Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






L’alliance entre les extraterrestres et Poutine-Xi Jinping est d’extrême droite

Par Lucien SA Oulahbib

Elle doit être combattue avec la plus extrême vigueur, seul extrémisme permis. Déjà et heureusement d’éminents officiels américains et français l’ont annoncé, mais hésitent encore à dévoiler que cette alliance ne date pas d’hier. Dans les années 50, cela aurait débuté toujours officieusement. Les Envahisseurs puis V (V comme Véran) avaient été ces séries salutaires nous mettant cependant au parfum…

Le suspens ne pouvait hélas plus durer. Il fallait l’annoncer. Depuis l’accident de la maladie Covid-19 qui s’est échappée de l’un de leurs vaisseaux spatiaux. Trois d’entre eux viennent d’être abattus.

C’est une maladie asiatique, donc extraterrestre. Les Russes n’ont d’ailleurs jamais été européens, d’où leur très rapide métamorphose non plus trans, mais extra humaine.

Que faire ? Avant tout traquer ceux qui doutent de cette histoire d’ovni en soulignant qu’ils viennent tous d’extrême droite. Douter de l’existence des extraterrestres revient en effet à remettre en cause la perte de centralité de la Terre depuis quatre à cinq siècles. À parler de plan divin. Vieux complotismes.

Puis il faut indiquer que tout sera fait pour éliminer cette menace. Bruno Le Maire ne vient-il pas de déclarer que nous allons mettre l’économie extraterrestre à genoux, que nous œuvrons pour son effondrement ?…

Ce n’est plus une plaisanterie. Les X files avaient vu juste.




Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent

[Source : MediainfociteTV]

Les sujets abordés au cours de cette entrevue avec Dr Mila Aleckovic :

  • les techniques de manipulation des populations ;
  • la guerre psychologique — la « psychiatrie noire » ;
  • la crise sanitaire est un programme préparatoire à la 3e guerre mondiale ;
  • les caractéristiques du profil psychopathe ;
  • est-ce que certaines maladies mentales peuvent être le résultat « d’influences démoniaques » ;
  • quels sont les types de personnes qui ont la capacité de résister et quels sont les attributs pour pouvoir mener le combat auquel nous faisons face ?

[Voir aussi :
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme,
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective,
Comment fonctionne le contrôle mental réel,
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous,
L’art de la guerre,
Dépopulation
et liens inclus]






Quand le brouillard de la guerre commence à se dissiper…

[Source : Cf2R.org via profession-gendarme.com]

Éditorial d’Éric Denécé N° 62/février 2023

Fin juillet 2022, lors d’une intervention consacrée à la manipulation de l’information en temps de guerre(([1] https://dialoguefrancorusse.com/medias/guerre-en-ukraine-information-et-realite-avec-eric-denece-et-pierre-conesa/)), je déclarais qu’il était difficile d’analyser aussi finement que l’on pouvait le souhaiter le conflit en cours en Ukraine, les causes réelles de son déclenchement et d’identifier formellement les auteurs de crimes de guerre, car je sais d’expérience, en tant qu’ancien analyste du renseignement, que les faits rapportés par les médias et la plupart des observateurs en temps réel sont toujours partiels, approximatifs ou biaisés, que les différents belligérants rivalisent de désinformation et que les véritables explications n’apparaissent que plus tard, à l’issue du conflit… voire parfois jamais !

Nous en avons aujourd’hui l’illustration, car des faits nouveaux — c’est-à-dire des événements qui étaient « invisibles » en temps réel par les analystes, si ce n’est par une partie des belligérants — sont peu à peu portés à notre connaissance, un an après le début de ce déplorable conflit. Évidemment, il convient d’être prudent même si les sources sont crédibles et qu’elles sont déjà en partie recoupées. Toutefois, ces révélations nous paraissent suffisamment fondées pour que nous les prenions en considération. À partir de celles-ci, il est dès lors possible d’avoir une nouvelle lecture des événements et de donner du sens à des faits et des décisions dont on ne saisissait pas jusqu’alors la logique.

Les deux récentes révélations qui modifient la donne sont :

– les déclarations concordantes de l’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett, de l’économiste américain Jeffrey Sachs(([2] Consultant spécial du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres ; il a figuré à plusieurs reprises dans le classement des personnalités les plus influentes du monde de Time Magazine.)) et des médiateurs turcs(([3] https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/ukraine-turquie-israel-russie-guerre-efforts-diplomatie-mediation-negociations)), selon lesquelles le gouvernement ukrainien a été à très proche, fin mars 2022, de signer un accord avec la Russie pour mettre un terme au conflit ;

– l’article de Seymour Hersh décrivant la manière dont les États-Unis ont procédé pour conduire l’opération de sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 et les conclusions d’un procureur allemand chargé de l’enquête.

[Voir aussi :
Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream
et
Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit]

La rupture des négociations

Des négociations se sont ouvertes, en mars 2022, quelques jours après le déclenchement de l’offensive russe en Ukraine, à l’initiative d’Israël. Dans une longue interview accordée à la chaîne Channel 12, le 4 février 2023(([4] https://www.i24news.tv/fr/actu/conflit-en-ukraine/1675587804-je-ne-tuerai-pas-zelenski-avait-promis-vladimir-poutine-a-naftali-bennett
https://fr.timesofisrael.com/bennett-assure-que-poutine-lui-a-promis-de-ne-pas-tuer-zelensky/
https://youtube.com/watch?v=qK9tLDeWBzs%3Ffeature%3Doembed)), l’ancien Premier ministre de l’État hébreu, Naftali Bennett(([5] Comme plusieurs de ses prédécesseurs à ce poste, Naftali Bennett est un ancien officier des forces spéciales, ayant servi successivement au sein des sayerot Matkal et Maglan.)), a révélé de nombreux détails sur les coulisses de cette médiation.

Il a expliqué que Moscou et Kiev étaient alors disposés à faire d’importantes concessions et qu’une trêve semblait possible : « Je prétends qu’il y avait de bonnes chances de parvenir à un cessez-le-feu » a-t-il affirmé, ajoutant que Poutine acceptait de renoncer aux exigences de « dénazification » et de désarmement de l’Ukraine, tandis que Zelensky consentait à ne plus demander l’adhésion de son pays à l’OTAN. De plus, à l’occasion de sa rencontre avec Vladimir Poutine, Bennett lui a demandé « Comptez-vous assassiner Zelensky ? ». Le chef d’État russe lui a alors promis qu’il n’éliminerait pas son homologue ukrainien.

« Tout ce que j’ai fait était coordonné avec les États-Unis, l’Allemagne et la France », a expliqué l’ancien chef du gouvernement israélien. Avant d’entreprendre cette démarche, il avait en effet contacté Joe Biden, son secrétaire d’État Antony Blinken, son conseiller à la Sécurité nationale Jake Sullivan, ainsi que le chancelier allemand Olaf Scholz pour leur proposer d’être un « canal de communication » entre Poutine et Zelensky. Bennett ajoute que la médiation d’Israël « a été coordonnée dans les moindres détails avec les États-Unis, la France et l’Allemagne », qui ont finalement pris les décisions finales. Il affirme en effet que les négociations ont été rompues par les pays occidentaux qui « ont bloqué » le processus, alors même que Bennett avait « l’impression qu’ils voulaient tous les deux [Zelensky et Poutine]un cessez-le-feu ».

Ces révélations sont particulièrement importantes et permettent de comprendre que Zelensky ne décidait de rien, qu’il a accepté de se voir dicter ses décisions par les Occidentaux, et que ce sont ces derniers qui ont refusé la signature d’un cessez-le-feu. Seul bémol, Bennett semble donner à la France et à l’Allemagne une importance que nous ne sommes pas sûrs qu’elles aient eue dans ce conflit(([6] En effet, depuis les déclarations d’Angela Merkel (décembre 2022) corroborées par François Hollande, nous savons que les Européens, à la demande de Washington, n’ont jamais souhaité voir appliquer les accords de Minsk qu’ils avaient signé en juin 2014.)), dont l’impulsion et la direction reviennent aux Américains.

Les Britanniques sont bien sûr également intervenus dans cette décision. Selon l’ex-Premier ministre d’Israël, « Boris Johnson a préconisé des mesures plus radicales. Macron et Scholz sont plus pragmatiques. Et Biden a soutenu les deux approches(([7] https://www.youtube.com/watch?v=qK9tLDeWBzs)) ». Au final, il observe qu’ils ont fait le choix de la position la plus radicale, c’est-à-dire celle des Britanniques.

Ainsi, aucune issue n’a pu être trouvée en raison de la « décision de l’Occident de continuer à frapper Poutine », de ne pas négocier et de faire passer un message aux autres États « voyous dans le monde », notamment à la Chine en raison de ses intentions vis-à-vis Taïwan a affirmé Bennett.

Israël n’a pas été le seul État ayant tenté une médiation entre les deux parties, la Turquie s’est également investie afin que le dialogue soit maintenu entre Moscou et Kiev. Et après des débuts de négociations difficiles(([8] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1867918/guerre-ukraine-rencontre-diplomatique-turquie-negociations.)), il semble là aussi que les pourparlers n’ont pas été loin d’aboutir.

Le 20 mars, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, assure que la Russie et l’Ukraine sont « proches d’un accord » et Ibrahim Kalin, le porte-parole de la présidence turque, déclare dans un entretien au quotidien Hurriyetque les deux parties négocient sur six points : la neutralité de l’Ukraine, le désarmement et les garanties de sécurité, la « dénazification », le retrait des obstacles à l’utilisation de la langue russe en Ukraine, le statut de la région séparatiste du Donbass et le statut de la Crimée(([9] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/pourparlers-la-turquie-assure-que-la-russie-et-l-ukraine-sont-proches-d-un-accord-20220320)).

Le 29 mars, les délégations russe et ukrainienne se retrouvent à Istanbul pour un nouveau round de négociations(([10] https://www.lavoixdunord.fr/1159206/article/2022-03-29/direct-ukraine-nouveau-round-de-negociations-istanbul-entre-moscou-et-kiev
https://www.leparisien.fr/international/negociations-entre-lukraine-et-la-russie-un-premier-pas-diplomatique-mais-29-03-2022-LPQFQOSECJEXHK4M6SLU25AJ2I.php
https://www.leprogres.fr/defense-guerre-conflit/2022/03/29/guerre-en-ukraine-la-nouvelle-session-de-pourparlers-devrait-debuter-a-istanbul)). Le Kremlin qualifie alors les pourparlers de « significatifs » entre les deux pays(([11] https://information.tv5monde.com/info/negociations-entre-l-ukraine-et-la-russie-moscou-souffle-le-chaud-et-le-froid-450818)). Ce même jour, le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine, annonce officiellement le retrait, à compter du 1er avril, des forces russes de la région de Kiev et du nord de l’Ukraine. Moscou présente ce repli comme un gage de bonne volonté dans le cadre des pourparlers avec Kiev. Le 29 mars toujours, Zelensky reconnaît voir des signaux « positifs » dans les négociations russo-ukrainiennes en Turquie, mais déclare que son pays n’a pas pour autant l’intention de relâcher ses efforts militaires(([12] AFP29 mars 2022.)).

Le 30 mars, malgré les réserves du camp occidental, le négociateur en chef ukrainien estime que les conditions sont désormais « suffisantes » pour une rencontre au sommet entre Poutine et Zelensky(([13] https://www.lorientlejour.com/article/1295195/negociations-substantielles-entre-moscou-et-kiev-en-turquie.html)). L’Ukraine se dit prête à adopter un statut neutre en échange de garanties sur sa sécurité, une proposition apparemment bien accueillie par Moscou qui confirme réduire son activité militaire autour de Kiev. Mais dans la soirée, tout bascule : le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, estime que les négociations n’ont donné lieu à « aucune avancée »(([14] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/30/guerre-en-ukraine-dans-les-negociations-comme-sur-le-terrain-kiev-tente-de-reprendre-la-main_6119733_3210.html)), sans que l’on sache lequel des deux camps est à l’origine de cette impasse.

Jeffrey Sachs(([15] https://www.youtube.com/watch?v=ySNyAaw4VE)) a révélé récemment le rôle essentiel de Biden et de la petite cellule de néoconservateurs qui l’entoure — Victoria Nulland (sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques), Jake Sullivan (conseiller à la Sécurité nationale) et Anthony Blinken (secrétaire d’État), principalement — dans cette décision lourde de conséquences pour le peuple ukrainien. Il affirme que Russes et Ukrainiens en étaient alors à la septième ou huitième version d’un document final que devaient signer les deux parties lorsque les négociations ont été subitement interrompues par un revirement de Zelensky.

Selon Sachs, c’est la visite de Biden en Europe à partir du 23 mars — afin de participer à trois sommets internationaux à l’OTAN, au G7 et à l’Union européenne —, puis en Pologne, le 26(([16] https://www.rfi.fr/fr/amériques/20220323-le-président-américain-joe-biden-en-europe-pour-une-série-de-sommets-internationaux.)), qui sonne le glas des négociations et explique le changement de position de Zelensky. Depuis Varsovie, le président américain s’est montré particulièrement intransigeant à l’égard de Moscou et s’est livré à de violentes attaques verbales contre Poutine(([17] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/26/guerre-en-ukraine-joe-biden-reaffirme-en-pologne-que-l-accord-de-defense-collective-de-l-otan-est-un-devoir-sacre_6119294_3210.html)), le qualifiant de « boucher », déclarant « il ne peut pas rester au pouvoir » et réitérant son soutien indéfectible à l’Ukraine(([18] https://www.midilibre.fr/2022/03/26/en-visite-en-pologne-joe-biden-qualifie-poutine-de-boucher-et-reitere-son-soutien-indefectible-a-lukraine-10196320.php)).

Les Russes auraient alors compris que les Occidentaux ne voulaient pas leur permettre de profiter d’une victoire presque acquise et qu’ils allaient devoir faire face à une guerre longue, ce qui n’était probablement pas dans leurs plans initiaux. Est-ce pour cette raison qu’ils ont pris la décision de retirer leurs forces du nord de l’Ukraine pour les redéployer dans le Donbass ou s’agissait-il vraiment d’un geste de bonne volonté l’égard de Kiev dans le cadre des négociations ? Nul ne le sait. Toujours est-il qu’après que les négociations sous les auspices israéliens et turcs aient été bloquées par les Occidentaux, tout dialogue va être définitivement interrompu lorsque Kiev va accuser Moscou — à tort ou à raison — des atrocités de Boutcha(([19] En dépit d’affirmation péremptoires de nombreux médias, les résultats des enquêtes internationales — auxquelles ont participé les gendarmes de l’Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN) — sur l’identification des auteurs de ces horribles crimes de guerre n’ont pas encore été rendues publiques.)).

Le sabotage des gazoducs

Seymour Hersch est une référence incontestée du journalisme d’investigation américain. Lauréat du prix Pulitzer en 1970, les nombreuses affaires qu’il a révélées durant sa carrière — du massacre de My Lai en 1968 à la véritable façon dont s’est déroulée l’élimination de Ben Laden et aux vraies raisons de la guerre en Syrie(([20] The Killing of Osama Bin Laden, Verso, 2016.)) — font de lui un homme immensément respecté dans les milieux médiatique et politique d’outre-Atlantique. Sa force est de disposer de sources d’une grande qualité — acteurs engagés au cœur du conflit ou proches des centres de décision — et ses articles sont toujours fondés et très sérieux. Ce journaliste chevronné ne se livre jamais à des conjectures gratuites. L’article qu’il a récemment publié mérite donc toute notre attention(([21] https://seymourhersh.substack.com/p/how-america-took-out-the-nord-stream)).

Hersh y décrit précisément l’opération conçue et conduite par la CIA, avec l’aide de la Norvège(([22] Rappelons que l’actuel secrétaire général de l’OTAN est Jens Stoltenberg, un ancien Premier ministre norvégien et qu’Oslo est le premier concurrent de la Russie sur le marché du gaz en Europe…)) pour saboter les gazoducs Nord Stream 1 et 2. En juin 2022, à l’occasion d’un exercice naval de l’OTAN en mer Baltique, des plongeurs norvégiens ont installé des explosifs sur les gazoducs et les ont dotés d’un dispositif de mise à feu à distance. C’est un avion de patrouille maritime norvégien qui déclenchera l’explosion, trois mois plus tard, le 26 septembre, en larguant une bouée acoustique. Seymour Hersh déclare que la décision de saboter les gazoducs, véritable acte de guerre, a été prise en secret par le président américain Joe Biden et son entourage sans en référer au Congrès, afin d’empêcher Moscou de gagner des milliards de dollars grâce aux ventes de gaz naturel à l’Europe.

Évidemment, les autorités américaines ont dénoncé l’article de Seymour Hersh. La porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Adrienne Watson, l’a qualifié de « fiction complète » et celui de la CIA « de complètement et totalement faux ». Pour sa part, le ministère norvégien des Affaires étrangères a déclaré : « Ces affirmations sont fausses ». En toute logiquela réaction des autorités américaines et norvégiennes ne pouvait être qu’un démenti(([23] Sans surprise, Hersh s’est vu aussitôt qualifié de de « théoricien du complot » sur sa page Wikipedia !)). Mais il ne convainc guère, car les informations fournies par le journaliste dans son article sont particulièrement précises et plausibles, et l’on on voit mal qui d’autre que Washington avait intérêt à ce sabotage, d’autant qu’un procureur allemand vient de confirmer qu’il n’y avait aucune preuve contre la Russie dans ce dossier(([24] https://www.francesoir.fr/politique-monde/aucune-preuve-ne-lie-la-russie-au-sabotage-des-gazoducs-nord-stream-selon-le)).

Un nouvel éclairage sur les événements

Si comme nous le croyons ces informations sont avérées, cela conduit à éclairer d’un jour nouveau les événements passés et les responsabilités respectives des acteurs impliqués dans ce conflit. Nous formulons donc les hypothèses suivantes qu’il conviendra de confirmer ou d’infirmer.

– L’« opération spéciale » russe a initialement atteint son but : faire plier le régime de Kiev. En dépit de revers militaires localisés et de pertes non négligeables, il devient possible de considérer qu’elle a été une réussite au cours des cinq premières semaines du conflit, car elle a contraint les Ukrainiens à des négociations immédiates qui ont été proches d’aboutir. Cela remet en cause les analyses de nombreux experts et des médias occidentaux qui l’ont hâtivement qualifié d’échec, ou ceux qui ont cherché faire croire — comme la Pologne — qu’il s’agissait d’une invasion de l’Ukraine… prélude à celle de l’Europe !

Tout s’inverse lors du voyage de Biden en Europe, fin mars 2022. Les Occidentaux — c’est-à-dire les Américains et les Britanniques — poussent Zelensky à poursuivre la guerre qui aurait alors pu s’arrêter rapidement, certes aux conditions russes, lesquelles se limitaient alors à la neutralité de l’Ukraine, au Donbass et à la Crimée (il n’était alors pas question de Kharkov, Kherson ou Zaporija ; ces nouvelles revendications de Moscou ont été formulées suite au revirement ukrainien).

– Cela démontre de manière indiscutable que les États-Unis sont les vrais responsables de la poursuite de la guerre avec la complicité du gouvernement Zelensky, qui n’est qu’un pion dans leur stratégie. Le « héros » de Kiev, soutenu par la frange ultranationaliste du régime, n’a pas hésité à sacrifier son propre peuple et l’avenir de son pays pour plaire à ses mentors occidentaux.

Ainsi, depuis avril 2022, nous assistons donc bien à une guerre américano-russe par Ukrainiens interposés qui été relancée par Washington pour essayer d’affaiblir — sans succès — la Russie, et dans laquelle les États européens se sont laissés entraîner par russophobie, suivisme ou stupidité confondante.

– C’est là une nouvelle illustration de l’insignifiance des Européens et de leur soumission totale à Washington au détriment de leurs propres intérêts. Si la France se voit reléguée à un rôle de figurant dans cette crise, en dépit des pathétiques gesticulations de son président, c’est surtout l’Allemagne qui paie le prix fort dans ce conflit. En effet, elle a été victime d’un véritable acte de guerre de la part de son allié et protecteur américain avec les sabotages de gazoducs. Mais en dépit du fait que cette opération ait des conséquences désastreuses pour l’économie d’outre-Rhin, ni le gouvernement de Berlin, ni les parlementaires, les médias ou la population n’ont bronché, se couchant littéralement devant Washington qui a ainsi atteint l’un de ses objectifs : couper définitivement l’Allemagne de la Russie en provoquant une rupture irréconciliable entre les deux États ; et réduire l’influence croissante de Berlin en Europe et son poids économique au sein du camp occidental.

Voilà qui change bien des choses quant à notre perception de ce conflit et aux responsabilités des acteurs. Ainsi est mise en lumière la double dimension du piège machiavélique tendu par les néoconservateurs Américains :

– rendre la pression sur le Donbass insupportable pour la Russie afin de la pousser à intervenir militairement en Ukraine(([25] Éric Denécé, « Ukraine : la guerre des Spin Doctors américains », Éditorial n° 58, février 2022, (https://cf2r.org/editorial/ukraine-la-guerre-des-spin-doctors-americains/).)), de la décrédibiliser sur le plan international et de la couper de l’Europe de l’Ouest ;

– ne pas lui permettre de parvenir à une victoire après ses succès initiaux et l’entraîner dans une guerre longue pour l’affaiblir durablement.

En refusant une sortie négociée du conflit à l’avantage de Moscou en mars 2022, les Américains ont prolongé et aggravé le conflit. Toutefois celui-ci a évolué dans un sens qu’ils n’avaient pas prévu, car ils avaient parié sur un écroulement économique de la Russie. Mais cela ne s’est pas produit, pas davantage que la défaite de l’armée russe sur le terrain ou la mise au ban unanime de Moscou par la communauté internationale. Pire, un nouveau système économique et financier est en train de se mettre en place, qui menace l’hégémonie politique et monétaire de Washington.

Une nouvelle fois, les Américains se révèlent être de piètres stratèges et de vrais apprentis sorciers. Leur stratégie d’affaiblissement de la Russie s’est transformée en une guerre existentielle pour le maintien de leur domination sur le monde. Le piège qu’ils ont tendu pourrait bien se refermer sur eux.





Le crime absolu contre l’humanité

[Source : maurizioblondet.it]

Par Maurizio Blondet

Un site web très respecté a diffusé cette information :

Liste des pays qui ont retiré leurs ambassadeurs de Turquie 24 heures avant le tremblement de terre

  • Canada
  • États-Unis
  • Grande Bretagne
  • Allemagne
  • Belgique
  • Italie
  • Hollande
  • France

Étrange, hein…

Nous aimerions savoir : POUR QUELLES RAISONS ???

Mes déductions, assez évidentes :

Nos gouvernements européens savaient ce qui était sur le point d’être perpétré contre le peuple turc. Ils avaient été avertis, et par qui sinon par le Grand Allié ? Celui qui avait le pouvoir de provoquer le tremblement de terre ?

Ils se sont rendus complices du crime contre l’humanité le plus monstrueux qui se soit jamais produit ou qui puisse se produire dans l’histoire, parce qu’il a été commis contre une population civile sans défense et sans méfiance, exterminée par dizaines de milliers, faisant en un instant 2 à 3 millions de sans-abri, détruisant avec fracas des millions d’infrastructures civiles, maisons civiles par excellence, hôpitaux, routes, pour parfaire le crime contre l’humanité. Ajoutez à cela le fait qu’il a été commis contre un pays — la Turquie — formellement allié et contre lequel la guerre n’avait pas été déclarée.

[Voir aussi :
Selon la sénatrice Diana Ivanovici Șoșoacă au Parlement roumain,
la Turquie a été victime d’une arme sismique]

L’atrocité du crime modifie également le concept même de « complicité » : lorsque le gouvernement italien ou allemand sait que le Grand Allié vous fera la même chose, si vous imitez Erdogan dans la désobéissance, en tuant des dizaines de milliers de vos propres citoyens et détruisant des millions de leurs maisons et infrastructures civiles, avec un tremblement de terre provoqué à volonté, mais dont le caractère artificiel peut être non seulement nié de manière plausible, mais moqué et même puni comme une théorie du complot délirante inspirée par la volonté de trahison pro-Poutine, votre adhésion au crime du Grand Allié se fait par pure terreur.

Même l’intensification de la course aux armements décidée à l’improviste lors de la dernière réunion de l’OTAN à Bruxelles, où le ministre allemand Pistorius, ayant mis de côté toutes les hésitations et objections antérieures, a demandé – voire supplié – les industries d’armement allemandes d’augmenter leur production, doit probablement être lue dans [la perspective de] l’adhésion terrifiée que le Grand Allié a reçue avec son crime absolu contre l’humanité perpétré contre les Turcs.

Même la nouvelle d’une source norvégienne selon laquelle la Russie a commencé à déployer des navires tactiques armés de l’arme nucléaire dans la mer Baltique, pour la première fois en 30 ans, est une réaction terrifiée face à l’immensité du carnage que les États-Unis ont pu faire subir à la Turquie, une réaction qui est même pathétique, car les armes nucléaires « tactiques » sont de petit calibre et ne sont pas assez dissuasives par rapport à la menace de l’utilisation guerrière des tremblements de terre que les responsables américains savent produire.

[NDLR Ces navires « tactiques » peuvent très bien être dotés d’armes nucléaires stratégiques sur missiles hypersoniques quasiment imparables.]

Il va sans dire que ce crime absolu de massacre a été commis dans le cadre du monde « inexorablement et irréversiblement non chrétien » établi par Eux, et où a disparu chez les auteurs toute once de crainte de Dieu, s’il y en a jamais eu, toute notion de Jugement post-mortem. Ils sont convaincus « irréversiblement » qu’il n’y a pas de Dieu, et qu’ils peuvent donc faire à l’homme tout ce qui le dégrade.

Mais une réponse étrange vient des décombres turcs eux-mêmes :

Après 112 heures passées sous les décombres, l’enfant de 5 ans répond en souriant au journaliste turc de « A Haber » lorsqu’on lui demande : « Tu n’as pas ressenti la faim pendant toute la pression de ces ruines ? ».
La réponse de l’enfant survivant était mot pour mot : Quelqu’un habillé en blanc venait de temps en temps me donner à boire et me nourrir !!!



Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit

[Source : RI]

Par Pepe Escobar

Ce qu’il nous reste à tous, c’est de nager dans un marécage rempli de pigeons délaissés, d’histoires de couverture douteuses et de fragments de renseignements.

Le rapport explosif de Seymour Hersh sur la façon dont le gouvernement des États-Unis a fait sauter les pipelines Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en septembre dernier continue de provoquer des vagues géopolitiques dans tous les domaines.

Sauf, bien sûr, dans la bulle parallèle des grands médias américains, qui l’ont totalement ignoré ou, dans quelques cas bien choisis, ont décidé de tirer sur le messager, qualifiant Hersh de journaliste « discrédité », de « blogueur » et de « théoricien de la conspiration ».

J’ai proposé une première approche, en me concentrant sur les nombreux mérites d’un rapport apparemment approfondi, mais en notant également certaines incohérences graves.

Le correspondant étranger de la vieille école basé à Moscou, John Helmer, est allé encore plus loin, et ce qu’il a découvert pourrait être aussi incandescent que le récit de Sy Hersh lui-même.

[Voir Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream]

Le cœur du problème dans le rapport de Hersh concerne l’attribution de la responsabilité d’une attaque terroriste industrielle de facto. Étonnamment, pas de CIA ; cette responsabilité incombe directement au trio de planification toxique composé de Sullivan, Blinken et Nuland – des néolibéraux-conservateurs faisant partie du combo « Biden ». Le feu vert final est donné par le décideur ultime : le président sénile et lecteur de téléprompteur lui-même. Les Norvégiens jouent le rôle d’assistants mineurs.

Cela pose le premier problème sérieux : à aucun moment dans son récit, Hersh ne fait référence au MI6, aux Polonais (gouvernement, marine), aux Danois et même au gouvernement allemand.

Il mentionne que le 20 janvier 2022, « après quelques hésitations », le chancelier Scholz « était maintenant fermement dans l’équipe américaine ». Eh bien, à ce moment-là, le plan était en discussion, selon la source de Hersh, depuis au moins quelques mois. Cela signifie également que Scholz est resté « dans l’équipe américaine » jusqu’à l’attaque terroriste, le 20 septembre 2022.

Quant aux Britanniques, aux Polonais et à tous les jeux de l’OTAN qui se déroulaient au large de l’île de Bornhom plus d’un an avant l’attentat, les médias russes – de Kommersant à RIA Novosti – en ont largement parlé.

L’opération militaire spéciale (OMS) a été lancée le 24 février, il y a presque un an. L’explosion de Nord Stream 1 et 2 a eu lieu le 26 septembre. Hersh assure qu’il y a eu « plus de neuf mois de débats très secrets au sein de la communauté de sécurité nationale de Washington sur la façon de “saboter les pipelines” ».

Cela confirme donc que la planification de l’attaque terroriste a précédé de plusieurs mois non seulement l’OMS, mais aussi, et surtout, les lettres envoyées par Moscou à Washington le 20 décembre 2022, demandant une discussion sérieuse sur « l’indivisibilité de la sécurité » impliquant l’OTAN, la Russie et l’espace post-soviétique. Cette demande s’est heurtée à une réponse non-réponse américaine dédaigneuse.

Bien qu’il ait écrit l’histoire d’une réponse terroriste à un problème géopolitique grave, le fait qu’un professionnel de premier ordre comme Hersh ne prenne même pas la peine d’examiner le contexte géopolitique complexe fait sourciller.

En un mot : l’anathème Mackinderien ultime pour les classes dirigeantes américaines – et c’est bipartisan – est une alliance Allemagne-Russie, étendue à la Chine : cela signifierait l’expulsion des États-Unis d’Eurasie, et cela conditionne tout ce que tout gouvernement américain pense et fait en termes d’OTAN et de Russie.

Hersh aurait également dû remarquer que le moment choisi pour préparer le « sabotage des pipelines » bat en brèche le récit officiel du gouvernement américain, selon lequel il s’agit d’un effort collectif de l’Occident pour aider l’Ukraine contre une « agression russe non provoquée ».

Cette source insaisissable

Le récit ne laisse aucun doute sur le fait que la source de Hersh – si ce n’est le journaliste lui-même – soutient ce qui est considéré comme une politique américaine légale : combattre la « menace de la Russie pour la domination occidentale [en Europe] ».

Ainsi, ce qui semble être une opération secrète de la marine américaine, selon le récit, pourrait avoir été malavisé non pas en raison de raisons géopolitiques sérieuses ; mais parce que la planification de l’attaque a intentionnellement échappé à la loi américaine « exigeant que le Congrès soit informé ». C’est une interprétation extrêmement étroite des relations internationales. Ou, pour être franc : c’est une apologie de l’exceptionnalisme.

Et cela nous amène à ce qui pourrait être le Rosebud dans cette saga digne d’Orson Welles. Hersh fait référence à une « pièce sécurisée au dernier étage de l’ancien Executive Office Building … qui était également le siège du Conseil consultatif des renseignements étrangers du Président (PIAB) ».

C’est là que l’on aurait discuté de la planification de l’attaque terroriste.

Bienvenue au PIAB : le President Intelligence Advisory Board. Tous les membres sont nommés par le POTUS actuel, en l’occurrence Joe Biden. Si nous examinons la liste des membres actuels du PIAB, nous devrions, en théorie, trouver la source de Hersh (voir, par exemple, « Le président Biden annonce des nominations au President’s Intelligence Advisory Board et au National Science Board » ; et « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions »).

Voici les membres du PIAB nommés par Biden : Sandy Winnefeld ; Gilman Louie ; Janet Napolitano ; Richard Verma ; Evan Bayh ; Anne Finucane ; Mark Angelson ; Margaret Hamburg ; Kim Cobb ; et Kneeland Youngblood.

La source de Hersh, selon son récit, affirme, sans l’ombre d’un doute, que « les troupes russes se sont régulièrement et sinistrement renforcées aux frontières de l’Ukraine » et que « l’inquiétude grandissait à Washington ». Il est incroyable que ces personnes censées être bien informées n’aient pas été au courant du rassemblement des troupes ukrainiennes dirigées par l’OTAN de l’autre côté de la ligne de contact, prêtes à lancer une attaque éclair contre le Donbass.

Ce que tout le monde savait déjà à l’époque – comme le montre l’enregistrement même sur YouTube – c’est que le combo derrière « Biden » était bien décidé à mettre fin aux Nord Streams par tous les moyens nécessaires. Après le début de l’OMS, il ne manquait plus qu’à trouver un mécanisme de déni plausible.

Malgré tous les reportages méticuleux, le sentiment inéluctable demeure que ce que le récit de Hersh met en évidence est le gambit terroriste du combo Biden, et jamais le plan global des États-Unis visant à provoquer la Russie dans une guerre par procuration avec l’OTAN en utilisant l’Ukraine comme chair à canon.

De plus, la source de Hersh est peut-être éminemment imparfaite. Elle a dit, selon Hersh, que la Russie « n’a pas répondu » à l’attaque terroriste de l’oléoduc parce que « peut-être qu’ils veulent avoir la capacité de faire les mêmes choses que les États-Unis ».

En soi, cela peut prouver que la source n’était même pas membre du PIAB, et n’a pas reçu le rapport classifié du PIAB évaluant le discours crucial de Poutine du 30 septembre, qui identifie la partie « responsable ». Si c’est le cas, la source est simplement liée (c’est moi qui souligne) à un membre du PIAB, n’a pas été invitée à la planification de la salle de crise qui a duré des mois, et n’est certainement pas au courant des détails les plus fins de la guerre de cette administration en Ukraine.

Compte tenu des antécédents exceptionnels de Sy Hersh en matière de journalisme d’investigation, il serait assez rafraîchissant pour lui d’élucider ces incohérences. Cela permettrait de dissiper le brouillard des rumeurs décrivant le rapport comme une simple accroche limitée.

Si l’on considère qu’il existe plusieurs « silos » d’informations au sein de l’oligarchie américaine, avec leurs appareils correspondants, et que Hersh a cultivé ses contacts parmi la quasi-totalité d’entre eux pendant des décennies, il ne fait aucun doute que les informations prétendument privilégiées sur la saga Nord Stream proviennent d’une adresse très précise – avec un agenda très précis.

Nous devrions donc voir qui l’histoire met réellement en accusation : certainement le combo néo-con/néolibéral-con straussien derrière « Biden », et le président chancelant lui-même. Comme je l’ai souligné dans mon analyse initiale, la CIA s’en sort indemne.

Et n’oublions pas que le Grand Récit change rapidement : le rapport RAND, l’humiliation imminente de l’OTAN en Ukraine, l’hystérie du ballon, les opérations psychologiques sur les ovnis. La véritable « menace » est – qui d’autre – la Chine. Ce qu’il nous reste à tous, c’est de nager dans un marécage rempli de pigeons délaissés, d’histoires de couverture douteuses et de fragments de renseignements. Sachant que ceux qui dirigent vraiment le spectacle ne montrent jamais leur main.




Les armes à énergie dirigée sont-elles maintenant dirigées contre nous ?

[Source : ExcaliburTraduction]







Emprise sur les nations : l’OMS fait marche arrière

[Discours du sénateur australien Malcolm Roberts.]

[Voir aussi :
Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »]






Bill Gates dit qu’il peut utiliser des jets privés parce qu’il est la « solution » au changement climatique

[Source : aubedigitale.com]

Par Jade

Lors d’une interview malaisante avec un journaliste de la BBC, Bill Gates a affirmé qu’il était parfaitement normal qu’il parcoure la planète en jet privé parce qu’il fait beaucoup plus que quiconque pour lutter contre le changement climatique.

Gates a prétendu que parce qu’il continue à « dépenser des milliards de dollars » en activisme contre le changement climatique, son empreinte carbone n’est pas un problème.

« Devrais-je rester chez moi et ne pas venir au Kenya pour m’informer sur l’agriculture et la malaria ? », a déclaré Gates dans l’interview avec Amol Rajan.

« Je suis à l’aise avec l’idée que non seulement je ne fais pas partie du problème en payant pour les compensations, mais aussi grâce aux milliards que mon Breakthrough Energy Group dépense, que je fais partie de la solution », a ajouté Gates.

Plus récemment, Gates a parcouru l’Australie à bord de son luxueux jet privé de 70 millions de dollars pour faire des conférences sur le changement climatique.

Gates, qui a déclaré que la crise énergétique est une bonne chose, possède pas moins de QUATRE jets privés pour un coût combiné de 194 millions de dollars.

Une étude réalisée par Stefan Gössling, professeur d’économie à l’université Linnaeus, a révélé que Gates a parcouru plus de 342 000 km sur 59 vols en jet privé rien qu’en 2017.

Gates a émis environ 1 760 tonnes d’émissions de dioxyde de carbone, soit plus de cent fois plus que les émissions par habitant aux États-Unis, selon les données de la Banque mondiale.

Ailleurs au cours de l’interview soigneusement construite, Gates a déclaré qu’il était surpris d’être la cible des « théoriciens du complot » pour avoir encouragé la vaccination pendant la pandémie.

Gates a une nouvelle fois réitéré un point de discussion selon lequel il est plus important de vacciner massivement l’humanité que de se rendre sur Mars.

https://twitter.com/Edwin07011/status/1622420408556216321

Alors que l’interview de la BBC était conçue pour donner l’impression que Gates était mis au défi ou mis sur la sellette, on ne lui a pas demandé s’il était ami avec le pédophile élitiste décédé Jeffrey Epstein.




Biden en ligne de mire

[Source : Vivre sainement]




Une responsable de Twitter très mal à l’aise lors d’une audition sur la censure concernant le PC de Hunter Biden et du covid (2023)

Nancy Mace, membre du parti républicain, interroge Vijaya Gadde, ancienne responsable juridique, politique et confiance de Twitter.
N. Mace révèle qu’elle souffre elle-même de l’effet des injections covid, qu’elle regrette, et estime que la censure de Twitter a empêché de nombreux Américains de faire un choix éclairé concernant la vaccination covid.
L’ex-employée de Twitter semble mal à l’aise lorsque Mace lui demande sur quelle expertise médicale se basait le personnel de Twitter pour censurer des scientifiques issus des meilleures universités






Qui sont les « collabos » ? Qui sont les « nazis » ? Qui sont les « résistants » ?

[Source : nice-provence.info]

Par Massimo Luce

Le discours politique dominant depuis la fin de la IIe Guerre Mondiale, s’articule autour de :
• nazis = méchants = racistes = antisémites = complotites = eSStrême droite (væ victis),
• collabos = méchants puisqu’ils collaboraient avec les méchants ci-dessus,
• résistants = gentils, les Justes, si, si, il y en eut.
Nous avons évoqué à maintes reprises dans nos colonnes le fameux « Point Godwin », qui facilite bien les débats de la classe politique qui assure ainsi facilement son maintien en place.

Mais ce décor, maintenu implacablement par la classe dominante, puisqu’il assure son maintien au Pouvoir, s’effondre de toutes parts.

Les Français ne comprennent en effet pas pourquoi le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, peut se revendiquer d’être juif et en même temps, intégrer dans son armée des bataillons ouvertement nazis. Si Poutine parle de « dénazifier » l’Ukraine, il s’appuie sur des faits que seuls les fanatiques récusent.

« C’est le juif le plus courageux au monde ».
La presse israélienne n’en finit pas de chanter les louanges de Volodymyr Zelensky, le président martyr de l’Ukraine. Sur les plages ensoleillées, aux terrasses des bars libérés de la peur du Covid et dans les magasins, où les touristes reviennent lentement, les conversations sont passionnées depuis l’invasion russe du jeudi 24 février.
Le surlendemain, ils étaient entre 10.000 et 20.000 à manifester à Tel-Aviv en faveur de l’Ukraine. La foule rendait hommage à « l’esprit de combat » de Zelensky, ” »son leadership », appelait à la solidarité.
Il reste dans les mémoires que Kiev est aussi la ville de naissance de la mythique première ministre Golda Meir.

Les Français ne suivent plus : nous les Gentils Français de la démocrate Europe, prêtons main forte à un régime nazi, dirigé par un Juif, qui se bat contre des Russes, qui se sont déjà battus contre les nazis et en ont payé le prix fort.
C’est bien compliqué, tout ça Émoticône étonnement
Nice Provence Info s’efforce d’apporter les clés de compréhension.

Mais alors, les « collabos », c’est Qui ?

François Asselineau nous explique : les collabos sont ceux qui collaborent avec une puissance d’occupation. C’est assez facile à comprendre.

Voilà pourquoi tous les maires qui arborent le drapeau ukrainien au fronton de la « maison commune » pratiquent un abus de Pouvoir certes, mais parfaitement incongru puisqu’ils (ou elles) affichent une sympathie avec un régime nazi d’une part et avec une puissance d’occupation (l’OTAN) d’autre part. Doublement collabos ! Souvent même sans en être conscients.

Beaucoup le font par suivisme, puisque cela leur semble être dans l’air du temps et qu’ils présument que cet étendard bleu et jaune leur vaudra bien un subside du département ou de la Région. Beaucoup ne se rendent pas compte qu’ils sont les complices d’une très lourde machine de propagande qui mène l’Europe à son anéantissement.

Les Résistants, de nos jours, sont ces personnes courageuses qui affrontent la Police de la Pensée, qui réfléchissent un peu, qui vont chercher l’information en dehors des médias subventionnés. Comme toujours elles ne sont pas très nombreuses au début, puis peu à peu, elles se multiplient. C’est ce qu’il va se passer. Un de nos lecteurs écrivait dans un commentaire :

Petit à petit, un par un, ces drapeaux disparaitront du fronton de nos mairies… nous indiquant que le vent tourne, que le moment est venu d’être discret, de retourner sa veste…

C’est bien ce qui est arrivé aux politiciens français entre 1940 et 1944 : d’abord collabos, puis résistants le moment venu. Le meilleur d’entre eux est devenu Président de la République et fut même réélu.

Allez voir vos maires, et expliquez leur qu’ils sont sur une mauvaise voie et le plus tôt ils en sortent, le mieux ce sera pour la poursuite de leur carrière.




« Dieu et la Vraie Science. »

« La crise du Saint Covid a enfin permis de les réconcilier. Amen ! »

Par Alain Tortosa

Il fut un temps lointain où chacun regardait l’autre d’un sale œil.
Le bon vieux temps où l’église brûlait des « scientifiques » est révolu.

Puis vint le temps où la « science » s’est vengée et a tué Dieu à coup d’équations différentielles.

Étions-nous condamnés à les voir s’entre-déchirer pour l’éternité ?

Nous aurions pu le craindre, mais c’était sans compter la venue du Saint Covid. Amen mes frères !

Ses débuts ont été difficiles, au point que les mécréants et les impies s’en donnaient à cœur joie.

Mais quelle est cette nouvelle Religion dont la Sainte Parole est répandue par les membres de l’Église du Coronavirus ?

Voici les principales Tables de la loi que je rappelle aux âmes égarées :

  • Le coronavirus tu craindras.
  • Hommes femmes et enfants il détruira.
  • Le Saint Masque te protégera.
  • L’isolement social tu chériras.
  • Les faux dieux, vendeurs de remèdes miracles, tu rejetteras.
  • La Sainte Ampoule tu t’injecteras jusqu’à trépas
  • Les impies tu terrasseras.
  • Le blasphème tu chasseras.

Cette nouvelle Religion intégrative, qui n’est qu’Amour, a immédiatement connu impiété et sacrilèges.

Sachez que je répugne à les citer, mais comment combattre le Malin sans le nommer ?

Ces profanateurs de Vérité ont tout osé :

  • Affirmer que le coronavirus n’était pas plus dangereux qu’un autre virus.
  • Certains illuminés sont même allés à affirmer qu’il n’existait pas, pas plus que les autres virus.
  • Leur folie est telle qu’ils ont crié haut et fort que non seulement le Saint Masque ne protégeait pas du Malin, mais que celui-ci était dangereux. Allant même jusqu’à traiter de malveillante la maman aimante qui protégeait son enfant des griffes du diable.
  • Aveuglement sans limites, bascule dans un univers totalement incohérent dans lequel le Saint Confinement ne servirait à rien et aurait des conséquences dramatiques.
  • Pire encore, ces adorateurs de divinités païennes faisaient la promotion de pilules miracles, quasi gratuites tels les bonimenteurs du passé.
  • L’inimaginable, le summum de l’horreur fut franchi quand ils accusèrent la Sainte Ampoule de n’avoir aucun effet protecteur et pire encore, qu’elle pouvait rendre stérile ou tuer les personnes jeunes en bonne santé, y compris des enfants.

Nous aurions pu nous croire au siècle des Lumières ainsi nommé par des historiens alors qu’il n’était que ténèbres.

Nous savons tous que ces assassins, ces incroyants ont du sang d’innocents sur les mains.

La situation aurait pu basculer dans le chaos, l’Armageddon était à nos portes !

Allions-nous assister à la fin de l’humanité du fait de ces hordes barbares adoratrices du démon et de l’ogre Poutine ?

Les Saints hommes qui nous protègent, nos fous de Dieux comme Bill Gates, Georges Soros, Klaus Schwab, David Salomon1, ou notre bon Monarque Emmanuel premier, seraient-ils impuissants à les combattre et les renvoyer dans la fange dont ils n’auraient jamais du sortir ?

Allions-nous assister à la victoire du Mal contre le Bien ?

Je vais être honnête avec vous.

Nous sommes passés à deux doigts de l’Apocalypse.

Mais c’est dans les situations les plus désespérées que le meilleur de l’humain se révèle.

Toutes les bonnes volontés de notre chère planète se sont mises à travailler ensemble, main dans la m…
Non, pardon, j’oubliais les gestes barrières et la distanciation.
Accolades, embrassades et serrages de mains appartiennent à l’obscurantisme du monde d’avant.

Cela me fait penser aux orgies, comment les nommer autrement, organisées par ces monstres qui en plein Saint Confinement se réunissaient sans porter le Saint Masque pour ripailler dans des parcs sans le moindre geste barrière.
J’étais horrifié en les apercevant et en même temps terrifié qu’ils ne provoquent la mort de mes enfants protégés par leurs deux Saint Masques.

Ces « choses » — comment les appeler des hommes ? — se faisaient la bise et des câlins pour défier Dieu.
Auraient-ils oublié la Tour de Babel ?
Nul doute que celui-ci a dû les rappeler à lui depuis, à Satan devrais-je dire !
Comment un être d’amour pourrait-il accueillir de telles immondices en son royaume de bonté ?

Alors que la fin était proche, les hommes politiques, prêts à sacrifier leur carrière comme à leur habitude, n’ont pas hésité une seule seconde.
Ils se sont levés tel un seul homme, la main ne tremblant pas, pour balayer en une seconde des siècles de Constitution, de Droits de l’Homme et de Code civil pour protéger les citoyens d’eux-mêmes.
Adieu codes, traités internationaux, lois, jurisprudences et prétendus droits de l’homme !

J’en avais la larme à l’œil…
Quel merveilleux spectacle de voir la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, tous les députés, sénateurs, juges, policiers, et j’en passe, tous unis dans un objectif commun, faisant table rase du passé et de sa dysharmonie !

Que ceux que j’oublie me pardonnent, nous saurons nous les remémorer quand cela sera rendu possible.
Oui, tous ont été unis pour nous sauver malgré nous, unis comme jamais.

Ce merveilleux travail, pardon, cet acte d’amour, n’aurait été rien sans l’action admirable de mes amis, pardon de mes frères, journalistes.
Ici aussi seule la solidarité a joué.

Il n’y avait plus de grands propriétaires de groupes de presse et d’obscurs pigistes.
La communion était parfaite, une harmonie que l’on ne peut voir qu’une fois par millénaire ou au jardin d’Éden.
De AP, de l’AFP, de Reuters, tous tenaient ce même discours d’amour responsable entonné par les politiques.
Comment rester de marbre avec cette disparition totale de la concurrence et de la critique ?
Plus de journaux d’extrême gauche, de gauche, de droite ou d’extrême droite.
Non, tous unis pour répandre la bonne parole, la parole de la Sainte Église de la Vérité et aider les âmes perdues.

Je remercie spécialement les vérificateurs de l’information, les factcheckers qui ont fait et font un travail formidable pour lutter contre ces immondes complotistes qui se repaissent du malheur des autres et de la souffrance.
C’est aussi en voyant le Diable que l’Amour avec un grand « A » prend tout son sens. Amen !

Il y a aussi les petites mains, minuscules et pour autant vitales qui ont répondu à l’appel de la Foi et de la solidarité.
Comment ne pas remercier tous ces héros de l’ombre ?

Je pourrais vous citer tous les patrons de bar, les restaurateurs, petits commerçants, cinémas, théâtres, je ne peux tous les bénir, tant ils sont nombreux.

Tous ont fièrement interdit l’accès à leurs établissements aux criminels non masqués, adultes et enfants, empêché quiconque de rentrer sans pass sanitaire, test PCR ou preuve d’injection de la Sainte Ampoule.
Sans eux, nous aurions assisté à des scènes d’horreur et de carnage faisant passer le Bataclan ou les Walking-Dead pour une kermesse bon enfant.

Je vous rappelle que ces pourritures d’antivax n’avaient et n’ont aucune conscience.

Ils sont prêts à voler, tuer, violer au nom de leur prétendue « liberté » comme nous l’a rappelé Saint Michel d’Onfray lors d’un prêche.
Comment oser revendiquer le droit de tuer son voisin innocent désarmé, protégé uniquement d’un Saint Masque et de multiples doses de la Sainte Ampoule ?!

Jamais je ne pourrais pardonner la sauvagerie de leurs crimes tel ce pauvre homme entièrement vacciné et protégé par la Sainte Ampoule, tué froidement par un chauffagiste antivax2 (fait divers largement relayé par la presse).
Sans ces assassins le Malin eut été vaincu en quelques semaines…

Nous le savons tous !
Nous ne pouvons blâmer nos autorités, nos gouvernements qui faisaient leur possible pour nous protéger, nous les brebis égarées.
Chaque échec est 100 % imputable aux mauvais citoyens et certainement pas à notre bon clergé.

Nous savons que le Saint Confinement, le Saint Masque, la Sainte Mixture Divine a sauvé des millions de vies, mais ces monstres continuent de nier la Vérité !

Mais je digresse, je digresse et j’oublie l’essentiel.
La science !

Oui la science nous a sauvé mes frères et mes sœurs. Amen !

« Gloire au tout puissant, gloire à la Sainte Ampoule ! »

La Sainte Science qui hier combattait farouchement la Foi
telle une âme errante est venue à notre secours. Amen !

Merci l’OMS, merci Pfizer, merci Moderna, merci le ministère des Solidarités et de la Santé, merci les ARS, merci l’Ordre des médecins, merci l’Ordre des pharmaciens, merci le ministère de la Vérité, merci les médecins de plateau, merci mes frères. Amen !

Vous nous avez permis d’accéder à la Vérité, au Consensus Scientifique, à la Lumière divine !

Vous êtes sortis de ce sectarisme, de cette stupidité, de ces dogmes dans lesquels vous étiez enfermés.
Vous étiez aveuglés par la « preuve », aveuglés par l’hypothèse, aveuglés par l’expérimentation, aveuglés par l’absence d’a priori, aveuglés par une neutralité objective et aveuglés par des dogmes d’honnêteté ou d’absence de conflits d’intérêts…

Mais la lumière divine vous est enfin apparue et vous avez ouvert les yeux, compris que la Science était au service de la Foi, de la Vérité et non l’inverse.

La Vérité ne dépend plus des scientifiques, mais de la parole sacrée de l’Église du Coronavirus

La Science n’est que le doigt, l’instrument du Divin. Amen mes frères !

Quel pas immense pour notre démocratie !
Nous ne sommes plus esclaves de leurs fausses vérités païennes.
La Vérité est proclamée par la Foi qui guide le peuple !

Alors vous, les vrais scientifiques, vous vous êtes mis au travail afin de démontrer la Vérité.
Vous avez conduit de nombreuses études et expériences pour prouver par exemple l’efficacité du Saint Masque.

Un être de Foi n’a pas besoin de démonstrations, s’il en est, mais vous avez travaillé pour sauver les âmes perdues des incroyants.

Vous avez étudié le plus honnêtement possible l’efficacité du Saint Masque.

Ne riez pas mes frères qui avaient été touchés par la grâce divine, vous SAVEZ qu’il protège, nul besoin de démonstration scientifique pour accéder à la Vérité.
Mais je vous rappelle que ces Saints hommes travaillaient à apporter la lumière à ces ordures de complotistes, corps biologiques vivants, mais sans âme.

Quel courage, quelle abnégation !
Oh ! la vie n’a pas été un long fleuve tranquille, croyez-moi.
Tantôt il leur fallait balayer des siècles de recherches, d’expériences et d’études publiées.
Tantôt leurs recherches ne donnaient pas les résultats escomptés et ils parvenaient à des résultats apparemment opposés aux Tables de la Loi, preuve de quelque erreur, nul n’est parfait en ce monde hormis la Sainte Ampoule !

Croyez-vous qu’ils ont baissé les bras ?
Croyez-vous qu’ils ont renoncé ?
Non, mes frères :

  • Au nom de la vraie Science, ils ont rédigé des conclusions à l’opposé de leurs trouvailles, conscients de leurs erreurs évidentes.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont éliminé les données erronées qui contrariaient les dogmes de la Foi.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont publié, de vraies études avec des données divines.

Les Scientifiques de l’Église n’ont pas œuvré dans le vide.
Enfin la Science et la Foi parlaient à l’unisson. Amen mes frères !

Mais ils ne se sont pas arrêtés sur le chemin pour transmettre la bonne parole et répandre la Vérité.

Si d’aventure ils ne disposaient d’aucune étude publiée, par exemple qui prouve que la Sainte Injection protège des contaminations…

  • Allaient-ils annoncer sur les plateaux télé qu’ils ignoraient si cela fonctionnait ?
  • Allaient-ils battre retraite ?
  • Allaient-ils fuir tels des lâches ?
  • Allaient-ils renoncer ?
  • Allaient-ils donner du grain à moudre aux complotistes ?

Non, mes frères !
En gardiens fidèles de la Foi et des Écritures Sacrées, ceux-ci n’ont pas hésité à piétiner leurs serments et affirmer :

« Les études prouvent. »
Amen !

Et ce quand bien même nulle ne l’indiquait.
Ils sont allés au-delà de l’orgueil des hommes voulant défier Dieu.
Ces Scientifiques, ces médecins, ces héros, ces Saints Hommes, nous ont sauvés du mécréantisme.

Il n’est que justice qu’ils soient aujourd’hui récompensés par des Légions d’honneur, bien maigre récompense au regard de leur héroïsme !

Et c’est là la beauté de l’histoire, la morale de la vie, le jugement de Dieu !

Les grands hommes, les grands scientifiques sont récompensés pour avoir mis leur Science au service de la Vérité tandis que les pourritures de complotistes sont exclus ou condamnées par leur ordre.

Ces médecins véreux qui n’affirment qu’en se référant à des études…
Cela pourrait passer encore.
Mais non !
Ces athées ne croient qu’aux études dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts et pour lesquelles il n’existe aucun biais majeur.
Qu’ils ne s’étonnent pas de devoir subir les foudres du Créateur de la Sainte Ampoule !

Ceci relève de la même absence de déontologie que les prétendus journalistes de France-soir pour ne citer qu’eux, qui diffusent des informations après avoir enquêté par eux-mêmes.
Ne riez pas, je n’invente rien.
On croit rêver, les bras m’en tombent !

Rendez-vous compte qu’ils ne font pas comme leurs collègues croyants qui, avec professionnalisme et déontologie, ne publient QUE des informations vérifiées relayées par l’AFP !
Une information garantie estampillée « approuvée par le ministre de la Vérité » compatible avec les Saintes Écritures.
Certaines âmes perdues se demandent si les vrais journalistes vérifient les dépêches AFP.
Blasphémateurs, la Vérité de la Foi n’est pas source de questionnements ou de doutes.

J’ai honte quand je pense à ces malades qui publient n’importe quoi.

Nous vivons une époque formidable.

J’espère que vous êtes conscients de la chance que vous avez de participer à ce Grand Tout.

C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous pouvons assister à une telle solidarité, à une telle fraternité d’action et de pensée.

La vraie Science et les Saintes Écritures avancent de front vers la Lumière. Amen !

Tous unis dans un seul but : répandre la Vérité.

Merci aux hommes d’influence, merci aux autorités scientifiques, merci aux hommes de sciences, merci aux médecins, merci aux politiques, merci aux autorités judiciaires indépendantes de tout libre arbitre, merci à tous du plus grand au plus petit pour votre action au service de la Foi et de la Vérité de la Sainte Ampoule.

  • Sans vous, nous aurions étés balayés par le Coro-Malin.
  • Sans vous, ce serait le chaos instauré par les complotistes.
  • Sans vous, l’immonde Poutine rayerait la planète.
  • Sans vous, mon petit neveu prisonnier d’un corps de fille, victime du satanisme de ses géniteurs, ne pourrait pas changer de sexe à 4 ans.
  • Sans vous, des femmes, pardon des individus au sexe non déterminé par la naissance, qui ne veulent plus de leur futur bébé conçu lors d’un acte contre nature avec un complotiste, ne pourraient avorter à 8 mois de grossesse et seraient obligées d’enfanter une créature satanique.
  • Sans vous, les hommes de valeur, les Saints gardiens de la Foi, dont la vie est si chère dans nos cœurs, ne pourraient pas se servir en organes en Ukraine.
  • Sans vous, l’amour si pur entre un homme de la Sainte Église du Coronavirus et un enfant ne pourrait être légalisé.
  • Sans vous, le changement climatique, avertissement divin, ne saurait être inversé et supprimerait toute vie sur Terre.

Alors
Merci, merci, merci mes frères.
Amen !

Mais attention le combat contre les forces du mal est sans fin.
Les complotistes, les faux « scientifiques » espèrent convaincre que leur « vérité scientifique » a une valeur et qu’elle pourrait fragiliser les Tables de la Foi !
Leur naïveté est pitoyable…

Ils continuent à lutter, jour après jour, depuis des mois, sans relâche, tels des rats dans une cave cherchant à grignoter les doigts d’un jeune enfant, pour « démontrer ».

Mais bande de fous païens inconscients, la Foi, la Vérité de la Sainte Ampoule ne peut avoir tort !

Quand allez-vous ouvrir les yeux et le comprendre ?
Vos gesticulations et vos « démonstrations » sans fin ne touchent que vous !
Alors, ouvrez les yeux, abandonnez votre combat pitoyable, et rejoignez la lumière.

Alain Tortosa3 croyant de la première heure.
9 février de l’an IV de la Vérité Révélée.
Https://7milliards.fr/tortosa20230209-dieu-lascience-covid.pdf





La Reine des Neiges, plus grand complot de l’histoire ?

Par Alain Tortosa

Il existe des crimes ignorés de tous, mais celui-ci est sans doute le plus odieux, loin devant les millions de morts de guerres provoquées dans le but d’enrichir les pourritures.

J’ai longuement hésité à vous éclairer sur cet événement historique, mais je vous sais désormais suffisamment matures pour encaisser l’horrible « Vérité ».

Les complotistes 5e dan auront compris que je parle ici non pas de JFK ou du 11 septembre, mais de Elsa et Anna, personnages emblématiques de « la Reine des Neiges » du « merveilleux » studio Disney1.

Le fait est que les complots les plus immondes sont souvent là, sous nos yeux, et qu’ils passent généralement inaperçus tant ils sont énormes.

Mes propos peuvent provoquer chez certains un rire moqueur, ce fameux ricanement qui empêche de grincer des dents et de se forger sa propre opinion.

Mais je ne vais pas vous laisser en haleine plus longtemps.

Les plus pointus d’entre vous auront compris que Disney a volontairement inversé les prénoms de Elsa et Anna.

Je peux imaginer votre stupéfaction, voire votre désarroi, votre réticence ou votre recul.

Mais essayez de résister au rejet ou au dégoût inspiré par mon « affirmation délirante ».

Rappelez-vous votre première fois, quand on vous a dit que JFK avait été assassiné par la CIA ou que l’homme n’était jamais allé sur la Lune.
Vous aviez alors sans doute réagi « sainement » et balayé ces affirmations « débiles ».

Ceux qui sont allés au-delà de l’apparence ont appris que si un complotiste vous dit :

« Les petits pois sont des émetteurs mis au point par les habitants du 4e système solaire en partant de la gauche de la galaxie d’Andromède afin de modifier l’axe de la terre. »
Il est raisonnable de l’écouter avant de se marrer.

Combien de théories du complot se sont révélées exactes depuis l’introduction de la fête du Covid et de la fête du réchauffement climatique ?

Aucune bien évidemment !

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et voici donc la « Vérité révélée » :

« La Reine des Neiges aurait dû s’appeler Anna, tandis que sa sœur était de toute évidence une Elsa. »

Je sais, la révélation peut être violente, mais il en est de toutes théories du complot.

Rejet, moquerie, réflexion puis… évidence2 !

Je me devais de l’exposer au grand jour au péril de ma vie pour rassurer celles et ceux qui s’en doutaient :

« Non vous n’êtes pas fous, non vous n’êtes pas seuls. »
« Oui c’est probablement le plus grand complot de tous les temps ! »

Au-delà des mots, voici des preuves pour les plus incrédules, mais néanmoins curieux…

Je précise pour les factcheckers que ma source est au-delà de tout soupçon,
J’ai choisi Le Figaro et non un vulgaire torchon complotiste comme France-Soir.
(Organe subversif qui, je le rappelle, ne prend pas ses sources directement auprès de l’AFP, mais mène ses propres enquêtes.)

Et comme le dit le grand Julien Pain :

« Si ce n’est pas dans le journal, c’est probablement une fakenews »

Je me suis donc enquis de la signification officielle des prénoms.

Que lit-on pour Elsa ?

« Sous un abord réservé et doux, Elsa a un caractère joyeux, sociable et chaleureux. Dynamique et sûre d’elle, elle a besoin d’être le centre d’intérêt et a tendance à diriger son petit monde et à le materner3. »

Cela pourrait faire rire si ce n’était pas si dramatique !

La reine des neiges, dénommée officiellement « Elsa », serait ainsi « joyeuse, sociable » et — encore plus délirant — « chaleureuse » ?

Il y a des limites à la fourberie.

Attendez, la fille fuit le monde, ne veut voir personne, se construit un château de glace, gèle tout ce qu’elle touche et elle serait « chaleureuse » ?!

Comment Disney a-t-il pu oser tromper des millions d’enfants innocents à travers le monde en affirmant que :

« La reine des neiges est chaleureuse ! »

Mais quel mépris de l’humain, quel irrespect pour les enfants.

Le genre d’ignominie qui pourrait faire passer les mesures anti-covid en direction des enfants pour une rigolade.

Bon certains n’enlèveront peut-être jamais leur masque, hurlent quand papi ou mamie veulent les embrasser, ne savent toujours pas lire à 8 ans, hurlent la nuit, tandis que d’autres se sont suicidés.
Je ne nie pas ces quelques petits désagréments, mais ils demeurent globalement bon-enfant et anodins au regard de l’immonde virus qui menaçait toutes les personnes grabataires ou en fin de vie.

Mais merde, il faut raison garder !
Soyons un tant soit peu raisonnables, c’est peanuts, à coté du scandale de la Reine des Neiges et du traumatisme induit par cette supercherie.

Je vous rappelle aussi, bandes de complotistes, que ces mesures anti-covid ont évité des milliards de morts sur la planète et peut-être même l’extinction de l’espèce !
Il ne faudrait quand même pas l’oublier !

Non seulement ces complotistes sont stupides, mais en plus ils sont ingrats.

D’un autre côté, était-ce bien nécessaire, quand on sait que nul ne pourra survivre au réchauffement climatique, quelles que soient les mesures dictatoriales mises en œuvre ?

Bon, j’arrête de me distraire et je reviens à l’essentiel.

Nous faire croire qu’il existe une pandémie mondiale, passe encore, mais là !

Et ce n’est pas tout, je poursuis avec le prénom Anna :

« Anna est une personne intelligente, curieuse et cultivée. C’est simple, lorsqu’elle est passionnée, elle s’investit de tout son être. Un brin perfectionniste, elle a horreur de la médiocrité et du désordre. Dotée d’un sixième sens, Anna se trompe rarement dans ses choix4 ».

La petite sœur de la Reine des Neiges, officiellement dénommée Anna, « intelligente » et avec « horreur du désordre » ?
Ceci pourrait faire rire si ce n’était consternant.

Je vous passe le « se trompe rarement » quand on sait qu’elle tombe immédiatement amoureuse de la première raclure qu’elle croise.

Bref il suffit d’avoir un peu de jugeote et de bon sens pour s’apercevoir immédiatement de la supercherie qui va bien au-delà de l’homme sur la lune.

Tout homme, femme, iel ou amphibien de bonne foi ne peut que se rallier à l’évidence.

« Elsa a pour vrai prénom Anna et inversement ! »

À la lumière de ces faits, nul doute que vous êtes désormais acquis à ma théorie à moins d’être adhérent de « Renaissance5 ».

La question que l’on pourrait se poser est :

« Comment Disney, avec la complicité des maîtres du monde,
a pu nous (vous) endormir au point que le complot ne nous saute pas à la gueule ? »

La raison en est simple, nous sommes manipulés depuis des dizaines d’années, voire des siècles.

La Première Guerre mondiale dans le but de se faire un maximum d’argent et étouffer les velléités des travailleurs, des esclaves à réclamer des droits ?
Ridicule ! Nous savons tous que l’assassinat de machin en est la cause.

La Deuxième Guerre mondiale pour… (pardon je ne peux pas l’écrire là, c’est du « délire » hors catégorie).

L’homme sur la Lune ?

Je vous le dis, plus c’est gros et plus ça passe !
Imaginez que pour la lune, les gars sans ordinateur et avec un module recouvert de papier aluminium tenant avec du scotch ont réussi à passer la ceinture mortelle de radiation de Van Allen sans dommages.
Alors que la station spatiale (certains pensent que c’est aussi un fake) actuelle est en orbite basse pour s’en protéger.
Le plus drôle est sans doute lors de conversations en direct depuis la lune et sans délai de transmission.
La situation est d’autant plus risible quand on voit que 60 ans après la prétendue marche, des scientifiques essayent désespérément de résoudre les innombrables problèmes pour y « retourner ».
Bon je critique, mais ce complot-là est quand même un des plus drôles.

Je plaisante, vous vous en doutez, décidément vous n’avez aucun humour.
Nous sommes allés sur la Lune, il y a des images et des vidéos qui le prouvent !

Le monde reste bien étrange et mystérieux au demeurant.
Vous vous rappelez de ce grand singe énervé au sommet de l’Empire State Building qui donnait des baffes à des avions ? Sale affaire…

L’assassinat de JFK par un gars qui passait par là et qui a inventé la balle qui change de direction ?
Je vous rassure, il n’avait pas de complices, aucun lien avec la CIA, aucun lien avec la volonté de Kennedy de tuer l’État profond, aucun lien avec son opposition à la guerre du Vietnam, etc.
C’est une non-affaire, un non-événement.

Notons que la CIA a inventé le terme de « complotiste » à ce moment-là, non pas pour dénigrer celles et ceux qui se posaient des questions, mais faire gagner du temps aux imbéciles !
Je ne vois pas pourquoi il faudrait dépenser son énergie à convaincre des débiles que la terre n’est pas plate.
La meilleure chose à faire est de ne pas les écouter et les discréditer pour le bien de tous et sauver la démocratie.

En fait ces complotistes sont comme les virus (qui n’existent pas ?) ils sont contagieux et s’attaquent aux plus faibles.
Personnellement je ne m’en plains pas, ils sont mes seuls lecteurs assidus.

Le Vietnam, ben oui, si les méchants niakoués n’avaient pas attaqué un bateau fantôme on n’en serait jamais arrivé là…
Et puis c’était une guerre juste.

Le 11 septembre ?
Attention chasse gardée, en parler risquerait de vous brûler les ailes.
(Admirez au passage le calembour avec les ailes, ailes, avions, 11 septembre, boum, brûler les ailes).

Franchement qui pourrait douter ?
Nous savons tous que des tours qui n’ont même pas été touchées peuvent s’effondrer à la vitesse de la chute libre !
Arrêtons de rigoler et redevenons sérieux un instant.
Il faudrait vraiment que les organisateurs soient des pourritures pour tuer sciemment des innocents et provoquer une guerre en Irak ou en Afghanistan.

Hormis la Reine des Neiges, il n’existe donc aucun complot mis en œuvre par les enculés de l’ombre qui nous dirigent.

Sérieusement, tous ces prétendus événements n’avaient qu’un but (et la liste est bien plus longue que mes quelques exemples) :

« Détourner notre attention du grand projet et troubler nos esprits pour Elsa et Anna ! »

J’invite celles et ceux qui désirent occuper leurs longues soirées d’hiver pour s’informer sur des complots à consulter le fil Telegram « docus qui dérangent6 » sur lequel je cherche à faire une liste la plus exhaustive possible de documentaires interdits de mainstream.

Dénigrer la parole critique, la faire passer pour folie, irresponsabilité, d’extrême droite et, cerise sur le gâteau, antisémite, ceci afin que tout questionnement relève de la psychiatrie !

Réfléchissons un peu !

Il est évident que cette demande de réflexion ne s’adresse pas aux complotistes, chacun ses limites.

Le grand philosophe humaniste Rudy Reichstad disait si justement :

« Le complotisme est l’opium des imbéciles »

Sommes-nous en dictature et qu’avons-nous à envier à l’ex-URSS ?

Nous avons :

  • Les campagnes de dénigrement.
  • La Pravda comme média.
  • Le Ministère de la Vérité.
  • La censure.
  • L’interdiction de médias comme RT ou Rumble.
  • L’interdiction d’exercer son métier pour certains résistants.
  • Une interdiction de vous présenter aux élections si vous avez un discours d’opposant, cf. Asselineau.
  • Des élections truquées.
  • Des œuvres interdites.
  • Une réécriture constante de l’histoire.
  • Une inversion de l’accusation.
  • Des prisonniers politiques.
  • Etc.

Pour que cela colle mieux avec le cadre de l’ex-URSS, nous sommes en train de transformer la France et l’Europe en zone du tiers-monde.

Nos gentils gouvernants ont introduit le chèque énergie, le chèque carburant.
À quand les tickets de rationnement ?

Il ne manque que le Goulag que certains grands pays visionnaires et nostalgiques comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande avaient initié pour le Covid.

Mais à quoi bon faire des camps lorsque l’on peut transformer un grand scientifique en paria de la société au point que l’évocation de son nom provoque l’hilarité générale chez « les gens bien » ?

Le plus important pour les complots, c’est de bien préparer la population.
Plus c’est énorme, plus ça passe !

Je vous ai apporté une démonstration magistrale.
Qui, hormis vous, se doute désormais de l’existence du complot « opération Reine des Neiges » ?

Tous les (prétendus) complots qui ont suivi n’avaient qu’un objet : détourner l’attention pour camoufler l’indicible !

Vous savez c’est comme faire croire qu’il existe des laboratoires qui manipulent des virus, font du gain de fonction afin de focaliser les complotistes et éviter qu’ils ne découvrent le pot aux roses, « les virus n’existent pas ! ».

Ne lisez surtout pas mon dernier texte sur le sujet, vous risqueriez le fou rire ou la contamination.

« Virus », des décennies d’escroqueries7 ?
Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Je plaisante encore une fois.

« Vous et moi savons sans le moindre doute que les virus existent,
qu’ils sont méchants, et que les vaccins aussi ils existent et qu’ils sont efficaces. »

L’objet étant encore de nous détourner du complot Elsa et Anna !

Covid, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, ne sont QUE le nouvel arbre pour masquer la forêt.

Il était indispensable de poursuivre les (prétendus) complots après la Reine des Neiges afin d’éviter que quiconque ne se penche sur le sujet.

Toutes les précautions doivent être prises lorsqu’il s’agit de complotistes.

Rappelez-vous du petit Rudy « les complotistes sont complètement débiles »

Quoi de mieux qu’une prétendue fausse pandémie au virus dont la réalité reposait sur des masques dans la rue et des tests permettant de faire croire à des personnes en bonne santé qu’elles étaient malades ?

Notons que ce petit exercice fort ludique au demeurant, a permis aux milliardaires d’être plus riches, aux pauvres d’être plus pauvres et aux psychopathes d’introduire une dictature sanitaire « pour notre bien ».
Avec comme cerise sur la gâteau un espoir de meurtre de masse et un effondrement de la natalité.
Ce que certains nomment avec justesse et honnêteté une « épidémie de coïncidences8 ».

Mais au cas où des illuminés se pencheraient sur le complot de la Reine des Neiges et afin de ne pas permettre aux gueux de souffler…
Vous enchaînez alors avec une guerre des USA contre la Russie (débutée en 2014) dans une partie du monde dont strictement personne de normalement constitué n’a à foutre.
Franchement qui savait précisément où se trouvait l’Ukraine avant la guerre et capable de citer les pays limitrophes.
Quant au Donbass, rigolons… en plus ils parlent russe, bien fait pour leur gueule !

Non, il n’y a que les gens « bien », ceux qui s’achetaient des bébés volés ou par GPA de force qui savaient où se trouvait ce merveilleux pays que nous devons défendre jusqu’à la mort afin de commémorer le grand Stepan Bandera9 !

Précisons que 74 % des Ukrainiens auraient une opinion positive de leur « héros » appelé « M. Propre » du fait de ses talents dans le nettoyage ethnique.
Il faut dire que liquider 100 000 Polonais durant la 2e guerre mondiale était un bon score.

Si avec ce texte j’échappe à l’internement psychiatrique, c’est à désespérer de l’institution (qui a tant fait pour nous ces derniers mois).

Les avantages de la guerre en Ukraine sont multiples comme :

  • Faire main basse par les USA sur les richesses minières de l’Ukraine.
  • Rendre l’Europe encore plus dépendante des USA.
  • Faire tourner l’industrie de l’armement qui souffrait un peu.
  • Transformer l’Europe en pays sous-développé pour asseoir l’hégémonie des USA.
  • Détourner l’attention des gueux.
  • Et surtout maintenir le bon peuple dans la peur.
  • Etc.

Force est de constater qu’il y a quelques lézardes dans le mur.
Le plan de la CIA ne se déroule pas totalement sans accroc.

Heureusement, je ne lis pas tous les délires sur les réseaux sociaux.
Je rappelle à celles et ceux qui veulent bouffer du Poutine 24 h/24 de regarder LCI.
Depuis le mois de février, l’armée russe est aux abois, depuis février elle n’a pas de missiles, depuis février elle ne fait que perdre du terrain.
À se demander si les Ukrainiens ne seraient pas arrivés à Vladivostok.
Et ne parlons pas de leur économie, elle aussi aux abois grâce à nos sanctions !

Je dis ça, mais je suis un peu taquin quand même.
Reconnaissons la présence de francs succès médiatiques.

Rendez-vous compte :

  • Poutine a saboté ses propres gazoducs pour priver les Européens de gaz oubliant qu’il pouvait fermer le robinet.
  • Il a même bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôlait pour faire accuser les gentils Ukrainiens.
  • Il a fait sauter le seul pont qui reliait la Crimée à la Fédération de Russie pour empêcher son invasion par des Ukrainiens qui passeraient par la Russie.

Et les médias osent nous dire qu’il faudrait avoir peur du personnage ?
Non, ne vous étonnez pas si on le retrouve écrasé par un camion télécommandé par lui-même.

Le plus merveilleux, au sens mystique du terme, est que tout ceci passe comme une lettre à la poste !

Écoutez le gouvernement et vous saurez que les sanctions contre la Russie fonctionnent parfaitement et que la victoire de Zelenski n’est qu’une question de minutes.
Le fait que les prévisions de croissance du FMI soient deux fois plus importantes en Russie qu’en zone euro est une preuve indéniable du succès de l’opération !

Ce n’est que moral et ce n’est pas des putains de petits cons de français qui vont nous faire chier parce que leur essence est à 2 euros et que tous les prix s’envolent !

Je vous rappelle que tout ceci est pour soutenir l’Ukraine quand bien même la Russie est à 90 % autosuffisante pour nourrir sa population et qu’elle vend son pétrole et son gaz à d’autres pays !

Il en va de la dignité des Européens et du monde libre !

Chaque sanction qui fragilise les Européens et enrichit Poutine est un pas vers sa chute !

Nous devons tenir coûte que coûte, il ne pourra en sortir gagnant !

J’espère que vous réalisez à quel point le complot Reine des Neiges est une affaire d’État.
Risquer l’avenir de l’Europe et peut-être même une Troisième Guerre mondiale dans l’unique but de nous le cacher !

Si ce n’est pas une preuve, il vous faut quoi ?

Vous savez, ce qu’il y a de bien avec les grands enculés du monde et autres Soros, c’est qu’ils n’hésiteraient pas à rayer un pays pour éviter des embouteillages à l’aéroport !

Attendez, j’ai oublié de vous parler du coup de maître du réchauffement climatique…

Chapeau bas, les pourritures, je dois vous dire « bravo » !

Arriver à faire croire à la population mondiale et même à des scientifiques que le CO2 serait la cause de tous les maux relève du génie absolu !
N’oublions pas que le CO2 est source de vie sur terre s’il en est.

La contagion est partout, même si nos bons médias font tout pour discréditer les « climato-sceptiques ».

Il n’y a pas que le bobo parisien qui utilise son vélo le dimanche matin pour aller acheter sa baguette, qui croit que les panneaux Métro en ville sont des succursales souterraines de Rungis, prend uniquement des taxis électriques puis est catastrophé par la fin du monde lors de dîners végans, et passe ses vacances en Floride, qui soit le seul préoccupé par le sujet !
Non, des Français presque « normaux » renoncent à emménager dans le sud de la France, certains vont même jusqu’à vendre leur bien méridional pour aller dans des terres moins hostiles comme le nord de la France, future Riviera française s’il en est.

Aller jusqu’à modifier le climat pour camoufler le complot Reine des Neiges, il fallait oser !

À ce propos.
Au regard des records de températures hivernales.
De -50 °C en Chine.
De -43 °C au Mont Washington10, dans l’État du New Hampshire aux USA.
Ou de la calotte polaire qui se reformerait à un rythme inédit.

Il me fallait réagir énergiquement !

« Nous nous excusons pour l’interruption momentanée du réchauffement climatique,
nous ne manquerons pas de vous informer dès son rétablissement ! »

Toute personne un tant soit peu cultivée et suffisamment cortiquée, donc non complotiste, sait parfaitement que des températures exceptionnellement basses constituent la preuve absolue d’un réchauffement climatique !

Le réchauffement est d’autant plus dramatique que les températures sont basses !

Nous l’avons lu dans le journal scientifique dit « journal de Mickey ».
L’association des climato-réalistes11 devrait le lire plus souvent et arrêter de raconter n’importe quoi.

« La vérité est dans le Giec, mes frères, nous allons tous mourir. »

Le coupable est connu, le Mal c’est l’homme, il y a consensus sans faille parmi les scientifiques qui ont droit à la parole.

Le WEF a pu le confirmer lors du forum de Davos.
Vous savez les gentils petits gars qui ne pensent qu’aux autres.
Ils donnent même du travail au personnel navigant des compagnies aériennes privées en choisissant les pilotes exclus non vaccinés.
Ils sont gentils de faire bosser ces pourritures de non-vax quand même.
Rassurez-vous, les 2000 vols depuis et vers Davos ont été intégralement compensés carbone12 !

Je vous rappelle qu’il n’y a que les idiots de complotistes pour imaginer qu’il n’y aurait pas de réchauffement global à l’échelle de la planète ou que celui-ci serait naturel, notamment du fait de variations de l’orbite terrestre autour du soleil ou de son inclinaison.

À ce titre j’informe les enseignants qu’ils devront patienter un petit peu avant d’aborder le moyen-âge avec leurs élèves.
Les livres d’histoire sont actuellement à la réimpression (ainsi que ceux qui affirment qu’il y a des hommes et des femmes) pour effacer le réchauffement climatique, appelé optimum climatique, au début du moyen-âge vers l’an 1000.
Période qui a été propice à l’agriculture, à l’économie et aux habitants…
Et ce à la différence du petit âge glaciaire qui a suivi provoquant malheur, maladies et famines.
Ce « petit incident » n’étant pas vraiment compatible avec le narratif actuel, la « science » se devait de l’effacer.

Les maîtres du monde ne sont pas si nuls côté promotion de la fin du monde.

Il faut dire « qu’ils ont quand même la petite conne handicapée pour hurler à l’ONU. »
« Actrice écervelée totalement débile qui bénéficie d’une mise en scène de fausses arrestations en Allemagne pour “activisme écologique13” ».

Pardon, pardon, je me suis emballé, sans doute un retard sur ma dose de rappel qui provoque en moi un effet de manque.
Je voulais parler de « la gentille Greta scientifique de haut rang, amoureuse de son prochain, préoccupée uniquement par la souffrance humaine dont l’objectif est de faire de la Terre un paradis glacé ».

Comme vous le voyez, je ne me suis pas éloigné du sujet Elsa et Anna !
Qui, après tout ce cirque, pourrait encore se focaliser sur le complot de la Reine des Neiges ?

Mais attention, ces psychopathes sont prêts à tout pour l’enterrer au plus profond des abysses, jamais la moindre pause !

Voici que l’Institut Pasteur, au-delà de tout soupçon s’il en est14, vient de découvrir un nouveau virus perfide qui s’attaque à notre foie, ou notre foi, je ne sais pas encore.

Je me dois de reprendre les termes utilisés par le président du Conseil Scientifique en son temps, Jean-François Delfraissy :

« On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on le pense15 »

J’imagine qu’il n’était pas l’auteur de cette phrase savante inspirée de l’inquisition.
Mais l’esprit est là :

« Protégeons-nous du Malin mes frères »

Cocasse quand on pense que les maîtres du monde vénèrent plus Satan que le Christ, mais passons.

J’en reviens donc à ce nouveau virus dont le nom suffit à faire trembler les vieilles filles encore pucelles, j’ai nommé le « circovirus16 »

Sa simple évocation me glace d’effroi et me fait songer à ce chef-d’œuvre du cinéma que vous connaissez tous :

« Les clowns tueurs venus de l’espace17 »

Que je recommande vivement à mes amis érudits.

J’ai pu me procurer en exclusivité une photo du nouveau virus tueur d’enfants innocents et de vieux obèses, que voici :

Mais ne croyez pas que la terreur légitimement inspirée par ce nouveau coronavirus satanique soit de nature à me faire oublier l’ignominie du complot de la Reine des Neiges !

Vous me prenez pour qui, vous pensiez que lassé, j’allais lâcher l’affaire ?

Quelques lecteurs à l’esprit aiguisé par le grand Julien Pain pourraient me rétorquer la fameuse question coup de poing utilisée par les plus grands limiers qui nous éclairent jour après jour.

J’invite celles et ceux qui veulent se pencher sur le travail pointu de Julien, mais aussi être lynchés lors d’un dîner végan organisé par des bobos parisiens en mal de spiritualité, à lire la publication indiquée en note de bas de page18.

Nous en arrivons tout naturellement à la fameuse question du « pourquoi, pourquoi ce complot disnèque ? »

Je vais immanquablement me prendre la même question posée pour le Covid !

« D’accord ton virus il est peut-être gentil, mais alors pourquoi tout le monde ment ? »

Dans Gotlib, « Rubrique à brac » le « scientifique » de la doxa dit à celui qui réfléchit ou qui émet l’hypothèse que la Terre tourne sur elle-même :

« Alors là mon cher vous êtes en pleine science-fiction19 »

Lorsque je prouvais à mes interlocuteurs incrédules que cette « maladie » n’avait rien d’exceptionnel, données officielles à l’appui, qu’elle se traitait, que le masque était inutile et dangereux et j’en passe.

La question suivante était de mise :

« Mais qui, pourquoi et dans quel but ? »

Je prends un risque inconsidéré en écrivant le mot « qui » dans la phrase précédente.

Je vous rappelle qu’une manifestante contre la dictature arborant une pancarte « mais qui ? » avait été condamnée à 6 mois de prison avec sursis20.

Ça en dit long sur l’état de notre « démocratie » et une l’élite dirigeante…
Le complot est trop énorme pour des honnêtes gens qui croient encore que ni les monstres ni les réseaux pédophiles n’existent !

« Comment les politiques, les journalistes, les médecins de plateaux,
l’OMS, Bill le généreux et j’en passe, pourraient être tous de connivence et pour quel dessein ? »

Précisons qu’il y a à la fois « connivence », mais aussi « profonde débilité ovine » de la part des exécutants.

Il est ainsi logique de se poser la même question pour ce terrible complot de Disney :

« Pourquoi inverser les prénoms ? »

Je ne dispose pas de la réponse, n’étant pas dans le secret des monstres.

Imaginez les pauvres enfants déboussolés pour qui le monde perd toute logique ?

Ici encore, afin de brouiller les pistes, une stratégie identique a été mise en œuvre avec le Covid.

Le lundi le masque était inutile et dangereux et le mardi il devenait vital même dans la rue !
Le plus merveilleux est qu’une vérité devenait un mensonge au gré de la météo !

Je ne vais pas revenir sur tous les exemples pittoresques tant il y en a :

  • Un virus qui tantôt s’attaque aux personnes assises sur la plage et tantôt à celles qui bougent.
  • Un virus qui saute sur les piétons, mais épargne les personnes en vélo.
  • Un virus qui vous choppe debout, mais pas assis.
  • Un virus qui adore les petits commerces, mais déteste les grands magasins.
  • Un virus qui n’est dangereux qu’à certaines heures.
  • Un virus qui fuit les métros bondés, mais n’épargne pas le randonneur en montagne qu’il faut appréhender avec un hélicoptère.

De quoi passer d’excellentes soirées en famille.
Je devrais inventer un jeu de société, je n’ai pas encore le nom, mais « Le Convid » serait peut-être pas mal.

Moins drôle nous avons eu les enfants en bonne santé, sans le moindre symptôme, psychopathes de l’ombre, cherchant à tuer papi et mamie alors qu’ils étaient « activement » protégés par un masque « efficace » et un vaccin encore plus « efficace » qui ne nécessite qu’un rappel tous les 6 mois !

Dans ce monde délirant le vrai devient faux et inversement.
L’inversion accusatoire est perpétuellement utilisée.

Un cauchemar dans lequel on impose aux enfants de se sacrifier pour leurs grands-parents.
Version officielle si l’en est, car la réalité était toute autre.

Ces mêmes grands-parents ont été :

  • Parqués « pour leur bien ».
  • Interdits de visites « pour leur bien ».
  • Interdits de repas en famille « pour leur bien ».
  • Interdits de sorties « pour leur bien ».
  • Interdits de câlins « pour leur bien ».
  • Interdits de soins « pour leur bien ».
  • Interdits d’aller à leurs obsèques ou aux obsèques d’un conjoint « pour leur bien ».
  • Masqués « pour leur bien ».
  • Injectés de force « pour leur bien ».
  • Et certains terminés au Rivotril « pour leur bien » !

Mais pas uniquement un monde de sécurité sanitaire.

Non, un monde aux possibilités infinies dans lequel la biologie n’existe plus.
Les garçons ne sont plus des garçons, les filles ne sont plus des filles.
Les noirs ne sont plus des noirs, les blancs ne sont plus des blancs.

Sans compter le culte d’Orwell avec « la liberté c’est l’interdit » cf. le Covid ou « la guerre c’est la paix », cf. l’Ukraine.

Nous vivons dans ce monde d’espoir et de paix mes bien chers frères…

Rouler en véhicule thermique ou manger de la viande devient criminel, tandis que manger des insectes, injecter des femmes enceintes, des enfants et même des bébés avec une substance expérimentale tout aussi inefficace que toxique, relève du bien.
Bien aussi d’interdire à un enfant de faire du sport s’il n’a pas le poison dans son corps.

Mais aussi un monde aux dangers inédits !

  • Faire du sport.
  • Faire ses lacets.
  • Prendre une douche chaude ou froide.
  • Regarder trop la télé.
  • Manger des céréales.
  • Jardiner.
  • Dormir trop ou pas assez.
  • Les freinages brusques en voiture.
  • Être anxieux à l’adolescence.
  • Manger 2 saucisses par semaine.
  • Le changement climatique.
  • Boire de l’eau debout.
  • Etc.

Toutes ces actions peuvent provoquer une mort soudaine21, « naturelle ».

J’ai même lu dans Magicmaman qu’un enfant de 12 ans était décédé d’un arrêt cardiaque à cause de poux !

Vive Satan, gloire à lui, mes frères !

Une inversion totale des valeurs à mettre en parallèle avec l’inversion des prénoms d’Elsa et Anna !

Un monde dans lequel celui qui défend des libertés, rappelle l’inviolabilité du corps, du libre arbitre, du consentement éclairé, de la différence homme, femme, du droit à la vie, du droit à l’innocence pour les enfants, du droit à la dignité, est comparé à un violeur, un tuer ou un antisémite tandis que celui qui censure, dénigre, interdit de vivre, interdit de travailler, devient le défenseur des droits et de la démocratie.

L’objectif est toujours le même, troubler les esprits afin que l’on ne réalise pas que cette inversion de prénoms, cette inversion des valeurs est totalement délirante, échappant à toute logique « logique » !

J’en reviens ainsi au fameux « pourquoi ? » qui m’est si souvent rapporté pour tous les complots précédents et futurs y compris pour celui de la Reine des Neiges.

Le « pourquoi », ou plutôt l’absence de réponses étant l’argument permettant de balayer la réalité du « complot ».

Sous-entendu que n’ayant ni sens ni connaissance de leurs auteurs, il ne saurait exister.

Ma réponse est alors toujours la même :

Si vous vous rendez sur une scène de crime avec du ketchup du sol au plafond, une tronçonneuse dans la tête de la victime et que vous dites alors :

« Qui est le meurtrier ? »

Puis

« Quel est le mobile du meurtre ? »

Si d’aventure le policier présent vous répond :

« Je ne connais ni l’auteur ni le mobile. »
« je ne connais ni ceux qui tirent les ficelles ni leurs objectifs. »

Allez-vous déduire que le meurtre n’a pas eu lieu ?

L’absence de coupable n’est pas de nature à remettre en question le meurtre sur une scène de crime.

Il en est de même pour la Reine des Neiges ou le Covid.

Le fait que nous disposions uniquement de preuves de manipulation ou de mensonges est de nature suffisante pour prouver que « complot il y a » quand bien même nous n’aurions pas toutes les réponses.

Détourner l’attention est de ce fait indispensable.

C’est ainsi que les Français sont dans la rue pour défendre les retraites.
Alors que concomitamment nous perdons chaque jour un peu plus nos libertés, l’économie est aux abois, les inégalités n’ont jamais été aussi importantes et des psychopathes cherchent à provoquer une 3e guerre mondiale pour leur bénéfice personnel.

Rendez-vous compte que des lycéens et étudiants luttent pour leur retraite tout en portant un masque !
Des enfants contaminés par la plandémie Covid et la plandémie climatique s’inquiètent du nombre de trimestres acquis pour prétendre à une retraite à taux plein !

Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’efficacité de sa diversion et de l’immobilisme des moutons sur les points essentiels.

Ces stratégies ultra efficaces ont permis à Disney de camoufler LE complot.
Et afin que la vérité ne sorte pas, il est possible que l’héroïne de la Reine des Neiges III soit transexusuel-le-s-x-z-w.

Sachez que je risque ma vie en vous dévoilant de tels secrets.

Si d’aventure mon corps devait être retrouvé inanimé dans une baignoire, sachez que je ne me lave strictement jamais et que ce sera un meurtre !

Merci pour votre attention.

Alain Tortosa22
6 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230206-complot-disney-reine-neiges.pdf





« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Par Alain Tortosa

Le Covid est-il le mensonge de trop ?

Préambule :

J’invite les lecteurs qui chercheraient des éléments de « preuve » aux thèses ou interrogations introduites dans ce texte à se référer à mes précédentes publications et notamment :

« Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus1 ? »

(document de 23 pages).

« Gober sans questionner. Quid de la preuve de l’existence des virus ? Postulats de Koch et Rivers2. »

Vous pouvez aussi vous procurer le livre :

« Virus mania. »
« Virus Mania – Corona/Covid-19, rougeole, grippe porcine, grippe aviaire, cancer du col de l’utérus, SARS, ESB »
« Comment l’industrie médicale invente sans cesse des épidémies et réalise des milliards de dollars de bénéfices à nos dépens3 »

Ainsi que celui de Marc Menant :

« L’inquiétante histoire des vaccins4 »
« Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui. »

Je précise ne pas être devenu « antivax ».

Je suis anti-obligations, anti-ségrégation, antiapartheid, anti-destruction de l’économie, anti-destruction du vivre-ensemble, anti-paranoïa, anti-destruction des droits de l’homme, anti-suppression du libre arbitre, anti-dictature sanitaire (ou autre), anti-ministère de la Vérité, anti-réécriture de l’histoire, anticorruption de la science, etc.

Les « vaccins » relevant de la foi en l’absence de preuves du contraire, je ne suis pas anti-foi.

  • Libre à chacun de croire, la foi ne relevant ni de la science ni de la preuve.
  • Libre aux croyants de croire, libre à eux de s’injecter ce que je pense être des placebos (pour le croyant) toxiques.

En revanche, obligation pour eux de ne pas faire de prosélytisme et de respecter les non-croyants dont je fais partie.

Ce faisant, je vais pouvoir déverser mes questions ou « vérités » qui, elles, ont le mérite de ne pas faire consensus, à la différence de la doxa.

Aux débunkers de me prouver le contraire et non de se contenter de l’affirmer ou de citer un témoin qui l’affirmerait !
Produisez les études et statistiques qui démontent mes propos.
Je précise :

« Produisez les études indépendantes dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts. »

Nous connaissons tous les centaines d’études publiées sur l’innocuité du tabac et financées plus ou moins directement par son industrie.
Je rappelle aussi à mes lecteurs que la commercialisation du « vaccin » anti-Covid a été faite sur les seules données fournies par les laboratoires pharmaceutiques et donc en l’absence totale d’études indépendantes.
Je rappelle que Pfizer a été condamné par le passé à des milliards de dollars pour tromperie, corruption, et manipulation.

Voici donc une liste non exhaustive

Ma première question étant donc :

  • Comment les autorités sanitaires ont-elles pu commercialiser et généraliser à l’ensemble du public des produits en phase expérimentale sur une technologie elle aussi expérimentale sur les seules données de laboratoires largement condamnés par le passé pour mensonges ?

  • Comment les autorités ont-elles pu rendre obligatoire ou introduire une extorsion de consentement sur ces injections expérimentales ?
  • Comment être certain de l’existence de « virus » alors qu’aucun n’a jamais été isolé « proprement » ?
  • Comment peut-on avoir la preuve de leur existence et de leur mode de reproduction ou de destruction des cellules vivantes dès lors que cela n’a jamais pu être observé (in vivo) ?
  • Les photos ou animations de « virus » ne sont que des créations artistiques.
  • Comment peut-on affirmer avoir vu des « virus » dès lors que la méthode d’isolation oblige l’utilisation de cellules de singes ou autres, de produits toxiques et autres antibiotiques qui permettraient de faire apparaître ces cadavres de cellules nommés « virus » ?
  • Comment être certain de leur existence, de leur pathogénicité dès lors que les postulats de Koch n’ont JAMAIS été vérifiés (cf. mon texte) ? Raison pour laquelle les débunkers affirment que ces postulats ne sont ni utiles ni « éthiques » ? (Il ne serait ainsi pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé en lui injectant un « virus » isolé, mais en revanche il est « éthique » de « vacciner » des milliards de personnes avec une substance dont ni le principe actif, ni l’efficacité n’ont été prouvés.)
  • Comment peut-on affirmer l’existence de certains « virus » dès lors qu’ils n’ont jamais pu être isolés (par la méthodes de « la soupe » biologique ou autres méthodes) ?
  • Comment avoir la preuve de l’existence du « virus » du SIDA dès lors qu’il n’a jamais été observé ?
  • Le « virus » de l’hépatite G n’a jamais pu être isolé non seulement in vivo, mais aussi in vitro (en laboratoire). Jamais vu, jamais isolé… Cela gêne-t-il pour affirmer son existence ? En rien !
  • Comment avoir la preuve que ces prétendus « virus » seraient pathogènes dès lors que l’on n’a jamais pu voir le processus théorique in vivo ?
  • Comment pouvons-nous les désigner comme coupables de provoquer des symptômes, des maladies pour lesquelles ils sont réputés, alors que cela n’a jamais été prouvé ?
  • Comment peut-on les accuser de créer des pandémies par contagion dès lors que les études n’ont jamais pu prouver la réalité de la contamination par des « virus » ?
  • Comment des personnes asymptomatiques, qui ne toussent pas, qui ne crachent pas, dont les « virus » ne sont pas détectables dans la bouche au point de faire un PCR au fond de la gorge par une amplification de matériel génétique, pourraient contaminer qui que ce soit ? L’asymptomatique contaminateur par un virus aérien est une nouveauté du 21e siècle.
  • Existe-t-il des études en double aveugle de cette contamination par des personnes asymptomatiques qui provoquerait des malades symptomatiques à leur contact ? La réponse est non, bien entendu.
  • Où les « virus » respiratoires passent leurs vacances en été ? D’aucuns disent qu’ils « circulent à bas bruit », mais comment pourraient-ils survivre jusqu’à l’hiver prochain sans rendre malade leur hôte alors qu’ils ont obligation de se reproduire pour survivre, qu’ils sont combattus par le système immunitaire de leur hôte et contraints d’en contaminer d’autres pour survivre ? A-t-on des preuves de ces théories ? (Au moyen-âge, peu de personnes prenaient l’avion pour se reposer aux Bahamas.)
  • Comment les laboratoires de type Wuhan pourraient manipuler des « virus » s’ils n’existent pas ?
  • Comment pourrait-il exister des « gains de fonctions » sur des « virus » qui n’existent pas ?
  • Pourquoi ces laboratoires qui manipulent des « virus » existent ? Ils ont probablement plusieurs objectifs :
  • Comment avoir la preuve que le « SARSCoV-2 » existe vraiment s’il n’a jamais été observé ?
  • L’inventeur du test PCR a avoué que son invention est totalement bancale et permet de trouver n’importe quoi.
  • Comment le prétendu code génétique — de ce « virus » issu de deux malades chinois présentant des symptômes et — reconstitué par tests PCR successifs et collage par un logiciel de séquences génétiques pourrait être pertinent ?
  • Comment affirmer l’existence du Covid alors que les études n’ont pas permis d’éclairer sur un ensemble de symptômes pouvant le différencier de maladies existantes ?
  • Comment expliquer la disparition de la grippe en 2020 au profit du Covid ? Une année sabbatique dans les îles avant de revenir en pleine forme ?
  • Comment ne pas avouer que le Covid est simplement la codification utilisée (imposée politiquement ou économiquement par rémunération supérieure dans les hôpitaux et en cabinet libéral) à la place de toutes les maladies respiratoires et donc qu’il n’existe pas en tant que tel ?
  • Comment affirmer qu’un patient est « Covid » uniquement en se contentant de correspondances positives à quelques parties du prétendu code génétique du « SARSCoV-2 » via des tests PCR quand bien même il serait asymptomatique ? (Et ce contrairement aux directives de l’OMS qui précisent bien que le test PCR peut être un accompagnant diagnostic et certainement pas se suffire à lui-même.)
  • Comment y trouver une pertinence alors que les spécialistes affirment que le « virus » aurait muté et que celui d’origine n’existerait plus ?
  • Comment croire en l’existence et à l’exactitude du code génétique de la protéine Spike qui aurait été isolée par les mêmes principes de PCR et de comparaison à des bases existantes ?
  • Comment ignorer le fait historique que Pasteur était un escroc, un menteur, un tricheur ? Qui n’est pas allé en prison grâce à un soutien politique, l’idée étant que si Pasteur était dénigré, les Allemands rafleraient le marché de l’escroquerie.
  • Comment croire en l’efficacité des « vaccins » dès lors qu’aucun n’a permis d’éradiquer la moindre maladie ?
  • Comment se servir aujourd’hui encore de la prétendue éradication de la variole par les « vaccins » alors même que l’OMS précise que la campagne de vaccination fut un échec et que celle-ci a pu être éradiquée par l’isolement des malades symptomatiques ?
  • La polio était-elle causée par un « virus » ou liée à un empoisonnement au DDT ?
  • A-t-elle été éradiquée par un « vaccin » ou par l’arrêt de l’utilisation du DDT ? (Et est-elle apparue suite à son utilisation ?)
  • Comment affirmer l’efficacité, mais aussi l’innocuité des « vaccins », dès lors qu’il n’existe aucun essai en double aveugle versus placebo le prouvant ?
  • Pourquoi les vaccins bénéficient-ils d’un mode dérogatoire de mise sur le marché avec moins de contraintes que pour un médicament alors qu’il est censé ne pas pouvoir être « enlevé » ?
  • Comment préconiser le « vaccin » Covid alors qu’il n’existe aucune preuve de son efficacité en termes de contamination et que le nombre de décès dans le groupe injecté était supérieur à celui du groupe témoin selon les données Pfizer ?
  • Comment Moderna aurait-il pu créer un « vaccin efficace » contre le « SARSCoV-2 » dès lors que selon son représentant, ils ont fabriqué celui-ci informatiquement à partir de la séquence « officielle » fournie par les Chinois et qu’ils ne l’ont jamais eu dans les mains pour sa fabrication ? (Et donc sans vérifier si les données chinoises étaient exactes.)
  • Dès lors que le code génétique de la Spike est au pire imaginaire et au mieux totalement aléatoire, car une juxtaposition de séquences hypothétiques par test PCR. Et en partant de l’hypothèse théorique que la Spike existerait, comment serait-il possible que sa séquence génétique soit identique à celle du « vrai virus » ? « Virus » qui selon la théorie tout aussi non vérifiée muterait régulièrement. Les mutations étant elles-mêmes détectées par d’autres tests PCR sur d’autres séquences. Comment serait-il alors possible de créer une séquence ARNm qui ferait produire la « vraie » Spike par un « vaccin » ?
  • Si le « vaccin » contient de l’ARNm, par quel miracle pourrait-il faire générer la « bonne » Spike dont le génome connu relèverait plus de la loterie que de la science ? La plus forte probabilité serait alors qu’il fasse fabriquer n’importe quoi par nos cellules. L’autre hypothèse la plus raisonnable serait qu’il ne contienne strictement aucune séquence ARNm.
  • Pourquoi différents laboratoires ou le même laboratoire n’ont pas extrait eux-mêmes le génome du SARS-CoV-2 et le code génétique de la Spike à partir de la même souche ? (Et ce en utilisant différents logiciels de « Lego » et différentes amorces ?) Si cette méthodologie ne relève pas du hasard pour ne pas dire de l’escroquerie, le génome obtenu serait alors exactement le même et permettrait d’apporter un élément de preuve sur la fiabilité du processus. Il faudrait ensuite reproduire l’expérience avec plusieurs malades afin de déterminer s’ils souffrent tous du « SARS-CoV-2 ».
  • Comment ces « vaccins » pourraient-ils (encore) contenir de l’ARNm au moment de l’injection dès lors qu’ils exigeaient à leurs débuts une conservation à -80 °C et que les brins d’ARNm sont réputés extrêmement fragiles et se décomposent très vite ?
  • Comment peut-on affirmer que les patients bénéficient de la même injection, du même produit dès lors qu’il est de notoriété publique que l’ARNm aurait une tendance à se recombiner ? La probabilité que le « vaccin » génère la même Spike ou même une Spike relève de la loterie.
  • Les vidéos qui circulent montrant le contenu d’un « vaccin » ARNm ne semblent pas contenir la moindre capsule d’ARNm.
  • Comment les « vaccins » dit classiques, ceux censés contenir du « virus » atténué par un procédé magique, pourraient avoir une « efficacité » dès lors qu’ils ne provoquent aucune réponse immunitaire ni production d’anticorps par l’organisme en cas d’injection seule ?
  • Comment serait-il possible de prouver leur efficacité et non l’efficacité d’une autre substance dans le « vaccin » dès lors qu’il est impossible d’isoler des « virus » dans leur « soupe » ?
  • Comment affirmer l’action d’un « vaccin » dès lors que les adjuvants sont indispensables pour provoquer cette fameuse « réponse immunitaire » ? Dans le cas d’un « vaccin » dit classique, c’est l’aluminium qui est couramment utilisé.
  • L’aluminium est un produit extrêmement toxique et à l’origine d’effets secondaires graves.
  • Comment prouver que les anticorps détectés sont la conséquence du « virus atténué » dans le « vaccin » et ne seraient pas des déchets issus de la défense de l’organisme face à l’empoissonnement du système sanguin par l’aluminium et les autres adjuvants toxiques utilisés dans le « vaccin » ?
  • Dans le cadre du « vaccin » Covid, l’adjuvant principal serait le graphène dont la toxicité serait inédite dans l’histoire des « vaccins ». Graphène qui est officiellement interdit dans l’alimentation humaine.
  • Les effets secondaires et les décès dus au « vaccin » ne seraient-ils que les conséquences de l’empoisonnement aux nouveaux adjuvants et non au prétendu ARNm ?
  • Comment peut-on affirmer que l’on retrouve de la Spike vaccinale dans tel ou tel organe dès lors que l’on utilise le test PCR comme preuve de sa présence ?
  • Le « Covid », ainsi nommé, se contente de « tuer » des personnes en fin de vie, malades ou très âgées, mais épargne totalement les personnes jeunes en bonne santé. En revanche le « vaccin » tue des jeunes sans antécédents médicaux si l’on en croit les données officielles. De fait si la prétendue « Spike SARS-CoV-2 » était nocive, elle devrait tuer non seulement les « vaccinés », mais aussi les « malades du Covid ». Dans cette hypothèse, les jeunes en bonne santé devraient aussi mourir du Covid, ce qui n’est pas le cas. Deux hypothèses :
  • Je ne sais pas si le corps humain apprendra à se défendre contre ces nouveaux adjuvants, mais il est possible que leurs effets inédits aussi bien directs que sur l’infertilité ou les fausses couches soient le fruit de la première « rencontre » entre le poison et les humains. Il serait alors possible que le corps apprenne à se défendre contre ces nouveaux agresseurs.
  • Pourquoi ces questions relèvent du « complotisme » ou du « délire » et n’ont pas de réponses ?
  • Pourquoi n’y a-t-il pas débat ?
  • Pourquoi les spécialistes et scientifiques qui défendent d’autres thèses sont muselés et ne peuvent pas s’exprimer dans des médias mainstream ?

Pour résumer :

  • Pas de preuve de l’existence des virus, de la contagion et de leur dangerosité. On tombe malade par des empoisonnements et d’autres processus qu’il est interdit d’étudier depuis plus d’un siècle.
  • Qui dit « pas de virus » et donc « pas de contamination » dit bien évidemment, pas de « vaccins » possibles. Ni même de gestes barrière, de masques, de confinements, de tests PCR, de passe sanitaire, etc.
  • Toutes les grandes maladies de ce monde ont diminué avant le début de la commercialisation des « vaccins ».
  • Une industrie pharmaceutique, dont les bénéfices sont supérieurs à ceux de l’industrie pétrolière, construite sur un mensonge, une escroquerie.
  • L’affirmation de l’allopathie, de la maladie, du médicament pour combattre l’ennemi extérieur et la maladie ? Baliverne !
  • L’existence du « virus » permet d’entretenir la peur, l’existence de l’ennemi invisible et ainsi contrôler les masses par des mesures liberticides les plus délirantes.
  • Des facultés de médecine ou de pharmacie sponsorisées par l’industrie qui transmettent le mensonge génération après génération sans la moindre remise en question. Il n’y a pas que des corrompus, mais des répétants. Ceci relève uniquement de la foi, du dogme et non de la science.
  • La main mise de l’industrie dans toutes les sphères de pouvoir y compris à la tête de l’OMS. L’impossibilité pour un chercheur de faire la moindre étude sans financement de l’industrie. Il devient de fait impossible de tester l’efficacité d’une molécule ou d’un « vaccin ».
  • Un train fou lancé impossible à arrêter sans des conséquences apocalyptiques ! « Les gars, on se fout de votre gueule depuis plus d’un siècle. On vous a menti, trompé, injecté des substances toxiques inutiles et inefficaces. On a fait taire les voix discordantes. Le silence a été acheté. Tout ce que vous pensez sur la médecine est faux. Votre savoir repose sur un Pasteur qui aurait eu sa place en prison. Toute notre vie nous avons étudié des chimères. Oubliez tout, on recommence ! »
  • Une chasse aux sorcières qui balaye toutes les théories alternatives et les méthodes de soin naturelles.
  • Une classe politique stupide, naïve, complice et corrompue.
  • Des médias larbins, lâches, consensuels, mais aussi corrompus.

Bienvenue au 21e siècle !

Merci

Alain Tortosa5.
5 février 2023
Https://7milliards.fr/tortosa20230205-virus-decennies-escroquerie.pdf





Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021

Par Nicole Delépine

« Nous allons défaire le culte de l’idéologie du genre
et réaffirmer que Dieu a créé deux genres — appelés hommes et femmes »
— Président Donald J Trump

L’héritage laïque serait potentiellement LGBTQIphobe ? ce monde devient fou et on se demande jusqu’à quel point les dirigeants veulent détruire l’humanité, son histoire, ses liens avec son passé, etc. Suicide collectif, mais choisi par quelques-uns seulement, avec la volonté de l’imposer à des milliards d’individus…

Au lieu d’apprendre à lire, à compter et un minimum d’histoire et du monde, un peu de géographie et de botanique, etc., les enfants sont soumis à un matraquage sur des questions qu’ils ne se posent pas.

Qu’est — ce dont que ce « transactivisme républicain »1 que veut nous imposer le ministère de l’Éducation nationale (qui n’est plus et pour cause le ministère de l’INSTRUCTION nationale) et soutenu par le Conseil d’État qui depuis de nombreuses années ne fait que valider toutes les décisions gouvernementales. Pourquoi cette formation proposée aux enseignants, webinaire sur « la lutte contre les LGBTIphobies » où l’on apprend soudain que « l’héritage laïque » est « potentiellement LGBTIphobe ». Des formations sur la nécessaire autorité des enseignants ne seraient-elles pas plus utiles ?

La cancel culture [culture de l’annulation] veut nous imposer la suppression des statues de notre récit national, détruire des églises trop coûteuses, faire jouer Blanche Neige par une actrice d’origine africaine, etc.. Mais perturber le cerveau des petits dans leur plus jeune âge est le plus insupportable de cette mode qui finira par passer, mais après combien de dégâts ?

Les adultes devraient pouvoir se défendre, mais modeler des cerveaux en formation est une autre entreprise de démolition, de manipulation beaucoup plus perverse. Vers les années 2014, des polémiques sur la théorie du genre étaient apparues et la ministre de l’Époque Mme Najaud Belkacem avait affirmé qu’il n’en était rien et que ceux qui racontaient cela étaient… des complotistes. Malheureusement depuis l’arrivée de nouvelles équipes au pouvoir, une accélération rapide se fait jour depuis trois ans, profitant probablement de la sidération liée aux mesures coercitives de la mystification covid19 pour mettre en place l’opération.

Nous sommes bien obligés d’aborder le sujet, de nous opposer à la manipulation des petits enfants et des adolescents avant que les drames ne se multiplient2. D’après l’association Homosexualité et socialisme 67 % des trans de 16 à 26 ans ont « déjà pensé au suicide » et 34 % ont déjà fait « une ou des tentatives » et contrairement à ce que l’association pro LGBT prétend, ce ne sont pas les discriminations qui en constituent la cause principale, mais la déception qu’entraînent les traitements et mutilations qui ne leur ont apporté aucun soulagement. Or les nombreux opposants à cette « théorie » maintenant devenue « pratique » sont muselés3 et interdits d’antenne médiatique. Et pourtant ne serait-ce pas aux parents, familles de choisir « l’éducation » de leurs petits. Si nous laissons faire, combien d’années faudra-t-il avant que des pères se retrouvent en prison, comme au Canada ou aux USA précurseurs habituels de nos mœurs, pour avoir refusé la transition d’un enfant mineur4 ?

Comme pédiatre, nous avions appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe n’étaient pas à l’ordre du jour, environ entre trois et douze ans. Et voilà que selon le bon plaisir de quelques humains perturbés, il faudrait interférer dans cette période de construction silencieuse ?

L’activisme trans à l’éducation nationale

L’ancien Institut National de la Recherche Pédagogique, devenu Réseau Canopé, invitait récemment les écoliers à « déconstruire la parenté », tout en recherchant la signification des préfixes « hétéro », « homo », « trans », « cis », « inter » et « bi ». On s’étonne de la perte de repères de ces très jeunes adolescents devenus violents, mais on les a privé de père, en tous cas de père ayant conservé l’autorité, tant depuis des années on détruit la famille, le respect, l’autorité. De même l’enseignant est dépossédé de son droit d’autorité, et donc non respecté, ni écouté. Isolés dans leurs angoisses, nos enfants sont perdus et comme si cela ne suffisait pas il faudrait leur expliquer à l’école qu’ils ne sont finalement pas une fille, ou un garçon et que, comme a dit notre ancienne ministre de la Santé, le père peut très bien être la tante, etc.

Tant qu’on n’aura pas mis d’ordre dans les têtes des pseudoélites dirigeantes, la violence, le désespoir, les suicides ne pourront que se multiplier pour ces jeunes auxquels on refuse le b a ba des de l’éducation, de l’amour du père et de la mère, et qu’on tente de détruire ce que la famille ordinaire peut leur apporter.

Le délire woke à l’école

On apprend dans une circulaire du 29 septembre de 2021 du ministère de l’Éducation (au Bulletin officiel) intitulée « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire ».

Pourquoi n’en a-t-on pas parlé ? Le cinéma covid19 visait-il à dissimuler de nombreuses modifications capitales (chômage, retraites, immigration, eugénisme, etc.) pour notre pays dont celui-ci ? Cette circulaire qui s’impose aux enseignants s’attache presque exclusivement à la « transidentité », partant du postulat que « la transidentité est un fait qui concerne l’institution scolaire ».

Le plus extraordinaire dans cette circulaire est que « l’identité de genre s’établit par simple déclaration de l’élève ».

« La prise en considération de l’identité de genre revendiquée de la part d’un ou d’une élève ne doit pas être conditionnée à la production d’un certificat ou d’un diagnostic médical ou à l’obligation d’un rendez-vous avec un personnel de santé ».

Dès ce « coming out » (terme de la circulaire), « l’établissement scolaire doit être attentif à garantir les conditions d’une transition revendiquée — c’est-à-dire la possibilité d’être et de demeurer identifié et visible comme une personne transgenre ».

Le plus incroyable est la mise à l’écart des parents de mineurs :

« Les parents peuvent être tenus à l’écart : “une communication avec les représentants légaux ne doit se faire qu’avec l’accord explicite de l’élève.”

S’ils s’opposent à la transition, les parents récalcitrants font l’objet de discrètes menaces : “Dans les cas où le mineur apparaît en situation de danger dans son environnement familial ou de vie, il peut être décidé de rédiger et transmettre une information préoccupante à la cellule départementale de recueil des informations préoccupantes (Crip) ou de faire un signalement judiciaire auprès du parquet des mineurs”.

Pour accompagner ce changement, l’établissement scolaire substitue le prénom d’usage, de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.)”. Des professeurs qui usent du prénom d’état civil peuvent faire l’objet de rappels à l’ordre. Enfin, l’élève pourra faire convoquer ses parents s’ils s’opposent à ce changement de prénom ».

L’intimité et le problème des toilettes au choix de l’enfant : « l’établissement peut autoriser l’élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre », et « à occuper une chambre dans une partie de l’internat conforme à son identité de genre ». Il suffira ainsi qu’un garçon ou une fille déclare appartenir à l’autre sexe pour pouvoir être autorisé à en fréquenter les toilettes, les vestiaires et le dortoir au risque d’importuner leurs légitimes utilisateurs. C’est d’ailleurs parfois le cas dans les prisons françaises5 !

« Les choix relatifs aux toilettes, aux vestiaires et aux dortoirs doivent également, dans la mesure du possible, s’appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires ».

« Il appartient également aux personnels de l’éducation nationale de s’assurer que l’expression de genre des élèves n’est pas remise en cause ou moquée et que les choix liés à l’habillement et à l’apparence sont respectés ».

Évidemment toute mise en cause de cette circulaire et de ses conséquences potentiellement dramatiques est taxée de transphobie comme toute discussion sur la guerre en Ukraine de poutinisme, ou sur les injections, d’antivax. 50 ans après 1968, nous avons atteint l’antithèse d’« il est interdit d’interdire ».

Aujourd’hui et sous le joug des leaders de l’époque qui ne retrouvent plus la plage sous les pavés, il est interdit de penser, de s’exprimer si on n’accepte pas à 120 % l’idéologie au pouvoir, et sans discuter.

Et l’obsession de la transphobie conduit à la médicalisation de tout ! Une phobie est une affection psychique par nature irrépressible et aboutit à des gestes médicamenteux dangereux pour les enfants ou adolescents transformés en malades à vie, par les conséquences de la chirurgie lourde parfois à deux sens successifs (transition femme homme puis homme femme si déçue) et des traitements hormonaux qui ne sont pas sans risque.

On peut aussi être perturbé par les conseils du ministère d’inviter les militants associatifs LGBT+ dans les établissements, tout en interdisant aux opposants de s’exprimer y compris à l’université. Certains adolescents ont raconté leurs troubles après la visite d’un trans dans leur classe.

La validation par le Conseil d’État

Un parent d’élève qui opposait à la circulaire du Ministère de l’Éducation a référé au Conseil d’État la loi qui stipule « aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ». Par décision du mercredi 28 septembre 2022, le Conseil a refusé d’annuler la partie de la circulaire permettant aux élèves transgenres de porter à l’école le prénom de leur choix.

Le Conseil d’État estime en effet que l’usage d’un autre prénom par les élèves ne concernait que la « vie interne de l’établissement » et rappelle que seul le prénom inscrit à l’état civil reste utilisé pour les épreuves des diplômes nationaux.

L’enfant, juridiquement incapable, se voit doté du pouvoir de contraindre les adultes dès lors qu’il parle de genre.

Selon F Rastier (ibid 1) :

« la nomination reste un invariant anthropologique majeur, conférer à l’enfant le pouvoir d’effacer la trace de filiation conférée par ses parents et d’imposer un nouveau prénom fait de lui un self-made-man, concrétisation de l’individualisme absolu prôné par l’idéologie managériale. Le message est clair : le ressenti a force de loi ou plutôt transcende la loi ».

Cette volonté farouche de faciliter la vie d’enfants qui seraient trans sur leur simple propre déclaration forcément acceptée par l’entourage et les familles (sous peine de se voir poursuivis par les services sociaux) se développe à l’éducation nationale pour convaincre du « progressisme » de cette institution.

Mais vous remarquerez qu’il n’est jamais question du ressenti, du vécu, des traumatismes subis par les autres enfants qu’on n’a même plus le droit d’appeler « normaux » et qu’il faut nommer « cis » pour faire bien et se montrer politiquement correct.

Que pense le petit garçon dont le professeur homme le vendredi revient habillé en femme le lundi et qu’il doit lui dire « madame » au lieu de monsieur, sans broncher ? Ou quand c’est leur camarade Baptiste qu’ils vont devoir appeler Henriette le lundi, tout cela le plus « normalement du monde »6. En effet, ils vont rapidement comprendre qu’il est interdit d’avoir la moindre critique de cette nouvelle pensée, au risque de se faire rabrouer et traiter d’homophobe ou de transphobe. Les témoignages d’enfants troublés à la maison le soir sont nombreux et inquiétants et les atteintes psychologiques sont en forte hausse.

Pourquoi ce wokisme politique envahit-il notre vie quotidienne et celle de nos petits ?

Même la littérature enfantine catholique s’en fait la complice ! Cette pseudo-ouverture d’esprit tente d’imposer de nouvelles normes qui voudraient effacer la différence entre homme et femme, fait taire la grande majorité des enfants et adultes menacés de se faire traiter d’homophobes, d’« extrême droaate » et autres joyeusetés, et condamner les hésitants à choisir la cause « moderne ou progressiste » et se lancer dans une autoagression aux conséquences définitives par des opérations chirurgicales mutilantes, sorte de scarification XXL, et par des traitements hormonaux toxiques tant sur le plan psychologique que somatique avec son cortège d’effets secondaires connus (à court et moyen terme) et inconnus à long terme.

Entre autres exemples, les androgènes donnés il y a deux décennies pour stopper la croissance précoce d’enfants petits ont entraîné des cancers du foie. Nous y reviendrons dans un article plus détaillé tant les effets indésirables de la panoplie médicamenteuse honteusement prescrite à des enfants innocents et des parents soumis et terrorisés sont importants et cachés par les médecins complices de ce jeu de Satan. Pour qui se prennent-ils ? Le mythe de Faust est d’actualité…


1 Aspects du transactivisme républicain, du ministère de l’Éducation au Conseil d’ÉtatObservatoire du décolonialisme (decolonialisme.fr) par François Rastier, Directeur de recherche honoraire au CNRS, membre du Laboratoire d’analyse des idéologies contemporaines (LAIC).

2 Les suicides de ceux qui ont subi une « transition » sont beaucoup plus fréquents que dans la population habituelle, sans parler des souffrances de ceux qui ne sont pas passés à l’acte.

3 En quelques semaines, Caroline Éliacheff et Céline Masson ont été empêchées de présenter leur livre « La fabrique de l’enfant transgenre » à l’Université de Genève, à la rencontre Citéphilo de Lille, dans une salle municipale à Paris, dans une association à Lyon, au Café Laïque à Bruxelles, etc. (ibid 1)

4 Dans des pays qui judiciarisent la prétendue transphobie, des parents ont été condamnés pour « mégenrage », parfois à la prison (ainsi, un facteur de Vancouver s’est-il vu infliger six mois de détention, sur plainte de sa fille).

5 Sauf récemment en Écosse une femme transgenre emprisonnée pour viol d’autres femmes a finalement été incarcérée dans une prison pour homme.

6 Il ne faut pas le « mégenrer » !




« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




Éric Verhaeghe : « La caste nous réserve encore de terribles heures de cruauté »

[Source : Epoch Times France]

Ancien haut fonctionnaire, Éric Verhaeghe est désormais entrepreneur et essayiste. Il est notamment le fondateur du site Le Courrier des Stratèges et de l’association Rester Libre !.

Dans son dernier ouvrage, Sécession – Manuel d’auto-défense contre la caste (éditions Culture & Racines), il analyse les crises qui se sont succédé ces dernières années et la façon dont la sidération qu’elles provoquent constitue une opportunité pour l’État d’accroître son emprise sur la société et de faire évoluer le comportement des individus.

Il propose aussi à ses lecteurs des pistes pour faire « sécession » afin de préserver leurs « droits naturels » et d’échapper à la « démagogie, c’est-à-dire la corruption de la démocratie, ces moments où la majorité se transforme en force d’oppression contre les libertés et l’État de droit ».

Dans le cadre de son analyse, Éric Verhaeghe se montre très critique quant à la gestion de la crise sanitaire et au sort réservé aux Français non vaccinés : « J’en veux à cette caste de bourgeois parisiens prêts à tout sacrifier, y compris la santé mentale de leurs enfants et de leurs petits-enfants, pour défendre leur train de vie, leur confort, leur santé. Nous sommes dirigés par une caste d’égoïstes absolus prêts à fouler aux pieds tous les droits des autres pour défendre leurs privilèges. »

D’après lui, la crise sanitaire a également « donné aux pouvoirs policiers l’opportunité d’avancer grandement » et de diversifier « leurs projets de mise sous surveillance ».

« Sous couvert d’urgence sanitaire, une multitude de décrets qui organisent l’encadrement de la libre expression, la surveillance et la reprise en main des populations sont passés », note l’essayiste. « Toutes les données circulant sur les réseaux sociaux doivent faire l’objet d’une collecte et d’un traitement avec des algorithmes que personne ne connaît et qui permettent de surveiller l’activité des Français. […] En décembre 2021, le Conseil d’État a également validé des décrets autorisant le fichage systématique des opinions politiques, syndicales, religieuses, philosophiques de tous les citoyens du pays », ajoute-t-il.

Pour Éric Verhaeghe, le développement de ces dispositifs s’explique notamment par la crainte de troubles sociaux de grande ampleur : « La caste mondialisée a globalement décidé de mettre les populations sous surveillance, et même sous une surveillance en progrès constant, afin de maîtriser au mieux le risque de révolte et de remise en cause d’un ordre qui lui profite. »

Selon lui, les projets d’identité numérique et d’euro numérique de la Commission et de la Banque centrale européennes s’inscrivent dans ce cadre et pourraient ouvrir la voie à un crédit social inspiré du système totalitaire chinois : « Il y a aujourd’hui une fascination de la caste pour le totalitarisme communiste. Le grand rêve est d’instaurer dans le capitalisme de connivence dans lequel nous vivons les méthodes de domination communiste chinoise. »

Afin d’échapper à l’emprise croissante de l’État, Éric Verhaeghe préconise la sécession, une démarche collective qui promeut l’émergence de groupes locaux fondés sur la coopération et le partage des compétences et des savoirs.

« Il faut créer légalement, pacifiquement, une société alternative fondée sur nos valeurs de liberté. Il faut créer des groupes où les gens se connaissent, où ils montent des coopérations locales. Il faut qu’ils organisent leurs propres écoles, leurs centres de soins, leurs réseaux de médecins », fait valoir l’ancien haut fonctionnaire.

Une démarche qui revêt également une dimension plus profonde : « Nous assistons à notre effondrement spirituel. On ne sait plus si l’on est un homme ou une femme, on ne dit plus lui ou elle, on dit iel, tout cela est l’organisation de la décadence de l’esprit. Il n’y aura de liberté que dans le relèvement moral. »

  • 00:00 Introduction
  • 02:20 Qu’est-ce qui vous a décidé à dévoiler le drame personnel qui vous a frappé ? Quelle a été son influence sur votre perception de la crise sanitaire ?
  • 14:08 Quel est l’état d’esprit des grands commis de l’État ? Quelle est leur perception de la situation du pays et leur compréhension des difficultés des Français ?
  • 24:01 Qu’est-ce que « l’agenda du chaos » ? Les crises successives de ces dernières années participent-elles de cet agenda ?
  • 31:56 En quoi les pénuries alimentaires risquent-elles de se multiplier et de provoquer des situations de rationnement ?
  • 40:23 Peut-on parler d’une dérive autoritaire, voire d’une tentation totalitaire de la part de l’État français ?
  • 48:09 Doit-on s’inquiéter des assises des dérives sectaires et du complotisme prévues par le gouvernement ?
  • 53:02 En quoi la sécession est-elle une réponse pertinente pour surmonter les défis auxquels nous sommes confrontés ?
  • 57:53 En quoi la dimension spirituelle revêt-elle une importance particulière dans le cadre de la sécession ?



L’entrée en guerre sans le « dire »…

Par Lucien SA Oulahbib

Zelensky (n’)est (pas) une marionnette tirée à hue et à dia « en même temps » par la mafia du cru et la Secte SHAA. Noui. Certes au départ son clan à Istanbul s’était dit qu’ils avaient perdu, mais c’était sans compter l’aide, désintéressée, de la Secte qui a fait abattre le négociateur voulant signer. Puis, comme les milliards affluaient, après tout Courchevel et les Bahamas valaient bien l’euthanasie de cent quatre-vingt mille personnes (et dix millions en exil depuis longtemps d’ailleurs).

Dans les vapeurs opiacées sur canapé et piano sexué, mourir de rire fut choisi, mais sans le dire…

Sans le « dire » (sans le discours) de la Guerre. D’où les atermoiements savamment entretenus de la propagande US excluant l’envoi d’avions alors que sans eux la protection des chars deviendrait inopérante… Il faut donc faire semblant d’être « poussé » comme le disent si bien les médecins-maires-généraux de plateau : si l’on ne veut pas que Poutine vienne se baigner à La Lanterne à la place de Bri-Bri (à ne pas confondre, bien sûr, avec Brichel), « il faut envoyer les Rafales »

Pourquoi faire ? Les médias de grand chemin veulent quand même une justification à diffuser dans les chaumières chauffées à19°. La version officielle serait de défendre là-bas « les valeurs » dominantes incarnées de plus en plus par les queers insectivores ouvertes au « monde » (façon first fucking) dont l’action « civilisationnelle » s’allie certes à celle des djihadistes chics (députés aux US, lords à Londres), mais comme ils ne sont pas affiliés à la Fédération de Russie tout va bien puisqu’il s’agit surtout de détruire (démembrer) celle-ci (sans le dire encore une fois) afin de récupérer les matières premières et empêcher qu’un modèle « autre » émerge face au transhumanisme cyborg.

D’ailleurs un marchandage à haute intensité pourrait être effectué avec les maoïstes : vous lâchez Pou-Pou et vous prenez la Sibérie gorgée de gaz tout en la partageant avec le Japon. Les Mao hésitent parce qu’ils veulent d’abord dévorer Taïwan, héritière légitime de la République de 1911, et puis l’Inde, voire le ¨Pakistan, l’Iran. Laisseront-ils faire ce démembrement qui les encerclerait ?… Déjà les confettis turcophones ne sont pas d’accord, pas plus que la Turquie ce qui fait du poids dans la balance russe…

D’où se rabattre en attendant sur l’Europe : jamais deux sans trois, affaiblir durablement l’UE (développement durable) puis proposer un nouveau plan Marshall, un plan Biden (prononcez Biiden) ?…

Sauf qu’il ne faut pas « dire » (la Guerre), mais au contraire dire la Paix (celle de 1984) en avançant que c’est précisément parce que l’on veut défendre les « valeurs » (soit, rappelons-le, la paix queer insectivore anti-phobie anti-rassuriste et anti-complotiste) qu’il faut instruire les combattants anti-Poutine, et, pour le faire, il faut (sollen) bien envoyer des enseignants (en surplus) par exemple des Mozart, non plus seulement de la finance, mais de la grosse gâchette…

Voilà voilà… (Et si « vous avez compris ce que je viens de vous dire, c’est que je me suis probablement mal exprimé »…)




Pardonne-moi Francis

Lettre ouverte à tous les Francis
qui luttent pour les libertés

Par Alain Tortosa

Oui pardonne-moi mon impuissance !
Nous ne nous connaissons pas, en tous les cas pas intimement, et pour autant j’ai la prétention de ressentir une partie de ta souffrance.

Douleur que tu n’exprimes pas toujours avec des mots quand ton corps semble parler, voire même hurler, à ta place.
Alors oui nous ne sommes pas (encore ?) amis, mais c’est pourtant en cette qualité que je m’exprime.

Pourquoi toi ?
Pourquoi t’ai-je « choisi » comme « cible » alors que nous sommes si nombreux, nous les résistants, à être en souffrance en ces temps difficiles ?

Je ne saurais l’expliquer, mais ce n’est pas la première fois que ce besoin s’exprime en moi.
Nous nous étions croisés une première fois à Avignon lors d’une rencontre organisée par Carlo.
J’avais ressenti au lendemain le besoin de t’écrire une lettre ouverte pour te dire :

« Tu n’es pas seul ! ».

Pudeur, peur du jugement, manque de confiance en moi ?
Toujours est-il que je n’avais couché que quelques mots avant de les laisser se perdre…

En te voyant vendredi, en te regardant devrais-je dire, j’ai à nouveau ressenti dans mon cœur, dans mes tripes, le poids du monde que tu sembles porter bien seul.

Mais Francis garde encore son panache !
Quand une connaissance te demande si tu vas bien, tu te plies aux conventions sociales.
Tu réponds un « oui » de façade, comme je le fais aussi, et autrui se sent soit rassuré, soit fait semblant d’y croire par pudeur ou sentiment d’impuissance.

Je ne me l’explique pas, personne me m’y oblige et pourtant je porte trop souvent le poids de cette humanité en détresse.
Tant de souffrances, d’injustices, de divisions où l’indifférence est reine et la solidarité l’exception.

Difficile d’être debout, droit et optimiste en voyant les ténèbres de ce monde.
Une civilisation qui peut imprimer des milliers de milliards d’euros lors d’une plandémie afin d’acheter le silence du peuple.
Et dans le même temps, constater que les « grands » de ce monde n’arrivent pas à trouver 30 milliards par an pour mettre fin définitivement à la famine dans le monde.

Le « n’arrivent pas » étant un synonyme « ne veulent pas » ou plutôt de « préfèrent ne pas ».
Une planète sur laquelle il est totalement légal et moralement acceptable de spéculer sur une future famine.

Mon déplacement à Paris m’a encore renvoyé en pleine gueule la laideur de ce monde.
Quelle violence de passer d’une bouche de métro avec des SDF qui ne possèdent rien à la rue du Faubourg Saint-Honoré qui m’inspire un zoo pour nantis et me donne envie de vomir.
Comme quoi le zoo de Vincennes n’est pas là où l’on pourrait le croire.

Des boutiques qui présentent des habits dont des pulls, particulièrement laids, à plus de 10 000 euros, représentent le summum de l’indécence et de la folie des hommes.

Le laid et la folie ne touchent pas que les nantis.
Que dire de pantalons vendus usés, déchirés, délavés aux produits chimiques toxiques par des enfants dans les usines bidonvilles de pays pauvres.
Quel est le regard de ces esclaves sur les dégénérés que nous sommes devenus ?

Mais ne vous méprenez pas.
Le pire n’est pas que ces personnes aient perdu tout sens du vivant, du merveilleux, de la nature et dont le sentiment d’existence se résume à dépenser pour dépenser des habits hors de prix, vêtements qu’ils ne porteront peut-être jamais…

Non, l’insondable est que notre société accepte des hommes, femmes et même enfants dormant dans les rues en hiver.
Les associations et bénévoles généreux qui cherchent à aider ces malheureux permettent paradoxalement à l’État de se dédouaner et se défausser sur eux alors que cela relève de son entière responsabilité.

Je ne parle ici que de la misère visible, mais que dire des milliards d’esclaves dont la sueur et le sang permettent notre confort matériel d’Occidentaux.
Le Grand Reset semble avoir trouvé la solution en voulant aussi faire de nous des habitants du tiers-monde.

LA question centrale est :

Comment pouvons-nous vivre dans un tel monde ?

Les fourmis que nous sommes sont impuissantes tant qu’elles n’œuvrent pas ensemble à la destitution de la reine !

S’autoflageller n’apporte pas de réconfort à celui qui souffre.
Ce n’est pas en brisant mes membres que je pourrais rendre le sourire à un enfant qui a perdu les siens sur une mine antipersonnel.
Mines qui permettent l’enrichissement de pourritures qui volent légalement des milliards sur la souffrance de leurs frères humains.
Mines probablement fabriquées par d’autres enfants dans des usines prison.

Vous pourriez vous dire en cet instant que j’ai oublié le sujet de mon texte, quid de Francis ?
Je suis peut-être dans l’affabulation, dans le délire, mais j’ai pourtant le sentiment de n’avoir jamais dévié de mon propos.
Puisses-tu me pardonner si je suis en dehors de toute réalité.

Je voulais réagir à ta vibrante intervention lors de « la journée des libertés » organisée par Carlo1

Tu nous dis croiser régulièrement des inconnus qui te remercient chaleureusement pour ton implication dans la défense des droits de l’homme, des libertés et de la démocratie.
Élan d’amour qui pour autant semble aussi te blesser.

Je ne peux croire que cet amour spontané et gratuit ne te réchauffe le cœur.
Pour autant j’ai entendu ta détresse impliquant le fait que les résistants ont aussi, voire même surtout besoin d’aide concrète.
L’amour ne se dit pas uniquement avec des mots, mais avec des actes, vérité qu’il est toujours bon de répéter.

Il est facile de critiquer, il est facile de dénigrer, il est facile de crier au loup, il est facile de faire sa vierge effarouchée… facile, mais pas forcément moral si l’on demeure un simple spectateur.

Les résistants qui n’ont pas une fortune personnelle, un patrimoine ou une famille pouvant subvenir à leurs besoins fondamentaux ont une nécessité réelle, voire même vitale, d’argent pour, ne serait-ce que survivre, manger et pouvoir continuer la lutte.
Quel fut l’esprit du résistant, il n’en demeure pas moins avoir un corps.

Ce n’est pas charité que de les aider matériellement en fonction de ses capacités.

Dans un monde juste, chacun aurait accès à un toit, à l’eau, à l’électricité et j’en passe…
Nous nous devons de pallier les carences et l’ignominie de nos dirigeants.
Je pense ici aux personnels suspendus sans salaire ni indemnité dont le seul objet de la sanction était de les détruire psychiquement et matériellement afin de prévenir toutes vocations.

Je pense que tu fais partie de ceux qui n’ont écouté que leur cœur, leurs valeurs, en risquant tout.
Et cela ne date pas d’hier avec ton implication dans le mouvement des Gilets Jaunes, les « sans-dent » comme disait Hollande.

De toute évidence tu en payes le prix aujourd’hui et je pourrais dire que le montant de la facture est indécent.
Au-delà de ces réalités matérielles factuelles, je ne peux pas croire que le manque de ressources soit aujourd’hui ce qui te pèse le plus.

Je ne suis pas stupide, encore que, au point de penser que ce fait serait anecdotique.

Oui, il faut aider matériellement et financièrement
en fonction de nos ressources les résistants
qui ont des difficultés financières du fait de la dictature !

Cela ne se discute pas, quand bien même l’on n’épouserait pas l’intégralité de leurs idées.

Je pourrais même ajouter que les soutenir relève d’un devoir égoïste, si, si…
Comprenez qu’il est impossible de mettre son énergie pour remplir son frigo tout en mettant une énergie équivalente au service de la cause.

Donnons, donnons, donnons égoïstement pour notre liberté !

Cette parenthèse étant refermée, il m’est possible de revenir à mon ressenti.

J’ai la croyance que la croix que tu portes n’est pas uniquement le fruit de difficultés financières et encore moins du manque d’implication des inconnus éveillés que nous sommes.

Ce n’est pas à toi, l’humaniste, que je vais rappeler cette vérité.

La dignité de l’homme ne se mesure pas à son compte en banque !

Je pourrais même affirmer que c’est plutôt le contraire, quand bien même il existe des exceptions.

L’homme qui n’a rien, qui vit dans la rue, a plus de dignité que l’occupant de l’Élysée.

Riche ou pauvre, tu resteras un grand homme, un fou admirable et respectable.

Je me répète, mais je ne peux croire que ton épuisement, ton abattement, la tristesse visible au fond de tes yeux, ne soit que le reflet de ces difficultés financières.
Si honte il y a, celle-ci repose sur tous les responsables de ta situation, et certainement pas sur toi et la sincérité de ton action totalement désintéressée.

Alors oui, je te sens profondément blessé, meurtri et épuisé…

J’imagine que tu n’es pas né de la dernière pluie, que tu as une idée assez précise de la nature humaine.

Et pourtant…

Malgré les épreuves que tu as eu à endurer durant ta vie, malgré tes expériences, je crois qu’ils ont encore réussi à te blesser.

Il faut dire que ces dernières années ont été riches d’enculés, mais aussi de moutons dociles.

Et ce sans parler des collabos qui n’ont pas le panache des dictateurs.

Pourtant derrière cet écrasement, l’extraordinaire tribun est encore présent.

Tu as encore une puissance inouïe pour mener l’estocade, un panache chevaleresque.

Mais je ressens aussi que tu puises l’énergie dans tes dernières ressources tel un taureau fier se relevant une dernière fois avant la mise à mort.

Oui j’envie le sort du taureau mourant dans une arène après une lutte épique, une mort digne, debout, à la lumière.
En rien comparable à l’égorgement d’une vache encore consciente dans un abattoir sombre, empli d’effluves de sang et de cris d’effroi.

Tu n’es pas homme à mourir sans lutter jusqu’à ton dernier souffle.
C’est peut-être un des éléments, cette fougue, cette passion, cet engagement, cette sincérité non calculée, quasi viscérale qui fait que nul n’est indifférent à ta présence.

L’évocation de ton nom, chez « les gens bien », est au mieux synonyme de ricanements et au pire d’un profond mépris, voire d’une haine.
Certains te détestent ainsi viscéralement tandis que d’autres t’adorent.
J’imagine que tu ne recherches ni l’un… ni l’autre…

Ce que je connais de l’homme m’empêche bien entendu de te haïr.
Comment ne pas respecter ton action, ta droiture et ton absence de compromis contre nature ?

Mais je ne suis pas non plus du genre à aduler des humains et encore moins moi-même.

Les zombies que la société a modelés se contentent de faire quelques pas de côté lorsqu’une personne s’effondre à la sortie du métro suite à une myocardite vaccinale.
C’est tout juste s’ils la voient.

En revanche, j’ai l’intime conviction que si c’était toi qui t’effondrais, certaines personnes n’hésiteraient pas à t’insulter, tandis que d’autres te donneraient des coups de pied dans le ventre et dans la gueule avec satisfaction.
Sans doute la rançon de l’absence de faux semblants.

Mais si ton abattement n’est pas uniquement forgé d’un manque de ressources ou de soutien concret de la part des résistants, qu’en est-il ?

Le proverbe qui dit que « l’on est jamais trahi que par les siens » est sans doute le plus révélateur.

Force est de constater que les « artistes », je me dois de mettre ce mot entre guillemets, ont totalement disparu durant la crise sanitaire et qu’ils n’ont pas pointé le bout de leur nez pour le conflit en Ukraine.
Cette profession, car il ne s’agit plus que d’individus qui pensent à leur carrière, leur notoriété et à l’argent, a disparu du paysage… Envolée.

J’ai été éduqué et baigné dans l’idée que les artistes étaient là pour défendre la liberté d’expression, les libertés, le pluralisme, la démocratie, les droits de l’homme, la paix, l’amour et j’en passe.

Les avez-vous entendus durant la dictature Covid ?

À part quelques-uns qui ont osé relever la tête pour la rebaisser aussitôt et se prostituer, ils se comptent sur le doigt d’une main.

En fait ce que je dis est faux, ils ont été des milliers et sont encore des milliers à être de vulgaires collabos.
À s’insurger contre celles et ceux qui ne portent pas le masque.
À exiger que les non-vaccinés perdent leur statut de citoyen, leur travail ou leurs droits.
À voir en ceux qui refusent une troisième guerre mondiale et critiquent le clown corrompu Zelenski, des traîtres pro-Poutine.
Mais comment peuvent-ils encore se regarder dans un miroir tant ils sont sales et à vomir ?
Qu’ils ne s’étonnent pas de voir que les Français boycottent les salles de cinéma.

Et je ne parle pas du journalisme dont l’encéphalogramme est totalement plat.
Ils auraient dû être tous dans la rue lorsque le média RT a été censuré, que ceux-ci partagent la ligne éditoriale ou pas.

J’en reviens donc tout naturellement à toi Francis.

Ils ont osé !
Oui les « artistes » ont tout osé te concernant !

Ton abattement est probablement proportionnel à l’illusion que tu te faisais de la profession et de personnes que tu pensais être des « amis ».

Car même si cette crise nous a permis de rencontrer des personnes formidables avec qui nous partageons tant, notre cœur est meurtri d’avoir perdu des êtres chers pour lesquelles notre simple existence est devenue insupportable.

Au lieu d’être à tes côtés, au lieu de te soutenir, au lieu de lancer des campagnes médiatiques pour te défendre toi et la liberté d’expression…
Ces personnes du monde artistique ont fait quoi ?

Des campagnes de presse et des pétitions pour réclamer plus de dictature !

Un à un, ils t’ont tourné le dos au point qu’il t’est désormais impossible d’avoir aujourd’hui une salle, une campagne de promotion, ou le droit de parole dans un média mainstream.
Tu as été rayé du paysage médiatique hormis pour te salir, tu n’existes plus !

Nous pourrions faire le parallèle entre les « médecins » et les « artistes ».

La souffrance des soignants suspendus, qui sont restés dignes, qui défendent encore et toujours le secret médical et leur serment d’Hippocrate ont subi le même sort.
La grande « famille », la « confraternité » a fondu comme neige au soleil.
Du jour au lendemain les soignants qui n’ont pas courbé l’échine sont devenus des parias, des personnes non fréquentables, et même des complotistes à abattre !

Encore aujourd’hui, voyez-vous les personnels injectés, y compris les lâches qui ont fait de faux passes, réclamer le retour des suspendus ?

Quelle dignité reste-t-il à ces êtres pitoyables qui pleurent le manque de personnels dans les médias et qui n’ouvrent pas leur gueule pour dire que leurs camarades, suspendus sans salaire depuis 500 jours, leurs amis de 30 ans pourraient venir les aider dans l’heure qui suit ?

Triste planète s’il en est, de tous ces collabos de l’ombre.
La situation est bien entendu identique dans les autres professions ayant subi l’obligation expérimentale… Pompiers, gendarmes, etc.

Mais toi Francis, tu sembles un cas encore plus « particulier » !

La question que l’on pourrait se poser est :

« Pourquoi tant de haine à ton encontre ? »

Pourquoi le monde médiatique, qui n’a plus rien d’artistique, ne se borne pas à l’indifférence, s’ils n’adhèrent pas à tes idéaux ?

Pour la simple raison que tu es leur Jiminy Cricket, le miroir de leur noirceur !

Oui toi Francis, tu leur renvoies violemment en pleine gueule leur connerie, leur lâcheté, leur couardise, leur renoncement, leur collaboration et j’en passe…

Tu leur interdis d’enterrer au plus profond la noirceur de leur être.

Tu es un phare ancré solidement dans la Terre qui les éblouit alors qu’ils ne sont que ténèbres.
Tu les empêches de ne pas voir et de faire semblant.

En te voyant toi, si lumineux, si honnête, si intègre, et pourquoi pas, si con… la frontière entre le héros et le con est souvent bien mince… mais toi au moins tu gardes une dignité qui est un lointain souvenir les concernant.
En te voyant toi, ils se prennent en pleine gueule la noirceur de leur âme.
En te voyant toi, ils ne peuvent oublier.

Te faire taire, t’écraser devient banalement humain.
Ta simple existence constitue une violente agression à laquelle ils répondent par une violence encore plus forte n’ayant aucun argument à te renvoyer.

La Vérité fait mal.

Ah quel « panache » de te traiter de fou, d’illuminé, de malade mental, de complotiste, d’extrême droite, voire d’antisémite et j’en passe !
Cela mesure à quel point ils ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, un vague souvenir qui se dissout dans la brume.

Au contraire de t’écraser, j’aimerais que tu prennes cette bêtise, cette lâcheté, cette méchanceté, cette haine, comme on reçoit une vraie Légion d’honneur.

Légion d’honneur officielle qui récompense aujourd’hui le crétin, le menteur, le voleur, le violeur, le pédophile ou le collabo !

Pour autant j’ai l’impression que le phare Francis perd peu à peu de sa vigueur et j’ai peur qu’il ne s’éteigne définitivement et se transforme en souvenir… une simple ligne dans les livres d’histoire.

Lorsque je t’observe, j’ai mal, je ressens et je porte ta souffrance.
Ridicule me diras-tu, car cela ne soulage en rien la tienne.

Mais soyons logiques, comment pourrais-je te donner ce que je cherche pour moi ?

Il est des humains qui ont le choix, mais tel n’est pas notre cas, le cas de ceux qui résistent à l’oppression.
Juste, injuste, qu’importe, c’est un fait.
Nous sommes chacun, en fonction de nos possibilités, un rempart, une brique, une feuille de papier qui est là pour dire « non » et porter la parole de celles et ceux qui n’ont pas la capacité de se défendre.

Nous avons le devoir, que dis-je, l’obligation, de rester et ce quelque soit la souffrance.
Nous, résistants de fer ou de paille (comme moi) sommes les derniers remparts face à la Bête.

Notre renoncement serait leur faire un cadeau.
Notre renoncement serait une invitation à poursuivre encore plus dans l’immonde.
Notre renoncement serait leur victoire.
Notre renoncement serait la fin de l’humanité.

Je ne suis pas Charlie, la parodie ridicule de bons sentiments hypocrites, mais en revanche je peux affirmer :

« Je suis Francis ! ».

Merci
Alain Tortosa2
30 janvier 2023 https://7milliards.fr/tortosa20230130-francis-lalanne-resistons.pdf

1 Président de Réaction 19 https://reaction19.fr

2Telegram https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o




Corruption des élites : la guerre des mondialistes

[Source : Chaîne officielle TVL]

C’est une guerre hors limite ! Une guerre par infiltration plutôt que par invasion, une guerre révélée par les événements en Ukraine : la subversion de nos institutions par les élites mondialistes se déploie dans tous les domaines. Leur objectif consiste à établir une gouvernance mondiale de nature religieuse, totalitaire et technocratique, fondée sur les ruines des nations et des peuples. Pour y parvenir, la manipulation mentale et des techniques d’ingénierie sociale neutralisent toute volonté de résistance. Mais pour l’analyste économique, Stanislas Berton, le règne des mondialistes touche à sa fin. Une théorie qu’il développe dans son dernier ouvrage : « L’Homme et la Cité » tome III. Pour éviter leur victoire, il invite les Français à la prise de conscience des réalités et cela commence par ouvrir les yeux ! Comme le disait Georges Bernanos :

« Les Français ne peuvent pas être sauvés, car ils passent leur temps à se mentir à eux-mêmes ».

[Voir aussi :
Un choix déterminant
Humanisme Nouvel-Âge vs Christianisme
Une emprise sur l’Humanité
Réenchanter le monde
France, relève-toi !
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave
La fin de la mondialisation
Manifeste pour un nouveau monde]




Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques

[Source : stopworldcontrol.com via Ciel Voilé]

Les Nations unies déploient actuellement l’Agenda 2030, avec les fameux « objectifs de durabilité ». Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Călin Georgescu décrit le processus d’infiltration et de prise de contrôle mondial des Nations unies par les oligarques, notamment Klaus Schwab et le Forum économique mondial (WEF).



[Clin d’œil de Joseph : Conakry en Guinée est son lieu de naissance.]




La ministre des Affaires étrangères allemande avoue que l’OTAN est en guerre contre la Russie

[Source : lemediaen442.fr]

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré ouvertement que les États-Unis et l’OTAN « mènent une guerre contre la Russie », suscitant de vives réactions.

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat lors de son discours d’ouverture mardi à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg, en France, concernant le conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine. « Nous menons une guerre contre la Russie et non les uns contre les autres. », a-t-elle déclaré.


Incompétence, folie pure, déclaration de guerre ? Ces déclarations interviennent dans un contexte où l’Allemagne et les États-Unis fournissent des armements lourds à l’Ukraine, ce qui pourrait être considéré comme une provocation pour la Russie et entraîner une escalade de la situation. Quand la plus haute diplomate allemande, Annalena Baerbock, déclare que l’Union européenne « mène une guerre contre la Russie », il est probable que le Kremlin prenne cela très au sérieux et réagisse en mettant en alerte son pays et son armée.

Comme on peut s’y attendre, ces déclarations de guerre ont suscité de vives réactions, dont celle du journaliste russe Vladimir Soloviev, sur la chaîne de télévision d’État Rossiya 1, qui a qualifié les dirigeants allemands de « nazis », les Européens de « pharisiens » ainsi que de « salauds de nazis » et d’ajouter :

« Boris Pistorius [NDLR, le ministre allemand de la Défense] restera dans l’histoire comme un imbécile qui a fait de l’Allemagne un lieu de destruction. Il en va de même, d’ailleurs, pour Olaf Scholz [NDLR,le chancelier allemand] et Annalena Baerbock [NDLR, la ministre allemande des Affaires étrangères].Le peuple allemand saura quel genre de dirigeants nazis il a mis au pouvoir ».

De son côté, le politologue Yevgeny Satanovsky a déclaré :

« Des chars allemands avec des croix sur leur blindage vont à nouveau traverser l’Ukraine en attaquant des soldats russes. Cela me rappelle quelque chose : l’Union soviétique a déjà bombardé Berlin en 1941. Et pour moi, c’est un signal que le Reichstag, ou le Bundestag — qui remplace désormais le Reichstag — ne devrait tout simplement plus exister. Démolissons-le, transformons-le en terrain légèrement radioactif. »

Au lieu de chercher à désamorcer la tension, la ministre allemande, Annalena Baerbock, a commis une erreur grave en annonçant ouvertement que les États-Unis et l’OTAN la suivent dans cette guerre contre la Russie :

« Dans cette ère marquée par la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine, nous ne pouvons plus considérer comme acquis les progrès de la liberté et des droits de l’homme en Europe. Si nous voulons montrer que malgré la répression et la guerre, la force de la démocratie et l’âme de l’Europe restent intactes sur notre continent, nous devons nous lever et nous battre pour elles ».

Sur Twitter, les internautes dénoncent les déclarations irresponsables de la ministre allemande qui, selon eux, ne correspondent pas à son rôle officiel et mettent en péril la sécurité mondiale en risquant de déclencher une guerre nucléaire.

Au kremlin, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Zakharova, a déclaré que l’Europe avait comploté une guerre contre Moscou. Son commentaire porte sur l’aveu de la plus haute diplomate allemande, Annalena Baerbock, qui a déclaré que l’UE « menait une guerre contre la Russie ».

Espérons que la diplomatie russe soit d’un niveau supérieur que l’Allemagne.




Lien entre 5G et Covid-19

[Source : @Roms17]

[NDLR À un moment, il apparaît « bouse de taureau » dans la transcription en français, mais il s’agit d’une traduction littérale de « bull dung » synonyme de « bullshit » et qui signifie dans le contexte plutôt « connerie ».]

[Note de Joseph : dans la vidéo suivante est évoqué le caractère éventuellement choquant que la 5G puisse induire des virus comme réponse cellulaire. Cependant, Stefan Lanka a pu scientifiquement démontrer que les « virus » sont en réalité des composants cellulaires par ailleurs connus (isolés et caractérisés) produits par des cellules agressées (et elles peuvent l’être par des ondes pulsées telles que la 5 G, la 4 G ou le Wi-Fi), alors que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a pu être réellement isolé et caractérisé à partir de tissus biologiques soi-disant infectés.
Voir au moins :
À quel point les virus sont-ils morts ? dans le dossier Vaccins et virus.
Et pour ce qui concerne la 5G comme cause possible et probable de la 5G :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G dans le dossier 5G et ondes pulsées.]






Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]




Nous devons continuer à diffuser la vérité

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« Il ne suffit pas d’inscrire des droits dans une Constitution, 
Il faut que le Peuple éduqué puisse les lire, 
Les comprendre et les défendre. »

« En face », ils nous disent quoi penser, quoi dire.  « Eux », ils savent. 
« Eux », ils ont compris et nous expliquent ce qu’il faut penser et faire, et c‘est ainsi. Pas autrement.

Ils emploient les grands moyens, émissions télévisées remplies d’experts bardés de titres, articles dans la presse écrite « sérieuse », synthèses par des instituts officiels aux noms et acronymes très professionnels. Les experts en question sont souvent bien habillés, ils ont des qualifications indiscutables sur le papier, ils parlent bien et les journalistes ou animateurs sont très gentils avec eux, boivent leurs paroles, et l’ensemble dégage une connivence, une évidence qui rend le message comme allant de soi.

  1. La vaccination ne se discute pas(([1] « La vaccination, cela ne se discute pas » estime Touraine | egora.fr)), elle a sauvé l’humanité(([2] Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’Humanité ? (collectif-federateur.org) )), c’est la seule vraie solution face aux épidémies.
  2. Le climat, c’est un réchauffement et il est dû principalement au CO2 humain.
  3. L’Ukraine, c’est à cause d’un méchant dictateur sadique et fou qui défie le monde ou exploite son peuple (toujours la même excuse, de Cuba, du Venezuela, d’Irak, à l’Afghanistan, en passant par la Lybie, le Mali, le Yémen, la Syrie… c’est à chaque fois cette même histoire, un méchant dictateur sanguinaire fou qui veut détruire son peuple ou l’humanité, Castro, Chavez, Hussein, les talibans, Kadhafi, el-Assad…)

Ce sont les trois derniers dogmes en date.

Si nous émettons un avis contraire, ou nuancé(([3] Nous avons été fact checkés ! | Science, climat et énergie (science-climat-energie.be) )), alors ils font semblant de ne pas l’entendre. Si nous insistons, surtout si nous sommes légitimes, alors ils nous traitent de tous ces termes peu flatteurs, disqualifiant :  complotiste, négationniste, sceptique, rassuriste, stupide, fou, incompétent, charlatan, antivax, antisémite, raciste…

« Ne pensez pas, nous pensons pour vous », voilà ce qu’ils prônent en face et ma foi, ils sont convaincants, ils ont les moyens médiatiques et institutionnels avec eux. Premièrement, cela démontre ce que nous savions déjà : l’être humain, depuis qu’il est tout petit, depuis la nuit des temps, adore les histoires. Si celles-ci sont simples, avec un gentil et un méchant, un gentil très gentil et un méchant très laid et très méchant, c’est encore mieux. Si elles ont des solutions toutes faites qui dépendent des autres, alors là, beaucoup d’êtres humains sont aux anges. Ils peuvent vaquer à leurs occupations quotidiennes en se disant que d’autres s’occupent de tout et surtout, que ces « experts » ont une solution toute faite et indiscutable.

Pratique, un dogme, il faut bien l’avouer. Pas besoin d’agir ni même de réfléchir. Malheureusement, un dogme n’a rien à voir avec la vérité, il n’a même rien à voir avec la réalité. Je sais que d’aucuns arrivent à vous dire que la réalité n’existe pas.(([4] La réalité n’existe pas | larecherche.fr)) Ça, c’est fort et pourtant, c’est ainsi, des personnes tentent de vous en convaincre et beaucoup de gens s’y laissent prendre. Pourtant, si je vous brûle le bras, je vous assure que la douleur et la blessure vous convaincront que la réalité (la chaleur dans ce cas) existe.

Ne pas confondre « perception de la réalité », et « la réalité elle-même ».
Idem pour la vérité.  Ou pour le bien et le mal.  Il y a le bien, qui ne veut pas dire perfection, et le mal.  Souvent, on discerne le bien du mal non pas au niveau cérébral, mais au niveau des tripes, du cœur et de sa peau. Le mal c’est par exemple torturer les animaux, maltraiter tout être vivant. Là où cela devient plus subtil, plus insidieux, c’est quand on a compris que le mal, c’est aussi laisser faire, laisser d’autres gens torturer les animaux, ou maltraiter un être vivant, sans rien dire, rien faire contre cela.

[Note de Joseph : la vérité peut se définir comme la traduction, l’interprétation ou la (re)présentation la plus fidèle possible de la réalité. Le problème est que cette transcription par un être humain dépend de la perception qu’il a de la réalité, perception qui dépend notamment de sens limités.
Voir aussi :
Pensée multiple
La fabrication des perceptions
Prise de conscience et autisme
Note sur le mental et l’astral
La vue, la vision et la vie
Note sur la vision
Note sur la lecture des événements]

En sachant combien la plupart des animaux sont maltraités et c’est un euphémisme, continuer à en consommer fait de nous de facto des complices de cette maltraitance mondiale. À ce moment très inconfortable sur les plans intellectuel et émotionnel, l’être humain va user d’artifices pour se trouver des circonstances atténuantes, détourner le propos, noyer le poisson, c’est le cas de le dire. Alors commencent les petits arrangements avec le mal, ces concessions qui laissent à penser que le mal, c’est relatif.
Non. Le mal est le mal. Le bien est le bien. Pour ma part, je ne tente pas de devenir végétarien que pour l’environnement ou la santé. Je le tente pour la seule raison qui se suffit à elle-même, sans avoir besoin d’aucune autre, pour cesser d’être complice d’un plus grand mal. 

Revenons à la vérité, dont le dogme est le pire ennemi. Autrement dit, la vérité est la pire ennemie du dogme. C’est la raison principale pour laquelle les dissidents actuels sont autant diabolisés, discrédités, censurés, chassés par un système qui a un besoin vital de dogmes pour se perpétuer. Plus les dogmes sont rigides, intraitables, plus la violence envers toute dissidence est forte et brutale. C’est la raison pour laquelle nous, les véritables lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à éduquer de manière pédagogique et à diffuser la vérité.

Je parle de la vérité, à ne pas confondre avec la connaissance qui évolue sans cesse, beaucoup font cette confusion. Il n’y a d’ailleurs pas de vérité scientifique, c’est une impossibilité. Il n’y a pas de vérité économique, géopolitique, etc. Il y a des connaissances dans tous ces domaines, et celles-ci changent, évoluent en fonction du temps, des découvertes, du contexte, des actions et réactions des uns et des autres. Un exemple parmi les plus connus est d’avoir cru un moment que la Terre était le centre de l’Univers. Aujourd’hui, on sait que la Terre est une planète parmi d’autres et qu’elle tourne autour du soleil. Cette connaissance a évolué pour se conformer à la réalité.

La vérité, par contre, c’est la vérité. Soit vous avez trompé votre femme, soit vous ne l’avez pas trompée. Soit vous étiez à cet endroit à cette heure-là, soit vous n’y étiez pas. Vous ne pouvez pas être « à moitié » quelque part, vous ne pouvez pas avoir trompé votre femme « au quart ». Et cette vérité-là ne changera pas, ni deux jours après, ni mille ans après.

C’est là que les problèmes commencent : quand on confond, sans le vouloir ou intentionnellement, vérité et connaissance. La vérité est une et permanente. La connaissance est évolutive et plurielle. Dire que les vaccins ont sauvé l’humanité, ou qu’ils sont la meilleure arme contre les épidémies, c’est une connaissance qui évoluera en se confrontant aux faits. Elle doit être constamment vérifiée, comme toute autre connaissance scientifique du moment.

Dans le cas précis de la vaccination contre le covid, tout est parti d’une supposition puisque on a commencé cette vaccination mondiale alors que toutes les études n’étaient pas encore terminées. Le problème majeur est d’avoir présenté au public profane cette connaissance-hypothèse comme une vérité à ne plus discuter.

C’est ce que tentent toujours de faire pas mal d’experts assermentés, adoubés par le Système, comme ce docteur Nicolas Dauby(([5] BAM! News – Un expert indépendant ?)), un prototype de ce que j’entends par expert bardé de titres et coiffé d’une aura indiscutable, incontournable. Je vous encourage vraiment à lire toute la référence 5, un symbole de tout ce qui ne va pas dans ce monde opaque de l’expertise dépendante des lobbys.

Il y a des dizaines et des dizaines de « Nicolas Dauby » dans le monde entier. Un peu comme Anthony Fauci aux États-Unis ou Neil Ferguson en Grande-Bretagne. Peu importe que les prédictions et décisions de ces personnes se soient révélées fausses, mauvaises, influencées, ils conservent leur aura d’expert indiscutable, incontestable. Cela ne peut se faire qu’avec le concours des médias principaux, ceux qui ont accès au plus large public profane.

Ces médias sont l’équivalent moderne des prêtres et docteurs de la loi d’antan, l’intermédiaire indispensable entre le public profane et les pouvoirs, avec leurs « débats » convenus d’avance et leurs fact-checkeurs (« vérificateurs » de faits) anonymes et partisans. Experts adoubés et médias complices sont les outils indispensables d’un Pouvoir bâti sur des dogmes. Je ne sous-entends pas que tous ces « experts » adoubés seraient incompétents ou forcément malhonnêtes. Pour la plupart, j’ignorais jusqu’à leur existence, avant cette crise.

Je parle du processus tacitement admis qui consiste à désigner un « expert » plus ou moins légitime sur le papier puis de ne plus écouter que cet « expert » en faisant abstraction de tous ses conflits d’intérêts, conflits d’intérêts qui vont forcément influencer ses convictions, ses propositions, ses décisions et ses actions.
Je parle de ce processus universel et tacite, principe à l’œuvre partout, dans toutes les démocraties, qui consiste à supprimer les débats contradictoires en enfermant les opinions et les messages dans un vase clos bâti sur des préceptes qu’on ne discute plus, ânonnés par quelques-uns.

Cela se retrouve dans les débats sur le climat qualifié de réchauffement alors que d’autres scientifiques également légitimes parlent de refroidissement, réchauffement dont la cause est le CO2 dû à l’activité humaine alors que d’autres scientifiques, d’autres experts sérieux parlent de multiples autres causes. 

Cela se retrouve dans les débats sur la guerre en Ukraine pour laquelle a été posé d’emblée en Occident le postulat inviolable selon lequel le dictateur Poutine est le seul responsable, sans plus pouvoir à un seul moment discuter, nuancer ce dogme (forcément, ce ne serait plus un dogme, sinon), comme l’a amèrement expérimenté Ségolène Royal.(([6] Ségolène Royal met en doute les crimes de guerre commis en Ukraine, malgré les preuves (lemonde.fr) ))

Et cela s’était déjà produit lors des guerres au Kosovo, en Afghanistan, en Irak, en Syrie…
Pourquoi ?
Quel paradoxe !  

Tous ces scientifiques, tous ces journalistes, tous ces « experts » deviennent comme des équilibristes, autoproclamés spécialistes, factuels, dignes de foi alors que tous leurs discours sont finalement bâtis sur des dogmes. Cela se passe avec le concours zélé des médias principaux écoutés comme les prêtres d’antan par une partie de la population profane.

Un dogme n’est pas la vérité.
Un dogme est le socle pour raconter une histoire qui se travestit en vérité, s’habille en réalité seulement parce que chaque auditeur, chaque spectateur accepte d’y croire. C’est ce qui fait la force d’une fiction réussie. On sait que c’est faux mais on a choisi tacitement, implicitement d’y croire, ce qui fait que le spectateur frissonne, sursaute, pleure, a peur, vibre avec son acteur fétiche.

Il est vrai que nous, les êtres humains, nous sommes ainsi faits. Nous adorons les belles histoires, surtout les histoires simples, avec un gentil et un méchant bien identifiés, avec des solutions toutes faites, élaborées par d’autres à l’apparence crédible. L’apparence suffit.

Les lanceurs d’alerte, les diseurs de vérité viennent casser l’ambiance, mettre les points sur les i, les virgules à la bonne place, car si l’humanité préfère l’histoire à la vérité, à ce point de décalage, celle-ci sera très amère et brutale, alors qu’elle pourrait être mille fois plus formidable que la plus belle des fictions. À condition de regarder la vérité bien en face et de la considérer telle quelle, sans travestissement.

Je vous dis l’inverse de ce qu’ils vous disent : pensez par vous-même. Soyez vous-même. Reprenez les rênes de votre esprit. Je sais. Cela demande beaucoup d’efforts. C’est inconfortable. Au début. Par contre, cela ne nécessite pas de l’intelligence, ni d’avoir fait de longues et savantes études. Ces derniers points peuvent même être des obstacles, des pièges.

La personne de bon sens, qui a les pieds bien en contact avec le sol, qui n’a jamais fréquenté les universités ou les grandes écoles, est souvent la mieux à même de discerner le vrai du faux, le réel de l’illusoire, le bien du mal.

Pensez par vous-même. Ou alors, soumettez-vous.

« Si nous ne sommes pas en mesure de poser des questions de manière sceptique, d’interroger ceux qui nous disent que quelque chose est vrai, d’être critique à l’égard de ceux qui détiennent l’autorité, alors nous sommes à la merci du premier charlatan, homme politique ou religieux, venu. »

Carl Sagan, scientifique et astronome américain, 1996

Quelle que soit l’option choisie, ensuite, assumez-la. Il n’a jamais été aussi vital, pour chaque être humain comme pour toute notre espèce, de penser par lui-même et d’arrêter d’être complice de l’illusion, du faux et du mal.

En attendant, nous les lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à diffuser la vérité.

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2023

Notes :




Les jurés soumis au procès d’Axelle symbole de l’effondrement français

Par Lucien SA Oulahbib

Est-ce le syndrome de Stockholm, l’expérience de Milgram, la peur tout bonnement d’une réactivité mafieuse assassinant témoins jurés juges et autres, mais aussi l’empathie malsaine inculquée depuis le primaire présupposant que chaque immigré est une victime du colonialisme et chaque blanc un nazi, et pour « preuve » le frère d’Axelle qui « aurait fait un tel geste… » semblable à ces manifestants des Patriotes qui « auraient fait un tel salut… » ? Est-ce ceci, cela ?…

Tout cela à la fois sans doute, avec en plus la psychorigidité croissante des membres de la Secte SHAA qui chassent en meute. Le tout y compris sur d’autres terrains : la hargne entêtée :

  • à punir les soignants suspendus,
  • à détruire le matériel de protestation des masques blancs,
  • à brûler le drapeau,
  • à injecter de force des substances aux effets incontrôlables à tour de bras,
  • à imposer des migrants pour qu’ils se constituent de fait en enclaves,
  • à faire de la sexualité une « identité » politique se substituant à l’identité « nationale », parachevant ainsi la déchéance de la personnalité complexe au profit d’une individualité interchangeable — une variété parmi d’autres diff-errances,

tout cela « en même temps », certes, mais sans doute aussi :

  • à hiérarchiser, ventiler, selon les endroits et situations ;

sans oublier le rapport miteux/mité au « travail », aux ressources humaines dont la crise énergétique et le haro sur les « superprofits » montrent bien en quoi l’arbre cache la forêt et que la montagne des « protestations » n’accouche à chaque fois que de souris souriant sur le trajet Nation-République et puis basta après avoir écouté les retraités de la LFI bégayer « le droit à la paresse » en petits-bourgeois ronflants ;

et tout ce gouffre et ces trous noirs ambiants en guise d’esprit du temps montrent bien enfin que cette fin de civilisation à l’instar d’une fin de « race » animale engendre pour de bon, mais comme prévu, le fléchissement final de l’aurochs sur ses genoux, la tête volontairement bien tendue afin que le couperet puisse bien couper le cou d’une tête de toute façon disparue ou mise en automatique.

Automatisme psychologique ; dernier avatar de l’inconscient lorsque se détachant du subconscient le Soi (Sujet, acteur, agent) n’aperçoit même plus par exemple que son bras bouge, qu’il a des tics, parle à voix haute, énonce des propos abjects sans honte puisque tout « sur-moi » (éthique) aura été démembré et remplacé par de la propagande orwellienne bas de gamme — genre le blanc et l’homme sont des salauds — ou haut de gamme, style l’Ouest « impérialiste » peut cependant se racheter en disparaissant par l’implosion de son « genre », par ses frontières ouvertes au tout venant et par l’envoi de ses chars Leclerc (En attendant les F-machin chose)…

Dans cet état d’hypnose métapsychique que sécrète la croyance détachée de tout doute et introspection (interdits car susceptible de laisser de l’espace à une liberté de conscience), il est impossible de ramener quiconque à la raison, du moins à court et moyen terme, pour preuve les 12 ans donnés à « l’homicide » d’Axelle : « ceci n’est pas un meurtre », dernier avatar de l’art contemporain destroy ayant désormais pris possession également de la sphère juridique.

Aussi assistons-nous, en cinémascope et même 3D, au glouglou du Titanic France-UE entouré d’icebergs miroirs indiquant le contraire (les médias) et d’ours blancs sympathiques (milliardaires à la Musk, miraculés, eux…) tout en ayant l’impression cependant et pour l’instant de voir cet engloutissement en narrateur omniscient : dedans certes, mais aussi dehors ; sauf que ce dernier point s’avère illusoire, car hormis ceux qui sont déjà réellement dehors, en Suisse, aux USA, voire en Russie, « nous » sommes, nous les sans-dents et gens-de-rien, dans la nasse ; à l’instar des Juifs allemands qui n’y croyaient toujours pas, même après la Nuit de Cristal, ou des juifs français, même après que Pétain ait signé les lois interdisant aux juifs français tout un ensemble de métiers, même avant que la Milice par la suite n’entame elle aussi la Solution Finale (même après le « Je vous ai compris » de 1958…), une Milice que l’on retrouve aujourd’hui ressuscitée dans la Milice Antifa qui se comporte à l’identique (quasi…) se contentant via sa frange « soft » (gramscienne) d’empêcher pour l’instant les universitaires, les journalistes, les hauts fonctionnaires de faire leur métier, jusqu’à les détruire socialement avant d’ordonner indirectement à sa frange « hard » (redskins) de les massacrer par automatisme psychologique volontaire (ou l’auto-endoctrinement) ne nécessitant pas de donner des ordres pour y aller franco : le complot est partout tout en n’étant nulle part…

Reste, pour les contrer, à créer des îlots de combat en sourdine, des lieux pour se ressourcer, être protégé, reconnu, aimé, une entre-aide entre combattants de la France Libre saison deux… Vaste programme…




50 groupes s’en prennent à Bill Gates à propos de l’agriculture et de la technologie : « Vous participez à la création du problème que vous nommez »

[Source : annabellascom.wordpress.com]

50 groupes s’en prennent à Bill Gates à propos de l’agriculture et de la technologie : « Vous participez à la création du problème que vous nommez »… Bah oui, mais ce criminel, oui criminel, est toujours là à diriger le monde et à vouloir décimer la Planète

bellinaanne

Ron Friedman's avatar

Par Ron Friedman

Ron Friedman vit dans la grande région de Chicago et écrit sur divers sujets politiques, de santé publique et d’intérêt humain, notamment ceux qui touchent aux droits constitutionnels des Américains.

Cinquante organisations dédiées à la souveraineté alimentaire et aux questions de justice alimentaire interpellent Bill Gates sur sa dernière affirmation selon laquelle la technologie est la solution à la faim dans le monde et à la souveraineté alimentaire.

Dans une « lettre ouverte » publiée au début du mois, les groupes ont répondu aux commentaires que Bill Gates a faits, lors d’interviews avec le New York Times et l’Associated Press, au sujet du rapport 2022 de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Les principaux auteurs de la lettre, Community Alliance for Global Justice/AGRA Watch et Alliance for Food Sovereignty in Africa, ont écrit :

« Dans les deux articles, vous faites un certain nombre d’affirmations qui sont inexactes et doivent être remises en question. Les deux articles admettent que le monde produit actuellement suffisamment de nourriture pour nourrir adéquatement tous les habitants de la planète, mais vous continuez à diagnostiquer de manière fondamentalement erronée le problème comme étant lié à une faible productivité ; nous n’avons pas besoin d’augmenter la production autant que d’assurer un accès plus équitable à la nourriture. »

Les auteurs ont également critiqué les affirmations de Gates selon lesquelles nous avons « sous-investi dans l’innovation agricole » et que la révolution verte était « l’une des plus grandes choses qui soient jamais arrivées ».

Gates a déclaré au New York Times :

« Aider les agriculteurs doit être la priorité absolue du programme d’adaptation au climat. Et dans ce cadre, il y a beaucoup de choses comme le crédit pour les engrais, les engrais bon marché, les meilleures semences, que nous devrions avoir à cœur de financer et pour lesquelles nous devrions fixer des objectifs ambitieux ».

Mais les auteurs de la lettre ouverte ne sont pas d’accord :

« Il existe déjà de nombreuses propositions et projets tangibles et en cours qui visent à stimuler la productivité et la sécurité alimentaire — des installations de fabrication de biofertilisants et de biopesticides aux programmes de formation des agriculteurs à l’agroécologie, en passant par l’expérimentation de nouvelles techniques de gestion de l’eau et des sols, de systèmes agricoles à faible niveau d’intrants et d’espèces végétales déprédatrices. »

Ils sont également en désaccord avec l’affirmation de Gates selon laquelle la révolution verte a été un « succès retentissant » :

« Si [la révolution verte] a joué un certain rôle dans l’augmentation des rendements des cultures céréalières au Mexique, en Inde et ailleurs entre les années 1940 et 1960, elle a très peu contribué à réduire le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde ou à garantir un accès équitable et suffisant à la nourriture. »

Les auteurs rappellent à Gates que la révolution verte a entraîné « une foule d’autres problèmes, qu’il s’agisse de questions écologiques telles que la dégradation à long terme des sols ou de questions socio-économiques telles que l’accroissement des inégalités et de l’endettement (qui a largement contribué à l’épidémie de suicides d’agriculteurs en Inde) ».

Ils ont également critiqué la pression exercée par Gates en faveur des semences génétiquement modifiées, affirmant que « les semences résistantes au climat existent déjà et sont développées par les agriculteurs et échangées sur des marchés de semences informels. »

« Vous participez à la création du problème même que vous nommez », ont écrit les groupes. « L’initiative AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), que votre fondation continue de financer, a également poussé une législation restrictive sur les semences qui limite et restreint l’innovation en matière de cultures aux laboratoires et aux entreprises disposant de bonnes ressources. »

Ces initiatives n’augmentent pas l’innovation généralisée, mais contribuent plutôt à la privatisation et à la consolidation des monopoles des entreprises sur le développement et les marchés des semences, ont-ils ajouté.

Les groupes ont mis Gates au défi de « prendre du recul et d’apprendre de ceux qui sont sur le terrain » et ont demandé aux médias de réfléchir à la manière dont ils couvrent Gates et sa vision de l’avenir de l’alimentation.

Ils ont écrit : « Nous invitons les médias de premier plan à faire preuve de plus de prudence et à ne pas accorder de crédibilité aux hypothèses erronées, à l’orgueil démesuré et à l’ignorance d’un riche homme blanc, au détriment des personnes et des communautés qui vivent et s’adaptent à ces réalités au moment même où nous parlons ».

Russell Brand : C’est une « belle lettre ».

Russell Brand s’est rangé contre Gates et avec les auteurs de la lettre, déclarant aux téléspectateurs :

« C’est une belle lettre. Elle est brillamment articulée et la raison pour laquelle nous voulons vous la présenter aujourd’hui est qu’elle démontre que critiquer Bill Gates ne fait pas de vous un théoricien du complot et elle démontre aussi que les actions et l’influence de Bill Gates sont néfastes et nuisibles. »

Brand s’est moqué de Gates, en entrecoupant son podcast YouTube de bribes du milliardaire lors de la récente conférence Goalkeepers 2030 de sa fondation :

« Ah, Bill Gates, il est la réponse à tous les problèmes du monde et quiconque le critique est un théoricien de la conspiration ou un universitaire réfléchi qui s’inquiète de le voir coloniser et monopoliser les ressources du monde. »

Mais ce « n’est pas une théorie du complot », a déclaré Brand.

« Il s’agit de politiques néfastes conçues pour centraliser le pouvoir et contrôler la nourriture, et les gens répondent depuis une position d’autorité, d’intégrité et d’expertise. »

Il ajoute :

« Ce que vous faites, c’est de l’éclairage – présenter des solutions pratiques, permanentes, dirigées par des agriculteurs comme étant en quelque sorte fantaisistes ou ridicules, tout en présentant vos propres approches préférées comme étant pragmatiques. »

Brand s’est fait l’écho de l’argument du groupe de souveraineté alimentaire selon lequel il existe « déjà des mesures en place qui peuvent être contrôlées et mises en œuvre par les communautés elles-mêmes et qui ne nécessitent pas la centralisation du pouvoir, le brevetage des semences et des cultures, la technologisation du processus de l’agriculture – tout cela, soit dit en passant – par un type qui semble acheter des terres agricoles en ce moment – par coïncidence ! »

Brand a ajouté :

« Gates aime voir le monde comme de simples données. Ce que je vous propose, c’est cette question : Bill Gates essaie-t-il d’aider ? Ou Bill Gates est-il simplement en train de suggérer que la solution à tous ces problèmes est de donner plus de pouvoir à Bill Gates ? »

[Voir aussi :
De Bill Gates au « Grand Refus » : les agriculteurs en première ligne
Un représentant du Congrès exige que Bill Gates justifie l’achat de vastes superficies de terres agricoles…
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique
Qui est Bill Gates ?
Bill Gates et la fin de l’Amérique
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Bill Gates finance nombre des agences de presse les plus puissantes et les plus prolifiques du monde, c’est pourquoi il n’est jamais scruté par les médias
Bill Gates : un Sataniste déguisé en brebis?
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]

[Source anglaise :
https://childrenshealthdefense.org/defender/bill-gates-farming-technology-food-sovereignty/]




Le Député européen Mislav Kolakušić dénonce la « secte » du Forum économique mondial

[Source : MPI]

Ce discours de l’eurodéputé croate Mislav Kolakušić est une heureuse surprise.

« Le Forum économique mondial, une organisation sectaire composée de multinationales, de milliardaires et de politiciens achetés, est aujourd’hui l’une des plus grandes menaces pour la démocratie et l’État de droit en Europe et dans le monde ».






REVUE DE PRESSE DU 19 JANVIER 2023

Par MF

ÉDITO
La grande arnaque

Alors que Reuters a jeté l’éponge et ne communique plus sur le nombre de cas de Covid, des journalistes n’hésitent plus à écrire désormais que les masques sont inutiles et dangereux, que les vaccins sont inefficaces et dangereux, que la surmortalité toutes causes pourrait avoir un lien avec les injections, que la natalité s’effondre, que les laboratoires savaient que les injections déclenchaient une toxicité générale, MAIS en France les personnels suspendus le sont toujours, tandis que la justice timidement fait son œuvre, avec un référé suspension qui donne raison à FranceSoir, ou des victimes qui attaquent Pfizer à Marseille.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La grande arnaque du narratif « covid »

Ivan Rioufol reprend les travaux et publications de divers auteurs pour soutenir la thèse du mensonge d’état concernant l’épidémie et la stratégie délétère qu’elle a entraînée.

Le référé suspension donne raison à FranceSoir

https://www.francesoir.fr/politique-france/refere-suspension-contre-la-decision-cppap-tribunal-donne-raison-francesoir

« Le Tribunal administratif de Paris souligne que le juge des référés a considéré que le moyen tiré de ce que la CPPAP n’aurait pas statué en toute impartialité lors de sa séance du 30 novembre 2022 sur la demande de renouvellement de l’agrément dont était titulaire le site francesoir.fr était propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux sur la légalité de la décision contestée ».

Refus de réintégration des soignants suspendus, éthique ou orthopédie morale d’état ?

« Nous sommes face à un gouvernement dans l’impossibilité de revenir sur ses propres paroles, dans l’impossibilité de questionner les décisions passées et dans une rigidité proprement ridicule. Pour toutes ces raisons, la France figure en 2023 parmi les derniers pays européens à ne pas avoir réintégré ses soignants non vaccinés. Les politiques partisanes menées à l’Assemblée nationale par les différents groupes ne sont qu’une honte supplémentaire que notre pays doit porter au front. Et peu importe le nombre de soignants concernés. Qu’il s’agisse de 15 000, de 1000, ou même d’un seul soignant suspendu, la honte restera comme une tache. »

Barbara Houbre, maître de conférences en psychologie clinique et psychologie de la santé, psychanalyste.

Obligation vaccinale et pass sanitaire validés par le Conseil d’État

« Dorénavant, les yeux des justiciables se tournent vers la Cour EDH »

ÉTRANGER

USA — révélations sur le Covid

https://odysee.com/@Vivresainement:f/vaccins-revelations:d

« Le sénateur Ron Johnson a organisé une table ronde avec des scientifiques, des médecins de tous horizons, des agents d’assurance et de gestion afin de découvrir la vérité sur les injections expérimentales, les révélations sont fracassantes, le système de santé américain est basé sur la recherche du profit pour les firmes pharmaceutiques, pas sur la santé des malades. Dr Richard Urso : “Dans des endroits comme l’Angleterre, 90 % des personnes qui meurent du COVID en ce moment même sont des personnes triplement vaccinées.” La FDA a approuvé le Remdesivir sur la base d’un essai dans lequel 3 enfants sur 53 sont morts. L’essai a été mené par Gilead, le développeur du Remdesivir. Aucun groupe contrôle.

Taux de mortalité des enfants COVID : 0,005 %. Taux de mortalité des enfants avec Remdesivir : 5,66 % ».



GRÈCE — Les soignants non vaccinés ont repris le travail

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-en-grece-les-soignants-non-vaccines-ont-repris-le-travail-20230102

À quand, en France ??

JAPON — enquête sans précédent sur le nombre de décès post-injections

« Les protéines spike suppriment localement le système immunitaire. Le processus de dégradation des protéines spike dans le système immunitaire incite à l’inflammation dans tout le corps, ce qui entraîne également la formation de caillots sanguins ».

JUSTICE

Pfizer devant la justice à Marseille

https://www.20minutes.fr/justice/4017192-20230109-covid-19-possibles-effets-secondaires-vaccin-pfizer-devant-justice-marseille

L’avocat Éric Lanzarone défend près de 300 clients victimes de pathologies peu après leur vaccination anti-covid 19

Les victimes des injections peuvent se constituer partie civile gratuitement

COVID

Taux de mortalité Covid pour les 0-19 ans

https://www.epochtimes.fr/etude-le-taux-de-mortalite-par-infection-du-covid-19-est-de-00003-pour-les-0-19-ans-2195040.html

« Pour chaque tranche d’âge supplémentaire de dix ans, le taux de mortalité était multiplié par quatre environ. Selon l’étude, l’analyse indique un taux avant vaccination “beaucoup plus faible” que prévu pour la population jeune. Les grandes différences constatées entre les pays s’expliquent par des écarts dus à des facteurs tels que les comorbidités tandis que les risques d’inflammation cardiaque sont élevés chez les jeunes injectés à partir de 12 ans ».

SIBO post Covid ou post-vaccination

https://www.francesoir.fr/entretiens/le-sibo-la-piste-d-une-nouvelle-pathologie-humaine-associee-de-multiples-symptomes

« Le Small Intestinal Bacterial Overgrowth (SIBO), soit la pullulation bactérienne de l’intestin grêle, est l’une des très nombreuses pathologies du Covid-19. Elle est liée au dysfonctionnement du système rénine-angiotensine qui peut être induit par une infection au virus Sars-CoV-2 ou apparaître à la suite de la vaccination anti-Covid-19 ».

TRAITEMENTS et STRATÉGIES

Une étude confirme l’intérêt de l’Ivermectine en prévention

https://www.midilibre.fr/2023/01/06/covid-19-lentreprise-montpellieraine-medincell-annonce-des-resultats-positifs-sur-un-traitement-a-livermectine-10908542.php

« On le savait depuis deux ans !! »

et

https://www.covid-factuel.fr/2023/01/06/ivermectine-en-prophylaxie-une-18e-etude-favorable-et-francaise-cocorico/

Le fétichisme des masques

https://www.laselectiondujour.com/index.php?143477&lsdj=338969

Les études rigoureuses existent — mais elles sont largement ignorées. Les pédopsychiatres alertent sur l’effet désastreux du masque pour les enfants et adolescents. Le masque, une ligne Maginot ?

INJECTIONS

Révélations des études précliniques de Moderna et Pfizer

https://www.aimsib.org/2023/01/15/que-revelent-les-etudes-precliniques-moderna-et-pfizer-devoilees-recemment-par-foia/

« Les vaccins anti-coronavirus sont connus depuis 2003 comme susceptibles de provoquer l’ADE (facilitation de l’infection). Les documents obtenus par FOIA montrent que le vaccin diffuse dans tout le corps des animaux testés et persiste au moins 14 jours. Une toxicité générale et une toxicité des doses répétées ont été notées pendant ces études ainsi que des résultats équivoques sur la génotoxicité et des résultats concordants sur une toxicité reproductive très probable. Les résultats ne peuvent exclure la possibilité de l’ADE. »

Les myocardites après la 3e dose multipliées par 800

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-etude-prospective-augmentation-800-myocardites-vaccin

« Contrairement aux myocardites virales habituelles, cette pathologie, lorsqu’elle survient après une vaccination, se retrouve majoritairement dans la population féminine qui est touchée à hauteur de 3,7 % versus 0,8 % chez les hommes. »

Les vaccins Covid peuvent induire une réactivation du zona

« Les injections de COVID-19 suppriment votre système immunitaire inné en inhibant la voie de l’interféron de type 1, qui est la réponse de première étape à toutes les infections virales. L’interféron de type 1 permet également de contrôler les virus latents. Par conséquent, si la voie de l’interféron est supprimée, les virus latents peuvent commencer à émerger. »

Surmortalité en France, et ailleurs..

https://lemediaen442.fr/surmortalite-inhabituelle-en-france-les-crematoriums-tirent-la-sonnette-dalarme-debordes-par-lafflux-de-deces/

« Si janvier et décembre sont des mois où les décès sont plus élevés qu’au cours de l’année, il y a actuellement une vague inhabituelle de morts qui touche la France, observée par les professionnels du secteur funéraire ».

EFFETS INDÉSIRABLES

France, surmortalité dans la tranche 20-39 ans

https://www.covid-factuel.fr/2023/01/18/erratum-mortalite-des-jeunes-depuis-2021/

« Reste à savoir si le même phénomène se retrouve dans d’autres pays que la France, et si l’enquête sera sérieusement menée quelque part… »

ANSM plus de 47 000 effets indésirables graves à la date du 15 décembre 2022

« Sur 189 438 cas au total depuis le début de la vaccination, nous avons 25 % de cas graves avec mise en danger du pronostic vital des injectés et nécessitant un nombre important d’actes médicaux et d’hospitalisations »

« Le plus effrayant dans ce rapport reste la surveillance des moins de 18 ans, encore plus grave les 5-11 ans. Pour ces derniers, il y a un total de 150 cas, dont 15 graves. Pour les 12-18 ans, le constat est dramatique puisqu’il est question de 4046 cas, dont 1048 graves ! Pourtant, cette tranche d’âge n’est pas concernée par le Covid-19, en d’autres termes tous les effets indésirables sont criminels. Curieusement, la surveillance de cette tranche d’âge n’a pas été réalisée pour l’injection Moderna ! »

Liens potentiels entre surmortalité et injections

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/liens-potentiels-entre-les-doses-injectees-anti-covid-19-et-la-surmortalite-en

« Pour toutes les tranches d’âge en 2021 et 2022, il existe deux pics d’injections avec un vaccin anti-Covid-19 et deux pics de décès post-vaccination dans un délai de moins de 11 mois.
Mise en évidence la troublante coïncidence entre ces pics de vaccination et la surmortalité post-vaccination. Un cas particulier est celui de la tranche d’âge 0-14 ans, où la vaccination des femmes enceintes semble s’accompagner d’effets désastreux sur les futures naissances et notamment le nombre anormal des décès d’enfants prématurés. Ce cas particulier est corroboré par trois autres études citées dans le paragraphe 0-14 ans. »

QUÉBEC, effets indésirables sous-déclarés

« Patrick Provost, PhD, Professeur titulaire à la Faculté de médecine de l’Université Laval, estime que toutes les recommandations et décisions politiques devraient être réévaluées à la lumière de ces nouvelles données de risques associés à la vaccination, et que des correctifs doivent être apportés dans les plus brefs délais. »

Le cas du Japon qui vaccine massivement et enregistre la plus grosse mortalité Covid

Pour n’importe quel autre médicament, la commercialisation aurait été stoppée depuis belle lurette étant donné le nombre catastrophique d’effets indésirables graves constatés à ce jour !

RÉSISTANCES

CSI n° 85 du 5 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/sxNUtuwX

Claude ESCARGUEL, Microbiologiste, ancien responsable du laboratoire de l’institut de Pédiatrie de Marseille
Sujet : La fin d’un mythe : c’est viral il ne faut pas d’antibiotiques ! Et Covid long : comment l’éviter !



CSI n° 86 du 12 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/KQc4eLpV

Jean-Dominique MICHEL, Anthropologue en santé publique, membre du CSI. Sujet : Complotistes, antivax et autres outils de contrôle de la pensée : une perspective socio-historique.



Les Twitter Files ont révélé le degré de la corruption

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/olivier-soulier-twitter-files-systeme-corrompu

« la corruption n’a fait qu’apparaître au grand jour au moment du déclenchement de l’épidémie de coronavirus »

Et si la biologie moderne avait presque tout faux ?

https://crowdbunker.com/v/P6JtT4QP

La biologie moderne repose grandement sur la vision de Louis Pasteur à la fin du 19e siècle, vision qui a encore en 2023 un statut de quasi-religion. Pourtant, des visions alternatives du vivant permettent de mieux le comprendre et ainsi de mieux appréhender la santé de manière générale. Ainsi, les travaux du chercheur français Antoine Béchamp (1816-1908) et en particulier sa découverte des microzymas pourraient revenir sur le devant de la scène et casser le dogme pasteurien afin de contribuer à une médecine d’avenir réellement scientifique. Pour ce 36e épisode de « Science en Conscience », Jérémie Mercier reçoit Alain Scohy, médecin et psychothérapeute, habitué des observations de tissus biologiques au microscope à fond noir, et qui livre une interprétation différente du vivant par rapport à celle de la biologie moderne, en s’appuyant sur les découvertes d’Antoine Béchamp.






La Russie réclame le jugement d’Angela Merkel et de François Hollande

[Source : voltairenet.org]

Le président de la Douma d’État russe, Viacheslav Volodine, a demandé la tenue d’un tribunal militaire international comparable à celui de Nuremberg pour juger l’ancienne chancelière allemande Merkel et l’ancien président français François Hollande.
 
« Les aveux faits par le représentant du régime de Kyiv et les anciens dirigeants de l’Allemagne et de la France devraient être utilisés comme preuves devant un tribunal militaire international. Ces dirigeants ont comploté pour déclencher une Guerre Mondiale aux conséquences prévisibles. Et ils méritent d’être punis pour leurs crimes », a-t-il déclaré

Angela Merkel avait assuré, lors d’un entretien à Die Zeit, avoir négocié et signé les Accords de Minsk non pas pour faire la paix en Ukraine, mais pour donner du temps à l’armée ukrainienne pour préparer la guerre actuelle [1]. François Hollande lui avait donné raison dans un entretien à Kyiv Independent [2].

Le Droit international considère les « crimes contre la paix » comme plus graves que les crimes contre l’humanité. Cependant, les Nations Unies n’ont jamais défini clairement ce qu’ils sont vraiment.

La non-application des Accords de Minsk a prolongé la guerre civile en Ukraine durant 8 ans faisant au moins 20 000 morts.

La Russie n’a pas envahi l’Ukraine, mais a lancé une opération militaire spéciale pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité ; résolution qui valide les Accords de Minsk.




La président suisse (enfin) sur la sellette pour ses manipulations au cours de la crise Covid !

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Alain Berset, président de la Confédération helvétique et ministre de la santé, incarne à mes yeux toute la veulerie de la politique actuelle.

Menteur, manipulateur, abuseur à ses heures perdues (en paroles comme lorsqu’il a envoyé un commando lourdement armé intimider une ex-maîtresse devant son enfant terrorisé, âgé de 4 ans – avant de nommer le coordinateur de cette lamentable opération à la tête de Swissmedic !), il aura bradé les intérêts du pays au plus offrant, entre WEF, fondations du sociopathe Bill Gates, BlackRock/Vanguard et autres Big Pharma…

  • Pour lire « Il faut sauver le soldat Berset » sur l’Impertinent média : cliquer ici.

En mentant de surcroît à la population tout au long de la crise Covid : l’épidémie n’était en réalité pas plus grave qu’une grippe habituelle selon les dernières estimations et les mesures présentées comme sanitaires se sont avérées n’avoir jamais eu aucune utilité probante.

Ceci alors qu’on savait très bien ce qu’il convenait de faire !

Berset a remisé les bonnes réponses au placard tout en imposant des trains de mesures absurdes et destructrices, en se réfugiant derrière le paravent qu’elles étaient légèrement moins féroces qu’ailleurs… alors qu’elles n’auraient jamais dû être imposées !

  • Pour lire « Bilan des mesures anti-Covid par le n°1 mondial de l’épidémiologie » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.

Il aura été le destructeur servile du pays, suivant une feuille de route dont on ne peut plus aujourd’hui imaginer qu’elle n’existerait que dans l’esprit de « complotistes » : la réalité des multiples conspirations mises en œuvre dans le cadre de la crise Covid est en train d’apparaître au grand jour à la faveur notamment des Twitter Files…

  • Pour voir « Conseil Scientifique Indépendant n°86 « Complotistes » « antivax » et autres outils de contrôle de la pensée » : cliquer ici.

Utilisant une presse de connivence (privée comme publique) pour manipuler l’opinion, Berset a agi d’une manière dont la fourberie (déjà révélée en son temps par le CEO de Ringier) estomaque.

  • Pour lire « Suisse: complicité mise à nu entre le groupe de presse Ringier et la politique Covid des autorités » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Il faut être naïf (ou déconnecté du réel) comme un socialiste pour ne pas le voir !

Je suis convaincu qu’il finira en prison, les turpitudes actuellement révélées n’étant qu’un amuse-gueule face à l’ensemble de ses tromperies.

  • Pour lire « Une épidémie… de mensonges (ou les informations-bidon du Covid) » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Le président visé par une plainte pénale pour abus d’autorité » sur L’Impertinent média : cliquer ici.

Que sa chute prochaine nous éduque collectivement à repérer et barrer la route sans états d’âme à la manipulation ! Ainsi qu’aux lamentables compromissions qui les permettent, des parlements en passant pas les sociétés médicales jusqu’aux médias…

  • Pour lire l’article de la Radio télévision suisse « Balthasar Glättli: « Il est maintenant difficile pour Alain Berset de garder de la crédibilité » : cliquer ici.
  • Pour signer la pétition « Appel à la démission d’Alain Berset » : cliquer ici.



Des machines et des profs

À l’heure où les individus seraient trop nombreux sur cette belle planète et qu’à l’aide de funestes injections on en diminuerait le nombre, on découvre manquer de médecins puis de profs, et au-delà de supprimer leur domaine de compétence, on fait semblant de les remplacer par une pseudo intelligence artificielle

Il est temps de tous se lever contre cette imposture qui consiste à faire croire que des machines (créées par l’h) pourraient le remplacer

Que cette belle tribune de Karen Brandin en appelle d’autres pour finalement hurler tous ensemble que l’Homme n’est pas une machine et que son enseignement comme ses soins ne peuvent être que donnés directement par lui et non par des robots délivrés par des machines, souvent bloquées d’ailleurs ce qui fait espérer la disparition rapide de leur hégémonie.

Réagissons par notre propre expérience et accumulons les témoignages

MERCI À KAREN ET À TOUS CEUX QUI VONT SOUTENIR SON BEAU COMBAT

Diffusez, partagez, commentez !

Nicole Delépine

Par Karen Brandin

J’étais encore au tout début de mes études lorsque cette formule, qui allait devenir par la suite célèbre, une phrase au moins autant citée que détournée depuis : « Il faut dégraisser le mammouth, » a été prononcée par Claude Allègre, alors ministre de l’Éducation nationale. À l’époque, je n’y avais prêté qu’une attention distraite, mais pour autant je n’y avais pas seulement vu la promesse d’une diète économique sévère, mais aussi en filigrane, la menace à peine voilée d’une sorte de mutilation à venir.

J’avais cette image, qui m’est restée d’ailleurs, de ce corps massif de l’Instruction, un corps enseignant robuste, riche, fibreux et complexe dont on allait finalement s’évertuer à arracher des lambeaux entiers de « matière ». En premier lieu desquels, ceux attachés aux disciplines estimées superflues ou élitistes dont les langues mortes bien sûr.

En tout égoïsme, il faut bien reconnaître que cela me rassurait. Je me disais que quand bien même la « bête » agonisante n’aurait un jour plus que la peau sur les os, il resterait toujours le squelette ; à savoir le socle des disciplines fondamentales. Ces disciplines intouchables et sacrées, dont les mathématiques faisaient, feraient forcément partie. Pas une seconde alors, j’aurais imaginé que le sacrifice irait jusqu’au désossement final et que les maths, comme du reste la philosophie ou la littérature, seraient vaporisées, vidées de leur « substantifique moelle ».

Depuis plus de dix ans1, nous sommes quelques-uns à alerter régulièrement sur cette entreprise de destruction massive et l’hémorragie scientifique qui ne manquera pas d’en résulter. Mais puisque l’on est seuls, puisqu’on est fous et qu’ils sont si nombreux, et puisque surtout, l’on est pris au piège du redoutable courant des baïnes de la « désinstruction nationale »2 selon le terme de René Chiche au point d’être empêchés de lutter efficacement contre cet Enseignement de l’Ignorance parfaitement décrit par Jean-Claude Michéa3 dans un essai prophétique du même nom, le temps semblait peut-être venu finalement de suivre les recommandations des sauveteurs en pareil cas : arrêter de lutter ; se laisser dériver, quitte à échouer sur un autre rivage que celui de l’enseignement.

Se laisser dériver pour ne pas se noyer dans une mer de désillusions et de trahisons successives.

Et puis comme souvent dans ces moments de découragement et de fatigue, on croise comme un fait exprès, des regards d’élèves plus confiants que d’ordinaire, plus pressants aussi ; des jeunes gens qui comptent sur vous pour les amener à bon port, malgré le gros temps. Ces jeunes qui s’en remettent à nous aussi pour témoigner de leur détresse tant on est loin en réalité de l’inévitable : « pas de soucis » dont ils nous abreuvent pourtant à longueur de journée.

Car, des soucis, il y en a. Il y en a même beaucoup pour ces lycéens, pris dans les mailles du filet des réseaux sociaux, empêtrés dans des applications en tous genres, tout cela au beau milieu d’une débauche de : « trucs de fou », « t’as capté ? », « j’avoue » ou encore : « t’es aigri ? » Il s’agit donc de les défendre sans nier pour autant qu’il faut chaque jour lutter plus âprement que la veille pour obtenir d’eux une phrase, une majuscule, un quantificateur ou un seulement un symbole de ponctuation. Pour les sourires, il faut moins insister. Heureusement.

Quant aux équivalences, aux implications… Ces règles de logique élémentaires sont presque toujours des vœux pieux désormais.

En plus des regards, on croise aussi des textes, des articles qui vous réconfortent ou vous révoltent et ce faisant, sont autant d’aiguillons qui vous poussent une nouvelle fois à alerter.

Cette fois, c’est un article extrait du Figaro-Etudiant daté du 11/01/234 5 qui a, par une citation, changé ma lassitude en colère, car voici ce que l’on peut y lire, à propos d’un logiciel d’intelligence artificielle, commandée par le ministère de l’Éducation nationale, qui viendra en complément du cours conventionnel dès la rentrée 2023 :

« Les études réalisées dans ce domaine (ndlr : les sciences cognitives) nous permettent de mieux comprendre comment le cerveau apprend la langue et les mathématiques pour proposer une pédagogie qui optimise l’assimilation des connaissances », indique Thierry de Vulpillières, le directeur général et cofondateur d’ÉvidenceB, Avant d’ajouter :

« Le propre de l’algorithme de l’IAc’est de chercher à susciter le goût de l’effort et l’envie de réussir chez l’élève. Le pousser à réussir un exercice et à accéder au niveau suivant qui sera plus difficile. »

Il faut être lucide. Certains se disent sans doute que cet assistant d’éducation sera une sacrée aubaine, surtout que désormais, lorsque l’on est fonctionnaires et que l’on a du temps libre, on peut, si on le désire, se découvrir une âme de… chauffeur de bus6. Et çà, c’est vraiment bien parce que cela permettra de rencontrer les élèves dans un contexte différent, plus détendu par exemple. Finie aussi à terme sans doute, l’obligation ringarde du bac+5 pour prétendre à une mission d’enseignement puisque, à défaut d’avoir un pilote dans l’avion, il y aura, quoiqu’il en coûte, une machine dans la classe.

Non, il n’y a pas à dire ; il est vraiment sympa ce président et puis il faut reconnaître qu’il pense à tout. Un vrai père de famille. Il y a eu les vœux tout d’abord, charmants et tellement réalistes :

« Nous avons aussi commencé de raviver la confiance dans notre Éducation nationale, notre santé en nous appuyant sur l’énergie et le dévouement de nos enseignants et de nos soignants. Nous poursuivrons avec ardeur durant l’année qui s’ouvre, par des choix clairs, forts, et un travail au plus près du terrain.

Dans les prochains mois, dans nos salles de classe, dans nos hôpitaux, comme chez nos médecins en ville, vous verrez les premiers changements tangibles de la rénovation de notre école et de notre santé. »

Comprendre (car avec le Gaulois réfractaire et potentiellement complotiste, il faut être prudent et surtout « pédagogue ») : on tend vers une école sans profs et un hôpital sans médecins.

Alors bien sûr, cela peut sembler étonnant de prime abord, un peu suspect même, mais pourtant ce sera bien mieux comme çà ; vous verrez. Un peu de patience que diable. Rome ne s’est pas détruite en un jour.

Vous savez, c’est le fameux : « plus vite et plus fort »… dans le mur, dont nous sommes désormais coutumiers.

Et donc après ces vœux de « Bonne Année, » voici, alors que ce n’est même plus Noël, ce magnifique cadeau numérique, un cadeau high-tech, plus autonome encore que Kwyk, et qui entre nous, a autrement plus d’allure que la boîte de masques offerte l’hiver dernier. Plus d’allure même que la dizaine d’autotests gratuits.

Trêve d’ironie…

Car dieu merci, à côté de ces personnes heureuses de déléguer, consentantes finalement dans l’expropriation massive de leurs compétences, il se trouve encore des gens qui, à la lecture de cet extrait, ont comme moi, envie de pleurer d’indignation et de tristesse.

Mais clairement ce ne sont pas les plus nombreux, car l’éducation nationale, c’est moralement 800 000 personnes. Alors je veux bien que cela n’ait pas été un nombre suffisant pour s’opposer à la réforme Blanquer qui allait fatalement détruire le lycée, mais on a un peu de mal à le croire quand il a suffi du courroux d’une poignée de salariés de TOTAL pour bloquer tout un pays. On sait tous pourtant que l’union fait la force ; dommage que ce principe pourtant simple ait été oublié à l’époque, car clairement, ce n’était pas un petit groupe de profs courageux du Sud-Ouest7 qui allait à lui seul pouvoir faire bouger les choses.

Dans un monde non pas idéal, mais juste équilibré, dans une école du Sens, nous n’aurions rien à craindre d’un tel logiciel et surtout pas une concurrence loyale ou déloyale, car il n’y aurait, de la part des élèves, aucune adhésion possible.

Le goût de l’effort, le charme de la controverse, l’éveil de la curiosité, parfois celui d’une passion quand on a la chance de pouvoir la susciter, résultent toujours d’une rencontre humaine, d’un échange avec une personnalité atypique ou attachante. Mais cette interaction autrefois recherchée avec l’enseignant est aujourd’hui trop souvent redoutée, évitée.

En effet, la réforme du lycée, en atomisant les sections et avec elles la notion même de « classe », a emporté du même coup cette complicité qui reste le propre de l’homme et qui faisait tout l’intérêt et la richesse de ce métier. Désormais, tout se perd, rien ne se crée plus, mais se négocie. Le lycée, loin de rassurer, inquiète et ce que l’on veut plus que tout quand on est élève, c’est le quitter.

La réforme Blanquer devait, nous avait-on dit, « bâtir » des ponts entre les disciplines, faire la part belle à la transversalité des savoirs. Elle a, au contraire, érigé des murs dignes des plus redoutables entreprises de fortification. Seuls les plus aguerris, en refusant cette obscurité forcée, cette forme d’austérité du savoir, ont réussi à percer quelques meurtrières…

Le maître-mot désormais dans ce lycée désincarné aux allures de start-up, est : la concurrence, mais sans la stimulation ; la compétition, mais dans tout ce qu’elle peut avoir de malsain.

Une concurrence féroce entre les établissements tout d’abord, mais aussi entre les disciplines, qui avec le temps, sont victimes de leur réputation, car ceux qui ont essuyé les plâtres de cette réforme maudite, parlent et mettent en garde « les 2007 » comme ils disent. Il faut alors redoubler d’énergie pour s’attirer les faveurs des élèves qui ont tôt fait de vous menacer d’abandonner en terminale votre matière si les notes sont trop basses ; si s’inscrire n’est pas assez « rentable » tout simplement.

Quant à penser que le choix des spécialités est motivé par un intérêt réel pour la matière, cela relève du fantasme. En terminale d’ailleurs, on voit se multiplier des couples improbables comme svt/ses choisis pour des raisons strictement « comptables. »

Comme si cela ne suffisait pas, charge en outre aux enseignants estimés trop exigeants de se faire pardonner d’éventuels écarts de conduite en osant les notes « justes » et donc peut-être faibles. Il s’agira alors, pour compenser, de multiplier les devoirs-bonus, ceux de rattrapage ou de leçon histoire d’appâter, d’adoucir le chaland et éviter par là même, les foudres de parents prompts à accuser de plomber, sans y penser, le dossier de leur enfant au risque de compromettre son avenir.

Concurrence entre les élèves enfin, tétanisés par la présence du contrôle continu, rendus intolérants et irritables par cette pression constante de la note ; ces jeunes gens, redevenus pour quelques jours spontanés et gais lorsqu’il s’agissait d’évoquer la coupe du monde de foot, vont désormais jusqu’à taire leurs objectifs d’études pour ne pas donner d’idées aux copains devenus de fait, des rivaux potentiels. Car en embuscade, règne le redouté ParcourSup et son diktat.

C’est parce que le lycée est devenu un lieu où se côtoient et s’ignorent toutes les formes d’agressivité et toutes les sources de frustrations que l’on peut légitimement craindre que l’école hybride prônée par J. Attali soit bel et bien à la porte. C’est aussi pour cela qu’il y a tout à craindre de cette initiative d’une contention numérique de plus en plus envahissante.

Et les maths dans tout cela puisque, avec le français, ce sont elles qui sont visées ? Puisque ce sont elles que nous ne sommes apparemment plus capables de transmettre, au point d’avoir besoin d’aide. Puisqu’en outre c’est bien là mon seul domaine de compétence et que les mathématiques, objets de toutes les détestations, sont au cœur de tellement d’attentions supposées qu’on leur a même consacrées en novembre 2022 des « Assises. »

Et « assis », il s’agissait de l’être confortablement pour entendre Christophe Besse (Directeur de l’Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions — CNRS) remercier, après un bilan chiffré pourtant tragique concernant notamment la sous-représentation des maths pures (section 25) avec l’effondrement drastique du nombre de postes qui en l’espace de dix ans a été divisé par 4,5, Mr Pap N’Diaye pour son engagement. Mais lequel ?

Mr Besse affirmera quelques instants plus tard sans forcément trop y croire que : « Tout le monde aime les maths, mais ne le sait pas » (à tenter auprès des élèves, pourquoi pas ? mais j’ai quand même quelques contre-exemples en tête), avant d’oser un slogan pour le moins inattendu : « Le monde a envie de maths, » qui n’est pas sans nous rappeler le malaisant : « On a très envie de vous » des Jeunes avec Macron. J’étais finalement plus à l’aise avec la version initiale : « J’ai très envie de vous emmerder. »

Toujours est-il que bien que je sois convaincue de la sincérité de ce monsieur, si je devais consacrer un défenseur des maths, c’est vers le prix Nobel de physique Alain Aspect que je me tournerais bien plus volontiers, car il parle de « travail », « d’effort », « du désir de comprendre », « d’envie », « de passion et de patience » ; pas de compétitivité, d’objectifs à atteindre, d’entreprises à conquérir ou de parts de PIB :

Alors oui, sans surprise, les maths agonisent ; elles dépérissent et comment pourrait-il en être autrement lorsque en terminale, ce sont rien de moins que 9 grands thèmes qui doivent être « traités » (bâclés) en l’espace de quelques mois, l’épreuve de spécialité étant programmée mi-mars (du 20 au 22 mars 2023 plus exactement). Une aberration de plus de cette réforme en tous points absurde qui verra son funeste apogée à compter du 19 juin avec l’imposture du Grand Oral, changé en mauvais concours d’éloquence, car, à compter de cette année, les élèves n’auront plus le droit d’utiliser le tableau comme support pour leur exposé. Il ne manquerait plus qu’il y ait du contenu !8

On veut de l’artificiel. C’est pourtant facile à comprendre.

Le fait est qu’il est bien difficile de s’arranger avec la réalité, car les maths sont et resteront une discipline littéraire avant d’être numérique et surtout une discipline du temps long, même si c’est impopulaire dans une société où il faut aller vite, où tout se règle à grand coup de QCM et où il est mal vu de discuter, d’argumenter, de démontrer.

Les notions en maths ont besoin d’infuser ; elles sont besoin d’être observées dans différents milieux, différents contextes. Les objets mathématiques, bien qu’abstraits, ont besoin d’être manipulés. Quant aux erreurs, il leur faut de la place pour être commises puis réparées, car plus que tout, ce sont elles qui sont riches d’enseignement et conduisent à une compréhension complète et définitive. Ce sont elles qui nous font progresser que l’on soit prof ou élève.

Ce temps, nous l’avons bien compris, on ne veut pas nous le donner et en réalité, on ne souhaite pas nous le rendre. En dédommagement, on préfère investir dans une IA qui promet de nous en faire gagner, en l’optimisant.

Mais tutelle ou pas, le programme est tellement démesuré à défaut d’être ambitieux, que cela contraint, condamne à un enseignement dégradé et maltraitant auquel on a honte de participer ; que l’on a honte de dispenser, faute de le cautionner.

Un enseignement présenté de plus en plus fréquemment en « séquences » avec des thèmes tronçonnés, un programme parcouru de manière aléatoire, sans souci de cohérence, à raison du rythme infernal d’une notion par semaine, ne laissant de fait aucune chance aux élèves d’assimiler les outils abordés de manière pérenne.

C’est quoi le concept exactement quand, en première, on consacre quelques heures à l’aspect local de la dérivation avant d’enchaîner la semaine suivante sur la trigonométrie, suivie des probabilités, de l’aspect global de la dérivation puis enfin du produit scalaire ? Qu’est — ce qui peut bien motiver la décision de traiter les primitives en octobre et la continuité en janvier ? Je ne comprends pas.

Les défenseurs de cette stratégie suggèrent que cela rend les choses plus digestes ; sauf que les maths sont faites de structures et de correspondances.

Alors bien sûr, il y a toujours des élèves dociles ou résignés, souvent indifférents en réalité, qui ingurgitent la mixture sans passion et sans haine ; mais pour d’autres, en revanche plus impliqués, ces sauts de puce permanents exaspèrent et découragent.

Alors de grâce, STOP à cet enseignement, « ambiance Tontons Flingueurs » avec des chapitres éparpillés façon puzzle.

Car si l’on a bien une certitude, c’est que l’on est en train de dégoûter durablement ces jeunes de cette discipline alors que dans le même temps les effectifs fondent comme neige au soleil. Et ce n’est pas cette n-ième manipulation de l’1 h 30 de maths citoyennes (???) obligatoire en première à compter de la rentrée 2023 qui changera quoi que ce soit. Que cet ajustement de dernière minute ait les faveurs de Monsieur Pierre Mathiot (l’atout Blanquer à l’époque), directeur de Sciences-Po Lille, devrait suffire à inquiéter.

Quant à baisser encore le degré d’exigence en maths complémentaires et donner un accès plus large à cette option indépendamment du cursus de première, personne ne sera dupe de cette augmentation artificielle des effectifs.

Mettez fin à l’obligation d’abandonner une spécialité en terminale et l’on retrouvera les filles que tout le monde semble s’inquiéter de voir disparaître alors que l’on sait bien que les facs de médecine recommandent en grande majorité d’abandonner la spé maths au profit du couple physique/svt.

En mathématiques, on l’aura compris les effets de la réforme sont donc dramatiques et les conséquences dans le supérieur vont être dévastatrices avec, à terme, la fermeture en cascade de classes préparatoires9 d’ores et déjà largement boudées par les élèves. Comment reprocher cette frilosité à des jeunes gens bien conscients que le lycée ne joue plus de tout son rôle de tremplin vers le supérieur ?

Quant à former des ingénieurs de qualité, autonomes et créatifs, il ne faudra plus y compter. Tout au plus, par le conditionnement mis en place dans le secondaire, cette méthode globale appliquée aux maths et le « savoir-reproduire » à défaut de « savoir-faire », on peut espérer obtenir des promotions de « magasiniers de luxe ». À voir ensuite si les grands groupes, si courtisés, s’en contenteront ou s’ils préféreront eux aussi, des employés virtuels…

Mais il convient de relativiser, car après tout, des maths pour quoi faire10 ? Alors que vous pouvez être ministre de l’Économie et des Finances et ne pas savoir ce qu’est un hectare. Alors que vous pouvez gouverner un pays de 67 millions d’habitants en maîtrisant seulement trois chiffres : 4-9-3.

Nous sommes donc fin prêts à entonner avec les Goguettes (en trio, mais à quatre)11:

« Dans l’instruction, c’est la fin de l’abondance ; c’est la ruinance, c’est la ruinance. Mais nous en France, on a pris un peu d’avance ; c’est la ruinance, c’est la ruinance. »

Karen Brandin
Enseignante en structure indépendante
Docteur en théorie algébrique des nombres





Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
Le pacte avec Satan : le pouvoir absolu sur l’humanité
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation
Lettre ouverte à Éric Zemmour
Nos bourreaux ne se cachent même plus !
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]


« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière. Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle ? 

Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !

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« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! »

Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.

Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent  que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups de boutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivons comme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses ! C’est la fin que je nous souhaite !

Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel !

Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leurs prénoms ? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…

Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…

« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »

Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?

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Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.

« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »

Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?

Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque. Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT : « Affaire Dumas-Deviers-Joncour ». Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ». L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom ! Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces. L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi… Je l’ai rendu en intégralité à la Justice. Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins. Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux. Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être : « Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons ! Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.

Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix ! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?

Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature. Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence. Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes. Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie. Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté. Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment. Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs ! Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger. Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux. Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..

« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »

Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?

Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier,  pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !

« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »

Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?

Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis  témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.

En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires… », disent certains. L’harmonie universelle  leur est supérieure. Le choix est fait !

« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »

Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.

Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.