Fauci et la grande arnaque du SIDA. Mise à jour

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique

Extrait:

En tant que défenseur de la santé publique, d’une science solide et d’autorités régulatrices indépendantes, libres de toute corruption et de tout lien financier avec l’industrie pharmaceutique, j’ai combattu le Dr Fauci pendant de nombreuses années. Je le connais personnellement, et l’impression que j’ai de lui est très différente de celle qu’ont mes collègues démocrates, qui l’ont d’abord connu comme la star des conférences de presse COVID télévisées de la Maison Blanche ; poli, humble, sérieux, attachant et endurant la critique sans broncher. Le Dr Fauci a joué un rôle historique en tant qu’architecte principal de la «capture des agences» – la prise de contrôle des agences de santé publique américaines par l’industrie pharmaceutique.

Hélas, l’incapacité du Dr Fauci à atteindre les objectifs de santé publique pendant la pandémie de COVID n’est pas surprenante. Elle découle d’un schéma trop classique dans lequel la santé et la sécurité publiques sont sacrifiées sur l’autel des profits pharmaceutiques et de l’intérêt personnel. Il a toujours fait primer les profits de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique. Les lecteurs de ces pages apprendront comment, en exaltant la médecine brevetée, le Dr Fauci a, toute sa longue carrière durant, régulièrement falsifié la science, trompé le peuple et les médecins, et menti sur les questions d’innocuité et d’efficacité. Cet ouvrage, qui détaille les malversations du Dr Fauci, inclut ses crimes contre les centaines d’orphelins et enfants placés, noirs et hispaniques, auxquels il a infligé des expériences médicales cruelles et mortelles. Il traite également de son rôle – avec Bill Gates – dans la transformation de centaines de milliers d’Africains en rats de laboratoire pour des essais cliniques à moindre coût de médicaments expérimentaux dangereux qui, une fois approuvés, restent financièrement hors de portée de la plupart des autochtones. Vous apprendrez comment le Dr Fauci et Gates ont transformé le continent Africain en un dépotoir de médicaments périmés, néfastes et inefficaces, dont beaucoup ont été abandonnés pour des raisons de sécurité aux États-Unis et en Europe.

Vous découvrirez comment l’étrange fascination du Dr Fauci pour les expériences dites de «gain de fonction», visant à créer des superbactéries pandémiques, ainsi que ses généreuses subventions en faveur de ces essais, rendent plausible l’éventualité ironique qu’il ait pu jouer un rôle dans le déclenchement de la pandémie mondiale – dont deux présidents américains lui ont confié la gestion. Vous découvrirez également la stratégie qu’il a appliquée pendant 20 ans pour promouvoir de fausses pandémies dans le but de promouvoir de nouveaux vaccins, de nouveaux médicaments et de faire plaisir aux entreprises pharmaceutiques. Vous découvrirez comment il a dissimulé une contamination généralisée du sang et des vaccins, ses vendettas destructrices contre les scientifiques remettant en question le paradigme pharmaceutique, son sabotage délibéré des remèdes brevetés contre les maladies infectieuses (du VIH à la COVID-19) afin de laisser la voie libre à des remèdes moins efficaces – mais plus rentables. Vous découvrirez le nombre sidérant de cadavres qui se sont accumulés dans son sillage, parce qu’il a de sang-froid accordé la priorité aux profits de Big Pharma au détriment de la santé publique. Toutes les stratégies qu’il a fait adopter contre la COVID (falsifier la science pour mettre sur le marché des médicaments dangereux et inefficaces, supprimer et saboter les traitements concurrents dont les marges bénéficiaires sont plus faibles – même si le prix à payer est de prolonger les pandémies et de perdre des milliers de vies) ont un dénominateur commun: la dévotion myope à Big Pharma. Ce livre vous montrera que Tony Fauci ne fait pas de la santé publique; c’est un homme d’affaires qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires de l’industrie pharmaceutique et élargir sa sphère d’influence. Elle fait de lui le médecin le plus puissant – et le plus despotique – de l’histoire de l’humanité. Pour certains lecteurs, arriver à cette conclusion nécessitera de franchir de nouveaux ponts. Quant à ceux qui connaissent intuitivement le vrai visage d’Anthony Fauci, ils ont seulement besoin d’avoir sous les yeux les faits éclairés et organisés.

J’ai écrit ce livre pour que vous puissiez comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.

À lire sur The Defender :

L’éditeur de «The Real Anthony Fauci » met les critiques au défi de trouver des erreurs factuelles dans le livre et appelle à un débat ouvert

Tony Lyons est avocat et président et éditeur de Skyhorse Publishing, éditeur du nouveau best-seller de Robert F. Kennedy Jr. aux USA, intitulé « The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. » Vous trouverez ci-dessous la note de l’éditeur que Lyons a écrite et qui figure à la page xii de l’édition américaine.

« Les problèmes scientifiques et moraux complexes ne sont pas résolus par la censure des opinions dissidentes, la suppression du contenu de l’internet ou la diffamation des scientifiques et des auteurs qui présentent des informations contestant les pouvoirs en place. La censure conduit plutôt à une plus grande méfiance envers les institutions gouvernementales et les grandes entreprises. Il n’y a pas d’idéologie ou de politique à souligner l’évidence : les erreurs scientifiques et les erreurs de politique publique existent – et peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Les erreurs peuvent résulter d’une analyse défectueuse, de la précipitation, de l’arrogance et parfois de la corruption. Quelle que soit la cause, les solutions proviennent d’une exploration ouverte, d’une introspection et d’un examen constant. Idéalement, la science et les politiques publiques ne sont jamais statiques. Ils sont un processus, une collaboration, un débat et un partenariat.

Si des puissants contestés par ce livre prétendent qu’il contient des informations erronées, notre réponse est simplement la suivante : Dites-nous où vous pensez que quelque chose est incorrect, présentez vos meilleurs arguments et offrez le meilleur soutien disponible pour ces arguments.

Nous encourageons et invitons le dialogue, la critique, l’engagement – et chaque suggestion sera entendue et prise en compte.

Disponible en pré-commande sur le site de l’éditeur ici.



Présentation du livre lors de la conférence de presse CHD Europe à Bruxelles le 23 janvier 2022. Avec Senta Depuydt, présidente de CHD Europe, Professeur Christian Perronne, ancien VP du Groupe consultatif européen d’experts en vaccination de l’OMS, et Marco Pietteur, directeur des éditions Marco Pietteur,


[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health [Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique], n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »

Le livre commence ainsi :

« J’ai écrit ce livre pour aider les Américains – et les citoyens du monde entier – à comprendre les fondements historiques du cataclysme affolant qui a commencé en 2020. Au cours de cette seule annus horribilis, la démocratie libérale s’est effectivement effondrée dans le monde entier. Les organismes gouvernementaux de santé publique, les patrons des réseaux sociaux et des médias d’information sur lesquels les populations idéalistes avaient cru voir les champions de la liberté, de la démocratie, des droits civils et des politiques publiques fondées sur des données fiables, ont fait collectivement volte-face pour s’attaquer directement à la liberté d’expression et aux libertés personnelles. Soudain, ces institutions qui nous inspiraient confiance ont agi de concert pour générer la peur, susciter l’obéissance, décourager la pensée critique et rassembler sept milliards de personnes dans une marche forcée vers une expérimentation de santé publique avec une nouvelle technologie mal testée et illégalement autorisée, une technologie si risquée que les fabricants ont refusé de la produire à moins que chaque gouvernement sur Terre ne les protège de toute responsabilité. […] Les objecteurs de conscience qui ont résisté à ces interventions médicales non sollicitées, expérimentales et à zéro responsabilité ont été déstabilisés, marginalisés et désignés comme boucs émissaires. Les vies et les moyens de subsistance des Américains ont été brisés par un éventail ahurissant de diktats draconiens imposés sans approbation législative et sans évaluation des risques. Sous le prétexte d’un état d’urgence, on a fermé nos entreprises, nos écoles et nos églises, on a fait des intrusions sans précédent dans la vie privée, et on a bouleversé nos relations sociales et familiales les plus précieuses. »

Kennedy n’est pas un nouveau venu dans cette effrayante dystopie. « Mes 40 ans de carrière en tant que défenseur de l’environnement et de la santé publique, écrit-il, m’ont donné une compréhension unique des mécanismes de corruption de la “capture réglementaire” (ou “captation de la réglementation”, le processus par lequel le régulateur devient redevable à l’industrie qu’il est censé réguler). » À partir du moment où il est entré dans le débat sur les vaccins en 2005, Kennedy s’est rendu compte que « le réseau profond d’enchevêtrements financiers entre Pharma et les agences de santé gouvernementales avait mis la capture réglementaire sous stéroïdes ». Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), par exemple, possèdent 57 brevets de vaccins et ont dépensé 4,9 milliards de dollars en 2019 pour acheter et distribuer des vaccins. La Food and Drug Administration (FDA) reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique. Les National Institutes of Health (NIH), avec leur budget de 42 milliards de dollars, possèdent des centaines de brevets de vaccins et profitent souvent de la vente de produits qu’ils sont censés réglementer. Les hauts fonctionnaires de ces agences reçoivent des émoluments annuels pouvant aller jusqu’à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu’ils aident à développer puis à faire approuver.

Le Dr Anthony Fauci se tient au sommet de ce Léviathan. Depuis 1968, il a occupé divers postes au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), un département clé du NIH dont il est devenu directeur en 1984. Avec un salaire annuel de 417 608 dollars, il est le mieux payé de tous les employés fédéraux, y compris le président des États-Unis. Au cours de son expérience de 50 ans en tant qu’administrateur d’une bureaucratie fédérale, il a conseillé six présidents, le Pentagone, des agences de renseignement, des gouvernements étrangers et l’OMS. Il entretient un réseau complexe d’enchevêtrements financiers qui a transformé le NIH en une filiale de Big Pharma. Puisant dans les poches profondes des fondations Clinton et Gates, il a utilisé son budget annuel de 6 milliards de dollars pour dominer et contrôler de nombreuses agences, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il peut faire et défaire des carrières, enrichir ou punir les centres de recherche universitaires, et dicter les résultats de la recherche scientifique à travers le monde, en donnant systématiquement la priorité aux bénéfices de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

Le livre de Kennedy documente la stratégie systématique de Fauci de « promouvoir de fausses pandémies afin de promouvoir de nouveaux vaccins », ainsi que sa dissimulation des catastrophes sanitaires qu’il a provoquées, ses vendettas destructrices contre les savants qui défient le paradigme pharmaceutique, et son ​​sabotage délibéré des remèdes dont les brevets ont expiré.

Mais le livre de Kennedy n’est pas la biographie d’un homme : c’est un réquisitoire contre un système irrémédiablement corrompu et prédateur, créé aux États-Unis et exporté dans le monde entier. En fin de compte, cependant, le système est fabriqué et géré par des humains, et se concentrer sur son représentant le plus emblématique permet de mieux voir en transparence l’âme qui anime cet organisme, ou plutôt cette machine infernale.

Le livre de Kennedy place la crise actuelle dans une perspective historique. Mais il ne raconte pas l’histoire chronologiquement. Il débute par un très long premier chapitre sur la gestion de la pandémie du Covid-19, puis remonte, à partir du chapitre 3, aux années 1980 et à la recherche du vaccin contre le sida, qui a été le tremplin pour le coup d’État pharmaceutique qui se déroule sous nos yeux. Dans cette recension, je me concentrerai sur l’épisode du sida, car c’est la partie la moins familière d’une histoire couvrant cinquante ans, et elle aide à donner un sens à ce qu’il se passe aujourd’hui. C’est une histoire incroyable, que j’aurais eu du mal à croire il y a à peine trois ans, mais que notre asservissement actuel rend désormais très crédible.

Kennedy mérite notre gratitude pour l’énergie et le courage qu’il met à faire éclater cette histoire au grand jour, dans un exposé clair et bien documenté. Son livre, déjà un best-seller malgré le silence prévisible de la critique (Kennedy est déjà banni de presque tous les réseaux sociaux) est destiné à devenir un jalon dans la lutte pour la Vie et la Vérité, et dans la saga héroïque des Kennedy. Le présent article ne reflète qu’une fraction de ce que l’on peut apprendre de ses 480 pages remplies de données et de références.

Au commencement

Dans les premières lignes de son livre de 2014, Thimerosal : Let the Science Speak (qui a contribuer à faire connaître le lien de cause à effet entre les vaccins contre l’hépatite B et l’explosion de l’autisme aux États-Unis), Kennedy affirmait prudemment être « pro-vaccin » et « croire que les vaccins ont sauvé la vie de centaines de millions d’humains au cours du siècle dernier. » Il ne répète pas cela dans son nouveau livre. Au contraire, il se range du côté des critiques du dogme, citant une étude réalisée en 2000 par les scientifiques du CDC et de Johns Hopkins qui a conclu : « près de 90 % de la baisse de la mortalité par infection chez les enfants américains s’est produite avant 1940, lorsque peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles. » Les principales causes de la baisse spectaculaire de 74 % de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle ont été l’amélioration de l’alimentation et l’assainissement des conditions de vie, à commencer par l’eau.

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Date d’introduction du vaccin (quand il existe) et baisse de la mortalité de six maladies
De gauche à droite et de haut en bas : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose, scarlatine, poliomyélite

Cette perspective révisionniste mais parfaitement objective explique pourquoi l’obsession de Fauci et Gates pour la vaccination a eu des impacts globaux négatifs sur la santé publique en Afrique et en Asie, en réduisant proportionnellement les flux d’aide pour l’alimentation, l’eau potable, les transports, l’hygiène et le développement économique. Gates et Fauci ont en fait détourné le programme de santé publique de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour lutter contre les maladies infectieuses.

Pour comprendre cet engouement pour les vaccins, Kennedy rappelle l’influence pionnière de la fondation Rockefeller. En 1911, après que la Cour suprême a statué que Standard Oil constituait un « monopole déraisonnable » et l’a divisé en trente-quatre sociétés, John D. Rockefeller a inauguré ce que Bill Gates appellera plus tard le « philanthro-capitalisme ». Il a accordé d’importantes subventions pour la synthèse et le brevetage de molécules chimiques. La fondation a fourni près de la moitié du budget initial de l’Organisation de la santé de la Société des Nations en 1922, et de son personnel. Elle a imprégné la Ligue de sa philosophie médicale technocratique, dont héritera l’OMS en 1948.

La fondation Rockefeller lança un « partenariat public-privé » appelé l’International Health Commission, qui commença par inoculer les populations des tropiques avec un vaccin contre la fièvre jaune. Au moment où John D. Rockefeller Jr. l’a dissoute en 1951, la Commission avait dépensé des milliards de dollars pour des campagnes contre les maladies tropicales dans près de 100 pays et colonies. Ces projets avaient un agenda caché, selon un rapport de 2017, U.S. Philanthrocapitalism and the Global Health Agenda : ils permirent à la famille Rockefeller d’ouvrir les marchés du monde émergeant pour le pétrole, l’exploitation minière, la banque et d’autres commerces rentables.

Dans les années 1970, le potentiel financier des produits pharmaceutiques eux-mêmes a explosé lorsque,

« une vague de nouvelles technologies, y compris les tests PCR et les microscopes électroniques super puissants, ouvrirent des fenêtres sur de nouveaux mondes grouillants contenant des millions d’espèces de virus auparavant inconnus des scientifiques. […] L’attrait de la gloire et de la fortune déclencha une révolution chaotique en virologie, tandis que de jeunes docteurs ambitieux s’efforçaient d’inculper les microbes nouvellement découverts comme étant la cause d’anciennes maladies. […] Sous cette nouvelle rubrique, chaque percée théorique, chaque découverte devenait potentiellement la base d’une nouvelle génération de médicaments. »

Au milieu des années 1970, le CDC cherchait à justifier son existence en traquant les clusters de rage. Entretenir la peur d’une pandémie était un moyen naturel pour les bureaucrates du NIAID et du CDC de justifier la pertinence de leurs agences. Le patron immédiat du Dr Fauci et son prédécesseur en tant que directeur du NIAID, Richard M. Krause, aida à lancer cette nouvelle stratégie en 1976. Cette année-là a été concoctée la fausse épidémie de grippe porcine. Le vaccin expérimental posait tant de problèmes que les Health and Human Services (HHS) l’ont retiré après avoir vacciné 49 millions d’Américains. Selon les articles de presse, l’incidence de la grippe était sept fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. De plus, le vaccin a causé quelque 500 cas de maladie nerveuse dégénérative du syndrome de Guillain-Barré, 32 décès, plus de 400 paralysies et jusqu’à 4 000 autres effets indésirables. Les victimes ont déposé 1 604 plaintes. En avril 1985, le gouvernement avait versé 83 233 714 dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars pour traiter et résoudre ces plaintes.

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Le président Ford montre l’exemple le 14 octobre 1976

Un autre scandale éclata en 1983, lorsqu’une étude de l’UCLA financée par le NIH révéla que le vaccin DTP développé par Wyeth – maintenant Pfizer – tuait ou causait de graves lésions cérébrales, et parfois la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, le vaccin DTC ruinait leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large éventail d’autres infections mortelles.

Les poursuites qui en ont résulté ont provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et ont menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth se plaignait de perdre 20 dollars en dommages et intérêts pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 la National Childhood Vaccine Injury Act, qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité légale. Cette incitation à la cupidité sans restriction sera renforcée en 2005 par une nouvelle loi signée par George W. Bush, le Public Readiness and Emergency Preparedness Act.

Le sida et l’AZT

En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

« Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

« De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

L’Afrique est une terre promise pour les groupes pharmaceutiques à la recherche de gouvernements coopératifs et de populations illettrées. Les coûts pour des essais y sont très bas, et la surveillance des médias est plutôt laxiste. Au début des années 1990, certains dictateurs africains ont déroulé le tapis rouge pour Big Pharma. Et le 29 janvier 2003, le président George W. Bush a annoncé lors de son discours sur l’état de l’Union son Plan d’urgence pour la lutte contre le sida (PEPFAR), demandant au Congrès « d’engager 15 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, dont près de 10 milliards de dollars d’argent frais, pour renverser la tendance contre le sida dans les pays les plus touchés d’Afrique et des Caraïbes. »

Le VIH cause-t-il le sida ?

Kennedy commence son chapitre 5, « The HIV Heresies », par cette note :

« J’ai hésité à inclure ce chapitre parce que toute remise en question de l’orthodoxie selon laquelle le VIH est la seule cause du sida reste une hérésie impardonnable, voire dangereuse, face au cartel médical régnant et à ses alliés médiatiques. Mais on ne peut pas écrire un livre complet sur Tony Fauci sans aborder la controverse scientifique interminable – et fascinante – sur ce qu’il qualifie de sa “plus grande réussite” et “l’œuvre de sa vie”. »

La controverse illustre comment les industries pharmaceutiques et les agences de santé, agissant de concert, forgent un consensus sur des théories incomplètes ou frauduleuses et répriment impitoyablement la dissidence même lorsqu’elle vient de savants mondialement reconnus. « Dès le départ, insiste Kennedy, je tiens à préciser que je ne prends aucune position sur la relation entre le VIH et le sida. » Cependant, il affirme :

« Au cours des trente-six ans depuis que le Dr Fauci et son collègue, le Dr Robert Gallo, ont affirmé pour la première fois que le VIH est la seule cause du sida, personne n’a été en mesure de citer une seule étude qui démontre leur hypothèse par des preuves scientifiques valides. […] Même aujourd’hui, l’incohérence, les lacunes dans les connaissances, et les contradictions continuent de jeter le doute sur le dogme officiel. »

La façon dont s’est imposé le dogme du VIH-sida illustre « les tactiques que le Dr Fauci a mises au point pour esquiver le débat, éblouir et embobiner la presse pour qu’elle évite toute enquête sur le credo, et dénigrer, intimider, punir, marginaliser et museler les critiques. » L’une des victimes de Fauci a été le Dr Peter Duesberg, qui en 1987 était encore reconnu comme le rétrovirologue le plus accompli au monde. Duesberg soutient que le VIH ne cause pas le sida, mais est essentiellement un « passager clandestin » commun aux populations à haut risque qui souffrent de suppression immunitaire en raison d’expositions environnementales. Le VIH, dit-il, est un virus passager inoffensif qui a presque certainement coexisté chez l’homme pendant des milliers de générations sans causer de maladie. Alors que le VIH peut être sexuellement transmissible, prétend Duesberg, le sida ne l’est pas.

Duesberg a publié ses opinions dans un article retentissant de 1987, puis dans un livre de 724 pages, L’Invention du virus du SIDA. Kennedy trouve les raisonnements de Duesberg « si clairs, si élégamment conçus et si convaincants qu’en les lisant, il semble impossible que l’ensemble de l’hypothèse orthodoxe ne s’effondre instantanément sous le poids étouffant d’une logique implacable. » Mais Fauci et Gallo n’ont jamais tenté de répondre à Duesberg. Blâmer le sida sur un virus était le pari qui avait permis au NIAID de s’approprier la responsabilité et les crédits pour la recherche sur le sida, auxquels auraient pu prétendre autrement le NCI, et Duesberg fut sévèrement puni pour avoir mis ce plan en danger.

« Le Dr Fauci a convoqué l’ensemble du haut clergé de son orthodoxie du VIH – ainsi que tous ses prêtres et même les enfants de chœur – pour déclencher une tempête de représailles féroces contre le virologue et ses partisans. […] L’establishment du sida, jusqu’à son plus humble médecin, a publiquement vilipendé Duesberg, le NIH lui a supprimé ses crédits, et le monde universitaire a ostracisé et exilé ce brillant professeur de Berkeley. La presse scientifique l’a pratiquement banni. Il est devenu radioactif. »

Étonnamment, cependant, le Dr Luc Montagnier, dont Gallo avait volé la découverte du VIH – comme il le reconnut en 1991 après des années de –, s’est rallié à la thèse de Duesberg, déclarant à la Conférence internationale sur le sida de San Francisco en juin 1990, que « le virus VIH est inoffensif et passif, un virus bénin. » Il a ajouté que, selon ses découvertes, le VIH ne devient dangereux qu’en présence d’un d’une bactérie de type mycoplasme. Montagnier, d’ailleurs, n’avait jamais prétendu que le VIH était le seul facteur du sida, et devint de plus en plus sceptique à l’égard de cette théorie. Sa remise en cause répétée du paradigme fétiche de l’establishment a marqué le début d’une campagne de dénigrement, dont son prix Nobel de médecine reçu en 2008 l’a néanmoins relativement protégé.

La « preuve » de Gallo que la cause du sida était un virus, par opposition à des expositions toxiques, avait fourni à Fauci la pierre angulaire de la carrière, lui permettant de prendre les commandes de la politique de lutte contre le sida, et de faire du NIAID le principal partenaire fédéral de l’industrie de la production de médicaments. Cela explique pourquoi Fauci n’a jamais financé aucune étude pour déterminer si le VIH causait réellement le sida et prit des mesures préventives vigoureuses contre toute étude de ce type.

Kennedy cite d’autres voix dissidentes sur l’épidémiologie du sida. Le Dr Shyh-Ching Lo, chercheur en chef chargé des programmes de lutte contre le sida pour l’Institut de pathologie des forces armées (Armed Forces Institute of Pathology), était choqué par l’affirmation d’Anthony Fauci selon laquelle les anticorps, qui normalement indiquent une réponse immunitaire robuste, devraient, avec le VIH, être le signal d’une mort imminente. Puisque les « tests VIH » ne détectent pas en réalité le virus insaisissable mais seulement les anticorps qui sont censés le combattre, n’a-t-on pas ici une inversion orwellienne, où la preuve de santé devient preuve de maladie ? Kennedy cite également le Dr David Rasnick, un biochimiste qui a travaillé pendant trente ans dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique :

« La confusion fondamentale de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le sida sur la base de la présence d’anticorps anti-VIH. Avec toutes les autres maladies, la présence d’anticorps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le sida, Fauci et Gallo, et maintenant Gates, prétendent que c’est le signe que vous êtes sur le point de mourir. Réfléchissez : si l’objectif d’un vaccin contre le sida est de stimuler la production d’anticorps, alors le succès du vaccin signifierait que chaque personne vaccinée se retrouverait nécessairement avec un diagnostic de sida. C’est un sujet de comédie. Autant donner aux Pieds nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars ! »

La nature du sida est elle-même sujette à questions, puisqu’il a été défini comme un « syndrome » englobant une galaxie d’une trentaine de maladies distinctes bien connues, qui surviennent toutes chez des individus qui n’ont pas d’infection VIH. « Entre les mains des IP opportunistes du Dr Fauci, le sida est devenu une maladie amorphe sujette à des définitions en constante évolution, englobant une multitude de maladies anciennes chez des hôtes dont le test de dépistage du VIH est positif. » Le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, a souligné que ces tests étaient capables de trouver des signaux VIH dans de larges segments de la population qui ne souffraient pas de symptômes du sida. D’un autre côté, le sida peut survenir chez les personnes dont le test de dépistage du VIH est négatif, comme Geoffrey Cowley l’a documenté dans un article de Newsweek de 1992, suivi de Steve Heimoff dans le Los Angeles Times. Les tests étaient d’ailleurs si relatifs et arbitraires que vous pouviez ne plus être infecté par le VIH en traversant simplement la frontière des USA vers le Canada, par exemple.

Ces incohérences n’étaient pas un problème pour Fauci et son armée de mercenaires pharmaceutiques. Bien au contraire : elles ont ouvert la manne africaine du sida. Des chercheurs financés par Fauci, utilisant des tests PCR et des modèles statistiques obscurs, ont déclaré que jusqu’à 30 millions d’Africains souffraient du SIDA, soit près de la moitié de la population adulte dans certains pays. Alors que dans les pays occidentaux, le sida continuait d’être une maladie de toxicomanes et de consommateurs de poppers adeptes de la sodomie (signalons que ces poppers étaient brevetés par Burroughs Wellcome qui en faisait la publicité dans la presse gay), mystérieusement, en Afrique, 59 % des cas de sida étaient des femmes et 85 % étaient des hétérosexuels. S’agissait-il vraiment de la même chose ? Et d’ailleurs, on nous annonçait une hécatombe qui ne s’est jamais manifestée, la population africaine continuant d’augmenter exponentiellement.

Parallèlement, en Occident, le caractère du sida a radicalement changé au début des années 90 avec la mise sur le marché de l’AZT. Lorsqu’ils ont commencé à administrer de l’AZT à des personnes qui n’étaient même pas malades mais simplement positives au test de dépistage du VIH, le sida s’est mis à ressembler de plus en plus à un empoisonnement à l’AZT. Et le taux de mortalité a grimpé en flèche. Selon les Duesbergiens, la grande majorité des « décès dus au sida » après 1987 étaient en fait dus à l’AZT. Il semblerait que le médicament prescrit par le Dr Fauci pour traiter les patients atteints du sida faisait en réalité ce que le virus ne pouvait pas faire : il causait le sida lui-même. En 1988, la durée de survie moyenne des patients sous AZT était de quatre mois. En 1997, reconnaissant l’effet mortel de l’AZT, les responsables de la santé ont réduit la dose de prescription ; la durée de vie moyenne des patients sous AZT est alors passée à vingt-quatre mois. Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA ».

Conclusion

En juillet 2019, le Dr Fauci a fait une annonce surprise : il disposait enfin d’un vaccin fonctionnel contre le VIH. C’était potentiellement le « clou dans le cercueil » de l’épidémie. Il admit que son nouveau vaccin n’empêchait pas la transmission du sida, mais prédit que ceux qui recevraient le vaccin découvriraient que lorsqu’ils contracteraient le sida, les symptômes seraient considérablement réduits. Kennedy commente :

« Le Dr Fauci était si confiant dans la crédulité servile des médias qu’il supposa, à juste titre, qu’il n’aurait jamais besoin de répondre aux nombreuses questions soulevées par ce charabia fiévreux. Toute cette proposition étrange n’a reçu aucun commentaire critique dans la presse. La réussite de son stratagème consistant à mettre du rouge à lèvres sur son âne pour le vendre en tant que pur-sang l’a sans doute enhardi dans sa ruse, un an plus tard, à faire passer pour un vaccin contre le covid un produit qui n’empêche ni la maladie ni sa transmission. »

En 2019, la corde du sida a commencé à s’user. Qui se souciait encore du sida de toute façon ? La « pandémie de Covid-19 » s’est présentée comme l’occasion idéale pour une mise à jour (un reset) du racket pharmaceutique. Comme l’a dit un jour Winston Churchill : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. » Grace à la complicité des médias occultant les antécédents scandaleux de sa mafia en blouse blanche, Fauci a réussi à se présenter, encore une fois, comme le sauveur.

« Est-il juste de blâmer le Dr Fauci pour une crise qui, bien sûr, a de nombreux auteurs ? » demande Kennedy. Oui, dans une certaine mesure.

« Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès a spécifiquement chargé le NIAID de prévenir, se sont multipliées pour affliger 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu’il a pris le contrôle du NIAID en 1984. Le Dr Fauci n’a donné aucune explication quant aux raisons pour lesquelles les maladies allergiques comme l’asthme, l’eczéma, les allergies alimentaires, la rhinite allergique et l’anaphylaxie ont soudainement explosé à partir de 1989, cinq ans après son arrivée au pouvoir. Sur son site Web, le NIAID se vante que les maladies auto-immunes sont l’une des priorités de l’agence. Quelque 80 maladies auto-immunes, dont le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Graves et la maladie de Crohn, qui étaient pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa surveillance. L’autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, est passé de 2/10 000 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur trente-quatre aujourd’hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/H, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de la Tourette sont devenues monnaie courante chez les enfants américains. Les coûts humains, sanitaires et économiques des maladies chroniques éclipsent les coûts de toutes les maladies infectieuses aux États-Unis. À la fin de cette décennie, l’obésité, le diabète et le prédiabète sont en passe d’affaiblir 85 % des citoyens américains. L’Amérique fait partie des dix pays les plus obèses de la planète. Les impacts sanitaires de ces épidémies, qui frappent principalement les jeunes, éclipsent même les impacts sanitaires les plus exagérés du Covid-19. »

Le Dr Fauci n’a rien fait pour honorer l’obligation fondamentale du NIAID de rechercher les causes des maladies allergiques et auto-immunes chroniques qui se sont multipliées sous son mandat. Au lieu de cela, Fauci a « transformé le NIAID en le principal incubateur de nouveaux produits pharmaceutiques, dont beaucoup, ironiquement, profitent de la pandémie de maladies chroniques en cascade ». Au lieu de rechercher les causes de la santé défaillante des Américains, le Dr Fauci consacre la majeure partie de son budget de 6 milliards de dollars à la recherche et au développement de nouveaux médicaments et vaccins qui sont en grande partie responsables de l’affaiblissement de leur immunité naturelle. « Ces derniers temps, il a joué un rôle central dans la sape de la santé publique et la subversion de la démocratie et de la gouvernance constitutionnelle dans le monde, et dans la transition de notre gouvernance civile vers le totalitarisme médical. »

Cela me fait penser au Dr Knock, personnage central du célèbre roman de Jules Romains, Knock ou le triomphe de la médecine, écrit en 1923. Le Dr Knock est un médecin louche d’origine douteuse qui professe que la « santé » est un concept obsolète et non scientifique, et que tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore. Pour convertir toute une ville en malades permanents, il fait appel à l’instituteur comme agent de propagande, et passe un marché avec le pharmacien, qui voit soudainement sa clientèle exploser (regardez ici et ici des moments inoubliables de l’adaptation cinématographique de Guy Lefranc avec Louis Jouvet). Fauci, c’est Knock à l’échelle mondiale.

Dans une certaine mesure, cependant, Fauci est lui-même le produit d’un choix civilisationnel qui, à long terme, ne pouvait conduire qu’à la technocratie médicale tyrannique qui essaie maintenant de nous asservir. Plutôt qu’un nouveau Dr Frankenstein, Fauci est notre propre monstre qui se retourne contre nous. Kennedy fait allusion à ce vaste aspect de la question, soulignant la nécessité d’un questionnement approfondi. La façon dont les Américains et les Occidentaux en général en sont venus à considérer les soins de santé a été façonnée par la philosophie de la fondation Rockefeller : a pill for an ill, soit « une pilule pour une maladie ». Dans le débat entre la « théorie des miasmes » – qui met l’accent sur la prévention des maladies en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant les expositions aux toxines et aux stress environnementaux – et la « théorie des germes » – qui attribue la maladie à des agents pathogènes microscopiques –, nous avons opté sans ambiguïté pour cette dernière. Nous avons souscrit à une approche de la maladie qui demande d’identifier le germe coupable et de trouver un poison pour le tuer. Nous avons confié la responsabilité de notre santé à des experts médicaux et à des courtiers d’assurance.

Comme le Dr Claus Köhnlein l’observe dans son livre Virus Mania (2007) cité par Kennedy : « l’idée que certains microbes – champignons, bactéries ou virus – sont des ennemis que nous devons combattre avec des bombes chimiques spéciales, s’est imprimée profondément dans la conscience collective. » C’est un paradigme guerrier, parfaitement adapté pour fabriquer le consentement sur la voie de la dictature. Comme Kennedy l’a écrit dans sa préface au livre du Dr Joseph Mercola, The Truth About Covid-19 (2021), « les démagogues doivent susciter la peur pour justifier leurs demandes d’obéissance aveugle. »

« Les technocrates du gouvernement, les oligarques milliardaires, Big Pharma, Big Data, Big Media, les barons de la haute finance et l’appareil de renseignement militaro-industriel, tous aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment les guerres et les attaques terroristes. Les crises catastrophiques créent des opportunités pratiques pour augmenter à la fois le pouvoir et la richesse. »

Laurent Guyénot

PS : pour les francophones désireux d’approfondir le sujet, je recommande vivement le livre de Peter Duesberg, L’Invention du virus du sida.(([1] Amazon.fr – L’invention du virus du sida – Duesberg, Peter H. – Livres))

[Voir aussi :
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Notes




La mémoire de l’eau – documentaire complet. Mise à jour

[Source : https://www.dailymotion.com/video/x3sbctn]

[Note de Joseph Stroberg : la physique depuis Einstein a émis la théorie que matière et énergie étaient interchangeables et la physique quantique a montré que les particules élémentaires de la matière étaient toutes associées à une fréquence vibratoire particulière. Par extension, il est envisageable que chaque objet matériel ou vivant soit caractérisé par un signal électromagnétique unique. Et si son état varie, la vibration électromagnétique varie probablement aussi. Notamment un état maladif ou au contraire un état de bonne santé doit aussi pouvoir se retrouver inscrit dans le signal particulier qu’il émet. La mémoire d’un tel signal dans l’eau pourrait provenir de sa structure particulière complexe rendue possible par l’existence des liaisons hydrogène entre ses molécules.
Matière = Énergie = « Signal vibratoire » peut permettre d’envisager que chaque maladie spécifique identifiée soit liée non pas à une bactérie ou à un virus (voir L’enterrement de la théorie virale), mais à une fréquence vibratoire particulière (ou à un ensemble de vibrations) qui pourraient donc notamment facilement se propager d’un être humain à l’autre à distance et même à travers les murs. Ceci expliquerait bien pourquoi les mesures sanitaires prises dans le cas de la Covid-19 ne fonctionnent tout simplement pas. Par conséquent, si la cause d’une maladie n’est jamais bactérienne ou virale, mais une agression chimique (poison, toxine, polluant, hormones provenant d’émotions négatives…), physique (froid, chaleur, choc, friction…) ou électromagnétique (ondes pulsées comme la 5G ou le Wi-Fi) donnée, alors du fait de l’équivalence entre matière, énergie et fréquence vibratoire, il est parfaitement envisageable de soigner les individus avec des sons, des ondes lumineuses ou des signaux électromagnétiques adaptés qui puissent inverser ceux de la cause. Cependant, ceci marquerait la ruine des entreprises pharmaceutiques et cela explique notamment pourquoi certaines recherches sont violemment combattues et discréditées sous couvert de science.]

Mise à jour

Voir aussi le film Fréquences électromagnétiques de l’ADN (de Jean-Yves Bilien), sur le même sujet.
(Pour accéder au visionnement, il faut fournir une adresse courriel).




La Commission Européenne a décidé sans fondement sanitaire ou scientifique que le certificat COVID européen sera prorogé jusqu’en juin 2023

[Source : Ma France]




Obsèques de Luc Montagnier : « cette ferveur, c’est le cœur de la France qui bat ». Mise à Jour 3

[Source : Yves Barraud]

Hommage italien


Hommage au Professeur Luc Montagnier
Père Lachaise – 22/2/2022


[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Plus de mille personnes, mais aucun ministre : la cérémonie funéraire du prix Nobel de médecine 2008 (avec Françoise Barré-Sinoussi), Luc Montagnier, s’est déroulée cet après-midi, à la salle de la coupole du père Lachaise. Des obsèques auxquelles une foule reconnaissante assistait : près d’un millier de personnes, de tous âges, étaient venues rendre hommage au grand chercheur disparu le 8 février. Reportage.



Une ambiance de « liberté »

Les barrières entourant l’entrée de la coupole réservaient l’accès aux proches et à des personnalités proches du biologiste ou ayant partagé des combats communs : on voyait ainsi arriver Laurent Toubiana, Jean-Dominique Michel, Martine Wonner, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude ou encore Francis Lalanne, passant pour certains un moment avec la population venue sur place. Jean-Dominique Michel expliquait ainsi :

« je suis très touché d’être ici, c’était un géant, c’était un humaniste, quelqu’un d’intègre et de généreux. C’était quelqu’un de simple, quand j’ai pu m’entretenir avec lui, il était d’une gentillesse et d’une générosité absolument splendides. »

La place était noire de monde, dans une ambiance de manifestation mâtinée d’émotion. La foule scandait : « Liberté, liberté, liberté ! ». Les applaudissements ressurgissaient régulièrement. L’atmosphère était à la ferveur, une communion populaire en mémoire du professeur qui « sacralisait » leur combat, comme l’expliquait une participante. Les personnes présentes témoignent une vraie reconnaissance pour le membre de l’Académie des sciences :

« il avait tout compris. Mais comme toujours quand on comprend avant les autres, ça dérange et la plupart des politiques et des médias mainstreams lui sont tombés dessus », déplorait Catherine.

Un patriarche, icône de la résistance

Le Pr Montagnier s’était notamment interrogé dès le printemps 2020 sur la provenance du virus de Wuhan : l’hypothèse qu’il avait présentée avait été vilipendée, alors qu’elle s’impose désormais comme des plus plausibles. Le chercheur disparu à 89 ans, avait ensuite pris position contre les mesures sanitaires, et notamment la campagne de vaccination de masse.

Olivier Soulier, médecin et porte-parole du syndicat Liberté santé, se félicite de cette ambiance :

« Vous voyez cette ferveur ? C’est le cœur de la France qui bat. Ce n’est pas l’Elysée, ce n’est pas l’Assemblée nationale, il n’y a pas de ministre, mais il y a les Français qui disent leur amour pour Luc Montagnier. Tous ici, nous sommes ses héritiers, ses enfants, le vieux patriarche est parti mais nous sommes là pour prendre sa suite. Je pense que dans l’histoire de cette pandémie, cet enterrement va rester comme le moment où tous les résistants se sont fédérés. On va tous rester dignes de ce qu’il nous a appris. »

Les participants avaient pour certains la chance d’être en vacances, certains ont même pris leur journée. D’autres ont dû trouver des excuses pour « sécher » le travail :

« J’étais au bureau normalement, mais j’ai dit que je devais aller à un enterrement. Je n’ai pas dit lequel, ils m’ont laissé y aller. »

Le lien fort entre le peuple et le professeur

Le professeur représentait « quelqu’un qui pouvait prendre la parole ». Flora, venue avec son mari et son enfant explique qu’elle l’admirait déjà avant la crise covid :

« c’est un chercheur qui avait travaillé sur la mémoire de l’eau. J’étais admirative qu’un grand chercheur comme lui puisse s’aventurer là-dedans. Ça avait validé l’efficacité de l’homéopathie, c’étaient des produits que je prenais depuis toujours. Il n’hésitait pas à travailler sur l’autisme, c’était un avant-gardiste ! »

Un moment triste de cette séparation, mais un moment de joie également, de sentir que le nombre et la chaleur de cette assistance illustrent qu’il part, mais que son combat continue. Beaucoup de figures de la « résistance » parisienne comme aiment s’appeler les manifestants, étaient présent.

Après une minute de silence, entièrement respectée, l’entourage et les personnalités proches du professeur saluent une dernière fois ceux qui applaudissent aussi leur présence, et se dirigent à l’intérieur de la salle funéraire pour leur dernier au revoir au professeur – Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, y était invité parmi d’autres à dire un mot.

L’absence remarquée des autorités et des autres médias

Marine une participante explique :

« où est le président, où sont les médias mainstreams ? Ils ont fait silence radio à sa mort. C’est un prix Nobel. Ils savent qu’ils ont eu tort et ils ont honte. Mais ce n’est pas acceptable qu’un gouvernement n’honore pas un tel homme, c’est minable. »

Jean-Dominique Michel poursuit :

« penser qu’une disparition comme la sienne, dans un pays comme la France, se heurte au silence honteux des autorités et des médias mainstream, qui continuent d’essayer de salir sa mémoire, dans des moments où le sacré entre la vie et la mort devraient l’emporter nous renforcent encore dans l’importance du combat que nous menons. »

À la sortie, une Marseillaise solennelle et spontanée a retenti. À n’en pas douter, elle résonnera longtemps dans les cœurs de ceux qui ont honoré par leur présence le souvenir du grand homme dont le sourire malicieux habitait toutes les pensées.


Voir aussi :

Didier Raoult rend hommage au Professeur Luc Montagnier. Mise à jour

Didier Raoult et Xavier Azalbert, directeur du site France Soir sont les invités d’André Bercoff.
(Vidéo > 20 min).
Mise à jour : autres hommages.

La mémoire de l’eau – documentaire complet

Avec le Professeur Montagnier.
(Vidéo > 50 min)

Pr. Luc Montagnier : « Il y a des gens qui meurent des effets du vaccin ». MàJ

Le Pr Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008, était l’invité d’André Bercoff le 17 novembre 2021 sur Sud Radio dans son rendez-vous du 12h-14h, « Bercoff dans tous ses états ».
(Vidéo

Le Professeur Montagnier à l’émission Le défi de la vérité

« Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ».
– Professeur Luc Montagnier (le 17 avril 2020, sur Cnews).
Dans l’entretien pour FranceSoir, le Pr Montagnier confirme ses déclarations et relate ses travaux avec le mathématicien Jean-Claude Perez.
(Vidéo 19 min).

Lire la suite

Mise à jour 3




Le traité sur la prohibition des armes biologiques sert-il à quelque chose ?

Par John Hunter

Le traité sur la prohibition des armes biologiques.1972. Un rappel. Autres considérations

Biological weapons convention treaty. BWC.

(Source Dr Richard Fleming.)

Ce traité oblige les parties signataires, dont la France, à interdire les armes biologiques. (Il est maintenant notoire que le covid-19 n’est pas une zoonose, mais une fabrication en labos, une chimère qui croise ensemble plusieurs particules génétiques d’autres virus avec la technique CRISPR.)

(Source Luc Montagnier.)

Ce traité entre en vigueur en 1975 et interdit le développement, l’accumulation, le stockage et la production d’agents biologiques et de Toxines de certaines natures et en quantité qui ne servent à rien pour la prophylaxie ou d’autres usages pacifiques. Les transferts de cette technologie sont aussi interdits. Ce traité invoque aussi la Convention de Genève de 1925 et enjoint les signataires à détruire les stocks dans les neuf mois. La défense contre une attaque par armes biologiques n’est pas exclue, mais les trois investisseurs ne supposaient aucune possibilité d’attaque biologique imminente.

Compréhension

Les USA, la France, l’Australie qui ont investi dans cette aventure, à Wuhan ou ailleurs, Fort Detrick ou Institut Pasteur sont coupables d’avoir violé ce traité.

Il y a la version Fourtillan : ce sont deux chercheurs de l’institut) Pasteur qui ont élaboré cette chimère et l’ont envoyé à Wuhan et cela se confirme de plus en plus. Vont devoir figurer à Nuremberg 2. Pasteur doit se retourner dans sa tombe. Qui va payer les compensations ?
Les contribuables français.
Comme ça se chiffre en quadrillions, autant se vendre comme esclaves tout de suite !

Aux USA C est le Dr Fauci qui a investi dans le centre de virologie de Wuhan avec évidemment un transfert de technologie.

À la suite de cela ce fut un raz de marée de pathologies sur le monde et une irruption de substances expérimentales introduites dans l’urgence et qui n’ont pas achevé leur période de tests. Maintenant c’est la pandémie des « vaccins » avec des débilités graves et des décès. Eudravigilance en Europe :

Décès 12,184 au 22 mai 2021. Puis au 21 juillet, 18 928 morts. Pour les 4 vaccinateurs, débilités graves et irréversibles : 1,8 million. En février 2022, 34 000 morts, et on est en dessous du chiffre réel.

Il n’y aurait pas un problème ? L’UE n’en parle plus du reste et aborde le Great Reset au lieu d’autre chose. Silence aussi sur le graphène et la recherche que vous financez. Plus on avance et plus on cache la montagne de poussière sous le tapis.

On ne comprend plus l’acharnement de l’État ou de l’Europe à vouloir vacciner toute la population. Il doit y avoir un agenda caché.

Quel serait-il ?

Dépeupler est le plus plausible.

Autre chose ?

Fabriquer des transhumains, des cyborgs qui vont devoir vivre au rythme des machines et auront perdu tous leurs droits. (Arrêt de la Cour Suprême aux USA. Les cyborgs appartiennent aux labos pharmaceutiques qui ont injecté leurs gènes préfabriqués dans ces vaccins et les distribuent. Les vaccinés n’ont pas compris qu’ils appartiennent à Pfizer et autres et ne sont plus que des transhumanisés.

Quelles machines ?

La 5G, les éoliennes, LINKY…

Comment faire le lien entre peuple et machines ?

En introduisant du graphène dans les « vaccins » qui va au cerveau et constitue une antenne. Le graphène, un nano très robuste, est biologiquement assimilable et s’assemble en microstructures dans les cellules du cerveau, rendant celui-ci magnétique [les clés se collent sur le front]. Le graphène intervient ensuite dans les neurones et les synapses pour une mission spéciale : prendre le contrôle de la pensée, des automatismes, etc. Il y a adéquation complète entre graphène et 5G. D’où les sabotages mondiaux des antennes 5G.

En ce qui concerne les éoliennes, les résidents sont déjà en phase, pour les troubles du sommeil avec les éoliennes puisque la recherche Cooper a démontré les troubles commençant quand la turbine accélère ou décélère sa production d’énergie de 10 %. La corrélation devient cause.

En conclusion, les dès sont jetés pour une reprogrammation génétique de la population, avec extension aux générations futures ! pour un génocide et un État éminemment liberticide qui va régler le sort des survivants à la baguette.

C’est le Nouvel Ordre Mondial ! Ce plan est si crucial pour eux qu’une commission anticomplotiste vient d’être créée en provenance de l’Élysée. Il s’agit d’endiguer et de supprimer le flot de dénonciations des experts qui se succèdent sur le Web. Vous avez connu les fact checkers, les deplatformings, ceci n’est qu’un début. La persécution des médecins non alignés s’installe. L’appareil d’état est déchaîné. Réprimer, réduire au silence et isoler. Les préfets ont ordre de rapporter les agitations sociales tous les jours au ministère de l’Intérieur.

Il est bien évident qu’ils ne se permettent plus d’échouer dans la mesure ou les machinations sont découvertes une a une qui bafouent les constitutions mondiales et forment le grain à moudre de futurs procès Nuremberg 2.

Donc, les Européens, accrochez vos ceintures, car cela va tanguer !

Pour voir ce qui vous attend, regardez l’Australie et l’appli que les citoyens doivent télécharger. L’appli est G2G sortie il y a un mois. Karen Kingston, analyste en biotechnologie, l’a commentée. Une plateforme d’obéissance civile très proche des Chinois. Reconnaissance faciale, prescriptions précises de vaccination et amendes pour dissidents. Il est prévu des vaccins plus forts pour eux et les régulateurs seront le corps médical [soumis] et la police.

Tous les médecins qui ne rentrent pas dans la case se verront révoqués et peut-être injectés de force avec des vaccins plus puissants. Lire euthanasie.

Ceux qui se soumettent bénéficieront de vaccins plus faibles, moins dangereux.

Veulent-ils vider l’Australie de ses habitants ? On le dirait.

Quel est l’État qui n’entre pas dans ce complot infâme ?

Le Vatican ?

Vous faites erreur, les gardes suisses non injectés doivent rendre leur armure et leur costume !
Peut-être les Russes, ?
Non, leur vax contient des nanos.
Alors qui ?
À vous de faire l’enquête ….




Ukraine, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie : implications et compromissions !

Par Jean-Loup Izambert et Claude janvier

Emmanuel Macron, à propos de la crise ukrainienne, joue à cache-tampon entre Joe Biden et Vladimir Poutine ! Magistrale poudre aux yeux juste destinée à ce que vous votiez prochainement pour lui en avril ou l’un de ses complices. 5 ans de règne sans dialogues, sans partages, — sauf avec ses amis et relations — et sans compassions. Vous croyez que l’on exagère ? Lisez ce texte documenté issu du chapitre 8 de notre livre « Le virus et le président » IS édition, et faites vous votre propre opinion.

« Nous sommes en guerre ». En écoutant Emmanuel Macron prononcer ces mots à six reprises avec un ton martial lors de son allocution du 16 mars 2020, nous étions inquiets. Car en effet, un énarque-bancarisé en costard-cravate qui parlotte sur la guerre, ça fout la trouille.

Ça fout la trouille pour la simple raison qu’un tel chef des armées, constitutionnellement parlant, élevé au biberon de l’ENA et poudré-finance « pour plaire un peu comme une prostituée » — c’est lui qui l’a dit(([1] France’s Hollande Casts Fate With Ex-Banker Macron, par Stacy Meichtry et William Horobin, Wall Street Journal, 8 mars 2015)) — dans les allées de la Rothschild ne peut que nous la faire perdre.

Surtout celle contre la « pandémie » du SRAS-CoV-2. Du reste, celle-ci était déjà perdue d’avance pour cause de bousillage du budget de la Santé depuis des décennies. Donc, pas de gros soucis. Il restait juste à compter les morts, dont la plupart auraient pu ne pas mourir sur ce champ de bataille du déshonneur.

Nous avons pensé qu’il allait vous parler enfin du bilan de la guerre contre l’Afghanistan de 2001 à 2014 avec l’OTAN. Pas vous ? Non, c’est vrai, vous êtes complètement désinformés sur le sujet et vous vous contentez de payer les aventures militaires de l’Élysée contre les peuples.

L’Afghanistan, c’est loin, et officiellement terminé depuis décembre 2014. Interloqués nous fûmes. « Guerre », « ennemi invisible », « première ligne », « combat »… Nous nous sommes dit : « Tiens, il va enfin nous parler des guerres françaises en Afrique ». L’Afrique, c’est plus proche que l’Afghanistan, et la France y entretient sa vieille tradition de massacres afin de sauver régulièrement des dictateurs corrompus qui permettent à ses sociétés transnationales de piller les richesses.

Tenez, par exemple, la République démocratique du Congo (RDC), l’un des pays les moins développés du monde à force de Françafrique, détient près de la moitié des ressources globales en cobalt et assure 60 % de la production mondiale. La réglementation de cette industrie y est pratiquement inexistante, les institutions très faibles, en grande partie en raison de son histoire d’exploitation étrangère depuis la période coloniale. Le cobalt entrant dans la fabrication des batteries Lithium-ion, la décision de certains constructeurs automobiles de privilégier la voiture électrique a entraîné une augmentation considérable de la demande.

Derrière les publicités en quadrichromie des villes silencieuses et propres de ces constructeurs se cache une autre réalité, beaucoup moins belle : l’extraction du cobalt se fait dans des mines artisanales congolaises dans des conditions souvent déplorables.

« Généralement, des travailleurs — y compris des enfants — creusent avec un équipement de base dans des tunnels dangereux. Alors que le risque mortel d’effondrement est permanent, ils gagnent à peine assez pour se nourrir », indique Alexander Lefteris Papadovassilakis, chercheur au Centre de Politique de Sécurité de Genève.(([2] Le lithium et le cobalt : les producteurs doivent faire face à leurs responsabilités, par Alexander Lefteris Papadovassilakis, Le Temps, 13 février 2017))

Idem pour le lithium (Bolivie, Chili, Argentine), le nickel et le graphite destinés aux producteurs des mêmes batteries, dont l’extraction dans des conditions souvent inhumaines met de plus en péril l’équilibre écologique des pays d’où ils sont extraits en détruisant des sites naturels. Pratiquement pas de Code du Travail, peu ou pas de réglementation, surexploitation…

Mais non, rien sur le pillage de l’Afrique par les transnationales françaises. Pourtant, ce ne sont ni les pays, ni les destructions, ni les assassinats, ni les bains de sang qui manquent. Avec 4 500 militaires engagés en Mauritanie, au Mali — terminé depuis peu —, au Burkina Faso, au Niger ainsi qu’au Tchad et en Libye, « le guerrier » Macron avait le choix. D’autant que Florence Parly, l’énarque en jupon devenue ministre des Armées, avait préparé le terrain à l’énarque-guerrier assurant, en décembre 2019, que l’opération Barkhane en Afrique « c’est la France qui combat le terrorisme à sa source ». Mort de rire ! À se demander si Florence n’est pas nouvelle au bercail de l’Élysée-Matignon. Parce qu’en matière de terrorisme, le président français a côtoyé plus d’un expert de lutte antiterroriste qui soutenait le… terrorisme

Ministre, il participa au gouvernement Valls qui fut l’un des principaux responsables du développement du terrorisme sous la présidence de François Hollande. Devenu président, sans doute pour s’assurer que « la France combat (bien) le terrorisme à sa source », il fit embaucher par son premier Premier ministre, Édouard Philippe, l’un des principaux soutiens au terrorisme en la personne de Jean-Yves le Drian. Celui-là même qui, avant de devenir ministre de l’Europe et des Affaires étrangères au sein de ce gouvernement, fut ministre de la Défense dans les gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve. Voilà qui fait beaucoup, mais Le Drian est un cumulard et pas seulement de mandats.

Un vrai trafiquant d’armes doublé d’un spécialiste du mensonge d’État. De son bureau, Le Drian alimentait « la source » du terrorisme — celle-là même que dame Parly dit combattre —, tantôt diplomatiquement à l’ONU, tantôt militairement en protégeant et en armant, par DGSE interposée, les groupes terroristes qui répandaient la terreur en Libye, puis en République arabe syrienne. Après l’échec du coup d’État de Damas du 18 juillet 2012, auquel participa la DGSE, certains chefs de ces groupes criminels furent reçus plus tard à l’Assemblée nationale, à Matignon et à l’Élysée, tandis que d’autres se réfugiaient en France.(([3] Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels 56, tome 1, L’État français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.))

« Le guerrier » allait-il vous parler de la Libye, dont vos médias vous désinforment sur l’engagement de l’Élysée ? Allait-il vous dire que sans aucun vote du Parlement, il embourbe la France, avec l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis, la Fédération de Russie et Israël, dans les ingérences étrangères qu’il… dénonce en soutenant le maréchal autoproclamé Khalifa Haftar, homme de la CIA en Libye ? Celui-ci, en échange du soutien militaire de ses maîtres, doit leur donner accès libre aux ressources pétrolières — celles qui du temps de Kadhafi étaient investies dans la modernisation du pays —, à la recherche de gaz off-shore dans le Golfe de Syrte et, dit-on, « l’utilisation de la base aérienne d’Al-Koufrah pour faire le plein de kérosène des avions-cargos transportant l’uranium et l’or extraits au Mali ».(([4] En intervenant en Libye, la France déstabilise le Maghreb, par Gilles Munier, France-Irak Actualité, 1er juillet 2020, article publié en langue arabe sur le site algérien El Bahdja news le 1er juillet 2020))

Dans le cadre d’un « plan diabolique, pensé et mis en œuvre par la Banque mondiale, au profit des multinationales », des sociétés anglo-saxonnes et la Somadex, filiale du groupe Bouygues, pillent ces richesses du Mali, qui reste l’un des pays les plus pauvres du monde.(([5] Main basse sur l’or du Mali, par Oumar Babi, Mondafrique, 1ermai 2016, www.mondafrique.com))

Mais non, pas d’Afrique ni même de Syrie ou de Libye au rendez-vous présidentiel télévisuel.

Pourtant plus de 1 000 militaires français sont engagés en Syrie et en Irak, où ils n’ont rien à y faire si ce n’est de soutenir l’invasion étasunienne pour en piller les richesses. L’armée US et l’armée française y ont pris la place de l’État islamique après avoir protégé ce groupe terroriste dans son trafic de pétrole vers la Turquie. Les parents ont pris la place de leur enfant sauvage adoptif après l’avoir répudié.

Du mois de juin 2014, période de lancement par Washington de sa prétendue « Coalition internationale pour combattre le terrorisme », au 30 septembre 2015, début de la coopération entre l’armée russe et l’armée arabe syrienne, en quinze mois de violation de l’espace aérien syrien, cette coalition à laquelle participe l’armée française sous commandement US n’a ni révélé l’existence de ce gigantesque trafic ni réalisé aucune frappe pour le détruire !

Comme ces faits, que les médias vous ont également dissimulés, datent de 2016, nous avons pensé que « le guerrier » allait vous présenter fièrement le bilan désastreux, le coût des activités de l’armée coloniale française en Syrie et alentour.

Nous trouvions suspect le silence du « guerrier » après les bombardements de la Syrie qu’il ordonna en avril 2018 à la demande de Washington et sans consultation du Parlement ni mandat de l’ONU.

Lorsque des terroristes de l’État islamique capturés par l’armée arabe syrienne confessent qu’ils ont été entraînés par les forces d’occupation étasuniennes stationnées dans la région syrienne d’Al-Tanf, vous n’en avez rien su par les médias des milliardaires.

Lorsque d’autres terroristes du même groupe, tel Mohammad Houssayn Saoud, indiquèrent que ce sont les renseignements britanniques qui l’ont forcé, avec d’autres terroristes travaillant pour lui, à collaborer en recueillant des informations sur les institutions et les sites militaires syriens et russes en Syrie, les mêmes médias vous ont dissimulé ces faits mettant à jour, avec d’autres, le rôle de l’Élysée et d’autres capitales occidentales dans le soutien au terrorisme.

Lorsque les États-Unis, soutenus dans leur guerre par la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique et la Turquie volent ouvertement 200 000 barils de pétrole par jour des champs de pétrole syriens, vous n’en savez encore rien par ces médias.

Lorsque les mêmes volent en plus 400 000 tonnes de coton, 5 millions de têtes de bétail, vous n’en savez toujours rien par ces médias.

Lorsqu’ils mettent le feu à des milliers d’hectares de champs de blé, se vantent de diviser la Syrie et de délibérément affaiblir la valeur de sa monnaie nationale, ces médias vous dissimulent ces faits.

De même que ces médias vous taisent les mesures économiques coercitives des États-Unis visant à étouffer le peuple syrien, qu’ils occupent certaines parties de son pays et protègent leur partenaire turc occupant d’autres vastes parties de terres syriennes.

Aussi lorsque la représentante des États-Unis à l’ONU parle du souci de son administration devant la détérioration des conditions de vie des citoyens syriens en l’attribuant à ce qu’elle qualifie de « régime », la question légitime devient : n’est-ce pas là une phase de maladie aiguë et ne sommes-nous pas face à des symptômes de schizophrénie politique ?

Et, vous ne serez pas informé non plus par ces médias que le 31 mai 2020, la République arabe syrienne a adressé une plainte officielle au Secrétaire général des Nations Unies et au président du Conseil de sécurité contre les gouvernements de certains États membres, au premier rang desquels les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et la Turquie. Objet :

« Mettre un terme aux ingérences hostiles d’États étrangers dans les affaires intérieures de la République arabe syrienne et engager tous les États membres à s’abstenir de toute pratique visant à saper l’indépendance et la poursuite du processus politique. »(([6] Intervention du Dr Bachar Al-Jaafari, chef de la mission de la République arabe syrienne auprès des Nations unies, 29 juin 2020))

Tout au long de dix années de guerre meurtrière, de 2010 à 2020, les gouvernements des États-Unis, de l’Angleterre, de la France et de la Turquie ont soutenu, financé et armé des groupes et organisations de terroristes multinationaux de multiples allégeances et de diverses casquettes, ainsi que des milices séparatistes à leurs ordres. Ils ont délibérément mené des agressions militaires unilatérales et tripartites contre la République arabe syrienne, occupé certaines parties de son territoire, commis des meurtres et des destructions, procédé à des déplacements et à des changements démographiques, pillé ses richesses naturelles et historiques dont le pétrole, le gaz, les cultures agricoles et les antiquités, brûlé et détruit tout ce qu’ils n’ont pu voler, imposé toujours plus de mesures coercitives unilatérales au peuple syrien.

Mais qu’en avez-vous réellement su par les médias des milliardaires ? Une fois de plus, vous êtes complètement désinformés sur ces faits, bien plus graves que la petite pandémie de la Covid-19. Un peu comme si la guerre n’existait plus. Donc, pas de Syrie non plus dans le discours du président qui, il est vrai, a plutôt intérêt à faire profil bas sur le crime d’agression qu’il perpètre contre la République arabe syrienne, crime ouvert par la présidence Hollande.(([7] Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels : 56, tome 1, L’État français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.))

Les Gilets jaunes, alors ? Car, vous l’avez sans doute remarqué, les mouvements sociaux sont aujourd’hui assimilés par des grands patrons et certains politiciens à des actes de violence et « d’atteintes aux libertés par une minorité ». En décembre 2016, en pleine manifestation contre la « loi Travail », le « patron des patrons » du moment, Pierre Gattaz, avait donné le ton en comparant les militants de la CGT à des « voyous » et des « terroristes ».

Le tribunal correctionnel de Bobigny relaxa le Gattaz poursuivi pour diffamation, le juge du tribunal considérant que ses propos ne sont « pas suffisamment précis pour constituer une diffamation » (sic). En magistrature française, la diffamation oblige à la précision. Par exemple, dire qu’un magistrat est un con ne suffit pas. Il faut, afin d’être entendu en tribunal, donner son identité complète.

Depuis les attentats de 2015, 7 000 à 10 000 soldats ont été déployés en plus des forces de police et de gendarmerie. Leur rôle est surtout de réprimer les mouvements sociaux, comme celui des Gilets jaunes en 2019. Là, ça sent la guerre. « Le guerrier » allait-il monter au front, vous lançant un clairvoyant et tonnant « Français, je vous ai compris ! » et répondre aux revendications qui montent du cher et vieux pays en pleine ébullition ?

Rien de tout cela ! Le refus du dialogue est devenu permanent. Nous sommes bel et bien en dictature.

Révolution cherche mouvement révolutionnaire pour stopper les drames d’aujourd’hui et affronter les réalités de demain. Vous en êtes ?

Jean-Loup Izambert et Claude janvier. Auteurs du livre « Le virus et le président ». IS édition. Extrait du chapitre 8. www.is-edition.com

Notes :




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

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Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




La France, une dictature avec crédit social à la chinoise ou une dictature chinoise avec crédit social ?

Par Alain Tortosa

Je me suis aperçu au fil de mes lectures et recherches que de nombreux intervenants étaient en désaccord non seulement sur le fond, mais aussi du fait d’une absence de vocabulaire commun.

En allant vers les extrêmes, certains qui parlent de dictature communiste ou d’ultralibéralisme parlent parfois de la même chose, mais en lui donnant un nom différent…

Afin de limiter les ambiguïtés ou les incompréhensions, je vais définir « mon » vocabulaire afin que chacun puisse comprendre mes propos sans risque de mauvaises interprétations.

Petite lexique personnel

  • Dictature : Régime autoritaire où les libertés d’expression et politique sont interdites…
  • Communisme : Économie centralisée, limitation de la propriété, contrôle de l’État dans toutes les sphères de la vie quotidienne. Contrôle des populations.
  • Libéralisme (ultra) : Liberté individuelle, liberté économique, présence limitée au maximum de l’État, droit à la propriété, autorégulation (utopique) des marchés, quasi-absence de règles, mais parfois aussi de conscience.
  • Dictature de droite et dictature de gauche, points communs : L’intérêt national passe avant l’intérêt de l’individu. La « grandeur du pays ». Une absence de liberté d’expression, de liberté politique, d’opposition et d’élections libres. Pas de syndicats ni de grèves…
  • Dictature de droite vs dictature de gauche.
    La dictature de droite limite les libertés au niveau politique et laisse globalement les individus plutôt libres dans les autres domaines. Liberté économique. Elle est attachée aux valeurs du passé. Bien entendu anticommuniste.
    Alors que la dictature de gauche tend à contrôler l’individu dans tous les domaines de l’existence. L’État est omniprésent. Absence de liberté économique. Elle se veut en rupture (totale) avec les traditions, la société, et fait table rase du passé, des racines pour aller vers un « idéal » de société.. Bien entendu anti-capitaliste.
  • Crédit social : Système de notation des individus avec bonus-malus. Une personne docile qui respecte toutes les règles pourra bénéficier de privilèges alors qu’à l’inverse, ses droits lui seront retirés comme celui de voyager par exemple.

Liberté économique en Chine

Dans mon imaginaire, la Chine était plutôt un pays libéral d’un point de vue économique encapsulé dans une dictature communiste.

Tout était dictature sauf l’économie, ce qui aurait permis la création de fortunes privées.

En fait il y a bien des entreprises privées (et des milliardaires en Chine), mais elles sont sous la coupe du parti communiste, pas uniquement socialement, mais aussi économiquement.

L’institut Montaigne précise :

« La loi sur les sociétés de 1993 exige que toutes les entreprises basées en Chine, qu’elles soient chinoises ou étrangères, admettent la création d’unités du PCC afin de “remplir les fonctions du Parti” et leur fournissent les “conditions nécessaires” à leur fonctionnement. C’est au cours des années 2000 que la pénétration du secteur privé par le Parti s’est accélérée… le PCC représente “la force productive avancée” et accueille ainsi dans ses rangs les entrepreneurs privés de la Chine. Sous Xi Jinping, la “construction du parti” au sein des entreprises privées est redevenue une priorité clef. »

« La pénétration des grands groupes privés est, elle, en revanche presque totale : en effet, 92 % des 500 plus grandes entreprises du pays hébergent une cellule du parti. Ce taux devrait bientôt grimper à 100 %, car il est depuis 2018 obligatoire pour les groupes cotés en Chine d’ouvrir une section du parti. »

« Il ne s’agit donc pas seulement de garantir la loyauté politique des hommes et femmes d’affaires, mais bien de façonner leur manière de travailler et leur image publique… »(([1] https://www.institutmontaigne.org/blog/le-parti-communiste-chinois-cible-le-secteur-prive))

Citons le géant Alibaba dont le parti communiste n’a pas apprécié l’indépendance que l’entreprise prenait vis-à-vis de celui-ci et s’est retrouvé avec une enquête anti-monopole. Il ne s’agirait pas que des entreprises privées deviennent plus fortes que l’État et menacent le régime.

Knoema publie un indice de liberté économique dans lequel les USA sont 20e, la France au 63e rang, la Russie au 91e rang et la Chine au 106e rang.(([2] https://public.knoema.com/fettqbg/index-of-economic-freedom))

Il n’y a donc pas de liberté économique stricto sensu, celle-ci est sous tutelle directe du parti communiste chinois.

Le miracle économique chinois

Celui-ci est probablement multifactoriel.

  • En premier lieu, le communisme a fait table rase du passé. La dictature a tout fait pour détruire des millénaires de traditions et d’histoire. Les quartiers historiques des grandes villes ont été rasés (ne gardant que quelques vestiges pour les touristes). La religion a aussi été combattue. De fait (et c’est aussi ce qu’il se passe en occident), il ne reste plus que le matérialisme comme sens de la vie.
  • Une absence totale des droits de l’homme et une répression à tout va. Et ne parlons pas des prélèvements d’organes forcés.
  • Aucune revendication syndicale possible qui fait littéralement du travailleur chinois un esclave.
  • Et bien entendu l’idéal communiste qui fait que tout individu est au service du « grand tout », de la grandeur de la Chine communiste vers une société « idéale ».
  • Une entreprise se doit de mater les travailleurs et se concilier les bonnes grâces de l’administration…

L’ensemble de ces éléments font qu’une entreprise chinoise bénéficiera de performances inaccessibles à une entreprise occidentale qui est entravée par des lois sociales, des travailleurs individualistes et par-dessus tout, un droit de grève.

Absence de réciprocité, étape un de la trahison

Lorsque j’étais jeune adulte, je me demandais pourquoi la France, puis l’Europe ou l’Organisation Mondiale du Commerce avaient fait de tels cadeaux à la Chine. Et ce à une époque où nous n’étions pas encore totalement dépendants des Chinois.

Pourquoi devions-nous accepter les produits chinois fruits d’une concurrence déloyale et du travail forcé, pourquoi devions-nous mettre pas ou peu de droits de douane, pourquoi les entreprises chinoises pouvaient acheter nos entreprises et pourquoi n’exigions-nous pas la réciprocité ?

Je me rappelle un reportage qui montrait une entreprise française de tracteurs agricoles qui produisait sur place. L’entreprise a été rachetée par les Chinois. Ils ont alors légalement volé tout le savoir-faire et les brevets, mais aussi expédié en Chine les machines-outils à la pointe du progrès. La production de tracteurs a été totalement arrêtée en France et l’entreprise importe désormais des tracteurs chinois… Ce type d’histoire existe hélas ! à l’infini…

Bref pourquoi avoir ouvert les portes en grand et laisser entrer le loup dans la bergerie ?

Les discours de l’époque (que j’ai gobé) affirmaient que c’était bon pour notre économie, que les sociétés occidentales deviendraient des sociétés de service tandis que les Chinois produiraient les biens matériels.
… Et (fou rire dans la salle) que cela nous ouvrirait le marché chinois… Vous avez vu des dizaines de millions de Peugeot en Chine vous ? Pas moi !

Alors soit les dirigeants occidentaux ont été très naïfs, soit ils ont été corrompus, soit les deux.
Choisissez votre option !

Libéralisme et dictature : points communs

« Libéral dehors et communiste dedans ».

En ce sens je m’inspire d’une phrase de Brice Lalonde, qui disait que :

« les écologistes sont comme les pastèques, vertes dehors et rouges dedans ».

Autant le chef d’entreprise libéral est pour la liberté d’entreprendre, la liberté de réussite, la propriété et la liberté tout court. Autant le sein de l’entreprise (hors les cadres dirigeants) s’apparente plus à une microsociété communiste avec un slogan :

« Nous sommes une famille et œuvrons tous pour la réussite de l’entreprise ».

Et croyez bien que si il n’y avait pas de lois sociales, le sort des travailleurs occidentaux serait totalement identique au sort des travailleurs chinois. L’ultralibéralisme n’a pas de conscience et se nourrit de l’esclavage des peuples.(([3] Cf « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) Il n’hésite pas à piller les ressources de la planète, polluer, tuer pour augmenter ses bénéfices.

Alors quand les grands groupes ont eu l’opportunité de délocaliser leur production en Asie, que croyez-vous qu’ils aient fait ?

Cela me rappelle un chapitre de mon livre « 7milliards d’esclaves et demain ? » dans lequel je rappelle que la société Apple, dont le coût de main-d’œuvre des iPhone était de l’ordre de 13 dollars en Chine, avait refusé de relocaliser la production aux USA, car le surcoût aurait été d’environ 2 dollars sur un produit vendu dans les 1000 dollars ! Pourquoi ? Notamment par peur d’avoir à payer plus d’impôts sur les sociétés, mais aussi d’une absence de main-d’œuvre spécialisée. Ce qui bien sûr est un non-sens économique, car ils pouvaient augmenter le prix de 2 dollars sans compter que cela aurait pu constituer un argument publicitaire « made in USA » et booster les ventes ainsi que l’image de la marque. On peut donc se poser la question, Apple… et les autres, sont-ils indépendants ou dans les griffes du parti communiste chinois ?

Le modèle économique communiste ne peut que faire rêver tout entrepreneur ultralibéral (s’il ignore la main mise du parti). Toujours l’appât du gain à court terme.

Dépendance des occidentaux tenus par les c… par les Chinois

Dans un premier temps, on fait fabriquer par les Chinois… et ainsi on perd la capacité productive (savoir-faire, machines-outils…). Localement, il n’y a plus les infrastructures ni la main-d’œuvre qualifiée. Puis dans un deuxième temps on délocalise aussi la matière grise, les bureaux d’étude pour gagner plus d’argent et gagner en flexibilité. Les Chinois ont mis le paquet dans la recherche et le développement.

Cela a pour conséquences :

  • La Chine crée des universités et se met à former des ingénieurs et des chercheurs.
  • Les enseignants et chercheurs occidentaux se voient offrir des plans de carrières et des ponts d’or (jusqu’à ce qu’ils aient été vampirisés).
  • La Chine vole (copie) la technologie occidentale et ses cerveaux.
  • Vous perdez votre capacité de recherche et développement sur le territoire national.

Sans compter que la Chine possède le plus gros gisement de terres rares pour les batteries de vos voitures « écologiques » (fou rire dans la salle).

Donc :

  • Vous ne produisez plus rien dans votre pays désindustrialisé.
  • Vous avez perdu jusqu’à votre matière grise.
  • Vous êtes totalement dépendant de la Chine (de l’Asie) pour les importations de produits manufacturés et même de simples écrous !
  • Vous avez offert votre technologie à une puissance étrangère.
  • Vous avez même perdu votre autosuffisance alimentaire.
  • Vous vendez votre savoir-faire et vos entreprises stratégiques.

C’est du même ordre que la France qui vend la technologie de ses turbines nucléaires et qui perd ainsi son indépendance énergétique (turbines que l’on serait sur le point de racheter le double du prix de vente).

Covid et économies occidentales

Je ne doute pas du fait que Macron soit un simple pantin, mais un pantin nourri au capitalisme et au libéralisme. Il était quand même banquier chez Rothschild et plus le fils spirituel de Klaus Schwab que de Mao. J’entends aussi que vous pourriez penser qu’il a certaines casseroles (s’il a été placé à ce poste, ce n’est probablement pas sans garanties solides).

Néanmoins, imaginez la couleuvre à lui faire avaler quand on lui dit en mars 2020 qu’il doit tuer l’économie française stoppant le pays… et en mettant en prison l’ensemble de la population. On ne peut pas dire que cette décision puisse être qualifiée de « libérale ».

D’autre part, nous voyons de nombreuses théories qui circulent sur la destruction volontaire de la classe moyenne. Or c’est cette classe moyenne qui fait la richesse des entreprises titanesques. Si vous tuez le client, vous tuez le marché et vous tuez votre poule aux œufs d’or et donc vous-même…

C’est pourquoi je suis sans réponse depuis le début de la crise du Covid. Je ne fais que répéter que ce n’est pas logique, que les décisions ne répondent à aucune logique d’un point de vue libéral. Or nous vivons sur une planète dont l’économie et les échanges fonctionnent sur le libéralisme.

C’est capitalistiquement parlant aussi stupide de tuer la classe moyenne que de vouloir tuer 70 % des occidentaux avec un vaccin. Autant rendre les gens diabétiques puis leur refiler à vie un médicament anti-diabète a un sens, autant les tuer est totalement contre-productif. Pourquoi des entreprises tentaculaires comme Amazon accepteraient de mourir sans se battre ?

J’entends bien que certains ont fait des bénéfices colossaux durant la crise, mais est-ce pour autant réfléchi ou uniquement de l’opportunisme libéral ?

Covid : à qui profite le crime ?

Comme écrit ci-dessus, les Big Tech, Big Data et Big Pharma se sont bien gavés dans l’affaire, mais est-ce les seuls bénéficiaires ?

Pour un Bill Gates qui voudrait diminuer la population mondiale, nous devrons reprendre ce texte d’ici quelques années afin de déterminer s’il y avait une intentionnalité criminelle dans les effets secondaires des vaccins ou un simple calcul capitaliste en vendant de l’huile de vidange (comme diraient les guignols de l’info sur Canal+). Il en est de même de quelques maîtres du monde qui seraient issus d’une secte juive satanique dissidente qui auraient décidé d’accélérer l’arrivée de leur messie, théorie pour laquelle je ne dispose pas de preuves. On peut aussi raisonnablement se poser la question s’il n’y aurait pas des moyens plus simples et plus efficaces pour réduire la population mondiale que de leur filer un vaccin qui tue, certes, mais lentement.

Covid, Grand Reset et capitalisme.

Qui dit capitalisme dit croissance infinie, nouveaux marchés. Pour le libéralisme, tout est marché. Ainsi le Covid a été le marché des masques, des produits dérivés, de vaccins qui rendent malades, de médicaments qui soignent les maladies causées par le vaccin, etc.

Et il en est de même du marché de « l’écologie » qui consiste à rendre obsolètes tous nos biens afin de les renouveler le plus fréquemment possible pour « sauver la planète ».

Je le répète pour ceux qui douteraient de mes croyances. Je n’ai aucun doute sur le fait que ces grands qui possèdent la richesse du monde et qui en veulent plus sont des enculés sans conscience… Je suis bien d’accord qu’ils veulent des consommateurs les plus cons possibles. Je suis bien d’accord qu’ils veulent la main-d’œuvre la plus esclave possible. Je suis bien d’accord qu’ils veulent des malades à vie. Mais il y a un point qui cloche pour moi…

Le capitalisme ne veut pas de crédit social pour les déplacements, il ne veut pas vous confiner, il ne veut pas paralyser l’économie, il ne veut pas que votre argent dorme à la banque ou sous un matelas, il ne veut pas faire de vous un locataire à vie, il ne veut pas vous priver de toute possession…

Bien au contraire, il veut que vous soyez un consommateur qui dépense, cherche à avoir plus d’argent, qui possède, qui jette, qui rachète et qui s’endette à l’infini.

Les notions de suppression de la propriété, de voiture, de droit de prendre l’avion, du droit de consommer, relèvent de l’idéal communiste (et « écologique »)… absolument pas du libéralisme. C’est totalement contre nature !

Qui peut penser que Macron, employé de Rothschild, pourrait être au service du peuple ? Pourtant c’est bien ainsi qu’il s’est présenté et des millions de Français ont gobé ! Alors quand des maîtres de Davos qui portent une casquette « ultra-libéral », « maître du monde » proposent un programme qui relève plus de l’idéologie communiste que du libéralisme, devons-nous croire qu’ils sont ce qu’ils prétendent être ou portent-ils une casquette qui n’est pas la leur ?

De fait nous voyons bien que nous ne pouvons pas nous en tenir aux seuls libéraux ou psychopathes pour expliquer la crise et nommer ses bénéficiaires, sans parler de la Chine communiste.

Alors :

Un crédit social à la chinoise ou un crédit social chinois ?

La différence pourrait sembler minime, mais elle est pourtant primordiale.

Seuls un fou ou un corrompu pourraient nier que la crise du Covid a été une opportunité merveilleuse pour réduire nos droits.

Les Français ont été bien gâtés… Confinements, interdictions de circulation, fermeture de commerces non essentiels, passeport sanitaire puis vaccinal… et bientôt passeport climatique.

Le Canada n’est pas en reste avec un Premier Ministre qui a bloqué (ou menacé) les avoirs bancaires des manifestants, interdit la sortie du territoire ou retiré le permis à des « mauvais » citoyens soutenant le convoi des libertés (pour lequel je n’ai que de l’admiration).

Ce que les médias français appellent un crédit social à la chinoise.

Rappelons le principe de ce merveilleux « crédit » qui porte si bien son nom. Si vous traversez en dehors du passage pour piétons, votre visage s’affiche sur des écrans géants pour montrer que vous êtes mauvais citoyen et cet acte incivique peut vous valoir des points en moins et une interdiction temporaire de sortir de votre quartier. Ainsi un citoyen chinois peut avoir à présenter un QR-Code plus de 50 fois par jour afin de juger si ce qu’il s’apprête à faire lui est autorisé et valorisé ou pas.

Ma question est donc d’essayer de déterminer si ce crédit social « à la chinoise » est une cerise sur le gâteau, s’il est prémédité par nos gouvernements ou s’il est commandité par les autorités chinoises via l’adhésion de nos dirigeants au communisme, leur corruption ou leurs casseroles plus grandes que les chaudières du Titanic…

Je vous rappelle que le crédit social est antinomique du libéralisme.

Partons de l’hypothèse d’une mise en œuvre franco-française…

Interdire est globalement le leitmotiv des partis de gauche. Hasard ou pas, les seules voix dissidentes (mainstream) que nous avons entendues durant la crise, dussent-elles être l’œuvre d’une opposition contrôlée, étaient plutôt qualifiées de droite ou d’extrême droite par les médias.

La totalité (?) des personnels politiques de gauche ne jurant que par l’obligation vaccinale, le passe vaccinal, le confinement, le masque obligatoire et autres piétinements des droits de l’homme.

Il faut reconnaître que de nombreuses personnalités politiques dites de gauche ou de droite sont membres ou ont été membres de la France China Foundation.

Bref, j’entends qu’interdire pour un personnage politique ou un gouvernement est toujours intéressant pour contrôler ou s’assurer de la servilité de son peuple. De ce point de vue, l’opération est un franc succès : une écrasante majorité du peuple français est prête à tout accepter. Au plus fort de la crise, on leur aurait demandé de marcher à quatre pattes ou de mettre une plume dans le cul qu’ils auraient accepté sans sourciller.

Mais cela ne répond pas à ma question initiale qui est « simple mimétisme » ou « haute trahison » ?

Regardons les faits :

  • Les confinements : Compatibles avec l’idéologie communiste.
  • Le port du masque : Compatible avec l’idéologie et l’hygiénisme communistes.
  • Les passe-vaccinaux ou sanitaires et bientôt climatiques : Compatibles avec l’idéologie communiste.
  • Le crédit social : Compatible avec l’idéologie communiste.

Je vous rappelle que le capitalisme vit uniquement par les mouvements d’argent, de capitaux, de biens et de personnes. Donc si vous les paralysez, vous paralysez l’économie !

« Bizarrement », la bourse quant à elle ne croit pas à la fin du système, elle se porte bien… Pourtant les États occidentaux ont vu leur dette exploser avec un recours totalement délirant à la planche à billets.

Qui a accepté la dictature chinoise aux USA ? Les grandes villes, les États démocrates de gauche, profondément « woke » et « IEL »…

Qui a refusé la dictature chinoise aux USA ? Les zones rurales, les États républicains de droite profondément attachés à la liberté individuelle et anti-État centralisé.

Enfin, ajoutons :

  • que le virus est factuellement venu de Chine,
  • que son origine naturelle est fort improbable,
  • que la Chine a mis du temps à informer les pays occidentaux,
  • que la Chine a refusé toute enquête par les inspecteurs de l’OMS (le temps de détruire les preuves),
  • que la Chine a montré l’exemple au monde en confinant des millions de personnes en bonne santé (une première mondiale),
  • que le vaccin ARNm a été fabriqué sur les données chinoises du virus,
  • que la Chine peut paralyser les sociétés occidentales par un claquement de droit,

Cela plaide plus pour une attaque chinoise coordonnée qui a été dénoncée en son temps par « Trump l’abominable » qu’une attaque américaine ou un simple accident.

En résumé :

Les méthodes mises en œuvre dans la plupart des pays occidentaux sont bien compatibles avec la dictature communiste. De plus les dirigeants politiques des pays occidentaux ont des relations pour le moins suspectes avec le régime. Nous voyons aussi qu’ils ne dénoncent jamais la dictature communiste. Les Occidentaux sont économiquement pieds et points liés avec le régime communiste.

La Chine possède une partie non négligeable de la dette ainsi que de nombreuses entreprises occidentales. L’occident n’a aucun moyen de pression, pas même du fait de sa population et de son marché.

Force est donc de constater que même si les Big Tech et compagnie sont impliqués et ont vu une opportunité, le grand gagnant, le colosse est bien la Chine communiste.

Notons que tous ces Big… machins sont aussi dépendants de la Chine au moins pour leur production.

Question : Comment Pfizer aurait pu imposer une dictature communiste qui a mis en péril l’économie mondiale ? (L’industrie pétrolière aurait dit « OK !? »)
Question : Pourquoi l’OMS ferait la promotion d’une dictature communiste ?
Question : À quelle idéologie profite le crime ?
Question : Pourquoi le Grand Reset décrit une dictature communiste et non une dictature de droite ?

Quand bien même je ne dispose pas des preuves, il serait fou d’ignorer cette hypothèse/réalité…

Merci.

Alain Tortosa

22 février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220222-dictature-communiste-france.pdf




Interview de Nicole Delépine sur Les enfants sacrifiés du Covid

Par Nicole Delépine

Ligne droite du 21 février 2022 — Radio Courtoisie et les enfants sacrifiés du covid :

Émission (8 h 36 à 9 h) à propos du livre LES ENFANT SACRIFIÉS DU COVID nous revenons sur les faits établis : itw de Nicole Delépine

Quelques mots de l’interview

Les enfants ne risquent rien du covid et ne mettent pas les autres en danger, car ne contaminent pas ni adultes ni enfants ; le recul de deux ans confirme ce qu’ont dit dès mars 2020 les sociétés savantes.

Il n’y a pas de mortalité sauf comorbidité (immunodépression sévère) un décès rapporté au virus sur treize décès d’enfants avec le virus en deux ans.
Cette notion confirmée par la société française de pédiatrie et les autres depuis le début de la crise et encore aujourd’hui.

ZÉRO MORT DU COVID CHEZ L’ENFANT SAIN

N’AYEZ PAS PEUR

Pourquoi présenter l’enfant comme coupable : pour faire PEUR, imposer les confinements et inculquer l’idée que cela ne finira que par la vaccination pour TOUS

FERMER LES ÉCOLES IMPOSER LE TRAVAIL À DOMICILE

LA PEUR, L’INSTRUMENT DU POUVOIR PERVERS QUI VISE LA SOCIÉTÉ À LA CHINOISE POUR TOUS

La plandémie dans cet objectif ne pouvait ÉVITER d’intégrer LES ENFANTS. Les mesures n’auraient pas été possibles si on excluait les enfants

MESURES COERCITIVES

Les MASQUES sont de la maltraitance MALTRAITANCE dans de nombreux domaines :

Scolaire : régression d’environ deux ans déjà démontrée

Sociale : les enfants, petits, ne reconnaissent plus l’être humain et ils dessinent des humains amputés de bouche et nez

Physique : difficultés respiratoires, maux de tête, déformation du palais, etc.

Psychiatrique : perturbations majeures conduisant au suicide de très jeunes ; jamais vu avant

Toxiques : PROCÉDURE DE MAÎTRE JOSEPH SUR COMPOSITION DES MASQUES BOITES SANS INFO ET CONTIENDRAIENT DU GRAPHÈNE

VACCINS : risques chez les enfants

Décès immédiats dans les jours suivants les injections, mais aussi :

  • myocardites
  • troubles des règles chez les très jeunes filles
  • troubles neurologiques comme le syndrome de Guillain Barré, etc.

Et bien sûr effets inconnus à moyen et long terme parmi lesquels beaucoup d’inquiétude sur la fertilité d’une part et la crainte de maladie proche du creutzfeld jacob…

PASS ET TESTS CONDITIONNEMENT LA VIE À LA CHINOISE

Déshumanisation de l’enfant et de toute une génération.

Pourquoi ? Application du plan du forum de Davos dont la plandémie n’est qu’une étape.

En résumé ne pas avoir peur du virus qui se soigne très bien par les traitements précoces, avoir peur de l’injection expérimentale dite vaccin anticovid inutile et associé à de nombreux effets secondaires dont parfois des décès rapides. Craindre la mise en place d’une société à la chinoise qu’il faut absolument combattre maintenant de toutes nos forces.

N’AYEZ PAS PEUR !




« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019

[Source : Nexus]

Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et présidente de l’association Children’s Health Defense, est spécialisée dans la question des politiques vaccinales mondiales. En mars 2019, elle publiait dans le magazine Nexus n°121 une vaste enquête sur l’idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination dans ce qui semblait émerger en tant que marché global mondial. [Nexus le propose] en accès libre, ainsi qu’un second article d’elle paru dans le même numéro, avec en bonus un entretien vidéo avec elle tourné en février 2022.

Le travail de Senta Depuydt a récemment été découvert par beaucoup et reconnu comme étant « prophétique » puisqu’il décrivait avec précision, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.

La prophétie n’est pas l’objectif du journalisme, mais lorsqu’il se confond avec, alors on peut parler d’une enquête bien menée !

◆ Un article qui fait le buzz 3 ans après sa parution

Notre article de mars 2019 a rencontré un vif succès et a généré un buzz début janvier 2022 sur les réseaux sociaux : Twitter, Telegram, Facebook… Tout cela à partir d’un seul tweet. Les mots de cet article, avec le recul de la crise Covid, ont résonné fort dans l’esprit de beaucoup de Français :

Je viens de lire un article de Nexus qui date de mars 2019 et où tout ce qui arrive est décrit jusque dans le moindre détail.
Le prochain qui me dit qu’il n’y pas de plan, je lui fais bouffer le magazine feuillet par feuillet.

— Rhume 19 (@Rhume19) January 8, 2022

VACCINS UN PLAN MONDIAL

nexus n° 121 | mars-avril 2019

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politi-que de vaccination constante à l’échelle planétaire se déploie à grande vitesse.

par Senta Depuydt

À PROPOS DE L’AUTEURE

Senta Depuydt est diplômée en communication et journalisme de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales, tout en explorant des domaines parallèles. Confrontée à l’autisme, elle a mis en place de nouvelles approches médicales et éducatives, afin d’aider son fils à retrouver un développement optimal. Elle a ensuite approfondi et partagé abondamment ces informations dans des conférences et des articles, notamment lors du congrès Sortir de l’autisme, abordant aussi des sujets con-troversés comme l’impact des facteurs environnementaux ou de la vaccination.

Sans que cela ne provoque le moindre débat dans les médias ni au sein des assemblées, un programme de vaccination organise la mise en place d’un contrôle permanent des populations et des individus de tous âges. Cette stratégie élaborée dans le cadre de l’Agenda global pour la sécurité sanitaire, ou GHSA, est-elle en train de précipiter notre société à toute vitesse dans « le Meilleur des mondes » ?

Étrange passivité

C’est l’Argentine qui donne le coup d’envoi de cette politique de contrôle totalitaire par le biais de la vaccination. Le Congrès y a approuvé au mois de décembre une loi qui requiert de présenter le carnet de vaccination unique attestant d’une vaccination à jour lors de chaque formalité administrative : carte d’identité, passeport, permis de conduire, certificat pour une demande de mariage, etc.1 Alors que le pays s’est déchaîné sur les questions touchant à l’intégrité du corps, comme les lois concernant l’avortement ou pour le mariage pour tous, et s’est passionné pour des affaires d’abus de mineurs, c’est à l’unanimité et sans le moindre débat que cette loi imposant une ingérence permanente dans le corps de chaque individu a été votée. Bien évidemment, cette contrainte conditionne aussi l’accès à l’éducation, aux services de santé et à l’emploi.

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constituée de rats de laboratoire2 », écrit-il, en référence aux multiples essais cliniques dangereux, voire mortels, qui y ont été menés sans consentement, notamment avec le vaccin Synflorix3. Les médias argentins se sont pourtant abstenus de toute critique, ne relayant que les propos officiels.

Renforcer le leadership

Selon le Dr Carla Vizzotti, présidente de la Société de vaccinologie et d’épidémiologie,

« il s’agit d’une grande nouvelle pour la santé publique. Un projet qui est devenu loi en moins d’un an, une loi fédérale, appuyée par tous les partis du Congrès. Elle instaure la vaccination tout au long de la vie pour tous les vaccins qui seront inscrits au programme national. Et elle définit aussi la vaccination comme un bien d’intérêt social qui établit la prévalence de la santé publique sur les intérêts particuliers. »

De l’Allemagne à la Russie, la Corée du Nord ou la Chine, cette rhétorique de la prévalence du bien commun sur les intérêts de l’individu est la porte ouverte à tous les abus.

Rappelons que c’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. Lors de la réunion des ministres de la Santé, la vaccination y était largement à l’honneur, notamment avec le sujet de la résistance aux antibiotiques (contre laquelle la seule solution semble être la vaccination), mais aussi et surtout avec la thématique majeure de « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies ».

Dans la déclaration commune du 4 octobre 20184, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système propre pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent également en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, notamment par le soutien à la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat encore plus rapproché entre l’OMS et la Banque mondiale5.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne (organe le plus influent parmi les institutions européennes) émet une recommandation pour « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale6 », dans laquelle il préconise entre autres mesures de renforcer la vaccination et son financement, d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et de surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». Tout comme en Argentine, on y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de routine et des occasions de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré)scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. Pour ce faire, l’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Endoctrinement

C’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en France, qui est chargé de piloter ce projet «Joint Action on Vaccination » (« Action commune en faveur de la vaccination ») et d’organiser une banque de données avec le statut vaccinal de chaque citoyen en temps réel, permettant de croiser et d’échanger les données entre différents systèmes de santé, ou d’envoyer des SMS ou des mails pour notifier les rappels de vaccins aux individus concernés.

La recommandation prévoit aussi d’inculquer les principes de la vaccination dans les écoles, notamment les écoles européennes, ainsi que dans tous les types d’enseignement. Par ailleurs, on prévoit d’éliminer les contestations sous prétexte d’une stratégie européenne pour lutter contre les fake news et la désinformation en ligne7. Enfin, démarche inquiétante, l’Union prévoit de financer la recherche en sciences sociales et comportementales pour déterminer les facteurs menant à la réticence à la vaccination dans différentes catégories de population et parmi les travailleurs de la santé (article 15 de la recommandation du Conseil de l’UE)8.

Des motifs de résistance

Il s’agit bien là d’une politique extrêmement contraignante et qui s’appliquera dans toute l’Europe, même s’il pourrait être difficile d’instaurer une obligation légale dans certains pays. Dans la plupart des démocraties d’Europe de l’Ouest, le principe du libre consentement éclairé et l’interdiction de l’expérimentation médicale forcée ont imprégné les esprits avec le procès et ensuite le code de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies. D’ailleurs, Angela Merkel, interrogée en octobre 2017 alors que l’extension des obligations vaccinales en France était à l’ordre du jour, déclarait dans un podcast vidéo :

« En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous paraît tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa propre décision. »

Quelques mois plus tôt, en mai 2017, le Parlement suédois avait lui aussi rejeté une loi instaurant des obligations vaccinales9, au motif que, d’une part, le programme vaccinal en place semblait remplir ses objectifs et que, d’autre part, les associations avaient rappelé à juste titre l’existence de dommages vaccinaux et le fait qu’une telle obligation était contraire aux libertés garanties par la Constitution.

Forcing

Quoi qu’il en soit, là où le respect du libre consentement semble bétonné par différentes lois, il sera toujours possible d’imposer une forme d’obligation dans la pratique. Les contraintes sont nombreuses : refus d’accès aux lieux et services publics, aux établissements d’enseignement ou centres commerciaux, ou aux moyens de transport, ce qui reviendrait presque à une forme d’assignation à résidence.

Les incitations à la vaccination pourraient se décliner à travers des bonus et des compensations ou, au contraire, une augmentation des tarifs d’assurance et de soins de santé, voire la diminution des allocations pour les non-vaccinés, comme c’est déjà le cas en Australie, où le gouvernement mène une politique draconienne.

En effet, à la suite de la campagne « No jab, no play », organisée par News Corp – le groupe de presse de Rupert Murdoch, dont le fils James a longtemps siégé au conseil d’administration du laboratoire GSK –, le gouvernement australien a adopté en janvier 2016 la loi coercitive « No jab, no play ; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés10.

Politique autoritaire

L’Australie semble inspirer l’Europe et cette ligne autoritaire et « criminalisante » a d’ailleurs été esquissée par Martin Seychell, le directeur général adjoint de la direction générale Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, lorsqu’il a affirmé que « la non-vaccination menace la vie d’autrui » dans une position qui exclut tout droit à la non-vaccination. S’adressant aux associations et partenaires de la société civile lors d’une réunion au Parlement organisée par Active Citizens in Europe advocate for vaccination (« Citoyens actifs en Europe pour la vaccination »), une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance. Parmi ses objectifs prioritaires : la vaccination de la population adulte et le rattrapage des « rappels ». C’est bien entendu le vaccin de la grippe qui sera au cœur de cette campagne, un produit qui a l’avantage commercial indéniable de devoir être refait chaque année.

Lors de cette réunion, un autre intervenant, le Dr David Salisbury, a poursuivi dans la même veine en vantant les bienfaits d’une vaccination « comme à l’armée ». Chaque citoyen sera convoqué par mail ou SMS via un message lui proposant une heure de rendez-vous dans un centre de vaccination où l’on vaccine à la chaîne, sans qu’une visite préalable soit nécessaire. Gain de temps, données inscrites sans délai dans le carnet de santé numérique, la vaccination devient une obligation citoyenne et passe de l’acte médical à l’acte administratif. Ce qui n’a rien de rassurant11.

Prudence de longue date

Le principe de l’obligation vaccinale a toujours été contesté partout, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, y compris à l’époque de la variole. C’est sur la seule base du caractère d’« état d’urgence » et de « danger imminent » que les premières obligations vaccinales ont été admises. Il est intéressant de noter que dans le verdict initial américain Jacobson vs Massachusetts rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1905, et qui autorise pour la première fois une obligation vaccinale contre la variole en vertu de ce motif d’exception, on peut lire des mises en garde très sérieuses. Face à « la possibilité d’un usage arbitraire et oppresseur d’un pouvoir policier », ou au « fait d’aller bien au-delà de ce qui était indispensable pour assurer la santé publique », la Cour appelle clairement à rester « vigilant afin d’examiner et de contrecarrer les prétentions déraisonnables du pouvoir étatique12 ».

Passe-droit incompréhensible

Un siècle plus tard, les obligations sont désormais motivées par de simples impératifs commerciaux, sans qu’il y ait la moindre urgence de santé publique. Il faut se rappeler qu’en France, il y a à peine deux ans, l’État avait été condamné pour excès de pouvoir, car en l’absence d’un triple vaccin DTP sur le marché correspondant aux vaccins prescrits par la loi, il imposait dans les faits l’utilisation d’un vaccin hexavalent13. En l’absence d’épidémies de polio ou de diphtérie (le tétanos n’étant jamais contagieux), le maintien de telles obligations ne se justifiait plus14 et la France aurait pu les supprimer, s’alignant ainsi sur le principe du libre choix comme c’est le cas dans de nombreuses démocraties européennes. Malheureusement, l’État a choisi d’étendre et d’adapter les obligations à l’offre du marché. Avec une législation solide en faveur des droits des patients, des experts partagés sur la sûreté, l’utilité et l’efficacité des vaccins et des taux de vaccination en hausse, personne n’imaginait que cette mesure puisse être votée. Pourtant, un passe-droit a été créé avec la redoutable « stratégie de la menace », développée et menée à l’échelle internationale par le GHSA (Agenda global pour la sécurité sanitaire) à travers la campagne d’une menace du retour de la rougeole.

[Voir cependant :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
et
L’enterrement de la théorie virale]

État d’urgence permanent

C’est en novembre 2014, lors d’une première réunion à la Maison Blanche, que le GHSA a véritablement lancé cette stratégie globale de la menace. Y participaient non seulement les principaux responsables de la santé du monde entier, mais aussi le département de la Défense américain et Interpol. Alors que l’objectif du GHSA est d’assurer la sécurité sanitaire en cas d’alerte majeure pour la santé, par exemple en cas d’accident nucléaire ou de bioterrorisme (imaginons la réintroduction de la variole lors d’une guerre), une première dérive s’opère d’emblée dans la désignation de la rougeole comme menace sanitaire. Élément essentiel déjà évoqué, l’argument sécuritaire est en réalité le seul qui permette de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. Mais la désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient quelques mois à peine après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole15. Loin de représenter un véritable danger, la menace de la rougeole intervient comme une contre-attaque face aux accusations de fraude scientifique, tandis que la vaccination en masse et surtout les obligations se profilent comme le moyen le plus efficace de garantir un marché qui pourrait accuser des pertes.

Les principaux objectifs annoncés à l’issue de cette réunion furent de développer une surveillance accrue, de renforcer les leaderships et de modifier les législations nationales en faveur de la vaccination généralisée. Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95 % sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe16 ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Deux ans plus tard, quelques jours avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent ainsi la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Comme la rougeole ne décime pas des populations et que les taux de vaccination ont augmenté dans la majorité des pays, le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera soit le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger inconnu, comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard17 ». La grippe est l’un des thèmes favoris de Bill Gates et des producteurs de vaccins, mais en 2018 s’ajoute dans la liste des dangers prioritaires la « maladie X18 », une maladie qui n’existe pas encore, mais qui permet de financer en priorité « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

[Note de Joseph : cette maladie X a été nommée Covid-19, mais son virus n’a jamais été effectivement isolé, de même que pour les autres prétendues maladies virales, et ses symptômes regroupent ceux d’affections déjà connues, notamment les grippaux. Voir notamment :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais (leur nombre dépasse maintenant les 120)
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

Tout récemment, l’OMS a même qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé19. Si les médias et les nombreux lobbies scientifiques sont déjà sous contrôle des institutions et de l’industrie, le rôle de l’information sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs sera sans doute un élément décisif dans cette bataille pour un libre choix.

Autre dérive qui s’inscrit dans la même logique de menace sanitaire : « Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme des fléaux majeurs ! » selon les textes de l’Union européenne20. En d’autres termes, peu importe la maladie et son degré de dangerosité ou de contagion. Il suffit qu’un vaccin soit développé pour que cela puisse justifier le fait de le promouvoir, et même de le rendre obligatoire. Au-delà d’une interrogation légitime sur ce qui s’apparente à une forme de racket, il est aussi nécessaire d’envisager cette politique de vaccination sous d’autres aspects.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a un glissement manifeste qui s’opère de la surveillance des maladies, où il s’agit de détecter les foyers infectieux et d’y apporter une réponse sanitaire, à une surveillance accrue des citoyens. À partir de là, différentes dérives sont susceptibles de se produire. D’une part, les données récoltées pourraient être utilisées (« valorisées », c’est-à-dire commercialisées) ou exploitées d’une manière ou d’une autre (par les assurances notamment), sans le moindre consentement.

Le suivi des recommandations officielles pourrait-il conditionner l’accès à d’autres prestations ou leur remboursement ? Ne risquerait-on pas d’aboutir à une sorte de carnet de santé à points ?

D’autre part, Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé qui permet de poursuivre les individus à travers différents États. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu Eugenics Building au Kansas Free Fair était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menaces à la santé globale » et que l’Union européenne finance par ailleurs des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents à la vaccination, il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Il ne s’agit pas ici de porter des accusations ni de spéculer sur les intentions des politiques actuelles, mais de fournir des éléments permettant de comprendre les enjeux de la vaccination dans un cadre élargi, afin de mettre en place une série de garde-fous. Ce sujet n’est jamais abordé de manière sérieuse, alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opi-nions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui.

Éliminer les faibles

Il est intéressant de se pencher sur l’exemple de la Fondation Rockefeller, qui joue un rôle crucial dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut de recherche de la fondation a été créé en 1901 sous la direction de William Welch, un scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin contre la polio. Welch, comme nombre de ses collaborateurs, était un eugéniste notoire et siégeait au conseil d’administration de l’Eugenics Record Office21, un organisme qui avait entrepris de ficher des millions d’Américains afin d’identifier les lignées les plus faibles de la population et de les éliminer par différentes méthodes, incluant la stérilisation et l’euthanasie22. D’après les documents retracés dans l’ouvrage d’Edwin Black War Against the Weak : Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race (Guerre contre les faibles : l’eugénisme et la campagne américaine visant à créer une race de maîtres) (Expanded Edition, Dialog Press, 2012), les racines idéologiques et même les méthodes d’extermination nazies, y compris les chambres à gaz, furent empruntées aux eugénistes californiens. La Fondation Rockefeller aurait versé près de 100 millions de dollars à l’Eugenics Record Office, mais elle joua aussi un rôle capital dans le développement des instituts eugénistes en Allemagne, notamment le Keiser Wilhelm Institute. Elle y soutenait déjà les travaux de l’épouvantable Dr Mengele avant la guerre, ainsi que ceux de Rudin23. Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben24. La Standard Oil poursuivit son partenariat avec IG pendant la guerre et facilita le déploiement militaire allemand. IG Farben est la compagnie qui fit construire des camps de travail à Auschwitz et participa aux expérimentations humaines dans les camps de concentration, dont certaines portaient d’ailleurs sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies25. C’est aussi IG Farben qui fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

Malheureusement, la guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la Fondation Rockefeller a continué de les soutenir via les programmes menés sur le plan national et international. Aux États-Unis, les programmes de stérilisation ont eu lieu jusque dans les années 1950 ou même 1970 (en Caroline du Nord)26 et ce n’est que récemment que des programmes d’indemnisation des victimes ont été approuvés27. De nombreux présidents américains ont partagé ces mêmes conceptions et objectifs politiques. En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt estime « que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire28 ». Entre la Deuxième Guerre mondiale et la fin des années 1980, plusieurs générations de la famille Bush sont aussi étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la Fondation Rockefeller29. En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain dans lequel il définit les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population, dont la mise en œuvre est notamment prévue par des programmes internationaux comme l’USAID30.

C’est principalement sous l’impulsion du Britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme avec son frère Aldous, auteur du Meilleur des mondes, que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial31.

Bien que farouchement opposé au nazisme (car il contestait la sélection à partir de la race), Huxley était toutefois profondément influencé par les théories évolutionnistes et prônait une philosophie sociale enracinée dans la biologie… En résumé, éliminer les plus faibles, pour favoriser les plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’UNESCO, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer de manière systématique les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale demeure la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développer des vaccins stérilisants a été lancé par l’OMS en 197232 en collaboration avec le FNUP (Fonds des Nations unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés (Rockefeller, Planned Parenthood, UNAIDS, etc.) dans le cadre du « Expanded Program of Research, Development, and Research Training in Human Reproduction33 » (« Programme élargi de recherche, de développement et de formation sur la reproduction humaine »). Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 199334, un premier vaccin efficace est mis au point en combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse (hCG). Ce vaccin a donc des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes non fécondées pour une période allant de six mois à un an. Essentiellement destinés aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient censés être proposés comme contraceptif à des femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause », mais qu’en est-il dans la pratique ?

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, de nouveaux produits sont apparus et le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit des noms plus neutres de produits ou de leurs composants35. Par exemple, le DMPA, ou Depo-Provera, contraceptif injectable qui est largement promu par la fondation Bill et Melinda Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, une campagne amorcée avec le gouvernement britannique et qui cible particulièrement les pauvres, notamment en Inde (Mission Parivar Vikas). Ce produit a pourtant reçu une mention « black box36 » aux États-Unis, car il est associé à une augmentation des cancers du sein, de l’ostéoporose et d’un retour à la fertilité difficile après arrêt du traitement. Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 201737, le libre consentement éclairé affiché de cette campagne est une farce. On attire des femmes illettrées en leur donnant cent roupies sans leur parler des risques, alors qu’il existe sans doute d’autres moyens contraceptifs plus sûrs et plus appropriés à leur besoin.

En Inde, la plupart des médecins ont encore une approche très malthusienne de la santé et la société est toujours imprégnée du système de castes et de divisions ethniques. Aussi, quand le gouvernement a introduit les campagnes de contraceptifs injectables, de nombreuses associations s’y sont opposées, afin de se prémunir contre d’éventuelles dérives eugénistes. Par ailleurs, comme le précisent ces associations, promouvoir de telles options, sans même prendre en considération la santé globale et le bien-être de la femme, résulte tout simplement d’une forme de contrôle et de privation de liberté des femmes.

En ayant cela à l’esprit, s’interroger sur les campagnes de vaccination menées par les puissants de la planète et les organisations internationales qu’ils dirigent tient d’un devoir de précaution légitime. Les faits qui se sont déroulés il y a quelques années au Kenya en sont bien la preuve.

Tétanos à l’hormone de grossesse

En novembre 2014, l’Église catholique du Kenya a sonné l’alarme après avoir constaté une importante augmentation de fausses couches et de problèmes de fertilité. Des médecins kényans avaient fait analyser dans quatre laboratoires du pays des échantillons du vaccin antitétanique distribué par l’OMS. Près de la moitié des lots semblaient contenir des hormones de grossesse. L’association des médecins catholiques a accusé l’OMS de procéder à un programme de dépopulation. Le fait que le calendrier vaccinal proposé ait différé du calendrier habituel recommandé pour le tétanos indique qu’il s’agit là soit d’une grave négligence, soit d’un acte intentionnel38.

Si l’OMS a bien rédigé une réponse indignée devant des accusations aussi lourdes, elle s’est contentée de discréditer la fiabilité des laboratoires ayant procédé aux analyses.

Contraceptif télécommandé

Les récentes plaintes pour faits de sexisme et de discrimination raciale systématique au siège même de l’OMS viennent ternir un peu plus les images d’humanité et de bienfaisance véhiculées dans les campagnes de communication de l’organisation.

Pas de quoi renforcer la confiance dans l’OMS, ni en Bill Gates, qui en est le principal financier et pour qui le contrôle de la population sous toutes ses formes semble être une obsession majeure, comme en témoigne une conférence Tedx 201039, alimentant depuis longtemps les doutes quant à ses véritables intentions. S’il n’affiche pas d’opinion raciste ou ouvertement eugéniste, il faut noter que ses parents étaient parmi les dirigeants de « Planned Parenthood », organisation qu’il gère encore actuellement et dont l’activité principale consiste à pratiquer l’avortement. Or, à l’origine, cette association plaidait ouvertement pour une stérilisation forcée des « moins désirables », minorités pauvres (en particulier Afro-Américains), handicapés physiques et mentaux ou même épileptiques40.

La fondation Gates finance en tout cas de nombreuses recherches sur la contraception, notamment un contraceptif télécommandé via une microcapsule qui libère des hormones durant près de seize ans, mais qui peut être désactivée par un signal envoyé par un médecin… Plutôt stressant lorsque l’on apprend que la FDA a émis une mise en garde préalable sur le fait que ce type de dispositif est susceptible d’être piraté41 !

Il est aussi effrayant de voir à quel point toutes ces « avancées » impliquent un assujettissement accru au corps médical.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Élaborés avec l’aide du gouvernement américain 42, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien43, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de polysorbate 8044 et de borate45 pourrait en être la cause. Ces deux produits ont une action toxique sur le système reproductif et peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation ainsi que des malformations fœtales. Une étude récente de Gayle DeLong a noté que, dans une population de 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, celles vaccinées avec l’anti-HPV avaient presque deux fois moins de grossesses46. Pour l’instant, il n’y a, comme souvent, pas assez de données permettant de confirmer ou de réfuter un lien de causalité entre l’infertilité et le vaccin.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont en tout cas au rendez-vous de l’agenda vaccinal, et les organisations internationales investissent dans ces outils pour assurer leur mission. Dans une interview de novembre 201747, Seth Berkley, le directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide du Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

L’utilisation régulière de drones pour le transport de vaccins commence aussi à se répandre, notamment au Rwanda ou dans l’archipel de Vanuatu48. Enfin, il explique qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec une compagnie nommée Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous forme de collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné et mis à jour avec un téléphone portable par les équipes de vaccination, afin d’avoir une information fiable. Toujours selon Berkley, tout cela devrait permettre de devenir plus ambitieux et de viser une couverture vaccinale de 100 % des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Face à un tel déploiement de moyens, il convient de s’interroger. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre en cause le développement de la recherche ou de la technologie. Des thérapies génétiques pourraient un jour renverser un pronostic mortel, et un médicament délivré en urgence par drone sauver une vie. Mais les meilleures intentions peuvent aussi avoir les pires conséquences. Plus que jamais, il convient de rester vigilant. Ces questions doivent impérativement être évaluées sur un plan éthique, car elles peuvent entraîner une forme d’assujettissement de la personne et un risque de privation de liberté peu acceptables.

[Note de Joseph : les thérapies géniques ont largement démontré leur nocivité et leur incapacité à réellement améliorer la santé humaine, notamment par les récents pseudo vaccins anti-Covid.
Voir :
La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Sauvons les enfants des injections géniques
Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité
Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ
Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans
Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19]

Vaccins et injections transhumantes

Pour voir encore plus loin la portée des enjeux d’une politique de vaccination obligatoire et massive, il faut s’intéresser au développement de nouvelles technologies dans le domaine des vaccins et des injections. L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain. Ici, l’on n’injecte plus un antigène (par exemple le virus atténué de la rougeole) pour susciter une réponse sous forme d’anticorps, mais un nouveau matériel génétique synthétique véhiculé par un vecteur (un virus qui circule rapidement), encodant des protéines résistantes à diverses maladies. Cette nouvelle approche, que l’on nomme aussi plus discrètement immunoprophylaxie vectorielle49, court-circuite le fonctionnement traditionnel du système immunitaire et modifie le profil génétique de l’individu vacciné. Les recherches actuelles visent à l’utiliser pour des vaccins contre la malaria, la dengue, l’hépatite C, le VIH et… la grippe.

On imagine facilement que ces nouveaux produits pourraient venir à point nommé remplacer les vaccins classiques trop critiqués en raison de la toxicité de leurs adjuvants. Mais d’autres risques se profilent… celui de la mutagenèse (ou la modification non prévue du patrimoine génétique propre). De même, que penser de la tolérance et des effets à long terme d’une technologie dont on ignore tout ? Enfin, cela met à disposition de ceux qui contrôlent la production et la diffusion des vaccins un moyen de modification constant de la génétique de différents groupes d’êtres humains.

Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole. Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes est une situation hautement alarmante. Un débat ouvert sur la démographie, la contraception ou les modifications génétiques doit pouvoir avoir lieu, mais le plus urgent est de sauvegarder nos libertés et nos droits fondamentaux.

Senta Depuydt

Références

Note : seuls quelques liens sont fonctionnels…

  1. https://www.lanacion.com.ar/2202208-para-renovar-dni-pasaporte-registro-habra-presentar
  2. https://loveartnotpeople.org/2018/12/20/mi-resena-de-como-la-verdadera-vio-lacion-no-fue-la-de-juan-darthes-sino-la-del- estado-entongado-con-dios-sabe-quien-forzandonos-a-darnos-todas-las-vacunas-contra-nuestra-voluntad/
  3. https://redbioetica.com.ar/glaxosmithkline-sigue-pagando-multas/
  4. http://www.g20.utoronto.ca/2018/2018-10-04-health.html
  5. https://www.worldbank.org/en/news/press- release/2018/09/10/global-prepa-redness-monitoring-board- convenes-for-the-first-time-in-geneva ; https:// www.who.int/ news-room/detail/24-05-2018-who-and-world-bank-group-join-forces-to-strengthen-global-health-security
  6. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  7. Commission Communication on Tackling Online Disinformation: a European Approach, COM(2018) 236. Communication de la commission intitulée « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne », COM(2018) 236 final.
  8. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  9. http://freedomeurope.net/en/riksdagen-rostade-nej-till-lagar-om-obligatorisk-vaccinering/
  10. https://www.ageofautism.com/2018/07/are-the-murdochs-dictating-vaccina-tion-policy-in-australia-in-the-best-interests-of-glaxosmithkline.html
  11. Propos entendus lors de la réunion « Active Citizens for vaccination in Eu-rope » du 7 novembre 2018 au Parlement européen et article
    https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-%20de-vie/news/no-freedom-of-choice-in-vaccination-top-eu-health-official-insists/
  12. https://supreme.justia.com/cases/federal/us/197/11/ et https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-mandates-results-dont-safeguard-chil-drens-rights-or-health-how-did-we-get-here/
  13. http://www.avocat-bergel.com/wp-content/uploads/2017/06/VACCINS-let-tre-à-la-Ministre-exécution-2.pdf
  14. Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politique, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017).
  15. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117 (juillet-août 2018) ;
    Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politi-que, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017) ;
    Aveux enre-gistrés dans le documentaire Vaxxed :
    www.vaxxedthemovie.com/fr ;
    Déclara-tion officielle de William Thompson suite au documentaire :
    https://www.rescuepost.com/files/william-thompson-statement-27-august-2014-3.pdf
  16. Ce dogme est pourtant contredit par la réalité épidémiologique : le vaccin n’offre qu’une protection temporaire, ne fonctionne pas dans 10 % des cas et n’agit que sur certaines souches, ce qui explique que la rougeole affecte aussi les personnes vaccinées. Malheureusement, même si des experts réputés tels que le professeur Didier Raoult ou l’épidémiologiste Bernard Guennebaud n’hési-tent pas à la qualifier de « fantascience », cette notion fait passer la vaccination de masse pour un acte éthique et scientifique (cf. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117, juillet-août 2018). Interview par Prévention Santé du professeur Didier Raoult : « Vaccins, Science et Vérité » :
    https:// www.youtube.com/watch?v=gssKVHpKBwk&t=773s
  17. https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019
  18. https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/en/ ;
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-oms-estime-que-la-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-menace-mondiale_121999
  19. https://www.newsweek.com/world-health-organization-who-un- global-health-air-pollution-anti-vaxxers-1292493
  20. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/ ;
    http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8679-2018-INIT/en/pdf
  21. https://www.dnalc.org/view/10950-Eugenics-Record-Office-board-of-scien-tific-directors-and-functions.html
  22. https://vactruth.com/2010/08/18/rockefeller-vaccine-secret-revealed/ ;
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  48. https://www.vaccinestoday.eu/stories/adult-vaccination-can-technology-help-improve-access-and-uptake/
  49. https://tdtmvjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/ s40794-017-0046-0

◆ Un retour trois ans plus tard, en 2022

Senta Depuydt revient dans un entretien au micro de Nexus sur les raisons de ce succès, les enjeux et les contours de l’idéologie vaccinale mondiale, les grandes institutions impliquées dans l’agenda vaccinal, le lien avec la crise Covid et les solutions qui s’offrent aux citoyens.

Interview intitulée « Covid-19 & Vaccination mondiale, retour sur la “prophétie Nexus” avec Senta Depuydt »(([1] https://odysee.com/@MagazineNexus:b/LaProphetieNexus:5 ))




Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

[Source : cv19.fr 4 février 2022]

[Mise à jour : le site cv19.fr n’est plus fonctionnel, mais on peut encore retrouver au moins une partie de son contenu sur le site Internet archive.org :
https://web.archive.org/web/20230000000000*/https://cv19.fr
avec par exemple sa copie trouvée en date du 27 juillet 2022 :
https://web.archive.org/web/20220727021211/https://cv19.fr/]

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, vient de rendre publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.
C’est l’un des derniers éléments qu’il manquait pour complètement réfuter, méthodiquement, toutes allégations d’un nouveau virus contagieux responsable d’une nouvelle maladie tel que décrit et accepté actuellement.

Pour résumer simplement cette étude assez technique, la publication à l’origine du premier génome du SARS-CoV-2 n’est pas reproductible, car les données fournies ne permettent pas d’aboutir aux mêmes résultats.

Il est également démontré que les données publiées ont été manipulées (dans le sens « travaillées ») et qu’elles ne correspondent pas à ce qu’elles devraient normalement représenter tel que revendiqué.

Ce simple article, sur la base de différentes études virologiques et à l’aide de plusieurs outils bio-informatiques, permet de remettre en cause l’ensemble du bien-fondé du domaine de la génétique appliquée à la virologie moderne, et donc du SARS-CoV-2, le virus présumé responsable de la maladie Covid-19, dont la réalité repose presque exclusivement sur ces méthodes et techniques.

Vous pouvez retrouver l’étude complète au format PDF en anglais ci-dessous ou traduite en français plus bas.

Voir aussi les tableaux et figures :


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie
Une approche élémentaire à partir de l’exemple du SARS-CoV-2

Auteur

Par un mathématicien de Hambourg, qui souhaite rester anonyme.

Abstract

Le séquençage méta-transcriptomique de novo ou le séquençage du génome entier sont des méthodes acceptées en virologie pour la détection de prétendus virus pathogènes. Dans ce processus, aucune particule virale (virion) n’est détectée et, au sens du mot isolement, isolée et caractérisée biochimiquement. Dans le cas du SARS-CoV-2, l’ARN total est souvent extrait d’échantillons de patients (par exemple : liquide de lavage broncho-alvéolaire [LBA] ou écouvillons de gorge) et séquencé. Notamment, il n’y a aucune preuve que les fragments d’ARN utilisés pour le calcul des séquences du génome viral soient d’origine virale.

Nous avons donc examiné la publication « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » [1] et les données de séquence publiées associées avec le bioprojet ID PRJNA603194 daté du 27/01/2020 pour la proposition de séquence génétique originale du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3). Une répétition de l’assemblage de novo avec Megahit (v.1.2.9) a montré que les résultats publiés ne pouvaient pas être reproduits. Nous avons peut-être détecté des acides ribonucléiques (ribosomaux) d’origine humaine, contrairement à ce qui a été rapporté dans [1]. Une analyse plus poussée a fourni des preuves d’une possible amplification non spécifique des lectures pendant la confirmation par PCR et la détermination des terminaisons génomiques non associées au SARS-CoV-2 (MN908947.3).

Enfin, nous avons réalisé des assemblages de référence avec des séquences génomiques supplémentaires telles que le SARS-CoV, le virus de l’immunodéficience humaine, le virus de l’hépatite delta, le virus de la rougeole, le virus Zika, le virus Ebola ou le virus de Marburg, afin d’étudier la similarité structurelle des données de séquence actuelles avec les séquences respectives. Nous avons obtenu des indications préliminaires selon lesquelles certaines des séquences du génome viral que nous avons étudiées dans le présent travail pourraient être obtenues à partir de l’ARN d’échantillons humains insoupçonnés.

Mots-clés

SARS-CoV-2, COVID-19, Virus, assemblage de novo, séquençage du génome entier, WGS, bioinformatique, PCR, SARS-CoV, Bat SARS-CoV, virus de l’immunodéficience humaine, VIH, virus de l’hépatite, virus de la rougeole, virus Zika, virus Ebola, virus de Marburg.

Introduction

Pour construire des séquences génomiques virales, les acides nucléiques (ARN ou ADN) sont isolés à partir de diverses sources d’acides nucléiques telles que le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA) [1, 2], les écouvillons nasopharyngés [3, 4, 5, 6, 12, 13], les composants de culture cellulaire ou les surnageants de culture cellulaire [2, 11, 12, 13, 14, 16], ainsi qu’à partir d’échantillons humains [8, 9, 10, 16] et animaux [7, 15], puis séquencés. Dans ce processus, les acides nucléiques obtenus ne proviennent pas exclusivement de particules (de virus) préalablement isolées, c’est-à-dire séparées de tout le reste, mais souvent de l’échantillon entier. Ainsi, l’origine des fragments d’acide nucléique utilisés pour calculer les séquences génomiques n’est a priori pas claire.

Dans le cas des acides ribonucléiques (ARN), ceux-ci sont d’abord transcrits en ADNc à l’aide d’une ADN polymérase ARN-dépendante. L’ADN ou l’ADNc est ensuite fragmenté à l’aide d’enzymes et amplifié par réaction en chaîne par polymérase (PCR) avant que le séquençage proprement dit, c’est-à-dire la détermination de la séquence nucléotidique des courts fragments d’ADN ou d’ADNc, n’ait lieu. Lors de l’amplification, outre des séquences d’amorces aléatoires (hexamères aléatoires), des séquences d’amorces hautement spécifiques sont également utilisées en fonction des génomes de référence ou des génomes cibles considérés [par exemple : 1, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 17, 18]. Enfin, les données de séquence ainsi obtenues sont traitées à l’aide d’algorithmes bioinformatiques.

Deux méthodes courantes pour déterminer les séquences du génome viral sont l’assemblage méta-transcriptomique de novo [1, 12] et le séquençage du génome entier (whole genome sequencing) [3, 4, 5, 6, 17, 18]. Alors que l’assemblage méta-transcriptomique de novo n’utilise souvent aucune séquence de référence ou seulement des séquences de référence en aval, le séquençage du génome entier utilise un grand nombre de séquences d’amorces spécifiques, dont certaines couvrent déjà ensemble 4 à 17 % du génome cible [1, 17]. Pour l’amplification de l’ADNc, 35 à 45 cycles sont souvent utilisés [1, 6, 17].

Dans le cas du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3) [1], la proposition de séquence du génome viral a été calculée par assemblage méta-transcriptomique de novo de l’ARN total provenant du LBA (lavage broncho-alvéolaire) d’un patient de Wuhan, en Chine. Les assembleurs Megahit (v.1.1.3) et Trinity (v.2.5.1) ont été utilisés pour assembler les contigs. Megahit a généré un total de 384 096 (200 nt – 30,474 nt) et Trinity a calculé 1 329 960 (201 nt – 11,760 nt) contigs. Les grandes différences entre les deux assemblages sont notables. Selon [1], le plus long contig assemblé avec Megahit présentait une grande similarité nucléotidique (89,1 %) avec le génome de la chauve-souris SL-CoVZC45 (GenBank : MG772933) et a été utilisé pour concevoir des amorces pour la confirmation par PCR et les terminaisons du génome.

L’organisation du génome viral a été déterminée par alignement de séquences sur deux espèces représentatives du genre Betacoronavirus, un coronavirus associé à l’homme (SARS-CoV Tor 2, GenBank : AY274119) et un coronavirus associé aux chauves-souris (bat SL-CoVZC45, GenBank : MG772933).

Aucune particule virale pathogène associée de manière unique à la séquence MN908947.3 n’a été identifiée et caractérisée biochimiquement à partir de l’échantillon du patient. Au contraire, l’ARN total a été extrait et traité à partir du LBA d’un patient. Il n’y a pas de preuve que seuls des acides nucléiques viraux ont été utilisés pour construire le génome viral revendiqué pour le SARS-CoV-2. De plus, en ce qui concerne la construction du brin de génome viral revendiqué, aucun résultat d’éventuelles expériences témoins n’a été publié. Ceci est également vrai pour toutes les autres séquences de référence considérées dans le présent travail. Dans le cas du SARS-CoV-2, un contrôle évident serait que le génome viral revendiqué ne puisse pas être assemblé à partir de sources d’ARN non suspectées d’origine humaine, ou même d’autres origines.

Dans la présente publication, nous avons étudié la reproductibilité des assemblages de novo en utilisant les données de séquence originales publiées pour le travail original sur le coronavirus SARS-CoV-2 [1]. Nous avons également étudié la similarité structurelle des données de séquence actuelles avec d’autres séquences virales de référence accessibles au public pour le SARS-CoV (chauve-souris) [1, 7, 13, 14], le virus de l’immunodéficience humaine [8], le virus de l’hépatite delta [9], le virus de la rougeole [11, 12], le virus Zika [10], le virus Ebola [15] et le virus de Marburg [16] (Tableaux et Figures : Tableau 3). A cette fin, nous présentons ici un protocole bioinformatique simple. Pour valider nos résultats, nous avons également considéré des séquences génomiques générées de manière aléatoire et fictive afin d’exclure le caractère purement aléatoire de nos résultats.

Section principale

Reconstitution de l’assemblage de novo des données de séquence publiées

Pour répéter l’assemblage de novo, nous avons téléchargé les données de séquence originales (SRR10971381) du 27/01/2020 au 11/30/2021 en utilisant les outils SRA [19] à partir d’Internet. Pour préparer les lectures en paires pour l’étape d’assemblage avec Megahit (v.1.2.9) [20], nous avons utilisé le préprocesseur FASTQ fastp (v.0.23.1) [21]. Après avoir filtré les lectures en paires, 26 108 482 des 56 565 928 lectures initiales sont restées, avec une longueur d’environ 150 pb. Une grande partie des séquences, vraisemblablement une majorité de celles d’origine humaine, ont été écrasées par les auteurs avec « N » pour inconnu et donc filtrées par fastp. Ceci doit être considéré comme un problème au sens de la scientificité, puisque toutes les étapes ne peuvent pas être retracées ou reproduites. Pour la génération élaborée de contigs à partir des lectures de séquences courtes restantes, nous avons utilisé Megahit (v.1.2.9) en utilisant les paramètres par défaut.

Nous avons obtenu 28 459 (200 nt – 29 802 nt) contigs, soit beaucoup moins que ce qui est décrit dans [1]. Contrairement aux représentations de [1], le contig le plus long que nous avons assemblé ne comprenait que 29 802 nt, soit 672 nt de moins que le contig le plus long avec 30 474 nt, qui selon [1] comprenait presque tout le génome viral. Notre contig le plus long a montré une correspondance parfaite avec la séquence MN908947.3 à une longueur de 29 801 nt (Tableaux et Figures, Tableaux 1, 2). Nous n’avons donc pas pu reproduire le contig le plus long de 30 474 nt, qui est si important pour la vérification scientifique. Par conséquent, les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures originales utilisées pour l’assemblage.

Après avoir assemblé les contigs, nous avons déterminé la richesse de couverture respective en faisant correspondre les séquences courtes aux 28 459 contigs déterminés à l’aide de Bowtie2 (v.2.4.4) [22]. Nous avons ensuite fait correspondre les 50 contigs ayant la plus grande abondance de couverture et les 50 contigs les plus longs à la base de données de nucléotides (Blastn) le 12/05/2021 et le 12/20/2021, respectivement. Les résultats détaillés des requêtes se trouvent dans les tableaux et figures : Tableaux 1, 2.

Une comparaison de nos résultats (Tables and Figures: Table 1) avec ceux de [1, Supplementary Table 1. The top 50 abundant assembled contigs generated using the Megahit program.] montre des différences remarquables. Dans ce qui suit, les ID de contigs de [1] sont précédés de « 1_ » pour mieux les distinguer de nos ID de contigs. En général, on peut dire que les résultats de nos requêtes concernant les numéros d’accession ne correspondent pas exactement à ceux de [1]. En ce qui concerne les descriptions des sujets, nous avons observé une bonne correspondance pour la plupart. De plus, à l’exception du contig le plus long (1_k141_275316), nos contigs se sont avérés plus longs et ont eu tendance à avoir une couverture plus riche. Le cas est clair pour le contig 1_k141_179411 comparé au contig k141_12253. Le premier a une longueur de 2 733 nt, tandis que le second a une longueur de 5 414 nt. Cela fournit la première indication possible que l’amplification non spécifique de lectures de séquences non associées au SARS-CoV-2 s’est produite pendant la confirmation par PCR avec des amorces construites pour MN908947.3 à partir de 1_k141_275316 (30,474 nt).

À ce stade, le contig avec l’identification k141_27232, auquel 1 407 705 séquences sont associées, et donc environ 5 % des 26 108 482 séquences restantes, doit être discuté en détail. L’alignement avec la base de données de nucléotides le 05/12/2021 a montré une correspondance élevée (98,85 %) avec « Homo sapiens RNA, 45S pre-ribosomal N4 (RNA45SN4), ribosomal RNA » (GenBank : NR_146117.1, daté du 04/07/2020). Cette observation contredit l’affirmation de [1] selon laquelle la déplétion de l’ARN ribosomal a été effectuée et les lectures de séquences humaines ont été filtrées à l’aide du génome de référence humain (version 32 humaine, GRCh38.p13). Il convient de noter que la séquence NR_146117.1 n’a été publiée qu’après la publication de la bibliothèque de séquences SRR10971381 considérée ici.

Cette observation souligne la difficulté de déterminer a priori l’origine exacte des fragments individuels d’acide nucléique utilisés pour construire les séquences génomiques virales revendiquées.

Analyse de la structure des séquences basée sur les références

Nous avons d’abord mappé les lectures en paires (2×151 pb) avec BBMap [23] aux séquences de référence que nous avons considérées (Tableaux et Figures : Tableau 3) en utilisant des paramètres relativement peu spécifiques. Nous avons ensuite fait varier la longueur minimale (M1) et l’identité (nucléotidique) minimale (M2) avec reformat.sh pour obtenir des sous-ensembles correspondants des séquences précédemment cartographiées avec une qualité appropriée. L’augmentation de la longueur minimale M1 ou de l’identité nucléotidique minimale M2 augmente ainsi la significativité de la cartographie respective. Ensuite, nous avons formé des séquences consensus avec les sous-ensembles respectifs de qualité sélectionnée par rapport à la référence sélectionnée. Nous avons attribué la valeur « N » (inconnu) à toutes les bases dont la qualité est inférieure à 20. Une qualité de 20 signifie un taux d’erreur de 1 % par nucléotide, ce qui peut être considéré comme suffisant dans le contexte de nos analyses. Enfin, l’évaluation de la concordance entre les séquences de référence et les séquences consensus a été réalisée à l’aide de BWA [24], Samtools [25] et Tablet [26]. La paire ordonnée (M1 ; M2) = (37 ; 0,6) a été juste choisie pour donner des taux d’erreur F1 et F2, respectivement, de moins de 10 % pour la référence LC312715.1. Les résultats de tous les calculs effectués sont présentés dans les tableaux et les figures : Tableau 4. Les calculs montrent la signification la plus élevée pour le choix de la paire ordonnée (37 ; 0,6), ce qui peut être vu par les taux d’erreur les plus élevés dans chaque cas. Une signification comparable est fournie par les paires ordonnées (47 ; 0,50) et (25 ; 0,62). Alors que les séquences génomiques associées aux coronavirus présentent des taux d’erreur approximativement supérieurs à 10 % pour toutes les paires ordonnées considérées (M1 ; M2), les taux d’erreur des deux séquences LC312715.1 (VIH) et NC_001653.2 (Hépatite delta) sont inférieurs à 10 % et diminuent encore pour les paires ordonnées (32 ; 0,60) et (30 ; 0,60). La séquence MG772933_short est principalement constituée de la partie qui n’est pas recouvrable par les lectures associées au SARS-CoV-2 (voir Tableaux et Figures : Figure 3). Là encore, aucune amélioration n’a pu être obtenue en réduisant les valeurs de M1 et M2. Les taux d’erreur des séquences NC_039345.1 (virus Ebola), NC_024781.1 (virus Marburg), AF266291.1 et KJ410048.1 (virus de la rougeole) sont nettement plus élevés que ceux des séquences LC312715.1 et NC_001653.2. Alors que les séquences d’acides nucléiques utilisées pour calculer les premiers génomes ont été propagées dans des cellules Vero, les séquences d’acides nucléiques utilisées pour LC312715.1 et NC_001653.2 proviennent directement d’échantillons d’origine humaine (Tableaux et Figures : Tableau 3). Par conséquent, la question se pose de savoir si ce résultat est dû à des différences structurelles des sources d’acides nucléiques respectives ou aux protocoles de séquençage respectifs utilisés. Par exemple, la transcriptase inverse utilisée pour convertir l’ARN en ADNc ou les séquences d’amorces utilisées pour l’amplification ainsi que les cycles d’amplification pourraient éventuellement entraîner des différences dans les bibliothèques de séquences obtenues.

Les taux d’erreur F1 et F2 les plus élevés sont affichés par les séquences génomiques fictives générées aléatoirement rnd_uniform, rnd_wuhan, rnd_wh_mk_1 et rnd_wh_mk_2, de sorte que les résultats trouvés ici ne sont pas purement aléatoires.

Analyse graphique des distributions de couverture et des longueurs de lecture

Après avoir observé la possibilité de former des séquences consensus de haute qualité par rapport à certaines séquences de référence, nous avons analysé la distribution de la couverture des lectures de courtes séquences associées (Tableaux et Figures : Figures 1-22) et la distribution des longueurs de lecture (Tableaux et Figures : Figures 23-25). Pour ce faire, nous avons préalablement mappé les lectures de séquences courtes à leurs séquences de référence respectives en utilisant BBMap, [(M1 ; M2) = (37 ; 0,60)]. En plus des séquences courtes, nous avons également mappé les 26 paires d’amorces [1, Supplementary Table 8. PCR primers used in this study.] pour le séquençage du génome entier du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3) aux génomes de référence considérés. L’analyse subséquente a été effectuée via Tablet et le tableur Excel.

Tout d’abord, nous considérons la référence générée aléatoirement rnd_uniform. Des observations comparables s’appliquent aux génomes de référence générés aléatoirement rnd_wuhan, rnd_wh_mk_1 et rnd_wh_mk_2 (Tableaux et Figures : Figures 14-16).

Figure 13 : Référence rnd_uniform.
a) rnd_uniform_reads cartographié à l’aide de BBMap, (M1 ; M2) = (37 ; 0,60).
b) rnd_uniform_primer cartographié à l’aide de BBMap.
c) La couverture distribuée exponentielle a été générée par simulation stochastique à l’aide de la méthode d’inversion.
d) Les 26 paires d’amorces ([1, Tableau supplémentaire 8. Amorces PCR utilisées dans cette étude]) sont réparties de manière inégale sur l’ensemble du génome de référence. Les positions des amorces ne sont que faiblement corrélées avec les zones de couverture nucléotidique élevée, chacune ne comprenant que quelques nucléotides.
e) La distribution des rnd_uniform_reads semble largement aléatoire. La variance de la distribution exponentielle considérée correspond bien à la variance empirique ajustée.

La couverture (rnd_uniform_reads) varie de manière aléatoire et relativement homogène sur toutes les positions nucléotidiques. La structure est comparable à celle de la couverture générée aléatoirement (couverture distribuée exponentielle), bien que la variance semble un peu plus faible. À quelques positions nucléotidiques isolées, la couverture présente une couverture élevée par rapport à la moyenne, mais chacune d’entre elles ne couvre que quelques régions nucléotidiques contiguës. Une corrélation avec les positions des amorces n’est que faiblement prononcée. La couverture d’apparence purement aléatoire avec les lectures de séquences courtes est corrélée avec une séquence consensus mappable non continue et un taux d’erreur F1 élevé de 38,60 %. Ainsi, la structure aléatoire (interne) des nucléotides de la séquence de référence simulée stochastiquement « rnd_uniform » est relativement absente des données de séquence examinées ici.

Par contraste, nous considérons maintenant le génome de référence du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3).

Figure 1 : Référence MN908947.3.
a) MN908947_reads mappé avec Bowtie2 en utilisant les paramètres par défaut.
b) MN908947_primer cartographié à l’aide de BBMap.
c) Les quantiles ont été déterminés à partir de EN et VARN sous l’hypothèse de distribution d’une distribution binomiale.
d) Les 26 paires d’amorces ([1], Tableau supplémentaire 8. Amorces PCR utilisées dans cette étude.) sont réparties uniformément sur l’ensemble du génome de référence. Les positions des amorces sont en corrélation avec les zones de couverture nucléotidique élevée.

Contrairement à la figure 13, la distribution de la couverture présente davantage un modèle en forme de vague avec des couvertures de nucléotides régulières et significativement plus importantes. Les 26 paires d’amorces sont réparties uniformément sur toutes les positions nucléotidiques de la séquence de référence. Les positions d’amorce sont souvent situées près des positions nucléotidiques avec une couverture nucléotidique élevée par rapport à la moyenne. Cela indique que toutes les parties du génome de référence n’ont pas été amplifiées de manière égale. En supposant que les 29 903 positions nucléotidiques ont la même probabilité d’apparaître dans les lectures associées au SARS-CoV-2, la couverture de chaque position nucléotidique devrait se situer entre les deux lignes avec une probabilité de 99,5 % (en supposant une distribution binomiale). Ce n’est pas le cas pour environ 90 % des positions nucléotidiques. A priori, on pourrait s’attendre à ce que si une quantité suffisante d’ARN viral est présente dans l’échantillon et que suffisamment de morceaux de séquence sont lus, on obtienne une couverture homogène des nucléotides au sein du génome viral.

Le graphique suivant permet d’étudier les distributions des longueurs de lecture des références que nous venons de considérer (rnd_uniform et MN908947.3)

Figure 23 :
a) — f) Cartographie à l’aide de BBMap, (M1 ; M2) = (37 ; 0,60).
Analyse dans Excel.

La figure 23e) montre la distribution des longueurs de lecture dans le cas de la référence « rnd_uniform ». La longueur moyenne des lectures est de 41,96 nt, à peine à droite du maximum de la distribution. En comparaison, la distribution pour la référence MN908947.3, Figure 23a) montre une région proéminente (aléatoire) similaire à la Figure 23e) et une région distincte avec des lectures d’environ 150 nt de longueur. La longueur moyenne des lectures est supérieure à 110 nt. Toutes les séquences de référence avec une distribution comparable et donc plutôt aléatoire des longueurs de lecture comme dans la référence « rnd_uniform » simulée de manière stochastique (Tableaux et Figures : Figure 23 d), f) ; Figure 24 d), e), f) ; Figure 25a) — c)) présentent également des taux d’erreur élevés F1 et F2 (Tableaux et Figures : Tableau 4).

Cette constatation est mise en évidence par l’analyse suivante. Afin de mieux comprendre la structure interne des quelque 56 millions de séquences publiées, nous avons considéré la condition supplémentaire maxlength=100 pour la séquence MN908947.3 lors de la formation des sous-ensembles après cartographie avec BBMap en plus de M1 et M2.

Figure 2 : Référence MN908947.3.
a) MN908947_reads cartographié avec Bowtie2 en utilisant les paramètres par défaut.
b) MN908947_short_reads cartographié avec BBMap, (M1 ; M2) = (37 [max. 100) ; 0,60).
c) La couverture distribuée exponentielle a été générée par simulation stochastique en utilisant la méthode d’inversion. La distribution de la couverture MN908947_short_reads présente un modèle plus aléatoire, mais sa variance ajustée est plus élevée. Ceci est principalement dû aux quelques fluctuations de la distribution de la couverture.

En excluant toutes les séquences mappables de plus de 100 nucléotides, on a essentiellement éliminé les quelque 120 000 lectures associées au SARS-CoV-2. La distribution de la couverture des courtes séquences restantes semble maintenant aléatoire, de façon analogue à la figure 13. Là encore, cela correspond aux taux d’erreur élevés de R1 (29,90 %) et R2 (29,96 %). Cela indique qu’aucune structure significative de la référence MN908947.3 n’est incluse dans les séquences publiées, à l’exception des quelque 120 000 (tableaux et figures. Tableau 1) lectures courtes associées.

Avant d’entrer dans le détail de certains des génomes de référence que nous avons examinés, nous aimerions d’abord examiner la couverture de deux autres contigs : k141_12253 et k141_20796. Alors que le contig identifié comme k141_12253 est caractérisé par une couverture relativement élevée, k141_20796 fait partie des trois plus longs contigs calculés.

Figure 18 : Référence k141_12253.
a) k141_12253_reads mappé avec Bowtie2 en utilisant les paramètres par défaut.
b) k141_12253_primer cartographié avec BBMap.

Le contig k141_12253 présente une grande similarité avec la bactérie Leptotrichia (GenBank : CP012410.1). Sur les 52 séquences d’amorces publiées, 38 ont pu être cartographiées sur la référence k141_12253 avec un taux d’erreur relativement élevé de 37,30 %. La distribution de la couverture s’avère être extrêmement inhomogène et montre, surtout dans les 500 premiers nucléotides, une couverture nucléotidique extrêmement élevée par rapport à la moyenne. Les zones présentant une couverture élevée sont en corrélation avec les positions d’amorce déterminées. Cela pourrait indiquer que des lectures non exclusivement associées au SARS-CoV-2 ont été amplifiées en grande quantité. Compte tenu du taux d’erreur relativement élevé de 37,30 %, cela impliquerait une amplification relativement non spécifique. Ainsi, la question se pose de savoir si les lectures obtenues par l’amplification de l’ADNc avec les séquences d’amorce spécifiques étaient déjà présentes dans l’échantillon initial ou ont été générées par la procédure elle-même.

Figure 21 : Référence k141_20796.
a) k141_20796_reads mappé avec Bowtie2 en utilisant les paramètres par défaut.
b) k141_20796_primer cartographié avec BBMap.

Le contig k141_20796, qui a une correspondance élevée avec la bactérie Veillonella parvula (GenBank : LR778174.1), montre une couverture plus faible avec des lectures associées par rapport au contig avec l’identification k141_12253. La structure de la couverture nucléotidique est similaire à celle du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3). Notamment, la couverture est à nouveau inhomogène, ce qui indique une amplification inégale. En raison de la longueur nucléotidique plus élevée, 47 des 52 séquences d’amorces publiées ont pu être cartographiées sur le contig de référence avec un taux d’erreur moyen de 35,80 %. Encore une fois, les positions des amorces sont bien corrélées avec les zones de couverture nucléotidique élevée. Cela pourrait à nouveau indiquer une amplification non spécifique de séquences non associées au SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3).

Dans la présente section, nous examinerons plus en détail les séquences de référence « Virus de l’immunodéficience humaine 1 » (GenBank : LC312715.1) et « Virus de la rougeole de génotype D8 souche MVi/Muenchen » (GenBank : KJ410048.1). Toutes les autres figures se trouvent dans les documents supplémentaires (Tableaux et Figures : Figures 1-22 et Figures 23-25).

Figure 6 : Référence LC312715.1.
a) LC312715.1_short_reads cartographié en utilisant BBMap, (M1 ; M2) = (37 ; 0,60).
b) LC312715.1_primer cartographié en utilisant BBMap.

Déjà dans la section précédente, une grande similarité structurelle des séquences publiées avec la séquence de référence LC312715.1 a été montrée. La séquence consensus calculée a montré des taux d’erreur relativement plus faibles R1 = 8,60 % et R2 = 8,83 % en comparaison avec, par exemple, les références associées au SRAS. La figure 6 montre de nettes différences avec la figure 13. La distribution de la couverture montre également plus un modèle en forme de vague avec des zones relativement régulières de couverture particulièrement élevée et est donc clairement différente de la distribution de la couverture de la référence aléatoire « rnd_uniform ». La distribution des longueurs de lecture (Figure 23 b), comparer également c)) diffère également de manière significative des distributions plus aléatoires et montre un nombre significatif de lectures cartographiables avec des longueurs allant jusqu’à environ 110 nt. La longueur moyenne des lectures de 51,84 nt est également plus élevée que pour « rnd_uniform », par exemple.

Une fois encore, il est intéressant de noter la position des séquences d’amorce par rapport aux zones de couverture nucléotidique élevée par rapport à la couverture moyenne. Au total, 46 des 52 séquences d’amorce ont pu être assignées à la référence considérée ici avec un taux d’erreur de 38,00 %. La figure 6 suggère que les lectures de séquences courtes associées à la référence LC312715.1 ont également été amplifiées lors de la confirmation par PCR, malgré le fait que les séquences d’amorce n’ont pu être assignées à la référence qu’avec un taux d’erreur relativement élevé.

Enfin, passons à la référence KJ410048.1 (virus de la rougeole).

Figure 10 : Référence KJ410048.1.
a) KJ410048.1_short_reads cartographié à l’aide de BBMap, (M1 ; M2) = (37 ; 0,60).
b) KJ410048.1_primer cartographié à l’aide de BBMap.

La distribution de la couverture diffère sensiblement de celle de la figure 6 et présente certaines similitudes avec la distribution des lectures de séquences associées pour « rnd_uniform », avec une variation moindre dans les zones de moindre couverture. La distribution des longueurs de lecture (Tableaux et Figures : Figure 24 d)) ainsi que la longueur de lecture moyenne de 42,38 sont comparables aux données de « rnd_unifom » et sont également corrélées avec des taux d’erreur relativement élevés F1=28,70 % et F2=28,79 %.

Discussion et perspectives

Nous avons examiné les données de séquence publiées (numéro d’accession BioProject PRJNA603194 dans la base de données NCBI Sequence Read Archive [SRA]) sur la séquence du génome de SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3) en utilisant une approche bioinformatique simple. Les méthodes que nous avons utilisées ne sont pas spécifiques au SARS-CoV-2 et peuvent être appliquées à d’autres données de séquençage sans modifications particulières.

Tout d’abord, nous avons répété la génération de contigs avec Megahit (v.1.2.9) en utilisant les données de séquence disponibles et avons obtenu des résultats significativement différents par rapport aux représentations de [1]. En particulier, nous n’avons pas été en mesure de reproduire le contig le plus long avec une longueur de 30 474 nt, qui selon [1] comprenait presque tout le génome viral et a servi de base pour la conception des amorces. Au contraire, le contig le plus long que nous avons généré (29 802 nt) a montré une correspondance presque complète avec la référence MN908947.3. Par conséquent, les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures courtes originales utilisées pour la génération des contigs. Ceci est à considérer comme extrêmement problématique dans le contexte des publications scientifiques, car de cette manière il n’est plus possible de vérifier les résultats publiés. La possibilité de vérifier les hypothèses scientifiques publiées est l’essence même de la science vivante.

Contrairement à ce qui a été rapporté dans [1], il se peut que nous ayons trouvé des contigs avec une couverture élevée associés à des acides ribonucléiques (ribosomiques) d’origine humaine. Il est donc possible que tous les acides nucléiques associés à l’homme n’aient pas été éliminés lors de la construction du SARS-CoV-2. En outre, aucune preuve de la présence d’acides nucléiques viraux dans l’échantillon du patient n’a été fournie et, par conséquent, il est possible que des fragments d’acides nucléiques humains ou non viraux aient été utilisés pour construire la séquence virale revendiquée MN908947.3 dans une large mesure sans être détectés. Cette possibilité devrait être exclue par des expériences de contrôle.

Dans toutes les publications sur les génomes de référence analysés dans cette étude, les preuves nécessaires sur l’origine exacte des fragments de séquence utilisés pour la construction n’étaient pas non plus fournies et les expériences de contrôle nécessaires n’étaient pas publiées.

Nous tenons à mentionner ici que des expériences de contrôle ont peut-être déjà été réalisées de nombreuses fois sans être remarquées, ce qui montre la possibilité de construire des génomes du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons humains non infectieux. Par exemple, le séquençage du génome entier à partir d’échantillons dont la valeur de base du Ct est supérieure à 35 est rapporté dans [5] et [17]. Cela pourrait réfuter le modèle viral du SARS-CoV-2.

L’analyse des distributions de la couverture nucléotidique ainsi que des distributions de la longueur des lectures de séquence mappables pour les séquences de référence respectives conduit à l’hypothèse d’une possible amplification involontaire de lectures de séquence non associées au SARS-CoV-2. En outre, il faut envisager la possibilité de la génération accidentelle de séquences qui n’étaient pas présentes dans l’échantillon initial mais qui ont été générées uniquement par les conditions d’amplification, telles que les séquences d’amorces utilisées et les cycles effectués. Cette possibilité nécessite donc la réalisation d’expériences de contrôle appropriées.

En plus de tenter de reproduire l’assemblage publié dans [1] avec les lectures de séquences publiées, nous avons envisagé une approche simple pour analyser la structure interne de grands ensembles de données de lectures de séquences courtes. Avec les données de séquence disponibles, nous avons pu calculer des séquences consensus pour les génomes de référence LC312715.1 (VIH) et NC_001653.2 (virus de l’hépatite delta) avec une plus grande précision que pour les séquences de référence que nous avons considérées comme associées aux coronavirus. Cela était particulièrement vrai pour la séquence bat-SL-CoVZC45 (GenBank : MG772933.1), qui a conduit à l’hypothèse d’origine du SARS-CoV-2. Ainsi, nous avons pu étayer notre hypothèse selon laquelle les séquences génomiques virales revendiquées sont des interprétations erronées dans le sens où elles ont été ou sont construites sans que cela soit remarqué à partir de fragments d’acides nucléiques non viraux. En particulier, nos résultats soulignent l’urgente nécessité de réaliser des expériences de contrôle appropriées. Pour chaque séquence génomique virale pathogène suspectée, un protocole évident serait de tenter d’assembler les séquences génomiques d’échantillons non suspectés correspondants en utilisant des protocoles identiques.

Nous avons observé des taux d’erreur R1 et R2 élevés dans les génomes de référence pour la rougeole, Ebola ou Marburg, où les fragments d’acide nucléique utilisés pour la construction ont été propagés dans des cellules Vero. La question de savoir si cela est dû aux sources d’acide nucléique elles-mêmes, aux conditions d’amplification utilisées (par exemple, les séquences d’amorces et le nombre de cycles) ou aux protocoles de séquençage (par exemple, les polymérases et les transcriptases inverses utilisées) reste ouverte.

En ce qui concerne nos résultats, outre la publication des données de séquence finales utilisées, nous recommandons toujours de publier les données de séquence résultant uniquement de l’amplification avec des hexamères aléatoires et des nombres de cycles modérés afin de fournir les données les plus impartiales possibles pour l’analyse structurelle.

Matériel et méthodes

Profondeur de couverture d’une séquence de référence avec des lectures de séquences courtes

Soit 𝐺 la longueur de la séquence de référence, Ø𝐿 la longueur moyenne de lecture, 𝑛 le nombre de lectures de séquences courtes, et 𝑁 la profondeur moyenne aléatoire de couverture de la séquence de référence avec les lectures de séquences courtes. Alors

L’expression Ø𝐿/𝐺 peut être considérée comme la probabilité de couverture d’un nucléotide dans la séquence de référence avec une lecture de séquence courte.

Génération de séquences de référence aléatoires

Le théorème suivant permet la simulation d’une variable aléatoire avec une fonction de distribution cumulative.

Théorème (principe d’inversion) [28]. Soit 𝑈 une variable aléatoire également distribuée sur l’intervalle (0,1). Soit 𝑋 une variable aléatoire avec une fonction de distribution cumulative 𝐹, et soit

Alors s’applique

Soit 𝑈𝑖,𝑖 = 1, … ,29,903 des variables aléatoires équidistantes indépendamment identiques sur l’intervalle (0,1). Soit 𝑝𝑛𝑡,𝑛𝑡 ∈{𝐴,𝑇,𝐶,𝐺} la probabilité pour le nucleotide 𝑛𝑡. Ensuite, le nucléotide 𝑁𝑖,𝑖 = 1, … ,29.903 de la séquence de référence générée de façon aléatoire est obtenu via

Pour la séquence de référence « rnd_unifom », la distribution uniforme sur l’ensemble {𝐴,𝑇,𝐶,𝐺} a été utilisée. Pour simuler la séquence de référence aléatoire “rnd_wuhan”, l’occurrence relative des nucléotides A, T, C et G dans la séquence du génome du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3) a été choisie comme distribution des nucléotides. Dans la construction des séquences de référence randomisées “rnd_wh_mk_1” et “rnd_wh_mk_2”, la probabilité conditionnelle, respectivement sur le dernier et sur les deux derniers nucléotides, a été choisie en fonction des fréquences empiriques correspondantes dans la séquence du SARS-CoV-2 (GenBank : MN908947.3).

Simulation stochastique de couvertures aléatoires d’une séquence de référence

La fonction de distribution cumulative de la distribution exponentielle avec le paramètre 𝜆 est [28],

Soit 𝑋 une variable aléatoire avec une fonction de distribution 𝐹. Alors 𝐸𝑋 = 1/𝜆 und 𝑉𝐴𝑅𝑋 = 1/𝜆2.

Méthodes bioinformatiques (analyse structurelle)

  1. Cartographie à l’aide de BBMap
    bbmap.sh ref=$ reference. fasta
    mapPacBio.sh in=SRR10971381_1.fastq in2=SRR10971381_2.fastq outm=mapped.sam vslow k=8 maxindel=0 minratio=0.1

  1. Sélection des séquences cartographiées en fonction de M1 et M2 en utilisant BBMap (reformat.sh)
    reformat.sh in=mapped.sam out=sample_selection.sam
    minlength=$ M1 (maxlength=100) idfilter=$ M2 ow=t

  1. Calcul de la séquence consensus

    • 3.1. Préparation à l’aide de Samtools
      samtools view — b sample_selection.sam > sample.bam
      samtools sort sample.bam — o sample_sort_reads.bam
      samtools index sample_sort_reads.bam
    • 3.2. Détermination de la séquence consensus préliminaire
      samtools mpileup — uf mapping/$ reference. fasta
      sample_sort_reads.bam | bcftools call -c | vcfutils.pl vcf2fq > SAMPLE_cns.fastq
    • 3.3. Détermination de la séquence consensus finale (min. Q20)
      seqtk seq -aQ64 -q20 -n N échantillon_cns.fastq > échantillon_cns.fasta

  1. Mappage de la séquence consensus à la séquence de référence en utilisant BWA.
    bwa index $ reference. fasta
    bwa mem $ reference. fasta sample_cns.fasta > sample_cns.sam

  1. Examen avec Tablet et Excel

L’évaluation a été réalisée à l’aide du logiciel Tablet pour la visualisation des données de séquence et du programme de feuille de calcul Excel.

Tableaux et figures

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[25a] H. Li u. a. The Sequence Alignment/Map format and SAMtools. In: Bioinformatics 25.16 (2009), S. 2078-2079. DOI: 10.1093/bioinformatics/btp352.

[25b] Samtools. url: http://www.htslib.org/.

[25c] P. Danecek u. a. Twelve years of SAMtools and BCFtools. In: GigaScience 10.2 (2021). DOI: 10.1093/gigascience/giab008.

[25d] P. Danecek u. a. The variant call format and VCFtools”. In: Bioinformatics 27.15 (2011), S. 2156-2158. DOI: 10.1093/bioinformatics/btr330

[26] Tablet. URL: https://ics.hutton.ac.uk/tablet/.

[27a] Wei Shen u. a. SeqKit: A Cross-Platform and Ultrafast Toolkit for FASTA/Q File Manipulation. In: Plos One 11.10 (2016). DOI: 10.1371/journal.pone.0163962.

[27b] lh3. lh3/seqtk: Toolkit for processing sequences in FASTA/Q formats.
URL: https://github.com/lh3/seqtk.

[28] Albrecht Irle. Wahrscheinlichkeitstheorie und Statistik: Grundlagen – Resultate – Anwendungen. Teubner, 2010.




Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »

[Source : aubedigitale.com]

Le Forum économique mondial (FEM) a dévoilé son système mondial de crédit social qui lui donnera le pouvoir de contrôler les citoyens et de punir les personnes jugées « indignes de confiance » par les élites mondiales.

En février 2022, le FEM de Klaus Schwab a publié un nouveau rapport intitulé « Advancing Digital Agency : The Power of Data Intermediaries », qui détaille leurs plans pour la création de la quatrième révolution industrielle, une fusion du « monde physique, numérique et biologique. »

Le rapport déclare que « la pandémie de COVID 19 a conduit à une attention accrue sur le pouvoir des données médicales, en particulier les passeports vaccinaux. Ces passeports, par nature, servent de forme d’identité numérique ».

Rairfoundation.com rapporte : Une telle identité numérique peut être utilisée, entre autres, pour accéder à vos traitements d’assurance maladie, surveiller vos appareils de santé et vos téléphones, ouvrir un compte bancaire et effectuer des transactions financières.

Avec votre laissez-passer numérique, vous pourrez réserver des voyages et passer les douanes. Vous pourrez également utiliser un tel identifiant numérique pour faire des achats, utiliser les médias sociaux, voter, remplir des déclarations d’impôts et percevoir des prestations.

Le FEM voit également un rôle essentiel dans les télécommunications. Avec une identité numérique, les appareils et les données sur le réseau peuvent être surveillés.

Crédit social alternatif

Le projet d’identité numérique du FEM jette maintenant les bases d’un système mondial de crédit social qui lui donnera le pouvoir de contrôler les citoyens et de punir ceux qu’il juge « indignes de confiance ».

Le rapport du FEM indique que des tiers porteront des jugements sur la base de votre historique de crédit, de vos antécédents médicaux et de vos comportements en ligne. Par exemple, « une banque décide de l’attrait d’un individu pour un prêt ».

Les banques prendront en compte le comportement social d’un individu, à la fois en ligne et hors ligne, dans le processus d’octroi de crédit ; C’est ce qu’on appelle l’Alternative Credit Scoring, qui exploite le big data pour analyser non seulement les antécédents financiers mais aussi les comportements sociaux. Malheureusement, ce type de système risque d’introduire un système de crédit social comme celui du Parti communiste chinois (PCC), où l’accès aux biens et services est basé sur le comportement social d’une personne.

Selon le rapport du FEM, les systèmes d’identité numérique comprennent :

  • Le profil : Peut inclure des attributs de données inhérents (tels que les données biométriques) ou attribués (tels que les noms ou les numéros d’identification nationaux).
  • L’historique : Historique de crédit ou médical, comportements d’achat en ligne.
  • Les inférences : Jugements ou décisions prises sur la base des processus d’authentification, des profils et des historiques (par exemple, une banque décide de l’intérêt d’un individu pour un prêt).

La réunion virtuelle du Forum économique mondial (FEM), qui s’est tenue du 25 au 29 janvier, a ajouté l’évaluation alternative du crédit à son ordre du jour. L’évaluation traditionnelle du crédit analyse le comportement financier d’un individu ; l’évaluation alternative du crédit tiendra également compte du comportement social de l’individu.

Comme indiqué précédemment par la Fondation RAIR USA, les moyens par lesquels les mondialistes non élus souhaitent extraire vos données les plus privées sont incroyablement invasifs. Ils incluent des dispositifs implantés dans votre corps, votre maison et les villes où vous vivez. L’objectif est de collecter autant d’informations sur vous que possible par tous les moyens nécessaires.

L’avenir du FEM prévoit une surveillance constante des êtres humains et de leur environnement grâce à l’écosystème de l’Internet des corps (IoC). Cet écosystème connecte les êtres humains à la technologie par le biais de dispositifs permettant au forum d’obtenir des quantités massives de données sur un individu. La RAND Corporation explique que,

L’Internet des corps, ou IoC (IoB en anglais pour Internet of Bodies, ndlr) est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à l’internet qui contiennent des logiciels et qui soit collectent des données personnelles sur votre santé, soit peuvent modifier le fonctionnement du corps. Nous considérons l’internet des corps comme l’ensemble de ces appareils, ainsi que toutes les données que ces appareils recueillent à votre sujet.

RAND prévient que l’IoC pourrait également mettre en péril nos informations personnelles les plus intimes et poser de nombreux problèmes éthiques. Ils préviennent même qu’elle pourrait « accroître les risques géopolitiques mondiaux, car les États de surveillance peuvent utiliser les données de l’IoC pour imposer des régimes autoritaires ». Comme l’a admis le rapport sur les risques internationaux du FEM en 2019, « l’autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité et de traçabilité totales. »

Malgré les risques et les avertissements énormes, le FEM soutient l’adoption généralisée de l’IoC, qu’il peut utiliser pour contrôler le comportement humain tout en ayant accès aux données les plus sensibles d’un individu en matière de santé, de finances et de comportement. Cet écosystème fait partie de la quatrième révolution industrielle que le FEM souhaite utiliser pour son programme de « grande réinitialisation » (Great Reset, ndlr).

Il n’est pas étonnant que, dans un rapport datant de juillet 2020, le FEM ait exhorté « les parties prenantes de tous les secteurs, industries et géographies » à unir leurs forces et à travailler ensemble « pour libérer pleinement le potentiel de l’IoC. »

Intermédiaires de données

Une fois nos données extraites, les Forums économiques mondiaux, les « intermédiaires de données », seront prêts à « vous aider. »

« Ces tierces parties serviraient de liens entre les personnes et les entités qui collectent leurs données, ou entre les entreprises et leurs partenaires. » Comme l’indique Kate Kaye, « ils pourraient prendre de nombreuses formes, des agents numériques aux fiduciaires représentant les personnes et leurs choix en matière de confidentialité des données. Ou ils pourraient être des fiducies facilitant les négociations collectives sur les données au nom de personnes ou d’entreprises individuelles. Les intermédiaires de données pourraient même prendre des décisions automatisées en utilisant l’intelligence artificielle. » Le FEM rapporte ,

À leur niveau le plus basique, ils facilitent l’échange d’informations ; à leur niveau le plus sophistiqué, ils peuvent assumer la prise de décision, y compris au nom des personnes.

Bien que Klaus Schwab et le Forum économique mondial veuillent faire croire au monde que leurs objectifs sont d’améliorer notre « santé » et notre « bien-être », ils ont en réalité l’intention de dominer les êtres humains à l’échelle planétaire.




Trudeau « désobligeant envers les personnes handicapées »

[Source : maisonsaine.ca]

Par André Fauteux

Lettre de l’ancien président de Microsoft Canada au premier ministre Justin Trudeau.

Son bureau nous a confirmé que M. Trudeau ne répondra pas à cette lettre.

Version originale, en anglais : https://www.facebook.com/groups/esmog/permalink/1016639842611250

Bien qu’il existe des tissus et des vêtements tissés d’argent qui bloquent les ondes, le papier d’aluminium est déconseillé car il les capte et les concentre.

Le 2 février 2022
Par courriel : justin.trudeau@parl.gc.ca, pm@pm.gc.ca

Monsieur le Très Honorable Premier Ministre Justin Trudeau,

Objet : Demande d’éclaircissement concernant vos commentaires publics du 31 janvier 2022 au sujet des « chapeaux d’aluminium » [tin foil hats, lire le contexte de cette expression ici] et leur lien avec les préoccupations des Canadiens au sujet des rayonnements sans fil et de leur santé.

Dans votre discours public du 31 janvier 2022 au sujet du « Convoi de la liberté 2022 », vous avez déclaré1 :

« … les préoccupations exprimées par quelques personnes sur la Colline du Parlement en ce moment ne sont pas nouvelles, ne sont pas surprenantes, sont entendues, mais [elles] sont une continuation de ce que nous avons malheureusement vu dans la désinformation et la mésinformation en ligne – les théoriciens de la conspiration au sujet des micropuces et Dieu sait quoi d’autre qui vont avec les chapeaux d’aluminium ».

Je vous écris en tant que directeur général de Canadians for Safe Technology (C4ST), une organisation nationale, non partisane et sans but lucratif qui s’intéresse aux risques pour la santé de la technologie sans fil. C4ST est une coalition bénévole de parents, de scientifiques et de citoyens dont la mission est d’éduquer les Canadiens et les décideurs sur les dangers de l’exposition à des niveaux dangereux de rayonnement de radiofréquences/micro-ondes provenant des appareils sans fil et des antennes de réseau couramment utilisés. Nous travaillons avec tous les niveaux de gouvernement afin de créer des communautés plus saines pour les enfants et les familles.

J’ai passé plus de 40 ans de carrière entièrement dans l’industrie technologique avant de prendre ma retraite en tant que président de Microsoft Canada. J’ai rencontré des experts d’institutions du monde entier2 et j’ai conclu que notre mise en œuvre actuelle de la technologie sans fil n’est pas sûre, et je suis particulièrement préoccupé par les plans pour la 5G et l’impact des technologies sans fil sur les enfants. 

Je vous demande de clarifier qui vous avez voulu inclure dans les « chapeaux d’aluminium » et je vous demande d’utiliser à l’avenir des termes qui ne sont pas désobligeants pour les Canadiens handicapés [par les ondes] ou ceux qui soutiennent d’autres perspectives.

Faire une déclaration qui associe les préoccupations concernant les mandats de vaccination, les micropuces et les « chapeaux d’aluminium » à la désinformation et aux fausses informations en ligne est inexact et irrespectueux pour les Canadiens qui ont des préoccupations légitimes en matière de santé liées à l’exposition aux rayonnements sans fil. Ces Canadiens comprennent des milliers de membres de C4ST et plus de 20 000 Canadiens qui ont signé l’Appel urgent au gouvernement du Canada pour qu’il suspende le déploiement de la 5G et choisisse des connexions en fibre optique sûres et fiables.
Il existe des preuves scientifiques plus que suffisantes pour étayer ces préoccupations en matière de santé. Plus de 250 scientifiques de 44 nations, qui ont publié plus de 2 000 articles évalués par des pairs sur les effets biologiques ou sanitaires des champs électromagnétiques (CEM) non ionisants, ont fait la déclaration suivante le 11 mai 20154 :

« Ces résultats justifient notre appel à l’Organisation des Nations unies (ONU) et, à tous les États membres dans le monde, d’encourager l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à exercer un leadership fort pour favoriser l’élaboration de lignes directrices plus protectrices sur les CEM, encourager les mesures de précaution et éduquer le public sur les risques pour la santé, en particulier les risques pour les enfants et le développement du fœtus. En ne prenant pas de mesures, l’OMS ne remplit pas son rôle d’agence internationale de santé publique de premier plan. »

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé (CIRC-OMS) a classé les rayonnements sans fil dans la gamme des radiofréquences/micro-ondes, qui comprennent les téléphones cellulaires, les antennes des tours de téléphonie cellulaire et les émetteurs Wi-Fi, dans le groupe 2B des agents cancérogènes possibles pour l’humain5. Le Dr Hardell et son équipe de recherche sur le cancer du cerveau, dont les travaux ont été utilisés, en partie, pour parvenir à cette détermination, demandent maintenant une classification de cancérogène humain connu du groupe 1, sur la base de recherches plus récentes.6,7 L’amiante et la fumée de cigarette font partie de ce groupe 1.

Le CIRC a prévu, comme une priorité élevée, la réévaluation de ce type de rayonnement sur la base de preuves scientifiques plus récentes démontrant des preuves claires de cancérogénicité chez les animaux de laboratoire.

Le 13 août 2021, une cour d’appel fédérale des États-Unis a statué8 que la Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis devait « fournir une explication motivée de sa détermination que ses directives protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences non liés au cancer » et justifier ses procédures de test pour les téléphones cellulaires et autres appareils sans fil. Santé Canada fait référence à la FCC pour défendre ses directives du Code de sécurité 6 qui, selon le Ministère, protège les Canadiens. Veuillez consulter l’annexe A de cette lettre pour connaître les préoccupations relatives au Code de sécurité 6.

Nous souhaitons également attirer votre attention sur le document C4ST Fact-checks Government of Canada Webpages Regarding Health Risks and Wireless Technologies, including 5G9, qui corrige ce que nous croyons être de la désinformation fournie par Santé Canada et Innovation, Science et Développement économique.

Monsieur le Premier ministre, comme vous devez le savoir, il y a des Canadiens qui subissent les effets néfastes de l’exposition aux rayonnements sans fil : maux de tête, troubles du sommeil, anomalies cardiaques et autres effets indésirables en cas de surexposition aux appareils sans fil. Beaucoup sont diagnostiqués par des médecins. Il s’agit de personnes de tous les milieux et, malheureusement, aussi d’enfants. Certains sont incapables de travailler, ont perdu leur maison et bénéficient de prestations d’invalidité. Ces personnes sont parfois qualifiées de « chapeliers d’aluminium » (tin foil hatters). Cela ne peut que les marginaliser davantage et les blesser.

Nous espérons que vous, et votre personnel qui préparez vos remarques, accorderez toujours le respect qui leur est dû aux Canadiens, aux personnes électrosensibles, ainsi qu’aux nombreuses autres personnes qui consacrent bénévolement leur temps, leur énergie et leurs ressources à créer des communautés plus saines pour les enfants et les familles en les sensibilisant aux risques pour la santé des expositions aux rayonnements des appareils sans fil.

Nous attendons votre réponse sur ce que vous entendez par « chapeaux d’aluminium ». S’agissait-il de faire référence aux personnes électrosensibles et aux milliers de Canadiens préoccupés par le rayonnement sans fil et la santé ? Si non, qu’est-ce que cela signifiait ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués,
Frank Clegg
Directeur général, Canadians for Safe Technology (C4ST)
frank@c4st.org
Cc : Anita Anand, MP Oakville, Honorable Ministre de la Défense

[Voir aussi le Dossier 5G et ondes pulsées]

Annexe A
Préoccupations concernant le Code de sécurité 6 de Santé Canada

• Le Code de sécurité 6 a été établi en 1979, avec des révisions très mineures en 1991, 1993, 1999, 2009 et 2015. Les limites d’exposition ne protègent que contre les échauffements aigus causés par les émissions des technologies sans fil courantes.
Lors de la révision du Code de sécurité 6 (2015), 140 études pertinentes ont été omises.10

• Le Code de sécurité 6 est fondé sur des données scientifiques périmées datant de 192911,12 qui supposent que les tissus doivent être chauffés pour être endommagés, ce qui a été réfuté par des centaines d’études.
Santé Canada n’a jamais effectué un examen approprié, c’est-à-dire fondé sur les normes internationales13, de la documentation publiée et examinée par des pairs.

• Santé Canada n’a jamais publié aucune de ses analyses sur les effets non thermiques pour justifier ses affirmations selon lesquelles le Code 6 protège les Canadiens.

• Santé Canada n’a jamais publié aucune de ses analyses pour justifier son affirmation permanente selon laquelle le personnel « continue de surveiller toutes les preuves scientifiques nationales et internationales sur les CEM de radiofréquence et la santé ». Santé Canada n’a pas non plus fourni de résumés des preuves qui ont été examinées.

• La Suisse, l’Italie, la Chine et la Russie ont des normes sur les émissions des tours de téléphonie cellulaire qui sont 50 fois plus protectrices que celles du Canada.

• Les preuves tirées de la littérature évaluée par les pairs se trouvent sur ces sites Web : Physicians for Safe Technology14C4ST15Environmental Health Trust16 et TechSafeSchools17.

• Le Dr Anthony Miller, éminent médecin canadien, récipiendaire de l’Ordre du Canada et ancien conseiller du CIRC-OMS, a publié dans la littérature évaluée par les pairs (2018)18 les preuves scientifiques en faveur de la reclassification des rayonnements sans fil, tels que les émissions intentionnelles des antennes des tours de téléphonie cellulaire, comme cancérogène connu du groupe 1 par le CIRC-OMS. Le tabac et la fumée de cigarette font partie du groupe 1.

• L’étude de 30 millions de dollars du National Toxicology Program des National Institutes of Health des États-Unis a trouvé des preuves évidentes de cancérogénicité dans une étude animale à grande échelle.19,20,21

• L’Institut Ramazzini, en Italie, a reproduit ces résultats concernant le cancer dû à l’exposition aux rayonnements de radiofréquences aux niveaux d’émission des tours de téléphonie mobile22.

• Le rapport suisse BERENIS a identifié le mécanisme probable des dommages causés par le rayonnement non ionisant (RNI) des radiofréquences (on pensait auparavant que les énergies du rayonnement non ionisant ne pouvaient pas endommager l’ADN).23
Une diligence raisonnable est recommandée. Voir cette récente décision de justice néerlandaise : « L’impact des tours cellulaires sur la santé ne peut être exclu » 24.

• Deux conférences médicales récentes ont abordé certains des graves effets des rayonnements sans fil sur la santé. Les deux conférences offraient des crédits de formation médicale continue (FMC) aux médecins.25,26

• Une vidéo de cinq minutes dans laquelle je conteste la déclaration d’un président de Rogers’ Communications selon laquelle « la 5G est sans danger » peut être consultée à l’adresse suivante : https://c4st.org/clegg-safety-challenge/https://www.cpac.ca/episode ? id=25938d1e-e4a3-492e-a6a0-0d3ec00db7d5

Références

  1. PM condemns symbols and acts of hate at Parliament Hill protest : https://www.myparrysoundnow.com/65855/pm-condemns-symbols-and-acts-of-hate-at-parliament-hill-protest/
  2. J’ai rencontré des universitaires de Harvard, Yale, Columbia, McGill, l’Université de Toronto ainsi qu’un conseiller expert de l’OMS et l’un des principaux auteurs scientifiques du premier Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et co-récipiendaire du prix Nobel avec l’ancien vice-président américain Al Gore.
  3. APPEL URGENT au gouvernement du Canada pour qu’il suspende le déploiement de la 5G et choisisse des connexions en fibre optique sûres et fiables : https://www.appel5gappeal.ca/
  4. https://www.emfscientist.org/index.php/emf-scientist-appeal
  5. Communiqué de presse de l’OMS :  LE CIRC CLASSE LES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES DE RADIOFREQUENCES COMME « PEUT-ETRE CANCEROGENES POUR L’HOMME » https://www.iarc.who.int/wp-content/uploads/2018/07/pr208_F.pdf
  6. Hardell, L., et al. (2013). Use of mobile phones and cordless phones is associated with increased risk for glioma and acoustic neuroma. Pathophysiology : The Official Journal of the International Society for Pathophysiology / ISP, 20(2), 85-110. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23261330/
  7. Coureau, G., et al. (2014). Mobile phone use and brain tumours in the CERENAT case-control study.
    Occupational and Environmental Medicine, 71(7), 514-522. https://oem.bmj.com/content/71/7/514
  8. US Court of Appeals : https://www.cadc.uscourts.gov/internet/opinions.nsf/FB976465BF00F8BD85258730004EFDF7/$file/20-1025-1910111.pdf
  9. C4ST Fact-checks Government of Canada Webpages Regarding Health Risks and Wireless Technologies, including 5G https://www.appel5gappeal.ca/eng/fact-checker.php
  10. Canadiens pour une technologie sûre. (2016). Graphique récapitulatif des 140 études omises lors de la dernière révision du Code de sécurité 6. Voir la figure 3 dans : Références de plus de 200 études scientifiques et de six (6) examens faisant état d’un préjudice potentiel à des niveaux non thermiques (pas de chauffage) de rayonnement de radiofréquences/microondes inférieurs au Code de sécurité 6 (2015). http://docs.c4st.org/Studies/original- references_of_over_200_scientific_studies_showing_potential_harm_at_levels_below_safety_code_6.pdf
  11. Early Research on the Biological Effects of Microwave Radiation: 1940-1960
    https://www.magdahavas.com/wp-content/uploads/2010/07/Cook_1980_early_research.pdf
  12. Limites d’exposition humaine à l’énergie électromagnétique radioélectrique dans la gamme de fréquences de 3 kH à 300 GHz : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/publications/securite-et-risque-pour-sante/limites-exposition-humaine-energie-electromagnetique-radioelectrique-gamme-3-300.html Voir la section 2. LIMITES D’EXPOSITION MAXIMALE, paragraphe 2 – première phrase
  13. Rooney, A. A., et al. (2014). Systematic Review and Evidence Integration for Literature-Based Environmental Health Science Assessments, Environmental Health Perspectives.  https://ehp.niehs.nih.gov/doi/10.1289/ehp.1307972 https://ehp.niehs.nih.gov/doi/10.1289/ehp.1307972 Résumé : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24755067
  14. Physicians for safe technology : https://mdsafetech.org/
  15. C4ST : https://c4st.org/
  16. Environmental Health Trust : Recent Science on Wireless Radiation https://ehtrust.org/science/top-experimental-epidemiological-studies/?fbclid=IwAR16pJMlZBDc9GV4zac3lrcMW70pih4430OIF-rJ7IBzXaOJb5vnwvUUNTo
  17. TechSafeSchools : https://www.techsafeschools.org/
  18. Miller, A. B., Morgan, L. L., Udasin, I., Davis, D. L. (2018). Mise à jour de l’épidémiologie du cancer, suite à l’évaluation du CIRC de 2011 sur les champs électromagnétiques de radiofréquence (Monographie 102). Environ. Res. 167:673-83
  19. Programme national de toxicologie, Institut national des sciences de la santé environnementale.  » Études de toxicologie et de cancérogenèse chez les Hsd : Sprague Dawley SD Rats Exposed to Whole-Body Radio Frequency Radiation at a Frequency (900 MHz) and Modulations (GSM and CDMA) Used by Cell Phones. » Rapport technique 595 du NTP, 2018, 384. https://ntp.niehs.nih.gov/ntp/htdocs/lt_rpts/tr595_508.pdf
  20. Smith-Roe, S. L., Wyde, M. E., Stout, M. D., Winters, J. W., Hobbs, C. A., Shepard, K. G., … Witt, K. L. (2020). Évaluation de la génotoxicité du rayonnement des radiofréquences des téléphones cellulaires chez les rats et les souris mâles et femelles après une exposition subchronique. Environmental and Molecular Mutagenesis, 61(2), 276-290. https://doi.org/10.1002/em.22343
  21. Programme national de toxicologie, Institut national des sciences de la santé environnementale. « Cell Phone Radio Frequency Radiation ». https://ntp.niehs.nih.gov/whatwestudy/topics/cellphones/index.html
  22. Falcioni, L., Bua, L., Tibaldi, E., Lauriola, M., De Angelis, L., Gnudi, F., … Belpoggi, F. (2018). Rapport des résultats finaux concernant les tumeurs cérébrales et cardiaques chez des rats Sprague-Dawley exposés depuis la vie prénatale jusqu’à la mort naturelle à un champ de radiofréquences de téléphones mobiles représentatif de l’émission environnementale d’une station de base GSM de 1,8 GHz. Environmental Research. https://doi.org/10.1016/j.envres.2018.01.037
  23. Office fédéral de l’environnement (OFEV). (2020). BERENIS – Groupe d’experts suisse sur les champs électromagnétiques et le rayonnement non ionisant. Consulté le 27 janvier 2021 sur https://www.bafu.admin.ch/bafu/en/home/themen/thema- elektrosmog/newsletter-beratende-expertengruppe-nis–berenis-/beratende-expertengruppe-nis-berenis.html
  24. Tribunal néerlandais : L’impact sur la santé des tours cellulaires ne peut être exclu. (2020). https://ehtrust.org/dutch-court-health-impact-of-cell-tower-cannot-be-excluded/
  25. Clinique de santé environnementale, Women’s College Hospital, Toronto. (2019, 30 mai). Les médecins de l’Ontario mettent en garde contre la hausse des coûts des soins de santé après le déploiement de la 5G. Consulté à l’adresse https://www.newswire.ca/news-releases/ontario-doctors-warn-of-rising-health-care-costs-after-5g-roll-out–845905505.html
  26. Également : Medical Conference Teaches about Illness from Too Much Wireless Radiation. (2019, May 31). (2019, 31 mai). https://www.newswire.ca/news-releases/medical-conference-teaches-about-illness-from-too-much-wireless-radiation-803331223.html
  27. Conférence médicale sur les CEM 2021 – Prévention, diagnostic et traitement des maladies associées aux CEM. (2020). https://emfconference2021.com/



Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine

[Source : cv19.fr]

Les scientifiques et les médecins ont déjà réalisé d’innombrables expériences pour tenter de prouver la théorie des germes au cours des 120 dernières années, et toutes ont échoué. Voici quelques-unes des expériences qui ont été réalisées sur le rhume, la grippe et la rougeole.

En mars 1919Rosenau et Keegan ont mené 9 expériences distinctes sur un groupe de 49 hommes en bonne santé, afin de prouver la contagion. Dans les 9 expériences, 0/49 hommes sont tombés malades après avoir été exposés à des personnes malades ou aux fluides corporels de personnes malades. En novembre 1919, Rosenau et al. ont mené 8 expériences distinctes sur un groupe de 62 hommes pour tenter de prouver que le virus de la grippe est contagieux et provoque la maladie. Dans les 8 expériences, 0/62 hommes sont tombés malades. Une autre série de 8 expériences a été entreprise en décembre 1919 par McCoy et al. sur 50 hommes pour essayer de prouver la contagion. Une fois encore, les 8 expériences n’ont pas réussi à prouver que les personnes atteintes de la grippe ou leurs fluides corporels provoquaient la maladie. 0/50 hommes sont tombés malades.

En 1919Wahl et al. ont mené 3 expériences distinctes pour infecter 6 hommes sains avec la grippe en les exposant à des sécrétions des muqueuses et des tissus pulmonaires de personnes malades. 0/6 hommes ont contracté la grippe dans chacune des trois études.

En 1920Schmidt et al ont mené deux expériences comparatives, exposant des personnes en bonne santé aux fluides corporels de personnes malades. Sur 196 personnes exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, 21 (10,7 %) ont développé un rhume et trois ont développé une grippe (1,5 %). Dans le second groupe, sur les 84 personnes saines exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, cinq ont développé la grippe (5,9 %) et quatre des rhumes (4,7 %). Sur quarante-trois témoins qui avaient été inoculés avec des solutions salines physiologiques stériles, huit (18,6 %) ont développé des rhumes. Un pourcentage plus élevé de personnes ont été malades après avoir été exposées à la solution saline par rapport à celles qui ont été exposées au “virus”.

En 1921Williams et al. ont essayé d’infecter expérimentalement 45 hommes sains avec le rhume et la grippe, en les exposant à des sécrétions des muqueuses de personnes malades. 0/45 sont tombés malades.

En 1924Robertson & Groves ont exposé 100 personnes en bonne santé aux sécrétions corporelles de 16 personnes différentes souffrant de la grippe. Les auteurs ont conclu qu’aucune personne sur 100 n’était tombée malade à la suite de cette exposition aux sécrétions corporelles.

En 1930Dochez et al. ont tenté d’infecter expérimentalement un groupe d’hommes avec le rhume. Les auteurs ont déclaré quelque chose d’étonnant dans leurs résultats.

“Il est apparu très tôt que cet individu était peu fiable et, dès le début, il a été possible de le tenir dans l’ignorance de notre procédure. Il présentait des symptômes discrets après son injection-test de bouillon stérile et pas de résultats plus frappants avec le filtrat froid, jusqu’à ce qu’un assistant, le deuxième jour après l’injection, fasse par inadvertance référence à cet échec à contracter un rhume.

Ce soir-là et cette nuit-là, le sujet a fait état d’une symptomatologie sévère, comprenant des éternuements, une toux, un mal de gorge et une congestion nasale. Le lendemain matin, il a appris qu’il avait été mal informé sur la nature du filtrat et ses symptômes ont disparu dans l’heure qui a suivi. Il est important de noter qu’il y avait une absence totale de changements pathologiques objectifs.”

En 1940Burnet et Foley ont essayé d’infecter expérimentalement 15 étudiants universitaires avec la grippe. Les auteurs ont conclu que leur expérience était un échec.

Voici 4 autres expériences menées en 1918 pour prouver la contagion mais qui ont échoué.

Selon Bridges et al (2003),

“Notre analyse n’a trouvé aucune étude expérimentale humaine publiée dans la littérature anglophone décrivant clairement la transmission de la grippe de personne à personne. »

Aucune preuve de la transmission de la rougeole

Voici les études réalisées à ce jour pour tenter de prouver que la rougeole est contagieuse, toutes n’ayant pas apporté de preuves concluantes :

En 1799, le Dr Green a rapporté qu’il avait réussi à infecter trois enfants en les exposant au fluide de lésions de rougeole, mais il n’existe aucun document fiable à ce sujet(1).

En 1809, Willan a essayé d’infecter trois enfants en les exposant au fluide de lésions de rougeole provenant de personnes malades. Aucun des enfants n’est tombé malade(1).

En 1810, Waschel a prétendu avoir infecté expérimentalement un homme de 18 ans avec la rougeole, mais ces affirmations ont été contestées par d’autres personnes à l’époque. L’homme est tombé malade 22 jours après l’inoculation et il est dit que l’homme a en fait contracté la rougeole naturellement et non à cause de l’inoculation(1).

En 1822, le Dr Frigori a essayé de contaminer 6 enfants avec la rougeole. Bien que les enfants aient développé des symptômes légers et non spécifiques, ils n’ont pas développé la rougeole. Mécontent de ses résultats, Frigori a tenté de s’infecter lui-même, mais sans succès(1).

En 1822, le Dr Negri a essayé d’infecter deux enfants avec la rougeole, mais il a eu les mêmes résultats négatifs que le Dr Frigori.(1)

En 1822, Speranza a essayé d’infecter 4 enfants en utilisant des méthodes similaires, mais sans succès(1)

En 1834, Albers a essayé de contaminer quatre enfants avec la rougeole, mais aucun n’est tombé malade(1).

Entre 1845 et 1851, Mayr aurait réussi à infecter 6 enfants avec la rougeole, mais il semble s’agir d’une forme modifiée de la maladie (en d’autres termes, pas la rougeole)(1).

En 1890, Hugh Thompson a essayé d’infecter des enfants avec la rougeole à deux reprises, mais les deux tentatives ont échoué(1).

En 1905, Ludvig Hektoen rapporte qu’il a réussi à infecter deux personnes saines avec le sang de patients atteints de la rougeole(1). Il convient de noter que le sang était mélangé à d’autres substances, comme le liquide d’ascite, avant d’être injecté. Cette expérience est considérée comme la meilleure preuve qui prouve sans aucun doute que le virus de la rougeole provoque la maladie(2). Il existe peu de détails spécifiques sur les signes et les symptômes que ces patients ont réellement présentés, de sorte que l’on peut douter qu’ils aient réellement eu la rougeole(3).

En 1915, Charles Herman a frotté la muqueuse nasale de 40 nourrissons avec des cotons-tiges recouverts de sécrétions nasales de patients atteints de la rougeole. La majorité des nourrissons n’ont eu aucune réaction, 15 nourrissons ont eu une légère augmentation de la température corporelle et quelques-uns ont développé des taches rouges sur la peau. À l’âge de 1 an, 4 de ces nourrissons ont eu des contacts rapprochés avec des personnes infectées. Aucun des nourrissons n’est tombé malade, ce qui serait dû à leur “immunité”(4).

En 1919, Sellards a essayé d’inoculer 8 hommes en bonne santé (n’ayant pas été exposés à la rougeole auparavant). En 1919, Sellards a essayé d’inoculer 8 hommes en bonne santé (sans exposition préalable à la rougeole) avec le sang de malades de la rougeole, en utilisant les mêmes méthodes que Hektoen. Aucun des hommes n’est tombé malade(3,5). Quelques semaines plus tard, les volontaires ont été exposés à un cas de rougeole, mais aucun d’entre eux n’est tombé malade. Des sécrétions nasales ont alors été prélevées sur des patients atteints de la rougeole et injectées dans les voies nasales des participants sains. Aucun n’est tombé malade(3,5).

Sellards a également mené une autre expérience pour essayer de contaminer deux autres volontaires humains sains avec la rougeole en leur injectant par voie sous-cutanée et intramusculaire le sang de deux patients infectés. Aucun des deux hommes n’est tombé malade(3,5).

En 1919, Alfred Hess fait un commentaire sur les résultats de Sellard. Il déclare : “Il est remarquable que Sellards ait été incapable de produire cette maladie hautement infectieuse au moyen du sang ou des sécrétions nasales d’individus infectés, il n’y a pas longtemps, j’ai été confronté à une expérience similaire avec la varicelle, nous sommes donc confrontés à deux maladies, les deux plus infectieuses des maladies endémiques dans cette partie du monde, que nous sommes incapables de transmettre artificiellement d’homme à homme”(6).

En 1924, Harry Bauguess a écrit un article dans lequel il déclarait : “Une recherche minutieuse dans la littérature ne révèle aucun cas où le sang d’un patient atteint de rougeole a été injecté dans le flux sanguin d’une autre personne et a produit la rougeole(7)”.

1. Hektoen L. Experimental Measles. J Infect Dis. 1905;2(2):238–255. doi:10.1093/infdis/2.2.238

2. Degkwitz R. The Etiology of Measles. J Infect Dis. 1927;41(4):304–316. doi:10.1093/infdis/41.4.304

3. SELLARDS AW. A REVIEW OF THE INVESTIGATIONS CONCERNING THE ETIOLOGY OF MEASLES. Medicine (Baltimore). 1924;3(2):99–136. doi:10.1097/00005792–192403020–00001

4. Herman C. Immunization against measles. Arch Pediat. 1915;32(503). [mentionné ici]

5. Sellards A. Insusceptibility of man to inoculation with blood from measles patients. Bull Johns Hopkins Hosp. 1919;257. [mentionné ici]

6. Hess AF. NEED OF FURTHER RESEARCH ON THE TRANSMISSIBILITY OF MEASLES AND VARICELLA. J Am Med Assoc. 1919;73(16):1232. doi:10.1001/jama.1919.0261042006002

7. BAUGUESS H. MEASLES TRANSMITTED BY BLOOD TRANSFUSION. Am J Dis Child. 1924;27(3):256. doi:10.1001/archpedi.1924.019200900610

Voir aussi : Le « procès du virus de la rougeole» entre le Dr Stefan Lanka et le médecin Allemand David Bardens a attisé le débat sur la justification de la vaccination infantile et des vaccinations en général.


En 2018, une revue sur les différentes voies de transmission des “virus” respiratoires a été publiée par Kutter et al. Les chercheurs passent en revue de nombreux “virus” différents et tentent d’identifier les différents modes de transmission pour chacun d’entre eux, mais il devient très clair que les preuves sont soit extrêmement faibles, soit totalement inexistantes. Par exemple, ils affirment que :

• La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes.

• L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue.

De nombreuses épidémies ont fait l’objet d’une enquête rétrospective afin d’étudier les voies possibles de transmission des virus interhumains. Les résultats de ces études sont souvent peu concluants et, parallèlement, les données issues d’expériences comparatives sont rares. Par conséquent, les connaissances fondamentales sur les voies de transmission qui pourraient être utilisées pour améliorer les stratégies de prévention font toujours défaut.

Sources :
https://lordchewy.medium.com/exposing-the-contagion-myth-bf47cf0e3aee
https://nateserg808.wixsite.com/my-site/post/5-staple-items-for-autumn




Attentat terroriste déjoué à Nice ? Une chanteuse de rue arrêtée juste avant le drame

Par Alain Tortosa

Nice fêtait son carnaval dans une ambiance bon-enfant et familiale comme à son habitude… Passe vaccinal, port du masque obligatoire, portique anti-agression, paiement obligatoire pour y assister, murs pour empêcher les gueux de voir… et la police municipale veillait au grain.

Un drame aurait failli se dérouler hier, proche des « arènes de la liberté » où se déroulait la fête.

L’attentat aurait été déjoué de justesse lorsque l’individu a dégainé violemment son arme, une guitare acoustique de type « ak47 » pour commencer à chanter.

C’était sans compter sur le courage et l’héroïsme des forces de l’ordre qui, selon les témoins, purent arracher des mains l’arme de la présumée terroriste avant qu’elle ne joue quelques notes fatales. La préméditation ne ferait aucun doute, la chanteuse aurait même eu une (fausse ?) autorisation.

S’en serait suivi un moment d’incertitude… Des complices auraient cherché à défendre la délinquante.

Rappelons que dans sa grande sagesse, le préfet des Alpes Maritimes a interdit l’usage des armes de catégorie « musique, chants, concerts de rue » dans l’agglomération.

Nous savons l’odieux virus attiré par le bruit, raison pour laquelle le défilé du carnaval n’a pas été organisé dans les rues, mais derrière des murs de protection.

À noter que nous ne savons pas si les protections mises en œuvre pour le carnaval avaient pour objet d’interdire au virus d’entrer dans l’enceinte ou au contraire l’empêcher de sortir. Les premiers résultats de l’enquête sembleraient indiquer que c’était pour l’empêcher de sortir étant donné que les mesures mises en place consistaient à s’assurer que les participants étaient vaccinés donc potentiellement porteurs du virus, et que les tests PCR étaient refusés pour les adultes.

Nous pouvons donc saluer l’initiative du maire qui a voulu emprisonner le virus dans cette enceinte. Cette mesure aurait pu empêcher la terroriste de contaminer et d’assassiner les pauvres passants. En effet, le volume sonore du carnaval largement supérieur à l’instrument de la meurtrière aurait théoriquement empêché tout virus d’être attiré par ce son de la mort… Je vous rappelle que le virus adore la musique, mais déteste les transports en commun comme le métro.

Mais c’était oublier que cette personne sans conscience, cet être sans foi ni loi, s’apprêtait à jouer APRÈS le spectacle du carnaval. Les forces de l’ordre sont donc héroïques et j’espère qu’elles seront décorées pour avoir déjoué les plans machiavéliques de cette présumée terroriste.

Hélas ! nous apprenons aujourd’hui qu’elle aurait été libérée suite à sa garde à vue et condamnée à la somme ridicule de 135 euros pour « incitation à la rébellion ». Cela me semble pour le moins bien léger face à la menace que cette non-personne s’apprêtait à faire subir sciemment aux habitants du quartier. Nous ne redirons jamais assez que les concerts de rue représentent une menace mortelle pour la sécurité des passants et notamment les grabataires qui ne peuvent résister au chant des sirènes au risque de mourir dans d’odieuses souffrances.

Merci aux forces de l’ordre, merci au maire de Nice, merci au préfet !

Alain Tortosa.

20 février 2022

https://7milliards.fr/tortosa20220220-attentat-terroriste-dejoue-nice.pdf

PS Il appartient au lecteur de s’assurer de la véracité de ces informations




L’insémination artificielle solidaire et forcée sauvera l’humanité !

Par Alain Tortosa

(de même que la vaccination obligatoire…)

Dans les années 2020, un groupuscule terroriste menaça l’humanité en s’opposant à la vaccination solidaire et obligatoire.

Leur slogan était :

« mon corps m’appartient ! »

Les intentions criminelles de ces fous étaient d’autant plus incompréhensibles :

  • Que l’humanité était menacée par un virus mortel appelé Sars-Cov-2.
  • Qu’il n’y avait aucun traitement disponible.
  • Et que le vaccin efficace ne présentait strictement aucun effet secondaire.

Ils ne démordaient pas du « mon corps est ma propriété » en ajoutant « une fois injecté, un vaccin ne peut plus être retiré ».

Je rappelle à ceux qui n’étaient pas nés ou trop jeunes pour s’en souvenir que cet odieux virus s’attaquait principalement aux personnes âgées en fin de vie et qu’il était indispensable que les enfants les protègent.

Par chance, les peuples du monde entier disposaient du bon sens nécessaire qui permit de vacciner plus de 90 % de la population mondiale et ainsi faire reculer le virus pendant trois mois.

Pourquoi je vous parle de cette époque me direz-vous ?

Pour la simple raison que l’histoire se répète, encore !

Cela fait maintenant plusieurs dizaines d’années que notre planète connaît une progression fort inquiétante de la stérilité. Si au début de la crise nous nous réjouissions parce qu’elle touchait principalement les pays pauvres, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les cinquantenaires commencent à paniquer (avec raison) pour leurs retraites, et au-delà c’est l’avenir du monde qui est en question.

Les experts estiment que si nous n’avons pas trouvé une solution viable d’ici 70 ans, nous risquons l’extinction pure et simple de la race humaine.

Il y a consensus scientifique pour déterminer les causes de ce fléau qui a débuté juste après le Sars-cov-2 et la vaccination massive :

  • La consommation de viande et de produits d’origine animale.
  • Le réchauffement climatique.

Autant il a été relativement facile, malgré quelques heurts, de résoudre le problème de la viande en interdisant tout commerce (à noter qu’il existerait des lieux clandestins de consommation).
Autant le réchauffement climatique est un chantier que nous avons pris à bras le corps, mais qui risque de prendre encore au moins un ou deux siècles avant de le résoudre.

Nous avons fait notre maximum pour lutter contre cet infâme CO2 :

  • Mise en place du passeport vert.
  • Interdiction des déplacements individuels non stratégiques.
  • Quotas de consommation de CO2.
  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Etc.

Bref, un ensemble de mesures de bon sens que seul un fou aurait pu rejeter…

Mais hélas, même si ces mesures ont permis un ralentissement de la progression, l’humanité demeure subir ce changement climatique avec l’augmentation de la stérilité qui en découle tout naturellement.

Ne croyez pas que notre République Démocratique Mondiale soit restée impassible face à ce fléau.

De nombreuses campagnes d’information et d’incitation ont été menées dans les zones riches pour inciter les femmes fertiles en âge de procréer à faire des enfants. Hélas nous savons tous que convaincre n’est pas suffisant, qu’il existe encore beaucoup trop d’égoïstes irresponsables sur la planète.

Nous pensions aussi que les utérus artificiels, si prometteurs, permettraient de résoudre le problème, mais il s’avéra que leur rapport bénéfice coût était catastrophique.

Plus de 90 % des fœtus n’arrivaient pas à terme et la gestion artificielle fut interrompue. Vous pourriez justement me dire « qu’est-ce qu’on en a à foutre, ce n’est que de la viande »… Oui, mais c’est oublier le gaspillage d’ovules si précieux et si rares.

C’est donc ainsi que la loi sur l’insémination obligatoire des femmes en capacité de procréer (avec obligation de don de semence pour les hommes non stériles) a été promulguée sur recommandation de l’OMS et des autorités sanitaires.

« Toute femme non stérile devra obligatoirement être inséminée avec un intervalle maximal de huit mois entre chaque grossesse ! »

Ainsi grâce à cette mesure solidaire et de bon sens, nous espérons résoudre le problème de la natalité le temps que nous ayons résolu le problème climatique.

Et c’est là que nous voyons ressurgir les extrémismes des heures les plus sombres de notre histoire.

Entendez-vous qu’une minorité de femmes extrémistes (avec la complicité de certains hommes) s’oppose à cette loi de progrès en disant :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je ne suis pas une pondeuse ! »
  • « Je suis contre la procréation artificielle ! »
  • « Ma liberté est de choisir ou refuser ! »

(Rappelons que la procréation naturelle est trop aléatoire et qu’il ne saurait être question de laisser la nature décider de notre avenir.)

À l’heure de la menace planétaire, les intérêts individuels ne peuvent prendre le dessus sur l’intérêt collectif.

C’est aussi égoïste qu’irresponsable !
La liberté ce n’est pas participer activement et avec préméditation à la fin de l’humanité !
La liberté ce n’est pas être complice de l’extinction de l’espèce humaine !
Alors, rappelons le slogan du gouvernement :

« Je suis pour la vie, je suis pour l’insémination artificielle forcée ! »

Et notons aussi sa générosité :

  • Les premiers tests.
  • Les traitements hormonaux.
  • L’insémination artificielle.
  • La grossesse dans les camps luxueux aménagés (avec visite possible du conjoint tous les quinze jours).
  • La césarienne (on ne peut pas prendre le risque d’un accouchement par voie basse).
  • Les trois premières années de vie du bébé dans ces mêmes camps (la maman étant autorisée à séjourner encore un mois après la mise au monde).

Tout est gratuit !
Oui 100 % gratuit !
Les frais sont entièrement pris en charge par la collectivité !

Et certains osent se plaindre ?

Alors malgré des siècles de progrès social et d’avancée de l’humanité, nous en sommes finalement au même stade qu’en 2020 quand les complotistes antivax clamaient des slogans identiques :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je suis libre de refuser l’injection d’ARNm ! »
  • « Qui connaît les effets à long terme des injections expérimentales ! »
  • « À quoi bon me vacciner si je suis en bonne santé ! »
  • « Quel est le rapport bénéfice vs risque et les effets secondaires ? »

Mais fermez là bande de cons !

Non, votre corps ne vous appartient pas dès lors que vous vivez en société !
Quittez la planète et allez vivre sur Mars si vous voulez !

Les devoirs collectifs passent avant les droits individuels !

Nul ne peut mettre en danger l’avenir de la société à des seules fins égoïstes !

Merci.

Alain Tortosa

Prophétie du 20 février de plus tard…

https://7milliards.fr/tortosa20220220-insemination-obligatoire.pdf




Exigeons la suppression immédiate du pass vaccinal et des fichiers sanitaires et refusons le passeport numérique européen

Dr Gerard Delépine

Partout dans le monde, la pression populaire pour la reconquête des libertés fait reculer les enfermistes et les gouvernants provax, pro-pass, pro fichage.

L’échec patent des pseudo vaccins et des pass incapables de contrôler l’épidémie et la colère populaire contre les restrictions injustifiées forcent partout les tyrans à reculer.

Après la Suède, la Norvège, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Croatie, la Catalogne, la Lituanie qui les ont déjà abandonnés, c’est au tour de la Suisse et de l’Autriche et même de la quasi-totalité des provinces du Canada de libérer leurs populations. Et les discussions en cours en Allemagne présagent son prochain abandon.

Resterons-nous longtemps les retardataires des grands pays de l’Europe, avec l’Italie et la Grèce en conservant ces restrictions inefficaces et même contre-productives ?

Les pass sanitaires(([1] Accordés aux personnes vaccinées ou guéries ou porteurs d’un test PCR négatif)) comme vaccinaux(([2] Vaccinées ou guéries)) sont totalement inefficaces !

Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner l’évolution du nombre de contaminations quotidiennes publiées par l’OMS dans les différents pays avant et après les pass.

En Autriche, le pass sanitaire imposé le 1er juillet 2021 (alors que le nombre de nouveaux cas journaliers moyen s’élevait à 78) a été suivi par une augmentation considérable des contaminations qui ont dépassé les 32 000 fin janvier 2022 (quatre cents fois plus qu’avant le pass !). Qui peut encore prétendre qu’il a été utile ?

En Grèce, l’instauration du pass a été également suivie par une augmentation très importante des contaminations quotidiennes (multipliées par 40)

Même effet délétère constaté en Roumanie :

Dans la majorité des pays qui ont instauré un pass vaccinal à la suite des demandes de la Commission européenne son échec sanitaire avéré a justifié son abandon

Comme en Irlande :

ou en Croatie :

Ou en Grande-Bretagne :

Dans aucun pays, les pass ont été sanitairement efficaces et leur abandon n’a nulle part été suivi d’une aggravation de l’épidémie.

L’échec des pass sanitaires ou vaccinaux était parfaitement prévisible d’emblée, car ils reposent sur l’hypothèse fallacieuse que les pseudos vaccinés seraient résistants au virus et incapables de le transmettre. Ces deux hypothèses sont totalement contredites par les faits depuis déjà de nombreux mois. Rassurer à tort les injectés les incite à négliger les gestes d’hygiène qu’ils respectaient auparavant et accroît logiquement les risques de contamination.

Les pass ne sont qu’un moyen de préparer la dictature à la chinoise

Mais les pass n’ont jamais eu pour but réel le contrôle de l’épidémie ; ils sont destinés à ficher les gens ! Une preuve supplémentaire est apportée par la volonté affirmée (et votée) de les intégrer au passeport numérique européen dès septembre 2022. Ce passeport numérique européen regrouperait carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale…

Dire qu’en France il existe une commission informatique et liberté totalement silencieuse depuis la crise !

Trop d’entre nous avons accepté sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les interdictions de promenades seul en forêt, de s’asseoir sur les plages, de boire debout, le Pass sanitaire, le Pass vaccinal, deux doses pour être libre, puis trois doses et bientôt quatre…

Désormais, totalement engourdis et soumis, trop sont préparés pour accepter la surveillance individuelle, ultime prélude à l’esclavage généralisé : le passeport numérique européen(([3] Olivier Demeulenaere Le pass vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen : Vous serez numérisé, tracé puis pucé Publié le 17 février 2022)) en attendant la puce sous-cutanée qu’on utilise pour surveiller les animaux domestiques.

Dans cette optique, la commission a proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE.

Stella Kyriakidès « Madame Vaccin », qui a signé les contrats d’achats des pseudo vaccins expérimentaux(([4] Et dont le mari a reçu juste après, des crédits de plusieurs millions d’euros dans des conditions opaques.)) a déclaré :

« Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

Et on peut être certain que nos dirigeants trouveront un nouveau motif sanitaire chaque année.

Les mesures prétendument sanitaires et les pass inefficaces constituent des atteintes intolérables à nos libertés fondamentales. Il faut accentuer les manifestations pour exiger leur suppression immédiate.

MAIS IL NE FAUT SURTOUT PAS SE CONTENTER DE L’ABROGATION DES PASS.
IL FAUT EXIGER LA SUPPRESSION DES FICHIERS SANITAIRES ET DES QR CODES CONSTITUÉS À CETTE OCCASION ET DE TOUTES LES MESURES COERCITIVES




Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19

Par Gérard Delépine

IL FAUT DÉMENTIR LE DERNIER ARGUMENT PROVAX QUI SERAIT LA PRÉVENTION DES FORMES GRAVES

Vaccins anti-covid : comment continuer à les imposer malgré leur inefficacité avérée à prévenir la maladie et à éviter la transmission du virus et malgré leurs dangers maintenant reconnus même sur les TV et singulièrement pour les enfants innocents du covid ?

Informez encore et encore pour faire disparaître la peur de ce petit virus si peu méchant chez les moins de 65 ans (et curable chez tous, surtout traité précocement) et faire comprendre l’inutilité d’une injection.

Regardez les faits avérés pour lutter contre la politique sanitaire mensongère fondée sur la peur, la propagande et la censure.

En cette période, le président affirme « vouloir emmerder les non vaccinés » et impose encore le passe vaccinal jusqu’au 15 mars.

Espère-t-il qu’en le supprimant juste avant le vote présidentiel il obtiendra le vote des électeurs qu’il a si longtemps « emmerdés » comme les otages victimes du syndrome de Stockholm(([1] Le terme « syndrome de Stockholm » doit son nom à l’analyse d’une prise d’otage ayant eu lieu à Stockholm en 1973 par le psychiatre Nils Bejerot. Il s’agit d’un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci.))?

La plupart des pays font disparaître dès maintenant toutes les mesures coercitives. L’analyse de l’intérêt sanitaire réel de la pseudo vaccination à la lumière de ses résultats avérés d’après les données de l’OMS, et en particulier sa prétendue efficacité de la pseudo vaccination prévenir les formes graves doit une nouvelle fois être réévaluée.

Les données publiées par l’OMS et celles des agences sanitaires du monde entier, comparant les pays entre eux montre que les affirmations mainstream sur les pseudo vaccins sont fausses !

Les pseudo vaccins sont incapables d’arrêter l’épidémie

Les pays les plus vaccinés ne contrôlent pas l’épidémie, qu’il s’agisse d’Israël champion de Pfizer où l’explosion récente des contaminations dément cruellement les propos du ministre de la Santé(([2] Salomé Vincendon ISRAËL : D’APRÈS LE MINISTRE DE LA SANTÉ, LES VACCINS « PROTÈGENT » DU VARIANT OMICRON BFM TV Le 01/12/2021
https://www.bfmtv.com/international/moyen-orient/israel/israel-d-apres-le-ministre-de-la-sante-les-vaccins-protegent-du-variant-omicron_AN-202112010164.html)) prétendant que les vaccins protégeraient d’Omicron,

Malgré son taux record d’injection Pfizer, Israël a dû faire face à des vagues successives de plus en plus fortes établissant à chaque vague de nouveaux records de contaminations journalières.

ou de la Grande-Bretagne :

En Grande-Bretagne, la pseudo vaccination massive n’a pas non plus protégé la population.

En France, malgré un taux de couverture vaccinal atteignant 90 % dans les groupes cibles, le nombre de contaminations quotidiennes a été établi le 26 janvier 2022 avec le record absolu (500 563) depuis le début de la crise malgré des restrictions de plus en plus fortes qui renient les principes fondamentaux de notre démocratie.

Et cette incapacité à contrôler l’épidémie s’est répétée dans tous les pays adeptes de la stratégie du tout vaccinal.

Le 22 décembre 2021, Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur de l’OMS a reconnu que les doses de rappel ne suffiraient pas pour sortir de la pandémie.

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel »

Les pseudo vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort

NON MR PRAUD, NON DR BLACHIER, LES INJECTIONS NE PROTÈGENT PAS DES FORMES GRAVES, regardez les courbes de l’OMS et les rapports des agences sanitaires étrangères.

En France, les agences continuent à prétendre que les injections diminuent le risque de formes graves. Et les médias français, y compris ceux qui s’éloignent progressivement de la doxa covidienne répètent encore en boucle que les pseudo-vaccins protègeraient des formes graves et qu’il faudrait vacciner les personnes à risque !

Cet échec à prévenir les formes graves et les morts est pourtant constaté dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires.

En Israël, les injections Pfizer n’ont pas prévenu les formes graves et les morts et ont même permis en février 2022 l’établissement de records de mortalité quotidienne depuis le début de l’épidémie.

En septembre 2021 le ministre de la santé israélien, pour inciter à la troisième injection, avait reconnu sur une télévision israélienne que « la grande majorité des formes graves étaient observées chez les doubles vaccinés ».

Cinq mois plus tard, le 3/2/22, le Prof. Yaakov Jerris, directeur de l’hôpital Ichilov a déclaré(([3] A Israel National News 03.02.22 15:12)):

« 80 % des formes graves de covid sont observées chez les vaccinés complets (à trois doses) » ajoutant « les vaccins n’ont pas d’utilité pour diminuer la sévérité de la maladie »

En février 2022, le pays champion officiel des injections Pfizer s’est retrouvé avec les USA parmi les plus hautes mortalités quotidiennes mondiales par million d’habitants (8/Million).

En Grande-Bretagne, l’agence sanitaire officielle affirme que les vaccinés remplissent les réanimations. Le pourcentage de non-vaccinés en réanimation n’est pas supérieur à celui de la population générale prouvant ainsi que les injections ne protègent pas des formes graves.

En France, les agences et les médias prétendent que les injections diminuent le risque de formes graves, comme à l’époque de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl où elles prétendaient que le nuage radioactif s’était arrêté à la frontière.

Leur propagande est favorisée par la définition trompeuse(([4] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protégerait des formes graves | Mondialisation.ca)) des « vaccinés » qui n’acquièrent ce qualificatif que 15 jours après la deuxième injection(([5] Et bientôt la troisième…)) excluant ainsi toutes les complications et les morts post injections précoces, truquant l’estimation véritable de la proportion des « formes graves » hospitalisées selon leur statut vaccinal. Sans compter qu’un patient hospitalisé pour un lourd traitement chirurgical nécessitant des soins critiques est le plus souvent catalogué « covid », si son test est positif alors l’on sait qu’il existe plus de 50 % de faux positifs lors des dépistages chez les asymptomatiques.(([6] Luc Perino Plaisir de la mathématique et de la clinique élémentaires Le monde 28/11/2021
https://www.lemonde.fr/blog/expertiseclinique/tag/faux-positif/))

Cette absence de protection des formes graves est constatée dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires et explique en partie que les pays très vaccinés souffrent presque tous d’une mortalité plus élevée que celle des pays adeptes des traitements précoces

D’après Lesgards et al, les 3 raisons pour lesquelles ces pseudo vaccins protègent peu ou pas du tout contre les formes graves (ni d’ailleurs contre les infections moins sévères) sont les suivantes :

  1. ils ne stimulent pas la production des IgA sécrétoires vs circulantes(([7] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-dinformation-lattention-des-senatrices-et-senateurs-lesgards
    http://www.apar.tv/alt-news/des-resultats-dautopsie-donnent-des-preuves-irrefutables-du-role-des-injections-a-base-darnm-dans-les-deces-post-vaccination/));
  2. dans les épidémies à coronavirus les anticorps sont volontiers facilitants ;
  3. l’oxydation et inflammation induites par spike sont responsables de morts chez des sujets ayant des comorbidités, atteints du COVID.

OPACITÉ FRANÇAISE

Il est invraisemblable qu’en France ni les données brutes selon le statut vaccinal réel ni les comptes rendus du comité scientifique covid (classés « secret défense » pour 50 ans) ne soient pas publiés alors que le Premier ministre se flatte de la transparence de la gestion de la crise Covid.

Aucune donnée chiffrée vérifiable ne montre que les vaccins diminueraient la gravité du covid. Toutes les données officielles publiées à l’étranger prouvent le contraire.

La prétendue efficacité des pseudo vaccins à protéger des formes graves ne constitue donc qu’une publicité mensongère à visée marchande, et les journalistes et médecins qui découvrent l’ampleur de la manipulation devraient ouvrir les yeux sur ce point fondamental et répéter en boucle que les nombreux traitements précoces disponibles sont efficaces y compris chez les patients âgés ou comorbides.





Terrain — 2e partie

[Source : cv19.fr]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

La deuxième partie de TERRAIN explore les conséquences globales de l’adoption d’un modèle de santé non viable basé sur la théorie des germes et ouvre la porte à un biome synergique d’autocorrection et de guérison connu par tous les êtres vivants sous le nom de théorie du terrain.






Un éminent expert en pharmacovigilance balance au Congrès espagnol les scandales liés aux « vaccins » anti-Covid !

[Source : lactudissidente.com]

Joan-Ramon Laporte Roselló est expert en pharmacovigilance et professeur honoraire de pharmacologie à l’Université autonome de Barcelone. Il a été directeur général de la Fondation Institut Catalan de Pharmacologie, chef du service de pharmacologie de l’hôpital Vall d’Hebron et président du Comité des médicaments essentiels de l’OMS.

Le 7 février 2022, il a été invité au Congrès espagnol pour se prononcer au sujet de la vaccination. En une trentaine de minutes, le professeur a détaillé les scandales liés au contrôle de la sécurité des vaccins devant une commission parlementaire éberluée.






Questions relatives à la 5G

Par Arthur Firstenberg

QUESTIONS FRÉQUEMMENT POSÉES

Qu’est-ce que la technologie sans fil ?

La technologie sans fil est un moyen d’envoyer des informations ou de l’énergie dans l’espace sans fil. Elle comprend :
– les satellites, les radars, la radio, la télévision, les tours cellulaires, les téléphones cellulaires, les téléphones sans fil, les fours à micro-ondes
– les compteurs intelligents, le WiFi, le Bluetooth, les trackers de fitness, les montres intelligentes, les babyphones
– claviers, souris, imprimantes, casques et haut-parleurs sans fil, systèmes de sécurité sans fil, clés de voiture sans fil, ouvreurs de porte de garage sans fil, chargeurs de batterie sans fil, télécommandes, microphones sans fil.
– puces RFID dans les cartes de crédit et les permis de conduire, colliers et puces radio dans les animaux sauvages, le bétail et les animaux de compagnie, puces dans les appareils ménagers
– prothèses auditives sans fil, dispositifs d’écoute assistée, pendentifs d’alerte médicale, puces dans les implants médicaux, stimulateurs cardiaques sans fil
– véhicules autonomes, drones et robots
– de nombreux autres dispositifs radioélectriques qui prolifèrent dans le monde d’aujourd’hui.

Chacun de ces appareils, sans exception, émet des rayonnements.

Quel est le problème de la technologie sans fil ?

En remplaçant les fils par des radiations, nous nageons dans un océan de champs électromagnétiques artificiels qui interfèrent avec la vie elle-même. En fait, nous nous électrocutons nous-mêmes, nos enfants, nos animaux domestiques, les insectes, les oiseaux, les animaux, les arbres et les plantes qui nous entourent et toute la création vivante. Nous sommes en train de tuer notre planète.

Il s’agit d’une exposition à long terme, non ? Un cancer qui met des années à se développer ?

Non. Les effets sont rapides. Le rythme cardiaque change immédiatement. Le taux de sucre dans le sang augmente en quelques minutes. Avoir des appareils sans fil allumés dans votre maison perturbe votre sommeil et votre mémoire. L’utilisation d’un téléphone portable détruit les cellules du cerveau en quelques minutes ou quelques heures, et peut provoquer une attaque ou une crise cardiaque. Des études montrent que même le cancer peut se développer dans les mois qui suivent la première exposition. Lorsqu’une tour cellulaire est allumée, les oiseaux quittent immédiatement la zone. Les insectes disparaissent. Même les limaces et les escargots disparaissent. La plupart de ces phénomènes se produisent en un rien de temps.

Quels types de rayonnements sont utilisés dans la technologie sans fil ?

Toutes les fréquences des ondes radio, les micro-ondes, le rayonnement infrarouge, la lumière visible, les lasers, les ondes sonores et même le rayonnement nucléaire. La plupart des appareils domestiques utilisent des micro-ondes.

Les micro-ondes ne sont-elles pas naturelles ? Les micro-ondes ne proviennent-elles pas du soleil et des étoiles ?

La quasi-totalité des rayonnements que nous recevons de l’univers sont la lumière et la chaleur du soleil, et non les micro-ondes. Le rayonnement micro-ondes qu’une personne reçoit d’une tour de téléphonie mobile moyenne est des millions de fois plus fort que l’ensemble du rayonnement micro-ondes provenant du soleil et des étoiles. Le rayonnement micro-ondes que le cerveau d’une personne reçoit de son téléphone portable est des milliards de fois plus fort que le rayonnement micro-ondes du soleil et des étoiles. Et à n’importe quelle fréquence, il est des milliers de milliards de fois plus puissant que le rayonnement micro-ondes qu’il reçoit du soleil et des étoiles à cette fréquence. Et les faibles micro-ondes du soleil et des étoiles ne sont pas pulsées et modulées. Ce sont les pulsations et la modulation qui causent la plupart des dommages.

La lumière et les micro-ondes ne sont-elles pas toutes deux électromagnétiques ? Par conséquent, les micro-ondes ne sont-elles pas sans danger ?

Non. C’est comme dire que l’arsenic est sans danger parce que l’oxygène et l’arsenic sont tous deux des éléments, ou que le cyanure est sans danger parce que l’eau et le cyanure sont tous deux des produits chimiques. Mais l’oxygène et l’eau sont nécessaires à la vie, alors que l’arsenic et le cyanure sont des poisons mortels. Il en va de même pour les rayonnements électromagnétiques. La lumière visible est nécessaire à la vie. Le rayonnement micro-ondes est un poison mortel.

Les produits chimiques toxiques ne sont-ils pas plus dangereux que les rayonnements électromagnétiques ?

L’électromagnétisme est plus complexe et plus fondamental que la chimie. L’électromagnétisme façonne le soleil et les étoiles. L’électromagnétisme anime la vie. L’électromagnétisme est derrière la chimie. Il n’y a pas de « force chimique » dans l’univers. En dehors des noyaux atomiques, il n’y a que la gravité et l’électromagnétisme. L’électromagnétisme guide tout ce que nous voyons, y compris nous-mêmes. La chimie est un effet, pas une cause.

Ne pouvons-nous pas trouver des fréquences sûres ? Cela ne résoudrait-il pas le problème ?

C’est considérer la technologie sans fil et la vie de manière trop simpliste.

La plupart des technologies sans fil n’ont qu’un seul objectif : transmettre des informations aux ordinateurs, des informations d’une grande complexité et variété. Il ne s’agit pas d’un simple rayonnement constant d’une seule amplitude et d’une seule fréquence : un tel rayonnement ne transporterait aucune information. Il s’agit plutôt de plusieurs grandes bandes de fréquences, chacune divisée en centaines, milliers et millions de fréquences individuelles de toutes largeurs de bande différentes, qui se chevauchent et interagissent, pulsées à des intervalles extrêmement variés, dans une énorme variété de formes, de motifs et de durées, partout dans le monde. Même un seul signal provenant d’un seul appareil présente une variété d’amplitudes, de fréquences et de pulsations, et est modulé de manière complexe afin de transporter toutes les informations nécessaires pour être lues par un téléphone portable ou un ordinateur.

La vie doit également transporter une complexité énorme, presque infinie, d’informations dans ses systèmes nerveux et ses méridiens, et stocker et traiter ces informations dans ses cellules, ses organes et ses chakras, ainsi que dans son ADN qui est partagé et circule entre des trillions d’individus de 50 millions d’espèces différentes, tous connectés les uns aux autres et à la terre, au ciel et à l’univers dans un grand circuit d’énergie et d’informations.

Le nuage artificiel d’énergie et d’information interfère, domine et détruit le circuit naturel et vivant d’énergie et d’information. Il ne peut en être autrement.

Qu’en est-il du LiFi ? Si la lumière est sûre, pourquoi ne pas utiliser la lumière au lieu des micro-ondes ?

La lumière est un nutriment. Nous l’absorbons avec nos yeux, et dans notre sang. Elle est nécessaire à la santé. Elle régule nos biorythmes. Les plantes vertes en ont besoin pour la photosynthèse. Nous absorbons davantage les pulsations et les fréquences de modulation lorsqu’elles sont transportées dans notre corps par la lumière que lorsqu’elles sont transportées dans notre corps par les micro-ondes. Le LiFi est plus dangereux pour la vie que le WiFi.

Les téléphones portables sont beaucoup plus petits que les tours de téléphonie mobile. Cela ne signifie-t-il pas qu’ils sont plus sûrs ? Cela ne veut-il pas dire que les radiations ne voyagent pas aussi loin ?

Les téléphones cellulaires et les tours de téléphonie cellulaire émettent les mêmes rayonnements ; la taille n’a rien à voir avec cela. La principale différence réside dans le fait qu’une tour cellulaire émet simultanément autant de signaux qu’il y a de téléphones cellulaires communiquant avec elle à ce moment-là, alors qu’un téléphone cellulaire n’émet qu’un canal vocal et un canal de données. Une tour cellulaire émet donc un rayonnement plus fort qu’un téléphone cellulaire, mais au moment où il atteint votre corps, son rayonnement est beaucoup plus faible que celui d’un téléphone cellulaire que vous tenez dans votre main, près de votre corps. De plus, un téléphone cellulaire émet des signaux qu’une tour de téléphonie cellulaire n’émet pas : Bluetooth, WiFi, GPS et autres signaux.

Le rayonnement d’un téléphone cellulaire se propage aussi loin que le rayonnement d’une tour de téléphonie cellulaire. Le rayonnement d’un téléphone cellulaire atteindra toutes les personnes, tous les animaux, tous les oiseaux, tous les insectes et toutes les plantes en ligne de mire avec lui, quelle que soit la distance. Il atteindra une tour cellulaire à 90 miles de distance. Il atteindra un satellite à 22 300 miles de distance. Il atteindra Mars à 200 millions de kilomètres. Avec 15 milliards d’appareils mobiles sur la Terre, nous ne polluons pas seulement nos maisons, nos quartiers et notre planète, mais l’ensemble du système solaire.

Mon téléphone portable ne me rend pas malade. Pourquoi devrais-je arrêter de l’utiliser ?

Votre téléphone portable nuit à votre santé, que vous en soyez conscient ou non. Il endommage la barrière hémato-encéphalique — la barrière qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le tissu cérébral ; la barrière qui maintient l’intérieur de votre tête à une pression constante, vous évitant ainsi de subir une attaque. Le tissu cérébral ne possédant pas de récepteurs de la douleur, de nombreux dommages peuvent se produire sans douleur. Au contraire, ils entraîneront des pertes de mémoire, des difficultés de concentration, de l’anxiété, une dépression, des troubles du sommeil, etc. Chez les rats, des dommages à la barrière hémato-encéphalique peuvent être détectés après seulement deux minutes d’exposition à un téléphone portable. Après une exposition de deux heures, les dommages sont permanents. Il n’y a aucune raison pour qu’il en soit autrement chez l’homme.

Le rayonnement de votre téléphone portable ralentit également votre métabolisme, c’est-à-dire votre capacité à digérer les sucres, les graisses et les protéines. Cela entraîne soit l’obésité, soit la perte de poids, en fonction de votre patrimoine génétique. Il est également à l’origine du diabète, des maladies cardiaques et du cancer. La technologie sans fil est la cause de plus d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de cancers que tout autre facteur.

Les personnes qui sont conscientes des dommages en temps réel sont celles qui peuvent les ressentir dans leur système nerveux ou leur cœur. Cela représente peut-être un tiers de la population. Ils ont l’impression d’être électrocutés. Et ils le sont, mais tout le monde l’est aussi. Les quelques personnes qui ont entendu parler d’une telle chose s’appellent « électrosensibles ». Ceux qui n’en ont pas entendu parler pensent qu’ils souffrent d’anxiété, ou qu’ils ont un trouble neurologique ou cardiaque.

Un téléphone à clapet n’est-il pas plus sûr qu’un smartphone ?

Tous deux sont numériques et tous deux émettent des rayonnements micro-ondes pulsés et modulés. Et malgré ce que beaucoup de gens pensent, les téléphones à clapet peuvent émettre autant de rayonnements, voire plus, que les smartphones. Mais la sécurité n’est pas déterminée par le niveau de puissance. Les dommages causés à la barrière hémato-encéphalique sont les plus importants au niveau de puissance le plus faible, du moins chez les rats de laboratoire. La bande passante est plus importante que le niveau de puissance. Les smartphones utilisent plus de bande passante que les téléphones à clapet.

En résumé, les téléphones portables tuent des gens depuis leur invention. Dans chaque ville des États-Unis où le service 2G « flip phone » a été mis en service pour la première fois en 1996 ou 1997, la mortalité a augmenté immédiatement, le jour même de sa mise en service dans chaque ville. Et la santé générale de la population a été endommagée de façon permanente. Au moins dix mille Américains sont morts des radiations dans les trois mois qui ont suivi la mise en service des téléphones à clapet 2G dans différentes villes en 1996 et 1997. Il est impossible de savoir si la plupart des personnes sont mortes à cause de leurs nouveaux téléphones ou des nouvelles tours de téléphonie mobile : les radiations proviennent des deux.

L’utilisation d’un téléphone portable n’est-elle pas sans danger tant que vous le tenez loin de votre tête ?

Il y a une vingtaine d’années, quelqu’un a commencé à promouvoir l’idée du « panache de champ proche » qui était censé s’étendre sur 15 cm à partir d’un téléphone cellulaire, et que si vous teniez votre téléphone à plus de 15 cm de votre tête, vous étiez en sécurité. C’est une fiction totale. Le « panache » de champ proche n’existe pas. Il n’existe pas.

La région très proche d’une source de rayonnement, où le champ électrique et le champ magnétique sont séparés et complexes, s’appelle le champ proche. L’espace très éloigné de la source, où les champs électrique et magnétique sont liés et diminuent avec la distance, est appelé champ lointain. Les champs proche et lointain se fondent l’un dans l’autre. Il n’y a pas de ligne de démarcation où l’un s’arrête et l’autre commence. Et il n’est certainement pas vrai que le rayonnement s’arrête à 15 cm. Si c’était vrai, le rayonnement n’atteindrait jamais une tour cellulaire et le téléphone ne fonctionnerait pas. Et si c’était vrai pour un téléphone cellulaire, ce serait également vrai pour une tour cellulaire, qui émet le même rayonnement. Une tour cellulaire serait donc sans danger si vous vous tenez à plus de 15 cm d’elle. C’est absurde !

Et votre corps est un conducteur, donc si vous tenez le téléphone dans votre main, quelle que soit la distance qui vous sépare de votre tête, les micro-ondes sont conduites dans votre main et dans tout votre corps, et votre bras est une extension du téléphone et fait partie de l’antenne rayonnante.

Si vous posez le téléphone sur une table en face de vous et que vous ne le tenez pas, les micro-ondes ne font que vous irradier et ne sont pas dirigées vers vous. Mais comme pour certains types de dommages, par exemple les dommages à la barrière hémato-encéphalique, les dommages augmentent avec la distance, cela ne vous protège pas non plus.

Si les niveaux de rayonnement des téléphones portables et des tours de téléphonie cellulaire étaient réduits, cela ne les rendrait-il pas sûrs ?

Non. C’est le contenu informationnel, et non le niveau de puissance, qui cause le dommage. Un téléphone portable expose le cerveau à des micro-ondes d’une puissance d’environ 10 milliwatts par centimètre carré. À des niveaux de puissance mille milliards de fois inférieurs, il a été démontré que les micro-ondes affectent l’ovulation, le système immunitaire, la croissance des plantes, les ondes cérébrales humaines et la structure de l’ADN.

N’avons-nous pas besoin de plus d’études avant de savoir si les micro-ondes sont dangereuses ?

Non. En 1980, nous disposions déjà de 10 000 études. Aujourd’hui, nous en avons au moins 30 000. Il y a plus d’études montrant la nocivité des micro-ondes et des radiofréquences que de tous les autres polluants, à l’exception de la fumée de tabac et du mercure.

Depuis combien de temps cela dure-t-il ? Depuis combien de temps savons-nous que la technologie sans fil est nocive ?

Depuis aussi longtemps que la technologie sans fil existe. Lors de la première démonstration publique de la radio par Marconi dans la plaine de Salisbury en 1896, les spectateurs ont décrit diverses sensations nerveuses qu’ils ont ressenties. Lorsque Marconi a allumé la première station de radio française à Wimereux, un homme qui vivait à proximité a « éclaté avec un revolver » parce que les ondes lui causaient de vives douleurs internes. Le soir du 22 janvier 1901, lorsque Marconi a mis en marche un nouvel émetteur plus puissant sur l’île de Wight, la reine Victoria, en résidence sur l’île, a eu une attaque et est morte. En quelques années, 90 % des abeilles de l’île avaient disparu. Marconi lui-même a souffert de fièvres récurrentes à partir du moment où il a commencé à expérimenter la radio et pour le reste de sa vie. Il a souffert de neuf crises cardiaques, la dernière l’ayant tué à l’âge de 63 ans. Avant même Marconi, au début des années 1890, Jacques-Arsène d’Arsonval a publié les résultats d’expériences sur des humains et des animaux montrant que les hautes fréquences affectent la pression sanguine et modifient profondément le métabolisme.

Les responsables des entreprises de télécommunications savent-ils que leurs produits sont nocifs ? Nous font-ils subir cela délibérément ?

Ils utilisent des téléphones portables comme le reste du monde et sont dans le déni comme tout le monde. Ce déni, qui est profondément ancré dans la société, remonte au début du développement de l’électricité dans les années 1700.

Je garde mon téléphone éteint, sauf en cas d’urgence. Cela ne me protège-t-il pas, ainsi que les autres ?

Un téléphone portable laisse échapper des radiations de tous ses circuits résonnants, même s’il est éteint, tant que la batterie est dans le téléphone. Il en va de même pour un modem ou un routeur WiFi, tant qu’il est branché. J’ai mesuré des radiations provenant de modems dont le WiFi était désactivé. Je peux toujours dire si quelqu’un porte un téléphone portable, car je peux sentir les radiations, même s’il est éteint et caché dans sa poche, même à l’autre bout de la pièce. Je ne me suis jamais trompé.

Quelle que soit la raison pour laquelle vous avez un téléphone portable — n’importe quel type de téléphone portable — toutes les tours de téléphonie cellulaire du monde doivent être présentes pour que le téléphone fonctionne quand vous le voulez. Peu importe que vous utilisiez rarement le téléphone, toutes les antennes relais doivent être présentes. Si vous ne l’utilisez « qu’en cas d’urgence », c’est encore pire, car vous êtes susceptible de l’utiliser dans des endroits éloignés où il n’y a pas de tours de téléphonie cellulaire et où le service n’est pas bon. Chaque appel que vous passez depuis un endroit où il n’y a pas de tours est enregistré comme une demande de service, et votre fournisseur finira par installer une tour cellulaire à cet endroit en réponse à ces appels.

Lorsque je suis à la maison, j’utilise mon téléphone portable relié par un cordon Ethernet à un modem. Cela ne me protège-t-il pas ?

Cela ne vous protège pas, car il émet toujours des radiations. Cela ne protège pas les autres, car lorsque vous n’êtes pas chez vous, vous avez besoin de toutes les tours de téléphonie mobile pour être présent et vous irradiez tout le monde autour de vous simplement en transportant le téléphone.

Il n’y a pas de lignes terrestres disponibles là où je vis. J’ai besoin de mon téléphone portable.

Si les gens ne se débarrassent pas de leurs téléphones portables, il n’y aura bientôt plus de lignes fixes nulle part. L’existence des lignes fixes dépend de la demande. L’existence des téléphones portables dépend de la demande. Personne ne nous fait ça. Nous le faisons à nous-mêmes.

La fibre est-elle la solution ?

La fibre optique permet la 5G. Les antennes 5G sont reliées entre elles et à l’Internet par des câbles en fibre optique. Les entreprises de télécommunications sans fil dépensent des centaines de milliards de dollars pour poser de la fibre dans le monde entier pour la 5G. Lorsqu’une entreprise de fibre optique ou une ville pose des câbles de fibre optique, les entreprises de téléphonie mobile paient pour avoir le droit de les utiliser. Une fois la fibre posée, elles y collent des antennes et diffusent la 5G.

En quoi la 5G est-elle différente de la 4G ?

La 5G peut utiliser des fréquences beaucoup plus élevées (ondes millimétriques). Mais la plus grande différence est que les tours 5G et les appareils mobiles 5G visent des faisceaux étroitement concentrés les uns sur les autres au lieu d’envoyer le rayonnement dans toutes les directions. Si vous tenez un téléphone 5G dans votre main, la tour 5G la plus proche vous suit et dirige un faisceau de rayonnement directement sur votre corps. C’est ce que l’on appelle la technologie de réseau phasé et elle entraîne une plus grande pénétration des rayonnements dans votre corps, même à des fréquences d’ondes millimétriques, que les technologies sans fil précédentes. Les tours 5G envoient également des rayonnements dans toutes les directions, car elles scrutent constamment l’environnement à la recherche d’appareils avec lesquels se connecter.

La 5G est-elle une arme ?

Non. La 5G peut utiliser des ondes millimétriques. Il existe également des armes de contrôle des foules qui utilisent des ondes millimétriques. Mais ces armes sont mille fois plus puissantes, elles ne sont pas modulées et ne transportent aucune information. Ce sont des technologies différentes qui ont été développées par des personnes différentes à des fins différentes.

Existe-t-il des dispositifs qui peuvent nous protéger de ces fréquences ?

Il existe aujourd’hui de nombreuses entreprises qui exploitent la crédulité des personnes qui cherchent désespérément à se protéger d’un assaut qui vient de partout. Elles vendent des puces « protectrices » à placer sur votre téléphone portable ou votre ordinateur, des pendentifs et des bracelets qui vont « neutraliser » ou « harmoniser » les rayonnements, des dispositifs à brancher dans votre mur qui vont « protéger » une zone de plusieurs centaines ou milliers de mètres carrés autour de votre maison. Certains annoncent qu’il s’agit d’appareils « quantiques », ou qu’ils sont basés sur la technologie « scalaire » ou les champs de « torsion », qui sont des mots sexy qui ont l’air scientifiques, mais ne veulent rien dire. Vous ne pouvez pas « neutraliser » ou « harmoniser » les rayonnements. Ces appareils, sans exception, sont inefficaces et la plupart vous feront du mal.

Beaucoup de ces appareils émettent un signal de 7,83 Hz qui est censé reproduire la première résonance Schumann de la Terre. Il s’agit de sources ponctuelles qui ne peuvent pas dupliquer une fréquence naturelle qui nous baigne de toutes parts. Ils permettent à certaines personnes de se sentir bien pendant quelques semaines, et peuvent créer une dépendance, tout comme les fréquences d’un téléphone portable ou d’un ordinateur, mais ils vous feront du mal.

Quelles sont les alternatives ?

L’alternative, ce sont les fils. Les téléphones câblés. Des ordinateurs câblés. Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue, les fils sont ce que nous avions avant le sans-fil et sont supérieurs à tous points de vue. Les fils transmettent les mêmes voix, mais plus clairement. Les mêmes informations, mais de façon plus sûre. Et l’information est contenue dans les fils, au lieu d’être diffusée sur toute la terre dans un nuage de radiations. Le sans-fil est pratique, mais au nom de la commodité, nous nous tuons en temps réel et détruisons notre planète.

Lecture recommandée : 

L’arc-en-ciel invisible : Une histoire de l’électricité et de la vie
En particulier :
Chapitre 8, « Le mystère de l’île de Wight ».
Chapitre 9, « L’enveloppe électrique de la Terre ».
Chapitre 11, « Le cœur irrité ».
Chapitre 12, » La transformation du diabète ».
Chapitre 13, « Le cancer et la faim de la vie ».
Chapitre 16, « Abeilles, oiseaux, arbres et humains ».

Arthur Firstenberg




Les racines de la soumission

Par Jean Bitterlin

Nombreux sont les signaux qui ont été émis depuis le début de la crise coronacircus qui auraient dû déclencher une réaction chez les gens. Pourtant il n’en a rien été.

Parmi ces signaux, citons :

  • Il n’y a pas eu de surmortalité dans les décès toutes causes confondues (donc il ne peut pas y avoir eu de « pandémie »).
  • Les décès concernaient surtout les personnes âgées avec comorbidité(s).
  • La quasi-disparition de la grippe.
  • De nombreux autres fléaux causent infiniment plus de décès que ce qui a été attribué au soi-disant virus SARS-CoV-2.
  • Le caractère follement propagandiste de toute la « pandémie ».
  • Les sommes folles mises en jeu qui ont servi à enrichir les plus riches et à enchaîner les générations futures dans la dette (et donc dans l’esclavage).
  • Les absurdités des annonces (les variants qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus) et des mesures (tels que le port du masque, y compris pour les tout-petits)
  • La non-isolation du virus (il n’y a pas une seule étude qui montre l’isolation du SARS-CoV-2 !)
  • L’absence de débat qui est la base même de la science et la mise en place de la censure.
  • Etc., etc.

Il n’y a plus cette petite flamme qui devrait être en chacun d’entre nous, qui nous avertit que « quelque chose ne colle pas » et qui déclenche un travail de réflexion et de recherche. Cette petite flamme s’est éteinte y compris (et surtout) chez ceux qui se targuent d’être des intellectuels diplômés. Quelle en est la raison ?

Je pense qu’il faut chercher dans ce qui est profondément ancré dans la nature humaine :

  1. Le conformisme. C’est l’appartenance au groupe qui a permis à l’espèce humaine de survivre ; c’est également vrai pour la plupart des autres espèces (les lions chassent en groupe. Pour les oies, pendant que certaines broutent l’herbe d’autres surveillent l’arrivée d’éventuels prédateurs). Se conformer à l’avis de la majorité a un côté rassurant ; il est agréable de se sentir accepté par le groupe auquel on appartient, il n’y a pas de conflit et cela permet de se valoriser en donnant un avis qui ne peut qu’être approuvé.
  2. La fainéantise. Dans la Nature toutes les espèces animales ont comme règle absolue de ne faire que les efforts qui sont strictement nécessaires à la survie de l’espèce. S’il n’en va pas tout à fait de même pour l’espèce humaine, le « moindre effort » reste malgré tout une règle : tous nos gestes tendent vers l’optimisation. Alors évidemment entre se conformer, ce qui ne demande aucun effort, et chercher à vérifier les faits, pour la plupart le choix est vite fait.
  3. La peur de la mort et de la souffrance. Les miracles indéniables de la médecine dans certains domaines ont profondément marqué l’espèce humaine. La plupart de nos contemporains pensent que le but de l’immortalité sera atteint un jour et ne se soucient donc plus des carences ou des excès liés à leur mode de vie. Évidemment si vous leur annoncez une pandémie susceptible d’éradiquer l’espèce humaine vous les plongez dans le plus profond désespoir et pouvez les manipuler à votre guise.
  4. La très haute opinion qu’ont les gens d’eux-mêmes et qui fait qu’ils ne peuvent même pas envisager qu’ils se trompent ou qu’ils ont été dupés. Le doute est une chose totalement absente de leur esprit.

Chez certains il y a encore une petite flamme vacillante, mais ils sont malheureusement dans l’incapacité à analyser les gravités des différentes menaces et donc à hiérarchiser les problèmes. Et ils ont donc toujours quelque chose de plus important à faire que de s’atteler à l’essentiel (qui est d’ailleurs souvent plutôt difficile à résoudre).

La civilisation industrielle a su tirer parti de ces facteurs innés (conformisme, fainéantise, peur, ego surdimensionné) pour nous emmener et nous enfermer dans des dogmes. Pour cela elle s’est appuyée sur la perversion de certaines puissantes institutions qui ont modelé le cerveau de la plupart d’entre nous.

  1. L’École : loin d’être un outil de développement personnel formant des citoyens libres et autonomes, l’école tue tout esprit critique et tout esprit de curiosité. Elle est là pour, comme le disait Ivan Illich, faire comprendre à quel barreau de l’échelle sociale nous avons droit (je rajouterais « en nous conformant à ses préceptes »).
  2. La Science : bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer comment fonctionnent de nos jours les sciences biomédicales. Tout n’est que gains financiers, conflits d’intérêts et pouvoir ; la vraie science (celle qui se fonde sur le débat, qui cherche même à réfuter ses propres dires) a totalement disparu. C’est ainsi que l’hypothèse virale a pu s’imposer, que « les vaccins sont sûrs et efficaces » a pu s’imposer et que seuls les progrès de la science pourront nous éviter les « pandémies » ou malheurs futurs.
  3. Les Médias : comme pour la science, bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer combien les médias sont corrompus (essentiellement d’ailleurs par les laboratoires pharmaceutiques et la finance) et qu’ils ne font que répéter ce que leur dictent certains groupes dont la puissance défie toute imagination. Le caractère propagandiste des médias s’est vraiment révélé avec la « pandémie Covid-19 » quand bien même cela faisait des décennies que ce caractère existait (très régulièrement des « spécialistes » s’exprimaient dans les médias sur les dangers de tel ou tel « virus » et de la nécessité de se vacciner).

Dans ces conditions est-il possible d’échapper au « Système » ? La réponse est hélas ! non pour la plupart d’entre nous. Si de la maternelle à la fin de vos études vous avez appris qu’il faut avoir peur des méchants « virus », que les vaccinations ont sauvé l’Humanité — messages relayés en toute occasion par le corps médical (qui ne veut que votre bien) et relayés très régulièrement par les médias — alors vous ne pouvez qu’intégrer ces messages comme vérité absolue ; et vous conformer.

Une minorité a néanmoins été capable de « résister ». Ce sont toutes ces personnes, évoquées plus haut, dont le parcours de vie a réussi à préserver cette petite flamme ou celles dont la petite flamme a été rallumée par une information, un vécu, une rencontre. Grande est leur responsabilité, car si elles ne veulent pas être également emportées elles se doivent de porter la parole en tous lieux et en toute occasion. Et cela signifie qu’elles se doivent étudier, approfondir et être capables de tenir le discours capable de rallumer la petite flamme encore éteinte chez la grande majorité.

Pour illustrer tout ce qui précède je voudrais vous raconter l’anecdote suivante : fin des années 1970, j’enseignais les mathématiques à des élèves apprentis. Parmi eux, un élève tout ce qu’il y a de plus sérieux, avec de bons résultats, docile, avec peu d’humour, dont le père était patron d’une petite entreprise d’imprimerie. Je suis resté en contact avec cet élève depuis donc plus de 40 ans et j’ai suivi l’évolution de l’entreprise qui est allée s’installer dans de nouveaux locaux. Cela fait des années que je lui envoie tout un tas d’articles sur la vaccination et sur le coronacircus, sans d’ailleurs susciter la moindre réaction de sa part, ce qui ne m’étonnait pas puisque je me doutais qu’il était tout à fait soumis au discours mainstream. Il y a quelques mois, lors d’une rencontre il m’annonce que ses parents se sont fait vacciner ; il était clair pour moi, le connaissant, qu’il allait suivre le même chemin. Il y a une dizaine de jours, ayant besoin de ses services, je lui demande comment ça va et il me répond « La santé va bien (mis à part un infarctus), les affaires, c’est pas bon ». Bien entendu, j’ai immédiatement compris ce qui s’était passé : il s’est fait injecter la première dose, puis la deuxième et peu de temps après il a eu son problème cardiaque, ce qui est désormais un grand classique. Mais, et cela semble à peine croyable (sauf à bien avoir compris tout ce qui précède), voilà que j’apprends qu’à peine sorti de l’hôpital il a accepté de recevoir la troisième dose de rappel !! (Ce qui en dit d’ailleurs long sur ce qu’est devenue la médecine)

Le coronacircus a fait de son entreprise relativement florissante une entreprise qui ne vaut plus un sou (qui veut reprendre une entreprise alors qu’il n’y a plus de travail ni même d’espoir que les affaires reprendront). Voilà une personne que cette arnaque absolue qu’est le Covid-19 aura si ce n’est ruiné du moins fait perdre une somme considérable et qui de plus a véritablement attenté à sa vie. Eh bien, au lieu de se poser des questions (de rallumer la petite flamme), d’aller crier son désespoir et sa colère à l’encontre de tous ceux qui ont organisé cette arnaque Covid-19, le voilà qui en redemande en acceptant cette dose de rappel. Seule la soumission absolue, celle où il n’y a plus ni esprit critique ni esprit de révolte, peut expliquer cela. Il n’y a finalement rien de plus puissant que la croyance en un « virus ».

Jean Bitterlin le 17 février 2022




LE KARMA ou Justice divine ? La publicité mensongère pour les injections potentiellement mortelles est-elle « punie » en public ?

Par Nicole Delépine

Le 13 octobre 2021, une jolie et jeune parlementaire fait la propagande pour les pseudo vax qu’elle vient de se faire injecter devant le parlement autrichien et s’écroule en pleine péroraison.

En février 2022 c’est le tour entre autres d’une artiste et d’une journaliste !

Quelles sont leurs compétences pour nous vendre des injections responsables de morts rapides (dans les semaines suivant la piqûre) et de complications majeures à l’origine de handicaps définitifs et même de maladies de la vache folle prises en compte au congrès de neurologie actuel en Angleterre ?

RETOUR DE KARMA INSTANTANÉ ?

Eva-Maria Holzleitner est une avocate opiniâtre des pseudo vaccins COVID-19 ; son compte Instagram exhorte ses abonnés à « faire confiance aux résultats et aux tests de la science : le scepticisme quant à la stérilité grâce à la vaccination corona n’est pas fondé ! Nous sommes vaccinés ! ».

Membre du Conseil national d’Autriche, elle s’est effondrée en octobre 2021 en plein plaidoyer pour la vaccination des enfants ! Le parlement autrichien n’en attendait pas tant et la séance fut finalement interrompue après quelques minutes de sidération de la présidente.

D’autres ont suivi ce triste exemple : journalistes, artistes, journalistes, politiques voulant nous faire piquer comme ils se vantent de l’avoir fait et s’écroulant par terre pendant leur plaidoyer… Pas de chance !

Le 15/2/22 sur NTV – Clara Pfeffer, journaliste allemande appelle à vacciner tout le monde comme elle vient de le faire et, s’effondre ensuite en direct à la TV

Lors d’un spectacle de stand-up à Tempe (en Arizona), Heather McDonald se moque des effets secondaires du vaccin et des non-vaccinés et ajoute ; « Je suis vaccinée, double vaccinée, boostée… et vaccinée contre la grippe et le zona et j’ai toujours mes règles. Je n’ai pas eu le covid et Jésus m’aime ».

Juste après cette évocation de Jésus, elle s’effondre sur scène et se fracture le crâne. Au moment de sa chute, le public s’est mis à rire aux éclats, pensant à une blague.

Personne ne sait si, à l’avenir, la comédienne continuera à se moquer des non-vaccinés et des femmes qui n’ont plus de règles à la suite de la vaccination en prenant le Christ à témoin.



Finira-t-on par me faire croire à la Justice Immanente ?

Avouerai-je que jusqu’à présent je ne croyais pas à la punition divine et immédiate des prosélytes de l’injection en direct ou de tout autre méfait ?

Pourtant ce n’est pas la première victime dans ces conditions, et le parlement européen nous a déjà livré un morceau de théâtre de ce type. Injectez-les, et hop ! par terre… On aurait pu penser, mauvais esprit que nous sommes, que ces braves personnes ne pensaient qu’au bien d’autrui et ne se vaccineraient pas eux-mêmes ou, comme beaucoup de nos politiciens l’ont fait, avec une fiole pleine de sérum physiologique… Mais cette jeune parlementaire autrichienne par exemple n’était peut-être pas informée des procédés éprouvés de ses aînés entre corruption et mensonges. Trop innocente peut-être ?!

L’histoire ne nous dit pas la suite et espérons que nos amis autrichiens nous donnent de ses nouvelles.

Comme plus de mille sportifs de haut niveau qui se sont écroulés sur les stades, elle s’est effondrée au parlement, son ring. Un coup de stress surajouté à de possibles mini thromboses liées au vax ?(([1] Longue liste d’athlètes — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

Qui sait ? Il est vrai que la multiplication d’accidents cardiaques depuis un an (dont l’étiologie est clairement établie pour les médecins honnêtes, par les autopsies ou les IRM et dosages de dimères) ne peut évidemment pas être en rapport avec les injections ! Ce ne serait pas politiquement correct… et nos brillants journalistes de la doxa ont évoqué récemment l’apparition d’une nouvelle maladie cardiaque qui toucherait les jeunes…(([2] EFFETS DELETERES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP! /LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) depuis qu’on les vaccine.

Trop fort !




Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie
@LigneDroiteMatinale]






La taxe « Justice Covid pour les Victimes de la Dictature »

Par Alain Tortosa

Avant tout procès, les faire payer !

Faire condamner tous les coupables et les collabos sera une tache délirante et d’autant plus qu’il faudra d’abord recréer une justice qui n’existe plus (pas) en France.

Sans compter que le nombre de coupables se monte par milliers, dizaines de milliers ou même centaines de milliers.

Alors que faire en priorité ?

Je vous rappelle que notre « cher Président » a dit dès le début de la plandémie que nous étions en guerre.

Et nous savons tous que durant un conflit, il y a toujours les profiteurs, les collabos et les cyniques qui s’en mettent plein les poches.

Nous pouvons citer en vrac, et j’en oublie, les entreprises pharmaceutiques qui ont commercialisé les injections ou les tests, des médecins, des infirmiers, des pharmaciens, des laboratoires d’analyse et bien d’autres dans le milieu médical qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser durant les années Covid.

Sans compter les vendeurs de masques, de gel, de seringues, d’objets de protection, de signalétiques ou les médias corrompus pour ne citer qu’eux.

Nous avons aussi les entreprises spécialisées dans la sécurité, les vendeurs de gilets pare-balles, de drones, des sociétés de vigiles… visant à surveiller ou réprimer tout acte de résistance.

Puis sans compter les entreprises de vente par correspondance ou dans le domaine du luxe qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser durant les confinements.

Et enfin tous les boursicoteurs qui se sont engraissés sur la souffrance des Français.

Remarquez que la crise du Covid n’est pas encore terminée, que la plandémie climatique n’a pas encore pris sa vitesse de croisière, mais que nous, consommateurs, sommes déjà condamnés à régler une partie de la dette et les sommes colossales gaspillées.

Carburant, électricité, gaz, produits alimentaires… l’inflation est là et ce n’est qu’un avant-goût.

Nous sommes non seulement les victimes d’un régime totalitaire qui nous a privés et nous prive encore de notre liberté et de nos droits fondamentaux…

Non seulement des millions de Français ont été vaccinés de force, je ne vois pas comment le dire autrement, qui devront subir (et peut-être aussi leur descendance) la roulette russe des effets secondaires jusqu’à leur décès…

Mais le plan ne consiste pas à nous dédommager à hauteur du préjudice, mais nous faire rembourser la dette !

La victime condamnée à payer son agresseur pendant des années !

C’est pourquoi je préconise une loi (à la libération) qui rétablira un début de justice sans avoir à passer par des procès et des condamnations.

Les taux, les montants, les modalités, les exemptions seront à ajuster, mais en voici le principe :

La création de la taxe « Justice Covid pour les Victimes de la Dictature ».

Le principe en est simple.

« Tout entreprise ou individu dont le chiffre d’affaires annuel des années Covid aura bénéficié d’une progression de 10 % de plus qu’attendu devra rembourser la différence. »

L’objectif, rendre au peuple le hold-up financier des collabos…

Exemple :

Je suis une entreprise de vente de masques.

Mon chiffre d’affaires des dernières années a une progression annuelle moyenne de 5 %.

J’ai eu pendant les années Covid une augmentation annuelle de mon chiffre de 70 % de plus par rapport aux prévisions des années précédentes (5 %), je devrai alors rembourser la différence.

Concrètement, j’avais fait 300 000 euros de CA avant le Covid, j’aurais dû faire 315 000 avec 5 % de progression annuelle.

Si j’avais eu 15 % d’augmentation (10 % de tolérance + 5 % prévisionnel), j’aurais fait 45 000 euros de chiffre de plus, soit un total annuel de 345 000 euros.

Mais en réalité j’ai fait 75 % de plus (Les 5 % prévisionnels + 70 % d’argent sale) soit 225 000 euros de plus avec un CA total de 525 000 euros.

La loi dit que je ne suis pas taxable jusqu’à 345 000 euros, je dois donc rembourser 525 000 – 345 000 = 180 000 euros.

Le montant de ma taxe « Justice Covid » sera de 180 000 euros.

C’est évidemment à peaufiner, mais le principe est simple :

Empêcher que l’on puisse affirmer « il s’est enrichi grâce au Covid ».

De fait on taxera différemment un laboratoire d’analyse ou un vendeur de gel qu’un artisan crêpier afin de distinguer un enrichissement dû à la crise d’un enrichissement dû au labeur…

Que faire de cet argent injustement gagné, mais justement récupéré ?

Le redistribuer équitablement sous la forme d’une prime « Justice Covid » à tous les Français (qui par exemple gagnent moins de 10 SMIC) quand bien même la somme restituée à chaque français serait ridicule.

Pas de procès dans un premier temps, c’est de la simple prise de guerre à l’ennemi !

Et ne me dites pas que la Constitution ne le permettrait pas. Une Constitution qui autorise la détention à résidence de Français sans la moindre condamnation préalable… No Comment.

Pour résumer, il n’est pas acceptable qu’un médecin ait pu s’acheter un voilier de 15 mètres grâce aux injections ou que Pfizer ait pu récolter des milliards sur le dos des Français.

L’heure des procès et des lourdes condamnations viendra par la suite.

Cela risque de prendre des années, mais la taxe « Justice Covid » permettra un premier dédommagement rapide, de récupérer quelques milliards d’euros, et une reconnaissance du statut de victime des Français privés de liberté et de dignité.

J’aimerais pouvoir lire partout :

« Je suis POUR la taxe Justice Covid ! »

Merci.

Alain Tortosa

16 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220216-taxe-justice-covid.pdf

PS : N’hésitez à transmettre ce texte notamment aux candidats à la présidentielle et à nos élus.




Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid

[Source : howbad.info]

  • NOUVEAU : Mesure de la toxicité indépendamment de la taille du lot — Voir Létalité
  • NOUVEAU : L’étrange cas de la Belgique — 70% des signalements sont graves ! Voir PDF : Belgique
  • NOUVEAU : Différences massives entre les pays en % de signalements graves. Voir Internationale
  • NOUVEAU : Variation entre les doses 1, 2 et 3 en % des rapports sévères. Voir les doses 1, 2 et 3
  • NOUVEAUÿ: Une étude sur la paralysie après la vaccination contre le C19. Voir Paralysie
  • NOUVEAU : La taille compte — comment les blessures augmentent en proportion directe avec le nombre de vaccinés — un lien de causalité. Voir la taille compte
  • NOUVEAU : les blessures/mortalités liées au vaccin diffèrent selon les États. Voir les États
  • NOUVEAU : Différences entre les sexes en réponse au vaccin. Voir Genre
  • NOUVEAU : Révélations de Suède Voir la Suède
  • NOUVEAU : Documents déposés « People vs MHRA ». Voir les documents de l’Accusation
  • NOUVEAU : Robert Malone, l’inventeurde la technologie ADN, parle de sa blessure vaccinale.

Certains lots/lots sont associés à des décès excessifs, des incapacités et des effets indésirables. Cette variation pourrait être due à :

  • 1. variation de la quantité, c’est-à-dire le nombre de doses distribuées pour un lot particulier,
  • ou 2. variation de la toxicité des doses.

Les deux facteurs peuvent jouer un rôle. Jusqu’à ce que nous sachions avec certitude, il vaut mieux être prudent.

Vous pouvez utiliser ce site Web pour connaître le nombre de décès, d’invalidités et de maladies associés à votre code de lot particulier. Le nombre de décès et d’invalidités est préoccupant, dépassant de loin les événements indésirables associés à des lots de vaccins antigrippaux de taille égale.

Vérifiez votre code de lot (numéro de lot)

Codes de lot modernes

Codes de lot Pfizer

Codes de lot Janssen

Moderne (en dehors des États-Unis)

Pfizer (en dehors des États-Unis)

Janssen (en dehors des États-Unis)

Dernières infos sur les boosters

Mauvais lots du mois

Variation de la toxicité

Mike Yeadon : Preuve de la calibration de la toxicité

Entretien avec Craig Paardekooper sur C-VAR

C19 Vax contre Flu Vax

La gravité varie entre les lots modernes

La gravité varie entre les lots Pfizer

Toxicité cumulée dans le temps PDF

VIDÉO : Variation de la toxicité entre les lots

Décès par loterie PDF

VIDÉO : Lots non conformes aux BPF associés au décès et à l’invalidité

VIDÉO : Team Enigma – Variabilité Covid Vax

VIDÉO : VAERS révèle des lots super toxiques

Est-ce que les codes de lot codent pour la toxicité ?

Classification de la toxicité 20A-21A de Moderna pour les vaccins Covid PDF

Moderne : Étiquetage alphabétique des différentes toxicités PDF

Pfizer : Étiquetage alphabétique des différentes toxicités PDF

VIDÉO : Les numéros de lot de Pfizer codent-ils pour la toxicité, partie 1 ?

VIDÉO : Les numéros de lot de Pfizer codent-ils pour la toxicité, partie 2 ?

VIDÉO : Les numéros de lot modernes codent-ils la toxicité ?

Base de données VAERS

Bibliothèque scientifique Covid

Les médecins parlent du VAERS

VaersAnalysis.info

Source des données

Données américaines : toutes les données proviennent de VAERS, une base de données publique de plus de 700 000 rapports d’effets indésirables pour les vaccins Moderna, Pfizer et Janssen Covid 19 aux États- Unis.

Données étrangères : la base de données VAERS comprend désormais également des données pour les vaccins Moderna, Pfizer et Janssen Covid 19 dans des pays autres que les États-Unis. Ces données peuvent être trouvées ici : Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), la dernière table répertoriée. Ces données non nationales ont été soumises par des organismes de réglementation étrangers et consistent en environ 1 000 000 de rapports d’effets indésirables.

Notre intention est de présenter les données VAERS sous une forme accessible et non falsifiée, qui peut être facilement vérifiée en utilisant les liens ci-dessous :

Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS)

Tutoriel vidéo 1 : Extraction de données de lots erronées à partir du VAERS – Décès, invalidités, hospitalisations

Extraire des données non domestiques du VAERS – les étapes que j’ai suivies

Contact

covidscienceteam@protonmail.com



Voir aussi :

La nanotechnologie dans les vaccins

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Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.

Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?




Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen. Numérisé, tracé, et bientôt pucé !

Par Claude Janvier

Mauvaise nouvelle : le portefeuille d’identité numérique européen a passé le stade de la puberté. Il va devenir adulte à partir de septembre 2022. Merci à Mike Boroswki pour son entretien réalisé le 8 février 2022, de Madame la députée européenne Virginie Joron,(([1] https://www.youtube.com/watch?v=TPPEcotXK04)) que je relate dans les grandes lignes.

À feu doux pendant deux ans, vous avez accepté, en grande majorité, et sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les plages où la position assise était interdite, les brasseries où prendre son café debout était prohibé mais le siroter assis était autorisé et enfin, le passe sanitaire. Puis, mijotage oblige, la sauce a été réduite à un passe vaccinal, trois doses. Désormais, totalement confits, engourdis et soumis, vous êtes cuits à point pour accepter l’esclavage ultime : le passeport numérique européen.

Virginie Joron, députée EU, travaille entre autres, dans la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs. Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM. — Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft —, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial.

Cette commission voudrait les réglementer, car ils ne respectent aucune loi mise à part les leurs. But louable. Mais les explications de Virginie Joron laissent à penser que ce ne sera pas si simple.

En effet, à peine le sujet GAFAM débattu en commission, elle a été sommée, avec un autre rapporteur de la commission, de s’expliquer en « visio » avec la Maison-Blanche. Des députés européens obligés de s’expliquer devant le gouvernement américain, incroyable, mais malheureusement réel.

Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington leur a demandé d’y aller mollo avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ».

Ça devrait vous éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder.

Quand vous vous faites grattouiller les sinus par un test RT-PCR,(([2] RT-PCR : Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction)) savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor.(([3] Le Mordor, le pays noir, dans l’œuvre magistrale de Tolkien, « Le seigneur des anneaux ».)) Souriez, vous êtes tracés.

La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » — au cas où vous perdriez le nord — pour traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets.(([4] https://labo.societenumerique.gouv.fr/2021/06/17/une-boussole-numerique-pour-leurope/))

Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code.(([5] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/qr-code-et-identite-bientot-lies)) Étant donné que la majorité des gens se sont habitués à exhiber leur passe vaccinal sous forme de QR code, vous aurez bientôt le plaisir de pouvoir montrer votre minois, avec le sourire bien évidemment proscris, genre tête de bagnard. Le top !

D’ailleurs, le QR code existe quasiment partout. Asseyez-vous à la terrasse d’une brasserie, et très souvent vous avez le QR code de la carte des mets et des boissons collé sur la table. Vous scannez et vous profitez — pour employer le slogan niaiseux apprécié d’une grande majorité de restaurateurs bien dans le moule. Ces derniers ne réalisent pas qu’ils sont en train de se faire manger — un comble pour un restaurateur — par le Grand Reset (Klaus Schwab, fondateur de Davos) qui écrit dans cette « bible » les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agroalimentaires et ses franchises mondiales.

« Une identité fiable et sécurisée pour tous les Européens ». Tel est le slogan de l’UE. Dans un monde peuplé d’humanistes, ce serait merveilleux. Malheureusement, la vérité est ailleurs. L’oligarchie mondiale veut contrôler chaque citoyen de la Terre, avec pour credo : contrôle, puissance et bénéfices engrangés.

Mme Stella Kyriakidès ou Stella Kyriakidou, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, est aussi « Madame vaccin », puisque c’est elle qui a signé les contrats d’achats des liquides expérimentaux ARNm de Pfizer, Moderna, et des deux autres. Elle déclare :

« … Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

La commission a donc proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE. Les arguments sont simples :

« Le virus Covid-19 reste largement répandu en Europe, avec les nouveaux variants qui ne cessent d’apparaître ».

Cerise sur le gâteau, la sémillante Chypriote a une affaire non résolue sur les bras :

« … Des crédits de plusieurs millions d’euros ont été accordés dans des conditions opaques au mari de la commissaire européenne. L’affaire a poussé un eurodéputé à demander des explications à celle qui est en charge de l’achat des vaccins au nom de l’UE… »

Oh, la vilaine… — RT France 17 mai 2021 : corruption : la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakidou au cœur d’une polémique.(([6] https://francais.rt.com/international/86789-prets-bancaires-la-commissaire-europeenne-a-la-sante-kyriakidou-au-coeur-d-une-polemique))

Le certificat Covid est donc là pour longtemps, car le portefeuille d’identité numérique a été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique.

Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité — la nouvelle CI Française est écrite en anglais. Cherchez l’erreur —, permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale, maîtresses et amants (presque)… Mais la première chose qu’ils veulent mettre en place dedans est le dossier médical. Tiens donc… Cela vous étonne ? On comprend mieux l’empressement à entériner le passe vaccinal. En ce moment, quelques pays de l’UE ont levé le pied à son propos, mais rassurez-vous, c’est pour mieux l’intégrer dans votre futur portefeuille électronique. N’en doutez pas, nous l’aurons à vie.

Le texte date de 2014 — 8 ans déjà —, avec en substance la volonté de digitaliser les informations. Le travail est pratiquement terminé, car les parlementaires et commissaires européens ont mis le turbo pour y arriver.

Un des articles phares du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais depuis deux ans, sans respect des règlements ni des lois, tout a été balayé d’un revers de la main. Il faut avoir un passe vaccinal pour se déplacer dans l’UE. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam.

25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité.

L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire. « …Ne cherchez plus vos papiers dans vos poches. À la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone… ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore…

Facultatif demain, obligatoire après-demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Pas de risque de perte, votre mémoire sera sous la peau. Jason Bourne sort de ce corps !(([7] Jason Bourne est le héros d’une trilogie de l’écrivain Robert Ludlum : La mémoire dans la peau, La mort dans la peau et La vengeance dans la peau.)) Le grand piège mondial dans toute sa splendeur.

Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt.

Un « magnifique » futur s’ouvre devant chacun de nous. Et vous avez encore confiance dans ceux qui nous gouvernent ? Franchement, vous ne devriez pas. Ce sont des menteurs patentés. Un exemple : ils nous ont garanti l’anonymat lors du scan de votre QR code à un serveur de restaurant. Ils nous ont dit que le serveur ne verrait que la couleur verte — passe valide — ou la couleur rouge — passe invalide —. C’est vrai, mais ils ont oublié de vous signaler que votre nom et votre date de naissance s’affichent aussi.

Étant donné que nous sommes gouvernés par l’oligarchie financière mondiale apatride, les excès sont à prévoir. Le monde des bisounours n’existe que dans l’imaginaire, et franchement, on a du mouron à se faire. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous mélangez un peu les pinceaux, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés.

À méditer :

« Confier nos vies numériques au gouvernement et aux sociétés privées, plutôt qu’à Facebook et Google, c’est sauter de la poêle à frire pour aller dans le feu », a déclaré le député européen Patrick Breyer (Allemagne)

Claude Janvier

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

Pour aller plus loin :

https://www.latrompette.fr/articles/posts/l-europe-s-apprete-a-lancer-une-carte-d-identite-numerique-pour-tous-les-citoyens

https://www.crashdebug.fr/l-ue-lance-un-portefeuille-numerique-derniere-etape-vers-une-societe-sans-argent-liquide-zerohedge-com

https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/l-ue-va-lancer-un-portefeuille-numerique-pour-faciliter-la-vie-des-europeens_AN-202106010139.html

https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr

https://www.nouvelobs.com/politique/20210603.OBS44840/l-ue-veut-creer-une-identite-numerique-europeenne-pour-rassembler-tous-vos-documents-officiels.html#modal-msg

https://www.carbone4.com/analyse-taxonomie-europeenne

Notes




Jour 18 du blocage frontalier de Coutts en Alberta : la police et les manifestants s’embrassent, se serrent la main et chantent ensemble l’hymne national






Sauvons les enfants des injections géniques

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

Il est urgent de sauver les enfants !
Arrêtons ce pouvoir aveugle, en refusant l’injection des petits 5 – 11 ans et bientôt des 6 mois – 5 ans présentée dans les médias comme un « progrès » !
L’injection est irréversible et rien n’est connu actuellement pour annuler les effets pervers de ce médicament en expérimentation. Alors parents, résistez !
Il n’existe aucune raison pour accepter cette injection morbide, car les enfants ne font pas de formes sévères du covid, ne contaminent ni les adultes ni les enfants, et le pseudo-vaccin ne protège en aucun cas des contaminations.

QUELLE JUSTIFICATION EN DEHORS DE LA SOUMISSION À UN POUVOIR QUI VOUS TROMPE DEPUIS DEUX ANS ?

Les mesures prétendument sanitaires imposées à des milliards d’individus dans le monde ont gravement nui à l’humanité avec ses conséquences d’interruption de soins, d’activités scolaires et sportives, d’aggravation de la pauvreté, d’explosions des troubles psychiques dépressions, suicides, etc. Et tout particulièrement aux enfants et jeunes adultes dont la vie va être impactée pendant plusieurs décennies par ces traumatismes successifs.

Nous avons évoqué dans « les enfants sacrifiés du covid » l’ensemble des conséquences sanitaires et scolaires des décisions mortifères et injustifiées imposées sans aucune justification scientifique réelle aux populations. Le confinement imposé brutalement alors que le Président quelques jours plutôt nous incitait à aller au théâtre a constitué le premier traumatisme majeur dans la vie des jeunes (et des moins jeunes).

La coupure brutale de leur milieu scolaire, périscolaire, sportif, musical, amical les a plongés dans l’infortune que l’écran d’ordinateur n’a bien évidemment pas compensée. Et depuis ce funeste mois de mars 2020, les persécutions se sont poursuivies par l’obligation invraisemblable du port du masque (sans aucun intérêt sanitaire, comme de multiples études l’ont démontré bien antérieurement à ce scénario) et de privations de liberté ubuesques et tragiques en même temps, comme l’interdiction de se promener en forêt ou sur la plage, même seul. Les mesures délirantes et discordantes, contradictoires d’un jour à l’autre ont entraîné des troubles cognitifs, des dépressions, des décrochages scolaires etc., dont les séquelles sont innombrables à court, moyen et long terme, tant économiques, sociales que psychologiques.

Nous ne sommes pas dans un problème sanitaire, mais bien uniquement politique visant à habituer des populations entières à se soumettre, à se déshumaniser et à ressembler de plus en plus aux petits Chinois qui « s’adapteraient » selon nos médias complices.
Non, ils ne sont pas adaptés, mais SOUMIS. Non, nous ne devons pas laisser soumettre nos enfants aux caprices des milliardaires mondialistes en recherche de légions d’« esclaves » déshumanisés obéissants, aveugles et sourds. Le port du masque des scolaires encore d’actualité en janvier 22 alors que l’épidémie est terminée et que les enfants ne sont pas à risque est infâme. Il démontre, s’il en était besoin, la perversité des mesures sans intérêt sanitaire.

Le masque est une torture psychologique, physique, mentale. Dès l’été 2020 des psychologues, orthophonistes, pédopsychiatres, enseignants appelaient au secours, constatant chez les très jeunes des troubles de gravité variable, comme l’incapacité à apprendre à lire, à écrire, sans l’aide de la reconnaissance des lettres et syllabes sur la bouche, chez l’enseignant et l’élève. La perte de l’apprentissage du langage non verbal est aussi d’une gravité certaine dans la formation des émotions et des rapports entre humains, aussi petits soient-il. Nous avons, comme d’autres, insisté sur la toxicité particulière du port du masque en crèche et maternelle conduisant à des enfants qui ne savent pas ce qu’est un visage (leurs dessins en témoignent)…

Ce pouvoir a-t-il seulement réfléchi aux conséquences multiples de ce masque inutile favorisant infections locales et pulmonaires en plus des déformations anatomiques bien décrites par les dentistes et ORL. Une circulaire pondue par un énarque dans un beau bureau des ors de la République, imposant le port du satané masque et basta, on obéit. La France est devenue une vaste expérience de Milgram, la population étant hypnotisée par un message unique infiniment répété par tous les médias mainstream financés par le pouvoir et Big Pharma, focalisé sur le risque du virus, qui pourtant de toute évidence ne constitue plus une menace réelle et n’a jamais été grave pour les individus de moins de 65 ans sans maladie associée.

Et comme cela ne suffisait pas, a commencé la grande braderie du pseudo-vaccin qui allait tout arranger et avant tout les finances de Pfizer et affidés. Les pressions médiatiques ont divisé les familles, rajoutant du stress au stress, et la soumission du peuple espérant sortir du marasme via la piqûre merveilleuse, ou simplement pouvoir continuer à gagner sa vie a été large. Les multiples prêches des ministres ont utilisé la pensée magique via cette piqûre.

Les mentalités ont changé, la recherche d’emploi a chuté (réglant magnifiquement le taux de chômage, faute de nouveaux inscrits). Les étudiants et élèves se sont, pour trop d’entre eux, désintéressés du fond, et ont privilégié la vie au jour le jour, ne voulant pas pour la majorité d’entre eux entendre parler des possibles effets délétères du masque et autres coercitions ni de ceux de la piqûre libératrice, que nient effrontément les officiels du ministère.

Et quand trop de sportifs contraints de se vacciner par leurs fédérations sont tombés au champ d’honneur, les médecins de plateau ont inventé une nouvelle maladie cardiaque… Et pourtant combien de décès déjà chez les jeunes vaccinés, que certains se permettent de relativiser par rapport au nombre d’injectés.

Mais si c’était votre enfant qui a perdu la vue, qui aura des problèmes de stérilité, ou des maladies auto-immunes, quand ce ne sera pas une maladie de la vache folle, ou qui a perdu la vie d’emblée ? Rare effet secondaire ? Oui, espérons-le, mais votre enfant n’est pas une statistique et a-t-il mérité de jouer à la roulette russe, pour vous rassurer, pour obéir, pour vous soumettre par fatigue, facilité , fuite ? Nous sommes là, parents, grands-parents pour les défendre et non pour les livrer en sacrifice, enfant martyre qui symbolise le don ultime de l’innocence face à la violence.

La résistance à la piqûre magique et la tentative du miracle du test tous azimuts

Et comme il y avait de la « résistance » tout de même y compris chez les soignants, et les pompiers aux premières loges pour constater les dégâts, ils eurent l’idée de génie du TEST à gogo qui nous a coûté dix milliards d’euros en 2021 et beaucoup de peur, de drames, d’arrêt de travail et d’école. La peur, toujours la peur, leur seule arme.

Alors que les enfants ne contaminent pas et ne risquent rien, ils ont créé des queues dignes de l’URSS de jadis, devant les pharmacies pour détecter les cas contacts, ces fameuses personnes sans symptômes, sans maladie, mais qui de l’imagination de nos politiques, permettraient de perpétrer cette psychose populaire, en faisant croire malgré tout à un RISQUE !

Nouvelle déstabilisation des écoles, mais aussi des entreprises par les absences imposées par le pouvoir. Tout ça pourquoi ? User la patience du peuple et l’envoyer dans les centres de la piqûre, rapidement avant que le cirque de la plandémie ne se dévoile trop vite. Si on peut encore utiliser les millions de doses achetés à Pfizer, ce sera toujours cela… et ils tentent d’accélérer encore et encore. Ils espèrent pouvoir maintenir leurs restrictions délétères le plus longtemps possible pour les annuler peu de temps avant les élections en proclamant « la victoire contre le vilain virus grâce aux mesures sanitaires et aux vaccins » et en tirer un bénéfice électoral.

Eh oui, car la réalité finit par apparaître, malgré la mise en scène mondiale, le bilan des injections apparaît de plus en plus clairement catastrophique dans les pays les plus vaccinés, qui sont devenus les plus contaminés et les plus touchés par la mortalité. À ces pays très vaccinés, qui souffrent d’une mortalité cumulée record s’opposent ceux qui ont refusé les ukases de l’OMS et utilisé les traitements précoces (tels que l’hydroxychloroquine, antibiotiques, Ivermectine etc.).

L’Algérie, dont la population est semblable à celle de la France par l’âge et les comorbidités de sa population, a démontré l’efficacité du protocole Raoult.

Manifestement la situation évolue très vite et il est indispensable que les parents fassent échapper leurs enfants à l’injection morbide, car rien ne pourra les protéger des effets délétères irréversibles des injections.
Espérons que les convois de la liberté dans tous les pays du monde nous libèrent enfin.

Enfin, préservons nos enfants en allant informer les parents partout où ils sont menacés d’injection. Vous en sauverez peut-être quelques-uns. Le collectif Blouses Blanches l’a expérimenté efficacement en allant s’entretenir avec les parents tentés.
« L’acharnement des corrompus sur les enfants s’intensifie pendant qu’on parle élections et autres jeux olympiques. (voir sur Telegram leaders unis pour la protection des enfants)
https://www.ouest-france.fr/bretagne/melesse-35520/une-vaccimobile-pour-les-enfants-le-mercredi-16-fevrier-b1805c88-a1b5-47b7-bb9b-e646c776b366

Melesse. Une « vaccimobile » pour les enfants le mercredi 16 février

Afin de répondre à l’élargissement de la campagne de vaccination contre le Covid aux enfants âgés de 5 à 11 ans, la Croix-Rouge, avec la collaboration de l’Agence régionale de santé (ARS), a mis en place une « vaccimobile » qui se déplace de commune en commune. « Les cas contacts peuvent se faire vaccin… »

Appelez les journaux pour protester contre cette publicité normalement interdite puisque ce médicament expérimental est remboursé par la Sécurité Sociale…




Repenser le SIDA

Par Tom Di Ferdinando

Traduction : Jean Bitterlin

Bienvenue à Rethinking AIDS (Reconception du SIDA) !

Nous sommes dans un processus de transition de Rethinking AIDS en Unmasking Covid and AIDS (Réévaluation du SIDA en Démasquage du Covid et du SIDA) (avec une appellation provisoire de Rethinking AIDS/Unmasking Covid).

Pour quelle raison repenser Rethinking AIDS ?

Rethinking AIDS était un prolongement du groupe originel Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis (Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH/SIDA), une alliance de scientifiques de niveau mondial qui par la suite comptait parmi ses membres trois lauréats du Prix Nobel et près de trois mille autres signatures.

Ce qui a rassemblé tout le monde dans les années 1980 c’étaient les assertions extrêmement discutables faites au sujet du VIH et du SIDA par des gens comme des médecins et des responsables de Santé Publique tels Robert Gallo et Anthony Fauci.

Notre scepticisme a été catalysé aux environs de 1987 par un tout nouvel article publié par le Dr Peter Duesberg qui démontrait que ce qui était appelé rétrovirus comme le « VIH » n’était ni pathogène ni cancérogène, et donc ne pouvait causer le SIDA — un article que l’industrie naissante du SIDA a publiquement répudié, mais qu’elle craignait en privé.

Fonctionnant sur le principe que leur opposition jouait selon les mêmes règles alors en vigueur, la première étape du premier groupe a été de publier un signal d’alarme, une requête à la communauté scientifique pour une réévaluation scientifique de ce qui, selon leur opinion, n’était qu’une hypothèse erronée : à savoir, qu’un présumé rétrovirus « VIH » (le « virus de l’immunodéficience humaine ») était la cause d’un présumé syndrome « SIDA » (le « syndrome de l’immunodéficience acquise »).

Ils ont résumé leur inquiétude en tout juste quatre phrases :

Il est largement admis par le grand public qu’un rétrovirus appelé VIH provoque un groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent maintenant cette hypothèse en question. Nous proposons qu’une réévaluation minutieuse des preuves existantes pour et contre cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant approprié. Nous proposons en outre que des études épidémiologiques critiques soient conçues et entreprises.

Ils ont cherché à publier ce petit paragraphe dans Nature, Science, the Lancet ou le New England Journal of Medicine, les quatre principaux périodiques scientifiques dans lesquels ils étaient nombreux à avoir vu leurs articles maintes fois publiés.

Mais cette fois-ci, silence ! Personne ne publierait l’appel. Il importait peu qu’il soit soutenu par un groupe de 32 signataires légitimes, qualifiés et hautement estimés.

Alors pour quelle raison n’ont-ils pu le faire publier ?

C’est simple. Parce que le Directeur en chef de la Santé Publique d’alors, le Dr Anthony Fauci, avait déjà à cette époque cette sorte de pouvoir de veto. En tant que représentant à part entière de l’industrie des vaccins travaillant pour ce que nous savons maintenant être un front à part entière de l’industrie des vaccins (NIAID, CDC et FDA), Fauci était, tout comme il l’est maintenant, un pare-feu puissant contre le véritable examen scientifique et la véritable dissidence, c’est-à-dire un vrai ennemi à la fois de la liberté scientifique et du Premier Amendement. Vous pensez que nous exagérons ? Robert F. Kennedy Jr nous a fait à tous la faveur de nous documenter cela dans un seul livre (« Le Vrai Anthony Fauci » – dernier livre publié par Robert F. Kennedy Jr – NdT).

Le fait est que nos premières suspicions étaient exactes — il n’y avait aucune preuve scientifique crédible pour soutenir l’affirmation que le « VIH » causait le « SIDA », et 35 ans plus tard, il n’y a toujours aucune preuve. Cela peut paraître choquant d’entendre cela, mais c’est la vérité.

Avance rapide d’environ 40 ans jusqu’au « Covid-19 », et que trouve-t-on ? Les mêmes tactiques alarmistes, les mêmes contradictions, les mêmes fausses prédictions, les mêmes tests bidons, la même approche de traitement mortel, tout cela, mais sur un plan plus mondial, plus coordonné et même plus socialement destructeur. Et le général qui mène la charge ? Anthony Fauci.

Une fonction essentielle du nouveau Rethinking AIDS/Unmasking Covid (Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid — NdT) est d’exposer à la vue de tous, cette relation profonde entre le « Covid-19 » et le « VIH/SIDA ». En tant que tout premiers « dissidents du SIDA », nous sommes les mieux équipés pour mener la tâche. Mais cette fois-ci c’est différent.

Dans les années 1980, nous nous sentions obligés, sur le plan scientifique, de donner à Fauci et à ses collègues le bénéfice du doute, c’est-à-dire de supposer que lui-même et les partisans de l’hypothèse VIH/SIDA avaient tout simplement commis une erreur scientifique majeure. Cependant, le fait qu’avec le « Covid-19 » ils aient fait exactement la même erreur, mais sur une échelle multipliée par mille, signifie que ni (l’hypothèse) « VIH/SIDA » ni (l’hypothèse) « Corona/covid » ne sont des erreurs ; elles sont hautement organisées et ce sont des pièces de théâtre complètement préméditées.

Le but de la science est la vérité. Le but de la commercialisation est la vente. Le SIDA et le Covid n’ont pas été découverts, ils ont été vendus, avant tout par la peur et par les mensonges par omission. Leur fonction était de garantir des contrats gouvernementaux lucratifs pour les projets de l’industrie du médicament et des « vaccins » de Fauci. Et ses efforts sont liés à d’encore plus grands projets du Forum Économique Mondial et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour cette raison le « Covid » s’est porté davantage du domaine du marketing médical vers le domaine de l’ingénierie sociale. Mais on parlera de cela plus tard.

L’arme la plus populaire aujourd’hui, utilisée par les ennemis de la vérité pour réduire au silence ceux qui signalent les faits évidents et les contradictions sans fin, est l’affirmation qu’ils « se fient aux données scientifiques ». C’est la toute nouvelle arme pour monter les gens les uns contre les autres et pour détourner leur attention des vrais sociopathes qui les ont, au départ, fait se battre les uns contre les autres. Et c’est si facile de prouver que cette affirmation est fausse.

Une pierre angulaire de la science est de susciter la contestation, d’embrasser les points de vue opposés et de chercher à prouver la fausseté de son hypothèse. Se cachant derrière la bannière de la « science », les dirigeants de Big Tech par exemple se targuent ouvertement de la manière dont ils censurent et évincent des médias sociaux ceux qui disent des choses contraires aux diktats du CDC, de la FDA, d’Anthony Fauci et de Bill Gates. Mais ça, ce n’est pas de la science. Alors la prochaine fois que quelqu’un vous dit « nous nous fondons sur des données scientifiques » ou vous accuse en disant « Ce n’est pas ce que dit la science » ou « Vous ne croyez pas en la science », dites-leur qu’ils mentent, parce que vous ne pouvez pas embrasser la science et en même temps être un partisan de la censure.

Pour que ce sujet complexe reste simple, nous allons souligner les trois principaux éléphants dans le salon covidien : 1) Le « virus in silico » (les virus sont « fabriqués » à partir de bribes trouvées et qui sont réarrangées à l’aide de programmes informatiques qui « bouchent » les interstices manquants — NdT), 2) les effets potentiellement mortels des « confinements », et 3) la grande expérience de l’industrie des « vaccins » à ARNm à laquelle l’Humanité a accepté de se soumettre sans esprit critique. Si vous comprenez la signification et les conséquences de ces trois choses, vous aurez une solide connaissance du tableau d’ensemble hors duquel ces trois phénomènes ont émergé.

Pour terminer, et pour avoir un meilleur aperçu des changements des nouveaux objectifs, de la portée et de la fonction de RA/UCA, lisez l’introduction de la conférence de 2020 produite par un de nos membres, intitulée Covid : Le Nouveau SIDA. Et, à ce deuxième lien vous trouverez une analyse qui incite à la réflexion sur comment une arnaque de l’amplitude de celle du Covid a pu prendre une telle ampleur et pris racine en premier lieu dans le psychisme de gens prétendument libres — des gens qui se battront jusqu’à la mort pour protéger leurs libertés face à un fasciste déclaré, mais qui se prosterneront, se dégonfleront, se soumettront et abandonneront avec joie ces mêmes libertés face à un fasciste caché.

Alors que le travail de bon nombre des premiers dissidents du SIDA était catalysé par le remarquable travail scientifique et le leadership spirituel du Dr Peter Duesberg, la « partie Covid » actuelle est catalysée et poussée même plus loin, quoique d’une manière très différente, par le remarquable travail d’une autre signataire du groupe des premiers signataires, la Dr Eleni Papadopoulos-Eleopoulos. En tant que leader du Groupe de Perth, son travail — effectué simultanément, mais de manière indépendante du travail du Dr Duesberg — affirmait également que le « VIH » ne pouvait pas provoquer le SIDA. Non parce qu’il était inoffensif, mais parce que personne n’a jamais suivi les protocoles standards pour l’isolation et la purification pour prouver son existence même. Pas de « VIH » signifie pas de protéines « VIH » pas d’ARN ou d’anticorps, et par conséquent pas de test significatif.

Le Dr Stefan Lanka a même donné à ce problème encore plus de contexte en indiquant de façon critique les défauts rédhibitoires dans les fondements de la virologie même — le vrai talon d’Achille scientifique de toutes les affirmations au sujet du « SIDA infectieux » et du « Covid infectieux ». Mais on parlera également de cela plus tard.

Il y a un dernier éléphant dans le salon Covid qui mérite une mention spéciale. Il s’agit de l’impact dévastateur qu’ont eu depuis 1984 le Dr Fauci et l’Industrie pharmaceutique et des Vaccins sur la santé et le bien-être du public en général. Comme le souligne avec éloquence Kennedy, le travail de Fauci était de déterminer les causes et les mesures préventives à la fois pour les maladies chroniques et les maladies infectieuses. Non seulement ces maladies ont augmenté de manière spectaculaire sous la direction de Fauci — rien que la maladie chronique chez les enfants était de 6 % au début de son mandat, et en 2006 elle était à 54 % — il est parvenu à transformer les institutions fédérales de santé et de sûreté d’organismes de santé publique en « incubateurs » de l’industrie du vaccin et des médicaments.

Quand est-ce que tout cela finira et qui va l’arrêter ? La chose la plus remarquable au sujet de la Santé Publique c’est qu’il s’agit de la seule discipline — et Fauci le seul personnage public — qui peut se vanter de 50 années persistantes d’échec lamentable et de toujours prétendre au « succès » et à l’ordonnancement des financements (Le Dr Fauci a un budget annuel de 6 milliards de dollars qui sont bien entendu dirigés vers les instituts de recherche orthodoxes — NdT).

Nous préparons un nouveau site Internet, qui sera bientôt actif, qui se concentrera sur cette relation SIDA-Covid, ses implications sociales, économiques et médicales, ainsi que sur les fondements scientifiques de la virologie. Par-dessus tout, nous examinerons les attaques physiques et psychologiques sur la liberté qui ont permis à des sociopathes de l’industrie de Santé Publique de faire des ravages sur le reste du monde pendant tant de décennies. Nous vous présenterons la preuve que l’Establishment SIDA/Covid ne veut pas que vous voyiez, et nous vous permettrons de faire votre propre opinion.

C’est comme avoir affaire à toute brute destructrice. La cabale SIDA/Covid et la machinerie mondiale sont reliées non seulement pour prospérer sur notre ignorance, mais plus important encore sur notre docilité. Avec les préservatifs, les masques, la distanciation sociale et les injections expérimentales, les confinements, les fermetures de commerce, les passeports vaccinaux et les obligations à durée indéterminée — tous pour promouvoir le changement de nom de la « grippe » — nous avons permis à un État centralisé de prendre la responsabilité de notre santé et de nos systèmes immunitaires. Notre docilité, et le libre abandon de la responsabilité de nos corps, de notre santé et de nos libertés individuelles est le vrai virus qui détruit le tissu social de notre société de moins en moins libre.

Tom Di Ferdinando

Président de Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid

Traduction Jean Bitterlin le 15.02.2022




Canada : les banques peuvent geler les comptes des personnes soupçonnées de lien avec les blocages

[Source : RT France]

[Photo : © Ted Shaffrey Source: AP]

Les banques peuvent désormais geler les comptes des personnes soupçonnées d’être liées au mouvement contre les restrictions, sans que la justice n’ait besoin d’intervenir. Une mesure qui vise à « assurer la sécurité des Canadiens » selon Justin Trudeau.

Après avoir qualifié les manifestants du « Convoi de la liberté » de « minorité à la marge », puis avoir dénoncé un prétendu «racisme» au sein du mouvement, Justin Trudeau a radicalement changé de stratégie face aux manifestants le 14 février. Le Premier ministre libéral a en effet pris une mesure sans précédent pour tenter de déloger les protestataires qui bloquent la capitale Ottawa depuis près de trois semaines, annonçant recourir à Loi sur les mesures d’urgence. 

Et parmi les mesures les plus marquantes, il en est une qui sort du lot : sans avoir besoin d’une ordonnance du tribunal, les banques pourront désormais geler les comptes personnels de toute personne soupçonnée d’être liée aux manifestations.

« À partir d’aujourd’hui, une banque ou tout autre organisme financier, sera en mesure d’immédiatement geler ou suspendre un compte, sans décision de justice. Ils seront protégés de la responsabilité civile pour ces actions prises de bonne foi », a expliqué la ministre des Finances Christya Freeland au cours d’une conférence de presse.

« Les institutions gouvernementales fédérales vont avoir une nouvelle autorité élargie pour partager des informations pertinentes avec les banques », a-t-elle précisé.

« On n’accepte pas que les gens viennent endommager notre économie et faire mal, et brimer les libertés de leurs concitoyens par des manifestations illégales », a de son côté déclaré le Premier ministre canadien au cours de la même conférence de presse, visiblement insensible à l’ironie de la situation, après deux ans de restrictions au motif sanitaire. Le Premier ministre, qui a assuré que la portée de ces mesures serait « limitée dans le temps », « raisonnable et proportionnée » et souligné que l’armée ne serait pas déployée, a estimé que ces mesures sans précédent étaient nécessaires pour « assurer la sécurité des Canadiens, et protéger leurs emplois ».

Indignation à géométrie variable pour Trudeau ?

Comme le souligne la BBC, les opposants au gouvernement n’ont pas manqué de mettre en lumière le fait que le Premier ministre avait exprimé son soutien aux agriculteurs indiens qui ont bloqué les principales autoroutes menant à New Delhi pendant un an en 2021, déclarant à l’époque :

« Le Canada sera toujours là pour défendre le droit de manifester pacifiquement. »

C’est seulement la deuxième fois de l’histoire du Canada que la loi sur les mesures d’urgence est activée en temps de paix. La dernière fois remonte à la crise de 1970 quand Pierre Elliott Trudeau – le père de l’actuel Premier ministre qui était alors au pouvoir – l’avait invoquée après l’enlèvement par le Front de libération du Québec d’un attaché commercial britannique, James Richard Cross, et d’un ministre québécois, Pierre Laporte.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/95813-canada-banques-peuvent-geler-comptes-personnes-soupconnees-liees-blocages




Quand une simulation du Ministère de la Santé admet que si tous les 0 à 19 ans étaient injectés, il y aurait trois fois plus de décès covid (hors effets secondaires)

[Source : pgibertie.com]

Le ministère de la Santé est-il complotiste? Sans tenir compte des effets secondaires, il admet que la vaccination des moins de 20 ans a été un désastre ! Les journalistes et les politiques ont-ils de la merde dans les yeux????

Depuis plusieurs jours, les données de la DREES admettent les effets négatifs de la vaccination pour les moins de 20 ans. Il faut dire que pour cette catégorie d’âge les non-vaccinés sont trop nombreux pour que les manipulations soient faciles …Marco Nius est aux aguets et rien de ce que publie la DREES ne lui échappe…

Les documents ci-dessous sont des captures d’écran de la DREES .

https://app.powerbi.com/view?r=eyJrIjoiMTkzYjlkMjktZThkMi00NDFiLWE1NzUtNjhjN2UzYmVjOGM4IiwidCI6IjIwNTk5OGJhLWVkZjAtNDFlZi1iMzZjLTU2NWVkNjMxZGM5YyJ9

Que dit la simulation de la DREES ?

Si la vaccination des moins de 20 ans avait été interdite, il y aurait eu 300 000 cas covid de moins, 150 passages en soins critiques et 8 décès en moins (hors effets secondaires). Si tous les moins de 20 ans avaient été vaccinés, il y aurait eu 1,5 million de cas en plus, 740 passages en soins critiques et 38 décès en plus.

[Note de Joseph : les simulations sont basées sur des modélisations qui ne reflètent pas nécessairement la réalité. Par exemple, celles du GIEC pour le climat se sont systématiquement révélées erronées.]

En dehors de la simulation, les statistiques observées, OMICRON N’A RIEN CHANGÉ.
LA VACCINATION A TOUJOURS EU UN EFFET NÉGATIF POUR LES MOINS DE 20 ANS.

AVEC OMICRON CI-DESSOUS

La DREES se désolidarisera-t-elle de Fabien Mathieu qui publie sur son site officiel? Il s’agit sans doute de :

Fabien Mathieu

Researcher chez LINCS

Paris et périphérie 




Pfizer, un colosse aux pieds d’argile ?

Par Nicole Delépine

Chaque seconde, les fabricants de vaccin les plus importants (Pfizer, BioNTech, Moderna) réalisent, ensemble, plus de 1000 dollars de profits.

Argent public, profits privés

« Cette entreprise américaine a réalisé 900 millions de dollars de profits au cours du seul premier trimestre de 2021. La source de ces profits est à chercher dans les près de 4 milliards de doses de vaccins à ARN messager (ARNm) que les gouvernements du monde entier lui ont commandées dont 2,4 milliards par la seule Commission Européenne et 600 millions par les USA.

Pourtant, Pfizer n’a contribué ni à la recherche scientifique autour de ce vaccin ni à son développement. La technologie ARNm a été inventée dans les laboratoires de BioNTech, cette innovation a été financée par d’énormes subventions publiques. Par exemple Les États-Unis ont financé à hauteur de 11 milliards de dollars la recherche, le développement et la précommande de doses. L’État allemand y a investi 375 millions d’euros.

Pfizer possédait la capacité de produire ce vaccin en masse et détenait les brevets des procédés industriels utilisés, l’entreprise a pu vendre le vaccin comme son propre produit. La propriété privée des moyens de production a donc permis à Pfizer d’avoir la main sur une avancée scientifique financée, à l’origine, par de l’argent public ».

Avidité maximale

Pour des frais de production s’élevant à 1,18 dollar par dose de vaccin, Pfizer a vendu au gouvernement américain la dose au prix de 19,50 dollars !

L’Union Européenne avait réussi à négocier le prix des injections Pfizer à 12 euros, mais lorsqu’elle a décidé de multiplier sa demande de vaccins, l’entreprise a augmenté ses prix de plus de 25 %.(([1] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf))

Au 14 février 2022, un total de 10 101 955 700 doses de vaccin a été administré, et 66 % des habitants des pays du G7 — Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni — ont reçu au moins deux doses.

À l’opposé, à peine 6 % de la population globale du continent africain a été injectée (?), ce qui leur a évité les effets secondaires majeurs.

Les données de l’OMS montrent pourtant que les injections Pfizer n’ont pas diminué la mortalité Covid19 dans les pays les plus vaccinés qui se retrouvent dans le groupe des plus fortes mortalités.

L’inefficacité médicale multiplie les profits

La très faible durée (2-3 mois) de la protection alléguée de l’injection Pfizer a constitué un formidable accélérateur de profits pour Pfizer, car les gouvernements ont depuis multiplié les commandes.

Ainsi la Commission européenne qui avait initialement commandé 600 millions de doses (300 en décembre 2020 et 300 janvier 2021) a signé pour plus de 1,8 milliard de doses (à prix majoré !) en mai 2021 prévoyant ainsi 6 rappels par adulte en 2022 et 2023 !

Une propagande omniprésente pour Pfizer s’accompagne d’une dévalorisation des produits concurrents

« il est attesté que Pfizer a mené des campagnes de désinformation visant ses concurrents. Ainsi, un documentaire diffusé par Channel 4 — une chaîne britannique — a révélé que Pfizer avait payé de prétendus “experts” pour affirmer que le vaccin d’AstraZeneca (beaucoup moins cher) pouvait entraîner un cancer et menaçait la vie des patients immunodéprimés ».

MAIS L’AVENIR EST PEUT-ÊTRE MOINS ROSE

Les dissimulations de la FDA condamnées en justice.

Cet article(([2] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf)) relate les réactions de Pfizer à la suite des révélations hautement probables de la justice quand elle aura connaissance de documents cachés jusque-là.

Pfizer met discrètement en garde les investisseurs contre les conséquences possibles des révélations de fraudes.

Cette tribune craint que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis obéisse aux tribunaux qui l’ont condamnée à communiquer le premier lot mensuel de 55 000 pages de données de Pfizer concernant le « vaccin Pfizer ». Est-ce imaginable que ce monstre de pouvoir obéisse ?

L’agence avait initialement décidé de ne produire que 500 pages de documents Pfizer par mois, ce qui aurait nécessité plusieurs décennies pour en obtenir la totalité. Tout le monde avait hurlé, mais personne n’espérait une issue positive. Cependant, les contestations judiciaires ont abouti à l’accélération de ce calendrier d’accès aux documents.

On imagine que Big Pharma cherche des solutions pour poursuivre les dissimulations comme Pfizer en a l’habitude. Mais ici le scandale est mondial et les bénéfices encore plus époustouflants que les fois précédentes. Y arriveront-ils ?

Cette année, Pfizer s’attend à générer plus de 54 milliards de dollars de ventes, à moins que son énorme arnaque ne s’effondre complètement. Rêvons un peu.

Dans son plus récent rapport sur les résultats du quatrième trimestre de l’année 2021, Pfizer a averti les investisseurs que les choses ne s’annonçaient pas aussi bien que prévu.

Aurons-nous rapidement la totalité des rapports qui révèlent la fraude et la tromperie comme certains l’espèrent ?

Le communiqué Pfizer prévient les investisseurs

« qu’il pourrait y avoir de nouvelles données précliniques, cliniques ou de sécurité défavorables et d’autres analyses de données précliniques, cliniques ou de sécurité existantes ou d’autres informations concernant la qualité des données précliniques, cliniques ou de sécurité, y compris par audit ou inspection »

En d’autres termes, les rapports fournis à la FDA pour obtention d’une AMM PROVISOIRE auraient été falsifiés… Quelles seront les conséquences ?

Le communiqué Pfizer mentionne que « les publications à venir pourraient affecter le cours de l’action de la société », prévenant les investisseurs que le temps des bénéfices record de Pfizer touche bientôt à sa fin en raison de « préoccupations concernant l’intégrité des données cliniques ».

Maintenant que Pfizer a engrangé des milliards grâce à la fraude, la société affirme que le covid pourrait magiquement « disparaître complètement ».

Pfizer fait référence dans son rapport au fait que le temps de la plandémie pourrait prendre fin alors qu’une masse critique de la population mondiale réalise enfin à la vérité sur l’escroquerie plandémique.

« Il semblerait que l’objectif de Pfizer depuis le début était de pressurerla planète pour des profits obscènes aussi longtemps que possible grâce à son arnaque au “vaccin”. Sachant que les gens finiraient par tout comprendre, cependant, le plan a été conçu de manière à cacher toutes les données incriminantes des essais cliniques jusqu’en 2076 ».

Rappelons qu’en France les délibérations du conseil de défense sont dissimulées par un secret défense pour 50 ans, mais que le gouvernement se flatte de la gestion transparente de ses décisions.

MAIS le calendrier des publications prévu en 2076 est bousculé par la justice. « Quel serait l’impact d’un procès pour crimes contre l’humanité sur l’entreprise ? » a demandé quelqu’un de Zero Hedge.

« Ce n’était pas pour rien », a déclaré quelqu’un d’autre à propos de la persistance des confinements et des obligations vaccinales, dont nous savons maintenant qu’ils n’ont rien fait pour arrêter la propagation. « C’était pour les profits et instaurer le contrôle social ».

Plus de nouvelles connexes sur les injections mortelles de covid de Pfizer peuvent être trouvées sur Corruption.news et aussi sur de nombreuses sources établies à partir des données officielles des agences sanitaires.(([3] EFFETS DÉLÉTÈRES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! / LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))
Les sources de cet article incluent ZeroHedge.com, NaturalNews.com, Brighteon.TV

Effectivement de nombreuses informations apparaissent, comme cette conversation entre Fauci — le Mr Santé des présidents des USA toujours en poste — et un biologiste sur la « fabrication du virus » en mars 2020 ! On comprend que Pfizer et Fauci soient inquiets des révélations qui n’attendront pas cinquante ans comme prévu (y compris en France !). Le Grand Jury démarré en ce mois de février 2022 par l’avocat international Reiner Fuellmich et associés permettra aussi d’en savoir plus.

Les actions Pfizer

QUAND VOTRE SANTÉ N’EST PLUS QU’UN JEU EN BOURSE ! ARRIVEZ-VOUS À Y CROIRE ? Triste réalité, pourtant…

Selon Boursorama La valeur du jour à Wall Street Pfizer déçoit les investisseurs avec ses perspectives 2022 – 08/02/2022 à 17:22 — Boursorama

AOF•08/02/2022 à 17:22

(AOF) — Pfizer occupe la dernière place du S&P 500 avec un repli de 5,8 % à 50,10 dollars, dans le sillage de perspectives 2022 décevantes. En même temps que la publication de ses résultats trimestriels, le laboratoire pharmaceutique a en effet annoncé viser cette année un bénéfice ajusté par action de 6,35 à 6,55 dollars, alors les analystes de FactSet en attendent 6,71. De même, les revenus devraient être compris en 98 et 102 milliards de dollars, pour un consensus s’élevant à 103,2 milliards.

Parmi ces revenus, Pfizer espère réaliser environ 32 milliards de dollars de ventes pour son vaccin anti-covid, le Comirnaty, ainsi que 22 milliards pour sa pilule antivirale, le Paxlovid. Malheureusement, cela reste là aussi en dessous des attentes du marché, puisque les données Refinitiv font état d’anticipations de 33,79 milliards et 22,88 milliards de dollars respectivement.

Au niveau de la production, le laboratoire a dépassé son objectif de réaliser 3 milliards de doses du Comirnaty en 2021 et veut désormais en fabriquer plus de 4 milliards cette année.

Mais malgré des perspectives en deçà des attentes, Pfizer a toutefois su engendrer plus de bénéfices que prévu au quatrième trimestre 2021. Le groupe a en effet publié un profit trimestriel de 3,39 milliards de dollars, soit 59 cents par action, très loin des 847 millions, ou 15 cents par action, générés un an plus tôt à la même époque. Hors éléments exceptionnels, le BPA ressort ainsi à 1,08 dollar (+151 %), bien au-dessus du consensus FactSet de 87 cents.

Les revenus du laboratoire pharmaceutique ont quant à eux plus que doublé (+105 %) à 23,84 milliards de dollars.

Sur l’ensemble de l’année 2021, le bénéfice ajusté s’est élevé à 4,42 dollars par action et le chiffre d’affaires a atteint 81,3 milliards. Les ventes du vaccin anti-covid ont contribué à hauteur de 36,8 milliards de dollars, alors que celles de l’antiviral, autorisé à partir de fin décembre, ont été limitées à 76 millions.

Mais probablement cela va aller beaucoup plus mal pour les ventes de vaccins, comme le PDG de Moderna le craint probablement qui a vendu de grosses quantités d’actions avant la chute récente des cours.

En attendant, Pfizer tente de prolonger l’autorisation « d’urgence » du pseudovaccin en ce 14 février 22.





Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf