Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité

[Source : Guy Boulianne]

Par Guy Boulianne, éditeur et journaliste indépendant

Voici un article du Maître de conférences en relations internationales, Dr David A. Hughes, intitulé “Qu’y a-t-il dans les soi-disant « vaccins » COVID-19 ? Partie 1 : Preuve d’un crime mondial contre l’humanité” (What is in the so-called COVID-19 “Vaccines”? Part 1: Evidence of a Global Crime Against Humanity). Cet article a été publié dans le dernier numéro du “Journal international de la théorie, de la pratique et de la recherche sur les vaccins” (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research).  L’IJVTPR est une revue savante en libre accès à comité de lecture concernant le développement, la distribution et le suivi des vaccins et de leurs composants. Tout le contenu est disponible gratuitement et sans frais pour l’utilisateur ou son institution. Les utilisateurs peuvent lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou créer un lien vers les textes intégraux des articles, ou les utiliser à toute autre fin licite. L’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur n’est pas requise, mais les demandes de renseignements et les lettres nous informant de l’utilisation légale de l’un de nos documents publiés sont les bienvenues. Toutes les œuvres sont sous licence Creative Commons License 4.0 NC ND.

David Hugues est né et élevé dans le Lincolnshire. Sa carrière universitaire l’a conduit à travers le monde avant de finalement rentrer chez lui. Après avoir terminé ses études de premier cycle et de maîtrise à Oxford, David a fait son premier doctorat. en études allemandes à Duke University (USA) où il a reçu deux bourses de recherche de 12 mois pour étudier en Allemagne. Avant de venir à Lincoln, David a obtenu un deuxième doctorat. en relations internationales de l’Université d’Oxford Brookes. Il a ensuite travaillé à l’Université d’East Anglia, au Royal Holloway, à l’Université de Londres, où il a remporté un prix d’excellence en enseignement, et à l’Université de Nottingham Trent. Membre de l’Académie de l’enseignement supérieur, David a enseigné toute la gamme des modules de relations internationales et croit fermement qu’il faut amener les étudiants à penser de manière critique.

David Hugues est le responsable du programme de la maîtrise en relations internationales. Auparavant, il a siégé au conseil académique de l’Université et au comité des affaires académiques du Collège des sciences sociales et a agi en tant que responsable des affaires académiques pour l’École des sciences sociales et politiques. Il a également agi en tant que tuteur de niveau 2, responsable de l’apprentissage numérique et représentant de l’école au Centre de développement professionnel. Il est spécialisé dans le Covid-19; la propagande; la guerre psychologique; l’impérialisme américain et le marxisme.

Résumé

Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les “vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins » COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu. Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de Rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.

[Voir aussi :
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
et le dossier Vaccins et virus]

Introduction

En l’espace de 13 mois (juillet 2021-août 2022), des preuves matérielles d’ingrédients non divulgués dans les « vaccins » COVID-19 ont été rendues publiques par des chercheurs indépendants en Espagne (Pablo Campra, rapports ici et ici; La Quinta Columna, rapports iciiciici et ici), les États-Unis (Carrie MadejRobert O. Young, son reportage ici, « Andy Vie », et un chercheur anonyme), l’Afrique du Sud (Zandre Botha), la Pologne (Franc Zalewski), l’Autriche (ici), Australie (scientifiques, médecins et chercheurs anonymes), Israël (Shimon Yanowitz), Nouvelle-Zélande (Robin Wakeling, suivi ici, et le groupe anonyme Life of the Blood), Allemagne (Bärbel GhitallaAndreas NoackHolger Reissner, et le Vaccines Education Working Group), Argentine (Martin Monteverde et collègues), Chili (rapport ici), Royaume-Uni (Philippe van WelbergenRichard D. Hall et Robert Verkerk), Canada (Daniel Nagase), FranceCorée du sud (ici et ici), et l’Italie.

C’est plus que suffisamment de preuves, provenant d’au moins 26 chercheurs/équipes de recherche distincts dans 16 pays différents sur les cinq continents, pour mettre en évidence le danger clair et actuel auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des “vaccins” COVID-19. Quel est le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (70 % de la race humaine), y compris des enfants et des nourrissons ? Examiné sous un grossissement puissant, le contenu des flacons semble contenir une variété d’objets et de structures inhabituels pour lesquels les ingrédients déclarés du “vaccin” ne tiennent pas compte. Ceux-ci comprennent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines et des « microbulles ». Le sang des personnes ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19 apparaît, cas après cas (94 % des cas selon Giovannini et al. 2022), contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, avec des globules rouges généralement en formation de Rouleaux. Les effets sur le sang sont si prononcés qu’une étude a révélé que l’intelligence artificielle peut être entraînée pour détecter la différence entre le sang « vacciné » et « non vacciné » avec un taux de précision de plus de 98 %.

Certains chercheurs affirment que les artefacts non divulgués contenus dans les « vaccins » COVID-19 s’auto-assemblent en nanotechnologie. Bien que cela semble absurde au premier abord, considérez certaines des images de grossissement les plus élevées que nous sommes sur le point de voir :

Source : Life of the Blood (grossissement 4 000x).
Source : La Quinta Columna (grossissement 1 200x).

Ce que nous examinons ici n’est pas clair, mais à première vue, cela ressemble à une sorte de circuit. Une telle imagerie demande une explication. Les résultats présentés dans cet article déplacent le débat sur les « vaccins » COVID-19 vers un nouveau territoire. Les dangers des injections résident non seulement dans les ingrédients déclarés — le PEG toxique des nanoparticules lipidiques, l’ARNm qui programme le corps humain pour produire des protéines de pointe nocives, etc. (cf. Seneff & Nigh, 2021) — mais aussi, et peut-être pour une bien plus grande mesure, dans les ingrédients non divulgués. Dans ce qui suit, plus de 100 pages d’images microscopiques démontreront au-delà de tout doute raisonnable que les “vaccins” COVID-19 ne sont pas ce qu’on nous a dit qu’ils sont, c’est-à-dire des moyens sûrs et efficaces de prévenir la maladie. Au contraire, ils semblent être fortement chargés de corps étrangers, ainsi que d’instructions permettant aux cellules humaines de fabriquer des corps étrangers, qui s’avèrent profondément nocifs pour la santé humaine.

Ces corps étrangers sont présents dans toutes les grandes marques : BioNTech-Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, et autres. Il apparaît donc, d’après ce que nous savons jusqu’à présent, que tous les fabricants, tous les régulateurs et tous les gouvernements, avec le soutien des médias de l’establishment, sont complices de, et doivent activement avoir conspiré pour commettre, ce qui équivaudrait au crime le plus grave contre l’humanité de tous les temps, c’est-à-dire la tentative d’injection de toute la race humaine (à l’exception des auteurs) avec des substances/technologies toxiques non divulguées sans le consentement éclairé de quiconque. Il ne peut y avoir de recherche plus urgente à notre époque que celle des « vaccins » COVID-19.

Conclusion

Cet article présente les preuves de 26 études sur le contenu des « vaccins» COVID-19 menées dans 16 pays différents sur cinq continents sur une période de 13 mois, de juillet 2021 à août 2022. Toutes convergent vers des résultats similaires pointant vers des ingrédients non divulgués. dans les “vaccins”. Pfizer suivi de Moderna semblent être les pires coupables, bien que tous les « vaccins » COVID-19 correspondent au modèle. La conclusion inévitable est que le public de tous les pays s’est fait systématiquement mentir sur le contenu des « vaccins » COVID-19.

Implications scientifiques

Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Comme Lee et al. l’ont dit, « d’autres études, y compris la pleine force des outils de la nanoscience, la nano-ingénierie hybride de vers trans synthétiques et d’autres approches, devraient être menées dès que possible » (2022, 260). Il faut faire plus et mieux. Il y a, pour citer Wakeling, « beaucoup plus de possibilités pour plus de travail pour plus de gens […] Beaucoup plus de recherche citoyenne, un débat solide et une diligence raisonnable sont nécessaires avant de tirer des conclusions ou de prendre des décisions ».

Pourtant, les signes semblent sombres. Le plus troublant de tous est la prise de sang. Étude après étude, pays après pays, exactement les mêmes résultats apparaissent dans le sang « vacciné », c’est-à-dire des tubes géants, laids, contre nature et translucides assis grotesquement parmi les globules rouges décimés qui ont été envoyés dans la formation Rouleaux. Merriam-Webster définit un poison comme « une substance qui, par son action chimique, tue, blesse ou altère généralement un organisme ». Cela semble être le cas ici. Il semble y avoir très peu d’exceptions. Pratiquement tous les échantillons de sang « vacciné » examinés dans ces multiples études semblent avoir succombé au même sort, alors qu’aucun échantillon « non vacciné » (autre qu’une poignée revendiquée par van Welbergen) ne semble montrer autre chose que des globules rouges sains. Étant donné que la formation de Rouleaux de globules rouges est normalement associée aux patients atteints de maladies chroniques, « entraîne une altération de la perfusion et de l’oxygénation des tissus », et peut entraîner des caillots sanguins potentiellement mortels (Kibria et al. 2014 ; Wagner et al. 2013), ces résultats sont dévastateurs, surtout compte tenu du fait que 5,33 milliards de personnes — plus des deux tiers de la population mondiale — ont reçu l’injection. Quel avenir pour ces personnes ?

Lee et al. (2022, pp. 258-9) citent des études démontrant les dommages graves causés par les « vaccins » COVID-19, y compris le syndrome d’immunodéficience acquise induite par un vaccin (VAIDS), une sensibilité accrue à diverses infections et cancers, la myocardite et des anomalies neurologiques. Les données de diverses armées révèlent également une augmentation des

crises cardiaques, en hausse de 269 % ; cancers en hausse de 300 % ; péricardite en hausse de 175 % ; l’embolie pulmonaire a augmenté de 467 % ; Syndrome de Guillain-Barré en hausse de 250 % ; irrégularités menstruelles en hausse de 476 % ; la sclérose en plaques a augmenté de 487 % ; les signalements de douleurs thoraciques ont augmenté de 1 529 % ; la respiration laborieuse observée a augmenté de 1 052 % — tout cela par rapport aux données de base obtenues avant l’administration de tout vaccin COVID-19 (Lee et al. 2022, p. 258 ; voir également Salazar, 2022).

Encore une fois, qu’est-ce que cela présage pour l’avenir ? S’agit-il de sociétés aux prises avec des maladies chroniques là où il y a eu une forte adoption du « vaccin », dans le contexte de systèmes de santé déjà surchargés ?

Des études sur de grands échantillons de sang de patients ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19, ainsi que sur du sang « non vacciné » et le contenu du « vaccin » lui-même, doivent maintenant avoir lieu en priorité. En ce qui concerne le premier, des études suffisamment puissantes sont nécessaires pour enregistrer le nombre d’injections reçues et quand, le(s) fabricant(s), le temps écoulé depuis la dernière injection, l’âge et le sexe du patient, la présence de problèmes de santé sous-jacents, la nature et l’étendue des déformations sanguines, etc. Il est impératif d’établir dans quelle mesure la signature sanguine identifiée ci-dessus est présente dans la population des personnes « vaccinées ». Est-il vrai qu’il existe une différence qualitative entre le sang des patients « vaccinés » et « non vaccinés » ? Si c’est le cas, alors de grandes questions éthiques se posent, comme s’il devrait y avoir des approvisionnements séparés en sang « vacciné » et « non vacciné » et qui reçoit quel type en cas de transfusion ?

Quelles sont les grandes “fibres” translucides qui semblent apparaître dans presque tous les échantillons de sang des patients “vaccinés” mais pas des patients “non vaccinés” ? D’où viennent-ils ? Comment en sont-ils arrivés à être si gros (certains approchant apparemment 1 mm), étant donné qu’aucun élément trouvé dans les « vaccins » eux-mêmes n’est aussi gros ? Continuent-ils à grandir ? Comment est-il possible qu’une ou plusieurs injections de 0,25 mL de « vaccin » créent autant de corps étrangers dans le sang ? La programmation de l’ARNm n’est-elle pas seulement la production de protéines de pointe, mais également la production et l’auto-assemblage d’autres structures ?

Plus important encore, les objets étrangers présentés ci-dessus restent-ils dans le corps humain ou sont-ils finalement filtrés ? Si les contaminants contiennent de l’oxyde de graphène, une substance 100 fois plus résistante que l’acier avec une température de fusion quatre cinquièmes aussi élevée que la surface du soleil, il semble peu probable que le système immunitaire soit capable de les combattre, comme nous l’avons vu avec éclatement des neutrophiles. Des études soigneusement conçues et suffisamment puissantes sont donc nécessaires pour tester le sang « vacciné » au fil du temps. Si les corps étrangers sont progressivement filtrés, alors le « programme de rappel » vise-t-il à conditionner la population à accepter des injections régulières pour que la technologie puisse être « rechargée » ? Peut-on trouver des remèdes ou des traitements pour aider à se débarrasser de ces corps étrangers ? Peut-on faire quelque chose pour inverser les formations de rouleaux et de bavures des globules rouges vues ci-dessus ? Celles-ci semblent maintenant être parmi les questions médicales les plus urgentes de notre époque.

Il est important de mener des études approfondies sur le sang « non vacciné ». Si van Welbergen a raison de dire que même les personnes “non vaccinées” peuvent afficher le type de signature d’analyse sanguine observée chez les “patients vaccinés” (il est le seul scientifique de cet article à faire cette affirmation), alors soit l’excrétion de contaminants est réelle, soit les gens sont empoisonnés par d’autres moyens que le « vaccin ».

En termes d’analyse du contenu des « vaccins » COVID-19, la première priorité doit être d’utiliser les équipements de microscopie et de spectroscopie les plus avancés disponibles afin de confirmer ou de discréditer les images extraordinaires produites par Life of the Blood à un grossissement de 4 000x. S’il est vrai que chaque goutte de “vaccin” contient une flotte de nano antennes apparentes, de “cordons” et de “cartes mères”, alors une analyse plus approfondie est nécessaire pour confirmer ce qu’il en est. Il s’agit de savoir si les corps étrangers présents dans les injections sont bien une forme de nanotechnologie, s’il y a bien auto-assemblage de composants et, si oui, comment cela se fait. S’il s’agit de nanotechnologies, pourquoi y a-t-il tant d’objets dans les « vaccins » mesurant dans la gamme du micron ? Nous avons besoin de confirmation pour savoir si oui ou non le graphène/oxyde de graphène/hydroxyde de graphène, ainsi que d’autres métaux comme le bismuth, le titane, le silicium et l’antimoine, sont présents dans les « vaccins ». Nous devons savoir si les « vaccins » contiennent des parasites et d’autres organismes vivants. Nous devons savoir ce que sont les « gousses », « éclats » et « œufs » identifiés ci-dessus. Et, à la lumière de l’analyse de Wakeling du “vaccin” Afluria Quad, nous devons examiner d’autres “vaccins” non COVID pour découvrir dans quels autres types de “vaccins” ces composants non déclarés sont présents. Si les résultats ci-dessus sont confirmés, nous devons savoir qui est responsable des ingrédients non divulgués dans les « vaccins », où se trouvent leurs laboratoires, et nous devons mettre ces laboratoires en pièces.https://vk.com/video_ext.php?oid=470962009&id=456241084&hash=057e1b8ae37bc30c&hd=2

Comité spécial sur la pandémie de COVID-19 (Special Committee on COVID-19 pandemic) avec la présidente des marchés internationaux chez Pfizer, Janine Small. Parlement européen. (10 oct. 2022)

Implications politiques

Le rôle des régulateurs dans tout cela, incarné par leur mantra selon lequel les « vaccins » COVID-19 sont « sûrs et efficaces », est horrible. Comme le notent les chercheurs autrichiens, de simples microscopes optiques avec un grossissement relativement faible sont suffisants pour capturer des preuves de particules surdimensionnées. Pourquoi donc l’Institut Paul Ehrlich n’a-t-il pas détecté ces particules ? La Quinta Columna demande de la même manière : étant donné qu’il existe des « multitudes de particules de taille microscopique » dans les « vaccins » COVID-19, pourquoi l’EMA n’a-t-elle pas relevé cela ? C’est pareil partout dans le monde. Les médecins coréens, par exemple, écrivent :

« Il est étonnant pour nous, en tant que médecins cliniciens et chercheurs en exercice, qu’il n’y ait pas eu d’évaluation microscopique intensive jusqu’à l’échelle nanométrique avant l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 au ministère de la sécurité alimentaire et médicamenteuse en Corée du Sud […] et ailleurs dans le monde. » (Lee et al. 2022, p. 261)

Van Welbergen souligne le rôle de Dame June Raine à la tête de la MHRA britannique : elle a approuvé l’EUA pour le “vaccin” Pfizer bien qu’elle ait admis sur la BBC qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il contenait. Lorsqu’elle a été pressée de demander à Pfizer les ingrédients, Pfizer a simplement refusé de les divulguer, mais Raine a publiquement défendu Pfizer. Le CDC américain insiste, contrairement aux preuves spectroscopiques ci-dessus, sur le fait que les « vaccins COVID-19 ont subi – et continuent de subir – la surveillance de sécurité la plus intensive de l’histoire des États-Unis » et qu’ils ne contiennent « aucun métal tel que le fer, le nickel, le cobalt, titane, alliages de terres rares, ou tout produit manufacturé comme la microélectronique, les électrodes, les nanotubes de carbone ou autres nanostructures, ou les nanofils semi-conducteurs ». Les alternatives éprouvées, sûres et efficaces aux « vaccins », telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été rigoureusement supprimées. Robert Verkerk le dit simplement : les régulateurs sont « en profondeur ».

Cependant, il n’y a pas que les régulateurs. Comme l’observe Wakeling, « des preuves ont été présentées aux gouvernements, aux organismes de réglementation et aux tribunaux, sans aucun effet. Ce n’est pas pris au sérieux. » Pratiquement tous les gouvernements du monde, en particulier en Occident, ont déployé des efforts considérables pour administrer les injections de « COVID-19 » au plus grand nombre de personnes possible, y compris en étendant le déploiement aux enfants en l’absence de toute preuve scientifique crédible pour le faire. (Hugues, 2022). Dans certains pays, la « vaccination » est devenue une condition d’emploi dans certaines professions ou de formation. Une tentative transnationale est toujours en cours pour introduire des « passeports vaccinaux » qui rendraient la participation quotidienne à la société dépendante de la prise régulière de ces poisons (Tony Blair en est le champion au Royaume-Uni et a reçu le rare honneur de l’Ordre de la Jarretière pour ses efforts). La profession juridique n’a pratiquement rien à dire sur les tentatives illégales et inconstitutionnelles de gouvernements après gouvernements d’imposer une « vaccination » de masse. Les médias de l’establishment ont facilité une attaque de propagande 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, terrorisant et faisant honte au public pour qu’il se conforme et diabolisant les « refuseniks » prétendument responsables d’une « pandémie de non vaccinés ». La profession médicale a été responsable de l’administration des injections (médecins généralistes britanniques incités à hauteur de 12,58 £ par injection) et de ne pas avoir fourni les informations nécessaires au consentement éclairé. Le milieu universitaire a maintenu son silence rigoureux habituel lorsqu’il s’agit de vraiment dire la vérité au pouvoir. En somme, toutes les professions ont manqué simultanément à leur devoir envers le public. Tous sont complices de ce qui se joue actuellement.

A moins que les 26 chercheurs et équipes de recherche évoqués dans cet article ne se trompent tous lourdement, nous nous penchons sur ce que le médecin néo-zélandais Matt Shelton appelle « le plus grand crime de l’histoire, sûrement », c’est-à-dire l’injection de milliards de personnes, sans leur consentement éclairé, avec des substances non divulguées qui causent manifestement des dommages et dont l’objectif secret ne peut être que néfaste. À tout le moins, nous assistons à la violation la plus flagrante du Code de Nuremberg et à ce que Richard D. Hall appelle « le plus grand crime jamais commis contre l’humanité », certainement en termes de nombre de personnes touchées. De plus, selon Holger Reissner (à 42 minutes, faisant écho à la métaphore de la « micro lame de rasoir » d’Andreas Noack), la nature semblable à un éclat d’obus du prétendu oxyde de graphène à l’intérieur du corps provoque des souffrances inutiles et donc, si sa présence est prouvée, constitue un crime de guerre en violation des Conventions de Genève. Selon Maria Zee, si les régulateurs savaient que l’oxyde de graphène, une substance toxique, était présente dans les “vaccins”, ils sont responsables d’un génocide.

Les allégations de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de génocide attirent nécessairement l’attention sur les militaires et soulèvent de sombres questions quant au véritable objectif des « vaccins », dont nous savons qu’ils n’empêchent ni la transmission ni l’infection du « SARS-CoV-2 » (subramanien et Kumar, 2021 ; Wilder-Smith, 2021). Même le Premier ministre britannique a affirmé : « Cela ne vous empêche pas d’attraper la maladie et cela ne vous protège pas de la transmettre. » En d’autres termes, les “vaccins” COVID-19 ne sont pas en fait des vaccins, car ils ne confèrent pas d’immunité et promettent simplement de réduire les symptômes, comme un médicament ou un traitement. Ce n’est qu’en modifiant la définition de « vaccin » que le CDC a pu les inclure dans cette catégorie (Hughes, 2022, p. 210). Bill Gates, Anthony Fauci et d’autres ont admis que l’efficacité des vaccins “COVID-19” s’estompe en quelques mois, mais plutôt que d’abandonner un produit défectueux, ils l’ont utilisé comme prétexte pour pousser des “injections de rappel” — de plus en plus d’injections dans plus et plus la population (Loffredo, 2021). Pourquoi ? Quel est le véritable programme ici ? Ce sujet est abordé dans la partie 2 de cet article, qui traite des motifs du crime mondial contre l’humanité qui a apparemment eu lieu.




Un ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

[Source : lemediaen442.fr]

Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace :

« Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j’ai réalisé que nous étions dupés et qu’il s’agissait d’argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… »



La servitude volontaire par la peur

« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »

Goering, Le Journal de Nuremberg, Gustave Gilbert, 1947

Le marketing de la honte

« Même dans les pays où le régime de confinement était le plus strict, comme en France, les autorités sanitaires insistaient sur la nécessité de passer un peu de temps à l’extérieur chaque jour. […] Cela permettra de créer des liens plus profonds et plus personnels au niveau individuel avec les éléments “macro” que nous avons évoqués plus tôt concernant la préservation de nos écosystèmes et la nécessité de produire et de consommer de manière respectueuse de l’environnement. »

Covid-19 : la grande réinitialisation, Klaus Schwab, Thierry Malleret, 2020 Forum économique mondial

La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ». Il s’agit  de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

L’utilisation de la culpabilité se multiplie autant dans les campagnes de prévention (campagne 2014 de la sécurité routière « Trop vite, trop tard. On ne regrette de rouler trop vite que quand il est trop tard ») ou de santé publique (« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ») mais également pour des publicités de produits (« se faire plaisir sans mauvaise conscience » avec la Honda CR-Z Hybrid).

Le marketing de l’écologie

Un exemple : les bouteilles ne sont plus consignées. On  peut toujours taper « bouteilles consignées » sur Service-Public.fr : aucun résultat. Vous n’y êtes pour rien si elles ne sont pas reprises par les commerces, mais si vous les jetez, c’est votre faute. Ça met la planète en danger. En revanche, si vous tapez tri sélectif, vous avez l’embarras du choix. Le ministère de l’écologie vous explique tout en détail : « par exemple, le carton d’emballage de la boîte de biscuits doit être séparé de la barquette en plastique ou du film, avant d’être jeté dans le bac de collecte. »…Les déchets de verre sont à déposer en général au niveau de points d’apport volontaire qui leur sont spécifiques. » Vous remarquerez que les belles bouteilles soigneusement vidées par les amateurs de bon vin, sont déjà  qualifiées de « déchets ».

Suivez l’argent…

Si vous triez les bouteilles (c’est-à-dire si vous les cassez) dans une poubelle spéciale, c’est bien, vous êtes éco-responsable. Tout-à-fait accessoirement l’industrie du verre va prospérer. O-I FRANCE est le principal fabricant de bouteilles en Europe et domine le marché français. Son chiffre d’affaires de 2021 frôlait les 800 millions d’euros. Sa maison mère (actionnaires majoritaires : Fidelity et Vanguard) a réalisé un bénéfice de 6,4 milliards de dollars en 2021. Selon une enquête mondiale menée en 2014 par le groupe marketing Nielsen sur la Responsabilité sociale des entreprises, 52 % des consommateurs dans le monde seraient prêts à payer davantage pour des produits fabriqués par des entreprises engagées sur le plan environnemental et social. Actuellement, la facture d’énergie de la verrerie de Puy-Guillaume représente 20 % des coûts fixes. Est-ce bien éco-responsable ?

Côté plastique, après avoir détruit les petits commerces où on pouvait faire ses courses avec un panier, le gouvernement favorable aux grandes surfaces se rachète une moralité en interdisant les concombres sous cellophane, les poires en barquette, les courgettes en sachet plastique. Tout le reste peut rester emballé (surtout dans les McDo Drive).

On vous laisse sur le refrain qu’entonne la joyeuse bande du prince Charles, Bill Gates & Cie dans les sélects clubs Bilderberg et Davos.




L’OMS met en garde contre une augmentation « inhabituelle » des cas de myocardite grave chez les bébés

[Source : epochtimes.fr]

Par OWEN EVANS

Les autorités britanniques enquêtent sur une augmentation « inhabituelle » de la myocardite sévère qui a touché 15 bébés au Pays de Galles et en Angleterre et en a tué au moins un, a annoncé l’Organisation mondiale de la santé.

Mardi, l’OMS a lancé une alerte concernant une augmentation de la « myocardite sévère » chez les nouveau-nés et les nourrissons entre juin 2022 et mars 2023 au Pays de Galles et en Angleterre.

Elle a précisé que cette augmentation était liée à des infections à entérovirus, qui affecte rarement le cœur.

[Voir aussi :
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie :

Les invités ont participé à une « simulation sur table » dans laquelle un entérovirus mortel originaire d’Amérique du Sud en 2025 se propage dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Les enfants seront particulièrement vulnérables à cette maladie, qui fait partie de la famille des virus de la polio.

Rappel : Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

Note de Joseph : l’utilité des « virus » pathogènes (qui n’ont pourtant jamais été scientifiquement isolés, purifiés et caractérisés biochimiquement — voir le dossier Vaccins et virus — est de masquer les causes réellement néfastes sur la santé que sont par exemple les vaccins, les pseudo vaccins à nanoparticules graphénisées, les ondes électromagnétiques pulsées — dont le Wi-Fi et la 5 G —, les pesticides, les additifs alimentaires, les médicaments chimiques de Big Pharma, etc.).
Comme ces causes sont mondialement répandues et présentes dans presque tous les pays du monde, il est facile ensuite de les faire passer pour des épidémies ou des pandémies prétendument « virales ».]

Un porte-parole de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a confirmé à Epoch Times que dix bébés avaient été diagnostiqués au Pays de Galles et cinq en Angleterre.

L’OMS a déclaré que :

« Bien que les infections à entérovirus soient courantes chez les nouveau-nés et les jeunes nourrissons, l’augmentation signalée des cas de myocardite avec issue grave chez les nouveau-nés et les nourrissons associés à une infection à entérovirus est inhabituelle ».

Elle a ajouté que dans le même hôpital (couvrant la région du sud du Pays de Galles), au cours des six dernières années, « un seul autre cas similaire a été identifié ».

L’OMS a estimé que le risque pour la santé publique était faible, mais a ajouté que dans certaines situations, il « peut être conseillé de fermer les crèches et les écoles pour réduire l’intensité de la transmission ».

Toutefois, l’OMS a levé l’alerte mercredi. Epoch Times estime que cela pourrait être dû au fait que certains chiffres n’étaient pas corrects.

L’OMS n’a pas répondu à la demande de commentaire d’Epoch Times.

Enquête

Les autorités d’Angleterre et du Pays de Galles enquêtent actuellement sur l’augmentation du nombre de cas.

Le Dr Shamez Ladhani, pédiatre-conseil à l’UKHSA, a déclaré par mail à Epoch Times que « compte tenu d’un nombre de cas supérieur à la moyenne au Pays de Galles au cours des mois d’automne et d’hiver chez de très jeunes bébés, l’UKHSA étudie la situation en Angleterre pour voir si des cas similaires ont été observés ici et s’il existe des facteurs à l’origine de l’augmentation du nombre de cas ».

L’UKHSA n’a pas répondu aux questions concernant l’exclusion de tout lien avec les effets du vaccin Covid-19.

Début mai, Public Health Wales a annoncé qu’elle enquêtait sur un groupe d’infections graves à entérovirus avec myocardite survenues chez de très jeunes bébés de la région du sud du Pays de Galles.

Les cas sont apparus à partir de juin 2022, avec un pic en novembre 2022 chez des bébés âgés de moins de 28 jours.

Dix bébés ont développé une myocardite au sein de ce groupe. Un bébé est toujours hospitalisé, huit sont pris en charge en ambulatoire et un bébé est décédé.

Une question de taille

Le Dr Clare Craig, pathologiste consultante et membre de HART, a déclaré à Epoch Times que « la question de savoir si ces bébés ou leurs mères ont été vaccinés ou non se pose avec acuité ».

HART est une organisation qui a été créée pour partager les inquiétudes concernant les politiques et les recommandations relatives à la pandémie de Covid-19.

« Le Coxsackievirus fait partie d’une famille de virus appelés entérovirus et est l’une des causes les plus courantes de myocardite virale », a-t-elle déclaré.

« Et nous avons constaté que, comme pour d’autres virus, le diagnostic de Coxsackievirus a diminué massivement en 2020, lorsque le SRAS-COV 2 est arrivé. »

Elle a ajouté que le nombre total de personnes atteintes de myocardite après 2020 est resté le même, ce qui suggère que « le SRAS-COV 2 a comblé la niche » laissée par le Coxsackievirus.

« Mais le vaccin est arrivé et, à partir de 2021, le taux d’incidence de la myocardite est monté en flèche », a-t-elle ajouté.

« Les autorités de santé publique affirment qu’elles veulent maintenir la confiance, mais elles n’explorent pas ces pistes pour écarter les inquiétudes », a-t-elle expliqué.

Un délai relativement court

Le Dr Christopher Williams, épidémiologiste consultant pour Public Health Wales, a déclaré par mail à Epoch Times que les réactions à l’infection « restent extrêmement rares ».

Il a ajouté que « l’entérovirus est une infection courante de l’enfance, qui provoque une série d’infections, notamment des maladies respiratoires, la fièvre aphteuse et la méningite virale ».

« Chez les très jeunes bébés, l’entérovirus peut, dans de rares cas, provoquer une maladie grave au cours des premières semaines de vie. La plupart des bébés et des enfants se rétablissent complètement après une infection à entérovirus », a-t-il ajouté.

Le Dr Williams a rappelé que cette infection « n’affecte le cœur qu’en de très rares occasions ».

« Ce groupe est inhabituel en raison du nombre de cas signalés dans un laps de temps relativement court. Des investigations sont donc en cours en collaboration avec l’équipe pédiatrique de l’hôpital pour enfants du Pays de Galles afin d’en comprendre les raisons et d’enquêter sur tous les autres cas qui pourraient être signalés dans les semaines et les mois à venir », a-t-il indiqué.

« Les parents doivent être rassurés : bien qu’il y ait eu une augmentation du nombre de cas, il s’agit toujours d’un événement extrêmement rare », a précisé le Dr Williams.







Des personnalités connues ont refusé l’injection

[Source : Ciel Voilé]






Infertilité : un agenda diabolique — un film d’Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy

[Source : kla.tv]

« Diriger la procréation avec sagesse — pour améliorer l’adaptabilité et la diversité », tel est [était. Voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial et Les Georgia Guidestones explosées] le deuxième commandement des Georgia Guidestones depuis 1980, juste après le premier qui vise à réduire la population mondiale. Mais qui s’arroge le droit de décider de l’une des décisions les plus fondamentales des jeunes femmes, celle d’avoir un enfant ? Le documentaire suivant, « Infertilité : un agenda diabolique », une coproduction du cinéaste Andrew Wakefield, de Robert F. Kennedy et de Children’s Health Defense, donne un aperçu effrayant du travail de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pendant 20 ans, des recherches ont été menées sur un vaccin qui, en supprimant l’hormone de grossesse, devait entraîner des fausses couches. L’administration du vaccin a eu lieu au Kenya dans le cadre d’une vaccination contre le tétanos, à laquelle a été ajoutée la substance active nuisible à la grossesse. Ce n’est que grâce à l’engagement inlassable de médecins courageux que ce crime a été mis à la lumière.

Regardez et écoutez maintenant directement de la part des personnes concernées des faits et des preuves évidentes de l’approche criminelle de l’OMS. Étant donné que sa politique internationale de santé est jusqu’à présent dirigée par des donateurs privés comme Bill Gates — un partisan de l’eugénisme et du contrôle de la population — le temps est venu de changer cette mauvaise pratique.

C’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir contribuer à la diffusion de ce documentaire dans le monde entier.

de jmr/nm

Sources/Liens :




Projet totalitaire et psychose collective

[Source : Anthropo-logiques]






La Tyrannie Numérique

[Source : AVATAR Media]

[Sur l’illustration :

Attention !
Nous sommes désolés. Nos dossiers indiquent que vous avez donné de l’argent à des activités non autorisées.
Votre compte a donc été suspendu pour 14 jours.

]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal.

[Comment l’informatique facilite la tyrannie planétaire.
Voir aussi :
Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Pourquoi la Chine craint : cest un bêta-test pour le Nouvel Ordre Mondial et un modèle pour les mondialistes
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
Changer le Système ?]




Interdit de parler de ça !

[Source : covidhub.ch]

Senta Depuydt est journaliste et mère d’un enfant qu’elle a réussi à délivrer de l’autisme après des recherches inlassables qu’elle retrace ici de manière émouvante.

Après des années, Senta Depuydt a fini par découvrir une approche biomédicale, utilisant notamment des prescriptions nutritionnelles, qui ont rendu de façon spectaculaire la santé psychique à son fils.

[Voir aussi :
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Dossier Vaccins et virus]

Impossible de faire savoir

La journaliste belge a voulu partager ces informations à d’autres parents, et rassembler les connaissances, expériences et témoignages lors d’un congrès scientifique en 2016, en présence entre autres du Prix Nobel Luc Montagnier.

Et c’est là qu’elle se heurte à un puissant système qui répond à ces recherches indépendantes par la répression et le discrédit. Car l’un des points soulevés était le lien de plus en plus vérifié entre l’autisme et un certain nombre de vaccins administrés toujours plus massivement aux enfants et aux bébés.

Le film qui devait lancer le débat…

Senta Depuydt a participé à la diffusion d’un documentaire, immédiatement dénoncé comme complotiste : VaxxedFrom Cover-Up to Catastrophe (Vaccinés — de la dissimulation à la catastrophe).

Pourtant, le film commence par le puissant aveu de William Thompson, un scientifique du CDC (l’agence publique de contrôle des maladies), qui aurait dû lancer un débat public immédiat : « J’ai honte, nous avons menti, nous avons manipulé les données pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination ».

Et pourtant, les chiffres sont là

Pour rappel, les États-Unis sont le pays qui vaccine le plus et le plus tôt les nouveau-nés, et c’est aussi la région du monde où le niveau d’autisme est le plus élevé, avec un enfant touché sur 44 naissances en 2021. En 2016, ce taux s’élevait à un enfant sur 68 et en 2002 à un enfant sur 150.

Or, comme pour le Covid quelques années plus tard, le débat sera tout simplement interdit. Senta Depuydt a beau organiser des projections et des conférences, ou alerter des députés au Parlement européen, en vain.

La réponse violente du système

La réponse du complexe pharmaceutico-médical sera particulièrement violente, raconte-t-elle : censure, lynchage médiatique, persécution des scientifiques et des témoins, manipulation des données…

La journaliste se rend compte peu à peu qu’elle a affaire à un agenda global de vaccination et de sécurité sanitaire — « un véritable coup d’État mondial ». Qu’il s’agisse de l’autisme ou du Covid, on fait face aux mêmes stratégies, mêmes narratifs livrés aux autorités et aux médias, même fake news et fact checkings.

Pour renforcer en Europe la prise de conscience et avant tout la protection des enfants, elle a proposé à Robert Kennedy Jr (qui dénonce depuis longtemps les vaccinations massives aux États-Unis) de fonder une section européenne de son organisation Children’s Health Defense.

Conférence :






Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial

[Source : multipolaristen.de via RI]

Notre lutte antisataniste, la cinquième colonne et la desouverainisation généralisé

Une contribution à la méthodologie multipolariste

Par Peter Töpfer

Pour assurer la victoire de la multipolarité et la défaite de l’unipolarité sataniste, il s’agit pour nous, en Europe centrale et en Occident, de soutenir les forces patriotiques russes en tant qu’avant-garde de la multipolarité, mais aussi et surtout de ne pas soutenir ce que Alexandre Douguine appelle la cinquième colonne à l’intérieur de la Russie, c’est-à-dire les agents satanistes.  

Bien entendu, nous devons faire de même en Europe centrale et en Occident : lutter pour l’indépendance et la souveraineté de notre pôle, c’est-à-dire unir toutes les forces multipolaristes sur place. C’est nécessaire pour pouvoir mener victorieusement ce combat difficile. 

En Europe centrale et en Occident, notre devoir ne peut pas être de fermer les yeux sur l’existence d’une cinquième colonne. Nous devons essayer de faire la distinction, dans chaque situation, entre les forces patriotiques multipolaires et la cinquième colonne. Et nous devons veiller non seulement à combattre l’ennemi évident, mais aussi à ce que la cinquième colonne ne s’installe pas dans nos rangs ou que nous ne la laissions pas faire par confort et par paresse d’analyse. Penser en noir et blanc est d’une belle simplicité. 

Il ne faut en aucun cas sous-estimer la cinquième colonne. Si nous le faisons, nous courons tout droit — et dans l’illusion de résister — vers le cauchemar unipolaire qui se profile déjà clairement à l’horizon proche. 

Lorsque nous définissons les représentants des forces mondialistes au pouvoir d’un pays, nous avons généralement à l’esprit un groupe relativement restreint, infiltré au sein du système politique et administratif, qui sert les intérêts de l’ennemi extérieur. Et l’ennemi extérieur dans ce contexte est ce centre de commandement unique et extraterritorial associé aux élites anglo-saxonnes et aux États-Unis, qui impose un programme unique à tous les pays du monde. Mais avec le déclenchement de la fausse pandémie en 2020, on a vu que ce qu’on appelle habituellement la cinquième colonne n’est pas seulement un nombre limité, à des postes secondaires dans le système politico-administratif de ces pays, mais même les chefs d’État et toute l’équipe gouvernementale. Dans de tels cas, le terme « cinquième colonne » est trop restrictif et trop partiel, et la formulation la plus précise de ces nouvelles réalités géopolitiques serait la suivante : « régime d’occupation » ou peut-être « gouvernance étrangère ». 

En fait, à mon avis, il est nécessaire de dépasser certaines interprétations superficielles des réalités internationales d’aujourd’hui, fondées sur une grille de lecture dépassée ou déformée. Le moment est venu de reconnaître que la tâche assignée par les élites mondialistes au Club de Rome au titre d’élaborations théoriques et à l’ONU au titre d’exécution a été pleinement accomplie. Il s’agit du processus de desouverainisationde tous les pays du monde. Au-delà des rivalités et des conflits entre un certain nombre de pays et l’Occident collectif, un agenda unique apparaît de manière flagrante, imposé par des organisations internationales affiliées aux mondialistes, mais aussi par la tendance commune à promouvoir les mêmes politiques partout dans le monde.

Une évolution vraiment libre vers la multipolarité réelle ne peut toutefois pas être un simple slogan vide de sens, mais doit avoir un contenu et des critères concrets pour nous démarquer de l’ennemi. Si nous ne mettons pas clairement en évidence ces contenus, nous courons aveuglément à notre perte, et Satan ne s’arrête plus de rire.

Afin de garder ces critères à l’esprit et d’en désigner le contenu comme objectif de notre lutte, le catalogue des facteurs, tel qu’il a été établi par Iurie Roşca dans sa contribution à la Conférence internationale sur la multipolarité du 29 avril 20231, peut nous être utile. Iurie Roşca est l’un des militants multipolaristes et antisatanistes les plus éprouvés, ami et compagnon de lutte de longue date d’Alexandre Douguine. 

Ces facteurs — et le fait qu’ils se réalisent partout allègrement sous nos yeux — devraient tempérer quelque peu l’optimisme de certains compagnons de lutte trop naïfs et aider à renforcer la vue, pour ne pas dire à guérir la cécité. Il s’agit des facteurs suivants : 

Premier facteur : la pandémie Covid-19 [NDLR ou plus généralement la théorie virale et sa théorie mère, celle des germes, sans lesquelles aucune « plandémie » n’est possible] et sa réédition possible à tout moment comme accélérateur de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et l’OMS comme instrument du gouvernement mondial. 

Deuxième facteur : la technologie 5G en tant que menace pour la santé publique et en tant qu’instrument de contrôle et de commande mentale et comportementale.

Troisième facteur : la société sans argent liquide et la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC — Central Bank Digital Currency) comme fin imminente de la liberté humaine.

Quatrième facteur : l’introduction de documents électroniques pour un contrôle total. [NDLR Ou l’emprise d’Internet]

Cinquième facteur : les smart cities, les smart things, les smart bodies comme fin de la vie privée et éléments constitutifs du goulag mondial. [NDLR ou l’Intelligence Artificielle et l’informatique en général]

Sixième facteur : le mythe du changement climatique et l’escroquerie du « réchauffement climatique [anthropique] » comme élément significatif de la transformation de notre monde selon la matrice sataniste. [NDLR ou plus généralement le fanatisme écologique.]

Iurie Roşca ajoute comme septième facteur tous les signes du transhumanisme et de son frère jumeau, la technocratie, comme forme finale de la dictature mondiale satanique. Tous les pays ne seraient plus, selon Iurie Roşca, qu’en concurrence pour s’introduire le plus rapidement possible dans la « nouvelle normalité ». 

[Note de Joseph : ces sept facteurs sont liés au départ à une utilisation dévoyée ou sans conscience de la science et tous reposent sur l’informatique.
La théorie virale l’utilise pour notamment les séquençages génétiques qui s’avèrent n’être finalement que des opérations mentales. (Voir le dossier Vaccins et virus.)
La 5G est pilotée par l’informatique et l’électronique sous-jacente.
La CBDC, les documents électroniques, l’IA et le transhumanisme ne peuvent exister sans l’informatique.
Et le fanatisme écologique, notamment en matière climatique, s’appuie sur des modélisations logicielles. D’ailleurs, la science en général s’appuie de nos jours sur de tels modèles.
Sans l’informatique, tout cela, tous les « miracles » technologiques modernes n’existeraient pas.
Celle-ci a probablement été représentée dans l’Apocalypse de Jean par la Bête de la terre, bête qui pouvait aussi symboliser le pays sans qui elle ne serait pas devenue ce qu’elle est actuellement : les États-Unis avec ses deux pouvoirs (ou cornes) interchangeables que sont les Républicains et les Démocrates.
L’informatique repose sur le silicium, l’élément le plus abondant de la croûte terrestre après l’oxygène, notamment du fait de sa présence dans le sable des plages et des déserts.
Bill Gates est né aux États-Unis, a mondialisé l’usage de l’informatique via Microsoft, a prophétisé le smartphone et d’autres éléments liés à l’informatique, a été longtemps l’homme le plus riche du monde grâce à elle, pousse à la vaxination des milliards d’êtres humains pour leur implanter sa marque digitale (sous forme d’adresse MAC — voir notamment https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/), sans laquelle en combinaison avec la 5G ou la proche 6G et les non moins proches CBDC il ne sera bientôt plus possible d’acheter et de vendre. Quel meilleur candidat Antéchrist ?
Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
et Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique]

Partout où ces facteurs se manifestent, l’ennemi et sa cinquième colonne sont reconnaissables. C’est à l’aune de ces facteurs que tous les acteurs doivent être jugés. Pour pouvoir classer les acteurs, nous ne devons pas attendre que des attentats soient perpétrés contre eux ou qu’ils soient encensés par les médias occidentaux. Seuls les critères énumérés ci-dessus peuvent nous aider à faire la distinction point par point entre amis et ennemis : entre l’unipolarité sataniste et la multipolarité réelle, fondée sur l’indépendance des pôles géopolitiques en tant qu’expression de l’identité civilisationnelle, religieuse et culturelle.

Il semblerait que le « Great Reset » des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC, etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident.

Le projet mondialiste unique et uniformisant pour tous les pays sans exception est promu notamment à travers l’ONU, comme dans le cas de l’Agenda 21 pour le Développement Durable (climatisme, théorie du genre, féminisme, planification familiale, etc.), ainsi qu’à travers La Banque des règlements internationaux (le contrôle des banques centrales et l’imposition de la monnaie numérique). 

Un autre facteur dévastateur et homogénéisant, ce tsunami de culture de masse qui impose des modèles de vie, des fausses valeurs et une standardisation vestimentaire qui efface toute identité culturelle traditionnelle.

Dans ces conditions, alors que le monde est déjà globalisé par la révolution technologique, les différences entre les pays et les cultures se dissolvent à une vitesse énorme. Et aucun État, aucun chef d’État ou aucune force politique ne semble s’opposer à ces phénomènes d’homogénéisation qui conduisent le monde vers une unipolarité technocratique d’essence démoniaque. Dès lors, la tâche des intellectuels de la Résistance antimondialiste est d’établir un diagnostic juste et honnête de l’état du monde aujourd’hui afin de proposer des solutions pratiques pour sortir de cette impasse historique qui risque de pousser l’humanité dans une phase terminale.

Pour être plus direct encore, je dirais qu’à mon avis un homme d’État qui adhère au principe de multipolarité ne peut pas en même temps promouvoir la politique mondialiste à l’intérieur de son pays. Un homme d’État qui s’opposerait à l’unipolarité satanique serait celui qui rejette résolument le plan de gouvernement mondial unique imposé par les méthodes et les instruments énoncés ci-dessus. Et celui qui adhère à l’agenda décrit ci-dessus est le représentant direct de la cinquième colonne mondialiste dans son propre pays. Si quelqu’un connaît de tels dirigeants nationaux, merci de me le faire savoir. Un débat ouvert et franc à ce sujet serait le bienvenu.

[À propos de l’auteur]

Peter Töpfer : auteur de livres, éditeur, journaliste, traducteur, poète, musicien, directeur de l’Institut pour la vérité des profondeursdepuis 1977 dans la lutte anti-globaliste1989 : reporter de révolution en RDA et en Roumanie1989 : hebdomadaire conservateur „Der Montag“1989 : Cofondateur du Parti pour la réunification de l’Allemagne1995–1997 : Cofondateur Verlag der Freunde (Éditions des amis), auteur entre autres : Anatoli Ivanov, Igor Chafarevitch, Alexandre Routskoï, Reinhold Oberlercher, Serge Thion, magazine Sleipnir, auteurs entre autres : Alexandre Barkachov, Alain de Benoist, Christian Bouchet, Alexandre Dougine, Roger Garaudy, Pierre Guillaume, Tomislav Sunic, Jean Thiriart, 1997–2000 : auteur des Staatsbriefe1999 : avec Hans Cany (France) et Troy Southgate (Angleterre) fondeur du national-anarchisme2004–2006 : Cofondateur du comité « Liberté pour Horst Mahler ! »2006 : Participation à la conférence sur l’Holocauste à Téhéran avec le discours „Sauver l’Occident !“, publié dans : „Исследование Голокауста“ (2007, édition Алгоритм, Moscou)2015 : double CD „Wachablösung“ [Relève de la garde] : reprises allemandes autorisées par Bob Dylan avec essai „I’m not there / Ich bin nicht da“2015–2017 : auteur de Compactà partir de 2021 : travail de réflexion intensif sur les pensées d’Alexandre Dougine2022 : préface pour Alexandre Dougine : « Eurasische Mission » (édition allemande) : « Das Radikale Subjekt als Katechon » [Le sujet radical comme katechon], Publications de livres : nationale Anarchie (2004), Nationalanarchismus (2004), Gedichte [poèmes] (2005), Den Westen retten! [Sauver l’Occident !] (2006), Die Wahrheit — sie sagen und in ihr leben [La vérité — la dire et la vivre, base théorique de la vérité des profondeurs (2006), Pan-Agnostik. Für ein theistisch-agnostisches Bündnis im Kampf gegen den Great Reset [Pan-Agnostique. Pour une alliance théiste-agnostique dans la lutte contre le Great Reset] (2023), Traducteur de Serge Thion, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Robert Faurisson, Jean Raspail, Jean Mabire, Gilad Atzmon, Robert Dun, Sites Internet : https://peter-toepfer.de/, http://blog.peter-toepfer.de/, https://nationalanarchismus.de/, http://tiefenwahrheit.de/, https://multipolaristen.de/, http://peter-post.net/, http://faultierfarm.net/plus d’information


1 https://multipolaristen.de/multipolaristen/politik/internationale-politik/iurie-rosca-der-great-reset-und-das-ende-der-klassischen-geopolitik-30-04-2023/




Crimes au plus haut niveau aux USA

[Source : Jean-Dominique Michel]

« Mais où donc est passé Larry Page ?! »

Disparition inexpliquée du co-fondateur de Google, en lien avec l’affaire Epstein !

Pendant que le clan Biden est incriminé pour sa possible participation au crime organisé.

Tout ceci dans le silence de mort des mass-medias…




Bill Gates prépare sa prochaine plandémie

[Source : dailytelegraph.co.nz]

Bill Gates et l’OMS se préparent à la prochaine « pandémie » — le virus SEERS en 2025.
La fondation Bill & Melinda Gates s’est associée à l’Organisation Mondiale de la Santé et au Centre de Sécurité Sanitaire de l’université Johns Hopkins lors d’un récent événement en Belgique.

Les invités ont participé à une « simulation sur table » dans laquelle un entérovirus mortel originaire d’Amérique du Sud en 2025 se propage dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Les enfants seront particulièrement vulnérables à cette maladie, qui fait partie de la famille des virus de la polio.

Le virus est appelé SEERS (Severe Epidemic Enterovirus Respiratory Syndrome [Syndrome respiratoire épidémique sévère à entérovirus]).

[NDLR « seers » signifie prophètes, voyants, devins en anglais. Ils se foutent vraiment du monde. Et le pire est que ça marche.]

L’exercice belge a rappelé le désormais tristement célèbre Event 201, où les mêmes parties ont effectué des simulations d’une épidémie virale mondiale de type « grippe » en octobre 2019, deux mois seulement avant que les premiers cas de COVID ne soient détectés en Chine.

[Voir aussi :
Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19]

La chaîne indépendante d’information et d’opinion Redacted s’est penchée sur la dernière « clinique de préparation aux virus » de Bill Gates. L’ingénieur en informatique, qui a abandonné ses études, a multiplié par 10 ses investissements dans la santé et la technologie des vaccins avant l’apparition du COVID, transformant 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars, dans ce qu’il a appelé son « meilleur investissement ».




« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS

[Source : stopworldcontrol.com]

Ce rapport de preuves révèle comment l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies sexualisent les petits enfants dans l’enseignement primaire partout dans le monde, dans le but de normaliser la pédophilie. Ce rapport n’est constitué que de preuves solides, avec de nombreux documents officiels, vidéos, livres, archives, etc. Tous les documents PDF peuvent être téléchargés dans la section « Références » à la fin de ce rapport.

« Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C’est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation. »

Il s’agit là d’un résumé limité des directives officielles émises par l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l’intention des autorités éducatives du monde entier. Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l’acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier de s’assurer que les jeunes enfants ont des partenaires sexuels.

Préparer les enfants à avoir des partenaires sexuels

Les Nations Unies ont publié le document intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle »1, qui constitue la ligne directrice officielle pour les écoles élémentaires du monde entier. L’objectif de ce document est décrit à la page 16 : 

préparer les enfants à avoir des relations sexuelles.  

À la page 17, les Nations unies expliquent que ce guide est destiné à aider les enfants à établir des relations avec des partenaires romantiques ou sexuels. 

À la page 71, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants dès l’âge de 5 ans les baisers, les étreintes, les attouchements et les comportements sexuels. Les enfants de 9 ans doivent être sensibilisés à la masturbation, à l’attirance sexuelle et à la stimulation sexuelle.

Les Nations unies déclarent que les écoles primaires doivent enseigner aux enfants la masturbation, les comportements sexuels, l’attirance sexuelle et la stimulation sexuelle.

Apprendre aux enfants à avoir des relations sexuelles

L’Organisation Mondiale de la Santé développe actuellement un programme visant à garantir que les jeunes enfants aient des partenaires sexuels. Son document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe »2 contient les instructions suivantes à l’intention des écoles maternelles et élémentaires:

✔︎ Les enfants de 0 à 4 ans doivent apprendre ce qu’est la masturbation et s’intéresser à leur propre corps et à celui des autres.

✔︎ Les enfants de 4 à 6 ans doivent apprendre la masturbation et être encouragés à exprimer leurs besoins et désirs sexuels.

✔︎ Les enfants de 6 à 9 ans doivent apprendre ce que sont les rapports sexuels, la pornographie en ligne, l’amour secret et l’autostimulation.

✔︎ Les enfants de 9 à 12 an doivent avoir leur première expérience sexuelle et apprendre à utiliser la pornographie en ligne.  

L’OMS demande aux enseignants du monde entier d’enseigner aux enfants de 9 ans comment avoir des rapports sexuels pour la première fois, comment faire l’expérience de la sexualité en utilisant l’internet et les téléphones portables et comment apprendre différentes techniques sexuelles.

Apprendre aux enfants à se masturber

La vidéo suivante fait partie d’un programme scolaire européen qui travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies pour mettre en œuvre leur programme dans les écoles au niveau national. Il s’agit d’un exemple concret de l’application de ces directives, en l’occurrence aux Pays-Bas. La vidéo montre comment de jeunes enfants sont encouragés par des enseignants à se masturber. Cette pratique a été diffusée dans des milliers d’écoles dans le cadre du programme d’éducation sexuelle complète » de l’OMS, dont l’objectif est de faire en sorte que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. 

L’éditeur de cette vidéo, la Fondation Rutgers, opère dans 27 pays, est un partenaire étroit de l’OMS et de l’ONU, et est financé par Bill Gates.  

La langue parlée dans la vidéo est le Néerlandais, mais sachez qu’il s’agit d’un exemple réel de l’exécution d’un programme INTERNATIONAL de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies, ce qui signifie que cette vidéo sera diffusée dans les écoles publiques de tous les pays du monde



La sexualisation des enfants fait partie de l’Agenda 2030 de l’ONU

Les logos figurant sur le document des Nations Unies intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle » montrent que ce document fait partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

L’Agenda 2030 des Nations Unies est un plan visant à transformer tous les aspects de l’existence humaine sur terre d’ici 2030. Selon leurs propres termes:3

Nous avons adopté une décision historique sur un ensemble complet, de grande portée et centré sur l’être humain d’objectifs et de cibles universels et transformateurs. Nous nous engageons à travailler sans relâche à la mise en œuvre intégrale de cet agenda d’ici à 2030.

Ils indiquent clairement que la transformation de la vie humaine atteindra chaque personne dans le monde :  

En nous engageant dans ce voyage collectif, nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte.

Il s’agit d’objectifs et de cibles universels qui concernent le monde entier, les pays développés comme les pays en développement.

Les déclarations officielles des Nations Unies sont claires : elles veulent que le monde entier soit transformé. Veiller à ce que les petits enfants aient des relations sexuelles, apprennent à se masturber et utilisent la pornographie en ligne fait partie de cet agenda. Aux États-Unis, l’administration Biden a publié des déclarations confirmant les plans de mise en œuvre de ce programme sur l’ensemble du territoire américain dès que possible, et au plus tard en 2030.4

Nous ferons preuve de leadership et prendrons des mesures collectives pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 pour le développement durable et accélérer la réalisation des ODD d’ici 2030  et relever les défis du développement en redynamisant un multilatéralisme plus inclusif et une réforme visant à mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Veuillez comprendre la gravité de cette situation : les « directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » des Nations Unies font partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies. L’administration Biden s’engage à accélérer la mise en œuvre afin que l’Agenda soit réalisé d’ici 2030. Il en va de même pour toutes les autres nations du monde qui soutiennent l’Agenda 2030 des Nations unies.

Rutgers : éditeur mondial d’éducation sexuelle

Dans ce rapport, nous examinerons de plus près la manière dont ce programme est mis en œuvre, par exemple, aux Pays-Bas, en Europe. Les Pays-Bas sont au cœur de ce programme mondial de sexualisation des jeunes enfants. Ce qui s’y passe se répandra dans le monde entier : aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Afrique, en Asie, etc. Ce pays est le siège d’un éditeur mondial de cette « éducation sexuelle complète » : la Fondation Rutgers.5 A Un membre du personnel de Rutgers, Ineke van der Vlugt, a contribué aux « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’OMS, ce qui montre à quel point cette fondation travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé.  

Rutgers est présent dans 27 pays et est financé par des organisations mondiales telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fédération internationale pour le planning familial, dont les racines sont aux États-Unis.6

Au printemps 2023, Rutgers a lancé un programme national aux Pays-Bas sous le nom de « Spring Fever ».7 Une affiche a été placée dans les écoles primaires du pays. Une affiche scolaire a été affichée dans les écoles primaires du pays. Je l’ai traduite en anglais pour notre public mondial et j’ai ajouté des points forts pour révéler le message de cette affiche scolaire. Deux garçons se tiennent la main et disent : « Oui, nous le voulons tous les deux ». Deux jeunes filles trouvent un « endroit sûr » pour avoir des relations sexuelles.

Cette affiche scolaire apprend aux jeunes enfants
du même sexe à « le faire » l’un avec l’autre 

Le programme d’études « Spring Fever » (fièvre printanière) insiste de manière agressive sur le thème de l’homosexualité auprès d’enfants vulnérables et sans méfiance. Vous trouverez ci-dessous des illustrations de ce programme destiné aux écoles primaires.

C’est une chose qu’une personne se batte avec son identité sexuelle, mais c’en est une autre que de pousser la confusion sexuelle dans les écoles élémentaires pour endoctriner les enfants à poursuivre un mode de vie homosexuel. Pourtant, l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies donnent des instructions directes pour que les enfants soient poussés vers l’homosexualité. À la page 40 des « Standards pour l’éducation sexuelle », les écoles sont invitées à enseigner aux enfants de quatre ans les « relations entre personnes du même sexe », et à la page 44, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants de neuf ans « l’amitié et l’amour envers les personnes du même sexe ».

Dans l’application pratique du partenaire de l’OMS, la Fondation Rutgers, nous voyons qu’il ne s’agit pas seulement d’informer les enfants, mais qu’il s’agit de les encourager activement à suivre la voie de l’homosexualité, le plus tôt possible.  

L’Organisation Mondiale de la Santé demande aux écoles d’encourager les jeunes enfants à avoir des relations homosexuelles avec leurs amis. Une affiche scolaire montre deux filles trouvant un endroit sûr et deux garçons acceptant d’avoir des relations sexuelles. 

Enseigner la fellation à des enfants de 6 ans

L’un des livres pour enfants recommandés par Rutgers pour les écoles primaires s’intitule « What is sex ? » (Qu’est-ce que le sexe ?) de Channah Zwiep. Voici une page de ce livre, avec un extrait ci-dessous :

« La fellation est un acte sexuel avec la bouche. C’est pourquoi on l’appelle le sexe ora. »

« Tu t’es déjà donné un baiser sur un point sensible de ton corps ?  Essayez. Qu’est-ce que tu ressens ? »

« La peau d’une bite ou d’un vagin est également très sensible. C’est pourquoi les gens aiment parfois se toucher à cet endroit avec leur bouche. Quand quelqu’un lèche ou suce une bite, cela s’appelle la succion. Bien entendu, une femme peut faire de même. Si quelqu’un lèche un vagin, cela s’appelle « manger la chatte ».

Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran de la brochure de Rutgers destinée aux écoles primaires, qui recommande cette pornographie enfantine aux enfants de six ans.8

Traduction :

« Qu’est-ce que le sexe ? Questions des jeunes enfants sur la physicalité et la sexualité »

(Channah Zwiep)

Pourquoi voudrait-on que des enfants de 4 à 8 ans sachent tout sur le sexe oral ? 

Voici une autre page de ce programme destiné aux écoles primaires.9 Elle s’adresse aux enfants de 10 ans :

« Exemples de choses que tu peux faire avec le sexe : embrasser (avec la langue), caresser, tripoter (lécher le vagin), pipoter (lécher/sucer le pénis), doigter, se branler, baiser dans le vagin (sexe vaginal) et baiser dans l’anus (sexe anal) ».

Une autre page est un guide pratique sur la façon de commencer à se masturber :

« Toucher son propre corps, son vagin et son clitoris pour obtenir une sensation agréable s’appelle la masturbation. Vous pouvez le faire, par exemple, en mettant un doigt dans votre vagin (doigter) ou en frottant votre clitoris ».

L’endoctrinement « mignon »

Les illustrations suivantes font partie de ce programme national obligatoire. Une personne non avertie penserait : « Oh, comme c’est mignon ! ». Mais lorsqu’on réalise que ces images ont pour but d’enseigner aux tout-petits à se masturber et de s’assurer que tous les enfants auront des partenaires sexuels, ces dessins mignons deviennent très inquiétants.

Si l’on examine de plus près le programme scolaire européen « Fièvre printanière », créé par Rutgers pour l’ONU et l’OMS, on constate que l’objectif des cours est clairement défini:10

« Les petits enfants doivent tout savoir sur la luxure, l’excitation physique et l’intimité. Ils doivent savoir que tout le monde a des sentiments sexuels et qu’ils ne doivent pas avoir honte ».

La honte est un sentiment naturel fondamental qu’éprouvent tous les enfants normaux et qui les protège contre les violences et les préjudices causés par des expériences sexuelles inappropriées et prématurées. La sexualité est probablement la partie la plus sensible et la plus vulnérable de notre humanité, qui peut nous traumatiser à vie si elle est mal abordée. La honte est une barrière de défense essentielle pour assurer notre sécurité. Ces programmes scolaires visent à supprimer cette barrière naturelle, afin que les petits enfants n’écoutent plus leur instinct naturel qui leur dit de protéger leur corps. Cela les rend extrêmement vulnérables et en fait des proies faciles pour les prédateurs sexuels.

Pourquoi l’OMS s’obstine-t-elle à détruire la saine barrière de la honte qui protège naturellement les enfants ?

Enseigner les techniques sexuelles aux enfants de 7 ans

Voici un exemple de programme scolaire officiel aux Pays-Bas, publié par l’Ecole du programme scolaire (School Leerplan Onderwijs), l’éditeur officiel de tous les programmes scolaires. Nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mise en œuvre directe des « Normes pour l’éducation sexuelle » de l’OMS et des « Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » de l’ONU:11

✔︎ Les tout-petits âgés de 0 à 4 ans doivent apprendre à tomber amoureux, à être intimes et à éprouver des sentiments sexuels.

✔︎ Les enfants de 5 ans et plus doivent apprendre les relations sexuelles, la pornographie en ligne et l’expérience de la luxure en touchant leur propre corps.

✔︎ À partir de 7 ans, ils doivent apprendre les différentes techniques sexuelles.

TRADUCTION :

0-4 ans

  • l’amour et le fait d’être amoureux
  • l’intimité
  • les sentiments sexuels

5 à 8 ans

  • le sexe dans les médias (y compris Internet)
  • le plaisir et la convoitise lorsqu’on touche son propre corps
  • rapports sexuels

9-12 ans

  • actes et contacts sexuels
  • l’orientation sexuelle,comportement sexuel des jeunes (variabilité du comportement sexuel)
  • plaisir, masturbation, orgasme
  • différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique

Les enfants doivent être initiés à la sexualité le plus tôt possible

Rutgers a publié un guide pour former les enseignants à endoctriner les jeunes enfants sur la sexualité.12 Dans ce guide, ils font plusieurs références au guide de l’OMS, « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », confirmant ainsi qu’ils collaborent étroitement avec l’Organisation Mondiale de la Santé. Je me dois de le répéter, car certains lecteurs pourraient être enclins à considérer qu’il s’agit d’un incident localisé en Europe, alors qu’il s’agit d’un programme international.

Dans ce document, Rutgers énonce clairement l’objectif de ce type d’éducation (voir la photo du document ci-dessous) :

« L’éducation sexuelle et relationnelle donne aux enfants des idées qui les aideront à commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt. »

L’idée de ce type d’éducation sexuelle n’est pas d’aider les enfants dans leur développement naturel – vers une sexualité saine et mature – mais l’objectif est de les endoctriner pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Rutgers déclare aux éducateurs que le but de cette éducation sexuelle est de donner aux enfants des idées pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Jeux sexuels à l’école primaire

Plusieurs écoles organisent des jeux sexuels, où les enfants prennent les organes génitaux de leurs camarades dans leur bouche, les lèchent, mettent leurs doigts dans le vagin des filles, etc. Vous trouverez ci-dessous un reportage sur des jeux sexuels organisés dans une école primaire aux Pays-Bas.13

« De jeunes enfants se tripotent, se touchent les parties génitales dans la bouche ou regardent sous la porte des toilettes. C’est ce qui se passe dans les groupes 3 et 4 de l’école élémentaire De Springplank à Den Bosch, expliquent les parents des enfants à Omroep Brabant. Les parents sont furieux contre le conseil d’administration de l’école élémentaire ».

De nombreuses écoles introduisent des jeux pour les enfants dans lesquels ils doivent mémoriser les organes génitaux afin de marquer des points. Il s’agit là d’une autre stratégie visant à supprimer la honte naturelle et à désensibiliser les jeunes enfants, afin qu’ils baissent leur garde face à une intrusion sexuelle prématurée. La plupart d’entre nous trouvent cela dégoûtant. Pouvons-nous imaginer l’impact que cela a sur les petits enfants, qui sont forcés de voir cela à l’école ?

Dans le cadre du programme scolaire  » Fièvre printanière  » de Rutgers, de l’OMS et de l’ONU, des clitoris en 3D sont distribués aux petites filles pour les encourager à se masturber. Bien entendu, ils défendent cette pratique en affirmant qu’il est important que les filles connaissent leur propre corps.

Une mère choquée met le monde en garde

De nombreux parents ont, à juste titre, réagi avec indignation à cette sexualisation extrême des enfants. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez entendre une mère des Pays-Bas expliquer comment les enfants pratiquent le sexe oral à l’école et se masturbent les uns les autres. Elle lance un avertissement à tous les parents du monde entier. Encore une fois, il faut comprendre que cela fait partie de l’Agenda 2030, dont les Nations Unies déclarent « qu’il concerne le monde entier ».

Maltraitance d’enfants dans une école de Floride

Alors que je travaillais sur ce rapport, j’ai reçu un courriel d’une mère de Floride, aux États-Unis, qui préfère garder l’anonymat dans ce rapport. Elle m’a confirmé que ce qui se passe en Europe se passe aussi en Amérique. Voici ce qu’elle m’a écrit au sujet de sa fille :  

« Tout ce que vous rapportez lui est arrivé. Elle a utilisé une autre fille pour toucher ma fille (masturbation), elle lui a dit des mots horribles, elle a utilisé son téléphone portable pour faire de la pornographie »

Elle a essayé de s’adresser aux autorités pour protéger son enfant, mais elle s’est heurtée à une dureté glaciale. Il était clair que personne ne voulait l’aider.

Des experts alarmés en Écosse

Une dépêche alarmante en provenance d’Écosse : 

L’approche « normative » de l’Écosse en matière d’éducation sexuelle normalise l’activité sexuelle des mineurs et risque de perpétuer l’exploitation sexuelle des enfants, selon un analyste de premier plan.

Le degré d’obéissance des écoles aux instructions de l’ONU et de l’OMS dépend de chacune d’entre elles, et certaines écoles seront naturellement pires que d’autres. Mais il s’agit d’une obligation pour toutes les écoles publiques du monde.

La sexualisation des enfants dans le monde entier

La sexualisation des enfants se produit également en dehors des écoles. Ces images de terrains de jeux pour enfants ont été approuvées par les autorités locales et les écoles.

Dans le monde de la mode, la sexualisation extrême des enfants est répandue depuis des décennies. Voici un exemple de Vogue Paris Cadeaux datant de 2010. 

Le film français « Cuties », disponible sur Netflix, a suscité une vague d’indignation dans le monde entier, car il montrait des jeunes filles exécutant des danses érotiques incluant des mouvements sexuels complets.

Il existe une pression mondiale pour sexualiser les petits enfants par tous les moyens : dessins animés, films, livres, films, mode, produits d’entreprise, etc. Et maintenant, l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies vont jusqu’à demander aux écoles maternelles et élémentaires d’inclure cette sexualisation dans leurs programmes d’enseignement.

Promouvoir une sexualité débridée pour réduire la population humaine

Quelle est la véritable motivation de l’opération stratégique mondiale visant à sexualiser les petits enfants ? Dans la prochaine partie de ce rapport, nous dévoilerons des preuves indéniables de la façon dont cette opération s’inscrit dans un programme visant à normaliser la pédophilie dans toutes les nations du monde. Cela est particulièrement évident si l’on considère l’éditeur qui a été choisi par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre ce programme dans 27 pays : la Fondation Rutgers.

La fondation Rutgers a été inspirée par Jan Rutgers (1850-1924), un farouche opposant au mariage, qu’il considérait comme contre nature. Il prônait avec passion la réduction de la population humaine, en imposant à la société une culture du sexe libre.

Lorsque la Fondation Rutgers a été créée en 1969, son objectif principal était de réduire la croissance démographique par l’éducation sexuelle, l’avortement et la contraception.14 En 1999, Rutgers a fusionné avec le groupe NISSO (Netherlands Institute for Social Sexological Research), dont l’objectif était également de réduire les taux de natalité en encourageant l’avortement, la sexualité libre et l’éducation sexuelle. En 2011, Rutgers a de nouveau fusionné avec la Fondation Mondiale pour la Population, qui avait la même mission de réduire la population mondiale par le biais de l’avortement et de l’éducation sexuelle.

Le fil conducteur de l’histoire de Rutgers est l’agenda visant à réduire la population humaine en encourageant une sexualité débridée dans la société. Lorsque les gens sont sexuellement pervertis, ils ne peuvent pas former des familles saines et n’ont pas de descendance.

Rutgers a toujours poussé à la normalisation de la pédophilie

Outre son programme de réduction de la population humaine, Rutgers a toujours été fortement impliqué dans le mouvement mondial de normalisation de la pédophilie. En 1946, l’Association néerlandaise pour la réforme sexuelle (NVSH) a été fondée, toujours dans le but de réduire la population humaine. La NVSH a organisé des groupes de travail sur la pédophilie qui étaient soutenus par le sénateur du parti travailliste, le Dr. Edward Brongersma. Ce même Brongersma est ensuite devenu le chef de file du mouvement d’acceptation de la pédophilie dans les années 1970.

Brongersma était connu pour ses fréquents voyages en Asie, où il abusait d’esclaves sexuelles mineures. En 1950, il a été condamné pour fornication avec une jeune fille de 16 ans, ce qui lui a valu 11 mois de prison.

Après sa libération, Brongersma est devenu membre du conseil d’administration de la NVSH, où il a de nouveau organisé des groupes de travail sur la pédophilie. Ils ont publié le magazine NIKS (abréviation néerlandaise de  »Vers l’intégration de la sexualité infantile »).15 Dans une archive en ligne de ce magazine, on peut voir l’obscénité écœurante qui y était promue :16

Des enfants nus en couverture exposant leurs organes génitaux et des enfants ayant des rapports sexuels.17

Le magazine publié par Brongersma a publié dans son édition de septembre 1982 une bande dessinée décrivant comment un pédophile a des relations sexuelles orales avec une jeune fille. La bande dessinée est accompagnée d’une transcription.18 Soyez conscient de la nature explicite de cette transcription. 

TRADUCTION

« Parfois, je ne comprends vraiment pas le monde des grandes personnes. Prenons, par exemple, le cas de mon oncle Loet. Ce n’est pas vraiment mon oncle, mais il aime bien que je l’appelle comme ça. Je lui rends souvent visite à la sortie de l’école. On y est beaucoup plus à l’aise que chez nous.

L’autre jour, je suis assise sur le canapé avec lui en train de boire du thé, et il pose sa main sur ma jambe. Lentement, il remonte ma robe et commence à me caresser le ventre. Il n’avait jamais fait cela auparavant. Parfois, il me caressait les cheveux, et parfois j’avais droit à un baiser sur le front, rien de plus.

Je trouvais cela idiot, mais c’était une sensation agréable, alors je n’ai rien dit. Un peu plus tard, il s’est agenouillé par terre devant moi, a enlevé ma culotte et a commencé à me sucer la chatte. Sa moustache me chatouillait merveilleusement. Je regrette qu’il se soit soudainement arrêté après quelques minutes, mais oui, c’était parce qu’un homme marchait juste derrière la fenêtre, qui a alors cassé sa bouteille de yaourt. Maintenant, l’oncle Loet est en prison. Mes parents sont bouleversés. Je suis triste et tout le monde a l’air bizarre avec moi ».


L’état d’esprit propagé par cette publication est qu’il est préférable d’être avec un pédophile plutôt qu’avec sa famille. Il est « injuste » que le prédateur soit en prison, alors que l’homme qui l’a pris en flagrant délit est libre.  

Tels sont les principes fondamentaux de la pédophilie : ce qu’ils font est bien, et ceux qui s’y opposent sont mauvais. Cet état d’esprit est également promu dans les guides des Nations Unies, de l’Organisation Mondiale de la Santé et de Rutgers, bien que dans des formulations plus sophistiquées. Il n’en demeure pas moins que la promotion des relations sexuelles avec les enfants est un droit de l’homme et que s’y opposer constitue une violation des droits de l’homme.

Une autre édition du magazine pédophile de Brongersma s’intitule « l’épisode anti-éducation » et contient un article qui explique à quel point la famille naturelle est « mauvaise ». L’article est intitulé : « Comment tuer mon père et ma mère ? » Je cite :19

« Dans la famille, l’amour est impossible. L’amour parental est un mensonge… la famille limite, aigrit, raille, décourage, maltraite, froisse… »

L’un des principes de base de la pédophilie est que la famille est une prison et que les enfants doivent être « libérés » de la famille par les pédophiles.

Rutgers fait partie d’un réseau mondial de pédophilie

Le magazine pédophile NIKS a présenté des pédophiles internationaux de premier plan comme Theo Sandfort, qui a écrit pour plusieurs publications pédophiles bien connues comme Paedo Alert News et le British Paidika.20 En 1999, Rutgers a publié un rapport de ce même pédophile, Sandfort. En 2000, une autre organisation pédophile a fait la une des journaux pour avoir constitué des archives de pornographie enfantine. Son fondateur, Frits Bernard, était un pédophile invétéré. Les statuts de l’organisation précisent qu’elle collabore avec Rutgers.

Le 22 juin 1979, Rutgers a signé une pétition, avec le pédophile Brongersma, condamné au pénal, en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.21 

L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression pour la légalisation de la pédophilie.22 L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a déclaré dans une interview qu’il avait encouragé un groupe d’enfants de l’école primaire à se masturber parce que « l’aspect du désir sexuel devait être développé ».23

L’organisation du pédophile Brongersma a été remplacée par le Fonds pour la Recherche Scientifique sur la Sexualité (FWOS),24 qui affirme que la vaste collection de pédopornographie de Brongersma est gérée par Rutgers. Ce successeur de Brongersma a également financé plusieurs projets de Rutgers. L’énoncé de leur mission est le suivant :25

« La FWOS cherche à comprendre, à acquérir et à diffuser des connaissances sur le comportement sexuel et l’expérience sexuelle des enfants… ».

Rappelons que la FWOS est le successeur légal des travaux de Brongersma, qui a fréquemment abusé d’esclaves sexuels asiatiques, a été emprisonné pour avoir abusé d’un jeune garçon, possédait une vaste collection de matériel pédopornographique et publiait un magazine qui faisait la promotion de l’abus d’enfants.

La FWOS est l’un des financiers de Rutgers – la fondation désignée par l’OMS et l’ONU pour créer du matériel scolaire dans 27 pays.

Seksueel onderwijs voor kleine kinderen : gewoon doen ! En 2010, Rutgers et FWOS ont organisé une conférence sur l’éducation sexuelle des jeunes enfants. Ils ont également publié un ouvrage commun intitulé « Education sexuelle des jeunes enfants : faites-le ! »26

Le magazine parle d’un enfant de six ans qui se masturbe, d’un enfant de neuf ans qui regarde de la pornographie et d’un enfant de cinq ans qui a des relations sexuelles orales avec une fille.

RUTGERS ET LA PÉDOPHILIE

Preuve que l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies s’associent à un éminent promoteur de la pédophilie

✔︎ Rutgers a publié un rapport du célèbre pédophile Theo Sandfort.

✔︎ Rutgers a collaboré avec la Fondation Frits Bernard qui possédait une vaste collection de matériel pédopornographique. 

✔︎ Rutgers a signé une pétition en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.

✔︎ L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression en faveur de la légalisation de la pédophilie.

✔︎ L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a appris aux enfants à se masturber pour développer leur désir sexuel.

✔︎ Rutgers est financé par FWOS, le successeur légal du pédophile et abuseur d’esclaves sexuels Brongersma.

✔︎ Rutgers a publié un magazine décrivant un enfant de 6 ans se masturbant, un enfant de 9 ans regardant de la pornographie et un enfant de 5 ans ayant des relations sexuelles orales.

✔︎ Rutgers demande aux enseignants de s’assurer que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

✔︎ Rutgers recommande un livre pour enfants qui encourage les jeunes enfants à pratiquer la fellation..

✔︎ Le programme d’études de Rutgers pour les écoles élémentaires stipule que les jeunes enfants doivent tout savoir sur la convoitise, l’excitation physique et l’intimité. 

✔︎ Rutgers publie du matériel scolaire pour les enfants de 10 ans qui dit : « Les exemples de choses que vous pouvez faire avec le sexe sont (langue) embrasser, caresser, tripoter (lécher le vagin), sucer (lécher/sucrer le pénis), doigter, se branler, avoir une bite dans le vagin (sexe vaginal) et une bite dans l’anus (sexe anal) ».

✔︎ Rutgers distribue des affiches scolaires qui incitent les jeunes enfants à se livrer à des actes homosexuels.

Il est alarmant de constater que cette organisation pédophile explicite a été choisie par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre leur programme de sexualisation des jeunes enfants dans le monde entier.

Le manuel de pédophilie « n’est pas illégal » selon le ministre de la justice 

Aux Pays-Bas, qui semblent être le centre du programme mondial de normalisation de la pédophilie, un parti politique pour la pédophilie a été fondé et soutenu par le gouvernement. Ce « parti pédo » a distribué un manuel de 1 000 pages à l’intention des pédophiles, qui enseigne aux adultes comment violer les bébés et les enfants en bas âge.27

Le Manuel pour les pédophiles explique notamment les points suivants :

✔︎ Les méthodes de séduction des enfants, par exemple en dégonflant les pneus de leur vélo et en proposant de le réparer pour gagner leur confiance ;

✔︎ Comment utiliser des techniques psychologiques pour amener les enfants à consentir à des relations sexuelles, par exemple en les récompensant avec de l’argent ou des cadeaux ;

✔︎ Comment étirer le rectum des bébés et des jeunes enfants en vue de rapports sexuels anaux ;

✔︎ Où trouver des enfants ;

✔︎ Quels sont les âges les plus sûrs (les bébés sont sûrs, car ils ne parlent pas encore ; les enfants de 3 à 4 ans sont dangereux, car ils ne peuvent pas garder de secrets) ;

✔︎ Comment utiliser les techniques médico-légales pour cacher votre ADN, afin que la police ne puisse pas vous retrouver ;

Voici quelques citations tirées de ce manuel :

« La pédagogie du secret consiste à apprendre à l’enfant à garder des secrets. Nous y parvenons en utilisant des méthodes pédagogiques spéciales basées sur une combinaison de psychologie de l’enfant et d’expériences réelles de pédophiles professionnels. »

« Vous devez en apprendre beaucoup sur les preuves et la criminalistique afin de rendre la tâche de la police aussi difficile que possible lors de votre arrestation. Ces trois conseils importants permettent de s’assurer que toutes les traces d’ADN sont effacées après une activité sexuelle avec l’enfant. […] Cela peut sembler compliqué, mais de nombreux pédophiles ont été envoyés en prison parce qu’ils étaient trop paresseux pour effectuer ces trois tâches simples. S’ils l’avaient fait, la police n’aurait pas de preuves et ils seraient libres »

Marcel Janinga est un père qui a découvert que son voisin abusait de sa fille depuis sa naissance – alors qu’elle était bébé – en utilisant les techniques qu’il avait apprises dans le Manuel du pédophile. Ce n’est qu’à l’âge de 3 ans que ces abus ont été révélés, la fillette se plaignant de douleurs. Ils ont découvert que le voisin avait abusé de cette fille deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi.

Marcel a créé la « Fondation contre les abus envers les enfants » pour lutter contre ces horreurs.28 Il a demandé au gouvernement d’arrêter la distribution de ce manuel, mais le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus, a affirmé qu’il ne contenait rien d’illégal et qu’il devait donc être autorisé.29 Après l’indignation massive du public et la pression croissante exercée pendant plusieurs années, ce ministre de la justice n’a finalement pas eu d’autre choix que de changer de position et, en 2023, le Manuel pour les pédophiles a finalement été déclaré illégal.

Mais seulement après avoir été autorisé à se répandre largement pendant de nombreuses années, provoquant non seulement des viols massifs, mais aussi des meurtres d’enfants en bas âge.

Un « Manuel pour pédophiles » de 1 000 pages expliquant comment séduire, manipuler, soudoyer et violer des bébés, des jeunes enfants et des enfants en bas âge a été autorisé pendant de nombreuses années par le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus. 

Les juges demandent la dépénalisation de la pédophilie

On peut se demander comment un ministre de la justice peut refuser d’interdire un manuel de pédophilie qui explique comment violer des bébés et des enfants en bas âge, comment effacer ses traces d’ADN auprès de la police, comment séduire des enfants, etc. Le pouvoir judiciaire n’est-il pas la principale institution chargée de lutter contre ces crimes horribles ? Ce qui suit explique ce qui se passe…

Le Comité international de juristes (CIJ) et l’ONUSIDA (une division des Nations unies) ont publié un rapport dans lequel ils appellent à la dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants.30 Ils affirment que les petits enfants peuvent consentir à des relations sexuelles, ce qui les rend acceptables. Ce n’est que lorsque les enfants déposent une plainte officielle auprès de la police que l’abus sexuel doit être considéré comme un crime. Voici leur déclaration de la page 22 :

« En ce qui concerne l’application du droit pénal, tout âge minimum prescrit pour le consentement à des relations sexuelles doit être appliqué de manière non discriminatoire. L’application ne peut être liée au sexe/genre des participants ou à l’âge du consentement au mariage. En outre un comportement sexuel impliquant des personnes n’ayant pas l’âge minimum de consentement à des relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel, en fait, mais pas en droit ».

Selon le Comité international de juristes, les relations sexuelles avec des enfants ne devraient pas être considérées comme un acte criminel si l’enfant y consent. Cela ne tient pas compte du fait que les adultes ont un avantage mental considérable sur un petit enfant, qui n’a aucune défense psychologique contre les pouvoirs de persuasion d’un prédateur rusé. Le Manuel du pédophile explique de nombreuses techniques psychologiques permettant de manipuler un enfant pour qu’il donne son « consentement ». Nous connaissons tous l’exemple d’un inconnu qui offre une délicieuse glace à un enfant pour l’attirer dans ses filets. Tout adulte sensé comprend qu’un enfant ne peut jamais consentir à une relation sexuelle, puisqu’il n’a aucune idée de ce qui se passe. Ce n’est qu’une fois adulte qu’il commence à se rendre compte de ce qui lui est arrivé. Ces attouchements provoquent des traumatismes à vie, car il ne s’agit pas seulement d’un abus physique, mais aussi d’un abus mental, les enfants étant victimes de techniques psychologiques sophistiquées qui les ont manipulés pour qu’ils donnent leur « consentement ».

La déclaration du Comité international de juristes montre à quel point la pédophilie est déjà profondément ancrée dans notre société. Cela souligne la nécessité cruciale pour toutes les bonnes volontés de s’élever.

Manifeste explicite de pédophilie

Les pédophiles donnent l’impression que les enfants ont le « droit » d’être victimes d’abus sexuels de la part d’adultes, par le biais de déclarations telles que : « Le sexe est un droit humain pour les personnes de tous âges » et « Le droit d’expérimenter la sexualité ne devrait pas être limité par l’âge ».

La Fondation internationale pour la planification familiale (une organisation d’avortement fondée par le père de Bill Gates) a publié un véritable manifeste sur la pédophilie intitulé « EJACULER ! », qui a été distribué au sein des Nations Unies.31

Ce manifeste contient à plusieurs reprises des déclarations explicites typiquement utilisées par les pédophiles.

À la page 9 de ce manifeste, l’IPPF déclare ce qui suit : 

« Il existe une idée fausse selon laquelle les jeunes (c’est-à-dire les petits enfants) ne sont pas ou ne devraient pas être des êtres sexuels.

À la page 16, on peut lire ce qui suit :

« La sexualité et le plaisir sexuel sont des éléments importants de l’être humain pour tout le monde, – quel que soit l’âge.

Il s’agit littéralement des arguments typiques utilisés par les pédophiles pour affirmer que les bébés, les jeunes enfants, les enfants et les adolescents ont le « droit humain » d’avoir des relations sexuelles.  

Le fait que les arguments typiques des pédophiles constituent le message central de ces documents prouve une fois pour toutes qu’ils poussent à la normalisation de la pédophilie. 

Le planning familial couvre les abus sexuels

Tout en appelant le monde à considérer les relations sexuelles entre adultes et petits enfants comme l’expression d’un droit humain fondamental, le Planning familial s’est avéré dissimuler systématiquement les plaintes concernant les abus sexuels dévastateurs commis sur des enfants. Voir ce documentaire révélateur de Live Action… 



Les médias encouragent la normalisation de la pédophilie

Les médias se sont joints à l’opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Voici une petite compilation de ce qui est en réalité une véritable avalanche de messages, tous ayant une seule mission : convaincre le monde que les pédophiles sont bons et que ceux qui défendent les enfants sont des monstres.

Transcription de certains titres de ces posts :

La pédophilie est-elle une orientation sexuelle ?

La pédophilie est une « orientation sexuelle – comme l’hétérosexualité ou l’homosexualité ».

5 façons de mal comprendre les pédophiles

Sympathie et science pour ceux qui veulent avoir des relations sexuelles avec des enfants

Je suis un pédophile, vous êtes des monstres

Tous les pédophiles ne sont pas de mauvaises personnes

Ce qui est particulièrement alarmant, c’est qu’aucun de ces articles de presse – littéralement pas un seul – ne prend la défense des enfants sans défense. Ils ne parlent que des pédophiles « incompris – pas un mot sur les enfants ! 

Un fonctionnaire de l’OMS et de l’ONU arrêté pour pédophilie

Les pratiques pédophiles des hauts fonctionnaires de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies sont généralement soigneusement dissimulées, mais de temps en temps, l’un d’entre eux se fait prendre. C’est ce qui est arrivé à Peter Dalglish, un haut fonctionnaire qui a occupé de hautes fonctions au sein des Nations Unies, de l’UNICEF et de l’Organisation Mondiale de la Santé pendant plus de 30 ans, et le fondateur de l’Internationale Enfants de la Rue. Il a été décoré de l’Ordre du Canada pour son travail humanitaire exceptionnel. En 2015, il était le « représentant national » des Nations unies à Kaboul.  

En 2018, Dalglish a été pris en flagrant délit d’abus sur deux garçons mineurs au Népal et a été condamné à neuf ans de prison.32

Dalglish attirait les enfants loin de leurs parents en leur proposant de les éduquer, de les emmener à l’étranger et de leur fournir un emploi. Les détectives affirment qu’il a abusé d’enfants pendant une période de 15 ans alors qu’il était haut fonctionnaire à l’ONU et à l’OMS.

L’Organisation mondiale de la santé est une entité privée

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies sont les principales entités qui poussent l’agenda de la pédophilie dans le monde entier. Nous devons toutefois nous rappeler qu’il ne s’agit pas d’organisations gouvernementales, mais d’organisations privées, détenues par des élites financières. En tant qu’organisations privées, elles n’ont aucune autorité sur qui que ce soit. Pourtant, elles fonctionnent comme un gouvernement mondial unique, contrôlant le système mondial de santé et d’éducation.

Au cours de la pandémie, il est devenu évident pour le monde entier que l’OMS ne sert pas les intérêts de l’humanité, mais plutôt les agendas criminels d’entités occultes.

L’OMS a supprimé des remèdes éprouvés contre la COVID-19  et a ordonné aux entreprises de médias sociaux de censurer les scientifiques et les médecins qui parlaient de traitements efficaces. C’est elle qui a dit au monde qu’une injection expérimentale était la seule réponse à la pandémie, ce qui a entraîné des millions de morts et des centaines de millions de personnes handicapées à vie à cause de ces inoculations non testées.

Pourquoi les gouvernements démocratiques du monde entier abandonnent-ils leurs nations aux mains d’une organisation privée ?

Bill Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé

C’est Bill Gates, multimilliardaire et porte-parole des élites financières, qui est à l’origine de l’ordre du jour visant à supprimer tous les traitements efficaces contre la COVID-19 et à convaincre le monde que seule une injection expérimentale non testée peut nous sauver. Il est le premier vendeur de vaccins au monde et a gagné des sommes astronomiques grâce à ce complot d’inoculation à l’échelle mondiale. 

Lorsque l’on sait que Bill Gates est le principal bienfaiteur de l’OMS, on comprend également qu’il a toute autorité sur les politiques de l’organisation.

Bill Gates est également connu pour ses relations étroites avec Jeffrey Epstein, qui organisait des soirées sexuelles avec des enfants pour les élites sur sa fameuse île d’Epstein.33 Epstein a été arrêté en 2018 sous l’administration Trump, et se serait pendu dans sa cellule de prison. Le nom de Bill Gates apparaît plusieurs fois sur les registres des vols à destination de l’île d’Epstein.34

Les médias grand public et Google – qui appartiennent tous aux élites – se tordent dans toutes sortes de nœuds bizarres pour nier cela, mais les registres de vol ne mentent pas, pas plus que les photographies de Gates et d’Epstein.

Bill Gates et d’autres entités fortunées utilisent l’Organisation Mondiale de la Santé pour sexualiser les petits enfants du monde entier. Gates finance l’organisation pédophile Rutgers pour créer du matériel scolaire pour des dizaines de nations.

Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?

Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.

Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.

Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…



Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier… 

De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants. 

L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36

Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .

« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »

Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.

« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »

Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :

Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison…  ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »

Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.

Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?

Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.

Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38

Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :

Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?

Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39

L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :

✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants

✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles 

✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays

✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie

✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs

Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.

Partager ce rapport avec le monde entier

Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.

À qui de droit,

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :

Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.


Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous

Inviter David à un entretien

Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous

Références et téléchargements

Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.




La viande sera-t-elle interdite ?

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

Résumé

La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité. Jamais personne n’a eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui.

Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser.

Outre les appels à une interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.

Selon des chercheurs de l’Université d’Oxford, la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole. Ils affirment également que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Mais les préoccupations environnementales ne sont pas les seules à prendre en compte. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et à base de plantes. Une enquête récente a révélé que les viandes d’origine végétale contiennent de grandes quantités de substances antinutritionnelles qui empêchent l’absorption par l’organisme de minéraux tels que le fer et le zinc, ce qui pourrait entraîner des carences nutritionnelles problématiques.


La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité.1 Personne n’a jamais eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui. Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser afin de « sauver la planète ».

En septembre 2019, un avocat britannique est allé jusqu’à demander l’adoption de nouvelles lois interdisant la consommation de viande pour protéger l’environnement, et ce genre de folie ne fera probablement que s’intensifier avec le temps. Comme le rapportait le Guardian à l’époque2:

« L’avocat Michael Mansfield a suggéré l’adoption de nouvelles lois contre l’écocide — les pratiques qui détruisent la planète — et, dans ce cadre, la viande pourrait être visée. Je pense qu’au vu des dégâts que la consommation de viande cause à la planète, il n’est pas absurde de penser qu’un jour elle deviendra illégale », a-t-il déclaré.

Outre l’interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et la mise en place de diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.3

La santé humaine sacrifiée à l’environnement

Le Guardian cite une recherche4,5,6 de l’Université d’Oxford, publiée à l’été 2018, qui affirme que la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole, et que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Les préoccupations environnementales ne peuvent pas être la seule considération. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et d’origine végétale.

Mais les préoccupations environnementales sont-elles le seul facteur valable dans cette équation ? Qu’en est-il de la santé humaine ? Est-il raisonnable de condamner intentionnellement l’ensemble de l’humanité à une mauvaise santé et à une faible cognition simplement parce qu’une petite cabale assoiffée de pouvoir prétend que la production alimentaire a un impact néfaste sur le climat ?

De nombreuses activités poursuivies par ces mondialistes ont des effets néfastes sur l’environnement, mais on ne les voit pas s’attaquer à ces problèmes. Au lieu de cela, ils s’en prennent à la nourriture !

L’aspect le plus exaspérant de ce débat est le fait que la santé humaine et la santé environnementale peuvent être optimisées simultanément. Si la cabale mondialiste avait vraiment de bonnes intentions, elle inciterait les agriculteurs à adopter des pratiques agricoles régénératrices et une gestion holistique du bétail.

Le problème serait résolu. Nous aurions des aliments plus sains et plus denses en nutriments et l’environnement se régénérerait rapidement. La normalisation du climat ne tarderait pas à suivre. Pour en savoir plus, voir « L’alimentation et l’agriculture régénératives : Survie et renaissance ».

Mais non, l’agriculture régénératrice ne fait même pas partie de la discussion. Elle est intentionnellement ignorée, et c’est ainsi que l’on sait que les mondialistes n’ont pas l’intention de résoudre un problème réel. Leur intention est de contrôler l’approvisionnement alimentaire en s’assurant que tous les aliments sont brevetables et leur appartiennent.

Une étude met en garde : l’interdiction de la viande nuirait à la santé humaine

De l’autre côté de ce débat, nous avons des recherches7 qui montrent que l’élimination de la viande et des produits laitiers de l’alimentation humaine aurait des conséquences néfastes sur la santé. Comme l’a rapporté Nutrition Insight à la mi-avril 20238:

« Parmi les recherches de plus en plus nombreuses établissant un lien entre la diminution de la consommation de viande et divers avantages pour la santé, une nouvelle étude conclut qu’il est risqué de supprimer ou de réduire la consommation de viande dans les régimes alimentaires, car la viande est un aliment riche en nutriments qui “continue à jouer un rôle clé dans la santé et le développement de l’être humain”.

Les chercheurs expliquent que la viande est une source de protéines et de nutriments de haute qualité qui ne sont pas toujours faciles à obtenir avec des régimes sans viande et qui sont souvent sous-optimaux ou déficients dans les populations mondiales.

“Les aliments d’origine animale sont supérieurs aux aliments d’origine végétale pour ce qui est de fournir simultanément plusieurs micronutriments biodisponibles et des macronutriments de haute qualité essentiels à la croissance et au développement cognitif”, note le Dr Adegbola Adesogan, directeur du Global Food Systems Institute de l’Université de Floride et coauteur de l’étude. Les recommandations diététiques visant à éliminer les aliments d’origine animale des régimes alimentaires ne tiennent pas compte de leur importance… »

En effet, comme indiqué dans le présent document9, l’anatomie, la digestion et le métabolisme humains indiquent que l’espèce humaine est non seulement compatible avec une consommation relativement importante de viande, mais qu’elle en est également tributaire, et le fait de déconnecter l’ensemble de la population de nos modèles alimentaires évolutifs augmente le risque de carences en nutriments et de maladies chroniques, au lieu de le réduire.

La viande est plus que la somme des nutriments individuels

Nous savons déjà que la prépondérance des aliments transformés dans le régime alimentaire occidental est responsable de la charge de morbidité actuelle, et la suppression de l’un des rares aliments entiers restants — la viande — ne fera sans doute qu’aggraver la situation.

Parmi les nutriments spécifiques présents dans la viande et difficiles à obtenir dans les régimes sans viande figurent les vitamines B, en particulier la vitamine B12, le rétinol, les acides gras oméga-3 à longue chaîne, le fer et le zinc sous des formes biodisponibles, la taurine, la créatine et la carnosine, qui ont tous des fonctions importantes pour la santé. Comme le notent les auteurs10:

« En tant que matrice alimentaire, la viande est plus que la somme de ses nutriments individuels. De plus, au sein de la matrice alimentaire, elle peut servir d’aliment clé dans les interventions diététiques basées sur l’alimentation pour améliorer l’état nutritionnel, en particulier dans les régions qui dépendent fortement des céréales de base.

Les efforts visant à réduire la consommation mondiale de viande pour des raisons environnementales ou autres au-delà d’un seuil critique risquent d’entraver les progrès vers la réduction de la dénutrition et de ses effets sur les résultats physiques et cognitifs, et donc d’étouffer le développement économique…

Abstraction faite du degré d’impact négatif que la viande peut avoir sur divers facteurs liés à la santé humaine et planétaire, l’objectif du présent article est de résumer les aspects nutritionnels positifs de la consommation de viande.

La mise en évidence, la compréhension et la pondération de ces paramètres seront nécessaires pour permettre une analyse coût-bénéfice appropriée de toute transformation du système alimentaire, et en particulier de celles qui visent à réduire fortement, voire à éliminer, la consommation de viande ».

Nous avons un problème d’origine humaine. Fort bien

Nous avons un problème d’origine humaine, mais il ne s’agit pas du changement climatique en tant que tel. Le problème est que la production alimentaire a été dénaturée. Dans un article paru le 24 avril 2023 dans The Scotsman11, le chroniqueur Philip Lymbery partage ses souvenirs d’un voyage dans la vallée agricole italienne.

Alors qu’il visitait de « jolis villages », « des pâturages et des champs de culture à perte de vue », il s’est rapidement rendu compte qu’il manquait quelque chose : le bétail. Il n’a jamais vu un seul animal de ferme. Les pittoresques pâturages étaient tous vides.

« Où étaient les vaches qui produisaient le lait pour le Parmesan ou le Grana Padano, célèbres dans le monde entier ? Ou les porcs réputés pour le jambon de Parme ? Ou les poules produisant les œufs pour la carbonara ? Ce que j’ai découvert, c’est que les agriculteurs de la région agricole la plus riche d’Italie avaient oublié comment garder les animaux à l’extérieur.

Ils avaient tout simplement un angle mort. Ils ne voyaient pas pourquoi il n’était pas juste de les garder enfermés à l’intérieur toute la journée, tous les jours. Ils ne voyaient pas l’ironie de faire pousser de l’herbe, de la tondre et de la mettre en balles pour nourrir les vaches incarcérées », écrit-il.

« Ils avaient perdu de vue le fait que les vaches, les cochons et les poulets aiment autant que nous l’air frais et le soleil. Cela m’a fait penser à une autre phrase de Locatelli : “Il vaut mieux avoir une viande fantastique une fois par semaine que de se gaver tous les jours de viande bon marché, élevée sans soin. Nous devons tous nous habituer à la qualité et non à la quantité”. »

Même les produits alimentaires présentés comme issus de vaches nourries à l’herbe, comme le célèbre parmesan italien Parmigiano Reggiano, ont été élevés en intérieur, a découvert M. Lymbery. Au lieu de laisser les vaches brouter librement dans tous ces pâturages, l’herbe coupée est jetée dans des usines obscures où des centaines de vaches sont entassées.

Selon M. Lymbery, moins de 1 % des fermes italiennes qui fournissent des produits laitiers pour la production de parmesan ont laissé les vaches paître librement à l’extérieur en 2016. (Il a demandé au consortium qui régit la fabrication du parmesan des statistiques actualisées pour 2023, mais n’a pas reçu de réponse). Au lieu de cela, le « zéro pâturage » est la norme, c’est-à-dire que les vaches sont gardées en permanence à l’intérieur.

M. Lymbery a également découvert, au cours de ses voyages en Italie, que les champs de culture sont principalement destinés à l’alimentation animale, et non à l’alimentation humaine. Ce sont ces pratiques qui ont un effet néfaste sur l’environnement. C’est l’élevage industriel qui pose problème, et non l’agriculture ou la production alimentaire en général. Comme indiqué précédemment, la solution réside dans l’agriculture régénératrice et l’élevage holistique, et non dans la multiplication des faux aliments transformés.

Les fausses viandes ne sont pas un substitut viable à la vraie viande


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Comme indiqué dans le document « La viande rouge n’est pas un risque pour la santé », la recherche a démontré que la viande rouge non transformée ne présente qu’un risque très faible d’effets néfastes sur la santé, si tant est qu’il y en ait. En revanche, les élevages de viande sont d’importants producteurs d’émissions de CO2 et il a été démontré que les viandes d’origine végétale inhibent l’absorption des minéraux chez l’homme.

Ces deux substituts de viande sont également ultra-transformés12 et peuvent donc entraîner le même type de détérioration de la santé que d’autres aliments transformés. L’obésité13, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer et la dépression ne sont que quelques exemples d’affections dont on sait qu’elles sont favorisées et exacerbées par un régime alimentaire à base d’aliments transformés14,15,16,17,18.

En décembre 2022, des chercheurs suédois ont averti que les substituts de viande à base de plantes présentaient des niveaux très élevés de phytates — des antinutriments qui inhibent l’absorption des minéraux dans le corps humain. Par conséquent, même si le substitut de viande semble contenir de nombreux nutriments nécessaires, tels que le fer, votre corps ne peut pas les absorber. Il est tout à fait prévisible que les substituts de viande à base de plantes puissent entraîner des carences en nutriments préjudiciables à la santé. Comme le rapporte Nutrition Insight19:

« L’étude, publiée dans la revue Nutrients, a analysé 44 substituts de viande vendus dans les supermarchés suédois, principalement composés de protéines de soja et de pois. Elle comprenait également des produits à base de soja fermenté (tempeh) et des mycoprotéines (champignons).

Tous les produits avaient une teneur élevée en fer et en zinc, mais une faible biodisponibilité (à l’exception du tempeh et des produits à base de mycoprotéines). Cela signifie que les minéraux traversent le tractus gastro-intestinal sans être absorbés », explique à NutritionInsight Ann-Sofie Sandberg, co-auteur de l’étude et professeur de sciences de l’alimentation et de la nutrition à l’université de Chalmers.

Sandberg précise que les mycoprotéines ne contenaient pas de fer, mais des quantités relativement élevées de zinc. L’absorption du zinc pourrait être influencée négativement par les parois cellulaires des champignons, bien que cela ne soit pas encore connu.

Parmi ces produits, nous avons constaté une grande variation dans le contenu nutritionnel et dans la façon dont ils peuvent être durables du point de vue de la santé. En général, l’absorption estimée de fer et de zinc à partir de ces produits était extrêmement faible », déclare Cecilia Mayer Labba, auteur principal de l’étude…

Sandberg explique que le fer le plus disponible pour l’absorption provient de la viande et du poisson contenant du fer héminique, qui est très facilement absorbé. La viande et le poisson contiennent également ce que l’on appelle le « facteur viande » — des tissus musculaires ou des acides aminés — qui stimule l’absorption du fer non héminique dans l’ensemble du repas. Il y a donc deux raisons pour lesquelles les protéines animales sont supérieures pour l’absorption du fer. L’absorption du zinc est également stimulée par les protéines animales.

Le décret jette les bases des aliments créés en laboratoire

Les dirigeants gouvernementaux semblent toutefois ignorer totalement les risques liés à une transition globale des aliments réels et entiers vers des alternatives transformées et synthétiques.

En septembre 2022, le président américain Joe Biden a signé un « décret sur l’avancement de la biotechnologie et de l’innovation en matière de biofabrication pour une bioéconomie américaine durable, sûre et sécurisée »20, qui ouvre la voie à la prise en charge de la production alimentaire par la biotechnologie.

Fin mars 2023, Joe Biden a développé ce principe dans un rapport intitulé « Bold Goals for U.S. Biotechnology and Biomanufacturing »21 [Des objectifs audacieux pour la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis]. Selon ce plan, l’industrie alimentaire doit être dirigée par la biotechnologie, et les « améliorations » auxquelles nous pouvons nous attendre sont davantage de viandes cultivées en laboratoire et d’aliments végétaux issus de la bio-ingénierie. Un plan similaire est également détaillé dans la loi britannique de 2023 sur les technologies génétiques et l’élevage de précision22.

Parmi les objectifs spécifiques mis en avant dans le rapport « Bold Goals »23 de Joe Biden figure la réduction des émissions de méthane provenant de l’agriculture de 30 % d’ici 2030, en partie grâce à la réduction des émissions de méthane provenant du bétail ruminant.

Alors que Bill Gates investit dans le développement de masques faciaux capturant le méthane pour le bétail24, le moyen le plus simple de réduire les émissions provenant du bétail est d’éliminer purement et simplement les animaux, ce qui, bien entendu, signifie moins de nourriture réelle.

Parmi les nombreux problèmes posés par ce plan, il y a le fait que les contribuables paieront désormais pour le financement par le gouvernement des sociétés privées impliquées dans l’industrie des faux aliments. Le résultat final est hautement prévisible. Il s’agira d’une répétition de ce qui s’est passé avec les subventions agricoles.

Au lieu de subventionner les aliments les plus nutritifs, les subventions agricoles gouvernementales vont presque exclusivement aux grandes exploitations de monoculture qui cultivent du maïs génétiquement modifié, du soja et d’autres ingrédients de base utilisés dans les aliments transformés. En conséquence, l’industrie des aliments transformés s’est développée à nos dépens, tandis que la santé publique s’est détériorée.

La même chose va se produire ici. Au lieu d’investir dans l’agriculture régénératrice, le gouvernement soutient une toute nouvelle industrie de faux aliments, allant des viandes cultivées en laboratoire à la production d’insectes à grande échelle. Pendant ce temps, les données relatives à la sécurité des viandes d’origine végétale, des viandes synthétiques cultivées et des protéines d’insectes font cruellement défaut.

Pour ne citer qu’un exemple, un rapport de mars 2023 sur l’identification des risques alimentaires25 de l’agence britannique des normes alimentaires (FSA) et des normes alimentaires d’Écosse souligne qu’il existe des « lacunes considérables dans les connaissances » en ce qui concerne la production de viande à base de cellules. Il existe peu ou pas de données sur la toxicologie, les profils nutritionnels, la stabilité des produits, les risques d’allergie, les risques de contamination et les effets indésirables de ces produits lorsqu’ils sont consommés par l’homme.

Exemples de dangers potentiels

Les problèmes potentiels identifiés par la FSA sont les suivants:26,27

Réactifs, bains d’air ou d’eau contaminés
Matériel mal nettoyé ou mal entretenu
Non-respect des protocoles de nettoyage lors de la culture de cellules
Non-respect des bonnes pratiques de laboratoire (BPL) et/ou des bonnes pratiques de fabrication (BPF)
Utilisation d’antibiotiques, de fongicides et/ou de produits chimiques toxiques pour l’homme dans la production
Consommation de virus utilisés dans le processus de fabrication
Contamination croisée d’une lignée cellulaire par une autre en raison de l’utilisation concomitante de plusieurs lignées cellulaires
D’autres risques de contamination croisée, tels qu’un mauvais entretien des équipements, de mauvaises méthodes de nettoyage, un stockage incorrect des cellules, l’utilisation de plusieurs lignées cellulaires dans une même zone, l’utilisation de mauvaises cellules et un étiquetage incorrect.
Nouvelles maladies et/ou réactions allergiques à de nouvelles protéines en raison de l’utilisation de lignées cellulaires d’animaux qui ne sont pas courants dans le régime alimentaire local
Carences nutritionnelles, « étant donné que le profil nutritionnel peut être différent de ce qu’il remplace ».

Comme l’indique le rapport sur l’identification des risques alimentaires28:

« Il existe de nombreuses étapes de développement pour la production de viande cultivée… depuis le prélèvement d’une lignée cellulaire dans un petit flacon ou une biopsie et l’augmentation du volume de culture par étapes (prolifération), jusqu’à ce qu’un bioréacteur de taille commerciale puisse être ensemencé, jusqu’à la différenciation des cellules pour obtenir le type de cellule final souhaité.

Ensuite, ils les font mûrir, généralement sur un support, pour augmenter la teneur en protéines, puis détachent/broient les cellules avec/de leur support pour obtenir un produit final qui peut être utilisé pour fabriquer des cellules semblables à celles de la viande. À chaque étape, différents produits chimiques, produits biologiques, milieux de culture, additifs et suppléments sont utilisés pour garantir une culture réussie. »

La contamination peut se produire à chacune de ces étapes. Chaque additif présente également des risques potentiels, connus et inconnus, car divers sous-produits sont créés au cours du processus. Dans la vidéo plus haut, je passe en revue quelques-uns des nombreux dangers potentiels associés aux fausses viandes.

Compte tenu du traitement en plusieurs étapes auquel sont soumises les viandes cultivées, il est tout simplement impossible qu’elles soient aussi sûres que les viandes conventionnelles, pour lesquelles les principaux risques de contamination se limitent à l’abattage, au traitement, à l’emballage, à la distribution et au stockage. Avec les fausses viandes, une contamination dangereuse peut se produire à n’importe quel moment de la fabrication, en plus de ces « points faibles » conventionnels.

Les aliments ultra-transformés n’ont rien d’écologique

Les aliments ultra-transformés vont également à l’encontre des objectifs écologiques et durables. Par exemple, les aliments ultra-transformés sont déjà responsables de 17 % à 39 % de la consommation totale d’énergie liée à l’alimentation, de 36 % à 45 % de la perte totale de biodiversité liée à l’alimentation et jusqu’à un tiers des émissions totales de gaz à effet de serre liées à l’alimentation.29

Alors, comment l’augmentation de la fabrication et de la consommation d’un nombre encore plus important d’aliments ultra-transformés va-t-elle permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Comme l’indique un article paru en septembre 2022 dans le Journal of Cleaner Production30:

« Les aliments ultra-transformés sont des produits fondamentalement non durables ; ils ont été associés à des résultats sanitaires et sociaux médiocres et leur production nécessite des ressources environnementales limitées… ils sont responsables d’une quantité importante d’énergie liée à l’alimentation, et d’émissions de gaz à effet de serre ».

Et malgré tous les beaux discours sur l’« équité », l’augmentation de la consommation d’aliments transformés aggravera les inégalités économiques, car elle détournera l’argent des petits agriculteurs et des exploitants indépendants vers les sociétés transnationales qui font appel à des travailleurs sous-payés.

La viande bovine sera-t-elle interdite ?

Aussi fou que cela puisse paraître, il y a toutes les raisons de penser qu’une interdiction de la viande finira par devenir réalité. Personnellement, je ne pense pas que cela se fera par le biais de lois interdisant la consommation de viande.

Au contraire, la viande sera tout simplement supprimée au fur et à mesure que les agriculteurs seront contraints de limiter la taille de leurs troupeaux pour se conformer aux diverses restrictions sur l’utilisation des engrais et aux limites des émissions de carbone. De fausses alternatives prendront alors leur place et, au fil du temps, les gens oublieront comment produire leur propre nourriture. À ce moment-là, l’humanité sera entièrement capturée et réduite en esclavage.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Participer à la solution


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En fin de compte, si nous voulons être libres et si nous voulons la sécurité alimentaire, nous devons concentrer nos efforts sur la construction d’un système décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de vrais aliments de manière durable et qui distribuent ces aliments localement.

Les stratégies permettant d’y parvenir ont été abordées lors du symposium Attack on Food [Attaque contre l’alimentation] organisé par la Children’s Health Defense le 4 mars 2023 (voir la vidéo ci-dessus). Par exemple, le Dr John Day et Beverly Johannson ont donné des conseils sur la manière de cultiver sa propre nourriture et de conserver les aliments que l’on cultive. Parmi les autres stratégies utiles, citons l’achat d’aliments auprès des agriculteurs locaux et des marchés de producteurs, ainsi que la création de plateformes alimentaires indépendantes qui éliminent les intermédiaires.

La dernière session du symposium a porté sur des solutions sociétales plus larges pour lutter contre la guerre de l’alimentation. Le représentant américain Thomas Massie a mis en évidence les principales vulnérabilités de l’approvisionnement alimentaire américain, qui s’est effondré pendant la pandémie lorsque les agriculteurs ont dû euthanasier les animaux parce qu’ils ne pouvaient pas les faire transformer.

Quatre conditionneurs de viande contrôlent 85 % de la viande transformée aux États-Unis. L’un d’entre eux appartient à la Chine, un autre au Brésil et les deux autres sont des multinationales. Les prix des denrées alimentaires augmentent alors que les agriculteurs sont ruinés. En 2017, Massie a présenté le Processing Revival and Intrastate Meat Exemption (PRIME) Act31, mais le projet de loi n’a pas avancé depuis son introduction à la Chambre.

La loi PRIME permettrait aux agriculteurs de vendre de la viande transformée dans de petites installations d’abattage et aux États de fixer leurs propres normes de transformation de la viande. Les petits abattoirs n’ayant pas d’inspecteur parmi leur personnel — une exigence que seules les grandes installations peuvent facilement remplir — il leur est interdit de vendre leur viande. La loi PRIME supprimerait cette réglementation sans sacrifier la sécurité, puisque des inspections aléatoires de l’USDA pourraient toujours avoir lieu.

« Si un agriculteur souhaite vendre du porc, du bœuf ou de l’agneau à un consommateur, tant que ce consommateur, cet agriculteur et ce transformateur se trouvent dans le même État et ne franchissent pas les frontières de l’État, le gouvernement fédéral n’intervient pas dans cette transaction », a déclaré M. Massey.

M. Massey a également présenté un projet de loi visant à protéger l’accès au lait cru (HR 4835, Interstate Milk Freedom Act of 202132).33 Ce projet de loi a été présenté à la fin du mois de juillet 2021, sous la forme d’un amendement à la loi agricole de 2018. Contactez vos représentants et demandez-leur de soutenir ces projets de loi.


Sources et Références

1, 7, 9, 10 Animal Frontiers April 15, 2023

2, 3 The Guardian September 23, 2019

4 Science June 1, 2018; 360: 987-992

5 Science Erratum February 22, 2019

6 The Guardian May 31, 2018

8 Nutrition Insight April 17, 2023

11 The Scotsman April 24, 2023

12 Friends of the Earth, From Lab to Fork, June 2018 (PDF)

13 Cell Metabolism, 2019; doi: 0.1016/j.cmet.2019.05.008

14 JAMA Internal Medicine February 11, 2019;179(4):490-498

15 BMJ February 14, 2018; 360

16 JAMA 2017;317(9):912-924

17 BMJ, 2019;365:I1451

18 BMJ, 2019;365:l1949

19 Nutrition Insight December 9, 2022

20 White House Executive Order on Advancing Biotechnology September 12, 2022

21, 23 Bold Goals for US Biotechnology and Biomanufacturing March 2023

22 Genetic Technology (Precision Breeding) Act 2023

24 Cowboy State Daily March 23, 2023

25, 26 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022

27 Food Safety News March 24, 2023

28 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022, Page 8

29, 30 Journal of Cleaner Production September 25, 2022; 368: 133155

31 HR 2657 PRIME Act

32 HR4835 Interstate Milk Freedom Act 2021

33 Thomas Massie Press Release July 30, 2021




Pour en finir avec les plandémies

[Source : Vidéos du net]

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich



La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus



[Voir aussi :]

40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


Commentaires sur le VIH de Montagnier

« Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


L’invention du « virus Ebola »

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Brève présentation de l’ouvrage.


Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Le Covid est-il le mensonge de trop ?


Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

(Vidéo > 2 h 30)


Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


Le mythe de la contamination épidémique

Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
(Vidéo 1 h 25)


Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


Articles sur la théorie virale :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la fraude des tests PCR :
Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Et aussi les autres articles du dossier Vaccins et virus

Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


La virologie : pseudoscience au service de la domination

Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


Démantèlement de l’hypothèse virale

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Déclaration sur l’isolement des virus

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
“La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

“Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


Fauci et la grande arnaque du sida

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
(Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
CHAPITRE 1 : CONTAGION
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
CHAPITRE 8 : L’EAU
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
CHAPITRE 10 : TOXINES
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
Partie 3: CHOIX…)


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.




Agenda 2030 : Covid-19 Extinction

[Source : Infos et Culture via profession-gendarme.com]

Ils ont injecté à des milliards de personnes une technologie de pointe sans le consentement éclairé ?

Ce n’est pas un vaccin… mais plutôt de la nanotechnologie. Ce n’est pas pour rien qu’ils ont déployé en même temps la 5G…

L’OMS s’empare du pouvoir suprême sur notre santé ! Leur mainmise sur la déclaration de pandémie, la vaccination et les passeports vaccinaux menacent nos démocraties. Il est temps de résister à ce coup d’État !

CitoiCitoyen, le 29/04/23

[Les dossier 5G et ondes pulsées, implants numériques et Vaccins et virus fournissent de nombreuses informations complémentaires.
Voir notamment les quelques articles suivants, en vrac :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Comment le corona a tué Pasteur
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Nanotechnologie et « vaccins »
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
La convergence bionumérique
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Le but démontré des injections antiCovid
Transformation cybernétique de l’Humanité
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]






Pourquoi cet étalage de blancs-becs en Occident ?

[Source : EPR]

Les individus à la tête des principaux pays occidentaux ont tous en commun d’être totalement dépourvus d’expérience. Cette aberration n’est pas le fruit du hasard, elle résulte de la volonté d’oligarques qui placent leurs pions aux endroits stratégiques. En faisant élire, par des stratégies de manipulation d’opinion, des jeunes gens sans expérience, ils s’assurent la docilité d’obligés qui conduiront des politiques favorables à leurs intérêts.

François Asselineau analyse cette situation et dénonce les motivations des responsables de ce jeu de dupes dans lequel les peuples sont les grands perdants.






France — Le Dr Umlil est révoqué de l’hôpital de Cholet et interdit de faire appel pour avoir contesté les mesures sanitaires covidiennes !

[Source : resistancerepublicaine.com]

[Illustration : Docteur Umlil, directeur directeur du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques du centre hospitalier de Cholet, qui a passé 2 années à protester, enquêter, mettre en doute une politique sanitaire abominable et sans aucun sens.]

Par Christine Tasin

Rappel du combat incessant du Docteur Umlil contre l’imposture vaxxinale

Il avait fait des pieds et des mains pour être entendu au Sénat, épouvanté par la vaxxination des enfants, faite avant même l’autorisation de mise sur le marché !

Les premiers mots de sa déposition disaient tout :

« On ne serait pas là si ce débat avait eu lieu depuis plusieurs mois. »

Déposition choc au Sénat du Docteur Amine Umlil : 22 000 enfants ont été vaccinés avant l’autorisation de mise sur le marché !

Mais Macron et ses séides ont tous les moyens de briser ceux qui osent dire non, ceux qui osent parler de raison, de vraie science, d’imposture Covid.

– Les soignants non vaxxinés ont payé très cher leur insoumission. Et continuent de payer, attendant le décret de réintégration… Si c’est comme le héros du Rivage des Syrtes, ils sont voués à attendre jusqu’à la mort… Ils étaient 15 000, ils ne sont plus que 2 000… les 13 000 restants ont changé de métier, abandonnant les urgences, les hôpitaux qui ferment, les services qui ferment, les gens qui meurent dans les couloirs. C’est abominable, c’est la faute à Macron, pas aux soignants.

Il fallait briser tous ceux qui mettaient en échec le but de Macron et ses amis comme Bill Gates, vaxxiner tout le monde, histoire de nous faire disparaître… Ne manquez pas le lien que Paco a déniché, lisez…

https://resistancerepublicaine.com/2023/04/19/pfizernocide/

– Il fallait briser Raoult… trop gros morceau pour Macron. Il n’a pas pu le faire taire, pas plus que Perronne ou Henrion-Caude, mais il a tout fait pour les salir, aidé par des journaleux complaisants et haineux. Et Macron, en manœuvrant pour que Raoult prenne sa retraite plus vite que prévu nous a privés, délibérément d’un des plus grands médecins du monde entier. Minable Macron, tu mériterais de finir comme le Chevalier de la Barre qui était innocent, lui…

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait notamment courageusement et publiquement exigé la démission de Véran.

https://resistancerepublicaine.com/2021/07/11/vaccins-contre-la-covid-19-je-demande-jexige-la-demission-immediate-du-ministre-de-la-sante-veran/

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait transmis au Sénat un rapport de 92 pages dont les données étaient tirées des organismes officiels de santé de la France, de l’UE… et notamment celles qui montrent que les injections Pfizer faites ont une autre composition que celles qui ont servi à l’étude randomisée !!!! Il a fait un livre de ce rapport, plus qu’explosif : Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement. 

92 pages d’analyses, de témoignages… au vitriol :

« Malgré l’absence de données, on a injecté ce produit, y compris aux plus de 75 ans, aux immunodéprimés, aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent, aux enfants. Le 21 avril 2021, on reçoit un mail de la DGS urgent qui nous demande de prescrire trois doses chez les immunodéprimés. Or dans les documents de Pfizer pour l’AMM conditionnelle, cette population figure dans une mise en garde spéciale. Il s’agit donc d’une mauvaise pratique. L’urgence ne justifie pas tout. On n’exige pas autant de précautions pour les vaccins que pour les vieilles molécules comme l’hydroxychloroquine. »

Je vous invite à lire l’article et à visionner l’entretien entre Bercoff et Umlil. J’en ai transcrit une partie.

Qu’arriva-t-il ? Enquête ? Mise en accusation de Véran-Macron et toute la clique ? Vous n’y pensez pas ! Ils ont carrément révoqué le docteur UMLIL, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance de ses fonctions !

Le 27 janvier 2023, le Dr Umlil, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance, a été révoqué de ses fonctions de pharmacien de l’hôpital de Cholet. Carrément.

Mais ce n’est pas fini, il fallait l’achever en l’empêchant même de faire appel ! Macron qui n’a que les mots « droit » et « démocratie » à la bouche interdit aux citoyens qui ne pensent pas comme lui d’utiliser les recours prévus par la loi.

« Le Dr Umlil et son avocat, Me Thomas Benages, ont fait un recours contre cette révocation. L’audience du référé suspension s’est tenue le 7 avril 2023 à Nantes. Ce 14 avril 2023, Me Benages a informé que « la décision du référé est tombée, le tribunal n’a pas donné droit au recours du docteur Umlil de suspendre la décision de révocation au motif que la réintégration immédiate du Dr Umlil ferait peser un risque pour le bon fonctionnement du service public hospitalier. »

C’est une décision surprenante, que Maître Thomas Benages a commentée dans ce débriefing. Le Dr Umlil envisage d’ores et déjà de faire appel devant le Conseil d’État.

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/suspension-du-dr-umlil-le-tribunal-rejette-son-droit-au-recours

Vous avez dit « dictature » ? Vous avez dit Macron-Ceaucescu ?






Selon Idriss Aberkane, vos enfants n’utiliseront plus Google

[Source : Idriss J. Aberkane]

Une génération a connu Facebook, l’autre est allée sur Snapchat, puis encore sur Instagram, et enfin sur Tiktok… mais Google, le bon vieux moteur de recherche qui a survécu à toutes les crises y compris la bulle Internet en 2001 et la révolution du smartphone en 2008, peut-il demeurer pertinent maintenant que ChatGPT réalise et surtout ORGANISE l’équivalent d’une centaine de ses requêtes en moins d’une minute ? Oui, Google est en panique, et ce n’est pas moi qui le dit, c’est Google lui-même. On fait le point dans cette vidéo.

[Voir aussi :
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie
Suspendre les développements en Intelligence artificielle n’est pas suffisant. Il faut tout arrêter
Une psychologue contre la machine
L’intelligence artificielle est diabolique
Intelligence artificielle : l’humanité en danger ?
Un neuroscientifique avertit que la génération actuelle d’IA est sociopathe
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste]






TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots

[Source : newsletter.micheldogna.fr]

Par Michel Dogna

Pour comprendre quelque chose de logique au sac d’embrouilles de la sombre histoire Covid, il faut aller juste à l’essentiel des évènements factuels et oublier le narratif superficiel et stérile des médias pour égarer les esprits. Même si je commets quelques erreurs dans le méli-mélo historique cela ne change rien sur le fond de ma démarche.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid
et le dossier Vaccins et virus]

ÉPISODE 1 : Préparation panique mondiale

En 2019 la ville de Wuhan en Chine où siège le laboratoire de sécurité virale P4, est secrètement désignée pour être le lieu de lancement expérimental d’une épidémie par coronavirus. Toute la population reçoit préalablement un faux vaccin antigrippe obligatoire (chargé d’oxyde de graphène). Ceci sera dévoilé plus tard factures en main par la journaliste scientifique américaine Karen Kingston. En même temps, une installation de 10 000 antennes relais 5G est effectuée à travers la ville (détail important)

En janvier 2020 des passants à Wuhan tombent par terre çà et là dans la rue, foudroyés par une mort subite – des images parlant d’un virus mystérieux nommé (C 19) passent dans les journaux du monde entier qui donnent l’alerte d’une possible pandémie. En même temps, il tombe sur le sol des milliers d’oiseaux et d’insectes morts en plein vol. Silence radio sur ce détail…

La presse annonce une terrible grippe par un coronavirus ayant pour origine des chauves-souris et des pangolins infectés vendus sur le marché. Logiquement quand on est terrassé par une grippe, on est au fond de son lit et non pas en train de se promener dans la rue, et on ne meurt pas subitement…

Or en 2011 l’Institut Pasteur avait déposé deux brevets d’un « vaccin » type ARNm contre une maladie épidémique dont on ne connaissait pas encore l’existence (BIZARRE !)… ceci à partir d’un coronavirus SRAS2 OGM donc n’existant pas dans la nature, une chimère signée Microsoft donnant une grosse grippe pulmonaire. L’insertion confidentielle d’oxyde de graphène n’apparaîtra que dans un brevet chinois et pas dans le brevet US.

ÉPISODE 2 : Que s’est-il réellement passé à Wuhan ?

En fait le « fog » de la 5G émettrice d’une onde mortifère associée au graphène du faux vaccin ARNm a transformé les gens en antennes de réception ambulantes. Mais il ne fallait pas que cela se sache afin de capter l’attention du public vers le seul corona C19 qui a servi de faux drapeau – et tout le monde (y compris les scientifiques) s’est engouffré dans ce miroir aux alouettes. Le but était de créer une panique générale face à un faux ennemi : le C19, ce qui allait faire accepter un vaccin qui tue.

Le principe est toujours le même :
Effrayer les gens avec une vraie ou fausse maladie afin de leur proposer un « remède miracle » qui va les abîmer et rentabiliser à vie les uns ou tuer les autres.

J’ai appris tout cela en détail quelques mois plus tard par un laboratoire de recherche indépendant, ce qui m’a valu la perte de plusieurs milliers d’abonnés… J’ai expliqué que la 5G a été chargée de la fréquence 60 gigahertz (milliards de hertz) qui est la fréquence de résonance de l’oxygène – or sous cette forme excitée l’hémoglobine du sang ne peut plus s’y combiner pour le véhiculer, d’où asphyxie partielle ou complète des victimes injectées vivant sous rayonnement 5G. Depuis divers labos indépendants ont totalement confirmé cette information.

ÉPISODE 3 : Pourquoi tant de morts subites – retards ?

La propriété de supraconductibilité électrique et surtout magnétique bien connue du graphène nanométrique agit sur les globules rouges puisqu’ils contiennent du fer et les collent tous Nord/Sud comme tous les aimants, formant de grands vers en tortillons dans les circuits sanguins. Ils peuvent créer ainsi des bouchons dans des coins stratégiques comme le cœur (d’où embolies cardiaques), dans le cerveau (d’où AVC embolie cérébrale), ou dans les poumons (d’où embolie pulmonaire) .

Et ce n’est pas tout, car ce graphène nanométrique est sous forme de microscopiques lames de rasoir qui blessent à la fois les globules rouges et les parois des vaisseaux. Les plaquettes arrivent alors en masse pour cautériser les millions de microblessures, ceci créant autant de microcaillots qui épaississent le sang jusqu’à le transformer en « confiture ». Là, c’est danger de mort imminent !

Les autopsies de ces victimes montrent des sites vasculaires dévastés avec un mélange de caillots et de débris de vaisseaux impressionnants.

Et c’est pour cela qu’il convient surtout pour les vaxés de se faire établir d’urgence un D dimer (je le répète sans cesse) par un laboratoire médical qui va mesurer la viscosité du sang, la valeur en UI ne devant pas dépasser 10 fois votre âge (50 ans = 500 Ui). Mais qui parle de cela ? Quelques médecins hors pistes émancipés de la doxa officielle…

ÉPISODE 4 : De faux vaccins destructeurs

La Quinta Culumna observatoire espagnol de la santé publique suite à l’analyse de « vaccins » Pfizer et Moderna n’y a trouvé aucune trace de souche vaccinale de Covid – normal puisque ce virus chimère n’a jamais pu être capturé ni isolé. Ce n’est donc pas un vaccin.

Par contre en plus du graphène, ils ont trouvé de PROTÉINE SPIKE et de l’HYDROGEL DARPA qui sont deux poisons codants du génome.
La spike pénètre dans les cellules et les fait travailler à sa propre reproduction dans tout l’organisme. Ensuite elle détruit le programme immunitaire pour le remplacer par une réaction auto-immune de septicémie générale gravissime en cas d’attaque virale.

L’hydrogel facilite la pénétration cellulaire de la spike et inhibe la glande pinéale qui est un relais des informations cosmiques.

NOTA : Il est curieux qu’aucun des ténors virologues et épidémiologistes contestataires, à part Le Dr Astrid Stükelberger, ne parle de ces trois responsables majeurs de l’hécatombe qui sévit depuis 3 années parmi les vaxés. Font-ils face à une terrible omerta ?

ÉPISODE 5 : la découverte de 3 lots de vaccins

Il est légitime de se poser la question : pourquoi tout le monde n’est pas handicapé, voire terrassé, après avoir été injecté d’un ou plusieurs de ces poisons ? La réponse est simple : si tout le monde était touché, la relation avec le vax serait évidente. Or les analyses d’échantillonnages montrent l’existence de 3 lots :

  • Lots n° 1 ne contenant que du sérum physiologique ;
  • Lots n° 2 sous dosés en poisons (vous risquez d’être malade) ;
  • Lots n° 3 à dose maximum (vous risquez la mort prématurée).

C’est donc la roulette russe !!! Sauf pour les politiques et collabos patentés qui ont bénéficié des lots n° 1.

ÉPISODE 6 : Des mesures criminelles tous azimuts

Alors que Bill Gates préconisait l’éradication de 90% de l’humanité, Il a imposé un « vaccin » pour protéger les gens
(BIZARRE !)
C’est ainsi que :

  • Dans les EHPADS on a « protégé » les vieux en les liquidant au REMDEVISIR
  • Dans les hôpitaux on a massacré les grippés par corona aux paracétamols
  • L’on a confiné chez eux des milliers de grippés sans soins
  • L’on a interdit tous les médicaments reconnus efficaces contre le C 19
  • L’on a obligé les gens au port d’un port d’un masque inadapté aux virus et catastrophique pour les enfants à l’école
  • L’on a obligé les gens à se soumettre à un test PCR non fiable et discriminatoire
  • L’on a puni les médecins qui guérissaient leurs patients avec des traitements retirés des pharmacies en France
  • Les médias ont menti sur tous les chiffres en inversant les résultats et en cachant les succès flagrants des pays non alignés sur l’OMS

NOTA : les 20% des Français qui ont refusé le vax maudit n’ont présenté aucun des symptômes courants parmi les vaxés.

ÉPISODE 7 : Une histoire sans fin

Pourquoi régulièrement une nouvelle épidémie ? Tout simplement en raison du fait que le Covid étant un montage chimérique, donc non issu de la nature, doit muter sans cesse jusqu’à retrouver son statut d’origine, ainsi que l’a expliqué le Pr Luc Montagnier. Pour chaque mutation épidémique soi-disant plus dangereuse que jamais (tel le Marburg), il faut logiquement un nouveau vax, mais c’est du cinéma puisque nous avons vu que l’on n’a jamais pu isoler le virus.

Par contre, c’est une bonne occasion pour vous mettre une recharge supplémentaire des 3 poisons qui tuent, du moins pour ceux qui n’ont toujours pas compris que l’on s’est payé leur tête depuis le départ… et que le risque pour leur vie est cumulatif.

À noter que l’Afrique qui s’est dissociée délibérément du joug OMS depuis le départ [à part quelques pays, dont la Tunisie et l’Afrique du Sud, qui en ont scrupuleusement suivi les directives et ont eu beaucoup plus de morts par million d’habitants que les autres (voir https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)], a été très peu touchée par cette pandémie, non pas virale mais vaccinale [NDLR En toute rigueur, la mortalité relevée dans les divers pays du monde affectés a démarré avant la campagne de vaccination massive. Cependant, elle a chronologiquement accompagné le déploiement de la 5G (voir Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur)] et utilise massivement l’artemisia annua millénaire.

ÉPISODE 8 : Mort de la cabale et libération des peuples !

Une grande partie des Français se réveille enfin, précédée comme d’habitude par le peuple américain de Trump. La population se rend enfin compte qu’elle a été mortellement trompée. Il n’y a que les profiteurs collabos qui ne réclament pas la démission de Macron, ce malade mental qui est moqué par la plupart des pays étrangers.

Sur le plan mondial, ceux qui suivent autre chose que télé mensonges peuvent constater que la cabale satanique, OTAN comprise, est en pleine décomposition, que son dernier recours par une guerre nucléaire mondiale est avorté et qu’elle a définitivement perdu la partie.

Comme nous l’avions prévu, 2023 nous offre la libération des peuples par la grande sagesse stratégique des 3 mousquetaires sauveurs que j’ai toujours soutenus : TRUMP – POUTINE – XI JINPING. (Honni soit qui mal y pense). Ne vous inquiétez pas des mesures socio-culturelles et bancaires catastrophiques qu’on nous promet, elles ne pourront pas aboutir.

[NDLR Michel Dogna se montre particulièrement optimiste, trop peut-être, au moins en termes de délais.]

La mise en place d’un nouveau monde de Lumière est en cours.
Participez-y plutôt que de rester les yeux rivés sur votre rétroviseur.






Robert F. Kennedy, Jr candidat aux élections américaines!

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers amis,

C’est confirmé Robert F. Kennedy, Jr. vient de déposer son dossier officiel de candidature à la Présidence des États-Unis. Ce n’est pas qu’il soit dévoré par des ambitions politiques, mais c’est avant tout pour tenter de restaurer la santé et la démocratie qui sont en complète déliquescence. Comme il l’avait précisé récemment :

Si je me présente, ma première priorité sera de mettre fin à la fusion corrompue entre le pouvoir de l’État et celui des entreprises, qui a ruiné notre économie, brisé la classe moyenne, pollué nos paysages et nos eaux, empoisonné nos enfants et nous a privés de nos valeurs et de nos libertés. Ensemble, nous pouvons restaurer la démocratie américaine.

L’effondrement de l’influence des États-Unis sur l’Arabie saoudite et les nouvelles alliances du royaume avec la Chine et l’Iran sont les emblèmes douloureux de l’échec abyssal de la stratégie néocon qui consistait à maintenir l’hégémonie mondiale des États-Unis par des projections agressives de puissance militaire. La Chine a supplanté l’empire américain en projetant habilement sa puissance économique. Au cours de la dernière décennie, notre pays a dépensé des milliers de milliards pour construire des routes, des ports, des ponts et des aéroports. La Chine a dépensé l’équivalent pour construire la même chose dans les pays en développement. La guerre en Ukraine est l’effondrement final de l’éphémère « siècle américain » des néoconservateurs. Les projets néocons en Irak et en Ukraine ont coûté 8 100 milliards de dollars, vidé notre classe moyenne de sa substance, fait de la puissance militaire et de l’autorité morale des États-Unis la risée de tous, poussé la Chine et la Russie à former une alliance invincible, détruit le dollar en tant que monnaie mondiale, coûté des millions de vies et n’ont rien fait pour faire progresser la démocratie, gagner des amitiés ou de l’influence.

Kennedy devra se battre contre tous les lobbies et la presse, et déjouer la censure féroce dont il est l’objet. L’an dernier son compte Instagram qui comptait plus de 700 000 abonnés avait été supprimé. Son livre phénoménal « Antony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre contre la santé publique et la démocratie » n’a jamais reçu une ligne de commentaire dans les chroniques littéraires, malgré le fait qu’il ait été n° 1 des ventes aux États-Unis, avec plusieurs millions de copies. La semaine dernière, il a intenté un procès contre le Président Biden et Antony Fauci pour avoir poussé la Maison-Blanche à le censurer sur les réseaux sociaux, principalement Facebook, Twitter et YouTube.

En tant qu’ancienne fondatrice de son association Children’s Health Defense en Europe, cette nouvelle me réjouit, car je sais que c’est quelqu’un qui a le cœur à la bonne place et qui a la force nécessaire pour se lancer dans cette bataille. « Bobby » a grandi entouré de serpents. Les commanditaires des assassinats de son père et de son oncle étaient les premiers à venir consoler les veuves et les orphelins. Depuis cette époque, le parti démocrate a été totalement vérolé et RFK, Jr. comme on le nomme aux États-Unis a dû progressivement ouvrir les yeux sur cette constante et inimaginable perversion.

C’est un contexte difficile, car l’on ne sait jamais vraiment à qui se fier. Robert F. Kennedy, Jr. n’est ni un saint, ni messie, il n’est pas infaillible et même s’il était élu Président, il ne sauverait pas le monde d’un coup de baguette magique. Par contre, ce dont je peux attester, c’est que c’est un homme sensible, courageux, intelligent, sincère et qu’il se demande chaque matin comment il va pouvoir servir Dieu et son prochain. Il a la capacité d’inspirer beaucoup d’autres personnes à le suivre dans la reconquête de notre humanité et des millions d’Américains sont prêts à le suivre, bien plus que ce que la propagande de la presstitution ne laisse imaginer. Toutes mes pensées l’accompagnent dans ce valeureux combat !




Bill Gates prépare un état carcéral pandémique mondial

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Bill Gates prend la parole sur scène lors du sommet TIME 100 2022 le 7 juin 2022 à New York.
(Jemal Countess/Getty Images for TIME)]

Par Jeffrey A. Tucker

On pourrait penser qu’une catastrophe épique comme la réponse au COVID devrait inciter à l’humilité et à la réflexion sur la façon dont la santé publique a pu se fourvoyer à ce point. Ils ont eu leur chance, mais ont créé un désastre mondial pour l’éternité.

C’est plus qu’évident pour tout observateur compétent. L’étape suivante pourrait être de voir s’il y a des endroits où les choses se sont plutôt bien passées, et la Suède vient tout de suite à l’esprit. Les pertes en matière d’éducation ont été inexistantes, car les écoles n’ont pas été fermées. En général, la vie s’est déroulée normalement et avec de très bons résultats.

[NDLR D’autres pays ou États, comme la Biélorussie et diverses nations africaines, ont été plus opposés aux mesures sanitaires que la Suède et ont obtenu de meilleurs résultats.]

On pourrait penser que la méthode suédoise est justifiée. Malheureusement, nos dirigeants ne se soucient pas des preuves, apparemment. Ce qui les préoccupe, c’est le pouvoir et l’argent à tout prix. En conséquence, nous assistons à un effort concerté non seulement pour doubler les erreurs la fois suivante, mais aussi pour les aggraver.

Les deux principales pièces à conviction sont apparues au cours du week-end.

New York Times : « We’re Making the Same Mistakes Again » (Nous refaisons les mêmes erreurs) par Bill Gates.

Wall Street Journal: « What Worked Against Covid: Masks, Closures and Vaccines » (Ce qui a fonctionné contre le Covid : masques, fermetures et vaccins), par Tom Frieden (ancien directeur du CDC).

Bill Gates profite de sa position privilégiée au New York Times pour plaider une fois de plus en faveur d’un corps d’urgence sanitaire mondial, installé au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé et géré par les mêmes personnes qui ont mis au point la réponse à la pandémie cette fois-ci. En d’autres termes, il s’agirait d’un organe central du gouvernement mondial chargé d’imposer de nouvelles mesures de confinement au monde — des mesures de confinement qui permettraient d’attendre une nouvelle série de vaccins.

À l’en croire, il n’a rien appris du dernier gâchis qu’il a créé. En fait, il n’a aucune honte à le faire. Selon lui, le seul problème est que nous n’avons pas verrouillé assez rapidement, que nous n’avons pas distribué les vaccins assez vite et que nous n’avons pas mené assez de recherches à l’avance pour mettre au point le vaccin parfait. Et oui, cela nécessite nécessairement des recherches sur le gain de fonction.

En d’autres termes, selon M. Gates, la recherche doit continuer à bricoler dans les laboratoires avec des astuces qui anticipent les pathogènes du futur, ce qui augmente à nouveau le risque de fuites de laboratoires qui nécessitent alors des correctifs qui ne peuvent être produits et distribués que par les sociétés pharmaceutiques dans lesquelles il a de si gros investissements.

C’est ainsi que l’on se retrouve dans une boucle infernale : la recherche sur le gain de fonction pour anticiper le prochain agent pathogène en le créant et en risquant ainsi une fuite de laboratoire qui libère l’agent pathogène qui doit alors être corrigé par les vaccins eux-mêmes, mais que le monde doit verrouiller jusqu’à ce qu’ils puissent être administrés à des milliards de personnes.

Et n’oubliez pas que Gates n’est pas simplement un type qui écrit un article d’opinion. Il est de facto le propriétaire de l’Organisation Mondiale de la Santé, et sa volonté de mettre en place une bureaucratie permanente en cas de pandémie a donc beaucoup de poids. La bureaucratie dont il rêve passerait outre la souveraineté nationale pour s’assurer qu’il n’y ait plus jamais de Suède.

« Il est difficile pour un pays d’arrêter seul la propagation d’une maladie », écrit-il. « La plupart des actions les plus significatives nécessitent une coordination au plus haut niveau de l’État ».

Le modèle est toujours le même et il est tiré du monde de l’informatique. Il y a un disque dur propre, analogue au corps humain ou à des sociétés entières. Ils fonctionnent bien, mais une menace exogène apparaît sous la forme d’un logiciel malveillant. Pour la contrer, nous avons besoin de logiciels mis à jour. Il est clair qu’il ne faut pas allumer son ordinateur tant que le disque dur n’a pas été nettoyé.

Je ne plaisante pas : Les connaissances de M. Gates en matière de virus ne sont pas plus sophistiquées que cela. Il n’a absolument rien appris depuis des années. Il répète encore les lignes ridicules de ses TED Talks d’il y a des années.

[Note de Joseph : les connaissances des virologues ne semblent guère valoir mieux, car les recherches de quelques scientifiques, comme Stefan Lanka, qui appliquent eux la méthodologie scientifique (contrairement à la plupart des virologues) tendent à démontrer qu’il n’existe en fait aucun virus pathogène dans la nature, que ce que l’on a pris longtemps pour des virus causant des maladies est des exosomes produits naturellement par les tissus biologiques agressés d’une manière ou d’une autre (étant donné notamment leur grande sensibilité chimique et électrique), et que les maladies qualifiées de virales sont en réalité causées par différents facteurs tels que les pesticides agricoles qui se retrouvent dans les aliments, les polluants atmosphériques, les additifs chimiques alimentaires, les toxines qui se retrouvent dans l’eau courante, les ondes électromagnétiques pulsées de la téléphonie sans fil (dont la récente 5G auquel les organismes vivants ne sont pas habitués), du Wi-Fi, de la télévision digitale, des compteurs intelligents, etc.. Les symptômes de ces ondes sont connus depuis des décennies et recoupent ceux de la grippe, de la Covid qui est essentiellement la grippe rebaptisée, de la prétendue « Covid longue » et de plusieurs autres pathologies. Voir les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus pour plus d’informations.]

En réalité, cela n’a rien à voir avec les virus biologiques, que nous avons appris à gérer grâce au système immunitaire, un concept qui lui échappe totalement. Il trouve inconcevable que la meilleure stratégie pour les personnes en bonne santé soit de rencontrer le virus et d’entraîner le système immunitaire. En fait, il est consterné par cette idée, préférant uniquement des substances plus injectables conçues pour lutter contre les maladies.

[Note de Joseph : dans le nouveau paradigme médical ou sanitaire initié par des pionniers tels que Stefan Lanka, Andrew Kaufmann et Thomas Cowan, on peut en venir même à remettre en question la notion de système immunitaire, puisque la théorie des anticorps est contestable et contestée. Si les maladies ne sont nullement produites par des virus, la santé n’est alors pas rétablie par un système immunitaire, mais par un système de réparation et de nettoyage, ou encore de purification et de réharmonisation.]

Il n’a pas non plus compris que les virus — qu’ils proviennent des laboratoires ou de la nature — doivent tous obéir à la dynamique épidémiologique naturelle de la propagation des agents pathogènes. Plus ils sont mortels, moins ils sont susceptibles de se propager. L’inverse est également vrai : plus ils sont répandus, comme le COVID, moins ils sont graves.

[Note de Joseph : bien sûr si les virus n’existent pas, cette notion de contagion épidémique virale est également caduque et tout ce qui tourne autour relève de contes de fées. D’ailleurs, celle-ci n’a jamais pu être démontrée expérimentalement. Voir en particulier Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS. La plupart des apparentes contagions, notamment saisonnières, s’expliquent par l’exposition à une cause commune, comme notamment le retour du froid qui affaiblit l’organisme et le rend moins résistant aux causes toxiques endémiques (telles que la pollution électromagnétique ou la pollution atmosphérique qui existent toute l’année de manière fluctuante, mais auxquelles les organismes vivants parviennent à résister tant bien que mal, sauf lorsqu’ils sont affaiblis par ailleurs, par surmenage, manque de sommeil, coup de froid, stress…). Sinon, il existe un phénomène capable de propager des états pathologiques ou leurs symptômes : la communication par biophotons (voir Communication entre organismes vivants par biophotons).]

La raison en est simple : un agent pathogène a besoin d’un hôte vivant. Certes, il existe d’autres variables telles que la latence, c’est-à-dire la durée pendant laquelle le virus vit dans l’hôte avant que les symptômes débilitants n’apparaissent. En dehors de cela, un laboratoire ne peut rien créer qui sorte de cette matrice.

[Note de Joseph : ceci dans le cadre du conte de fées viral. Dans le nouveau paradigme, on perçoit l’absurdité conceptuelle de virus pourtant non vivants et donc non intelligents (puisque simples bouts d’ADN ou d’ARN déconnectés des tissus biologiques), mais qui seraient assez futés pour savoir se retenir de tuer l’hôte en dosant leur prétendue capacité à pirater des cellules vivantes pour s’y multiplier et les achever du même coup. Dans cette histoire pour enfants, ils sont censés savoir n’envahir qu’un nombre limité de cellules (et non la totalité de celles de l’hôte) alors qu’ils ne sont que des assemblages morts de séquences chimiques, des molécules plus ou moins grosses et longues, mais sans la moindre source d’intelligence en dehors de celle de leur créateur. Comme si ces molécules chimiques avaient la capacité de faire grève ou de dire à un certain moment : « Stop ! On a assez fait de carnage pour aujourd’hui. On s’arrête. On se met en vacances, en mode furtif et on reprendra le travail la saison prochaine. ». Ce sont pourtant juste de grosses molécules chimiques inertes, éventuellement enveloppées de lipides !]

Si vous pouvez comprendre ce paragraphe, je peux vous promettre ceci. Vous en savez maintenant beaucoup plus sur les virus que Bill Gates. [Note de Joseph : ou bien vous connaissez seulement mieux l’histoire de ce conte de fées.] Et pourtant, c’est lui qui exerce une influence décisive sur la politique mondiale en matière de pandémie. La raison est très simple : c’est son argent. Ce n’est certainement pas son intelligence. En fait, il est assez choquant de voir comment son argent seul a réussi à acheter le silence des scientifiques du monde entier, qui se sont montrés terriblement obséquieux et déférents à l’égard des idées farfelues que Gates colporte depuis des décennies. [Note de Joseph : elles ne sont pourtant guère plus farfelues et moins scientifiques que celles des virologues scientistes. La meilleure manière de stopper celui-ci est de répandre la remise en question et le démontage de la théorie virale.]

Tom Frieden, l’auteur de l’article susmentionné paru dans le Wall Street Journal, en est un bon exemple. Malgré tous les problèmes liés à la réponse à la pandémie, écrit-il, nous savons ce qui fonctionne : le masquage, le confinement et les vaccins (idéalement obligatoires). L’article est exaspérant au point qu’il est même frustrant d’écrire une réponse. Et ce, parce que sa conclusion est déjà intégrée dans la prose. Il propose une multitude de liens vers d’autres études au cas où vous douteriez de sa véracité, tout en évitant soigneusement le grand nombre d’études qui démontrent le contraire.

Alors, oui, j’ai passé trop de temps au cours de la semaine à examiner les preuves de sa thèse. En ce qui concerne les masques, il cite des études absurdes datant d’il y a trois ans. L’une d’entre elles portait sur l’utilisation de masques en Arizona pendant trois semaines et concluait à une différence dans les taux d’infection. Mais cette étude a été réalisée au cours de la plus petite vague initiale de 2020 et est entièrement invalidée par les analyses ultérieures des deux mêmes comtés, sans parler des centaines d’études de qualité qui n’ont montré aucune différence dans la propagation virale en fonction du port du masque.

[Note de Joseph : il est bien évident qu’en absence de virus pathogènes, le masque ne peut que servir à dégrader la santé, notamment par manque d’oxygène et par excès de CO2 dans le sang, ou tout au plus à créer un effet placebo favorisant la résistance du corps par la puissance des croyances.]

Une autre étude provient d’un navire de la marine où l’on a demandé aux gens de s’autodéclarer. Il ne s’agit même pas d’une étude scientifique sérieuse et pourtant l’ancien directeur du CDC la cite. Cette même étude a été utilisée par le CDC pour justifier sa propre campagne en faveur des masques. Elle a été publiée dans la série MMWR sur une période de trois ans, qui comprenait certaines des pires données scientifiques jamais diffusées par une bureaucratie moderne.

En ce qui concerne les fermetures d’entreprises, Frieden ne prend même pas la peine de citer une étude pour les défendre. Il se contente d’affirmer le droit des gouvernements à fermer des entreprises s’ils le souhaitent. Ce que ces personnes ne mentionnent jamais, c’est que les fermetures d’entreprises incluent également le droit du gouvernement de fermer votre maison aux fêtes et votre église aux services religieux. En d’autres termes, il s’agit d’une attaque massive contre les droits de l’homme durement acquis depuis plus de 1000 ans.

Enfin, en ce qui concerne l’efficacité des vaccins, toutes les études qu’il cite sont basées sur des modèles informatiques bidons qui peuvent générer n’importe quelle conclusion en fonction des paramètres des variables d’entrée. Il s’agit du type de modèles que les scientifiques sérieux travaillant, par exemple, dans le domaine de l’économie ont cessé d’utiliser il y a plusieurs décennies. Et pourtant, les épidémiologistes continuent de s’en servir pour justifier leurs politiques préférées.

Bien entendu, il ignore les centaines d’études réalisées aux États-Unis et dans le monde entier qui ne montrent aucune relation entre les interventions gouvernementales et les bons [ou les mauvais] résultats en matière de santé au cours de la pandémie.

Il y a lieu d’être profondément alarmé par ces deux articles. Les auteurs parlent au nom de certaines des personnes les plus puissantes du monde. Ils expliquent exactement ce qu’ils veulent faire. Ils sont totalement imperméables aux preuves. Et ils révèlent toute leur ambition de passer outre, d’inverser et d’abolir effectivement tout ce que l’on appelait autrefois la liberté.

Incroyablement, ils ont l’audace d’écrire ces choses au milieu du carnage qu’ils ont créé la dernière fois. Tout cela me rappelle le célèbre résumé de l’Empire romain écrit par le grand historien Tacite, paraphrasant Calgacus :

« Ces pillards du monde, après avoir épuisé la terre par leurs dévastations, fouillent l’océan : stimulés par l’avarice, si leur ennemi est riche ; par l’ambition, s’il est pauvre ; insatiables de l’Orient et de l’Occident : le seul peuple qui contemple la richesse et l’indigence avec une égale avidité. Ravager, massacrer, usurper sous de faux titres, ils appellent cela l’empire ; et là où ils font un désert, ils appellent cela la paix ».

Bill Gates et Tom Frieden ont créé un désert et l’appellent la santé.




À propos de l’auteur

Jeffrey A. Tucker est le fondateur et président du Brownstone Institute, et l’auteur de plusieurs milliers d’articles dans la presse savante et populaire, ainsi que de 10 livres en cinq langues, le plus récent “Liberty or Lockdown.” Il est également l’éditeur de The Best of Mises. Il écrit une chronique quotidienne sur l’économie pour The Epoch Times et parle largement des sujets de l’économie, de la technologie, de la philosophie sociale et de la culture.




Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

[Source : aimsib.org]

Par La rédaction de l’AIMSIB

Il n’est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l’espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n’a jamais été démontré, d’abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s’évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d’or de l’argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

[Voir aussi :
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus
Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?
Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel
Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil
Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons
Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité]

Récapitulatif des épisodes précédents

Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d’essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.

Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.

Aujourd’hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.

L’infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s’ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l’utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?

Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d’or avec les procès qui vont commencer aux USA ?

Une promotion aussi repoussante qu’efficace

Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s’en prendre à nos enfants ! [1]

Le même Bill Gates – via l’OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ? [2] [3]

Merck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l’avons montré dans les épisodes précédents. [4] [5]

Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L’HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.

Qu’est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ? [6]

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Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours… [7] [8] [9] [10] [11]

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Le 8 décembre dernier, le Président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire 🥶, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?

La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout

De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants ! [12]

En cas d’obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l’état. Mais l’état français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d’autres pays reconnaissent ces liens.

Ce que sait faire le gouvernement français, c’est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l’échelon européen avec Merck par SMS ?

Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l’obligation vaccinale pour le Gardasil ?

Comme démontré précédemment,

Merck a dissimulé des faits importants sur l’efficacité (ou l’absence d’efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d’approbation accéléré. Merck n’a pas non plus effectué d’investigations et d’études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n’ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l’immunogénicité !

Ça ne vous rappelle rien ?! [13] [14]

Le CDC américain l’écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n’est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement. [15]

Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !

Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !

La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire.

Avant et après l’approbation du Gardasil, Merck s’est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.

Avant le Gardasil, il n’y avait pas d’urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d’autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.

Parenthèse : c’est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l’amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l’écrasante majorité des français n’a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l’antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l’an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !

Afin d’assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.

Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique. [16]

En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d’autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.

À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.

Merck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.

Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu’elle ne l’était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu’ils n’ont pas opéré de la même manière ?

Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l’utilisation des vaccins Gardasil.

Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l’État avec le pouvoir d’offrir le Gardasil au plus grand nombre d’enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu’ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.

Aux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d’arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d’obligation vaccinale pour les pré-adolescentes. [17] [18]

Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d’États ?

En effet, dès 2014, d’un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le Président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes. [19]

Le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu’au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n’est pas à son aise. [20]

Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?

Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?

https://web.archive.org/web/20130614114735/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons [21]

Agnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd’hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé… » ?

Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?

COMBIEN ????!!! [22]

En 2019 des voix s’élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire [23] :

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Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :

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Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube ! [24] Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n’ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil. [25]

Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo) [26]

Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d’Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd’hui, c’est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande… [27]

La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.

Ce que la publicité a laissé de côté, c’est qu’il n’y a pas une seule étude pour soutenir l’affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.

Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).

« Merck sait que s’ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits. [28]

L’inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente

Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23 % des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13 % en 2015. [29] Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n’est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.

Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 ! [30]

L’innocuité d’un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d’un cancer du col de l’utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l’âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.

Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l’âge de 58 ans !

De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d’infection au PVH chez les jeunes femmes sont [31] [32] :

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Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d’éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l’inverse de la prévention ???

Il existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d’identifier une infection au PVH et, en la traitant, d’empêcher qu’elle ne se transforme en cancer.

Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l’utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.

Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c’était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n’est pas anti-vaccins. [33] [34] [35] [36]

Conclusion provisoire

La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu’avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d’obligation vaccinale.

Pour finir jetons à nouveau un œil sur l’état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000…

10 467 160 581 $ [37]

Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent- soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars

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Et n’hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l’ivermectine dès début 2021. [38]

Voici également un ouvrage qui m’a été conseillé [39] :

Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu’elle avait rajouté sur l’ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition… !

Marceau
Mars 2023

Pour revenir au premier épisode:

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

Notes et références :




Les qualités extrêmement médicinales et enthéogéniques des tabacs (bios)

[Source : xochipelli.fr]

[Photo : Keystone/Jean-Christophe Bott]

[NDLR Un enthéogène est une substance psychotrope induisant un état modifié de conscience utilisée à des fins religieuses, spirituelles ou chamaniques. Il reste à déterminer si de tels états sont souhaitables sur le plan de l’équilibre psychologique et même dans une démarche spirituelle.]

[Note de Joseph : je ne suis pas fumeur, ne supporte pas l’odeur de fumée de tabac et ne possède pas d’actions dans les compagnies productrices de tabac. L’article est republié ici à titre informatif et de questionnement en raison de sa qualité.]

Par Xochi

Sommaire

  • Introduction
  • Nicotiana rustica
  • Emergence de Nicotiana rustica
  • Composants de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Médicinaux de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica
  • Les Qualités Médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica
  • dans la Forêt Amazonienne
  • Nicotiana tabacum
  • Emergence de Nicotiana tabacum
  • Aux Origines Historiques du Tabac Médicinal
  • Usages Médicinaux et Shamaniques Traditionnels de Nicotiana tabacum
  • Le Tabac: un Poison ou une Panacée?
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne
  • Propriétés anti-Microbiennes, Insecticides et de Phytorémédiation de Nicotiana tabacum
  • Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glutinosa
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glauca

Introduction

L’objectif déclaré, et transparent, de ce présent essai, est de mettre en lumière que les diverses espèces de tabac — mais principalement Nicotiana rustica et Nicotiana tabacum — sont des plantes possédant des propriétés éminemment médicinales et enthéogéniques/visionnaires.

Durant la Grande Peste de Londres, en 1665/1666, les enfants fumaient du tabac pour se protéger les poumons — à l’instar des croque-morts. Pourquoi ?

En 1913, la Revue Médicale, « The Lancet », publia un article intitulé « The Germinal Properties of Tobacco Smoke ». Cet article mettait en exergue la destruction du Bacille du Choléra grâce à la fumée de tabac. Pourquoi ? [237]

En 2020, il n’y avait que très peu de fumeurs (environ 5 %) dans les hôpitaux de Chine, de France, des USA, d’Allemagne… accueillant les patients déclarés « Covidiens ». Pourquoi ?

Aujourd’hui, ce qui détruit et cancérise, physiquement, les Peuples de l’Humanité, ce n’est pas le tabac : ce sont les pollutions environnementales, générées par l’Industrie et l’Agriculture biocidaires, ainsi qu’une alimentation anti-nutritionnelle et, donc, empoisonnante — sans même évoquer le génocide permanent induit par les remèdes allopathiques et les vaccins de la Pharmacratie [233] — en France, sous la houlette de l’Académie Nationale du Génocide. [234]

Les campagnes hystériques antitabac sont à l’image des campagnes à l’encontre de la pandémie Covidienne inexistante ou du Réchauffement atmosphérique anthropique tout aussi inexistant.

D’ailleurs, selon le Wall Street Journal du 19 avril, l’administration de Biden, le squatter sénile de la Maison-Blanche, vient d’annoncer qu’elle considère de requérir des compagnies de tabac une baisse conséquente du taux de nicotine dans leurs cigarettes — conséquente au point de ne plus en contenir. [299]

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe française [219], nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ».

Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! [263]. Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, :

« Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ». [221]

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé (aux USA, en 2015, une arrestation/cannabis toutes les 45 secondes !!!) [214) une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, alors que cet essai vient juste d’être publié, le squatter de l’Élysée — le Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » [295] Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. [289] C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ». [290]

Quitte à me répéter : l’affaire impliquant le grand voyou François Thierry — à savoir l’ex-patron de la Brigade des Stups — a-t-elle été classée sans suite ? Pour rappel : Ainsi que je le mentionnais, en passant, déjà, en 2019… Pendant que les petits dealers de banlieue moisissent dans les prisons sordides de l’État français, en attendant d’être multirécidiviste, François Thierry, l’ancien énarque et directeur de ce que l’on appelait, dans ma jeunesse, la Brigade des Stups, s’est fait gauler, le 17 octobre 2015, avec 7 tonnes de Haschich, [291] une substance non autorisée par la Convention Unique sur les Stupéfiants. Comme François Thierry est toujours en liberté non surveillée [292] , ainsi que certaines hautes magistrates impliquées — jusqu’au cou et jusqu’aux joints — on présuppose que cela frise la jurisprudence macroniste quant à la libéralisation, de facto, du Cannabis ! [293]

D’ailleurs, le 9 avril 2021, 18 policiers marseillais comparaissaient devant le tribunal [294] suite à l’affaire du haschich caché dans les faux plafonds de la BAC-Nord de Marseille ! Pourquoi, donc, ne pas légaliser, de suite, le trafic direct de Cannabis en Haschich, en provenance du clan royal du Maroc, et orchestré par la Haute Administration française — dont la mission réelle est de contrôler les Stupéfiants ? Cela ferait baisser les prix pour le lumpen prolétariat et la petite classe moyenne déjà affamés et intégralement ruinés par une année de confinement Covidien.

Pour rappel, aux USA, ce sont seulement 6 États sur 50 qui n’ont pas encore légalisé le Cannabis soit récréationnel, soit médical. Le Cannabis est, en effet, l’une des plantes médicinales maîtresses les plus thérapeutiques sur la planète.

Si, comme le prétend le Macron de service, « Sur le plan cognitif, les effets [du Cannabis] sont désastreux », alors, il est irresponsable et criminel, de la part du Sinistère de l’Edu/castration, et du Sinistère de la Culture, de continuer à promouvoir et enseigner, en France, les œuvres d’une pléthore d’artistes, d’écrivains, de poètes, de musiciens… — pour ne pas dire la grande majorité d’entre eux et d’entre elles — qui ne trouvèrent pas leur inspiration dans l’eau de source, mais, bien plutôt, dans l’opium, le cannabis, l’absinthe, les champignons magiques, etc., etc. Par exemple : Lewis Carroll, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Thomas de Quincey, William Burroughs, Antonin Artaud, Honoré de Balzac, Samuel Taylor Coleridge, Théophile Gautier, Honoré Daumier, Guillaume Apollinaire, Eugène Delacroix, Amedeo Clemente Modigliani, Gustave Flaubert, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Jean Cocteau, Victor Hugo, Fernand Boissard, Alphonse Karr, Hector Berlioz, Edgar Allan Poe, Lord Byron, Percy Shelley, John Keats, Francisco Goya, etc., etc.

De plus, afin de bien dénoncer l’excès d’hydrates de carbone, précisons qu’une étude, de 2016 — publiée dans le Journal Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention — a mis en exergue que plus le taux glycémique de l’alimentation est élevé, plus les risques de développer un cancer des poumons sont augmentés. En effet, ces chercheurs découvrirent qu’un taux glycémique élevé double, carrément, les risques de cancer pulmonaire. [223] [224]

C’est le Junk-Food Blues, le Blues du Gluten et du Sucre !

Une étude plus récente, de 2021 — publiée dans le Journal Lung Cancer — a mis en exergue que ce sont les hydrates de carbone provenant d’aliments excessivement processés et industriels (boissons gazeuses, pizzas, sucreries, croustilles, crèmes glacées, etc.) qui augmentent les risques de cancers pulmonaires. [225]

En France, selon les chiffres apportés par l’INSERM, ce sont environ 18 000 personnes qui meurent chaque année de bronchopneumopathie chronique obstructive — à savoir 50 décès par jour. En 2013, environ 145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée (associée ou non à un traitement par ventilation) — à savoir 400 personnes par jour.

En France, en 2019, avant le lancement de l’opération psychologique spéciale du CoqueVide/19, combien de patients ont-ils bénéficié, quotidiennement, d’une oxygénothérapie de longue durée ? À savoir, dans la discrétion la plus totale et non pas sous le feu des caméras de BFMTV, la chaîne de télévision d’Israël en France.

De plus, en France, selon les statistiques officielles, ce sont environ 33 000 personnes qui décèdent du cancer des poumons, tous les ans — à savoir 90 décès par jour. [228]

De plus, rappelons que ce sont 160 000 personnes qui décèdent annuellement de cancers en France — et les cancers ne sont pas tombés du ciel. [229]

Question : aujourd’hui, combien de ces personnes souffrant d’un cancer terminal des poumons, ou d’une bronchopneumopathie chronique obstructive terminale, sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de réanimation oxygénée ?

D’ailleurs, ce sont l’Île-de-France et le Grand Est [227] qui ont été les plus médiatisés quant à l’impact supposé de la Covidette sur la population. Comme par hasard, ce sont, également, les deux régions de France les plus impactées par la bronchopneumopathie chronique obstructive. [226]

Autre question : Comment l’INSERM peut-il prétendre que les cancers des poumons chez les femmes sont en progression constante, en France, à cause de « l’augmentation de la consommation tabagique des femmes » [228] alors que, réellement, cette consommation est officiellement en baisse ? [235]

Pour rappel, en France — quotidiennement, à savoir tous les jours de chaque année, et ce, en progression — ce sont, ainsi, 140 personnes qui décèdent de cancer des poumons ou de bronchopneumopathie chronique obstructive. À savoir 51 000 personnes par an.

Décèdent-ils dans l’anonymat le plus total ou sous le feu des caméras des Médias corrompus tentant de terroriser les foules eu égard à une pandémie coronavirale inexistante ? Décèdent-ils avec ou sans certificat officiel de « décès Covidien » ?

À savoir, les 140 décès pulmonaires quotidiens en France — qui correspondent à 51 000 décès pulmonaires chaque année — ont-ils disparu des tableaux statistiques de l’INSEE pour être recyclés dans les fabulations de la Terreur Coronavirale estampillée d’État ?

La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Holy Smoke !

Et c’est d’autant plus grave, car le tabac est un bio-accumulateur, à savoir une plante extrêmement efficace pour pomper tous les polluants agricoles et industriels du sol — qui y demeurent, parfois, pendant des dizaines d’années.

Taxonomie des Tabacs

Le genre Nicotiana, dans la Famille des Solanacées, comprend, environ, 75 espèces — selon le Jardin Botanique de Kew en Angleterre. Toutes ces espèces sont originaires des trois Amériques et d’Australasie — sauf une espèce africaine qui est originaire de Namibie.

Avec 75 espèces, Nicotiana est le 6e genre de la Famille des Solanacées en termes du nombre d’espèces — après Solanum, Lycianthes, Cestrum, Physalis et Lycium.

Ces 75 espèces de Nicotiana sont réparties en 13 sections : Alatae, Nicotiana, Noctiflorae, Paniculatae, Petunioides, Polydicliae, Repandae, Rusticae, Suaveolentes, Sylvestres, Tomentosae, Trigonophyllae et Undulatae. [20]

La section Suaveolentes comprend 24 espèces, réparties en Australasie, et une seule espèce en Afrique — Nicotiana africana. Toutes les autres sections sont originaires des trois Amériques.

Aujourd’hui, les Tabacs sont cultivés principalement : soit pour la narcose, avec Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica ; soit pour des usages industriels, avec Nicotiana glauca et Nicotiana rustica ; soit pour le secteur des chimères génétiques pharmaceutiques et autres élucubrations criminelles (fabrication de vaccins, de remèdes et de protéines), avec Nicotiana tabacum, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana benthamiana ; soit pour les jardins de fleurs colorées et parfumées, avec Nicotiana alata, Nicotiana sylvestris, Nicotiana langsdorfii et Nicotiana x sanderae – ce dernier étant un hybride interspécifique entre Nicotiana forgetiana et Nicotiana alata. Certaines jardineries et [certains] catalogues de semences proposent, également, Nicotiana knightiana, Nicotiana suaveolens et des hybrides interspécifiques impliquant Nicotiana alata et Nicotiana mutabilis.

C’est l’Association Kokopelli qui possède la plus belle collection, au monde, de Tabacs, en semences bios — principalement de variétés de Nicotiana tabacum — avec plus d’une centaine de références. Ce sont, bien évidemment, des variétés très anciennes qui sont originaires des Amériques latines, ou des pays orientaux, ou encore des types Burley ou Virginia originaires d’Amérique du Nord. Prenez-en de la graine ! [18]

La banque de semences du ministère de l’Agriculture, aux USA, accueille 1900 accessions de Nicotiana tabacum, 87 accessions de Nicotiana rustica, 137 accessions représentant environ 60 espèces sauvages de Nicotiana et 80 accessions de Tabacs hybrides ou mutants. [15]

Les Peuples de l’Amérique du Nord ont fumé diverses espèces de Nicotiana — depuis des milliers d’années. Ce sont Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana glauca, Nicotiana obtusifolia, Nicotiana plumbaginifolia, Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana acuminata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana stocktonii. [208]

Selon l’horloge moléculaire des phylogénéticiens, Nicotiana quadrivalvis serait âgé d’environ 1 million d’années et serait le fruit d’une hybridation interspécifique entre Nicotiana obtusifolia, comme parent femelle, et Nicotiana attenuata comme parent mâle. [178]

Une étude, publiée en juin 2020, par l’Université de Washington, a évoqué les découvertes de vestiges végétaux dans une pipe utilisée, il y a plus de 1400 ans, par les Peuples du nord-ouest des USA — les Peuples Colville, Nez Percés… Ces Peuples amérindiens fumaient Nicotiana quadrivalvis en compagnie du Sumac à bois glabre (Rhus glabra) — pour ses qualités médicinales ou pour améliorer la saveur du tabac. Une seconde pipe, datant de la période de la colonisation européenne, a mis en valeur l’usage de Nicotiana rustica par ces mêmes Peuples — une espèce cultivée, principalement, sur la côte est des USA. [14]

Selon l’ouvrage de Daniel Moermann intitulé « Native American Ethnobotany », ce sont une centaine d’espèces végétales — représentant 55 genres botaniques — qui constituaient des plantes à fumer dans toute l’Amérique du Nord.

Une autre étude, de 2018, publiée par l’Université du Nouveau-Mexique, a mis en exergue que les Peuples du nord-ouest des USA, il y a plus de 1200 ans, fumaient des Tabacs sauvages : Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana obtusifolia et Nicotiana attenuata (le tabac Coyote). Cette découverte invalide l’assertion historique commune selon laquelle ces Peuples n’auraient fumé, principalement, que du Raisin d’Ours (Arctostaphylos uva-ursi) avant l’introduction du tabac cultivé en 1790. [1]

J’ai rencontré, pour la première fois, le tabac Coyote (Nicotiana attenuata), en septembre 2014, près du Grand Canyon, sur le Mount Trumbull, dans le désert de Mojave, en Californie, alors que j’étais en quête de spécimens d’une espèce très rare de Sarrazin sauvage — jamais photographiée auparavant : Eriogonum pharnaceoides sp. cervinum. [16]

Nicotiana rustica

Émergence de Nicotiana rustica

Nicotiana rustica est appelée, en France, « Petit tabac », « tabac rustique » ou « tabac Aztèque ». Ses plantes font jusqu’à 80 cm de hauteur. Ses feuilles arrondies font entre 10 et 30 cm de longueur. Ses fleurs tubulaires sont de couleur jaune — ce qui les distingue, au premier regard, du tabac à fumer (Nicotiana tabacum) dont les fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche.

Nicotiana rustica fait partie de la section Rusticae au sein du genre Nicotiana. Quatre sous-espèces de Nicotiana rustica ont été déterminées : Nicotiana rustica ssp. brasilia, Nicotiana rustica ssp. rustica, Nicotiana rustica ssp. pumila et Nicotiana rustica ssp. pavonii.

Nicotiana rustica serait originaire d’Amérique du Sud — plus précisément du sud du Pérou. [160] Tout comme Nicotiana tabacum, Nicotiana rustica est un allotétraploïde (ou amphidiploïde), à savoir que ces espèces possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents. Selon les recherches, très récentes, effectuées par des phylogénéticiens, Nicotiana rustica serait issu de l’hybridation interspécifique entre d’une part, Nicotiana undulata (comme espèce paternelle) et, d’autre part, Nicotiana paniculata ou Nicotiana knightiana, ou leur ancêtre commun (comme espèce maternelle). Ces trois espèces parentales de Nicotiana rustica sont originaires du Pérou.

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, précisons que certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome de Nicotiana rustica, Nicotiana undulata serait présent à hauteur de 41,4 % et l’ancêtre commun de Nicotiana paniculata et de Nicotiana knightiana serait présent à hauteur de 58,6 %. [143]

En effet, les phylogénéticiens, botanistes et agronomes, opérant dans le monde végétal, ont encore le droit, ou le privilège, d’avoir recours à des terminologies faisant référence à des genres (masculin, féminin, paternel, maternel). Les lobotomisés de la gauche caviar — et de l’extrême gauche masquée de noir — et autres LGBTs hébétés, n’ont pas encore imposé, à la sphère de la botanique, leurs délires « aculturels » sous mode « cancel », « call-out » ou « woke ».

L’émergence de Nicotiana rustica, à savoir l’événement dit de polyploïdisation se serait manifesté — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif — durant une période se situant entre 460 000 à 650 000 années dans le passé. [160]

Les mythologies des Peuples Premiers sont beaucoup plus poétiques quant à l’émergence du tabac hallucinogène, Nicotiana rustica. Chez les Peuples Creek, Hitchiti et Yuchi, par exemple, le tabac a émergé de la Biosphère lorsqu’un jour, un couple fusionna d’amour, dans les bois, et qu’il en chut une goutte de sperme en terre.

Chez les Peuples Cherokee, il n’existait qu’une plante à tabac, à l’origine, dénommée « Tsa’lu » qui, un jour, fut volée par les oies dagul’ku. De nombreux animaux tentèrent de recouvrer le tabac, mais sans succès, car ils étaient tous trucidés par les oies. C’est finalement un petit colibri qui réussit l’exploit de récupérer cette plante originelle.

C’est la même narration racontée chez les Nahua de l’État de Guerrero au Mexique. Un jour, un dénommé Saint Pierre se prit d’envie irrésistible, et peu catholique, pour une femme et, durant leur fusion, une goutte de sperme tomba à terre : il en émergea le tabac. Dans le syncrétisme Nahuatl, leur permettant d’échapper aux persécutions des monothéistes, Saint-Pierre est, bien sûr, un avatar de Quetzalcóatl. Les feuilles de tabac séchées et préparées, par les Huichol, avec des cendres sont, ainsi, nommées « San Pedrito ». En Amérique Latine, les Peuples indigènes eurent recours, également, à la couverture de Saint-Pierre pour continuer à utiliser leurs cactus enthéogènes — qu’ils nommaient, traditionnellement, « Wachuma » — qu’ils qualifièrent de « San Pedro ». Il s’agit des espèces de cactus dans le genre Trichocereus — et particulièrement Trichocereus pachanoi.

D’ailleurs, selon le Codex Magliabechiano, Quetzalcóatl est réputé avoir engendré une chauve-souris par le même processus libérateur de sperme. Cette chauve-souris fut, alors, envoyée, par les divinités du panthéon Aztèque, pour aller mordre un morceau de chair de la vulve de la déesse de l’Amour et de la Beauté, Xochiquetzal. De ce morceau de vulve, furent créées les fleurs parfumées. C’est beau… mais que vont dire les féministes et les néo-darwinistes ?

Composants de Nicotiana rustica

Les feuilles de Nicotiana rustica sont couvertes de trichomes abondant en métabolites secondaires telles que la nicotine, la nornicotine, l’anatabine et l’anabasine. De par la haute teneur de ses feuilles en nicotine — à savoir de 5 à 16 % de leur biomasse sèche — Nicotiana rustica est, également, utilisée par la confection de pesticides botaniques, de sulfate de nicotine et d’acide nicotinique. L’acide nicotinique — appelé également niacine — et la nicotinamide correspondent à la Vitamine B3.

Selon l’analyse d’un écotype de Nicotiana rustica réalisée par Marion, vers 1960, la nicotine était distribuée selon les proportions suivantes dans la plante : 5 % dans les fleurs, 18 % dans les tiges, 13 % dans les racines et 64 % dans les feuilles.

Le psychopharmacologue américain, Ronald Keith Siegel, évoque dans son essai de 1972, « On the Use of Tagetes lucida and Nicotiana rustica as a Huichol Smoking Mixture: The Aztec « Yahutli » with Suggestive Hallucinogenic Effects », la découverte d’écotypes de Nicotiana rustica chez les Huichol possédant 18,76 % ± 2,6 % de nicotine. [196]

Une étude de 2011 a analysé l’huile essentielle des fleurs d’un écotype de Nicotiana rustica et a mis en exergue un taux de 26 % de nicotine et de 11 % du sesquiterpène, aromadendrène. [258]

De plus, Nicotiana rustica se caractérise par une très haute teneur d’acide citrique dans ses feuilles : à savoir de 15 à 20 % de leur biomasse sèche.

Nicotiana rustica, tout comme Nicotiana tabacum, contiennent, également, des inhibiteurs des monoamines oxydases — dont des alcaloïdes β-carbolines tels que la norharmane et l’harmane.

Les inhibiteurs des monoamines oxydases empêchent la destruction, par ces enzymes, de substances enthéogéniques — telles que le DMT contenu dans le Yopo ou dans l’Ayahuasca — qui peuvent alors circuler librement et impacter les neurotransmetteurs. Ainsi, selon Stephen Harrod Buhner, dans son ouvrage « Plant Intelligence and the Imaginal Realm » :

« Le DMT est élaboré dans les plantes en utilisant des enzymes pour convertir du tryptophane en tryptamine et en N-méthyltryptamine et finalement en N,N-diméthyltryptamine, le DMT. L’Ayahuasca — qui est de nos jours la préparation de DMT la plus communément utilisée — est une décoction de plantes combinant une espèce contenant du DMT (généralement Psychotria viridis ou Diplopterys cabrerana) et une autre espèce contenant des alcaloïdes β-carbolines (presque toujours Banisteriopsis caapi) qui sont des inhibiteurs des monoamines oxydases. Le DMT est complètement inactif s’il est pris oralement en raison de sa destruction par les enzymes monoamines oxydases présents dans les intestins et dans le foie humains. Les β-carbolines, dans la seconde plante de cette décoction d’Ayahuasca, inhibent les monoamines oxydases permettant ainsi au DMT de pénétrer, dans un état hautement actif, le flux sanguin et le système nerveux ».

La Fonction des Psychotropes dans l’Ecosystème. Stephen Harrod Buhner. Traduction de Xochi. [189]

Selon des recherches récentes, ces deux alcaloïdes (norharmane et harmane) ne compteraient que pour 10 % de l’activité inhibitrice des monoamines oxydases par le tabac. À ce jour, les autres inhibiteurs n’ont pas été découverts. [172] [173] Les β-carbolines possèdent, également, des propriétés anti-dépressives et neuro-protectrices. [174]

Au contraire de Nicotiana tabacum qui accumule le cadmium dans ses feuilles, Nicotiana rustica l’accumule dans ses racines. [138] [139] [169]

Le cadmium est un cancérigène très abondant, à notre époque, dans les fertilisants de synthèse de l’agrochimie ainsi que dans les boues d’épuration — et, donc, dans les sols agricoles. Le tabac à fumer industriel regorge d’autant plus de cadmium qu’il est un bio-accumulateur très puissant — de même que toutes les espèces de Nicotiana. [158]

Usages traditionnels médicinaux de Nicotiana rustica

Tant bien même Nicotiana rustica a été supplantée par Nicotiana tabacum, durant le siècle passé, cette espèce est, encore, cultivée, pour fumer, en Russie, en Amérique du Sud, au Vietnam, en Turquie, en Europe de l’Est, en Afrique… C’est une espèce très résiliente dans de nombreuses conditions pédologiques et atmosphériques.

Par exemple, au Soudan, il existe un tabac à priser — connu sous le nom de « Toombak » dans de nombreux pays africains et orientaux. Il est élaboré à partir de la poudre de Nicotiana rustica fermentée mélangée à une solution aqueuse de bicarbonate de soude. Son taux d’humidité varie entre 6 et 60 % et son taux de nicotine varie entre 8 et 102 mg par gramme de poids sec. Le processus consiste à sécher le tabac en champ, à le laisser fermenter pendant deux semaines (à une température entre 30 et 45 °C), à le sécher pendant deux mois, à le réduire en poudre et à le laisser se bonifier durant une année. Le Toombak est également dénommé « Sauté » et « Sultan El-kaif ». [183] [187]

Dans l’Himalaya, il existe un mélange à fumer dénommé « Khamera ». Selon l’ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants: Ethnopharmacology and Its Applications », de Christian Rätsch, ce mélange contient, en sus de feuilles de Nicotiana rustica, un certain nombre d’espèces telles que Pandanus tectorius (Hala), Delphinium brunonianum (Delphinium à musc), Santalum album (Santal), Zizyphus jujuba (Jujubier), Areca catechu (Palmier à bétel), etc.

En Amérique du Nord, Nicotiana rustica s’est naturalisé à l’est du Canada ainsi qu’aux USA dans une grande partie de la région à l’est du Mississippi, en Oregon et dans le sus-ouest. Le Peuple Algonquin mélangeait Nicotiana rustica avec des Daturas. Le Peuple Paiute mélangeait Nicotiana rustica avec le « Kinni-Kinnick » — un mélange de diverses espèces dont : Garrya elliptica, Arctostaphylos uva-ursi, Chimaphila umbellata, Arenaria sp. Le Peuple Delaware mélangeait Nicotiana rustica avec le Sumac (Rhus glabra).

Le Peuple Shoshone mélangeait, dans la pipe, Nicotiana rustica avec des espèces de Sarrazin sauvage, Eriogonum inflatum ou Eriogonum trichopes.

J’ai rencontré ces Eriogonum dans les déserts de Death Valley. [184] Ils y sont dénommés les Trompettes du Désert et ce sont des curiosités botaniques propres à se faire pâmer les Réchauffistes, les Ecolo-Thermistes et autres Caniculs-Bénis, car les petites trompettes sont des poches contenant du dioxyde de carbone !!!

Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé par les Peuples amérindiens — Apalachee, Cherokee, Iroquois — pour les maux de tête, les crampes et les douleurs aiguës, les piqûres d’insectes, les maux de dents, les morsures de serpents, les troubles digestifs et rénaux, les évanouissements et l’apoplexie, la tuberculose ; pour ses propriétés anthelmintiques, antispasmodiques, analgésiques, cathartiques, diaphorétiques, diurétiques, émétiques, expectorantes ; et comme plante à fumer cérémonielle. Selon les ouvrages d’ethnobotanique : « Plants Used As Curatives by Certain Southeastern Tribes », « Cherokee Plants and Their Uses. A 400 Year History”, “Iroquois Medical Botany”, “Iroquois Foods and Food Preparation”, etc.

Une étude de 2011 a mis en exergue la capacité d’extraits de Nicotiana rustica (et de Luffa aegyptiaca) d’inhiber le venin du serpent venimeux Naja nigricollis, le Cobra cracheur à cou noir. [182]

Selon l’ouvrage, de 1697, d’Agustín de Vetancurt, « Teatro Mexicano: descripción breve de los sucesos ejemplares de la Nueva-España en el Nuevo Mundo Occidental de las Indias », les Indigènes du Mexique consommaient oralement le tabac pour rendre les hommes agiles dans tous les exercices corporels.

Agustín de Vetancurt précisa que, selon les Indigènes, le tabac « soigne tant de choses qu’il fait fuir la mort même ».

Chez les Aztèques, selon l’ouvrage d’Hernandez, Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé pour soigner les ballonnements d’estomac, l’asthme, les troubles utérins, les insomnies, les maux de tête, les inflammations de la rate, les maux de dents, la syphilis, les blessures d’arc et les morsures de serpents.

Selon l’ouvrage « Medicina, salud y nutrición Aztecas » d’Ortiz de Montellano, qui rapporte des écrits de Sahagun, les Aztèques soignaient les maux de tête avec des feuilles fraîches de tabac et une plante sternutatoire, « Ecuxo » (Amphipterygium adstringens) ainsi qu’avec une autre espèce nommée « Zozoyatic » (Schoenocaulon coulteri) — afin de provoquer des saignements de nez libérateurs.

Le tabac est considéré, en Amazonie, comme une plante médicinale maîtresse et comme le principal vecteur de la guérison chez les shamans et guérisseurs. En fait, pour les peuples amazoniens, le tabac est à ce point au cœur de la médecine traditionnelle que le terme employé pour décrire les guérisseurs, dans un certain nombre de langages, est étymologiquement lié aux termes dénommant le tabac.

Par exemple, chez le Peuple Yuracaré, des basses terres boliviennes, le terme « korrë-n-chata » signifie « celui qui consomme le tabac ». Chez les Peuples Ashaninka, du Pérou et du Brésil, et Matsigenka, du sud-est du Pérou, les termes « sheripiari » et « seripigari » signifient « celui qui est intoxiqué par le tabac ».

Dans une étude publiée récemment, à la fin de l’année 2020, dans la Revue « Frontiers in Pharmacology » et intitulée « “Tobacco Is the Chief Medicinal Plant in My Work” : Therapeutic Uses of Tobacco in Peruvian Amazonian Medicine Exemplified by the Work of a Maestro Tabaquero » [175] des chercheurs Suisses ont enquêté auprès d’un maitre Tabaquero Péruvien, Ernesto García Torres, âgé de 51 ans et guérisseur depuis son adolescence — à savoir, depuis 36 années.

Ernesto García Torres a recours au tabac (Nicotiana rustica) pour traiter des pathologies physiques telles que, principalement, les problèmes respiratoires, la sinusite, la goutte, les infections parasitaires des intestins, les infections parasitaires de l’épiderme et l’épilepsie.

« J’utilise un processus de préparation du tabac qui en fait un remède efficace pour les poumons. Préparé d’une autre manière, il peut s’avérer un poison pour les poumons, mais s’il est processé correctement, c’est une médecine qui guérit. Le tabac absorbe le phlegme et l’élimine du système respiratoire ».

Ernesto García Torres considère que le tabac est une substance thérapeutique chaude et qu’il n’est pas adapté pour traiter des conditions de chaleur interne, mais bien plutôt les conditions de froid interne. Par conséquent, par exemple, il prescrit le tabac pour des gaz intestinaux induits par un froid excessif, mais pas pour des inflammations intestinales aiguës.

Dans les traitements qu’il prodigue par la tabac, Ernesto García Torres met en exergue l’interaction permanente entre la sphère somatique et la sphère psychologique. La libération du système respiratoire, ou du tractus intestinal, va permettre de libérer le cerveau induisant, ainsi, un meilleur bien-être et une santé psychologique plus harmonieuse.

« Physiquement, le tabac purifie les intestins des parasites et des énergies négatives, mais, de par la connexion existant entre les intestins et le cerveau, lorsque les intestins sont libérés, il en est de même, pour le cerveau ».

Ce fut exactement le fondement de la Médecine de celui qui fut, en son époque, appelé le second Hahnemann, à savoir Edward Bach (1886-1936), le concepteur des Nosodes intestinaux et du système de soins homéopathiques connu sous le nom de Fleurs de Bach ou d’Élixirs floraux — dont nous fûmes, avec ma compagne et shakta Sofy, les initiateurs en France lorsque nous créâmes le Laboratoire DEVA, en 1986, dans le Vercors [176]. C’est, en effet, la santé des intestins qui détermine la santé psychologique de l’animal humain. Aujourd’hui, une pléthore d’études scientifiques ont mis en exergue la relation intime existant entre la microflore intestinale (ou son absence) avec la santé de la psyché.

Ernesto García Torres décline les bénéfices thérapeutiques du tabac pour les dynamiques psychologiques corrélées à l’attention, aux processus cognitifs, aux humeurs, à l’image de soi-même, aux peurs, aux anxiétés, etc. Selon les auteurs de cette étude :

« Le guérisseur décrit un remède tonique qui cible, spécifiquement, les conditions d’anxiété ou de dépression. Certains cas cliniques peuvent requérir un traitement durant de 3 à 6 mois, mais, généralement, 1 mois de traitement, avec ce remède, est suffisant pour des cas plus légers. Cependant, le Tabaquero explique que le tabac est contre-indiqué pour certains types de patients souffrant de nervosité chronique ou d’épuisement nerveux. De tels patients — même s’ils sont physiquement aptes à recevoir un traitement par le tabac — peuvent psychologiquement réagir à cette plante par de la panique ou une perte de contrôle. Le tabac est, également, contre-indiqué pour des conditions psychotiques sévères ». [175]

En fait, pour Ernesto García Torres, le tabac est, également, contre-indiqué chez les patients faisant preuve de comportements hostiles ou agressifs, ou souffrant de douleurs psychosomatiques, ou sujets à des pathologies induites par un excès de chaleur dans le cerveau — en résumé, chez les patients souffrant de conditions psychiatriques sévères. Par contre, « boire du tabac » peut aider une personne souffrant d’une addiction aux cigarettes ou à l’alcool :

« Lorsqu’une personne boit du tabac plusieurs fois, durant une période étendue de temps, elle va arrêter de fumer ».

Selon Ernesto García Torres, dans sa pratique chamanique, la médecine du tabac est, également, contre-indiquée pour les femmes enceintes ou allaitantes ; pour les patients souffrant de problèmes cardiaques, d’hypertension, de problèmes respiratoires sévères ou de lourdes pathologies hépatiques ; pour les patients traités avec des antibiotiques.

Pour Ernesto García Torres, selon le paradigme traditionnel Amazonien, la Médecine du tabac, en sus de ses propriétés biochimiques, convie ses qualités thérapeutiques au travers de la sphère énergétique et spirituelle.

« Il existe de nombreuses excellentes médecines, mais, en ce qui concerne les problématiques énergétiques, le tabac est suprême… De plus, tous les remèdes de plantes doivent être soufflés avec la fumée du tabac ».

Pour les shamans amazoniens, le tabac est, ainsi, corrélé à un puissant esprit de guérison. Chez de nombreux Peuples amazoniens, le tabac est le Père (de toutes les plantes médicinales) tandis que l’Ayahuasca est la mère (de toutes les plantes médicinales).

Le processus chamanique consistant à souffler la fumée du tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc. [181]

Ernesto García Torres décrit les effets de la Médecine du tabac quant à leurs interactions entre les sphères somatique, psychologique, énergétique et spirituelle :

« Lorsque le tabac est ingéré, il se connecte à l’estomac, et, de par sa puissance énergétique, se connecte ensuite aux intestins. À partir des intestins, il se connecte au cerveau et au système nerveux et mobilise l’intégralité du système énergétique du corps. C’est au cours de ce processus que les vomissements sont déclenchés… Durant ces phases de vomissements, il ne s’agit pas que de vomir : le patient se libère de ses pathologies physiques, mais aussi — pour ceux qui sont capables de l’appréhender — il se libère de nombreux esprits maléfiques et il purifie l’entièreté de son champ énergétique… Une fois que le patient a vomi, il a libéré son mental, son cœur, ses intestins et l’intégralité de son corps. Il s’agit d’une métamorphose énergétique : la personne se sent plus légère, plus joyeuse, plus calme et faisant l’expérience d’une connexion plus amoureuse avec la Nature ». [175]

Une étude récente, de 2017, portant sur les relations entre le cerveau et les intestins, a mis en exergue que la nicotine affecte, de façon différenciée, les intestins mâles et les intestins femelles — en particulier, en ce qui concerne son impact sur les neurotransmetteurs (glutamate, glycine, GABA), sur la composition de la communauté du microbiome ainsi que sur le métabolome fécal. [188]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée, de plus, sur des pratiques de purges de l’estomac ou des intestins. Ainsi, les vomissements ou les diarrhées ne sont pas des effets indésirables de l’ingestion de plantes médicinales, mais ils constituent une clé essentielle du processus de guérison. Il en est, d’ailleurs, de même, strictement, dans les médecines traditionnelles tibétaine, chinoise, ayurvédique quant à la place prépondérante des plantes purificatrices, émétiques et purgatives.

Une étude espagnole, publiée en 2012, a mis en exergue 191 pratiques dépuratives, ayant recours à 114 différentes espèces végétales, dans les pratiques de guérison des curanderos, et des curanderas, du district de Chazuta au Pérou. Selon les auteurs, ces plantes dépuratives peuvent être considérées comme des « agents stresseurs médicinaux » dans la mesure où les vomissements, qu’ils induisent, activent les processus neuroendocriniens. [185]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée sur les mêmes principes que les Médecines traditionnelles des Mayas, des Aztèques ou encore des Tibétains : à savoir qu’un certain nombre de pathologies sont strictement corrélées à des disharmonies procédant d’un plan énergétique, existentiel et spirituel non matériel…

du moins, dont la matérialité se situe au-delà des conceptions mentales, et des perceptions sensorielles, issues du mariage — contre Nature, stérile et pas très gai — entre le paradigme monothéiste des religions abrahamiques et le paradigme monopolistique de la religion néo-darwiniste.

D’ailleurs, la société humaine est, aujourd’hui, très malade, énergétiquement, existentiellement et spirituellement, suite à la contamination des Peuples planétaires par un virus extra-terrestre génocidaire… qui sévit depuis quelques millénaires. Ainsi que les anciens Instructeurs et Initiés Païens avaient mis en garde, au tournant du premier millénaire : les Archontes de Yahvé/Yaldabaoth sévissent à Jérusalem.

Il est grand Temps que l’intégralité du corps de la société humaine se libère de toutes ses toxines énergétiques générées par des millénaires de religions monothéistes, de collusion victime-perpétrateur, de haine de Soi, de peur de la Nature, de déconnexion d’avec les forces vivantes de la mère animale planétaire.

Il est grand Temps de souffler la fumée du tabac chamanique afin de purifier l’intégralité de l’Atmosphère humaine et afin de convier les puissances authentiquement féminines de la mère — ses Muses, ses Dakinis et ses Grandes Sagesses — à venir participer à ce grand ménage de printemps.

La Chasse aux Prédateurs est ouverte, car le Temps est venu de la Grande Réinitialisation. Non pas la Réinitialisation globaliste et génocidaire du nouveau Santa Klaus (Schwab) du Forum économique mondial… mais la Réinitialisation pour la Vie, la Réinitialisation du Forum Oecuménique des Peuples. Oecuménique dans le sens étymologique de la racine grecque « oecumene », « terre habitée » — de « oikos/oikéô » (maison/habiter) et de « Ge/Gaïa », la Terre.

Usages traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica

« Dans une grande partie du monde des Peuples amérindiens, le tabac était considéré, et il l’est encore, comme l’un des cadeaux spéciaux que les divinités ont offerts à l’Humanité afin de l’aider à passer de “ce” monde au “monde de l’altérité” — celui-là même des divinités. Dans de nombreux cas, cette vision implique l’usage du tabac afin d’accéder, précisément, à certains états mystiques, ou à la transe chamanique extatique, que nous n’associons, communément, qu’avec les hallucinogènes botaniques les mieux connus. Pour ne mentionner qu’un seul exemple provenant du Mexique : non seulement avant la Conquête, mais durant des siècles plus tard, les shamans des communautés aztèques utilisaient le Picietl (Nicotiana rustica) en synergie avec les chants de certains mythes d’origine afin de se repositionner au cœur de ce que nous pourrions appeler un “temps mythique” — un temps où tout était possible — afin d’engager la puissance supra-naturelle, des divinités créatrices, et leur œuvre primordiale dans la restauration de la santé et de l’harmonie du patient. Cet usage du tabac se situe, ainsi, aux antipodes de son usage hédoniste.

Je ne souhaite pas en déduire que le tabac fut, universellement, utilisé pour déclencher des états altérés de conscience. Au contraire, il a été, probablement, au service d’un spectre plus étendu d’objectifs sacrés que toute autre plante originaire du Nouveau-Monde — et l’une de ses fonctions les plus essentielles, et virtuellement les plus universelles, étant en relation avec sa nature de nourriture divine pour les déités, principalement sous la forme de fumée. Il possédait, également, une fonction de soutien indispensable à la guérison chamanique — principalement, comme un fumigant, mais, parfois, aussi, comme une panacée. Néanmoins, il semble qu’il ait existé au moins un élément d’intoxication émergente dans l’acte chamanique de fumer, au sein de nombreuses cultures des Amériques, et une réelle intoxication au tabac au point d’induire une altération radicale de la conscience — une transe psychédélique — qui s’avéra, certainement, d’une importance essentielle dans le complexe extatique du Nouveau Monde. Cet élément, ainsi que ce que nous connaissons, de nos jours, quant à l’activité chimique du tabac, justifie d’assigner le tabac, tout comme les Amérindiens le firent eux-mêmes, à la flore psychédélique. Il existe, cependant, une différence majeure : aucune des plantes, que nous appelons communément hallucinogènes, n’est addictive… alors qu’il se pourrait que le tabac le soit ». Peter Furst. « Hallucinogens and Culture ».

En page 23. Traduction de Xochi.

Christian Ratsch et Claudia Müller-Ebeling, dans leur ouvrage « The Encyclopedia of Aphrodisiacs », évoquent un usage hallucinogène de Nicotiana rustica en synergie avec la Tagète lucide, Tagetes lucida, [170] chez le Peuple Huichol du Mexique :

« Tagetes lucida a été fumé — en tant qu’aphrodisiaque — depuis l’époque coloniale espagnole, soit pure, soit en mélange à fumer. Les sommités fleuries séchées et les feuilles sont fumées dans des cigarettes confectionnées avec des spathes de maïs. Les Huichol de la Sierra Madre appellent Tagetes lucida soit “Tumutsali”, soit “Yauhtli”, et ils fument cette plante soit pure soit en mélange avec l’espèce de tabac, Nicotiana rustica. Ce mélange est souvent utilisé conjointement à l’ingestion de peyotl ou de tesgüino (une bière de maïs confectionnée par les Tarahumaras) ou de nawa (une autre bière) ou de ci (une tequila). Ces mélanges sont supposés induire des hallucinations et peuvent, certainement, potentialiser les effets d’autres stimulants. En tant qu’aphrodisiaque, le yauhtli est mélangé avec le “Sinicuiche” — “l’ouvre soleil” en Nahuatl, à savoir l’espèce Heimia salicifolia. Il est conseillé aux femmes stériles de prendre des bains de Yauhtli avec les espèces Heimia salicifolia, Rosmarinus officinalis et Lavandula angustifolia ».

Aujourd’hui, les Huichol continuent de fumer les feuilles et les fleurs sèches de Tagetes lucida soit par elles-mêmes, soit mélangées avec Nicotiana rustica. Une étude récente, publiée au printemps 2021, fait état de découvertes archéologiques prouvant la présence de Tagetes lucida dans des céramiques Maya, du Yucatan, datant du premier millénaire de notre ère, qui furent utilisées pour conserver du tabac. [186]

En Nahuatl, Tagetes lucida est dénommé « Yauhtli » ou « Tlacopahtli ». Dans la langue ésotérique des shamans nahuas, le Nahuallatolli, il est dénommé « Cozauhqui tlamacazqui » — signifiant le « prêtre jaune ». Le complexe mélangeant le tabac et le Yauhtli est dénommé « Ye-tumutsali ».

Selon la mythologie Huichol, Nicotiana rustica, dénommée « yé » ou « yetl », est une plante du dieu du feu, Tatewari, qui est également le dieu des shamans — et qui était, auparavant, un faucon avant de se transformer en tabac. [159]

Voici ce que narre l’anthropologue Barbara Myerhoff (1935-1985) dans son ouvrage, de 1974, « Peyote Hunt: The Sacred Journey of the Huichol Indians », en page 126, au sujet de Nicotiana rustica, dans la quête du Peyotl par les Huichol :

« Il est sacré et consommé, exclusivement, en cérémonies, lorsque tous les hommes fument à l’unisson. Roulé dans des cigarettes confectionnées avec des enveloppes de maïs, le tabac est amené vers Wirikuta dans des gourdes verruqueuses sacrées (yékwe/Crescentia cujete) portées par les hommes âgés et les peyoteros expérimentés ».

Au Mexique, chez les antiques Mixtèques, le tabac (« yucu ino »), un tapis, et une poterie contenant du chocolat, représentent les symboles du mariage dans leur écriture pictographique. Que vont dire les féministes ? Il s’agit du pictographe « ino dzehua », « tabac et Chocolat ». Le couple Mixtèque est assis sur son tapis et partage d’une coupe de chocolat « fleuri » — car mousseux… de « fleurs de chocolat », « ita dzehua », dans la langue Mixtèque Dzaha Dzaui. Voir le Codex Vindobonensis en page 35.

Au Mexique, dans le Codex Bodley — dénommé, également, Codex Ñuu Tnoo–Ndisi Nuu — en page 39-II, un ambassadeur offre aux parents du jeune marié un collier d’or et une perle de jade entre du tabac moulu et une gousse de fèves de Chocolatl. Chez les Mixtèques, l’expression « yotasindi ino huico », « commander du tabac pour la cérémonie », signifiait organiser une fête.

Au Venezuela, les Peuples Warao mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec la résine, utilisée traditionnellement comme encens, de l’arbre Protium heptaphyllum (qui possède des propriétés analgésiques, antimicrobiennes et anti-inflammatoires) — de la même Famille des Bursacées que l’arbre utilisé, également, comme encens, en particulier durant les cérémonies d’Ayahuasca, et dénommé « Palo Santo », Bursera graveolens.

Tous les shamans de l’Amazonie considèrent Nicotiana rustica comme une plante médicinale et sacrée et ils la dénomment « Mapacho ». De par ses effets hallucinogéniques (psychoactifs ou enthéogéniques), ils l’utilisent pour la guérison, pour la divination et pour les visions — depuis des milliers d’années.

Selon l’ouvrage de Francisco Hernandez « Rerum Medicarum Novae Hispaniae », les Indigènes de Haïti préparaient des morceaux de canne creuse et perforés afin de fumer un mélange contenant Nicotiana rustica, des plantes médicinales, et du Liquidambar styraciflua, pour mieux dormir, soulager les douleurs, calmer les sensations de fatigue et soigner diverses pathologies. Au Mexique, les Aztèques mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec, également, la résine du Liquidambar — « Xochiocotzotl » en Nahuatl — ou bien avec des feuilles d’Ephedra nevadensis.

Il est à noter qu’en Iran et en Irak, les feuilles de Nicotiana rustica sont mélangées avec les cendres d’une autre espèce d’Ephedra — Ephedra pachyclada — et parfumées avec de l’huile de Jasmin.

Selon les recherches de l’ethnologue Lilián González Chévez, aujourd’hui encore, les Nahuas de l’État de Guerrero, au Mexique, ont recours à quelques espèces enthéogéniques dont : « Tenexyetl » (Nicotiana rustica), « Huaxchiquimolin » (Leucaena matudae), « Hueytlacatzintli » (Solandra guerrerensis), « Cecectzin » (Turbina corymbosa), « Rosita » (Cannabis sativa) et « Tlapatzintli » (Datura inoxia ou Brugmansia arborea). [198]

Le terme Nahuatl « Tenexyetl » signifie littéralement « tabac de pierre cendres ». Il est composé de « Te/Tetl » pour pierre, de « nextli » pour semences et de « yetl » pour tabac.

Chez les Mixtèques, Cihuacoatl, la Femme-Serpent, la Déesse de la Voie Lactée, est également l’esprit du tabac hallucinogène, le Picietl — Nicotiana rustica.

Dans le langage occulte des shamans Nahua (le « Nahuallatolli ») et selon ses expressions (les « Nahualtocaitl »), le tabac hallucinogène est appelé « le Guide et le Maître de toutes choses », « l’Esprit vert aux larges feuilles ». Il est, également, dénommé « Yetzintli » (le Vénérable tabac), « Xiuhpapatlantzin » (Les Vénérables Feuilles Volantes), « Xoxouhqui cihuatl » (la Femme de Couleur Vert Sombre, « Nonan, nota » (Ma mère, mon Père), « Tlazotli » (Le Précieux), « Chicnauh tlatetzotzonalli » (celui qui est frappé neuf fois), « Chicnauh tlatlamatellolli » (celui qui est déchiqueté neuf fois dans les mains), « Citlalcueye iconeuh » (le Fils de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye ipiltzin » (l’Enfant Vénérable de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye itlachihual » — à savoir le fils de Cihuacoatl, la Déesse de la Voie Lactée.

José de Acosta, dans son ouvrage de 1590, intitulé « Historia natural y moral de las Indias », évoque l’utilisation d’un baume/boisson, par les shamans indigènes — afin de « se transformer en sorciers et de communiquer avec le Diable », en personne. Ce baume — dénommé « Teotlacualli » signifiant « nourriture divine » — était confectionné à partir de cendres d’insectes et d’animaux venimeux (araignées, scorpions, geckos, vipères) mélangées avec beaucoup de tabac (Nicotiana rustica) et de semences moulues d’Ololiuhqui (Turbina corymbosa). [161]

La statue de Xochipelli — ou Xochipilli — qui se trouve, aujourd’hui, au Musée National d’Anthropologie de Mexico, présente la « guirlande magique » — pour emprunter une expression du Parzival de Wolfram von Eschenbach [180] des principales substances enthéogéniques utilisées dans le chamanisme des peuples méso-américains. Il s’agit des espèces suivantes : Nicotiana rustica, Turbina corymbosa/Ipomoea tricolor, Psilocybe aztecorum, Heimia salicifolia et Quararibea funebris. [190]

Selon Christian Ratsch, dans son ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants », en page 378 :

« De nombreux shamans acquièrent leur capacité de voyager dans d’autres réalités grâce à l’aide du tabac. Ils apprennent à entrer dans “la maison du tabac”, à utiliser la fumée de tabac pour monter aux cieux et à communiquer avec les esprits de la plante du tabac — qui apparaissent souvent sous la forme de serpents. Lorsqu’ils réalisent des guérisons, les shamans soufflent, souvent, de la fumée sur le corps des patients afin de les libérer de l’emprise des esprits de la maladie ou bien de les en protéger. Pour les shamans initiés, la fumée du tabac constitue une porte vers l’autre monde, le monde des visions, le monde au-delà du temps et de l’espace ».

Chez le Peuple Kariña, au Venezuela, du jus de tabac mélangé à du jus de gingembre est déposé dans les yeux des apprentis shamans afin de leur ouvrir la vision nocturne et afin de les éveiller à la vision de l’autre monde — le monde du Nagual.

Selon Johannes Wilbert, dans son ouvrage de 1987, « Tobacco and Shamanism in South America », en page 378 :

« La relation intime existant entre le shaman et le jaguar est clairement mise en exergue dans le paradigme conceptuel et les croyances des Campa. Afin de devenir l’un de leurs jaguars-shamans, un novice doit ingérer une dose initiale de purée de tabac et apprendre le chant du tabac. Lorsque le tabac “atteint son cœur”, il reçoit une vision et rencontre l’Esprit de la vieille femme tabac auquel il demande une de ses filles. Des animaux vont, alors, lui apparaître, sous forme humaine, en prétendant être la fille-jaguar qu’il a demandée. Mais, s’il veut devenir un vrai jaguar-shaman et un guérisseur, il doit percevoir l’imposture et laisser passer tous les animaux déguisés jusqu’à ce qu’il entende un jaguar rugir dans la nuit sombre de la forêt. Il s’agit de la fille de la vieille femme qu’il doit aller rencontrer dans la forêt. Le jaguar attaque alors le novice qu’il déchiquette totalement. Si le jeune homme supporte l’épreuve sans fuir, son corps va redevenir entier et son tourmenteur jaguar va alors se transformer en une belle jeune femme ».

Traduction de Xochi.

Selon l’ouvrage de Fructuoso Irigoyen-Rascon (2015) « Tarahumara Medicine », en page 264 :

« Les Tarahumaras portent une très haute estime au tabac en tant que remède pour les morsures de serpents. Ils recommandent que tout un chacun puisse avoir, dans ses poches, du tabac — Wipa ou Wipaka. Certains affirment que les serpents à sonnettes vont pleurer, révélant ainsi leur présence, lorsqu’ils sentent le parfum du tabac. Lorsqu’un crotale mord une personne, de la fumée de tabac est, ainsi, soufflée sur la morsure. Robert Bye rapporte, également, que des feuilles de Nicotiana rustica sont utilisées en cataplasme sur les morsures d’autres animaux venimeux ».

Selon Robert Bye, dans son essai — paru en 1979, dans le Journal of Ethnopharmacology — intitulé « Hallucinogenic Plants of the Tarahumara », les Tarahumara utilisent, principalement, médicinalement, Nicotiana rustica pour soigner les maux de tête et les morsures d’animaux. Chez les Tarahumara, le tabac est considéré comme ayant des propriétés magiques et il est utilisé pour purifier les humains, les animaux et les champs. D’un point de vue magique et chamanique, le tabac est considéré comme second après « jíkuri », le Peyotl (Lophophora williamsii) et comme plus puissant que « Debuka », le Datura inoxia. [199] Les Tarahumaras fument, également, sur mode cérémoniel, l’espèce Nicotiana obtusifolia/Nicotiana trigonophylla — une espèce également fumée par le Peuple Hopi dans le sud-ouest des USA.

Les shamans Tarahumara mélangent le tabac avec du sang séché de « sope-chi » (une chauve-souris) avec la viande séchée de la « muri » (une tortue) afin de conférer des protections à l’encontre de la sorcellerie maléfique.

Les Qualités médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica dans la Forêt Amazonienne

Tout comme pour certaines thérapies impliquant l’Ayahuasca, les divers mélanges de rapé ou bien le Yopo (Anadenanthera peregrina), le secret est, en effet, de vomir.

Si je puis amener quelques témoignages personnels. Depuis une douzaine d’années, je consomme libéralement cette plante qui fait chanter les neurones — le Cannabis — et qui les éveille aux inspirations des Muses et Dakinis — lorsqu’affinités prévalentes. Je peux témoigner avoir stoppé l’usage de la vaporisation de Cannabis par trois fois depuis 2009 — en particulier lorsque cet usage se déployait du matin jusqu’au soir, et du soir au matin ! À savoir, par deux fois, suite à des cérémonies d’Ayahuasca (accompagnées de rapé) — qui durèrent deux nuits consécutives, avec moult vomissements durant les montées de MahaKunda — et une fois à la suite d’une prise de Yopo, durant dix minutes, où je vomis pendant plusieurs heures. En ce qui me concerne, du moins, l’arrêt du Cannabis est instantané et dénué, strictement, de symptômes de décrochage.

La composition des rapés de l’Amérique du Sud varie en fonction des Tribus Amazoniennes qui les élaborent. En fait, en fonction des affinités personnelles, ou des diverses traditions chamaniques Amazoniennes, le rapé peut contenir une pléthore de substances diverses.

Par exemple, le Peuple Apurinã est réputé pour préparer des rapés, exempts de tabac, et de couleur vert pomme — et très éveilleurs. La composition de leurs rapés est restée secrète.

Quant au Peuple Huni Kui (Kaxinawá), ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des cendres de l’arbuste Murici (Byrsonima crassifolia) de la Famille des Malpighiacées ou des semences du Cumaru de Cheiro (Amburana cearensis) de la Famille des Fabacées.

Durant certaines périodes de ma vie, j’ai pu bénéficier de l’usage de rapé et je peux, également, témoigner avoir stoppé cet usage sans symptômes de décrochage malgré le fait que ces rapés soient, principalement, à base de tabac — Nicotiana rustica.

Quant au Peuple Kuntanawa, ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des plantes médicinales telles que Chamba (Campomanesia lineatifolia) de la Famille des Myrtacées, ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées ou encore le Tsunu (Platycyamus regnellii) de la Famille des Fabacées.

Quant au Peuple Nukini, ils confectionnent un rapé, à base de tabac, réputé pour convier des énergies féminines puissantes, car les plantes médicinales qu’il contient sont exclusivement collectées par les femmes. Ce sont le Parica (Shizolobium amazonicum) de la Famille des Fabacées, la Catinga de mulata (Tanacetum vulgare) de la Famille des Astéracées ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées.

L’anthropologue suédois Henry Wassén (1908-1996), dans son essai intitulé « Anthropological Survey of the Use of South American Snuffs », donne une liste très partielle de quelques espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus du tabac. Ce sont : Nux moschata (Noix de muscade), Anadenanthera peregrina (Yopo), Anadenanthera colubrina (Yopo) Virola calophylla, Dianthera pectoralis, Chloroleucon tortum, Brugmansia candida.

Selon Wassén, d’ailleurs, le nom vernaculaire, chez le Peuple Kamsa, du Brugmansia candida signifie « l’intoxiquant du Jaguar » ou « la langue du Jaguar ».

Le célèbre ethnobotaniste de l’Université d’Harvard, Richard Evans Schultes (1915-2001), dans son essai intitulé « The Botanical Origins of South American Snuffs », décline, également, une liste d’espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus de Nicotiana tabacum et de Nicotiana rustica. Ce sont : Theobroma subincanum (un Chocolat sauvage) , Cecropia sp., Virola calophylla, Virola calophylloidea, Virola elongata, Maquira sclerophylla, Dianthera pectoralis, Mendoncia aspera — et Erythroxylum coca (la Coca).

La botaniste et poète, Siri von Reis Althshul, a étudié les rapés Amazoniens connus sous le nom de « Vilca » ou « Wilca ». Ces rapés sont utilisés soit comme purgatif, soit comme ingrédient de la Chicha (la bière de maïs fermenté en Amérique du sud). Ils sont principalement préparés à partir des espèces Anadenanthera peregrina et Anadenanthera colubrina. Ils contiennent, également, les espèces suivantes : Banisteriopsis leiocarpa, Virola sebifera, Baccharis floribunda, Anadenanthera sp., Ipomoea sp., Calliandra calothyrsus, Leucaena guatemalensis.

Il est à noter que l’espèce Dianthera pectoralis (anciennement Justicia pectoralis) constitue l’un des composants majeurs dans ces rapés Amazoniens. Dianthera pectoralis est une plante médicinale très prisée dans les Amériques latines — en particulier par les femmes. Elle possède des propriétés sédatives, broncho-dilatatrices et anti-inflammatoires. Elle est, ainsi, utilisée pour traiter les problèmes respiratoires, l’asthme, les douleurs menstruelles, le diabète, les anxiétés, les symptômes de la ménopause, les problèmes de la prostate. Elle possède, également, des propriétés antibactériennes (à l’encontre de Acinetobacter baumannii et Klebsiella pneumoniae) et des propriétés insecticides (à l’encontre du moustique Aedes aegypti).

Une étude intitulée « COVID-19 : Is There Evidence for the Use of Herbal Medicines as Adjuvant Symptomatic Therapy? » [191] publiée, en août 2020, dans la revue Frontiers in Pharmacology — propose une palette de Plantes médicinales maîtresses pour tous ceux qui préfèrent les remèdes de la Nature afin de se soigner des symptômes des grippes, grippettes, et autres Covidettes, incluant Dianthera pectoralis… en sus de Sambucus nigra (Sureau), Althea officinalis (Guimauve), Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Zingiber officinale (Gingembre), Commiphora molmol (Myrrhe), Pelargonium sidoides, Echinacea angustifolia, etc..

Je peux témoigner de mon utilisation, depuis plusieurs années, des racines de Pelargonium sidoides dénommé « Umckaloabo » [200] qui est originaire d’Afrique du Sud et que j’ai cultivée dans mon jardin dans le sud désertique de l’Oregon. C’est une plante souveraine dans le traitement de toutes les affections respiratoires. Cette plante médicinale maîtresse fut introduite en Europe, vers la fin du 19e siècle, par un mécanicien anglais Charles Henry Stevens qui, en 1897, fut guéri de sa tuberculose, lors d’un voyage en Afrique du Sud, par un guérisseur Zulu. Subséquemment, il commercialisa ce remède qu’il dénomma « Stevens’ Consumption Cure » et qui devint très réputé pour soigner la Tuberculose. [197] Le médecin français, Adrien Séchehaye, soigna 800 patients de la Tuberculose grâce à ce remède entre 1920 et 1930. En 1929, il publia un ouvrage intitulé « Le traitement de la tuberculose pulmonaire et chirurgicale par l’Umckaloabo ». Pelargonium sidoides est une plante médicinale interdite en France, par la Mafia Pharmacratique, mais elle est autorisée en Allemagne. [193]

Nicotiana tabacum

Émergence de Nicotiana tabacum

Nicotiana tabacum fait partie de la section « Nicotiana » au sein du genre Nicotiana. Ses fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche. En fonction des variétés, la taille de la plante peut varier de 50 cm à plus de 2 mètres. En fonction des variétés, la taille des feuilles peut, quasiment, atteindre 90 cm de longueur.

J’ai du Bon tabac dans ma Tabatière — qui chez les Peuples amérindiens s’appelle « la Demeure du tabac ».

L’origine du tabac cultivé — à savoir de Nicotiana tabacum — est auréolée de profonds mystères : les néo-darwinistes en avalent leur chapeau de prestidigitateurs d’Évolution aléatoire, aveugle, hasardée, inconsciente et non intentionnée.

Les deux principales espèces de Tabacs cultivés commercialement (Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica) ainsi que plusieurs autres espèces sont des hybrides amphidiploïdes (allotétraploïdes) — à savoir qu’ils possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents.

En effet, si certains historiens font remonter l’origine de Nicotiana tabacum à 6000/10000 années, les phylogénéticiens estiment que « le processus de spéciation » de Nicotiana tabacum, à savoir son arrivée au cœur de la Biosphère Gaïenne, remonterait à une période beaucoup plus lointaine — mais à moins d’un million d’années, nonobstant !

En fait, l’événement de polyploïdisation — si l’on peut se permettre l’usage de termes quasi imprononçables — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif, se serait manifesté il y a environ 200 000 à 600 000 années pour ce qui concerne les espèces amphidiploïdes Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum et Nicotiana arentsii. [179] Quant à Nicotiana arentsii, cette espèce serait issue d’une hybridation impliquant Nicotiana wigandioides et Nicotiana undulata. [177] [178]

Selon cette même horloge moléculaire, la section Suaveolentes — dissidente, car Australasienne — aurait bénéficié d’un tel événement de polyploïdisation, il y a environ 5 à 10 millions d’années.

Ces phylogénéticiens (dont Jack Okamuro et Robert Goldberg, en 1985) considèrent, ainsi, que Nicotiana tabacum serait le fruit d’une hybridation entre, d’une part, Nicotiana sylvestris et d’autre part, Nicotiana tomentosiformis ou Nicotiana otophora — ou leur ancêtre commun ou un hybride de ces deux espèces appartenant à la Section Tomentosae. [21]

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome du tabac cultivé, Nicotiana sylvestris serait présent à hauteur de 40,3 % et Nicotiana tomentosiformis serait présent à hauteur de 59,7 %. [144] Qui plus est, Nicotiana sylvestris serait l’espèce « maternelle » et Nicotiana tomentosiformis serait l’espèce « paternelle ». Les Botanistes n’ont pas encore subi le formatage vertueux du nouveau langage inclusif.

Ainsi, selon le phylogénéticien Lewis Ramsey, de l’Université de Caroline Du Nord :

« Les accessions courantes des espèces génitrices probables de Nicotiana tabacum accumulent de la nornicotine, au lieu de la nicotine, en tant qu’alcaloïde majeur dans leurs feuilles sénescentes. Cette accumulation est le fruit d’un processus de conversion biochimique contrôlé, largement, par un seul gène dominant — qui est présent dans chacun des génomes des ancêtres de Nicotiana tabacum. De plus, les amphidiploïdes synthétiques — Nicotiana sylvestris x Nicotiana tomentosiformis ainsi que Nicotiana sylvestris x Nicotiana otophora — convertissent, également, la nornicotine en nicotine. Ainsi, les populations initiales de Nicotiana tabacum doivent avoir, aussi, probablement, accumulé de fortes teneurs en nornicotine. Cependant, quasiment toutes les accessions de Nicotiana tabacum collectionnées, de par le monde, dans les décennies 1930 et 1940, accumulent la nicotine en tant qu’alcaloïde majeur. Il est, donc, tentant de spéculer que des Indigènes, dans le passé, firent preuve de discrimination en sélectionnant des populations de Nicotiana tabacum chez lesquelles le processus physiologique de conversion de la nornicotine a été discontinué au niveau du contrôle génétique ». [15]

Traduction et soulignement de Xochi.

Doit-on comprendre que le phylogénéticien Lewis Ramsey soit tenté de suggérer que certains individus, des Peuples Premiers de l’Amérique latine, auraient eu la capacité de discriminer en repérant le gène dominant contrôlant la conversion de la nornicotine en nicotine chez les ancêtres putatifs du tabac cultivé ?

Par quel moyen ? De par la même capacité visionnaire avec laquelle les Ayahuasqueros affirment pouvoir observer — grâce à l’Ayahuasca — le niveau biomoléculaire des plantes médicinales au cœur de leurs forêts tropicales de l’Amazonie ? Et quelle est l’amplitude de temps ancien évoqué ? S’agit-il d’Indigènes Tabaqueros vivant il y a des milliers d’années, des dizaines de milliers d’années… ou bien quelques millions d’années ?

Au sujet de la « domestication » du tabac… puis-je réitérer ce que j’évoquais, en 2019, dans mon Canto en hommage à Maurice Chaudière : [22] Au-delà des processus de co-apprivoisement de l’agri/culture, qu’en est-il, réellement, des origines de toutes les espèces alimentaires domestiquées ? En effet, aujourd’hui, personne ne connaît, véritablement, l’ancêtre du maïs, ou, du moins, cette passation de pouvoir — miraculeusement invoquée par les phylogénéticiens — entre les genres botaniques Teosinte et Zea ; aujourd’hui, personne ne peut, encore, expliquer comment la domestication, prétendument humaine, a généré, d’une carotte sauvage, la carotte de Colmar ou celle de Guérande. Car si nous savions l’expliquer, pourquoi ne pourrions-nous, donc, pas le re/susciter ?

De fait, les théories officielles concernant les origines de l’agriculture, et de l’élevage, sont tout aussi farfelues que toutes les autres fadaises issues de la même hallucination collective sur modes néo-darwinistes. Il en est de l’oca, du maïs ou de la carotte — et de toutes les espèces alimentaires cultivées par les animaux humains — comme de la biodiversité de l’Explosion cambrienne : les ancêtres font défaut ou les phases intermédiaires sont inexistantes.

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé ait « émergé », un jour — sous forme d’explosion — tout comme ont émergé, un jour, les Baleines, les Tortues, les Trilobites ? Se pourrait-il, donc, que l’Explosion du tabac cultivé soit à l’image de l’Explosion cambrienne, de l’Explosion d’Avallon, de l’Explosion des Angiospermes, de l’Explosion des Trilobites ?… ainsi que je l’ai, extensivement, évoqué dans mon Canto de 67 pages : « L’Hallucination Collective Néo-Darwiniste dans l’Oeil du Cyclone de la “Dé/Sélection Gaïenne” — au Plaisir de la Survie des Peuples ». [108]

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé soit le sujet d’un « Dessein Intelligent et Ingénieux » ? Et pour quels motifs si ce ne sont le bien-être, la médecine et les états de transe visionnaire ?

D’ailleurs, certains chercheurs grognons émettent des doutes quant au fait que les complexes de remèdes des Peuples amazoniens soient « traditionnels » alors que, par exemple, ils mélangent de la Noix de muscade (originaire d’Indonésie) avec du tabac ou d’autres plantes médicinales ou enthéogéniques. Rappelons, donc, que l’Université de Cambridge, en décembre 2016, a communiqué sur la publication des recherches officielles d’archéologues de l’Inde qui affirment qu’au moins 85 espèces agricoles, originaires des Amériques, sont cultivées en Inde depuis une période antérieure au 8e siècle. [201]

Il est assez logique, et fertile, d’imaginer que si 85 espèces agricoles sont parvenues des Amériques en Inde et en Asie, il y a deux ou trois mille années, il serait strictement étonnant que des espèces asiatiques n’aient pas été apportées dans les Amériques — durant les mêmes voyages transocéaniques par bateaux ou durant un passage, hypothétique, du Détroit de Béring par des peuples eurasiatiques qui profitaient d’un moment d’accalmie et de réchauffement planétaire naturel et non anthropique.

Ce processus s’appelle « l’échange » et il constitue le fondement du mutualisme qui caractérise les relations humaines — ainsi que tout le tissu de Vie de la Biosphère.

Ainsi, aujourd’hui, qui pourrait affirmer depuis quand le cannabis asiatique a été cultivé au Mexique ou en Colombie ? D’autant plus qu’il est très clair que les premiers explorateurs ont affirmé que les Peuples de l’actuel Canada, par exemple, le cultivaient au moins pour des propos de tissage et de confection de vêtements — bien avant l’arrivée des premiers colons au 16e siècle. [202]

De plus, quid des révélations de l’historien et ethnologue, William Henry Holmes (1846 -1933), du Smithsonian Institute, concernant sa découverte de Cannabis datant de plus de deux millénaires en Amérique du Nord ? En effet, en 1891, William Henry Holmes, dans ses études de l’art textile préhistorique à l’est des USA, découvrit des centaines de pipes en argile, au Death Mask Mound des Bâtisseurs de Tumulus de la dénommée Culture Hopewell — dans l’actuel Ohio. Ces pipes contenaient des vestiges de Cannabis et étaient enveloppées dans des tissus de chanvre. Elles furent datées à — 200/ — 500 ans avant EC. [205] [206]

De plus quid de l’Optimum climatique médiéval — à savoir le Réchauffement atmosphérique non anthropique, de l’an 900 à l’an 1300 — lorsque les Vikings étaient les animateurs de l’Europe du Nord sur des mers glaciales… dénuées de glaces ? Quid de leur « découverte » de l’Amérique du Nord vers les années 950/1000 ? Faut-il rappeler que leurs voiles et leurs cordages étaient confectionnés avec du Cannabis/Chanvre ?

De plus, pour surfer sur la vague des voyages navals intercontinentaux, et des échanges de plantes médicinales ou agricoles maîtresses, quid de la découverte de Coca (Erythroxylum coca) et de tabac dans des momies égyptiennes datant de milliers d’années ? [236]

Aux origines historiques du tabac médicinal

C’est le 15 octobre 1492 que Christophe Colomb — le navigateur et grand fabulateur devant l’Éternel — découvrit non pas l’Amérique, mais l’existence du tabac lorsqu’un canoë passa, près de son navire, transportant des feuilles de cette espèce alors inconnue en Europe.

La découverte de l’Amérique par Christophe Colomb est une gigantesque farce — au même titre que le Coque/Vide19, que le Réchauffement atmosphérique anthropique au dioxyde de carbone… ou que l’histoire officielle des trois dernières guerres franco-allemandes. C’est, en effet, durant le Réchauffement atmosphérique naturel, et non anthropique, de l’Époque médiévale (entre 900 et 1300) que les Vikings arrivèrent sur la côte est de l’Amérique du Nord.

Un peu plus tard, en novembre 1492, deux marins de son équipage — Luis de Torrès et Rodrigo de Jerez — observèrent que les Indigènes, de ce qui est maintenant l’île de Cuba, transportaient des torches brûlantes, contenant du tabac, pour chasser les maladies et la fatigue :

« Nous observâmes avec inquiétude ce qui nous a semblé être un sacrifice rituel par le feu, car nombre de ces indigènes portaient à leur bouche des tubes ou des cylindres se consumant à leur extrémité et ils les suçaient, des tubes à travers lesquels ils aspiraient de la fumée, et de leur apparent confort nous en déduisons qu’il doit s’agir d’un rituel important dont ils semblent éprouver une satisfaction des plus grandes. Nous vîmes même d’ailleurs ces indigènes s’offrir les uns aux autres ces tubes étranges et les allumer ».

Rodrigo de Jerez, de retour dans son village en Espagne, Ayamonte, pratiqua, lui-même, la coutume de fumer le tabac. Il fut alors enfermé, dans les prisons de la Sainte Inquisition, pour péché de sorcellerie (à savoir, pour exhalation diabolique de fumée par la bouche), pendant sept années.

À cette époque, le tabac était dénommé, dans divers langages, « quauhyetl », « petun », « betum », « cogioba », « cohobba », « picietl », « yietl »… et il était fumé avec des pipes dénommées « tabaco » ou « tavaco ».

Le terme « petun » est, d’ailleurs, à l’origine du nom du genre « Petunia » — dans la même Famille des Solanacées — car le tabac est dénommé « petun » et « petuma » en Tupi et « peti » en Guarani. [12] Les Pétunias sont, également, des espèces possédant des propriétés médicinales — entre autres, de par la présence de peptides antimicrobiens. [10]

Les explorateurs Pedro Alonso Niño, Cristóbal de la Guerra et Amerigo Vespucci évoquèrent, aux Caraïbes et au Venezuela, vers 1500, l’usage du tabac — sans doute mélangé avec de la chaux ou de la craie — sous forme d’une poudre pour se nettoyer les dents.

Cette pratique perdure en Inde : la poudre dénommée « Mishri » ou « Masheri » contient du tabac et est utilisée pour l’hygiène dentaire. De plus, en Inde, de nombreux dentifrices (dant manjan) contiennent du tabac. [13] Chez les femmes, la prise de tabac est sous la forme de poudre de dentifrice pour 41 % d’entre elles. Chez les hommes, la prise de tabac est sous la forme de Chaini Khaini (poudre de tabac humide dénommée « snus ») pour 57 % d’entre eux et sous la forme de poudre de dentifrice, pour 8 % d’entre eux. [19] Ces dentifrices au tabac, ainsi que le Chaini Khaini contiennent, généralement, de très hauts niveaux de nicotine et de nitrosamines. [9]

Le taux de cancer de la cavité buccale, en Inde, est l’un des plus élevés au monde. Dans ce pays, 65 % des cancers, chez les hommes, et 33 % des cancers, chez les femmes, seraient corrélés à l’usage du tabac. La question se pose, une nouvelle fois, de savoir si l’incidence du tabac quant à l’émergence de cancers (si tant est que certaines hypothèses soient valides) serait identique si le tabac était cultivé selon des méthodes totalement respectueuses de l’environnement et de la santé humaine — et si le tabac n’était pas mélangé à de multiples additifs.

C’est, également, vers 1500, que le concept de tabac, comme panacée universelle, commença à prévaloir. L’explorateur portugais Pedro Alvarez Cabral rapporta l’usage du tabac au Brésil pour soigner les polypes, les abcès, les ulcères, les fistules, et de nombreuses autres pathologies.

À l’époque, le tabac était qualifié de « Remède de Dieu » et de « Plante Sacrée ».

Vers 1523/1524, lorsque l’explorateur italien Giovanni da Verrazano passa deux semaines, dans la baie de Narragansett (dans le présent Rhode Island), il commenta l’usage thérapeutique du tabac au roi François 1er, son sponsor : « Les Indiens vivent une longue vie, ils sont rarement malades et lorsqu’ils souffrent d’une blessure, ils se la soignent par le feu ».

En 1934, le chirurgien mexicain, Fernando Ocaranza Carmona (1876-1965) résuma les propriétés médicinales du tabac — dans le Mexique d’avant 1519 — comme étant narcotiques, analgésiques, émollientes et antidiarrhéiques. Il précisa, également, que les feuilles de tabac, en application externe, étaient utilisées pour soigner les douleurs, les blessures et les brûlures.

En 1529, le missionnaire espagnol Bernardino de Sahagún arriva au Mexique et commença à collecter des informations, auprès de quatre médecins nahuas, de la région de Tilaltelulco, sur l’usage du tabac médicinal — qu’il nomma « Picietl » et « Yietl ». Il rapporta que le fait de respirer le parfum de feuilles vertes et fraîches de tabac permettait de soulager les maux de tête persistants et que des feuilles, ou de la poudre, appliquées dans la bouche soignaient les cathares et les refroidissements.

C’est en 1535 que le terme « tabaco » apparut, pour la première fois imprimé, dans l’ouvrage « La Historia general de las Indias », de Gonzalo Fernandez de Oviedo — qui y indiqua, également, que les Espagnols commençaient à avoir recours au tabac pour traiter leur syphilis.

Dans le récit de son second voyage intitulé « Bref récit et succincte narration de la navigation faite en 1535 et 1536 par le capitaine Jacques Cartier aux îles de Canada, Hochelaga, Saguenay et autres » [40], Jacques Cartier y décrit comment les Indigènes fumaient du tabac dans des pipes pour se garder en bonne santé et au chaud. Cartier précisa que jamais les Indigènes ne se séparaient de leur tabac, ou de leur pipe, en voyage. Cet ouvrage fut, ainsi, le premier récit imprimé rapportant l’usage — dans les Amériques — de la pipe médicinale pour inhaler du tabac.

C’est également vers cette époque que l’ouvrage de Bartolomé de las Casas (1484-1566) intitulé « Historia de las Indias » fut rédigé, à savoir entre entre 1527 et 1559 — et il ne fut publié, pour la première fois, qu’en 1875 en Espagne. Bartolomé de las Casas arriva en Amérique en 1502 et consacra sa vie à défendre les Indigènes à l’encontre de leur extermination religieuse. Voici ce qu’il écrivit au sujet du tabac dans son ouvrage :

« Ce sont des herbes sèches, enveloppées dans une certaine feuille, sèche aussi, en forme de ces pétards en papier que font les garçons à la Pentecôte. Allumés par un bout ou par l’autre, ils le sucent ou l’aspirent ou reçoivent avec leur respiration vers l’intérieur cette fumée, dont ils s’endorment la chair et s’enivrent presque. Ainsi ils disent qu’ils ne sentent pas la fatigue. Ces pétards, ou n’importe comment que nous les appelions, ils les nomment tabacs ».

L’historien espagnol, Antonio de Herrera y Tordisillas, vécut dans la région de Tabasco, au Mexique, de 1601 à 1605, et écrivit au sujet du tabac :

« Dans ce pays, le tabac soigne les douleurs provoquées par les refroidissements ; lorsqu’il est fumé, il est bénéfique à l’encontre des refroidissements, de la toux et de l’asthme ; les Indiens et les Noirs l’utilisent en poudre, dans leur bouche, afin de s’endormir et de ne ressentir aucune douleur ».

Entre 1537 et 1539, ce furent 14 ouvrages, publiés en Europe (et un au Mexique), qui mentionnèrent l’usage médicinal du tabac. Ils furent rédigés en huit langages par des explorateurs, des historiens, des médecins, des missionnaires et des botanistes. Les auteurs mentionnèrent, alors, 19 pathologies soignées par le tabac médicinal.

C’est à cette époque que l’un de ces auteurs, jésuite de profession, affirma, même, que le tabac était le Remède de Dieu ! La Sainte Inquisition arrêta, alors, de persécuter les fumeurs de tabac et continua de vaquer à ses occupations et persécutions quotidiennes : à savoir, le massacre des sages-femmes, des guérisseuses, des thérapeutes, des sorciers et des sorcières, des shamans… et autres dissidents et hérétiques. La Sainte Inquisition retourna vers ses fumées privilégiées émanant des bûchers de la Rédemption.

Vers 1560, Jean Nicot, l’ambassadeur de France au Portugal, découvrit le tabac et en fit pousser dans son jardin de l’ambassade. L’un de ses serviteurs souffrait d’un furoncle — un Noli-me-tangere — sur le visage qui disparut intégralement lorsqu’il lui conseilla d’appliquer du jus de tabac, durant une dizaine de jours. Il guérit, par le même processus, en une dizaine de jours, le père de l’un de ses serviteurs qui souffrait, depuis deux années, d’une jambe totalement ulcérée. Il soigna, de même, une femme qui souffrait d’une teigne lui couvrant le visage. Enthousiasmé par ces guérisons, il envoya des graines de tabac à la cour royale française — à Catherine de Médicis qui souffrait de migraines chroniques.

En fait, dès 1507, un ouvrage en Latin, qui portait le titre « Cosmographiae introductio », fut imprimé — à Saint-Dié dans les Vosges — par le chanoine Vautrin Lud. Cet ouvrage présentait les lettres d’Amerigo Vespucci qui contenaient ses observations sur les pratiques de consommation de tabac qu’il avait observées durant ces quatre voyages dans les Amériques. Cosmographiae introductio fut publié en préambule du planisphère de Martin Waldsee Müller (le cartographe du Gymnasium Vosagense) qui proposa, pour la première fois, le nom « Ameriga » — en hommage à Amerigo Vespucci — pour le continent colonisé par les marchands européens, et persécuté par les monothéistes, sous la houlette de Christophe Colomb.

Voici ce que Jean Nicot écrivit au Cardinal de Lorraine, son protecteur :

« J’ai recouvré d’une herbe d’Inde de merveilleuse et expérimentée propriété contre le noli me tangere [dermatose prurigineuse qu’il ne fallait pas gratter] et les fistules déplorées comme irrémédiables par les médecins et de prompt et singulier remède aux nausées. Sitôt qu’elle aura donné sa graine, j’en enverrai à votre jardinier et de la plante même dedans un baril avec une introduction pour la replanter et entretenir ».

Sa générosité, dans la distribution de semences de tabac, lui valut la réputation « d’Ambassadeur du tabac ». Il est, ainsi, réputé comme ayant introduit le tabac en France — qu’il nomma « Nicotiane », dans son ouvrage « Commentaires de la Langue française ».

C’est pour rendre hommage à Jean Nicot que le genre botanique Nicotiana a été ainsi nommé par un médecin et botaniste Allemand, Adam Lonitzer en 1582 — dans son ouvrage « Kraüterbuch ». C’est le botaniste français, Jacques D’Aléchamps, qui nomma cette plante Nicotiana tabacum, en 1586, dans son ouvrage « Histoire Générale des Plantes » — et qui en fit une ample promotion, car il le considérait comme une panacée universelle.

En vérité, il semblerait que celui qui introduisit le tabac en France fut l’explorateur et moine Franciscain, André Thevet, qui écrivit, en 1558, dans son ouvrage « Singularités de la France Antarctique » : « Autre singularité d’une herbe, qu’ils nomment en leur langue Petun, laquelle ils portent ordinairement avec eux, pource qu’ils l’estiment merveilleusement profitable à plusieurs choses. Elle ressemble à notre buglosse. Or ils cueillent songneusement ceste herbe, et la font seicher à l’ombre dans leur petites cabannes. La maniere d’en user est telle. Ils l’enveloppent, estant seiche, quelque quantité de ceste herbe en une fueille de palmier, qui est fort grande, et la rollent comme de la longueur d’une chandelle, puis mettent le feu par un bout, et en reçoivent la fumée par le nez, et par la bouche. Elle est fort salubre, disent ils, pour faire distiller et consumer les humeurs superflues du cerveau. Davantage prise en cette façon, fait passer la faim, et la soif pour quelque temps. Parquoy ils en usent ordinairement, mesmes quand ils tiennent quelque propos entre eux, ils tirent ceste fumée, et puis parlent : ce qu’ils font coustumierement et successivement l’un apres l’autre en guerre, ou elle se trouve tres commode. Les femmes n’en usent aucunement. Vray est, que si lon prend trop de ceste fumée ou parfun, elle enteste et enivre, comme le fumet d’un fort vin ».

André Thevet nomma le tabac « Herbe angoumoisine » — du nom de sa ville natale — et n’apprécia absolument pas que que le tabac fût nommé en hommage à Jean Nicot : « Depuis un qidam, qui ne fit jamais le voyage, quelque dix ans après que je fus de retour de ce pays, lui donna son nom ». À titre de consolation posthume, un siècle plus tard, Carl von Linné nomma une espèce d’Apocynacée en son honneur : Thevetia ahouai.

La première édition, de 1564, de l’ouvrage « L’Agriculture et Maison Rustique », de Charles Estienne, évoqua le tabac, mais de façon incorrecte. Il fallut attendre son édition de 1570 — rédigée avec son beau-fils, le médecin Jean Liébault — pour que le tabac soit présenté adéquatement avec ses lettres de noblesse médicinale.

Cet ouvrage donna des conseils et des recettes thérapeutiques quant à l’usage du tabac et des diverses pathologies qu’il peut traiter : ulcères, teigne, doigts coupés, scrofules, asthme, furoncles, blessures, aphtes…

Entre 1586 et 1600, ce furent 38 ouvrages qui furent publiés décrivant les propriétés médicinales du tabac — dont trois ouvrages rédigés exclusivement à propos de cette espèce.

Dans ces ouvrages, ce furent 71 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac.

En 1588, le célèbre chirurgien anglais, William Clowes, publia son ouvrage intitulé « A prooued practise for all young chirurgians, concerning burnings with Gunpowder, and woundes made with Gunshot, Sword, Habbard, Pyke, Launce, or such other. » Il y décrivit plusieurs onguents, à base de tabac, dont l’un de sa propre invention. L’année suivante, un autre chirurgien anglais, John Banester, publia de nombreuses recettes (onguents, gargarismes, décoctions), à base de tabac, dans son ouvrage « An Antidotarie Chyrurgical ».

Le premier ouvrage rédigé, en Anglais, intégralement sur le thème du tabac, le fut, en 1595, par Anthony Chute : « Tabaco ». On y trouve la première représentation graphique d’un homme fumant une pipe de tabac.

C’est en 1597 que le célèbre botaniste anglais, John Gerard (1545-1612), publie son ouvrage « The Herbal » — qui constitue, en fait, une adaptation de l’œuvre du médecin et botaniste malinois Rembert Dodoens (1517-1585). C’est dans cet ouvrage que John Gerard commence à émettre des doutes, et des conseils de précaution, sur l’usage inconsidéré du tabac — et sur son impact potentiellement néfaste sur le cerveau et sur le foie.

À partir du tournant du siècle et de la publication, en juin 1601, d’un ouvrage antitabac intitulé « Work for chimny-sweepers/A Warning for Tabacconists » [29] — qui fut rédigé par un médecin anonyme, Philaretes — une controverse éclata à Londres au sujet de l’usage thérapeutique du tabac. Elle dura jusqu’en 1665 — avec des répercussions dans toute l’Europe. Durant cette période, ce furent 26 ouvrages qui furent publiés, sur la place de Londres même — par une quinzaine de médecins, des poètes, un juge et, même, le Roi Jacques Ier Stuart — au sujet des vertus thérapeutiques, ou des dangers pour la santé, du tabac.

C’est l’ouvrage publié par le Roi Jacques Ier, en 1604, « A Counterblaste to Tobacco », qui fut principalement responsable de la polémique entourant le tabac médicinal.

Parmi ces 26 ouvrages, ceux qui promouvaient le tabac comme plante médicinale maîtresse déclinèrent 179 pathologies traitables par cette plante.

En fait, comme le précise Marc Kirsch – qui reprend les exposés de Peter Mancall, en 2004, dans « Tales tobacco told in sixteenth-century Europe » – dans son essai, de 2010, intitulé « Le tabac. Genèse d’une Épidémie » :

« Peter Mancall montre comment la diffusion du tabac coïncide avec celle du livre imprimé, qui a joué un rôle clé pour faciliter l’implantation du tabac en Europe, répandant les informations et relayant les débats concernant les plantes découvertes en Amérique et les vertus qu’on leur prêtait… L’histoire du livre raconte comment le tabac a dû franchir un obstacle culturel pour s’imposer : à la différence d’autres ressources naturelles déjà connues ou plus facilement assimilables (or ou plantes alimentaires), il lui a fallu perdre ses connotations de spiritualité païenne, dans une Europe obsédée par le démon et la sorcellerie, pour que la connotation médicale, désacralisée et coupée du contexte spirituel, le rende culturellement acceptable. D’où des débats nombreux et animés entre propagandistes et détracteurs d’une plante utilisée dans leurs sombres rituels par des sauvages à peine humains, nus et cannibales, qu’il fallait se garder d’imiter ». [30]

Entre 1492 et 1860, ce sont 254 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac. Elles sont déclinées, par ordre alphabétique, sur trois pages, dans l’excellent essai rédigé, en 1967, par Grace Stewart, et intitulé « A History of the Medical Use of Tobacco. 1492-1860. » [24]

Usages médicinaux et chamaniques traditionnels de Nicotiana tabacum

Aujourd’hui, selon l’ouvrage « Medical Ethnobiology of the Highland Maya of Chiapas. Mexico », le tabac, Nicotiana tabacum, chez les Mayas Tzeltal et Tzotzil, constitue le remède suprême pour toutes les douleurs abdominales.

Chez les Mayas Tzeltal, les remèdes secondaires, pour cette pathologie, sont pourvus par les espèces suivantes : Lantana camara, Ocimum selloi, Tagetes lucida et Ageratina ligustrina. Chez les Mayas Tzotzil, ce sont : Tithonia diversifolia, Stevia ovata, Baccharis vaccinoides et Smallanthus maculata.

Les Mayas Tzeltal et Tzotzil utilisent, également, le tabac pour soigner les diarrhées sanglantes — en compagnie d’autres plantes telles que Ruta graveolens (Rue), Psidium guajava (Goyavier), Solanum lanceolatum, Equisetum hymale (une Prêle), Acaciella angustissima et Baccharis trinervis.

Chez de nombreux groupes Mayas du Chiapas et du Guatemala, le tabac est dénommé « May » — ou « Noholkik’uts ». Il est, également, dénommé « Hunac Ah Kinam », le Grand Seigneur des Maladies. Il s’agit, alors, de Nicotiana tabacum ou bien de Nicotiana rustica.

Selon l’ouvrage « Plantes médicinales des Mayas K’iché du Guatemala », de l’ethnologue français, Jean-Pierre Nicolas, le tabac constitue, aujourd’hui encore, une Plante médicinale maîtresse chez les Mayas K’iché. Ce peuple l’utilise, en application externe ou en ingestion, pour soigner les sinusites, les varices, les maux de gorge, la variole, les herpès ; pour éliminer les poux ; pour soutenir la femme durant l’accouchement ; comme purgatif ; pour éliminer la rouille des feuilles du blé (Puccinia recondita) ; pour se débarrasser du fungus Aspergillus fumigatus qui est responsable d’infections sévères chez les humains.

et, bien sûr, comme médecine purificatrice chamanique, pour gérer les « sustos » et le « mal de ojo. »

Voici ce que rapporte l’historienne et ethnologue, Mercedes de la Garza, dans son ouvrage « Sueño y alucinación en el mundo Nahuatl y Maya » :

« Le tabac (appelé “May” par plusieurs groupes du Chiapas, et du Guatemala, et “K’uts” par las Mayas Yucatèques), principalement, Nicotiana rustica, est peut-être la plante sacrée la plus importante dans le rituel et dans la vie quotidienne des groupes méso-américains ; il est une partie essentielle de l’attirail des shamanes et, presque toujours, il apparaît parmi les offrandes des dieux ; il combat les animaux mauvais, comme les serpents et les scorpions ; il est le médicament miraculeux qui guérit de nombreux maux et, en outre, qui aide et accompagne l’homme, lui donnant la force et protection dans ses voyages et dans les travaux de la vie quotidienne…

Ainsi, le tabac, ou May, aidait et protégeait l’homme, en même temps qu’il lui ouvrait les chemins des réalités sacrées, c’est-à-dire qu’il favorisait la transe extatique. Mais, en outre, le tabac était une manière de panacée qui soignait de multiples maladies ; aussi était-il la plante par excellence des shamanes, dont la fonction principale semble avoir été le traitement de maux divers, spécialement ceux de caractère magique. Parmi les propriétés curatives du tabac, nous pouvons signaler les suivantes : appliqué sur les jambes, comme onguent, il allégeait la fatigue ; il guérissait les piqûres de vipères et autres bestioles venimeuses ; il apaisait les douleurs et supprimait les enflures. Il guérissait, en outre, des frissons, fièvres et convulsions, maladies des yeux, dérangements intestinaux et nerveux, maladies de la peau, problèmes urinaires…

Dans le Ritual de la Bacabes, il est fait mention du tabac dans les traitements de diverses maladies : “frénésie de guacamya” (engourdissement), “frénésie errante” (fièvres intenses), “transe érotique” (fièvre, parler incohérent, folie). Ce sont les maladies qui, en Maya, sont nommées “tancas”.

Dans d’autres sources, il est dit qu’il soigne, de même, plusieurs sortes de fièvres, rôti dans la cendre. Bu avec du “Chacá” (arbre résineux dont le Diccionario de Motul signale divers usages curatifs), du piment et du miel, il combat la variole. Frotté sur le ventre, il expulse les parasites intestinaux. Bu avec du “Chacá” (Bursera simaruba), il soigne “les vers des dents”. Dans le “massage pour le placenta”, on récite une longue conjuration où on le compare au pénis qui pénètre dans les entrailles de Itzamcab, déité de la Terre, et on l’appelle Hunac Ah Kinam, le “Grand Seigneur des Maladies”. Dans le texte de guérisons des brûlures par le feu, il est fait mention d’une déité appelée Ix Muk Yak Kutz, “Celle qui suce le tabac”, nom que Thompson traduit par “Dame qui renforce le tabac”, l’identifiant à la chaux ».

Pages 132/133. Traduction, en 1990, des Éditions Trédaniel.

Selon le fantastique ouvrage, en page 242, de Dennis Breedlove et de Robert Laughlin, « The Flowering of Man. A Tzotzil Botany of Zinacantan » – édité par le Smithsonian Institute et dont le sujet est l’étude des Plantes médicinales chez les Mayas Tzotzil :

« Comme remède à une douleur dans la jambe ou dans le pied induite par un mauvais esprit (poslom), une saignée suivie d’un massage du membre avec un mélange composé de tabac, d’ail et de l’urine d’une femme qui est ensuite appliqué avec un morceau de tissu. Plus simplement, le membre peut être bandé avec des feuilles de tabac, qui ont été séchées sur le feu, ou massé avec un mélange de tabac et de camphre. Les feuilles séchées sont, également, utilisées pour les fractures d’os. Le tabac et le camphre peuvent être utilisés pour la gangrène (mos) et appliqués pour éliminer la gale. La potion “chaude”, constituée de tabac, d’ail et d’urine de femme, peut être utilisée pour soigner la constipation ou la rétention d’urine (makel). Pour l’urination douloureuse, le tabac peut être mélangé avec de l’alcool de canne à sucre et consommé.

dans ces histoires, et dans les discours de la vie quotidienne, est mise en exergue la puissance du tabac pour stupéfier, paralyser et aveugler un adversaire. Pour chasser un vent fort de son champ de maïs, le fermier peut cracher du tabac et de l’alcool de canne à sucre ou bien, encore, émietter du tabac sur le sol. Les shamans enterrent du tabac à chiquer à l’endroit même où une personne a souffert d’une perte de l’âme — afin d’incapaciter le Seigneur de la Terre. Ils crachent, également, du jus de tabac sur le sol pour chasser les sorcières et ils enduisent le corps du patient avec du tabac au moment de dormir… Une personne qui est poursuivie par un arc-en-ciel peut se protéger en répandant du tabac sur le sol. Si elle rencontre un serpent sur son chemin, il doit lui cracher du jus de tabac. Afin de protéger son champ de maïs des ratons laveurs, il doit y répandre, autour, du tabac er de l’ail. »

Traduction de Xochi.

Dennis Breedlove est un botaniste réputé et spécialiste de la flore du Chiapas au Mexique. C’est également un botaniste découvreur d’espèces botaniques. J’ai eu, ainsi, le plaisir d’aller crapahuter dans les montagnes au-dessus du Lac Isabella, en Californie, à 2500 mètres d’altitude (avec mon vieux camping-car de 10 mètres de longueur !), près du Piute Peak, afin d’aller photographier la rarissime espèce de Sarrazin sauvage, que Dennis Breedlove découvrit — Eriogonum breedlovei sp. breedlovei. [194]

Selon l’ouvrage « Plants of the Peten Itza’ Maya », en page 183, Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, chez les Mayas Itza, du Guatemala, pour traiter les morsures de serpents, les morsures de tiques, les infestations de vers intestinaux, la leishmaniose, les piqûres de scorpions, les plaies purulentes, les rhumatismes, les maux de tête.

Selon l’ouvrage « Poisons and Panaceas. An Ethnobotanical Study of Montserrat », en page 126, les Indigènes de l’île de Montserrat, dans les Caraïbes, utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour traiter les refroidissements, les plaies et les verrues, les douleurs des hématomes, les maux de dents et pour ses propriétés sédatives et antispasmodiques.

Selon l’ouvrage « The Healing Forest. Medicinal and Toxic Plants of the North-West Amazonia », du célèbre ethnobotaniste de Harvard, Richard Evans Schultes, les peuples Tukanoan, Jivaro, Witoto, Bora, Tikuna utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour soigner les contusions, les foulures, les plaies purulentes, les furoncles, la calvitie, les indispositions, les refroidissements, les morsures de serpents — ainsi que pour les affections pulmonaires.

« Le tabac est fumé à de rares occasions à l’exception de cérémonies et de rituels de guérison réalisés par les shamans qui soufflent de la fumée, ou crachent du jus de tabac sur le corps des patients, ou qui inhalent de la fumée — tout cela étant accompagné de rituels et d’incantations appropriées. Les Witotos, parfois, fument des cigares, mais il est possible que cette coutume soit récemment acquise. Durant les cérémonies d’Ayahuasca, il est fumé d’énormes cigares — parfois d’un mètre de longueur — particulièrement parmi les Tribus de Vaupés. Les Sionas de la région Mocoa, tout comme les Tribus occidentales de Tukanoan, ont, également, recours à des cigares cérémoniels gigantesques, mais, occasionnellement, élaborent de plus petits cigares à usage récréationnel… Les Jivaros et les Aguaruna de l’Équateur fument de longs cigares lors d’un festival du tabac dédié à la célébration de l’initiation de jeunes adolescents.

C’est une pratique commune de mâcher des feuilles de tabac chez de nombreuses Tribus — par exemple, les Cocamas, les Omaguas, les Zaparos, les Omuranas, les Sionas, les Inganos. Les hommes Waika conservent, à la bouche, une chique de feuilles de tabac, toute la journée. Les Nonoyu mélangent le tabac avec de la poudre de Coca pour chiquer.

Le jus de tabac est consommé par les Jivaros soit avec l’Ayahuasca (Banisteriopsis), soit avec le Maikoa (Brugmansia sp.). Parmi la Tribu Coto du Rio Napo, au Pérou, seul le shaman est autorisé à ingérer du jus de tabac par les narines alors que les hommes le boivent. Les Ayahuasqueros métis du Pérou mélangent l’Ayahuasca avec le tabac, en émiettant les feuilles et en les humidifiant avec leur salive. Le mélange est laissé à reposer toute une nuit dans la cavité d’un arbre, le Lupuna (Ceiba pentandra) dont le jus présumé toxique s’écoule dans le jus du tabac. Parmi les Tukanos occidentaux de Colombie et du Brésil, les maîtres Shamans font boire à leurs étudiants une gourde entière du jus de tabac pour induire des vomissements et éventuellement de la narcose. Les Jivaros de l’Équateur boivent le jus dans des cérémonies d’initiation, dans les quêtes de visions, dans les préparations à la guerre, dans les célébrations de victoires et dans la sorcellerie ; même les femmes consomment le jus de tabac durant des fêtes de mariages ou des initiations ».

En page 433. Traduction de Xochi.

Richard Evans Schultes précise, également, que l’utilisation rectale du tabac est inconnue en Amérique latine sauf chez les Jivaros Aguarunas qui le consomment de cette façon — soit seul, soit avec de l’Ayahuasca. Il est à noter que les Jivaros utilisent également le « Piri-piri » (une espèce de souchet dans le genre Cyperus) dans leurs mélanges enthéogéniques avec le tabac.

Quant aux Jivaros Shuar, leurs mélanges enthéogéniques incluent également le tabac et le « Piri-piri » ainsi que diverses espèces telles que Banisteriopsis caapi (l’Ayahuasca), Brugmansia suaveolens (le Floripondio), Brunfelsia grandiflora, Diplopterys cabrerana (le Chaliponga), Heliconia stricta, Ilex guayusa (le Guayusa) et Herrania sp. [192]

De l’autre côté de la planète, le tabac est également utilisé en Inde, par exemple, pour ses propriétés médicinales. Dans la Médecine traditionnelle et dans la Médecine ayurvédique, Nicotiana tabacum est prescrit pour soigner l’asthme, les rhumatismes, l’hernie étranglée, l’orchite, les pathologies cutanées, l’arthralgie, la goutte, le lumbago, les maux de dents, les rhinites chroniques, la toux, les infections du cuir chevelu, les morsures de scorpions, les troubles de l’estomac ainsi que pour ses propriétés sédatives, antispasmodiques, vermifuges, antiseptiques, émétiques. [207]

Les Tribus du district de Surguna, dans l’Andra Pradesh, appliquent des feuilles de tabac sur les testicules pour traiter l’hydrocèle.

Selon, l’ouvrage de Louis Girault, « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, pour traiter les affections pulmonaires, les contusions, les obstructions intestinales, les infestations de parasites intestinaux, les infestations du cuir chevelu, les migraines.

Les guérisseurs itinérants, appelés Kallawaya, sont originaires de Bolivie. À ce jour, 980 plantes médicinales ont été répertoriées dans leur pharmacopée. Il est à noter que ces guérisseurs traditionnels possèdent un langage secret (en voie et en voix d’extinction avec 100 ou 200 locuteurs) qui se dénomme « Machaj Juyai » [195] — à l’instar du langage secret des shamans Nahua, le « Nahuallatolli ».

En août 2012, nous avons organisé le Festival Kokopelli-Pachamama à Ollantaytambo, au Pérou, accueillant, durant une semaine, les Gardiens de Semences de toute l’Amérique latine. Nous y avions invité le Centre de Médecine traditionnelle Amazonienne Takiwasi de Situlli, au Pérou — qui fut créé par le médecin Jacques Mabit. C’est, donc, avec grand plaisir que j’ai découvert deux monographies réalisées par l’une des chercheuses de Takiwasi, Céline Ochem. Je conseille la lecture de ces deux monographies excellentes à toute personne intéressée par le tabac, le Shamanisme et la Médecine traditionnelle amazonienne : « Le tabac et son usage en Médecine traditionnelle amazonienne » (2010. Sous la guidance du pharmacien Patrice de Bonneval) [259] et « L’Usage des Diètes en Médecine traditionnelle amazonienne » [260].

Jacques Mabit a, également, rédigé un essai intitulé « Sinchi, Sinchi, Negrito: Usage médicinal du tabac dans la Haute Amazonie Péruvienne ». [286]

Le tabac : un Poison ou une Panacée ?

Selon l’OMS (l’Organisation pour le Massacre Sanitaire), ce sont plus de 8 millions de personnes qui décéderaient annuellement de l’usage du tabac — dont 1,2 million en raison de tabagisme passif. [3]

Il est très vraisemblable que ces chiffres, à la grosse louche, soient à l’aune des statistiques évoquant des millions de décédés covidiens ! À savoir, de la pure propagande.

Aujourd’hui, on trouve dans des articles datant de 2021 — tel que celui du Journal des Femmes. Santé — l’affirmation selon laquelle « La nicotine n’est pas cancérigène, mais c’est elle qui est responsable d’une grande partie de l’addiction à la cigarette : on l’appelle l’addiction chimique ». [57]

Si la nicotine n’est pas cancérigène… comment le tabac l’est-il alors ?

En 2007, une étude grecque a analysé le taux des substances radioactive, radium et polonium, dans des cigarettes de tabac. En effet, les fertilisants de synthèse de l’agriculture chimique contiennent beaucoup de radium qui se transforme en radon et qui, lui-même, se transforme en polonium 210 et en plomb 210. [250]

Nonobstant, dès 2009, le Professeur Jean-Pol Tassin affirmait strictement le contraire : à savoir que la nicotine n’est strictement pas addictive. [62] Si cet éminent chercheur a raison, on comprend les efforts gigantesques déployés par l’Industrie de la cigarette pour modifier le tabac afin de favoriser la dépendance tabagique.

Une étude suisse, de 2005, précise que :

« Lors de la fabrication de cigarettes suisses, on peut compter 25 % d’additifs sur la composition totale… La quantification de certaines substances a révélé de grandes concentrations de certains additifs, notamment le menthol dans des cigarettes classiques (0,02 à 13,3 µg/g), le 2-éthyl-1-hexanol (0,06 à 12 µg/g) et l’alcool benzylique (6,6 à 40,8 µg/g). On constate que l’adjonction abondante de menthol et la concentration élevée d’ammonium influent sur l’inhalation de la fumée et sur le potentiel de dépendance de la cigarette ». [66]

Quel est le nombre d’additifs que l’Industrie utilise pour agrémenter ses cigarettes de tabac ? Plus de 600 additifs y sont ajoutés : conservateurs, humectants, arômes et auxiliaires de fabrication — ce qui constitue, environ, 10 % du poids total de la cigarette. [59] [63]

On trouve une liste de 599 additifs au tabac, datant de 1994, chez Fakypedia — aimablement fournie par cinq multinationales de l’Industrie des Tabacs. [61]

En sus des additifs permis par les Autorités, le tabac industriel constitue une mine abondante de sous-produits dérivés des processus de culture, et de production, tels que : des pesticides, des herbicides, des insecticides, des métaux lourds, des micro-organismes, des déchets industriels (métal, carton, polystyrène, insectes et petits animaux) et d’autres substances telles que des solvants industriels et des dioxines.

N’est-il pas hautement révélateur que depuis la nouvelle loi, de janvier 2016, de modernisation du système de santé, et depuis l’Arrêté du 19 mai 2016, promulguant des emballages neutres pour le tabac avec moult « avertissements sanitaires », la composition du contenu des paquets de tabac ait totalement disparu ? [276]

Lorsque toutes ces substances sont pyrolysées, elles sont absorbées par les poumons, sans aucune discrimination. Même lorsque les additifs sont considérés comme naturels (cacao, sucre brun, réglisse, miel) on est incapable de savoir ce que leur combustion — en synergie avec des milliers de composants propres au tabac et en synergie avec des centaines d’additifs, de déchets industriels et de dioxines — peut provoquer comme effets délétères dans le corps humain.

Par exemple, les cigarettes contiennent du glycérol à hauteur de 1 à 4,5 % de leurs poids. Le glycérol constitue une substance amplement ajoutée à de nombreux produits industriels, et de consommation, tels que les savons, les détergents, les médicaments, les produits cosmétiques, les aliments, les boissons, les peintures, les résines et le papier. La combustion du glycérol libère de l’acroléine qui est une substance hautement cancérigène. [67]

Ainsi qu’il est évoqué, dans une autre partie de cet essai, les Tabacs sont intrinsèquement des bio-accumulateurs qui sont utilisés dans les processus de phytoremédiation. Cela signifie que ce sont des pompes à métaux lourds, à hydrocarbures, à isotopes radioactifs et à biocides qui purifient les sols de toutes ces substances archi toxiques.

Qui plus est, depuis des dizaines d’années — à savoir, officiellement et « légalement », depuis 1982 — l’Industrie a créé une pléthore de variétés de tabac qui sont des « chimères génétiques fonctionnelles » — à savoir des OGMs, des organismes génétiquement manipulés. Quelle est la fonction de ces chimères génétiques ? De rendre les Tabacs résistants aux herbicides, aux insecticides, aux fongicides, etc., afin de leur permettre de ne pas succomber sous l’assaut de tous ces biocides — à savoir, afin de leur permettre de métaboliser, de digérer, dans leurs tissus ces divers biocides.

Cela signifie que les Tabacs chimériques pourraient être encore plus toxiques que les variétés conventionnelles — ce qui n’est pas peu dire.

Et comble d’empoisonnement, depuis une quinzaine d’années, la Mafia Pharmacratique tente même de développer des vaccins injectables contenant des haptènes dont la fonction est d’impulser la production d’anticorps, se liant aux molécules de nicotine, afin de les empêcher de franchir la barrière entre le flux sanguin et le cerveau.

Parallèlement à la création de vaccins chimériques anti-nicotine, la Mafia Pharmacratique a développé des médications antitabac, à savoir pour permettre de stopper de fumer du tabac. En 2009, aux USA, la FDA a prié les fabricants de ces remèdes de prévenir les consommateurs du risque avéré d’avoir le mental partir en vrille et de développer des tendances suicidaires. Il s’agit du Ziban (bupropion) de GSK, du Champix et du Chantix (varénicline) de Pfizer… [79] [81]

Selon une étude, publiée en 2013 dans une revue scientifique canadienne, le Champix a été associé à un risque accru de plus de 70 % d’hospitalisations pour accidents cardiovasculaires graves, notamment des attaques cardiaques, des arythmies cardiaques, des ischémies ou encore des insuffisances cardiaques. [251]

GSK (GlaxoSmithKline) a, ainsi, contracté un partenariat avec Nabi Biopharmaceutical, en 2009 [82] afin de créer un vaccin anti-nicotine dénommé NicVAX. Il semble que ce fut un échec strictement total. [77] [84] Les autres sociétés nécrotechnologiques qui ont travaillé, sur la conception de vaccins anti-nicotine, sont Cytos, Celtic Pharma et Independent Pharmaceutica.

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La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Et c’est un scandale médical et scientifique, car au vu des propriétés médicinales exceptionnelles du tabac, qui sont déclinées ci-après, on peut imaginer quel serait l’impact thérapeutique du tabac, consommé sous divers modes, s’il était produit selon des méthodes totalement respectueuses de la Biosphère — à savoir sans biocides et sans chimères génétiques.

En règle générale, il apparaît que la consommation de tabac rend les fumeurs plus éveillés, plus alertes, plus attentifs, plus réactifs, plus mobiles, plus présents… Une pléthore d’études ont, en effet, mis en exergue les bénéfices du tabac en tant que substance favorisant les fonctions cognitives. [96] [97] [98] [114] [115] [116]

En bref, la consommation de tabac — de par son impact sur les neurotransmetteurs tels que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline — permet d’améliorer les fonctions sensorielles, motrices, cognitives (apprentissage, attention, mémoire)… ainsi que les fonctions de créativité.

La nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer [28], ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines. [25] [27] [42] [45] [54]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie. [23] [74]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentait la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension. [34]

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique. [134]

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. [33]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès. [32]

Vers 1998, diverses études ont été réalisées prouvant le fait que les femmes possédant des mutations du gène BRCA (à savoir une personne sur 1000) avaient moins tendance à développer un cancer du sein, une rectocolite hémorragique, un cancer de l’endomètre, etc., lorsqu’elles consommaient du tabac. [69] [70]

L’Hôpital Universitaire du Pays de Galles, à Cardiff, a réalisé diverses études mettant en exergue les propriétés anti-inflammatoires du tabac — en particulier en ce qui concerne la pathologie intestinale dénommée colite ulcéreuse — ou rectocolite hémorragique. [75] [80]

Une étude, de 1993, a mis en valeur le fait que la fumée de tabac supprime les inflammations, dans les poumons, induites par des radiations ionisantes utilisées dans le traitement de cancers du sein. [112]

En 2001, une étude suédoise a mis en valeur que les enfants dont les parents sont des fumeurs habituels de tabac étaient beaucoup moins enclins à développer des pathologies telles que l’asthme allergique, la rhinite allergique, les allergies alimentaires et l’eczéma atopique. [86] Une étude, de 2007, en Nouvelle-Zélande a produit, exactement, les mêmes résultats. [90]

En 2007, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Californie a mis en exergue la capacité de la nicotine de déclencher encore plus de processus neuronaux, à savoir encore plus de créativité.

« Au cours de leurs expérimentations, ils examinèrent une section du cerveau d’une souris associée à l’ouïe qui contenait un neurone avec un axone le connectant au cortex. En utilisant la nicotine, ils stimulèrent le neurone afin de déterminer comment cela allait impacter un signal que le neurone envoyait au cortex. Sans appliquer la nicotine, environ 35 % des messages envoyés par le cerveau atteignirent le cortex. Mais quand la nicotine fut appliquée à l’axone, le niveau de succès doubla presque à un niveau d’environ 70 % ». [104]

En 2006, des chercheurs de l’Université Duke, en Caroline du Nord, ont mis en exergue la capacité de la nicotine de soulager la dépression d’individus non-fumeurs. Selon ces chercheurs, il est très vraisemblable qu’une partie des fumeurs de tabac le font en automédication, afin de soulager un état de dépression chronique. [100]

Ainsi, il est clair que l’usage de l’alcool et du tabac a fortement accru depuis le début des confinements organisés par le gang de criminels qui ont lancé leur opération psychologique spéciale dénommée « CoqueVide/19”. [91]

Une étude, publiée au printemps 2021, a mis en exergue que la nicotine, chez les archers, accroît leurs performances sportives en améliorant leur fonction cognitive et en stimulant les récepteurs adrénergiques de leur système nerveux sympathique. [127]

En 2011, une équipe de chercheurs de l’Université de Louisiane a publié ses recherches quant à ses découvertes de diterpènes, dénommés « cembranoides », dans la substance cireuse des feuilles fraîches de tabac. Ces cembranoides sont détruits par les processings industriels subséquents des feuilles de tabac. Les cembranoides sont, supposément, produits par la plante pour se défendre à l’encontre de prédateurs insectes ou microbiens. Ils possèdent une activité anti-carcinogénique — en particulier à l’encontre des cancers du sein et de la prostate. [125]

En Inde, le CTRI (Institut Central de Recherche sur le tabac) a publié les résultats de ses recherches portant sur la substance dénommée « Solanésol », dans le tabac — pour lesquelles il déposa un brevet. Le Solanésol est un sesquiterpène extrait des feuilles du tabac — de préférence, fraîches. Cette substance possède des propriétés médicinales à l’encontre des insuffisances cardiaques, de l’asthme, des troubles hépatiques, de l’hypertension, du cancer, du diabète, de l’anémie et de la dystrophie musculaire. [133]

Le Solanésol est riche en coenzyme Q10, l’ubiquinone — une enzyme possédant une très forte activité antioxydante [132] – et en vitamine K2.

En 2006, la ville de Xi’an, capitale de la province du Shaanxi en Chine, décida de stopper d’incinérer les « fausses cigarettes » — confectionnées à partir de tabac de très basse qualité et de copeaux de bois — et de les recycler afin d’en processer le Solanésol.

En effet, récemment, la demande pour le Solanésol est passé de 4000 tonnes par an, en 2000, à une prospective de 66 000 tonnes, pour l’année 2022. Le Solanésol se trouve dans la Famille des Solanacées — à hauteur de 0,3 à 3 % de la biomasse sèche. [146] Les feuilles sèches de tomate, par exemple, peuvent en contenir 1 %. [142]

En 2011, une équipe de chercheurs d’Australie a prouvé que la consommation de tabac, chez 11 000 fumeurs de tabac très âgés, protégeait leurs articulations. En effet, ceux qui fumèrent durant 48 années, ou plus, encouraient de 42 à 51 % moins de risques (en fonction de leur âge) de requérir des chirurgies de remplacement de hanches, et de genoux, détériorés par de l’arthrite ou par d’autres pathologies du même type. [141]

En fait, vers 1995, des études statistiques ont mis en valeur qu’au Japon la moyenne d’âge, pour les hommes, était de 76,5 années pour une population masculine comptant 59 % de fumeurs alors que la moyenne d’âge, pour les hommes, aux USA, était de 72,6 années pour une population masculine comptant 28 % de fumeurs. En fait, même, parmi les 15 pays occidentaux bénéficiant de la moyenne d’âge la plus élevée, sept d’entre eux présentaient un taux de fumeurs mâles deux fois plus important que celui des USA.

En 2004, une étude, de l’Université de la Floride du Sud, a suggéré qu’en sus de l’hypothèse prévalente, parmi les chercheurs, selon laquelle la nicotine permet de protéger le cerveau en se liant aux récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine, situés sur les terminaisons nerveuses, il s’avérait que la nicotine peut protéger le cerveau d’une manière plus indirecte, à savoir en bloquant l’hyperactivité des cellules du système immunitaire — dénommées microglie — et en limitant, ainsi, une inflammation cérébrale excessive. [145]

En 2010, une étude a mis en exergue que les fumeurs de tabac, qui arrêtaient définitivement leur consommation, possédaient 70 % plus de risques de développer un diabète, en particulier durant les trois premières années. Ce risque redevenait statistiquement normal au bout d’une dizaine d’années. [152]

De nombreuses études ont mis en exergue que la consommation de tabac permet au cerveau de travailler plus rapidement, et plus intensément, et permet, également, au corps physique de faire preuve de beaucoup plus de résistance dans l’accomplissement de labeurs physiques. [252]

Au Danemark, en 2007/2008, la productivité au travail s’effondra nationalement juste après que l’État danois eût interdit l’usage du tabac dans tous les espaces de travail… mais ce n’est, peut-être, qu’une coïncidence. [253]

D’ailleurs, certaines études font remarquer que de nombreux champions de football étaient de très gros fumeurs de tabac au sommet de leur carrière : Zinedine Zidane, Diego Maradona, Johan Cruyff, Ronaldo, Dimitar Berbatov, Preben Elkjaer, etc.

Consommation de tabac et Protection des Poumons

Dès 1970, une étude publiée, dans le Bulletin européen de Physiopathologie respiratoire, mit en exergue que l’exposition chronique à de la fumée de tabac non seulement ne lèse pas les défenses immunitaires des poumons, mais, qu’au contraire, elle les stimule. [212]

En 2012, une étude portant sur les risques de développement de cancer des poumons suite à l’exposition continue de vapeurs de diesel, chez 12 000 mineurs, a prouvé que ces risques étaient sept fois supérieurs chez les non-fumeurs. [95] [209]

Selon l’Organisation pour le Massacre sanitaire, ce seraient 1,8 million de personnes décédant, annuellement, de cancers du poumon. Selon les propagandistes hystériques antitabac, une grande partie de ces cancers des poumons seraient induits par la consommation de tabac — à savoir la consommation de cigarettes de tabac contenant une palette de biocides sélectionnés parmi plus d’un demi-millier d’adjuvants toxiques. Les statistiques officielles [126] prétendent que le pourcentage de ces cancers des poumons, imputables à la fumée de tabac, serait de l’ordre de 80 % pour les USA et la France, 40 % pour l’Afrique sub-Saharienne et 61 % pour la population asiatique — en fait, 61 %, selon une étude de 2014, portant sur de très larges échantillons (70 %) des populations de Chine, du Japon, d’Inde, du Bangladesh, etc. [162]

En Europe, en 2016, ce sont 239 000 personnes qui sont décédées de cancers des poumons — représentant 20,5 % des décès par cancers et 5,3 % des décès totaux. [153]

Première question. Même si l’on part du principe fondamental que ce sont les adjuvants archi-toxiques du tabac qui provoquent le développement de cancers des poumons, comment peut-on expliquer de telles différences statistiques en fonction des pays ou des continents ?

Seconde question qui en découle. Ne pourrait-on pas émettre l’hypothèse selon laquelle les fumeurs du tabac meurent, également, de cancers de poumons induits par d’autres facteurs de pollution externes ? S’il en est ainsi, cela signifierait qu’un certain nombre de fumeurs de tabac ne meurent pas d’un cancer tabagique, mais d’un cancer environnemental.

Tout comme des millions de décédés ont été affublés — quel que soit la cause de leur décès : crises d’asthme, chutes dans les escaliers, accidents de moto… et, surtout, maladies pulmonaires chroniques obstructives — depuis février 2020, d’une mort « Covidienne »… parce que leurs faux tests PCR les avaient catalogués comme « positifs ».

En août 1963, le Président Kennedy mit fin aux essais nucléaires qui avaient été réalisés dans l’atmosphère et dans la mer depuis 1945. JF Kennedy, en vérité, voulait, également, stopper Monsanto, et la Pharmacratie US, car il savait, pertinemment, qu’il n’existe aucune différence entre l’impact d’une centrale nucléaire et un champ de l’agriculture toxique moderne : les deux sont des vecteurs de cancérisation, de mutagenèse, de crémations cellulaires. Les deux sont des vecteurs d’Holocauste génocidaire.

Pour rappel, en 2003, la quantité de plutonium en circulation sur la planète était estimée à 1855 tonnes. Pour rappel, ce sont 4200 kilos de plutonium qui ont été libérés dans la Biosphère, avant 1963, et environ 10 000 kilos jusqu’en 1980 — par le biais des « tests » en grandeur nature. Quelles sont les sources de cette libération de plutonium dans la Biosphère, en sus des essais de bombes nucléaires ? Ce sont les centres de recherche sur l’énergie nucléaire, les centres de recherches sur les armes nucléaires, les accidents et les « dépôts de déchets radioactifs »… [164]

Certains chercheurs affirment que ce sont des trillions de doses mortelles de particules radioactives microscopiques qui ont été libérées dans l’atmosphère par les milliers de tests atomiques qui y ont été réalisés. Selon le rapport publié par Nils-Olov et Ragnhild Ferm, en 2000, ce sont 2053 explosions nucléaires qui ont eu lieu sur la planète entre 1945 et 1998 — sans mentionner celles de la Corée du Nord. [204]

En France, les hommes meurent trois fois plus de cancers de poumons que de cancers de la prostate — avec 89 600 décès par cancer en 2018. En France, les femmes meurent, quasiment, tout autant de cancers de poumons que de cancers du sein — avec 67 800 décès par cancer en 2018.

La France est le leader mondial pour la production d’énergie nucléaire avec 58 centrales. La France est le leader européen de l’agriculture chimique, toxique et génocidaire.

En France, ce sont 200 millions de mètres cubes de « résidus à vie longue » — un euphémisme pour décrire des déchets radioactifs à vie, à savoir à Mort — qui ne possèdent pas de « filière de gestion »… À savoir qu’ils n’ont pas encore été enfouis au fin fond des océans dans des containers en béton — qui finiront, un jour, par se fissurer. L’ImMonde les appelle « des déchets radioactifs oubliés ». Oubliés par qui ? [147] [148] [149] [150]

Qui sont les responsables de cette cancérisation de la population française : le CEA ou bien la Cogema devenue Areva qui est devenue Orano ? Et pourquoi les responsables ne sont-ils pas en prison ?

De très nombreuses études [163] [167] ont étudié la relation existant entre les cancers des poumons et l’exposition au plutonium, ou à l’uranium, telles que les études de 2002 portant sur les 19 000 employés du centre nucléaire de Mayak en URSS [128] ou telle que les 11 études portant sur 68 000 travailleurs dans les mines d’uranium. [154] [155]

Selon les rapports du Professeur Chris Busby, le secrétaire de l’European Committee on Radiation Risk, ce seraient 63 millions de décès par cancers, jusqu’en 2003, qui seraient imputables à la radioactivité. [210]

En 1957, le British Medical Research Council signala que les cancers des poumons avaient doublé durant la période entre 1945 et 1955 — sans proposer une quelconque explication. Durant la même période, dans les régions proches d’Hiroshima et de Nagasaki, le taux de cancers des poumons tripla. En 1963, lorsque les essais atomiques officiels furent discontinués dans les îles du Pacifique, le taux de cancers des poumons avait quintuplé, dans cette zone, depuis 1945.

Suite au désastre nucléaire de Chernobyl, les 7156 travailleurs ukrainiens, qui participèrent à la tentative de neutralisation du réacteur, en 1986, moururent, principalement, de cancers des poumons. [129] [130] [136] [137]

Ce sont des dizaines de milliers de souris (qui constituent 96 % des animaux de laboratoire) qui ont été sacrifiées pour prouver que, très certainement, certaines formes de radioactivité génèrent, chez ces rongeurs, des cancers des poumons dont ils meurent inexorablement — et rapidement.

Par contre, ce sont également des dizaines de milliers de souris qui ont été « passées à tabac », dans les laboratoires de chercheurs hypocrites, pour tenter de prouver ce qui n’a jamais été prouvé. À savoir que personne n’a jamais pu prouver que le tabac induisait des cancers des poumons chez ces souris exposées, pendant des années, à l’équivalent de la fumée de 200 cigarettes — quotidiennement.

En 1963, le pathologiste Victor Buhler, de Kansas City, déclara, devant un comité spécial du Congrès US : « J’ai examiné des milliers de poumons, à la fois visuellement et microscopiquement. Je suis dans l’impossibilité de vous dire, en examinant un poumon, si son porteur originel était un fumeur ». [165]

En 1982, le Professor Schrauzer — alors président d’International Bio-inorganic Chemists — déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Aucun composant de la fumée de cigarette n’a été validé comme cause de cancers des poumons chez l’homme. Personne n’a été capable de générer des cancers des poumons chez des animaux de laboratoire exposés à de la fumée de tabac ». Il ajouta, au contraire, que l’on savait, depuis longtemps, que certains composants du tabac protégeaient les animaux de laboratoire à l’encontre des cancers des poumons.

En 1983, le pathologiste Sheldon Sommers, de l’hôpital Lenox Hill de New York, déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Il n’est pas possible, visuellement ou microscopiquement, ou de toute autre manière que je connaisse, de distinguer entre les poumons d’un fumeur et ceux d’un non-fumeur. Le noircissement des poumons est induit par des particules de carbone alors que fumer du tabac n’introduit pas des particules de carbone dans les poumons ».

Dans les années 80, le pathologiste hollandais Jan Zeldenrust déclara lors d’un interview radiophonique :

« Je n’ai jamais pu discerner si une paire de poumons appartient à un fumeur ou à un non-fumeur. Par contre, je peux clairement percevoir la différence entre des poumons malades et des poumons sains. Les seuls poumons noirs que j’ai observés proviennent de travailleurs dans les mines de charbon et dans les tourbières — jamais de fumeurs ».

Tous ces chercheurs furent accusés d’être des suppôts de l’Industrie du tabac. Pendant ce temps, la médecine continue d’avoir recours à des poumons de fumeurs pour réaliser des transplantations pulmonaires — même des poumons de fumeurs ayant fumé un paquet de cigarettes pendant 20 années. Tout va bien ? [156] [157]

Je conseille aux lecteurs très intéressés par la falsification des données pulmonaires, en France, quant aux dangers du tabac, de se reporter à deux articles très fertiles d’Oliver Bach, en 2011, repris par Sott France. [255] [256] [257]

Consommation de tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne

L’épidémie de « Grande Peste » qui sévit à Londres, en 1665-1666, tua entre un quart et la moitié de la population de la ville. Les médecins prescrivaient de fumer du tabac afin de protéger les poumons — selon ce que rapporte, vers 1700, un dénommé A. J. Bell. Les croque-morts qui fumaient ne périssaient pas. Bell précise, même, que dans les écoles, les enfants étaient obligés de fumer du tabac pour se protéger de la peste — sous peine d’être fouettés. [211]

À propos de pandémie, je viens de découvrir un article fort passionnant [213] intitulé « The State of Science, Microbiology, and Vaccines, Circa 1918 », publié en 2010, et qui fait l’état des recherches, à cette époque, concernant la pandémie de 1889/1890 (une pneumonie bactérienne ?) et le Bacille de Pfeiffer et, surtout, qui évoque la multitude de vaccins distribués durant la Grippe espagnole de 1918/1920 — qui fut, en fait, une pneumonie bactérienne à 99 %.

Cette étude de John M. Eyler fait écho à mon Canto « Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses » dans sa première partie intitulée « Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019 ». [220]

De plus, elle valide, très amplement, les affirmations de la Doctoresse Naturopathe Eleanor McBean (1905-1989) quant à la distribution généralisée, durant cette pandémie de 1918/1920, de vaccins de toutes sortes provoquant la mort inexorable de tous les vaccinés.

« La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la Première Guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.

La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres, qu’on ne peut contaminer le corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade. »

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %. [101] [102] [103] [106] [107] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %) [110] et en France (avec 5 %) [92]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [109] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %. [99]

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la gripette Covidienne. [318]

Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies — bactériennes ? — cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [93] [94] [105]

En parlant de pneumonie bactérienne : quid de cette médecin hongroise qui déclare : « Le Covid est une pneumonie — certes atypique, mais une pneumonie — et doit être traité comme tel ». Flavia Groșan, une pneumologue, affirme, en effet, que c’est le protocole officiel (anti-CoqueVide) qui tue les patients. Elle soigne tous ses patients avec un antibiotique, la clarithromycine, et elle n’en a perdu aucun. [168]

Un article, très court, d’une équipe de chercheurs hollandais, paru dans la Revue Nature, le 26 février 2021, tenta de désactiver l’importance de toutes ces statistiques en prétendant qu’elles étaient surtout Chinoises (sic) ; qu’elles ne tenaient pas compte de certains éléments sociologiques ; que certains chercheurs étaient soudoyés par l’Industrie du tabac ; que l’équipe française, sous la direction de Jean-Pierre Changeux, n’avait pas tenu compte de toutes les personnes avec le statut d’ancien fumeur… bla, bla, bla. [83] Il est à noter que cette équipe néerlandaise se garda bien de remettre en question les chiffres du CDC (Center for Disease Control) aux USA — à savoir, 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19.

Ces chercheurs prétendirent, même, que l’augmentation des ventes de tabac, durant toute la période des confinements autoritaires et criminels institués par l’État profond (de corruptions et de démences), ne pouvait être dû qu’à la propagande mensongère stipulant que la nicotine offrait une protection anti-CoqueVide/19.

Le fait est que depuis l’imposition du confinement en camps de concentration urbains, d’une grande partie de la population des pays occidentaux, l’usage des substances psychoactives (tabac, Cannabis, alcools, opiacés, etc.) a fortement augmenté. Cui bono ?

En fait, en 2014, des chercheurs, de l’Université de Hong-kong, avaient déjà mis en valeur, dans une étude intitulée « Nicotine, an anti-inflammation molecule », que la nicotine possède une activité anti-inflammatoire dans les cellules du système nerveux et du système immunitaire. Ces chercheurs se focalisèrent, plus spécifiquement, sur les infections générées par ce que certains qualifient de grippe A. [85]

Cette étude reprenait les travaux de deux autres études, de 1998 et de 2004, qui analysèrent l’impact de la nicotine, pendant plusieurs semaines, chez des souris infectées avec des souches de grippe A. [111] [113]

En parlant de tabac, de vaccins, de CoqueVide/19 et de Coviet Suprême… aujourd’hui, GSK propose un nouveau vaccin anti-CoqueVide/19 réalisé en partenariat avec la société nécro-technologique Medicago — qui a lancé la phase 3 de ses essais en mars 2021. [89]

Ses techniciens insèrent des séquences génétiques dans des bactéries du sol modifiées génétiquement — à savoir des chimères génétiques de l’espèce Agrobacterium tumefaciens — qui sont inoculées dans les plantes de Nicotiana benthamiana. Voir l’étude, de 2007, intitulée « Replication-independent long-distance trafficking by viral RNAs in Nicotiana benthamiana. »… et tous aux abris ! [87]

Au printemps 2020, le directeur de Medicago déclara pouvoir produire, mensuellement, 10 millions de doses vaccinales anti-CoqueVide/19. Medicago se distingue de ses concurrents de par le fait que cette société utilise des plantes de l’espèce de tabac sauvage, Nicotiana benthamiana, comme bioréacteurs — et non pas des œufs de poule.

Il est vraiment dommage que, lorsque je rédigeai mon Canto satirique « Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale » [166] une satire extrêmement d’actualité de par l’imposition dictatoriale de vaccins génocidaires (un pléonasme) — je ne savais pas que les vaccins modernes étaient confectionnés dans des œufs… sinon, je me serais encore plus déchaîné et régalé ! En effet, c’est le cas, par exemple, depuis 80 années, pour la fabrication des vaccins « anti-grippe » (à 82 %) et il en est de même pour les vaccins à l’encontre, prétendument, de la rage et de la fièvre jaune.

Dans ce Canto de mars 2018 — inspiré de mes maîtres humoristes, le chansonnier Boby de l’Oeuf à Point (Boby Lapointe) et l’humoriste Coqueluche décédé prématurément d’un accident de moto surréaliste — j’avais même annoncé, avant l’heure, le Grand Confinement Covidien orchestré par le COVIET Macroniste Suprême sous la houlette du Guide très Mal-Aimé, MaCronfinement — un épidémiologiste en herbe.

« Le Grand Coquin Premier, amplement fêlé de la crête, s’est fendu de quelques coquetteries à ce point purulentes, et dictatoriales, que l’on peut humer que le point d’époullition, de la cocotte-minute, a été largement sous-estimé ! Sans ergoter, et pour sauver la Ripoublique de la vermine idéologique, ne voilà-t-il pas qu’il dé/crête restaurer la censure dans les menus du Poulailler. Interdiction formelle, sous peine de poulaillers de concentration, mobiles et fixes, de cocoriquoter quotidiennement et librement entre minuit et 23 h 59 — la dernière minute étant une minute de silence, volontaire et obligatoire, en hommage à la persécution de la race opprimée par une industrialisation prospère des champs de concentration : l’antique poulet de Bresse, l’ancêtre du Poulet de Graisse certifié hormoné, une AOI, une Appellation d’Origine Incontrôlée — une forme de Label à la Langue de Bois dormant ». [166]

Dans la course au lancement de vaccins anti-CoqueVide/19, Medicago n’est pas le seul partenaire de GSK. En effet, GlaxoSmithKline est, également, en partenariat avec CureVac [71] afin de développer un nouveau vaccin mARN (pouvant gérer de multiples variantes du coronavirus fantôme !!!) ; en partenariat avec Sanofi [78] afin de développer des vaccins protéiques recombinants, à base de protéines chimérisées ; en partenariat avec SK Bioscience [73], et Bill Gates, afin de développer un vaccin protéique recombinant peu onéreux avec nanoparticules — le vaccin GBP510 avec l’adjuvant de GSK dénommé AS03.

Faut-il rappeler que GSK fait partie du même gang que Pfizer avec lequel il a fusionné une partie de ses activités pharmaceutiques biocidaires en 2019 ? [121] C’est ce même Pfizer dont le « vaccin » mARN est en train de génocider le Peuple en Israël.

En effet, en février 2021, le biologiste Hervé Seligmann (de nationalité Israélienne-Luxembourgeoise) et l’ingénieur polytechnicien Haim Yativ (de nationalité israélienne) ont analysé les données vaccinales d’Israël dans un article publié sur le site nakim.org. Ils évoquent une seconde « Shoah » et prouvent que, depuis la vaccination mARN de Pfizer, en Israël, le taux de mortalité, attribué au CoqueVide/19, est 40 fois supérieur chez les personnes âgées et 240 fois supérieur chez les personnes jeunes. [117] [118] [119] [120]

Il serait, d’ailleurs, préférable de cesser de parler de vaccins dans le cas de Moderna et de Pfizer et de leur technologie ARNm/mRNA : il s’agit de chimères génétiques dont la fonction est de semer le chaos dans l’ADN humain. Peut-être en est-il de même, en fait, depuis les premiers vaccins industriels datant de 1875 ? Les vaccins ne sont, pour le corps humain, que des chimères génétiques dans le sens d’armes biologiques dont l’objectif est de détruire l’humanité — inexorablement. Avez-vous remarqué que Moderna (la société financée par Bill Gates et le ministère de la Défense US) porte mRNA dans on nom : modeRNA ?

Propriétés antimicrobiennes, insecticides et de phytoremédiation de Nicotiana tabacum

Une étude, de 2016, a étudié les capacités qu’ont certaines substances, sécrétées par les feuilles de diverses espèces de Nicotiana, de traiter la Maladie du pied noir du tabac provoquée par le fungus Phytophthora nicotianae — une pathologie fulgurante qui détruit, parfois, la totalité des plantations de tabac. Le sclaréol et la cis-abiénol synthase détruisaient les races 0 et 1 de Phytophthora nicotianae dans une proportion de 70 à 100 % tandis que le labdénédiol et la phylloplanine les détruisaient dans une proportion de 50 à 60 %. [2]

Une étude, de 1995, a étudié l’activité antimicrobienne des exsudats d’une vingtaine d’espèces de Nicotiana à l’encontre de l’anthracnose des cucurbitacées (Colletotrichum lagenarium). Les exsudats de Nicotiana rustica, Nicotiana acuminata, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana maritima, Nicotiana miersii, Nicotiana noctiflora, Nicotiana occidentalis et Nicotiana bigelovii bloquaient totalement la germination des conidies de Colletotrichum lagenarium. Les exsudats testés étaient le labdénédiol, le sclaréol et le duvatriénédiol. [5]

Dans les années 1980/1990, avant l’émergence du tout chimérique dans la création variétale de Tabacs industriels, les chercheurs privilégièrent les variétés de tabac produisant le diterpène duvane. En effet, ces variétés libérant, dans leurs exsudats, des alpha — et beta-duvatriénédiols (DVT-diols) et des alpha — et beta-duvatriénols (DVT-ols), étaient beaucoup plus résistantes aux attaques d’insectes prédateurs — tel que le puceron du tabac (Myzus persicae nicotianae). [6]

Nicotiana tabacum est un bio-accumulateur qui peut être utilisé pour nettoyer les sols de tous contaminants. De nombreuses études ont ainsi validé les capacités de phytoremédiation caractéristiques de cette espèce pour divers contaminants industriels et agricoles : plomb, zinc, cadmium, uranium, cuivre, nickel, cobalt, arsenic, sélénium, mercure, chromium, hydrocarbures, biphényles polychlorés… [31] [35] [36] [49]

Les scientifiques néo-darwinistes — si tant est que l’on puisse parler de science pour qualifier leurs élucubrations — adorent tourner en rond et se mordre la queue « évolutive » : ils ont, ainsi, créé des variétés chimériques (transgéniques) de Nicotiana tabacum permettant de mieux dégrader les herbicides et les métaux lourds dont sont replets (un euphémisme) les sols agricoles. [37] [39] [41] [50] Tout va bien ?

Une étude bulgare de 2018 a même prouvé que des variétés transgéniques de tabac étaient beaucoup moins performantes, en termes de phytoremédiation, lorsqu’elles étaient cultivées avec des amendements organiques, tels que du compost ou du vermicompost. [48] On vit une époque formidable !

Une étude chinoise, de 2010, a mis en exergue que la capacité de phytoremédiation du tabac était grandement augmentée lorsqu’il était cultivé en association avec le trèfle japonais (Kummerowia striata). [47]

Une étude récente réalisée en Ouganda en 2019 — et impliquant une douzaine d’espèces — a mis en exergue que Nicotiana tabacum n’est pas l’espèce la plus performante quant à l’extraction d’hydrocarbures. En effet, Nicotiana tabacum arrivait en 10e rang après Hyparrhenia rufa, Oryza longistaminata, Gossypium barbadense, Tithonia diversifolia, Sorghum arundinaceum, Medicago sativa, Zea mays, Sorghum bicolor, Abelmoschus ficulneus et avant Eleusine coracana et Capsicum annuum. [64]

Les feuilles des plantes de Nicotiana produisent, à leur surface, des toxines foliaires en concentrations élevées afin d’inhiber les moisissures bleues et les infections fongiques. Nicotiana tabacum a, également, été investigué quant à sa production de phytoalexines comme vecteur de mécanisme de défense à l’encontre des infections microbiennes.

Une étude de 2000 et une étude plus récente, de 2020, intitulée « Clinical implications of nicotine as an antimicrobial agent and immune modulator », ont mis en exergue les propriétés antimicrobiennes de la nicotine à l’encontre de Candida albicans, Cryptococcus neoformans, Mycobacterium phlei, Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, Listeria monocytogenes — ainsi qu’à l’encontre des streptocoques viridans de la cavité orale. [215] [216]

Durant ces études, la nicotine n’eut quasiment aucune activité inhibitrice à l’encontre du spirochète de la Maladie de Lyme — Borrelia burgdorferi.

Une étude de 2015 a mis en valeur l’activité antiparasitaire de la nicotine, en synergie avec le thymol, chez le bourdon Bombus impatiens, à l’encontre du parasite Crithidia bombi dans la Famille des Trypanosomatidées. [217]

Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs

Les principaux alcaloïdes pyridiniques qui caractérisent les espèces au sein du genre Nicotiana sont : la nicotine, la nornicotine, l’anabasine et l’anatabine — et, dans une très moindre mesure, la cotinine et la myosmine. Dans de très nombreuses espèces, c’est la nicotine qui constitue le principal alcaloïde. [203]

Il existe des variations considérables, entre les diverses espèces de Nicotiana, quant au contenu total en alcaloïdes et quant à la composition, en pourcentage, de ces alcaloïdes. Ainsi Nicotiana forgetiana contient 0,043 % d’alcaloïdes tandis que Nicotiana rustica sp. brasilia peut en contenir jusqu’à 5,8 %. Le ratio est ainsi de 1 à 110. [122]

Certaines sections du genre Nicotiana se caractérisent par une composition spécifique en alcaloïdes. Ainsi dans la section Noctiflorae, c’est l’anabasine qui constitue l’alcaloïde majeur (79 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles) et il en est de même pour la section Suaveolentes (34 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles).

La nicotine constitue l’un des alcaloïdes pyridiniques les plus étudiés quant à sa capacité de conférer des résistances. De par le fait qu’elle puisse impacter les récepteurs de l’acétylcholine [26] dans le système nerveux des animaux, la nicotine s’avère extrêmement toxique pour la plupart des herbivores et ce fut l’un des premiers insecticides utilisés pour tenter de contrôler les prédateurs de l’agriculture.

Dès 1690, des extraits aqueux de feuilles de tabac étaient utilisés pour lutter contre les insectes suceurs des plantes de jardins.

Quelle est la nature des « effets nicotiniques » sur les fonctions neuromusculaires et synaptiques des mammifères ? La nicotine imite, en partie, l’activité de l’acétylcholine en interagissant avec les récepteurs de l’acétylcholine de sorte qu’ils ne puissent plus distinguer ces deux substances. Les effets nicotiniques les plus puissants se manifestent sur les jonctions neuromusculaires (muscles volontaires) et autres fonctions acétylcholiniques (glandes…).

Selon la mythologie des sciences génétiques modernes, ce seraient les sous unités α4, β 2 et α7 des récepteurs nicotiniques acétylcholiniques qui participeraient aux effets d’améliorations cognitives et motrices induites par la nicotine. [171]

Chez les insectes, les effets nicotiniques s’exercent sur les ganglions du système nerveux central, car leurs jonctions neuromusculaires ne sont pas acétylcholiniques. La nicotine et l’acétylcholine induisent des stimulations à faible concentration et des stases à forte concentration. Lors de situations d’empoisonnement par la nicotine, on peut observer ces deux effets en séquence, tout d’abord des stimulations (excitation, convulsions) et, subséquemment, des blocages (paralysie) — et éventuellement, la mort.

La dose fatale, chez l’animal humain, est de 60 mg : la mort survient en l’espace de 5 à 30 minutes — la plupart du temps par paralysie respiratoire.

La nicotine est métabolisée (à 70/90 %) par le foie et elle est excrétée dans l’urine. C’est l’enzyme dénommée Cytochrome P450 2A6 qui est responsable de la transformation de la nicotine en son métabolite principal, la cotinine. [123] Le métabolisme de la nicotine et de la cotinine est plus élevé chez les femmes que chez les hommes ; plus élevé chez les femmes prenant des contraceptifs que chez les femmes n’en prenant pas ; et plus élevé chez les femmes enceintes que chez les femmes non enceintes. [124]

La cotinine s’est avérée thérapeutique, et neuro-protectrice, à l’encontre de la Maladie d’Alzheimer, de la perte de mémoire, de la démence, etc. [135] [140] [151] Sa demi-vie, d’un point de vue pharmacologique, est de 15 à 19 heures alors que celle de la nicotine est de 2 à 3 heures.

Deux autres composés des Tabacs possèdent une activité insecticide, en sus de la nicotine : la nornicotine et l’anabasine. Le taux de nicotine, par exemple, chez Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica, est de 2 à 8 %. Quant à la nornicotine, elle prédomine chez Nicotiana sylvestris.

La nicotine est soluble dans l’eau (à moins de 60 °C) ainsi que dans l’alcool, dans l’huile, dans l’éther…

Les diverses variétés de tabac contiennent de la nicotine à 95 % — du taux d’alcaloïdes. Cependant, en fonction des variétés, cette teneur en nicotine varie, généralement, de 0,3 % à 3 % — du poids sec de leurs feuilles. Il existe des variétés pouvant contenir jusqu’à 5 % et même, exceptionnellement, 7 % de nicotine.

Une étude Syrienne, de 2016, a analysé des taux de nicotine atteignant 6,7 % dans un type Virginia. [131]

Les Qualités médicinales de Nicotiana glutinosa

Elle fait partie de la section « Undulatae » au sein du genre Nicotiana. Nicotiana glutinosa possède la nornicotine comme alcaloïde majeur.

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 396), une teinture mère alcoolique de ses feuilles et fleurs est utilisée en frictions à l’encontre des rhumatismes articulaires. Une décoction de ses feuilles et fleurs fraîches est réalisée afin de baigner les jeunes enfants pour les aider à marcher ou pour laver les animaux domestiques de la gale.

Une poudre de ses fleurs et feuilles séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

Une étude, de 2019, a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glutinosa : manool, sclarène, sclaréol et oxyde de manoyl. Son résinoïde contenait 33 % de nicotine, 8 % d’α-tocophérol, 7 % de sclaréol et 7 % de tridécanone, 7 % de solanone. [8]

L’oxyde de manoyle est un précurseur de la forskoline. Il possède une activité anti-proliférative, anti-mutagénique et anti-carcinogénique. Quant à la forskoline, elle possède une activité hypotensive, spasmolytique, cardiotonique. Elle active l’adénylate cyclase — une enzyme qui accroît la combustion des graisses — et elle diminue la pression oculaire. [4]

Le sclaréol est un alcool diterpénique bicyclique très présent dans la Sauge sclarée (Salvia sclarea). Il est hautement actif à l’encontre de fungi tels que Candida albicans, Candida parapsilosis, Candida glabrata et Candida tropicalis. Il possède, également, des propriétés anti-inflammatoires et, donc, un potentiel thérapeutique dans le traitement de l’arthrite rhumatoïde. [17]

Une étude, de 2012, a mis en exergue que le sclaréol et l’enzyme cis-abiénol synthase, extraits de plants de tabac, possèdent une activité antimicrobienne à l’encontre de Ralstonia solanacearum — le vecteur du flétrissement bactérien chez les Tabacs et les Tomates. [11]

Nicotiana glutinosa est également active à l’encontre de la tique sanguine (Rhipicephalus sanguineus). [7]

Les qualités médicinales de Nicotiana glauca

Nicotiana glauca est une espèce de tabac originaire, probablement, d’Amérique du Sud. C’est un arbuste dont la hauteur varie entre 1,50 et 6 mètres. Ses fleurs, de forme tubulaire, sont de couleur jaune. Cette espèce est très tolérante des zones marginales, sèches et arides. Elle fait partie de la section « Noctiflorae » au sein du genre Nicotiana.

Elle est nommée, en Français, « tabac glauque » ou « tabac arborescent ».

Traditionnellement, Nicotiana glauca a été utilisée pour soigner les furoncles, les coupures, les enflements, les hématomes, les maux de gorge, les glandes enflées, la jaunisse, les maux de tête, les rhumatismes et les blessures.

Par exemple, dans le Grand Chaco, en Amérique latine, les Peuples Wichi utilisent, traditionnellement, cette espèce — qu’ils nomment « palán-palán » — pour ses propriétés anti-rhumatismales, anti-arthritiques, pour soigner les plaies, les brûlures, les furoncles et les abcès. Ils utilisent, également, les feuilles sèches comme cicatrisants et pour soigner les morsures de serpents et les plaies coupantes. Les feuilles fraîches s’utilisent en applications externes pour les oreillons, et comme anti-rhumatismal et anti-inflammatoire ; les feuilles en décoction s’utilisent pour traiter l’acné et les douleurs dentaires. [52]

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), ses feuilles séchées, mélangées à de la farine de blé et de l’argile, s’utilisent en cataplasmes pour résorber les hernies. Ses fleurs séchées, en cataplasmes, sont utilisées pour soigner l’asthme, les blessures infectées et les ulcères. Une décoction de ses parties aériennes est utilisée pour laver les animaux et les débarrasser de leurs parasites.

Une poudre de ses fleurs séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

L’ethnobotaniste James Duke (1929-2017), dans son ouvrage « Medicinal Plants of Latin America » (en page 481), a décliné les activités biologiques de Nicotiana glauca : hépato-protectrices, insecticides, purgatives, spasmogéniques ; ainsi que ses capacités à bloquer les fonctions respiratoires et neuromusculaires et à générer de l’hypertension.

En Californie, les Peuples Cahuila, Diegeno et Mahuna ont, traditionnellement, utilisé Nicotiana glauca pour soigner la tuberculose, les maux de gorge, les scrofules, les rhumatismes, les blessures, les hématomes, les maux d’oreilles et comme émétique.

Le Peuple Cahuila l’utilisait, également, chamaniquement : rituels de chasse, divinations, rituels de funérailles, élimination des forces maléfiques, appels à la pluie, protection des récoltes, protection des voyageurs…

Des investigations pharmacologiques récentes ont mis en exergue ses propriétés hépato-protectrices [43], anti-tumorigéniques [55] [56], antioxydantes [72]

Ce sont l’acide palmatique et la scopolétine — de par leur forte activité apoptotique — qui, chez Nicotiana glauca, induisent cette propriété anti-tumorigénique.

Nicotiana glauca possède l’anabasine comme alcaloïde majeur — à hauteur de 97 %. Ses alcaloïdes mineurs sont la nicotine, la nornicotine et l’anatabine.

Ses fleurs et ses feuilles possèdent une activité antimicrobienne — par exemple, à l’encontre d’Escherichia coli et de Staphylococcus aureus. [53]

Diverses études ont mis en exergue que cette espèce est particulièrement adaptée à la phytoremédiation. [51] [88] Les chiméristes ont même créé une variété transgénique de Nicotiana glauca qui accumulerait deux fois plus de métaux lourds que l’espèce sauvage — parce que développant un système racinaire plus abondant. [38]

Nicotiana glauca possède une forte activité insecticide à l’encontre du Charançon du Palmier (Rhynchophorus ferrugineus). [65] En Érythrée, cette espèce est utilisée, traditionnellement, comme répulsif anti-moustique — avec le basilic Ocimum forskolei. [60]

Lorsque les colonisateurs-génocideurs envahirent l’Amérique du Sud, Nicotiana glauca était déjà utilisée comme insecticide naturel afin de protéger les plantes alimentaires des insectes prédateurs.

Comme Nicotiana glauca est considérée comme étant une espèce extrêmement invasive, elle a été envisagée, en Amérique latine, pour la production de biomasse et de carburant végétal — ou nécro-carburant. [76] Elle peut produire de la biomasse avec, seulement, 200 mm d’hygrométrie — ainsi que des températures supérieures à 40 °C.

En effet, en fonction des écotypes, sa biomasse est composée : de 20 à 28 % de glucose, de 8 à 14 % d’amidon, de 30 à 45 % de cellulose, de 20 % de protéines, de 1,5 à 2 % de lignines. Certains chercheurs ont calculé une production moyenne de 9 tonnes de biomasses sèche par hectare — et donc environ 1000 litres d’éthanol par hectare. Certains écotypes, en fonction des conditions hygrométriques, peuvent produire jusqu’à 15 tonnes de biomasses sèche à l’hectare. La densité de plantation est d’environ 20 000 plantes par hectare.

Une étude tunisienne de 2019 a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glauca : l’eugénol était prépondérant, avec 59 %, suivi de nonadécane, eugényl acétate et 3-méthyltridécane. [44]

Une étude de 2019 mit en exergue que l’utilisation potentielle de Nicotiana glauca comme thérapie de substitution hormonale afin d’améliorer les symptômes de la ménopause — telles que l’ostéoporose et la sarcopénie — peut impacter l’homéostasie des muscles squelettiques et, donc, empirer ces symptômes. [46]

Les chiméristes déments ont inventé, en 2012, un hybride interspécifique transgénique entre Nicotiana glauca et Nicotiana tabacum qui ne synthétise pas d’alcaloïdes, mais qui exprime, supposément, l’hémagglutinine de la grippe A à la surface de ses feuilles… afin de confectionner des vaccins antigrippe qui soient ultra-purs ! [68]

On se demande bien pourquoi des scientifiques sont payés très chers pour inventer des vaccins végétaux ultra-purs, sur base de tabac, alors que les vaccins, actuellement sur le marché du génocide humain, sont farcis, littéralement, de tous les poisons possibles et imaginables : de la variole de vache, de l’aluminium, du hamster chimérique, de l’ADN de fœtus de poulet, de l’ADN de fœtus humain, de l’ADN de souris leucémique, des antibiotiques (Amoxiciline, Cefroxadine…) des acaricides (Cassythine), des métabolites de la morphine, du carbure de tungstène, du Viagra, des herbicides (Pachyrrhizone), des antiépileptiques (Vigabatrine et Gabapentine), un médicament anti-VIH, de l’Atovaquone, etc., etc., ad nauseam. [58]

Sans même évoquer les quelques 560 gènes, réputés pour être associés avec des formes de cancers, que l’Association Italienne Corvelva a découverts dans le vaccin tétravalent Priorix Tetra, de GSK, qui est un vaccin Rougeole-Rubéole-Oreillons-Varicelle. [58]

Chaque plante peut produire de 10 000 à 1 million de semences. Ces semences contiennent 40 % de lipides — principalement de l’acide linoléique à 75-78 % et ensuite, des acides oléique et palmatique. Un gramme de semences en contient environ 10 500.

Les semences germent à 20 °C en l’espace de 10 à 20 jours.




« La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie »

Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le14 mars 2023

[Voir aussi :
L’humanité s’organise pour contrer définitivement le dictat mondialiste (sur le MIR)
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

[Source : medias-presse.info]

Chers amis, c’est pour moi une grande joie de pouvoir vous adresser un bref message à l’occasion de la constitution du Mouvement International des Russophiles.

Le Manifeste de cette association commence par un mot qui semble avoir disparu du vocabulaire occidental : amitié. Dans ce cas, c’est l’amitié pour les Russes, partagée par tant de personnes à travers le monde, et l’amitié des Russes envers les autres peuples, dans cet esprit de fraternité qui trouve son fondement dans la reconnaissance de nous-mêmes comme enfants de l’unique Père éternel et frères en Notre Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque l’Empire Romain d’Occident perdit son rôle politique sous la pression des invasions barbares, le relais passa à Constantinople. Et lorsque l’Empire Romain d’Orient est également tombé avec la conquête de Byzance par Mehmed II, c’est Moscou qui a sauvé son héritage religieux et politique, avec ses Saints et ses Rois. La crise actuelle nous montre l’effondrement d’un Occident corrompu, dans lequel il n’y a pas de Pape Léon le Grand pour sauver son avenir, mais qui a encore un destin, s’il recouvre sa mission providentielle et reconnaît ce qui l’unit à la mission de la Russie.

Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial.

Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours [cf. https://nouveau-monde.ca/vladimir-poutine-la-russie-suspend-sa-participation-au-traite-start/], dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni [l’instrument du royaume]. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde.

Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant.

Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce  changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio.

Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste.

Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué.

Nous sommes en train de mener une bataille historique : demeurons sous le manteau de la Très Sainte Vierge, la glorieuse Nikopèia, avec l’Archange Saint Michel. La victoire appartient au Christ et à ceux qui se tiennent sous la sainte bannière de la Croix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

14 mars 2023

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

Le message vidéo de Mgr Viganò en italien




Lockdown Files : le ministre de la santé britannique Matt Hancock a fait une plaisanterie sur les puces injectées aux vaccinés

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

NDLR : les Lockdown Files continuent de faire parler d’eux. Aujourd’hui, les réseaux sociaux se sont enflammés sur la plaisanterie de l’ancien ministre de la santé britannique, Matt Hancock, au sujet des « puces injectées aux vaccinés ». Alors qu’il discutait avec le conseiller spécial pour les médias du ministère de la Santé, Damon Poole, au sujet de l’éventuel soutien de Bill Gates sur la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), Matt Hancock a suggéré en plaisantant à son interlocuteur : « Dis-lui que vu le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces, il m’en doit une ! ». Le Telegraph, qui a publié l’information, s’est empressé d’interpréter la conversation comme une blague sur la « théorie du complot » selon laquelle le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces. Cependant, la plaisanterie pourrait être comprise de façon bien moins légère, au regard des nombreuses découvertes faites sur les nanotechnologies présentes dans les injections Covid. Chacun se fera son propre avis. Dans tous les cas, on a bien compris qu’ils attendent l’approbation de Bill Gates, ce qui en soi est déjà un élément incriminant et un aveu du rôle majeur joué par Bill Gates dans la plandémie.


Publié par The Telegraph, le 5 mars 2023

Matt Hancock fait une blague sur la conspiration de Bill Gates sur le Covid

L’ancien ministre de la santé s’est moqué d’une théorie farfelue lorsqu’il a parlé d’obtenir le soutien d’un milliardaire de Microsoft.

Matt Hancock a plaisanté en disant que Bill Gates « m’en doit une » vu « le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces ».

Le secrétaire d’État à la santé de l’époque espérait obtenir l’aide du milliardaire de Microsoft, M. Gates, pour promouvoir une offre d’expertise britannique en matière d’identification des variantes de coronavirus lorsqu’il a lancé cette boutade en janvier 2021.

À l’époque, Internet était inondé d’affirmations farfelues selon lesquelles le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces microscopiques dans les bras des gens.

Certains ont suggéré que le génie du mal à l’origine de ce complot était M. Gates, qui a été l’homme le plus riche du monde.

Le 25 janvier 2021, Damon Poole, le conseiller médiatique de M. Hancock, lui a envoyé un message WhatsApp lui demandant s’il avait parlé à Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, de la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), qui offrait à d’autres pays l’expertise du Royaume-Uni pour détecter et évaluer les nouveaux variants dans le monde.

Traduction :

De nombreuses théories du complot concernant le vaccin Covid auraient été diffusées sur Internet par des médias pro-Kremlin.

Elles suggéraient notamment que M. Gates voulait implanter des dispositifs de localisation dans chaque être humain par le biais d’une vaccination de masse, et que les micropuces contenues dans les vaccins permettraient à Microsoft de « contrôler » l’ensemble de la population mondiale.

L’Union européenne a même publié de longs conseils sur la manière de persuader les gens que le complot des micropuces était une fiction.

Une autre théorie du complot populaire, qui aurait été diffusée par la Russie, était que le vaccin de l’Université d’Oxford/AstraZeneca était un « vaccin pour les singes » qui non seulement contrevenait aux droits des animaux, mais transformait également les gens en singes.

M. Gates n’a, en tout état de cause, pas soutenu le NVAP.




La journaliste Isabel Oakeshott explique sa décision d’avoir divulgué les messages WhatsApp de Matt Hancock

[Source : Anaïs Tea]

« Il me semblait qu’il n’y avait vraiment pas d’autre option que de les exposer. Pouvez-vous imaginer un journaliste digne de ce nom, ignorant de tels documents? »

Rappel des faits: Le 04 mars 2023 le Daily Telegraph a dévoilé des milliers de messages WhatsApp (+ de 100 000) mettant directement en cause Boris Johnson et son ministre de la Santé, Matt Hancock, concernant la gestion du Covid-19 au Royaume-Uni.

[Voir aussi :
Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid]

Dans certains messages divulgués, le ministre ne se cache pas avoir utilisé la peur et la culpabilité pour imposer les confinements, demande quand sera déployé le prochain variant, et déclare même que Bill Gates lui en doit une « au vu du nombre de personnes à qui il a fait injecter ses puces ».

Pas de panique ce dernier message a été fait sur le ton de la boutade selon The Telegraph
https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/05/matt-hancock-joke-bill-gates-covid-vaccine-conspiracy-theory

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/04/project-fear-covid-lockdown-files-matt-hancock-whatsapp 

https://www.telegraph.co.uk/news/lockdown-files






Quand la « sauce » ne prend pas !
Vers une dictature « parfaite » ?
Quelle alternative à une révolution pacifique ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi la dictature semble si forte, si peu ébranlée par nos années de lutte ?

Le système est parfaitement verrouillé.

  • Point d’espoir côté syndicats
    Ils sont corrompus jusqu’à la moelle et sont financés par le pouvoir. Ceux-ci n’ont pas bougé le petit doigt depuis le début de la dictature sanitaire.
    Rappelons qu’ils étaient totalement absents lors du mouvement des gilets jaunes.
    Nous les voyons faire du cirque contre la réforme des retraites afin de nous faire croire qu’ils existent et sont là pour les travailleurs.
    Défiler dans la rue, mais ne surtout pas prôner de grève générale de plus de 24 heures !
  • Point d’espoir côté politiciens en place
    Ils se reproduisent uniquement entre eux et ne veulent surtout pas voir la moindre réforme aboutir.
    La soupe est trop bonne, il faudrait être fou pour ouvrir sa gueule et prendre des risques.
    Nous en avons eu la preuve pour les politiques sanitaires votées par quasi tous les parlementaires à quelques exceptions près.
    Nous constatons la prétendue opposition actuelle avec une Nupes (officiellement de gauche) qui a permis à Macron de gagner les élections et qui refuse de voter les motions de censure du RN pour ne pas « se salir les mains ».
    Le meilleur moyen pour que rien ne change ! Des mots oui, mais surtout pas des actes.
    Nous avons bien vu quel sort était réservé à celles et ceux qui sont libres comme Martine Wonner, dénigrement, menaces, interdiction d’exercer, mise au placard médiatique et destruction de « carrière ».
    Sans le soutien d’un parti, aucune chance de dépasser le stade de maire d’une petite commune.
  • Point d’espoir côté élections
    Même en l’absence de fraude, seul un candidat adoubé par le système a une chance de remporter des élections nationales.
    Il faudrait qu’un résistant infiltre le monde du pouvoir, fasse semblant d’adhérer à leurs « valeurs » pendant des années puis, une fois élu, dévoile son vrai visage et procède à de vraies réformes.
    Dans les faits c’est généralement l’inverse qui se produit. Un candidat fait semblant d’être de notre côté et se dévoile une fois élu comme collabo.
    La 5e république est ainsi faite, donner les pleins pouvoirs à un seul homme élu au mieux avec 20 % des voix.
    Les élections et le parlement sont uniquement là pour décorer et donner l’illusion d’un peuple pouvant décider de l’avenir du pays.
    Si tel était le cas, les institutions seraient réformées et on nous demanderait notre avis comme, par exemple, la participation active de la France au conflit de l’OTAN contre la Russie.
  • Point d’espoir côté institutions comme le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel
    Ils sont censés être les gardiens de la démocratie, mais comme ceux-ci ne sont pas élus, mais nommés, ce n’est qu’un jeu de chaises musicales.
    De l’entre-soi qui se protège, se congratule et se récompense.
    Le système est désormais à ce point pourri que plus vous avez de casseroles (et donc de moyens de pression sur vous) et plus vous pourrez grimper les marches du pouvoir.
    Ce n’est plus un gouvernement et des députés, c’est Sodome et Gomorrhe.
  • Point d’espoir côté médias
    Ils ont été de tout temps pieds et poings liés, mais j’ai le sentiment que nous vivons un âge d’or.
    La totalité des médias mainstream appartiennent à trois ou quatre milliardaires qui arrosent les candidats lors des élections. L’oligarchie est au pouvoir et certainement pas les politiques.
    Politiques qui arrosent à leur tour les médias avec l’argent public, ceci afin de les museler au cas où folie leur prendrait de dire la vérité. Musellement d’autant plus efficace que les lecteurs ont disparu depuis bien longtemps et qu’ils ne vivent que grâce aux subventions ou à la générosité de gentils mécènes comme la fondation Bill Gates qui « n’attend rien » en retour comme de bien entendu.
    Ajouté à cela que la sélection des journalistes se fait plus par la plastique que par l’éthique.
    Ils sont formés, pardon, formatés comme il se doit et on leur met dans le crâne qu’ils sont des demi-dieux et le 4e pouvoir !
    Ceci afin qu’ils soient totalement inconscients d’être de vulgaires passeurs de plats relayant uniquement des dépêches AFP.
    Tout vrai journaliste terminant au chômage après une campagne de dénigrement.
    Après 3 ans de dictature sanitaire, un an de propagande sur la guerre des USA contre la Russie et des années de propagandes sur le « réchauffement climatique », le discours est EXACTEMENT le même !
  • Point d’espoir côté AFP
    D’une part parce que le Chef d’État choisit (plus ou moins directement) qui sera à la tête de l’Agence France Presse.
    Et d’autre part parce que l’État est le plus grand contributeur à son fonctionnement.
    L’AFP n’est donc que la voix de son maître et les médias reprennent uniquement les dépêches de cette même AFP sans enquêter.
    Elle est aujourd’hui la Pravda d’hier.
  • Point d’espoir côté réseaux sociaux
    Le système est merveilleusement verrouillé par les algorithmes qui grâce à notre historique de navigation, nos « j’aime » et nos commentaires, arrivent à cerner parfaitement notre profil.
    La censure que nous subissons n’est qu’un jeu pour nous distraire, nous renforcer dans notre indignation et nous détourner de la vraie censure que sont les algorithmes.
    Nos messages, nos vidéos ne sont vus QUE par nos partisans et JAMAIS par des personnes qui lisent Le Monde ou Libé.
    Elle est d’autant plus folklorique qu’elle ne nous empêche en rien d’accéder à l’information.
    Pour celles et ceux qui ont un compte Netflix avec plusieurs utilisateurs, naviguez sur un autre utilisateur et vous verrez que les propositions, les tendances, les « plus vus », n’ont strictement rien à voir avec votre profil.
    Les YouTube, Facebook, Twitter et autres nous présentent NOTRE monde et certainement pas LE monde.
    Et sur Telegram ou Whatsapp, c’est encore pire, car il faut être volontairement inscrit sur un groupe pour pouvoir accéder à l’information. Bien entendu Google participe activement au travail de désinformation en n’indexant que les pages politiquement correctes.
    Enfin des « croyants en mission pour la Sainte Ampoule » ou des trolls sont payés pour nous énerver et nous occuper afin de nous donner l’illusion que nous avons un public hétéroclite.
    Les réseaux sociaux sont donc uniquement un entre-soi qui ne pourra JAMAIS contaminer les bien pensants pour lesquels ils ne relayent que des informations mainstream.
    Ce texte aura une petite visibilité chez les complotistes et strictement aucune chez les autres.
  • Point d’espoir grâce aux vérificateurs de l’information
    Nous avons pu voir qu’un fidèle lecteur de la presse média ou des chaînes mainstream ne croisera jamais une information contraire à la doxa aussi bien en les regardant qu’en allant sur les réseaux sociaux.
    Pour autant le pouvoir en place fait tout pour les protéger de la « désinformation ».
    Il fait volontairement fuiter certains sujets afin de bien formater le lecteur et le dissuader de s’informer ailleurs.
    C’est un travail relativement délicat, car plus on parle d’un sujet et plus il devient médiatique.
    Tout questionnement devient de fait une parole « complotiste » et généralement antisémite et d’extrême droite. L’auteur jadis scientifique respecté sera devenu sénile ou disjoncté et ses pairs ne manqueront pas d’insister sur sa nouvelle « folie ».
    « Toute » la communauté scientifique le mettra aux bans et le lecteur sera dédouané du devoir de s’informer, risquant d’être contaminé par la mauvaise foi et la perversion machiavélique du déviant.
    Ainsi le risque de bascule est fort limité.
    Leur rôle est aussi de nous énerver afin de nous occuper.
  • Point d’espoir côté manifestations dans la rue
    Je mettrais un bémol, mais les manifestations anti-passe sanitaire n’ont pas permis d’aboutir à son retrait, ni même à son amendement.
    Le fidèle lecteur ou spectateur des mainstreams pouvait croire qu’il n’y avait aucune manifestation en France ou qu’il n’y avait pas foule.
    Pourtant des millions de Français, dont moi-même, se sont retrouvés dans la rue chaque samedi pendant des semaines.
    Personnellement je pense que le gouvernement nous a comptés et qu’il n’a pas rendu la vaccination obligatoire pour tout le monde en voyant que ce groupe serait difficilement contraint. Nous ne saurons jamais si c’est une demi-victoire ou un délire de ma part.
    Il faut quand même avoir l’honnêteté de reconnaître que la dictature sanitaire a continué son petit bonhomme de chemin sans opposition factuelle.

Pour résumer, force est de constater que :

  • Ni les politiques.
  • Ni l’AFP.
  • Ni les médias
  • Ni les scientifiques.
  • Ni les preuves, les études.
  • Ni les institutions.
  • Ni les syndicats.
  • Ni les élections.
  • Ni les réseaux sociaux.
  • Ni les médias alternatifs.
  • Ni les ouvrages papier, écrits, vidéos, interview.
  • Ni les manifestations dans la rue.
  • Ni les quelques rares moments de vérité dans les médias mainstream.
  • Etc.

N’ont été et ne sont de nature à faire reculer la dictature !

La dictature ne faiblit pas, bien au contraire

Il serait naïf (et dangereux) de croire que la suppression du passe vaccinal et autres interdictions seraient le fruit de nos « victoires ». Tout n’est que stratégie.

Les 3 sujets principaux de dictature sont actuellement le Covid, la guerre en Ukraine et le « réchauffement climatique ».

Covid

  • Concernant le Covid, avez-vous entendu les autorités nous dire que :
  • Le Covid n’était pas bien méchant.
  • Les masques et les confinements étaient inutiles.
  • Il existait des traitements efficaces peu onéreux.
  • Il n’y a pas eu de surmortalité chez les moins de 65 ans et que la surmortalité des autres est essentiellement le fruit des mesures interdisant les soins.
  • Les tests PCR sont une arnaque pour fabriquer une fausse pandémie.
  • La décision de suspendre les soignants et ne pas les réintégrer est purement politique et non sanitaire.
  • Les prétendus vaccins sont à la fois inefficaces et dangereux.
  • Le ministère de la Santé, l’ANSM, les ARS, l’ordre des médecins et j’en passe ont et mentent encore.

Rien de tout ceci. Bien au contraire des millions de doses sont encore commandées. On parle d’intégrer le « vaccin » Covid dans le « vaccin » contre la grippe, voir même dans les 11 « vaccins » obligatoires.

Et le VRP des labos a annoncé une campagne massive d’injection de Gardasil, vaccin prétendument prévu pour lutter contre les cancers du col de l’utérus par un prétendu papillomavirus alors qu’il est de notoriété publique que celui-ci est inefficace, dangereux et que le taux d’indice des cancers a augmenté parallèlement à son utilisation. Sans parler du traité sur les pandémies de l’OMS qui instaurerait un État mondial, policier et médical. Ce n’est pas ce que j’appellerais un recul de la dictature.

Ukraine

  • Concernant la guerre en Ukraine, avez-vous entendu les autorités nous dire que :
  • Les accords de Minsk étaient une ruse pour tromper la Russie et permettre à l’Ukraine, pardon à l’OTAN, de s’armer.
  • Des membres du gouvernement et du parlement ukrainien sont des nazis.
  • Zelensky est un pantin toxicomane mis en place par un coup d’État de la CIA.
  • Les milliards de dollars d’aide ne vont pas à l’Ukraine, mais aux marchands d’armes.
  • Les USA ont saboté Nord Stream 1 et 2.
  • Les prétendues sanctions contre la Russie ont pour unique objet de détruire l’économie européenne.
  • Etc.

Ici encore pas la moindre trace de changement de la doxa. La propagande et le mensonge sont la règle.

« Réchauffement climatique »

Concernant le réchauffement climatique, avez-vous entendu les autorités nous dire que :

  • Le changement climatique est naturel comme en l’an mille.
  • S’il y a réchauffement, c’est une bonne nouvelle pour la vie sur Terre.
  • Le CO2 est gentil et en faire un bouc émissaire permet de ne pas se pencher sur les vrais pollueurs et l’industrie chimique.
  • La transition écologique est une vaste arnaque, une chimère qui déplace la pollution, détruit notre économie et nous rend encore plus dépendants de l’étranger.
  • La fin de la voiture thermique en 2035 serait une catastrophe économique et qu’elle n’est absolument pas viable d’un point de vue technique et infrastructures.
  • Etc.

Toute parole « déviante » est immédiatement mise au ban de la société. La propagande et le mensonge ne font que croître au fil des mois. Le passe vaccinal sera bien vite remplacé par le passe carbone avec l’approbation du peuple soucieux de « sauver la planète ».

Bref même s’il existe quelques victoires individuelles (réelles) ici ou là, le fait est que les libertés ne font que diminuer, faisant passer la France de la 33e place, pas reluisante en 2019, à la 42e place en 2022.

La dictature avance tranquillement inexorablement
et notre action est donc pour l’instant un échec.

Il n’existe plus de justice française, plus de justice européenne et plus de justice internationale. La mensonge et la tricherie sont au pouvoir.

Le nombre d’éveillés ?

Vous pourriez justement me rétorquer que le nombre de personnes qui ouvrent les yeux ne fait que croître, notamment grâce aux effets secondaires des injections expérimentales.

Oui, mais ici aussi, permettez-moi de mettre un bémol. Si selon Santé Publique France, 80 % des Français auraient reçu au moins une dose (nous savons que c’est faux, mais là n’est pas l’objet de mon propos). Ils annoncent 8,5 % pour le rappel Omicron.

Soyons raisonnables, il n’est pas possible d’affirmer que plus de 70 % des Français auraient ouvert les yeux. Je vous rappelle qu’en mars 2021, lorsque les médias ont commencé à parler de passe sanitaire, le taux de vaccination était de 10 % de la population. Rien ne dit, j’aurais plutôt tendance à écrire, tout dit que si un passe sanitaire était à nouveau obligatoire pour lutter contre « le lumbago de la grenouille », les Français retourneraient en masse au piquatorium pour pouvoir continuer à aller au restaurant.

Soit ; Il y a quand même de plus en plus d’éveillés, mais ceux-ci font partie de la masse, la masse qui accepte, la masse qui obéit, la masse qui met un masque, la masse qui jette sa voiture pour en acheter une neuve, car l’ancienne n’a plus le droit de circuler.

Cette masse de suiveurs n’a jamais fait et ne fera jamais de révolutions.

Elle se contente d’être dans la norme. Et comme le pouvoir décisionnel n’est pas dans cette population, leur réveil ne pourra avoir un effet qu’à la marge !

Ne vous méprenez pas !

Même si j’affirme que nos actions n’ont pas été de nature à faire reculer la dictature de façon significative, ni même la faire reculer tout court. Nous pouvons même dire qu’elle avance à grands pas dans différents domaines.

Je n’affirme pourtant en rien que nos luttes n’ont servi à rien. Je peux même affirmer que sans elles, nous nous serions probablement effondrés par le poids de l’horreur.

Nos luttes ont permis de :

  • Ne pas nous sentir seuls à penser ainsi.
  • Découvrir des personnes formidables.
  • Accroître nos connaissances comme jamais.
  • Apporter la preuve que nous sommes le contraire de complotistes ou de fous.
  • Nous permettre d’élaborer des stratégies pour être impactés au minimum par la dictature.
  • Préparer l’avenir si le totalitarisme se mettait à vaciller.

Oui, mais alors que faire pour déstabiliser et contrecarrer la dictature ?

J’espère que la lumière viendra des USA pays qui est à l’origine de tant d’horreurs, mais où les juges ont une indépendance et un pouvoir. Le fait est que les vérités (pas toutes) finissent par sortir aux USA à la différence de la France.

Elle peut aussi venir de la Russie avec un Poutine qui dit défendre nos valeurs et qui ne sera pas lâché par les chinois qui veulent tout sauf une victoire des US. Je me reconnais largement plus dans son discours que dans celui des démocrates inclusifs qui me font penser à Sodome et Gomorrhe. Mais compter là-dessus pour sauver notre peau serait probablement fort déraisonnable.

Quelle solution ou quelles solutions ?

Le nombre de résistants, oui, mais pas uniquement. Les révolutions ne sont pas faites par la masse. Il n’en existe pas qui débutent avec le concours de 50 % du peuple.

Si l’on se réfère à Mai 68 (mon objet n’est pas de discuter du pourquoi ou de celles et ceux qui tiraient les ficelles), on constate que le mouvement a démarré avec environ 10 % des salariés en grève. Nous résistants sommes largement suffisamment nombreux.

L’unité !

Et c’est bien pour cela que le gouvernement ne cesse de nous diviser pour mieux régner. À vrai dire nous n’avons pas besoin d’eux pour nous déchirer, nous le faisons déjà très bien.
Les députés dits d’opposition nous montrent l’exemple de ce que nous ne devons pas faire.

Nous sommes français, il est donc logique que nous ne soyons pas d’accord.

Pour autant nous pourrions enfin nous accorder sur le fait
que la première des choses est de nous débarrasser
de ce gouvernement et de ce Président larbin autoritaire.

Lorsque nous en serons débarrassés pacifiquement, lorsque nous aurons changé de République, lorsque nous aurons introduit de la démocratie dans nos institutions par exemple par le RIC1. Mais surtout lorsque nous aurons rendu leur indépendance aux médias ET éduqué le peuple à la démocratie…

Nous aurons alors toute liberté de nous déchirer, mais dans un cadre réellement démocratique. Mais en attendant :

C’est soit l’union, soit la victoire des forces du mal.

Paralysie ?

Le blocage du pays est de nature à faire bouger les choses. Ici encore, même si cela a mal fini, le mouvement des gilets jaunes a vraiment fait peur à l’État profond de même que le Convoi de la Liberté au Canada.

Je n’imagine d’autres voies pacifiques pour provoquer le changement que de bloquer la machine.

Au risque de me répéter, toutes nos actions passées nous ont permis de nous protéger plus ou moins, mais ne dérangent en rien la dictature qui avance inéluctablement.

Merci
Alain Tortosa2 2 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230302-dictature-parfaite-revolutio




Comment le corona a tué Pasteur

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves RASIR

[NDLR Les liens vers des articles sur Nouveau Monde sont ajoutés]

Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie.

1) L’introuvable patient zéro

Dès l’entame de l’opération plandémique, les médias aux ordres nous l’ont répété à l’envi : les autorités sanitaires de chaque pays étaient sur pied de guerre pour retrouver les « patients zéro », c’est-à-dire leurs premiers contaminés nationaux. Le but de cette traque était bien sûr de remonter la chaîne de transmission du virus afin de stopper sa progression. Les épidémiologistes se sont donc mis en chasse pour retracer les contacts des malades et coincer le gibier, à savoir les tout premiers covidés arrivés ou infectés sur le sol national. Le hic, c’est que les chasseurs sont toujours rentrés bredouilles. En Chine, ils ne sont pas arrivés à dénicher le patient zéro malgré une longue enquête concentrée autour du marché aux animaux de Wuhan, pourtant épicentre de l’épidémie. En Italie, la piste d’un migrant chinois ou d’un touriste italien débarquant de Chine a été évoquée, mais le « coupable » n’a pas été identifié. Idem en Belgique, idem en France, idem en fait partout dans le monde. Les enquêteurs n’ont jamais réussi à remonter les filières jusqu’au cas initial, car il manquait toujours des maillons dans les chaînes de transmission. Les premiers malades ne se connaissaient pas et il n’y avait pas eu de possibilité de contact entre eux. Ça la fout un peu mal pour la théorie du virus made in China se disséminant facilement avant les masques, gestes barrières et autres confinements. Une chauve-souris ou un pangolin aurait donc pris l’avion et débarqué incognito ? Les gardiens du dogme pasteurien s’en tirent en expliquant qu’une personne sans symptômes a très bien pu refiler le virus tueur à un autre porteur qui a lui-même essaimé pendant la période d’incubation. C’est pratique, l’asymptomatologie, pour voler au secours de la virologie. Mais c’est aussi se tirer une balle dans le pied comme nous allons le voir au point suivant.

2) La prolifération des asymptomatiques

Des microbes sans malade et des malades sans microbe, ce n’est pas nouveau. Pour chaque maladie dite infectieuse, il est notoire que la présence du germe n’est pas forcément pathogène et que son absence n’empêche pas toujours le stade pathologique. Par exemple, une majorité d’entre nous héberge la bactérie Helicobacter Pylori, mais une toute petite minorité va déclencher un ulcère ou un cancer de l’estomac, tandis que l’agent bactérien n’est pas toujours retrouvé chez les ulcéreux et les cancéreux gastriques. C’est déjà une fameuse faille du narratif pasteurien faisant du micro-organisme le principal fautif. Le sida est arrivé à point nommé, car on nous a alors expliqué que les assaillants pouvaient rester cachés ou s’endormir avant d’attaquer. Avec le corona, cette pirouette n’est cependant pas valable puisque l’intrus est censé entrer par le nez, progresser vers les poumons s’il surmonte l’immunité locale et déclencher presque à coup sûr une infection respiratoire, comme le virus de la grippe. Or il s’est avéré que la proportion de covid asymptomatiques était très importante. Les estimations ont varié entre 15 et 70 % au fil du temps, mais la plus sérieuse étude sur la question a évalué le pourcentage à 40,5 %. Il y a donc plus de quatre cas sur dix qui ne sont précisément que des cas, c’est-à-dire des tests PCR positifs ne reflétant même pas un nez qui coule ou une petite toux. C’est logique puisque cette technique de dépistage génère une myriade de faux positifs et qu’elle n’a pas été inventée pour poser un diagnostic. Cet instrument a cependant été employé pour accuser le virus et c’est même le seul « témoin » de l’accusation, laquelle n’a jamais dénoncé la trop grande sensibilité du test. Grâce à la PCR et à la pullulation de contaminés non malades, on a eu l’éclatante démonstration que les fondations du paradigme pasteurien sont pour le moins branlantes. La corrélation entre virus et maladie, qui n’est déjà pas un lien de causalité, est loin d’être évidente !

3) Les soignants pas plus touchés

La théorie virale est d’autant plus bancale que le personnel soignant n’a pas été décimé par le supposé fléau infectieux. Les autorités sanitaires ont prétendu le contraire, nous ont fait applaudir les héroïques médecins et infirmières « en première ligne sur le front », mais n’ont jamais apporté la preuve que leurs troupes étaient davantage concernées par l’épidémie. En Belgique comme en France, les chiffres de décès par métier ont toujours été cachés et ce n’est que par la presse ou via des mutuelles que des cas ont sporadiquement été rapportés. Rien de statistiquement anormal. Côté belge, je n’ai pour ma part identifié qu’une dizaine de soignants dont la mort a été attribuée au covid. Et j’ai fait remarquer à l’époque que quatre d’entre eux étaient d’origine africaine, ce qui n’est pas anodin puisque les Noirs et métis vivant en Occident sont à risque de carence en vitamine D au sortir de l’hiver, les peaux foncées synthétisant moins bien cette précieuse alliée de l’immunité. À défaut de « payer un lourd tribut », les héros ont-ils davantage été exposés au virus ? Même pas ! Certaines études ont bien conclu que les professionnels du soin étaient proportionnellement plus nombreux parmi les contaminés, mais ce sont des trompe-l’œil puisque les pros se sont évidemment testés plus souvent et que la méthode PCR génère plein de faux positifs. Bien plus intéressant de ce point de vue, le test sérologique n’a montré aucune différence entre les soignants et la population générale selon une étude menée en Belgique par l’Institut Sciensano. Avec ou sans blouse blanche, les Belges ont rencontré le virus dans des proportions équivalentes. L’Institut en a déduit que les toubibs et le personnel infirmier s’étaient bien protégés, mais l’on se souviendra que ces deux corporations se plaignaient du manque d’équipements avant et durant la première vague. Pour intégrer que le récit pasteurien est mensonger, il suffit de se rappeler les temps précovidiens et les épidémies de grippe annuelle. Bien que non masqués et serrant les mains de leurs patients sans arroser les leurs de gel hydroalcoolique, les médecins de terrain n’ont jamais massivement succombé à l’influenza censée se transmettre, lui aussi, par les contacts cutanés ou les microgouttelettes en suspension dans l’air. On n’a jamais vu les rangs des généralistes être décimés par la pourtant réputée contagieuse grippe saisonnière, et ce n’est pas le corona qui a changé la donne. Allô Pasteur ?

4) Les omniprésentes comorbidités

Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Jamais cette phrase attribuée à Antoine Béchamp ou Claude Bernard et qu’aurait admise Louis Pasteur sur son lit de mort n’a été plus conforme à la réalité. Pour autant qu’il existe, le sars-cov2 a très bien révélé que son rôle était nul ou infime en regard du terrain, c’est-à-dire de la santé et de la vitalité du patient en amont de l’épisode infectieux. À Wuhan déjà et en Italie surtout, il est très vite apparu que cette grippe à corona — famille de particules impliquée, je vous le rappelle, dans 13 à 18 % des syndromes grippaux hivernaux habituels — épargnait totalement les enfants et accablait très préférentiellement les aînés porteurs de comorbidités. Selon les données italiennes observées partout ailleurs, pas moins de 94 % des « covidécédés » souffraient préalablement d’obésité, de diabète et/ou d’hypertension. Chez les 6 % restants, on pouvait encore soupçonner un cancer sous-jacent ou une autre maladie chronique non diagnostiquée. Bref, « il y avait toujours quelque chose quand on cherchait un peu », comme l’a déclaré le Dr Louis Fouché lors de sa toute première vidéo enregistrée à l’IHU de Marseille. Certes, l’anesthésiste-réanimateur s’est lui aussi farci le covid par la suite, à l’automne 2021, et « ce n’était pas rien » comme il l’a confié après sa convalescence. Comme lui, des centaines de milliers de gens pas vieux et en apparente bonne santé ont également été frappés et secoués par cette grippe à l’impact extrêmement variable : rhinite légère chez les uns et pneumonie sévère chez les autres, avec toute la palette de gravité entre ces deux pôles. Est-ce pour autant la revanche de la théorie du germe ? Pas du tout selon nous. Dans la vision qui est la nôtre, l’agent infectieux est soit endogène et produit par l’individu (théorie des microzymas), soit exogène et « téléchargé » par les patients dont l’immunité laisse à désirer. Au début, il était logique que les plus fragiles tombent les premiers. Ensuite, il n’était pas moins logique que l’infection survienne sur d’autres terrains. Comme nous l’avons maintes fois souligné, l’infectiologie classique a comme axiome que les agents infectieux les plus virulents sont aussi les moins contagieux et qu’inversement, les plus transmissibles sont aussi les plus inoffensifs. Cela s’est encore vérifié spectaculairement puisque les chiffres de mortalité se sont tassés à mesure que le covid gagnait en popularité. Autrement dit, les gens en bonne santé ont « fait » la maladie quand elle ne présentait plus guère de danger. Pourquoi l’affection en a-t-elle néanmoins affecté beaucoup ? C’est ici qu’il faut prendre en compte la médecine du Dr Hamer et bien comprendre le rôle auxiliaire des agents infectieux qui viennent participer au processus de guérison. En d’autres termes, le virus couronné s’est probablement invité chez tous ceux qui, à des degrés très divers, avaient déjà une faiblesse réclamant correction. Le surpoids, même modéré, est l’un de ces handicaps répertoriés. Les subcarences en vitamines et minéraux en sont un autre, de même que la sédentarité. Il est archiprouvé que le manque d’activité physique et le déficit micronutritionnel (en zinc et vitamine D essentiellement) sont des facteurs favorisants prépondérants de la grippe classique comme de la grippe covid. De notre point de vue, les conflits relationnels et la perte d’équilibre émotionnelle ne sont évidemment pas à négliger et ils constituent même une « comorbidité » décisive. Même s’il incarne la sérénité, Louis Fouché a quand même somatisé après avoir perdu son poste hospitalier. Bref, la théorie du terrain sort à nos yeux consolidée par ces trois années plutôt mortelles pour le modèle pasteurien.

5) Les clusters aux abonnés absents

Le grand méchant loup n’effrayant pas assez, il fallait agiter le spectre de meutes entières attaquant férocement les humains sans défense. Et comme le mot « foyer » ne permet pas de jargonner en faisant le malin à la télé, les politiciens et leurs conseillers ont sorti l’anglicisme « cluster » de leur trousse MacKinsey. Signifiant « groupe » ou « grappe », ce terme désigne les foyers épidémiques apparaissant lorsque le cruel virus se propage et contamine des individus réunis dans un même endroit. Selon le récit covidiste, tout rassemblement aurait été un terrain de jeu pour l’agent infectieux et il fallait à tout prix éviter la multiplication des clusters. Cette autre forme de modélisation mathématique s’est cependant avérée aussi foireuse que les prévisions de mortalité et les foyers de contagion n’ont pas du tout répondu aux pronostics. Certes, l’étude française Épi-Phare a mis en évidence que le lieu de travail et le foyer familial étaient le point de départ de petites flambées épidémiques. C’est facilement explicable du fait que ces deux milieux de vie sont propices aux conflits relationnels et que les personnes en présence subissent les mêmes influences environnementales. Les bars et restaurants ? Comme l’a exposé le mathématicien Vincent Pavan, le seul travail scientifique qui a servi à justifier leur fermeture était en réalité un piètre sondage truffé de manquements méthodologiques. Rien ne prouve que les bistrots et les restos soient des clusters en puissance parce qu’on y ouvre la bouche. Le plus ennuyeux pour la théorie pasteurienne, c’est que les contaminations ont complètement déserté les transports en commun. Même agglutinés dans des wagons bondés, les usagers du train ou du métro n’y auraient pas « chopé » le covid parce qu’ils étaient masqués. La bonne blague, alors que ces lieux clos sont de véritables bouillons de culture paradisiaques pour les germes de toute nature ! La preuve la plus flagrante que la hantise des clusters ne repose sur rien, c’est que les grands rassemblements de 2020, comme le salon du bâtiment en Belgique ou les fêtes de la musique en France, n’ont donné lieu à aucune vague d’infections parmi les participants. Idem en 2021 pour les raves-parties sauvages et les « boums » des jeunes Bruxellois au Bois de la Cambre. Les médias et les médecins de plateau avaient prédit le pire, mais le virus a boudé les joyeux fêtards. Cherchez l’erreur !

6) Une symptomatologie non spécifique

Un microbe pour chaque maladie, une maladie pour chaque microbe : c’est le rêve et le « business model » des plandémistes catastrophistes. Selon leur credo, chaque virus émergent va donner lieu à une pathologie particulière se distinguant par des symptômes particuliers. Avec le sars-cov2, on allait voir que le covid était du jamais vu, du parfaitement inédit ! Hélas pour les faux prophètes, les signes cliniques de la grippe classique et de la grippe covid sont tellement ressemblants qu’aujourd’hui encore, les quatre principaux (toux, fièvre, fatigue, courbatures) ne permettent pas de faire la différence. Même Bill Gates vient de reconnaître que son fléau chéri avait tout l’air d’une grippe pas bien méchante. La détresse respiratoire aiguë ? Ça peut arriver après tout refroidissement assorti de complications. La perte provisoire du goût et de l’odorat ? Elles ont sans doute été plus fréquentes, mais ce n’est pas une exclusivité covidienne. C’était aussi la première fois que des milliards de gens acceptaient de se faire farfouiller le nez avec un long coton-tige porteur de nanoparticules toxiques. Les pneumopathies atypiques ? Comme nous l’avons signalé, cette catégorie existait déjà dans la nomenclature pour désigner certaines bronchopneumonies bactériennes. Le covid a été une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les autres maladies respiratoires (3 millions d’hospitalisations chaque année en France) soudainement disparues ou en nette régression. Même les non infectieuses comme l’emphysème ou le cancer du poumon ont mystérieusement reflué ! Les troubles de la coagulation et les hypoxies silencieuses ? Ils ne sont pas non plus l’apanage du covid et peuvent être imputables à diverses intoxications, notamment au cyanure ou au mercure. Bref, on ne voit toujours pas ce qui permet d’incriminer un « nouveau corona » plus dangereux que ses cousins et que l’influenza. Comme d’habitude, ce sont les surinfections bactériennes qui ont tué et non un virus plus virulent qu’un autre. La symptomatologie du covid est d’ailleurs si peu spécifique qu’il a fallu le test PCR pour décréter qu’une nouvelle maladie avait débarqué. Trois ans plus tard, les tableaux cliniques de la grippe normale et de sa rivale coronavirale demeurent tellement similaires qu’un nouveau test de dépistage vient d’être commercialisé pour les différencier. Et le fabricant promet déjà un test trivalent permettant de faire le tri entre grippe, covid et bronchiolite. Il n’y a pas aveu plus clair que les médecins pasteuriens y perdent leur latin et que les génomes viraux ne peuvent être reliés à des symptômes spéciaux. 

7) La propagation démentie par les statistiques

C’est la grenade dernièrement dégoupillée par le statisticien Pierre Chaillot : les courbes épidémiques ne confirment absolument pas la thèse d’un virus arrivant quelque part et se propageant progressivement. Et ceci est vrai pour toutes les épidémies grippales ! Pour examiner cet argument de poids, je vous renvoie au livre récemment publié par le jeune scientifique français et à l’interview qu’il a accordée au mensuel Néosanté dans son numéro de janvier. Je l’ai déjà partagé dans ma lettre du 14 décembre, mais voici un extrait particulièrement percutant de cet entretien démystifiant : « Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays. Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Pierre Chaillot ne nie pas catégoriquement que des particules virales puissent se propager dans la population. Ce n’est pas son domaine de compétence et il ne prend pas parti dans ce débat. En revanche, son analyse statistique infirme totalement que « ce quelque chose » qui se propagerait a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Or si la maladie et la mort ne sont pas corrélées à la circulation du virus accusé, que reste-t-il de sa culpabilité ? Et au-delà, que reste-t-il du paradigme pasteurien inculpant les microbes et oubliant le terrain ? J’ai beau chercher, je ne vois rien.

8) La saisonnalité de l’infection

Pour autant qu’il existe et qu’il soit réellement émergent, le sars-cov2 fait incontestablement partie des virus dits hivernaux. Ça ne veut pas dire que ces particules roupillent en été et se réveillent aux premiers frimas, ça signifie que leur activité et leur supposée nocivité sont fonction du climat. Souvenez-vous de la première vague : elle a déferlé en mars 2020 et refluait déjà mi-avril. La seconde vague, elle, a débuté à la rentrée et a culminé en fin de saison automnale. Il est très vite apparu que le covid était une maladie saisonnière et qu’à l’instar de la grippe annuelle, elle sévissait plus ou moins sévèrement selon qu’il faisait chaud ou froid. C’est ce que des épidémiologistes compétents comme Jean-François Toussaint ou Laurent Toubiana ont rapidement expliqué en s’attirant pourtant les foudres des télétoubibs et des modélisateurs fous comme Martin Blachier. C’est aussi ce que le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement dans son bouquin : les courbes épidémiques de la virose corona ont épousé très étroitement celles des températures. Comme je l’ai relaté dans ma lettre « Coup de froid pour la doxa », ce constat est accablant pour la religion covidiste et pour la doctrine pasteurienne faisant du germe le facteur pathogène principal. Attention : l’analyse de Chaillot ne montre pas que le froid mérite à son tour d’être pointé du doigt. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher dans les conditions de vie, et notamment dans celles liées aux saisons. Et le jeune statisticien de mentionner une piste, celle de l’assèchement de l’air qui peut favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan en 2019. En début d’été 2021, la saisonnalité du covid ne semblait plus aussi évidente, car beaucoup ont contracté la maladie en juillet. On se souviendra toutefois que le printemps avait été pourri et que l’entame des vacances n’était pas non plus des plus chaleureuses. De plus, c’est en mai-juin que la première vague d’injections expérimentales s’était abattue sur les moins de 60 ans ne voulant plus manquer leurs transhumances estivales. Simple coïncidence ? Plusieurs études scientifiques, dont celle de la microbiologiste Hélène Banoun, ont suggéré que les fraîchement vaccinés étaient contagieux en excrétant soit l’ARN messager, soit leurs protéines spike, soit encore leurs anticorps facilitateurs d’infection. Cette hypothèse du « vaccine shedding » ne fait pas consensus, mais elle apporterait une explication à ce pic de juillet 2021 qui fait figure d’exception confirmant la règle, celle-ci étant que les syndromes grippaux, covid compris, frappent très préférentiellement en automne et en hiver. Si les virus détalent dès que le mercure remonte, doit-on encore en avoir peur et les juger responsables de nos maux ? Il me semble que la question induit la réponse.

9) Notre suspect l’est plus que jamais

C’est dans notre infolettre du 25 mars 2020 que nous avons lancé ce pavé dans la mare : nous tenions un suspect ! Grâce aux recherches du « journaliste citoyen » Dominique Guillet, nous avons en effet révélé la raison très probable pour laquelle l’Italie du Nord, et la Lombardie en particulier, était sévèrement frappée par la « première vague » de covid. C’est en effet dans cette région que deux mois auparavant, les autorités avaient procédé à une grande campagne de vaccination contre la méningite. Suite à une mini-épidémie ayant fait deux morts, elles avaient décidé de vacciner gratuitement toute la population vulnérable, c’est-à-dire les personnes âgées. Voilà sans doute pourquoi les séniors de Bergame ou de Brescia tombaient comme des mouches tandis que leurs homologues de Bologne ou de Turin étaient peu frappés par le fléau prétendument importé de Chine. En Lombardie, c’est parfois d’un village à l’autre que la situation sanitaire et le taux de remplissage du cimetière variaient fortement, ce qui est incompatible avec la thèse d’un virus qui se propage, mais qui se comprend aisément si le vaccin anti-méningocoque est en cause. Pour vérifier la corrélation, il suffisait de superposer la carte des décès avec celle de la couverture vaccinale, ce qui n’a pas été fait par les épidémiologistes italiens trop occupés à traquer l’introuvable patient zéro chinois. Notre suspect était d’autant plus à soupçonner qu’à Madrid, épicentre espagnol de la flambée de covid, on avait également vacciné contre la méningite à l’automne 2019. Mais n’oublions pas non plus le vaccin antigrippal ! Dans ses numéros 100 (mai 2020), 103 (septembre 2020) et 107 (janvier 2021), la revue Néosanté a pointé les effets délétères de ces injections en exposant, nombreuses sources scientifiques à l’appui, qu’elles avaient certainement fait le lit des pneumopathies atypiques attribuées au coronavirus. Certes, aucun « grand » média ni aucun gouvernement n’ont exploré cette piste. Mais ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas sérieuse. Je pense même que c’est l’inverse et que le suspect n’a pas été inquiété en raison de son évidente culpabilité. Pour notre part, nous restons en tout cas convaincus que les campagnes vaccinales contre la méningite et contre la grippe sont liées aux ravages de l’hypothétique virus couronné. En juillet dernier, des chercheurs allemands ont encore publié une étude qui confirme nos soupçons. Elle montre clairement qu’au printemps 2020, la vaccination antigrippale était le facteur de risque numéro un face à la « pandémie ». Un risque encore plus important que la carence en vitamine D !

10) L’échec des mesures sanitaires

L’innocence de la particule baptisée sars-cov2 dans l’éclosion de la pseudo-épidémie de covid est d’autant plus patente qu’aucune mesure destinée à l’endiguer n’a été efficace. Faut-il vous égrener tous les articles et travaux scientifiques que nous avons mentionnés dans nos billets durant trois ans parce qu’ils montraient l’inefficacité de la distanciation sociale, des confinements ou du port du masque ? Concernant la muselière, il y avait à un moment donné plus de 130 études attestant de sa parfaite incapacité à museler le virus, mais nous avons arrêté de les compter. Inutile de continuer à canarder l’ambulance des croyances pasteuriennes puisqu’elle est complètement hors d’usage. Histoire de l’envoyer définitivement à la casse, citons toutefois cette récente méta-analyse de la prestigieuse Collaboration Cochrane. Selon ce réseau de chercheurs indépendants, qui a analysé 78 études de qualité, il n’y a absolument aucune preuve que les bâillons buccaux permettent et ont jamais permis d’enrayer les épidémies d’infections respiratoires. Qu’ils soient chirurgicaux ou industriels, les masques ne marchent tout simplement pas. La seule règle d’hygiène qui semble avoir un modeste effet protecteur, c’est le lavage des mains. Aucune autre « barrière » physique érigée contre les présumés assaillants viraux n’a satisfait aux essais rigoureusement contrôlés. Mais a-t-on encore besoin de tester les « stratégies non pharmaceutiques » quand nous avons eu l’éclatante démonstration de leur inutilité ? Énorme caillou dans la chaussure covido-pasteurienne, la Suède a sauvegardé la vérité en ne cédant pas à la terreur. Sans fermer ses écoles, magasins ou restaurants, et sans imposer le port du masque, ce pays a pourtant échappé aux scénarios apocalyptiques qu’on lui avait prédits. Et il s’en est plutôt bien sorti en termes de mortalité par habitant. A contrario, les pays européens et les états américains qui ont été le plus loin dans le délire liberticide ont à rougir de leurs statistiques pandémiques. La Chine ? Tout en la soupçonnant de dissimuler ses morts, les experts occidentaux nous ont expliqué que ce pays devait l’endiguement du fléau infectieux à sa stricte politique « zéro covid ». Or l’année 2022 a fait crouler ce mythe puisque les confinements impitoyables n’ont pas empêché l’envol des contaminations. L’abandon de cette politique début décembre allait-il conduire à la catastrophe ? Caramba, encore raté pour les modélisateurs : les hôpitaux et cimetières chinois ont bien été débordés de mi-décembre à mi-janvier, mais pas plus qu’ailleurs. En France ou en Angleterre, les morgues et les funérariums étaient même davantage saturés, comme l’ont rapporté plusieurs médias invoquant le grand retour de la grippe influenza. Bref, on chercherait en vain un quelconque lien entre l’action d’un coronavirus létal et les décisions adoptées pour éloigner le péril viral. Leur échec magistral signe à nos yeux la cuisante déroute du paradigme pasteurien.

11) Le plantage des vaccins

Faut-il tirer sur cette autre ambulance ? Quand ils nous ont vendu le vaccin, les labos pharmafieux et leurs délégués commerciaux politiciens avaient fait miroiter que le virus allait s’arrêter de circuler. Or il est désormais allègrement prouvé que les injections géniques n’ont pas empêché leurs bénéficiaires d’être « contaminés » par l’ennemi public ni de le « transmettre » à autrui. Vaccinés ou pas à l’ARN messager, des millions d’Occidentaux ont « fait le covid » en 2021 et 2022. En évitant les formes graves ? Si cette foutaise était vraie, on aurait dû voir un « effet vaccin » dans les chiffres de mortalité. Or comme le souligne le général Delawarde dans son dernier rapport, on ne voit aucune trace d’un « miracle vaccinal » s’étant produit dans le monde depuis l’arrivée du messie en seringue. En 2021, le nombre officiel de décès covid (3,62 millions) a même été supérieur à celui de 2020 (1,83 million). Selon Dominique Delawarde, il est manifeste que les vaccins Pfizer et Moderna ont une efficacité négative puisque sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité covid 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millier d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. D’où vient ? C’est à tout le moins la preuve chiffrée que les vaccins expérimentaux occidentaux ont échoué à combattre la maladie ciblée. Les vaccins classiques ont-ils fait mieux ? On peut en douter puisque 90 % des Chinois ont reçu le vaccin développé en Chine et que cette couverture optimale n’a pas permis d’éviter de nouvelles flambées épidémiques. Il faudrait voir ce qu’il en est en Russie et à Cuba, deux autres pays « inventeurs » de vaccins anticovid, mais il serait de toute façon difficile de distinguer le ralentissement naturel de l’épidémie d’un éventuel impact des valences locales. En revanche, il y a un continent entier qui fait office de groupe témoin : vu que l’Afrique est très peu vaccinée et qu’elle reste très peu concernée par le covid, on peut rationnellement postuler qu’aucun vaccin n’était nécessaire pour affronter le cataclysme. En continuant à bien se porter sans se faire piquer, les Africains torpillent le dogme pasteurien selon lequel un nouveau virus couronné aurait pris la planète d’assaut en 2020.

12) L’immunité collective, on l’attend toujours

La vision pasteurienne des maladies infectieuses est d’autant plus révolue qu’un autre mythe fondateur venant de Pasteur s’est fracassé à l’occasion de la « crise sanitaire » : celui de l’immunité collective. Quand ils ont vu que cette protection de troupeau faisait défaut, les prélats de l’église vaccinaliste se sont vite rabattus sur le taux d’infections naturelles. Celui-ci grimpant en flèche « grâce » aux nouveaux variants, la collectivité serait bientôt immunisée par l’effet cumulé des campagnes vaccinales et de la propagation virale. Las, la réalité est encore venue démentir les modèles et le Graal de l’immunité grégaire n’a jamais été atteint. Tout le monde connaît quelqu’un qui, vaxxé ou pas, a contracté plusieurs fois la maladie. Et c’est bien normal puisque la notion de bouclier collectif est une fumisterie totale. Elle a été inventée en son temps pour expliquer la décélération progressive des épidémies et leur disparition, mais cette mythologie n’a jamais été scientifiquement validée. Les maladies infectieuses ont toujours disparu bien avant que le seuil théorique de contamination ou de vaccination pour les faire cesser ne soit atteint. Certes, le covid se singularise puisque ce stade est allègrement dépassé (selon les estimations, près de 90 % de la population auraient déjà rencontré le virus d’une manière ou d’une autre) et que des « vagues » continuent à déferler. Mais c’est justement une preuve supplémentaire que cette fable de l’immunité collective ne repose sur rien. Comme nous l’avons étayé dans un dossier de Néosanté (N° 126 d’octobre 2022), l’immunité est par nature individuelle, car elle dépend du terrain de chacun (physique, psychologique, génétique…) et non de celui du voisin. Les micro-organismes sont innocents des pathologies dont on les accuse, car le système immunitaire lui-même n’a rien à voir avec un dispositif militaire chargé de mener une guerre. Ça, c’est ce que Néosanté avait expliqué en octobre 202 dans un dossier sur « La symbiose ignorée » rédigé par le Dr Éric Ancelet. Depuis lors, le parapluie commun promis en vain se fait toujours attendre…

13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8 % selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99 % des vaccinés ont développé des anticorps, mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi a révélé qu’aux États-Unis, 84 % des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16 % des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales. Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34 % des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures, maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques). Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60 % des cas au cours de la première saison et dans 44 % des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20 % des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal, mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité, car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là ! Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan, Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade, isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat, mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée, mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient, mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter, mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel. On comprend que les censeurs ont vite réagi, car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…




Le factchecker NewsGuard est bien une entité de la CIA !

[Source : jovanovic.com du 26 au 28 février 2023]

Par Pierre Jovanovic

Je me souviens avoir reçu un email de NewsGuard à propos d’un tweet que j’avais fait sur Bill Gates, l’accusant d’être partie prenante dans les vaccins Covid ou quelque chose de ce genre, me demandant de m’expliquer. Ma réponse a été « Avec plaisir, je vous réponds, mais juste une chose, qui vous paye, vous ? »

Évidemment, Miss Newsguard France n’a pas répondu à cette question qui tapait dans le mille ! Mais cela m’a valu d’être dans le top 3 des comptes Twitter qui diffusent (selon eux) des fausses news !

Sauf qu’aujourd’hui on a la réponse : NewsGuard est payé par, restez assis :
– Pfizer
– Microsoft
– Le Département de la Défense US
– L’Association Américaine des Enseignants (AFT)
– l’Organisation Mondiale de la Santé (donc Bill Gates à nouveau)

Ces gens qui n’ont jamais été journalistes de leur vie ont été payés POUR SUPPRIMER tout site, journal, magazine, radio et TV qui donneraient des informations contraires à celle voulue par la CIA (le DoD dépend de la CIA) et Bill Gates lui-même !

Chers lecteurs, rien que pour cela je vous remercie pour votre fidélité !

« NewsGuard is a self-appointed misinformation watchdog. It seems to be just one more way Americans are not allowed to think for themselves! Co-CEOs Steven Brill and Gordon Crovitz claim it is the « librarian for the internet. »

Set up specifically to rate online journalistic integrity, Brill states NewsGuard provides services that « explain to people something about the reliability and trustworthiness and background of those who are feeding them the news. » Eric Effron is the organization’s Editorial Director »

[« NewsGuard est un chien de garde autoproclamé de la désinformation. Il semble que ce soit une façon de plus pour les Américains de ne pas penser par eux-mêmes ! Les co-PDG Steven Brill et Gordon Crovitz affirment qu’il s’agit du “bibliothécaire de l’Internet”.

Créé spécifiquement pour évaluer l’intégrité journalistique en ligne, Brill déclare que NewsGuard fournit des services qui “expliquent aux gens quelque chose sur la fiabilité, la crédibilité et les antécédents de ceux qui leur fournissent les nouvelles”. Eric Effron est le directeur éditorial de l’organisation. »]

En 2021, en pleine « pandémie » et « vaccination des populations », NewsGuard a été payé 749 387 dollars par ces entités pour délivrer des certificats de bon comportement avec une application à mettre dans son navigateur !!!!

Mieux : dès 2020 NewsGuard a signé un contrat avec… l’OMS, le DoD (lire ici le communiqué officiel) et l’Union Européenne !!!! « NewsGuard was also a signatory in 2021 to the Code of Practice on Disinformation for the European Commission. Commissioner statements from the May 2021 announcement are here: » le lien officiel.
[NewsGuard a également été signataire en 2021 du code de pratique sur la désinformation pour la Commission européenne. Les déclarations des commissaires lors de l’annonce de mai 2021 sont ici :]

Bref, cette entité pourrie a bien été mise en place pour faire de la censure sur LES EFFETS SECONDAIRES des vaccins, puisqu’ils étaient connus à l’avance ! Comme quoi, le programme de dépopulation est bien financé par Bill Gates et les États-Unis. Lire ici ZH pour le croire. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2023




Comment Bill Gates et Jeff Bezos veulent entrer dans votre cerveau

[Source : michelledastier.com]

[Illustration : Tom Oxley, PDG et fondateur de Synchron.
Ryan Lash/TED via Synchron]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

Bill Gates et Jeff Bezos sont-ils en train de doubler Neuralink, la startup concurrente fondée par Elon Musk ?

Bill Gates a rejoint ses forces avec Jeff Bezos (Amazon) en décembre 2022 pour investir au total la somme massive de 75 milliards de dollars dans Synchron.

  • La startup a l’ambition de commercialiser le premier implant cérébral permettant de communiquer avec les ordinateurs par la pensée.
  • L’originalité du Synchron Switch — en cours de tests cliniques — est qu’il se pose de manière peu invasive, via les vaisseaux sanguins.
  • La startup a déjà commencé des tests sur des humains.

Ces dernières années on a beaucoup entendu parler de Neuralink, une startup fondée par Elon Musk pour créer la première vraie interface machine implantée dans le cerveau. De quoi nous rapprocher du « rêve » (ou du cauchemar, c’est selon) de pouvoir interagir avec tout ce qui nous entoure par la pensée.

Mais alors que des histoires assez sombres de tests ratés sur des singes font surface côté Neuralink, deux autres illustres milliardaires américains s’intéressent désormais également à la question. Bill Gates (co-fondateur de Microsoft) et Jeff Bezos (patron de Amazon) ont ainsi investi 75 milliards de dollars dans une startup aux objectifs similaires, baptisée Synchron.

Synchron pourrait être la première firme à commercialiser ce type d’implant cérébral

La différence, c’est que Synchron existe depuis 2012, et était déjà l’un des noms les plus en vue de cette industrie naissante. En août 2020, la FDA, l’agence américaine du médicament, a accordé à l’implant de Synchron le label « Appareil permettant de réaliser une avancée majeure » (Breaktrough Device en anglais) — un label réservé aux avancées médicales ayant le potentiel de révolutionner le traitement de handicaps ou de maladies engageant le pronostic vital.

Synchron a en effet déjà développé un implant cérébral avec pour but initial de transformer la vie de patients atteints de paralysie et autres maladies dégénératives. Synchron représente l’un des plus grands espoirs pour les patients atteints de sclérose latérale amyotrophique, aussi appelée maladie de Charcot.

Cette maladie neurologique dégénérative se développe de manière progressive. Elle affecte un nombre croissant de cellules nerveuses dans le cerveau et la moelle épinière. Les neurones malades contrôlent les muscles volontaires qui sont utilisés pour parler, manger, marcher et respirer. La dégradation puis la mort de ces neurones entraînent une perte progressive de la capacité de la personne à contrôler ses muscles volontaires.

Il n’existe actuellement aucun traitement réel. Un implant comme celui de Synchron peut permettre de contourner des zones entières de neurones malades, et faire retrouver une certaine motricité aux patients équipés. Le Synchron Switch a déjà pu être testé in vivo sur des humains : trois patients américains et quatre supplémentaires en Australie ont bénéficié du dispositif, à date.

Bien sûr, on imagine que Bill Gates et Jeff Bezos sont également sensibles à l’argument de l’implantation non invasive via les vaisseaux sanguins… qui autoriserait sans doute plus facilement l’implantation de dispositifs semblables dans le cerveau de personnes saines, simplement dans le but de contrôler leurs ordinateur, smartphone et autres appareils électroniques par la pensée.

[Voir aussi :
https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/jeff-bezos-et-bill-gates-parient-sur-les-implants-cerebraux-avec-synchron-1889742]


MAV :… et permettre aux ordinateurs de contrôler notre pensée ? Car cela marche souvent dans les deux sens, ces « technologies » ! Jusqu’où Dieu va-t-il encore supporter que l’homme détruise sa création ? Cela a déjà commencé avec la génétique, sous prétexte, comme toujours, de le faire pour le bien de l’homme ! Et maintenant le cerveau ? Bien sûr, le contrôle du cerveau et la manipulation des pensées, cela existe depuis la nuit des temps [NDLR Peut-être pas quand même, à moins de considérer l’intervention d’entités non humaines (extraterrestres ou démoniaques, par exemple)]. Mais une transformation irréversible, tout autant que dans les manipulations génétiques ? Cela sent vraiment la fin !




Les fondations de milliardaires : un défi pour la démocratie

[Source : elucid.media]

Par Myret Zaki

L’impact planétaire des actions poursuivies par de richissimes fondations, comme Gates ou Soros, nécessite un contrôle démocratique. Sans quoi, des intérêts spécifiques pourraient phagocyter l’intérêt général. Aux États de jouer leur rôle d’ultime gardien des démocraties.

Aujourd’hui, les grandes fondations philanthropiques, créées par des milliardaires, financent de nombreux aspects de la vie des citoyens, se substituant aux fonds publics. Cette puissance exercée par des entités privées soulève d’importantes questions de responsabilité sociale, qui sont loin de recevoir l’attention nécessaire. En effet, bien que ces structures pèsent de plus en plus lourd sur le devenir de l’économie, de la santé, de la culture, de la recherche scientifique et académique, ou de l’information, elles ne rendent pas de comptes au public et ne sont pas élues démocratiquement pour assumer une telle responsabilité. Il n’existe en effet pas d’audits indépendants de leurs activités, en dehors d’instances comme la Cour des comptes en France.

Quels impacts sociaux et/ou économiques ont-elles eus à travers leurs financements ? Quelles améliorations concrètes ont-elles apportées à la société ? Quels ont été les effets indésirables pour le bien commun ou pour la démocratie ? On en sait très peu à ce sujet. Pourtant, des fondations comme celles de Bill Gates, de George Soros, ou de Louis Vuitton affectent en partie — sans partir dans des délires conspirationnistes — les informations que nous lisons, la culture que nous consommons, les médicaments que nous prenons, la recherche académique que nous étudions, ou les décisions d’instances comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Or, ces fondations philanthropiques, qu’elles soient américaines ou européennes, ne sont pas responsables devant les citoyens et contribuent selon leur bon vouloir, contrairement aux élus qui allouent des fonds publics à différents domaines d’intérêt général. Bref, les responsabilités des fondations ne sont pas à la hauteur de l’impact qu’elles exercent.

Secteur de la santé publique

Si l’on prend l’exemple de la Fondation philanthropique Bill & Melinda Gates, créée il y a 23 ans par le fondateur de Microsoft et son épouse, elle est dotée de plus de 50 milliards de dollars et représente aujourd’hui le premier donateur privé de l’OMS, avec 10 % du budget, ce qui lui confère un pouvoir démesuré sur cette agence de l’ONU. Cette dépendance excessive envers des fonds privés n’est pas sans problèmes. Elle risque d’obliger l’OMS à faire siennes les priorités de son donateur.

[Voir aussi :
Le « traité pandémique » de l’OMS mettra fin à la liberté telle que nous la connaissons et remettra les « clés du pouvoir » à son plus grand bailleur de fonds privé, M. Bill Gates
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’OMS, Bill Gates et les vaccins
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias]

L’essentiel du financement fourni par la Fondation Gates est lié aux agendas spécifiques de la fondation, comme l’explique à Swissinfo un professeur à l’Université de Georgetown, également directeur à l’OMS. Cela signifie, d’après lui, que l’OMS ne peut pas vraiment décider des priorités en matière de santé globale, et qu’elle est tributaire des priorités d’un acteur privé qui ne rend compte qu’à lui-même. Comme la Fondation Gates l’explique elle-même, il lui faut opérer des choix quant à ce qu’elle finance ; par exemple, elle se concentre sur l’éradication de la poliomyélite ou sur les questions d’immunité.

La préférence des philanthropes privés tend à aller vers des objectifs mesurables et réalisables à court terme, car cela leur permet d’afficher des résultats concrets et d’assurer une bonne réputation pour la philanthropie privée. C’est du moins l’idée exposée par Linsey McGoey, professeure de sociologie à l’Université d’Essex et auteure du livre « Il n’y a pas de cadeau gratuit : la Fondation Gates et le prix de la philanthropie » (No Such Thing as a Free Gift: The Gates Foundation and the Price of Philanthropy). En revanche, renforcer les systèmes de santé dans les pays en développement est un objectif moins aisément mesurable, plus désintéressé, au long cours, et qui se retrouve dès lors délaissé et sous-financé.

Fondation Bill et Melinda Gates, Seattle, Washington, 8 décembre 2014 — lembi — @Shutterstock

D’autres critiques ont souligné le refus de la Fondation Gates de soutenir une levée momentanée des brevets sur les vaccins anti-Covid, qui aurait permis aux pays en développement de produire des vaccins pour leur population. La Fondation favorisait ainsi la défense des intérêts du secteur pharmaceutique aux dépens de ceux du plus grand nombre, contrairement à sa vocation proclamée. Mais au final, peu de critiques se sont élevées au sein de l’OMS. Fin 2020, le New York Times a appelé cette autocensure « The Bill Chill ». On arrive au cœur du problème de gouvernance : livrer des causes publiques aux mains d’acteurs privés ne permet pas de les questionner démocratiquement, et peut difficilement garantir une protection des intérêts du plus grand nombre.

Le secteur de l’information

Dans le monde de l’information aussi, les fondations philanthropiques ont acquis un poids important. Nombre de médias ont dû se tourner vers ces institutions, faute de recettes suffisantes des lecteurs et des annonceurs. Cela soulève des risques évidents pour l’indépendance de l’information. Un journal soutenu par une fondation ne publiera pas d’enquêtes négatives sur cette dernière et sur les milliardaires qu’elle représente. Les dons ou mécénats de fondations milliardaires peuvent influencer la ligne éditoriale des médias bénéficiaires. Ce risque pour la liberté d’information n’est pas suffisamment pris en compte.

Les mêmes problèmes de gouvernance précités se posent, avec cette fois, une acuité particulière. Car l’indépendance de l’information est le pilier central des démocraties. Une saine distance doit être maintenue entre les organes d’information et les classes les plus aisées de la société, qui ont l’impact le plus important sur le monde politique, scientifique, culturel, économique et environnemental. Ce problème relève de la gouvernance des fondations. L’autonomie qui leur est laissée n’est plus adaptée à leur importance.

En France, le quotidien Libération appartient désormais à un « Fonds de dotation pour une presse indépendante », mis en place par le milliardaire Patrick Drahi. La rédaction est-elle indépendante pour autant ? La question du contrôle s’avère primordiale ici, comme l’explique Julia Cagé, économiste des médias. L’auteure a expliqué dans son ouvrage (L’information est un bien public) que ce n’est pas un fonds de dotation qui garantit, en soi, l’indépendance d’un journal, mais la gouvernance démocratique du fonds, qui doit inclure les salariés et les journalistes.

Or, dans le cas de Libération, ces derniers ne sont pas impliqués dans les prises de décision. Le fonds de dotation n’offre donc pas une garantie d’indépendance aux journalistes, pas plus que s’ils travaillaient au Washington Post, détenu en direct par le milliardaire Jeff Bezos, fondateur d’Amazon. De même, si Jeff Bezos avait créé une « fondation Bezos pour les médias », mais qu’il avait nommé lui-même tous les membres du conseil d’administration, il n’y aurait pas plus de gain en termes d’indépendance.

Le fondateur du groupe français de télécoms et de médias Altice, Patrick Drahi (G),
et le patron d’Altice France, Alain Weill (D), assistent à l’inauguration du Campus Altice à Paris,
le 9 octobre 2018 — Eric Piermont — @AFP

D’autres fondations ne rachètent pas directement des journaux, mais agissent comme des mécènes réguliers pour nombre d’entre eux. Là aussi, un positionnement de mécène permanent pour le secteur des médias ne facilite pas une couverture médiatique critique des activités de ce mécène. Citons l’exemple de l’Open Society Foundation, la fondation philanthropique du milliardaire George Soros, le spéculateur qui s’est enrichi dans les années 90 en pariant contre la Banque d’Angleterre. Sa Fondation, dotée de 20 milliards de dollars, aide de très nombreux titres à travers le monde, parfois à coup de centaines de milliers de dollars par an, en poussant, à l’intérieur des États-Unis comme partout dans le monde, une idéologie atlantiste, pro-américaine et pro-démocrate.

Parmi ses bénéficiaires, le Consortium international de journalistes d’investigation, qui a obtenu 3,2 millions de dollars de dons entre 2017 et 2021, d’après le site de l’Open Society. Un montant conséquent. Imaginons maintenant qu’une fuite des paradis fiscaux couverte par le Consortium concerne des comptes non déclarés par George Soros. Que se passera-t-il ? On voit ici la difficulté d’enquêter sans complaisance sur une entité qui fournit 3,2 millions de dollars d’aides. Entre 2016 et 2018, George Soros n’a payé aucun impôt fédéral aux États-Unis. Le site ProPublica, qui a reçu 1,45 million de dollars de dons de la Fondation Open Society entre 2017 et 2019, a certes dévoilé l’information, mais son article excusait le milliardaire en citant ses représentants, qui justifiaient le non-paiement d’impôts par des pertes financières.

Il en allait autrement de la couverture du Wall Street Journal. Peut-être parce qu’il est indépendant de Soros, le WSJ a révélé en 2017 que le milliardaire a transféré pas moins de 18 milliards de sa fortune dans ses fondations, dirigées par son fils Alexander, ce qui lui a permis de défiscaliser cet énorme montant, et de déduire 20 % de cette valeur de son revenu personnel. Moins complaisant, le journal s’étonne que personne, dans la classe politique, n’ait levé un sourcil à ce sujet. Peut-être parce que George Soros finance aussi massivement les campagnes politiques ?

Sur le site de l’Open Society, on peut constater que les donations en faveur des médias sont massives. Elles se concentrent largement sur les médias d’Europe de l’Est et jusqu’aux frontières de la Russie. Quel est l’impact de ces financements sur les contenus ? Ces financements sont-ils conditionnels à certains contenus ? Quels types de messages sont délivrés par les médias financés ? Ont-ils une ligne idéologique proche de celle de leur donateur ? Exercent-ils un impact politique sur l’opinion publique de ces pays ? Des informations transparentes à ce sujet seraient d’un intérêt public évident, car les lecteurs qui lisent ces publications n’ont pas toujours conscience des bailleurs de fonds qui sont derrière. Les fondations qui financent les médias dans de telles proportions ne peuvent se dédouaner de leur responsabilité sociale dans la formation des opinions à l’échelle planétaire, tout comme Twitter et Facebook sont aujourd’hui lourdement responsabilisés par les États.

Page d’accueil du site de l’Open Society de George Soros – Casimiro PT — @Shutterstock

Comme l’Open Society, la Fondation Bill & Melinda Gates soutient certains titres, comme le journal britannique The Guardian. En 2010, ce quotidien a lancé une rubrique « développement global » sponsorisée par la fondation. Le contenu, axé sur l’Afrique, est-il complet et indépendant ? On a pu constater en 2021 que les informations critiques liées aux activités de Bill Gates en Afrique sont absentes du journal. Fin mars 2021, le média Reporterre publie une enquête fouillée. Elle montrait comment la Fondation Gates avait mené un lobbying intensif à Bruxelles, versant 1,3 million d’euros pour exercer des pressions sur la Commission européenne, afin de déréguler les « nouveaux OGM ». Objectif : inciter l’Afrique à suivre la voie de l’UE et accepter cette nouvelle variété d’OGM, dans laquelle Bill Gates a beaucoup investi en Afrique. Sans grande surprise, l’information n’a pas été reprise par le Guardian.

En 2014, l’ONG Graina révélé que sur 3 milliards de dollars consacrés par la Fondation Gates au développement agricole en Afrique entre 2003 et 2014, seuls 4 % étaient allés directement au continent africain, dont la moitié à des organisations internationales. La part du lion, elle, aurait financé des laboratoires américains. Selon le rapport de Grain, « pas un centime de la Fondation n’est allé à des programmes de développement conduits par des agriculteurs africains, même si ces derniers fournissent toujours 90 % des semences du continent ». Certes, cette information a été reprise par le Guardian, mais c’est l’exception qui confirme la règle. Une liste des points de vue critiques sur le travail de la Fondation Gates en Afrique est fournie ici par l’ONG « U.S. right to know », et un coup d’œil rapide permet de voir que ce sont à 99 % des ONG et des médias indépendants qui font le travail critique.

Dans d’autres cas, ce sont les conflits d’intérêts qui peuvent être hautement problématiques. Ainsi, la Fondation Gates a été couverte, pendant des années, par deux chroniqueurs du New York Times, David Bornstein et Tina Rosenberg, qui avaient un conflit d’intérêts majeur : ils travaillaient en même temps pour un groupe lourdement financé par la Fondation : Solutions Journalism Network. C’est ainsi que des années durant, le NYT, un des journaux qui influencent le plus l’opinion mondiale, a publié des articles complaisants et orientés à propos des projets de la Fondation Gates.

L’idée d’un journal qui est la « voix de son maître » n’est donc pas une caricature. Dans l’absolu démocratique, le maître doit être le citoyen. Pour ce faire, la forme juridique adéquate de la propriété d’un média doit garantir son indépendance, et le capital propre du média doit être irrévocable et inaliénable, contrôlé par la rédaction. Avec les exemples de mécénat précités, les conditions d’une véritable indépendance dans le secteur de l’information ne sont pas remplies.

Le secteur de la culture

Dans le secteur de la culture, le mécénat d’entreprise s’avère souvent imbriqué avec des objectifs de marketing et d’image, mais aussi d’optimisation fiscale, qui sont devenus communs aux grandes fondations philanthropiques. Prenons l’exemple de la Fondation Louis Vuitton. L’institution parisienne a bénéficié des profits records engrangés ces dernières années par le groupe LVMH, qui ont fait de Bernard Arnault et sa famille la première fortune mondiale, devant Elon Musk. Le géant du luxe, qui détient notamment les marques Louis Vuitton, Dior, Tiffany, Moët & Chandon et Givenchy, a créé cette fondation en 2005, comme réponse à la création de la Fondation Pinault, qui possède le groupe rival Kering (Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga…).

Le PDG de LVMH Bernard Arnaud au salon VivaTech, Paris,
5 juin 2018 — Frederic Legrand — COMEO — @Shutterstock

Le musée de la Fondation Vuitton, inauguré en 2014, a coûté près de 800 millions d’euros, a révélé Marianne en 2017, soit huit fois le coût initialement estimé. Mais surtout, «grâce aux avantages fiscaux et divers tours de passe-passe, LVMH a réussi à faire payer par l’État 80 % de ce montant, soit plus de 610 millions d’euros ». Des faits confirmés en 2018 par la Cour des comptes. Bernard Arnault, qui avait proclamé sa volonté de «faire un cadeau à la France » avec ce bâtiment, l’a donc fait payer à 80 % par les Français. LVMH avait mis à profit la loi Aillagon de 2003 sur le mécénat fiscal, qui permet aux entreprises de déduire 60 % des donations de leur impôt sur les sociétés. Cela signifie que pour une somme de 10 000 € dédiée au mécénat, une entreprise ne paiera, après déduction fiscale, que 4 000 €. À cette déduction se sont ajoutées quelques astuces annexes pour réduire encore la facture fiscale de LVMH.

Relativement récent en France, l’essor du mécénat des entreprises, «bénéficie de conditions fiscales particulièrement avantageuses, au risque de soulever de légitimes interrogations quand ces opérations servent de support à de gigantesques actions de communication », écrivait Jean-Michel Tobelem, spécialiste du mécénat et professeur associé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dans les colonnes du Monde en 2014. Tout en bénéficiant d’arrangements fiscaux depuis sa création, la Fondation Louis Vuitton a rendu payantes les visites de son musée, malgré son caractère culturel relevant de l’intérêt général. Sur le site de la Fondation, l’entrée est à 16 euros le plein tarif (en hausse par rapport aux 14 euros de 2014). Un choix qui tranche même avec les grands mécènes américains, dont l’entrée aux musées est gratuite. Jean-Michel Tobelem note que la fondation Vuitton est une sorte d’émanation marketing de l’entreprise LVMH :

« C’est là le sens de la création de la fondation : forger une alliance imaginaire entre une multinationale gourmande de profits et des “actifs” capables d’apporter une précieuse valeur ajoutée à ses produits : Paris, le patrimoine, la culture et l’art de vivre à la française. »

Le groupe LVMH, qui « dispose de relais politiques et médiatiques sans équivalent en raison de l’énormité de ses dépenses publicitaires, tenait déjà à distance les discours critiques ». Avec la Fondation, un pas supplémentaire était franchi. Selon le professeur Tobelem, Bernard Arnault devenait alors « par la magie du mécénat, un protecteur admiré et désintéressé des arts et de la culture ». Or, constatait-il, « l’entreprise se situe dans une perspective d’optimisation fiscale et fait payer par l’ensemble des Français plus de la moitié du coût de la fondation ».

De même, la Fondation Cartier, admirée pour son soutien aux artistes, a reçu peu de critiques. Mais pour Tobelem, là aussi, la démarche relève d’abord d’un désir de marketing raffiné des produits du célèbre joaillier :

« L’instrumentalisation des artistes — les mêmes que l’on trouve dans tous les musées et centres d’art du monde — vise à lutter contre la banalisation de produits qui n’ont souvent d’artisanal que leur réputation. »

Quand le mécénat devient sponsoring

Les fondations françaises ont engagé 12 milliards d’euros en 2020. Elles détiennent 32 milliards d’euros d’actifs, d’après le think tank Terra Nova. Les cas précités nous permettent d’identifier deux problèmes. Premièrement, celui de la responsabilité sociale engagée lors du financement de domaines d’activité qui relèvent de l’intérêt général, comme la santé publique ou l’information. Deuxièmement, celui de la confusion entre les intérêts spécifiques de l’entreprise (marketing, optimisation fiscale) et le véritable engagement pour le bien commun. À l’occasion du rapport sur LVMH, puis dans un rapport de 2021, la Cour des comptes a souligné que la frontière devenait « de plus en plus floue entre mécénat et sponsoring ». Elle a mis en garde contre les risques de confusion entre intérêt général et intérêts privés. Les frontières sont en effet devenues ténues entre responsabilité sociale de l’entreprise (qui ne justifie pas de déduction fiscale), mécénat (qui justifie une déduction fiscale) et dépenses en vue du développement commercial.

Par ailleurs, on trouve les mêmes dirigeants aux manettes de la fondation et de l’entreprise fondatrice. Ce ne sont pas toujours des bénévoles. « Cette situation va à l’encontre du critère de la gestion désintéressée », note le rapport. À cet égard, l’une des faiblesses identifiées par Terra Nova est la tentation des fondations de se « construire une image moralement avantageuse du philanthrope ou de l’entreprise mécène, construction qui peut être jugée comme du social washing, de l’ethical washing ou du greenwashing ». Le think tank recommande principalement de favoriser une « gouvernance plurielle » des fondations, en intégrant plus systématiquement les bénéficiaires (directs, ou porteurs de projets financés par les fondations distributrices) dans les processus de sélection des projets, dans l’accompagnement, la mise en œuvre et l’évaluation.

Rendre des comptes : une impérieuse nécessité

Toutefois, une gouvernance plus inclusive ne suffit pas. La notion d’accountability (responsabilité, reddition de comptes) est encore plus centrale. Lorsque des institutions atteignent un poids et un impact comparables à celui de collectivités publiques, elles doivent être régulées comme telles. Washington et Bruxelles ont par exemple considéré que les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Instagram), bien qu’ils soient des entreprises commerciales privées, avaient pris une telle importance dans la formation de l’opinion et du débat public, qu’ils devaient être régulés comme tels et coopérer avec les autorités dans la lutte contre la désinformation. Dans chaque pays, les autorités leur ont demandé de rendre des comptes pour les contenus qu’ils hébergent et les supervisent bien au-delà de ce que prévoit la loi pour des entités de droit privé.

Selon le même modèle, et de manière encore plus justifiée, il s’agit d’établir le constat que les fondations philanthropiques, bien que ce soient des entités privées, ont un impact social majeur qui ne permet plus d’ignorer leur activité ou la laisser évoluer dans l’opacité, et qui incite à les considérer comme des entités politiquement responsables. Reconnaître cette qualité revient à mettre en place la gouvernance adéquate. Les grandes fondations philanthropiques devraient rendre des comptes, audités de manière indépendante, dans les pays où elles opèrent le plus intensément, en divulguant des rapports transparents sur les bénéficiaires de leurs aides, sur les choix opérés, sur la nature des actions menées, sur la pertinence des buts et des missions poursuivis, sous l’angle de l’intérêt général, et sur leurs impacts, tant positifs que négatifs, sur l’ensemble des bénéficiaires et des parties prenantes concernées.

C’est à cette condition que les fondations de milliardaires seront adéquatement contrôlées par des contre-pouvoirs démocratiques, qui éviteront qu’une accumulation d’intérêts spécifiques ne phagocyte l’intérêt général, par démission de l’État. Les caisses des États sont peut-être vides, mais il leur reste un dernier pouvoir, celui de réguler. Sans se faire acheter.




L’organisation mondiale de la censure

[Source : Info alternative]

Corinne Lalo est journaliste grand reporter pour la presse écrite, la radio et la télé (principalement à TF1). Elle détricote les liens entre médias, l’AFP, l’OMS & Bill Gates et évoque la censure en France. Extrait de conférence.






Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Cela n’a échappé à personne. Sous couvert de réponse à l’urgence sanitaire, les démocraties et leurs économies ont été suspendues partout sur la planète pour être remplacées par des modes de gouvernance autoritaires, secrets et de type militaire.

Progressivement, l’on a découvert un « coup d’état mondial » en cours, une prise de contrôle de la société entière par une élite globale, dont la partie visible est représentée au Forum économique de Davos. Son objectif affiché, est de « saisir l’opportunité de la pandémie pour effectuer un grand reset planétaire vers la 4ème révolution industrielle », soit une société de surveillance et de contrôle par la technologie. Une tentative de transformer l’OMS en un organe de gouvernance mondial, qui serait légitimé par le motif de l’urgence sanitaire est bien en cours.

Peut-on parler d’un nouvel ordre mondial ?

Commençons par une citation: le 23 novembre 2022, au « World Government Summit », lors du sommet du gouvernement mondial, Macron a appelé à la constitution d’un ordre mondial unique.  « Êtes-vous du côté des États-Unis ou de la Chine ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir deux ordres dans ce monde. C’est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine. Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial unique » !

Il faut donc en parler publiquement, puisque les chefs d’état ne s’en privent pas et qu’il est indispensable de dénoncer cette atteinte à la souveraineté des peuples. Le projet n’est certes pas nouveau, l’on pourrait remonter aux empires, ou plus récemment à la politique de l’après-guerre avec la mise en place des organisations internationales et les objectifs des politiques américaines et brittaniques.

Mais en ce qui concerne l’instrumentalisation du domaine de la santé comme arme de stratégie politique, c’est avec la notion de la lutte internationale contre le sida que les choses ont commencé à se mettre en place. Et d’après Robert F. Kennedy, Jr qui en a retracé l’historique dans son livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », c’est la rencontre et l’alliance entre Bill Gates et Anthony Fauci en 2010 qui a initié la stratégie de vaccination à l’échelle mondiale. D’abord avec le programme de « la décennie des vaccins », ensuite avec le Global Health Security Agenda.

La ligne de temps de l’urgence sanitaire

Lancé en novembre 2014, l’agenda de la sécurité sanitaire global (Global Health Security Agenda) a été précipité par deux facteurs: d’une part les révélations du lanceur d’alerte du CDC William Thompson qui a avoué noir sur blanc avoir commis une fraude scientifique majeure pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination. Et d’autre part, la réponse à cette nouvelle sur les réseaux sociaux qui ont été inondés de témoignages de victimes ayant subis des dommages vaccinaux.

Ces évènements qui ont provoqué une véritable panique au sein du cartel des vaccins (et des gouvernements) ont suscité l’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan ayant pour objectif de renverser les accusations et de passer à une contre-offensive pour imposer la vaccination à l’échelle planétaire. Etant donné que la plupart des démocraties avaient bétonné les principes du libre choix du patient dans leur constitution ou dans leurs lois sur la santé, l’urgence sanitaire représentait le seul moyen de faire tomber ces obstacles aux obligations vaccinales.

Au sortir de cette première réunion à la Maison Blanche à laquelle participaient l’OMS, différentes organisations onusiennes et les ministres de la santé d’environ 40 pays, la Californie, l’Italie, le Portugal (et sans doute la France) furent désignés comme pays pilotes pour tenter d’étendre les obligations vaccinales, en partant d’une campagne internationale axée sur les dangers du grand retour de la rougeole.

En 2016, lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis, le sujet fut au coeur des débats, notamment suite à la sortie du film Vaxxed qui relayait les aveux de Thompson. Trump prônait la liberté vaccinale et l’ouverture d’une enquête sur les effets secondaires présidée par Robert F. Kennedy, Jr., tandis que Clinton répétait inlassablement que « la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins sont sûrs ».

En novembre, à la veille de la victoire de Trump, Obama signa avec Bill Gates un gigantesque financement pour lancer le programme du GHSA à l’échelle planétaire. Ensuite Gates fit rapidement comprendre à Trump qu’il devait abandonner toute idée d’étudier la sûreté des vaccins.

En 2017, le débat sur la vaccination qui était particulièrement animé en France, fut complètement passé sous silence durant la campagne électorale, alors que le nouveau gouvernement devait obligatoirement se prononcer sur l’extension des obligations vaccinales. Ce fut l’année du combat des fake news et des lois de censure, prônées par l’Union européenne et adoptées par une majorité d’états membres.

L’année suivante, à Mar del Plata, le G20 décida d’investir massivement dans la préparation aux futures pandémies. Dans les semaines suivant cette réunion au sommet, l’Argentine fut le premier pays à instaurer une politique refusant l’accès aux documents administratif et à l’éducation, aux non-vaccinés. En décembre, le conseil de l’Europe vota une recommandation à l’union sur la vaccination avec l’objectif de vacciner tous les citoyens, tout au long de la vie et de lancer un programme de passeports vaccinaux à l’échelle européenne.

Début 2019, ce plan mondial de la vaccination (voir l’article « la prophétie Nexus »), et de la mise en place d’un agenda de contrôle par une surveillance à l’échelle planétaire, sous prétexte d’une urgence sanitaire, était déjà palpable .

L’on pouvait identifier des narratifs communs à tous les pays, alors qu’ils étaient clairement déconnectés de la situation épidémiologique locale. L’on retrouvait aussi les mêmes « incidents », les même phrases dans la bouche des politiques – « il est inacceptable de mourir de la rougeole » – et des propositions de lois identiques étaient votées partout, en même temps. L’on a donc assisté aux répétitions du choeur international de guignols (les chefs d’état) que la pandémie a offert au monde avec des slogans comme « aplatir la courbe », « tous ensemble », « la nouvelle norme » et « Build back better ».

Le choeur des guignols de Davos

2019, mise en place de l’agenda de la pandémie et du nouvel ordre mondial

Si, comme le prétendent aujourd’hui certains scientifiques, le virus de la pandémie était déjà en circulation dès mars 2019 (partons de l’hypothèse qu’il existe ou que son existence ait été déclarée à divers niveaux décisionnels), il a bien pu servir à accélérer la mise en place d’une série d’instruments ayant pour objectif d’opérer une prise de contrôle mondial au profit de l’élite de Davos.

[NDLR L’existence de virus pathogènes, dont celle d’un supposé SRAS-CoV-2 est de plus en plus contestée par de véritables scientifiques non inféodés à Big Pharma, dont l’équipe allemande autour du professeur Stefan Lanka.
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En juillet, l’ONU a signé un accord de coopération avec le Forum économique mondial sur la mise en place de l’agenda 2030. Cet acte constitue d’une certaine manière un aveu du fait que les chefs d’état de la planète se considèrent au service des milliardaires, plutôt qu’à celui du peuple qu’ils représentent.

A côté de cette étape politique, le 22 août, lors de la réunion annuelle des banques centrales à Jacksonhole, Blackrock a présenté le programme de réforme économique qui serait mis en oeuvre sous couvert de réponse à la pandémie. Cette opération (ea. ruiner l’économie, siphonner la trésorerie des gouvernements, imposer des emprunts exorbitants et opérer un gigantesque transfert de la manne publique aux mains des privés) a connu un coup d’accélérateur, en mars 2020, le jour de la déclaration de la crise sanitaire par le directeur de l’OMS.

Au mois d’octobre a eu lieu la grande répétition générale nommée Event 201, permettant aux différents acteurs de cette offensive en partenariat public et privé d’accorder leurs violons.

L’on pourrait encore citer toute une série d’éléments pour compléter ce tableau. Tout indique qu’en réalité, d’une certaine manière, une forme de gouvernance mondiale était déjà là. Sinon comment expliquer que 190 pays aient abandonné leurs programmes nationaux de réponse aux urgences sanitaires, pour adopter en l’espace de quelques jours un discours et des politiques identiques et inédites?

Le gouvernement mondial est déjà là, mais il cherche à se légitimer

Progressivement, l’on voit les différentes pièces du puzzle s’assembler. Dans le monde occidental, tout le monopole de la richesse est concentrée dans trois grands groupes d’investissements : Blackrock, Vanguard et State Street. A elles seules, ces compagnies et leurs principaux actionnaires peuvent imposer des politiques de gouvernance à tout le système économique, tant dans le secteur public que privé.

L’agenda durable et les politiques du FEM sont adoptées par les banques centrales et imposées aux gouvernements, parfois via l’adoption des politiques globales européennes, mais aussi dans des accords bilatéraux directs. Exit la volonté du peuple.

Petit à petit ce pouvoir invisible se dévoile, ou du moins ses exécutants. D’ailleurs, Klaus Schwab ne craint plus de se vanter publiquement d’avoir infiltré les cabinets de la majorité des gouvernements.

L’on imagine à quel point cela doit être frustrant de se dire que l’on possède tout un royaume, mais que l’on ne peut y faire exécuter sa volonté de manière directe. Il semble pourtant logique qu’une mafia mondiale aspire à se reposer en installant un système de gouvernance par la technologie, avec la possibilité constante d’en modifier les règles dans un mode de gouvernance « agile ». (c’est à dire, basé sur la persuasion qu’il existe des données « objectives » censées justifier tous les caprices de l’élite).

Le nouvel ordre mondial cherche à se rendre visible et à se légitimer, en utilisant l’urgence sanitaire pour créer un bureau de décision central et supranational au sein de l’OMS. Ces efforts se déroulent sur deux voies parallèles: la révision du Règlement sanitaire international et la négociation d’un « traité pandémies ».

[Pour soutenir Senta Depuydt,
voir sur son site]




OMS et Nouvel Ordre Mondial

[Source : anthropo-logiques.org via RI]

Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du Nouvel Ordre Mondial…

Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust), il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 — question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus — le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeur de sciences politiques américain Lance de Haven Smith…

Jean-Dominique Michel

[Mise à jour.
Voir aussi :
« Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique », selon Francis Boyle, professeur de droit
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier
et
Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS]

La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?

Par Françoise Bloch[1]

« Qui écoute un témoin le devient à son tour…
Cela reste important de délivrer un message, pas seulement pour le peuple juif, mais pour la noblesse de l’être humain »

Elie Wiesel[2]

« Aujourd’hui plus que jamais, la conception de l’être vivant comme machine est indissolublement liée au fait que nous vivons dans une société capitaliste et industrielle : elle reflète ce que les instances qui dominent la société voudraient que le vivant soit, afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. »

Bertrand Louart[3]

Préambule

Selon Hannah Arendt[4]:

« Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge — un “il” ou un “je” et non un “quelqu’un” comme le nomme si justement Kafka — que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique, mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace-temps des mortels (…). Ce petit non-espace-temps au cœur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».

J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu, mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous… en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte… pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du 20e siècle, nées des conceptions scientistes du 18e et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde… et dont une partie est déjà en place, mais qu’ils accélèrent.

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D’abord il nous faut faire un constat

De ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date[5].

Depuis l’arrivée du SRAS-CoV-2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompus ; médecins soudoyés ou menacés, voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs émissaires — les non-vaccinés — pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse — AP, Reuters, AFP — toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.

Et pour conclure :

« En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique, mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées »[6].

Après ce constat d’évidence

Fait par de nombreux chercheurs indépendants[7] et de citoyens et citoyennes éclairés, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement mûrie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens — principalement occidentaux — ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux — l’Artémisia annua par ex. — ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs[8]. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le « dispositif » ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est-à-dire l’objectif visé par ces élites mondialistes… et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certains ONG et partis politiques — essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes — des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.

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Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif — qui se veut mondial, question « d’équité », paraît-il — lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?

Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum Économique Mondial (WEF) à Davos[9] par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale[10]. Plusieurs groupes de travail — dont les membres sont cooptés — se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :

  • – élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie[11],
  • – modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
  • – amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique » (sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale[12].

Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines, mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, Eco Global Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées[13].

Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski[14] dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS[15], les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :

  • – de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
  • – d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
  • – de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
  • – de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
  • – de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
  • – d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31,35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
  • – de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
  • – de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
  • – d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe1, page 36)
  • – de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)

Quelque peu réconforté par la 4e séance[16] de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.

Francis Boyle[17] élargit le propos

Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush[18]. Récemment interviewé par « The Defender » au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février[19], il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « état totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens qu’un autre groupe de travail étudie[20] en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative)[21]. Très récemment, le Dr Mercola[22] annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête du GHSI, de son directeur — « un scientifique fou » — : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Wellcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS-CoV-2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense Advanced Research Projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.

Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États membres en mai 2023, mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.

Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi-janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents susmentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifiée en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde »[23].

Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « Le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS, car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyens) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».

Enfin, venons-en à Katherine WATT[24]

Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du 20e siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait — provisoirement — mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du 19e siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée »[25] et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) — ce que David Martin a très bien démontré[26] et contre quoi il nous mettait en garde — et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques, mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska[27]. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques[28], K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le Président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite :

“Ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire — ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs —, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est-à-dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiquesterreur et terrorisme — qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes « vaccins pharmaceutiques », mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes”.

Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1re guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi-totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout »… à l’aide d’outils technologiques[29]… dont la 5 G !

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
et
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé. » En gros, précise, K. Watt : « C’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et ladite « crise du Covid ».

Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins “prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels”, en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-CoV-2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Nanotechnologie et « vaccins »
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle “n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place”. “Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États Nations à l’OMS et à la BRI”.

Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !

Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont “les nouveaux maîtres du monde” à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales[30] dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab[31] dont les modalités furent revisitées en 2020.

En conséquence et conclusion… toujours provisoire :

Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces “préparatifs”, de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du 19e siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui “officiait” comme médecin au camp de Ravensbrück[32]) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins[33].

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019]

De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables”. De là furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale[34].

Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant ladite crise du SRAS-Cov2et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo[35] (avril1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un “égoïsme” qui fut prêté aux “non-vaccinés”, mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?]

Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence[36] — que reprend à son compte Ariane Bilheran[37] — lors d’un dernier entretien réalisé par “les Crises” en 1973[38], jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir, mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :

« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »]

Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces “fables” se transmettent ainsi de génération en génération… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne »[39] fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des Tziganes — les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés — … à 250 ans, c’est-à-dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du 19èmesiècle[40]. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées — tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire —… et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, “le pays de la Démocratie et de la Liberté[41].

De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc.), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges »c’est-à-dire les ouvriers — auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande-Bretagne… et à l’URSS, à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le “prêt-bail” (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits ». Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme, mais elles restèrent anticommunistes dans leur cœur » et racistes. De surcroît, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le 20èmesiècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de génération en génération. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !

Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture »[42] quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie[43].

Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États, mais surtout que les citoyens, les premiers concernés par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances[44]. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de laCovid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un “faire avec” tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »

Maisil serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur — même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre — on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé, mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble — de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc. — sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.

La société n’est qu’une construction imaginaire[45] : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie[46] et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale[47]. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les « soi-disant « élitesmondialistes » ignorent. Cette intelligence du cœur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.

S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff[48] montre que seul le don affronte cette question, car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération[49], c’est-à-dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possible tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article, mais qui le fut ailleurs[50].


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