on ne signe pas de cessez-le-feu avec lui, on ne négocie pas : on cherche à l’humilier, à le soumettre, à le détruire s’il le faut…

Alors, lorsqu’en février 2022 Kiev a annoncé vouloir installer des missiles nucléaires sur son territoire, et commencé à engager d’importants mouvements de troupes sur la frontière du Donbass, Poutine a su que l’heure était venue, que l’attaque était imminente, que le combat à mort allait commencer. Mais il avait murement muri sa réaction. Après s’être assuré du soutien de la Chine, il a pris les devants et, conformément au précepte militaire selon lequel « l’attaque est la meilleure défense », il a attaqué préemptivement l’Ukraine via une procédure parfaitement préparée : reconnaissance officielle de l’indépendance du Donbass, réponse fraternelle à la demande d’accord de protection des nouvelles Républiques russophones, intervention parfaitement légale et légitime, dans le cadre desdits accords, pour interposer ses troupes entre l’armée ukrainienne et les populations du Donbass. Avec parallèlement l’ouverture d’un front au Nord vers Kiev pour détourner l’attention et empêcher les renforts d’arriver vers l’Est (Poutine n’a donc jamais eu l’intention d’envahir la totalité de l’Ukraine pour reconstituer l’URSS ou une fantasmatique « Grande Russie » : tout cela n’est qu’invention des médias occidentaux pour faire passer pour une « défaite humiliante » ce qui n’est qu’un plan de bataille rondement exécuté).

Aujourd’hui le Donbass est en grande partie libéré, la Russie reconstruit les services de base (électricité, eau potable, Internet, banques avec distributeurs de roubles…) ; les populations revivent enfin, pour la première fois depuis presque une décennie, sans la hantise d’un mortier ukrainien. Une dernière bataille est engagée avec ce qu’il reste de l’armée régulière ukrainienne et de néonazis fanatisés, avec la formation de plusieurs « chaudrons » autour de Kharkov, Kramatorsk et Sievierodinestsk. Sur le plan des sanctions, après une première réaction de panique, le rouble s’est stabilisé et se situe même aujourd’hui à un niveau plus élevé par rapport à l’Euro qu’avant le déclenchement de la guerre ; les pays européens, piteusement, viennent d’accepter les conditions de Poutine pour payer leur gaz en roubles ; la hausse des cours du pétrole s’est traduit par d’importantes rentrées de cash pour la Russie, qui a plus que compensé le manque-à-gagner de la guerre par le renforcement de ses relations avec la Chine, l’Inde et les autres pays d’Asie, et plus globalement le parrainage d’un nouveau front anti-occidental dans le monde. L’Europe est au bord de la crise énergétique et alimentaire pendant que la Russie n’a jamais été aussi solide, car indépendante, sur le plan économique. Loin de renverser Poutine, la population russe a fait front derrière lui et sa côte de popularité est remontée en flèche pour atteindre des niveaux qu’il n’avait pas connu depuis longtemps. Les Européens commencent à peine à comprendre qu’ils sont en train de se suicider pour le seul profit de quelques actionnaires américains. Poutine, de son côté, à définitivement renoncé à avoir un dialogue raisonnable et équilibré avec ces pays occidentaux qui mentent en permanence (« l’Empire du mensonge », ainsi les appelle-t-il dans ses discours, et comment ne pas lui donner raison ?) ; dans cette perspective, la prestation grotesque et minable de Macron a sans doute fortement contribué à lui ôter ses dernières illusions sur le sérieux et la bonne foi des « démocraties » européennes…

On peut le dire maintenant, le plan américain a échoué ; la Russie a résisté, et ressort plus forte de l’épreuve. L’hallucinante rhétorique antirusse de l’Occident, résumée en introduction, ce registre insane de la « soumission », de l’« humiliation », de la « destruction totale », loin de refléter la réalité du terrain, n’est autre que le révélateur des fantasmes de toute-puissance sadique du camp occidental, de sa psychologie manichéenne et millénariste, de son déni de la réalité. Cette propagande haineuse n’a rien à voir avec le monde tel qu’il est, mais seulement tel que notre hubris névrosé voudrait qu’il soit – et tel qu’il ne sera jamais désormais, pour le plus grand soulagement de l’humanité. Il reste juste à espérer que les Américains et leurs complices de l’OTAN, se rendant compte de leur échec, ne sombreront pas dans la folie et la frustration, et n’en viendront pas à des actions désespérées et apocalyptiques, semblables à celle des nazis avec les juifs (« puisque nous n’avons pas gagné, vous périrez avec nous » : voilà ce que fut, au bout du bout, la « solution finale »)…

Conclusion : pour le Salut de la France et de la Russie…

Ce texte a été écrit trop vite, avec trop de passion, de subjectivité parfois. Il comporte certainement des raccourcis, des approximations, peut-être quelques erreurs… Mais l’essentiel y est, et l’essentiel, c’est qu’il ne faut pas se laisser influencer, intimider et même terroriser par l’écrasante machine de propagande occidentale, les chaînes d’info en continu, les artistes bien-pensants et toute la clique du « Camp du Bien » ; ne pas baisser les yeux et s’écraser devant toutes ces relations professionnelles, sociales ou familiales qui s’indignent de votre « soutien au génocide ukrainien », comme ils s’indignaient hier de votre opposition au passe sanitaire et au « vaccin » anti-covid (« Mais vous allez tuer nos grands-parents ! »). Poutine, et tout le peuple Russe avec lui, est dans son bon droit. La justice, la morale et la vérité sont de leur côté – de « notre » côté, oserai-je dire, puisque dans ces moments-là je m’identifie totalement, avec un immense bonheur, à ce peuple magnifique, fier et indomptable, celui de Dostoïevski, de Rachmaninov et de Soljenitsyne, dont je m’honore d’avoir un peu du sang dans le mien.

Une certaine fierté, aussi, d’être Français, le seul peuple occidental à avoir toujours manifesté une admiration et une sincère amitié pour les Russes, depuis l’époque de Voltaire et de Catherine II, des Russes blancs de la Côte d’Azur et du Général de Gaulle, de Hélène Carrère d’Encausse et de Romain Gary. Je suis intimement persuadé que notre Salut commun est dans la régénération du « couple franco-russe », ces deux vieilles puissances terriennes et paysannes dont le destin commun est de faire front au mercantilisme anglo-saxon – et c’est un privilège pour moi de me sentir déjà l’enfant d’une telle famille… 




Qui n’a pas son programme ? Demandez votre programme !

La World Company a l’honneur de vous présenter sa nouvelle super production diffusée sur Netflix « la variole du singe(([1] Toutes les affirmations citées sont sourcées.))» !

Nous vivons sur une planète où tout va de plus en plus vite.
Difficile de suivre toutes les nouvelles séries tant elles s’enchaînent :

  • Alors même que la saison 1 de « War in the Ukraine » bat son plein !
  • Alors même que nous terminons la saison 2 de la série comique « the Covid » et que nous attendons avec impatience la prochaine saison riche en rebondissements et en effets secondaires !

Le pilote de « Monkeypox, panic on the earth » a été diffusé il y a quelques jours.

Je vous fais le pitch rapide :

« Un homo(([2] « S’il y a une communauté qui doit faire attention à elle, c’est la communauté homosexuelle ». Eric Caumes
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/un-cas-suspect-de-variole-du-singe-en-france-il-faut-rester-tres-prudent-previent-eric-caumes_AV-202205200094.html)) a couché avec un singe en Afrique, singe qui avait une crise d’urticaire et le contamine. L’homme a ensuite transmis sa maladie à ses copains lors d’une petite fête.

Allons-nous assister à une nouvelle épidémie mondiale ? Le suspens est insoutenable ! »

Attention, ce document révèle des éléments de l’intrigue qui ne se sont pas encore produits et qui pourraient gâcher le plaisir des téléspectateurs.

Si vous désirez angoisser au fil des semaines je vous invite à ne pas lire ce qui suit et regarder la série en direct sur BFM.

Assez bavasser, je vous dis tout !

Tout commence avec l’OMS(([3] https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON381)) qui publie la bande-annonce de la série :

« On 7 May 2022, WHO was informed of a confirmed case of monkeypox in an individual who travelled from the United Kingdom to Nigeria and subsequently returned to the United Kingdom. »

« Le 7 mai 2022, l’OMS a été informée d’un cas confirmé de variole du singe chez une personne qui a voyagé du Royaume-Uni au Nigeria et est ensuite retournée au Royaume-Uni. »

Le 18 mai le Département de Santé Publique du Massachusetts(([4] https://www.mass.gov/news/massachusetts-public-health-officials-confirm-case-of-monkeypox)):

« … today confirmed a single case of monkeypox virus infection. This contact tracing approach is the most appropriate given the nature and transmission of the virus.
The confirmed case poses no risk to the general public »

« … a confirmé aujourd’hui un seul cas d’infection par le virus monkeypox.
L’approche basée sur le contact tracing est la plus appropriée compte tenu de la nature et de la transmission du virus.

Le cas confirmé ne présente aucun risque pour le grand public »

Je dois déjà les mauvaises langues et les esprits désabusés nous parler de « plagiat ».

C’est n’importe quoi !
Allez-vous dire que Top-chef et Master-chef sont les mêmes émissions ?
Le Covid et le Monkeypox n’ont rien à voir même si les producteurs sont les mêmes.

Pour le premier, nous avons un pangolin qui couche avec une chauve-souris et les deux qui s’enfuient de leur résidence P4 de Wuhan pour aller au marché, alors que là c’est un brave homme en Afrique qui a une idylle amoureuse avec un singe contaminé par une maladie éradiquée depuis 1980.
Vous voyez bien que cela n’a rien à voir !

Bon d’accord, pour les deux histoires on dit que « ce n’est pas grave », que « tout est sous contrôle »… mais vous voulez quoi ?
Que le pilote débute avec 50 millions de morts dès les premiers jours ?
Briseurs de bonheur !

Fort heureusement, tous les grands médias jouent le jeu de la promotion, super production oblige !

Sur TF1(([5] https://www.tf1info.fr/sante/qu-est-ce-que-la-variole-du-singe-dont-des-cas-ont-ete-detectes-en-espagne-et-au-portugal-2220176.html)) on a pu lire le 18 mai 2022 :

« La durée d’incubation — intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes — est en général de 6 à 16 jours, mais peut aller de 5 à 21 jours. Les symptômes durent de 14 à 21 jours et disparaissent, en général, spontanément. Néanmoins, ils peuvent parfois être fatals, le taux de létalité de la variole du singe étant de 1 à 10 %. Particularité notable, les cas graves touchent, généralement, des enfants. »

Je ne trahis pas le scénario en voyant qu’ils sont en train de nous amener vers les PCR et le confinement…

En cela, il ne s’agit nullement de plagiat, je le redis, mais d’une simple application du consensus scientifique du 21e siècle, plus précisément post 2020, qui a prouvé que des millénaires d’expérience n’étaient que de la merde ainsi que toutes les études précédentes.

Qui peut encore douter de l’efficacité des confinements hormis quelques crétins qui citent des pays qui ont fait différemment comme la Suède alors que « La suède, ce n’est pas comparable et ils regrettent bien leur stratégie ».

En Belgique c’est pareil, RTL(([6] https://www.rtl.be/info/belgique/societe/variole-du-singe-de-quels-traitements-dispose-t-on-deja-pour-traiter-la-maladie–1377856.aspx)) a publié le 21 mai de cette année :

« L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’attend à ce que le nombre de cas de variole du singe se multiplie notamment en Europe, mais aussi au Canada en Australie ou encore aux États-Unis “Alors que nous entrons dans la saison estivale (…) avec des rassemblements, des festivals et des soirées, je crains que la transmission s’accélère”, a affirmé le directeur de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge. Et de rajouter “Si vous êtes malade, il faut vous mettre en isolement pendant 21 jours : c’est la durée de la période d’incubation.” 

Emmanuel Bottieau, Chef de l’unité des maladies tropicales à l’institut de médecine tropicale d’Anvers : “On a une molécule qui a été développée pour la variole, mais pour la variole historique. Il y a eu à un moment donné, un risque de bioterrorisme et donc on a développé à ce moment-là un traitement qui est efficace et qui a déjà d’ailleurs été utilisé aussi pour la variole du singe.” 

La transmission se fait par contact direct. Il faut donc éviter de toucher une personne contaminée et bien se laver les mains pour s’en prémunir. »

Petit à petit nous entrons dans l’intrigue et voyons bien, une fois de plus, que la série « Covid » et la série « Monkeypox » n’ont rien en commun !

Alors que le Covid était un virus « naturel » échappé par « accident » d’un laboratoire où il était « naturellement » présent, la variole du singe serait peut-être une attaque bioterroriste !

L’histoire se présente bien, mais je trouve qu’il y a quelques petites failles dans le scénario, failles qui ne peuvent titiller qu’un complotiste comme moi.

Par exemple, au moment de l’écriture de ces lignes, l’histoire nous indique que les seuls pays où les premiers cas du virus ont été confirmés sont les USA, l’Europe, le Canada et l’Australie.
Je cherche la petite bête, mais bon, reconnaissez que ces pays sont relativement peu connus pour leurs colonies de singes et, par voie de conséquence, aucun cas n’est signalé dans les pays qui ont des singes !

Je me demande s’il n’y aurait pas une pointe de racisme que les IELs devraient soulever. On pille l’Afrique et les pays pauvres et on leur vole même leurs maladies !

Je reconnais qu’il y a une petite malhonnêteté de la part des scénaristes. Comme par hasard, l’épidémie démarre dans les pays où la série Covid a le mieux fonctionné… les pays qui ont connu les meilleures ventes de produits de merchandising comme les « vaccins ».

Je voudrais aussi dire aux médecins complotistes qu’ils ne vont pas nous gâcher le plaisir et refaire le coup du Covid en balançant des âneries monumentales comme le fait que « ce n’est pas dangereux et ça se traite ».

Autant TF1 a fait le job en parlant de « 1 % à 10 % de décès », ce qui est super chouette, car largement plus que pour le Covid, mais aussi en nous disant que les enfants étaient largement menacés, ce qui ne peut que nous réjouir et nous donner l’eau à la bouche.

Vivement des images d’enfants mourant dans les hôpitaux après d’horribles souffrances ou les alignements de petits cercueils blancs !

Car pour le Covid, ils avaient beau nous sortir des épisodes dans lesquels il était dit que le Covid était dangereux pour les enfants, on restait sur notre faim. Il y a bien eu quelques grands professeurs pour nous raconter qu’ils avaient des enfants qui mourraient dans leur service… mais la mayonnaise n’a pas pris. Soyons francs, le Sars-cov2 est un virus de merde en ne tuant que des vieux et des malades.

La série était condamnée sans l’idée géniale des scénaristes transformant les petits-enfants en tueurs de grands-parents. L’intrigue n’a été sauvée qu’en imposant confinement, distanciation, gel, masque et en forçant la vaccination des enfants pour nous tenir en haleine pendant des mois. Il faut dire qu’il fallait oser pour rendre moral le sacrifice des enfants pour rassurer des vieux cons qui ont peur de mourir malgré leur vie de merde.

Les premières images de la variole du singe sont pleines d’espoir :

« Ce n’est pas dangereux, mais il y a entre 1 % et 10 % de morts »

ou :

« Il y a des traitements, mais les enfants en meurent aussi ».

À ce titre je voudrais remercier chaleureusement le professeur Caumes qui, sur Cnews, nous a bien dit que les vieux étaient plus protégés parce qu’ils avaient bénéficié de la vaccination obligatoire contre la variole tandis que les jeunes enfants ne sont pas protégés du fait de la fin de cette vaccination obligatoire.

Hélas, j’ai pu lire sur Twitter les annonces « criminelles » du docteur Alain Brugerie(([7] https://twitter.com/brugerie/status/1527758501581398017))…

Entre parenthèses nous payons déjà les annonces d’achat par le complotiste Musk. À quand une implication sans faille du Ministère de la Vérité pour empêcher de pervertir « les cons qui gobent n’importe quoi ».

Ce médecin irresponsable (à moins que cela fasse partie du scénario pour faire du buzz) a écrit :

« La variole du singe est bien moins dangereuse que la varicelle, mais son appellation beaucoup plus » vendeuse » pour affoler les populations déjà terrorisées par l’inoffensif Omicron et c’est bien là le but.

La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques »

Nous ne pouvons qu’être glacés d’effroi face à de tels propos irresponsables incompatibles avec la dictature et l’ultralibéralisme.

Un peu d’histoire avec un petit ou un grand « H », c’est selon…

1820 Vaccination massive antivariolique à Londres.(([8] https://www.bbc.com/news/uk-england-leicestershire-50713991))

1853 Loi vaccination obligatoire avant 3 mois en Angleterre avec fortes sanctions en cas de désobéissance.

1869 Création de la « Leicester Anti-Vaccination League ».

Les parents ne voulaient plus vacciner leurs enfants à cause des effets secondaires graves et une efficacité toute relative. De moins en moins d’enfants sont vaccinés.

1885 Grande manifestation à Leicester suite aux milliers d’amendes pour non-vaccination.

La ville met en place un système de détection et isolement des malades.

« Leicester s’en est bien tiré, avec 370 cas — un taux de 20,5 cas pour 10 000 habitants — entraînant 21 décès. Il s’agissait d’un nombre de cas bien inférieur à celui de certaines villes bien vaccinées comme Warrington (125) et Sheffield (144). »

1898 — La loi sur la vaccination introduit une clause d’« objection de conscience ». Loi dont nous français ne pouvons pas bénéficier.

Selon le magazine Science(([9] https://www.science.org/doi/pdf/10.1126/science.357.6347.115?download=true)) du 17 juillet 2017 :

1900 à 1978

Entre 300 et 500 millions de morts de la variole dans le monde.

Le 21 décembre 1977, F. J. Tomiche, porte parole de l’OMS publiait un article fort « complotiste » dans Le Monde(([10] https://www.lemonde.fr/archives/article/1977/12/21/la-variole-vaincue_2855286_1819218.html)) (texte complet(([11] https://groups.google.com/g/atdlvq/c/O4pok84N22I))).

« Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite de “surveillance-endiguement” revêtit une importance capitale. Elle résulta de deux observations. La première était que même dans des populations vaccinées à 90 % on pouvait assister à des flambées épidémiques. La seconde était qu’avec ce type d’approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »

1980

L’OMS déclare officiellement l’éradication de la variole « grâce au vaccin ».

1990

L’OMS déclare qu’il faut détruire les stocks de souches de variole, mais cela reste un effet d’annonce.

2016

Des chercheurs canadiens recréent le virus de la variole en utilisant des fragments d’ADN commandés en ligne. Leur travail soutiendrait la thèse visant à garder toutes les souches pour se prémunir d’attaques terroristes. Ainsi les chercheurs disposeraient du matériel génétique pour développer de nouveaux vaccins en cas de menace.

Je vous avais promis de vous faire des révélations sur la série et j’invite donc les personnes qui ne veulent pas gâcher le suspense à ne pas lire ce qui suit.

Le 24 septembre 2019, soit avant la sortie officielle de la série « Covid in your ass », la FDA(([12] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-live-non-replicating-vaccine-prevent-smallpox-and-monkeypox)) (qui autorise les médicaments aux USA après pot-de-vin) a indiqué :

« The U.S. Food and Drug Administration announced today the approval of Jynneos Smallpox and Monkeypox Vaccine, Live, Non-Replicating, for the prevention of smallpox and monkeypox disease in adults 18 years of age and older determined to be at high risk for smallpox or monkeypox infection. Therefore, although naturally occurring smallpox disease is no longer a global threat, the intentional release of this highly contagious virus could have a devastating effect. »

« La Food et Drug Administration a annoncé aujourd’hui l’approbation du vaccin Jynneos contre la variole et le monkeypox, vivant, non réplicatif, pour la prévention de la variole et de la maladie du monkeypox chez les adultes de 18 ans et plus considérés comme étant à haut risque d’infection par la variole ou le monkeypox. Par conséquent, bien que la maladie naturelle de la variole ne soit plus une menace mondiale, la libération intentionnelle de ce virus hautement contagieux pourrait avoir un effet dévastateur. »

En septembre 2019 des chercheurs ont donc eu l’idée « géniale » de sortir un vaccin contre une maladie qui n’existe plus (je vous dis pas la dépense).
Juste au cas où, par un malheureux « hasard », un taré allait libérer un virus qui n’existe plus dans la nature.

Comment ne pas trouver ce scénario aussi ridicule qu’un Sars-cov2 manipulé par des humains dans un laboratoire connu pour faire des recherches sur le gain de fonction de virus pour ensuite le libérer dans la nature ? C’est là qu’on voit que je ne suis pas scénariste, il n’y a que la World Company pour imaginer un truc pareil.

Attendez, ce n’est pas tout !

Le 4 juin 2021, alors même que nous sommes en pleine saison 2 de « the anal Covid », la FDA(([13] https://www.fda.gov/drugs/news-events-human-drugs/fda-approves-drug-treat-smallpox)) en remet une couche !

« The U.S. Food and Drug Administration today approved Tembexa (brincidofovir) to treat smallpox. Although the World Health Organization declared smallpox, a contagious and sometimes fatal infectious disease, eradicated in 1980, there have been longstanding concerns that the virus that causes smallpox, the variola virus, could be used as a bioweapon.
Because smallpox is eradicated, the effectiveness of Tembexa was studied in animals infected with viruses that are closely related to the variola virus. Effectiveness was determined by measuring animals’ survival at the end of the studies. More animals treated with Tembexa survived compared to the animals treated with placebo »

« La Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé aujourd’hui Tembexa (brincidofovir) pour traiter la variole. Bien que l’Organisation mondiale de la santé ait déclaré la variole, une maladie infectieuse contagieuse et parfois mortelle, éradiquée en 1980, on craint depuis longtemps que le virus qui cause la variole, le virus de la variole, puisse être utilisé comme arme biologique.
La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. L’efficacité a été déterminée en mesurant la survie des animaux à la fin des études. Plus d’animaux traités avec Tembexa ont survécu par rapport aux animaux traités avec un placebo »

Je vous sais un public averti, mais je ne résiste pas au plaisir de vous réécrire la phrase suivante :

« La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. »

Ce médicament a donc été autorisé sur des humains en ne testant son efficacité sur aucun homme étant donné que la maladie n’existe plus. Il a ainsi été uniquement testé sur des animaux avec un virus qui ressemble au virus humain. !!!
Dire qu’il existe des personnes qui se méfient de l’industrie pharmaceutique… On se demande bien pourquoi.

Ici encore on dépense des millions pour guérir d’une maladie qui n’existe plus. Quand on connaît cette industrie, sa soif de bénéfices, son désintérêt total pour des maladies orphelines dont le retour sur investissement est nul, son désintérêt total de l’humanité, pourquoi iraient-ils faire des dépenses délirantes pour une maladie sans malades ?

À ce stade de l’histoire, il n’est plus possible de douter de l’humour ravageur des auteurs.

Heureusement que tout ceci n’est que « fiction ».
Qui dans la vraie vie pourrait trouver le scénario crédible ?

C’est aussi délirant que d’imaginer des milliards de terriens demandant à se faire injecter une substance expérimentale à base d’ARN messager jamais commercialisée auparavant et en autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour espérer se protéger d’une maladie qui ne tue que des mourants à qui on a refusé le traitement efficace quasi gratuit.
Scénario tiré par les cheveux…

Quelle est la suite de la série ?

Vous me croirez si vous voulez, mais le scénario complet de la variole du singe a été publié sur le site du NTI(([14] https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/))
Le NTI est une association basée à Washington qui vise à augmenter, entre autres, la sécurité nucléaire.
Si vous allez voir, il n’y a que des gens bien et sérieux dans l’équipe, dormez tranquille.

Le 23 nov. 2021, le NTI publie un article intitulé :

« Renforcer les systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à fortes conséquences. »

En mars 2021, soit plus d’un an avant la diffusion de l’épisode pilote, « NTI s’est associée à la Conférence de Munich sur la sécurité pour mener un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques à conséquences élevées. »

« Les participants comprenaient 19 hauts dirigeants et experts de toute l’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe avec des décennies d’expérience combinée dans la santé publique, l’industrie de la biotechnologie, la sécurité internationale et la philanthropie. » (philanthropie, ça vous fait penser à qq ?)

Attention, scénario dévoilé !

« Développé en consultation avec des experts techniques et politiques, le scénario fictif de l’exercice dépeint une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle de virus de la variole du singe qui est apparue pour la première fois dans la nation fictive de Brinia (NB c’est “Brinia” et non “Britain” comme pour le premier cas “réel” indiqué par l’OMS) et s’est propagée à l’échelle mondiale pendant 18 mois.
En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène conçu dans un laboratoire avec des dispositions de bio-sûreté et de biosécurité inadéquates et une surveillance faible. »

« Les discussions tout au long de l’exercice sur table ont généré une gamme d’idées précieuses et de conclusions clés. Plus important encore, les participants à l’exercice ont convenu que, malgré les améliorations apportées à la suite de la réponse mondiale à la COVID-19, le système international de prévention, de détection, d’analyse, d’alerte et d’intervention en cas de pandémie est terriblement inadéquat pour relever les défis actuels et futurs. Les lacunes dans l’architecture internationale de la biosécurité et de la préparation aux pandémies sont importantes et fondamentales, compromettant la capacité de la communauté internationale à prévenir et à mettre en place des réponses efficaces aux événements biologiques futurs, y compris ceux qui pourraient correspondre aux impacts de COVID-19 ou causer des dommages beaucoup plus graves. »

Il est montré que dans le cadre d’une pandémie il faut donc une réponse globale et non laisser chaque nation décider ce qui est bon ou pas.

Le document (scénario) complet(([15] https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf)) de la série donne plus de détails.

À la page 9 vous avez confirmation de la participation de certains « philanthropes ».

« Dr. Chris Elias
Président, Global Development Division
Bill & Melinda Gates Foundation »

La série doit s’articuler en 3 saisons comme cela est résumé en page 10.

Je vous rappelle que ce wargame a été préparé en mars 2021 en pleine pandémie Covid.
Le monde est en train de mourir, mais eux ont le temps de pondre un nouveau scénario.

La date fictive retenue pour le début de la super production « Monkeypox », ce qu’ils nomment « l’attaque », est le 15 mai 2022.

Nous voyons avec bonheur que les délais ont pu être respectés, le premier cas « réel » s’est déroulé il y a quelques jours le 7 mai 2022 alors que dans le scénario c’était le 15 mai.
Beau boulot quand même !

La saison 1 (premier mouvement, comme une symphonie) débuterait le 5 juin 2022.

À cette date il n’y aurait que 4 morts et comme les cas se produisent dans des pays qui n’ont pas de variole (coïncidence avec la « réalité »), les experts trouvent ça bizarre.

Le séquençage révélera que la souche contient des mutations qui la rendent résistante aux vaccins existants (Ben oui, sinon la série s’arrête là et il n’y a aucun intérêt, réfléchissez une peu).

« La discussion qui a suivi a porté sur la manière dont le système international est positionné pour analyser les indicateurs initiaux du risque de pandémie et de communiquer les avertissements appropriés. »

La saison 2 (deuxième mouvement de la symphonie) débuterait le 10 janvier 2023 soit six mois plus tard.

« À ce moment s’est propagé dans 83 pays avec 70 millions de positifs, causant plus de 1,3 million de décès.

En l’absence de thérapies efficaces connues ou vaccins, les pays ont dû s’appuyer principalement sur des Interventions Non Pharmaceutiques (NPI) pour contrôler la pandémie. »

Là ça devient intéressant et nous rappelle de si bons souvenirs.

On connaît la musique, confinements, gestes barrières, masques, passeports sanitaires, PCR…

« Soulignant des résultats nationaux très différents dans la gestion de la pandémie,
certains gouvernements, dont la République fictive de Dranma, ont rapidement adopté des mesures agressives pour ralentir la transmission du virus en fermant les rassemblements de masse, en imposant des mesures de distanciation sociale et mise en œuvre des obligations de masque.

Ces pays ont également mis en place des tests et une recherche des contacts à grande échelle et intensifié leurs systèmes de soins de santé pour prendre en charge le nombre croissant de cas prévus.

Par contraste, le scénario représente un autre groupe de pays, dont le Cardus fictif, qui ont donné la priorité pour garder leurs économies ouvertes, entreprendre peu ou pas de NPI et minimiser les répercussions. Ces pays ont connu des résultats bien pires en termes de maladie et de mortalité que ceux qui ont répondu tôt et énergiquement. Dranma a connu beaucoup moins de cas et de décès que Cardus. »

CQFD.

N. B. Toute ressemblance avec une série existante ne serait que pure coïncidence.

La saison 3 (3e et dernier mouvement) débuterait le 10 mai 2023 un an après les premiers cas.

Vous allez voir que là on est dans du grand spectacle avec effets spéciaux et tout et tout.. Si Kubrick était encore parmi nous, il pourrait nous refaire le coup et faire toutes les prises de vue, n’étant pas un bleu en la matière.

Au début de la saison 3, nous en serions à plus de 480 millions de cas et 27 millions de décès dans le monde. Là on fait moins les malins, on ne dit plus que « la variole du singe est une petite varicelle ». On ferme sa gueule et on ouvre en grand son trou du cul pour l’avoir bien profonde !

« À ce stade, les participants apprennent que la pandémie a été causée par un attentat bioterroriste régional qui a largement dépassé les objectifs des auteurs. »

Comme quoi on a appris des erreurs du Covid, virus trop gentil qui ne tue quasi personne… « là on n’est pas des pédés, on a mis le paquet » comme dirait Bigard !

Le scénario ne semble pas avoir tenu compte de la sortie d’un vaccin en 2019 et d’un médicament en 2021 ou alors il ne fonctionne pas du fait des mutations, le scénario est à préciser,

Gouverner c’est prévoir, mais là, ça touche au génie.
Pour le Covid ils ont fabriqué un « vaccin » en quelques heures, mais après le début de la maladie.
Pour la variole et pour ne pas être pris de court, ils les ont fabriqués alors même que la maladie n’existait pas.
Et grand bien leur a pris avec l’apparition de la maladie « réelle » en ce début mai 2022.

Ce sera donc durant la saison 3, dans un an, que l’on apprendra que le virus avait été dispersé « dans les gares bondées de Brinia pendant les grandes vacances, alors qu’une grande partie de la population voyageait au niveau national et international. »

C’est bien la preuve qu’il est irresponsable de laisser les gens libres de se déplacer et voyager et la preuve que « la liberté c’est l’interdit », car « il ne saurait y avoir de liberté sans sécurité ».

Les méchants que nous n’avons pas encore identifiés dans la vie réelle (si, si) « ont utilisé des publications scientifiques accessibles au public pour guider leur travail et modifié le virus monkeypox pour le rendre plus transmissible et résistant aux vaccins actuellement disponibles. »

Bref du gain de fonction que ce cher Dr Fauci a largement financé.

Les « gentils gars » du scéna ont discuté des solutions :

« Le système international et les gouvernements nationaux doivent être transformés pour mettre l’accent sur des actions d’anticipation prédéterminées “sans regret” »

Si vous voulez flipper, c’est donc bien le moment.

Pour eux il est évident qu’il serait « efficace » de mettre des enfants de 3 ans positifs dans des camps loin de leurs parents. Si c’est « efficace », alors faisons-le !

Nous sommes bien dans une philosophie sataniste où la fin justifie les moyens « no regret » et il est explicitement dit qu’il faut une gouvernance mondiale, certainement pas une démocratie, mais une dictature mondiale.

Ainsi le « principe de précaution » nécessite de mettre en place toutes mesures préventives nécessaires « sans regret ». Pour éviter le pire, nous sommes bien d’accord que nous devons annihiler toutes libertés.

Sinon l’histoire termine « bien » :

« À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde. » 

Ce qui est extraordinaire est qu’ils n’ont pas peur d’affirmer qu’il faut mettre en place toutes les mesures dictatoriales possibles pour finir avec… 270 millions de morts (sur 2 ans ?).

270 millions c’est quand même du bon boulot si on pense que la variole aurait provoqué 400 millions de morts en 80 ans, soit 5 millions par an !

Les discours est désormais bien rodé « nous n’avons eu QUE 270 millions de victimes, mais sans nos mesures liberticides il y en aurait eu 10 fois plus ».

J’aime bien aussi le fait qu’ils écrivent « pandémie fictive »… au moins c’est dit !

Je vous ai transmis leur scénario tel qu’il est écrit noir sur blanc, mais pour l’instant seul le pilote a été diffusé afin de mettre en place les personnages.

Est-ce que la série va prendre ?
Est-ce qu’elle va avoir le même succès que « Covid, we fuck you » ?

Tout ceci est difficile à dire et nous ne sommes pas dans le secret des nouveaux Dieux commandés par Satan.
Les prochains jours ou semaines vont être probablement décisifs.

Les paniqués vont pouvoir avoir de sacrées sueurs froides.

Merci

Alain Tortosa
23 mai 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220523-variole-du-singe-blockbuster.pdf





Variole du singe : le G7 lance une simulation mondiale, l’armée US fournit le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Depuis hier, la variole du singe affole l’opinion publique, au point que les premiers articles sur les risques d’un nouvelle épidémie ont commencé à fleurir. De notre point de vue, il s’agit d’une fausse alerte comme, ces dernières semaines, nous en avons connu avec le virus de Marburg, la rougeole ou la méningite. Mais, s’agissant de la variole du singe, le processus est intéressant à décortiquer, car il montre comment s’est mis en place un processus bien rodé de diffusion de la peur.

[NDLR : cette fois pourrait cependant être la bonne, car une telle « épidémie » semble bien avoir été programmée.
Voir :
Un organisme financé par quelques milliardaires dont Bill Gates prévoyait une épidémie de variole du singe pour le 15 mai 2022
et
Un document de la Nuclear Threat Initiative datant de 2021 prévoyait une bio-attaque fictive de variole du singe le 15 mai 2022 – Aube Digitale]

Cameroun: des cas de variole du singe soulèvent un vent de panique dans le pays - Le360afrique.com

La variole du singe est devenue, en quelques heures, l’un des principaux sujets de préoccupation sur les réseaux sociaux. Et l’annonce, hier, de la découverte d’un cas suspect en France devrait assurer à la question une popularité durable. Mais, signe des temps, c’est autant le mode opératoire de cette diffusion que la maladie elle-même, qui se trouve au centre des préoccupations. Existe-t-il une machine épidémique qui manipule les peurs pour vendre des remèdes ?

[Voir :
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

La question est désormais sur toutes les lèvres.

La variole du singe, une épidémie inattendue ?

À la différence du COVID 19, la variole du singe n’est pas vraiment une maladie nouvelle. Elle est proche de la variole humaine, n’est que très rarement mortelle, et que très peu contagieuse entre humains.

Le ministère de la santé le rappelle dans une alerte diffusée hier :

A ce stade, les cas rapportés sont majoritairement bénins, et il n’y a pas de décès signalé.

Comme le rappelle également le ministère de la Santé, la maladie est endémique en Afrique.

Pour l’ensemble des cas confirmés, les analyses ont mis en évidence un virus appartenant au clade “Afrique de l’ouest” du virus MKP, suggérant un lien initial avec le Nigéria, pays dans lequel le virus circule régulièrement depuis 2017. Hormis le cas signalé au Royaume-Uni le 7 mai dernier importé du Nigéria, les nouveaux cas signalés ne rapportent pas de voyage en Afrique ou de lien avec une personne au retour d’Afrique.

Ce qui intrigue ici, c’est la diffusion quasi simultanée de la maladie dans plusieurs foyers de contaminations, sans lien apparent entre eux, notamment en Espagne, au Portugal, en Angleterre, en France. Manifestement, c’est une souche du Nigéria qui circule. Alors que la maladie est peu contagieuse, et qu’elle suppose une incubation de deux ou trois semaines, tout se passe comme si sa diffusion était fulgurante et sans explication rationnelle.

Une épidémie créée ?

Immédiatement a circulé l’idée que cette épidémie est tout sauf le fait du hasard.

Beaucoup d’internautes ont retrouvé un message diffusé il y a six mois par Bill Gates, selon lequel le monde pourrait souffrir d’un attaque bio-terroriste consistant à diffuser un virus de la variole dans 10 aéroports simultanément.

https://content.jwplatform.com/players/KLA20pmI-XLzx33eA.html

Tiens ! tiens !

Dans le même temps, Bill Gates annonçait investir des milliards dans la recherche contre cette maladie. On lira dans Newsweek le fact-checking embarrassé de cette nouvelle théorie complotiste. En réalité, Gates annonce l’épidémie de variole depuis 2017, et pousse l’OMS à mener des recherches en ce sens.

On ne sait pas trop ici si ce sont les avertissements de Bill Gates qui rendent l’opinion éruptive sur la question de la variole, ou si la possible épidémie est montée en épingle par la caste parce qu’elle est préparée de longue date.

L’étrange exercice de simulation du G7 sur… une épidémie de variole

L’information passe inaperçue en France, mais, le jour même où l’épidémie de variole commence à affoler les masses, les ministres de la Santé du G7 se retrouvent… pour annoncer la simulation entre eux d’une épidémie de variole du singe due à une morsure de léopard qui se répandrait dans le monde. Là encore, les anti-complotistes vont pouvoir faire leurs choux gras des déductions qui seront (trop hâtivement ?) tirées de cette coïncidence. Mais il est pour le moins difficile de ne pas se poser la question de l’influence exercée par Bill Gates sur les décisions ou les initiatives du G7.

On notera que le même G7 en a profité pour lancer une nouvelle ode au vaccin contre le COVID.

Le grand défi est ‘d’apporter le vaccin aux peuples’, a déclaré Schulze. De nombreux pays ne disposaient pas des infrastructures et du matériel nécessaires tels que des seringues ou des camions frigorifiques. Les États du G7 veulent ici davantage soutenir les pays du Sud.

De là à penser que l’épidémie soit l’habillage d’une grande opération destinée à vendre les vaccins de Bill Gates et consorts… il n’y a qu’un pas.

L’Espagne se lance dans l’achat de vaccins contre la variole

Sans surprise, l’Espagne a annoncé ses premières mesures de lutte contre la prétendue épidémie de variole : le pays achète des milliers de doses de vaccins contre la variole humaine.

D’après le quotidien El País, ce vaccin ne serait pas destiné à être administré à la population générale, mais uniquement aux malades dont l’infection est confirmée. “C’est un vaccin basé sur un type atténué d’un virus apparenté à la variole. Il est très sûr et peut également être administré aux personnes immunodéprimées, en plus d’avoir moins d’effets secondaires que les vaccins antivarioliques traditionnels”, explique Carlos Maluquer, professeur de virologie moléculaire à l’Université de Surrey (Royaume-Uni), à nos confrères espagnols.

On notera au passage que la FDA a validé le premier vaccin contre la variole du singe le 24 septembre 2019. Voilà qui tombe bien. Il s’agit du Jynneos, développé par l’armée américaine. De mieux en mieux !





Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples

[Source : margueriterothe.com]

Par Marguerite Rothe

Quelque part en Amérique du Sud

Date : 6 mai 2022 (?)



Cartes des sabotages (cliquer sur l’image)

Pendant que les Américains découvrent que la campagne de vaccination mortelle ciblait spécifiquement les États républicains (vidéo en anglais), l’État profond poursuit la mise en place de son plan de dépopulation de la planète en finissant d’activer les antennes 5G. Il n’y a plus à se demander pourquoi certains « machins » ont la propriété de magnétiser le corps humain, ou de faire s’afficher des codes sur un son écran, quand le Bluetooth d’un Smartphone est activé. 

Fréquence qui, je vous le rappelle, est l’équivalent d’une arme de guerre. Si vous ne connaissez pas l’excellent documentaire de Sacha Stone, je vous invite à le découvrir. Et regardez bien ce qui se passe ici, au tout début de cette vidéo. Grâce à l’observation attentive de la Quinta Columna, on a la preuve de la mortalité de la cinquegéeeee. Cela ressemble beaucoup aux gens qui tombaient raides, comme foudroyés, à Wuhan, où les antennes ont été activées fin 2019 ; faits attribués au Coronavirus… Facile.

[Voir aussi :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
►Dossier 5G et ondes pulsées
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène]

M.R.

https://www.margueriterothe.com/2021/09/l-ere-des-exterminateurs-du-controle-du-cerveau-a-l-eradication-de-races-ciblees.html

https://www.margueriterothe.com/2022/02/effets-biologiques-des-radiations-electromagnetiques-par-the-covidblog.html

La devise de Build Back Better :

Si vous ne pouvez pas les dominer, tuez-les…

Antenne cinqGééé détruite par un incendie, à Toulouse, en novembre 2020 © Nathalie Saint-Affre

https://reporterre.net/embedded/map/sabotage-5g-src/index.html

Carte des Sabotages… 

Mes vidéos sur :

(Alternatives à YouTube)Je ne publie pas ici toutes les vidéos que je relaie ; n’hésitez pas à vous abonner sur l’une de mes chaînes, si vous êtes intéressés

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Comment combattre en France les deux extrêmes (centre et gauche) ?

Par Lucien SA Oulahbib

Comme l’extrême droite n’existe pas en France, du moins de façon conséquente (sauf dans la tête de Mélenchon et ses Suivantes puisque tous ceux qui ne sont pas avec eux y sont classés tels), il y a par contre deux gros blocs d’extrémistes, très dangereux, mais qui ont pourtant pignon sur rue alors qu’ils veulent transformer la France et l’Europe en exécrables démocratures de fait, tout en affichant bien sûr les trompe-l’œil contraires pour continuer à « nous » tromper.

Il s’agit du bloc « d’extrême -centre » selon l’appellation même de son chef de file, l’actuel locataire de l’Élysée, nommé E. Macron, et du bloc d’extrême gauche soutenant le dénommé J. P. Mélenchon qui ne se reconnaît pas évidemment ainsi, mais dont le programme s’y apparente pourtant (spoliation à tous les étages). Ajoutons que ces deux blocs se soutiennent mutuellement (tout en vitupérant l’un contre l’autre officiellement), le second ayant par exemple appelé à voter — indirectement — pour le premier au second tour des dernières élections présidentielles françaises (avril 2022), et ce en le répétant à quatre reprises dans un message mémorable faussement ironique bien sûr.

Quels sont leurs points communs qui effacent de plus en plus leurs différences historiques ?

Le point commun le plus important semble bien être, à l’évidence, la volonté opiniâtre, méticuleuse, minutieuse, d’imposer — « quoi qu’il en coûte » pour l’un, « au nom de la planète » pour l’autre — un modèle de société basée sur la coercition multiforme, la restriction des libertés fondamentales, l’abolition de fait des frontières en mettant de plus en plus sur le même pied citoyens et non-citoyens.

Ainsi, qu’il s’agisse de contraintes pseudo-écologiques non fondées comme le tout éolien, la suppression plus ou moins directe du nucléaire, la hausse drastique de taxes et de « crit’air » sous prétexte de pollution (alors que 98 % des particules fines sont contrôlées par l’amélioration des pots d’échappement, les 2 % restants provenant pour une grande part des centrales à charbon réouvertes en Allemagne), qu’il s’agisse également d’obligations pseudo-sanitaires qui maintiennent encore plus de 15 000 soignants sans moyens de vivre tout bonnement (sans parler de ce qui va arriver en termes d’obligation vaccinale après les élections législatives), qu’il s’agisse enfin de suppression de fait des différences entre droits des citoyens et des non-citoyens depuis que le Conseil Constitutionnel a absous un « passeur » et que le Conseil d’État a dissous un groupe politique désireux de défendre les frontières nationales, il s’avère que ces deux blocs officiellement opposés ont précisément comme points communs ces trois axes-là se résumant en deux mots : contrainte et obligation (injustifiées, en vue de dissoudre la démocratie française au nom de la trans nationalité européenne mondialisée).

Mais alors que l’on aurait pu penser que le camp opposé à ces deux extrémismes — le camp somme tout modéré (au vu des points précédents), dit « souverainiste » — attaquerait ces trois points (climat/pollution, santé, citoyenneté) au même niveau, il s’est juste positionné sur le troisième. Sauf que, et justement, comme il ne parle pas des deux premiers, cela fait trop « disproportionné » et cela apparaît alors « extrême », en tout cas désastreux, au niveau de la communication politique. La preuve ultime est que ce camp peine à rassembler 40 %, alors qu’il est largement majoritaire dans le pays si l’on en croit certaines études qui soulignent par exemple la faillite de l’intégration et du multiculturalisme, la montée de l’insécurité contre les personnes, le matraquage fiscal toujours sur les mêmes, la restriction des libertés de pensée et d’expression (qui ont quasiment disparu sur les antennes dominantes, et sont réduites de plus en plus à la portion congrue dans les institutions scolaires et universitaires)…

Pire, c’est ce camp dit « souverainiste » qui est traité d’extrémiste, alors qu’il se trouve somme toute assez modéré puisqu’il ne prétend même pas (et ce dans sa majorité en tout cas) contraindre par exemple tout étranger à la politique de « la valise ou le cercueil » comme cela a été appliqué en Algérie par les partisans du FLN. Ceux-ci viennent aujourd’hui se réfugier en France, sachant qu’ils ont réduit à néant un pays en plein développement et qui aurait pu se réformer en profondeur si le temps lui avait été donné. Ils cherchent aujourd’hui à faire pareil en France par envie et haine (de soi).

Aussi, les deux blocs d’extrémistes réels, l’extrême centre et l’extrême gauche (par ailleurs alliés objectifs) sont également des alliés subjectifs sur de nombre de points — non seulement les trois cités précédemment, mais aussi d’autres encore tels que la parentalité, l’égalité homme-femme (récemment bafouée à Grenoble et dans le fait de masquer les viols culturels rituels sous le vocable de « féminicide »), mais aussi la démocratie réelle caviardée de plus en plus y compris en leur sein. Aucun de ces blocs ne connaît plus désormais ces fameux « congrès » dans lesquels des « tendances » pouvaient marquer leurs différences, non.

À cette respiration (plus ou moins) démocratique se sont substituées des pseudo consultations plébiscitaires avec aucun moyen en interne de pouvoir peser motion contre motion. Tout cela est bien fini ; et l’on assiste plutôt à la montée en puissance d’un culte du « Chef » qui, à d’autres époques, répondait à des classements bien précis, mais que mon refus de l’anachronisme interdit d’indiquer, même si j’ai tout de même un faible pour celui de néonazi (que j’ai employé bien avant que Poutine ne le fasse), puisque j’estime que lorsque l’on est pour des manipulations génétiques et génitales, pour la formation d’un nouveau peuple dont la couleur de peau et le genre de sexe est même indiqué (non-blanche et non-homme a minima), il s’agit bel et bien d’un néo-eugénisme racialiste avec comme objectif la construction d’une frange supérieure d’individus fonctionnant par ailleurs non plus seulement comme une caste, mais aussi une secte — la différence est que la première s’identifie principalement à son statut de puissance qui permet d’y entrer, mais aussi d’en sortir (pour former une autre caste), tandis la seconde empêche d’en sortir sous peine d’être excommunié par les vocables qui ont remplacé ceux d’hérétique et d’infidèle : « réactionnaire », et récemment « complotiste », « conspirationniste ».

Pourtant, ces deux blocs d’extrémismes sont eux les plus comploteurs et conspirateurs qui soit, surtout au vu de ce que l’on sait maintenant sur leurs passe-droits, leur degré, sinon de corruption et de mensonges, du moins d’omissions. Et malgré cela ce sont surtout eux qui crient au loup alors qu’ils l’ont depuis longtemps fait entrer par la porte de derrière et aujourd’hui carrément de devant, au vu et au su de tous, et ce dans l’indifférence quasi générale. Ou alors, à moins que cela ne soit le calme avant la tempête, celle qui, une fois non plus par siècle, mais par millénaire, balaie tout.

Pour y parvenir ou du moins y contribuer continuons à dénoncer ainsi leur collusion et leur extrémisme, tout en ne cédant pas d’un pouce sur ces trois points et non pas seulement sur un seul, car ils sont de plus en plus liés : les contraintes pseudo-écologiques impliquent le pseudo-sanitaire qui en serait la conséquence, justifiant les mesures antidémocratiques en interne (implosion des partis) comme en externe (implosion de la notion de citoyenneté).




Selon Pierre Hillard, « La Russie va être le fléau de Dieu dans cette histoire »

[Source : Radio Lorraine Enragée]

Pierre Hillard, Docteur en sciences politiques et spécialiste de la question du mondialisme, revient sur l’actualité : Covid19, guerre Ukraine et autres manifestations du grand chambardement qui nous guette.



[Voir aussi :
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Great Reset : la Bête est-elle là ?]




France — Elisabeth Borne Première ministre : le gouvernement profond prend le pouvoir

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Depuis ce soir [16 mai], une femme est Premier Ministre en France. Il s’agit d’Elisabeth Borne, figure emblématique du gouvernement profond tel que la macronie l’a adoré, l’adore, et tel que la caste mondialisée l’a érigé en groupe dominant au service d’une vision de « gauche » où le « populisme », le « souverainisme », le « nationalisme » sont érigés en épouvantails, en repoussoirs pour convaincre le bobo moyen que la seule voie pour la liberté et le progrès consiste à donner les clés de la boutique à un groupe fantomatique qui partage son existence entre Londres, New-York, Genève, Tel-Aviv et Dubaï. On attendait un Macron à l’écoute des attentes de la société. On trouve un intégriste de la désincarnation cosmopolite où nous sommes supposés applaudir à l’idée d’être dirigés par une hyper-fonctionnaire sans âme et sans état d’âme qui nous offrira tout crus aux appétits atlantistes.

Depuis ce soir (16 mai), une femme est Premier Ministre en France. Il s'agit d'Elisabeth Borne, figure emblématique du gouvernement profond tel que la macronie l'a adoré, l'adore, et tel que la caste mondialisée l'a érigé en groupe dominant au service d'une vision de "gauche" où le "populisme", le "souverainisme", le "nationalisme" sont érigés en épouvantails, en repoussoirs pour convaincre le bobo moyen que la seule voie pour la liberté et le progrès consiste à donner les clés de la boutique à un groupe fantomatique qui partage son existence entre Londres, New-York, Genève, Tel-Aviv et Dubaï. On attendait un Macron à l'écoute des attentes de la société. On trouve un intégriste de la désincarnation cosmopolite où nous sommes supposés applaudir à l'idée d'être dirigés par une hyper-fonctionnaire sans âme et sans état d'âme qui nous offrira tout crus aux appétits atlantistes.

Combien de Français ont réellement cru Macron, le soir de sa réélection, lorsqu’il a déclaré: 

Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève mais l’invention collective d’une méthode refondée pour cinq années de mieux, au service de notre pays, de notre jeunesse.

Elisabeth Borne, une ère nouvelle ? nommée après les refus opposés par Valérie Rabault et Christine Lagarde de tenir un poste dont le détenteur devra se sacrifier pour faire passer la retraite à 65 ans à coups de 49-3 pour faire plaisir à l’Union Européenne, la nouvelle Première Ministre rappelle les maires du palais sous les Mérovingiens. Sans saveur ni couleur, c’est la technostructure qui prend le pouvoir. 

Une fois de plus, Emmanuel Macron a menti. Les éléments de langage ont triomphé. Le narratif d’un quinquennat selon une “méthode refondée” n’aura pas tenu plus de quelques jours, de quelques heures peut-être. 

Dans la pratique, Macron a attendu la dernière minute pour nommer une Première Ministre issue du précédent gouvernement, et même des précédents gouvernements, dont la rigidité, le manque d’imagination, le jacobinisme niveleur et interventionnistes sont déjà bien connus. C’est ce qu’on appelle la continuité. L’inverse de ce qu’il avait promis.

Un emblème du gouvernement profond triomphe

Et en matière d’inverse, Elisabeth Borne illustre de façon caricaturale la continuité qu’on ne voulait pas, qui ne devait surtout pas arriver. 

Cette polytechnicienne, ancienne du très chic lycée Jeanson-de-Sailly, à Paris, ingénieur des Ponts et Chaussées, a fait toute sa carrière dans le service public, enchaînant les postes caractéristiques du gouvernement profond : conseillère puis directrice de cabinet d’un ministre, patronne d’une entreprise publique, préfète de région. Incontestablement, Elisabeth Borne connaît très bien les rouages de l’Etat, elle est une grande praticienne du gouvernement profond et, avec elle, Macron peut dormir sur ses deux oreilles : il n’y aura pas de sortie de route ! le programme du Great Reset sera exécuté scrupuleusement.

Au programme, donc : soumission aveugle, dogmatique, obstinée à l’Europe, y compris dans ses excès russophobe dictés par l’atlantisme, piqûres à tout-va pour assurer le progrès de l’humanité, et éloge sans nuance de l’action menée par un Etat bureaucratique, qui “protège”, “régule”, “corrige le marché” et défend “l’intérêt général”. 

Bref, tous les germes du totalitarisme contemporain sont posés, et même semés, sans aucun état d’âme. 

On ne pouvait pas rêver meilleure expression de la quintessence patiemment distillée sous le gouvernement Castex. 

À quoi faut-il s’attendre avec Borne ?

Donc, en l’état, on connaît le programme d’Elisabeth Borne dans ses grandes lignes.

Le premier point sera la retraite à 65 ans, qui est imposée par l’Union Européenne, et que la Première Ministre mettra en oeuvre quoi qu’il arrive.

Le deuxième point est la vaccination obligatoire, y compris celle des enfants, pour nous protéger du variant mortel et contagieux annoncé par Bill Gates pour cet automne. On va piquer à tout-va, en France, et ce sera sans pitié. Bien entendu, cela n’aura d’utilité que dans les comptes de Pfizer et dans les colonnes de quelques torchons comme Libé ou l’Immonde. Mais qu’importe ? L’essentiel est de se péter de tunes avec les cadeaux de Big Pharma qui va sortir des études aux petits oignons pour expliquer que tout cela va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Le troisième point consistera à continuer sans état d’âme le déploiement de la dictature numérique, ce grand édifice de surveillance qui nous protège paraît-il de la désinformation complotiste, et grâce auquel les ultimes zones privées de notre vie basculeront dans le grand édifice des Big Data contrôlées par l’Etat. 

Pour le reste, Elisabeth Borne s’accordera peut-être quelques fantaisies, des coups de pouce sur le SMIC, des décisions généreuses qui donneront l’illusion que nous maîtrisons encore notre destin. 

Mais, pour l’essentiel, elle exécutera fidèlement le programme de la mondialisation, sans état d’âme. 

Une étrange confrontation avec la France Insoumise

Ce qu’on ne sait pas encore, c’est la portée politique de cette nomination. 

S’agit-il d’une Première Ministre de transition, chargée de tenir jusqu’aux élections en donnant l’illusion d’une fibre de “gauche”, puis elle s’en ira ? Ou bien, si la mayonnaise prend, restera-t-elle pour mettre en oeuvre durablement cette politique de la caste dont elle incarne l’une des version les plus pures ?

Les prochaines semaines le diront. 

Simplement, on reste surpris par la stratégie macronienne dans sa confrontation avec la France Insoumise, puisqu’au fond il choisit une vieille jument de retour, là où l’on attendait plutôt de l’audace et de “l’agressivité” pour tailler des croupières à Jean-Luc Mélenchon. 

Des sondages auraient-ils rassuré le Président sur l’issue des législatives ?

Toujours est-il qu’on attendait la Blitzkrieg, et Macron nous sert du Gamelin…

Il existe ici deux possibilités claires : soit Macron souhaite la victoire de la France Insoumise, et il a choisi la stratégie la plus déceptive pour s’y opposer, histoire d’être sûr que Mélenchon gagne. Soit il a reçu des assurances sur la défaite de Mélenchon et il choisit une ligne mièvre parce qu’il la sait sans risque. 

Mais tout ceci ressemble à un refus d’obstacle. 

Un message clair sur la continuité

Un message clair se dégage de cet ensemble : Macron ne changera rien à la ligne de son quinquennat précédent. Mêmes profils psychorigides et technocratiques, mêmes dénis, même froideur, et même manque d’imagination dans l’exécution d’un programme décidé ailleurs. 

C’est la mondialisation. 

De mon point de vue, le message est clair : il faut prendre la décision définitive de pratiquer la sécession pour échapper au pire. Mais nous savons aujourd’hui que, livrée à elle-même, la machine bureaucratique reproduit indéfiniment les mêmes erreurs et la même folie. 

Il est temps que le peuple envahisse la scène et décide un changement de scénario. 




Le pacte avec Satan : le pouvoir absolu sur l’humanité

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Christine Deviers Joncour

Leur rêve de mégalomanes, leur projet, leur objectif

Regardez-les ! Rien d’autre n’a de valeur à leurs yeux que leur pouvoir suprême et le contrôle total sur l’humanité entière — leur sésame illusoire : être dieu à la place de Dieu ! Leur « Pacte de Méphisto » comme le nomme Slobodan Despot !

Méphistophélès propose un pacte à Faust : il pourra profiter pleinement de la vie pendant un certain nombre d’années au terme desquelles il devra donner son âme à Lucifer et passer l’éternité en enfer. Faust accepte et signe le pacte de son propre sang, convaincu que Méphistophélès sera incapable de satisfaire tous ses désirs. Dès lors, conseillé par le Malin, le mage jouit de tous les plaisirs de la vie, connaît l’amour et la beauté, la richesse et voyage dans l’espace et le temps et vit dans l’opulence. Mais, en fin de compte, il prend conscience de la vanité de ses actes et interroge le démon sur la mort et l’enfer qui l’attendent inévitablement. Seule la version de Goethe raconte l’intervention de Dieu pour le sauver in extremis.

Ont-ils conscience qu’ils vont « descendre » dans le lac de feu, dans les flammes de l’Enfer ?

Regardez-les bien… sont-ils encore humains ? NON ! Tous ces faux prophètes qui ont le sourire en coin nous annoncent les plus grands malheurs sur les plateaux de télévision… Sont-ils des devins ou des conspirateurs ? La réponse est devenue évidente pour beaucoup d’entre nous.

Un seul objectif : le pouvoir suprême, sésame illusoire de leur « réussite ». Rien n’est plus important pour ces psychopathes, prêts à sacrifier les peuples, les vieillards, les enfants, détruire des vies, détruire la vie… Anéantissement total sans état d’âme ! Ce pouvoir et contrôle suprême, pour lequel ils sont prêts à tout, même à détruire leurs propres familles… (J’en suis un témoin, mes enfants et moi-même en avons payé le prix)

L’Humain ? Ils le méprisent et n’ont de cesse de le persécuter de mille manières possibles, de la plus ignoble à la plus abjecte. Tous leurs mielleux discours ne sont que leurres et mensonges !

Je les ai si souvent entendu parler avec mépris de cette « populace » inutile, polluante, stupide, inculte et trop nombreuse dont il fallait absolument se débarrasser : « Elle nous coûte un bras ! » 

La « crise démographique » présentée comme une apocalypse par un ancien président… exigeant qu’on y apporte une réponse au plus vite… Un autre prétendant que si « nous faisons du bon travail avec les “vaccins”, nous réduirons la population mondiale de 10 à 15 %. » Le même affirme aujourd’hui et sans honte bue, qu’il a « dépensé des milliards pour sauver des gens avec les vaccins. » et qu’il « ne comprend pas que les “complotistes” de toute la planète l’accusent de s’enrichir sur ce génocide… » Psychopathes, criminels, assassins, démons…

Rappelez-vous : « Le prix en valait la peine » ; c’est ainsi que Madeleine Albright, alors représentante permanente des USA auprès de l’ONU, avait répondu en 1996 à la question de savoir si la mort de plus de 500 000 enfants en Irak suite à l’intervention US était défendable.

Celui qui nous sert de président ne cache même plus le mépris qu’il éprouve pour son peuple et nous injurie haut et fort à jets continus depuis cinq ans !

Leur maître mot : Dépopulation !

Grâce aux nouvelles technologies et à leur injection empoisonnée, ils ont enfin les armes pour nous soumettre et nous exterminer, sans oublier le concours de leurs petits valets, garçons de café corrompus que sont les merdias qui distillent la peur et le mensonge à longueur d’antenne !

Et nous n’oublierons pas le silence complice comme une chape de plomb, de nos bobos intellos et des fausses « belles âmes » du show-business ! …

Ils ont programmé depuis longtemps cette destruction et la plandémie Covid en 2019 a marqué le début de la fameuse « Guerre contre les peuples », avec « l’arrivée de la Bête de l’événement » dixit Macron.

Seul petit caillou dans ce démoniaque engrenage : La Russie et la Chine qui font bloc, suivies par pléthore d’autres pays insoumis qui ont compris la folie de cette poignée de criminels (dont on ne compte plus les guerres et exactions sur la planète) et mettent un coup d’arrêt en se mobilisant.

Le doute s’installe et ils commencent à s’inquiéter. Leur Grand Reset va-t-il s’effondrer ?

Pour Ursula von der Leyen, la Russie est « la menace la plus directe à l’ordre mondial. »

Merci Vladimir Poutine.

Ce Nouvel Ordre Mondial où toutes les valeurs sont inversées, où le Mal est présenté comme le Bien, où le vice est préféré à la vertu, où le mensonge devient vérité, où la trahison et la tromperie sont instituées comme modèle de gouvernement, où l’on peut truquer les élections et donner le pouvoir à des imposteurs, des voleurs, des corrompus et à des criminels prêts à sacrifier « la populace » pour satisfaire leurs rêves lucifériens de pouvoir absolu, leur droit de vie ou de mort sur ces incultes, ces inutiles, ces « gens qui ne sont rien »

Courage à nous les peuples, car la lutte sera féroce.

La bête ne sera pas facile à abattre et ses rugissements commencent à se faire entendre et va serrer le nœud coulant qu’ils ont mis autour de nos cous.

Mais de plus en plus les esprits s’éveillent et remercions ici tous les lanceurs d’alerte qui prennent de sérieux risques. Car chez ces satanistes on se débarrasse aisément des gêneurs ; on les extermine et je sais de quoi je parle !

Von der Layen, encore elle, s’est déclarée choquée que 150 millions d’Européens aient refusé l’injection mortelle. 150 millions de témoins gênants150 millions d’esprits libres et réfléchis qui se refusent à être victimes du plus odieux crime contre l’humanité que ce monde ait connu. 150 millions d’êtres humains qui vont devoir subir la diabolisation, la criminalisation, qu’on rendra responsables de nouvelles « épidémies » déjà prévues, qu’on traitera de terroristes et de criminels parce qu’ils refusent de croire les mensonges d’État, des merdias, leurs tromperies, leur machiavélisme…

Les peuples découvrent la supercherie et les dysfonctionnements : Élections truquées, démolitions acharnées de notre Constitution et de nos institutions par une bande de hors-la-loi. Il n’y a plus d’État de droit et même la justice vérolée par la « fraternité du serpent » se révèle être l’ennemie du peuple et du citoyen. La destruction volontaire de l’économie pour appauvrir et affamer les populations, la vente à la découpe de notre patrimoine et de nos fleurons industriels, le pouvoir exorbitant donné à des cabinets-conseils privés, qui tels des vautours se gavent sur le cadavre qu’est devenu notre pays, mais aussi sur les autres pays du bloc de l’OTANvéritables laboratoires du Nouvel Ordre Mondial assassin.   

Les sanctions illégales et illégitimes imposées à la Russie, la fourniture d’armes, d’argent, de moyens militaires à son adversaire néonazi qui nous exposent à une riposte militaire et nucléaire, un boycott du gaz et du pétrole russe qui contribuera à une désorganisation totale de nos économies, à la faillite de millions d’entreprises, à un chômage de masse, à un chaos social qui en résultera et à une famine qui en sera la conséquence.

Et sur nos malheurs, nous assistons à des enrichissements nauséabonds et indécents d’une soi-disant « élite » qui ne sont qu’une bande d’escrocs sans foi ni loi.

Destruction de nos valeurs spirituelles et morales, Notre-Dame en fut un exemple parmi tant d’autres. Pédophilie banalisée, disparitions et meurtres d’enfants, trafic d’organes, créations de virus mortels dans des laboratoires comme (Azovstal en Ukraine, nid de Serpents !!!).

Et les statistiques qui s’empilent chaque jour concernant les décès dus à l’injection. Et nos enfants, offrandes à Moloch, qu’ils s’acharnent à vouloir injecter avec une substance dont on nous cache la composition, mais que des chercheurs et des scientifiques honnêtes et intègres ont identifiée comme une arme biologique et nanotechnologique destinée à détruire le corps et l’esprit, à anéantir la vie !…

Sans compter l’enrichissement criminel des laboratoires pharmaceutiques complices de ce génocide à grande échelle, dégagés naturellement de toutes responsabilités par ces fous qui prétendent « gouverner », mais qui ne sont en réalité que les vils domestiques de pouvoirs supranationaux tels l’ONU, l’OMS, la clique de Davos, l’Union européenne, Bilderberg, la Trilatérale, et autres organisations criminelles cachées sous le masque de la « bienveillance ».

Le futur de ces monstres n’est pas enviable. Ils en paieront le prix. Le savent-ils ?

L’anthropologue Alexis Bugnolo, un des premiers à avoir révélé la supercherie mortelle l’a déclaré :

« Quand ce sera clair pour tout le monde que les gens vaccinés sont en train de mourir, ces gens deviendront extrêmement en colère, il y aura des émeutes dans toutes les grandes villes, nous verrons la chute des gouvernements et ils tueront ces politiciens, journalistes et ces médecins pour ce qu’ils leur ont fait, juste avant qu’ils ne meurent eux-mêmes. Il y aura énormément de troubles civils. (…) »

Nous n’oublierons jamais que ceux qui étaient censés nous protéger nous ont assassinés. Nous n’oublierons jamais que le chaos que nous vivons a été planifiéprogrammé et mis en œuvre par ces satanistes qui détestent l’Humanité, au point de vouloir être les serviteurs de Satan et de dieu à la place de Dieu. Beaucoup d’entre nous sont en train de mourir à cause d’eux et beaucoup d’autres mourront encore, mais le sang des innocents a un prix : le sang des coupables.

Ils n’échapperont pas. Aucun d’entre eux n’échappera à la colère des peuples et ils ne trouveront nulle part où se cacher, car même les pierres les dénonceront. Les trottoirs de nos villes seront remplis de leur sang…

Gide écrivait : « Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ! »

Nous aussi maintenant…

Ce sera laborieux, mais sur ces cendres nous rebâtirons avec l’aide de Dieu, un monde plus juste pour nos générations futures.  

Christine Deviers Joncour pour MediaZOne ©

[Voir aussi :
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…
La guerre du Bien contre le Mal]




Enquête sur le trucage de l’élection US de 2020. Mise à jour

[Source : Réseau Voltaire]

L’intellectuel de droite Dinesh D’Souza a réalisé un film sur le trucage de l’élection présidentielle US de 2020. Son film est projeté dans 250 salles depuis le 2 mai 2022.

Les adversaires de ce documentaire, qui l’ont déjà abreuvé d’injures, n’ont pas encore fait connaître les points qu’ils contestent.

Présentation en anglais

Le film avec traduction automatique (d’assez mauvaise qualité)






« Opération criminelle de grande envergure » : un dossier en béton

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Lors de la séance du Conseil scientifique indépendant du jeudi 12 mai, nous avons eu droit à deux interventions exceptionnelles : celles du Dr Pierre Kory et du sociologue Laurent Mucchielli.

Pierre Kory, médecin réanimateur, est président de la FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance), un collectif états-uniens de scientifiques et praticiens luttant contre la désinformation sévissant dans les milieux dits scientifiques et les autorités de santé.

Dans une présentation en français, Pierre a passé en revue les ignominies actuellement couvertes par ces milieux et la presse aux ordres : négation systématique de l’efficacité des traitements qui ne rapportent rien, mise en valeur par des études frauduleuses de remèdes inefficaces et toxiques (dont une certaine inoculation expérimentale…) corruption des chercheurs et revues médicales, attaques et intimidation contre les experts intègres, mépris pour la vie des patients – la dérive fortement lucrative à l’œuvre dans la gestion du Covid n’a décidément rien à envier aux agissements de Cosa Nostra ou d’Al-Capone.

Parmi les « perles » mises en lumière dans son exposé, une étude dont le titre conclut à l’inefficacité de l’ivermectine… alors que le données dans l’article montrent le contraire ! Voilà le degré de crapulerie auquel nous en sommes arrivés aujourd’hui.

Ou encore une démonstration que les traitements cortico-stéroïdes les plus efficaces (selon la recherche) ont été interdits au profit des moins efficaces ! Avec combien de morts à la clé ?..

Et en guise d’incontournable conclusion que nous faisons face à l’homicide intentionnel de millions de personnes pour permettre aux pharmas vaccinales de faire -littéralement- des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Le maître d’œuvre de cette opération ? Un certain milliardaire ne connaissant absolument rien à la santé publique, mais qui a acheté les gouvernements, la presse, les universités, les revues médicales et désormais l’OMS – tout ceci étant à nouveau parfaitement documenté dans la présentation du Dr Kory.

Pierre (comme Peter McCullough, Robert Malone ou Jay Bhattacharya) est un scientifique de haut vol, avec cette particularité désormais rare d’être honnête et intègre. Il  a eu l’occasion de s’exprimer récemment devant le Sénat américain et a publié accessoirement dans les revues les plus prestigieuses – hélas quant à elles aujourd’hui largement corrompues.

La doxa du grand banditisme

A cet exposé cinglant succéda celui de Laurent Mucchielli, directeur de recherches au CNRS, qui mène un travail d’investigation magistral depuis deux ans autour de la dérive en cours. Spécialiste dans ses travaux précédents de la délinquance, il est vrai qu’il reste en l’espèce dans son domaine…

En Sherlock Holmes des crimes covidiens, Mucchielli met en lumière chaque brique de la magouille : conflits d’intérêts, manipulations et trucages, procédés crapuleux, propagande, stigmatisation et ostracisation, police de la pensée et répression du débat scientifique, exploitation éhontée de la ficelle débile du « complotisme » par une presse achetée, le tout construisant un édifice totalitaire attentant aux fondamentaux de la démocratie et de la science.

  • Pour lire « Qui a vacciné les médias contre le débat démocratique? » de Xavier Bazin sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Je donne ici accès à l’entier de cette séance exceptionnelle ainsi qu’à chacune de ces interventions.

Mentionnons encore pour la petite histoire que la diffusion de cette séance réunissant deux experts de réputation mondiale a entraîné une censure rapide sur Facebook. Meta participant activement aux crimes en cours, le fait que ceux-ci soient nommés et démontrés, preuves à l’appui, ne pouvait que semer la terreur chez les sbires de Mark Z.,  grand ami de Bill G. et d’Anthony F. !

  • Pour lire « Robert Kennedy Jr: « résistez, résistez car une fois qu’ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais ! » sur France Soir : cliquer ici.

Comprendre les manipulations et les agissements pervers actuels des médias mainstream étant une œuvre de prophylaxie mentale – essentielle à notre immunité, individuelle et collective-, j’ajoute un décodage de haut vol offert par Idriss Aberkane sur les procédés du groupe de presse Altice et ses titres désormais lamentables (Libération, l’Express, BFMTV, RMC, etc.)–Les autres (en Suisse : Tamedia, Heidi / Le Temps, la RTS ou les titres Ringier, sans oublier Léman Bleu et autres tévélocales, ou en Belgique l’immonde RTBF) ne valant en l’espèce guère mieux. Et oui, cette dérive, comme le souligne Aberkane, constitue bel et bien une menace directe et sans précédents contre la démocratie et l’état de droit.Du très lourd, donc, qui a l’avantage de mettre les criminels et leurs agissements à nu. Si ceux-ci disposent d’une puissance plus qu’inquiétante, la « résistance »  ne manque dieu merci pas de valeureux combattants, ni surtout de preuves en béton !











L’incroyable malhonnêteté des médias sur les questions de vaccination

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain

Février 2022. La scène se passe en direct, à la télévision, sur la chaîne info CNews.

Cela fait plus d’un an déjà que les vaccins anti-Covid ont été massivement injectés aux populations, avec la bénédiction des grands médias.

Mais ce matin-là, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche » et stupéfie ses interlocuteurs :[1]

« Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.

C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.

Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. » 

Conclusion du Pr Peyromaure : 

« C’est quand même un drôle de vaccin ! »

Un peu sidérée, la présentatrice de l’émission Sonia Mabrouk s’interroge : 

« pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et au centre du débat ? » 

Et en effet, c’est bien la question essentielle.

Écoutez bien comment la journaliste Élisabeth Levy, présente sur le plateau, a réagi à la démonstration du Pr Peyromaure :

« Cela pose quand même une question politique. On nous a tellement dit que ce vaccin allait être merveilleux, qu’on regardait tous ces gens qui ne voulaient pas se vacciner comme des sortes d’hurluberlus, on se demandait vraiment s’ils n’étaient pas un peu complotistes, moyenâgeux, etc. Je ne comprenais pas pourquoi des gens ne voulaient pas se vacciner ».

Si Élisabeth Levy, pourtant rédactrice en chef d’un journal « non consensuel », a pu penser qu’il fallait être un « hurluberlu complotiste » pour ne pas se faire vacciner contre le Covid, c’est la preuve que les grands médias étaient unanimes.

Même au début de l’année 2022, les discours critiques comme celui du Pr Peyromaure étaient encore rarissimes dans les médias (Sonia Mabrouk fait partie des très rares journalistes à apprécier les invités « non-conformistes »).

Alors que se passe-t-il ? Pourquoi les médias sont-ils aussi biaisés en faveur de la vaccination ? Comment cela se manifeste-t-il ? Et avec quelles conséquences pour le débat public ?

C’est ce que nous allons voir.

Comment les médias construisent la réalité, avec les « bons » et les « mauvais » experts

L’immense pouvoir des médias vient d’abord de l’effet loupe.

L’actualité est remplie de milliers d’informations potentiellement intéressantes ou utiles. Mais les médias n’en sélectionnent qu’une infime proportion : quelques dizaines d’informations clés, rabâchées sur toutes les antennes. Voilà ce qui façonne la « réalité » des gens.

Imaginez qu’à l’automne 2021, les journaux de « 20h » se soient ouverts sur la souffrance des soignants non vaccinés, suspendus sans salaire et plongés dans la misère sociale. Imaginez que les journalistes aient fait preuve de pédagogie, en expliquant que ces soignants étaient prêts à faire un test PCR tous les jours pour travailler, ce qui les aurait rendus moins susceptibles de contaminer leurs patients que leurs collègues vaccinés qui risquaient de transmettre le virus à leur insu.

Si les médias avaient fait leur travail, le caractère absurde, discriminatoire et violent de cette mesure aurait créé une grande émotion dans les foyers français, et cela aurait certainement conduit le gouvernement à reculer et à réintégrer les soignants – surtout en pleine épidémie, alors que de nombreux lits d’hôpitaux étaient fermés faute de soignants[2].

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Même lorsque plusieurs soignants ont entamé une grève de la faim de plus de 40 jours à Périgueux, il n’y a eu aucune dépêche AFP, ni même un reportage de France 3 Régions[3].

De façon générale, sur les vaccins anti-Covid, il n’y a eu globalement qu’un seul refrain, psalmodié dans les grands médias dès le début de l’année 2021 : ils étaient « salvateurs », sans risque, et allaient nous débarrasser de l’épidémie. 

Vous me direz peut-être que les médias se sont contentés de refléter le « consensus des experts » de l’époque, mais ce n’est pas vrai !

Un immense expert comme le Pr Raoult a prévenu dès le départ que ce vaccin ne serait pas une « baguette magique » contre l’épidémie. Le Pr Perronne, autre grand connaisseur des vaccins, jugeait dès l’été 2020 que ces vaccins contre le nouveau coronavirus étaient une « foutaise purement financière » sachant que l’on peut traiter les malades dès le début des symptômes.

Mais la parole de ces experts-là a été marginalisée médiatiquement, ou tout bonnement étouffée.

Le Pr Perronne a ainsi été banni de la plupart des antennes radio et télévision, comme l’a reconnu le journaliste Pascal Praud, en avril 2021 :

«Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal pensant, etc. »[4]

Voilà comment on « fabrique » un pseudo consensus : en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui sont dans la « ligne du parti ».

Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la campagne vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé suisses, menés par le Dr Philippe Saegesser, ont demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec des arguments parfaitement raisonnables :

« Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?

Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème ?

N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement »[5].

Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Très probablement non, ou alors en termes péjoratifs.

Car le journal suisse Le Temps a immédiatement allumé un contre-feu contre la tribune de ces 700 professionnels de santé, avec ce titre accusateur : 

« En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau », et un intertitre qui parle de « tentative de désinformation».

Ainsi, les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis-à-vis des vaccins ; ils s’efforcent également de les diaboliser !

Quelques mois plus tard, en juin 2021, la diabolisation du Dr Philippe Saegesser est d’ailleurs montée d’un cran dans la presse suisse, avec notamment ce titre cinglant : «Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise»[6]. Vous le voyez : une critique raisonnable des vaccins est immédiatement assimilée à un « délire antivax »[7] !

Donc, les médias ne se contentent pas de taire les opinions « minoritaires » : ils concourent activement à les censurer en les diabolisant !

BFM TV : «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques »

J’en ai moi-même fait les frais, en tant que journaliste indépendant.

En janvier 2021, j’écrivais à mes lecteurs une lettre détaillant les « 6 bonnes raisons de se méfier des vaccins ARN ».

C’était cette fameuse époque où la presse unanime criait au miracle et à la « baguette magique » contre l’épidémie (souvenez-vous des paroles d’Élisabeth Levy !). Mais de mon côté, après avoir évalué calmement la situation, j’en étais arrivé à la conclusion inverse :

«Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ».

La suite m’a donné raison, avec son cortège d’obligations « anormales » (masques), de restrictions des libertés fondamentales (pass sanitaires et vaccinaux, etc.), et bien sûr de contaminations et de décès Covid.

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

Il n’était pas difficile de l’anticiper : à l’époque, le généticien Axel Kahn, pourtant un grand défenseur des vaccins anti-Covid, l’avait même avoué publiquement : « Ilest assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés »[8] – rendant ainsi le vaccin initial inefficace.

Mais savez-vous comment j’ai été récompensé, pour avoir été plus lucide que ceux qui nous promettaient des miracles avec ces vaccins ?

Par l’ostracisme médiatique ! Au printemps, non seulement je n’ai été invité à peu près nulle part pour parler de mon livre (Big Pharma démasqué), mais la chaîne BFM TV est allée jusqu’à s’insurger que cet ouvrage puisse être mis en avant dans un magasin Fnac (un seul parmi des centaines !) :

«Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques, ont trouvé une place de choix, mis en avant sur un présentoir dans un magasin Fnac»[9].

Voilà la seule et unique mention de mon livre dans les grands médias français (si l’on excepte France Soir et Sud Radio) ! Alors qu’ils ont donné la parole, sur le Covid, à des dizaines de gens qui n’y connaissent rien et qui se sont trompés sur tout !

Et hors de France, c’est pareil : la seule mention de Big Pharma Démasqué dans un média étranger, la chaîne de radio publique « Ici Radio-Canada », était dans un article qui s’indignait que l’on puisse trouver mon livre dans des bibliothèques publiques canadiennes («Des discours antivax bannis de YouTube, mais disponibles à la bibliothèque»)[10].

Bref, les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts, ils contribuent activement à le façonner : en choisissant qui a le droit de s’exprimer, et qui au contraire doit être disqualifié comme « antivax ».

Et cela a des conséquences majeures sur l’opinion publique et les politiques vaccinales.

Comment les médias font l’opinion : l’exemple des 11 vaccins obligatoires

Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les médias le « quatrième pouvoir ».

Ils sont même souvent le « premier pouvoir », dans nos démocraties modernes, car ils façonnent l’opinion publique – et donc, in fine, les élections et ce qui est voté.

Prenez le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France en 2017 : le texte est passé comme une lettre à la poste, grâce à la bienveillance des médias.

Car les médias ont tout fait pour atténuer ou étouffer les sujets qui fâchent, et en particulier les risques sanitaires liés à la présence d’aluminium dans 8 de ces 11 vaccins.

Prenez cet article très représentatif de France Info intitulé 

«Onze vaccins obligatoires au 1er janvier 2018 : ‘’L’aluminium dans les vaccins représente une goutte d’eau’’».

Cet argument de la « goutte d’eau » de l’aluminium vaccinal a été véhiculé à l’époque dans tous les médias. Ici, l’article donne la parole à une scientifique, membre de l’Académie de pharmacie, qui affirme sans rougir :

« Avec tous les vaccins obligatoires, un bébé reçoit entre 4 et 5 milligrammes au total d’aluminium. Ce n’est rien »[11].

Mais c’est de la désinformation pure et simple ! Car personne ne peut affirmer sérieusement que ce métal, même à faible dose, ne peut pas avoir de toxicité, sachant qu’aucun organisme vivant ne contient la moindre trace d’aluminium à l’état naturel.

Au contraire, une étude publiée par des chercheurs français[12], et présentée quelques mois plus tôt devant l’Agence du médicament[13], avait démontré que de faibles doses d’aluminium étaient plus toxiques pour le cerveau des souris que des doses plus élevées !

Toujours à propos de l’aluminium vaccinal, voici un autre exemple de désinformation véhiculée fréquemment par les médias à l’époque[14][15] – ici dans la bouche d’un médecin généraliste :

«Mais les quantités d’aluminium apportées par les vaccins sont faibles (jamais plus de 0,85 mg) par rapport aux apports quotidiens d’aluminium dans l’organisme. Nous en mettons 3 à 5 mg dans notre corps chaque jour en mangeant et en buvant»[16].

Cet argument est simplement ridicule, car on ne peut pas comparer l’aluminium ingéré et l’aluminium injecté, quand on sait que 99 % de l’aluminium alimentaire est éliminé dans les selles et les urines !

Tout média ou journaliste sérieux et objectif devrait donc se garder de relayer une propagande « rassuriste » aussi grossière – sa mission devrait au contraire consister à « fact-checker » cette comparaison avec l’aluminium alimentaire pour en démontrer l’inanité !

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les médias laissent courir, sans contradiction, la propagande pro vaccinale, et s’acharnent à contredire ceux qui émettent des critiques nuancées.

Et c’est ainsi que l’opinion publique est faussée.

De plus, à l’époque du passage aux 11 vaccins obligatoires, il y avait déjà une stratégie de diabolisation des « antivax ».

C’est ainsi que le Parisien a publié en juillet 2017 un grand article sur «Les figures de proue du mouvement anti-vaccins en France», avec cet intertitre qui pointe un supposé « sectarisme » : « leur gourou, le professeur Henri Joyeux »[17].

Autre exemple frappant : à l’automne 2017, deux grands scientifiques, le Pr Joyeux et le Pr Montagnier (Prix Nobel de Médecine) organisent une conférence de presse sur le thème : «Oui aux vaccins, non aux 11 vaccinations du nourrisson dès la 6e semaine ».

Mais aucune radio ou télévision n’a retransmis cet événement, ce qui a empêché le grand public de se faire un avis sur la qualité des arguments de ce ceux qui s’opposaient aux vaccins obligatoires.

Pire : dans la presse écrite, on a assisté à un déchaînement d’articles assassins sur cette conférence de presse, notamment parce que le Pr Montagnier avait osé évoquer le sujet tabou (mais hélas terriblement plausible) du lien entre vaccins infantiles et mort subite du nourrisson :

« Du mauvais théâtre contre les vaccins » Libération, 7 novembre
« L’hallucinante soirée anti-vaccin », France Inter, 8 novembre
« Le lent naufrage scientifique du Professeur Luc Montagnier », Le Figaro, 17 novembre
« De l’outrance à la modération, la nébuleuse des anti-vaccins »L’Express, 30 novembre

Voilà comment les médias ont traité un sujet démocratique aussi fondamental que l’obligation vaccinale, qui touche à la fois à la santé de nos enfants et à nos libertés publiques !

Et depuis 2018, ce sujet a totalement disparu des radars médiatiques, comme si l’aluminium vaccinal n’était plus controversé et que l’obligation de ces 11 vaccins ne se discutait plus.

Voilà comment on façonne l’opinion publique.

Big Pharma le sait – et va jusqu’à utiliser les médias complaisants pour faire pression sur les autorités sanitaires.

Les campagnes médiatiques influencent aussi nos autorités de santé !

Vous vous souvenez peut-être comment un laboratoire a créé une campagne médiatique en faveur de son nouveau médicament, un soi-disant « viagra féminin » – qui était en réalité un médiocre antidépresseur repositionné – en accusant les critiques de vouloir « réprimer le désir féminin » et combattre l’égalité entre hommes et femmes.

Cette pression médiatique a bien fonctionné puisque la FDA, probablement pour ne pas être accusée d’être « machiste », a autorisé ce très mauvais médicament en 2015, sans motif scientifique sérieux[18].

Pour les vaccins Covid, un stratagème de même nature – mais de beaucoup plus grande ampleur – a été déployé.

Ce n’est pas un hasard si, à l’automne 2020, l’efficacité à 90-95 % des vaccins anti-Covid a été annoncée par communiqué de presse des labos pharmaceutiques, plutôt que par des publications scientifiques.

L’objectif était de former une immense vague médiatique autour de vaccins supposés « miraculeux », afin de forcer les régulateurs à les autoriser aussi rapidement que possible.

Ce n’est pas une théorie du complot.

Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins[19].

Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis-à-vis du vaccin de Pfizer :

« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

L’Agence européenne était « préoccupée », car le vaccin Pfizer testé n’était pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché, avec des risques d’inefficacité et de dangerosité, notamment à cause de quantités d’ARN messager qui variaient selon les lots.

Mais finalement, l’Agence européenne s’est couchée et a rapidement autorisé ces vaccins. Pourquoi ? Car la pression politique et médiatique était trop grande !

Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé après coup, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile, vis-à-vis de l’opinion publique, de ne pas approuver ces vaccins :

«Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste […], l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public)».

Ici encore, plutôt que de favoriser le débat critique et nuancé sur la vaccination, les médias se sont contentés de relayer la propagande vaccinale des laboratoires.

Mais pourquoi ? Pourquoi les médias ne favorisent-ils pas la confrontation d’idées et d’arguments d’experts ayant des positions différentes ?

Pourquoi jouent-ils au contraire un rôle de « chien de garde pro-vax », en censurant toute critique et ne relayant que les arguments favorables ?

C’est ce que l’on verra au prochain épisode – restez connecté !

Sources

[1] CNews, émission Midi News, 15 février 2022.
https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

[2] https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/

[3] https://www.francebleu.fr/infos/societe/trois-personnes-en-greve-de-la-faim-a-perigueux-contre-le-pass-sanitaire-et-l-obligation-vaccinale-1633106501

[4] https://planetes360.fr/le-pr-christian-perronne-seul-contre-tous-chez-pascal-praud-tire-les-choses-au-clair-au-sujet-des-traitements-et-de-la-vaccination/

[5] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

[6] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/son-association-sen-fiche-les-delires-antivax-dun-ponte-de-la-medecine-vaudoise-id16778677.html

[7] Dans la foulée, les médias suisses nous informent que le Dr Saegesser passera devant une « commission de déontologie » et « risque une sanction de ses confrères » (alors que la liberté de parole des médecins en Suisse est infiniment plus respectée qu’en France).
https://www.24heures.ch/le-docteur-philippe-saegesser-risque-des-sanctions-de-ses-confreres-858231714856

[8] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

[9] https://www.bfmtv.com/tech/fnac-une-selection-d-ouvrages-sur-le-covid-19-fait-polemique-sur-les-reseaux-sociaux_AN-202108180251.html

[10] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1830295/discours-antivax-bibliotheques-youtube-liberte-expression-recherche

[11] https://www.francetvinfo.fr/sante/vaccins/onze-vaccins-obligatoires-au-1erjanvier2018-l-aluminium-dans-les-vaccins-represente-une-goutte-d-eau_2539435.html

[12] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X16303043?via%3Dihub

[13] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/aluminium-dans-les-vaccins-des-effets-toxiques-caches-par-l-ansm_116650

[14] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-aluminium-autisme-la-video-eclairante-d-un-medecin-contre-les-rumeurs_1927989.html

[15] https://www.sudouest.fr/sante/vaccins-mais-que-leur-reproche-t-on-exactement-3351247.php

[16] https://www.tf1info.fr/sante/aluminium-present-dans-les-vaccins-adjuvant-est-un-danger-pour-la-sante-2059587.html

[17] https://www.leparisien.fr/societe/les-figures-de-proue-du-mouvement-antivaccins-en-france-24-07-2017-7152822.php

[18] http://www.slate.fr/story/214536/viagra-femmes-sexualite-feminine-desir-libido-agence-americaine-etats-unis-etudes-industrie-pharmaceutique-marketing

[19]https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html




La pauvreté argumentaire des anti « Bounty » et autres anti « arabes, juifs de service »

Par Lucien SA Oulahbib

Passé l’épreuve de sidération devant une stupidité (d’où l’adage : « les bras m’en tombent ») il est possible de matcher en demandant « mais, dans ce cas, qu’est-ce qu’un Noir qui ne serait pas “Bounty*” ? et qu’est-ce qu’un “Arabe” ou un “Juif” qui ne serait pas de “service” ? »…

[* : noir à l’extérieur, mais blanc à l’intérieur.]

Il est à parier que ces gens seront incapables de fournir une réponse tangible tant ils répercuteront des arguments « inter-sectionnés » qui appartiennent justement au monde « Bounty », comme les droits de l’Homme, l’égalité homme/femme, le respect des « différences » qui fait d’ailleurs déjà partie des coutumes de la culture d’accueil puisque ce dernier point — les coutumes — s’avère nécessairement mouvant, les coutumes et la culture qui les insuffle évoluant dans un jeu de balance permanent entre ce qui est recevable parce qu’il renforce les acquis et ce qui ne l’est pas, car il les affaiblit.

Or, précisément, on ne peut que rejeter cette pauvre rhétorique qui prétend classer bons et mauvais en fonction de critères inconnus ou alors profondément liés à la culture que l’on prétend dénoncer, ce qui dans ce cas permettrait de la réfuter aisément (du moins s’il y avait la volonté de le faire), car on ne voit vraiment pas quel serait la culture ou le système politique dans le monde d’aujourd’hui qui feraient que les critiques acerbes assénées à l’encontre des « Bounty », « Arabes ou Juifs de service » soient un modèle à imiter comme c’était, paraît-il, le cas après la Seconde Guerre mondiale.

Depuis que le modèle communiste est mort et le tiers-mondiste en voie de disparition dans les limbes de l’hyperinflation et de la corruption mafieuse, il ne reste plus que des systèmes bancals qui ne sont en rien des alternatives au monde dit occidental des « démocraties libérales », même si celui-ci devient également hyperinflationniste et corrompu, ce qui fait d’ailleurs que lui aussi se sert désormais des élections non plus comme moyens de renouvellement du personnel politique, mais seulement en tant que plébiscite désormais perpétuel de mesures extrapolitiques cherchant surtout à faire peur et à enrichir une poignée d’oligarques, le tout sous la contrainte hypocrite scientiste et hygiéniste (hypocrite comme par exemple la suspension du port du masque et du passe sanitaire pour mieux avancer l’obligation injectable à l’automne). Ceci les délégitime d’autant, car ces mesures aussi légales soient-elles violent « l’esprit » des institutions démocratiques léguées par trois à quatre siècles de Tradition (ce qui est peu en fait sur deux à cinq mille ans par exemple), d’où l’abstention et la sécession en extension ou qui se pérennise sur fond de cynisme exacerbé mâtiné de catastrophismes divers classés de « complotistes » avant qu’ils ne se soient vérifiés ou provoqués….

En fait, il semble bien que la « vraie » vie politique et sociale en post-démocratie occidentale, voire désormais en démocrature sanitaire et écologiste, ne puisse plus passer par le système institutionnel légué par la Tradition démocratique, car il est aujourd’hui paralysé ou tourne à vide, ce qui fait que la vraie vie passe plutôt et de plus en plus par l’associatif et l’économie parallèle (troc, marché noir, bitcoins, métaux précieux…) au-delà d’ailleurs des tendances idéologiques.

Au fond, de telles insultes sur les Bounty, etc. renvoient plutôt à l’idée qu’il y aurait « quelque part » de « bons » Noirs, Arabes, Juifs qui serviraient une « cause » finale à même d’apporter bonheur et paix. Or, au vu des résultats aujourd’hui atteints par divers pays servant vaguement de « modèles », il semble bien que ces insulteurs ne sont que de vulgaires bonimenteurs. Et les partis qui les soutiennent (par subventions et surfaces médiatiques) comme aujourd’hui les deux M (Macron et Mélenchon) deviennent les deux faces de cette même médaille (le second ayant appelé à voter pour le premier, mais hypocritement par négation celle du sans le dire) qui alimentent, voire accroissent, les tensions multiformes au lieu de les apaiser.

En effet, ces deux M sont devenus de fait les vecteurs de tout ce qui peut continuer à fractionner la nation française (qui est bien plus qu’une « race » disait Jacques Bainville). Le premier veut la dissoudre dans une Union Européenne qui n’a plus rien d’uni et plus rien d’européen (mais plutôt relativiste nihiliste et affairiste). Le second veut la démanteler, puis la soumettre, en imposant des mœurs et des modes d’appartenance aux antipodes des acquis sociaux et civilisationnels qui proviennent de luttes séculaires qu’il s’agit certes de faire évoluer, mais pas au détriment de la liberté, de l’égalité et de la fraternité que ces deux M mettent pourtant de plus en plus en cause (dans les faits et non plus seulement dans leurs discours de plus en plus creux). Ainsi, au lieu de réduire les fractures qui morcellent le corps social et culturel français, ces deux M les agrandissent, tout en prétendant le contraire, et développent en guise de réalité un hologramme sidérant au sens désormais littéral du terme (« tout va bien, madame la Marquise »), d’où la difficulté à en briser le sortilège. De plus, n’est d’autant pas le Prince charmant qui veut que ces « anti » Bounty, etc., lui demande désormais ses papiers, en particulier celui l’autorisant à vouloir ainsi embrasser (les maux de) la France pour la sauver, ce qui est bien pour le coup un comble inédit…




Le « traité pandémique » de l’OMS mettra fin à la liberté telle que nous la connaissons et remettra les « clés du pouvoir » à son plus grand bailleur de fonds privé, M. Bill Gates

[Source : mirastnews.net]

Ce qui suit concerne le nouveau traité pandémique proposé par l’Organisation mondiale de la santé qui peut potentiellement éradiquer la souveraineté nationale telle que nous la connaissons. Il s’agit aussi de la banalité du mal et de l’impact de nos choix quotidiens individuels sur les générations futures et l’histoire du monde.

Par Tessa Léna

Quel est l’accord avec le traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ?

En décembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé son intention d’élaborer un nouveau traité sur la pandémie «renforçant» la coopération internationale lors de futures pandémies. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Le langage de l’annonce était vague, nous devons donc l’interpréter dans son contexte. Voici de la bouche du cheval : (décembre 2021) :

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu aujourd’hui de lancer un processus mondial pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la pandémie prévention, préparation et réponse.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré que la décision de l’Assemblée mondiale de la santé était de nature historique, vitale dans sa mission, et représentait une occasion unique en son genre de renforcer l’architecture mondiale de la santé pour protéger et promouvoir la bien-être de tous. »

Plus de la bouche du cheval (avril 2022):

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, en décembre 2021, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu de lancer un processus mondial en créant un organe intergouvernemental de négociation (INB) pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international. en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies…

Dans le cadre de cette décision historique, l’Assemblée mondiale de la Santé a demandé au Directeur général de tenir des auditions publiques, conformément à la pratique courante de l’OMS, pour soutenir le travail de l’INB. Selon le calendrier de l’INB, le premier tour de ces audiences a été fixé du 12 au 13 avril 2022, avec un second tour prévu du 16 au 17 juin. Ces informations sur les modalités du premier tour d’audience devraient également s’appliquer au second tour.

Mensonges, Mensonges, Mensonges

Commençons par la question du langage déformé. Dans un monde honnête sans agenda sombre, sans quatrième révolution industrielle et sans langage à l’envers, leur traité pourrait sembler une belle idée. Par exemple, qu’est-ce qui peut mal se passer avec une coopération internationale significative et bienveillante en temps de crise ? Un beau conte de fées, non ?

Malheureusement, ce n’est pas du tout un conte de fées, mais plutôt un film d’horreur, car nous vivons dans un monde de mensonges éhontés et de langage à l’envers – et les mots ne signifient plus ce qu’ils sont censés signifier.

A LIRE AUSSI : Pfizer et CDC ont commis une fraude en retenant des données critiques, causant des dommages et la mort de millions de personnes ! + Regardez Bill Gates tenter de vendre son équipe GERM et ses jeux GERM au monde

Pour nous tromper, les bureaucrates essaient de créer dans nos esprits le sentiment qu’ils se réunissent pour nous protéger, comme un conseil bienveillant de sages grand-mères indigènes — alors qu’en réalité, c’est plutôt comme s’ils cherchaient à nous piéger, étant une bande de loups avides et impitoyables déguisés en brebis qu’ils sont.

« Santé » ne signifie pas la santé réelle, mais plutôt la promotion de tout produit ou interférence souhaitable pour les actionnaires et les PDG des sociétés pharmaceutiques et technologiques.

Tout comme Fauci s’est récemment assimilé à la science, les porte-parole des entreprises assimilent tout ce qu’ils veulent nous vendre ou nous imposer à la «santé», puis disent qu’ils protègent notre «santé» alors qu’en fait, ils ne font que protéger leurs poches.

Nous vivons dans un monde où nos dirigeants (traduction : nos semblables qui n’ont aucun avantage intrinsèque sur nous mais qui ont pris de l’avance sur la base d’une extrême soif de pouvoir) profitent pleinement du fait que, pour faire des choses destructrices avec le moins de résistance, puis les appeler « des choses utiles qui sont bonnes pour le peuple », et s’en tirer pendant un certain temps. C’est l’astuce !

Et d’ailleurs, si les deux dernières années sont une indication, la « coopération internationale » signifie en pratique que tous les dirigeants affiliés au WEF vont de l’avant et jettent leurs gens sous le bus à l’unisson, au son de messages uniformes dans les médias.

La « coopération internationale » signifie que tous les pays font la même chose destructrice, entraînant des morts et des souffrances humaines inutiles, une perturbation des structures sociales et de l’économie mondiale, le tout pour ouvrir la voie à leur « nouvelle normalité » préférée. C’est de la coopération internationale !

Audiences publiques

Compte tenu de la nature historique autoproclamée de ce traité, l’Organisation mondiale de la santé a consacré les deux jours entiers au premier tour des audiences publiques (et ils n’en ont pas fait beaucoup de publicité). Le premier tour a eu lieu en avril 2022. Le deuxième tour aura lieu en juin de cette année.

Le Dr Tess Lawrie a écrit un article très émouvant sur le traité de pandémie de l’OMS et la soumission de commentaires vidéo par le Conseil mondial de la santé.

Voici les commentaires du Dr Lawrie sur le traité proposé, après avoir eu la chance de participer à un appel avec l’OMS (ainsi qu’avec l’ONUSIDA, la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est) dans le cadre du processus de soumission.

• Appels à être « axés sur la sécurité humaine » et pas seulement « axés sur la sécurité sanitaire ». Apparemment, ils ne veulent pas seulement contrôler votre corps, mais tous les aspects de votre vie.

• Approbation rapide des diagnostics d’urgence – et enregistrement réglementaire unifié pour les diagnostics. En d’autres termes, plus de contrôle.

• Un accès équitable aux vaccins et « un mécanisme pour tenir les contrevenants responsables ». Donc, si une nation conclut qu’un vaccin n’est pas sûr – comme cela s’est produit lors de cette dernière pandémie – l’OMS aurait le pouvoir de passer outre cela et de piquer sa population de toute façon.

• Les vaccins doivent être développés dans les 100 jours. Ceci est absurde. Il faut dix ans pour que les médicaments sûrs soient correctement testés et déclarés sûrs. Il y a plus de 3,5 millions de personnes dans la base de données de l’OMS qui ont été blessées par les vaccins Covid et cela pourrait être la pointe de l’iceberg.

Je suis d’accord que ces puces sonnent comme s’il s’agissait de contrôle, donc pas surprenant que cela s’accompagne de plus de censure !  

Plus de censure

Alors que les commentaires publics étaient ouverts, la campagne #StopTheTreaty du Conseil mondial de la santé, où le Dr Tess Lawrie fait partie du comité directeur, a fait parler de lui dans la « communauté de la liberté ». Mais si vous le cherchiez sur Google, vous n’en sauriez rien ! Voici ce que j’ai écrit quelques heures seulement après la fin de la période de commentaires :

« Si vous recherchez l’expression « traité pandémique de l’OMS » sur DuckDuckGo, #StopTheTreaty  figure parmi les meilleurs résultats. Sur Google, rien de tel n’existe. Si vous recherchez réellement l’expression « arrêter le traité », sur DuckDuckGo #StoopTheTreaty est le résultat numéro un. Google, en revanche, vous dit tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le traité de Versailles de 1919 !) »

Pour l’Organisation mondiale de la santé, ce n’est pas le premier rodéo

Il est curieux que ce ne soit pas la première fois que l’OMS essaie de servir l’industrie pharmaceutique et divers actionnaires de l’industrie en utilisant la « préparation à une pandémie » comme outil juridique.

Par exemple, en 2009, ils ont annoncé une pandémie de grippe (H1N1) qui a activé les accords d’achat de vaccins et contraint les pays participants à de gros lots de doses dont ils n’avaient pas besoin. La sortie précipitée d’un produit médical de qualité inférieure a conduit, entre autres, à un «fiasco de la narcolepsie».

Selon le rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe :

« L’Assemblée parlementaire s’alarme de la manière dont la pandémie de grippe H1N1 a été gérée, non seulement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais aussi par les autorités sanitaires compétentes au niveau de l’Union européenne et au niveau national.

Elle est particulièrement troublée par certaines des conséquences des décisions prises et des conseils donnés, qui conduisent à une distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, au gaspillage de sommes importantes d’argent public, ainsi qu’à des craintes et à des craintes injustifiées concernant les risques pour la santé auxquels est confronté le public européen à grande.

L’Assemblée note que de graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus décisionnels liés à la pandémie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à l’influence possible de l’industrie pharmaceutique sur certaines des décisions majeures relatives à la pandémie.

L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité n’entraîne une chute de la confiance dans les conseils donnés par les grandes institutions de santé publique. Cela pourrait s’avérer désastreux dans le cas de la prochaine maladie à portée pandémique – qui pourrait s’avérer bien plus grave que la pandémie H1N1…

Le rapporteur considère que certains des résultats de la pandémie, tels qu’illustrés dans ce rapport, ont été dramatiques : distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, gaspillage d’énormes sommes d’argent public, provocation d’une peur injustifiée parmi les Européens, création de les risques pour la santé liés aux vaccins et aux médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés dans le cadre de procédures accélérées, sont tous des exemples de ces résultats.

Même Forbes a écrit en 2010 que « depuis le début, les actions de l’Organisation mondiale de la santé vont du douteux à l’incompétence flagrante ». Une citation poignante :

« Les décisions douteuses de l’OMS démontrent que ses responsables sont trop rigides ou trop incompétents (ou les deux) pour apporter les ajustements nécessaires au système d’alerte à la pandémie – des lacunes que nous attendons d’une organisation scientifiquement contestée, auto-importante et irresponsable.

L’OMS peut être en mesure d’effectuer et de signaler une surveillance mondiale – c’est-à-dire de compter le nombre de cas et de décès – mais son rôle politique devrait être considérablement limité.

Les bureaucrates de l’ONU se font passer pour des autorités sur toutes sortes de produits, de politiques publiques et d’activités humaines, de la désertification et de la biodiversité à la réglementation des produits chimiques, aux utilisations de l’océan et aux tests de plantes génétiquement modifiées.

Cependant, les politiques, exigences et normes réglementaires de l’ONU défient souvent le consensus scientifique et le bon sens. Ses responsables ne sont pas des amis du commerce, de la santé publique ou de la protection de l’environnement. Le résultat est un monde plus précaire, plus dangereux et moins résilient. En ce qui concerne la peste, l’ONU est peut-être le plus grand fléau de tous.

Qu’est-ce qu’une pandémie, de toute façon ?

Il est à noter que juste avant que l’OMS ne déclare une pandémie, elle a changé la définition du mot. Extrait du British Medical Journal :

« L’OMS avait défini pendant des années les pandémies comme des épidémies causant » un nombre énorme de décès et de maladies », mais début mai 2009, elle a supprimé cette expression – décrivant une mesure de gravité – de la définition.

Des scientifiques clés conseillant l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe avaient effectué un travail rémunéré pour des sociétés pharmaceutiques qui avaient tout à gagner des conseils qu’elles préparaient. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été divulgués publiquement par l’OMS, et l’OMS a rejeté les enquêtes sur sa gestion de la pandémie A/H1N1 comme des « théories du complot ».

Une enquête conjointe du BMJ et du Bureau of Investigative Journalism a révélé des preuves qui soulèvent des questions troublantes sur la façon dont l’OMS a géré les conflits d’intérêts entre les scientifiques qui ont conseillé sa planification en cas de pandémie, et sur la transparence de la science sous-jacente à ses conseils aux gouvernements.

Était-il approprié que l’OMS prenne conseil auprès d’experts qui avaient des liens financiers et de recherche déclarables avec des sociétés pharmaceutiques produisant des antiviraux et des vaccins contre la grippe ? »

Se vanter des tours

En 2019, Marc Van Ranst, commissaire belge à la grippe, a donné une conférence lors de la conférence ESWI/Chatham House Influenza Pandemic Preparedness Stakeholders Conference. À environ 13 minutes, il s’est vanté d’avoir « abusé du fait que les meilleurs clubs de football… de football en Belgique étaient vaccinés de manière inappropriée et contre tous les accords… ils ont fait de leurs joueurs de football des personnes prioritaires ». Le public a répondu en riant.

“Trust WHO”

Afin de comprendre la corruption au sein de l’OMS, on peut vouloir regarder un documentaire pré-pandémique intitulé « Trust WHO« , produit par Lilian Franck. Entre autres choses, il examine divers conflits d’intérêts ainsi que des exemples de la façon dont l’organisation a été influencée par l’industrie du tabac et l’industrie nucléaire.

L’ONU a été détournée

L’année dernière, j’ai interviewé Mary Otto-Chang, une ancienne employée des Nations Unies, qui a parlé du détournement de l’ONU et de l’accord de 2019 entre l’ONU et le Forum économique mondial sur la quatrième révolution industrielle comme objectif de coopération.

Donc, ce que nous envisageons, c’est d’utiliser l’autorité de l’ONU en tant qu’organisation internationale soi-disant juste et merveilleuse qui protège les gens pour les objectifs commerciaux et philosophiques des personnes les plus riches du monde. Quel mensonge compliqué !

Banalité du mal

La plupart des choses horribles que les gens se font ne viennent pas de nulle part. Il y a généralement une période de « réchauffement » pendant laquelle les actions perverses sont banalisées et les sens des gens sont « recyclés ».

Parfois, en utilisant un langage à l’envers, les sens des gens sont rééduqués au point d’échanger complètement les significations, où la guerre devient la paix et le meurtre devient la compassion. Il faut du temps pour déshumaniser des données démographiques entières – sur la base d’une ethnie, d’une religion, d’un état de santé particulier, ou de toute autre affiliation arbitraire.

Par exemple, au début de l’Allemagne nazie, il y avait une campagne pour tuer les enfants handicapés mentaux (et aussi faire des expériences inhumaines sur eux), et on disait souvent aux parents que leurs enfants étaient emmenés pour de meilleurs soins. Les parents ne savaient pas que leurs enfants étaient assassinés – mais les infirmières qui ont tué les handicapés savaient exactement ce qu’elles faisaient, mais peut-être que certaines d’entre elles croyaient qu’elles accomplissaient des actes de miséricorde !

Il existe un documentaire puissant et incontournable à ce sujet, intitulé « Les infirmières tueuses du Troisième Reich ». J’avais écrit à ce sujet l’année dernière :

« La seule chose qui était nécessaire pour que les infirmières fassent la transition vers la zone d’horreur était de décider que les pauvres imbéciles souffrants n’avaient aucune agence. Dès que dans leur esprit, les infirmières ont dépouillé les enfants handicapés et les adultes malades mentaux de leur agence humaine et les ont transformés en créatures semblables à des animaux de compagnie souffrants, les tuer est devenu vertueux. Les infirmières tenaient les bébés handicapés avec amour, puis les tuaient.

Nos choix comptent

Une chose à laquelle j’ai beaucoup pensé au cours de ma vie, c’est à quel point nos choix ont des conséquences à long terme : pour nous-mêmes, pour les gens qui nous entourent, et même pour l’histoire du monde !

Par exemple, pour revenir au sujet de la préparation à une pandémie, une grande partie de ce qui s’est passé aux États-Unis en 2020 a été rendue possible grâce à la décision de Bush en 2005 de refaire le plan de préparation à une pandémie. Qui y a prêté attention en 2005 ? Qui pourrait imaginer que cela aurait un impact aussi profond sur nos vies ? Personne, probablement, sauf ceux qui l’ont planifié. Et pourtant nous y sommes…

Ou un autre exemple. Lorsque les gens acceptent la censure contre les groupes auxquels ils ne sont pas liés, ils ne pensent souvent pas que les censeurs viendront ensuite pour eux – et pourtant, le plus souvent, c’est exactement ce qui se passe.

Ou parfois, un choix que nous faisons à un très jeune âge nous revient des années plus tard, et tout ce à quoi nous avons essayé d’échapper nous regarde droit dans les yeux, et nous devons y faire face de toute façon.

C’est-à-dire que le courage et essayer de faire ce qu’il faut ne sont pas seulement louables, ils sont aussi très pratiques, surtout pendant les périodes difficiles.

Il n’y a certainement pas de formule, et pas de prescription universelle pour une période comme celle-ci, mais il est important de voir les escrocs dans des chaises hautes pour qui ils sont (y compris lorsqu’ils parlent de traités de préparation à une pandémie «pour notre propre bien»), et de voir à travers eux sans avoir peur. Lorsque nous sommes solidaires, avec de l’amour dans nos cœurs, nous sommes forts.

Pour en savoir plus sur le travail de Tessa Lena, assurez-vous de consulter sa biographie,
Tessa Fights Robots.https://dailyexpose.uk/2022/05/08/who-pandemic-treaty-power-a-warning/

Traduction : MIRASTNEWS




Les scientifiques ne sont pas plus crédibles que nos gouvernants !

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Les scientifiques qui se sont répandus dans les médias inféodés au système mondialiste, à l’occasion de la fausse pandémie  du SRAS Cov 2 – que personne n’a encore jamais été capable d’isoler – et à l’occasion de la campagne mensongère pour une fausse « vaccination » elle aussi, aujourd’hui largement remise en cause par ses résultats désastreux évidents, mais toujours niés par les fanatiques des injections à ARNm graphénisées et truffées de parasites inconnus, ont perdu toute crédibilité aux yeux de millions de personnes qui ne peuvent plus les voir en peinture !

https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021

Dans ce document de « Santé Publique France », mis en référence ci-dessus, il est clairement affirmé, sans ambiguïté, qu’il n’y a jamais eu ni « pandémie » ni même épidémie de Coronavirus !

Ces scientifiques ont perdu toute crédibilité parce que leurs « conflits d’intérêts » ont été plus importants à leurs yeux que « l’objectivité » scientifique elle-même et que la vérité ou l’honnêteté intellectuelle ! Pour l’argent, des scientifiques, des médecins, des patrons de services hospitaliers ont été capables de « vendre père et mère », de tuer vieillards, femmes et enfants, sans la moindre hésitation : des traitements qui marchaient très bien, comme cela a été largement démontré, (Cf., les références des nombreux documents publiés depuis deux ans et demi dans www.mondialisation.ca), étaient déclarés nocifs, dangereux, interdits à la vente, prohibés, pourchassés, censurés, simplement pour promotionner les produits hautement toxiques et inefficaces des laboratoires, comme le Remdesivir, brassant des milliards sur le dos des braves gens pris en otage dans ce chantage odieux pour lequel ces criminels en cols blancs devront rendre des comptes tôt ou tard, car le boomerang retourne sans faute à son envoyeur. 

2 – Parmi les experts virologues, épidémiologistes, vaccinologues et autres chercheurs liés à ce domaine de compétence, le grand nombre qui n’était pas concerné par « les conflits d’intérêts » s’est tu, car ces scientifiques-là ou ces médecins-là ont été directement menacés pour l’avenir de leur carrière, d’abord par les chancelleries des étatismes autoritaires, mobilisées contre les intérêts collectifs des États Nations, puis par les « ordres de médecins » complices ou par les « Conseils scientifiques » qui étaient plutôt des « Conseils pharmaceutiques » aux ordres d’une industrie génocidaire ne se sentant plus concernée par aucune limite, se vautrant dans le copinage explicite avec les décideurs politiques des Union Européenne et autres, organisées sans l’approbation des peuples priés de la fermer. 

Ces scientifiques et médecins muets ont encore été menacés par les grands patrons de laboratoires ou des organismes publics de la recherche. Les grands maîtres du mondialisme, ceux qui ont pris en otage le pouvoir et qui décident désormais librement, sans jamais rendre de comptes à personne, qui a le droit de vivre et qui doit mourir, ont directement menacé le grand nombre des scientifiques et médecins honnêtes de les suspendre, de briser leur carrière, de leur enlever leur gagne-pain, de les sanctionner ou de les censurer, de les réduire au silence par la coercition, par le mensonge omniprésent, par tous les moyens de pression détenus entre leurs seules mains devenues celles des ordures qui conduisent ce monde vers sa chute finale…

(Cf., covid 19 – Une autre vision de l’épidémie, Les vérités d’un épidémiologiste, Laurent Toubiana, éditions L’Artilleur, 20 avril 2022)

Ce livre est une remise à sa juste place de la vérité scientifique sur toutes ces questions concernant la Covid-19, ses variantes et les « vaccinations »…

Dans un document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech, nous pouvons lire en anglais un certain nombre de choses sidérantes comme par exemple ces deux extraits : 

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, dans l’Union Européenne ou dans d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence, ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché, conditionnelle. »

« Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation réglementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats. » 

https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1776985/000156459021016723/bntx-20f_20201231.htm

Et pourtant, les « Young Global Leaders » placés à la tête des États de l’Union Européenne, continuent leur mission génocidaire, tranquillement, avec des élections truquées, la manipulation du dressage ou fabrique du consentement, sur des peuples complétement désarmés, dépouillés de leur souveraineté… Pfizer BioNtech peut carrément dire que ses produits sont mortels et pas du tout prévus pour la finalité annoncée, cela laisse de glace les dirigeants qui sont les complices acharnés du seul plan qui les motive : celui du « Great Reset », du « piratage des animaux humains » et d’un passage obligé au transhumanisme. Bien entendu, ils ne tiennent aucun compte de toutes ces publications qui démentent, qui corrigent et qui rétablissent la vérité sur la question sanitaire, puisqu’ils savent pertinemment que toute cette histoire n’est qu’une « fenêtre d’opportunité » qui n’a été exploitée que pour le plan du « Great Reset » et en aucun cas pour résoudre un problème sanitaire inexistant, volontairement monté en épingle pour l’objectif recherché mais non avoué. 

Répétons-le : il n’y a aucune raison médicale dans cette histoire tombée entre les mains des laboratoires de l’industrie pharmaceutique et du financier propriétaire prioritaire de l’OMS ! Des scientifiques et des médecins ont été ravis de profiter de l’aubaine financière, et de leur côté, la gouvernance mondialiste a été ravis de pouvoir installer enfin sa domination à perpétuité sur des peuples « piratés » et enfermés dans l’impossibilité d’échapper à la soumission… Sarközy de Nagy-Bocsa avait bien prophétisé le 1er septembre 2021 : « On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien, personne, ne pourra s’y opposer. »

La violence de ce propos menaçant est sidérante, car il veut dire que des individus non identifiés ont décidé de dominer les populations dans leur ensemble, sans leur demander leur avis : c’est quelque chose qui est imposé de force à tout le monde. Des « élites » ayant en mains tous les moyens coercitifs nécessaires, s’estiment en droit d’imposer leur loi au reste de l’humanité qui doit s’y soumettre, « personne ne pouvant s’y opposer » !

3 – Et puis, nous avons entendu, malgré le tumulte du mensonge qui s’en donnait à cœur joie, la voix des scientifiques, des médecins et des soignants sérieux, brillants, compétents, honnêtes, courageux, objectifs, libres, critiques, résistants. Ces médecins, ces chercheurs et ces soignants ont osé protester et se lever pour critiquer, remettre en cause les mensonges devenus la « vérité », en s’opposant frontalement à toutes cette vermine de l’humanité qui osait les traîner dans la boue en les humiliant, en les condamnant, en les poursuivant, en faisant de leur vie un cauchemar, en mobilisant tous les moyens que la perversion a pu imaginer pour les neutraliser enfin, car « personne ne pouvait s’opposer » à ce projet !

L’occident est tombé entre les mains des mondialistes, des Léo Straussiens, des idéologues du « Great Reset », des criminels génocidaires qui veulent ouvertement la mort de plusieurs milliards d’êtres humains, sans se cacher, sans avoir peur de le dire ou de l’écrire explicitement car ils sont tout-puissants ayant eu tout le temps de concocter une législation en leur seule faveur, comme l’exemplaire Traité de Lisbonne ! On en est là figurez-vous ! 

Ne prêtez plus attention aux hurlements hystériques des pantins qui s’agitent en criant au « complotisme », ceux-là, chaque fois qu’on les entend, on devrait s’inspirer de l’exemple du village gaulois qui ligote, bâillonne et suspend son barde à une branche de chêne, pour l’empêcher de lui casser les oreilles avec sa rengaine habituelle ! 

Dans la suite logique de ce délire collectif survenu en Occident désireux de garder la main sur la gouvernance mondiale, la pratique du mensonge est devenue habituelle. Il est devenu impossible de séparer l’ivraie du bon grain ; il est devenu inutile de chercher un seul endroit en occident qui ne serait pas corrompu par le mensonge ! L’occident et son empire totalitaire orwellien est le territoire du mensonge, il se caractérise par le mensonge : l’occident est menteur, en lui règne le mensonge. Cette perversion fait la pluie et le beau temps. Or, le mensonge n’est pas possible sans le « père du mensonge » qui le fait exister sur tous les plans ; il n’est pas possible sans celui qui est « menteur dès l’origine », sans la Bête qui l’inspire !

L’occident est décadent, perverti, menteur, dégénéré et il veut avec une violence inouïe, précipiter le monde entier dans son mensonge, dans sa perversion et dans sa pulsion de mort, car le mensonge est destructeur et la destruction en soi !

4 – Et voilà qu’une autre cohorte de scientifiques vient maintenant nous mettre à l’épreuve en tenant un discours déroutant. Les « experts » inter-gouvernementaux regroupés sous le nom de GIEC, exigent, dans leur dernier rapport sur les mesures climatiques, des initiatives surprenantes ! Au milieu de très bonnes choses utiles et peut-être même nécessaires, les scientifiques du GIEC ont également fait des propositions, comme celle qui consiste à « aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère afin d’obscurcir le soleil par des nuages de poussière artificiels ! » On apprend dans ce dernier rapport, que la technologie permettant d’aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère a été développée et qu’elle se nomme même la technique du « Captage et du Stockage du Carbone » le CSC.

On apprend également, comme ce fut le cas pour la promotion de la Covid-19 et des « vaccins » à l’OMS par Bill Gates, que ce même milliardaire misanthrope a financé ce projet du captage et du stockage du carbone ! 

https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-invests-in-verdoxs-carbon-capture-technology-62z5jcw9z

Des scientifiques de l’Université de Harvard, ont créé de leur côté « l’expérience de perturbation stratosphérique contrôlée » (ScoPEx), grâce au financement encore assuré par Bill Gates. Cette expérience tente de réfléchir les rayons du soleil dans l’espace. C’est en imaginant de telles choses que les « scientifiques » prétendent contrôler le « réchauffement climatique ». Un journal allemand nous révèle que les chercheurs de Harvard désirent, quant à eux, répandre dans l’atmosphère, des particules de carbonate de calcium, ou plus précisément de l’acide carbonique et qu’ils se livrent déjà à ce genre d’expérimentation !

https://www.bbc.com/afrique/monde-61096472

Personne ne sait ce que deviendra la couche d’ozone dans ces conditions. Personne ne sait également les perturbations météorologiques extrêmes que cela va provoquer. En combinant les initiatives du GIEC et de Harvard, sans compter les expérimentations faites en grand secret par le Pentagone, et les opérations désormais abondamment documentées sur la pratique « discrète », mais non moins réelle, des « chemtrails », on peut logiquement s’attendre à de futurs désastres, puisque l’oxygène dont nous avons grand besoin se fabrique à partir de la photosynthèse notamment. En « obscurcissant le soleil », que peut-il se passer objectivement sur Terre ?

De plus, les plantes, des bactéries, des micro éléments du biotope utilisent la lumière et l’eau comme le dioxyde de carbone pour produire du glucose et de l’oxygène. En atténuant la lumière du soleil et en renvoyant le dioxyde de carbone dans la stratosphère, la production d’oxygène devrait forcément chuter sur Terre. Les scientifiques savent théoriquement tout cela et pourtant ils courent ce risque. Pourquoi ? 

Pourquoi Bill Gates se retrouve encore ici dans le financement de ces nouvelles initiatives, sachant que la Fondation Bill Gates n’est jamais déficitaire dans « l’aide » qu’elle accorde à tous ces milieux : santé, écologie, agriculture, alimentaire… Elle retire toujours des bénéfices importants de ses actions financières de grande pilleuse d’épaves dans ces domaines devenus les hauts-lieux de la flibuste…

https://www.ipcc.ch/sr15/

Peut-être pourrons-nous enfin comprendre ! De mémoire d’homme, jamais personne n’avait encore vu un phénomène de cette importance : un nuage de poussière du Sahara qui allait retomber sur toute l’Europe, imprégnant les pierres, les plantes sur des milliers de kilomètres et déposant un voile rouge sur tout objet statique…

Il était très normal que chacun se posât la question de bon sens : pourquoi ce phénomène dit « naturel » n’avait-il jamais existé avant maintenant ? Pourquoi maintenant et pas avant, s’il était naturel ? Pourquoi ce « naturel » ne s’était-il jamais manifesté auparavant ? « C’est normal, ce n’est que de la poussière du Sahara soulevée par les vents violents et qui retombe ensuite sur l’Europe » ! Oui, mais pourquoi avec cette importance, pourquoi dans de telles proportions, allant jusqu’à obscurcir le ciel empêchant le soleil de donner sa lumière ? Les vents n’avaient-ils jamais été violents auparavant ? Il n’y avait pas encore suffisamment de poussière dans le Sahara ? Dans le sud de l’Espagne, tout avait disparu pendant plusieurs jours dans le nuage de poussière rougeâtre et l’on ne voyait plus au-delà de 50 mètres ! En plein jour on se retrouvait comme si nous étions dans la nuit polaire ! 

Le « CSC » avec le « ScoPEx » plus les « chemtrails » et autres expérimentations « HAARP, mystérieux projet de la Force Aérienne Nord-américaine (HAARP, High Frequency Advanced Auroral Research Project), seraient-ils par hasard la bonne réponse à nos questions légitimes ?

https://www.tiempo.com/ram/2487/el-proyecto-haarp/

Jamais cela n’était encore arrivé et pourtant, des personnes théoriquement intelligentes, ne voyaient pas où était le problème et trouvaient assurément ce phénomène – tout à fait inhabituel et donc anormal – comme quelque chose de tout à fait normal ! Exactement comme elles trouvaient qu’une moyenne habituelle, au pic le plus fort de la grippe saisonnière, étant entre 500 et 600 malades pour 100.000 habitants par semaine, n’avait pas lieu d’alerter le monde entier en le traumatisant ! En revanche, la covid-19 qui a atteint, au pic le plus fort de sa manifestation, la moyenne de 142 malades pour 100.000 habitants par semaine, elle devait déclencher la déclaration de « pandémie » par l’OMS et provoquer une surenchère invraisemblable de mesures tout à fait injustifiées et clairement mensongères, n’ayant pour but que de faire peur et d’imposer des contraintes arbitraires et théâtrales aux populations, prises en otages dans un chantage odieux et parfaitement criminel, mais justifiant une finalité, encore non avouée à ce jour par les auteurs de ce génocide planétaire, pour un grand nombre, et un « piratage » pour les survivants ! (Cf., op.cit., Laurent Toubiana, Covid-19, une autre vision de l’épidémie…)

Conclusion

La servitude volontaire restera pour moi une question relevant d’une extrême naïveté ou retard mental ! La servitude volontaire serait ainsi la manifestation ou le symptôme d’une transgression des limites de la distinction entre le malheur d’une soumission imposée de l’extérieur et le vice d’un assujettissement volontaire, consenti dans le for intérieur à défaut de désirer la liberté. Selon La Boétie, les régimes politiques sont fondés sur la peur, laquelle sert à dissimuler l’absence de légitimité des gouvernants. Ainsi, le peuple s’auto-soumet aux pouvoirs en place, par simple habitude, par récurrence historique. 

Je pense qu’il y a plus à dire que ce que postule La Boétie : oser contester la légitimité des Gouvernants en les accusant de fomenter le génocide et l’esclavage des survivants, n’est pas soutenable, car dans la tête d’un occidental formaté à la théocratie, toute la légitimité des pouvoirs non démocratiques – comme c’est le cas de tous les pouvoirs politiques en occident – est basée sur l’innocence sacralisée de ces pouvoirs. Les gouvernants sont regroupés dans « l’État profond » ; celui-ci est le Pontife de la société laïque ne pouvant que vouloir le bien commun, il est impossible d’imaginer que les gouvernants puissent se tromper et la tromper ou avoir des intentions perverses, voire mauvaises et criminelles. La vérité et la vertu font partie de leurs attributs et ils sont gratifiés d’une sorte « d’infaillibilité pontificale » de par la fonction étatique reliée à la légitimité théocratique. Remettre cela en cause, c’est enlever toute légitimité au pouvoir légitimé par le divin et sombrer dans l’anarchie ! C’est cette arriération mentale qui explique, à mon sens, la soumission des personnes rendues, sourdes, aveugles et muettes, face à tout régime politique organisé hors des principes de la démocratie. En démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit… En théocratie, c’est l’État qui représente dieu et qui commande le peuple prié de se soumettre à ses volontés, à ses lois, à ses décrets, à ses décisions. Il sait où est le bien des uns et des autres mieux que les uns et les autres ! Désobéir à un tel État est quasi blasphématoire et passible de répression, de sanctions, de punitions… C’est cela qui se passe chez nous et qui explique cette passivité grégaire de la majorité face au totalitarisme théocratique de nos sociétés archaïques et de leurs Gouvernants… Ainsi, chacun peut imaginer où se trouve le remède à une telle maladie de civilisation : dans la fin de cette civilisation, le plus tôt possible, ce que nous appelons de nos vœux…

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Cela semble fleurer bon le complotisme lorsque l’ONU annonce la signature d’un accord entre le Forum de Davos et l’Organisation des Nations Unies pour l’accélération de la mise en place de ce que l’on appelle « l’Agenda 2030 », pourtant, il n’y a pas de quoi crier au complot qui serait caché puisque tout est dit et annoncé dans la vidéo ci-dessous.



Quant à l’agenda 2030 il a son propre site internet dans lequel vous trouverez toutes les informations pour savoir exactement à quelle sauce vous serez mangé dans les 8 prochaines années… au mieux, car cet agenda est en pleine accélération, ce qui est logique compte tenu de la crise ouverte avec la Russie et de la guerre en Ukraine.

L’Agenda 2030 n’a rien de complotiste, c’est une réalité.

Il est même décliné pays par pays, et vous trouverez ci-dessous le lien pour aller sur le site qui reprend notamment la feuille de route de l’Agenda 2030 pour notre pays [La France].

Vous pouvez lire tout cela dans le détail sur ce site totalement officiel ici.

[Feuille de route pour la France :]

En gros l’Agenda 2030, c’est aussi un peu le « grand Reset » et la nécessité de passer d’un modèle de société à un autre en espérant que cette transition fonctionne… parce que si elle échoue, ce sera très compliqué.

Charles SANNAT

[Voir aussi :
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Alexandre Juving-Brunet : « Je livre tout ce que je sais, et je prends des risques pour le faire »

[Source : Nexus]

Ancien capitaine de gendarmerie, Alexandre Juving Brunet nous livre sa vision d’un monde au bord du chaos. Il a démissionné en 2013 après avoir observé et subi les dérives des institutions.

Alexandre Juving Brunet appelle les Français à réincarner l’esprit Gaullien et recréer un pays phare pour devenir une force d’attraction pour le monde. Formé à l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr puis à l’École des Officiers de la Gendarmerie Nationale, Alexandre Juving-Brunet s’est engagé très tôt pour servir la France. Il occupa des responsabilités de sécurité publique en zone rurale, dans la gendarmerie mobile, puis d’officier d’état-major et de liaison aux renseignements militaires.






Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal GENSÉRIC

Je recommande aux lecteurs d’utiliser les détails historiques non controversés suivants comme un instrument (plutôt gentil et discret) qui pourrait réveiller ceux qui dorment encore.

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.

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Je vois que le vieux « M. Théorie du complot » est de retour.

Ils ont compris que lorsque la surface du soleil (ou CORONA) était la plus active, il y avait des éjections massives du soleil qui se manifestaient comme des manifestations spectaculaires des aurores boréales dans les climats nordiques et qu’il y avait également des effets magnétiques (ou « ondes magnétiques ») du soleil qui frappent la terre avec une intensité inhabituelle à ces moments là.

Ainsi le mot « INFLUENZA » est devenu le nom de cette maladie, « Influenza » étant l’abréviation de « Influenza delle stelle »… INFLUENCE DES ÉTOILES.

Ainsi, au début des années 1600, les scientifiques européens avaient découvert que la cause de la maladie désormais connue sous le nom de « influenza » était l’effet d’ondes magnétiques inhabituelles affectant le corps humain.

Ce récit sur la « flu » a été accepté tout au long des années 1700 et 1800. Il y a eu de multiples références aux maladies provoquées par la prolifération des communications télégraphiques et l’installation de réseaux électriques CA (Courant alternatif) dans les villes américaines. Certains des effets signalés étaient très graves pour les personnes atteintes : apathie, perte d’énergie, dépression, maux de tête et bien plus.

Le récit de causalité « électrique/magnétique » a continué comme modèle pour expliquer les symptômes de la « grippe » jusque vers 1920 et la catastrophe mondiale de 1918/19 qui était « la grippe espagnole ».

LA GRIPPE ESPAGNOLE

Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.

Le Chirurgien général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.

Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.

Cette « grippe » NE POURRAIT PAS ÊTRE TRANSFÉRÉE D’UNE PERSONNE À UNE AUTRE.
CETTE GRIPPE N’ÉTAIT PAS CONTAGIEUSE.

De nombreux scientifiques et penseurs de l’époque, comme Rudolf Steiner, ont déclaré que la « contagion » apparente était le résultat d’une exposition simultanée aux nouvelles ONDES RADIO (fréquences électromagnétiques) qui étaient diffusées pour la première fois dans presque le monde entier.

Étant donné que 50 millions de personnes sont mortes, l’électricité COMME CAUSE POTENTIELLE DE DÉCÈS n’était pas une idée que nos dirigeants financiers/politiques pouvaient faire croire au grand public. Cette prise de conscience a été exclue du domaine public et le faux récit du « virus » a été inventé pour expliquer « la grippe ».

Si le public avait été autorisé à penser que les installations électriques et le rayonnement de celles-ci pouvaient les tuer, alors tout le XXe siècle n’aurait pas pu se produire. Tous les plans de développement, d’industrialisation et de bénéfices des entreprises dépendaient de l’électricité. L’establishment avait besoin d’une autre histoire.

Les dirigeants l’ont compris.

Le récit du « virus » reflète exactement le récit du « nouveau Champs ÉlectroMagnétiques (CEM) » comme cause de la grippe.

Un virus continue de muter. Nos corps s’adaptent à l’ancienne fréquence virus/CEM et nous sommes alors OK jusqu’à ce qu’une nouvelle mutation/nouvelle fréquence arrive.

Les gens doivent savoir que :

1) Comme l’affirme la Nouvelle Médecine Allemande (NMA) depuis les années 1980, aucun virus n’a jamais été isolé ou purifié à partir de tissus humains… bien qu’il soit facile de le faire avec des virus trouvés sur des algues, par exemple. NMA dit que le « modèle viral » de la maladie est un non-sens fictif. Après avoir lu deux des publications de la NMA sur ce sujet, il est impossible d’être en désaccord.

[Voir les articles liés à Stefan Lanka
dans le dossier Vaccins et virus.]

2) Les maladies « électriques » (comme la grippe) semblent affecter très gravement certaines personnes et d’autres à peine.

Pendant la grippe espagnole, il a été constaté que les pires symptômes se manifestaient chez les jeunes en bonne santé âgés de 20 à 35 ans environ. Ils ne mouraient souvent pas, mais ils souffraient le plus. J’ai remarqué ce même phénomène lors de la récente période de la grippe COVID. Les jeunes adultes ont eu le pire des symptômes. Ce sont eux qui ont perdu leur sens du goût et de l’odorat, par exemple, et ont été alités à cause d’une forte fièvre. À tel point que, au début des années 1920, un médecin écrit un article de journal se demandant publiquement si ses conseils aux patients de « se maintenir en bonne santé » pouvaient être de mauvais conseils étant donné que la santé vous rend plus vulnérable aux souffrances extrêmes de cette maladie.

3) Le fait que certains n’étaient pas vulnérables à la grippe (est-ce que quelqu’un a remarqué au cours de la soi-disant pandémie de cette année qu’une personne dans une famille pourrait être durement touchée par la maladie alors qu’un frère ou un parent dans la même maison ne l’a pas attrapée du tout ?)… Cela a permis aux puissants, utilisant Sigmund Freud comme porte-parole, de déclarer que, parce que seuls certains étaient touchés, alors toutes les allégations de « maladies électriques » ont des causes purement psychologiques. Ce sont des maladies de l’imagination, hypnotiquement auto-induites… elles n’ont aucun fondement dans la réalité physique.

…. Et nous sommes ici aujourd’hui, agissant collectivement comme si la proximité de notre voisin pouvait nous mettre en péril mortel.

Il n’y a pas de débat sur le bon sens de cette approche (même si une telle contagion était une réalité, cette stratégie pour faire face à la maladie est stupide). Il n’y a aucun débat autorisé concernant une éventuelle causalité des CEM à la récente pandémie.

… même si de nombreux experts, dont Barry Trower, ont clairement décrit les terribles dangers de la construction du nouveau système autour de nous au moment où nous parlons.

… même si nous savons que les fréquences et intensités diffusées par les nouveaux mâts sont contrôlées par ordinateur et que nous pouvons être zappés par les fréquences ou intensités choisies que nos dirigeants choisissent d’utiliser. Les compagnies de téléphone ont achevé leurs recherches sur les effets des signaux diffusés, mais elles refusent de partager les données qu’elles ont glanées des expériences.

La mention même des mâts de téléphonie mobile de nouvelle génération (4G – 5G) est interdite dans le domaine public. Jusqu’à ce que cette question vitale soit débattue librement et équitablement, nous devons nous réserver le droit de croire que l’on nous ment sur tout, que le véritable danger pour notre bonne santé, l’arme qui est utilisée pour nous conduire vers les directions désirées, vise des formations sélectionnées et des intensités de diffusion à partir des nouveaux émetteurs de téléphonie mobile qui ont récemment été érigés au-dessus d’un trottoir très près de votre maison.

Chaque nouvelle fréquence équivaut à un nouveau virus, qui sera étranger à notre corps et notre corps s’adaptera à une nouvelle fréquence de manière normale… et en tombant malade de la « grippe ».

Le connerie COVID-19 est une opération financière.

Nos dirigeants poursuivent un programme et ils ne s’arrêteront pas maintenant.

Quelque chose de terrible va arriver. La maladie récente a provoqué l’hypoxie légère de nombreuses victimes (l’hémoglobine de leur corps n’a pas pu absorber complètement l’oxygène qu’elles ont inhalé). La deuxième vague sera bien pire que la première. La première était une pratique (un « exercice en direct » comme l’appelait Pompeo). Maladie, guerre, effondrement financier, famine… tout est possible… mais quoi qu’il arrive, attendez-vous à ce que ce soit très mauvais.

… nous allons bientôt endurer les heures les plus sombres avant une nouvelle et merveilleuse aube. Nous avons avalé collectivement de nombreux tonneaux de mensonges sataniques toxiques.

Cependant, nous devons être de bon cœur, car bientôt nous connaîtrons la vérité et cette vérité libérera le monde entier.

* P.S. Le livre le plus important écrit ce siècle, jusqu’à présent, est sûrement « The Invisible Rainbow » d’Arthur Firstenberg dont la plupart des informations dans l’article ci-dessus ont été tirées [Voir ci-dessous].

Source THE STORY OF INFLUENZA. AN IMPORTANT TALE TO TELL YOUR FRIENDS


L’arc-en-ciel invisible — Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

Voici une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les effets thermiques peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de l’électricité et de la Vie depuis le 18e siècle. Ce livre nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques depuis plus de deux siècles ! L’ingénieur Sosthène Berger a réalisé un résumé en français fort utile de ce livre de 508 pages, dont une bibliographie de 134 pages.

Titre d’origine en anglais : The Invisible Rainbow — A History of Electricity and Life)

Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet, mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des champs électromagnétiques (CEM).

Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner le tabou entourant ce sujet. De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.

« L’histoire de l’invention et de l’utilisation de l’électricité a souvent été présentée, mais jamais du point de vue environnemental. La présomption de sécurité et la conviction que l’électricité n’a rien à voir avec la vie sont maintenant si profondément ancrées dans le psychisme humain que de nouvelles recherches et des témoignages de ceux qui sont blessés par les CEM ne suffisent pas à changer le cours que la société a mis en place, » explique la quatrième de couverture de son livre. Deux mondes de plus en plus isolés — l’un habité par la majorité, qui embrassent les nouvelles technologies sans fil sans remise en question, et l’autre habité par une minorité croissante qui lutte pour la survie dans un environnement pollué par électricité — ne parlent même plus la même langue. Dans The Invisible Rainbow, Arthur Firstenberg relie ces deux mondes. Dans une histoire rigoureusement scientifique, mais facile à lire, il fournit une réponse surprenante à la question suivante : comment l’électricité peut-elle être soudainement nuisible aujourd’hui quand elle était sûre pendant des siècles ? »

Son ouvrage est des plus instructifs.
On y apprend notamment :

  • que les biométéorologues savent que 30 % de la population est sensible aux changements dans l’électricité climatique et que cette sensibilité est documentée depuis 5 000 ans ;
  • que les aiguilles de l’acupuncteur conduiraient l’électricité atmosphérique pour stimuler les méridiens ;
  • que les effets secondaires de l’électrothérapie (confusion, étourdissements, maux de tête, nausée, faiblesse, fatigue, palpitations cardiaques, saignements de nez, etc.) sont attestés depuis le 18e siècle ;
  • qu’à force de s’exposer à répétition à l’électricité statique, Benjamin Franklin avait développé une douloureuse électrohypersensibilité ;
  • que le diagnostic de l’anxiété est apparu en 1866 alors que les fils de télégraphe faisaient le tour du globe, que les premières épidémies d’influenza sont survenues en 1889 après l’invention du courant alternatif qui transforma le statut du diabète, des cardiopathies et du cancer de maladie rare à courante ;
  • que chez certaines personnes les tremblements de terre causent les mêmes symptômes associés à l’électrification, rapportait le physicien britannique William Stukeley en 1749 ; 
  • que 12 % des gens peuvent entendre les faibles courants électriques, affirmait l’otologiste Auguste Morel en 1892 ;
  • que 80 % des patients électrosensibles du médecin Gad Sulman, directeur de l’unité de bioclimatologie du centre médical de l’Université Hadassah, à Jérusalem, prédisaient les changements de météo de 12 à 48 heures à l’avance, car les ions atmosphériques modifient la production cérébrale de sérotonine, neurotransmetteur responsable de l’humeur. « Nous causons une grave injustice aux patients électrosensibles en les traitant comme des patients psychiatriques », écrivait-il en 1980 dans son livre The Effects of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and Other Electric Phenomena on Man and Animal (Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400 p.) ;
  • que la neurasthénie (faiblesse nerveuse), nommée en 1869 par le neurologue George Miller Beard qui collabora avec Edison dans sa découverte de l’électricité de haute fréquence, fut rebaptisée « névrose d’angoisse » par Sigmund Freud en 1895 ; or les Russes ont rejeté cette redéfinition : la neurasthénie, encore un des diagnostics les plus répandus en Asie, est due à une toxicité chimique et électromagnétique chronique. Elle a atteint des proportions épidémiques depuis l’électrification survenue dans les années 1880 et ce déséquilibre nerveux est un des premiers symptômes de la « maladie des micro-ondes » découverte par les Russes en 1930 ;
  • qu’un cellulaire, qui peut à la longue notamment provoquer des acouphènes, dépose 360 joules d’énergie dans un cerveau par heure d’exposition, comparativement à 150 joules pour la pile électrique avec laquelle Volta provoquait une sensation auditive en la rattachant à une oreille avec des électrodes ;
  • que les animaux et les plantes sont aussi sensibles que nous aux CEM et que de très faibles courants électriques altèrent leur croissance et leur fonctionnement.

Pour en savoir davantage, lire l’historique de l’électrohypersensibilité publiée par Firstenberg sur son site cellphonetaskforce.org. Il y raconte que dans les années 1950, plusieurs cliniques furent ouvertes dans les pays du pacte de Varsovie pour traiter les cas de maladie des micro-ondes qui happa des milliers de travailleurs exposés à des micro-ondes.

VOIR AUSSI :




La Face cachée du drame de Notre-dame : Des mensonges aux abus de pouvoir

[Source : apar.tv]

Il y a des jours où l’on ne préférerait pas avoir internet. Il y a des jours où face à la vérité on préférait un bon mensonge. Rapide et rassurant. C’est ce que vous risquez de ressentir après le récit glaçant autour de l’incendie de Notre-dame publié par le Media en 4-4-2. Heureusement – comme nous avons l’habitude de le répéter en ce moment – à la fin c’est dieu qui gagne.

Par Rrose Sélavy

Orange et les autorités chargées de la restauration de la cathédrale incendiée le 15 avril 2019 reprennent les visites du monument, mais… virtuelles et payantes. Deux heures de spectacle, dont 45 minutes d’expérience immersive, Éternelle Notre-Dame vous fait voyager dans le temps et plonger dans l’univers de la cathédrale du XIIIᵉ au XXIᵉ siècle. Autrefois on appelait ça tout simplement son et lumière.

La cathédrale est la proie des flammes, comme le montre cette image capturée par un drone de la police. La cathédrale est la proie des flammes, comme le montre cette image capturée par un drone de la police.
© Drone de la Police

A présent, c’est beaucoup mieux. Prix annoncé : 20,99 €. En parcourant le site on apprend que c’est le tarif réduit. La place est à 30,99 € (30 % du prix du billet vont à l’établissement public en charge de la conservation et de la restauration de la cathédrale et à la Fondation Notre-Dame). L’ immersion en plein Moyen-Âge se fait en toute sécurité : pass vaccinal et masque obligatoires. Gel hydroalcoolique disponible à toutes les étapes de la visite. Matériel rigoureusement désinfecté entre chaque séance (casque, sac à dos, lanières). Cent personnes par heure sur 1500m2, soit 15m2 par personne. Ça fait rêver, non ? Le spectacle est produit et réalisé par Amaclio, une société créée par deux passionnés d’histoire, François Nicolas et Bruno Seillier. Leur dernier spectacle, La nuit aux Invalides en juin 2021, n’a pas fait que des heureux. Certains spectateurs ont réservé des places sans être vaccinés. Entre-temps, la législation a changé, le pass sanitaire est devenu obligatoire, mais Amaclio a refusé de les rembourser. Ils se sont épanchés sur les pages Jaunes : société malhonnête, expérience catastrophique, quelle déception ! La société, subissant un plan de redressement depuis le 5 décembre 2018, n’a sans doute pas les moyens de rembourser sa clientèle.

Film catastrophe

Tout aussi virtuel sera le film catastrophe à la française de Jean-Jacques Annaud : Notre-Dame brûle. Il sort le 16 mars, un mois avant la date anniversaire de l’incendie. Budget : 30 millions apportés par TF1, Pathé et Jérôme Seydoux. Le réalisateur, Jean-Jacques Annaud, est membre de l’Académie des Beaux Arts. Il est aussi chevalier de l’Ordre National du Mérite, Chevalier des Palmes Académiques et Commandeur des Arts et Lettres ! Hypothèse de base du scénario : c’est un mégot qui a foutu le feu ou bien un court-circuit. Bref, c’est la faute à pas de chance. Rien de criminel. « La reconstitution heure par heure de l’invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 », nous dit UniFrance. C’est en effet invraisemblable.

Jean-Jacques Annaud
Jean-Jacques Annaud et son ami Roman Polanski

On gratte un peu le vernis ? Jean-Jacques Annaud, cité dans les Paradise Papers, a été condamné pour blanchiment de fraude fiscale à neuf mois de prison avec sursis et 120 000 euros d’amende pour avoir oublié de déclarer au fisc 1,2 million d’euros. L’appartenance à la France China Foundation n’a pas suffi à éloigner les aigris du fisc qui se sont demandé où avait disparu l’argent du tournage de Sept ans au Tibet en 1997. Notre-Dame brûle a reçu l’appui du CNC, présidé par Dominique Boutonnat, visé par une plainte pour agression sexuelle et tentative de viol. Comme dirait Jean-Michel Trogneux, Nobody’s perfect !

Produits dérivés métaverses

Autre produit dérivé annoncé par les médias : un jeu en réalité virtuelle au cœur de la cathédrale, fruit de la collaboration entre Jean-Jacques Annaud et le développeur de jeux vidéo français Ubisoft. La cathédrale du jeu Assassin’s Creed Unity, qui se déroule pendant la Révolution française, resservira. À l’aide de lunettes de réalité virtuelle, le joueur tentera de combattre l’incendie et de sauver des reliques. L’exportation du jeu sera « une manière de rendre Notre-Dame plus éternelle que jamais », nous explique FranceInfo. Plus belle qu’avant, a dit le président. Plus éternelle que jamais, affirme France Info. L’incendie aurait-il apporté un « plus » à Notre-Dame ?

Que va devenir la cathédrale ?

L’esthétique médiévale a-t-elle fait son temps ? Certains craignent un nouveau Disneyland. Quand on voit les propositions du diocèse pour l’intérieur, on peut craindre le pire. Le père Gilles Drouin, soutenu par Michel Aupetit, l’archevêque de Paris, a pour projet de « mettre en scène les grands moments de la Bible pour expliquer de la manière la plus intelligible au commun des mortels, qu’il soit chinois ou suédois, ce que tout cela signifie. Il est prévu de projeter sur certains mots et expressions en mandarin, en français ou en espagnol, et en anglais ». Son plan, présenté le 9 décembre 2021, intègre une ouverture à l’art d’aujourd’hui, « dans la tradition de l’histoire de la cathédrale qui a toujours accueilli le meilleur de l’art de son temps » nous explique Famille chrétienne. La commission nationale du patrimoine et de l’architecture de France a quand même exprimé de sérieux doutes sur les futurs bancs pour les fidèles, au design très contemporain, pliables, équipés de roulettes et de lumignons. « Cela ressemblait vraiment à des bancs d’aéroport… Notre avis, après en avoir longtemps discuté, est très réservé »conclut un expert. La reconstruction de l’extérieur se déroule selon un plan plus conventionnel. Bien qu’il ait déjà annoncé un concours international d’architecture pour redessiner la flèche de Notre-Dame, Emmanuel Macron a confirmé que le célèbre élément serait restauré à l’identique.

Ile de la Cité : des milliards en jeu

Avant l’incendie, Notre-Dame et l’île de la Cité avaient déjà éveillé déjà les convoitises des architectes Dominique Perrault et Philippe Belaval. Leur rapport, commandé par François Hollande et Anne Hidalgo en décembre 2015, offrait « une vision de l’île à l’horizon des vingt-cinq prochaines années ». Des milliards en jeu. De quoi plaire aux promoteurs. De quoi faire craindre le pire.

Dominique Perrault, architecte de la Bibliothèque nationale de France, fait partie du réseau  Mitterrand et Lang. Jean-Michel Wilmotte a aménagé une partie des appartements privés de François Mitterrand au palais de l’Élysée. Tous deux font partie du petit monde qui assiste à la cérémonie d’installation de Frédéric Mitterrand à l’académie des Beaux-Arts à Paris, France, le 5 février 2020. Sur les photos on peut voir : Jean-Michel Wilmotte avec Roman Polanski, Yann Arthus-Bertrand, Farah Palhavi, Marc Ladreit de Lacharriere, Adrien Goetz, Marc Lambron, Jacques Perrin, Karim Aga Khan.

Après l’incendie, Jean-Michel Wilmotte et Dominique Perrault sont toujours là et toujours au service du pouvoir en place : selon eux, la restauration de Notre-Dame devra se faire grâce à des techniques et matériaux de construction modernes, seule solution pour respecter le court délai imposé par Emmanuel Macron.

À 50 mètres de Notre-Dame, le pire est déjà arrivé, à l’Hôtel-Dieu

Un tiers de l’Hôtel-Dieu — 20 000 m2, dont l’aile donnant sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame — a été cédé au promoteur Novaxia, après l’incendie de la cathédrale, via un bail de 80 ans de 144 millions d’euros de redevance d’exploitation (244 sur la durée du bail). Anne Hidalgo a insisté pour que l’Hôtel-Dieu ne soit pas classé. Martin Hirsch à la tête de l’AP-HP, son propriétaire, n’y a rien trouvé à redire, malgré l’obstination de la Commission du Vieux-Paris qui le demande depuis mai 2018. Projet de Novaxia : « un pôle “attractivité” avec une offre variée de restauration et de commerces qui viendra renforcer l’attractivité et l’animation de ce lieu emblématique. Un restaurant gastronomique, un café, un “food court” et des commerces seront sélectionnés par les différentes parties prenantes ». En 2020, cette proposition a été primée, pour des raisons très certainement esthétiques et culturelles, par l’association de professionnels du bâtiment Le Geste d’or.

Peu après avoir signé le bail de l’Hôtel-Dieu, Joachim Azan, qui dirige Novaxia, a été condamné à 300 000 € d’amende par l’Autorité des marchés financiers pour « dispositifs lacunaires dans la gestion des conflits d’intérêts, non-respect des limites des frais mentionnées dans le prospectus de présentation des fonds, manquements aux obligations commerciales ainsi que manque de diligence et loyauté à l’égard de la mission de contrôle », etc. Entre Martin Hirsch et Joachim Azan, le sort de l’Hôtel-Dieu est-il en de bonnes mains ?

Sécurité défaillante avant l’incendie

La sécurité de la cathédrale était déléguée à la société Elytis deux agents de la société étaient mobilisés au PC sécurité Notre-Dame — l’un devant l’écran de surveillance, l’autre en ronde sur le terrain. Depuis 2014, pour cause de rentabilité, il n’y en avait plus qu’un, avec en appui un surveillant de la cathédrale. Résultat : impossible de faire des pauses et la moindre sollicitation obligeait l’employé d’Elytis à quitter du regard le système de sécurité incendie.

N’importe qui pouvait monter sur Notre-Dame sans être vu et répandre un produit, comme la nanothermite, évoquée par des complotistes qui doutent que des poutres de neuf siècles puissent prendre feu avec autant de bonne volonté. En effet, comment faire brûler des poutres du XIIe siècle, résistantes comme de l’acier ?

La nanothermite utilisée pour les tours de New York le 11 septembre 2001 est une hypothèse écartée avant toute enquête par le gouvernement et ses médias. Qui dispose de thermite ? L’Armée. Et voilà le Général Georgelin, nommé, deux jours après l’incendie, représentant spécial pour la sauvegarde et la restauration de Notre-Dame. Qu’est-ce qui a pu  provoquer une explosion après le début de l’incendie ? La thermite.

« Je vois pas d’hypothèse que je puisse dire »

Benjamin Mouton n’a pas de conflit d’intérêts (il est à la retraite). Lorsqu’il était architecte en chef des monuments historiques, responsable de Notre-Dame, entre 2000 et 2013, il a supervisé la rénovation de la sécurité incendie. 

« Le sujet de la sécurité incendie a été posé à partir de mon arrivée. J’ai géré le sujet de bout en bout. » Donc la sécurité incendie, il connaît : « Là où j’étais stupéfait c’est de la rapidité avec laquelle le chêne de Notre-Dame a brûlé. Un chêne aussi vieux; ça ne peut pas brûler comme une allumette. C’est absolument incompréhensible. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. Je vois pas d’hypothèse que je puisse dire. »

L’hypothèse d’un court-circuit ou d’un mégot d’un chantier ? 

« J’en ai parlé à mon confrère Philippe Villeneuve, qui est l’architecte en chef des Monuments historiques et qui m’a donné son accord pour que je participe ici ce soir, et il m’a dit avoir connu un seul départ de feu dans la culée, c’est-à-dire dans la partie de toiture qui rencontre le transept. Il m’a dit uniquement ça : “Il n’y avait pas de chantier à cet endroit-là”. »

Un architecte avec conflits d’intérêts déclare : l’incendie était prévisible

François Chatillon, architecte en chef des monuments historiques impliqué dans la restauration de nombreux monuments en France, signale qu’il était bien connu que les poutres de chêne sous le toit en plomb de Notre-Dame présentaient un risque élevé d’incendie.

La Cour des comptes met le nez dans le chantier de restauration

Son rapport ne laisse pas grand-chose de côté, à part l’enquête, qui n’entre pas dans son domaine. Avant l’incendie : des travaux nécessaires restaient en plan. A la date de l’incendie, le mécénat de la Fondation Notre Dame et de la fondation américaine Friends of Notre-Dame de Paris n’avaient rien versé, même si le programme de travaux qu’il contribuait à financer avait connu un début d’exécution, notamment le montage d’un échafaudage de grande ampleur autour de la flèche. Après l’incendie, l’élan de générosité des donateurs a atteint 825 millions d’euros, mais l’utilisation des fonds n’est pas transparente. Le comité de suivi des travaux, créé trois jours après l’incendie et définitivement adopté le 16 juillet 2019, ne s’est pas réuni avant juillet 2020, soit plus d’un an après l’incendie. Il n’a pas pu informer les donateurs de l’emploi des fonds. Des détournements sont suspectés. Ainsi, le siège de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris est situé au 2Bis cité Martignac, dans un bâtiment propriété de l’État. Coût de la location pour cinq ans de locaux qui devraient être mis à disposition gratuitement : 1,65 M€. Rémunérations de 39 agents : près de 4 M€. La cour des comptes relève qu’il paraît difficile de considérer qu’ils relèvent tous des travaux de conservation et de restauration de la cathédrale.

Un architecte, M. Villeneuve, a proposé un taux de majoration de 30 %, pour les travaux de sécurisation et de consolidation de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Demande revue à la baisse. Ce même architecte a, d’un côté, reçu des indemnités pour la résiliation des marchés en cours dont aucun n’était achevé à la date de l’incendie, et de l’autre, a bénéficié d’un nouveau contrat pour assurer la restauration.

Stratégie du choc

Le choc de l’incendie de Notre-Dame de Paris a permis de reporter l’annonce de mesures aptes à calmer la colère des Gilets Jaunes. Les réactions du gouvernement ont été fulgurantes, comme si elles suivaient un plan, mais nous ne l’envisageons même pas, ce serait du complotisme. Emmanuel Macron « triste » de voir la cathédrale brûler. La joie des deux compères Macron et Philippe est pourtant manifeste (voir vidéo). Tout va vraiment très vite, comme si c’était prévu : incendie le 15, dépôt d’un projet de loi d’exception le 24 pour la reconstruction de Notre-Dame et du quartier de l’île de la Cité (planifiée depuis les années Hollande).

Par l’annonce que Notre-Dame sera reconstruite « plus belle encore », l’inculture confirme en toute décontraction son apparition au sommet de l’État devant un parterre d’architectes. 

« Et je l’ai dit le soir de l’incendie, nous construirons Notre-Dame plus belle encore en repensant ses abords : le parvis, le square Jean XXIII, la promenade du flanc sud de l’Ile-de-la-Cité, dans un dialogue constant, notamment avec le clergé et la Ville de Paris et en nous appuyant sur les travaux qui ont été réalisés il y a maintenant plus de deux ans par plusieurs ici présents, et en lui redonnant une flèche. » 

Et tout ça fissa pour les touristes des Jeux olympiques de 2024. Tiens ! c’était la date prévue par la mission Bélaval-Perrault en 2016.

Les affaires reprennent

Et coucou revoilà le rapport Bélaval-Perrault de 2016, qui prévoit, entre autres nuisances :

« Le parvis de Notre-Dame recouvert d’une immense dalle de verre au-dessus de la crypte archéologique ; aux pieds de la cathédrale, un débarcadère et des plates-formes flottantes accueillant piscine, cafés, restaurants, salles de concert ; le long de la Seine, une longue promenade végétalisée, débarrassée des voitures, reliant les pointes aval et amont de l’île ; deux nouvelles passerelles qui franchissent le fleuve ; un peu partout, des verrières, des passages couverts, des galeries souterraines, des atriums en sous-sol… »

Ne perdons pas de temps avec les appels d’offres

Le surlendemain de l’incendie, 17 avril, le Conseil des ministres…
– a nommé l’ancien chef d’état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin (membre du club du Siècle), pour conduire depuis l’Élysée une mission de représentation spéciale « afin de veiller à l’avancement des procédures et des travaux qui seront engagés » ; C’est ce général qui, lors d’un échange à l’Assemblée nationale le 13 novembre 2019, a demandé à Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, « qu’il ferme sa gueule » alors que ce dernier avait à plusieurs reprises affirmé son souhait de reconstruire la flèche à l’identique.
– a fait un projet de loi régissant la collecte de fonds, régularisant la nomination du général Georgelin qui a atteint la limite d’âge et surtout exemptant sa mission de toutes les procédures d’appel d’offres, des lois de protection du patrimoine, toutes ces contraintes inutiles qui font toujours perdre un temps précieux.
– a lancé un concours international d’architecture pour reconstruire Notre-Dame.

Parlons d’autre chose

Plusieurs projets sont immédiatement présentés par des designers et des architectes qui dessinent leurs visions de la future cathédrale en tant que rentable attraction touristique. A force de discuter de ces visions plus ou moins aberrantes, on en a oublié les Gilets Jaunes et même la cause de l’incendie.

L’incendie qui a fait passer les Gilets Jaunes à la trappe a également fait disparaître le chef-d’œuvre de parias du Moyen-Âge, les Cagots. Comme les non-vaccinés aujourd’hui, ils étaient stigmatisés. Forcés de vivre à l’écart dans les bois, ils n’avaient que le droit d’être charpentier ou tonnelier. Ce sont eux qui ont construit la charpente de Notre-Dame de Paris selon le nombre d’or. Eux qui, pour entrer dans une église, devaient emprunter une porte dérobée, avaient leur bénitier à part, faisaient leur communion sans contact physique…




Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

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VIDÉO INCROYABLE – REGARDEZ MAINTENANT!

LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

[Vidéo en anglais]


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Montrez au monde ce qui se passe.

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présentés dans LE PLAN

Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




Mélenchon-Macron ou l’anti-pouvoir d’achat

Par Lucien SA Oulahbib

Cette palinodie, redondante, prétendant résumer le « mal français » dans ledit « pouvoir d’achat » ferait sourire (« un peu court jeune homme ! ») si le pays n’avait reculé du 5e au 7e rang mondial sur cette question de « PIB », voire même au 23e rang en matière précisément de richesse par habitant (Parité en Pouvoir d’Achat : P.P.A), sans parler de sa catégorisation désormais pérenne comme « démocratie défaillante » ou encore sa classification médiocre dans les tableaux dits « Pisa » en matière scolaire. Bref ! n’en jetez plus…

D’autant que cela ne risque pas de s’améliorer, bien au contraire, puisqu’« aux mêmes maux, les mêmes effets », voire pis, aux dires également de divers spécialistes pas tous « souverainistes ». C’est ce qu’avait d’ailleurs (quand même) rappelé bien trop gentiment Marine Le Pen lors du débat entre les deux tours : plus la globalisation « tierciarise » le pays et donc délocalise l’industrie, plus pauvreté et précarité s’installent, laissant derrière elles la déshérence non plus de villages, mais de villes, sans oublier les quartiers à l’abandon, ce qui fait penser à l’euthanasie (plus brutale, certes) de ces villes américaines emportées par le vent technocratique d’un libre-échangisme scientiste croyant qu’il suffit que le paysan du Cantal désespère pour que celui du Bangladesh respire, une sorte de vases communicants que les recettes mélenchoniennes ou macroniennes aggraveront plutôt.

Les premières, parce qu’elles pensent qu’il « suffirait » de récupérer « l’évasion fiscale » et de faire « payer les riches » pour que tout aille pour le mieux (avec des bémols tactiques bien sûr) alors que la chute du système soviétique et les méandres sulfureux du Venezuela, du Zimbabwe, de Cuba, de l’Algérie, sont toujours là (voire de plus en plus) pour démontrer le contraire. Les secondes s’affichent comme étant moins spoliatrices en apparence, mais elles aussi vont dans le sens de la dépossession progressive de la liberté citoyenne au profit d’une vague solidarité d’assistanat doublée d’une astreinte frugale au parfum monacal patenté. Les unes et les autres vous vouent aux gémonies (complotistes) si vous ne souscrivez pas à leur purge.

« En même temps » le pays n’a que ce qu’il mérite : n’a-t-il pas offert 28 % à E.M et 20 % à J.L.M, les deux, E.J.L.M, faisant 48 % (des exprimés certes) tout de même. Et d’ailleurs il est tout à fait légitime de les additionner maintenant, les uns votant pour les autres et réciproquement, surtout aux prochaines législatives, ce qui donne d’un côté des globalistes, scientistes, hygiénistes, affairistes, sans frontièristes versus des souverainistes citoyens distinguant bien commun et libertés individuelles, de l’autre.

Sauf que ce dernier versant nage dans la division et l’incohérence (comme d’habitude) tant il a sous-estimé l’attaque sans précédent contre les libertés fondamentales (d’où une forte abstention) depuis la nuit du 5 août 2021, et qu’il fallait tenir bon en ne condamnant pas en soi la Russie, mais en soulignant les impérities occidentales depuis huit ans en la matière.

Bref ! le refus d’observer que la crise dite « sanitaire » était en fait un cache-sexe pour mettre au pas la société et le refus de comprendre que la crise dite « climatique » est un moyen d’accentuer encore plus cette « marche » qu’un Mélenchon veut juste accélérer (tout en mettant plus de pommade [ou de vaseline] ici et là afin que cela passe mieux) font que la fuite en avant vers encore plus de destruction à tous les étages — gaucho-djihadisme au quotidien compris (attaque en règle de messes désormais comme à Angers) — va s’emballer jusqu’à « la lutte finale », mais peut-être pas celle prévue par les textes « sacrés », l’Histoire étant toujours accoucheuse de formes inédites…

Ou alors de « farces » comme disait le Vieux… D’autant qu’un clown parade déjà à Kiev. Un Joker à la Maison-Blanche. Et un admirateur de « la Bête de l’événement » à Paris…




Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite

[Source : strategika.fr]

Source : alt-market.us – Traduction Strategika

Par Brandon Smith

Au milieu de l’année 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales) a publié une déclaration prédisant une “grande dépression” imminente causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds monétaire international a également publié des avertissements sur les “problèmes des subprimes”, qui entraîneraient une crise économique de plus grande ampleur. J’ai commencé à rédiger des analyses économiques alternatives un an plus tôt, en 2006, et j’ai immédiatement trouvé étrange que ces institutions mondialistes massives ayant une influence considérable sur le monde financier commencent soudainement à ressembler à ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté.

C’était il y a 16 ans, donc beaucoup de personnes lisant ces lignes ne s’en souviennent peut-être pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde depuis un certain temps contre l’imminence d’un crash déflationniste sur les marchés et les logements américains. Et, sans surprise, les grands médias étaient toujours là pour nier toutes nos inquiétudes en les qualifiant de “catastrophisme” et de “théorie du complot”. Moins d’un an plus tard, les premières sociétés inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu’elles étaient au bord de la faillite et que tout s’effondrait.

La réponse des médias ? Ils ont fait deux déclarations très bizarres simultanément : “Personne n’aurait pu le voir venir” et “Nous l’avons vu venir à un kilomètre à la ronde”. Les journalistes grand public se sont empressés de se positionner comme les devins de l’époque, comme s’ils avaient toujours dit que le crash était imminent, alors que seule une poignée de personnes l’avaient annoncé et qu’aucune d’entre elles ne faisait partie des médias. On a également ignoré le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres “prédictions” bien avant le crash ; les médias ont fait comme si elles n’existaient pas.

Dans les médias alternatifs, nous surveillons TRÈS attentivement les déclarations et les aveux des mondialistes, car leur métier n’est pas d’analyser les menaces, mais de les synthétiser. En d’autres termes, si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites financières qui aspirent à une autorité économique unique et centralisée pour le monde sont TOUJOURS accusés d’être à l’origine de ce désastre.

Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire avant de le faire.

L’idée que les mondialistes créent artificiellement des événements d’effondrement économique sera bien sûr critiquée comme une “théorie du complot”, mais c’est un FAIT. Pour plus d’informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et de l’idéologie de ” l’ordre issu du chaos ” des mondialistes, veuillez lire mes articles ” Fed One Meeting Away From Creating A Doomsday Sinkhole ” et ” What Is The Great Reset And What Do The Globalists Actually Want ? “.

L’agenda de la Grande Réinitialisation proposé par le chef du WEF, Klaus Schwab, n’est qu’un exemple des nombreuses discussions cachées au grand jour par les globalistes concernant leurs plans pour utiliser le déclin économique et social comme une “opportunité” pour établir rapidement un nouveau système mondial unique basé sur le socialisme et la technocratie.

Le principal problème pour discerner les plans des mondialistes n’est pas de découvrir des agendas secrets – ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où regarder. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Pour cela, il faut faire correspondre les livres blancs et les déclarations des mondialistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel. Examinons en détail le problème de la pénurie alimentaire…

Pénuries alimentaires dans six mois

Il y a une semaine, un torrent de communiqués de presse émanant d’institutions mondiales a déferlé, mentionnant tous exactement la même préoccupation : Des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent de très près à mes propres estimations, car j’ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l’inflation qui conduirait au rationnement de la nourriture et aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l’ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial, la Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n’est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles provoquent la crise qu’ils prédisent maintenant. En d’autres termes, il est facile de prédire un désastre quand on l’a créé.

On prétend que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est la cause première, mais c’est une distraction par rapport au véritable problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire, mais les mondialistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales qui pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires “trop grosses pour faire faillite”.

Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes d’aide sociale. Ajoutez à cela les nombreux billions de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 – C’est une fête de destruction du dollar qui n’a jamais cessé et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée sur la pandémie et sur Poutine.

L’inflation a atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et la façon dont elle affecte l’approvisionnement alimentaire.

L’invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché mondial total du blé. La Russie détient également une part de 17 % et, ensemble, ces deux nations alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations de canola et 78 % des exportations de tournesol.

Les sanctions contre la Russie constituent toutefois un problème qui va bien au-delà de l’Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l’approvisionnement mondial en ammoniac et 20 % de l’approvisionnement mondial en potasse. Il s’agit d’ingrédients clés pour la production des engrais utilisés dans l’agriculture industrielle. Les agriculteurs estiment que la hausse globale des prix sur les marchés alimentaires sera d’environ 10 %, mais je pense que ces chiffres sont très prudents. Je constate déjà des hausses de prix globales d’au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m’attends à ce qu’il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de l’année. En d’autres termes, nous nous attendons à des augmentations moyennes de 50 % en 2022.

Les données officielles du gouvernement sur l’inflation et l’IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu’ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d’inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l’aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu’il ne “corrige” ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu’à présent.

Les experts agricoles américains s’attendent à ce que la Chine comble le vide où disparaissent les approvisionnements russes, mais c’est une erreur de faire cette supposition.

Il se passe quelque chose de bizarre en Chine

La répression chinoise des infections au covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : leurs mesures de confinement concernent-elles vraiment le covid, ou cachent-elles autre chose ?

Le taux de mortalité lié au covid en Chine est impossible à calculer avec précision, car ils n’ont jamais publié de données correctes pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, le taux médian de létalité de l’infection par le covid est de 0,27 %, ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde n’ont pas à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC agit comme s’il avait affaire à la peste noire. Pourquoi ?

Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, les chaînes d’approvisionnement étant mises à rude épreuve et les usines restant fermées dans de nombreux cas. Mais ce dont beaucoup d’Occidentaux n’entendent pas parler, c’est du fait que les exportations chinoises ont été essentiellement gelées. Plus d’un porte-conteneurs sur cinq dans le monde est actuellement bloqué dans les ports chinois en raison de la fermeture des ports. C’est incroyable.

Pourquoi la Chine ferait-elle cela pour un virus dont nous savons tous qu’il n’est pas dangereux pour la grande majorité des gens ? Pourquoi instituer le pire verrouillage du pays à ce jour et affamer sa propre population alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont désormais abandonné leur campagne de peur de la pandémie et leur programme de vaccination forcée ?

Je pense qu’il est possible que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont beaucoup d’Américains et d’Européens ne se rendent même pas compte. Il peut s’agir d’un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l’Europe, ou d’un arrêt progressif destiné à devenir permanent. Le goulot d’étranglement du commerce peut également être le précurseur d’une invasion chinoise de Taïwan.

Taïwan est en fait plus dépendante et plus étroitement liée à l’économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations de Taïwan et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Des centaines de milliers de travailleurs et d’hommes d’affaires taïwanais se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est aujourd’hui mis à mal par les lockdowns. En outre, Taïwan compte de nombreuses sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des lockdowns.

Tout ce que je dis, c’est que si j’étais la Chine et que je prévoyais d’envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d’utiliser le covid comme couverture pour endommager d’abord leur économie et perturber leur modèle d’exportation. Les communistes considèrent la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement prête à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. En outre, si je devais m’engager secrètement dans une guerre économique avec l’Occident, quel meilleur moyen que de bloquer 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d’approvisionnement au nom de la protection du pays contre une “pandémie” ?

L’essentiel ? Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d’exportation d’ingrédients d’engrais ou de quoi que ce soit d’autre, car les sanctions contre la Russie se poursuivent.

Inflation, offre et contrôle

Les organisations mondialistes ne sont pas les seules à parler de pénuries alimentaires à venir ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a également averti récemment que nous étions au bord d’une crise alimentaire. Comme je l’ai noté dans le passé, l’inflation conduit au contrôle des prix par les gouvernements, le contrôle des prix conduit à un manque d’incitations à la production (profits), le manque de profits conduit à une perte de production, la perte de production conduit à des pénuries, et les pénuries conduisent au rationnement gouvernemental (contrôle de toutes les grandes sources de nourriture).

Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie (dont nous connaîtrons bientôt des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs). La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.

Les médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, et plus précisément, ils nient la notion de pénurie alimentaire comme étant quelque chose dont il faut s’inquiéter. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui ont toujours tort sur ce type d’événements ? Je prendrais au moins au sérieux les propos des mondialistes lorsqu’il s’agit d’effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de telles catastrophes et qui ont le plus d’influence lorsqu’il s’agit de déclencher une crise.

La préparation aujourd’hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd’hui coûte TOUT demain. Pour toute personne dotée d’un cerveau, le choix est simple : se préparer à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de l’année.