Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins

[Source : profession-gendarme.com.
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Surtout commencer à diminuer l’exposition aux O.E.M.

Comment éliminer l’oxyde de graphène du corps, l’ingrédient dangereux et non divulgué des vaccins COVID-19 !

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, a été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans l’approvisionnement en eau, dans l’air que nous respirons à travers les chemtrails, et même dans notre alimentation.
L’oxyde de graphène interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), en particulier la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé. Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements électromagnétiques sont similaires à ceux décrits comme Covid.

La bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de notre corps et de restaurer votre santé. Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser simultanément plusieurs méthodes différentes pour obtenir le meilleur effet. Y compris des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps et contrôler les CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion !

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique.
Il est produit naturellement par le foie et est impliqué dans de nombreux processus de l’organisme, notamment la formation et la réparation des tissus, la fabrication des produits chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme et au système immunitaire. Nous avons une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous donne un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans le corps, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans le corps dépasse la quantité de glutathion, cela provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut croître rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. C’est-à-dire des champs électromagnétiques qui bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent drastiquement dans le corps. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes souffrant de maladies préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas touché ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences électromagnétiques spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie.
En cas de maladie (comme les symptômes de Covid et toutes les « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Les patients Covid intubés aux soins intensifs guéris en quelques heures lorsqu’ils sont traités avec du glutathion et du NAC, exemple de Ricardo Delgado :

« Nous avons vu des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et le rayonnement 5G ultérieur dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette coloration diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisque ce serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection à pneumocoque, non ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique.
Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe — ou même par voie orale — ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les personnes en quelques heures ont commencé à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un supplément qui amène le corps à produire du glutathion, il est connu comme le précurseur du glutathion et amène le corps à sécréter du glutathion de manière endogène, tout comme il le fait lorsque vous faites du sport intensément. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par le corps pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages.

Vous pouvez obtenir du NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.
Le zinc en combinaison avec le NAC est des antioxydants essentiels utilisés pour dégrader l’oxyde de graphène.
Ricardo Delgado déclare qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après l’inoculation. C’est chez les personnes avec deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et après ces suppléments elles n’ont plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, lien pour recevoir la liste produits qui détoxifient.

Comprendre le lien entre EMF, 5G, oxyde de graphène, hydrogels et Covid !

L’oxyde de graphène est activé par les champs électromagnétiques, en particulier les fréquences faisant partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce qu’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences transmises aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est l’ingrédient principal des hydrogels brevetés DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections Covid, les écouvillons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui a des qualités et des applications substantielles.

Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreuses choses, dans notre nourriture, notre eau et injectés dans notre corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui se verrouillent sur votre ADN et peuvent être contrôlées par des capteurs 5G.
Ils permettent la collecte et la manipulation de l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent le suivi et le traçage des êtres humains.

Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par des pairs sur les hydrogels conducteurs.
Nous avons dressé une courte liste de certaines études relatives comme documentation de sauvegarde.

Résumé des caractéristiques de l’hydrogel et de la nanotechnologie à points quantiques

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.
Caractéristiques des hydrogels conducteurs : autorécupération, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, autoguérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’il fait certaines choses lorsque la 5G le frappe (ou d’autres fréquences d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnement EMF provenant des téléphones portables (ou téléphones portables), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses zones activent également la 5G et des enquêtes ont été menées montrant la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une zone.

Pour vous protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions sur la façon de procéder : ne vivez pas dans une ville avec beaucoup de tours si vous pouvez l’aider, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs intelligents et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection EMF tels que des dispositifs d’énergie orgonique pour aider à transformer le rayonnement EMF afin d’atténuer les effets nocifs.

Énergie d’orgone, protection EMF et oxyde de graphène !

Étant donné que l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous souhaitez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’elle n’active pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les champs électromagnétiques.

Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des conteneurs faits de couches alternées d’acier et de matière organique non conductrice étaient capables d’exploiter une « énergie cosmique » saine de l’environnement. Il appela cette énergie « orgonique ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de : conserver les échantillons de sang pendant de plus longues périodes ; faire germer des semis de plantes plus sains ; et, soulager la douleur de ses patients qui étaient assis à l’intérieur.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite composé d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal enrobées de résine époxy. Le résultat final est un harmoniseur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, du routeur Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux de compagnie.

Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études menées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents échantillons de sang d’oxyde de graphène EMF !

L’étude la plus frappante à la lumière des découvertes récentes de l’oxyde de graphène se trouve dans le « Reich Blood Test » réalisé par le Heraclitus Microscopic Research Laboratory. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgonale sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie d’orgone. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une plus longue période (c’était comme la fontaine de jouvence pour le sang).

Lorsqu’un globule rouge présente des défauts et commence à mourir, il peut développer ce qu’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections épineuses de longueurs variables dépassent de la cellule.
Les images ci-dessous montrent à quoi cela ressemble quand une cellule sanguine meurt.

Test sanguin expérimental Reich — Désintégration du sang

Des cellules sanguines en décomposition se transformant en ce que le Dr Reich a appelé des « bions » à partir des travaux de test sanguin du Reich effectués par Hericlitus Labs.

La cellule la plus saine a une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich a appelé l’énergie « orgonique ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des saillies pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations de la membrane.

Selon A Laboratory Guide to Clinical Hematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes se produit à la suite de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui provoquent un déséquilibre entre le cholestérol membranaire et la teneur en lipides affectent la capacité des globules rouges à se déformer, ce qui entraîne une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises à partir d’analyses sanguines récentes [mises à jour le 1er octobre 2021] du Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement aux rayonnements électromagnétiques, l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines “l’effet corona” et “l’effet des protéines Spike”.

Cela semble identique au comportement des cellules sanguines mourantes dans l’expérience Reich Blood Test.
Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Une découverte frappante se trouve dans le Reich Blood Test qui montre comment les dispositifs d’énergie orgonique ralentissent et arrêtent cette décomposition des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs énergétiques orgonaux protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait à l’intérieur de la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de décomposition cellulaire est de 5 %.
L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de dégradation est de 50 %.

De toute évidence, l’énergie de l’orgone fait quelque chose pour aider à préserver la force vitale et la santé du sang.

P.S. Ndlr : À la fin du mois de juillet 2022, nous disposerons d’une Chambre à Ondes scalaires qui permettra de syntoniser les produits détoxifiant le Graphène afin d’avoir un résultat amplifié !

[NDLR L’existence de l’orgone et des ondes scalaires est très controversée et pour l’instant nullement reconnue par la science universitaire.]

Les Ondes scalaires semblent proches des ondes Orgoniques !

Pour obtenir plus d’informations sur les produits neutralisant le Graphène et les Protéines Spikes, et la Chambre à Ondes scalaires, contacter filibert82@yahoo.fr.

Source : https://expose-news.com/2022/07/15/how-to-remove-graphene-oxide-the-dangerous-undisclosed-ingredient-in-covid-vaccines-from-the-body/




La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò

[Source : medias-presse.info]

I – L’entretien de Mgr Viganò retranscrit à partir de la vidéo que vous trouverez en fin de texte

[Par Mgr Viganò]

Dans une intéressante intervention sur la chaîne américaine Fox News intitulée The Church of Environmentalism (ici), le journaliste Tucker Carlson a souligné une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup, mais que je trouve extrêmement révélatrice.

Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit la religion d’État, mais depuis un certain temps les gouvernements démocrates ont imposé au peuple américain le culte mondialiste, avec son agenda green, ses dogmes woke, ses condamnations avec la cancel culture, ses prêtres de l’OMS, les prophètes du World Economic Forum. Une religion à tous égards, totalitaire non seulement pour la vie des individus qui la pratiquent, mais aussi dans la vie de la Nation qui la confesse publiquement, en adopte les lois et les sentences, s’en inspire dans l’éducation et dans toute action gouvernementale.

Au nom de la religion mondialiste, ses adeptes exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique et avec une attitude de soumission pieuse à l’autorité religieuse, la doctrine définie ex cathedra par le Sanhédrin de Davos.

Aux citoyens, il n’est pas demandé de partager les motivations qui justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées par les gouvernements, mais un assentiment aveugle et irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, d’argumenter l’absence de fondement des alarmes climatiques, d’opposer l’évidence de la provocation de l’OTAN envers la Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou sur la fraude électorale qui a empêché le Président Trump de rester à la Maison Blanche, ou de refuser de voir des enfants corrompus par des obscénités LGBTQ.

Après trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de l’anesthésie pour réduire leur trace de dioxyde de carbone et « sauver la planète » (ici) ne doit donc pas être lue comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux, comme une pénitence à accepter volontairement, comme un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de conversion forcée des masses, car elle contrebalance l’absurdité de l’action par la récompense d’un bien promis : en portant le masque (qui ne sert à rien) le fidèle-citoyen a fait son propre geste de soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la collectivité ?) ; une soumission confirmée par l’acte tout aussi public de la vaccination, qui a représenté une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands-prêtres de cette religion en viennent à théoriser le sacrifice humain avec l’avortement et l’euthanasie : un sacrifice requis par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète, ne pas alourdir la santé publique, ne pas être un fardeau pour la sécurité sociale. Même les mutilations auxquelles sont soumis ceux qui professent la doctrine du Genre et la privation des facultés de reproduction induite par l’homosexualisme ne sont rien de plus que des formes de sacrifice et d’immolation de soi, de son corps, de sa santé, jusqu’à la vie elle-même (en assumant, par exemple, une thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle).

L’adhésion au mondialisme n’est pas facultative : le mondialisme est la religion d’État, et l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer ce culte. Bien davantage, dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur et incontestable, l’État oblige également les dissidents à accomplir les actes fondamentaux de la « morale mondialiste », en les punissant s’ils ne se conforment pas à ses préceptes.

Manger des insectes et non de la viande ; s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence ; renoncer à la propriété privée, à la liberté de circulation ; subir contrôles et limitations des droits fondamentaux ; accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du politiquement correct ; renier la Foi chrétienne pour embrasser la superstition woke ; conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes : ce sont autant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique que, à y regarder de plus près, personne ne veut et que personne n’a demandé et qui ne justifie son existence qu’avec l’épouvantail d’une apocalypse écologique non prouvée et indémontrable. Cela viole non seulement la tant vantée liberté de religion sur laquelle cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas, inexorablement, à rendre ce culte comme exclusif, comme le seul admis.

« L’église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence et n’accepte pas d’affronter dialectiquement ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux qui n’acceptent pas l’anti-évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social, considérés comme ennemis publics ; il faut les rééduquer par la force, à la fois par un martèlement incessant des médias et par l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes réelles d’extorsion du consentement, en commençant par celui « informé » pour se soumettre contre son gré à l’obligation vaccinale et en continuant avec la folie des soi-disant « villes de 15 minutes », d’ailleurs anticipées en détail dans les points programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons dogmatiques, au contraire).

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse est que cette religion d’État n’a pas été imposée de facto seulement aux États-Unis d’Amérique, mais s’est répandue à toutes les nations du monde occidental, dont les dirigeants ont été convertis au verbe mondialiste par le grand apôtre de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, autoproclamé « pape » et donc investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’Annuario Pontificio nous pouvons lire la liste des cardinaux, évêques et prélats de la Curie Romaine et des diocèses répartis dans le monde entier, de même sur le site du Forum Économique Mondial, nous trouvons la liste des « prélats » du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, découvrant que non seulement les présidents et les Premiers Ministres de nombreux États appartiennent à cette « Église » mais aussi de nombreux fonctionnaires, des chefs d’organismes internationaux et de grandes multinationales, des médias. À ceux-ci, il faut ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs, influencers, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans les entreprises et les hôpitaux, dans les organismes périphériques et les municipalités locales, dans les associations culturelles et sportives, de sorte qu’il est impossible d’échapper à l’endoctrinement même dans une école primaire provinciale ou dans une petite communauté rurale.

Il est déconcertant – vous le reconnaîtrez – que dans le nombre de convertis à la religion universelle, nous puissions également compter des représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario Bergoglio – que les Catholiques considèrent comme le chef de l’Église de Rome – avec tout le train des ecclésiastiques qui lui sont fidèles. L’apostasie de la Hiérarchie Catholique en est venue à vénérer l’idole de la Pachamama, la « Mère Terre », personnification démoniaque du mondialisme « amazonien », œcuménique, inclusif et durable. Mais n’est-ce pas John Podesta lui-même qui a préconisé l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait la doctrine par un vague sentimentalisme écologiste, trouvant promptement l’exécution de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la démission de Benoît XVI et à l’élection de Bergoglio ?

Ce à quoi nous assistons n’est rien d’autre que l’application à l’inverse du processus qui a conduit à la propagation du Christianisme dans l’Empire Romain puis dans le monde entier, une sorte de vengeance de la barbarie et du paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l’Apostat a essayé de faire au IVe siècle, c’est-à-dire restaurer le culte des dieux païens, est aujourd’hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux qu’ils sont convaincus de pouvoir réussir dans leurs intentions en raison des moyens inouïs dont ils disposent.

En réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une déclinaison moderne du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy Awards sponsorisée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal qui jusqu’à présent avait été gardé sous silence parce qu’il était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste sont tous indistinctement antichrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’Histoire. Non seulement : la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative (presque réussie, bien que délirante) de modifier l’ordre de la Création, de modifier les plantes et les animaux, de changer même l’ADN humain par des interventions de bio-ingénierie, de priver l’homme de son individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même manœuvrable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine de Dieu et l’envie pour le sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes qu’Il a racheté du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.

Cette haine satanique s’exprime dans la détermination de rendre impossible aux Chrétiens la pratique de leur religion, de voir leur principes respectés, de pouvoir apporter leur contribution à la société et, finalement, dans la volonté de les amener à faire le mal, ou du moins de faire en sorte qu’ils ne puissent pas faire le bien, encore moins le répandre ; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de Dieu et du prochain) en les pervertissant à des fins philanthropiques ou écologistes pitoyables.

Tous les préceptes de la religion mondialiste sont une version contrefaite des Dix Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous le contrôle inquisitoire de l’anti-église de Satan. Dans cette perspective, s’insère également la signalisation des groupes de fidèles catholiques traditionnels de la part des services secrets américains, confirmant que l’inimitié entre la lignée de la Femme et celle du Serpent (Gn 3, 15) est une réalité théologique en laquelle les ennemis de Dieu croient avant tout, et que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans le temple (Dn 9, 27). Les tentatives de supprimer ou de limiter la Messe traditionnelle unissent l’église profonde et l’état profond, révélant la matrice essentiellement luciférienne des deux : parce que les deux savent très bien quelles sont les Grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde avec cette Messe, et ils veulent les empêcher afin qu’elles n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre les créatures de chair et de sang (Ep 6, 12).

Les remarques de Tucker Carlson mettent en évidence la tromperie à laquelle nous sommes quotidiennement soumis par nos dirigeants. L’imposition théorique de la laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce Nouvel Ordre Mondial dystopique dans lequel l’Antichrist prétendra être adoré comme un dieu, dans son délire fou de remplacer Notre Seigneur.

Les avertissements du Livre de l’Apocalypse sont de plus en plus concrets, d’autant plus que le plan de soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance se poursuit : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert, qui n’est rien d’autre que la version technologique de la marque avec le chiffre de la Bête (Ap 13, 17).

Mais si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui cachait des intentions inavouables, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts – psychologiquement avant même que rationnellement – à prendre acte du coup d’État par lequel un lobby de dangereux fanatiques parvient à prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, déterminé à faire n’importe quel geste, même le plus téméraire, afin de le maintenir.

Comme par un jeu de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense Dieu parce qu’elle Lui refuse le culte public auquel Il a un droit souverain – pourrait être l’argument pour mettre fin au projet subversif de la Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du monde entier – savent se rebeller contre cette conversion forcée, exigeant que les représentants des citoyens rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible de mettre un terme à cette course vers l’abîme. Mais pour ce faire, il faut prendre conscience qu’il ne s’agira que d’une première phase dans le processus de libération de ce lobby infernal, qui doit être suivie de la réappropriation des principes moraux propres au Christianisme qui constituent les fondements de la Civilisation occidentale et la défense la plus efficace contre la barbarie du néopaganisme.

Pendant trop longtemps, les citoyens et les fidèles ont subi passivement les décisions de leurs dirigeants politiques et religieux, face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité est fondé sur la reconnaissance d’un fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur les personnes, les nations et l’Église. Si ceux qui détiennent l’autorité dans l’État et l’Église agissent contre les citoyens et contre les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les dirigeants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, tout comme le Pape et les évêques ne sont pas les propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous ; s’ils ne veulent pas notre bien et au contraire ils font tout pour nous corrompre dans le corps et l’esprit, il est temps de les chasser de leurs positions et de les appeler à rendre des comptes pour leur trahison, leurs crimes, leurs mensonges scandaleux.

Carlo Maria Viganò, Archevêque
16 février 2023

© Traduction [NDLR Transcription, ici, car la vidéo est déjà en français ?] de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
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Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

II – La vidéo de Mgr Carlo Maria Viganò en français pour MPI :




Le transhumanisme et l’image de Dieu

[Source : https://creation.com]

Par Andrew Sibley

[Illustration : Pixabay
Les partisans du transhumanisme rejettent ce qu’est l’être humain créé à l’image de Dieu. Au lieu de cela, ils cherchent à déifier la science et l’humanité.]

Le transhumanisme est un mouvement qui soutient que les avancées scientifiques et technologiques peuvent être utilisées pour améliorer l’humanité. Par exemple, pour augmenter la durée de vie, pour se débarrasser des maladies par la modification des gènes, pour implanter des micropuces électroniques à des fins de sécurité, ou pour surveiller l’emplacement, les achats et les mouvements d’une personne. Certains de ces éléments peuvent sembler vaguement pertinents pour l’apologétique de la science créationniste. Cependant, au fond, c’est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. Creation Ministries International a abordé pour la première fois la question du transhumanisme en 2011. Avance rapide jusqu’en 2023 et il est promu plus que jamais par des universitaires de renom et des forums de premier plan, ainsi que par des subventions de recherche bien financées, comme celle du gouvernement du président Biden.1

[Voir aussi :
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle]

Origines et objectifs du transhumanisme

« Au fond, [le transhumanisme] est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. »

Les membres du mouvement transhumaniste cherchent à accroître les capacités mentales, sensorielles et physiques de l’homme, mais cela témoigne d’une incapacité à comprendre pleinement ce qu’est l’être humain.2 Ses partisans cherchent à utiliser les technologies actuelles, telles que la technologie de modification des gènes embryonnaires (qu’est-ce que CRISPR ?),3 et les technologies de l’information, ainsi que les technologies émergentes telles que la nanotechnologie moléculaire et l’intelligence artificielle4 (ces technologies ne sont pas nécessairement mauvaises en soi, mais la manière dont elles sont utilisées soulève des questions éthiques pour la société). Xiao Liu écrit que « nous entrons dans l’ère de l’ » Internet des corps » : la collecte de nos données physiques par le biais d’une série de dispositifs qui peuvent être implantés, avalés ou portés »5. Cette utilisation des nouvelles technologies découle de la croyance évolutionniste selon laquelle l’humanité n’est qu’un chantier en cours, conformément aux croyances transhumanistes :

« Les transhumanistes considèrent la nature humaine comme un travail en cours, un début à moitié cuit que nous pouvons apprendre à remodeler de manière souhaitable. L’humanité actuelle ne doit pas nécessairement être le point final de l’évolution. Les transhumanistes espèrent que, grâce à une utilisation responsable de la science, de la technologie et d’autres moyens rationnels, nous parviendrons un jour à devenir des posthumains, des êtres dotés de capacités bien supérieures à celles des êtres humains d’aujourd’hui. »6

« Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la croyance que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! »

Cette perspective remet directement en question la façon dont nous nous comprenons en tant qu’êtres humains, créés à l’image de Dieu. Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la conviction que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! L’objectif déclaré des transhumanistes est de faire évoluer l’humanité vers « le niveau suivant », afin que les êtres humains puissent prétendument transcender les limites naturelles et créer eux-mêmes l’humanité 2.07 (Max Tegmark l’appelle la vie 3.0). On parle parfois de l’émergence d’une espèce « post-humaine ». En fait, les liens étroits entre le transhumanisme et l’évolution indiquent qu’il s’agit d’un prolongement de l’eugénisme. Le biologiste évolutionniste et eugéniste Julian Huxley a proposé l’expression transhumanisme dans un essai en 1957, et a déclaré ce qui suit :

« … lorsqu’il y aura suffisamment de personnes qui pourront vraiment dire qu’elles [croient au transhumanisme], l’espèce humaine sera au seuil d’un nouveau type d’existence, aussi différente de la nôtre que la nôtre l’est de celle de l’homme de Pékin [sic]. »8

Ce type de pensée utopique se poursuit aujourd’hui, mais au lieu d’être une idée marginale, les successeurs de Huxley ont l’oreille d’hommes politiques de premier plan et peuvent propager librement leurs opinions dans les forums mondialistes. Yuval Noah Harari est professeur d’histoire à l’Université hébraïque de Jérusalem et conseiller auprès du Forum économique mondial. Il présente la situation comme suit dans un livre intitulé Homo Deus (homme-dieu) :

« Au lieu de cela, les bio-ingénieurs prendront le vieux corps de Sapiens, et réécriront intentionnellement son code génétique, reconnecteront ses circuits cérébraux, modifieront son équilibre biochimique, et feront même pousser des membres entièrement nouveaux. Ils créeront ainsi de nouveaux enfants-dieux, qui pourraient être aussi différents de nous, Sapiens, que nous sommes différents de l’Homo erectus. »9

Harari rejette la croyance dans le Dieu de la Bible, mais souhaite plutôt déifier l’humanité. Il estime que les humanistes des Lumières, avec leur croyance en l’évolution, ont supprimé la foi en Dieu et l’ont placée dans les autres.

Autres problèmes du transhumanisme

CCA 2.0 generic — wikipedia
Est-ce là l’avenir de l’humanité que propose le transhumanisme ?Reconstruction d’une unité Borg de science-fiction dans une station d’accueil de régénération (Hollywood Entertainment Museum)
Marcin Wichary, 5 janvier 2006

Un autre problème est le manque de connaissances sur la véritable nature de l’humanité. La science naturaliste en sait-elle assez sur ce qu’est l’être humain en premier lieu ? Joanna Kavenna soulève cette question (notamment dans le New Scientist) : « Elle pose la question en sachant que la majorité des gens dans le monde ont une forme de croyance religieuse ou spirituelle. Dans ce contexte, la plupart croient que les êtres humains possèdent une âme non matérielle qui anime le corps physique. En outre, le concept de conscience dépasse le cadre de la science naturaliste et, à bien des égards, il reste mystérieux dans la philosophie des sciences, malgré les efforts des chercheurs :

« … la conscience — cette chose mystérieuse que tout être humain possède ou se sent posséder — reste “le problème difficile” de la philosophie. Il nous manque une théorie unifiée de la conscience. Nous ne comprenons pas comment la conscience est “générée” par le cerveau, ni même si c’est la bonne métaphore à utiliser »10.

Kavenna souligne que la science naturaliste n’a pas progressé dans l’approfondissement de cette compréhension au fil des ans, et qu’elle ne sait même pas qui étaient les premiers humains. Elle écrit :

« Nous ne savons pas qui étaient les premiers humains : cette quête fascinante nous conduit également tout droit vers un grand vide d’inconnaissance »10.

Bien sûr, les créationnistes chrétiens à l’esprit biblique ont l’avantage de savoir que les premiers humains étaient Adam et Ève. Mais l’adhésion des transhumanistes à la science naturaliste, et leur croyance en l’évolution, signifie qu’ils ont une compréhension inadéquate de l’humanité.

Malgré les formidables progrès de la science, notre compréhension de la complexité du code génétique reste incomplète, les nouvelles avancées ne faisant que découvrir des niveaux de plus en plus élevés de fonctionnalités interdépendantes. Par exemple, pendant de nombreuses années, les spécialistes de l’évolution ont considéré qu’une grande partie du code génétique était « inutile », mais des découvertes récentes ont démontré qu’elle jouait un rôle important dans la cellule (voir Les idées sur l’ADN poubelle ont entravé les progrès de la science médicale), ce qui a entravé les progrès de la science médicale. Malheureusement, malgré tous les merveilleux avantages de la science biomédicale, elle a aussi un catalogue d’erreurs dues à l’introduction de produits qui se sont avérés nocifs par la suite, comme le médicament thalidomide.

Pixabay
Le transhumanisme offre un avenir dystopique

Il y a aussi le problème du pouvoir et du contrôle. Qui décide de ce qui est le mieux pour l’humanité ? Devons-nous laisser une technocratie de politiciens, de riches industriels et d’élites scientifiques décider ? Un précédent article de CMI avait déjà illustré ce problème avec l’exemple du collectif Borg dans Star Trek.11

Dans la série, les Borgs étaient un réseau d’êtres organiques et sensibles (humains et autres extraterrestres) qui avaient été modifiés par la cybernétique et la nanotechnologie — d’où les cyborgs. La technologie transhumaniste a été utilisée pour contrôler complètement les êtres et supprimer leur individualité, en subsumant leur esprit et leur conscience en un seul collectif social. Ce collectif obscur, comparable à une ruche d’abeilles surveillée par la reine, était également extrêmement puissant et avait pour objectif d’assimiler tous les autres dans son système. D’autre part, la Fédération des planètes unies, technologiquement avancée (sous la direction de sa directive première non interférente), utilisait son savoir-faire pour maximiser la liberté et les capacités personnelles de la communauté (humaine et celle des autres espèces extraterrestres fictives).

Cette illustration fictive, qui peut paraître fantaisiste, soulève néanmoins un point pertinent (en tant que métaphore) sur l’avenir de l’humanité. Est-il juste qu’une technocratie d’élite développe et utilise les progrès de la science pour contrôler les gens, que ce soit dans une forme de collectif social d’êtres post-humains ou dans une autre structure sociale ? Ou devrions-nous utiliser la science et la technologie pour maximiser la liberté et l’épanouissement humain ? Comme le dit le proverbe, l’enfer est pavé de bonnes intentions, et les États socialistes et technocratiques idéalistes n’ont historiquement fait qu’appauvrir le peuple, comme on peut le voir avec l’ancienne Union soviétique. Peter Hitchens met en garde contre les souffrances causées par les rêveurs athées et utopistes : « L’utopie ne peut être approchée qu’à travers une mer de sang ».12 Cela nous amène à envisager une vision centrée sur le Christ (en laissant de côté l’eschatologie).

La vision chrétienne

Bien sûr, les êtres humains ont utilisé les progrès technologiques pendant des centaines d’années pour améliorer la vie des gens — alors, qu’y a-t-il de mal avec le transhumanisme ? Le professeur de sociologie Steve Fuller, qui a déjà apporté son soutien au mouvement du Dessein Intelligent, affirme que le transhumanisme n’a rien à craindre et qu’il n’est que la continuation des progrès technologiques réalisés depuis plusieurs centaines d’années.13

« Il y a… quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. »

Cependant, il existe une différence fondamentale entre les croyances judéo-chrétiennes et les croyances évolutionnistes athées en ce qui concerne la manière dont les êtres humains peuvent utiliser la technologie pour façonner l’avenir de l’humanité. Les chrétiens soutiennent que les êtres humains sont créés à l’image de Dieu, mais que nous souffrons des séquelles de la Chute, ce qui explique que nous soyons malades et que nous mourions. Dans cette vie, nous souhaitons vivre le plus sainement possible, et nous faisons ce que nous pouvons pour les autres aussi ; de cette façon, nous espérons améliorer l’espérance de vie, tout en maintenant la qualité de vie. Mais en fin de compte, il faut affronter la mort (Hébreux 9:27), qui est la dure réalité. Aucune technologie que l’homme pourrait inventer ne peut éviter la mort. La bonne nouvelle est que le pardon des péchés et le salut peuvent être obtenus spirituellement grâce à l’œuvre du Christ sur la croix ; les chrétiens qui ont mis leur confiance dans le Christ attendent la résurrection et la vie éternelle.

Il y a aussi quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. D’un autre côté, les philosophes athées considèrent que l’homme n’est qu’un produit de l’évolution par sélection naturelle et qu’il peut donc être modifié selon les caprices des scientifiques et des riches technocrates. Ces deux visions du monde ont un impact sur la façon dont nous percevons l’humanité.

Les chrétiens croient que nous pouvons utiliser la technologie au profit des hommes et ainsi surmonter les effets de la Chute. Certaines technologies qui peuvent sembler relever du transhumanisme peuvent être bénéfiques à certains humains en termes de guérison. Une personne peut prendre des médicaments pour guérir d’une maladie, ou porter des lunettes ou un appareil auditif pour surmonter sa fragilité. La perte d’un membre peut amener une personne à utiliser une prothèse pour faciliter sa mobilité. La technologie peut donc contribuer au bien-être et à l’épanouissement de l’homme, ou chercher à optimiser les capacités des personnes brisées par la maladie ou le handicap ; ces utilisations ne cherchent pas à créer une post-humanité. Le transhumanisme, quant à lui, fondé sur la croyance en une évolution sans Dieu, étend ce principe pour affirmer que l’humanité doit être améliorée par l’utilisation d’outils tels que le génie génétique et les micropuces. L’objectif est de créer une humanité « meilleure », mais sans vraiment savoir ce qu’est un être humain à part entière.

Un dilemme pour les humanistes

Cela crée toutefois un dilemme pour les humanistes. L’humanisme a traditionnellement enseigné qu’il est possible d’être éthique et de valoriser les personnes sans se référer aux textes bibliques. Andrew Copson et A.C. Grayling écrivent que « l’éthique humaniste se distingue également par le fait qu’elle place la finalité de l’action morale dans le bien-être de l’humanité plutôt que dans l’accomplissement de la volonté de Dieu ».14 D’une certaine manière (mais pas toujours)15, cette approche est similaire à la notion judéo-chrétienne de la morale et des valeurs, qui est objectivement fondée (l’humanisme est issu de l’unitarisme déiste et a été connu pendant un certain temps sous le nom de Société éthique). Mais l’adhésion de l’humanisme à l’évolution conduit finalement à une direction morale différente et soulève la perspective du transhumanisme, où l’humanité a « besoin » de s’améliorer. Si l’on croit que les êtres humains ont évolué par des processus accidentels, et par la survie du plus fort, alors pourquoi ne pas permettre à une élite riche et puissante de guider l’évolution avec l’intelligence humaine ?

Ainsi, les croyances humanistes, parce qu’elles sont subjectives ou basées sur l’évolution, peuvent conduire à une dévalorisation des êtres humains, et non à leur élévation. Nous pouvons voir ici que l’humanisme mène finalement au post-humanisme, en fait à l’abandon de l’humanisme — à l’idée de créer des post-humains. L’humanisme se retrouve donc face à un dilemme : doit-il embrasser le transhumanisme et rejeter les idéaux humanistes, ou doit-il vraiment rester attaché à l’humanité telle qu’elle est comprise depuis des millénaires ?

Résumé

Le transhumanisme continue d’être promu par les gouvernements, les entreprises mondiales et les technocrates d’élite, avec peu de compréhension de la véritable nature de l’humanité. Une compréhension complète doit inclure la dimension spirituelle, c’est-à-dire l’humanité créée à l’image de Dieu, mais déchue de la grâce. La justification du transhumanisme découle de la faiblesse fondamentale de l’humanisme athée, avec sa croyance en l’évolution. Le raisonnement de ses partisans est le suivant : si l’humanité a évolué par des processus aléatoires, alors pourquoi ne pas améliorer les hommes ? Comme nous l’avons vu, l’ironie profonde est que les projets transhumanistes impliquent un dessein intelligent, mais la plupart des concepteurs transhumanistes ont nié l’existence de leur propre Concepteur ! Malheureusement, l’histoire est jonchée de preuves d’échec, où la science n’a pas apporté le bien, mais une plus grande souffrance.


1 The White House, Fact Sheet: The United States announces new investments and resources to advance President Biden’s National Biotechnology and Biomanufacturing Initiative, whitehouse.gov, 14 Sept 2022.

2 Ostberg, R., Transhumanism, Encyclopedia Britannica, britannica.com/topic/transhumanism, 3 Nov 2022;accessed 19 Dec 2022.

3 CRISPR = Clustered Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats. See: Le Page, M., What is CRISPR? A technology that can be used to edit genes, newscientist.com, (no date).

4 Mek, A., Transhumanism Horror: Elites want to genetically alter children in the womb, High-Bred Globalist Kids (Video), Rairfoundation.com, 15 Dec 2022.

5 Liu, X., Tracking how our bodies work could change our lives, weforum.org, 4 June 2020.

6 Bostrom, N., Transhumanist values, in: Frederick Adams (ed.), Ethical Issues for the 21st Century, Philosophical Documentation Center Press, 2003.

7 Fuller, S., Humanity 2.0: What it Means to be Human, Past, Present and Future, Palgrave Macmillan, 2011.

8 Huxley, J., Transhumanism, In New Bottles for New Wine, Chatto & Windus, London, pp. 13–17, 1957. (Sinanthropus, reclassified to Homo erectus).

9 Harari Y.N., Homo Deus: A brief history of tomorrow, Harper Collins, Ch. 1, 2016.

10 Kavenna, J., Who do we think we are? newscientist.com, 5 July 2017.

11 Smith, C., Transhumanism—mankind’s next step forward? Will mankind evolve into a perfect being?, creation.com, 3 Feb 2011.

12 Hitchens, P., The Rage Against God, Continuum Int. Publ., London, p. 113, 2011.

13 “We need to be always reminding ourselves that we have always been enhancing ourselves, that science has always been enhancing the human condition, that we have been trusting machines over our own bodies for at least 300-400 years now. We’ve already broken through that barrier—we do live in a very artificial world. Even though the stuff on the horizon may amplify our powers tremendously, it is nevertheless part of the same process. It is a step change but it’s the same story, the story of scientific progress.” As reported by Tucker, I., Steve Fuller: it’s time for Humanity 2.0, theguardian.com, 25 Sept 2011.

14 Copson, A. & Grayling, A.C., (eds.), The Wiley Blackwell Handbook of Humanism, John Wiley & Sons Ltd., Chichester, p. 19, 2015.

15 For example, consider humanism’s advocation of such practices as abortion and euthanasia.




Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Du confort des croyances au choc de la vérité

Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire

« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».

Edward Snowden

Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.

Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.

Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.

La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.

Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).

Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.

Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.

Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.

Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).

Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.

Étapes de la prise de conscience

« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».

Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.

C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :

  • — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
  • — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
  • — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
  • — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
  • — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.

La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).

En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :

  • de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
  • de la non-existence de traitements efficaces
  • de l’origine du virus
  • de l’efficacité des masques et des confinements
  • de l’utilité des tests PCR
  • des statistiques officielles

Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.

Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».

D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.

Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !

Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).

Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.

En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.

Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !

Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?

À grand renfort de mensonges et de chantages !

Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :

  • Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
  • Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
  • Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.

Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !

Effets des vaccins

La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).

Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.

Morts subites d’adultes

Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !

https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/

https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/

Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !



Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/

https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/

Effets indésirables

Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…

Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.

Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !

Découvertes sur les injections antiCovid

Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs

effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.

En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.

Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

https://www.francesoir.fr/societe-sante-opinions-tribunes/en-faisant-produire-la-proteine-spike-par-les-cellules-vacciner

Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.

Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/Covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables

Analyses d’échantillons de vaccins

Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.

Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.

Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.

Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».

Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.

Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.

Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.

Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.



http://politikus.unblog.fr/2022/02/02/argentine-des-chercheurs-exposent-la-nanotechnologie-trouvee-dans-les-vaccins/

Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.

Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.

Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.



https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx

Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.



On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !

Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !

Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.

Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.

Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !

Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !

Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !

Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !

« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».

Gustave Le Bon

Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !

Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).

De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.

Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »

En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.



https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/

Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)

L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).

Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.

Pour y parvenir, au milieu du 20siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.

Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.

Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !

La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.

Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.

En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !

Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.

Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».

Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !

https://www.foxnews.com/video/6319623313112

Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.

Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.

Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !

Autres sources

Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :

https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/

https://nouveau-monde.ca/vaccins/

Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/


Note ()

Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.

À quel point les virus sont-ils morts ?

L’invention du SARS-CoV-2

Démontage de la théorie virale

Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.

Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.






Gober sans questionner

Quid de la preuve de l’existence des virus ?
Postulats de Koch et Rivers

Par Alain Tortosa

(Chapitre 2.)

1

Je voulais revenir sur la théorie virale déjà longuement développée dans un premier texte2.

De la preuve des virus et de leurs actions, les postulats de Koch

Heinrich Hermann Robert Koch, chercheur allemand, a publié en 1890 des postulats afin d’apporter une rigueur scientifique à l’étude et à la preuve de l’existence des virus.

  1. Le micro-organisme doit se trouver en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains. (Le coupable — « bactérie », « microbe », « chou de Bruxelles » — doit être présent chez toutes les personnes qui ont la même maladie. S’il existait des personnes avec une grippe qui n’aurait pas le virus de la grippe alors le virus ne serait pas la cause de la maladie. Il est donc logique que le présumé coupable soit chez tous les malades.)
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.

(Le coupable doit être isolé. Si dans un prélèvement de salive, il y a des choux de Bruxelles et des poireaux, il est indispensable d’isoler le chou pour être certain qu’il est la cause et non le poireau.
De plus, comme vous pourrez le lire dans mon texte précédent sur le sujet. La culture qui permet de mettre en évidence un « virus » et de cultiver les choux de Bruxelles contient d’autres matériels génétiques, antibiotiques, produits chimiques, etc.
Il est donc indispensable de s’assurer que c’est le chou de Bruxelles le coupable en l’isolant.)

  1. Le micro-organisme cultivé doit provoquer la même maladie lorsqu’il est introduit dans un organisme sain. (Pour être certain que c’est le chou de Bruxelles, il ne faut introduire que le chou de Bruxelles afin de s’assurer que c’est lui qui provoque la maladie. Si on ne peut l’isoler ou s’il y a un doute, il faut aussi introduire chez des personnes non malades uniquement la soupe, la culture, mais sans la salive qui aurait été utilisée pour isoler le virus afin de s’assurer que c’est bien le virus et non la culture qui provoque la maladie.)
  2. Le micro-organisme doit être ré-isolé à partir de l’hôte expérimental désormais malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme identique à l’agent causal spécifique d’origine. (Il est indispensable de s’assurer que l’on retrouve le même virus initial dans le corps du nouveau malade afin de s’assurer que c’est bien le même virus qui a provoqué la maladie.)

Tout ceci est trivial :

  • On pense que le virus Sars-cov2 provoque une maladie appelée Covid 19 chez un patient.
  • On prélève un échantillon de sang ou de salive puis on cultive et isole le virus de tout autre pathogène.
  • On transmet par une méthode compatible avec la maladie ce sars-cov2 à une personne en bonne santé.
  • La personne tombe malade avec des symptômes identiques au patient témoin.
  • On prélève le virus chez le nouveau malade.
  • On s’assure trouver le même Sars-cov2.

C’est ainsi qu’on obtient la preuve de l’existence du virus et de la maladie qu’il engendre.

Vous pouvez donc penser que tous les virus que nous combattons, y compris ceux pour lesquels on a fabriqué des vaccins, répondent à ces postulats.
Vous pourriez aussi penser que les médecins sont informés sur ce sujet.
Croyez-moi ou pas, mais  :

« Aucun virus recensé par l’homme n’a jamais pu répondre aux postulats de Koch ! »

Aucun !!!!

Ce qui fait dire une chose formidable à Wikipédia3 :

« Les premiers postulats de Koch sont devenus la référence classique, mais il s’agit en fait plus d’un idéal à approcher que de règles contraignantes. »

Un « idéal à approcher »…
Pas grave si nous n’avons aucune preuve de l’isolation d’un virus ni aucune preuve qu’il est la cause d’une maladie.

Encore plus « drôle », l’université de Laval4 nous rapporte :

« Les comités d’éthique qui régissent les études fondamentales et cliniques n’acceptent pas qu’il y ait injection de matériel infectieux chez des individus sains pour observer ensuite l’apparition ou non d’une maladie. »

C’est merveilleux, il n’est pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé.
En revanche il n’y a aucun problème pour vacciner des milliards de personnes en bonne santé pour leur injecter un « vaccin » contre un « virus » qui n’a jamais été isolé selon les principes de bon sens de Koch.

Il faut dire que dans la théorie virale, il existe aussi :

  • Des virus que l’on n’a jamais pu isoler (mais qui existeraient quand même alors que l’on ne les a jamais vus.) Des virus qui existent et qui pour autant sont indétectables. Nous aurions des « preuves » indirectes de leur existence (un peu comme les trous noirs [en astronomie]).
  • Des virus qui ne rendent pas malades (les porteurs sains).

Dans un monde « normal », vous vous diriez qu’il y a peut-être un problème avec la théorie virale qui ne peut répondre aux postulats de Koch  !
Que nenni, ce n’est pas ainsi que la « science » médicale réagit.

Au lieu de critiquer la théorie virale et envisager qu’elle reposerait peut-être uniquement sur des croyances non scientifiques, il a été estimé que les postulats de Koch (qui sont totalement logiques) n’étaient pas adaptés aux virus.

« En 1937, il était très clair que les virologues étaient incapables de satisfaire à aucun des postulats de Koch afin de prouver que des particules invisibles supposées être des “virus” existaient et pouvaient causer des maladies. Même Robert Koch lui-même a eu des difficultés avec ses propres postulats, ce qui l’a amené à contourner certains d’entre eux pour tenter de “prouver” la pathogénicité de certaines bactéries. Au lieu d’accepter que les postulats, comme indiqué à l’origine, fonctionnaient et réfutaient la théorie des germes, les virologues se sont tournés vers diverses méthodes immunologiques indirectes pour prouver leurs affirmations5. »

Reuters6 a même factchecké la théorie en affirmant :

« Les postulats de Koch, tels qu’ils ont été compris à l’origine, n’ont pas besoin d’être démontrés pour établir qu’un microbe provoque une maladie. »

Affirmer, c’est prouver !
Ils n’ont pas le choix, car cela remettrait en cause toutes les théories virales.

La phrase pourrait se traduire par :

« Il n’est pas nécessaire de prouver qu’un microbe provoque une maladie pour prouver son existence et qu’il en est la cause. La théorie se suffit à elle-même. »

Les postulats de Rivers

C’est alors que Thomas Rivers tente d’arriver au secours de la théorie virale en publiant des critères plus compatibles.

  1. Le virus peut être isolé sur des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans des cellules hôtes
  3. Preuve de filtrabilité : le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries (Afin de s’assurer que ce n’est pas un autre composant qui causerait la maladie).
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé sera utilisé pour infecter des animaux de laboratoire. (La fameuse « éthique » à géométrie variable).
  5. Le virus peut être isolé à nouveau de l’animal de laboratoire infecté.

Ici encore les postulats de Rivers n’ont jamais pu être vérifiés.

L’université de Laval de préciser :

« L’application stricte des critères ou postulats de Rivers décrits plus tôt n’aurait jamais permis d’établir le lien causal qui existe entre l’EBV (virus d’Epstein-Barr) et la mononucléose parce que :

  • Le virus ne peut être cultivé/isolé en laboratoire (1er postulat)
  • Difficile de reproduire expérimentalement la maladie (3e postulat) si on ne peut cultiver ou isoler le germe. ».

Il est « naturellement » admis que des virus existent
sans qu’il soit possible de les isoler, les cultiver,
ni prouver qu’ils sont la cause d’une maladie.

Il a donc fallu inventer d’autres preuves de leur existence par l’immunologie :

  • « Absence d’anticorps au début de la maladie.
  • Apparition d’anticorps durant la maladie ou après.
  • Production d’anticorps (à la suite d’un vaccin) prévient la maladie. »

L’anticorps serait la preuve du passage d’un virus… alors même qu’il pourrait être là pour n’importe quoi d’autre.
Notons que pour les anticorps c’est aussi une théorie7.
La protection ou l’immunité d’une personne face à une maladie ne serait pas liée à l’absence ou au niveau d’anticorps, mais à un phénomène plus complexe.

Je vous rappelle aussi que la théorie de la contagion n’a pas pu être prouvée non plus (cf. mon texte).

Enfin le PCR est venu au secours des scientifiques.
Vous cherchez un bout de séquence ADN (ARN retranscrit) que vous pensez être celle du nouveau virus que vous cherchez et si le voyant s’allume, vous déclarez que c’est bien le nouveau virus cherché8.

Il est intéressant de voir qu’il n’existe aucun débat sur le fait que les postulats de Koch et de Rivers ne peuvent s’appliquer.
Et c’est donc Koch et Rivers qui avaient tort de vouloir prouver l’improuvable !

Un article publié en 2020 dans Eur J Clin Microbiol Infect Dis indique9 :

« … de nos jours, même les postulats moléculaires de Koch ne sont pas justifiables.

De plus, selon les nouvelles découvertes scientifiques, divers critères tels que les modifications du système immunitaire, la pathologie et les résultats cliniques, ainsi que les résultats des tests de laboratoire quotidiens, devraient être utilisés pour appliquer les postulats de Koch dans les études étiologiques. Dans le cas contraire, les éventuelles relations étiologiques entre les hôtes et les microbes ne peuvent être vérifiées en raison de nombreuses complications ; assurément, la relation entre le médecin et le labo s’en trouve finalement fragilisée. Par conséquent, la santé publique, la prévention et une grande partie des traitements antimicrobiens resteront également dans un état d’ambiguïté. »

J’imagine que le sujet est tellement délicat, pour ne pas dire blasphématoire, que les chercheurs qui ont publié ce papier doivent écrire à demi-mot pour essayer de faire passer que l’on ne peut balayer le problème.

Donc :

Pour la « science » :

  • Les virus existent sans le moindre doute !
  • Ils causent des maladies quand bien même il peut être :

    • Impossible de les isoler.
    • Impossible de contaminer une personne.
    • Impossible de vérifier qu’elle a contracté la même maladie.
    • Et impossible de retrouver ce même virus sur la personne rendue malade.

Les « preuves » ne sont qu’indirectes, et donc théoriques, raisons pour lesquelles il est indispensable de désavouer les postulats de Koch et Rivers qui, eux, prouveraient leur existence et leur pathogénie.

Merci

Alain Tortosa10
25 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221025-koch-rivers-theorie-virale.pdf





« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




La médecine de Tesla

[Source : maisonsaine.ca]

Par Robert W Connolly

https://teslasmedicine.com/

Par Robert W. Connolly, réalisateur du nouveau film Tesla’s Medicine
Texte paru dans Vitality Magazine en octobre 2022.
Adaptation : André Fauteux

On a demandé un jour à Albert Einstein : « Qu’est-ce que ça fait d’être l’homme le plus intelligent du monde ? » Il a répondu : « Je ne sais pas, il faut demander à Nikola Tesla. »

On a récemment demandé à Elon Musk, PDG de Tesla Motors : « Qui admirez-vous le plus, Thomas Edison ou Nikola Tesla ? » Il a répondu : « Thomas Edison parce qu’il a mis ses inventions sur le marché et les a rendues accessibles au monde entier. »

Pour comprendre ces deux déclarations déroutantes, nous devons rembobiner à une époque où une « guerre des courants » entre Edison et Tesla se déroulait littéralement jusqu’à la mort dans les chutes du Niagara. Le vainqueur alimenterait la première centrale hydroélectrique, puis le monde entier.

Pour diaboliser Tesla, considéré comme un inventeur fou de dangereux champs magnétiques à courant alternatif, Edison a montré et filmé publiquement l’électrocution de chiens, d’éléphants et de criminels dans le couloir de la mort à l’aide de l’électricité alternative de Tesla, puis l’a montrée devant des salles combles dans les cinémas du monde entier!

Pour contrer cette cruelle publicité négative, Tesla, dans un tour de force stupéfiant, s’est allumé tout le corps comme une ampoule humaine et a affirmé que ses champs magnétiques alternatifs étaient sans danger et même capables de guérir des maladies graves comme le cancer. Il crée la Tesla Electrotherapeutic Company pour fabriquer des machines électromagnétiques de guérison. [Pour plus de détails, lire l’article Electricity : the greatest of all doctors (l’électricité, le plus grand des médecins), sur le site de l’IEEE, l’Institut des ingénieurs en électricité et en électronique.]

Médecine socialisée contre médecine capitaliste

Pour soutenir les miracles de la nouvelle médecine de Tesla, des hommes politiques tels que Gaylord Wilshire, plus connu pour le célèbre boulevard Wilshire à Hollywood, ont fabriqué plus de 50 000 bobines Tesla d’électrothérapie Ionaco dans les années 1920 et les ont présentées de manière agressive comme un remède contre le cancer, le diabète, la tuberculose, l’arthrite et l’insomnie en utilisant une pleine page de publicité dans le Los Angeles Times.

Comme prévu, la diabolisation publique efficace de Tesla par Edison crée tellement de peur et de confusion que le président des États-Unis insiste pour que les lumières de la Maison Blanche soient allumées et éteintes par des domestiques! Afin de calmer un monde en état de choc et de permettre une application commerciale complète de l’électricité alternative, les champs magnétiques de Tesla sont considérés comme inoffensifs et incapables de produire des effets curatifs.

Si Tesla a gagné la bataille contre Edison pour alimenter la planète en électricité, sa thérapie magnétique n’a jamais connu de succès commercial en Amérique en raison d’un nouvel adversaire : l’industrie pharmaceutique réglementée par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence fédérale règlementant l’industrie pharmaceutique naissante. Le corps humain n’était plus qu’un grand sac de produits chimiques, que l’on ne pouvait modifier qu’en y ajoutant d’autres produits chimiques. Ce n’était pas une batterie rechargeable comme Tesla le prétendait.

Le retour de la médecine Tesla

Alors que le nom et les inventions médicales de Tesla ont été retirés des manuels scolaires en Occident, c’est tout le contraire qui se produit en Union soviétique et dans les pays germanophones qui offrent un système de santé socialiste rentable. Dans ces pays, la médecine de Tesla fut raffinée, améliorée et achetée par l’élite pour un usage personnel, y compris par les stars de la télévision hollywoodienne.

Le point de retour a eu lieu en 2011 lorsque le Dr Mehmet Oz a décidé qu’il était temps de prendre des risques. Au début de sa populaire émission de santé à la télé syndiquée, il a déclaré avec audace, avec l’aide de son public, « qu’aujourd’hui, nous allons changer la pratique de la médecine ». Il a réintroduit la technologie de médecine magnétique de Tesla sous le nom de PEMF (Pulsed Electro Magnetic Fields ou CEMP en français pour champs électromagnétiques pulsés) et a affirmé qu’il suffisait de s’allonger sur les bobines Tesla énergisées pour faire disparaître des douleurs incurables. À la fin de l’émission, le Dr Oz a demandé à son public de télécharger des documents sur les CEMP depuis son site Web et de les apporter à leur médecin, car cette technologie miraculeuse n’est pas enseignée dans les écoles de médecine.

L’industrie de la thérapie des champs magnétiques pulsés se prépare à faire des affaires

Ce message a eu l’effet d’une bombe atomique. Les professionnels de la santé aux États-Unis et au Canada ont reçu les retombées de centaines de milliers de lettres imprimées, de télécopies, de courriels et d’appels téléphoniques de leurs patients bien intentionnés.

Cette fois-ci, Tesla a gagné. La FDA a capitulé en créant une nouvelle catégorie appelée « appareils de bien-être » [qui peuvent être réglementés ou non, tels les stimulateurs de croissance osseuse non invasifs, pour les fractures dites non soudées car elles ne guérissent pas]. Les appareils CEMP seraient autorisés à entrer dans le pays sans taxes ni droits de douane, à condition d’être enregistrés auprès de la FDA et de ne pas faire d’allégations de santé. Cette technologie ajoutait de l’énergie « chi » pour créer du bien-être dans le corps…. En réalité, le gouvernement a contourné son plan d’assurance santé Medicaid parce qu’il veut que le public dépense l’argent de son compte d’épargne santé et utilise les produits de CEMP comme alternative aux médicaments antidouleur addictifs.

Le gouvernement canadien a adopté une approche différente et a considéré les générateurs de CEMP comme des dispositifs médicaux à part entière [régis par une longue liste de normes], un pourcentage de chaque vente étant destiné à financer Santé Canada. Au lieu des hôpitaux financés par l’État, des cliniques privées loueraient et vendraient ces appareils au public. On pourrait en faire la publicité pour réduire l’inflammation, augmenter la microcirculation et atténuer les troubles musculo-squelettiques, ce qui est assez vaste. [Lire la page Wikipédia Thérapie par champ électromagnétique pulsé et Thérapie par signal pulsé et traitement de l’ostéoarthrite, rapport de l’Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé présenté en 2001 au ministre délégué à la Recherche, à la Science et à la Technologie du Québec.]

Les appareils canadien Centurion (notamment utilisés sur les chevaux de course), allemand Bemer et italien Seqex (subventionné par le gouvernement de l’Italie) sont tous trois homologués par Santé Canada en tant qu’appareils médicaux de magnétothérapie (CEMP) pouvant faire l’objet d’allégations et être utilisés à des fins commerciales. Aujourd’hui, une personne peut importer au Canada tout appareil médical non homologué par Santé Canada à condition qu’il ne soit pas utilisé à des fins commerciales et qu’il soit destiné à son usage personnel. 

Néanmoins, la diffusion du message magnétique auprès des médecins reste un gros problème. Comment les professeurs de médecine peuvent-ils honnêtement enseigner aux médecins que les champs magnétiques pulsés à micro-ondes [hautes fréquences radio] utilisés par l’industrie des télécommunications – et classés 2B (« peut-être cancérogènes ») par l’Organisation mondiale de la santé – n’ont aucun effet sur la santé, alors que les CEM pulsés à basse fréquence peuvent être utilisés pour guérir des maladies graves ? Où se trouve la ligne de démarcation entre la santé et le mal ?

La réponse : si les ondes artificielles sont générées à des fréquences dans le spectre naturel (du sol, du son et du soleil), elles peuvent être utilisés pour guérir parce que leurs vitesses d’oscillation sont les mêmes basses fréquences auxquelles vibre notre ADN. Toutefois, comme pour toute médecine, cela dépend aussi de la dose et de la durée d’exposition.

Ma prise de conscience personnelle

J’ai pris conscience de l’existence des CEM il y a dix ans. Au départ, un sentiment d’anneau fantôme (comme une vibration) dans la poche de mon pantalon où je mettais autrefois mon téléphone cellulaire s’est transformée en maux de tête, en brouillard cérébral, en confusion, en nausées, en anxiété, en dépression et, finalement, en une méchante dépression nerveuse. Les symptômes ont été soulagés en réduisant mon exposition au cellulaire et autres technologies sans fil (mon four micro-ondes coupait ma connection Internet Wi-Fi utilisant la même fréquence!), en faisant de longues promenades en forêt pour me mettre à la terre et en utilisant la thérapie CEMP de Tesla. Après trois jours de cette thérapie, ma dépression a été remplacée par un énorme sentiment de vitalité et de bien-être. Je l’utilise encore aujourd’hui. Des appareils de stimulation magnétique transcranienne aux CEMP qui sont homologués sont reconnus pour traiter la dépression. 

J’avais découvert que mon corps est comme une batterie rechargeable, constamment sous l’influence du soleil et du champ géomagnétique de la Terre. Tesla faisait sa promenade quotidienne de 8 km dans Central Park, à New York, pour recharger naturellement son corps. Lorsque vous marchez, vous exercez une pression sur vos os qui sont de nature cristalline. Chaque pas crée une impulsion piézoélectrique [selon Wikipédia, la piézoélectricité est « la propriété que possèdent certains matériaux de se des matériaux de se polariser électriquement sous l’action d’une contrainte mécanique »] qui est amplifiée par les lignes des champs magnétiques de la Terre que vous traversez.

Pour la technologie CEMP, pendant que vous vous allongez à l’intérieur ou sur des bobines Tesla alimentées en énergie [les mêmes extrêmement basses fréquences que celles produites et utilisées par le corps], le générateur pulse, pousse et tire les champs magnétiques à travers vous. C’est comme prendre une douche, mais dans ce cas, au lieu de la saleté, vous éliminez l’électrosmog [électricité artificielle de 60 hertz ou de radiofréquences dans les kilohertz, les mégahertz ou les gigahertz). Les basses fréquences qui ressemblent au pouls de la Terre, autour de 10 Hz, réinitialisent les cellules épuisées et se chargent. Lorsque je génère le pouls de la nature en utilisant un dispositif CEMP, mon corps retrouve son équilibre.

J’ai accepté ma guérison miraculeuse comme une expérience religieuse et j’ai décidé de devenir un expert de la thérapie par champs magnétiques de Tesla, avec pour mission de parcourir le monde pour produire un long métrage documentaire intitulé Tesla’s Medicine.

Huit ans de recherche sur la médecine de Tesla

Au cours des huit dernières années de cette production, j’ai documenté des guérisons stupéfiantes grâce aux champs magnétiques pulsés. La vision des gens s’améliore, des couples infertiles conçoivent, des enfants autistes deviennent stables, des enfants et des adultes se débarrassent de l’arthrite, de la sclérose en plaques, de la fibromyalgie, de la dépression, du syndrome de stress post-traumatique et bien d’autres choses encore. 

En République tchèque, l’Institut de réadaptation de Kladruby (www.rehabilitace.cz) traite les patients paraplégiques pour des lésions de la moelle épinière en utilisant les CEMP et les lasers pour réparer les os et les nerfs en activant les cellules souches neuronales.

La clinique suisse Paracelsus, mondialement connue (www.paracelsus.com), utilise les CEMP pour éliminer la douleur après une opération dentaire. Cette technologie est également utilisée pendant la chélation, l’ozonothérapie IV et la vitaminothérapie pour désintoxiquer le corps des métaux lourds, éliminer les virus et soutenir le système immunitaire. Des milliers d’athlètes, comme ceux de l’équipe olympique suisse, utilisent les CEMP pour améliorer leurs performances. Dans certains villages suisses, une maison sur trois est équipée d’un tapis de thérapie CEMP dans l’abri antibombes commun et l’utilise comme la fontaine de jouvence du « secret suisse ».

En Italie, la Société de la sclérose en plaques de la Ville de Trente utilise le CEMP Seqex pour analyser les patients afin de déterminer les champs magnétiques appropriés et fournit une unité portable utilisée à domicile pour améliorer la microcirculation et réduire l’inflammation, généralement en un à sept mois. Seqex est également utilisé comme médecine complémentaire dans les hôpitaux spécialisés dans le traitement du cancer, car les champs aident les cellules précancéreuses faibles à ne pas être endommagées pendant la radiothérapie et la chimiothérapie devient plus efficace avec moins d’effets secondaires.

Fréquences de guérison pour les chevaux et les humains 

Après de nombreux voyages en Europe de l’Est et de l’Ouest pour acquérir les appareils, nous les avons testés au Rose Lab (www.TheRoseLab.com), un centre de recherche appartenant à la toxicologue Dre Magda Havas, spécialiste des effets biologiques des champs magnétiques. Nous avons constaté que le Wi-Fi retardait la croissance des semis alors que le CEMP l’augmentait.

Centurion Systems/Systèmes Centurion est une entreprise canadienne qui a importé les premières bobines Tesla allemandes il y a plus de trente ans. Ses appareils ont été adoptés par l’industrie des courses de chevaux en raison de la vitesse à laquelle ils pouvaient réparer les pattes cassées – parfois en quelques semaines. Ils sont maintenant particulièrement populaires auprès des athlètes qui souffrent de blessures entraînant des douleurs chroniques et de l’arthrite.

La Société d’assurance automobile du Québec (SAAQ) a déjà remboursé des bobines Centurion Tesla fabriquées au Canada à des victimes d’accidents routiers afin qu’elles puissent bénéficier d’un rétablissement accéléré sans douleur. « La SAAQ nous a acheté des systèmes par le passé pour certains de ses assurés. En fait, elle rembourse le client qui détient une prescription médicale pour un appareil PEMF » (CEMP), explique  Michel Gareau, vice-président Développement des affaires dans l’est du pays chez Systèmes Centurion.

La Dre Havas a personnellement supervisé une étude pilote sur les bobines Tesla Centurion qui a été publiée dans la revue Novel Techniques in Arthritis & Bone Research. Intitulée : « Pulsed Electromagnetic Field Therapy (PEMFT) Alleviates Symptoms of Osteoarthritis. Havas a constaté qu’elles réduisaient considérablement la douleur et augmentait le bien-être général des participants. 

L’avenir de la thérapie par l’énergie

La Société canadienne du cancer reconnaît désormais diverses « thérapies énergétiques » complémentaires, comme le reiki («basé sur la croyance qu’il y a de l’énergie dans le corps et qu’on peut utiliser les mains pour aider à améliorer la circulation de cette énergie »).

En 1920, le Dr Raymond Rife a inventé un microscope capable de voir des virus cancéreux vivants et a utilisé les ondes radio haute fréquence de Tesla pour les dévitaliser. Cette découverte se retrouve aujourd’hui dans le système Oncotherm, un appareil homologué par Santé Canada qui utilise les radiofréquences et la chaleur thermique pour le traitement du cancer du sein. Un nombre croissant de cliniques naturopathiques de l’Ontario l’utilisent avec la chimiothérapie et l’ozone.

Au lieu d’un séjour en Suisse, The Nature Medicine Clinic (www.NatureMedicine.ca) propose des vacances de bien-être dans la région de Niagara pour une fraction du prix. Les patients peuvent explorer les attractions voisines après leur cure de désintoxication à l’ozone CEMP et leur traitement anticancéreux Oncotherm.

Le thérapeute des fréquences à domicile

Alors que le monde se précipite pour avoir la dernière technologie sans fil, nous devons réaliser que même après la 5G, l’industrie des télécommunications continuera à se développer. Nous pouvons éliminer l’électrosmog de notre maison, mais dès que nous franchissons la porte, l’eau de notre corps l’absorbe et le stocke. Si l’on ajoute à l’équation l’air et l’eau pollués, les pesticides et les produits chimiques transformés dans les aliments, on obtient un système immunitaire défaillant, en particulier chez les personnes âgées.

Étant donné que notre système de santé accepte désormais officiellement la « thérapie énergétique » CEMP mais refuse de la financer, une nouvelle tendance de la médecine privatisée se dessine : des « thérapeutes des fréquences » proposent des traitements de désintoxication par le son, les vibrations, la lumière et les champs magnétiques dans une clinique ou au domicile du patient.

Le Dr Oz et notre gouvernement nous envoient le même message. Les machines de Tesla sont désormais légales et efficaces, mais vous ne les trouverez pas dans les hôpitaux. Le temps est venu où vous devez dépenser votre propre argent pour les soins de santé.

Tout comme une salle à manger sert à manger, un salon à lire, une chambre à coucher à dormir et une salle de bain à se laver le corps, une salle de guérison équipée de la médecine de Tesla à construire dans votre maison vous permettra de prospérer dans ce monde sans fil.

La déclaration d’Elon Musk sur les échecs de Tesla à commercialiser lui-même ses inventions sur le plan commercial semble avoir du mérite. Cependant, Tesla était un visionnaire et c’est peut-être le moment idéal pour faire connaître ses champs de guérison au monde entier.

« Que l’avenir dise la vérité et évalue chacun selon son travail et ses réalisations. Le présent est le leur ; le futur, pour lequel j’ai vraiment travaillé, est le mien. » 

Nikola Tesla




Le défi des radiations…

Par John Hunter

La Fed a envoyé un long message sur la reprise du parc éolien de Nozay/Voltalia. Celui qui est encore le plus célèbre en France pour les dégâts sanitaires sur le cheptel et les hommes. Notamment la famille Potiron. Un procès initié par le mouvement de la ruralité proche de l’ex-député Lafarge et défendu par Me DiVizio n’a pas convaincu les juges qui n’y connaissent rien en matière de radiations sur le tissu biologique. Pourtant le labo ToxSeek avait donné son diagnostic. Intoxication aux terres rares pour les vaches et les gens.

Les gens de Nozay sont obligés de prendre du Chlorella pour tenir. Le coup de balai pour les toxines. La zéolite pour encore plus de nettoyage. Et puis peut-être de la benzodiazépine pour pouvoir dormir.

Alors on programme des machines pour tuer l’humanité des gens, la vie des bêtes ?

Un article dans Science et Vie de mai 1917 décrit les radiations subies par des astronautes hors du bouclier terrestre. Jean François Botollier Depoix explique :

« C’est un Bain de radiation de 330 millisieverts entre la Terre et Mars. Le mSv est une unité qui mesure les dégâts biologiques d’une irradiation en fonction de la quantité reçue et de la nature des radiations. En France la dose naturelle est entre 2,4 à 2,9 mSv, pour une année.

Pour ces astronautes le Soleil dégage des bouffées de proton qui doublent la dose.

En France et au Sol, la dose maximale de radiations est à 20 mSv.

Toujours pour les astronautes irradiés qui absorbent des doses sur un temps court, si l’irradiation dépasse 1 milligray mGy il y a effets sur les cellules et altération de l’ADN. À partir de 4,5 grays (Gy), c’est la mort. »

« Nous savons qu’il ne faut pas dépasser 100 mSv pour les leucémies et 200 mSv pour les cancers solides. »
(Citation de Nicolas Foray du centre de recherche en cancérologie de Lyon.)

« Après ces seuils la courbe est exponentielle. Chaque millisievert augmente de 1 % l’effet de risque. »

« L’os est concerné, les cellules sont plus sensibles que celles de la peau. La matrice de l’os se modifie. Le cerveau peut vieillir plus vite.

L’ATM qui répare l’ADN migre du cytoplasme vers le noyau sous radiation. Nous avons déterminé trois types de radiosensibilité :
– Le premier type répare vite et bien. La majorité.
– Le second type répare moins bien.
– Le troisième type : L’ATM ne fonctionne pas.

L’hypersensibilité aux faibles doses de radiation a été illustrée par les usagers du Linky qui perdent le sommeil. Ce sont les gens du groupe 2 susnommés. Les cellules de l’os sont touchées. Une irradiation à 0,2 Gy déclenche des détériorations de 2 Gy !!! »

Retour sur terre avec les cancers pédiatriques de Sainte Pazanne, cette école Notre-Dame où éoliennes et champs électromagnétiques pourris d’après le géobiologiste Nollet ont déjà liquidé des enfants. On sait bien que la leucémie a atteint plusieurs foyers sous ligne haute tension ou sous éoliennes. Voilà pourquoi les docteurs peuvent prescrire de la mélatonine, mais le déséquilibre est déjà consommé, car la mélatonine est fabriquée naturellement par le corps. Donc les radiations la font disparaître !

On sait que des champs électromagnétiques (CEM en abrégé) sont issus des turbines et ses câbles souterrains et ses postes de transmission. Ils ne savent pas comment les isoler correctement et les lobbies du renouvelable ont accéléré la pression sur le gouvernement pour que ces technologies terribles s’installent sans études épidémiologiques, surtout qu’elles auraient démontré leur nocivité irrépressible. L’agence internationale de l’énergie a dû être phagocytée par le lobby éolien. Ils sont partout.

Les fréquences éoliennes mesurées en hertz sont des radiations/impulsions qui atteignent le tissu biologique. (Recherche Weichenberger. Allemagne 2015.
Recherche Inagaki. Japon.
Recherche Kaprzak. Pologne.
Recherche Alves Pereira, Dr Rapley et coll. NZ.)

Pourquoi ne pas tester les résidents de la périphérie éolienne avant d’y construire des turbines et voir si les gens catégorie 3 n’y sont pas présents ? Même les gens deux sont touchés dans leur os !! L’humain ne compte pas avec les technocrates qui se repaissent du sang du peuple martyrisé.

S’il y avait une agence de santé responsable… une ARS revivifiée, ces misères et crimes environnementaux n’existeraient plus. Il est temps que les politiques prennent en main la recherche scientifique et exercent leur pouvoir régalien à bon escient au lieu de nier la réalité et de prétendre qu’il n’y a aucune preuve valide de dangerosité. On dirait la voix de son maître (les éoliens).

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

On écoute les chercheurs de Lyon pour les astronautes, mais pas pour les résidents autour des parcs éoliens ? C’est l’omerta. Tel scientifique va parler et sa carrière sera abrégée. On se croit chez Al Capone dans les années trente !

Ceux qui parlent sont à la retraite.

Proposition deux pour la gestion raisonnable des projets éoliens : que les promoteurs déclarent le niveau des radiations en millisieverts, Hertz et SPL et que le centre scientifique de Lyon corrobore les données avec ses appareils… et décide.

Les préfets ne sont pas formés aux risques et méfaits électromagnétiques comme le démontre l’article ironique de la FED qui ridiculise le préfet de la Vienne confondant MW et MWheure et donnant des performances fulgurantes alors que la turbine fonctionne à 25 %. (Article signé Patrick Kawala).

Certains scientifiques et ingénieurs sont plus habiles.

Il ne s’agit plus de garder un devoir de réserve, mais de protéger une population innocente et sans armes contre les champs magnétiques. Ou alors devrait-on pressuriser leur maison comme on fait porter aux pilotes une combinaison spéciale ou qu’on les loge dans leur cabine pressurisée ?

Le cas actuel du GPSE qui mesure seulement à partir de 50 Hz, n’a pas de subventions et est infiltré par France Énergie Éolienne est un scandale absolu. Il est rétribué simplement par les fauteurs de trouble, RTE, Enedis ou éoliennes. On voit le paysage ! Circulez, il n’y a rien à voir, ou bien : « Votre installation électrique Monsieur l’éleveur n’est pas en équipotentialité ». Ou bien : « Vous ne nourrissez pas assez vos bovins ». Ou bien : « Nous ne pouvons pas expliquer pourquoi vos animaux meurent, vos veaux naissent avec des cornes supplémentaires, ou uniquement femelles, ou refusent le pis maternel. C’est l’affaire des géobiologues ou des vétérinaires. ». Lesquels ne savent pas plus.

Mais qui forme les vétérinaires aux méfaits des CEM alors que les docteurs les ignorent royalement ?

Si ces propositions sont refusées, c’est bien que les dommages existent et qu’on regarde à côté. Où est l’intérêt supérieur de la France à fabriquer des malades et des morts parmi les animaux d’élevage ou les humains ?

Dans ce cas d’investigation poussée, le projet éolien n’aboutira pas. Mais nous sommes loin des mesures qui protégeraient la santé publique. L’ARS commence à bouger quand il y a des villages entiers irradiés. Après du sang sur le carreau. Les lignes Enedis suintaient du Courant et ont envoyé à l’hôpital tout un village au centre est de la France.

Le chef de l’État a fait beaucoup de mal en phagocytant l’ARS avec l’américain McKinsey. L’ARS ne dit plus rien ni ne fait de recherches. Par contre il a envoyé des lettres de menaces aux professionnels de santé dans le cirque Covid. Une renaissance s’impose, mais elle peine à arriver et ce ne sera pas les ENR qui vont sauver ce Titanic, notre pauvre pays qui fait eau de partout.

Aux dernières nouvelles la mère fouettarde Pannier R a des actions dans un complexe d’extraction de pétrole au Congo RDC et une Plainte contre Perenco pour pollution des sols, des aquifères et de l’air.

Chez les bougnouls, il n’y a pas besoin de prendre des précautions environnementales. Eh ?

Et cette femme vient donner des leçons de renouvelable aux gens de France ?




Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]




L’explosion des dogmes scientifiques

[Source : Jeanne Traduction via RI]

« L’illusion scientifique est la croyance que la science comprend déjà la nature de la réalité, en principe, ne laissant que des détails à compléter. Il s’agit d’une croyance très répandue dans notre société. C’est le genre de système de croyance des gens qui disent : “Je ne crois pas en Dieu, je crois en la science”. C’est un système de croyances, qui s’est répandu dans le monde entier. Mais il y a un conflit au cœur de la science entre la science en tant que méthode d’investigation basée sur la raison, les preuves, les hypothèses et l’investigation collective, et la science en tant que système de croyances ou vision du monde. Et malheureusement, la vision du monde de la science en est venue à inhiber et à restreindre le libre examen, qui est l’élément vital de la démarche scientifique. Depuis la fin du 19e siècle, la science a été menée sous l’aspect d’un système de croyances ou d’une vision du monde, qui est essentiellement celui du matérialisme, du matérialisme philosophique. Les sciences sont maintenant des filiales à part entière de la vision matérialiste du monde. »

 Rupert Sheldrake

[Voir aussi :
Âme génétique et résonance morphique]






À quel point les virus sont-ils morts ?

[Source : wissenschafftplus.de]

Quand bien même l’article date de 2020 (…), voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé (de titre « Die Wurzel » c’est-à-dire « La Racine »), interview qui est, une fois de plus, très intéressante et permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Jean Bitterlin

[Traduction : Jean Bitterlin]

Dr. Stefan Lanka, Biologiste moléculaire et océane

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées

Le procès gagné du virus de la rougeole

Die Wurzel : Cher Stefan, tu es biologiste moléculaire, biologiste marin et scientifique et tu as gagné le procès du virus de la rougeole en démontrant scientifiquement qu’il n’y a pas de virus (de la rougeole) du tout. Quand était-ce ?

Stefan Lanka : J’ai initié le procès sur le virus de la rougeole fin 2011 afin d’empêcher l’introduction de la vaccination obligatoire contre la rougeole. Le procès a débuté en 2012 et a finalement duré jusqu’au début de l’année 2017. Le plaignant qui a perdu a laissé passer le délai pour faire appel de la décision de la Cour fédérale de justice (BGH) du 1er décembre 2016 auprès de la Cour constitutionnelle fédérale. Par cette décision, la BGH a rejeté le pourvoi du requérant contre l’arrêt de la Cour d’Appel (OLG) de Stuttgart du 16.02.2016.

Au détriment de la population…

Au détriment de la population, l’OLG de Stuttgart n’a pas pris en compte les preuves scientifiques issues d’expertises et d’expériences réalisées qui lui ont été présentées, preuves qui réfutaient toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole. L’OLG n’a pas non plus rejeté la plainte pour des raisons formelles, comme le prétend encore aujourd’hui le plaignant. Dans la motivation de son jugement, l’OLG s’est retranché derrière le fait que l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus.

La virologie privée de sa raison d’être par voie judiciaire

Ce qui est particulièrement explosif ici, c’est que l’une des six publications présentées constitue la base exclusive aussi bien de la rougeole que de toute la virologie. Le jugement du tribunal régional supérieur de Stuttgart du 16 février 2016, confirmé par la Cour Fédérale de justice, prive l’ensemble de la virologie, y compris le battage Corona, de son fondement, car tous les virologues se réfèrent à cette seule publication, dont la jurisprudence allemande affirme qu’elle ne contient aucune preuve de virus. Il s’agit maintenant de mettre en pratique cette jurisprudence sur les virus.

Le tribunal régional supérieur de Stuttgart, afin de protéger l’expert désigné par le tribunal de poursuites pénales pour avoir fait par deux fois de fausses déclarations écrites dans ses expertises, a supprimé la déclaration consignée de l’expert concernant les six publications présentées.

Expert condamné par le juge en cas de faux témoignage

Sous la pression des questions claires d’une jeune juge, l’expert a reconnu son faux témoignage central : Contrairement à ses déclarations écrites, les six publications présentées par le plaignant ne contiennent pourtant aucun test de contrôle pour prouver si la méthode utilisée fonctionne, si le résultat est faussé ou si le résultat souhaité et obtenu est lui-même provoqué ! Les six publications présentées au procès sont donc du papier sans valeur, qui ne peut et ne doit pas être qualifié de scientifique. Car les règles du travail scientifique prescrivent impérativement la réalisation et la documentation exacte d’expériences de contrôle.

Le procès et le procès-verbal de la première instance ainsi que le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart ont doublement privé de fondement les affirmations de l’ensemble de la virologie. Je renvoie à ce sujet à mon article « Der Bundesgerichtshof lässt den Glauben an die Viren untergehen » (La Cour Fédérale de Justice fait disparaître la croyance dans les virus), paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2017 et également consultable en ligne sur le site wissenschafftplus.de.

[Voir Go Virus Go !
pour plus de détails]

Les virus sont un modèle purement intellectuel de « wirrologues »

(NdT : en Allemand « sich wirren » signifie s’embrouiller, s’emmêler les pinceaux. Lanka a fait un jeu de mots).

Erreur de raisonnement des virologues renommés

Die Wurzel : Partout dans les médias, surtout depuis Corona, on entend les virologues les plus renommés, comme le Dr Drosten de la Charité (NdT : La Charité est l’hôpital universitaire de Berlin, un des premiers centres hospitaliers universitaires au Monde) ou le professeur Streeck de Heinsberg, rendre un prétendu virus vivant responsable de toutes sortes de maladies. Pourquoi les virologues croient-ils aux virus alors qu’il n’en existe pas dans l’ensemble des tissus et des cellules vivantes ?

Stefan Lanka : Ces virologues et d’autres n’affirment pas que les virus sont vivants, mais que le brin de patrimoine génétique viral biochimiquement mort (c’est-à-dire le virus) est infectieux. Ils définissent, comme tous les virologues, qu’un virus ne dispose pas de son propre métabolisme et qu’il est biochimiquement mort. Tout au plus parlent-ils du fait que l’on trouve partout (et pas seulement sur les poignées de porte) des fragments de gènes de virus1 qui ne sont pas infectieux. À leurs yeux, seul l’ensemble du patrimoine génétique viral (le virus entier) est infectieux, mais une partie du virus (c’est-à-dire un fragment de gène) ne l’est pas. Ce faisant, ils passent sous silence leur plus grand secret professionnel, à savoir qu’ils n’ont jamais trouvé de brin de patrimoine génétique viral complet (c’est-à-dire de virus complet).

Les virologues confirment : Les virus sont biochimiquement morts !

Non seulement les virologues susmentionnés, mais tous les virologues définissent un virus comme n’ayant pas de métabolisme propre et étant biochimiquement mort.

Cependant, la question de savoir comment quelque chose de mort peut développer la force de pénétrer dans l’organisme à travers les peaux, les fascias (NdT : Les fascias sont des structures de tissu conjonctif qui enveloppent les muscles et les organes) et les cuirs des organes, les revêtements des vaisseaux et à l’encontre du flux de mucus des muqueuses, pour y traverser la masse visqueuse du tissu conjonctif (qui entoure toutes les cellules), n’est plus une question ouverte, mais un mythe réfuté qui s’est développé dans notre histoire.

La virologie s’était déjà réfutée en 1951

Ce que les virologues n’ont pas vu, c’est que la théorie2 sur laquelle repose toute la biologie et la médecine et à partir de laquelle se sont inévitablement développées les théories tout aussi erronées de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer, non seulement n’est pas correcte, mais elle est réfutée.

Ils ont également négligé le fait que la virologie médicale s’est autoréfutée en 1951. Et ils n’ont pas vu qu’une nouvelle idée de la virologie s’est développée à partir de 1952, l’idée du virus à brin génétique, qui repose toutefois sur une interprétation erronée chez les bactéries et ne peut pas être transposée à l’homme, à l’animal ou à la plante. Voir à ce sujet mon article « Fehldeutung Virus » dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 (couverture voir page 21).

Die Wurzel : Et jusqu’à quand croyais-tu toi aussi à l’hypothèse largement répandue des virus ?

Stefan Lanka : J’ai cru à cette idée jusqu’à ce que j’isole moi-même une structure marine et que je la caractérise biochimiquement, que j’ai alors mal interprétée comme étant un virus INOFFENSIF. J’ai ensuite appris qu’il ne fallait en aucun cas utiliser le terme « virus », car il signifiait quelque chose comme un poison provoquant une maladie (dans le cadre de la théorie cellulaire réfutée), que l’organisme produirait lui-même.

Aujourd’hui, les chercheurs curieux savent que la vie biologique naît de ces structures3, qui se forment par auto-organisation. Chez les bactéries, ces structures sont appelées phages4, mais elles n’apparaissent en laboratoire que lorsque les bactéries sont individualisées, ce qui appauvrit leur biochimie. À partir d’un certain moment (dans un processus ciblé de métamorphose), l’ensemble de la biomasse bactérienne se transforme en de nombreuses petites structures construites exactement de la même manière.

Ces petites structures ont pour fonction (comme les mini-spermatozoïdes) de mettre leur acide nucléique5 à la disposition des organismes qui en ont besoin. Ces processus ciblés et utiles ont été interprétés négativement à travers les lunettes du bien et du mal de la pathologie cellulaire et comme des poisons pathogènes (virus en latin).

Ces petites structures sont, dans le sens du terme « isolation », très faciles à isoler, à photographier et à étudier biochimiquement. À partir de 1952, de jeunes virologues ignorants (qui ne savaient pas et pourquoi l’ancienne virologie avait abandonné) ont CRU que les virus allégués chez l’homme et l’animal avaient l’apparence et la structure des « phages » (mini spermatozoïdes des bactéries).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

En 1954, une technique a été proposée (l’une des six publications dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole) pour prouver l’existence des virus présumés de l’homme, exactement de la même manière que les phages des bactéries ont été détectés. Ils pensaient que lorsque les tissus mouraient, ils se transformaient en virus, tout comme les bactéries se transformaient en phages. Avec la différence décisive que les phages ont été à chaque fois isolés et photographiés en grand nombre et sous forme pure, et que leur brin de patrimoine génétique, toujours de même longueur et toujours composé de la même manière, a été et est toujours représenté comme un tout. Or, cela n’est pas possible à ce jour pour les virus qui sont seulement hypothétiques.

Les « wirrologues » (NdT : voir plus haut) ne font que recomposer mentalement, à partir de courts fragments de tissus et de cellules décomposés, un modèle de virus qui n’existe pas en réalité (un examen plus détaillé est présenté plus loin).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

Les virologues refusent les expériences de contrôle

Parce que ce type de virologues méprise encore aujourd’hui les règles fondamentales du travail scientifique et refuse de procéder à des essais de contrôle, ils n’ont pas remarqué que les tissus et les cellules meurent dans l’éprouvette non pas à cause d’un virus présumé, mais parce qu’ils (NdT : les tissus et cellules) sont involontairement affamés et empoisonnés dans la procédure qui précède toute « infection » apparente.

C’est pourquoi les tests génétiques viraux ne détectent que les séquences propres à l’organisme. Comme le test n’indique « positif » que s’il y a suffisamment d’extraits de gènes dans l’échantillon à tester, cela explique pourquoi il y a aussi des résultats de test négatifs. Il est pourtant évident que le corps libère plus de matériel tissulaire, et donc de fragments de gènes, surtout lors de processus inflammatoires que lorsqu’il est en bonne santé ou que le corps ne libère rien du tout à certains moments de la guérison. Il suffit d’augmenter la quantité d’échantillons6 pour que chaque personne, chaque animal et probablement même chaque plante soit testé positif. Dans mon article « Mauvaise interprétation du virus. Partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020), j’appelle à ce que des scientifiques, bio-informaticiens et laborantins honnêtes réalisent et publient enfin ces essais de contrôle qui n’ont jamais été effectués ni publiés. Les preuves ont été présentées au tribunal régional supérieur de Stuttgart dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, mais elles ont été ignorées.

De nombreux scientifiques travaillent de manière non scientifique !

Die Wurzel : Que signifie pour toi un travail scientifique honnête en plus de la réalisation d’essais de contrôle, ce qui fait défaut chez de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat qui travaillent pour l’industrie ?

Stefan Lanka : Le plus important est de vérifier en permanence ses propres hypothèses et celles des autres. Or, la grande majorité des gens ne le font pas, car sinon ils se licencieraient eux-mêmes. Le mécanisme à l’œuvre ici a été identifié et publié dès 1956 par le génie d’exception Eugen Rosenstock-Huessy. J’y fais référence et le cite constamment, entre autres dans la série d’articles n° 1 à 3/2019 du magazine WissenschafftPlus, qui t’ont tant enthousiasmé, cher Michael, et dont tu avais parlé dans ton article de Die Wurzel d’avril 2019.

Die Wurzel : On lit de plus en plus souvent que des scientifiques financés par l’industrie produisent des travaux scientifiques et des statistiques pour répondre aux attentes de leurs clients. Il en résulte constamment des statistiques faussées sur les décès dus aux virus de la rougeole/du coronavirus/de la grippe, etc.. Pourquoi n’existe-t-il pas d’instances de contrôle indépendantes pour surveiller les résultats des études et les méthodes de travail ?

Stefan Lanka : Faute de place, je ne peux pas répondre ici à cette question.

Contrôle citoyen sur la Science et la Politique

Juste une chose : du point de vue de l’idée démocratique, la politique et la science ne peuvent fonctionner que si le donneur d’ordre, c’est-à-dire chaque citoyen, est au courant de ce qui se passe, ce qui signifie qu’il contrôle les processus et les mandataires. Nous sommes très éloignés de cette idée et, pour l’instant, je pense que cela ne peut être réalisé que par une association de groupes qui s’organisent eux-mêmes.

Les seuls qui se sont organisés avec succès jusqu’à présent sont, premièrement, les groupements qui violent manifestement leurs objectifs prédéfinis et ne les réalisent pas. Et deuxièmement, les optimiseurs de profit organisés en entreprises et en associations qui s’attaquent de manière conséquente à leurs objectifs (publics et non publics) et les atteignent. Dans un sens positif, l’entreprise Geox semble l’avoir compris : Elle fonde une nouvelle entreprise chaque fois que l’ancienne a atteint le nombre de 500 collaborateurs. C’est manifestement le nombre de personnes pour lequel une vue d’ensemble, la confiance mutuelle et, sur cette base, un travail en symbiose sont encore possibles.

Transposé aux structures étatiques, le prince du Liechtenstein l’a reconnu et formulé dans son livre « Der Staat im dritten Jahrtausend » (l’État au 3e millénaire). Il réclame l’autogestion de tous les domaines de l’État (là où c’est possible) dans de petites structures, car les structures supérieures perdent toujours la vue d’ensemble et leur administration est inefficace et en même temps toujours trop coûteuse.

Die Wurzel : Selon toi, certains événements de l’histoire scientifique ont conduit à élever certaines spéculations « scientifiques » au rang de faits scientifiques, notamment la preuve de l’existence des virus, bien que rien n’ait été prouvé.

Stefan Lanka : Pour moi, il était et il est toujours important de reconnaître les grandes lignes de développement et les mécanismes qui expliquent comment et pourquoi les choses ont évolué. Je pense y être parvenu en ce qui concerne notre médecine « occidentale ». Voir mon article « Fehldeutung Virus » (Erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 [Voir La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple, L’interprétation erronée du virus — 2e partie et La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2]. Et je renvoie dans ce contexte à un article sur Eugen Rosenstock-Huessy de Siegfried Mohr paru dans WissenschafftPlus 2/2020 sous le titre « Die Wissenschaft vom Zeitpunkt » (La science du moment), dans lequel l’importance de la reconnaissance des contextes historiques est clairement mise en évidence.

Die Wurzel : Tous les virologues et la science en général s’accordent à dire qu’un virus a pu être isolé, même si ce n’est pas le cas, comme nous l’avons vu plus haut. Peux-tu encore une fois approfondir ce point ?

Les virologues tuent des tissus en laboratoire sans s’en rendre compte

Stefan Lanka : Les virologues n’utilisent pas le mot « isolation » dans le sens de l’isolement et deviennent suspicieusement nerveux lorsqu’on leur en parle. Ils entendent par « isolement » la création d’un effet en laboratoire qu’ils considèrent en même temps comme :

  1. Une infection
  2. La preuve de la présence d’un virus
  3. La preuve de sa multiplication
  4. L’interprétation de la preuve de la puissance destructrice du virus supposé.

En réalité, ils tuent sans le savoir et sans s’en rendre compte des tissus et des cellules en laboratoire — en les affamant et en les empoisonnant, voir mon article « Fehldeutung Virus » (erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020.

Die Wurzel : Les virologues pensent que les tissus et les cellules qui meurent se transforment complètement en virus. C’est pourquoi ils qualifient également la mort des tissus et des cellules de multiplication des virus. Ai-je bien raison lorsque je comprends que toute mort de tissus et de cellules génère obligatoirement des prétendus virus, c’est-à-dire des déchets cellulaires, ce qui est dans la nature des processus de formation et de décomposition de l’organisme ?

Les virus ne peuvent pas se multiplier

Stefan Lanka : Pour expliquer cela, je dois d’abord parler des bactéries et des phages. La métamorphose, la transformation des bactéries en phages, ne peut pas être qualifiée de mort cellulaire, mais est un processus très ciblé et utile. Cette observation de la transformation des bactéries en phages a été faite en 1954 sur des tissus humains et animaux : on pensait que les tissus se transformaient en virus lorsqu’ils mouraient au cours d’une expérience d’infection. Tous les autres scientifiques, biologistes cellulaires et autres, ne partent pas du principe que les tissus ou les cellules qui meurent se transforment alors en virus. Au contraire, ils étudient la mort pour comprendre comment elle se produit dans le corps. Ils qualifient alors les mêmes processus que les virologues interprètent mal comme la formation de virus, de mort cellulaire coordonnée (= apoptose) ou d’autophagie (recyclage).

Chez l’homme et l’animal, la construction et la dégradation permanentes se font silencieusement, les tissus et les cellules étant décomposés sur place en petits éléments qui sont ensuite retraités dans les organes7 prévus à cet effet, comme par exemple le foie, pour une utilisation ultérieure.

Le terme « virus » ne doit plus être utilisé à l’avenir. Il est trompeur, chargé d’interprétations erronées et provient de la pensée réfutée du bien et du mal, dont se servent les personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas interpréter la complexité autrement.

Die Wurzel : On attribue au virus, quel qu’il soit, une autonomie et une activité propre qui n’existent pas.

Des brins de patrimoine génétique viral construits de manière purement intellectuelle

Stefan Lanka : Oui, le concept entier est erroné et ne peut pas non plus être maintenu par des hypothèses de secours. Parce que les « virologues » croient depuis 1954 que les tissus mourants se transforment en matériel viral lors de ce que l’on appelle les « essais d’infection », ils interprètent également les courts morceaux d’acides nucléiques comme des composants de leurs supposés virus. À partir de ces petits morceaux d’acide nucléique8, ils construisent mentalement les brins de patrimoine génétique viral qui n’existent pas dans la réalité. Mais comme les analystes de séquences trouvent ces séquences prétendument virales à l’intérieur des séquences des chromosomes humains, ils affirment que plus de 50 % de nos chromosomes sont constitués de gènes viraux.

Propriétés meurtrières exagérées et inventées des « virus »

Die Wurzel : D’après ce que tu as dit jusqu’à présent, on comprend de mieux en mieux pourquoi l’industrie pharmaceutique, les médecins, les virologues, les politiciens et les autorités attribuent aux hypothétiques virus une dangereuse capacité de tuer qui n’existe pas, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, et ils le font aussi d’un côté parce qu’ils pensent devoir se donner de l’importance et justifier leur action. Et parce que la médecine est devenue une énorme entreprise économique, soumise à l’obligation de rentabilité, et que rien que pour cela, elle est obligée d’exagérer en permanence. Cette évolution et ce danger de l’obligation d’exagérer, qui finira par tuer tout et tous, ont été soulignés par Ivan Illich en 1976 dans son livre « La Némésis Médicale ». J’ai eu avec lui une rencontre très éclairante en 1995, dont j’ai rendu compte dans notre premier livre sur la vaccination et dans le magazine WissenschafftPlus. L’auteur Seamus O’Mahony, qui a écrit en 2019 l’important livre « La Médecine peut-elle être guérie ? », se réfère de manière tout à fait centrale à Ivan Illich et arrive à la conclusion que la médecine ne peut plus se guérir par ses propres moyens et qu’elle agit de manière de plus en plus destructrice. Il se base sur la médecine des substances qui suppriment les symptômes.

Il dit de l’autre « médecine9 » qu’elle n’a jamais eu la moindre chance d’être appliquée.

Die Wurzel : Comment penses-tu qu’il soit possible de mettre à la disposition du grand public la nouvelle compréhension de la science concernant les virus et les bactéries (ces dernières sont indépendantes), mais à une vitesse telle que cela ne prenne pas 100 ans ?

La crise Corona comme opportunité, comme catalyseur de changement

Stefan Lanka : La réponse est : faire ce qu’il faut au bon moment, voir l’article sur Rosenstock-Huessy dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020 et mon article « La mauvaise interprétation du virus, partie II. Du début et de la fin de la crise des effets Corona » dans ce numéro. Cette contribution peut également être obtenue librement sur notre site wissenschafftplus.de. Cette contribution a le pouvoir (combiné à l’ampleur de la crise Corona, qui a secoué et mis en danger presque toute l’humanité) de provoquer un apprentissage rapide qui ne durera plus 100 ans. De ce point de vue, Corona est une chance pour tous les hommes et pour tous les domaines, et pas seulement dans les domaines des virus, de la médecine, de la politique et de l’économie. [Voir aussi : Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés]

Théorie du virus pour des raisons de débouchés

Die Wurzel : Je pense que l’industrie pharmaceutique veut maintenir la théorie des virus telle qu’elle est crue depuis toujours, sinon elle se priverait de milliards de dollars de chiffre d’affaires (pertes de ventes de médicaments/vaccins). Pour transmettre une nouvelle compréhension des virus, il faudrait dans un premier temps imprimer et appliquer de nouveaux manuels scolaires de biologie et de nouveaux contenus d’études pour les étudiants en médecine/biologie/pharmacie avec les nouvelles connaissances sur les « virus ».

Je pense que seule la majorité des gens comprendra, par l’expérience personnelle, que les virus n’existent pas au sens traditionnel du terme. Ce ne sont pas les virus, les bactéries ou les parasites qui sont responsables des maladies, car la maladie elle-même est l’effort d’autoguérison du système immunitaire ou l’activité de nettoyage de la maison d’un organisme qui a accumulé des scories pendant des décennies et qui n’a pas pu s’en débarrasser faute de jeûne thérapeutique, d’alimentation saine, d’exercice physique, d’ensoleillement, etc. Es-tu du même avis ?

Stefan Lanka : Avant Corona, je pensais aussi que le changement ne pouvait se faire que lentement et par le bas. Maintenant, la dynamique propre de Corona m’a obligé à étudier à nouveau tous les détails décisifs et à les rendre publics. Le résultat est l’article « Erreur d’interprétation des virus, partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020) qui, avec les actions qui s’y rattachent et qui en découlent, a effectivement le pouvoir de générer un bond en avant dans la connaissance plus rapide que je ne le pensais.

Ce qui caractérise les scientifiques c’est plutôt la modestie que l’arrogance

Entre panique et compréhension approfondie

L’Humanité n’est désormais plus confrontée qu’à l’alternative « autodestruction par la peur et la folie » ou « compréhension plus profonde en tenant compte des autres niveaux et connaissances des causes et des interactions refoulés par le matérialisme primitif » et action en conséquence. Je pense que la majorité des gens sentent qu’au sujet de Corona les fondamentaux de la médecine et de la politique ne vont pas. C’est pourquoi je demande aux lecteurs de vérifier à l’avenir les termes tels que « système immunitaire », etc., afin que l’ancienne pensée du bien et du mal ne soit pas emportée dans l’avenir : Je vois l’importance de l’alimentation, en particulier celle du jeûne — mais dans le cadre d’un système de connaissances psychosomatiques fondé et individuel, dont le Dr Hamer a posé la première pierre essentielle. Nous devons veiller à ne pas fonder un nouveau dogmatisme, car de nombreux aspects « spirituels » et « matériels » doivent encore être intégrés dans ce système de connaissance en développement, voir ton article dans Die Wurzel 04/19.

Le plus important, que j’ai appris d’un médecin10, est que nous devons toujours garder à l’esprit que nos idées peuvent être dépassées dès demain. C’est pourquoi je dis toujours dans mes conférences et mes séminaires que la meilleure réponse à une question viendra toujours dans le futur et que celle que nous avons donnée n’est que la deuxième meilleure. En tant qu’êtres humains, nous sommes des acteurs de la vie et c’est pourquoi il nous manque tout simplement une vue d’ensemble. L’humilité fait donc partie de la science, tout comme la remise en question permanente.

Les virus contenus dans les vaccins

Die Wurzel : Cher Stefan, revenons à la théorie des virus, qui est à la base de la vaccination. Les vaccins utilisés pour la rougeole, par exemple, sont appelés vaccins « vivants », bien qu’ils soient tout sauf constitués de virus vivants.

Comment les vaccins « vivants » sont-ils conçus et pourquoi doivent-ils simuler des virus alors qu’il n’existe pas de virus ayant une activité infectieuse autonome ?

Vaccins « vivants » et « morts »

Stefan Lanka : Je comprends maintenant comment tu en es venu à parler de virus « vivants ». Si, en laboratoire, les tissus meurent lors d’une « tentative d’infection » au cours d’une famine et d’un empoisonnement involontaires, les personnes impliquées pensent que ces tissus se sont transformés en virus ou qu’ils libèrent des virus. Comme les fabricants de vaccins (et leurs virologues) partent du principe que la masse de tissus morts (c’est-à-dire leurs prétendus virus) qu’ils utilisent comme vaccin est capable d’infecter, ils parlent de « vaccin vivant ». Ils pensent que le virus vaccinal est toujours infectieux mais qu’il est atténué.

En revanche, les composants de prétendus virus sont qualifiés de « vaccins morts » si, premièrement, ils ne sont pas infectieux ou si, deuxièmement, les tissus en décomposition lors d’une tentative d’infection sont protégés d’une nouvelle décomposition par des « conservateurs » tels que le formaldéhyde, pour être ensuite utilisés comme « vaccin mort », comme par exemple dans le cas de la polio.

Donc : l’idée de virus pathogènes est morte et celle de la vaccination aussi, c’est pourquoi la question « mort » ou « vivant » n’est pas seulement trompeuse, mais fausse comme tout le concept.

Die Wurzel : Et deuxièmement, nous savons qu’un tel virus vaccinal « vivant » ne peut pas exister dans la Nature et n’a donc absolument rien de comparable avec un agent pathogène sauvage, n’est-ce pas ?

Domestication des agents pathogènes sauvages

Stefan Lanka : L’idée d’un type sauvage n’est pas celle d’un virus particulièrement féroce, mais celle que le virus vient d’être recraché de l’enfer de la Nature et qu’il doit d’abord être domestiqué par « culture » en laboratoire pour être ainsi rendu accessible au système de vaccination — c’est de la science-fiction en somme. Il convient également de mentionner ici l’article particulièrement drôle mais profond de Jochen Schamal « Kleine Vampirkunde » (Petite science des vampires) dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020.

Vaccins mortels minimisés

Die Wurzel : Un aveugle peut voir que la composition des vaccins est cruelle. Mais beaucoup ignorent qu’un tel vaccin signifie une mort certaine chez les enfants s’il est injecté par erreur dans une veine plutôt que dans un muscle. Alors pourquoi les autorités gouvernementales qualifient-elles les vaccins de sûrs et inoffensifs, alors que les autorités elles-mêmes ont soi-disant « testé » et approuvé les vaccins ?

Stefan Lanka : L’astuce utilisée par les intéressés pour se tirer d’affaire est très simple : ils définissent les nombreuses substances toxiques comme des substances auxiliaires (= adjuvants) de la substance médicale proprement dite — les prétendues protéines des prétendus virus. Rien qu’en raison de cet acte de définition insoutenable, ces poisons puissants ne sont pas soumis à la stricte législation sur les médicaments.

Les vaccins sans adjuvants sont inefficaces

L’affirmation des manuels selon laquelle les vaccins sont inefficaces sans leurs adjuvants montre à quel point cette affirmation de protection est infondée.

Die Wurzel : Dans toute la littérature « scientifique » aucun virus réel et complet n’apparaît. À quoi devrait ressembler à tes yeux un virus réel et complet, et avec quelles caractéristiques, pour être considéré comme un virus tueur ? Plutôt dans le sens d’une Borrelia qui cherche délibérément un hôte ?

Stefan Lanka : Pour qui a pris connaissance de la biologie, il est impensable d’imaginer un virus et encore moins un virus tueur. Les virologues ont pour modèle les phages (des bactéries) pour leurs virus supposés, mais ce sont des mini-spermatozoïdes avec leur propre alimentation en énergie, qui font activement quelque chose.

L’idée des virologues d’un brin de patrimoine génétique enveloppé ou non, générateur de maladies, repose sur un modèle fou et dangereux de la biologie et de la vie. Cette idée a été postulée en 1858 par Rudolf Virchow11 dans un acte de désespoir, notamment pour se débarrasser d’une énorme montagne de dettes et pour plaire à ses mécènes et mentors.

Il est très important pour moi de dire que toutes les affirmations concernant l’existence de bactéries pathogènes sont également fausses et dangereuses. Une de mes connaissances, sans m’en parler, s’est fait diagnostiquer une borréliose par un gourou de la scène alternative et s’est par la suite fait soigner par la peur et des antibiotiques à large spectre jusqu’à la limite de la viabilité. Avant que l’idée des virus ne soit inventée, les bactéries étaient les méchants universels.

Drosten fait de la bio-informatique au lieu de travailler en laboratoire !

Trouver un consensus sur le virus Corona en quelques clics de souris

Die Wurzel : Le processus de recherche d’un consensus sur ce qui appartient ou non au virus de la rougeole a duré des décennies. Comment se fait-il que pour le prétendu nouveau coronavirus Sars-CoV-2, ce processus de recherche de consensus n’ait duré que quelques clics de souris ? Et sur quelle base scientifique ?

Stefan Lanka : C’est le professeur Christian Drosten de la Charité (NdT : voir ci-dessus) qui a révolutionné la bio-informatique en virologie et l’a complètement détachée du travail de laboratoire. C’est ainsi qu’en 2003, lors de la panique provoquée par le SRAS qu’il a largement contribué à créer, il a été en mesure de proposer un test pour cette fiction deux jours seulement après avoir affirmé que le brin de patrimoine génétique du prétendu nouveau virus du SRAS avait été reconstitué. Il a joué un rôle essentiel dans la terreur de la grippe porcine et de ZIKA12 et n’a cessé d’aller plus vite, plus vite que son ombre…

… Drosten plus rapide que le service d’épidémiologie

Avant même que les virologues du service d’épidémiologie chinois ne se mettent d’accord sur la composition du brin de patrimoine génétique du virus (NdT : le SARS-CoV-2, le virus Covid-19), qui n’était jusqu’à présent que « supposé », Christian Drosten avait déjà développé son test et l’avait mis à disposition de l’OMS le 17 janvier 2020. Par son action, quelques clics de souris, il a mondialisé la panique de masse dangereuse, mais locale, déclenchée par un ophtalmologue à Wuhan. Voir mon article « Erreur d’interprétation des virus, partie II. Du début à la fin de la crise de la Corona » dans le magazine WissenschafftPlus 2/2020, également disponible gratuitement pour diffusion sur notre site wissenschafftplus.de.

Les bio-informaticiens se moquent de la source de la séquence génétique

Lors de la construction de l’idée des brins du patrimoine génétique des virus de la grippe, on blessait encore mécaniquement et on empoisonnait des embryons de poulets et on créait encore péniblement manuellement un modèle à partir des courtes séquences d’acide nucléique du tissu mourant. Aujourd’hui, ce sont des programmes informatiques appropriés qui s’en chargent, dans lesquels on introduit les séquences que les virologues présentent comme virales. Les bio-informaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par « alignement » se fichent de savoir d’où proviennent ces séquences. Erwin Chargaff avait d’ailleurs déjà mis en garde contre cette évolution en 1976 dans un livre intitulé « Le feu d’Héraclite ».

Die Wurzel : La « mise au point » du virus Corona fait maintenant entrer en jeu la construction intellectuelle du « brin de patrimoine génétique viral ».

Stefan Lanka : Lors de la construction du virus Corona actuel (SARS-CoV-2), on a d’abord utilisé uniquement des séquences de gènes provenant d’un lavage de poumons. Après que les données de séquences de très courts morceaux aient été péniblement torturées par plusieurs programmes, un brin complet du patrimoine génétique d’un nouveau virus a été proposé sur la base de ces « données de séquences ». Cette proposition a ainsi été confirmée et élevée au rang de modèle général après que cette construction laborieuse ait été répétée avec les « séquences génétiques » provenant des poumons de trois autres personnes.

Un modèle de virus sans fondement avec séquences génétiques artificielles

Les participants définissent comme preuve réelle de l’existence d’un nouveau virus le fait que le « virus » puisse être « cultivé ».

Pour ce faire, des tissus sont tués en laboratoire en les affamant et en les empoisonnant (involontairement). Et comme un peu de matériel « infecté » est ajouté à ce processus, les participants pensent que les tissus se transforment en virus.

Bien sûr, ils ne se demandent pas pourquoi, contrairement aux phages, il n’est pas possible de voir des milliards de virus, de les isoler et d’isoler leur patrimoine génétique intact. Ils commencent donc à reconstruire le grand ensemble supposé « génome » du virus supposé à partir des courts morceaux de séquence génétique existants. À la différence près que cet acte de culture laisse de grandes lacunes dans la reconstruction du restant de l’ensemble du génome. Celles-ci sont laborieusement comblées en produisant des séquences génétiques artificielles pour combler les lacunes du modèle. C’est une auto-illusion au sein de l’auto-illusion « virologique ».

Die Wurzel : Pourquoi les scientifiques chinois affirment-ils que le Coronavirus -2019 de Chine provient de serpents venimeux ?

Des séquences génétiques Corona dans chaque être vivant

Stefan Lanka : Ils affirment cela parce qu’ils trouvent dans les serpents des séquences qui apparaissent également dans le modèle Corona. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que dans chaque être vivant apparaissent les mêmes séquences, à partir desquelles on a construit Corona et tous les autres brins de patrimoine génétique viral de manière purement intellectuelle. Cela explique pourquoi les papayes sont également testées « positives ». C’est un message important de Corona : tout et n’importe quoi est positif !

Die Wurzel : Et qu’en est-il exactement des tests du virus ?

Stefan Lanka : Si, à partir de courtes séquences d’acides nucléiques qui sont présentes dans tout organisme, on construit quelque chose de plus long qui n’existe pas, il est évident que les soi-disant méthodes de détection génétique des virus (tests PCR), qui ne détectent que la présence de très courtes séquences, permettent de tester « positivement » tout et n’importe quoi, y compris l’arbre. Ce n’est rien d’autre que de la science-fiction dangereuse en action.

Les courtes séquences d’ADN sont présentes dans tout organisme, y compris dans un arbre ou une papaye. En fait, ces courtes séquences13 sont présentes partout. Mais un génome viral (prononcer virus) est défini comme quelque chose de plus long, composé de plusieurs « gènes ». Lors de la première construction d’un génome viral humain, les « wirrologues » se sont inspirés du génome des phages. Un « virus » a en effet besoin de plusieurs gènes pour former ses prétendues protéines d’enveloppe et ses enzymes. La méthode PCR ne permet de détecter que de petits morceaux, qui ne disent pas (si l’on part du principe que les virus existent) s’il n’y a que des fragments de virus (après une « attaque immunitaire »), que des virus défectueux ou des virus inoffensifs, ou si la quantité de virus est trop faible pour provoquer un massacre. Mais comme il n’y a pas de virus du tout, seulement un modèle, tout cela tombe à l’eau de toute façon.

Sérum fœtal frelaté et contaminé

Du sérum de fœtus humain pour la fabrication des vaccins ?

Die Wurzel : J’ai lu que les vaccins pouvaient contenir des sérums de fœtus humains avortés.

Stefan Lanka : Ce qui a réellement été fait ce sont des tentatives d’infection de tissu et de sérums (sang sans globules) issus de fœtus humains. Ce que je peux m’imaginer, c’est qu’un public aisé et complètement abruti demande — et obtient toujours — selon la devise « vous obtenez ce que vous payez », de tels tissus et sérums pour ses vaccins, mais aussi pour d’autres produits médicaux.

Sérum de fœtus animal dans les vaccins

En revanche, tous les vaccins de masse sont fabriqués à l’aide de sérums fœtaux de bovins et principalement de tissus rénaux de singes ou de tissus d’autres animaux.

Die Wurzel : Un tel sérum fœtal animal, s’il a été utilisé pour des vaccins, peut-il entraîner une quelconque réaction ?

Stefan Lanka : D’après mes connaissances actuelles, une substance ne provoque une allergie/maladie auto-immune que si l’acte de vaccination déclenche un « conflit biologique », c’est-à-dire représente un événement ressenti comme une menace existentielle qui ne peut pas être résolue en temps réel. Je recommande à ce sujet mon article sur les dommages causés par les vaccins et l’apparition de l’autisme dans le numéro 3/2016 de WissenschafftPlus.

Vaccins et virus cultivés en laboratoire

Die Wurzel : Je me rends de plus en plus compte que « virus » et vaccins sont identiques, qu’ils ont tous deux été créés en laboratoire, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, avec la remarque très importante que les « virus » sont des chimères et que les restes de tissus morts en éprouvette ne sont justement pas des « virus », mais des tissus en décomposition.

D’ailleurs, les tissus ne peuvent être empêchés de mourir et de se décomposer en laboratoire que pendant quelques jours et uniquement grâce à l’utilisation de sérum fœtal. Cela n’est pas possible avec du sérum humain ou animal adulte.

Pour plus de clarté :

Lorsque des organes sont prélevés sur un organisme, ils meurent rapidement et se décomposent, même si on les refroidit. Si l’on prélève d’un organe des tissus pour en étudier la « vie » en laboratoire ou pour « isoler », multiplier ou « cultiver » des virus en laboratoire, ces tissus meurent encore plus vite et se décomposent encore plus vite.

Tissus découpés par la force = cultures cellulaires

Pour travailler prétendument avec des cellules en laboratoire, les tissus, préalablement prélevés sur des organes (d’un fœtus par exemple), sont isolés de force (biochimiquement par des enzymes digestives et mécaniquement). Les personnes concernées pensent alors travailler avec des cellules et qualifient les tissus séparés de force de « cultures cellulaires ». Ils doivent constamment empêcher par la force ces « cellules » de se refondre en tissus. Sans les nombreuses substances contenues dans les tissus fœtaux, mais surtout sans la concentration élevée de « Pi-eau14 » qui s’y trouve, les tissus dans l’éprouvette et les tissus isolés mourraient encore plus rapidement.

Le sérum fœtal est maintenant retiré des « cellules » dans l’éprouvette, en tant que préparation de « l’expérience d’infection » suivante. En conséquence, ces unités de tissu tentent de s’unir encore plus rapidement que d’habitude, mais meurent en « confluant ».

La prétendue culture du virus

Cette confluence est appelée formation de cellules géantes et « effet cytopathique ». Ce résultat de nombreuses étapes violentes et insensées est interprété comme la preuve centrale de « la présence, l’isolement, la multiplication, etc. du virus supposé ». Les personnes concernées affirment alors avoir réussi à cultiver le virus.

Pour couvrir les besoins toujours croissants en sérum fœtal15, on ouvre chaque année 2 millions de vaches gestantes sans les anesthésier, on y ouvre le fœtus non anesthésié et on prélève son sang fœtal dans le cœur battant. Si l’on retirait le fœtus de la mère, on pourrait « récupérer » beaucoup moins de sérum. Si les mères et/ou les fœtus étaient anesthésiés, les anesthésiques dégraderaient rapidement le sérum fœtal, car les anesthésiques ne peuvent pas être retirés du sérum.

Le sérum fœtal est fabriqué à partir de ce type de sang. Il est évident que, pour optimiser les bénéfices, on procède ici à des falsifications, comme pour le vin. Pour économiser de l’argent, les laborantins achètent du sérum bon marché, dont ils savent tous qu’il est encore plus contaminé que le sérum onéreux.

Ce n’est qu’à l’aide de ces sérums fœtaux qu’il est possible de produire des vaccins. Les composants de ces sérums, qui ne peuvent jamais être stériles, nous sont implantés sous forme de vaccins. Je m’étonne depuis longtemps que ce fait bien connu ne soit pas abordé dans le milieu de l’alimentation crue ou Végan. L’alimentation crue et le véganisme excluent la vaccination, l’obtention de sérums fœtaux et les expériences de culture cellulaire.

Les processus de décomposition comme base de la biologie/médecine

Nous sommes dans une situation, non seulement dans le domaine de la vaccination, mais aussi dans l’ensemble de la biologie et de la médecine, où les processus de mort et de décomposition en éprouvette sont mal interprétés en tant que modèles de vie. Et ce n’est qu’un des nombreux points qui expliquent pourquoi, dans le système de l’opinion dominante de la pathologie cellulaire depuis 1858, les biologistes et les médecins ne sont pas en mesure de faire des déclarations raisonnables et utiles sur la vie, la santé, la maladie et la guérison.

Die Wurzel : En 1951/52, la virologie s’était complètement réfutée et abandonnée. Pour quelle raison ?

La virologie doublement réfutée

Stefan Lanka : Tout d’abord, des expériences de contrôle ont été menées, qui ont prouvé que ce qui était autrefois interprété comme des virus (des protéines prétendument dangereuses, comme on l’affirme encore aujourd’hui pour certaines bactéries, malgré une meilleure connaissance) est également libéré lors de la décomposition d’organismes tout à fait sains ou de leurs organes. Et que rien n’a été vu ni trouvé au microscope électronique.

Deuxièmement, parce que l’on a appris que les protéines ne peuvent pas se reproduire elles-mêmes. Avant 1952 encore, l’élément central de la virologie était que la dangereuse protéine virale (= virus, poison pathogène) pouvait soi-disant se reproduire elle-même. Mais en 1952, on s’est rendu compte que c’était l’acide nucléique qui était responsable de la multiplication des protéines. Dès lors, les jeunes chimistes ont considéré que les virus étaient de dangereux morceaux de substance génétique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie, de la médecine et du fait que la virologie médicale avait été abandonnée.

Cette ignorance se prolonge jusqu’à aujourd’hui et a conduit à la crise de Corona. Les virologues d’aujourd’hui ne s’étonnent tout simplement pas de ne pas trouver de virus ni de génome viral. Ils ne s’étonnent pas non plus qu’ils assemblent constamment et toujours mentalement les génomes des virus (les brins de patrimoine génétique des virus) à partir de courts morceaux et les présentent ensuite comme la réalité.

Mettre fin à la crise de la Corona de manière démocratique

Nulle part ailleurs en biologie et en médecine, il n’est aussi clair qu’en virologie qu’une pure construction de l’esprit est présentée comme un fait existant. Lorsque la majorité de la population aura compris cela, la crise de Corona sera terminée de manière purement démocratique. Par conséquent, veuillez distribuer cette interview sur « Virus, sort de là ».

Die Wurzel : Il y a encore tellement de choses à aborder, y compris le modèle des bactéries et des bactériophages. Dans ton article « Mauvaise interprétation des virus », disponible au prix de 5 €, tu abordes tout cela en détail, ainsi que de nombreux autres sujets. Cette interview d’aujourd’hui n’est qu’un tout petit extrait de ton article « Mauvaise interprétation du virus ». C’est pourquoi je recommande à tous les lecteurs cet article, voire le numéro complet de WissenschafftPlus (voir ci-dessous) avec l’article qu’il contient.

Et avec les numéros suivants de WissenschafftPlus, vous restez, cher lecteur, au courant de ce qui s’est déjà passé dans la réflexion sur le virus dans la science en général, etc. Le mieux est de vous abonner à ce magazine trimestriel.

Sur ce, je te remercie, cher Stefan, pour cette interview. Que nous puissions tous travailler ensemble et réaliser de grandes choses dans un collectif positif.

Traduction Jean Bitterlin 6 janvier 2023


1. Extraits de gènes de virus = fragments de virus

2. La théorie de la pathologie des cellules datant de 1858.

3. Dont j’ai découvert, isolé et caractérisé l’un d’entre eux et que Günter Enderlein a prédit.

4. Les bactériophages

5. ADN (DNA) = La biomolécule centrale des chromosomes, sur lesquels se trouvent des modèles informatifs grossiers pour environ 10 % de nos protéines, que l’on appelait autrefois des gènes.

6. Quel que soit le type, frottis, sang, mucus, sperme, matériel de biopsie, etc.

7. S’il existe donc des organes dans lesquels sont concentrées des fonctions qui, sinon, se déroulent toutes en même temps et côte à côte dans les tissus ou les cellules d’organismes « simples », il existe pour cela de tout autres mécanismes de recyclage intracorporel ou intraorganique.

8. Les fragments de gènes de l’ADN.

9. Je préfère l’appeler une autre vision ou tout simplement une biologie que je m’efforce de diffuser, dans laquelle la santé résulte de l’harmonie en moi-même et avec mon environnement.

10. Elle a, en plus de son travail thérapeutique, une mission d’enseignement de la médecine chinoise.

11. Article « Virchow — Ein Stratege der Macht » (Virchow — Un Stratège du Pouvoir) voir WissenschafftPlus édition no 5/2015, le rapport peut être lu en ligne, voir wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Mohr_Virchow.pdf

12. L’affirmation de l’existence des virus ZIKA remonte à 1947, lorsque les virus étaient définis différemment qu’après 1952. Il tire son nom d’une forêt d’Entebbe, en Ouganda, où des singes ont été torturés pour des « expériences d’infection ».

13. Les séquences d’une longueur inférieure à 22 nucléotides (éléments constitutifs de l’ADN/ARN) sont présentes chez tous les mammifères, ne sont pas spécifiques aux virus et sont néanmoins utilisées dans la construction des « génomes viraux ».

14. Alias substance originelle dont nous sommes constitués — voir mon article sur l’eau Pi voir weissschafftplus.de/uploads/article/MW_PI_Wasser_Lanka2.pdf et l’article de Michael Delias dans le WZ 04/19.

15. On cultive même déjà de la « viande » pour la consommation en laboratoire et on suggère que cela est possible sans animaux.




REVUE DE PRESSE DU 1er JANVIER 2023

EDITORIAL
Matrix et le légionnaire

Non ce n’est pas le titre d’un thriller (encore que..), mais « l’usine à gaz » du vaccin de Novavax destiné aux réfractaires aux vaccins à ARNm. Une imposture de plus au rayon des vaccins dont on n’en finit pas de décrire les effets indésirables qui augmentent avec le nombre d’injections, qui tuent de plus en plus et en particulier des sujets jeunes, tandis qu’il suffirait de rendre ses lettres de noblesse à l’Ivermectine aussi bien en préventif qu’en curatif. La justice avance dans le monde, l’Inde enquête sur le lien entre les vaccins et les morts brutales, mais en France l’Éducation nationale promeut la vaccination à tout âge alors que la stratégie sanitaire est un échec cuisant. La résistance reste dynamique et s’affiche même à la une de Nexus, qui se préoccupe des « substances » contenues dans les vaccins.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

FranceSoir a déposé un référé suspension contre la décision de non-renouvellement de son agrément

https://www.francesoir.fr/politique-france/francesoir-depose-un-refere-suspension-contre-la-decision-de-la-cppap

« Le rôle de la presse est de servir de contre-pouvoir et qu’il ne relève pas du rôle du ministère de la Santé de s’immiscer dans ce processus de décision censé garantir la séparation des pouvoirs. »

École : incitation à la vaccination, du CP à la terminale

https://reseauinternational.net/lincitation-a-la-vaccination-sinvite-dans-toutes-les-classes-du-cp-a-la-terminale/

« Le complotisme, ainsi que l’absence de lien de causalité prouvée entre les vaccins et certaines pathologies sont donc utilisés comme arguments principaux pour contrer l’hésitant ou le réfractaire. »

ÉTRANGER

INDE Enquête sur le lien possible entre vaccins et arrêts cardiaques

https://timesofindia.indiatimes.com/india/sudden-cardiac-arrest-icmr-to-probe-covid-link/articleshow/96467046.cms

« Le conseil de la recherche a lancé une vaste étude avec les meilleurs cardiologues pour étudier toutes les causes possibles de cette flambée de morts subites en particulier chez des jeunes, en train de danser, chanter ou se promener dans la rue. »

USA Le sang de « non vaccinés » est très recherché

https://strategika.fr/2022/12/28/le-sang-non-vaccine-est-maintenant-tres-demande/

« Un remake de l’affaire du sang contaminé des années SIDA ? En Nouvelle-Zélande, le bébé Will en est mort. »

USA Comment le Pr Bhattacharya avait été censuré par Twitter

« Si des opinions scientifiquement informées sont supprimées, censurées ou artificiellement interdites d’accès à la sphère publique, comme cela s’est produit fréquemment tout au long de la pandémie de Covid-19, le perdant n’est pas seulement les scientifiques censurés, mais la science elle-même, et le progrès humain plus généralement. »

JUSTICE

Les « injecteurs » mis en cause

« Une enseignante condamnée pour exercice illégal de la médecine, un médecin belge accusé d’avoir inoculé un vaccin expérimental, des médecins accusés de refus de soins parce que non vaccinés. »

USA, Floride La Cour suprême autorise un grand jury à enquêter sur les fabricants de vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-monde/en-floride-la-cour-supreme-autorise-un-grand-jury-enqueter-sur-les-fabricants-de

« Les acteurs de toute la chaîne de vaccination, allant de la conception à sa distribution, en passant par le développement, les tests cliniques et la commercialisation, seront concernés par l’enquête de ce grand jury/Le comité sera constitué de plusieurs professionnels de la santé, dont le Dr Jay Bhattacharya. »

COVID

Comment mettre fin à l’épidémie ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/comment-mettre-fin-l-epidemie-de-covid-19

La prévention, toujours et encore. Avec de l’Ivermectine, preuves à l’appui.

TRAITEMENT

Ivermectine, le traitement de choix du Covid 19, confirmé par son inventeur

https://lemediaen442.fr/le-prix-nobel-de-medecine-satoshi-omura-presente-livermectine-comme-traitement-contre-le-covid/

ET

https://www.theepochtimes.com/health/ivermectin-is-safe-and-effective-the-evidence_4944960.html

« Le fait que ce médicament antiviral extrêmement efficace, sûr et peu coûteux ne soit pas aussi bien connu dans le monde que la pénicilline est ungouffre d’ignorance inexcusable et mortelle que l’ère COVID donne au monde l’occasion de corriger. »

Échec de la stratégie sanitaire française

« Dans le monde réel, les antipaludéens ont limité contamination et mortalité, et le seul bénéfice des pseudo-vaccins a été financier pour les firmes et leurs actionnaires. »

Paludisme et Covid, l’étrange parenté et l’efficacité des antipaludéens

« L’Afrique pratiquement pas injectée a résisté à la covid en utilisant les antipaludéens, macrolides, cyclines, ivermectine et artémisinine. »

INJECTIONS

Preuves que les injections sont des armes biologiques

https://fr.sott.net/article/41503-Nous-avons-toutes-les-preuves-Les-vaccins-contre-le-Covid-sont-bien-des-armes-biologoqies

« Pfizer dit sur son site Web que c’est de la technologie. Les nanoparticules lipidiques sont techniquement appelées microrobots biohybrides. Cela sonne mal, alors ils les appellent des nanoparticules lipidiques pour que cela ne semble pas aussi effrayant. Donc, il y a de la technologie dans les injections Covid-19. »

Le Nuvaxovid pour les nuls

https://merylnass.substack.com/p/novavax-vaccine-contains-1-mg-of

« Ce 5e vaccin anti-Covid-19 autorisé en France a pour but de convaincre les “anti”-ARN messager. La protéinespikedu vaccin est cultivée en modifiant génétiquement desbaculoviruspour produire laspike, puis en infectant des cellules d’insectes pour transformer l’ensemble en une usine de protéinespike… et avec un adjuvant dont on ne connaît rien, le “Matrix-M”…

Dans chaque injection, protéines de pointe, ADN et protéines debaculoviruset cellules du légionnaire d’automne. Le vaccinNovavaxn’est pas suffisamment purifié. Nul ne peut dire comment les contaminants protéiques et ADN d’insectes et virus affecteront les receveurs. Ce n’est pas un vaccin traditionnel, mais un autre “leurre” mis en place uniquement pour attirer les non-vaccinés, car il n’est pas constitué d’ARNm.

Les autorités de réglementation admettent qu’elles n’ont aucune idée de l’efficacité du vaccin ni de sa dangerosité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

À quel moment surviennent les effets indésirables ?

https://www.aimsib.org/2022/12/25/a-quel-moment-surviennent-les-effets-secondaires-lies-a-la-vaccination-anti-covid/

La principale conclusion d’une étude canadienne est que la plupart des événements liés à la santé, tels qu’enregistrés comme des changements dans les dossiers pharmaceutiques des patients, se sont produits au-delà de la période d’observation de 6 semaines, actuellement utilisée par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Ceci appelle à une extension de cette période et à une révision des directives établies pour la déclaration et les analyses des EI post-vaccination.

Heureux les pauvres qui n’ont pas injecté de booster

« L’Afrique et une partie de l’Asie ont éliminé la Covid, le Japon démontre la nocivité des injection.

Plus on vaccine, plus on a de doses, 3e, 4e, plus on a de décès. On est loin, très loin de la protection des formes graves, ces courbes successives montrent le contraire. »

Efficacité du vaccin bivalent

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1

« Une étude de Cleveland révèle quele risque de COVID-19 a augmenté avec le temps écoulé depuis la dernière maladie COVID-19 et avec le nombre de doses reçues précédemment. »

Un ado sur 30, vacciné trois doses, fait une myocardite

« Avant vaccin Covid : 4 cas de myocardite/million ;
après vaccin Covid chez 13-18 ans et 2 ou 3 doses : 25 000 cas par million !!! »

N’injectez pas les enfants avec ce produit inefficace et dangereux !

Une image qui vaut mille mots :

RÉSISTANCES

Corruption et fraude dans la crise Covid, colloque interdisciplinaire

https://www.kairospresse.be/colloque-interdisciplinaire-corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020/

« Cette intervention montre que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objectives aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux. »

Appel aux dons pour soutenir les personnels suspendus

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/les-heros-c-est-bien-eux-jean-louis

« Il y a déjà eu des suicides dans cette population, on voudrait éviter à tout prix que ça continue. Et surtout il y a des gens qui se retrouvent dans une détresse phénoménale : financière, psychologique, juridique. »

On achève bien les soignants

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/catherine-bouissou-on-acheve-bien-les-soignants

« Déboires, appels au secours et solidarité entre soignants non vaccinés. »

Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font !

https://www.babelio.com/livres/Jacquemin-Ne-leur-pardonnez-pasIls-savaient-trEs-bien-ce-q/1471500

« En fouillant sur les sites gouvernementaux américains, anglais, israéliens, français et ailleurs en Europe, liés à la Santé, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin y a découvert pléthore de documents qui l’ont incité à approfondir le sujet auprès de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, généticiens, cancérologues mondialement connus : ils sont unanimes sur les répercussions d’injections expérimentales proposées — imposées. »

NEXUS numéro de janvier 2023



Observation des injections anticovid

[Source : AGORA TVNEWS]

Jacques Bauer est un pharmacien installé en suisse qui a analysé les produits injectables Pfizer, Moderna, Astrazeneca et de nombreux vaccins, ainsi que le sang des injectés. À ce jour, il a collecté une base de données de 1000 échantillons.

Il a participé aux documentaires censurés Hold-On et Hold-Out, les suites de Hold-UP.

Les images sont authentiques, les produits sont authentiques et ont été manipulés avec précaution pour éviter les contaminations.

Pfizer et Moderna ont refusé de répondre à Pierre Barnerias. Il a ensuite eu des problèmes avec son entreprise de production de cinéma. Des membres d’Agora TV qui sont témoins des observations ont reçu des menaces et la police ne nous protège pas.

Merci de diffuser ce documentaire aux personnes qui croient encore au miraculeux vaccin et qui considèrent les critiques et les victimes de ces produits comme du complotisme.



[NDRL L’observation de graphène, de structures cristallines et de composants biologiques concorde avec ce qu’a rapporté par ailleurs Karen Kingston. Voir :
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Voir aussi Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux et les observations de la Quinta Columna :
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins]




La virologie et le test PCR

[Source : bioanalyticx.com]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Virus, COVID, pandémie, vaccin et tests : fiction, ni réalité ni science !

Par Saeed A. Qureshi, Ph. D. (principal@pharmacomechanics.com)

Salutations d’Ottawa, Canada !

Mon nom est Saeed Qureshi. Je suis un chercheur scientifique à la retraite qui a travaillé pour Santé Canada pendant 30 ans à l’évaluation de la qualité des produits pharmaceutiques à usage humain. En tant que scientifique de laboratoire à Santé Canada, j’étais considéré comme un expert résident chargé de fournir des conseils sur les demandes de commercialisation de produits pharmaceutiques, principalement en ce qui concerne les aspects qualitatifs.

Ces rôles m’ont permis d’interagir avec d’autres organismes de réglementation internationaux, dont la FDA (Food and Drug Administration, organisme fédéral américain qui supervise les autorisations de mise sur le marché des aliments et des médicaments), afin de développer et d’appliquer des normes réglementaires pour évaluer la qualité des produits pharmaceutiques.

J’ai une qualification universitaire avec un doctorat en chimie, plus précisément en chimie organique analytique, ce qui me donne une solide expérience dans le développement, la validation et l’application de tests pour l’évaluation de produits.

J’ai travaillé de façon indépendante dans les domaines de la toxicologie, de la pharmacologie et des produits pharmaceutiques à Santé Canada. J’ai appris la plupart de ces sujets en suivant des cours de premier cycle et de deuxième cycle dans différentes universités. La combinaison de cette formation avec mon expertise en chimie et mes recherches en laboratoire me donne une perspective unique des sujets médicaux et pharmaceutiques, rarement disponible à l’heure actuelle.

En tant que scientifique, j’ai, comme prévu, publié de nombreux articles de recherche et de synthèse dans des revues internationales révisées par des pairs et participé à de nombreuses conférences internationales, dont l’organisation de deux d’entre elles en Amérique du Nord et en Europe.

Depuis cinq ans, j’apporte ma contribution en tant que scientifique indépendant, en faisant des suggestions pour améliorer la qualité des produits et leur mise à disposition efficace au public. Je le fais principalement par le biais de mon blog.

Il y a quelques semaines, j’ai été interviewé sur le thème du coronavirus et du COVID-19, ce qui a été bien accueilli et apprécié. Cependant, il a été suggéré qu’une version plus courte serait également souhaitable pour transmettre le message au public avec peu de détails techniques.

Cette présentation est une réponse à cette demande. Par conséquent, pour cette présentation, je me limiterai aux principes scientifiques de base. Je décrirai ces principes dans un langage simple et un raisonnement logique pour faire comprendre que la science a été déformée pour la pandémie, ce qui a conduit à la peur et à l’alarmisme d’un virus et d’une maladie inexistants.

Mon intérêt pour les pandémies a commencé par l’observation de la peur de contracter la maladie et de la mort potentielle chez les gens. Pour moi, il était clair que la situation était exagérée. À mon avis, le nombre de décès signalés se situait bien dans le taux d’attrition moyen. Cependant, les patients étaient étiquetés COVID sur la base de tests. Comme je l’ai indiqué plus haut, étant un développeur et un utilisateur de tests au cours de ma carrière, le fait d’entendre le mot « test » a naturellement attiré mon attention et ma curiosité pour approfondir l’aspect « test ».

Pour clarifier, je me concentre ici sur le virus, communément appelé SAR-CoV-2 et sur la maladie étiquetée COVID-19 qui lui est associée.

Deux types de tests différents sont couramment mentionnés pour le dépistage du COVID ou du virus. Les tests d’anticorps, qui consistent en un test sanguin et un test par écouvillonnage, avec un prélèvement nasal ou de la gorge. Un test d’anticorps établit vraisemblablement si une infection due au virus s’est produite, il s’agit donc d’un test de suivi. D’autre part, le test sur écouvillon est un test supposé vérifier la présence du virus.

Le test sur écouvillon est généralement appliqué à des fins de dépistage. Par conséquent, je limiterai la suite de ma description au seul test sur écouvillon. Toutefois, les limites et les inconvénients de ce test seront également valables pour les tests d’anticorps.

Le test sur écouvillon est appelé test sur écouvillon, car il commence par le prélèvement d’un échantillon sur écouvillon. Sinon, techniquement, il s’agit d’un test PCR. Il n’est pas essentiel pour un utilisateur quotidien du test de connaître l’aspect détaillé du test PCR, tout comme les détails techniques ne sont pas nécessaires pour un utilisateur de test de grossesse à domicile. Une légère variante du test PCR, connue sous le nom de test RT-PCR, est également couramment citée. Toutefois, à toutes fins utiles, il reste fondamentalement le même que tout test PCR standard.

L’élément essentiel à noter ici est que le test est basé sur la chimie. Notez la mention de la chimie et du test ici ; c’est là que mon expertise entre en jeu. Je peux certainement comprendre et expliquer la pertinence et la validité du test avec un haut degré de précision et de confiance.

À cet égard, pour tout test, l’important est qu’il doit être validé, c’est-à-dire qu’il ait été soumis à un essai avant son utilisation commerciale ou générale pour montrer qu’il est capable de faire ce qu’il est censé faire ou tester.

Pour la validation du test, il y a au moins quatre exigences principales à respecter : (1) il doit être suffisamment sensible pour détecter l’élément qu’il est censé détecter ; (2) le test doit être répétable ou reproductible ; (3) il doit être spécifique, c’est-à-dire qu’il doit être capable de voir l’élément sans l’interférence d’autres impuretés coexistantes ; (4) un produit de référence pur et certifiable doit être disponible, dans ce cas, le virus. L’aspect critique à noter ici est que si la référence ou l’étalon n’est pas disponible, les trois autres éléments mentionnés, c’est-à-dire la spécificité, la sensibilité et la reproductibilité, ne peuvent être établis.

Par conséquent, pour que le test PCR soit valide, il faut un virus de référence (isolé et purifié de manière indépendante).

Or, voilà le problème ! Il n’y a pas d’échantillon isolé et purifié du virus pur disponible auprès d’une tierce partie. Par conséquent, d’un point de vue scientifique, un test PCR valide ne peut être développé.

Autrement dit, le test ne peut pas montrer la présence ou l’absence du virus — point final. Je tiens à souligner et à être direct ici que dire le contraire serait soit le reflet de l’incompétence du sujet, soit une déformation de la science des tests. Une chose est sûre, c’est que la PCR est un test scientifiquement non valable pour le dépistage du virus.

En réalité, cependant, le test PCR est décrit pour tester l’ARN ou l’ADN, c’est-à-dire tester l’ARN/ADN comme marqueur du virus. Que sont l’ARN et l’ADN ? Ce sont des composés chimiques à longue chaîne, comme les protéines, présents dans l’organisme et qui sont également considérés comme étant des parties de virus.

Encore une fois, supposons que l’on affirme que le test PCR mesure l’ARN. Dans ce cas, le test PCR doit répondre aux quatre critères susmentionnés de validation du test avec l’ARN, en particulier la disponibilité de l’ARN du virus. Comme indiqué ci-dessus, le virus n’étant pas disponible, on ne peut pas obtenir son ARN. Par conséquent, le test PCR ne peut être un test valide pour l’ARN et pour le virus par extension.

Par conséquent, la conclusion indiscutable est que nous n’avons pas de test pour le virus parce que le virus n’est pas disponible, qui à son tour n’a jamais été isolé d’aucune source, en particulier des humains.

Avant d’aller plus loin, permettez-moi d’expliquer un concept fantaisiste présenté dans le monde scientifique. Je devrais dire plus précisément dans le monde médical et virologique que la combinaison du test PCR et du séquençage de l’ARN établit la présence du virus et/ou de la maladie.

Permettez-moi d’expliquer ce concept par une analogie. Supposons que l’on trouve des échantillons de caoutchouc sur le lieu d’un accident (d’ailleurs, le caoutchouc est aussi un composé chimique à longue chaîne comme l’ARN ou l’ADN). Après avoir analysé l’échantillon, en trouvant une structure ou une séquence chimique unique du caoutchouc, on considère qu’il peut provenir du pneu d’un véhicule blindé. Une extrapolation est donc faite pour conclure qu’une armée illégale ou une activité armée a pu se produire dans la région. Par conséquent, une telle activité illégale doit être surveillée et contrôlée.

La recherche de virus à l’aide d’un test PCR est similaire, c’est-à-dire qu’il s’agit de trouver des éléments sans rapport entre eux et de construire une histoire à partir de ceux-ci. Ne riez pas, s’il vous plaît. L’analogie que j’ai fournie pourrait avoir une certaine force par rapport au test de virus ou au test PCR, car la substance chimique de l’échantillon de caoutchouc pourrait correspondre à une norme de référence réelle en caoutchouc pur. Le test PCR ou ARN ne dispose jamais d’un échantillon pur d’ARN du virus auquel se comparer.

Le fait est que le test PCR et le séquençage de l’ARN qui lui est associé ne sont pas pertinents et/ou valides pour surveiller le virus. Il ne peut pas détecter ou surveiller le virus ou ses éléments connexes, comme l’ARN, avec précision et validité.

Les gens suggèrent souvent le terme « nombre de cycles », qui reflète le nombre de répétitions de la réaction chimique lors de la réalisation d’un test PCR. En ce qui concerne la précision du test PCR, c’est-à-dire qu’un nombre plus élevé de cycles peut entraîner un problème de faux positifs. Par conséquent, la réduction du nombre de cycles peut résoudre le problème des résultats faussement positifs ou plus positifs. Bien sûr que non. Le problème n’est pas le ou en raison du nombre de cycles, mais le test lui-même. Le test n’a jamais été validé, et il ne peut pas surveiller un virus — Point final. Dieu sait ce qu’un test PCR détecte et surveille — c’est absolument inconnu. Très probablement rien.

Donc, en résumé, le test de virus ou de PCR n’a aucune signification, et à l’heure actuelle, personne ne surveille le virus. Il est essentiel de noter que l’utilisation et/ou la promotion de tests non validés peuvent être considérées comme de la négligence et de l’incompétence et pourrait conduire à des enquêtes aux conséquences graves.

Il est peut-être nécessaire de préciser ici que la littérature scientifique fait souvent référence à l’isolement du virus. Les gens devraient être attentifs aux déformations de la terminologie dans les domaines de la microbiologie et de la virologie. Le mot « isolement » n’est pas utilisé ici dans le vrai sens du terme, mais représente l’obtention d’un mélange de plusieurs ingrédients qui peut éventuellement contenir le virus. Par conséquent, il doit être clair qu’un virus pur n’a jamais été isolé, identifié de manière positive ou disponible sous forme pure.

Et maintenant, qu’en est-il de la maladie qui est vraisemblablement causée par le virus ? Je ne pense pas avoir besoin de répondre à cette question. Il devrait être assez clair qu’il ne peut pas y avoir de maladie liée au virus parce qu’il n’existe pas ou on n’a pas prouvé l’existence. Alors comment peut-il causer la maladie ou être lié à la maladie ? S’il n’y a pas de maladie, alors il ne peut y avoir de pandémie.

Quelques mots sur l’utilisation des masques comme protection contre le virus ou la pandémie : il faut noter qu’il n’y a pas eu de preuve, scientifique ou expérimentale, en faveur de la protection ou non de l’utilisation du masque. Une expérience simple et directe pourrait être menée afin d’établir la pertinence et le bénéfice promu.

Par exemple, on souffle de l’air contenant un virus dans un tube à deux sections séparées par un masque ou son matériau. Il suffit de mesurer le virus des deux côtés du masque pour voir si le virus le traverse ou non. Personne n’a réalisé une expérience aussi simple et ne peut le faire. La raison en est qu’une telle enquête nécessiterait l’échantillon de virus et un test valide pour contrôler le virus. Ces deux éléments n’existant pas, l’utilité des masques ne peut être établie.

Cela devrait être considéré comme une preuve directe et sans détour pour nier l’existence du virus et la validité du test ; cependant, même une expérience aussi simple ne peut être réalisée pour établir la présence et la propagation du virus.

Alors que dire des traitements tels que la vaccination pour lutter contre la maladie. Des vaccins ont été mis au point pour nous protéger du virus. Cependant, comme je l’ai décrit ici, personne ne trouve le spécimen du virus, comment ces vaccins ont été développés et comment a-t-on établi qu’ils tueront le virus et nous protégeront du virus.

La littérature ne fournit pas un seul exemple où il a été démontré que les vaccins tuent effectivement le virus, du moins chez l’homme. Cela ne peut être dû au fait que les spécimens de virus ne sont pas disponibles pour tester les vaccins. Il faudrait un échantillon physique pur du virus, qui n’est pas disponible ou qui n’existe pas.

Il est embarrassant de constater que la science a été banalisée et dégradée pour faire des affirmations aussi fausses. Il est urgent de mener une enquête sérieuse sur l’aspect scientifique du dépistage du virus.

Un autre aspect qui requiert l’attention est que les gens prétendent que les maladies graves et les décès observés sont des preuves de la pandémie virale. Ceci est étrange, car les experts, en particulier les médecins, soutiennent une telle affirmation pour convaincre le public de l’existence du virus et de la pandémie. En réalité, les décès ne sont pas des indicateurs du virus ou de la pandémie. Ce devrait être l’inverse, c’est-à-dire que les tests et les preuves cliniques de la maladie devraient décrire la cause du décès. Si une cause spécifique, confirmée par un test valide, est liée à de nombreux décès, au-delà du taux d’attrition normal, cela devrait indiquer un signe de pandémie. Comme il n’existe pas de test valide pour le virus et sa maladie associée COVID-19, les décès ne peuvent être classés dans la catégorie COVID-19 ou de sa pandémie.

Il semble presque certain que la maladie ou la pandémie n’est pas causée par le virus (SRAS-CoV-2) comme on le suppose généralement. Les raisons en sont les suivantes : (1) le test (PCR) souvent utilisé pour surveiller la maladie/pandémie n’a aucune pertinence ni crédibilité scientifique pour détecter ce virus ou la maladie qui lui est associée, (2) aucune autre preuve n’a été fournie pour établir l’existence du virus.

Alors, comment expliquer le nombre élevé de décès survenus au cours de l’année dernière ? Il est possible qu’ils résultent des conseils peu judicieux donnés par les scientifiques et les experts aux dirigeants politiques. En particulier, les mesures de confinement avec des conseils ou des ordres de rester à la maison et des suggestions de choix de vie malsains. Par exemple :

Concernant, les conseils ou ordres de rester à la maison :

En supposant que, selon l’avis des « scientifiques » et des « experts », la pandémie est une maladie virale, par défaut, les conseils devraient viser à renforcer l’immunité. Les conseils de rester à la maison et les couvre-feux doivent être considérés comme contre-intuitifs, improductifs et restrictifs pour le développement de l’immunité dans la lutte contre le virus. Il est tout à fait possible que l’impact négatif de la politique du « restez à la maison », qui a entraîné une baisse de l’immunité, ait conduit à des taux d’infection généraux plus élevés et peut-être à une augmentation du nombre de décès.

Annulation de chirurgies et de diagnostics électifs :

Il est toujours possible que des retards dans de tels diagnostics et traitements « électifs » puissent entraîner des résultats désastreux, y compris des décès s’ils ne sont pas pris en charge à temps. Dans l’attente d’un nombre plus élevé de « patients pandémiques », la plupart des hôpitaux ont limité leurs services au strict minimum. Pensez-y : cela ne pousserait-il pas les patients vers la mort, en particulier les personnes âgées souffrant de pathologies préexistantes, qui ne pourraient pas convaincre les hôpitaux de programmer les urgences et autres soins médicaux nécessaires ?

Mauvais diagnostic et/ou mauvais traitement :

Il est bien connu qu’une fois que les résultats du test PCR sont positifs, le traitement devient quasiment un non-traitement (c’est-à-dire une quarantaine ou un isolement). Même les traitements prophylactiques avec des médicaments bien connus (avec des profils de sécurité et d’efficacité élevés) sont pratiquement interdits ou bannis. Il est interdit à de nombreux médecins d’utiliser leur expertise et leur jugement professionnels pour prescrire des médicaments appropriés à leurs patients. Apparemment, sur les conseils de certains scientifiques et « experts », les autorités nationales ont interdit ou restreint l’utilisation de médicaments potentiellement pertinents. Ces décisions politiques peuvent avoir provoqué une augmentation des décès, du moins dans une certaine mesure. Il existe une forte possibilité d’erreur de diagnostic, ce qui peut évidemment entraîner des décès injustifiés.

Il s’agit certainement d’un échec colossal de la science médicale, de sa pratique et de la gestion des autorités réglementaires correspondantes. Il est à espérer que quelqu’un assumera la responsabilité de cette mésaventure médicale afin d’éviter qu’elle ne se reproduise à l’avenir.

En conclusion, le test par écouvillonnage ou PCR couramment utilisé pour détecter le virus et sa maladie associée COVID-19 est un test non validé, qui ne peut fournir de résultats pertinents et précis. Le virus n’a jamais été isolé, identifié avec certitude et/ou disponible sous une forme purifiée ; on ne peut donc pas dire qu’il existe. De plus, aucun traitement, y compris un vaccin, ne peut être développé ou utilisé pour quelque chose qui n’existe pas. Il est fort possible qu’un mauvais diagnostic et un mauvais traitement aient entraîné des décès supplémentaires. Cela peut être évité si les médecins ont la liberté d’utiliser leur expertise sans biaiser leur jugement par des rapports de tests PCR erronés.

À l’heure actuelle, le test n’a, d’un point de vue scientifique, aucun sens. Par conséquent, il devrait être abandonné immédiatement. Cela permettra de faire face à l’impact immédiat de la pandémie. (NdT : l’auteur se contredit puisqu’il dit qu’il n’y a pas de virus, il ne peut donc pas y avoir de pandémie)

Le sujet des tests, y compris la PCR et l’isolement du virus, relève de la chimie et devrait être traité selon les principes de la chimie pour évaluer et valider ces techniques. Afin qu’à l’avenir, il sera possible d’éviter de telles mésaventures lors d’une pandémie. (NdT : même remarque que précédemment)

Si vous souhaitez obtenir plus de détails sur la plupart des aspects que j’ai décrits ici, vous pouvez les trouver en visitant mon blog Web. (https://www.drug-dissolution-testing.com/). Je vous remercie de votre attention.

Traduction Jean Bitterlin le 22.12.2022

[Voir aussi :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]




Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

[Source : francemediasnumerique.net]

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine [NDLR en date du 29 février 2020]. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études (…). Voici l’article détaillé de Paul :


Par Paul Doyon

Mon cœur va à la Chine et à tous ses habitants qui ont tant souffert à cause de cette nouvelle « nouvelle » épidémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

Cependant, comme quelqu’un qui était devenu très malade et dont le système immunitaire s’était détérioré et qui était malade pendant six mois à la recherche de réponses avant même de soupçonner que vivre à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire était en fait ce qui causait le problème et le rendait malade, Je sens que je ne peux pas en toute conscience rester silencieux, et je soupçonne fortement que la Chine et le reste du monde cherchent sous la mauvaise pierre ce qui est réellement le problème ici.

À l’heure actuelle, avec 10 000 antennes 5G récemment installées sur sa ville, Wuhan est probablement l’une des villes les plus électropolluées par la 5G de la planète.

Avertissements d’électrosmog des scientifiques depuis plus de 40 ans

Des scientifiques, des chercheurs, des médecins et des militants respectés nous mettent en garde, depuis plus de quarante ans, contre les dangers des rayonnements sans fil et des champs électromagnétiques. En 1977, le reporter Paul Brodeur publie un livre intitulé The Zapping of America. En 1985, le regretté Dr Robert O. Becker (nominé deux fois pour le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la dédifférenciation et la redifférenciation cellulaire dans le processus de guérison) a écrit The Body Electric [Le corps électrique] et a publié plus tard Cross Currents: The Perils of Electropollution , La promesse de l’électromédecine en 1990. En 1995 (et de nouveau plus tard en 2007), B. Blake Levitt, auteur et chercheur, a publié Champs électromagnétiques : Guide du consommateur sur les enjeux et comment se protéger. Depuis lors, de nombreux autres livres et films documentaires ont été publiés sur le sujet. Et la liste continue encore et encore.

Le Dr Leif Stafford, neuro-oncologue suédois, a appelé ce déploiement sans fil :

« la plus grande expérience biologique jamais réalisée. »  1

Et le Dr Robert O. Becker a écrit en 1985 que :

Les dangers de l’électropollution sont réels et bien documentés. Elle change, souvent pathologiquement, chaque système biologique [je souligne]. Ce que nous ne savons pas, c’est exactement la gravité de ces changements, pour combien de personnes. Plus nous, en tant que société, retardons la recherche de ces connaissances, plus les dommages risquent d’être importants et plus il sera difficile de les corriger. (p. 304) 2

Et enfin, le Dr Martin Pall, PhD, et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à la Washington State University a déclaré récemment que :

Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit être l’idée la plus stupide que l’on ait eue dans l’histoire du monde. 3

La BioInitiative

En 2007, un rapport intitulé BioInitiative a été publié, il a été republié à nouveau en 2012, et des mises à jour ont été effectuées entre 2014 et 2019. Son site Web indique que :

le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs de dix pays, dix titulaires de diplômes de médecine (MD), 21 doctorats et trois MsC, MA ou MPH. Parmi les auteurs figurent trois anciens présidents de la Bioelectromagnetics Society et cinq membres à part entière de BEMS. 4

Ce sont des scientifiques très respectés provenant de certaines des universités et instituts les plus respectés au monde. 5

La BioInitiative met en garde :

… que les preuves des risques pour la santé ont considérablement augmenté depuis 2007 en raison des champs électromagnétiques et des technologies sans fil (rayonnement radiofréquence). Le rapport passe en revue plus de 1800 nouvelles études scientifiques…. Les sujets de santé comprennent les dommages causés à l’ADN et aux gènes, les effets sur la mémoire, l’apprentissage, le comportement, l’attention, les troubles du sommeil, le cancer et les maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires de toute urgence pour la protection contre les CEM [Champs électromagnétiques] et les expositions sans fil qui apparaissent désormais partout dans la vie quotidienne. 

 Voir plus de recherches scientifiques ici.

Avertissements 5G

Avec l’avènement de la toute dernière technologie sans fil, la 5G, de nombreux chercheurs, médecins et organisations professionnelles et militantes ont lancé des avertissements sanitaires concernant sa mise en œuvre. 7 8 9 10 11 12 13
Voir ici les dangers du rayonnement 5G.

Et même récemment, il y a eu des marches dans les grandes villes du monde entier pour protester contre l’avènement de cette technologie. 14

Malheureusement, pour la majorité de la population, ces avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd, l’opinion apparemment largement répandue estimant que la 5G est la meilleure chose depuis la crème glacée Ben & Jerry’s ™ Cherry Garcia ™.

Bien sûr, la minimisation des dangers est compréhensible étant donné les avantages et les commodités extrêmes que toute cette technologie a continuellement offerts à une population sans méfiance. Malheureusement, ces personnes sont aussi souvent promptes à ridiculiser et à marginaliser ceux qui essaient de mettre en garde contre ces dangers en les qualifiant de théoriciens du complot luddites portant des chapeaux d’étain, jusqu’à ce que, bien sûr, eux ou un de leurs proches tombent soudainement malades et qu’ils y voient un lien possible avec ces expositions aux CEM, et puis soudain, il y a un changement de ton, et ils se demandent rapidement ce qu’ils peuvent faire pour se protéger : par exemple, comment protéger leurs maisons et leurs bureaux, quels  compteurs CEM acheter.

À Ripon, en Californie, au sud de Sacramento, une antenne 5G a été retirée d’une école primaire, après que certains parents ont commencé à soupçonner qu’elle était liée à un certain nombre de cas de cancer dans l’école. 15

16

L’épidémie de coronavirus

La récente épidémie de COVID-19 a stimulé la peur et l’hystérie de masse à travers la planète, malgré le fait qu’il n’y a eu que 93 décès (au moment d’écrire ces lignes le 29 février 2020) en dehors de la Chine, 2835 des décès 17 et 99% des infections ayant eu lieu en Chine. 18

En fait, les taux de mortalité les plus élevés en dehors de la Chine ont été observés dans des endroits mettant déjà en œuvre la technologie 5G, en Corée du Sud et en Italie, par exemple. L’exception est l’Iran, qui compte actuellement 978 cas et 54 décès, ne l’applique pas officiellement, mais pourrait très bien le tester secrètement étant donné la raison pour laquelle

le 1er décembre 2018, à la demande du gouvernement américain, Meng Wanzhou — la directrice financière de Huawei et fille de son fondateur — a été arrêtée au Canada sur des allégations selon lesquelles elle aurait participé à un complot visant à frauder des banques en lien avec des violations des sanctions contre l’Iran, 19

était en effet parce que Huawei travaillait à vendre sa technologie 5G aux Iraniens. En fait, l’Iran – dans une opération conjointe entre Irancell et Ericsson – avait commencé à tester cette technologie dès septembre 2017. 20 Dans l’article intitulé « Irancell, Ericsson test 5G Systems » (2017) , il est précisé que :

la technologie sera disponible d’ici 2020 et deviendra mondialement accessible un an plus tard.
Lors de l’événement au siège d’Irancell, le PDG de la société, Alireza Dezfouli, a déclaré : « Nous visons à suivre le rythme des opérateurs internationaux. L’Iran ne sera plus en reste. 

En outre, un certain nombre d’articles dans les médias ont déclaré que l’Iran avait effectué des « préparatifs » et était prêt à lancer la 5G. 21 22 23 Eh bien, les préparatifs comprennent généralement des essais. Par conséquent, il est facile de croire que l’Iran a déjà mis en place l’infrastructure 5G et qu’ils l’ont secrètement testée.

La Belgique, en revanche, – qui avait décidé de ne même pas tester la 5G, et encore moins de la mettre en œuvre, en raison de problèmes de radiation 24 – n’a eu jusqu’à présent qu’un seul cas de coronavirus (récupéré) et aucun décès.

En fait, pour la majorité, les symptômes des patients en dehors de la Chine (en particulier ceux qui sont loin de la 5G), pour la plupart, ont apparemment été relativement légers, comme on le verrait très probablement avec un virus du rhume ou de la grippe ordinaire, et beaucoup de personnes [supposément] infectées [NDLR du fait des tests PCR non significatifs] ne présentant aucun symptôme.

Symptômes légers en dehors de la Chine

C’est ce qu’affirme le Dr Maria Van Kerkhove, (responsable du programme d’urgence sanitaire de l’OMS), dans l’article d’Al Jazeera continuellement mis à jour, « Que se passe-t-il si vous attrapez le nouveau virus corona ? » que « certains patients ne présentent aucun symptôme » et que :

« Vous avez des cas bénins, qui ressemblent au rhume, qui présentent des symptômes respiratoires, des maux de gorge, un écoulement nasal, de la fièvre, jusqu’à la pneumonie. Et il peut y avoir différents niveaux de gravité de la pneumonie jusqu’à la défaillance de plusieurs organes et la mort » , a- t-elle déclaré aux journalistes à Genève la semaine dernière.

Cependant, dans la plupart des cas, les symptômes sont restés légers.

« Nous avons vu des données sur environ 17 000 cas et dans l’ ensemble, 82 % d’entre eux sont bénins, 15 % d’entre eux sont graves et 3 % d’entre eux sont classés comme critiques », a déclaré Van Kerkhove. 18

De plus, dans de nombreuses vidéos YouTube 25 26 27 28 29, nous voyons des entretiens avec des patients qui ne présentent apparemment que des symptômes légers.

Un exemple est celui de Rebecca Frazier, interviewée à de nombreuses reprises dans de nombreux programmes d’information, après avoir été admise dans un hôpital de Tokyo après avoir été trouvée infectée par le COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess. Dans l’une des interviews, menée par le programme d’information néo-zélandais sur le réseau Radio New Zealand (RNZ) intitulé « Je ne me suis jamais vraiment sentie mal », par exemple, l’intervieweur déclare ce qui suit, puis poursuit l’interview de Mme Frazier :

« Incapacité, ayant besoin d’aide pour respirer et entouré de médecins en combinaison de protection contre les matières dangereuses, est peut-être l’image de référence des personnes infectées par le coronavirus. Ce n’est pas le cas pour Rebecca Frazier, qui a le Covid-19 comme on l’appelle maintenant. Curieusement, elle a l’air très bien. Elle est isolée dans un hôpital de Tokyo après avoir été testée positive pour le virus, alors qu’elle était à bord du navire de croisière Diamond Princess qui est maintenant amarré à Yokohama, en quarantaine pendant 14 jours…. Rebecca dit qu’elle est choquée d’avoir été testée positive pour le virus mortel étant donné à quel point elle se sent en forme et bien . 

« Je ne peux tout simplement pas y croire. Je ne peux pas croire que cela vous arrive. Euh. Je… Vous savez, je ne suis pas du genre à paniquer…. 

« Vous ne vous êtes pas senti bien ? Vous ne vous sentez pas bien ? 

« Non. Je ne me suis jamais vraiment senti mal. J’ai eu un peu de toux quand ils m’ont dit, et quand je suis arrivé ici, j’ai eu un peu de fièvre, mais tout cela s’est normalisé et je n’ai aucun symptôme…. ” 25

Dans une autre vidéo YouTube, 29 provenant cette fois d’une chaîne de télévision chinoise, on trouve le témoignage d’une infirmière de Wuhan qui a contracté le virus et a décidé de rester à la maison pour récupérer (ce qui aurait très bien pu être ce qui lui a sauvé la vie).

Dans la vidéo, nous la voyons vaquer à ses occupations quotidiennes comme si elle n’était qu’apparemment gênée par ce qui ne serait qu’un virus du rhume normal.

Dans un reportage de la BBC 30 sur Steve Walsh, qualifié de « super épandeur », un homme qui a apparemment été infecté par COVID-19 à Singapour et l’a apparemment propagé à de nombreux autres dans une station de ski en France, nous entendons l’un de ses voisins déclarer que

« Sa femme m’a dit au téléphone qu’en réalité il n’était pas si malade et elle pense que c’est un tas de conneries et que ce n’est pas pire que la grippe. Probablement pas aussi mauvais. » (2:20)

Alors… pourquoi se fait-il que, alors que ces personnes ne manifestent apparemment que des symptômes bénins, de nombreuses personnes en Chine, et en particulier dans la ville de Wuhan (et dans certaines autres provinces), traversent une période si difficile et beaucoup succombent malheureusement au virus, et (à défaut d’une meilleure expression) « tombent comme des mouches » ?

Au moins 10 000 antennes 5G installées à Wuhan seul

Ce qui n’est pas évident dans les reportages, c’est le fait que la Chine, dans sa précipitation pour prendre la tête de la course 5G, avait installé fin 2019 (et surtout au cours des derniers mois précédant l’épidémie de COVID-19) 130 000 antennes 5G dans tout le pays, 31 avec au moins 10 000 antennes installées rien qu’à Wuhan. 32 (À titre de comparaison, les États-Unis ne disposent actuellement que d’environ 10 000 antennes 5G installées dans tout le pays.)

Homme tenant un téléphone pour une connexion 5G

« La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait disposer de 10 000 stations de base 5G d’ici fin 2019… » 32

« Selon les rapports précédents, les trois opérateurs s’attendaient à exploiter près de 130 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019. »

Wuhan : l’une des premières villes à tester la 5G

En fait, Wuhan était l’une des 16 premières villes sélectionnées pour tester la 5G en 2018.

China Unicom commencera à tester le réseau 5G dans 16 villes, dont Pékin, Tianjin, Qingdao, Hangzhou, Nanjing, Wuhan , Guiyang, Chengdu, Shenzhen, Fuzhou, Zhengzhou et Shenyang.

China Mobile effectuera des tests externes sur le terrain et installera plus d’une centaine de stations de base 5G dans chacune des cinq villes suivantes : Hangzhou, Shanghai, Guangzhou, Suzhou et Wuhan . 34

D’après l’article « Wuhan 5G Industry Development : Five-Chain Coordination, Three-Wheel Drive » (武汉5G产业发展:五链统筹 三轮驱动), 35 (écrit en chinois) publié le 11 octobre 2019, il devient clair que Wuhan était dans une course avec d’autres villes chinoises pour se positionner à la pointe de la technologie 5G, et avec environ 10 000 antennes 5G, est probablement l’une – sinon la plus – irradiée par la 5G en Chine :

À l’heure actuelle, Wuhan saisit des opportunités de développement majeures dans la commercialisation de la 5G, avec la construction d’un réseau national 5G de première classe comme guide, avec le développement d’une industrie nationale 5G de première classe comme organe principal…

… La ville de Wuhan a pleinement mis en œuvre le « Plan de mise en œuvre de la planification et de la construction de la station de base 5G de Wuhan », avec un effort politique extraordinaire, pour guider et soutenir les entreprises de télécommunications de base et China Tower Corporation pour accélérer la construction de réseaux 5G. Cette année et l’année prochaine, Wuhan construira plus de 20 000 stations de base 5G, formera un réseau de base 5G avec une échelle de premier plan, une qualité de première classe et une démonstration solide pour assurer une couverture complète du réseau 5G dans la ville et être au premier plan parmi les villes similaires dans le pays. 35

Enfin, il a été indiqué dans un article intitulé « Réseau 5G à venir à Wuhan » (16 avril 2018), que « 3 000 macro stations de base et 27 000 micro stations de base » seraient bientôt construits, et que d’ici 2020 , le « réseau 5G couvrira tous les coins de la ville et sera disponible à un prix abordable. 36 Cela signifie qu’il peut en fait y avoir bien plus que 10 000 antennes à Wuhan, bien que 10 000 à elles seules feraient de Wuhan l’une des villes les plus concentrées en 5G au monde.

Systèmes 5G déployés dans les hôpitaux

Ce qui est également préoccupant ici, c’est que la Chine a, depuis environ novembre 2019, installé des systèmes 5G dans ses hôpitaux. 37 38 39 40

” Les principaux hôpitaux chinois, les principaux opérateurs de télécommunications et Huawei ont lancé mercredi un projet visant à établir des normes pour les réseaux basés sur la 5G dans les hôpitaux . » 37

« La Chine a publié une norme pionnière pour ses réseaux hospitaliers 5G, à la suite d’un processus de rédaction et de vérification conjoint entre les secteurs médical et des télécommunications. » 38

Systèmes 5G installés dans les hôpitaux du coronavirus de Wuhan

Recherche scientifique 5G

Et pour ajouter apparemment l’insulte à la blessure ici, Huawei n’a pas tardé à installer des systèmes 5G dans les nouveaux hôpitaux de coronavirus – l’hôpital de Wuhan Volcan Mountain et l’hôpital de Thunder Mountain – les deux hôpitaux connus pour n’avoir été construits qu’en un peu plus d’une semaine. 41 42

Les deux articles cités ici sont ironiquement intitulés, (1) « Huawei installe la 5G dans un hôpital chinois pour lutter contre le coronavirus » et (2) « Huawei construit la 5G à l’hôpital de Wuhan, vise à lutter indirectement contre le coronavirus » car cela pourrait très bien être tout le contraire de ce qu’ils ont effectivement l’intention de faire ici. Il y a aussi une vidéo intéressante sur YouTube intitulée « Les hôpitaux chinois déploient des robots pour aider le personnel médical à lutter contre l’épidémie de coronavirus », 43  démontrant cela en action.

Les télécoms chinois ont commencé à proposer la 5G commercialement en novembre 2019

Les sociétés de télécommunications chinoises ont commencé à proposer des services commerciaux 5G à leurs clients le 1er novembre de l’année dernière.

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile chinois, China Mobile, China Unicom et China Telecom, commenceront à vendre des services 5G aux consommateurs le vendredi 1er novembre dans 50 grandes villes, dont Pékin et Shanghai, a déclaré Chen Zhaoxiong, vice-ministre du ministère de l’Industrie et de la Chine. Technologies de l’information le jeudi 31 octobre lors d’une conférence à Pékin….

Le gouvernement chinois a fait de la construction de la 5G une priorité nationale, en éliminant les formalités administratives et en réduisant les coûts afin que les trois fournisseurs de services sans fil introduisent la nouvelle technologie le plus rapidement possible. « Ils en ont fait une priorité nationale. Cela fait partie de la capacité du Parti [communiste] à montrer qu’il livre la marchandise », a déclaré Paul Triolo, responsable de la géotechnologie au cabinet de conseil Eurasia Group. « Et au milieu du différend commercial et des actions contre Huawei, il est encore plus important pour la Chine de montrer qu’elle continue d’avancer malgré tous ces défis » , a- t-il ajouté….

Le gouvernement central chinois souhaite que la couverture 5G soit étendue à l’ensemble de Pékin, Shanghai, Hangzhou et Guangzhou d’ici la fin de l’année. Le plus grand opérateur du pays, China Mobile, qui compte 900 millions d’abonnés au téléphone portable, affirme qu’il sera en mesure d’offrir des services 5G dans plus de 50 villes cette année….

Environ 13 000 stations de base 5G ont été installées à Pékin, a annoncé cette semaine l’administration des communications. Environ 10 000 sont déjà opérationnelles. La Chine possède déjà un total de plus de 80 000 stations de base macro 5G, généralement des tours cellulaires avec des antennes et d’autres matériels qui diffusent des signaux sans fil sur de vastes zones, ont déclaré des responsables gouvernementaux. Voir cet article sur les tours 5G.

Ils ont déclaré que la Chine terminerait l’année avec environ 130 000 [stations], tandis que Bernstein Research estime que la Corée du Sud sera à la deuxième place avec 75 000, suivie des États-Unis avec 10 000. Piper Jaffray a estimé que sur les 600 000 stations de base 5G qui devraient être déployées dans le monde l’année prochaine, la moitié le seront en Chine. 31

Cela signifie essentiellement que la Chine avait soudainement activé le commutateur 5G, un peu moins de deux mois avant l’épidémie de COVID-19, recouvrant soudainement de nombreuses villes de ce rayonnement sans fil 5G. Et au moment d’écrire ces lignes, le nombre de cas de COVID-19 en Corée du Sud commence également à monter en flèche. Comme nous pouvons le voir dans l’article ci-dessus, la Corée du Sud possède le deuxième plus grand nombre d’antennes 5G avec 75 000. C’est beaucoup pour un pays de sa taille. Y a-t-il un lien ? Je pense qu’il y a à l’heure actuelle (29 février 2020) également le plus grand nombre de cas de coronavirus (3150) et l’un des taux de mortalité les plus élevés (17) en dehors de la Chine.

Quarante villes buvant le service 5G

Dans l’article en ligne « Ces 40 villes vont boire le service 5G », 44 publié le 7 juin 2019, il a été révélé qu’il avait été décidé que la 5G serait lancée dans 40 villes à travers la Chine en 2019 par China Mobile et China Unicom (avec aucune information spécifique de China Telecom pour le moment).

Les villes de cette liste incluses dans la province du Zhejiang étaient Hangzhou, Ningbo et Wenzhou, sans parler des endroits comme Pékin, Shanghai, Wuhan, Guangzhou, Suzhou et Shenzhen. Le plan initial, semble-t-il, appelé stratégie de déploiement de réseau 5G « 7+33+n », était d’avoir une couverture complète à Pékin, Shanghai, Hangzhou, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing et Xiong’an, avec une couverture hotspot dans les 33 autres villes, puis des réseaux 5G personnalisés dans les villes dites « n », bien que cela ait très bien pu changer car d’autres villes voulaient apparemment également une couverture complète (notez l’installation par Wuhan de 10 000 antennes 5G).

Les provinces les plus touchées par le coronavirus après Wuhan :
Zhejiang et Guangdong

Fait intéressant, à un moment donné de cette saga, les deuxièmes provinces les plus touchées (par le COVID-19) étaient les provinces du Zhejiang et du Guangdong (bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le Zhejiang ait maintenant été dépassé par le Henan). 45 Les provinces énumérées ci-dessous, en chinois, et dans l’ordre de la plupart des cas, sont (1) Hubei (湖北), (2) Guangdong (广东), (3) Henan (河南), (4) Zhejiang (浙江) et (5) Hunan .

La situation a été si mauvaise dans la province du Zhejiang que le Japon, le 12 février, a même étendu ses restrictions d’entrée au Zhejiang touché par le virus (à l’époque, il était troisième en nombre de cas de COVID-19).

Il comprend les villes de Hangzhou et Wenzhou, qui comptent parmi les plus fortes concentrations de cas de coronavirus du pays. Hangzhou abrite le siège social d’Alibaba Group Holding, tandis que Wenzhou est connue comme le berceau des petites entreprises. 46

Sur la carte (Wikipédia) ci-dessous 47 , la province du Zhejiang est la province rouge plus foncée à droite et la province du Guangdong est la province rouge plus foncée en bas. La province rouge la plus foncée au milieu est le Hubei avec Wuhan en son centre. La province du Henan est au-dessus de la province du Hubei et la province du Hunan est en dessous.

Attribution : Wikimédiens / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)

Ces villes (Hangzhou, Wenzhou et Ningbo) ont également été sélectionnées pour tester la 5G dans la province du Zhejiang.

Ookla 5G Maps 48 suit le déploiement de la 5G dans le monde, le nombre de télécommunications offrant un service 5G dans diverses villes de Chine.

Dans la ville de Hangzhou, les trois télécoms chinois fournissent un service 5G dans la ville ; alors qu’à Ningbo, seuls deux le sont, et à Wenzhou, un seul (China Mobile) l’est.

Les trois villes de la province du Zhejiang avec le plus de cas ont été Hangzhou (168 cas), Ningbo (156 cas) et Wenzhou (503 cas), 50 qui sont aussi curieusement les villes sélectionnées pour tester la 5G. La ville proprement dite de Wenzhou elle-même (bien que lorsque l’on inclut les préfectures extérieures, le total s’élève à 9 millions), par exemple, avec seulement 200 000 habitants, compte un nombre excessivement élevé de personnes infectées par le COVID-19, et la ville a été en confinement.

Mais comme vous pouvez le voir dans certains des articles sélectionnés ci-dessous, il y a eu une poussée majeure dans cette ville pour mettre en œuvre et couvrir leurs villes avec la technologie 5G. 

Dans l’article en ligne « China Tower Built 8400 5G Stations in Zhejiang » 51 (21 octobre 2019), il est révélé que 8400 stations de base 5G ont récemment été installées dans la province du Zhejiang, avec 4775 (sur une commande de 6154) installés rien qu’à Hangzhou, et 3 200 d’entre elles installées en 100 jours (en un peu plus de trois mois).

China Tower a construit 8400 stations 5G dans le Zhejiang

Selon un responsable de China Tower (Zhejiang), depuis cette année, elle a entrepris plus de dix mille demandes de construction 5G. A ce jour, 8397 stations ont été achevées, dont plus de 96 % ont été construites sur les sites des stations de stockage. À Hangzhou, depuis cette année, 6 154 demandes 5G ont été acceptées et 4775 ont été achevées et livrées, dont 93 % sont directement satisfaites et transformées via les sites des stations de stockage.

Dans le centre-ville de Hangzhou, après avoir reçu la demande de construction 5G de trois entreprises de télécommunications, China Tower (Zhejiang), avec le soutien du gouvernement, a achevé 3200 stations de base 5G dans la région pittoresque de West Lake, le centre sportif olympique et d’autres scènes à moins de 100 jours, et ont coopéré avec les entreprises de télécommunications à une installation rapide complète et mise au point de l’équipement, en fonction des salles de télécommunications existantes, des armoires, des installations de soutien électriques et antenne 5G ajoutés sur les sites de la station d’actions, lampadaires de la rue, les bâtiments, etc.  51

Dans un autre article en ligne, publié en chinois, « China Tower installe 8 400 antennes 5G dans le Zhejiang, 96 % sur la base de sites existants », [中国铁塔在浙江建成8400个5G站址,96%基于既有站址], 52 on peut voir China Tower recouvrir Hangzhou d’antennes 5G en très peu de temps.

Dans cet article, il est indiqué que « le Zhejiang est l’une des premières provinces du pays à commencer à construire des réseaux 5G » et que « China Tower Zhejiang Company… a lancé l’accélération de la construction 5G au cours de la première année de commercialisation de la 5G… ». Et de plus , « plus de 10 000 exigences de construction 5G ont été entreprises depuis cette année », avec « 8397 sites… achevés ».

Il devient clair que la province du Zhejiang, qui abrite le géant de la technologie Alibaba, est l’une des provinces qui devrait devenir l’une des premières à introduire la 5G. Dans l’article suivant, « La région du Delta pour construire un hub de communication d’informations de classe mondiale », 53 (Mise à jour : 01-11-2019), il est indiqué qu’avec la commercialisation des services 5G le 31 octobre,

[cinquante] villes ont été sélectionnées pour devenir parmi les premières à accéder aux services commerciaux 5G, dont 10 villes de la région du delta du fleuve Yangtze (YRD), dont la moitié sont dans la province du Zhejiang – Hangzhou , Ningbo, Wenzhou , Jiaxing et Shaoxing.

Il est en outre indiqué que les trois sociétés de télécommunications plus China Tower investiraient dans la région un total de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars US) pour la construction de l’infrastructure 5G afin de « la transformer en un centre de communication d’informations de classe mondiale. 

Selon un plan de développement pour la région publié en 2016, China Telecom, China Unicom, China Mobile et China Tower prévoient d’investir plus de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars) dans la construction d’infrastructures 5G dans la région d’ici 2021 pour aider à « la construire en un centre de communication de l’information de classe mondiale » promouvant « l’utilisation pilote du réseau et des applications 5G par la région » et indiquant « clairement que la région YRD sera la première en Chine à effectuer un essai d’utilisation commerciale des services 5G », tout en visant à « réaliser la couverture du réseau 5G dans toute la province d’ici 2025 ». 53

La ville côtière de Wenzhou la plus touchée dans la province du Zhejiang

Dans la province du Zhejiang, les villes de Hangzhou, Ningbo et Wenzhou comptent le plus grand nombre de cas de COVID-19. Ce sont également les principaux endroits où la 5G a été installée jusqu’à présent dans la province.

covid-19

Wenzhou, une ville chinoise relativement faible, a le plus grand nombre démesurément – actuellement 503 – des cas dans la province du Zhejiang, et a été en confinement 54 depuis le 2 février lorsque le nombre de cas a atteint 304.

Wenzhou : Internet et hub 5G

Au cours de la dernière année, il y a eu de nombreuses conférences dans cette petite ville faisant la promotion directe ou indirecte de la 5G. 55 56 57

Par exemple, la Conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie s’y est ouverte en septembre de l’année dernière et la sixième Conférence mondiale sur l’Internet s’y est ouverte en octobre de l’année dernière. La conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie a présenté les dernières technologies IoT de pointe et les applications 5G pour les technologies Big Data et les plateformes IoT. La sixième conférence Internet mondiale (trois jours) a réuni plus de 1 500 participants de plus de 70 pays et régions, dont des lauréats du prix Nobel et des dirigeants de grandes entreprises technologiques comme Qualcomm, Alibaba et Huawei.

Dans un article intitulé « Experience the construction of 5G base stations under high temperature », publié en chinois (体验高温下5G基站建设) 58 le 26 août 2019, il est indiqué que « Wenzhou est l’un des premiers pilotes 5G villes des trois principaux opérateurs, et la couverture du réseau 5G bat son plein. 

Dans un autre article, « Wenzhou montre une grande ambition dans l’industrie de l’IoT », 59 (10 septembre 2019), il est en outre déclaré :

« Wenzhou est en train de devenir une ville pilote pour la construction de villes intelligentes et les applications 5G en Chine » , a déclaré Chen. « Il existe désormais 13 centres de cloud computing, plus de 500 stations de base 5G et plus de 10 000 bases IoT à bande étroite dans la ville. »

Enfin, en regardant encore un autre article publié environ six mois plus tard intitulé « Le premier cas dans le Zhejiang ! La ligne S1 est la première à atteindre une couverture complète des signaux mobiles 5G » (19 janvier 2020), (également publié en chinois, 浙江首例!S1线率先实现移动5G信号全覆盖) 60 qui se délecte du signal 5G pénétration le long de la «ligne S1 aéroport de Longwan-Wenzhou South High Speed ​​Rail», il devient évident que Wenzhou a également participé à la course 5G pour recouvrir sa ville d’ondes électromagnétiques 5G.

Champs électromagnétiques (CEM) et système immunitaire

Les rayonnements sans fil de 1G à 5G ont tous émis des “champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) (CEM)” modulés et il existe littéralement des milliers d’études montrant les effets biologiques des expositions aux ondes électromagnétiques artificielles, et parmi celles-ci, des centaines montrent des effets biologiques sur le système immunitaire.

Pour ne donner qu’un exemple, les recherches de Kolomytseva et coll. (2002) décrit dans l’article « Suppression de la résistance non spécifique du corps sous l’effet d’un rayonnement électromagnétique de fréquence extrêmement élevée et de faible intensité », 61 a constaté qu’avec :

exposition du corps entier de souris en bonne santé à un rayonnement électromagnétique de faible intensité à très haute fréquence (EMR EHF, 42,0 GHz, 0,15 mW/cm2, 20 min par jour)… l’activité phagocytaire des neutrophiles du sang périphérique a été supprimée d’environ 50 % (p < 0,01 par rapport au témoin exposé de manière fictive) en 2-3 h après l’exposition unique à EHF EMR…

et que :

… l’effet a persisté pendant 1 jour après l’exposition, puis l’activité phagocytaire des neutrophiles est revenue à la norme dans les 3 jours.

Et en plus :

une modification significative du profil sanguin leucocytaire chez les souris exposées à l’EHF EMR pendant 5 jours a été observée après l’arrêt des expositions : le nombre de leucocytes a augmenté de 44 % (p < 0,05 par rapport aux animaux exposés de manière fictive), principalement en raison d’une augmentation de la teneur en lymphocytes.

Ils ont conclu que :

les résultats ont indiqué que l’exposition du corps entier de souris en bonne santé à un EMR EHF de faible intensité a un effet profond sur les indices d’immunité non spécifique.

Dans un article 62 (écrit par moi-même avec le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska) – qui, je crois, offre l’hypothèse la plus solide à ce jour sur les principaux mécanismes par lesquels les CEM désactivent en fait le système immunitaire – un certain nombre de ces effets sur le système immunitaire sont énumérés dans les citations.

Johansson (2012) détaille plus en détail, dans la section 8 de la BioInitiative , « Evidence for EMF Effects on the Immune System », 63  de nombreuses études démontrant ces effets, en particulier en ce qui concerne la façon dont les CEM radiofréquences modifient le système immunitaire.

Dans l’article d’Aljazeera mentionné précédemment 18, il est indiqué qu’une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, le 24 janvier, a trouvé :

ce qu’il a appelé une « tempête de cytokines » chez les patients infectés qui étaient gravement malades. La condition est une réaction immunitaire sévère dans laquelle le corps produit des cellules immunitaires et des protéines qui peuvent détruire d’autres organes.

Par conséquent, il convient de noter ici qu’il existe, en fait, de nombreuses études de recherche montrant un effet des CEM sur les cytokines : une recherche PubMed, par exemple, a produit 119 résultats de recherche. 64

En 1998, un biologiste du nom de Roger Coghill a mené une expérience dans laquelle il « a prélevé des globules blancs, appelés lymphocytes, d’un donneur » et les a maintenus en vie grâce à l’utilisation de nutriments tout en les exposant soit aux radiations d’un téléphone portable, soit au champ électromagnétique naturel du corps humain. Il a découvert que parmi les cellules immunitaires exposées aux radiations des téléphones portables, seulement 13 % restaient intactes et capables de fonctionner correctement ; alors que, parmi les cellules exposées uniquement au champ électromagnétique naturel du corps, 70 % sont restées intactes et capables de fonctionner correctement. Naturellement, bien que ses recherches aient fourni un aperçu, il a été attaqué et critiqué par l’industrie du sans fil pour être « non scientifique ».

Le Dr Robert O. Becker (1985) a écrit sur la façon dont le système immunitaire est affaibli par les champs électromagnétiques artificiels via l’induction d’un « stress subliminal » :

Initialement, le stress active le système hormonal et/ou immunitaire à un niveau supérieur à la normale, permettant à l’animal d’échapper au danger et de combattre la maladie. Si le stress persiste, les niveaux d’hormones et la réactivité immunitaire diminuent progressivement pour revenir à la normale. Si vous arrêtez votre expérience à ce stade, vous avez apparemment raison de dire : « L’animal s’est adapté ; le stress ne fait pas de mal. Néanmoins, si les conditions de stress persistent, les niveaux hormonaux et immunitaires diminuent encore, bien en dessous de la normale. En termes médicaux, la décompensation du stress s’est installée et l’animal est désormais plus sensible à d’autres facteurs de stress, notamment la croissance maligne et les maladies infectieuses.

… Un aspect du syndrome était très déroutant. En subissant ces changements hormonaux, un animal serait normalement conscient que son corps était attaqué, pourtant, pour autant que nous puissions en juger, les lapins ne l’étaient pas. Ils ne montraient aucun signe extérieur de peur, d’agitation ou de maladie. La plupart des humains ne seraient certainement pas capables de détecter un champ magnétique de 100 gauss, du moins pas consciemment. Ce n’est que plusieurs années après les travaux de Friedman que quelqu’un a découvert comment cela se produit.

En 1976, un groupe dirigé par JJ Noval au Naval Aerospace Medical Research Laboratory de Pensacola, en Floride, a trouvé la réponse lente chez les rats à des champs électriques très faibles, aussi bas que cinq millièmes de volt par centimètre. Ils ont découvert que lorsque de tels champs vibraient dans la gamme ELF, les niveaux du neurotransmetteur acétylcholine dans le tronc cérébral augmentaient, apparemment d’une manière qui activait un signal de détresse de manière subliminale, sans que l’animal ne s’en rende compte. Le plus effrayant était que les champs utilisés par Noval se situaient bien en deçà des niveaux de fond d’un bureau typique, avec son éclairage au plafond, ses machines à écrire, ses ordinateurs et d’autres équipements. Les travailleurs dans un tel environnement sont exposés à des champs électriques compris entre un centième et un dixième de volt par centimètre et des champs magnétiques entre un centième et un dixième de gauss. (p. 277-278)2

CEM Affaiblissement du système immunitaire

Il suffit de dire que, même si les mécanismes par lesquels les CEM affaiblissent le système immunitaire sont multiples, il ne fait aucun doute que les CEM peuvent effectivement avoir un effet négatif sur le système immunitaire.

La 5G est beaucoup plus puissante et dangereuse que ses prédécesseurs

Le déploiement de la 5G – qu’il s’agisse de la phase d’essai ou de la phase de mise en œuvre – a déjà commencé dans la plupart des grands pays développés du monde, la majorité des autres se préparant apparemment pour ses débuts.

La Commission européenne a demandé à chaque État membre de sélectionner une ville pour être prête pour la 5G d’ici 2020 dans le cadre du plan d’action 5G de l’UE pour un marché unique numérique. La Commission européenne a demandé aux pays membres de l’UE de commencer à tester la 5G dans au moins une ville pour la préparer à la 5G d’ici 2020 dans le cadre de son « Plan d’action 5G pour un marché unique numérique ».

La Belgique a refusé – même la phase d’essai, sans parler de la phase de mise en œuvre – en raison des niveaux de rayonnement plus élevés que la 5G apporterait, ce qui était bien au-dessus de ce que ses normes de rayonnement autorisaient. La Suisse a commencé à la fois avec les essais et la mise en œuvre, et il a été dit qu’elle mettait un terme à la poursuite du déploiement, en raison de toutes les plaintes concernant les effets sur la santé qu’elle produisait, mais semble malheureusement continuer le déploiement. D’autres pays ont apparemment simplement abaissé leurs normes probablement parce qu’ils ne pouvaient pas résister à la meilleure chose à côté de la crème glacée Chunky Monkey de Ben & Jerry. Et les États-Unis et la Chine ont apparemment été dans une course 5G pour couvrir leurs pays de ce rayonnement 5G (et très probablement par inadvertance du coronavirus), la Chine semblant maintenant gagner sur ces deux fronts.

La 5G a été divisée en bandes passantes faible, moyenne et élevée. Les fréquences de bande passante faible à moyenne « sont contiguës et vont de 600 MHz à 6 GHz » 66 et ont été utilisées pour la 1G-4G au cours des quarante dernières années. D’autre part, les bandes passantes d’ondes millimétriques à plus haute fréquence sont de nouvelles fréquences commençant à environ 24 GHz (aux États-Unis en tout cas), et n’ont pas été utilisées pour les services commerciaux de téléphonie cellulaire aux États-Unis jusqu’à récemment, avec l’arrivée de ces services commerciaux 5G.

Pour l’essentiel, à l’heure actuelle, la plupart des 5G se situent désormais dans la plage de bande passante faible à moyenne, avec une couverture limitée en ondes millimétriques élevées, bien que cela changera probablement au fur et à mesure que la technologie se développera et sera mise en œuvre. En outre, la technologie 5G est mise en œuvre parallèlement à la technologie 4G déjà en place. La technologie 5G apporte à la fois des macrostations de base plus grandes et des microstations de base plus petites installées entre les plus grandes stations de macro-base. Et parce que ces microstations de base sont souvent plus proches des maisons des gens dans les zones résidentielles, selon Oram Miller, spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment (EMRS) :

nous mesurons maintenant des niveaux RF plus élevés dans les maisons des clients, en particulier dans les chambres du deuxième étage (lisez l’article de Lloyd sur les CEM dans les chambres), jusqu’à des dizaines à des centaines de milliers de microWatts/mètre carré (uW/m2) à partir de ces nouvelles antennes,

tandis que :

la profession de la biologie du bâtiment et les experts EMF du monde entier affirment que 10 microwatts par mètre carré ou moins sont sans danger pour les zones de couchage (en fait, 0,1 uW/m2 est notre niveau « aucune anomalie » pour les zones de couchage). Voici une liste d’experts EMF .

De plus, alors que nous avons augmenté le spectre de 1G à 5G, à chaque nouvelle génération, il y a eu une modulation accrue, et une modulation accrue signifie des effets biologiques accrus et des dommages biologiques pour toute la vie sur cette planète. La 5G ne fait pas exception. Oram Miller continue d’expliquer :

Toutes ces technologies avancées envoient plus de signaux cellulaires dans le même espace aérien à des vitesses plus rapides avec beaucoup plus de modulation que les technologies cellulaires 4G actuelles.

Et…

Cette modulation des signaux cellulaires transmis dans les bandes basses et moyennes par les nouvelles petites radios et antennes 5G et 4G LTE-Advanced apparaissant partout représente probablement la majorité des personnes vivant à proximité de ces antennes qui signalent l’apparition de symptômes de santé jamais ressentis auparavant.

Dr Martin Pall, Ph.D. (Professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales, Washington State University), – qui a attiré l’attention du monde sur le fait que les CEM causent des dommages biologiques via l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants (VGCC), permettant un flux excessif d’ions calcium à l’intérieur de la cellule et l’incitation à la production d’oxyde nitrique (NO) via la stimulation de l’enzyme oxyde nitrique synthase pour former une multitude d’espèces réactives de l’oxygène via des effets en aval 67 – a averti que le déploiement de la 5G aurait des effets délétères massifs sur la population mondiale , sans parler de toutes les formes de vie. Il pense que la 5G sera beaucoup plus dangereuse pour les raisons suivantes :

1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
2. Les rendements énergétiques très élevés qui seront utilisés pour assurer la pénétration.
3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés du capteur de tension. 68

Dans un article récent intitulé « Massive Predicted Effects of 5G » (17 décembre 2019), 69 Pall déclare que « étant donné le niveau de pulsation élevé pour le rayonnement 5G, même de courtes expositions peuvent bien produire des effets biologiques graves », sans parler des densités de puissance jusqu’à 30 fois plus élevées que les systèmes précédents de 1G à 4G et avec une pénétration améliorée via le composant magnétique. Il prédit qu’avec l’activation à part entière de la 5G (par rapport à sa phase d’essai, où il y a encore peu de communication avec la 5G), nous verrons :

  • (1) une diminution de la reproduction humaine,
  • (2) une diminution du cerveau collectif fonctionnelle,
  • (3) une maladie d’Alzheimer à début très précoce,
  • (4) une augmentation de l’autisme et du TDAH,
  • (5) une détérioration du patrimoine génétique humain et
  • (6) une augmentation massive des arrêts cardiaques.

Tout en suivant le déploiement de la 5G, il a suivi de nombreux signes de ses effets biologiques. Par exemple, il a décrit l’augmentation des effets neuropsychiatriques, des effets cardiaques et de l’hypersensibilité électromagnétique, tirée d’articles en ligne suisses, 70 71 comme ce que nous commençons déjà à voir avec l’avènement de cette technologie :
• Augmentation de l’insomnie, des acouphènes, des maux de tête, incapacité à se concentrer et fatigue.
• Augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique (EHS).
• Augmentation des arythmies cardiaques.

Il rapporte que bien que ces effets aient été signalés auparavant avec des études d’exposition professionnelle et des études sur les compteurs intelligents, « les effets semblent être beaucoup plus graves après [le déploiement de] la 5G  » avec « une apparence encore plus grave [à publier] 5G neuropsychiatrique. effets [apparaissant] dans le sud de la Californie », avec leur propre déploiement massif récent de la 5G.

En outre, il déclare que « nous avons toutes les raisons de croire que tout système 5G à part entière, communiquant avec ‘l’internet des objets’, produira des effets encore bien plus importants que n’importe laquelle de ces découvertes initiales. » Cela pourrait très bien être ce que nous voyons dans la ville de Wenzhou, dans la province du Zhejiang, en Chine – qui a déjà mis en œuvre cette technologie avec la 5G – avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, et qui sait quelles autres augmentations des effets sur la santé (par exemple, augmentation des problèmes cardiaques, de la cécité, de l’hypersensibilité électromagnétique, etc.) il y a eu qui n’ont pas été rendus publics ?

Il explique plus en détail – en corrélation avec les tests 5G – les suicides des services d’ambulance 5G au Royaume-Uni, 72 les cas de panique chez les bovins aux Pays-Bas, 73 et les comportements bizarres et agressifs chez les bovins et les moutons en Allemagne, 74 les malformations congénitales en Allemagne et en France, 75 76 et des centaines d’oiseaux tombant du ciel en raison d’un arrêt cardiaque soudain pendant trois jours de tests 5G dans un parc près de Rotterdam, 77 et la liste s’allonge encore et inclut également la mort d’insectes et l’augmentation des incendies en Corée du Sud. 78 79

(Voir aussi l’article sur la 5G est-elle dangereuse ? )

[Voir aussi :
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

La 5G pourrait-elle rendre le coronavirus plus virulent ?

Lorsque nous regardons la vidéo suivante, il devient évident que les formes de vie plus petites comme les insectes sont en effet plus sensibles à ce rayonnement micro-ondes sans fil, cet exemple clair ne provenant que du radar :

Cette photo montre des pucerons sur la feuille d’un oranger. Peu de temps après l’installation du radar dans un aéroport voisin il y a quelques années, j’ai remarqué que toutes les quelques secondes, tous les pucerons se tendaient à l’unisson et faisaient une sorte de petite danse, comme vous le voyez sur la photo. Après une enquête plus approfondie, j’ai trouvé que l’intervalle de temps entre l’activité de chaque danse, coïncidait exactement avec la rotation du dispositif de rotor de radar à l’aéroport, qui était une distance d’environ quatorze milles.

Dans la vidéo suivante, le Dr Dietrich Klinghardt parle d’une expérience au cours de laquelle des moisissures exposées aux CEM ont proliféré :

Je vais maintenant faire le lien avec les champs électromagnétiques. Un médecin suisse que je connais et qui est l’un des principaux chercheurs européens dans le domaine des moisissures a réalisé une belle expérience. Il a fait pousser des cultures de moisissures sous une cage de Faraday ressemblant simplement à un manteau d’argent, qui ressemble à une moustiquaire, faite d’un tissu recouvert d’argent. Il l’a drapé sur la culture de moisissures. Et il a mesuré combien de mycotoxines, combien de toxines, sont produites par ces moisissures sur une base quotidienne. Très facile à faire. Puis il a soulevé la moustiquaire et a exposé la culture de moisissures aux radiations électromagnétiques ambiantes de son laboratoire, causées par les lumières allumées, par l’ordinateur dans le coin, et surtout, comme il l’a découvert plus tard, par les radiations ambiantes des téléphones portables, provenant de la tour de téléphonie mobile voisine qui diffusait des radiations de téléphones portables. Il a découvert que la production de biotoxines dans cette culture a été multipliée par plus de 600. Non seulement la moisissure a soudainement produit beaucoup plus de mycotoxines pour se protéger, mais aussi des mycotoxines beaucoup plus virulentes, beaucoup plus vicieuses, plus toxiques. Et j’ai pris cette expérience comme une grosse ampoule qui s’est allumée pour moi…..

Et si le même genre de chose se produisait avec le rayonnement 5G et le coronavirus ? Pall (2020) énumère dans une version plus récente de son article 80 (précédemment mentionné) un certain nombre d’études qui en fait soutiennent fortement cette théorie.

La question qui est soulevée ici n’est pas de savoir si la 5G est responsable du virus, mais plutôt si le rayonnement 5G, agissant via l’activation du VGCC, peut exacerber la réplication virale ou la propagation ou la létalité de la maladie.

Revenons en arrière et examinons l’histoire récente de la 5G à Wuhan afin d’avoir une certaine perspective sur ces questions. Un article d’Asia Times, daté du 12 février 2019, a déclaré qu’il y avait 31 stations de base 5G différentes (c’est-à-dire des antennes) à Wuhan à la fin de 2018.
Des plans ont été élaborés plus tard, de sorte qu’environ 10 000 antennes 5G seraient en place au fin 2019, la plupart d’entre eux étant équipés de lampadaires intelligents à LED 5G.
Le premier lampadaire intelligent de ce type a été mis en place le 14 mai 2019, mais un grand nombre n’a commencé à être mis en place qu’en octobre 2019, de sorte qu’il y a eu un rythme effréné d’un tel placement au cours des 2 derniers mois et demi de 2019.

Ces résultats montrent que le rythme rapide de l’épidémie de coronavirus s’est développé au moins à peu près à mesure que le nombre d’antennes 5G est devenu extraordinairement élevé. Nous avons donc cette découverte que la première ville intelligente et autoroute intelligente 5G de Chine est l’épicentre de cette épidémie et cette découverte que l’épidémie n’est devenue rapidement plus grave que lorsque le nombre d’antennes 5G a monté en flèche.

Ces résultats sont-ils une coïncidence ou la 5G a-t-elle un rôle causal dans l’exacerbation de l’épidémie de coronavirus ? Afin de répondre à cette question, nous devons déterminer si les effets en aval de l’activation de VGCC exacerbent la réplication virale, les effets de l’infection virale, en particulier ceux qui ont un rôle dans la propagation du virus et également le mécanisme par lequel ce coronavirus provoque la mort. . Ainsi, la réplication de l’ARN viral est stimulée par le stress oxydatif : J Mol Biol. 28 novembre 2008 ; 383 (5) : 1081-96. Modes d’oligomérisation variables dans la protéine non structurale du coronavirus 9. Ponnusamy R, Moll R, Weimar T, Mesters JR, Hilgenfeld R.

D’autres aspects de la réplication virale, y compris ceux impliqués dans la propagation du virus, sont stimulés par l’augmentation du calcium intracellulaire [Ca2+]i, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose, chacun étant augmenté après l’exposition aux CEM. La première citation ci-dessous montre un rôle important de l’activation de VGCC dans la stimulation de l’infection à coronavirus.

  • Virologie. 2 janvier 2020 ; 539 : 38-48. Le deltacoronavirus porcin (PDCoV) module l’afflux de calcium pour favoriser la réplication virale. Bai D, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Calcium cellulaire. 2018 novembre ; 75:30-41. La signalisation Ca2+ dépendante du NAADP régule la translocation du pseudovirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient-coronavirus à travers le système endolysosomal. Gunaratne GS, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Protéome Sci. 8 mars 2011; 9:11. Analyse protéomique de la trachée embryonnaire de poulet et des tissus rénaux après infection in ovo par le coronavirus de la bronchite infectieuse aviaire. Cao Z, et al.
  • Res Vet Sci. Juin 2015 ; 100 : 12-7. Biomarqueurs sériques du stress oxydatif chez les chats atteints de péritonite infectieuse féline. Tecles F, et al.
  • J Infecter Dis. 15 mars 2008;197(6):812-6. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase augmente l’infection par le coronavirus humain. Wu YH et al.
  • J Virol. Juin 1998 ; 72(6) : 4918-24. Le coronavirus de gastro-entérite transmissible induit la mort cellulaire programmée dans les cellules infectées par une voie dépendante de la caspase. Eleouet JF, et al.

La principale cause de décès par ce coronavirus est la pneumonie. La pneumonie est fortement exacerbée par chacun de ces cinq effets en aval de l’activation du VGCC, le calcium intracellulaire excessif, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La première des citations énumérées ci-dessous montre que les inhibiteurs calciques, le même type de médicaments qui bloquent les effets des CEM, sont utiles dans le traitement de la pneumonie. Cela prédit que les CEM, agissant via l’activation du VGCC, produiront une pneumonie de plus en plus grave et que le rayonnement 5G ainsi que d’autres types de CEM pourraient bien augmenter les décès par pneumonie.

  • Zheng et al. 2016 Utilisation avant l’admission d’inhibiteurs calciques et résultats après une hospitalisation pour pneumonie : étude de cohorte rétrospective correspondant à la propension. Suis J Ther. 2017 janv/fév;24(1):e30-e38.
  • Fang et al. 2017 Activation de la calpaïne dépendante de la pneumolysine et sécrétion d’interleukine-1α dans les macrophages infectés par Streptococcus pneumoniae. Infecter Immun. 18 août 2017 ; 85(9). pii : e00201-17.
  • Fettel et al. 2019 La sphingosine-1-phosphate (S1P) induit de puissants effets anti-inflammatoires in vitro et in vivo par la suppression de l’activité 5-lipoxygénase médiée par le récepteur S1P 4. FASEB J. 2019 fév;33(2):1711-1726.
  • Liu et Shi. 2019 Régulateur du canal chlorure activé par le calcium 1 (CLCA1) : Plus qu’un régulateur du transport du chlorure et de la production de mucus. World Allergy Organ J. 2019 Nov 29;12 (11):100077.
  • Sci Rep. 2018 Oct 18;8 (1):15393. La protéine tensioactive D atténue les lésions pulmonaires et rénales aiguës dans la septicémie induite par la pneumonie en modulant l’apoptose, l’inflammation et la signalisation NF-κB. Du J, et al.
  • Curr Neurovasc Res. 28 janvier 2020. Le microARN (miR)-429 favorise les lésions inflammatoires en ciblant le facteur 4 de type kruppel (KLF4) dans la pneumonie néonatale. Zhang L, et al.
  • Science de la vie. 1er juillet 2019 ; 228 : 189-197. L’ARN long non codant SNHG16 cible miR-146a-5p/CCL5 pour réguler l’apoptose et l’inflammation des cellules WI-38 induites par le LPS dans la pneumonie aiguë. Zhou Z, et al.

Tous soutiennent que le rayonnement 5G est susceptible d’exacerber considérablement la propagation du coronavirus et d’augmenter considérablement la létalité des infections qu’il produit. La bonne nouvelle est qu’il est probable que ceux d’entre nous qui vivent dans des zones sans rayonnement 5G et qui évitent les autres CEM dans la mesure du possible échapperont probablement à une grande partie des impacts de cette future pandémie mondiale.

Il est fort probable que l’une des meilleures choses que Wuhan puisse faire pour contrôler l’épidémie dans la ville soit de désactiver le système 4G/5G.

[Note de Joseph : de nombreux articles du dossier Vaccins et virus concourent à démontrer que la virologie n’est pas une science, mais ressemble plutôt à une religion, et que la théorie virale est fallacieuse, voire frauduleuse. Il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de virus pathogènes qui seraient responsables de maladies prétendument virales. Et les apparentes contagions proviennent le plus souvent de l’exposition à une cause toxique commune, comme ici la 5G. Les rares cas d’épidémies apparentes inexplicables par une cause commune peuvent provenir du mécanisme exposé dans l’article Communication entre organismes vivants par biophotons.
Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques (sachant que le corps est très majoritairement composé d’eau).]

Agences capturées et détournement de la science

Et vous pourriez vous demander : « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce problème ? » ou vous pourriez vous dire que « les autorités ont certainement à cœur nos meilleurs intérêts lorsqu’elles prennent ce genre de décisions ».
Eh bien, dans une récente critique de livre 81 du livre Triumph of Doubt (de David Michaels, 2020), Kathleen Rest, directrice exécutive, Union of Concerned Scientists (UCS), (14 février 2020) décrit comment la tromperie est utilisée pour fabriquer le doute et l’incertitude dans les manuels de relations publiques de nombreuses industries :

• Attaquer la science. Cette boîte à outils contient de nombreux outils : commander de nouvelles études [prétendument] « scientifiques » pour réanalyser les données existantes avec des méthodologies biaisées vers des résultats prédéterminés ; passer en revue la littérature et les évaluations des risques pour remettre en question le poids de la preuve; publier ces revues et réanalyses dans des revues scientifiques sélectionnées ; magasiner et embaucher des experts dits « indépendants » pour remettre en question la science ; fournir des extraits sonores savoureux et à contre-courant pour les médias et la consommation publique ; et plus.
• Créer et déployer des groupes de façade aux noms anodins pour saper la science, influencer l’opinion publique et accéder aux décideurs politiques tout en maintenant l’illusion d’indépendance.
• Harceler et intimider les scientifiques indépendants dont la recherche démontre ou suggère un préjudice. Ou bien, privilégiez les institutions universitaires et les scientifiques en leur fournissant une forme de soutien financier tout en vernissant leur image d’intérêt public.
• Submerger les organismes de réglementation de commentaires sur les réglementations proposées.
• Utiliser leur argent, leur pouvoir et leur accès démesurés pour influencer les actions/inactions des décideurs politiques élus et des responsables des agences. (Oh, et il y a aussi cette porte tournante bien huilée. Il suffit de regarder combien de dirigeants d’agences et de décideurs de l’administration Trump viennent directement des industries qu’ils sont maintenant censés réglementer.)

Une autre tactique que j’ai remarquée est que ces personnes semblent utiliser est d’inscrire leur matériel sur une liste de discussion pour faire des déclarations complètement farfelues afin que les médias couvrent l’affaire et essaient de faire passer toutes les personnes impliquées pour des fous furieux, ce qu’un public peu méfiant est prompt à consommer et à croire. C’est ce qui semble se passer actuellement avec cette question. En savoir plus sur la dissimulation des CEM.

Certes, la façon dont les gouvernements et les entreprises occidentaux manipulent l’opinion publique est différente de la façon dont cela pourrait être fait en Chine, car dans ce dernier cas, il existe un contrôle gouvernemental strict (par exemple un pare-feu Internet) sur ce qui est autorisé et non autorisé à être consulté sur Internet, etc. Par conséquent, ils n’auront peut-être pas vraiment besoin d’utiliser le manuel ci-dessus et c’est peut-être la raison pour laquelle ils ont pu agir si rapidement pour mettre en œuvre cette technologie. Mais à quel prix ?

« Tout doit être pris en compte.
Si le fait ne correspond pas à la théorie – laissez tomber la théorie… Les vraies preuves sont généralement vagues et insatisfaisantes. Elles doivent être examinées, passées au crible. »

Agatha Christie

Comme le dit Agatha Christie, « Tout doit être pris en compte ». Ignorer – en particulier ignorer volontairement – tous les facteurs de causalité très possibles – en particulier les champs électromagnétiques – à mon humble avis, n’est tout simplement pas une bonne science, si vous pouvez appeler cela de la science.

Selon le Dr Martin Pall, Ph.D. :

L’échec des « directives de sécurité » à prédire les effets biologiques et donc la sécurité signifie que ce ne sont pas des directives de sécurité. Par conséquent, toute affirmation de sécurité faite par l’industrie des télécommunications de plusieurs milliards d’euros sur la base de ces « directives de sécurité » est tout simplement frauduleuse.

Ces échecs des « consignes de sécurité » doivent être considérés au regard du principe qui est au cœur de la méthode scientifique. Ce principe est que lorsque nous avons une théorie scientifique et que nous testons les prédictions de cette théorie et que les prédictions de la théorie se révèlent fausses, alors nous devons rejeter la théorie. Il s’ensuit que lorsque nous avons huit résultats très répétés dont chacun montre que les « directives de sécurité » ne prédisent pas d’effets biologiques et ne prédisent donc pas la sécurité, c’est une exigence scientifique que les « directives de sécurité » soient rejetées. L’échec de l’ICNIRP, de la Commission européenne et de divers organismes de réglementation à rejeter les « directives de sécurité » montre clairement que leurs actions sont à la fois non scientifiques et anti-scientifiques. 65

« Vous n’avez pas droit à votre opinion. Vous avez droit à votre opinion éclairée. Personne n’a le droit d’être ignorant. »

Harlan Ellison

Femme pensant

Et quiconque souhaite avoir un aperçu de la façon dont – ce qui est perçu comme la vache sacrée des organisations internationales de santé – l’OMS a été indûment influencée par l’industrie, ils n’ont pas besoin de chercher plus loin que l’oncologue et professeur suédois, l’article du Dr Lennart Hardell, « World Organisation de la santé, rayonnement radiofréquence et santé – un problème difficile à résoudre (Revue). » 82

Que pouvez-vous faire pour vous protéger ?

Étant donné que, par conséquent, les effets des CEM agissent via l’activation des VGCC avec une augmentation résultante des ions calcium à l’intérieur de la cellule stimulant l’oxyde nitrique synthase pour produire plus d’oxyde nitrique conduisant en aval à la création de radicaux libres (aka espèces réactives de l’oxygène), il est important à, tout d’abord, limiter autant que possible les expositions aux CEM. Comme le recommande Oram Miller :

Réduisez l’utilisation, augmentez la distance et privilégiez les connexions filaires chaque fois que possible. Vous pouvez mettre votre téléphone portable en mode avion, en vous assurant que le Wi-Fi et le Bluetooth sont désactivés en mode avion, et effectuer la plupart des fonctions de votre téléphone portable sur un appareil câblé différent à l’intérieur de votre maison. Cela inclut les conversations, les SMS, les e-mails, le streaming audio et vidéo et l’utilisation de diverses applications. 66 Apprenez-en plus sur la  radioprotection Bluetooth, WiFi et  des téléphones portables ici.

Deuxièmement, embauchez un spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment pour vous aider à mesurer puis à réduire les CEM dans la maison, par exemple, en protégeant votre maison et votre chambre pour bloquer les RF nuisibles à la santé, éliminant ainsi toute erreur de câblage dans la maison pour réduire les champs magnétiques et réduire les sources d’électricité sale. Lisez à propos des champs électromagnétiques sur le câblage ici.

[Voir les liens dans le dossier 5G et ondes pulsées]

Troisièmement, je dirais que la mise en œuvre de ce que j’ai surnommé « Le programme de régime et de suppléments radioprotecteurs ™ » est essentielle.

Il y a deux suppléments principaux que j’ai utilisés au fil des ans qui ont considérablement réduit ma propre sensibilité aux champs électromagnétiques et ce sont (1) le magnésium, car il agit comme un bloqueur naturel du VGCC, en ce qu’il empêche le calcium de pénétrer dans la cellule, et (2) L-lysine, un acide aminé essentiel, qui agit pour calmer la production d’oxyde nitrique (NO), (alors que l’acide aminé arginine est nécessaire à l’oxyde nitrique synthase pour stimuler la production de NO). En savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la sensibilité électrique ici.

La L-lysine présente l’avantage supplémentaire d’agir de la même manière que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) en ce sens qu’elle se lie aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau pour augmenter les niveaux de sérotonine. Prendre ces deux suppléments avant de se coucher devrait également vous aider à mieux dormir.

« Le programme de régime et de supplément radioprotecteur ™ » est essentiellement :

  • (1) un stimulant du système immunitaire,
  • (2) un anti-inflammatoire,
  • (3) un détoxifiant et
  • (4) un anti-radicaux libres. 

Par conséquent, il se compose d’aliments et de suppléments qui soutiennent ces processus dans le corps. Voici un article sur la protection contre les CEM et la nourriture que vous mangez.

Cela impliquerait de prendre, par exemple :

  • de la poudre de lactosérum biologique dénaturée pour augmenter les niveaux de glutathion (le super antioxydant du corps), qui non seulement atténue les radicaux libres, mais aide également à renforcer le système immunitaire et la détoxification, ainsi que des facteurs de transfert ciblés qui renforcent le système immunitaire en augmentant les cellules tueuses naturelles ;
  • anti-inflammatoires comme le gingembre et le curcuma ;
  • aliments détoxifiants comme les oignons, l’ail et le brocoli ;
  • et les fruits et légumes riches en antioxydants ;
  • sans parler des aliments qui reconstituent les hormones et les neurotransmetteurs perdus du fait de l’exposition aux CEM comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine, l’acide gamma amino butyrique (GABA) et la phényléthylamine (PEA) qui comprennent les bananes (tryptophane), l’ananas (sérotonine), les noix de cajou (sérotonine ), jus de cerise acidulée (mélatonine), lait de riz germé (GABA) et chocolat (PEA).

Un autre supplément que je trouve essentiel pour renforcer le système immunitaire, stimuler la détoxification et guérir les intestins qui fuient (et probablement d’autres barrières qui fuient) sont les minéraux humiques.

Il y a eu un certain nombre de publications sur des sites Web de médias sociaux recommandant des herbes et des suppléments censés être efficaces contre le coronavirus. Par exemple, Ty Bolinger énumère un certain nombre de suppléments et d’herbes que l’on peut prendre dans un article qu’il a publié sur son site Web, la vérité sur le cancer, intitulé « Coronavirus : The Good, the Bad, and the Answers ». 83 Et Doris Loh explique pourquoi la prise de vitamine C protégera et renforcera votre système immunitaire dans deux de ses articles. 84 85 Je sais d’après des recherches antérieures que les CEM et les virus épuisent les réserves de vitamine C, donc en compléter semble être une très bonne idée.

Enfin, je dirais que vous exposer à des CEM bénéfiques via la mise à la terre, et également en utilisant une machine CEMP. Personnellement, j’en utilise un qui a pour moi, je pense, (1) stimule le processus de guérison, (2) réduit l’inflammation et (3) renforce mon système immunitaire. Si cette dernière solution vous intéresse, contactez-moi à EMF Refugee .

Conclusion

La Chine est un grand pays avec une population incroyable qui a fait des progrès étonnants en créant un pays moderne très sophistiqué au cours des dix dernières années, surpassant de nombreux autres pays modernes à bien des égards. Cependant, étant donné les faits que :

1. nous avons des données réelles qui montrent en effet que le rayonnement sans fil a un impact sur le système immunitaire ;
2. nous avons de nombreux patients en dehors de la zone 5G ne présentant aucun ou seulement des symptômes légers,
3. il y a eu récemment 10 000 antennes 5G installées et allumées à Wuhan, sans parler de 130 000 antennes 5G installées dans toute la grande Chine ;
4. des systèmes 5G ont récemment été installés dans de nombreux hôpitaux en Chine, sans parler des nouveaux hôpitaux COVID-19 ;
5. nous constatons un nombre plus élevé d’infections au COVID-19 dans des endroits comme Hangzhou et Wenzhou, sans parler de la Corée du Sud, etc. où ils ont également récemment installé de nombreuses antennes 5G ; et
6. aucun test n’a été effectué pour déterminer les implications biologiques de l’exposition de formes de vie à ce rayonnement ;

nous pouvons conclure que le vrai problème ici pourrait très bien être avec le rayonnement électromagnétique 5G qui affaiblit le système immunitaire des gens, sans parler de rendre éventuellement le virus lui-même plus virulent. Et si cela est vrai et si la Chine ne change pas de cap, la 5G pourrait très bien devenir son – et le reste du Titanic du monde – avec le COVID-19 (et d’autres comme lui) ses icebergs.

C’est peut-être ce dont les gens doivent vraiment commencer à s’inquiéter et il est peut-être temps pour le gouvernement chinois, ainsi que les gouvernements du monde entier d’enquêter sérieusement et de traiter les effets possibles de la 5G sur la santé et de mettre un terme au déploiement prématuré de la technologie 5G jusqu’à ce qu’on puisse prouver qu’elle est sûre (ce dont je doute qu’on puisse faire) et jusqu’à ce que des alternatives plus sûres puissent être développées.

Le gouvernement belge ne l’a jamais mis en œuvre [en date de fin février 2020] et il a été question que le gouvernement suisse suspende le déploiement de la 5G, 87 mais ils semblent maintenant aller de l’avant. 88 Et il semble que, à moins que les gens ne s’en rendent compte, la Chine suivra certainement une voie similaire.

Je suis désolé de devoir gâcher votre défilé électromagnétique ici, mais il se pourrait bien que ce soit votre 5G qui contribue à rendre tout le monde malade.

« Les seules personnes en colère contre vous pour avoir dit la vérité, sont celles qui vivent dans le mensonge.
Continuez à la dire. »

Inconnu

« Toute vérité passe par trois étapes : Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, il est violemment opposé. Troisièmement, il est accepté comme allant de soi. »

Arthur Schopenhauer
[NDLR Cette citation est en fait apocryphe.]

Un grand merci à Paul Doyon pour ce billet d’invité.

[À propos de l’auteur]

Paul Raymond Doyon

Paul Doyon est un chercheur, écrivain, enseignant et éducateur de 33 ans, qui s’est impliqué par inadvertance dans des recherches sur la question des CEM après être tombé malade en 2005, alors qu’il vivait à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire. Il a passé 27 ans de sa vie adulte à vivre en dehors de son pays d’origine, les États-Unis, à enseigner l’anglais comme langue étrangère (EFL) et l’anglais comme langue seconde (ESL), principalement à l’université, au collège et dans les écoles internationales.
Paul est praticien en biologie du bâtiment (BBP) et spécialiste des rayonnements électromagnétiques (EMRS) à l’  Institut international de biologie et d’écologie du bâtiment (IBE). Il est également le fondateur du site  EMF Refugee .





La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




L’opération psychologique spéciale « CoqueVide/19 », l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Publié le 17 novembre 2022

C’est une compilation, pêle-mêle, de tous mes écrits, à la pelle nourricière – et à l’appel des Muses – sur Xochipelli.fr

Voici une présentation de tous mes Essais, Cantos, Traductions, rédigés depuis mars 2020. Ils concernent l’opération psychologique spéciale que j’ai sur-nommée “CoqueVide/19”, l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche. Ils concernent, également, la mise en exergue des différents vecteurs technologiques que les Globalistes tentent de mettre en place afin de chimériser l’Humain. Il s’agit,  principalement, des nano-particules et des nano-technologies – dont la graphénisation universelle de tous les secteurs de la vie quotidienne… en synergie avec le déploiement de la 5G. 

Cette compilation présente 57 liens vers des essais, des dossiers, des Cantos, etc. Elle n’inclut pas 34 très longues monographies médicinales rédigées durant la même période. Manifestement les Muses m’inspirent et je les expire par tous les pores de mon écriture. 

Cette compilation est pêle-mêle du point de vue de la thématique car elle est, strictement, chronologique. En “annexes”, j’ai rajouté deux de mes Cantos satiriques,  de 2018, très prophétiques, si je puis, quant au déroulement des “événements” de ces trois dernières années. J’ai, également, rajouté mes essais portant sur les insectes chimériques, sur l’alimentation insectivore et sur la, mal-nommée, agriculture cellulaire car ces abominations hyper-technologiques, et synthétiques, sont annonciatrices de la Famine en Marche. 

L’objectif de cette compilation n’est pas d’auto-fortifier mes territoires de gratification, comme l’écrivait Henri Laborit… car je suis au Plaisir de la Mère. Il est de faciliter l’accès à une source abondante et généreuse d’informations eu égard à la Guerre ouverte à l’encontre de tous les Peuples. 

Ces informations sont, de plus, totalement gratuites… et je ne propose même pas de T-shirts à la vente. Par contre, quant aux T-shirts, il est vrai que notre fille Laetitia en fait de superbes au service des activistes de France… avec la Jacquerie – très proche, dans l’Ariège, de l’Association Kokopelli. 

Mon dernier ouvrage – publié à l’automne 2019, peu avant le début de la fausse pandémie orchestrée, en France, par la PharMacronie – sera, enfin, bientôt disponible à la vente : Los Cantos de Xochi


“De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales.” Décembre 2022 :

Déclaration d’Intentions

Après avoir posté mon dernier très volumineux dossier sur la Chitinisation des Peuples, et alors que je contemplais, dans l’atmosphère de mon foyer, des volutes de fumée de ganja tentant de contre-balancer les contaminations des chemtrails nano-technologiques – mon Rigpa m’a informé qu’il était fort probable que l’oxyde de graphène, ou toute autre forme de graphène, soit au menu, occulte, des “viandes cellulaires, en 3D”… qui sont annoncées comme étant le summum de la révolution alimentaire durable, circulaire, éco-friendly, blablabla. Et que le graphène soit, sans doute même, au coeur de certaines viandes animales… Je suis alors parti en quête… et cette quête fut fructueuse.

Aujourd’hui, nous assistons à un accroissement cellulaire – hyperbolique et hystérique –  de start-ups se lançant dans l’aventure des viandes cellulaires… et autres abominations, prétendument alimentaires, “cultivées” en cuves métalliques à partir de cellules-souches – de boeuf, de canard, de homard, de crevette… Ces soupes cellulaires sont nourries avec des levures transgéniques chimériques (et moult autres substances industrielles) et elles sont structurées par des hydrogels, ou autres polymères, constitués de nano-substances tout autant industrielles – et toxiques. 

Les “viandes cellulaires” sont, également, dénommées “viandes en 3D”, “viandes cultivées”, “viandes synthétiques”, “viande in vitro”, “viandes de laboratoire”,“fausses viandes”, “fake meats”, et, même, “viandes propres”…

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “New Green Deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?

Les “viandes synthétiques” constituent un élément fondamental de la “4ème révolution industrielle” du dément Klaus Schwab et, tous les jours, je prie la Terre-Mère afin qu’elle active la Grande Réinitialisation, terminale, de cet ignoble eugéniste – une forme de Grand Reset sans Risettes – qui se prend pour le nouveau Messie Vert, et Universel, sur Terre.

Mon intention déclarée et transparente, pour cet essai,  est de mettre en exergue que certains de ces hydrogels, ou autres polymères, sont, déjà, à base d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, ou autres dérivés de graphène, pour la confection et la structuration des dites viandes cellulaires. Il est, également, de mettre en exergue que ces hydrogels, à base de graphène, sont présents, également, dans de nombreuses viandes animales: soit dans les emballages, soit par le biais des “vaccins” animaux anti-grippes, soit en injection directe, soit dans les films “protecteurs” prétendument comestibles. 

J’affirme, de plus, que le graphène va devenir, très rapidement, l’un des éléments essentiels dans la création de tissus musculaires, ou autres tissus, dénommés “viandes cellulaires”, destinés à “l’alimentation humaine”. 

Le 17 novembre 2022, la FDA, aux USA, donnait sa première autorisation concernant la commercialisation de viande cellulaire – en l’occurence, le poulet cellulaire de Upside Foods. [53] Upside Foods fabrique de la viande cultivée par cellules en utilisant des prélèvements d’animaux vivants ainsi que « des animaux récemment abattus qui faisaient déjà partie du système alimentaire ».

Les “prélèvements de cellules d’animaux récemment abattus” ne sont pas sans rappeler le film-culte Soleil Vert que j’ai évoqué, dans mon dernier essai Homo chimericus. Dans le cas de Soleil Vert, les prélèvements des décédés font, également, partie du système alimentaire… des non-décédés.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que la famille du graphène est, déjà, depuis une bonne douzaine d’années, l’un des éléments fondamentaux dans une pléthore d’applications médicales: vaccins, nano-vecteurs de remèdes allopathiques, senseurs, etc… dont – et c’est ce qui nous importe ici – la régénération des tissus des muscles, des os, des cartilages, des nerfs, etc.

En effet, les industriels de la viande cellulaire, ou en 3D, sont intéressés par la grande capacité de différenciation myogénique conférée par l’oxyde de graphène, ou les nano-tubes de carbone – entre autres capacités… réelles ou fabulées. 

Il leur est donc très aisé de s’associer à des firmes opérant dans le secteur des nano-fibres médicales, ou d’utiliser leurs brevets, car ces firmes ont, déjà, une quinzaine d’années de pratiques.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que le graphène – autrefois onéreux car provenant de Chine et concocté à l’aide de technologies coûteuses – est, maintenant, excessivement bon marché à la production depuis que de nouveaux procédés permettent de le fabriquer à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée. 

En janvier 2020, le graphène se vendait encore très cher: entre 67 000 et 200 000 dollars la tonne. 

Et, de le fabriquer, en particulier, grâce aux procédés révolutionnaires inventés, à l’Université Rice de Houston, au Texas, par le chimiste internationalement reconnu, James Tour. 

James Tour est l’un des 5 chimistes les plus mondialement reconnus. Par conséquent, ses prises de position sont tolérées – d’autant plus qu’il possède plus de 600 brevets – malgré qu’il professe un paradigme Yahvéiste, strictement anti-néo-Darwiniste et promouvant, même, le “Dessein Intelligent”/“Intelligent Design”. 

James Tour a totalement raison, dans sa conception de l’Evolution,  si ce n’est qu’il faille remplacer les prétentions du mythe Yahvéiste par les perceptions, et visions, authentiques, et organiques, du monde Gaïen – et, qui plus est, en fusion avec le monde Gaïen. 

Selon James Tour : 

« Le monde jette 30 à 40% de la nourriture, parce qu’elle se dégrade, et les déchets plastiques sont une préoccupation mondiale. Nous avons déjà prouvé que toute matière solide à base de carbone, y compris les déchets plastiques mélangés et les pneus en caoutchouc, peut être transformée en graphène… Essentiellement, nous piégeons les gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane, que les déchets alimentaires auraient émis dans les décharges. Nous convertissons ces carbones en graphène et nous ajoutons ce graphène au béton, réduisant ainsi la quantité de dioxyde de carbone générée par la fabrication du béton. C’est un scénario environnemental gagnant-gagnant grâce au graphène ». 

L’une des méthodes les plus prometteuses pour produire du graphène à grande échelle est l’utilisation de l’exfoliation chimique associée à la réduction chimique pour obtenir de l’oxyde de graphène réduit.

Comme le rapporte la revue Nature, le graphène flash est fabriqué en 10 millisecondes en chauffant des matériaux contenant du carbone à 3000 Kelvin (environ 2726° Celsius). Selon James Tour : 

« Le matériau source peut être presque tout ce qui contient du carbone. Selon M. Tour, les déchets alimentaires, les déchets plastiques, le coke de pétrole, le charbon, les déchets de bois et le biochar sont des candidats de choix. » 

Ainsi qu’il est précisé, le lent processus géologique – par lequel le carbone évolue vers son état fondamental, le graphite – est fortement accéléré par un pic de chaleur mais il est arrêté au bon moment, au stade du graphène.

Selon les promoteurs, et les prometteurs, du graphène, le recyclage des déchets en trésor (de graphène) est le fondement de l’économie circulaire. A savoir que les poubelles constitueraient le graphène du Futur? 

Si le contenu des poubelles quotidiennes, et les déchets en tous genres, constituent les sources du graphène du futur – dont les industriels veulent tous nous imprégner – ils ne pourront pas constituer, en même temps, la bio-masse nécessaire à l’alimentation des insectes pour la production industrielle de protéines “alternatives”. 

La bio-masse se faisant de plus en plus rare, de par la destruction programmée de l’agriculture-élevage, un jour – si les Peuples ne descendent pas dans la rue pour chasser les Prédateurs – il faudra choisir entre transformer les déchet organiques, ou les déchets plastiques, ou en graphène… ou en aliments pour insectes… ou en sources de nécro-carburants. 

Comme les nano-particules de graphène peuvent être produites à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée, il est très aisé de mentionner sur les brevets, ou autres propagandes, afférents aux viandes, et autres aliments, dits “cellulaires”, que leur confection comporte des extraits de “produits naturels” et, surtout, “non-animaux”. 

Voir par exemple cette étude, de 2016, intitulée “Graphene quantum dots from fishbone carbon nanofibers”, [65] qui porte sur la production de points quantiques de graphène à partir de nano-fibres de carbone obtenues en processant des arêtes de poisson. 

En effet, n’importe quelle bio-masse signifie: de la paille de riz, des grains de riz, de la paille de blé, de la pelouse, des excréments de chien, des champignons, des filtres de cigarette, des biscuits, du miel, des écorces d’arbre, du charbon de bois, etc, etc. Tous ces éléments permettent de fabriquer, quasiment instantanément, du graphène ou des points quantiques de carbone. 

Voir la méga-étude récente, de septembre 2021, intitulée “A Review of Graphene: Material Synthesis from Biomass Sources”. [33]

Il existe une autre méthode ayant recours à des températures inférieures à celles utilisées par James Tour au Texas. Durant ce processus, la lumière du soleil est concentrée, par une lentille biconvexe, pour former un point lumineux focalisé, avec une température élevée supérieure à 1000°C, qui peut directement convertir les pelures de fruits en nano-feuilles de graphène – en 2 à 3 secondes.

Voir l’étude, de juillet 2022, intitulée “Concentrated Solar Induced Graphene” [41] qui a recours à des pelures de banane, de melon, de noix de coco, d’orange, etc.

En conclusion de cette Déclaration d’Intentions. Il est possible, aujourd’hui, que je dissémine des informations précieuses, “dans le désert des embouteillages”, comme le chantait Jacques Higelin… dont les hurlements de révolte animèrent notre jeunesse fougueuse…

… et très fugueuse eu égard au paradigme mortifère de la démocratie déliquescente. 

En effet, je comprends fort bien que d’aucuns ne veuillent pas s’intéresser à cette problématique… affirmant qu’ils ne toucheront jamais à cette sorte de “nourriture” que constituent les “viandes cellulaires” – tout autant que les “viandes végétales” et les “viandes insectueuses”. 

Mais se sont-ils posé la question de savoir si les dérivés du graphène ne contamineraient-pas, également, les viandes animales ?

Nonobstant, à moins que l’on ne consomme que des produits agricoles issus de l’agriculture biologique – et encore – il est certain que plus personne, dans nos sociétés modernes, ne peut retracer la totalité des substances qui sont introduites dans la nourriture quotidienne des populations – souvent à leur insu. Et c’est sans évoquer la problématique criminelle des Chemtrails qui constituent, en soi, un énorme dossier d’investigations.

Je précise “et encore” pour l’agriculture biologique car, depuis la rachat d’un très grand nombre d’entreprises bios par la mafia des multinationales alimentaires, on ne peut être sûr de rien… si ce n’est que l’appât du gain soit le moteur de leur rachat. Voir mes quelques essais sur la “Bio Piratée” – sur le blog de l’Association Kokopelli.

Cultivez votre jardin et prenez-en de la graine!

Aujourd’hui, si les multinationales de l’alimentaire, les banques, les fonds financiers, etc, (et autres Banksters), investissent lourdement dans l’industrie des fausses viandes – à base d’insectes, de plantes chimérisées, de levures chimériques, de cellules de souche… – c’est que le mot d’ordre a été lancé. Par qui? Par Klaus Schwab, et son gang de voyous mafieux, du Forum Economique Mondial.

On retrouve, sur la web, des photographies de Klaus Schwab et du président Mitterrand, datant de 1976. Cette fripouille a trainé dans les anti-chambres présidentielles Françaises depuis un demi-siècle. Tout comme son comparse Attali, Jacques a dit, dont le bon élève de l’opposition contrôlée, Juan Branco, sévit sur les réseaux sociaux depuis quelques années – en se prétendant le pourfendeur de Macron et l’avocat des pauvres… sur mode de litanie salvatrice Marxiste, et Bolchévique, perpétuellement réchauffée depuis 1848.  A quand l’invitation de Juan Branco, au titre des Jeunes Leaders adoubés par Klaus Schwab?

Fin 2021, il y avait, déjà, plus d’une centaine d’entreprises de production de viande cellulaire et de produits de la mer cellulaire.  Il y en aura, bientôt, plusieurs centaines si les Peuples laissent le gang de voyous, formés par Klaus Schwab, en position d’Autorités. Et c’est sans évoquer les autres centaines de firmes, dans le monde, produisant, en cuves métalliques, du faux lait, des faux oeufs, de la viande à base de plantes, des faux poissons, des fausses crevettes, de la fausse soie, de multiples produits à base d’insectes, etc, ad nauseam. Sans oublier, la fausse artémisinine et le faux THC!!

Ce sont, ainsi, des milliards d’euros d’argent public qui sont investis dans toutes ces productions industrielles dites alimentaires… pendant que l’orchestration de la destruction du secteur de l’agriculture-élevage est en cours… 

… et, par conséquent, l’Orchestration de la Famine Pandémique. 

Au sujet de l’intitulé de mon nouveau cycle d’essais :
“Orchestration de la Famine Pandémique”

Ce présent essai est le quatrième de ma nouvelle séquence dénommée “Orchestration de la Famine Pandémique”. Le premier essai s’intitule “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?” [78]; le second essai s’intitule “Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté” [77]; et le troisième s’intitule “Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” [76].

Je titre “Orchestration de la Famine Pandémique”, pour mes quatre derniers dossiers, volumineux, publiés en cette année 2022, en redonnant au terme “Pandémie” sa signification étymologique authentique – et essentielle. 

En effet, le terme “Pandémie” signifie, tout simplement, “le Peuple entier”, “tout le Peuple”, “l’intégralité du Peuple” – ou, même, “tous les Peuples”… lorsque notre imagination s’enflamme aux cris de l’Insurrection en Marche. 

“Pandémie” est issu des termes Grecs: “πᾶν, pân” et “δῆμος, dễmos” signifiant “tout” et “Peuple”. 

C’est en 1666, sans plaisanter, qu’est apparu, pour la première fois, le terme “Pandemic” dans l’ouvrage du médecin Anglais, Gideon Harvey (le père), intitulé “Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions” – en relation avec une pathologie qui serait généralisée.

En fait, Gideon Harvey, utilisa deux termes “Pan­demick” et “Endemick”. Endémique, quant à lui, provient du Grec “ἐνδημία/endêmía” signifiant “séjour” et du Grec “ἔνδημος/éndêmos” signifiant “Indigène” – à savoir “ἐν/en pour “dans” et “δῆμος/dễmos” pour “peuple”. Endémique signifie, littéralement, “dans le Peuple”. 

Il est important de souligner la parenté de ces deux termes, Indigène et Séjour, dans l’esprit des travaux de Lev Gumilev sur l’Ethnogenèse.

Le médecin Gideon Harvey l’utilisa une seule fois, plus précisément, dans le texte suivant, au chapitre 1 : «… which instances do evidently bring a Consumption under the notion of a Pan­demick, or Endemick, or rather a Vernacular Disease (a disease alwayes reigning in a Countrey) to England; that is a common disease owing its rise to some common ex­ternal and perennal (lasting all the year) cause of a Countrey; as a Consumptive Air, or a Consumptive Dyet. viz. eating much Flesh, drinking Hopt drink, &c ».

Subséquemment, ce terme “Pandémie” ne serait apparu qu’en 1752, dans la langue Française – dans le dictionnaire de Trévoux. Selon la définition actuelle du Larousse, une pandémie serait une “Épidémie étendue à toute la population d’un continent, voire au monde entier”. 

Cette définition n’a strictement rien à voir avec l’essence de terme “pandémique” et elle ne peut qu’aggraver les syndromes de dissonance cognitive induits, chez les populations, par de multiples campagnes mensongères, et génocidaires, totalement fondées sur la peur. 

Ainsi, par exemple, les manipulations de l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, eu égard à ce concept de “pandémie”, ont été orchestrées par ses directeurs Tedros Adhanom Ghebreyesus et Soumya Swaminathan – la fille de l’archi-criminel Mankombu Sambasivan Swaminathan, le père de la pseudo “Révolution Verte” en Inde, un grand allié de Monsanto et de la Mafia Agro-Pharma.

D’ailleurs, n’est-il pas surprenant, sur le plan des synchronicités pandémiques, que c’est, également, en cette année fatidique, 1666, qu’apparut, ex judaismo – en Turquie, à Izmir – Sabbatai Zevi, un nouveau Messie qui prenait sa tête de Turc pour une incarnation divine… et qui déclencha une nouvelle pandémie, messianique, dans toute l’Europe – dont les répercussions génocidaires se font encore sentir de nos jours.

En effet, certains individus, au comportement très psychopathique, souffrent, manifestement, d’un syndrome virosant de “délégation divine” qui les incite à tout contrôler, à tout réglementer, à tout posséder, à tout voler, à tout spolier – et à eugéniser et génocider les Peuples… selon leur bon vouloir. Il est à noter que les plus virosés d’entre eux se prétendent, même, des êtres humains divinisés sur Terre.

Si d’aucuns ressentent quelque doute concernant ma vision globale, il ne leur est que d’écouter les déclarations récentes de Yuval Noah Harari, le guru psychopathe et  autiste de Klaus Schwab, qui va jusqu’à déclarer que le Forum Economique Mondial a eu tellement de succès, dans ses entreprises, qu’il en a acquis des pouvoirs divins de création et de destruction. Historiquement, cette prétention à un droit divin, sur les Nations, ne date pas de Yuval Noah Harari: elle remonte au Deutéronum mais elle est, aujourd’hui, publiquement, et ouvertement, proclamée – du moins, pour ceux qui ont des oreilles pour entendre.

En fait, Yuval Noah Harari est, intimement, convaincu que lui-même, Klaus Schwab – et d’autres dans leurs rangs et “castes” – n’ont plus besoin d’attendre un quelconque Messie car ils constituent, eux-mêmes, des divinités incarnées sur Terre. Et quelle serait leur mission? 

Leur mission “divine” est “justement”, comme diraient les Tzaddik, de conduire les troupeaux humains bêlants vers un statut, non pas divinisé, mais “augmenté” – à savoir, “augmenté” parce que connecté à la Toile par la 5G. Il s’agit, intrinsèquement, de chimériser la destinée d’une entité, anciennement “humaine”, dont le biologique aura fusionné avec l’électronique par le biais de nano-particules métalliques – dont, principalement, des dérivés du graphène – de dérivés de chitine et, peut-être, même, par le recours à de l’ADN synthétique. 

Klaus Schwab, le grand prêtre du Tikun Olam nano-technologique, au parfum de graphène, a même affirmé que si les Humains l’écoutent : « ils ne posséderont rien, ils seront graphénisés, ils seront fusionnés avec le Réseau… et ils seront Heureux ». 

Production de viande cellulaire, durable, circulaire, nutritive,
éco-friendly, sans souffrances animales, etc.

Que contiennent les viandes cellulaires – en sus, potentiellement, de dérivés de graphène, de chitosane et d’ADN synthétique? 

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation?

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments. 

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire: le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

Tout d’abord, des cellules souches embryonnaires; des cellules mésenchymateuses; des cellules souches totipotentes; des cellules souches multipotentes; des cellules souches pluripotentes; des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription); des cellules souches adultes; des cellules souches satellites; des progéniteurs fibro-adipogéniques; des fibroblastes primaires; des neurones; des cellules gliales; des cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine; des cellules musculaires lisses; des architectures/échafaudages; des protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); de l’activine A recombinante rat, souris, humain; du facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; de l’albumine; du facteur de croissance épidermique; du facteur de croissance humain insulino-like 1; des levures chimériques; des algues chimériques; des bactéries chimériques; du glucose; du galactose; du sucrose; du maltose; des lipides; des hormones; des mycoprotéines; du glucomannane; des polyamines (spermidine, spermine et putrescine); des cytokines; du cholestérol; de la léghémoglobine chimérique; des cyanobactéries.

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour la culture de ces cyanobactéries: nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [71] 

Quant à la léghémoglobine chimérique, c’est l’entreprise Impossible Foods qui a développé une souche de levure chimérique, contenant un gène de soja, afin de produire cette léghémoglobine recombinante. 

Il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des “vaccins” de la Pharmacratie génocidaire.

Des acides aminés: alanine, hydrochlorure d’arginine, asparagine, acide aspartique, cystine, acide glutamique, glutamine, hydrochlorure d’histidine, isoleucine, leucine, hydrochlorure de lysine, méthionine, phénylalanine, proline, sérine, thréonine, tryptophan, sel de disodium de tyrosine, valine. 

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [73] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten. 

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [79]  Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années?

Des vitamines: adénine, biotine, chlorure de choline, pantothénate de calcium, acide folique, inositol, niacinamide, hydrochlorure de pyridoxal, riboflavine, hydrochlorure de thiamine, vitamine B12. 

Des sels inorganiques: ammonium métavanadate, chlorure de calcium, chlorure de cuivre, sulfate de cuivre, citrate de fer, nitrate de fer, sulfate ferrique, sulfate de manganèse, sulfate de magnésium, acide molybdique, chlorure de nickel, chlorure de potassium, nitrate de potassium, bicarbonate de soude, chlorure de sodium, métasilicate de sodium, phosphate dibasique de sodium, sélénite de sodium, chlorure stannique, sulfate de zinc heptahydraté. 

Divers autres intrants: albumine, dexaméthasone, dextrose, éthanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide linoléique, phosphatidylcholine, rouge de phénol, putrescine, pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), insuline humaine recombinante, pyruvate de sodium, acide thioctique, thymidine, transferrine, lactoferrine, fibronectine, laminine. 

Il est très vraisemblable qu’il existe une foultitude d’autres substances “suspectes”, dans les médium de culture, mais les industriels de l’alimentation cellulaire vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas en divulguer la liste. En effet, certains de ces industriels, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [80] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [81] 

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [82] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [83]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques! 

Le Good Food Institute promeut, officiellement, le Graphène, et les nano-tubes de carbone – et même l’ADN synthétique – au menu des viandes cellulaires

Le Good Food Institute, contrairement à ce que sa dénomination pourrait laisser évoquer, n’a pas pour vocation de promouvoir une bonne nourriture saine,  savoureuse, attrayante, équilibrée et non toxique. Sa mission est de promouvoir le secteur de l’industrie des “protéines alternatives”- et, principalement, celui des viandes cellulaires. 

Le Good Food Institute a été créé en 2016. Son budget annuel, provenant de gros dons de fondations (telle la Fondation Bill Gates) et autres industriels, est de l’ordre de 53 à 56 millions de dollars. 

Le Good Food Institute employait, en date de janvier 2022, plus d’une centaine de scientifiques, techniciens, médiatiques, propagandistes, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Le Good Food Institute possède une très mauvaise réputation générée par des accusations, récurrentes, d’environnement de travail toxique. Tellement récurrentes que certains financement se sont taris. [75]

Le Good Food Institute publie une pléthore de rapports sur la production de substances “fausses”: viande, poisson, lait, oeufs à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées – et, aussi, à base de plantes. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur.

Les “experts” auto-proclamés, auto-prophétiques et, surtout, hystériques, du Good Food Institute, annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, les faux poissons, les faux crustacés… Selon le Good Food Institute, ce seraient 1380 millions de dollars levés, auprès d’investisseurs, par les sociétés de production de viande cellulaire durant l’année 2021.

Selon le très célèbre cabinet McKinsey, de toutes les corruptions, impliqué, également, dans les fausses viandes et les faux poissons – en sus de fausses missions au profit de la PharMacronie –  la viande cultivée pourrait représenter un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars, d’ici 2030. [26]

Selon un rapport, fantasmagorique, du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95% moins de terre; elle produirait de 74 à 87% de moins “d’émissions de gaz de serre”; elle générerait 94% en moins de pollution des nutriments, etc. [27]

En ce qui concerne notre dossier présent, à savoir le graphène dans les nano-fibres des viandes en 3D. Dans l’étude récente, du Good Food Institute, de janvier 2022, intitulée “Scaffolding Biomaterials for 3D Cultivated Meat: Prospects and Challenges” [5], il est spécifiquement mentionné, au sujet des échafaudages, de viande en 3D, contenant un tripeptide constitué d’arginine, de glycine et d’acide aspartique, que « l’ajout d’oxyde de graphène a encore amélioré la capacité de différenciation myogénique ».

C’est, en fait, par exemple, ce qu’affirmait, également, cette étude, de 2015, intitulée “Graphene oxide-stimulated myogenic differentiation of C2C12 cells on PLGA/RGD peptide nanofiber matrices”. [21]

L’expression-clé est, ici, “différenciation myogénique”. De nombreuses études, plus anciennes, prétendument pour le secteur médical, ont affirmé que l’oxyde de graphène améliore, fortement, la capacité de “différenciation myogénique” – dans l’ingénierie tissulaire.

“Nano-sized graphene oxide coated nanopillars on microgroove polymer arrays that enhance skeletal muscle cell differentiation”. Décembre 2021. [22]

“Graphene Oxide Scaffold Stimulates Differentiation and Proangiogenic Activities of Myogenic Progenitor Cells”. 2020. [18]

“Myoblast differentiation on graphene oxide”. 2013. [19]

“Three-Dimensional Printable Gelatin Hydrogels Incorporating Graphene Oxide to Enable Spontaneous Myogenic Differentiation”. 2021. [20]

Il ressort de ces quelques études, prises en exemples, que si la confection d’hydrogels, à base d’oxyde de graphène, permet une différenciation myogénique spontanée dans le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles humains, ou autres tissus… elle peut, également, le permettre pour le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles “cultivés” à partir de cellules de vache, de canard, etc. N’est ce pas? 

Pour rappel. Le Good Food Institute fut l’un des sponsors du Pavillon des systèmes alimentaires durant la COP 27 en Egypte qui, rappelons-le, a mis les “protéines alternatives” à l’honneur. Voir mon précédent dossier. 

D’autant plus que le Good Food Institute se permet de mentionner, très clairement, dans son dossier très technique – intitulé “Deep dive: Cultivated meat scaffolding” –  le recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN – et autres polymères synthétiques –  pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire. [51]

« De même, les cellules satellites musculaires peuvent s’auto-renouveler lorsqu’elles sont cultivées dans un substrat qui correspond à la rigidité de leur niche de cellules souches native (Gilbert et al., 2010 ; Safaee et al., 2017). Le réglage de la rigidité peut être obtenu par une réticulation accrue, l’ajout de nano-tubes de carbone (Shin et al., 2012), de graphène (Martín et al., 2017), d’ADN (Chen et Seelig, 2019), ou la modification de matériaux polymères naturels ou synthétiques avec des groupes latéraux photoréticulables. Il est important de noter que ces groupes photoréticulables permettent une polymérisation rapide, ce qui permet l’encapsulation des cellules au cours d’un processus tel que la bio-impression (discuté plus loin). Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité. En effet, des études ont démontré que les propriétés de rigidité d’un seul hydrogel pouvaient orienter les cellules souches vers l’os et la graisse (Freeman et Kelly, 2017). Par ailleurs, l’hydrogel lui-même peut être dissous dans un mélange de milieux de culture cellulaire et de cellules, ce qui favorise la fixation et la propagation des cellules. Mosa Meat décrit l’utilisation d’un hydrogel dissous chargé de cellules pour positionner les cellules dans un appareil dédié à la différenciation ou à la structure cellulaire (Breemhaar et Post, 2019) »[51]

Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites, et synthétiques, qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité.

De plus, dans ce même dossier, le Good Food Institute réitère, très clairement, le recours à des bactéries et à des levures recombinantes, à savoir des bactéries et à des levures chimériques, génétiquement manipulées – communément libellées des OGMs.

« Des expérimentations récentes suggèrent que les protéines de soja texturées peuvent servir d’échafaudage viable pour la fixation des cellules souches bovines (efficacité d’ensemencement >80% sans fonctionnalisation préalable) et leur prolifération (Ben-Arye et al., 2020). Certains polymères synthétiques, comme les PEG, sont également approuvés par la FDA. Comme mentionné précédemment, la majorité de ces polymères n’ont pas de domaines fonctionnels pour l’adhésion cellulaire ; cependant, ils peuvent être fonctionnalisés avec des peptides RGD (arginine, glycine et acide aspartique) ou combinés avec des composants fonctionnels comestibles tels que la gélatine (Enrione et al., 2017). Il est important de noter que ces échafaudages ont également tendance à être abordables et évolutifs en termes de composants de matières premières, les limites d’échelle étant principalement déterminées par la méthode de fabrication (discutée plus loin). Certaines entreprises ont démontré de manière indépendante la production à grande échelle de protéines telles que le collagène à l’aide de levures ou de bactéries recombinantes, ce qui pourrait servir de plateforme future pour la création de biomatériaux utilisés par l’industrie de la viande cultivée. Enfin, nombre de ces biomatériaux ont également été utilisés pour l’ingénierie tissulaire des os (Levengood et Zhang, 2014), ce qui pourrait s’appliquer à la viande cultivée si des produits avec os sont un jour recherchés. »

Faut-il préciser qu’aux USA, parmi les “biomatériaux” comestibles approuvés par la FDA, – pour la réalisation d’échafaudages comestibles pour la culture de viande cellulaire – se trouvent la pectine, la gomme gellane, le chitosane, la gélatine, la cellulose, le glucomannane, l’amidon, le gluten et l’alginate, entre autres… 

En effet, ce n’est pas de chance pour cette grande partie de la population allergique au gluten, par exemple, car la gluténine est utilisée comme ingrédient des échafaudages de la viande cultivée. [23]

Par exemple, selon une étude, la résistance à la traction, des nanofibres de gélatine, est passée de 8,29 ± 0,53 MPa à 21 ± 2,03 MPa après l’incorporation d’oxyde de graphène[29]

De plus… car cela n’est pas tout. Le Good Food Institute – dans sa référence au recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN, etc, pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire – renvoie à l’étude de Sifang Chen et de Georg Seelig, de 2019, intitulée “Programmable patterns in a DNA-based reaction-diffusion system”, dont la présentation ne manque pas de susciter de profondes interrogations. Qu’en pensez-vous?

Est-ce dire que le Good Food Institute promeut l’ajout d’ADN synthétique dans les échafaudages des viandes cellulaires?

Il semble, effectivement, qu’il en soit ainsi. 

« La biologie offre la preuve irréfutable que des “matériaux vivants” macroscopiques peuvent émerger de réactions entre biomolécules diffusantes. Nous montrons ici que l’auto-organisation moléculaire pourrait être une approche tout aussi puissante pour l’ingénierie de matériaux synthétiques fonctionnels. Nous présentons un hydrogel programmable incorporant de l’ADN qui produit des motifs réglables à l’échelle centimétrique. Nous générons ces motifs en mettant en œuvre des réseaux de réactions chimiques par le biais de complexes d’ADN synthétiques, en intégrant les complexes dans l’hydrogel et en les déclenchant avec des brins d’ADN d’entrée appliqués localement. Nous démontrons d’abord la formation de motifs en anneau autour d’une cavité circulaire d’entrée et montrons que la largeur et l’intensité de l’anneau peuvent être réglées de manière prévisible. Ensuite, nous créons des motifs de complexité croissante, y compris des anneaux concentriques et des motifs non isotropes. Enfin, nous montrons des modèles d’interférence “destructifs” et “constructifs”, en combinant plusieurs modules de formation d’anneaux dans le gel et en les déclenchant à partir de sources multiples. Nous montrons également que les simulations informatiques basées sur le modèle de réaction-diffusion peuvent prédire et informer la programmation des modèles cibles ».

Au sujet de l’ADN synthétique. Voir le communiqué de Mik Andersen: “Communiqué de Mik Andersen à propos de nano-tubes d’ADN dans le vaccin CoqueVide de Janssen”. [46]. Voir également le post “BREAKING NEWS!!! La preuve ultime que nous attendions de Mik Andersen: Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN”. [63] Voir également “Communiqué de Mik Andersen au sujet de “nano-points” de Graphène dans les vaccins.” [54]

Comment le grand public peut-il se douter que ces ingénieurs parlent du burger en viande “cellulaire, équitable et circulaire”, qu’il vient d’acheter pour son repas de midi, lorsqu’ils évoquent des composants structurels à l’échelle nano-métrique de 50 à 500 nm? 

Pour mémoire: 1 nm = 1 millionième de millimètre.

« D’autres paramètres tels que la forme, le volume et la rugosité des pores doivent également être pris en compte. Idéalement, la récapitulation de la matrice extra-cellulaire devrait se faire à l’échelle des composants structurels mêmes de le matrice extra-cellulaire (c’est-à-dire à une échelle de 50 à 500 nm de diamètre) tandis que la porosité de l’échafaudage devrait être à l’échelle du micromètre pour permettre l’invasion et la migration des cellules. Ce principe général a été difficile à imiter. Toutefois, des techniques sophistiquées permettant de fabriquer de grands échafaudages d’hydrogel dotés de ces propriétés commencent à faire leur apparition (voir plus loin). Enfin, étant donné qu’un tissu créé pour la consommation n’a pas besoin d’être fonctionnel à l’intérieur d’un corps, un échafaudage conçu pour être moins densément peuplé et organisé par ses propriétés sensorielles en aval peut être plus facile à réaliser. Une fois peuplée, la structure pourrait être comprimée au moment de la récolte ou structurée davantage en un produit final ». [51]

La question se pose, ensuite, de savoir si le passage suivant fait référence à des hydrogels à base de graphène, sous quelque forme… qui serait “biodégradable” sous quelque mode.

« Des considérations de conception minutieuses ont été faites en ingénierie tissulaire pour utiliser des matériaux non immunogènes, biodégradables avec des sous-produits biologiquement inertes (car ils sont destinés à être insérés dans le corps à des fins de médecine régénérative (Bajaj et al., 2014). De même, un échafaudage qui se biodégrade en sous-produits inertes serait souhaitable pour la viande cultivée, non seulement pour éviter que des matériaux non comestibles soient incorporés dans un produit final, mais aussi en permettant aux cellules de remplacer l’échafaudage d’hydrogel par leur propre matrice extra-cellulaire native. En effet, les hydrogels sont généralement des substrats statiques qui, à eux seuls, ne parviennent pas à reproduire dynamiquement les interactions spatio-temporelles entre une cellule et la matrice extra-cellulaire. Une méthode pour surmonter ce problème consiste à incorporer des liaisons transversales dégradables par protéolyse (Khetan et al., 2013 ; Patterson et Hubbell, 2010), qui permettent à des enzymes naturellement sécrétées, telles que les métalloprotéinases matricielles, de dégrader le substrat de l’hydrogel – ce qui permet la migration des cellules et l’établissement de la réciprocité dynamique décrite précédemment. Une série d’autres méthodes, telles que les polymères photodégradables (Kloxin et al., 2009) et les produits chimiques uniques permettant une réticulation médiée par la lumière (Guvendiren et Burdick, 2012), ont également été développées par les bio-ingénieurs, permettant une récapitulation plus précise de la dynamique cellule/matrice extra-cellulaire. ». [51]

Dans les viandes cellulaires commercialisées : des nano-fibres, à base de graphène et de chitosane, qui ne révèlent JAMAIS leur identité

L’une des compilations du Good Food Institute présente, environ, 230 entreprises, de par le monde, impliquées dans la production de fausses viandes et de faux poissons ou autres produits marins – à savoir impliquées directement ou indirectement. [43] [64] 

De nouveau, pour toutes ces viandes cellulaires commercialisées, il est plus que vraisemblable que des dérivés du graphène se cachent dans des nano-fibres qui ne révèlent pas leur identité réelle. 

En fait, le Good Food Institute présente deux compilations qui correspondent à deux niveaux de produits commercialisés dans le secteur des fausses viandes et, plus généralement, dans le secteur de l’agriculture dite cellulaire – et même dans le secteur de l’industrie à protéine d’insectes en ce qui concerne l’un des niveaux. 

La première compilation se nomme “Entreprises axées sur la viande et les fruits de mer cultivés” et elle en décline 153 différentes. Ces sociétés, “en aval”, sont impliquées directement, dans les raffineries produisant les substances terminales, à savoir celles qui sont proposées au grand public: fausse viande, faux lait humain, faux oeuf, faux cuir, fausse soie, faux THC, fausse artémisine, etc, etc.

La seconde compilation se nomme “Entreprises ayant des initiatives dans le domaine de la viande cultivée et des fruits de mer”. Cette dénomination concerne les entreprises qui sont impliquées, “en amont”, dans la production de divers éléments “cellulaires” au bénéfice des ingénieries tissulaires des secteurs alimentaires ou  hospitaliers: cellules embryonniques humaines, architectures/échafaudages, cellules-souche pluripotentes, fibroblastes primaires, neurones, cellules gliales, transferrine, lactoferrine, insuline, protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2), etc, etc.

Donc, aujourd’hui, si l’on veut connaître les éléments authentiques composant les faux produits de l’agriculture cellulaire, il est nécessaire d’enquêter auprès des firmes industrielles, en amont, qui déclinent, sur leur site web, la liste de ce qu’ils proposent, commercialement parlant, à toutes les sociétés industrielles, en aval, dont la fonction est de produire des aliments “alternatifs” en cuves métalliques. 

En effet, les sociétés produisant de faux aliments possèdent des blogs mirobolants avec des discours de propagande sanglotante (durable, circulaire, eco-friendly, sans souffrances animales, etc, etc); des attaques, à peine déguisées, à l’encontre de l’agriculture/élevage; et, même, des photographies de leurs raffineries industrielles, de leurs cuves métalliques – comme si c’était orgasmant d’un point de vue gastronomique  et sensoriel…

Mais, jamais, JAMAIS, avec la liste des ingrédients.

La liste authentique des ingrédients, de la viande cellulaire, est laissée à l’imagination, fertile et fébrile, de tous les nigauds, et autres bobos, qui la consomment en se pâmant et en glapissant qu’ils ont atteint le nirvana de la gastronomie universelle. A quand un Guide Michelin, “Woke”, des grands crus, et autres cuvées légendaires, de fausses viandes en cuves métalliques? 

Qui plus est, le Forum Economique Mondial, souhaite-t-il éliminer, après l’élevage, toutes les vignes du monde – au prétexte d’éliminer le dioxyde de carbone? A quand les vins cellulaires, cultivés dans des cuves métalliques, à partir de levures chimériques? 

Dans le cadre de ce dossier, par trop volumineux, déjà, je ne vais pas m’attarder à étudier les produits cellulaires – et autres prétentions cellulaires – de l’industrie du même nom. Je vais me contenter d’en évoquer quelques unes.

En effet, lorsque l’on a compris l’arnaque intrinsèque, que constitue la viande cellulaire, il est aisé de la repérer car elle est reproductible, et reproduite, par toutes les entreprises du secteur: il s’agit d’une alimentation totalement chimérique, et synthétique (avec mêmes des dérivés de Graphène) enrobée de discours propagandistes fondés sur du fake – au même titre que la fake viande.

J’ai même abandonné de tenter de décrypter les brevets, de toutes ces start-ups, car ils sont libellés de telle sorte à laisser entendre que d’autres éléments peuvent s’ajouter à la liste qu’ils incluent dans leur requête d’exclusivité – grâce à la formule magique  “sans s’y limiter”.

L’une de ces start-up, la première sur une liste, dénommée “3D Bio Tissues”, et issue de l’université Newcastle, [40] présente “son ambition de produire des tissus bio-équivalents pour l’agriculture clinique et cellulaire” en précisant qu’elle « applique de nouveaux processus de fabrication bio-inspirés pour générer des structures complexes ». Ce qu’elle propose: “une modélisation tissulaire en tant que plateforme d’ingénierie interne qui adopte une approche ascendante et bio-inspirée de l’ingénierie tissulaire pour créer des tissus structurés, fonctional et scalables” – à savoir pour des applications médicales ou pour l’agriculture cellulaire, selon ses déclarations. [56] Son co-fondateur, Che John Connon, est un spécialiste des hydrogels. 

Nous sommes au coeur de la nov-langue, tout aussi creuse que ses concepteurs. Il est à noter l’usage récurent du préfixe “bio”: “tissus bio-équivalents”, “approche bio-inspirée”, “bio-impression”, “bio-réacteur”, “bio-fermenteur”, “bio-imagerie”, “bio-compatible”, “bio-matériau”,“bio-résidu”, “bio-composite”, “bio-polymère”, “bio-dégradable”.

Quant à l’expression “agriculture clinique”, est-ce l’erreur d’un stagiaire? Ou s’agit-il, peut-être, d’un aveu de diagnostic quant à l’impact, d’une telle alimentation cellulaire, sur l’organisme humain?

Une autre de ces start-up, dénommée “BioLead” vend des produits cellulaires pour l’agriculture cellulaire, pour les applications médicales, pour les bio-technologies, pour l’immunothérapie et les recherches cellulaires. [44] 

Ils proposent, par exemple, pour le secteur de la viande cellulaire, toute une gamme de substances insolites [45]: transferrine; lactoferrine; insuline; protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); activine A recombinante rat, souris, humain; facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; albumine; facteur de croissance épidermique; facteur de croissance humain insulino-like 1. 

Comme médium de culture cellulaire pour viande, poisson, oeufs, ils proposent les références DMEM, DMEM/F12, L15. Par exemple, DMEM signifie Dulbecco’s Modified Eagle Medium. Les cellules cultivées avec succès, dans ce DMEM, comprennent les fibroblastes primaires, les neurones, les cellules gliales, les cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine et les cellules musculaires lisses.

Il est à noter que certaines sociétés de production de viande cellulaire travaillent à partir d’un échafaudage à base de protéines de soja. Question: s’agit-il, seulement, de protéines de soja?

En effet, l’étude, de 2018, intitulée “Polyphenol-induced cellulose nanofibrils anchored graphene oxide as nanohybrids for strong yet tough soy protein nanocomposites” porte sur la confection de “nano-fibrilles de cellulose induites par des polyphénols et ancrées dans de l’oxyde de graphène comme nano-hybrides pour des nano-composites à base de protéines de soja à la fois solides et résistants.” [36] 

On ne peut clore un tel dossier sans évoquer, en passant, les viandes en 3D qui sont produites – comme des fusils-mitrailleurs, de par le monde – avec des “encres”, ad hoc, et qualifiées, même, de “bio-encres”.

Doit-on présumer qu’elles sont qualifiées de “bios” parce qu’elles participent à des processus alimentaires, prétendument, donc de vie … au contraire de la pléthore d’armes légères et lourdes confectionnables, aujourd’hui, avec une bonne imprimante en 3D – et les substances adéquates… que l’on pourrait qualifier de “nécro-encres”, de par leur fonction.

Le Good Food Institute présente, ainsi, dans ses articles très techniques, un exposé concernant la fabrication des viandes cellulaires, en 3D, qui sont confectionnées grâce au recours à des “bio-encres” pour la “bio-impression”. [51]

« La bio-impression 3D est une technique de fabrication dans laquelle des solutions pré-polymères ou des solutions pré-polymères contenant des cellules (c’est-à-dire une bio-encre) sont déposées sur un substrat couche par couche sous la direction d’un processus de conception assistée par ordinateur. Ces fichiers résultent, généralement, de données de bio-imagerie réelles – telles que des scans de tissus par résonance magnétique et par tomographie  assistée par ordinateur – mais ils peuvent, également, être générés par l’utilisateur pour former des types de géométrie illimités. Des stratégies d’imagerie similaires peuvent être réalisées pour reproduire des morceaux de viande spécifiques. Il existe plusieurs types de bio-impression ».

Une étude, de mai 2021, par exemple, intitulée “Graphene Oxide-Embedded Extracellular Matrix-Derived Hydrogel as a Multiresponsive Platform for 3D Bioprinting Applications” se rapporte à l’utilisation de“bio-encres” à partir d’hydrogels confectionnés avec de l’oxyde de graphène ou de l’oxyde de graphène réduit – pour l’ingénierie tissulaire. [47]

Il existe deux types de “bio-encres”: avec ou sans échafaudage. Une “bio-encre” à base d’échafaudage est, par essence, un hydrogel qui est imprimé avec des cellules. Et ces hydrogels sont, bien souvent, confectionnés à base de graphène.

Par exemple, la société Allevi 3D propose, pour l’ingénierie cellulaire – et, donc, potentiellement pour la production de viandes en 3D – un “bio-matériau”, flexible, conducteur et  “bio-compatible” qui est composé à plus de 90% de Graphène… afin d’élaborer des muscles, des tissus cardiaques, des nerfs, etc… [57] 

Que cachent les nano-fibres des viandes cellulaires commercialisées, par exemple, par Gelatex et Matrix Meats?

En juillet 2022, la société Estonienne, Gelatex Technologies a annoncé développer une nouvelle technologie, révolutionnaire, d’échafaudage de viande cellulaire. [4]

Gelatex a annoncé la possibilité de produire suffisamment d’échafaudages pour soutenir la production annuelle de 300 tonnes de viande cultivée. La technologie de l’entreprise aurait, déjà, permis de réduire le coût des échafaudages de 100 000 euros à 1 000 euros par kilogramme. Les projections futures pourraient aboutir à des coûts d’échafaudage inférieurs à 20 € par kilogramme de viande cultivée, d’ici une décennie. 

Le directeur de Gelatex, Martens, a déclaré que les plus grandes unités d’électrospinning (technologie actuellement utilisée) disponibles sur le marché peuvent produire 360g/h – l’unité semi-industrielle de Gelatex, elle, peut déjà produire jusqu’à 5kg/h. Une telle capacité de production représente suffisamment de nanofibres pour la production de 1300 kg de viande en une seule journée de travail de huit heures. Grâce à ce débit de production beaucoup plus élevé et à une consommation d’électricité réduite de 28%, M. Martens estime que le coût des nanofibres peut être réduit jusqu’à 90%.

Le fondement de cette technologie est l’électrospinning qui selon la définition technique « est un procédé de mise en œuvre des polymères qui, sous l’action d’un champ électrique intense (de l’ordre de 1 kV/cm), permet l’élaboration de membranes nanofibreuses (diamètre de fibres de l’ordre de 50 nm à 1 μm) à partir de solutions de polymères ou de polymères à l’état fondu ». Voir le dossier de l’ICPPES: Electrospinning et Nanofabrication pour la Santé et l’Energie.  [35]

En 2019/2020, Gelatex Technologies, a déposé deux brevets – US20210155764A1 [3] et EP3839120A3 [2] – qui porte sur un matériau constitué de nano fibres, non tissées, à base de gélatine. Ces deux brevets ont été publiés en septembre 2021 mais sont en attente d’acceptation. 

Selon l’intitulé du brevet : 

« Le procédé comprend la production de nanofibres de gélatine ; la production d’un matériau nanofibreux en utilisant les nanofibres de gélatine produites ; et le traitement du matériau nanofibreux par un agent de réticulation pour former des liaisons d’adhésion dans le matériau nanofibreux et pour obtenir le matériau non tissé nanofibreux. »

Selon la description du brevet : 

« De plus, en option, la solution de traitement comprend une charge. Les exemples de charge comprennent, sans s’y limiter, des particules de silice hydrophiles ou hydrophobes, de la terre de diatomée, du carbonate de calcium, du noir de carbone, de la montmorillonite ou d’autres argiles. La concentration de la charge dans la solution de traitement peut aller jusqu’à 75%. »

Il est bien précisé “sans s’y limiter”.

Il est vrai qu’il n’y est nullement précisé que ce matériau de charge, de remplissage, puisse être du graphène ou des nano-tubes de carbone. Cependant, l’un des requérants de ce brevet, au bénéfice de sa société Gelatex Technologie, est Uno Mäeorg – qui est affilié à l’université de Tartu en Estonie. Uno Mäeorg est un spécialiste du graphène. 

J’ai carrément demandé, par e-mail, aux deux propriétaires de Gelatex Technologie, Märt-Erik Martens et Mari-Ann Meigo Fonseca, s’il était avéré que leurs échafaudages de nano-fibres étaient à base de graphène – d’autant plus de par la présence de Uno Mäeorg – mais ils ne m’ont pas encore répondu. En effet, si cela est avéré, c’est à l’insu des consommateurs végan de fausses viandes.

En effet, il est l’auteur, ou le co-auteur, d’une pléthore d’études portant sur le carbone, les nano-particules de graphène, ou autres nano-particules, les nano-tubes de carbone, les aérogels, etc. 

Par exemple, l’étude, de 2018, intitulée “Effect of contact material and ambient humidity on the performance of MWCNT/PDMS multimodal deformation sensors”, qui porte sur des senseurs confectionnés à partir de nano-tubes de carbone à multiples parois, une forme de graphène, comme remplisseurs conducteurs. [1]

Il n’est donc pas nécessaire de déployer d’immenses efforts d’imagination pour concevoir que le graphène, sous toutes ses formes, constitue le matériau de base des nano-fibres de Gelatex, en Estonie, pour sa production annuelle de 300 tonnes de viande cellulaire. 

Il est plus que vraisemblable qu’il en soit de même pour les hydrogels de Matrix Metas aux USA et ce n’est, sans doute, pas une coïncidence que le Food Navigator, US, leur ait consacré un article dans la même foulée: “From mush to meat? Talking edible scaffolfing with Gelatex and Matrix F. T.” [74]

En effet, Eric Jenkusky, le directeur de la société Matrix Meats, (Matrix F. T), lors d’un interview, en août 2021 [24], a déclaré que la technologie de confection de nano-fibres, que sa société utilise pour la confection de viande cellulaire, datait d’une quinzaine d’années et qu’il la licenciait de la société Nanofiber Solutions – qui est dédiée à la dite médecine régénérative à partir de polymères. 

Cela fait, au moins, une bonne douzaine d’années que le graphène est, abondamment, utilisé dans tous les secteurs médicaux de l’ingénierie tissulaire – mais je n’ai pas enquêté sur l’ancienneté d’autres types de nano-fibres utilisées avec les mêmes objectifs. 

Eric Jenkusky évoque des nano-fibres à base de polycaprolactone…  sans en dire beaucoup plus – car, comme pour Gelatex Technologies, il s’agit de “secrets professionnels” fondés sur la technologie de l’électrospinning.

Matrix Meats prétend être en relations de développement actif avec 14 compagnies, de 7 pays, dans le secteur de la viande cellulaire.

Or, il existe de nombreuses études et expérimentations portant sur les composites à base de polycaprolactone, de chitosane… et de graphène. Ainsi, par exemple, cette étude, de février 2022, intitulée “The effect of polycaprolactone/graphene oxide electrospun scaffolds on the neurogenic behavior of adipose stem cells”. [25] 

Selon cette étude, la présence d’oxyde de graphène, dans l’échafaudage en polycaprolactone, augmente l’attachement des cellules, leur prolifération, leur infiltration dans l’échafaudage et leur différenciation neuronale.

Ou cette étude, d’octobre 2022, intitulée “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds” [72] qui précise que :

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane/polycaprolactone. » [72]

Du Graphène dans les viandes animales

Depuis que la Quinta Columna, le professeur Pablo Campra – ainsi que de nombreux autres chercheurs de par le monde – ont informé les Peuples de la présence de graphène, et de nano-technologies, dans les injections CoqueVide/19, des dizaines de milliers de personnes ont entrepris d’analyser microscopiquement une pléthore de substances alimentaires ou médicinales… [34] ou tout simplement d’utiliser des aimants afin de vérifier s’il y existait un phénomène de magnétisation [32]

De nombreux témoignages ont, ainsi, émergé, sur le web, de viandes emballées totalement magnétisées. 

Tout autant que de nombreux témoignages de graphénisation de remèdes, de cosmétiques, d’aliments, etc…

Je rappelle, une nouvelle fois, que des solutions aqueuses, et autres sérums physiologiques, à l’oxyde de graphène, ont été commercialisées depuis 2015, au moins, par des grosses sociétés industrielles Chinoises. Voir mon essai d’août 2021, “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène”. [48]

1. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par des vaccins pour les animaux – par exemple, les vaccins dits à “l’ARNm”, le messager fourre-tout – qui ont été tout autant graphénisés que les vaccins humains… et qui ne contiennent, sans doute, pas plus d’ARN que n’en contiennent les injections CoqueVide.  

Les vaccins humains ont été graphénisés depuis 2019, au moins, mais ils ont été nano-particulés, métalliquement, depuis 2015, au moins. Voir le scandale du VaccineGate en Italie en 2016. [55]

D’ailleurs, dès 2015, en Allemagne, et aux USA, la Mafia Pharmacratique expérimentait, sur des humains, avec des injections ARNm à l’encontre des fabulés virus H10N8 et H7N9. [31] Le saviez-vous?

Il existe, par exemple, depuis quelques années, un vaccin pour porc, à “l’ARNm”, anti-grippal (H3N2 cluster IV), en deux doses, [30] ainsi qu’une vaccin anti-grippe, à “l’ARNm”, pour les volailles. [42] Pour ces deux injections, la firme Harris Vaccines donne les précautions, très explicites, suivantes [49]:

« Ne pas vacciner dans les 21 jours précédant l’abattage. Congeler à -80°C pour une conservation à long terme. Utiliser dans les 7 jours si le produit est conservé à 4°C. Utiliser tout le contenu lors de la première ouverture/perforation. En cas de réactions anaphylactiques, administrer de l’épinéphrine ».

Comme nous avons pu le constater, avec toutes les autres injections anti-CoqueVide, de la Mafia Pharmacratique, les extrêmes basses températures de conservation sont requises afin que le graphène ne commence pas à floculer sous l’effet de la chaleur ambiante. 

Question: que se passe-t-il si la viande est vendue dès la vaccination? Des paysans Espagnols ont, par exemple, mis en ligne une vidéo d’un poulet, prêt à la vente, dont le corps continuait de pulser sous l’effet d’une énergie inconnue. Serait-ce celle de l’oxyde de graphène activé par une source d’énergie proche?

En parlant d’énergie inconnue, avez-vous vu des vidéos filmant des injectés CoqueVide réagir, au point d’injection, à un senseur électrique? En voici une: [58].

2. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par les emballages… car, aujourd’hui, de nombreux emballages contiennent de l’oxyde de graphène au prétexte de protéger les aliments qu’ils contiennent à l’encontre de bactéries, de champignons, etc. Nonobstant, les témoignages de magnétisation de viandes prennent bien soin, également, de les désemballer afin de mettre en exergue ce phénomène “contre-Nature”. 

Au sujet des emballages graphénisés, voir mes divers posts: [37]  [38]  [39].

3. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par l’injection d’une substance structurante, à savoir un polymère à base d’oxyde de graphène – afin d’améliorer la texture, et la présentation commerciale, sur les étals des super-marchés, de viandes (aux hormones de croissance) non structurées et trop molles, en raison des conditions épouvantables de l’élevage hyper-industriallisé, et hyper-pharmaceutique.

A savoir, une injection opérée dans l’objectif de conférer un peu plus d’échafaudage cellulaire –  comme pour la structuration des soupes cellulaires que j’ai évoquée –  afin que la viande cultivée puisse acquérir une structure en 3D.

4. Finalement, ce phénomène pourrait être induit par la présence, de plus en plus fréquente, de “films comestibles”, souvent invisibles, qui recouvrent les viandes, ou d’autres produits, afin de leur conférer des capacités bactéricides, etc – ou d’organiser la transmission d’informations de par leur capacité “smart”.

C’est un dossier à élucider à part, et je vais l’aborder dans la prochaine section, car ces “films comestibles” sont souvent gavés de graphène… afin de gaver les populations d’un vecteur nano-métallique qui puisse les raccorder au réseau – à leur insu et contre leur accord.

Franchement, pourquoi les industriels de la viande animale n’auraient-ils pas recours, libéralement, au graphène  alors qu’ils le font pour les “viandes cellulaires”? 

Du Graphène dans les films comestibles des viandes animales

Pourquoi intégrer du Graphène dans les films comestibles des viandes animales – ou d’autres substances alimentaires? Pour des raisons, prétendument, sanitaires. L’étude ci-dessous mentionnée, de septembre 2020, [70] en présente un bref résumé.

« Aujourd’hui, en plus des emballages biodégradables souhaitables, la recherche mondiale s’intéresse au développement d’emballages alimentaires actifs pour prolonger la durée de conservation, améliorer la sécurité et maintenir les propriétés organoleptiques. Les bio-composites, avec des dérivés de graphène, peuvent présenter une activité antioxydante, antimicrobienne et antifongique, comme l’ont étudié de manière approfondie Carvalho et al. La capacité de piégeage des radicaux d’oxyde de graphène réduit peut apporter une activité antioxydante aux biocomposites. Les films à base de Chitosane, avec 20-33% en poids d’oxyde de graphène réduit, ont montré une augmentation de l’inhibition dans la gamme de 54% à 82% après 8 heures d’incubation et cette activité peut éviter l’oxydation des aliments emballés. 

Les propriétés antimicrobiennes et antifongiques des nano-structures à base de graphène sont fondées sur leur capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire et un stress oxydatif qui compromettent la prolifération et la sporulation bactériennes. Les biocomposites avec des dérivés de graphène ont révélé des propriétés antibactériennes in vitro contre un large spectre de micro-organismes pathogènes (tels que Enterococcus faecalis, Staphylococcus epidermidis, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Staphylococcus haemolyticus, et Bacillus subtilis). La modification de surface des dérivés du graphène avec des huiles essentielles ou d’autres composés métallique – tels que des nano-particules d’argent, d’oxyde de zinc ou de dioxyde de titane – a été adoptée comme stratégie pour améliorer le potentiel antimicrobien inhérent de ces nano-structures.  Récemment, un film, composé de nano-tubes de carbone/acide polylactique/cinnamaldéhyde, a révélé un grand potentiel d’application comme film d’emballage alimentaire antibactérien actif à libération contrôlée avec un effet actif prouvé jusqu’à 21 jours. Des activités antifongiques de biocomposites contenant des nano-structures de carbone contre Aspergillus niger, Cryptococcus neoformans, Candida tropicalis, Candida albicans, Botrytis cinereas, et Rhizopus spp. ont également été décrites. » 

La première question que tout être sensible devrait se poser est la suivante. Si les dérivés du graphène possède une telle capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire, et un stress oxydatif, par exemple chez des bactéries se développant sur de la viande, pourquoi en serait-il autrement en ce qui concerne les éléments de l’organisme humain – les cellules, les bactéries et les virus?

Les mises en gras sont de mon fait afin de mettre en exergue que tout est fondé sur les dérivés de graphène… et sur le Chitosane qui est, rappelons-le, dérivé de la Chitine. Voici quelques autres études portant sur les diverses formes de graphène utilisées dans les films alimentaires – comestibles ou non.

“Edible Films on Meat and Meat Products”. Novembre 2021. [52] Cette étude présente, dans le détail, les divers polysaccharides – tels que le chitosan, la pectine, les gommes, l’amidon, la cellulose, l’alginate, le carraghénane et les furcellaran – qui sont utilisés dans les films comestibles.

Dans la section du furcellaran, cette étude précise ce qui suit:

« Les films de furcellaran présentent un aspect transparent légèrement jaunâtre. Dans de nombreuses applications, les films transparents sont préférés car ils peuvent mettre en valeur le produit emballé et influencer l’intention d’achat du consommateur. L’incorporation d’extrait de thé vert, de yerba mate et de nano-particules d’oxyde de zinc, a rendu la couleur jaune plus intense. Les films de furcellaran avec des nano-charges – points quantiques de carbone, nano-particules d’oxyde de graphène et nano-particules de maghémite – ont indiqué un effet inhibiteur contre la croissance de Salmonella enterica, principalement parce que la matrice polymère contient des groupes sulfate réactifs. Les nano-composites de points quantiques de carbone ont montré un effet inhibiteur sur la croissance de Staphylococcus aureus (Gram positif) et Escherichia coli (Gram négatif). Le furcellaran peut être l’un des composants de base dans la production de films “intelligents” tels que des matériaux d’emballage ayant des propriétés actives et/ou intelligentes. » [52]

Dans la section du chitosan, cette étude précise ce qui suit :

« Le chitosan est un polysaccharide cationique de haut poids moléculaire qui présente une grande capacité de formation de films et des activités antimicrobiennes. Le film de chitosan a été utilisé comme matériau d’emballage pour la conservation de différents aliments, en particulier lorsqu’il est associé à d’autres matériaux filmogènes. L’enrobage des aliments avec des films de chitosan permet d’abaisser la pression partielle d’oxygène dans l’emballage, de maintenir la température avec un transfert d’humidité entre l’aliment et son environnement, de contrôler la respiration et de décliner la déshydratation. En outre, le chitosan est utilisé pour la désacidification, la fixation de la texture, l’amélioration de l’effet émulsifiant, la saveur naturelle et la stabilisation de la couleur des aliments. Les films à base de chitosan sont clairs, flexibles et résistants, ils résistent bien aux graisses, aux huiles et à l’oxygène, mais sont très sensibles à l’humidité »[52]

“Graphene Derivatives in Biopolymer-Based Composites for Food Packaging Applications”. Septembre 2020. [70] Cette étude est extrêmement précise, et technique, eu égard aux différents types de polymères qui sont utilisés pour la préservation des viandes:  argile, cellulose, chitosane, pullulan, gélatine… et, surtout, les “bio-composites”, ou “bio-polymères”, à base de dérivés du graphène comme matériaux d’emballage alimentaire.

La plus grande partie de cette étude est consacrée aux dérivés du graphène. Il est à noter que le facteur de comestibilité est mentionnée, à quelques reprises, pour certains de ces polymères… mais il ne l’est pas pour les dérivés du graphène.

En fait, il ne l’est pas dans cette étude mais, ainsi que mentionnée précédemment, il l’est dans l’étude portant sur le furcellaran fonctionnalisé avec des points quantiques de carbone ou de l’oxyde de graphène.

“Green Coating Polymers in Meat Preservation”. Novembre 2021. [59] Cette étude porte sur le recours à des polymères verts comestibles pour la préservation de la viande. Les polymères verts sont définis comme des polymères biodégradables provenant de ressources de la biomasse ou de voies synthétiques et d’origine microbienne qui sont formés de structures mono ou multicouches.

Ce peut être des polymères “verts”… produits par voies synthétiques. 

“Graphene Oxide Bionanocomposite Coatings with High Oxygen Barrier Properties”. 2016. [60] Cette étude présente le développement de films bio-nano-composites sur du poly(éthylène téréphtalate) possédant des propriétés exceptionnelles de barrière à l’oxygène. Le pullulan et l’oxyde de graphène ont été utilisés comme phase polymère principale et comme bloc de nano-construction, respectivement. 

D’autres nano-particules sont utilisées dans des films comestibles recouvrant la viande: des nano-particules d’argent [69] ou des nano-tubes de dioxyde de titane [61]

Il existe, même, une étude intitulée “Controlled release and antibacterial properties of PEO/casein nanofibers loaded with Thymol/β-cyclodextrin inclusion complexes in beef preservation”, [62] qui porte sur la fabrication de nano-fibres, composées de caséine  et d’oxyde d’éthylène, chargées de β-cyclodextrine et de thymol avec pour objectif, prétendu, de conserver plus longtemps la viande de boeuf. Il n’est pas précisé si ce film de nano-fibres est comestible ou non. 

Annexe 1. Du Graphène dans les Ingénieries tissulaires humaines

Depuis une quinzaine d’années, le graphène, sous toutes ses formes, est omniprésent dans les technologies médicales dont l’objectif est de créer des tissus musculaires, des tissus osseux, etc – chez l’Humain – dans le cadre d’une médecine que les scientifiques déments n’hésitent pas, même, à qualifier de “médecine régénératrice”. 

Pourquoi, donc, le graphène ne serait-il pas, de même, prévalent dans tous les processus technologiques consistant à créer des échafaudages cellulaires dans la fabrication de fausses viandes? A savoir, au même titre que la chitine et le chitosane. 

Le site PubMed, du ministère de la santé US, lorsqu’interrogé avec les termes “Graphene / Tissue / Engineering”, présente plus de 1500 entrées. 

L’étude récente, “Graphene Oxide–Protein-Based Scaffolds for Tissue Engineering: Recent Advances and Applications”, de mars 2022, présente un bon résumé quant à la nature de ces échafaudages cellulaires. [6]

« Le microenvironnement physiologique natif pouvant être adapté localement pour le processus de régénération. pour le processus de régénération, de nombreux biomatériaux ont été étudiés pour permettre l’infiltration, la division et la différenciation des cellules implantées. Les échafaudages sont nécessaires pour imiter le microenvironnement cellulaire du tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules. Les échafaudages doivent imiter le microenvironnement cellulaire d’un tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules, de fournir une morphologie physiologique appropriée et de permettre la co-culture de diverses cellules. D’un point de vue mécanique, les échafaudages fournissent stabilité mécanique et de forme au tissu réparé. D’un point de vue biologique, les échafaudages sont des architectures qui soutiennent le développement de la matrice extracellulaire (MEC) et l’établissement des cellules. En outre, la perméabilité du tissu reconstruit est un élément clé pour permettre le transfert des nutriments des milieux de culture. pour permettre le transfert des nutriments depuis les milieux de culture et favorise l’élimination des produits secondaires nocifs du matériau sans nuire à la santé. secondaires nocifs du matériau sans affecter négativement les conditions de culture. En outre, le nouvel échafaudage doit être stable pendant un certain temps pour permettre au tissu endommagé de se réparer ou de retrouver sa capacité à se développer. endommagé de se réparer ou de retrouver la capacité d’être restauré. La biodégradabilité en fonction du temps est un autre aspect important à prendre en compte pour les échafaudages tissulaires afin de permettre la prise en charge des cellules pour favoriser le processus de guérison. 

Ces dernières années, des polymères synthétiques et naturels ont été utilisés pour l’ingénierie tissulaire, et il a été prouvé que les caractéristiques des échafaudages dépendent de la structure et de la concentration du polymère, de la taille des pores, de la flexibilité, de la rigidité, etc. Les polymères synthétiques tels que l’acide polylactique, l’alcool polyvinylique, le poly (lactique-co-glycolique) et le poly ε-caprolactone ont été utilisés pour la préparation d’échafaudages 3D en raison de leur porosité, de leurs performances mécaniques et de leur temps de dégradation facilement ajustables. Grâce à leur biocompatibilité supérieure, les polymères naturels tels que la gélatine, le collagène, le chitosane, l’alginate, l’élastine et la fibrine ont attiré l’attention des chercheurs pour la préparation d’échafaudages 3D qui reproduisent fidèlement la vascularisation des tissus natifs et les interconnexions des canaux qui permettent la perfusion des nutriments et la diffusion de l’oxygène pendant la régénération.»

L’étude encore plus récente, “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds”, d’octobre 2022, [72] affirme que : 

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane /polycaprolactone…. Les échafaudages d’ingénierie tissulaire préparés avec des matériaux à base de graphène présentent une bonne biocompatibilité, d’excellentes propriétés mécaniques et une forte orientation des cellules, ce qui permet d’induire pleinement la prolifération et la différenciation des cellules d’ensemencement. Cette revue décrit brièvement les matériaux de base pour la préparation des échafaudages d’ingénierie tissulaire, et se concentre sur la préparation, la performance et l’application des matériaux à base de graphène dans l’ingénierie tissulaire, fournissant une compréhension suffisante du graphène appliqué à la médecine régénérative. »

En effet, il est important de souligner que les dérivés du graphène sont utilisés, très souvent, conjointement au chitosane, dérivé de la chitine, dans la fabrication d’échafaudages cellulaires permettant de créer de nouveaux tissus dans le corps humain: l’ingénierie tissulaire chimérique à base d’hydrogels. Il existe une foultitude d’études publiées à cet égard – à savoir plus d’une centaine – depuis l’année 2011. [7]  [8]  [9]  [10]  [11]  [12]

C’est ce que j’ai voulu mettre en exergue dans mes deux derniers volumineux dossiers: les Autorités vont tenter de Graphéniser et de Chitiniser au maximum les Peuples – tout autant que les viandes cellulaires… qui sont supposées remplacer les vraies viandes à terme. 

Le site de PubMed en décline, déjà 23, pour l’année 2022. En voilà quelques-unes:

“Synthesis and Characterization of Chitosan-Containing ZnS/ZrO2/Graphene Oxide Nanocomposites and Their Application in Wound Dressing”. Cette étude porte sur la confection d’un polymère nano-composé d’oxyde de graphène, de chitosane, de sulfure de zinc et de dioxyde de zirconium afin de créer des échafaudages pour des nano-films permettant de réparer, plus rapidement, les lésions cutanées. [68]

“Fabrication of Conductive Tissue Engineering Nanocomposite Films Based on Chitosan and Surfactant-Stabilized Graphene Dispersions”. Septembre 2022. Cette étude porte sur la fabrication de films en nanocomposites de chitosane et de graphène, avec une biomécanique, une électroconductivité, et une biocompatibilité modulables, en ayant recours au polyvidone et au polymere Pluronic F108 comme stabilisateurs d’émulsion pour l’ingénierie tissulaire conductrice. [14]

“Study on Long-Term Tracing of Fibroblasts on Three-Dimensional Tissue Engineering Scaffolds Based on Graphene Quantum Dots”. Septembre 2022. Cette étude porte sur l’utilisation de points quantiques d’oxyde de graphène, de points quantiques d’amino-graphène et de points quantiques de graphène carboxyl pour tracer les  fibroblastes de la peau humaine. [15]

“Effect of carbon based fillers on xylan/chitosan/nano-HAp composite matrix for bone tissue engineering application”. Février 2022. Cette étude porte sur l’analyse de l’effet des charges dérivées du carbone (oxyde de graphène ou oxyde de graphène réduit) sur le potentiel microstructurel, mécanique et ostéoinductif de la matrice composite xylan/chitosan/HAp (hydrocarbures aromatiques polycycliques) pour une application d’ingénierie du tissu osseux. [16]

“Evaluating the effect of graphene oxide PEGylation on the properties of chitosan-graphene oxide nanocomposite scaffold”. Mai 2022. Cette étude porte sur la fonctionnalisation de l’oxyde de graphène avec du polyéthylène glycol (PEG) pour comprendre l’effet de l’oxyde de graphène recouvert de PEG sur les propriétés de l’échafaudage nanocomposite à base de chitosane. [17]

“Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” Novembre 2022

“Récapitulatif de mes divers Vecteurs de Transmission sur la Toile… au plaisir de la Générosité et du Mutualisme”

Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2022

Réseau de nano-communications intra-corporel : récapitulatif des 49 dossiers de Mik Andersen” 

“Récapitulatif de mes 25 articles corrélés aux dossiers de Mik Andersen”

“Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté”. Octobre 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Juin 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mai 2022”

“Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 10. 2022: Orchestration de la Famine Pandémique”La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les  Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin? Avril 2022

“Récapitulatif des preuves irréfutables – en photographies et vidéos – de la présence de graphène et de nano/micro-technologies dans les injections CoqueVide”.  Avril 2022

“Récapitulatif des articles, études et vidéos, prouvant l’inexistence du Sars-CoV-2”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Avril 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mars 2022”

“Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN. Mik Andersen”. Février 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Février 2022”

“Présentation des analyses microscopiques des vaccins CoqueVide Pfizer en Nouvelle Zélande”

“Le Graphène dans l’Atmosphère” Janvier 2022

“Le Graphène dans l’Agriculture” Janvier 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Janvier 2022”

“Los Cantos de Xochi. Au sujet du 666, du Carbone, du Graphène et de la Bête” Janvier 2022

“Dossier d’accompagnement technique des articles du blog C0r0n@ 2 Inspect”. Décembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Décembre 2021”

“Los Cantos de Xochi. L’Enfant-Vaudou sur l’Autel Vaccinal de la PharMacronie” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2021”

“La Fraude du Covid 19 et la Guerre à l’encontre de l’Humanité” Novembre 2021

“VaccineGate. Présentation et Traduction par feu Serge Rader”

“Des encres à base de graphène comme bio-senseurs dans les vêtements, dans les chaussures… et dans les tatoos!” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Rudy Reichstadt: le Guru Conspirationniste de la Meute Médiatique” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Sexe, Vaccins and Rock the Dolls! Le Sperme au Parfum de Graphène: un Terminator de la Fertilité Féminine?” Novembre 2021

“La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène” Octobre 2021

“Toxicité des nano-particules de Graphène pour le système de reproduction des insectes, des poissons et des mammifères” Octobre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2021”

“Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène”. Septembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Sacrement de la Vaccination et le Culte Covidien de l’Enfant-Vaudou” Septembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Septembre 2021”

“Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?” Août 2021

“Los Cantos de Xochi: Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”  Août 2021

“L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”.

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 09” “L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”. Mai 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 02” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 08” Psychose Pulmonaire sur Mode de Coronavirus au Parfum Chimérique de Chauve-Souris avec un Zeste de VIH… et une Pincée d’Ebola? Mars 2020

“Protocoles de Plantes Médicinales pour les Grippes et autres pathologies respiratoires” Février 2020

“Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déhalluciner le Mental” Janvier 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 07” Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire. Décembre 2019

“Los Cantos de Xochi. En Guise de Déguisements Sémantiques et Mantiques” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 06” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Pandémies Planétaires? Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. Un Temple de la Sorcellerie sur les Cendres de la Cathédrale Consumée?” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 05” Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques. Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 04” 2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 03” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 02” Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants… Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 01” La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. Au Festival des Quenelles de l’Humour: Macron dégage!!!”  31 décembre 2018

“Los Cantos de Xochi: Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale!” 20 mars 2018

Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?” Décembre 2017

La loi Biodiversité de juillet 2016 : un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture ?” Août 2016




Un nouveau paradigme médical

[Source : quantiquemedia.com]

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche. Le Docteur Saputo nous proposera un nouveau modèle de médecine de santé. Il nous expliquera sa façon de travailler. On peut parler ici de nouveau paradigme médical.

[NDLR L’enregistrement date de plusieurs années, mais la problématique soulevée reste d’actualité.]


Note de Joseph Stroberg

La médecine allopathique, comme beaucoup d’autres réalisations humaines depuis plus de deux siècles, repose sur l’approche matérialiste et existentialiste selon laquelle la conscience naît seulement de la matière et s’éteint à la mort physique de l’individu. Ce dernier tend alors à vouloir jouir au plus vite et au maximum de ce qu’il appelle la vie, ceci sans considération des conséquences pour lui-même ni pour les autres et la planète. La conséquence logique est le chaos et la corruption dans tous les domaines de la société (([1] La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos)), la peur de la mort et la manipulation qu’elle permet (([2] Comment fonctionne le contrôle mental réel )), l’accaparement des ressources par les plus psychopathes (([3] ►Alexandre Havard : « On arrive à la fin des mensonges »
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources)) et le totalitarisme(([4] ►Chroniques du totalitarisme — Psychopathologie du totalitarisme
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective)).

Cette médecine « moderne » ou conventionnelle repose bien sûr sur des fondements inversés par rapport à une vision traditionnelle multimillénaire selon laquelle la vie matérielle est subordonnée à celle de l’Esprit éternel et la conscience est immortelle, survivant à la mort charnelle. Elle confond donc le plus souvent, pour ne pas dire toujours, les causes et les conséquences. Elle vise en particulier à guérir les maladies en s’attaquant aux symptômes plutôt qu’à ses causes fondamentales qu’elle cherche par ailleurs rarement. Elle prend des « exosomes » et autres éléments cellulaires naturels ou résultants d’agressions diverses pour des « virus » pathogènes, alors que selon une vision innovante appuyée sur des faits et des expériences scientifiques rigoureuses, ils sont soit des auxiliaires avertissant d’un danger(([5] communication qui peut éventuellement se faire par biophotons. Voir Communication entre organismes vivants par biophotons)), soit des déchets génétiques (d’ADN endommagé ou d’ARN ayant terminé son travail) expulsés des cellules(([6] ►La théorie des exosomes contre celle des virus
La virologie : pseudoscience au service de la domination)). Elle croit que les bactéries sont des microbes nuisibles, malgré leur existence par milliards dans notre corps, en nombre même plus grand que celui de nos cellules, et que leur fonction observée est celle de minuscule usine chimique utilisant certaines substances dont elles se nourrissent pour les transformer en d’autres produits, dont nous et d’autres êtres vivants peuvent se nourrir à leur tour ou avoir l’utilité. Dans notre corps, elles permettent notamment d’assimiler des nutriments au niveau des parois intestinales et d’accomplir d’autres fonctions, comme le nettoyage de certains déchets ou de cellules mortes.(([7] ►Des scientifiques russes découvrent des bactéries qui neutralisent les déchets nucléaires
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
Tout savoir sur le microbiote intestinal ))

Le nouveau paradigme médical existe déjà au moins partiellement au travers de différentes approches médicales assez récentes, comme celle de la médecine fonctionnelle (qui s’efforce de travailler sur les causes « racines » des maladies), de la médecine « holistique » (qui considère l’individu dans son intégralité, à savoir son corps, ses émotions, son mental, mais aussi son esprit), ou même de la naturopathie selon laquelle il y a au moins quatre piliers pour une bonne santé : environnement sain, nourriture saine, exercices physiques suffisants (mais modérés) et absence de stress.

Ce paradigme trouve cependant ses racines dans des pratiques beaucoup plus anciennes aussi bien que dans l’approche de Béchamp par opposition à celle de Pasteur(([8] Pasteur versus Béchamp — La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans)). Les maladies y sont alors vues comme le résultat d’un déséquilibre localisé ou général, sur un plan ou un autre de la vie individuelle comme collective. Et un tel déséquilibre peut être causé d’un côté par une déficience, un manque en certains « nutriments » (au sens général ou symbolique du terme, car il peut aussi bien s’agir de nourriture émotionnelle, mentale, psychique ou même spirituelle). Et d’un autre côté, il peut être causé par un excès de nutriments (toujours au sens général ou symbolique), de substances (celles-ci pouvant plus ou moins rapidement devenir toxiques) ou d’autres agents tels que des champs électriques, des champs magnétiques ou des ondes électromagnétiques, surtout sous des formes auxquelles le corps n’est pas habitué ou préparé. Quant aux apparentes épidémies et contagions, elles sont le plus souvent tout simplement le résultat d’une exposition simultanée aux mêmes facteurs nocifs ou aux mêmes déficiences nutritives, se traduisant en symptômes plus ou moins violents d’abord et plus rapidement chez les individus les plus fragiles et à la plus faible vitalité, puis en dernier chez ceux qui disposent d’un plus grand potentiel vital et d’un meilleur équilibre général. Ceux-ci peuvent même alors ne ressentir aucun symptôme.

Les maladies hivernales proviennent d’un manque d’exposition au Soleil et d’une trop vive ou trop longue exposition au froid, facteurs qui fragilisent l’organisme et le rendent donc plus propice à subir plus facilement les autres causes de déséquilibre.

Certaines maladies peuvent néanmoins se communiquer par contagion, par le biais des biophotons(([9] Communication entre organismes vivants par biophotons)) (et non pas par de prétendus « virus » pathogènes ni par des bactéries), lorsqu’il existe un état propice entre plusieurs individus, et pas nécessairement par proximité physique (puisque les biophotons s’affranchissent des distances). La peur peut être un facteur facilitateur. Une forme de complicité énergétique (vitale, émotionnelle ou mentale, par exemple) également.




Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?

[Source : aimsib.org via RI]

Nous accueillons aujourd’hui avec une grande joie Gérard Mannig, informaticien en retraite, citoyen éveillé et suspicieux de la qualité du niveau des prises en charge sanitaires dans nos pays démocratiques. La vaccination par exemple, ses gardiens du temple, ses grands argentiers et ses coupables accointances, il les observe et les critique depuis longtemps, peut-être pas depuis 1885(([1] Le vaccin contre la rage date de 1885)) mais certains auteurs, les Papys de ses Papys, s’y étaient déjà attelés avant lui. Où l’on apprendra au passage pour quelles raisons les médecins sont si régulièrement complètement nuls en vaccinologie et pourquoi ils préfèrent « faire confiance dans leurs institutions » ainsi que dans « la grande sagesse de leur Conseil de l’Ordre ». Bonne lecture… 

 La rédaction de l’AIMSIB

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus, dont :
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Citations médicales sur les vaccinations
Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins
L’inquiétante histoire des vaccins
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse
Alerte Vaccins]

Par Gérard Mannig

 Introduction

Le Dr Vincent RELIQUET vient récemment de nous montrer(([2] https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/)) que l’éveil les masses commence à poindre à l’horizon. Si les éléments qu’il donne à notre lecture sont des réalités objectives, il en est d’autres, tout aussi objectives, qui ne vont pas dans le même sens, hélas. Ainsi, certains sites véhiculent — pardon : ont véhiculé — des commentaires négationnistes. Par exemple : le jour d’après. L’image ci-dessous, si elle date un peu, en est une preuve.

J’ai ici commis l’imprudence de rappeler une (autre) réalité objective sur ce site — et objet de ce billet — mais… c’était sans compter sur la grande faucheuse qui a fait disparaître ladite contribution(([3] https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/16/proposals/7946)) dans les 10 jours qui auront suivi. En grattant un peu, toutes mes contributions ont d’ailleurs été supprimées, ce qui m’avait fait me tourner vers d’autres cieux. Le fauteur de trouble n’aura lui-même sévi que quelque 30 jours, d’avril à mai 2020.

Ce site, pourtant, indique à qui veut le savoir qu’il est créé par des : « parlementaires de différentes sensibilités politiques, [et] appelons les forces vives de notre pays et les citoyennes et citoyens à préparer, tous ensemble, le jour d’après. ». Le « tous ensemble » implique, de facto, la collaboration de toutes les bonnes volontés. Si tous les hommes sont égaux, certains sont tout de même plus égaux que d’autres…

À y regarder de plus près, « Atelier 17 : Quel système de santé pour le Jour d’après ? Pour une organisation tournée vers la qualité et la pertinence des soins »(([4] https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/ateliers/f/14/meetings/38)) est co-piloté par un certain André GRIMALDI, du Conseil « Scientifique » DELFRAISSY. Nous comprenons mieux le parti pris pro-vaccinal.

Une mouche dans le lait, aussi, avec Patrick BRUEL qui, non content de s’être illustré à l’automne dernier(([5] https://www.bfmtv.com/people/en-plein-concert-patrick-bruel-s-agace-contre-les-personnes-non-vaccinees_AN-202111280126.html)), a récidivé récemment. La vieillesse est un naufrage. Passons.

Rapport de juin 2007 du Sénat : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? »

Depuis la pseudo-pandémie, l’habituel clivage plus que séculaire entre les pro et les anti-vaccins est reparti de plus belle. Bizarrement, les pro avaient perdu d’entrée de jeu. Non pas que leur argumentation était fausse — la littérature anti-vaccinale en est une preuve visible, rien que par son abondance — mais parce que le débat avait trouvé son épilogue en juin 2007 de la façon la plus officielle qui soit. Oui : vous avez bien lu, le débat est clos.

Ne recherchez pas, hélas, dans les « merdias » une quelconque trace du fameux rapport du Sénat : AUCUN n’en a parlé. Pas surprenant le moins du monde. Seuls quelques médias alternatifs (et encore, peu nombreux) en ont fait état. Ce texte fait évidemment autorité, de par la nature seule de son dépositaire : le Sénat. Et aucun démenti ou même correctif n’y a été apporté depuis 14 années.

Que serait donc ce rapport, compte rendu d’une table ronde organisée(([6] Cette réunion était organisée par L’Observatoire Parlementaire d’Évaluation des Politiques de Santé (OPEPS) )) il y dix-sept années (on excusera le retard à l’allumage des merdias) autour d’une préoccupation très humaniste : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? ». Fallait-il s‘attendre à un panégyrique des vaccins établi par une docte assemblée ?

Tout le porte à croire, rien qu’à lire la distribution :
– Dr Fabian WILD, Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) Unité 404 Immunité et Vaccination,
– M. Fabrice MEILLIER, chargé de mission des affaires réglementaires du LEEM (Les entreprises du médicament),
– M. Hervé RAOUL, directeur,
– MM. François-Loïc COSSER, directeur d’unité, et Vincent LOTTEAU, chargé des aspects immunitaires et vaccinaux, à l’INSERM, Laboratoire P4
– M. Jean MÉRIEUX,
– M. François GUILLEMIN, directeur général de Lyonbiopôle,
– M. Bertrand ALEXANDRE, directeur de la BU Vaccins de Glaxo Smith Kline (GSK) France, président du Comité vaccins du LEEM,
– M. Alain SABOURAUD, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur,
– M. Éric LECOCQ, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD,

et M. Vianney MOREAU, directeur des opérations Novartis Vaccines.

Quant aux opposants, ils ont naturellement brillé par leur interdiction de séjour. Le parti pris — encore —était donc franc. À la décharge des organisateurs, le titre écartait définitivement toute volonté de débattre sur le fond. Clairement. Ils s’intéressent aux histoires de gros sous. Fin de l’histoire.

À sa lecture, on peut lire, cependant, deux informations qui confirment ce que tous les anti-vaccinalistes disent depuis 137 années(([7] Le vaccin contre la rage date de 1885)) :

Cette image étant un rien floue et comme nous voulons être parfaitement clairs, détaillons :

ou, plus probant encore, en allant bien sûr sur la page du Sénat concernée(([8] https://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-476_mono.html)) :

Nous observons également que le rapporteur de séance(([9] Cette réunion était organisée par L’Observatoire Parlementaire d’Évaluation des Politiques de Santé (OPEPS) )) avoue benoîtement : « Le président [Jean-Michel DUBERNARD, député], a conclu en estimant que les autorités publiques devraient avoir une vision complète du paysage industriel ainsi que des rapprochements possibles entre recherche publique et recherche privée. ». Ce qui revient à dire, ipso facto, que les pouvoirs publics NE disposent PAS de cette visibilité. Ici, aucun vagissement de complotiste(([10] Le comploteur alimente le complot. Le complotiste DÉNONCE le complot ! Où est le problème en étant complotiste ?)) dans notre analyse : c’est écrit noir sur blanc et nullement sorti du contexte !

Vous avez désormais la preuve manifeste que toutes ces têtes pensantes savent pertinemment à quoi s’en tenir.

Vous rendez-vous compte de l’ignominie des politiques qui, de génération en génération, siècle après siècle, ont continué à faire distiller ces poisons ? Vous rendez-vous compte de la responsabilité des merdias qui ont non seulement tu ce rapport mais complaisamment continué à distiller leur propagande ?

Vous rendez-vous compte, pour employer un langage juridique :
— de l’extrême culpabilité des premiers, que Virginie de ARAUJO-RECCHIA nous rappelle dans son Rapport Dictature 2020(([11] https://www.breizh-info.com/wp-content/uploads/2020/rapport-dictature-2020.pdf)) ? Le lecteur intéressé est vivement engagé à lire l’intégralité du rapport dictature 2020 précité. Le langage employé est clairement juridique.
— de la complicité « par fourniture de moyens » des seconds ?
— de la complicité de l’ensemble du Corps Médical ? Sauf, et nous tenons à le rappeler, les valeureux dissidents dont la carrière a bien évidemment été coupée net et de ceux, toujours en exercice, qui refusent le vaccin avec l’énergie du désespoir
— de celle — et nous y tenons tout autant — de la magistrature qui, pourtant statutairement contrainte de dénoncer des infractions, délits et crimes n’a même pas remué une oreille ?

PIRE : elle a toujours condamné les voix dissidentes et rejeté d’un revers de main (les exceptions sont ici rarissimes) toutes les actions en justice où les plaignants ont été victimes des vaccins. Ces exclusions vont même souvent jusqu’à y opposer une fin de non recevabilité au simple dépôt de plainte.

Vous rendez-vous compte de la non moins extrême culpabilité des décérébrés qui, ne connaissant strictement rien au dossier vaccin, s’emploient néanmoins à en louer les avantages imaginaires et à vilipender les non-vaccinés ? Nous avons ici une pensée (pas émue du tout) pour les Patrick BRUEL — précité —, Christophe BARBIER, Emmanuel LECHYPRE. Que ceux qui n’ont pas été cités veuillent bien nous pardonner.

Vous rendez-vous compte de ce que VOUS faites quand vous faites vacciner vos enfants ?

On comprend mieux l’ampleur de l’éventail d’accusés visés par la démarche initiée par l’avocat germano-américain Reiner FÜELLMICH(([12] https://odysee.com/@La_v%C3%A9rit%C3%A9_excite_la_col%C3%A8re:2/z_Reiner-Fuellmich-fait-une-mise-au-point:4)). Également : « Plainte pour crime contre l’humanité contre les dirigeants français : le compte y est-il bien ? [MAJ du 2 août 2021] » pour complétion de ce musée des horreurs.

De là à reconsidérer les circonstances des décès de certains membres de votre famille, il n’y a qu’un pas. Personnellement, nous l’avons franchi.

On nous l’avait pourtant dit… depuis 1885 !

Du coup, le primum non nocere cher aux mandarins en prend un sacré coup. L’aphorisme est pourtant régulièrement utilisé pour fustiger un médecin qui aura prescrit des traitements non approuvés par la faculté.

  • « Par la loi du 16 août 1940 qui institua l’Ordre des médecins pour une période limitée, le gouvernement de Vichy mit en place une médecine d’État qui asservit la médecine à la « dictature » de cet Ordre. Mais en France, tout le monde sait que le provisoire mène au définitif. Et, depuis l’ordonnance du 24 septembre 1945 qui leur conféra un droit exorbitant, ce sont les conseils de Ordre qui, selon leur bon plaisir, jugent sans appel et décident d’interdire à tel médecin l’exercice de sa fonction. Seules les dictatures connaissent ces tribunaux d’exception où les plaignants s’érigent en juges et où l’accusé est condamné d’avance. Autrefois, avant l’Ordre, donc au temps du désordre, le serment d’Hippocrate donnait au médecin le droit et le devoir d’exercer la médecine selon sa conscience.(…) Quand, par ailleurs, les tribunaux acquittent les médecins qui soignent avec des remèdes qui guérissent mais n’entrent pas dans le cadre des remèdes officiels, l’Ordre conserve le pouvoir régalien de les condamner. »(([13] La dictature médico-scientifique par Sylvie Simon, ISBN 978-2850187209))
    (les enrichissements de caractères sont nôtres)

  • « Rien n’a donc vraiment changé depuis 1940 et les réquisitoires des procureurs de notre époque ressemblent étrangement à ceux de leurs aînés, chaque fois qu’un médecin comparaît devant un tribunal pour avoir soigné ses patients avec des molécules « non agréées » par la Faculté et, par conséquent, considérées comme nocives, même si les preuves de leur efficacité sont patentes. Ces réquisitoires ressassent la même litanie :

Cette mise en œuvre permanente du célèbre : « Faites ce que je dis. Ne faites pas ce que je fais ! » finira immanquablement par générer un retour de flamme pour ces Torquemada médicaux. Tous, bien entendu.

Et la spiritualité dans tout ça ?

La médecine de demain

Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur ce que va devenir la médecine de demain. Les spéculations vont bon train et les théories avancées sont toutes aussi séduisantes les unes que les autres. Nous renvoyons le lecteur vers elles.

[Voir aussi :
Les Racines de nos Maladies
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Prendre sa santé en main
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Communication entre organismes vivants par biophotons
Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

Un volet, cependant, n’est pris en compte par aucun (ou presque) de ces acteurs. Celui de la spiritualité. On observera qu’il est bien dit : SPIRITUALITÉ et non RELIGION. Ceux d’entre vous — vous-même ? — chez qui ce thème présente quelque importance ont dû, depuis le début de la pseudo-pandémie, suivre certains sites ici ou là. De la même manière, si vous avez une préférence pour la science pure et dure, vous avez dû avoir vent de certaines théories professées par des scientifiques patentés comme Philippe GUILLEMANT(([15] http://www.guillemant.net/)), physicien. L’homme a écrit quelques ouvrages comme :
– Le grand virage de l’humanité(([16] Le grand virage de l’humanité https://www.lalibrairie.com/livres/le-grand-virage-de-l-humanite_0-7278003_9782813224866.html?ctx=92ff319d5c7432f6235af31b18cfc323))
– Se souvenir du futur (illustré) : guider son avenir par les synchronicités(([17] https://www.lalibrairie.com/livres/se-souvenir-du-futur–illustre—guider-son-avenir-par-les-synchronicites_0-8305398_9782813226525.html?ctx=92ff319d5c7432f6235af31b18cfc323))

et participé à quelques reportages vidéo comme (mais non exclusivement) :
[vidéo 42:50] Le physicien Philippe GUILLEMANT nous explique tout sur la spiritualité(([18] https://www.youtube.com/watch?v=Fm3rTtBs8B4))
[Vidéo 1:21:31] « Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe GUILLEMANT(([19] https://www.youmaker.com/video/84b8dc15-bb1e-4b1d-8253-45c5d20214f0))
[Vidéo 23:32] Créer son futur grâce au pouvoir de la pensée, avec Philippe GUILLEMANT(([20] https://www.youtube.com/watch?v=_k3l7fa8Zlc))
[Vidéo 15:18] Comment Philippe GUILLEMANT voit le futur de l’humanité(([21] https://www.youtube.com/watch?v=Nz2tuGzxRi0))

sans parler des interviews :
2020.12.01 – « La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire », par Philippe GUILLEMANT(([22] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/))
2020.08.04 – Le « Port du masque » par le physicien Philippe GUILLEMANT(([23] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/masque-philippe-guillemant/))

Ces quelques points de chute donnent, à leur seule évocation, matière à réflexion. Ainsi, la physique mène à la spiritualité ! Eh oui, car la synchronicité(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Synchronicit%C3%A9)), chère à JUNG, est ici clairement abordée par un non-psychanalyste. De la même manière, créer son futur grâce au pouvoir de la pensée (sic) est un concept commun à toutes les religions, du moins monothéistes. Voici la chose désormais professée par un scientifique et, quelque part, gravée dans le marbre. Il se passe vraiment quelque chose à l’aube de la cinquième dimension(([25] https://ducielalaterre.org/ce-qui-doit-etre-sera/fr/)) comme nous l’allons voir.

Le billet du Dr RELIQUET avait introduit cette notion de virage dans les attitudes : nous pensons que Philippe GUILLEMANT en est un magnifique exemple dans le monde scientifique.

De retour aux sites axés spiritualité, je n’en citerai qu’un : Du Ciel à la Terre(([26] https://ducielalaterre.org/tout-est-en-marche-car-tout-va-changer/fr/)). Les messages qui nous sont délivrés (depuis 1983) par un médium se sont précipités depuis mars 2020 pour des raisons plus qu’évidentes. Je ne retiendrai donc que le volet médical qui nous intéresse. Depuis donc quasiment 3 années, des considérations sur la médecine nous sont faites. Nous vous en livrons quelques unes, brut de fonderie, en guise de matière à réflexion. Les enrichissements de caractère sont nôtres :

  • « Il arrivera un moment, Enfants de la Terre, où il n’y aura pas ou très peu de médecins ; nous ne vous donnons pas les raisons. Le corps médical a failli, par peur, par conviction, il a failli également par l’attrait de l’argent. Tous les médecins, tout le personnel hospitalier, qui ont subi volontairement ou involontairement une immense nuisance dans leurs corps, ne seront plus capables d’accomplir ce qu’ils ont choisi sur ce monde : l’aide aux autres. Parallèlement à cela (parce qu’il n’y a pas de vide, le vide n’existe pas), beaucoup d’êtres se révèleront avec d’autres capacités, des capacités de soin, des capacités d’aide à tous les niveaux. Il en sera de même pour l’éducation, il en sera malheureusement de même pour plusieurs corps de métiers ! ».(([27] https://ducielalaterre.org/vous-vivez-des-moments-extraordinaires-dans-le-difficile-comme-dans-le-merveilleux/fr/))

  • « Au lieu de vous appesantir sur tout ce qui ne va pas, essayez de voir tout ce qui est beau dans votre société ! Il y a énormément de choses très positives, et la plus belle des choses est l’éveil des consciences. Vous pouvez voir cet éveil des consciences au travers des scientifiques, au travers du personnel soignant, des médecins, etc., vous pouvez le voir à tous les niveaux. »(([28] https://ducielalaterre.org/une-immense-preparation/fr/))

  • « Sont endormis les médecins ou ceux qui font partie des professions médicales, ceux qui sont dans l’éducation, les politiques, les philosophes, tous ceux qui ont un tant soit peu la responsabilité de la gestion du monde (nous ne parlons pas que de votre petite France, nous parlons de la généralité du monde). » (…) De grands professeurs, de grands médecins, etc. donnent l’alerte, mais une partie de l’humanité ne veut pas les entendre parce que cela ne correspond pas à son niveau de conscience. Elle préfère entendre ce qui correspond à ce qu’elle est ! »(([29] https://ducielalaterre.org/des-surprises-agreables/fr/))

  • « Bien évidemment, pour l’instant, vous avez peut-être encore besoin d’aller dans les hôpitaux pour des opérations ou autres, mais il arrivera un moment où il devra y avoir une restructuration, et la médecine de demain ne sera plus du tout celle d’aujourd’hui. Il pourra y avoir des réparations du corps physique, certes ! Cependant elles seront holistiques, et beaucoup plus dans la relation d’Amour entre ceux qui soignent et ceux qui sont soignés ; ce sera une connexion entre le soignant et le soigné, avec beaucoup plus d’Amour et de fraternité. »(([30] https://ducielalaterre.org/une-autre-facon-de-concevoir-la-vie/fr/))

Gérard MANNIG
Décembre 2022

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1415697b/f3.item.zoom
1948

Notes et sources :




Les champs électromagnétiques de radiofréquence peuvent affecter la santé cardiaque

[Source : maisonsaine.ca]

Par Environmental Working Group
(Uloma Uche, Ph.D., Tasha Stoiber, Ph.D. Olga Naidenko, Ph.D.
Publié sur le site de l’Environmental Working Group le 22 novembre 2022)

Des études animales et humaines montrent
que l’exposition chronique aux rayonnements
de radiofréquence augmente le risque de maladie cardiovasculaire,
en particulier chez les être plus sensibles,
comme les foetus et les enfants.

Le rayonnement électromagnétique dans la gamme des radiofréquences émis par les téléphones cellulaires, les tablettes et autres appareils de communication sans fil est absorbé par le corps humain et peut affecter la santé cardiaque, selon une nouvelle analyse de l’Environmental Working Group (EWG).

Des études scientifiques chez l’humain et l’animal montrent que le système cardiovasculaire est sensible aux rayonnements de radiofréquence. L’organisme en développement, du stade fœtal au début de la vie, est particulièrement vulnérable à ces expositions et à leurs effets néfastes potentiels.

Dans les études animales, l’exposition aux radiofréquences a été associée à des modifications structurelles et biochimiques du cœur. Ces modifications comprennent l’irrégularité et la dégénérescence des fibres du muscle cardiaque, la congestion des vaisseaux sanguins dans le muscle cardiaque, l’augmentation du poids du cœur et des changements dans les niveaux de substances métaboliques clés importantes pour la fonction cardiaque. Des exemples de ces effets néfastes identifiés chez les animaux de laboratoire sont énumérés dans le tableau 1.

Dans deux études animales à long terme, l’une menée par le National Toxicology Program (NTP) américain et l’autre par l’Institut Ramazzini, en Italie, des tumeurs cardiaques ont été observées chez des animaux de laboratoire exposés aux rayonnements de radiofréquences. Dans l’étude du NTP, une cardiomyopathie ventriculaire, un type de maladie dégénérative du cœur, a été observée chez des rats de laboratoire après une période relativement courte de 19 semaines d’exposition aux radiofréquences.

Des études menées sur des personnes suggèrent que les rayonnements de radiofréquence peuvent accroître le risque de maladies cardiovasculaires en augmentant la pression artérielle, le cholestérol total et le cholestérol à lipoprotéines de basse densité. Des modifications de la fréquence cardiaque et une altération de la réponse du système nerveux sympathique et parasympathique ont également été signalées après une exposition aux radiofréquences. Le tableau 2 présente des exemples de ces résultats issus de la recherche épidémiologique sur l’homme, dont certains en milieu professionnel.

Le mécanisme des effets des rayonnements de radiofréquence sur le système cardiovasculaire n’est pas encore clair. Des études suggèrent que les rayonnements de radiofréquence augmentent la production d’espèces réactives de l’oxygène, qui peuvent à leur tour favoriser la peroxydation des lipides et entraîner des dommages oxydatifs. Les expositions aux rayonnements radiofréquences peuvent également entraîner des modifications de la perméabilité et de la fonction de la membrane cellulaire, ainsi que des modifications des enzymes intracellulaires et des lésions de l’ADN.

Tableau 1. Effets nocifs sur le système cardiovasculaire documentés dans les recherches sur les animaux de laboratoire exposés aux rayonnements de radiofréquence :

Effets cardiovasculaires Preuves d’études animales
Risque accru de tumeurs cardiaques Chez les rats, l’exposition aux radiofréquences a été associée à un risque accru de tumeurs cardiaques malignes.1, 2
Risque accru de cardiomyopathie L’exposition aux radiofréquences chez les rats a été associée à un risque accru de cardiomyopathie2.
Modifications de la fréquence cardiaque Modifications de la fréquence cardiaque associées à l’exposition aux rayonnements de radiofréquence chez les lapins3 et les rats.4
Modifications structurelles du cœur Des modifications de la structure cardiaque et un risque accru de mortalité ont été associés à l’exposition aux radiofréquences chez les embryons de poulet5. L’exposition prénatale de rats aux radiofréquences a été associée à des changements structurels et à la mort cellulaire dans le tissu cardiaque6. Des dommages structurels et la mort des cellules du myocarde ont été observés après une exposition aux radiofréquences chez le rat.7, 8
Modifications des lipides dans le tissu cardiaque  Des niveaux plus élevés de lipides ont été observés dans les tissus myocardiques d’embryons de poulet exposés à des rayonnements de radiofréquence pendant l’incubation.5
Risque accru de stress oxydatif dans le tissu cardiaque L’exposition des rats aux radiofréquences a été associée à une augmentation des taux de malondialdéhyde et d’oxyde nitrique, marqueurs de la peroxydation lipidique et du stress oxydatif, ainsi qu’à une diminution des taux de superoxyde dismutase, de catalase et de glutathion peroxydase9. L’exposition prénatale de rats aux rayonnements de radiofréquence a été associée à des niveaux plus élevés de malondialdéhyde, de superoxyde dismutase et de catalase et à un niveau plus faible de glutathion6. L’exposition des rats aux radiations radiofréquences a été associée à une diminution des niveaux de malondialdéhyde, un marqueur du stress oxydatif, et à une diminution des activités enzymatiques de la xanthine oxydase et de l’adénosine désaminase dans les tissus cardiaques10.
Modifications de la pression artérielle et de la variabilité de la fréquence cardiaque L’exposition aux rayonnements de radiofréquence chez les rats a été associée à une augmentation de la pression artérielle systolique, diastolique et moyenne, à une diminution de la variabilité de la fréquence cardiaque, à une augmentation du cholestérol total et à une augmentation des niveaux d’oxyde nitrique dans le cœur4.
Modifications du métabolisme énergétique cardiaque Diminution de l’activité de l’adénosine triphosphate dans les tissus myocardiques, diminution des niveaux d’enzymes de stress antioxydant et augmentation des niveaux de malondialdéhyde observés chez les rats exposés aux radiations de radiofréquence.7
Modifications de la fonction cardiaque L’exposition aux radiofréquences chez les souris de laboratoire a été associée à une augmentation de la créatine phosphokinase, un marqueur de la fonction cardiaque, et à une diminution du cholestérol à lipoprotéines de haute densité11.
Modifications du poids cardiaque Chez les rats, l’exposition aux radiofréquences a été associée à une augmentation du poids du cœur entier ainsi qu’à une augmentation de la pression artérielle systolique12.

Tableau 2. Résultats des études épidémiologiques sur les personnes exposées aux radiofréquences dans un cadre professionnel ou de recherche :

Effets cardiovasculaires Preuves tirées d’études humaines
Facteurs de risque cardiovasculaire accrus L’exposition aux rayonnements de radiofréquence chez les opérateurs de stations de radiodiffusion et de télévision a été associée à une augmentation de la pression artérielle systolique et diastolique, du cholestérol total et des cholestérols à lipoprotéines de basse densité. L’exposition aux rayonnements de radiofréquences a été associée à un plus grand risque de devenir hypertendu et dyslipidémique chez ces travailleurs13.
Modifications de la fréquence cardiaque L’exposition professionnelle aux champs électromagnétiques de radiofréquence a été associée à une fréquence cardiaque plus faible chez les opérateurs de scelleuses de plastique par radiofréquence par rapport aux témoins.14 L’exposition professionnelle aux rayonnements de radiofréquence chez les travailleurs des stations de radio est associée à des modifications des rythmes diurnes de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque.15 Changements de la variabilité de la fréquence cardiaque signalés chez des volontaires sains exposés aux radiations de radiofréquence des téléphones portables.16,17,18

Références

1 Falcioni, L., L. Bua, E. Tibaldi, M. Lauriola, L. De Angelis, F. Gnudi, D. Mandrioli, M. Manservigi, F. Manservisi, and I. Manzoli, Report of final results regarding brain and heart tumors in Sprague-Dawley rats exposed from prenatal life until natural death to mobile phone radiofrequency field representative of a 1.8 GHz GSM base station environmental emission. Environmental Research, 2018. 165: p. 496-503. DOI: 10.1016/j.envres.2018.01.037.

2 National Toxicology Program, 595: NTP Technical Report on the Toxicology and Carcinogenesis Studies in Hsd: Sprague Dawley SD Rats Exposed to Whole-Body Radio Frequency Radiation at a Frequency (900 MHz) and Modulations (GSM and CDMA) Used by Cell Phones. National Toxicology Program, US Department of Health and Human Services, 2018.

3 Misek, J., M. Veternik, I. Tonhajzerova, V. Jakusova, L. Janousek, and J. Jakus, Radiofrequency electromagnetic field affects heart rate variability in rabbits. Physiological Research, 2020. 69(4): p. 633.

4 Usman, J.D., M.U. Isyaku, and A.A. Fasanmade, Evaluation of heart rate variability, blood pressure and lipid profile alterations from dual transceiver mobile phone radiation exposure. Journal of Basic and Clinical Physiology and Pharmacology, 2021. 32(5): p. 951-957.

5 Ye, W., F. Wang, W. Zhang, N. Fang, W. Zhao, and J. Wang, Effect of mobile phone radiation on cardiovascular development of chick embryo. Anatomia, Histologia, Embryologia, 2016. 45(3): p. 197-208.

6 Türedi, S., H. Hancı, Z. Topal, D. Ünal, T. Mercantepe, I. Bozkurt, H. Kaya, and E. Odacı, The effects of prenatal exposure to a 900-MHz electromagnetic field on the 21-day-old male rat heart. Electromagnetic Biology and Medicine, 2015. 34(4): p. 390-397.

7 Zhu, W., Y. Cui, X. Feng, Y. Li, W. Zhang, J. Xu, H. Wang, and S. Lv, The apoptotic effect and the plausible mechanism of microwave radiation on rat myocardial cells. Canadian Journal of Physiology and Pharmacology, 2016. 94(08): p. 849-857.

8 Hanafy, L.K., S.H. Karam, and A. Saleh, The adverse effects of mobile phone radiation on some visceral organs. Research Journal of Medicine and Medical Sciences, 2010. 5(1): p. 95-99.

9 Ozguner, F., A. Altinbas, M. Ozaydin, A. Dogan, H. Vural, A.N. Kisioglu, G. Cesur, and N.G. Yildirim, Mobile phone-induced myocardial oxidative stress: protection by a novel antioxidant agent caffeic acid phenethyl ester. Toxicology and Industrial Health, 2005. 21(7-8): p. 223-230.

10 Devrim, E., İ.B. Ergüder, B. Kılıçoğlu, E. Yaykaşlı, R. Çetin, and İ. Durak, Effects of electromagnetic radiation use on oxidant/antioxidant status and DNA turn-over enzyme activities in erythrocytes and heart, kidney, liver, and ovary tissues from rats: possible protective role of vitamin C. Toxicology Mechanisms and Methods, 2008. 18(9): p. 679-683.

11 Aberumand, M., E. Mansouri, F. Pourmotahari, M. Mirlohi, and Z. Abdoli, Biochemical and histological effects of mobile phone radiation on enzymes and tissues of mice. Research Journal of Pharmaceutical, Biological and Chemical Sciences, 2016. 7(5): p. 1962-1971.

12 Mohamed, F.A., A.A. Ahmed, B.M. El-Kafoury, and N.N. Lasheen, Study of the cardiovascular effects of exposure to electromagnetic field. Life Science Journal, 2011. 8(1): p. 260-274.

13 Vangelova, K., C. Deyanov, and M. Israel, Cardiovascular risk in operators under radiofrequency electromagnetic radiation. International Journal of Hygiene and Environmental Health, 2006. 209(2): p. 133-138.

14 Wilén, J., R. Hörnsten, M. Sandström, P. Bjerle, U. Wiklund, O. Stensson, E. Lyskov, and K.H. Mild, Electromagnetic field exposure and health among RF plastic sealer operators. Bioelectromagnetics, 2004. 25(1): p. 5-15.

15 Szmigielski, S., Bortkiewicz, A., Gadzicka, E., Zmyslony, M., and R. Kubacki,  Alteration of diurnal rhythms of blood pressure and heart rate to workers exposed to radiofrequency electromagnetic fields. Blood Press Monit. 1998. 3(6): p. 323–30.

16 Wallace, .J, Andrianome, S., Ghosn, R., Blanchard, E.S., Telliez, F., and B. Selmaoui, Heart rate variability in healthy young adults exposed to global system for mobile communication (GSM) 900-MHz radiofrequency signal from mobile phones. Environ Research, 2020. 191: p. 110097.

17 Ekici, B., A. Tanındı, G. Ekici, and E. Diker, The effects of the duration of mobile phone use on heart rate variability parameters in healthy subjects. Anatolian Journal of Cardiology, 2016. 16(11): p. 833.

18 Andrzejak, R., R. Poreba, M. Poreba, A. Derkacz, R. Skalik, P. Gac, B. Beck, A. Steinmetz-Beck, and W. Pilecki, The influence of the call with a mobile phone on heart rate variability parameters in healthy volunteers. Industrial Health, 2008. 46(4): p. 409-417.




Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster

Par Dr Nicole Delépine

Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.

Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :

Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1

Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3

REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ

Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.

En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.

« Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4

Un post d’alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6

Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.

Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.

Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.

https://twitter.com/JosefSa39957439
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.


L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude ☀ @EthicalSkeptic sur twitter9

Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10

Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :

« Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

“Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.





Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19

[Source : aimsib.org]

Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.  

Par Emma Kahn et Hélène Banoun

(Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)

Résumé :
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.
Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.
Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.
Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Introduction

Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prionL’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Principe des vaccins utilisés dans les pays occidentaux

Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier (2) : il prévoyait des effets délétères de l’infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2. Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n’est l’unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-2 (3)(4)(5)(6)(7), donc les EIs des vaccins vont être en rapport avec la toxicité de la spike. (8)

  • Les plus utilisés sont les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna qui injectent le code modifié de la protéine spike de surface du virus et transforment ainsi le vacciné en usine à spike toxique.
  • Les vaccins à adénovirus modifié injectent de l’ADN qui est aussi le code de la spike (Astra Zeneca, Janssen)
  • Les vaccins inactivés type Valneva contiennent la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé chimiquement et donc contiennent la spike ainsi qu’un adjuvant jamais expérimenté.
  • Les vaccins dits classiques sont constitués de la protéine spike injectée avec un adjuvant (qui est en général nouveau ou ayant prouvé sa toxicité) : Novavax, Sanofi, Hipra, …

Donc théoriquement, on injecte une quantité fixe de spike avec ces vaccins « classiques » et on devrait avoir moins d’EI qu’avec l’usine à spike constituée par les vaccins ARN ou ADN mais en fait les mêmes EIs sont détectés et semble-t-il en même quantité, ceci pourrait être dû aux adjuvants qui stimulent exagérément la réaction immunitaire à cette spike déjà capable de déréguler le système Immunitaire ; il se peut qu’intervienne ici le mécanisme des anticorps anti-idiotypes.

En plus de la toxicité de la spike, il faut aussi signaler les phénomènes de facilitation de l’infection par le vaccin qui sont bien connus et ont été soulignés dès le début 2020 par les experts officiels : ils sont spécialement documentés pour les vaccins anti-coronavirus chez les animaux (au cours d’essai clinique et en utilisation commerciale ; et en post-commercialisation chez l’homme pour d’autres virus, par exemple le vaccin contre la dengue).

Les EIs du vaccin reproduisent les pathologies associées à la COVID-19

Risques toxiques comparés de la spike virale et de la spike vaccinale

Les promoteurs de la vaccination ont tendance à exagérer la pathogénicité du virus pour accroître le bénéfice risque du vaccin : ils oublient que toutes les personnes qui rencontrent le virus ne développent pas de COVID-19 sévère, loin de là, et que, par contre, tous les vaccinés sont susceptibles de fabriquer de grandes quantités de spike toxique à l’intérieur de tout l’organisme, voir la conférence des pathologistes allemands, les Prs Arne Burkhardt et Walter Lang (9). Lors d’une infection COVID-19, les effets systémiques du SARS-CoV-2 ne se manifestent qu’en cas de maladie symptomatique sévère et pas chez les personnes infectées légèrement : celles-ci éliminent le virus au niveau des voies respiratoires supérieures grâce à leur immunité innée et ne permettent pas au virus de se multiplier dans l’organisme et donc d’y répandre la spike toxique.(10)

Pourquoi les enfants et beaucoup d’adultes ne sont pas atteints par la COVID-19 ? Le rôle de la réponse immunitaire de l’hôte y est prépondérante. (11) Il faut aussi insister sur les différences d’exposition à la spike toxique selon la gravité de l’infection COVD-19, d’une part, et en comparaison avec la vaccination, d’autre part. Et en effet chez les personnes infectées mais n’ayant pas développé de Covid-19 sévère, on n’observe pas les pathologies associées à la COVID-19. Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement.

Une étude de cohorte prospective et longitudinale a permis de suivre les jeunes membres des Forces armées suisses (FAS). Elle a permis de quantifier l’impact de l’infection par le SRAS-CoV-2 sur la santé cardiovasculaire, pulmonaire, neurologique, rénale, ophtalmologique, reproductive masculine, psychologique et générale, en plus des paramètres de laboratoire. Il n’y avait pas de différences significatives dans les scores du questionnaire psychosocial, les résultats ophtalmologiques, la qualité ou la motilité des spermatozoïdes entre les témoins et les personnes infectées plus de 6 mois auparavant par le SRAS-CoV-2.
Conclusions : Les personnes jeunes, auparavant en bonne santé, se remettent largement d’une infection légère et l’impact multi-système de l’infection est moindre que celui observé chez les patients plus âgés ou hospitalisés. Ces résultats peuvent être extrapolés au personnel de santé et à d’autres jeunes adultes en activité. (12)

Malgré les altérations de la substance blanche du cerveau observées dans une autre étude, une infection légère à modérée par le SRAS-CoV-2 n’était pas associée à une dégradation des fonctions cognitives au cours de la première année suivant la guérison. (13)

ACE et le SRA

Le récepteur ACE2 constitue l’un des maillons du système rénine angiotensine (SRA), un système hormonal essentiel à notre organisme. Le SARS2 suractive le SRA. Le SRA est considéré comme l’un des principaux régulateurs de la physiologie cardiovasculaire en contrôlant l’homéostasie du sodium, le remodelage cardiovasculaire, le maintien du tonus vasculaire et la régulation de la pression artérielle.

En occupant ACE2, le virus de la Covid l’empêcherait de jouer correctement son rôle de régulateur de l’angiotensine 2, un peptide (courte chaine d’acide aminés) qui arriverait ainsi trop massivement sur le récepteur suivant du SRA, AT1R, et pourrait donc susciter des réactions en chaine impactant de nombreux organes, notamment au niveau inflammatoire. La suractivation du SRA provoque également l’induction de signalisations profibrotiques, proapoptotiques et pro-inflammatoires dans les poumons et d’autres organes. Ce mécanisme se caractérise par une tempête massive de cytokines, une hypercoagulation, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et de multiples lésions organiques ultérieures.

Le récepteur ACE2 est essentiel pour l’expression des transporteurs d’acides aminés dans l’intestin : il module l’immunité innée et influence la composition du microbiote intestinal.(14) Dans cet article de 2020, JM Sabatier et ses coauteurs avaient ainsi prévu les maladies liées à la Covid et que l’on retrouve en tant qu’EI des vaccins :
– Hypertension artérielle
– Athérosclérose
– Dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque
– Hypertrophie cardiaque
– Fibrose cardiaque
– Maladie rénale chronique
– Fibrose pulmonaire idiopathique
– Hypertension artérielle pulmonaire
– Lésions pulmonaires aiguës
– Diabète de type 2 / résistance à l’insuline intolérance au glucose / action sur le métabolisme du glucose
– Anosmie / perte d’odorat
– Agueusie / perte de goût
– Inflammation auto-immune du système nerveux central
– Diarrhée
– Glaucome / action sur l’humeur aqueuse
– Thrombose / coagulopathie
– Lésions cutanées / dermatite
– Rétinopathie diabétique / action sur l’humeur aqueuse
– Dysfonctionnement du métabolisme lipidique
– Dysfonctionnement de l’immunité / différenciation et activation des cellules immunitaires
– Maladies auto-immunes (par exemples, sclérose-en-plaques, poly-neuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-Fisher)
– Cancer
– Fibrose hépatique / hypertension portale / cirrhose
– Lésion testiculaire

Mise en garde contre l’ADE

Comme je l’écrivais en mai 2020 (15), tous les experts s’accordaient déjà en 2020 :
–  » Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».
– « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves ».

L’ADE est un cas particulier de ce qui peut se produire lorsque des taux faibles et non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors d’une réinfection, des anticorps en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps se fixent alors au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée du virus dans la cellule et augmentant par la suite l’infectivité du virus.

On ne peut pas différencier une manifestation d’ADE d’une infection virale sans ADE. Donc, quand des maladies ou de décès se produisent dans un court délai après vaccination, on ne peut pas exclure le vaccin comme cause proximale. L’ADE a été démontré dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003 sur les animaux. Les données publiées concernant les vaccins anti-COVID-19 montrent la facilitation et l’aggravation de l’infection juste après l’injection, aussi bien sur les essais cliniques que dans les études observationnelles post-commercialisation et ceci avec tous les types de vaccins (ARN, adenovirus, virus inactivé et vaccin recombinant).

Le mécanisme biologique de l’ADE après infection par le virus a été démontré : les anticorps facilitants sont trouvés chez les patients atteints de COVID-19 graves. (16) Avec l’évolution du virus et l’apparition successive des variants du SARS-CoV-2, les épitopes facilitants sont conservés et les épitopes neutralisants mutent et permettent l’échappement des variants aux anticorps neutralisants, ceci renforçant la possibilité d’ADE après infection ou vaccination contre la souche originelle. (17) Les vaccins ARNm induisent des anticorps plus fortement capables d’interagir par leur fragments Fc que ceux induits par l’infection naturelle : ces anticorps vaccinaux seraient susceptibles de provoquer l’ADE. (18)

Il a été montré, par ailleurs, que les sérums de patients vaccinés par le vaccin Pfizer perdent leur activité neutralisante et acquièrent des propriétés facilitant l’infection avec des variants Delta. (19)
Très récemment, un nouvel article japonais montre que certains sérums provenant de personnes vaccinées avec le vaccin à ARNm ciblant la protéine S ont présenté un potentiel d’ADE contre l’infection par la souche originale. Tous les sérums examinés, y compris les sérums présentant une activité neutralisante contre la souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2, n’ont présenté aucune activité neutralisante contre Omicron. Au contraire, une certaine activité ADE a été observée dans certains sérums. (20) Un article de S Seneff et G Nigh détaillait en 2021 les autres mécanismes biologiques pouvant expliquer les effets indésirables des vaccins à ARNm (21), voir l’analyse en français (22)

L’ARNm des vaccins a été modifié par rapport à celui du virus : il est plus résistant à la dégradation, il code pour une protéine spike modifiée (stabilisée en conformation de pré-fusion ce qui va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; cette stabilisation repose sur une mutation proline mais cette proline augmente sa capacité de liaison à l’ACE2), l’expression de la protéine est augmentée par la proportion augmentée de nucléotides CG dans l’ARN par rapport à un ARN viral classique.

Anaphylaxie et auto-immunité

Le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG).
Certaines protéines virales possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3. Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système ; d’autres protéines pourraient être associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques. L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid mais les asymptomatiques infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné et éliminent le virus sans produire beaucoup d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection IM. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent, de ce fait, faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires.

Des maladies auto-immunes ont aussi été annoncées par d’autres études sur le mimétisme moléculaire : il existe des similitudes entre les protéines du virus SARS-CoV-2 et les protéines humaines. Par exemple, 29 pentapeptides sont communs entre la spike et la protéine cardiaque Titin, dont les altérations sont liées à la mort subite par arrêt cardiaque. (23)

Des auto-anticorps ont été trouvés chez les patients Covid (anti-nucléaires, anti-coagulant du lupus, anti-IFN, anti-MDA5 associés à la dermatomyosite amyopathique. (24) Le mimétisme moléculaire avec les protéines de choc thermique pourrait expliquer les syndromes de Guillain-Barré (25). Il existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et certaines protéines neuronales humaines qui font craindre des maladies auto-immunes. (26)

Il existe un mimétisme peptidique massif entre l’homme et la souris, c’est-à-dire des organismes qui subissent des conséquences pathologiques à la suite d’une infection par la COVID-19. Au contraire, aucun peptide commun ou un nombre très faible de peptides communs sont présents chez les mammifères qui n’ont pas de séquelles pathologiques majeures une fois infectés par la COVID-19 (27).

Pour anticiper les EIs des vaccins, il fallait aussi s’intéresser à la biodistribution des LNP (nanoparticules lipidiques) vectrices de l’ARNm des vaccins. D’après Seneff et Nigh, on savait par des études sur un vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement. D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. (Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé).

Le Dr Robert W. Malone avait expliqué que cette bio-distribution faisait craindre des problèmes de fertilité et de maladies du sang (28).

Ovaires
Deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux, la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

Testicules
L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules. Le vaccin Pfizer diminue la concentration et la mobilité des spermatozoïdes dans le sperme (29) et, contrairement à la conclusion des auteurs, si on se réfère aux résultats du tableau 2 de cette publication, il est clair que cette réduction n’est pas transitoire pour tous les hommes : elle persiste 7 mois après la vaccination.

Nouvel article de 2022 de JM Sabatier sur l’effet de la spike sur la fertilité (30) :

L’ACE2 est impliquée dans la régulation des systèmes reproducteurs masculin et féminin, ce qui suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 et le dysfonctionnement associé du SRA pourraient affecter la reproduction.

Les patients Covid sévères ont des taux d’hormones sexuelles modifiés. Concernant la reproduction chez l’homme, le SRA et l’ACE2 régulent la stéroïdogeneèse, la production de testostérone et la spermatogenèse dans le testicule. L’ACE2 est largement exprimée dans l’ovaire, l’utérus, le vagin et le placenta. L’ACE2 contrôle le développement folliculaire et l’ovulation, ainsi que l’angiogenèse et la dégénérescence lutéale, de même que les altérations du tissu endométrial et le développement de l’embryon. L’ensemble de ces résultats suggère que le système reproducteur féminin, qui exprime l’ACE2, est vulnérable à l’infection par le SRAS-CoV-2, et que la fertilité pourrait donc être affectée. L’expression dynamique du SRA dans les cellules stromales et épithéliales de l’endomètre au cours du cycle pourrait expliquer les modifications du cycle menstruel observées pendant l’infection par le SRAS-CoV-2. La spike vaccinale pourrait reproduire ces altérations du métabolisme reproducteur.

Interaction de la spike avec les récepteurs aux œstrogènes

Des données de bioinformatique ainsi que l’étude de hamsters infectés ont montré que la spike se lie au récepteur des œstrogènes. Les œstrogènes sont responsables de la maturation et du fonctionnement du système reproducteur féminin mais jouent aussi un rôle immunitaire, en particulier dans les voies de signalement utilisées par les macrophages (intervenant dans l’immunité innée anti-infectieuse).

Ceci pourrait aussi expliquer la prédominance de la maladie COVID-19 chez les hommes et l’effet protecteur rapporté d’un traitement anti-oestrogénique sur la prévalence de COVID-19 chez les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ou du sein. (31)

Covid et grossesse, rappel

Aucune des complications obstétriques, n’a montré de différence statistiquement significative entre les femmes enceintes SARS-CoV-2-positives et SARS-CoV-2-négatives admises à l’accouchement. notamment l’anémie, le diabète gestationnel, l’hypertension gravidique, la cholestase intrahépatique, l’hémorragie ante-partum et l’hémorragie post-partum. (32)

À propos de la question de la vaccination des femmes enceintes contre la Covid-19, des chercheurs néo-zélandais ont réinterprété les données d’un article du CDC et montré que l’incidence cumulée des avortements spontanés chez les femmes vaccinées avant 20 semaines de gestation est 7 à 8 fois supérieure à la moyenne habituellement observée, mais ils ont dû retirer leur article sous la pression (33).

Moelle osseuse : leucémies, anémies

Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes.

Purpura thrombopénique
Les LNPs se concentrent dans la rate qui est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (purpura thrombopénie idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm vaccinal dans la rate peut générer des cellules B produisant IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes -cellules souches des plaquettes- par autophagie). Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

Maladies à prion

S Seneff alertait également sur le lien possible avec les maladies neurodégénératives dues au prion, ce sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines.

La S contient 5 motifs GxxxG (glycine) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4. La S vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin, il peut y avoir des fragments d’ARNm induisant la synthèse d’une S incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

L’EMA avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves. (34)

Diabète

Le mécanisme biologique par lequel la spike interagit avec le métabolisme glucidique a été étudié. (35)
Les trois principaux mécanismes qui influencent la manifestation de la maladie COVID-19 chez les diabétiques sont les suivants :

  • (a) l’entrée du virus par les récepteurs ACE-2
  • (b) l’action par la Dipeptidyl-peptidase-4, et
  • (c) l’élévation de la concentration de glucose dans les voies respiratoires par une glycémie élevée.

L’ACE-2 est exprimé dans les cellules épithéliales alvéolaires, le cœur, les épithéliums rénaux-tubulaires et intestinaux et le pancréas. La S-Glycoprotéine à la surface du SRAS-CoV-2 se lie à cette ACE-2 et subit un changement de conformation. Cela permet sa digestion protéolytique par les protéases des cellules hôtes TMPRSS2 et Furin, ce qui entraîne l’internalisation du virus. L’entrée du virus dans les cellules déclenche une réponse inflammatoire des cellules T auxiliaires et, parfois, une « tempête de cytokines », entraînant des lésions organiques.

Le vaccin Covid exacerbe l’hyperglycémie chez les diabétiques, d’après une étude de cas et ce serait dû à l’inflammation induite par le vaccin. (36)

Le vaccin provoque des modifications métaboliques chez des sujets sains et jeunes ne se manifestant pas cliniquement : « La vaccination a influencé divers indicateurs de santé dont ceux liés au diabète, au dysfonctionnement rénal, au métabolisme du cholestérol, aux problèmes de coagulation, au déséquilibre électrolytique, de la même manière que si les volontaires avaient subi une infection.  »  [Liu et al., 2021, p. 9], des altérations cohérentes de l’hémoglobine A1c, des taux sériques de sodium et de potassium, des profils de coagulation et des fonctions rénales ont été notées chez des volontaires sains après la vaccination avec un vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2. Des changements similaires avaient également été signalés chez les patients atteints de l’infection COVID-19, suggérant que la vaccination imitait une infection.  » ([Liu et al., 2021, p. 1] (37)

Manifestations gastro-intestinales, neurologiques, hépatiques

Les récepteurs de l’ACE2 sont surexprimés dans la paroi intestinale, ce qui entraîne une forte perméabilité intestinale aux agents pathogènes étrangers. Une interconnexion entre les poumons, le cerveau et le tractus gastro-intestinal lors d’un COVID-19 sévère a été mentionnée. (38) De nombreux chercheurs ont fait état de troubles intestinaux et neuraux induits par le SRAS-CoV-2. Certains symptômes, notamment les vomissements et les nausées, pourraient être des signes de troubles du système digestif ou du système nerveux. Le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes du système nerveux central et périphérique, tels que l’hyposmie/anosmie, les céphalées, les nausées, les vomissements et les symptômes psychiatriques et psychologiques, chez un pourcentage élevé de patients atteints de COVID-19.

Effet de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur les cellules endothéliales et la barrière hémato-encéphalique

La spike du SRAS-CoV-2 stimule une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau qui peut avoir un effet négatif sur l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et perturber sa fonction. L’altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique augmente considérablement la possibilité d’une invasion neurologique par ce virus, offrant une explication au risque de dommages neurologiques chez les patients atteints de COVID-19. L’une des raisons des complications neurologiques observées chez les patients atteints du COVID-19 est une interaction de la protéine spike ou, plus précisément, du domaine de liaison du récepteur de la protéine spike S1 (SARS-CoV-2 S1 RBD), avec des protéines amyloïdogènes dans le cerveau. Il a récemment été démontré par docking moléculaire que ce domaine peut interagir avec le peptide β-amyloïde, l’α-synucléine, la protéine tau et la protéine prion.

Cancer et spike

Il existe des similitudes cliniques et moléculaires entre le cancer et le COVID-19 : les quatre principales voies de signalisation à l’intersection du COVID-19 et du cancer sont la signalisation des cytokines, de l’interféron de type I (IFN-I), du récepteur des androgènes (AR) et des points de contrôle immunitaire. (39)

Interaction de spike avec les systèmes de réparation de l’ADN humain :
La sous-unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA, selon une analyse bioinformatique pour étudier l’interaction de la protéine de la sous-unité S2 du SARS-nCoV-2 avec les protéines suppresseuses de tumeurs p53 et BRCA-1/2. (40)

Angiogenèse
D’après des autopsies de patients décédés de COVID-19 sévère, la spike favoriserait l’angiogenèse (la prolifération de vaisseaux sanguins). Cette angiogenèse est indispensable à l’oxygénation et à la prolifération des tumeurs malignes. (41)

Analyse de quelques publications d’effets indésirables dûs au vaccin

Cancer

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué : (42)
– Âge – L’âge moyen des échantillons a chuté, avec une augmentation du nombre d’échantillons de personnes âgées de 30 à 50 ans.
– Taille – Habituellement, il était rare de trouver une tumeur de 3 cm. Dans ce nouvel environnement, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois de 12 cm, elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait un sein entier.
– Tumeurs multiples se développent en même temps dans les 2 seins et même dans plusieurs organes. On avait des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons quelques mois après avoir été vacciné.
– Récidive – Il y a eu une augmentation du nombre de patients qui sont en rémission de leur cancer depuis de nombreuses années, ayant soudainement une récidive agressive de leur cancer peu de temps après la vaccination.

Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées (43), un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également (44)

Dérèglement immunitaire induit par le vaccin

1) Suppression immunitaire non spécifique

Dans la maladie- COVID-19, une importante lymphopénie est trouvée chez de nombreux patients atteints de Covid sévère. Avec une perte pouvant aller jusqu’à 80% des cellules T du sang, concomitante avec une prolifération intense du pool de CD8+, cellules T. (45) On a noté une réactivation d’herpès post vaccination Pfizer en Israël chez des patients avec une maladie inflammatoire rhumatologique (cf Seneff et Nigh). Au printemps 2022, la varicelle (due aussi au virus herpès-zona) a connu un pic jamais atteint en France (46).

  • Les vaccins ARNm induisent la production d’anticorps anti-IFN I (anti-interféron). L’interféron participe à l’activité anti-virale du système immunitaire (47)
  • Les vaccins ARNm induisent une chute du taux de lymphocytes cytotoxiques CD8 (48)
  • Dérèglement de l’immunité adaptative (génération aléatoire des parties variables des Ig)

Un article gênant a été retiré (sous le prétexte d’une expérience mal conduite).

Il montrait que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative. La protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, au site des lésions. Ce serait un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et occasionner des EIs potentiels des vaccins à base de spike pleine longueur. (49)

  • Décès par tempête cytokinique après vaccination. (50) Dans 4 cas de décès suivant une seconde dose de vaccin Covid à ARNm, le sang des victimes a été prélevé dans les 24h après la mort et a montré une augmentation de l’expression des gènes liés à l’hyperinflammation : les victimes seraient décédées d’une tempête cytokinique. La fonction immunitaire avait été sensibilisée par la première vaccination et la seconde a pu provoquer un SIRS (Syndrome de réponse inflammatoire systémique)
  • Dérèglement immunitaire induit par les nanoparticules lipidiques (LNPs). Le composant synthétique lipidique et ionisable des LNPs est hautement inflammatoire. Il est connu que certains vaccins et infections peuvent affecter à long terme la réponse innée en augmentant ou diminuant l’activation des cellules effectrices. Une étude sur les souris montre que les LNP d’un vaccin ARNm inhibent les réponses anticorps et augmentent la réponse innée. Le composant lipidique des LNPs Pfizer a une demi-vie de 20 à 30 jours in vivo. L’exposition primaire à des LNPs vides d’ARNm ou codant pour une protéine quelconque inhibe la réponse anticorps lors d’une seconde injection de LNPs vectrices d’un ARNm codant pour l’hémagglutinine du virus grippal. Les niveaux d’anticorps, ainsi que le nombre de centres germinaux de cellules B, sont diminués par cette première sensibilisation. Par contre, la pré-exposition à des LNPs portant un ARNm de protéine sans intérêt augmentent la protection contre une infection grippale ou à Candida chez les souris : les LNPs-ARNm augmenteraient la réponse innée ?

On ne sait pas dans quelle mesure les vaccinations réitérées peuvent aggraver cette dégradation de l’immunité immune. Les données sont contradictoires. Le dérèglement non spécifique de l’immunité induit par les LNP-ARNm est transmissible à la progéniture des souris, sans doute par un phénomène épi-génétique. (51)

2) Dérèglement immunitaire spécifique

Ce sont les conséquences de l’immunosuppression et de l’ADE (elles sont alors immédiates : Covid post injection). On retrouve de nombreux exemples (essai cliniques et études observationnelles post commercialisation)

  • Suppression immunitaire spécifique par le vaccin : en 2021, il avait été montré qu’après une infection par le variant alpha chez un vacciné, la prévalence d’anticorps anti-N détectable est inférieure à celle des non vaccinés. Pour le variant delta, on n’observait pas cette réduction de prévalence mais les taux d’anti-N étaient réduits chez les vaccinés 1 ou 2 doses infectés par les variants alpha et delta par rapport aux taux d’anti-N observés chez les non vaccinés convalescents. (52) Déjà en 2021, Allen et al. avaient noté que chez les vaccinés, après une infection Covid, les taux d’ac anti-N étaient soit nuls, soit inférieurs à ceux des non vaccinés ; cependant cette étude ne concernait que 23 infections post-vaccinales. (53) En octobre 2021, un rapport du gouvernement du Royaume Uni avait aussi noté cette diminution d’anti-N chez les vaccinés infectés. (54)

Les chercheurs du gouvernement britannique affirmaient (p. 23) que leurs tests sérologiques sous-estimaient le nombre de personnes ayant une infection antérieure en raison des « observations récentes des données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Pour info, les « experts » avaient traité de désinformateurs ceux qui avaient remarqué ces données en prétendant que l’absence d’anti-N était due à l’absence de réplication du virus (55) voir ci-dessous, essai Moderna. À nouveau en 2022, une publication d’avril 2022 du NIH et de Moderna vient confirmer ces données dans l’essai clinique Moderna donc avec la souche de Wuhan. (56)

La réponse est orientée vers la spike chez les vaccinés et moins vers la N qui est pourtant moins susceptible de muter et confère une bonne immunité. Les spikes des variants successifs, s’éloignant de plus en plus de la spike originelle de Wuhan sur laquelle sont fondés les vaccins, il aurait été fort utile que les vaccinés développent des anti-N aux mêmes taux (ou plus) que les non-vaccinés. Il se produit l’inverse.

Les auteurs ont analysé « les données de 1 789 participants (1 298 receveurs du placebo et 491 receveurs du vaccin) atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la phase en aveugle (jusqu’en mars 2021). Parmi les participants présentant une maladie de type Covid-19 confirmée par PCR, une séroconversion vers des anticorps anti-N au cours d’un suivi médian de 53 jours après le diagnostic est survenue chez 21/52 (40 %) des personnes ayant reçu le vaccin mRNA-1273 contre 605/648 (93 %) des personnes ayant reçu le placebo (p < 0,001). » Les participants infectés après avoir été vaccinés par le Moderna sont plus de 2 fois moins susceptibles de présenter une réponse anti-N que les non vaccinés. Et ceci n’est pas dû à une moindre réplication du virus chez les vaccinés car à charge virale équivalente, les vaccinés produisent moins d’anti-N.

Chez les personnes infectées avant d’avoir été vaccinées, les taux d’anti-N étaient comparables à ceux des non vaccinés. La protéine N peut générer une réponse cellulaire T robuste, elle est bien conservée et ne se recombine pas fréquemment. L’immunité anti-N est probablement importante. On ne sait pas si les tendances sont les mêmes avec l’omicron ou avec d’autres vaccins COVID.

Le vaccin pourrait empêcher l’acquisition d’une immunité contre la protéine nucléocapside du virus.

L’implication de cette étude serait que plus on vaccine, plus on efface l’immunité naturelle, de sorte que non seulement on attrape toujours le virus, mais qu’on continuera à l’attraper parce qu’on ne peut jamais atteindre une immunité complète, comme on pourrait le faire avec une infection naturelle, sans avoir été inoculé par une thérapie génique qui pousse l’organisme à réagir de manière inappropriée. Il s’agit d’une injection qui empêche l’immunité collective !

La réduction de la capacité à produire des anti-N a été observée après la dose 2 seulement, et non après la dose 1. Que se passe-t-il donc après les doses 3 et 4 ? L’émoussement est-il maintenu, accru ?
Il semble bien que plus on injecte la thérapie génique à ARNm aux gens, plus le virus circule et plus ils sont infectés. Toutes les données provenant du Royaume-Uni (57) semblent indiquer que plus on vaccine, plus on est infecté (les non vaccinés sont plus testés que les vaccinés, sans doute car les employeurs exigent plus de tests chez eux).

Les vaccinés sont plus à risque d’être testés positifs alors qu’ils sont moins testés !
Figure tirée de : https://www.walgreens.com/businesssolutions/covid-19-index.jsp (Walgreens est une entreprise qui vend des tests Covid).

Les dernières données de Walgreens concernent les résultats de 66 000 tests effectués dans tout le pays pendant la semaine du 17 avril 2022. Bien que les personnes non vaccinées aient été soumises au plus grand nombre de tests de toutes les cohortes (probablement en raison des obligations de test des employeurs), elles représentent la plus faible part des résultats positifs hebdomadaires. Il semble que la situation s’aggrave à mesure que l’on augmente les doses et la durée d’exposition à la dose !
Article des CDC de 2022 : Dosage des anticorps-anti-N (dus à infection et pas vaccination) :

Les vaccinés séroconvertissent moins : c’est sans doute dû au péché originel antigénique et non à une quelconque protection. (58)

Quelques exemples d’effets indésirables trouvés dans les publications scientifiques

  • Hépatites : réactivation de virus HBC (59)
  • Hépatite auto-immune, nbx cas, Modification paramètres hépatiques
  • Anémie (60)
  • Aggravation diabète (61)
  • Apparition diabète type 1
  • Myopathie immune nécrosante (62)
  • Thrombose coronarienne (63)
  • AVC (64)
  • Vascularite rénale auto-immune (65)
  • Vascularite nécrosante (66)
  • Thrombose cérébrale veineuse (67)
  • Guillain Barré
  • Hépatite auto-immune
  • Hypertension artérielle
  • Suppression de moëlle osseuse
  • Pemphigoïde bulleux
  • polyneuropathie
  • Altération du sperme
  • Thrombocytopénie (68)
  • Encephalite, épilepsie (69)
  • Myocardites
  • Zona (70)
  • Manifestations oculaires, auditives, neurologiques
  • SEP
  • Venous sinus thrombosis
  • Thyroïdite subaigüe , auto-immune
  • Réaction amyloïde, CJD
  • Défaut du contrôle de la coagulation chez patients sous anti-coagulants AVK
  • Inflammation généralisée

Comparaison des EIG entre vaccins anti-Covid et anti-grippaux : Les risques absolus les plus importants ont été observés pour les réactions allergiques, constitutionnelles, dermatologiques, gastro-intestinales, neurologiques et les douleurs localisées et non localisées. Les risques relatifs les plus importants entre COVID-19 et les vaccins antigrippaux ont été observés pour les réactions allergiques, l’arythmie, les événements cardiovasculaires généraux, la coagulation, les hémorragies, les réactions gastro-intestinales, oculaires, des organes sexuels et la thrombose. (71)

Hélène Banoun
Octobre 2022




C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

[Source : viroliegy.com]

[*« Gain de Fiction » : jeu de mot avec « Gain de Fonction ».]

Par Mike Stone

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et lâchées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.

Cependant, ce scénario de « gain de fiction » prend de l’ampleur et est malheureusement fortement promu par des personnes influentes au sein de la communauté de la liberté de la santé. Ces personnes prêchent régulièrement les dangers des vaccins et des traitements pharmaceutiques toxiques ainsi que le piétinement de nos droits et libertés par des mesures draconiennes. Pourtant, malgré cela, elles avancent toujours l’idée qu’il existe des envahisseurs invisibles qui flottent et qui peuvent provoquer des maladies nécessitant ces mêmes mesures. Ils continuent de souscrire à ce récit malgré les preuves accablantes que ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de « virus » et donc aucun des divers protocoles imposés au public pour contenir les agents pathogènes « mortels ». Cependant, si l’on devait défier ces « dirigeants » du mouvement sur le fait qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un « virus », l’une des façons dont ils tentent de défendre leur croyance en ces entités est de pointer avec défi le génie génétique et les études de gain de fonction. Ils utilisent les affirmations des institutions de virologie selon lesquelles ce type de recherches expérimentales a lieu comme preuve que les « virus » existent bel et bien et que c’est ainsi que le « SRAS-COV-2 » a été créé, pas par la nature, mais par l’homme. Ils vendent cette histoire d’armes biologiques artificielles basée sur la peur à leur public sur la base des preuves les plus fragiles, dont aucune n’est scientifiquement valable.

Pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers, les études de gain de fonction sont celles dont on dit qu’elles modifient génétiquement un « virus » ou un autre micro-organisme afin d’augmenter d’une manière ou d’une autre sa pathogénicité supposée. Les chercheurs prétendent manipuler ou combiner des « virus » pour les rendre plus mortels et plus infectieux. Cependant, il y a un léger problème, car pour manipuler un « virus », le « virus » en question doit d’abord être scientifiquement prouvé. Cela n’a jamais été fait en plus de 100 ans de virologie. En réalité, ce que cette recherche implique est de créer les mêmes concoctions toxiques cultivées sur des cellules utilisées dans les études de virologie régulières avec la mise en garde supplémentaire qu’ils utilisent plus d’additifs et d’ingrédients synthétiques, ce qui les rend plus mortels pour les animaux de laboratoire auxquels on injecte anormalement les soupes toxiques. Aucun « virus » n’est jamais correctement purifié, isolé et scientifiquement prouvé dans ces expériences par l’adhésion à la méthode scientifique. Ces entités sont simplement supposées exister dans l’échantillon au moyen de résultats de PCR frauduleux. Cependant, cela n’a pas empêché un certain groupe d’individus de prétendre que ces études prouvent l’existence de « virus » pathogènes et que ces recherches ont conduit à la création du « SARS-COV-2 ». Ils ont sauté sur l’occasion de promouvoir cette fiction fondée sur la peur sans la moindre validation scientifique crédible à l’appui. Voici quelques exemples des déclarations faites par les personnes en position d’influence qui mettent en avant ce récit de fuite d’arme biologique/laboratoire à leur public :

Leur conclusion : le SRAS-CoV-2 est sorti de la nature.

Ma conclusion : c’était définitivement une fuite de laboratoire.

Steve Kirsch 
https://stevekirsch.substack.com/p/the-wet-market-theory-re-emerges

La totalité des preuves disponibles aujourd’hui s’explique en effet mieux par l’hypothèse de l’origine du laboratoire.

Jeremy Hammond
https://www.jeremyrhammond.com/2021/06/18/interview-origin-of-sars-cov-2-lockdowns-covid-19-vaccines/

Cela a permis au Dr Fauci, au NIAID, au DTRA et au NIH d’ignorer l’interdiction de la recherche sur le gain de fonction et de poursuivre cette recherche. Comme nous le savons maintenant, c’est ainsi que le SRAS-CoV-2 a été créé puis accidentellement diffusé sur le peuple chinois. Au moins, nous espérons que c’était un accident.

Robert Malone
https://rwmalonemd.substack.com/p/ebola-this-is-not-over

La volonté des autorités américaines de dissimuler l’origine du SRAS-CoV-2 signifie que les pays peuvent désormais nous attaquer avec des armes biologiques indéfiniment, en toute impunité.

Dr. Joseph Mercola
https://childrenshealthdefense.org/defender/fauci-collins-evidence-covid-lab-leak/

Je suis maintenant convaincu qu’il s’agit d’un virus créé par l’homme.

Del Bigtree
https://www.podchaser.com/podcasts/the-highwire-with-del-bigtree-519460/episodes/is-covid-19-a-bio-weapon-91383003

Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-pandemic-nih-unc-fauci-baric/

Comme on peut le voir, de Kirsch à Kennedy, les histoires de science-fiction de gain de fonction est la conclusion la plus « logique » quant à la façon dont les gens ont contracté les mêmes symptômes de maladie que ceux que nous observons chaque année. Dans ce récit, Anthony Fauci a ignoré l’interdiction gouvernementale des recherches sur les gains de fonction et travaillait secrètement avec des laboratoires en Chine pour transformer le « coronavirus » plutôt inoffensif, associé au rhume, en un cas de grippe bénigne avec une survie évaluée à 99 %. Cette entité « renforcée » a été soit délibérément libérée par Fauci et compagnie, soit elle s’est échappée accidentellement du laboratoire de Wuhan en Chine. Dans les deux scénarios, nous devons croire que Fauci est un agent voyou finançant des expériences scientifiques folles créant et combinant des « virus » afin de les transformer en armes biologiques. Les courriels « fuités » de Fauci sur le gain de fonction sont souvent cités comme preuve de ce récit.

RKF Jr. et Del Bigtree s’en souviennent.

Voici un exemple de l’un des e-mails obtenus que certains ont pris comme preuve de l’origine de la fuite de laboratoire/arme biologique du « SARS-COV-2 » :

Pistolet fumant ? Non.

Fait intéressant, les informations énumérées ci-dessus sur la création du « virus » de l’arme biologique proviennent d’une étude publiée en août 2005 qui examinait le processus d’entrée théorique de la « protéine S du SRAS-CoV » dont l’existence n’a jamais été prouvée et les inhibiteurs de ce processus :

Les inhibiteurs de la cathepsine L empêchent l’entrée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère

« Intervirion Fusion. HIV-luc(ACE2) (500 ng de p24) a été mélangé avec 1 000 ng de p24 de particules HIV-gfp incorporant l’enveloppe de l’ASLV-A, la protéine S du SARS-CoV, ou les deux enveloppes dans du PBS à 4°C pendant 30 min pour permettre la liaison. Les échantillons ont été portés à 37°C pendant 15 minutes pour permettre des réarrangements conformationnels. Les virus ont été ajustés au pH souhaité avec de l’acide citrique 0,1M. La PBS, la TPCK-trypsine (concentration finale 10 μg/ml), la CTSL, la cathepsine B (CTSB) (concentrations finales 2 μg/ml) ou le tampon CTSL seul ont ensuite été ajoutés. La CTSL recombinante (R & D Systems) a été préactivée par incubation pendant 15 min à 10 μg/ml dans 50 mM Mes, pH 6,0, sur glace. La CTSB recombinante (R & D Systems) a été préactivée dans 25 mM Mes, 5 mM DTT, pH 5.0, pendant 30 min à 25°C. Après une incubation de 10 min à 25°C, la protéolyse a été arrêtée par l’ajout de 300 μl de DMEM10 contenant de la leupeptine (25 μg/ml) et de l’ITS (75 μg/ml). Les virions ont ensuite été incubés à 37°C pendant 30 min pour permettre la fusion membranaire. 100 μl du mélange de virions ont été ajoutés en quadruplicat à des cellules HeLa-Tva prétraitées pendant 1 h avec de la leupeptine (20 μg/ml). Les cellules ont été infectées par centrifugation et incubées à 37 °C pendant 5 h. Le milieu a été remplacé par du DMEM10 frais et les cellules ont été testées pour l’activité luciférase 40 h plus tard. »

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0505577102

Le fait que Fauci ait eu besoin de quelqu’un pour fournir la section « méthodes » d’une étude de 2005 contenant l’« origine » du « SRAS-COV-2 », laissant ainsi une trace de courrier électronique avec le titre « Méthode de production d’une arme biologique à base de coronavirus » alors qu’il aurait pu tout aussi facilement consulter l’étude lui-même, n’a pas beaucoup de sens logique. La découverte de ce copier-coller dans la section des méthodes d’une étude de 2005 m’a en fait laissé croire que ces e-mails étaient trafiqués et/ou faux lorsque j’ai initialement examiné cette histoire. Cependant, cet e-mail particulier peut être trouvé parmi le trésor des e-mails Fauci stratégiquement « divulgués » (ils ont en fait été publiés en raison d’une demande FOIA par ICAN et Buzzfeed), vus à la page 2286 dans ce lien. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que cet e-mail a été envoyé à Fauci par une personne nommée Adam Gaertner, une personne totalement indépendante de l’étude de 2005 qui semble être un chercheur indépendant faisant pression pour l’ivermectine comme traitement du « Covid-19 ». D’une manière ou d’une autre, les personnes qui font avancer ce récit d’armes biologiques semblent toujours avoir des thérapies pharmaceutiques alternatives qu’elles promeuvent comme un remède. À un moment donné, Gaertner avait un compte Twitter appelé « veryvirology » qui semble maintenant être suspendu. Il avait également un site Web connu sous le nom de covidcandy.net qui semble ne plus être utilisé, la dernière entrée trouvée sur la Wayback Machine étant répertoriée le 19 mai 2022. Il semble que cette personne ait contacté Fauci de manière non sollicitée avec la section des méthodes tirée d’une ancienne étude affirmant que c’était ainsi que le « SRAS-COV-2 » avait été créé. En d’autres termes, ce n’est pas une preuve très crédible d’un point de vue fuite de laboratoire/arme biologique.

Joseph Mercola a couvert l’histoire de l’arme biologique de Fauci/EcoHealth.

Un autre exemple qui est utilisé comme preuve d’une origine de fuite de laboratoire/d’arme biologique pour le « SRAS-COV-2 » est une proposition de subvention non publiée qu’EcoHealth Alliance a déposée auprès de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci :

https://www.google.com/amp/s/nypost.com/2021/09/07/wuhan-lab-documents-show-fauci-untruthful-about-research-critics/amp/

Apparemment, obtenir du financement pour la recherche est maintenant considéré comme une preuve que la recherche est valide, que les chercheurs peuvent faire ce qu’ils prétendent et que la recherche a effectivement été effectuée. Le problème ? Au-delà des e-mails et des subventions, il n’y a aucune publication scientifique montrant que des expériences GOF [Gain Of Fonction : Gain de fonction] aient jamais eu lieu ni abouti au « SRAS-COV-2 ». Les études publiées qui ont découlé de cette subvention, intitulées « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus de la chauve-souris », ne répondent pas à la définition de ce qui est considéré comme de la recherche GOF. En fait, il y avait une lettre soumise par le NIH aux membres du Congrès enquêtant sur cette affaire qui a finalement été utilisée comme un aveu qu’EcoHealth Alliance avait effectué et réalisé des études GOF à Wuhan. Cependant, le directeur adjoint principal Lawrence Tabak a spécifiquement déclaré dans la lettre que la recherche menée ne répondait pas à la définition de GOF et que les expériences n’auraient pas pu aboutir à un « SRAS-COV-2 » en raison des génomes non apparentés des « virus » en question.

C’est peut-être le pistolet fumant… ?

Si l’on soumet cela comme la preuve d’une origine de fuite de laboratoire, la conclusion devrait être que le « SRAS-COV-2 » n’a pas été créé dans un laboratoire à moins que ceux qui le prétendent ne soient en mesure de présenter l’étude réelle décrite dans le courriel détaillant les méthodes et montrant les données tirées de l’étude. Cependant, pour autant que je sache, il n’y a pas une telle publication. En fin de compte, tout ce que nous avons pour poursuivre, en ce qui concerne les preuves, est cette lettre affirmant que certaines expériences ont été réalisées et qu’un résultat inattendu s’est produit. Ce n’est pas une preuve scientifique. Si la lettre est tout ce dont nous disposons, nous devons alors conclure que les expériences, si elles ont été réalisées, ne répondaient pas à la définition du GOF et n’ont pas donné lieu à un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire. Par conséquent, quiconque utilise ce document comme preuve de l’origine du gain de fonction du « SARS-COV-2 » le fait en dépit des informations fournies dans la lettre et fonde son hypothèse non pas sur des preuves scientifiques réelles, mais sur de pures spéculations. Même si les preuves avaient pointé dans la direction que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans les expériences GOF, cela ne remplacerait toujours pas le fait que, pour que ces expériences GOF aient une quelconque légitimité, les « virus » étudiés et soi-disant manipulés doivent d’abord voir leur existence scientifiquement prouvée. Cela n’a jamais été démontré pour le « SARS-COV-2 » ni pour aucun autre « virus », ce qui n’est qu’un des nombreux problèmes liés aux études considérées comme GOF. Celles correspondant réellement à la définition GOF qui finissent par voir le jour sont extrêmement défectueuses, comme le montrera la dernière publication dite GOF un peu plus loin dans cet article. Dans tous les cas, les e-mails « divulgués » de Fauci, les propositions de subventions non publiées et les lettres au Congrès ne répondent pas aux preuves scientifiques de base requises pour prouver l’existence d’un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire.

Maintenant, cela ne veut pas dire que Fauci soit propre de quelque manière que ce soit. Bien sûr, il est indéniable que Fauci est un monstre qui est fortement impliqué dans l’arnaque qu’est le « SARS-COV-2 ». Il a également été un acteur clé dans le canular du VIH/SIDA. Ainsi, il est facile de simplement accepter cette narration de gain de fonction et de se détourner de toute question quant à savoir si des « virus » existent ou non. Si les « virus » n’existent pas, comment Fauci aurait-il pu fabriquer son « virus » Frankenstein de grippe bénigne ? Que se passe-t-il dans ces laboratoires sinon la fabrication de « virus » plus meurtriers ? À quoi servent tous nos dollars durement gagnés par les contribuables si ce n’est dans le seul but de bricoler ces entités invisibles ? C’est ce à quoi les personnes au sommet du mouvement pour la liberté de la santé veulent apparemment que vous croyiez si vous vous retrouvez à remettre en question le paradigme « viral » répandu. Si vous ne me croyez pas, jetons un coup d’œil à Robert Kennedy Jr., sans doute le leader le plus connu du mouvement pour la liberté en matière de santé, et à son dernier roman de science-fiction pour voir ce que cela implique :

« The Wuhan Cover-Up lève le voile sur la manière dont l’augmentation des dépenses du gouvernement américain en matière de biosécurité après les attentats terroristes de 2001 — facilitée par le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) — a déclenché un plan visant à transformer le NIAID en une agence de facto du ministère de la Défense.

Alors que le Dr Fauci finançait et poursuivait avec zèle la recherche sur le gain de fonction, certains scientifiques et responsables gouvernementaux s’inquiétaient de la possibilité d’une libération accidentelle ou délibérée de virus militarisés par des laboratoires qui pourraient déclencher des pandémies mondiales. Un moratoire a été mis sur cette recherche, mais fidèle à lui-même, le Dr Fauci a trouvé des moyens de continuer sans être perturbé — externalisant certaines des expériences les plus controversées à l’étranger en Chine et fournissant un financement fédéral aux principaux chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour des études de gain de fonction en partenariat avec l’armée chinoise et le Parti communiste chinois.

Robert F. Kennedy Jr. dont l’analyse, méticuleusement documentée et rigoureusement sourcée, entraîne les lecteurs dans un voyage stupéfiant pour découvrir :
• les principaux facilitateurs et sbires qui poussent à la recherche sur les gains de fonction ;
• les motifs économiques qui sous-tendent la recherche par gain de fonction ;
• les “virus chimériques” conçus avec succès et capables d’infecter et de tuer des humains ;
• l’effort coordonné pour faire taire les spéculations sur la genèse du COVID-19 en laboratoire ;
• la complicité des revues scientifiques pour cacher les origines du COVID-19 ;
• le rôle de l’Institut de virologie de Wuhan dans le programme de guerre biologique et de biodéfense de la Chine ;
• les relations entre les bureaucraties et les scientifiques américains de la santé, de l’armée et du renseignement et leurs homologues chinois ;
• les rôles de Bill Gates et de Sir Jeremy Farrar dans l’orchestration de la dissimulation mondiale de la Chine.
The Wuhan Cover-Up dévoile une conspiration mondiale aux proportions épiques et aux conséquences mortelles. »

https://www.simonandschuster.com/books/The-Wuhan-Cover-Up/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510773998

Selon l’enquête de Kennedy, Anthony Fauci a dirigé la transition du NIH en un DOD [Departement Of Defense: Département de la Défense] de facto après le 11 septembre. Fauci a fait du « zèle » pour financer les expériences de science folle sur le gain de fonction à gauche et à droite jusqu’à ce qu’il soit stoppé par le gouvernement. Cependant, Fauci avait d’autres plans et a trouvé des moyens de contourner le système en poursuivant son escapade dans la ville des fous. Qui aurait cru que le journaliste d’investigation de renommée mondiale Robert Kennedy Jr. était capable de découvrir un vaste complot mondial impliquant Anthony Fauci et l’ingénierie du « SARS-COV-2 » à Wuhan ? Bien sûr, il serait facile de croire RFK Jr., car il a été du bon côté de ce débat en dénonçant constamment les dangers des vaccins. Eh bien… tant que vous ne tenez pas compte du fait qu’il ne se considère pas comme un anti-vax et qu’il préconise en fait des vaccins « plus sûrs » plutôt que d’éliminer complètement la vaccination en tant que pratique :

Nous voulons des vaccins sûrs, une science solide et transparente et une agence de réglementation honnête et indépendante axée étroitement sur la santé publique plutôt que sur le profit de l’industrie.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/about-us/mercury-vaccines-cdcs-worst-nightmare/

À son crédit, Kennedy a régulièrement fustigé Anthony Fauci et a récemment exposé les actes pervers de cet homme à la vue de tous dans son best-seller de novembre 2021 The Real Anthony Fauci :

En tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), le Dr Anthony Fauci a distribué 6,1 milliards de dollars de fonds annuels fournis par les contribuables pour des recherches scientifiques truquées, ce qui lui a permis de dicter le sujet, le contenu et les résultats de la recherche scientifique sur la santé dans le monde entier — un véritable programme sombre. Fauci utilise l’influence financière dont il dispose, de manière détournée, pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, les universités, les revues et des milliers de médecins et de scientifiques influents — il a le pouvoir de ruiner, de faire progresser ou de récompenser les carrières et les institutions de manière autoritaire.

Pendant plus d’un an de recherches minutieuses et méticuleuses sur son ordinateur portable et par le biais d’interviews, Robert F. Kennedy Jr. a déterré une histoire choquante qui réduit à néant la manipulation des médias sur le Dr Fauci… et qui alertera tous les Américains — démocrates ou républicains — qui se soucient de la démocratie, de notre Constitution et de l’avenir de la santé de nos enfants.

Le vrai Anthony Fauci révèle comment « America’s Doctor » a lancé sa carrière au début de la crise du sida en s’associant à des sociétés pharmaceutiques pour saboter des traitements thérapeutiques sûrs et efficaces non brevetés contre le sida. Fauci a orchestré des études frauduleuses ne donnant rien, puis a fait pression sur les régulateurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour qu’ils approuvent un traitement de chimiothérapie mortel qu’il avait de bonnes raisons de savoir sans valeur contre le sida. Fauci a fait l’impensable et a violé à plusieurs reprises les lois fédérales pour permettre à ses partenaires pharmaceutiques d’utiliser des enfants pauvres et à la peau foncée comme rats de laboratoire dans des expériences mortelles sur le SIDA et les chimiothérapies anticancéreuses.

Au début de 2000, Fauci a serré la main de Bill Gates dans la bibliothèque du manoir Gates de 147 millions de dollars à Seattle, cimentant un partenariat qui viserait à contrôler une entreprise mondiale de vaccins de plus en plus rentable de 60 milliards de dollars avec un potentiel de croissance illimité. Grâce à un effet de levier financier et à des relations personnelles soigneusement entretenues avec les chefs d’État et les principaux médias et institutions de médias sociaux, l’alliance Pharma-Fauci-Gates exerce une domination sur la politique de santé mondiale et sur notre beau pays.

https://www.simonandschuster.com/books/The-Real-Anthony-Fauci/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510766808

Il est plutôt étrange que Kennedy Jr. ait découvert que Fauci finançait des « études frauduleuses ne donnant rien » en ce qui concerne le VIH dans les années 1980, mais qu’il avance le récit selon lequel Fauci finance actuellement des études GOF qui ne sont soi-disant pas des études frauduleuses ne donnant rien. Si nous nous basons sur le passé de Fauci pour juger de ses actions dans le présent, il serait beaucoup plus logique de conclure qu’il a l’habitude de financer des études frauduleuses ne donnant rien et que la piste GOF n’est rien de plus qu’une émanation de ce comportement. Cette prémisse est facile à voir quand on comprend que toute l’histoire des études sous l’égide de la virologie repose sur une fondation frauduleuse vieille d’un siècle. Pistes d’argent, e-mails « fuités », subventions non publiées, et les lettres au Congrès ne sont rien de plus que des distractions indirectes inutiles qui nous éloignent du manque sous-jacent de validation scientifique de la virologie. Le récit GOF/armes biologiques est un faux-fuyant conçu pour maintenir les gens dans un état chronique de peur d’une attaque terroriste biologique potentielle dans la même veine que les Russes avec des armes nucléaires pendant la guerre froide ou que Sadam Hussein et ses « armes de destruction massive ». C’est un écran de fumée pour les non informés afin de les empêcher de creuser encore plus profondément.

En ce qui concerne la poursuite continuelle par Kennedy Jr. de quelqu’un dont il a montré qu’il a des antécédents de fraude avérée, il est tout à fait clair qu’il n’y a pas d’amour éperdu entre ces deux hommes influents. Une grande partie des informations que Kennedy a « découvertes » dans son livre sur Anthony Fauci étaient déjà bien connues de tous ceux qui avaient prêté une attention particulière au canular du VIH/SIDA. En fait, il est facile de voir qu’une grande partie de l’escroquerie « Covid » suit exactement le même scénario que celui mis en place par Fauci et compagnie dans les années 1980. Kennedy a raison pour beaucoup d’informations sur les activités néfastes de Fauci. Cependant, il ignore la question la plus importante au cœur des stratagèmes frauduleux de Fauci : les « virus » existent-ils vraiment ? Ces escroqueries pourraient-elles être commises avec succès sur la seule base d’une propagande de peur efficace et de tests inexacts ? Malheureusement, il semble que Kennedy Jr. ne soit même pas prêt à envisager sérieusement de telles pensées, comme le montre son échange avec le véritable journaliste d’investigation Eric Coppolino en avril 2022 :

« Ouais, je ne suis vraiment pas qualifié pour commenter, mais je… mon penchant s’il y a des gens qui disent que les virus n’existent pas, qu’il n’y a pas de virus… je ne, vous savez, mon penchant est que, euh, c’est simplement n’est pas, vous savez, ce n’est pas vrai.

« Et je suis un peu amusé à lire les échanges et mon penchant est que les virus existent et qu’ils rendent les gens malades. Je peux me tromper. Tout cela pourrait être un gros canular, mais pour moi, tout semble comme, vous savez, les virus sont réels, et euh, écoutez, j’aurais dû me taire dès le début et dire que je ne vais pas répondre à cette question. »

« Encore une fois, je ne suis pas un bon un bon par… — je ne suis pas un scientifique. Je ne prétends pas l’être. Je trouve ces arguments intéressants.

Robert Kennedy Jr.
https://chironreturn.org/rfk-jr-acknowledges-controversy-over-existence-of-sars-cov-2-and-of-all-viruses/

Kennedy Jr. a affirmé qu’il n’était pas qualifié pour parler de l’existence de « virus », car il n’était pas un scientifique. Pourtant, il a quand même conclu que ces entités fictives existent telles qu’elles sont vendues sans faire aucune enquête indépendante de sa part. D’une manière ou d’une autre, il s’est jugé suffisamment qualifié pour comprendre la « science » derrière les études de gain de fonction afin de vendre le récit du mégalomane Fauci créant des « virus » améliorés à Wuhan. Cependant, ne lui demandez pas si ces entités existent réellement, car c’est un peu trop au-dessus de son niveau de rémunération. C’est parfaitement logique, non ?

Je tiens à préciser que cet article n’a pas pour but d’attaquer RFK Jr. Lui et les autres personnes citées ici ont fourni des informations qui ont aidé beaucoup de gens à voir les dangers des mesures utilisées contre nous pendant cette « pandémie ». Cependant, il est très clair qu’il y a un effort concentré de la part de ceux qui sont en position d’influence pour amener toute personne qui remet en question le paradigme « viral » à faire un détour par le récit de l’arme biologique et du gain de fonction, malgré l’absence de toute preuve scientifique crédible à l’appui. Ceux d’entre nous qui contestent l’absence de preuves scientifiques de l’existence des « virus » font l’objet d’une forte répression. Nous devons nous demander pourquoi ces personnes réellement intelligentes sont prêtes à remettre en question l’origine naturelle d’un « virus », mais ne sont pas disposées à remettre en question les preuves fondamentales qui étayent l’existence de ce concept fictif [NDLR En d’autres termes, il n’existe aucune preuve scientifique réelle de l’existence de virus pathogènes pouvant provoquer des maladies. Mais les preuves établies tendent au contraire à démontrer que ce que la virologie a pris pour de tels virus ne correspond en réalité qu’à des composants cellulaires (éventuellement dégradés)]. Pourquoi sont-ils prêts à promouvoir un récit d’armes biologiques fondé sur la peur, alors que les seules preuves qui l’étayent proviennent de courriels « fuités », de subventions non publiées et de lettres adressées au Congrès, sans aucune preuve scientifique crédible à l’appui ?

Serait-ce dû à des intérêts particuliers ?

Steve Kirsh

« Steve est un entrepreneur et philanthrope de la Silicon Valley qui a fondé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) au début de la pandémie. Steve et le CETF ont financé la recherche qui a montré des résultats prometteurs de la fluvoxamine comme traitement précoce du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

« L’équipe du COVID-19 Early Treatment Fund est composée d’experts issus d’un large éventail de domaines, notamment la médecine, la technologie, la philanthropie et les affaires. Ensemble, nous sommes rapidement devenus le premier fonds mondial axé sur les traitements précoces du COVID-19 qui tirent parti des médicaments réutilisés. »

https://www.treatearly.org/our-team

Robert Malone

« Le Dr. Malone détient de nombreux brevets nationaux et étrangers fondamentaux dans les domaines de la délivrance de gènes, des formulations de délivrance, des vaccins à ADN et des vaccins à ARNm. »

« Depuis janvier 2020, le Dr Malone dirige une grande équipe axée sur la conception de la recherche clinique, le développement de médicaments, la modélisation informatique et les mécanismes d’action des médicaments réutilisés pour le traitement du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

Peut-être vendent-ils des suppléments censés traiter la maladie ?

Jérémy Hammond

L’oxyde nitrique, la N-acétyl-L-cystéine, la quercétine avec du zinc et la vitamine D3 ont tous été proposés comme traitements pour « Covid ».
https://www.jeremyrhammond.com/shop/

Dr Joseph Mercola

Mercola a sa propre marque vendant des produits similaires.
https://drjosephmercola.com/market/

Ou peut-être ont-ils de puissants partenaires financiers à qui ils doivent rendre compte :

Del Bigtree

« Selon le Washington Post, la Fondation Selz fournit environ 75 % du financement de l’Informed Consent Action Network, une organisation caritative dont Lisa Selz est la présidente et dont la mission est décrite comme « la promotion de la sécurité des médicaments et des vaccins et du choix des parents dans les décisions relatives aux vaccins ». »

https://www.google.com/amp/s/www.vanityfair.com/news/2019/06/bernard-selz-lisa-selz-vaccines/amp

Quoi qu’il en soit, la remise en question de l’absence de preuves scientifiques de l’existence de « virus » se heurte soit à des attaques furieuses (comme celles de Kirsch et Hammond), soit à des excuses telles que le public n’est pas prêt à s’engager dans cette voie (comme proposé par Del Bigtree), soit à des tentatives de convaincre les lecteurs que la remise en question de l’existence de « virus » entravera le mouvement de la « vérité » (comme le suggère Mercola), soit encore à l’ignorance feinte et au manque de références nécessaires comme on le voit dans le cas de la réponse de Kennedy Jr. à Eric Coppolino. D’une manière ou d’une autre, les personnes ayant le plus grand impact et les voix les plus fortes ont sauté à la conclusion, sur la base des e-mails « divulgués » de Fauci, que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans un laboratoire. Ils sont complètement vendus sous la menace d’une arme biologique « virale » sans aucune preuve scientifique crédible qu’une arme biologique « virale » ait jamais été fabriquée. Ils écriront des articles et des livres pour alerter le public sur la menace de ces études de gain de fonction, mais ils n’examineront pas les preuves fondamentales quant à savoir si l’existence de ces « virus » a déjà été scientifiquement prouvée. En réalité, ils sont tellement sûrs que les études du GOF sont des expériences scientifiques légitimes qu’ils vont promouvoir auprès de leur public les résultats d’une étude préimprimée non évaluée par des pairs datant d’octobre 2022, comme si cet article contenait des preuves scientifiques réelles soutenant leur position sur les armes biologiques :

L’Université de Boston crée une nouvelle souche SARS-CoV-2 mortelle à 80 %

« Vraisemblablement, il y a un avantage à créer une nouvelle souche de SARS-CoV-2 qui a un taux de létalité (CFR) de 80 % (contre le CFR moyen de 0,2 % pour les variantes actuelles) et qui est très contagieuse.
Je suis perplexe quant à ce que c’est. »

« Le travail a été soutenu par une subvention du NIH, en particulier du NIAID, l’organisation dirigée par Anthony Fauci. »

https://stevekirsch.substack.com/p/bu-creates-new-sars-cov-2-strain

« Insensé » : des chercheurs de Boston créent une souche « plus mortelle » de COVID, incitant à des appels pour arrêter la recherche risquée sur le gain de fonction

« Une équipe de 14 scientifiques des Laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes (NEIDL) de l’Université de Boston a développé une nouvelle souche de COVID-19 qui a tué 80 % des souris infectées par le virus en laboratoire, selon une étude préimprimée publiée le 14 octobre. Suite à l’annonce, de nombreux reportages sur les résultats de l’étude se sont concentrés sur le taux de mortalité observé chez les souris de laboratoire utilisées dans l’étude.

Cependant, derrière les gros titres, certains scientifiques et d’autres ont soulevé des inquiétudes quant à la nature de la recherche et au fait qu’elle était partiellement financée par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci.

La recherche a été menée en utilisant ce que certains scientifiques ont appelé la recherche de “gain de fonction”, soulevant des inquiétudes quant au fait que ce type de recherche — qui, selon certains, a conduit à la création et à la fuite de la souche originale de Wuhan de COVID-19 — est toujours en cours, malgré les inquiétudes que cela pourrait conduire à plus d’évasions de laboratoire et à plus de pandémies. »

https://childrenshealthdefense.org/defender/new-covid-strain-risky-gain-of-function-research/

Boston U tente de reculer les rapports d’expériences dangereuses

« Quelques jours seulement après l’annonce de la nouvelle selon laquelle l’Université de Boston avait créé une souche mortelle de SRAS-CoV-2 dans ses laboratoires, l’institution essaie de colporter son annonce, affirmant que les médias d’information se sont non seulement trompés, mais qu’ils interprètent mal ce que l’institution a vraiment fait. Mais est-ce vrai ? Selon l’épidémiologiste et microbiologiste des maladies infectieuses Marc Lipsitch, l’université peut déformer les rapports de leurs découvertes comme elle le souhaite, mais ce qu’elle a fait est toujours un gain de fonction… »

https://blogs.mercola.com/sites/vitalvotes/archive/2022/10/19/boston-u-tries-to-back-peddle-out-of-dangerous-experiment-reports.aspx

Qu’est-ce qui pourrait être plus insensé que le fait que Fauci finance davantage d’expériences sur le gain de fonction afin d’évaluer la létalité d’un coronavirus au milieu d’une pandémie causée par un coronavirus amélioré qui a tué des millions de personnes ?

Pour un bon aperçu de la façon dont des études telles que celle réalisée par Boston U sont rapportées comme étant la vérité avec l’utilisation de tactiques alarmistes, le battage médiatique et le sensationnalisme, n’hésitez pas à regarder le clip de près de 10 minutes (aimablement édité par Bill Houston) du dernier The Highwire de Del Bigtrees épisode présenté ci-dessous. Il est clair que Del et l’invité Jefferey Jaxen n’ont pas lu l’étude et n’ont pas réfléchi de manière critique à la question de savoir si les résultats et les conclusions de cette étude préimprimée et non évaluée par des pairs sont même scientifiquement valides. Ils déclarent simplement que c’est vrai et utilisent les conclusions pour renforcer leur message basé sur la peur des menace d’armes biologiques. Del termine même le segment avec le remorqueur approprié sur les vieilles cordes de peur en déclarant « Au centre-ville de Boston, nous pourrions avoir la même fuite parce que les gens ne respectent pas les règles. » Fait de main de maître par les médias « alternatifs ».



RFK Jr. a également publié un article quelques jours après la publication de l’étude de Boston U faisant la promotion d’une autre étude préimprimée et non évaluée par des pairs comme preuve que le « SRAS-COV-2 » était un « virus » créé en laboratoire :

Cette étude, intitulée « L’empreinte digitale de l’endonucléase indique une origine synthétique du SRAS-CoV2 » a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv et ne consiste en rien d’autre que des comparaisons de données génomiques. Il n’y a aucun « virus » impliqué dans l’étude autre que les A, C, T, G [NDT Les quatre nucléotides composant l’ADN :  adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T).] aléatoires présentés sur un écran d’ordinateur comme remplaçants. Il n’y a aucune description de la manière dont ont été obtenus les génomes utilisés dans la comparaison. Essentiellement, les chercheurs ne font que regarder des données informatiques. Rien de physique n’existe, juste les données. Malheureusement pour RFK Jr., l’accumulation et l’analyse de données ne relèvent pas de la science. Cela n’a cependant pas empêché RFK Jr. de déclarer que « le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain ». Fait intéressant, quelques paragraphes plus loin, il déclare ceci :

La responsabilité de l’UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ?

Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19. Mais quelques pièces de puzzle manquantes nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan.

Robert Kennedy Jr.

Le dernier que j’ai vérifié, « suggère fortement », « pièces de puzzle manquantes » et « nous empêche de prouver définitivement » ne ressemble pas à une « preuve positive » que « SARS-COV-2 » était une création de laboratoire d’ingénierie. Ainsi, cette preuve que Kennedy Jr. jette là-bas s’apparente à ceci est la façon dont ils l’ont fait, mais nous ne savons pas encore s’ils l’ont fait. C’est comme être excité à l’idée d’acheter la guitare à air [NDT Un instrument de musique rare ?] de quelqu’un sur eBay. Bien sûr, la transaction peut être là, mais rien de physique n’existe réellement. Néanmoins, dans sa hâte de diffuser le dernier élément de preuve indirecte pour promouvoir un programme fondé sur la peur, RFK Jr. a négligé d’attendre la confirmation par une reproduction indépendante des résultats et, plus important encore, d’avoir des preuves de particules de « virus » correctement purifiées et isolées au lieu de A, C, T, G aléatoires dans une base de données informatique. À la place, il a rapidement rédigé un article vendant cette comparaison préimprimée de génomes générés par ordinateur comme une « preuve » supplémentaire de l’existence d’une arme biologique à gain de fonction.

Si RFK Jr. et ses amis prenaient le temps de lire réellement ces études sur le « gain de fonction », ils constateraient qu’il n’y a aucune science réelle dans aucune d’entre elles. Dans le cas de la dernière tentative de GOF alarmiste de Boston U, ceux qui mettent en avant ce récit découvriraient qu’aucun « virus » purifié et isolé n’a jamais été utilisé à aucun moment et que les résultats derrière les conclusions sont très discutables. Tout ce qui serait nécessaire pour voir cela est que RFK Jr. et ses amis lisent la section des méthodes qui démontre facilement que l’article n’implique rien d’autre qu’une expérimentation chimique grandiose impliquant de nombreux produits chimiques et substances étrangères combinés et cultivés ensemble qui ont été utilisés pour justifier la mise à mort des animaux expérimentés.

Par exemple, les auteurs ont affirmé avoir créé une version recombinante chimérique du « SARS-COV-2 ». Selon Merriam-Webster, chimérique signifie que la substance contient du tissu avec deux ou plusieurs populations de cellules génétiquement distinctes, tandis que recombinant concerne le fait de contenir de l’ADN génétiquement modifié. Essentiellement, les chercheurs ont mélangé de nombreuses sources de matériel génétique avec des produits chimiques synthétiques ajoutés dans une boîte de Petri et ont affirmé qu’un nouveau « virus » modifié existait dans la soupe de culture cellulaire. Pour ce faire, ils ont utilisé :

  • Cellules HEK293T de rein embryonnaire humain

    • Une lignée cellulaire immortalisée prélevée sur des fœtus avortés dans les années 1970.

  • Cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549

    • Cellules dérivées d’une tumeur pulmonaire primaire d’un homme de 58 ans en 1972.

  • Adénocarcinome colorectal humain Cellules Caco-2

    • Cellules dérivées du tissu cancéreux du côlon d’un homme de 72 ans en 1977.

  • Cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique

    • Comme son nom l’indique, les cellules de reins de singe qui sont la lignée cellulaire la plus couramment utilisée pour la culture.

De nombreux produits chimiques et substances ont été ajoutés à des fins de culture, tels que :

  • Milieu d’aigle modifié de Dulbecco

    • Contient divers ingrédients, notamment des acides aminés, des vitamines, du glucose, du sodium, de la glycine, de la sérine, du nitrate ferrique, du pyruvate et du bicarbonate de sodium.

  • Sérum bovin fœtal

    • Le sang prélevé du cœur d’un veau à naître.

  • Acides aminés non essentiels

    • Cela peut inclure la L-alanine, la L-asparagine, l’acide L-aspartique, la L-glycine, la L-sérine, la L-proline et l’acide L-glutamique.

  • Avicel

    • Selon le fabricant DuPont, il s’agit d’un excipient d’alphacellulose purifiée, partiellement dépolymérisée, fabriquée par hydrolyse acide de pâte de bois spécialisée, qui produit rapidement des granules robustes qui restent stables dans des environnements à fort cisaillement.

Il existe divers autres additifs synthétiques utilisés tout au long de ce processus, tels que le chromosome artificiel bactérien (BAC), l’ADN polymérase PrimeStar GXL, le volume de réaction CPER avec 250 µl d’Opti-MEM et le système de distribution dynamique TransIT-X2. Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

En d’autres termes, les chercheurs ont recherché des signes subjectifs de maladie, ont affirmé qu’elle était due à un « virus », puis ont tué les animaux s’ils atteignaient un certain seuil subjectif. C’est ainsi que le taux de mortalité de 80 % a été évoqué. Tout cela peut être vu à partir de quelques faits saillants tirés de cette étude :

Rôle de [la protéine] spike dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron

« Le variant SARS-CoV-2 Omicron (BA.1) récemment identifié et prédominant dans le monde est hautement transmissible, même chez les individus entièrement vaccinés, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus porteur d’Omicron S échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l’Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %. Cela indique que si l’évasion vaccinale d’Omicron est définie par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S. »

MATÉRIAUX ET MÉTHODES

Cellules, anticorps et plasmides

« Les lignées cellulaires ont été incubées à 37 °C et 5 % de CO2 dans un incubateur humidifié. Des cellules HEK293T de rein embryonnaire humain (ATCC ; CRL-3216), des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549 (ATCC ; CCL—185), des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 (ATCC ; HTB-37) et des cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique ont été maintenues dans du DMEM (Gibco ; #11995-065) contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels. Le système de délivrance lentiviral a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 et le TMPRSS2 humains. Le statut négatif pour les mycoplasmes de toutes les lignées cellulaires a été confirmé.

Un anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV (Rockland; #200-401-A50) a été utilisé pour la détection de la protéine SARS-CoV-2 N par IF. Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat SARS-CoV-2 Wuhan, pCSII-SARS-CoV-2 F8, était un cadeau aimable de Yoshiharu Matsuura. Nous avons remplacé la pointe de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de la pointe d’Omicron et avons appelé le plasmide résultant pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron. Les vecteurs lentiviraux, pLOC_hACE2_PuroR et pLOC_hTMPRSS2_BlastR, contenant respectivement l’ACE2 humain et le TMPRSS2, ont été décrits précédemment.

Préparation et titrage du stock Omicron

Le stock de virus SARS-CoV-2 BA.1 Omicron a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2. En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant la nuit dans DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient SARS-CoV-2 a été immergé. Le matériel de l’écouvillon a été obtenu auprès du Département de la santé publique du Massachusetts et il contenait le virus Omicron dont la séquence a été vérifiée (numéro d’accès NCBI : OL719310). Vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible. Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de virus P0. Pour générer un stock P1, nous avons infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le virus P0 à un MOI de 0,01. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS. Trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C en tant que stock P1.

Pour titrer le stock de virus, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 12 puits à une densité de 2 x 105 cellules par puits. Le lendemain, les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de virus (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % FBS et 1,2 % d’Avicel (DuPont; RC-581), et incubés à 37 °C pendant trois jours supplémentaires. »

Génération SARS-CoV-2 recombinante par CPER

« Les virus recombinants SARS-CoV-2 ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié. L’ADNc complet du SARS-CoV-2 cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent (F1, F2, F3, F4, F5, F6, F7 et F9). Les plasmides pCSII-SARS-CoV-2 F8 et pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron, qui ont été utilisés pour générer des mutants de Spike, ont servi de matrices pour l’amplification du fragment 8 (F8). Un lieur UTR contenant un ribozyme du virus de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier la séquence de liaison. Les extrémités 5′ des dix fragments d’ADN (F1-F9 et le lieur) ont été phosphorylées en utilisant T4 PNK (NEB; #M0201), et les quantités équimolaires (0,05 pmol chacune) des fragments résultants ont été soumises à une réaction CPER dans un volume de 50 µl en utilisant 2 µl d’ADN polymérase PrimeStar GXL (Takara Bio ; #R050A). Les conditions de cycle suivantes ont été utilisées pour la CPER : une dénaturation initiale à 98 °C pendant 2 min ; 35 cycles de dénaturation à 98 °C pendant 10 s, annelage à 55 °C pendant 15 s et extension à 68 °C pendant 15 min ; et une extension finale à 68 °C pendant 15 min. Les entailles dans le produit circulaire ont été scellées en utilisant de l’ADN ligase.

Pour transfecter des cellules avec le produit CPER, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 6 puits à une densité de 5 x 105 cellules par puits. Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM (Thermo Fisher Scientific; # 31985070) et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System (Mirus Bio ; #MIR 6000). Après incubation à température ambiante pendant 25 minutes, le mélange de transfection a été ajouté aux cellules. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS. Le CPE est devenu visible en 3-4 jours, moment auquel le milieu de culture a été collecté et stocké en tant que stock de virus P0. Le stock P0 a été utilisé pour les expériences décrites dans ce manuscrit. La région de Spike de tous les virus générés par CPER a été séquencée soit par séquençage Sanger, soit par séquençage de nouvelle génération pour confirmer la présence des modifications souhaitées et l’absence de modifications accidentelles.

Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 104 PFU de SARS-CoV-2 dans 50 µl de PBS 1X stérile. Les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.

Le score de 1 a été attribué pour chacune des situations suivantes : poids corporel, perte de 10 à 19 % ; respiration, rapide et peu profonde avec un effort accru ; apparence, fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ; réactivité, insensibilité faible à modérée ; et signes neurologiques, tremblements. La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final. Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs. Le poids corporel et le score clinique ont été enregistrés une fois par jour pendant toute la durée de l’étude. Pour les besoins des courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné ont été comptés morts le lendemain. Les animaux trouvés morts en cage ont été comptés morts le même jour. Pour l’euthanasie, une surdose de kétamine a été administrée suivie d’une méthode secondaire d’euthanasie. »

Cliquez pour accéder à 2022.10.13.512134v1.full.pdf

Le cercle de la science-fiction.

Il aurait été douloureusement évident pour RFK Jr. et ses amis, s’ils avaient été intellectuellement honnêtes, qu’à aucun moment cette étude préimprimée non évaluée par des pairs n’a démontré l’ingénierie d’une nouvelle souche de « SARS-COV-2. » Pourtant, d’une manière ou d’une autre, ils s’accrochent à des études comme celle-ci pour montrer que non seulement les « virus » existent, mais qu’ils sont génétiquement modifiés par Anthony Fauci et sa joyeuse bande de cohortes qui libèrent ces entités invisibles sur le monde. Alors que RFK Jr. et ses amis dénoncent les vaccins et les mesures draconiennes mises en place durant cette pandémie, leur croyance en ces entités fictives génétiquement modifiées leur permet de justifier leurs quêtes continues pour trouver des vaccins « plus sûrs » et vendre des traitements pharmaceutiques alternatifs alors qu’aucun traitement n’est nécessaire ni une alternative « plus sûre », car pour commencer il n’y a pas de « virus » causant une nouvelle maladie. Leur promotion de ce concept frauduleux maintient le train de la propagande basée sur la peur et ramène dans la toile des mensonges quiconque cherche à se libérer du récit de la théorie des germes élaborée par la pharmacie. Intentionnellement ou non, RFK Jr. et ses amis sont les joueurs de flûte de l’industrie pharmaceutique qui ramènent les souris errantes dans le giron.

Cependant, s’ils épluchaient un peu plus l’oignon et regardaient l’origine des « coronavirus » (comme je l’ai fait ici), ainsi que les preuves fondamentales pseudoscientifiques de tous les « virus », ils verraient à quel point leur position est vraiment illogique. Pour que la recherche sur le gain de fonction soit légitime, il faut d’abord prouver scientifiquement l’existence du ou des « virus » prétendument manipulés et fabriqués. Cela nécessite l’adhésion à la méthode scientifique et l’établissement d’une variable indépendante valide qui serait des particules correctement purifiées et isolées supposées être des « virus » trouvés directement dans les fluides d’un hôte malade. Une fois obtenues en étant séparées de tous les autres contaminants et microbes potentiels, il faudrait ensuite démontrer que ces particules provoquent la maladie en question de manière naturelle, c’est-à-dire en respirant les particules diffusées par aérosol plutôt qu’en utilisant des fluides toxiques issus de cultures cellulaires versés directement dans les narines ou injectés d’une manière ou d’une autre.

Des Expériences de contrôle appropriées utilisant des fluides provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires, mais déclarés ne pas avoir le « virus » doit également être effectuée. Ce processus devrait être répété à grande échelle et démontré comme reproductible et réplicable par divers chercheurs indépendants. Ce n’est qu’une fois que le « virus  aura été soumis à un processus aussi rigoureux et que son existence aura été scientifiquement prouvée qu’il sera possible de déterminer comment « cultiver » cette entité et comment la modifier génétiquement d’une manière ou d’une autre afin de la rendre plus mortelle. Ce n’est qu’alors que des études de gain de fonction et une origine d’arme biologique ou de fuite de laboratoire pour tout « virus  seraient hypothétiquement possibles. Cependant, ce processus scientifique n’a jamais été réalisé au cours des plus de 100 ans d’existence de la virologie. Il faut d’abord prouver l’existence des particules « virales ». On ne peut pas [seulement] supposer qu’elles existent.

Robert F. Kennedy Jr. et les joueurs de flûte

avec June Hutton

Équipe de rêve

En résumé :

  • De nombreux dirigeants de la communauté de la liberté de la santé préfèrent s’accrocher à des études pseudoscientifiques sur le gain de fonction comme preuve de l’existence de « virus » plutôt que d’examiner si un « virus » a déjà été scientifiquement prouvé en adhérant à la méthode scientifique.
  • Ils avancent un récit, basé sur des e-mails, des demandes de subvention et des lettres au Congrès officiellement publiés, selon lesquels Anthony Fauci finance secrètement des études GOF en Chine qui ont abouti à l’origine du « SARS-COV-2 ».
  • Robert Kennedy Jr. a écrit un nouveau livre, The Wuhan Cover-up, avançant cette spéculation sur les fuites d’armes biologiques/laboratoires GOF.
  • Il a également détaillé les activités néfastes de Fauci dans son livre The Real Anthony Fauci, y compris le financement d’études frauduleuse « ne donnant rien » à l’ère du VIH/sida. (Ceci semble être un modèle dans lequel les études du GOF s’inscrivent).
  • Kennedy Jr. et ses amis mettent également en avant une nouvelle étude préimprimée non évaluée par des pairs de l’Université de Boston, affirmant que c’est la preuve que Fauci finance la recherche GOF et le « SARS-COV-2 » génétiquement modifié.
  • Cependant, s’ils lisaient au moins la section des méthodes de cette étude, il serait évident pour eux que ce n’est pas du tout le cas.

  • Les auteurs ont affirmé avoir généré un recombinant chimère « SARS-CoV-2 » codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral « SARS-CoV-2 » et ont comparé ce « virus » avec le variant d’Omicron circulant naturellement.
  • Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le « virus » porteur d’Omicron S a infligé une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %.
  • Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour des expériences sans mentionner les procédures qui ont été suivies pour les modifier génétiquement.
  • Des cellules rénales embryonnaires humaines HEK293T, des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549, des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 et des cellules Vero E6 de rein de singe vert africain ont été maintenues dans du DMEM contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels.
  • Le système de livraison « lentiviral » a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 humain et le TMPRSS2.
  • L’anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) « Anti-SARS-CoV » a été utilisé pour la détection de la protéine N « SARS-CoV-2 » par IF.
  • En d’autres termes, ils ont utilisé des anticorps invisibles non spécifiques jamais correctement purifiés/isolés pour détecter une protéine pour un « virus » jamais correctement purifié/isolé, utilisant ainsi une création fictive pour déterminer l’existence d’une autre.
  • Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat de Wuhan « SARS-CoV-2 », « pCSII-SARS-CoV-2 F8 », était un aimable cadeau de Yoshiharu Matsuura.
  • Les chercheurs ont affirmé avoir remplacé la Spike de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de celle d’Omicron et ont appelé le plasmide résultant « pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron ».
  • Le stock « SARS-CoV-2 » BA.1 Omicron « virus » a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2
  • En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant une nuit dans du DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient « SRAS-CoV-2 » a été immergé.
  • vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible.
  • Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de « virus » P0.
  • Comme on peut le voir, il s’agit de la soupe de culture cellulaire non purifiée habituelle qui est censée avoir un « virus » en raison de l’apparition de l’effet cytopathogène qui peut être causé par de nombreuses choses autres qu’un « virus ».
  • Pour générer un stock P1, ils ont infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le « virus » P0 à un MOI de 0,01.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS et trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C sous une action P1.
  • Passé à travers un filtre signifie qu’il a été minimalement « purifié », car la filtration est connue pour ne pas être en mesure de séparer tous les contaminants/microbes.
  • Les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de « virus » (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % de FBS et 1,2 % Avicel, et incubé à 37 °C pendant encore trois jours.
  • Des « virus recombinants SARS-CoV-2 » ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié.
  • L’ADNc complet du « SARS-CoV-2 » cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent.
  • Un lieur UTR contenant un ribozyme du « virus » de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier le lieur séquence.
  • Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS.
  • Chaque étape de ce processus est un mélange de produits humains et animaux étrangers avec des produits chimiques synthétiques afin de produire la réaction souhaitée afin de prétendre qu’un « virus » est présent.
  • Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 10 4 PFU de « SARS-CoV-2 » dans 50 µl de PBS 1X stérile et les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.
  • La note de 1 a été attribuée pour chacune des situations suivantes :

    • Poids corporel : perte de 10 à 19 % ;
    • Respiration : rapide et peu profonde avec un effort accru ;
    • Apparence : fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ;
    • Réactivité : absence de réponse faible à modérée ;
    • Signes neurologiques : tremblements.

  • La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final et les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
  • En d’autres termes, le taux de mortalité de 80 % était une considération subjective basée sur un système de notation arbitraire conduisant à l’euthanasie inutile des animaux et à la responsabilité du « virus ».
« Le Virus
Pandémie post-apocalyptique de science-fiction »

Idée de prochain livre ?

Lorsque nous tentons de déterminer la vérité sur quelque chose, nous devons retracer les preuves aussi loin que possible pour vérifier l’exactitude des informations présentées. Si nous ne le faisons pas, nous parlons d’un sujet du point de vue de l’ignorance. En ce qui concerne les « virus », cela signifie parcourir plus de 100 ans de recherche afin de savoir si l’existence des particules invisibles supposées causer la maladie a déjà satisfait à la charge de la preuve scientifique en accomplissant les étapes requises de la méthode scientifique. Quiconque examine la virologie ouvertement et honnêtement arrivera à la conclusion que cette tâche indispensable n’a jamais été assumée pour aucun « virus ». Tout ce que l’on a à faire est de choisir un « virus » et de regarder les preuves du document fondamental présenté pour voir si c’est le cas ou non. J’ai fait ce travail pendant les 5 dernières années. J’ai lu les études originales pour voir si jamais les chercheurs ont rempli les exigences scientifiques. Beaucoup de mes pairs ont fait de même. Pour cette raison, nous sommes tous arrivés à la même conclusion que la preuve scientifique de l’existence d’un « virus » n’existe tout simplement pas. Ainsi, nous parlons sur ce sujet non par ignorance, mais par connaissance.

Lorsque Robert Kennedy Jr. a été interrogé sur l’existence de « virus », il a raté le passage de relais et a précipitamment renvoyé la balle. Il a affirmé qu’il n’était pas un scientifique et qu’il n’était pas qualifié pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant, RFK a écrit un livre sur l’existence et les origines d’un « virus » dont il a lui-même admis ne pas être qualifié pour discuter ni déterminer. Comment Kennedy Jr. s’est-il soudainement qualifié pour pouvoir écrire un livre entier et de nombreux articles sur le sujet ? Cela ne peut certainement pas provenir de la science, car RFK Jr. a admis ne pas avoir examiné l’histoire des preuves « scientifiques » derrière les « virus ». S’il l’avait fait, il se rendrait compte qu’il n’y a pas de science à trouver, seulement de la pseudoscience. Il ne pourrait provenir d’aucune étude prétendant montrer le génie génétique d’un « SARS-COV-2 », car aucune étude de ce type n’existe. Apparemment, il suffit d’une « fuite » d’e-mails et de pures spéculations pour être qualifié pour parler de la mystérieuse origine artificielle d’un « virus ».

Malheureusement, cela ne se limite pas à RFK Jr. Aucun de ceux mentionnés précédemment dans cet article (et beaucoup d’autres non inclus) n’est disposé à examiner l’existence de « virus » ouvertement et honnêtement, ni avec une pensée et une logique critiques. On se heurte régulièrement à des excuses liées au gain de fonction et à la génomique, des « avancées » récentes qui ne pourraient avoir de légitimité que si l’existence du « virus » en question avait été scientifiquement prouvée au préalable. Certains essaient même de justifier l’abâtardissement du mot « isolement » par la virologie. Le plus souvent, on nous dit que les « virus » ne peuvent pas être trouvés directement dans les fluides humains, car il n’y en a pas assez (pourtant il y a suffisamment de « virions » pour provoquer des symptômes) et que les « virus » ont besoin d’une cellule hôte (pour une raison pour laquelle l’hôte malade réel ne compte pas) afin de se répliquer. En quelque sorte, la logique échappe à ces personnes que ces informations sur la façon dont les « virus » fonctionnent et se développent ne pourraient pas être obtenues sans avoir trouvé le « virus » dans la nature et/ou dans les fluides d’un humain malade d’abord afin qu’« il » soit étudié. Évoquer une soupe de culture cellulaire dans un laboratoire et prétendre que les effets prouvent une cause n’est pas la façon dont la science fonctionne. C’est cependant ainsi que fonctionne la pseudoscience et ces personnes feraient bien d’apprendre la différence.

Il n’y a pas que le « virus » qui manque ici…

Si RFK Jr. et ses amis arrêtaient de chasser et de promouvoir la science-fiction et apprenaient à comprendre les sciences naturelles, ils se rendraient compte que la vérité sur le manque de preuves scientifiques des « virus » n’entrave pas ce mouvement de liberté de la santé, mais le renforce plutôt énormément. Une fois qu’ils auront réalisé que les « virus » n’existent pas et ne peuvent donc pas être fabriqués comme des armes biologiques, ils peuvent arrêter de se battre pour des vaccins « plus sûrs », car ils comprendront qu’il n’y a aucune nécessité pour la pratique toxique. Ils verront qu’il n’y a pas de traitements pharmaceutiques alternatifs nécessaires, car ces produits ne font que favoriser une toxicité supplémentaire à laquelle le corps doit alors faire face. Ils pourront avoir un message beaucoup plus puissant contre les confinements, les quarantaines, la distanciation sociale, le masquage, etc. une fois qu’ils concluent que les infections contagieuses ne se produisent pas, ces mesures sont complètement illogiques et totalement inutiles. Ils argumenteront à partir d’une position de connaissance et de force, car il incombera à ceux qui font les affirmations positives de prouver qu’elles sont correctes conformément à la méthode scientifique. RFK Jr. et ses amis seront libres de sortir du paradigme pharmaceutique et de le considérer comme le système de cycle de maladie basé sur la peur pour lequel il a été conçu.

Cependant, cela ne se produit que s’ils sont prêts à être intellectuellement honnêtes. Pour ceux qui sont prêts à admettre qu’ils ne sont peut-être pas qualifiés pour parler de l’existence de « virus », nous sommes nombreux à vouloir les aider à les éduquer ou à les orienter dans la bonne direction afin qu’ils puissent se faire une opinion éclairée. Pour ceux qui ne veulent pas faire une telle reconnaissance et qui veulent continuer à promouvoir la pseudoscience comme s’il s’agissait de preuves scientifiques légitimes, nous avons une mesure conçue pour résoudre ce problème tout en respectant le plus possible la méthode scientifique. S’ils sont vraiment intéressés par la validation scientifique réelle, il n’y a aucune raison de ne pas la soutenir. Le temps est venu d’abandonner le livre de science-fiction, d’arrêter de raconter des histoires effrayantes au public et d’exiger que la vraie science soit réalisée.




Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

[Source : geopolitique-profonde.com]

L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

  • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
  • De favoriser leur taux de croissance,
  • D’augmenter leur rendement,
  • D’améliorer leur teneur en nutriments.

Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

« Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

« La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

« Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

L’utilisation des herbicides en augmentation constante

Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

Culture pulvérisée aux herbicides

La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

  • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
  • À l’obésité,
  • À la dépression,
  • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
  • À l’autisme,
  • À la maladie d’Alzheimer,
  • À la maladie de Parkinson,
  • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
  • À la sclérose en plaques, au cancer
  • À l’infertilité
  • Aux anomalies du développement.

Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

« Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

« Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale

[Source : aubedigitale.com]

Par JOSHUA STYLMAN

Il semble évident depuis un certain temps que le système monétaire actuel est, au mieux, instable. Au pire, c’est un système de Ponzi dont le temps a expiré. Si c’est le cas, je soupçonne les banquiers centraux et les 0,1 % de le savoir et d’être prêts à introduire le nouveau système avant que l’ancien ne s’effondre sur lui-même – même s’ils le pillent au passage avec le transfert de richesse le plus important de l’histoire humaine.

Pour quiconque prête attention à ces tendances, il semble évident que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) seront ce nouveau système.

[Voir aussi :
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation]

Tout porte à croire que l’arrivée des CBDC est imminente. Mardi, plusieurs banques mondiales ont annoncé un partenariat avec la Réserve fédérale de New York pour piloter des dollars numériques. Étant donné l’omniprésence des cartes de crédit et de débit, des applications de paiement et d’autres systèmes de paiement en ligne, l’argent numérique ne pouvait que se produire depuis un certain temps. Le risque n’est pas la partie électronique, qui est inévitable – c’est le fait qu’une banque centrale supervisera la monnaie numérique.

De mon point de vue, il est impossible de surestimer le risque présenté par les CBDC. Qu’il s’agisse d’une vision utopique fondée sur de bonnes intentions ou d’un sinistre complot visant à écraser notre souveraineté, le résultat peut être le même : le contrôle. Une monnaie numérique de banque centrale présente tous les inconvénients de la monnaie fiduciaire, plus les couches supplémentaires de surveillance et de programmabilité supervisées par l’État.

De nombreuses personnes de l’équipe Reality se sont probablement senties comme des dissidents au cours des dernières années, simplement parce qu’elles remettaient en question la mentalité du troupeau. Poser des questions ou parler à contre-courant de sujets tels que les origines probables du Covid, l’utilité de la méthode PCR, le risque pour la majorité de la population, les avantages d’un traitement précoce, les avantages de l’immunité naturelle, la sécurité et l’efficacité des vaccins, les avantages et les inconvénients des masques et des confinements, et l’utilité des passeports vaccinaux a créé un environnement où les gens étaient stigmatisés, aliénés ou carrément censurés. Imaginez un système monétaire doté de caractéristiques permettant de modifier socialement notre mode de vie. Par exemple :

  • La santé : « Vous n’avez pas pris votre dose de rappel… désolé, vous n’êtes pas autorisé dans les espaces publics. »
  • Énergie : « Vous avez utilisé votre quota énergétique ce mois-ci… désolé, votre voiture électrique ne démarrera pas. »
  • Alimentation : « Vous avez mangé trop de viande cette semaine… désolé, votre argent n’est bon que pour les plantes (ou les insectes). »
  • Épargne : « Si vous ne prenez pas vos rations bientôt… désolé, votre argent expirera à la fin du mois. »
  • Liberté d’expression : « Vous avez partagé une info avec laquelle nous ne sommes pas d’accord… désolé, notre algorithme vous met à l’amende ». (PayPal s’y met déjà).

Si les CBDC deviennent finalement le nouveau système monétaire, leurs caractéristiques essentielles feront en sorte que les gouvernements mondiaux n’auront plus besoin d’un événement tel qu’une crise sanitaire mondiale pour imprimer de la monnaie ou fermer la société. Des lignes de code peuvent façonner notre comportement et faire en sorte que nous soyons obligés de rester chez nous. La plateforme entière sera conçue pour expulser le travail qui n’est plus jugé nécessaire. Alors que je croyais initialement que les interventions pharmacologiques dirigées par l’État étaient une menace isolée et aiguë à cette époque, il est devenu évident qu’elles n’étaient qu’un tentacule d’une bête beaucoup plus grande. Quelles que soient les forces qui insinuent cette direction dans le monde (je t’observe, Davos), elles se sont révélées être implacables dans leur poursuite de la perpétuation de la peur et du pouvoir.

Je suis bien conscient que cela peut sembler insensé, surtout pour ceux qui n’ont pas prêté attention à cette tendance depuis un certain temps. Il y a quelques années, j’aurais pensé que c’était absurde, mais après avoir été témoin des mensonges, des tromperies et des tentatives de contrôle du gouvernement, je crains que ce ne soit la direction que nous prenons. Si l’on considère que les obligations en matière de vaccins n’avaient aucun objectif médicalement justifiable, il est tout à fait plausible qu’elles n’aient été qu’une rampe de lancement pour normaliser une société « papiers s’il vous plaît ». À New York, où je vivais jusqu’à récemment, la plupart des gens acceptaient les passeports vaccinaux et adoraient l’application mobile Excelsior Pass parce qu’elle était pratique. Combien de personnes éprouveront le même sentiment à l’égard de la monnaie numérique, qui apportera sans aucun doute son lot d’avantages ?

La monnaie numérique de la banque centrale permettra aux gouvernements d’imposer un contrôle du haut vers le bas, à la manière du score de crédit social chinois. Certains banquiers centraux disent tout haut ce qu’ils pensent tout bas. Que ce soit ou non l’objectif du programme, y a-t-il déjà eu un moment dans l’histoire où les gouvernements ont rejeté le pouvoir qui leur est donné ? À ce stade, il ne s’agit pas non plus d’une théorie de chapeaux en alu. Il existe de nombreux exemples montrant que ce type de coercition financière est déjà en cours.

  • Le gouvernement demande maintenant aux gens de demander des cartes plastiques « My Number » équipées de puces électroniques et de photos, qui seront liées aux permis de conduire et aux régimes publics d’assurance maladie. Les cartes d’assurance maladie actuellement utilisées, dépourvues de photo, seront supprimées à la fin de 2024. Les personnes devront utiliser les cartes My Number à la place. »
    Source
  • « Le nouveau laissez-passer garantira l’attribution de quotas de carburant sur une base hebdomadaire. Un code QR sera attribué pour chaque numéro de carte nationale d’identité (CNI), une fois que le numéro d’identification du véhicule et d’autres détails auront été vérifiés. »
    Source
  • « Selon un rapport de 9News Queensland, le ministère a décidé que les enseignants non vaccinés qui ont été autorisés à reprendre leur emploi ce trimestre après avoir été placés en congé sans solde, subiront un autre coup financier, avec une ‘réduction de la rémunération’ pour une période de 18 semaines. »
    Source
  • « L’essai, qui est volontaire, utilisera la reconnaissance faciale pour identifier les personnes et le nombre de billets qu’elles possèdent. La technologie pourrait être étendue pour couvrir les achats automatisés aux stands de concession, aux restaurants et aux bars. »
    Source
  • « Dans le cadre des plans récemment annoncés par le gouvernement, l’Ouganda commencera à récolter les données ADN et biométriques de ses citoyens lorsque leurs cartes expireront en 2024, afin de les utiliser dans son programme d’identité numérique remanié. »
    Source

Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et c’est mondial. Comme nous l’avons vu avec les confinements, la Chine est le modèle imité en Occident. Comme la progression vers des mesures autoritaires liées à la santé, des mondialistes non élus ayant des intérêts financiers se cachent en arrière-plan.

J’aimerais bien me tromper sur tout cela. Cependant, jusqu’à preuve du contraire, nous devons nous méfier de tous ceux qui perpétuent cette voie dangereuse, quelles que soient leurs motivations.

Pour approfondir ce sujet, je recommande vivement cet essai de Fabio Vighi sur la politique monétaire du covid à long terme. Edward Dowd a également beaucoup parlé de la relation entre le système monétaire et le Covid, notamment lors de cette présentation qui ouvre les yeux. Ensuite, l’excellent Maajid Nawaz a traité des moteurs des CBDC. D’autres, comme Marty BentSaifedean Ammous et Allen Farrington, ont été les premiers à identifier ces risques. Je partage leur évaluation en réalisant que le bitcoin est susceptible de résoudre ce problème.

Si vous ne l’avez pas encore remarqué, l’un des principaux thèmes de ces trois dernières années (au moins) est « liberté contre contrôle ». Ce n’est donc pas une hyperbole de suggérer que l’avenir doit être décentralisé si nous voulons que nos enfants grandissent dans un monde libre.

Traduction du Daily Sceptic par Aube Digitale




Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques

[Source : L’Échelle de Jacob via reseauinternational.net]

Par Professeur Marc Henry.

De multiples études scientifiques le prouvent, les champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, Bluetooth, téléphone portable, ordinateur, compteur Linky, etc.) perturbent notre biologie interne (impacts sur l’activité du cerveau, modifications neurologiques/neuropsychiatriques, augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique apparente, etc.).

Dans ce webinaire présenté par Mathilde Dufourcq, le Professeur Marc Henry nous explique de manière très concrète et très détaillée comment toutes ces belles technologies (dont nous apprécions pourtant pour beaucoup les avantages qu’elles nous procurent au quotidien) produisent des dégâts sur notre santé.

[Voir aussi :
Communication entre organismes vivants par biophotons,
Les trois émotions qui guérissent
et Dossier 5G et ondes pulsées]

Par bonheur, le Pr Marc Henry nous livre des préconisations avisées des meilleures solutions de protection contre les ondes électromagnétiques extérieures… validées par la science !

https://www.youtube.com/embed/HRKtwI49HiI

Toutes les informations utiles pour trouver le ou les produits [CMO] qui correspondent à vos besoins (et à votre budget) sont sur cette page :

https://www.cem-vivant.com/page-vivovojo,190.html




Certains scientistes veulent vacciner le monde contre la famine

[Source : FranceSoir]

De la gestion de la faim dans le monde par la vaccination de masse

Par Marilis Valo, pour FranceSoir

[Illustration :

« S’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie ».

Pixabay

]

TRIBUNE — Lorsque j’étais enfant, la recherche scientifique, telle qu’on me la présentait, avait pour objectif majeur de trouver des solutions à des problèmes humains cruciaux, en s’attaquant à leur cause.

Aujourd’hui, il semblerait que l’élite scientifique, dans sa vaste majorité, ne s’intéresse plus vraiment aux causes. Pour preuve, cet étonnant article publié le 10 septembre dernier par le Dr Peter J. Hotez dans le magazine Trends in Pharmacological Sciences, intitulé « Malnutrition vaccines for an imminent global food catastrophe » (Face à une catastrophe alimentaire mondiale imminente : des vaccins contre la malnutrition).

Des vaccins contre la malnutrition, donc. Des vaccins pour lutter contre ce que l’auteur considère comme une pandémie de famine quasi inéluctable. L’article commence ainsi :

« Outre le changement climatique, les événements géopolitiques en Ukraine et les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement dues à la pandémie de COVID-19 pourraient provoquer des pénuries alimentaires mondiales, voire des famines de masse. Parmi les nouvelles interventions prometteuses, citons les vaccins destinés à prévenir les causes infectieuses de la malnutrition ou les infections causant de manière disproportionnée la mort des personnes mal nourries. »

Le Dr Hotez développe son argumentaire en précisant que :

« Certaines infections humaines, notamment les infections chroniques, [qui] peuvent provoquer une carence en micronutriments, une dénutrition ou, dans certains cas, les deux formes de malnutrition. »

Et le chercheur d’énumérer les pathogènes et maladies coupables de tant de malheurs, puis de proposer sa vision d’un monde meilleur : des populations entièrement vaccinées et revaccinées contre des infections qu’il semble considérer comme la cause première de leurs carences alimentaires. En tête de peloton : l’ankylostomose, objet favori de ses recherches depuis le tout début de sa carrière ; puis la schistosomiase, la malaria, les shigelles et enfin, la tuberculose.

Pour le Dr Hotez :

« Ces vaccins pourraient être priorisés, tout comme les décideurs mondiaux ont accéléré les vaccins COVID-19 à partir de 2020. Ces actions seraient en accord avec les engagements de la Décennie d’action des Nations unies pour la nutrition lancée en 2016 (et qui s’étend jusqu’en 2025) pour renforcer les systèmes sanitaires et alimentaires nationaux autour des besoins et des urgences nutritionnels. »

Comme nombre de ses collègues adeptes de ce que j’appellerai la « science unique », celle qui ne supporte pas la réflexion critique et s’établit en seule détentrice d’une vérité indiscutable, le Dr Hotez raisonne potentiellement juste, mais sur des bases assurément fausses. Le hiatus proviendrait-il d’une représentation trop simpliste du cycle des causes et des effets ?

Le site de VOICE (the Value Of Immunization Compendium Evidence), ardent avocat de la cause de la vaccination de masse perpétuelle, présente le cycle de la sous-nutrition d’une façon intéressante. Voici ma traduction du diagramme que propose VOICE pour expliquer pourquoi il faut vacciner les personnes sous-alimentées :

Comme vous le voyez, ce diagramme représente un cercle vicieux sans début ni fin, qui ne présente en aucun cas la malnutrition comme étant la cause majeure de la sous-nutrition, de laquelle découlent toutes les autres conséquences.

Mais un article du journal Frontiers in Immunology nous propose un diagramme tout différent pour expliquer le lien entre malnutrition et maladies infectieuses, que je résume ici très succinctement (voir le diagramme complet en anglais) :

La phrase d’introduction de cet article (Mechanisms of Kwashiorkor-Associated Immune Suppression: Insights From Human, Mouse, and Pig Studies) montre que pour ses auteurs, la malnutrition est bel et bien la cause première, la prémisse fondamentale, dont découle le cercle vicieux évolutif décrit par VOICE :

« La malnutrition désigne un apport insuffisant en énergie et/ou en nutriments. La malnutrition présente une relation bidirectionnelle avec les infections, par laquelle la malnutrition augmente le risque d’infections qui aggravent encore la malnutrition. »

[Note de Joseph :
Dans le domaine médical, les assez rares médecins et chercheurs qui appliquent réellement une démarche scientifique en sont venus à démontrer que la théorie virale et même celle des germes ne fonctionnent tout simplement pas, voire relèvent de fraude (comme on peut le voir au travers d’articles du dossier Vaccins et virus). Les maladies prétendument causées par des virus (confondus avec des exosomes et autres composants cellulaires naturels) ou par des bactéries n’apparaissent alors que comme des conséquences de différents facteurs (comme la pollution, les ondes électromagnétiques pulsées, les champs électriques, les pesticides, les émotions négatives telles que la peur et la colère, etc.) dont l’effet premier est soit la malnutrition cellulaire, soit une forme ou une autre d’empoisonnement. Et les apparentes contagions sont alors dues :
► à une exposition commune aux causes de malnutrition et/ou d’empoisonnement ;
► et/ou à une communication biophotonique entre cellules ou ADN des uns et des autres. (voir Communication entre organismes vivants par biophotons).
Avec un tel nouveau paradigme d’essence non plus scientiste, mais scientifique, logique et intuitive, les vaccins se révèlent simplement pour ce qu’ils sont très probablement : des cocktails de différentes substances nocives ou toxiques qui ont bien plus de chances de nuire à la santé des individus que de protéger de quelque maladie que ce soit.]

Nous sommes donc en présence de deux courants distincts parmi les chercheurs : une minorité d’entre eux utilise son sens commun et tente de considérer l’ensemble des causes d’un problème pour en déterminer l’origine véritable, tandis que certains membres de l’élite scientifique choisissent le facteur qui leur convient et le présente comme étant la cause première du problème en question, facilitant ainsi l’acceptation par leurs pairs des solutions technologiques qu’ils proposent.

Et, lorsqu’on néglige de s’intéresser à la cause première d’une situation dramatique, il devient facile de s’attacher à rechercher des solutions purement cosmétiques, qui permettent de masquer la dimension réelle du problème sans avoir à tenter de le résoudre.

L’exemple du Dr Hotez à cet égard me paraît frappant : il fait tout simplement abstraction du fait que la sous-nutrition est causée par la misère des populations (misère elle-même causée par des facteurs économiques, politiques et moraux sur lesquels nous ne nous appesantirons pas), et se concentre sur la recherche d’une technologie permettant de gérer quelques-uns des effets de ladite misère, la rendant ainsi plus présentable. Il s’agit pour moi d’une magnifique illustration de ce qu’est la perversion de la pensée rationnelle, qui est l’apanage de la science unique.

À la lecture de l’article du Dr Hotez, ma première réaction (épidermique, je l’avoue) a été de penser qu’il devait avoir un intérêt financier personnel à poursuivre de telles recherches : imaginez la rentabilité du marché d’un vaccin qui pourrait gérer certains effets de la misère à l’échelle planétaire ! Un marché qui ne pourrait que croître et embellir, puisqu’en masquant partiellement l’horreur de la famine, on pourrait plus facilement se dispenser de s’attaquer aux causes de cette dernière, la faisant ainsi perdurer ad vitam æternam sans le plus petit remords de conscience.

Forte de l’image négative que j’avais initialement formée au sujet du Dr Hotez, image renforcée par son omniprésence médiatique ultra-pro-vaccination tous azimuts aux États-Unis, le fait que son laboratoire ait développé le vaccin anti-Covid Corbevax (voir : extrait de la notice d’utilisation du Corbevax, répertoriant les effets secondaires possibles reconnus par le fabricant indien Biological E. Limited) distribué en Inde, et ses propos extrêmes sur ceux qui souhaitent avoir le choix d’être vaccinés ou non (il qualifie cette prise de position d’« agression anti-science »), j’ai décidé de confirmer mes soupçons au sujet de son éthique professionnelle et ai entrepris quelques recherches. Quelle n’a pas été ma surprise de constater que le patrimoine total estimé du Dr Hotez ne se montait qu’à quatre malheureux millions de dollars, somme raisonnable pour les États-Unis, surtout si l’on tient compte du fait qu’il a trente ans de carrière derrière lui, de multiples casquettes, et qu’il s’est vu décerner de nombreuses récompenses (dont la prestigieuse Scientific Achievement Award de l’AMA, reçu début 2022) qui n’ont pu qu’influencer favorablement sa rémunération. Mais, le plus étonnant, c’est que le docteur Hotez ne cesse de clamer que les chercheurs doivent cesser de breveter les vaccins pour en tirer bénéfice, afin que ces produits soient reproductibles librement et gratuitement dans les pays les plus pauvres. Et, il met scrupuleusement en pratique ce qu’il dit, puisque les vaccins élaborés par son laboratoire sont brevetés de telle sorte qu’ils ne peuvent générer aucun revenu.

Si mes informations sont justes, il semble donc que nous ayons affaire à un homme qui a foi en ce qu’il fait, et pense vraiment aider l’humanité par son travail. Du reste, il est tout à fait possible que ses travaux permettent à un certain nombre de personnes de vivre plus longtemps. Dans la même misère et souffrant toujours de la faim, certes, mais plus longtemps. Car si bien intentionné qu’il puisse être, le Dr Hotez contribue activement à la pérennisation d’un système qui préfère maquiller joliment les problèmes plutôt qu’essayer de les résoudre.

Prenons, par exemple, le cas de ces gouvernements qui, minés par la corruption, ne peuvent empêcher que certains de leurs membres rentabilisent quotidiennement la famine et la maladie qui rongent leurs populations, en détournant les aides financières généreusement octroyées par les organisations mondiales, et en trayant à l’envi les vaches à lait que sont devenues les ONG. Les campagnes vaccinales sont une manne inépuisable pour ces hommes et femmes de pouvoir corrompus, qui ont tout intérêt à ce que la situation ne change pas. Les recherches du Dr Hotez, entre autres, représentent pour eux la perspective d’une source de juteux revenus additionnels.

Et, ceci n’est qu’une illustration parmi d’autres des effets pervers de ce que j’appelle la cosmétisation des actions humanitaires, un agréable fardage de la réalité, facilité par l’influence de cette science unique qui ne souffre pas la controverse.

Les inquiétudes qu’exprimait Rabelais au sujet de la science paraissent aujourd’hui bien désuètes, largement dépassées par la réalité du 21e siècle. Car s’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie.




Communication entre organismes vivants par biophotons

Par François Germain

https://www.biotron.fr/communication-entre-organismes-vivants-par-biophotons-p306230.html

Voici l’histoire de la découverte des rayonnements électromagnétiques cohérents dans les organismes vivants…

https://www.biotron.fr/l-adn-electromagnetique-et-la-communication-entre-cellules-p297884.html

Le biophoton est un photon (corpuscule d’énergie électromagnétique) d’origine biologique n’étant pas issu de produits d’une réaction enzymatique spécifique. Autrement dit, c’est l’émission spontanée de lumière d’intensité ultra faible émanant de tous les systèmes vivants1.

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton

Biophotons = Photons émis par la matière biologique

https://luc-bodin.fr/evolution/nos-cellules-emettrices-de-lumiere-des-biophotons-pour-communiquer/

Dr Luc Bodin. Oct 27, 2020.

Les cellules du corps humain captent l’énergie lumineuse du soleil constituée de photons, produisant comme chacun sait, un effet bronzant sur notre peau.

Mais ce qui est moins connu est que ces mêmes cellules émettent une énergie lumineuse par leur ADN. Le rayonnement émis présente des doses 1.018 fois plus faibles que ceux des rayons solaires, mais il est tout de même observable. C’est ce que le biochimiste allemand Fritz Albert Popp, dans les années 1970, qui l’a mis en évidence, appelant les photons émis par le corps des « biophotons » (photons émis par la matière biologique).

Les expériences de Kaznacheev

L’incroyable découverte du Pr Luc Montagnier

http://www.orbs.fr/wp-content/uploads/2014/07/Luc-Montagnier-les-ondes-et-la-me%CC%81decine-Extrait-de-Orbs0-www.orbs_.fr-.pdf

Le Prix Nobel de physiologie ou de médecine 2008 affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques ! Il nous explique que sa découverte pourrait bien être un moyen révolutionnaire de détection et de traitement des maladies chroniques.

Depuis les années 2000, il s’intéresse aussi aux ondes. Et pas à n’importe quelles ondes. Celles émises par des bactéries, des virus, des fragments d’ADN… Car ces parcelles du vivant rayonnent. Elles sont capables d’émettre des signaux électromagnétiques.

Derrière cette découverte, une autre découverte. Celle de la capacité de l’eau à conserver cette information électromagnétique et à la restituer sous certaines conditions de dilution et de résonance électromagnétique. Le Pr Luc Montagnier poursuit les travaux initiés par l’équipe de Jacques Benveniste, en 1988, sur la mémoire de l’eau.

Méditation et phytothérapie ont un impact sur l’émission de biophotons

https://www.epochtimes.fr/les-biophotons-12797.html

The Epoch Times, le 10 mai 2016.

Le corps humain émet des biophotons d’une visibilité 1000 fois plus faible que la sensibilité de notre œil nu. Les biophotons émis par le corps humain peuvent être libérés par l’intention mentale et moduler les processus au sein de la communication cellule-cellule et ADN.

La recherche a trouvé une différence de stress oxydatif entre les personnes méditant régulièrement et ceux qui ne méditent pas.

Biophoton — État des connaissances en 2019

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton#Etat_des_connaissances_en_2019

Biophotons, méditation et guérison

https://triompherducancer.wordpress.com/2018/06/30/biophotons-meditation-et-guerison/

Triomphe du cancer, le 30 juin 2018.

Pour les personnes atteintes du cancer ou d’une maladie dégénérative, il convient de savoir que «les cellules endommagées émettent beaucoup plus de biophotons que des cellules saines» ce qui fait dire à certains chercheurs que cela pourrait être interprété comme un signalde détresse. Il est commun en effet chez les gens atteints du cancer d’avoir un faible taux de globules blancs. Ce phénomène d’instabilité qui pousse l’organisme à produire plus de biophotons est appelé stress oxydatif.

En sachant cela, on peut se demander si l’on peut arrêter la déperdition des biophotons par le seul pouvoir de l’esprit ou de la méditation.

C’est ce que confirment les travaux du biophysicien néerlandais Roeland Van Wijk(([1] Effect of meditation on ultraweak photon emission from hands and forehead. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16086532/
2005 Apr; 12. Eduard PA Van Wijk 1, John Ackermann , Roeland Van Wijk.)) qui ont démontré que les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. Les travaux effectués en ce sens par M. Van Wijk ont révélé que « les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. 35 % de moins en moyenne que dans le groupe témoin ». Pour les malades, la méditation permet donc deréduire la surproduction de biophotons associée au stress oxydatif.

Santé : quand la méditation booste l’immunité

https://www.lesechos.fr/weekend/perso/sante-quand-la-meditation-booste-limmunite-1380794

Les Échos, le 21 janvier 2022.

Une récente étude expérimentale menée à l’université de Floride (PNAS, décembre 2021) : Quelque 106 femmes et hommes, de 40 ans en moyenne, ont été soumis à une retraite de méditation intensive. Résultat, à partir d’analyses sanguines pré et post « cure », pas moins de 220 gènes directement associés à la réponse immunitaire ont été positivement stimulés, remarquent les chercheurs : la quasi-totalité (68) de ceux liés à la production d’interféron, protéine clé impliquée dans la défense de l’organisme (cancers, sclérose en plaques, Covid).

D’où l’intérêt de s’intéresser au petit ouvrage Méditer avec le Dr Steven Laureys, (Odile Jacob, janvier 2022). Ce neurologue de réputation mondiale qui ne se veut « ni maître zen ni donneur de leçons » propose un remarquable carnet de méditation, fruit de sa pratique.

Méditer avec le Dr Steven Laureys

https://www.odilejacob.fr/catalogue/sante-vie-pratique/forme-et-sante/mediter-avec-le-dr-steven-laureys_9782738157713.php
https://www.odilejacob.fr/feuilleter.php?ean=9782738157737

Éditions Odile Jacob. Date de parution : 12 janvier 2022.

MÉDITATION & SANTÉ : 3 BIENFAITS DE LA MÉDITATION SUR LE CORPS

https://facmedecine.umontpellier.fr/2020/communication/meditation-sante-3-bienfaits-de-la-meditation/

Faculté de Médecine. Montpellier – Nîmes, le 11 mai 2020.





Débarrasser le corps du graphène

[Source : anna-bellas.com]

[NDLR Les liens renvoient à des pages en anglais.]

Un guide sur la façon d’éliminer de votre corps le graphène, la substance transmise par les vaccinés du COVID aux non-vaccinés…

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

La mauvaise nouvelle pour ceux qui ont jusqu’à présent refusé de recevoir une seule dose de l’injection de Covid-19 est que certains médecins pensent que le graphène est transmis des vaccinés au Covid-19 aux non-vaccinés.

Mais la bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de votre corps et de rétablir votre santé.

Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser plusieurs méthodes différentes simultanément pour obtenir le meilleur effet. Notamment, des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps, et le contrôle des CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique. Il est produit naturellement par le foie et participe à de nombreux processus de l’organisme, notamment la construction et la réparation des tissus, la fabrication des substances chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme, et le système immunitaire. Nous disposons d’une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous permet d’avoir un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans l’organisme, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans l’organisme dépasse la quantité de glutathion, elle provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut se développer rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. Autrement dit, les CEM bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent radicalement dans l’organisme. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes présentant des conditions préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas affecté ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences CEM spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie. En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes ses « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Des patients Covid intubés en soins intensifs ont guéri en quelques heures lorsqu’ils ont été traités avec du glutathion et de la NAC, exemple de Ricardo Delgado

« Nous avons assisté à des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et des radiations 5G ultérieures dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette tache diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisqu’elle serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection pneumococcique, n’est-ce pas ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique. Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe – ou même par voie orale – ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les gens commencent en quelques heures à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un complément qui amène l’organisme à produire du glutathion, elle est connue comme le précurseur du glutathion et amène l’organisme à sécréter du glutathion de manière endogène, comme c’est le cas lorsque vous faites du sport de manière intense. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par l’organisme pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages. Vous pouvez obtenir la NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.

Le zinc, associé à la NAC, est un antioxydant essentiel utilisé pour dégrader l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado affirme qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après inoculation. Il s’agit de personnes ayant reçu deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et qui, après avoir pris ces suppléments, ne présentent plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

[Voir aussi :
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre]

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, veuillez consulter ce LIEN.

Comprendre le lien entre les CEM, la 5G, l’oxyde de graphène, les hydrogels et Covid

L’oxyde de graphène est activé par les CEM, en particulier les fréquences qui font partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce que l’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences envoyées aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui présente des qualités et des applications substantielles. Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreux domaines, dans notre alimentation, dans notre eau, et injectés dans nos corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui s’accrochent à votre ADN et peuvent être contrôlés par des capteurs 5G. Ils permettent de collecter et de manipuler l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent de suivre et de tracer les êtres humains. Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par les pairs qui traitent des hydrogels conducteurs. Nous avons rassemblé une courte liste d’études relatives comme documentation de secours.

Résumé des caractéristiques des hydrogels et de la nanotechnologie des points quantiques – Cliquez pour télécharger

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.

Caractéristiques des hydrogels conducteurs : auto-récupérabilité, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, auto-guérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’ils font certaines choses lorsqu’ils sont touchés par la 5G (ou d’autres fréquences, d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnements CEM provenant des téléphones cellulaires (ou téléphones mobiles), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses régions se mettent également à la 5G et des enquêtes ont été menées pour montrer la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une région. Pour se protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions pour y parvenir : ne vivez pas dans une ville où il y a beaucoup de tours si vous pouvez l’éviter, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection contre les CEM, tels que les appareils à énergie orgonique, qui aident à transformer les rayonnements CEM pour en atténuer les effets nocifs.

Énergie Orgone, protection contre les CEM et oxyde de graphène

Puisque l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous voulez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’ils n’activent pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les CEM. Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des récipients constitués de couches alternées d’acier et de matériau organique non conducteur étaient capables de capter une « énergie cosmique » saine provenant de l’environnement. Il a appelé cette énergie « orgone ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de conserver des échantillons de sang plus longtemps, de faire germer des semis de plantes plus saines et de soulager la douleur des patients qui s’y asseyaient.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite fait d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal, le tout enrobé de résine époxy. Le résultat final est un harmonisateur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, des routeurs Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux domestiques. Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études réalisées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents prélèvements sanguins d’oxyde de graphène EMF

L’étude la plus frappante à la lumière des récentes découvertes sur l’oxyde de graphène se trouve dans le  « test sanguin de Reich  » réalisé par le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgone sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie orgonale. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une période plus longue (c’était comme la fontaine de jouvence du sang).

Lorsqu’un globule rouge est défectueux et commence à mourir, il peut développer ce que l’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections en forme de pics de différentes longueurs dépassent de la cellule. Les images ci-dessous montrent à quoi ressemble la mort d’un globule rouge.

http://wilhelmreich.gr/en/research/microscopic-research/reich-blood-test-blood-disintegration/

Les diapositives ci-dessus montrent la désintégration bionique de la matière vivante et non vivante. La cellule saine possède une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich appelait l’énergie « orgone ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des protubérances pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections de Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations membranaires. Selon l’ouvrage A Laboratory Guide to Clinical Haematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes est le résultat de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui entraînent un déséquilibre entre le contenu en cholestérol et en lipides de la membrane affectent la capacité des GR à se déformer, ce qui se traduit par une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises lors d’une récente analyse de sang [mise à jour le 1er octobre 2021] effectuée par le Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement par les radiations CEM, l’empoisonnement par l’oxyde de graphène. Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines « l’effet corona » et « l’effet protéine de pointe ».

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

Ce comportement est identique à celui des cellules sanguines mourantes dans l’expérience du test sanguin de Reich. Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Le test sanguin de Reich a permis de faire une découverte frappante : les dispositifs d’énergie orgoniques ralentissent et arrêtent la dégradation des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs d’énergie orgoniques protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin de Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de dégradation des cellules est de 5 %. L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de décomposition est de 50 %. Il est clair que l’énergie d’orgone contribue à préserver la force vitale et la santé du sang.

[Article source en anglais :]



Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

[Source : guyboulianne.info]

J’ai déjà écrit plusieurs articles concernant les différentes démarches judiciaires ou de dénonciation du Dr Julien Devilléger en Charente (France), c’est-à-dire le 9 août 2021, le 23 août 2021, le 30 septembre 2021, le 10 janvier 2022 et le 10 février 2022. Celui-ci m’a écrit le 26 octobre 2022 pour me faire part qu’il a préparé une synthèse concernant « un virus SARS-CoV-2 » que je vous présente ci-dessous. Il m’écrit :

« Bonjour Monsieur Boulianne,
J’ai écrit une synthèse, exposant les “preuves” fournies à ce jour d’un “virus SARS-CoV-2” responsable du Covid, qui relèvent d’une farce ! Je l’ai enfin signée sous mon nom, et plusieurs ont commencé à diffuser. Je vous l’envoie aussi au format texte pour que vous puissiez l’utiliser. Il y aura une suite…

Ce n’est pas le tout de clamer l’innocence du Covid. Il faut pouvoir réécrire l’histoire sans Covid… Et mieux vaut y aller par étapes, parce que c’est difficile de penser l’histoire du Covid sans virus! »

Guy Boulianne


Par Dr Julien Devilléger

Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

La première représentation 3D du « novel coronavirus », devenu ensuite « SARS-CoV-2 », réalisée par Alissa Eckert et Dan Higgins, illustrateurs médicaux, est décrite comme une « image flatteuse, en gros plan, exposant les détails, a fait le tour du monde comme une pandémie visuelle », par Stéphane Baillargeon dans le journal « Le Devoir ». Il précise qu’« il y a des protéines de pointe (S), représentées par les grappes rouges dans l’image, qui permettent au virus de se fixer aux cellules humaines. » Il rajoute que Jodie Jenkinson, professeure à l’Institut des sciences médicales de l’Université de Toronto disait de cette image : «  Je ne saurais pas dire à quel point cette image du virus aide à le comprendre. Mais c’est une image emblématique, il n’y a pas de doute. » Cette image est seulement une représentation VIRTUELLE du « virus SARS-CoV-2 », mais a-t-on RÉELLEMENT identifié ce « virus », et a-t-on démontré que ce dernier était responsable de l’épidémie de COVID-19 ? On suspecte une épidémie quand plusieurs personnes ont présenté des symptômes comparables, dans une zone géographique précise et un laps de temps compatible.

Les causes des épidémies ne sont pas toutes virales, et peuvent être biologique, chimique, électromagnétique, radioactive, nutritionnelle, psychologique, etc. Un toxique dans l’air ou dans l’eau peut déclencher des symptômes comparables chez plusieurs personnes, décalés de quelques heures à quelques jours. Imaginez des campeurs se réveillant avec des maux de tête, et se rendant compte qu’ils ont dormi près d’une ligne haute tension, ou des millions de personnes déprimant en même temps, suite au deuil de leur « star » préférée…

Dans ces exemples, il n’y a pas de contamination par fluide d’une personne à l’autre, mais la chronologie des évènements est comparable à celle d’un virus. Il ne faut pas limiter la recherche aux virus, présents partout sans être nécessairement dangereux, mais au contraire tester toutes les hypothèses possibles. Le problème posé par l’hypothèse d’un « virus coupable » est qu’elle met habituellement fin à l’enquête en cours, et les autres causes possibles pouvant expliquer l’épidémie (chimiques, électromagnétiques, etc) sont alors balayées d’un revers de main !

« Modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne » :

  1. Prélèvement d’échantillons de tissu de l’organe atteint chez plusieurs malades, et mise en culture cellulaire. Photographie au microscope électronique du « virus ».
  2. On teste l’effet du virus sur les cellules (effet cytopathique : ECP), en sachant que le virus est cultivé dans une « SOUPE » chimique (milieu de culture), « indispensable » à sa culture, mais dont la toxicité est non (ou mal) évaluée. On dispose le résultat de la « soupe » dans des puits, et on calcule le pourcentage de puits où l’ECP est retrouvé.
  3. On teste alors la pathogénicité = induction de maladie sur animaux de laboratoires.
  4. Séquençage du « virus » (expérience princeps), dont la séquence est envoyée dans une banque génétique (GenBank) avec un numéro de brevet. Les autres centres recherchent alors la séquence génétique brevetée, considérée comme responsable de la maladie.
  5. On recherche des anticorps, même si la maladie n’apparaît pas.

Qu’en est-il dans le cas du « virus SARS-CoV-2 », agent présumé du COVID-19 ?

Robert Koch, père fondateur de la bactériologie, élabora les postulats de Koch en 1884, selon lesquels :

  • Le micro-organisme doit être présent en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais ABSENT des organismes sains.
  • Le micro-organisme doit pouvoir ETRE ISOLÉ, et croître en milieu de culture PUR (ne contenant que ce seul microbe).
  • Le micro-organisme cultivé doit déclencher la MÊME maladie chez un animal de laboratoire sensible.
  • Le micro-organisme doit être à nouveau isolé du nouvel organisme hôte rendu malade puis identifié comme étant identique à l’agent infectieux original.

Ces critères de rigueur ne sont malheureusement pas utilisés en virologie. En reprenant le « modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne » :

1. Prélèvement d’échantillons de tissu pulmonaire et d’autres tissus, sur malades.

2. Mise en culture du « virus SARS-CoV-2 » sur cellules Véro, qui sont des cellules rénales aneuploïdes (avec un nombre anormal de chromosomes) de singe vert d’Afrique, car la culture est très difficile sur cellules humaines, avec une « soupe » associant antibiotiques, antimycosiques, sérum fœtal de bœuf, trypsine, CO2 5%, et une incubation à 37°C. Chaque composant pris individuellement peut détruire une cellule. Une seule étude a évalué la toxicité de la « soupe », mais la dose de streptomycine (antibiotique ayant une toxicité rénale) du groupe avec virus aurait été doublée par rapport au groupe contrôle, ce qui serait une fraude !

L’ECP est obtenu sur les cellules Véro, mais pas sur les cellules humaines.

Photographie au microscope électronique du « virus », cultivé sur cellules Véro, et fixé avec une 2e « soupe »: alcool 30 à 100%, glutaraldéhyde, tétroxyde d’osmium, etc, dont la toxicité n’a pas été évaluée. Des photographies au microscope électronique sur échantillons pulmonaires lors d’autopsies, ont été réalisées sur des patients décédés du COVID-19, mais une étude du Lancet a remis en cause l’origine virale des structures photographiées, considérant qu’il s’agissait de réticulum endoplasmique, de corps multi-vésiculaires, ou de vésicules enrobées. Les peroxysomes, les lysosomes et exosomes, sont comparables à certaines photos de « virus ». (Annexe 1, 2, 3). Toutes les structures nommées sont présentes dans TOUTE cellule normale!

3. Pathogénicité étudiée sur des souris transgéniques, exprimant le récepteur ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), étant donné que ce récepteur aurait joué un rôle important pour le SARS-CoV en 2003.

Après inoculation intra-nasale, AUCUNE souris décédée. Une étude publiée a testé la pathogénicité en inoculant des singes par voie intra-nasale ou intra-trachéale, MAIS AUCUN singe n’a eu de symptôme.

4. Le séquençage a été réalisé à partir de la séquence brevetée, SANS PROUVER que cette dernière avait causé la pneumonie du 1er patient prélevé. Breveter une séquence génétique, enfiler un scaphandre, travailler sur du « gain de fonction » ne sont pas des preuves de la dangerosité du « virus », JAMAIS testée physiquement sur un humain ! Par contre, psychologiquement, ça marche diaboliquement bien !

Le séquençage nouvelle génération NGS, consiste en la création d’une banque, par fragmentation aléatoire de l’ADN (ou ARN), l’amplification clonale et Polymerase Chain Reaction (PCR), et le séquençage par synthèse, en sachant que la PCR a des limites liées aux amorces, à des erreurs de duplication, à la température d’hybridation, etc.

5. Les anticorps sont recherchés contre la « protéine spike », qui n’est pas isolée, mais modélisée (donc virtuelle) à partir d’images floues, non spécifiques (Annexe 2, 3) :

Au total :

Le « virus SARS-CoV-2 » est isolé selon les critères de virologie « moderne », mais cela :

  • ne prouve pas que la vésicule désignée comme « virus » soit pathologique.
  • ne prouve pas que la séquence génétique recherchée soit responsable d’une maladie.
  • ne prouve pas que l’effet toxique soit lié au seul « virus » et non au milieu de culture.
  • ne prouve pas qu’il existe une maladie contagieuse ou dangereuse pour l’Homme.

Pour l’instant, la preuve la plus fiable de l’existence du « virus SARS-CoV-2 » est celle-ci :

Il serait temps que les représentants politiques des Français, DÉPUTÉS et SÉNATEURS, demandent aux virologues, généticiens, infectiologues, et microbiologistes des PREUVES ÉCRITES de la responsabilité du « virus SARS-CoV-2 » dans le COVID-19, avec mise à disposition de tous, d’une liste d’études scientifiques publiées, revues par des pairs :

A) où une photographie du « virus SARS-CoV-2 » a été prise au microscope électronique sur échantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de COVID-19, sur échantillons nasopharyngés de personnes saines, ainsi que sur échantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de maladies inflammatoires pulmonaires (et non sur cellules de singe, dites Véro), afin de déterminer si cette structure photographiée est spécifique ou non de la COVID-19.

B) où la culture pure du « virus SARS-CoV-2 » a été réalisée sur des cellules humaines pulmonaires, associée à une réplication virale importante du « virus SARS-CoV-2 ».

C) où l’effet cytopathique (ECP) du « virus SARS-CoV-2 » avec son milieu de culture est statistiquement supérieur à l’ECP obtenu avec le milieu de culture seul. (Etudes dont la méthodologie statistique est détaillée, et dont la composition du milieu de culture utilisée est rigoureusement identique entre le groupe avec « virus » et le groupe « contrôle »).

D) où la pathogénicité étudiée sur les cobayes par inhalation du « virus SARS-CoV-2 » a entrainé un essoufflement.

E) où la séquence génétique du « virus SARS-CoV-2 » a été recherchée chez plusieurs patients atteints de COVID-19, chez plusieurs personnes saines ainsi que chez plusieurs patients atteints d’une autre maladie inflammatoire pulmonaire, afin de déterminer si cette séquence génétique est spécifique ou non de la COVID-19.

Si les scientifiques français arrêtaient de TWITTER (annexes 1, 2, 3) et se décidaient à fournir les PREUVES SCIENTIFIQUES, que PERSONNE n’a pu encore obtenir, cela éviterait alors que des recherches « inutiles » d’autres causes possibles du COVID-19, notamment électromagnétiques, chimiques et biologiques, ne soient débutées…

[NDLR Voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus,
dont les suivants qui complètent bien celui du Dr Devilléger :
https://nouveau-monde.ca/go-virus-go/ (dans lequel le virologue Stefan Lanka présente le déroulement des procès ayant abouti à la conclusion en cours suprême allemande que le virus de la rougeole n’existait tout simplement pas ou au moins n’avait jamais été isolé et n’était pas responsable de la rougeole).
https://nouveau-monde.ca/demantelement-de-lhypothese-virale/
https://nouveau-monde.ca/confirmation-ecrite-les-scientifiques-ne-peuvent-apporter-aucune-preuve-de-lexistence-dun-virus-pathogene/
https://nouveau-monde.ca/demontage-de-la-theorie-virale/
https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/virus-mania-comment-big-pharma-et-les-medias-inventent-les-epidemies/
https://nouveau-monde.ca/comment-reconnaitre-que-les-virologues-nous-ont-trompes/
https://nouveau-monde.ca/linvention-du-sars-cov-2/
https://nouveau-monde.ca/lenterrement-de-la-theorie-virale/
et Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ? du Dr Alain Tortosa, article qui représente un tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.]




Entre science-fiction et réalité, quand l’Homme joue à Dieu et à l’apprenti sorcier

DES ESSAIMS À DESSEINS

[Source : @Pigeon_Pige-TouT_Traduction]

Toutes les sources :

https://drive.google.com/file/d/11h971-kpDKHwuYMX4sTIGCwUf9UtPisR/view?usp=sharing

Toutes les microscopies des vaccins covid :

https://drive.google.com/file/d/1RBHni2ZuTfC-eXocznlMyjTBBL4gCHV3/view?usp=sharing
[Plus de 17 Go de données comprimées.]

[Contenu de la vidéo]

[Voir aussi :
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?]






Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?

[Source : profession-gendarme.com]

[Note de Joseph : il y avait déjà de fortes présomptions que la Covid avait un lien avec la 5G, en raison notamment de la similarité des symptômes avec certains de ceux produits par les ondes électromagnétiques pulsées, mais la vidéo présentée ici va plus loin dans le « complotisme » et dans l’horreur. Heureusement, elle présente aussi deux solutions qui peuvent offrir de bons résultats (lorsqu’adéquatement mises en œuvre).
Voir aussi les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus]

(Par Profession Gendarme)

Bonjour à tous,

Il y avait longtemps que je n’avais pas troublé votre « quiétude », mais le visionnage de cette vidéo me pousse à vous donner cette information d’une importance capitale pour comprendre ce qu’est le Covid 19 et surtout ce qui se cache derrière.

Après avoir visionné cette vidéo, je comprends mieux certaines réactions passées et surtout actuelles, de plus en plus nombreuses et étranges, comme ces individus qui regardent en l’air tournent sur eux-mêmes avant de s’écrouler et décéder.

Oubliez tout ce qui a été avancé sur le « virus » Covid !!! Il s’agit en fin de compte d’une arme biotechnologique qui est composée de biologie et de nanotechnologie. Il est clairement expliqué que les traitements interdits et sanctionnés en cas de prescription tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont efficaces pour détruire la réplication de la partie biologique, car ce sont des traitements antiparasitaires. Quant à la partie nanotechnologique, les outils permettant son activation sont les antennes 5G et le système Starlink de notre « ami » Elon Musk. Même Robert Malone en prend pour son grade dans cette vidéo.

La bonne nouvelle est que, si la partie biologique peut être détruite par un traitement antiparasitaire (voir ci-dessus), la partie IA (Intelligence artificielle) peut être annihilée par des fréquences. Il s’agit de technologie quantique.

Nous sommes, comme le déclare cette scientifique, face à la transformation de l’humanité en humanoïde sous intelligence artificielle, donc à une volonté d’extinction de l’humanité. Transformation de l’humain, mais aussi, sur commande, décès programmé de la personne infectée via les ondes électromagnétiques.

Il va être urgent que leur projet s’écroule et de détruire tout ce qui a trait à la 5 G et à Starlink dans un premier temps, et de rechercher toute autre cause d’interférence fréquentielle sur l’organisme humain et notamment le cerveau.

https://odysee.com/@WeAreTheDisclosure/le_covid19_n%27est_pas_un_virus_c%27est_un_parasite_IA:1






Trump contre l’État profond : le raid contre le domicile de Trump sera-t-il le Watergate de Biden ?

[Source : strategika.fr]

Alors que les élections de mi-mandat aux États-Unis se rapprochent, ce dossier exclusif fait le point sur l’actualité brulante du conflit qui oppose Trump aux forces déchaînées de l’establishment globaliste aux USA. À lire pour connaître et comprendre les enjeux et les coulisses de cet affrontement crucial, non seulement pour les États-Unis, mais pour l’ensemble de l’ordre mondial contemporain.

Par Michèle Marie

Pour spectaculaire qu’ait été le raid du 8 août dernier contre la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, il ne s’agissait pas d’un fait isolé, mais d’un nouveau maillon dans la longue chaîne des scandales fabriqués par les Démocrates depuis plus de six ans pour effacer de la vie politique jusqu’au souvenir du 45e Président des États-Unis.

Au cours d’une descente sans précédent sur sa propriété, fouillée dans ses moindres recoins, une trentaine d’agents du FBI avaient retourné jusqu’aux tiroirs de lingerie de l’ancienne Première Dame, avant de repartir neuf heures plus tard en emportant deux douzaines de cartons de matériel.

Une fois la première émotion dissipée, se pose la question de savoir si ce raid conduira véritablement à une inculpation de l’ancien président, ou s’il marquera plutôt le début de la fin pour l’actuel résident de la Maison-Blanche.

C’est ce que nous allons essayer d’explorer dans les pages qui suivent.

Un raid d’une brutalité inouïe

Un jour après la descente de plus de 30 agents du FBI sur la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, alors que la nation était encore en état de choc, l’ancien commissaire de police de la ville de New York, Bernard Kerik, s’était ouvert au média « Newsmax » de sa peur que le régime de Biden aille jusqu’à l’assassinat politique pour empêcher une candidature éventuelle de Trump à la présidentielle de 2024 :

« J’entends les gens parler, on dit que les Démocrates veulent tellement sa peau qu’ils pourraient en arriver à l’assassinat. Écoutez, ils ont essayé de le destituer, pas une fois, mais deux fois. Ils ont ouvert contre lui une enquête, et puis une autre. Tout ça tourne autour d’une seule chose : l’empêcher de se présenter en 2024. Je ne suis pas un adepte des théories du complot ni de la rhétorique antigouvernementale. Mais pour la première fois de ma vie, je peux dire que je tremble pour quelqu’un, et je tremble pour Donald Trump. Je n’exclurais pas que ces gens-là l’assassinent. »

Kerik avait également exprimé son inquiétude sur les médias sociaux, rejoignant de nombreux autres Américains qui déploraient que les États-Unis se soient transformés en dictature tiers-mondiste.

L’ancien directeur national du renseignement par intérim, Richard Grenell, dénonça lui aussi le raid dans un tweet :

“Les dictateurs du tiers monde poursuivent leurs ennemis politiques, et Joe Biden se sert [lui aussi] du gouvernement américain comme d’une arme pour atteindre ses objectifs politiques. C’est scandaleux. Et cela crée un terrible précédent”.

Le porte-parole de Trump, Taylor Budowich, déclara que le “raid contre le domicile du Président Trump était un acte sans précédent et que rien ne justifiait”, même si l’on avait “fait circuler des insinuations mensongères pour faire avaler cette mobilisation du gouvernement contre le principal opposant politique.”

Selon certaines rumeurs, par exemple, « des documents classifiés relatifs à des armes nucléaires » auraient été gardés à Mar-a-Lago. « Ce sont des rumeurs bidon », s’était moqué l’ancien président dans une entrevue accordée au Washington Post, « tout comme Russia, Russia, Russia ! avait été du pipeau, et l’enquête de Mueller et tout le reste. Et ce sont les mêmes personnages de bas étage que l’on retrouve ici », avait-il ajouté.

Trump annonça aussi sur sa plateforme de “Truth Social” que les documents emportés “avaient tous été déclassifiés”, qu’il n’y avait “aucun besoin de les saisir”, et qu’en tout cas le FBI “aurait pu les obtenir à tout moment sans politiser l’affaire et sans cette descente sur Mar-a-Lago”.

Obama avait adopté en 2009 un décret exécutif donnant aux présidents américains le droit de déclassifier tout document confidentiel ou secret comme bon leur semblait, sans en référer à qui que ce soit. Le média mainstream « ABC News » avait lui-même reconnu ce droit au président Trump dans un article de 2017 intitulé : « Trump has legal authority to declassify intelligence ».

Le reproche fait à l’ancien président d’avoir eu en sa possession certains documents classifiés était donc dénué de toute pertinence juridique puisqu’il avait le droit de déclassifier sans formalité particulière tous les documents classés secrets qu’il voulait, puis de les emporter chez lui pour y travailler hors du bureau. Trump s’interrogea dans le même message sur le sort que le FBI comptait réserver au 33 millions de pages de documents majoritairement classés secrets, qu’Obama avait emportés à son domicile de Chicago.

Politisation de la Justice et des instances gouvernementales

Certains leaders républicains avaient critiqué la « politisation » du ministère de la Justice et du FBI, et leur « instrumentalisation pour nuire à un opposant ». D’autres déploraient que les États-Unis soient devenus une « république bananière ».

Comme l’expliqua Jonathan Turley, éminent juriste et professeur à la “George Washington University Law School”:

« L’ancien président avait déjà reçu une première injonction et s’y était conformé, puis il a de son plein gré donné au FBI l’accès à un espace de stockage en acceptant d’ajouter un verrou spécial pour le protéger. On ne voit pas bien pourquoi une seconde injonction n’aurait pas suffi pour obtenir d’autres documents tombant sous le coup du Presidential Records Act » [NDT: relatif à l’archivage].

Il y aura très certainement des questionnements sur la pertinence du recours à des méthodes aussi sensationnalistes que ce raid pour obtenir du matériel classifié, surtout à l’approche des élections de mi-mandat. L’administration Biden a organisé maintes fois et sans aucune nécessité apparente des raids musclés du FBI, ainsi que des perquisitions ou arrestations contre Rudy Giuliani, Roger Stone, Peter Navarro et autres associés de Trump.

«  Toutes ces opérations ont été télévisées, alors que le matériel recherché aurait pu être simplement remis sur demande. On ne sait toujours pas si certains de ces raids ont même permis de découvrir des preuves d’infractions pénales et s’ils donneront lieu à des inculpations pour délits au pénal.

Il existe des antécédents documentés de parti pris contre Trump de la part de hauts fonctionnaires du FBI, avec notamment l’utilisation de falsifications ou fausses déclarations pour faciliter une enquête sur un pseudo complot avec la Russie. Ainsi, le procureur général Merrick Garland savait sûrement que ce raid raviverait les soupçons selon lesquels il pourrait s’agir d’un nouvel exemple de ce que Peter Strzok, fonctionnaire congédié du FBI, avait autrefois appelé une « police d’assurance » contre l’accession de Trump à la présidence en 2016 — mais cette fois-ci pour 2024. Pour ce motif, la charge de la preuve est encore plus lourde pour le ministère de la Justice, qui doit démontrer que ce raid constituait une étape vers de véritables poursuites pénales et non pas juste une manoeuvre politicienne ».

Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, fustigea sur Twitter cette perquisition qui représentait « une nouvelle escalade dans le militarisme des agences fédérales contre les opposants politiques du régime, alors que des personnes comme Hunter Biden étaient traitées avec des gants de velours ».

Par ailleurs, comme le fit remarquer le président Trump dans un message publié peu après l’effraction de son domicile :

« Hillary Clinton a pu supprimer et nettoyer à l’acide 33 000 courriels APRÈS avoir été citée à comparaître par le Congrès. Personne, absolument personne ne lui a demandé de rendre compte de ses actes ».

Un article paru dans le média “The Federalist” au lendemain du raid lui faisait écho, bien qu’écrit de la plume d’un journaliste qui n’était pas un de ses fans. Il relevait qu’en juillet 2016, au plus fort de la campagne présidentielle, le directeur du FBI de l’époque, James Comey, avait annoncé les résultats de l’enquête de son agence sur le serveur détruit de Hillary Clinton et ses emails disparus. Malgré sa conclusion qu’utiliser un serveur privé pour l’envoi d’emails professionnels classés secrets était inacceptable pour une secrétaire d’État, et que Hillary avait sciemment mis en danger la sécurité nationale, cette dernière n’avait jamais été inquiétée. Il y avait un contraste flagrant, concluait l’éditorialiste du “Federalist”, entre l’extrême rigorisme du FBI à l’égard de Trump qui, en tant que président, avait le pouvoir de déclassifier tout document selon son bon vouloir, et son extrême laxisme vis-à-vis des agissements manifestement criminels de Hillary Clinton qui, en tant que simple secrétaire d’État, n’avait pas les mêmes prérogatives.

Sans surprise, Twitter s’était mis à suspendre les comptes des utilisateurs qui relevaient l’inégalité de traitement entre Trump et Hillary Clinton par le FBI. Le journaliste Paul Sperry du “New York Post” en fit l’expérience lorsque son compte fut clôturé sans autre forme de procès.

Autre incohérence : le juge Reinhart, qui avait signé le mandat le 5 août, avait autorisé le FBI à effectuer sa perquisition d’ici au 19 août 2022”, délai étonnamment étendu compte tenu des bruits que le DoJ avait fait courir sur des secrets ou codes nucléaires prétendument cachés par Trump à son domicile.

Trump se moqua sur sa plateforme de Truth Social de cette nouvelle insinuation, suggérant que les feds [=fédéraux] qui avaient écarté du site ses avocats et son personnel pour rester seuls à fourrager dans sa maison y avaient peut-être planté les secrets nucléaires qu’ils voulaient y “découvrir”.

Monica Crowley, ancienne fonctionnaire du département du Trésor de Trump, ridiculisa les inspecteurs sur Twitter : « Alors maintenant, ils nous disent que Trump pourrait avoir détenu les secrets nucléaires les plus sensibles de notre nation — mais qu’ils ont attendu un an et demi pour aller les chercher ? Et puis quoi encore ? Qu’il cache des missiles nucléaires sous son lit ? »

À la demande du DoJ [ministère de la Justice], mais également sur insistance de Trump lui-même, le juge d’instance Bruce Reinhart avait décidé de desceller le mandat de perquisition utilisé par le FBI. Trump voulait priver de munitions ceux qui le soupçonnaient de détenir une copie du mandat et d’en dissimuler le contenu. Trump affirma avec emphase qu’il ne faisait pas qu’accepter, mais qu’il réclamait la divulgation du mandat, alors même qu’il devait être rédigé en termes probablement désobligeants pour lui par ses adversaires politiques.

Ce dernier, descellé le 12 août, révéla que l’ancien président “faisait l’objet d’une enquête pour violations présumées de la loi sur l’espionnage, et pour obstruction à la justice”.

Pour corser davantage la sauce, une information émergea selon laquelle le juge Bruce Reinhart, qui avait signé le mandat de perquisition du FBI avait, avant de devenir juge fédéral, défendu des associés de Jeffrey Epstein, le pédophile et prédateur sexuel arrêté sous la présidence de Trump.

Donald Jr. ne laissa pas ce détail croustillant passer inaperçu:

« Si vous croyez vraiment que c’est par coïncidence que l’avocat de Jeffrey Epstein est devenu juge fédéral et, de surcroît celui à qui, entre des milliers d’autres, il reviendrait de signer le mandat de perquisition de Mar-a-Lago, c’est que vous n’êtes pas très attentif à ce qui se passe ! »

Autre détail intéressant : un document portant la date du 18 septembre 2008 et émanant du FBI fit son apparition sur certains réseaux. Il attestait que Jeffrey Epstein, poursuivi par l’État de Floride pour proxénétisme auprès d’enfants, avait conclu une entente sur le plaidoyer en vertu de laquelle il ne serait pas inquiété par la Justice fédérale, s’il acceptait de collaborer avec le FBI en qualité d’informateur. Il bénéficierait de cette immunité pour aussi longtemps qu’il continuerait à respecter son accord avec l’État de Floride.

Certains se souviendront qu’Epstein, lors de sa première condamnation de 2008, s’en était tiré avec seulement 18 mois d’incarcération dans une aile spéciale d’une prison de nuit locale, avec la liberté de rentrer chez lui durant la journée. Peine d’une légèreté sans précédent pour les crimes dont il était accusé. Le juge Reinhart, qui exerçait alors la profession d’avocat, faisait partie de son équipe juridique et avait participé à la négociation de cet arrangement généreux. Celui-ci non seulement épargnait à leur client les peines normalement applicables, mais il protégeait également son entourage ou ses « invités », notamment Bill Clinton et la famille Bush, de poursuites ou même de la moindre enquête.

Onze ans plus tard, Epstein s’était fait prendre pour de bon sous la présidence de Trump. Une de ses victimes, Virginia Roberts Giuffre, avait intenté un procès au gouvernement fédéral en 2015 pour violation de ses droits civils, faisant valoir que l’acceptation d’un accord trop clément pour Epstein en 2008 lui avait permis de récidiver.

La Maison Blanche a ordonné le raid de Mar-a-Lago:

Tandis que le débat faisait rage pour savoir si le FBI n’avait fait que son strict devoir, comme il le prétendait, ou s’il avait largement outrepassé ses prérogatives comme les partisans de Trump et bon nombre d’Américains le soutenaient, un nouveau coup de théâtre éclata, avec l’émergence de documents officiels attestant que la Maison Blanche avait elle-même organisé le raid du 8 août, en collusion avec le DoJ [Ministère de la Justice] et NARA [les Archives nationales].

Ces documents, examinés pour la première fois le 22 août par John Solomon, journaliste du média en ligne “Just the News”, puis aussitôt après par la chaîne grand public “Fox News”, révélaient que Biden avait travaillé directement avec le DoJ et NARA pour ouvrir la voie à une enquête pénale contre le président Trump. Jusque-là, la Maison Blanche avait nié toute connaissance préalable du raid du FBI.

Un dossier remis au tribunal démontrait que, contrairement à ses dénégations, Joe Biden était personnellement impliqué dans le raid et l’avait même “réclamé” depuis le mois de mai. Il avait ensuite apparemment passé deux mois à chercher le juge qui accepterait de signer un mandat de perquisition contre un ancien président des Etats-Unis, et l’avait trouvé dans la personne du juge Reinhart, dont l’antipathie pour Trump était notoire mais que la déontologie aurait dû inciter à se récuser.

Toujours selon ces documents, la Maison Blanche avait en outre discuté de la manière de circonvenir au secret professionnel qui protégeait certains des documents échangés entre Trump et ses avocats, pour pouvoir les saisir.

Les documents remis au tribunal révélaient enfin que la Maison Blanche avait indiqué à NARA qu’il n’y avait pas lieu de respecter le privilège normalement reconnu à un ancien président, en l’occurrence “l’immunité de l’exécutif” du 45e président, et qu’elle-même ne l’honorerait pas.

Le juriste et démocrate grand teint Alan Dershowitz, célèbre avocat et professeur émérite de droit de Harvard, commenta à ce sujet qu’un président en exercice n’avait a priori pas le droit de révoquer ex post facto l’immunité de l’exécutif de son prédécesseur sans son consentement. Cela revenait à vider la notion d’immunité de tout contenu.

Dans la correspondance obtenue par “Just the News”, l’administration Biden soutenait qu’une décision de l’époque du Watergate donnait ce pouvoir au président en place. Mais l’argument était spécieux, car dans l’affaire “Nixon v. Administrator of General Services”, si l’invocation par l’ancien président Nixon de son immunité présidentielle avait été jugée sans objet, c’était surtout parce que Nixon avait été gracié après sa destitution par son successeur, le président Ford. Sa seule motivation en faisant valoir son immunité semblait donc être de préserver ce qui lui restait de réputation auprès du public, avait conclu la Cour, et non le désir d’échapper à des poursuites judiciaires.

Les adversaires politiques du Président Trump ont frappé fort

Il en allait autrement pour Donald Trump, puisque les pénalités pour les violations dont il était accusé pouvaient lui coûter jusqu’à 20 ans de prison, ou même la peine de mort, si l’on parvenait à leur trouver des circonstances aggravantes, notamment en y greffant des éléments empruntés à d’autres affaires pendantes, comme celle du 6 janvier, le rôti que l’on resservait à toutes les sauces depuis bientôt deux ans.

Par ailleurs, dans l’affaire de “Nixon v. Administrator of General Services”, le président de la Cour suprême Warren Burger avait émis un avis contraire à la décision de la Cour. Selon lui, le privilège de l’exécutif de l’ancien président Nixon et la Constitution des États-Unis avaient bel et bien été violés par la loi que le président Ford avait fait voter pour saisir les documents présidentiels de son prédécesseur.

Enfin, dans le cas du président Nixon il y avait eu flagrant délit, donc délit consommé, ce qui n’était pas du tout le cas pour le président Trump, puisque l’administration Biden ordonnait que soient saisis des documents non seulement en l’absence de délit avéré, mais même de “cause probable”, et ce, dans l’espoir hypothétique d’y découvrir quelque chose pour l’incriminer ou, pire, pour nuire à sa candidature politique.

La cause du raid invoquée par le FBI était la récupération de quelque 15 caisses de documents qui devaient revenir à NARA [les Archives Nationales] et qui contenaient, prétendument, des informations de sécurité nationale. Dans le même but, le FBI s’était aussi acharné contre le coffre-fort de Trump sans mandat spécifique, et l’avait brisé, pour le trouver vide.

Aucune injonction de produire n’avait au préalable été envoyée à Trump, que ce dernier aurait refusé d’honorer. Au contraire, lors de la dernière visite du FBI du 3 juin à Mar-a-Lago (qui suivait celle de NARA en février) les feds avaient emporté un certain nombre de dossiers puis demandé que ceux qu’ils n’emportaient pas soient protégés par un verrou spécifique. Ce qui avait été fait.

Au niveau de l’ampleur de la perquisition, on n’y était pas non plus allé de main morte : le mandat, annoncé par le ministre de la Justice Merrick Garland comme étant « de portée limitée », s’était avéré au contraire incroyablement étendu, en violation du 4e amendement. Il stipulait une fouille du complexe entier, c’est à dire « des 58 chambres à coucher et 33 salles de bains de la résidence de Mar-a-Lago », sise dans un domaine de 17 acres (68 800 mètres carrés), ainsi que du « bureau du 45e président, de toutes les aires de stockage et autres pièces ou espaces de la propriété, utilisés ou susceptibles de l’être par l’ancien président et son personnel, de toutes les structures et de tous les bâtiments dans lesquels des boîtes ou des documents pouvaient être stockés. »

Bien que le mandat de perquisition n’ait officiellement été descellé que le 12 août par le Juge Reinhart, le DoJ l’avait auparavant laissé filtrer auprès du trio habituel (“New York Times”“Washington Post” et “Wall Street Journal”). Aussi, des informations diverses et variées circulaient, comme dans un tweet du 12 août de Rebecca Balhaus du “Wall Street Journal”, contre lequel s’insurgea Sean Davis, PDG et cofondateur du média patriote “The Federalist”:

“Moins de 24 heures après que le ministre de la Justice Merrick Garland ait promis de ne divulguer des informations que par le biais de documents officiels déposés devant le tribunal, le ministère dont il a la charge a divulgué de manière anonyme des informations au New York Times, au Washington Post et au Wall Street Journal”.

Le professeur Jonathan Turley s’était également élevé contre cette manière de “plaider par fuites interposées ”.

Enfin, comble de l’indignité, les passeports de l’ancien président avaient été eux aussi confisqués. Le FBI avait tenté de balayer les accusations de Trump, criées sur tous les toits. Il alla jusqu’à les nier sur la chaîne de « CBS News ». Mais un courriel rendu public par le porte-parole de Trump infligea un démenti cinglant à ces dénégations. Le courriel en question émanait de la division de la Sécurité nationale au sein du ministère de la Justice et il confirmait que les agents avaient « saisi trois passeports appartenant au président Trump, dont deux étaient périmés, mais le troisième était le passeport diplomatique dont il se servait ».

Par ailleurs, Trump et certains internautes n’excluaient pas que le FBI ait “planté” du matériel compromettant durant la perquisition. Des antécédents existaient, comme avec l’affaire du Russiagate. D’autant plus que la fouille s’était déroulée en l’absence du propriétaire des lieux et de sa famille et loin des regards de son personnel et de ses avocats, tenus à l’écart.

Trump s’en était plaint sur sa plateforme de “Truth social”“On a demandé à tout le monde de quitter les lieux. Ils voulaient être laissés seuls, sans aucun témoin de ce qu’ils faisaient, prenaient, plantaient même…”

« Pourquoi insister si LOURDEMENT* pour que personne ne les surveille… pour mettre tout le monde dehors ? » avait demandé l’ancien président, soulignant qu’Obama et Clinton n’avaient jamais été perquisitionnés en dépit de leurs énormes casseroles. * [En majuscules dans le texte original].

Un article du 3 septembre paru dans le “Gateway Pundit” lui donna raison en publiant une photo retouchée par le FBI, qui montrait des documents non conformes à l’inventaire, et vraisemblablement rajoutés.

Divulgation de l’affidavit utilisé pour justifier le raid du FBI

Le 26 août, le ministre de la Justice Merrick Garland publia un affidavit fortement expurgé, pour étayer le mandat de perquisition qu’il avait autorisé pour le raid du FBI à Mar-a-Lago. L’affidavit était tellement noirci que les motifs des expurgations présentés en annexe étaient eux aussi caviardés.

C’était le juge Bruce Reinhart qui avait signé le mandat autorisant le raid, tout en déclarant pour la forme que ce mandat était sans précédent. Puis, citant “un intérêt public et historique considérable” qui l’incitait à jouer la transparence, il avait, toujours pour la forme, fait mine de rejeter l’argumentaire de l’administration Biden qui désirait garder l’affidavit scellé.

Mais en fait de transparence, sur les 32 pages que contenait l’affidavit, 11 étaient presque entièrement caviardées et le reste était émaillé de nombreuses ratures.

Un internaute, @ChristoherDiaz1, fit remarquer, goguenard :

« On n’en peut plus de tant de transparence de la part du gouvernement. C’est dur à digérer, toute cette franchise ! »

Un autre blogueur parodia l’affidavit dans un tweet caricatural où tout était noirci sauf la mention que le FBI se préparait à faire une descente sur Mar-a-Lago, la cachette du “vilain bonhomme orange” (sobriquet parfois utilisé pour désigner Trump, en référence à son teint de peau ou à la couleur de son toupet).

“Mandat du FBI — Mar-a-Lago (cachette du vilain bonhomme)”. Signé: “Merrick Garland”.

Trump Jr s’était aussi mis à déblatérer dans une vidéo publiée sur Rumble. Il qualifia la divulgation de l’affidavit de parodie de justice et se moqua bruyamment “des motifs du caviardage”, eux aussi caviardés.

« Ils jouent la transparence juste pour la galerie », s’exclama-t-il, « pour que leurs petits caniches des médias se mettent à s’extasier, mais ils démontrent par leurs actions qu’ils n’en veulent surtout pas ! Pourquoi sinon auraient-ils interdit à nos avocats d’être présents durant la perquisition ?

Et ces mêmes agents du FBI qui ont menti devant le Congrès ont ensuite l’aplomb de venir sur CNN nous faire la morale si on ose les dénoncer? ” s’indigna-t-il.

Dès la publication de l’ersatz d’affidavit, Trump s’était mis à conspuer le Juge Reinhart:

« Le juge Bruce Reinhart n’aurait JAMAIS dû autoriser l’entrée dans ma maison par effraction. Il s’est récusé il y a deux mois dans une des enquêtes me concernant, en raison de son hostilité et de sa profonde antipathie envers votre président préféré : moi », écrivit Trump sur sa plateforme de « Truth Social ». « Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi ne s’est-il pas récusé ici aussi ? Obama doit être très fier de lui en ce moment ! »

En fait de justificatif, l’affidavit n’était que l’énoncé de soupçons fait sur un mode incantatoire, comme s’il suffisait de répéter qu’il y avait cause probable pour que ce soit vrai :

« Nous avons des raisons probables de croire que des documents supplémentaires contenant des informations classifiées NDI [National Defense Information] ou des documents présidentiels soumis à certaines exigences de conservation se trouvent actuellement sur les lieux. Il existe également des présomptions que des preuves d’obstruction y seront trouvées. »

Si le FBI présumait l’existence d’autres documents, pourquoi ne les avoir pas cherchés lors de sa visite précédente ? Il s’était contenté de recommander de mettre sous verrou tout ce qu’il n’avait pas choisi d’emporter, et cela avait été fait. Où était l’obstruction?

L’avocat Alan Dershowitz vola au secours de Reinhart: la colère du public, estimait-il, ne devait pas être dirigée contre le juge pour avoir signé l’ordre de perquisition mais plutôt contre le ministre de la Justice Merrick Garland pour avoir ordonné la descente du FBI.

« Selon le règlement même du DoJ, on n’ordonne pas de perquisition à moins que ce ne soit le seul moyen d’obtenir le matériel recherché », déclara Dershowitz, peut-être en réponse à ceux qui questionnaient les mobiles de Reinhart après qu’il eut été révélé que le juge avait défendu Jeffrey Epstein en tant qu’avocat de la défense en 2008.

Alan Dershowitz, un invité du pédophile Jeffrey Epstein sur son île, avait lui aussi joué un rôle important dans son procès de 2008 en tant que membre de son équipe juridiqueaux côtés de Reinhart. Il avait aidé à choisir Ken Starr, l’avocat vedette qui avait organisé un traitement clément pour Epstein. Ce dernier avait reçu une immunité fédérale contre l’accusation de traite de mineures, comme expliqué plus haut.

Certains craignent un piège tendu à Trump

Trump s’était mis à tonitruer contre le FBI sur sa plateforme de “Truth Social”, l’accusant d’“abus de pouvoir”, de corruption, d’effraction de son domicile où il avait peut-être “planté” des preuves bidonnées pour l’incriminer, ou installé des écoutes, ou encore procédé à la reclassification de documents déjà déclassifiés pour pouvoir ensuite l’accuser de recel de documents non autorisés.

Il affubla même le FBI du nom de “Fascist Bureau of Investigation”, parla de ses “atrocités commises pendant des années”, de “violations inimaginables des lois et des libertés”, de la descente du pays vers un état de non-droit, de fraude électorale, de frontières passoires, de non-exécution des lois, de destruction scandaleuse des institutions…

Joshua Philipp, un journaliste à “Epoch Times”, craignait que ce raid ne soit un piège visant à attiser la colère de Trump pour la retourner ensuite contre lui, et que ses opposants l’utilisent pour l’incriminer ou pour justifier une surveillance accrue des Américains ordinaires, voire des persécutions contre eux, dans le cadre d’une redéfinition élargie de la notion de “terrorisme intérieur”.

Comment, se demandait Joshua Philipp, ne pas s’interroger aussi sur certaines des phrases les plus provocantes de Trump, comme: “Je ne crois pas que le peuple le supportera”, ou: “Combien de temps encore sommes-nous tous censés le supporter ?” Ses partisans les plus radicaux n’y verraient-ils pas une incitation à certaines actions susceptibles d’être qualifiées de “terroristes” par l’adversaire?

On avait vu ce dont la cabale était capable lors de l’incident sous faux drapeau du 6 janvier 2021, que l’on n’avait pas fini d’agiter comme un épouvantail, en faisant allègrement l’impasse sur les saccages considérables causés par les protégés des Démocrates, BLM ou Antifas, dans le sillage de la mort du présumé George Floyd.

Le sénateur Lindsay Graham avait déclaré à Fox News: “Si Trump est inculpé, il y aura des émeutes dans les rues”. Ce commentaire, en apparence sympathique à Trump, contenait probablement plus de fiel que de miel. En effet, Lindsay Graham est un Rino [Republican in name only, un vendu] à la langue fourchue, qui n’en est pas à sa première fourberie. Prédire des émeutes, n’était-ce pas faire le lit d’une future répression de prétendus actes de “terrorisme intérieur”?

La prudence s’imposait donc. D’autant plus, commenta Philipp, que si le FBI avait certainement eu son lot de critiques, jamais de mémoire récente, une personnalité du niveau d’un ancien président américain n’avait accusé des agents fédéraux de commettre des « atrocités », de « s’immiscer avec brutalité et violence » dans la vie politique de la nation et de « détruire » les États-Unis.

« Quand vous attaquez les agents du FBI parce que vous faites l’objet d’une enquête pénale, c’est que vous êtes en train de perdre… »

C’était le tweet mémorable de Sarah Huckabee Sanders, conseillère de la campagne Trump et future secrétaire de presse de la Maison Blanche. Il avait été, en 2016, adressé à Hillary Clinton dont l’antipathie pour le FBI était palpable lors de sa campagne malheureuse contre Trump.

Trump serait-il donc en train de perdre la manche, pour s’en être pris au FBI comme l’avait fait Hillary Clinton, au moment où elle perdait pied?

Pas forcément.

Si Trump fait en ce moment l’objet d’une enquête, comme Hillary autrefois pour le scandale de ses e-mails, il n’en est pas à sa première et il s’en est toujours sorti indemne. Deux tentatives de le destituer ou de le rayer de la vie politique n’ont pas eu raison de sa popularité. Elles ont même eu l’effet inverse. Obama et Hillary Clinton, qui avaient monté de toutes pièces le Russiagate en bidonnant le dossier Steele, ont été discrédités ; l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller s’est soldée par un flop et la preuve de ses mensonges pour le compte de ses commanditaires démocrates vient d’émerger le 26 août dernier ; quant au directeur du FBI, James Comey, il avait terminé sa carrière en disgrâce.

Des enquêtes qui blanchissent systématiquement l’accusé et se retournent contre les accusateurs ne sont pas monnaie courante. Est-il possible de croire à un tel cadeau du ciel, en un Père Noël descendant spécialement sur son traîneau pour décharger sa hotte dans la cheminée de Donald Trump ?

Ou alors assistons-nous plutôt à une série d’événements pilotés en coulisses par une armada de loyalistes patriotes, à pied d’œuvre pour déjouer les pièges de la cabale mondialiste, voire pour les devancer et pour la prendre dans ses propres filets?

Et si c’était Trump qui était en train de piéger le FBI?

C’est l’idée ancrée dans l’esprit de plus d’un. Car il avait suffi d’un raid sur la résidence privée du président Trump pour déclencher une vague de colère contre le FBI, le DoJ [Ministère de la Justice] et le régime de Biden. Les appels à « enquêter sur le FBI et même à le démanteler », qui relevaient jusque-là d’un discours « marginal et périphérique », s’étaient multipliés dans les milieux conservateurs.

Le parlementaire Mike Johnson déplora dans une interview accordée à “Epoch Times” les abus de pouvoir du FBI, facilités par le militarisme du ministère de la Justice sous le régime de Biden, qui avaient ébranlé la confiance des Américains dans leurs institutions politiques.

Le sentiment général était que les agences fédérales avaient fait tomber le masque, ne craignaient plus de se montrer à visage découvert et d’apparaître comme les officines tyranniques et sans scrupules qu’elles avaient toujours été.

Kash Patel, avocat et chef de cabinet du secrétaire américain par intérim à la Défense sous la présidence de Donald Trump, accorda le 23 août une interview de 25 min à l’animateur Nino Rodriguez, sur le thème de la corruption des institutions étatiques et de la crise de confiance des Américains dans leur gouvernement, entrée désormais en phase terminale. Les années où Patel avait occupé les fonctions de procureur à la Sécurité nationale dans l’affaire du Russiagate lui avaient enseigné que lorsqu’on attrapait des agences gouvernementales comme le FBI, le DoJ ou NARA [Archives nationales]) en flagrant délit de mensonge, et qu’elles se mettaient à se rejeter la faute les unes sur les autres, on avait gagné la partie, si on parvenait à éviter d’être pris dans leurs tirs croisés.

« Ça prend un petit peu de temps », commenta-t-il, « car au début les agences font toutes bloc, y compris avec les médias maffieux qui chantent en chœur avec elles. Mais à moment donné, vous arrivez à mettre la main sur la preuve qu’elles ont menti et agi dans l’illégalité et là, ça commence à changer. Au départ, la Maison-Blanche jurait ses grands dieux qu’elle était en dehors du coup, or non seulement on découvre qu’elle est impliquée jusqu’aux yeux, mais encore qu’il était exclu qu’elle ne le soit pas et qu’elle n’ait pas autorisé ce raid. Ces agences ne sont pas encore tout à fait en mode panique, mais on y vient. Quand leurs mensonges seront exposés à la vue de tous, le vent tournera pour elles. »

Patel croyait que les mid-terms [=élections de mi-mandat] joueraient un rôle clé et qu’une fois que les Républicains auraient regagné la majorité, il leur fallait faire marcher la planche à injonctions : ordres de production de documents, citations à comparaître, assignations, etc.. Et si les agences renâclaient ou traînaient la patte, alors le Congrès qui contrôle le budget devait leur couper les vivres:

« Je vous garantis qu’en 24 heures, les documents seront remis. Il n’y a que comme ça que les Américains verront par eux-mêmes la malfaisance de ces agences. Car pour le moment, les mêmes pourris qui ont concocté le Russiagate sont de retour au pouvoir au DoJ, les mêmes qui ont trempé dans les affaires de Hillary Clinton, du laptop de Hunter Biden, etc. sont à pied d’œuvre dans la descente sur Mar-a-Lago. Des gens dont l’objectif final est de barrer la route à Donald Trump ».

Patel était d’avis qu’il fallait les mettre au pas, souligner en rouge leurs abus de pouvoir, ne pas relâcher la pression. Il prédisait qu’on verrait de plus en plus d’agents du FBI devenir lanceurs d’alerte, et qu’il faudrait les soutenir. De vrais lanceurs d’alerte, précisa-t-il, comme il y en avait déjà une douzaine qui avaient surgi récemment. Pas comme ceux du Russiagate, ajouta-t-il dans une allusion au dossier Steele, fabriqué de toutes pièces par un lanceur d’alerte bidon. Le changement ne se ferait pas du jour au lendemain, mais d’après lui la vérité finirait par sortir, comme pour l’histoire de Hunter Biden, où le “New York Post” s’était au début fait censurer par Twitter pour avoir couvert en première page l’affaire de son ordinateur portable, qui était à présent un secret de polichinelle.

« Ces gens-là sautent d’un scandale bidonné à un autre », ajouta-t-il. « Quand l’un ne donne plus de jus, ils passent à un autre, mais ils finiront bien par caler. Nous devons les débusquer sans leur laisser de répit. Je suis persuadé que le raid de Mar-a-Lago est une manœuvre de diversion pour faire oublier les casseroles des Biden, je ne pense pas que cela ira jusqu’à une inculpation de Trump. Ce n’est pas qu’ils ne le veuillent pas, ils aimeraient bien l’arrêter, mais je ne crois pas qu’ils le feront. Je crois qu’il y en a un ou deux parmi eux qui sont un peu plus futés que les autres et qui ont réalisé que… ils font ça et Trump n’a même pas besoin de se représenter en 2024, il est le Président », ajouta-t-il avec un grand sourire entendu. [NDT: allusion à la thèse de la dévolution selon laquelle Trump serait toujours secrètement président et prêt à être ramené par l’armée en cas d’atteinte à la sécurité nationale].

“Ils ont cru que le raid allait le mettre par terre, mais ils se sont bien fait avoir : en fait il n’a jamais été aussi populaire. Les fonds des donateurs affluent et battent tous les records. Sa base électorale est plus dynamique que jamais”, affirma Kash Patel en conclusion.

Le général Flynn, interviewé le 19 août par David Zhang de “Epoch Times”, croyait aussi que la persécution politique incessante à laquelle Trump était en butte l’avait rendu plus résolu à se battre. Lui-même, un général 3 étoiles et directeur de la plus grande agence de renseignements des Etats-Unis, voire du monde [NDT: la DIA ou Défense Intelligence Agency] avait été victime d’une chasse aux sorcières à l’instigation du FBI.

Le peuple américain, qui en avait soupé de tous ces abus du FBI, appelait ouvertement à son démantèlement, car sa confiance était sérieusement ébranlée. Ironiquement, les attaques contre Trump avaient renforcé la popularité de ce dernier et le général fit remarquer que les levées de fonds de la dernière semaine avaient été phénoménales.

Les attaques ne venaient pas, selon Mike Flynn, de Joe Biden ou de Kamala Harris, car “ces deux-là n’avaient pas l’air capables de mettre un pied devant l’autre”, mais d’“éléments qui se tenaient derrière eux”. Ouvrons ici une parenthèse dans le récit pour faire remarquer que Flynn eut deux mois plus tard l’occasion d’expliciter sa pensée, dans un éditorial rédigé le 15 octobre pour le “Western Journal”. Il écrivit que le procès d’Igor Danchenko (Russiagate) avait révélé ce que beaucoup savaient déjà: “le FBI n’était pas seul dans ce complot contre la nation”, ses véritables commanditaires étant le “gang” formé par Obama et Hillary Clinton, qui œuvraient à travers leurs “larbins imbéciles” du département de Justice.

Pour revenir à l’interview de « Epoch Times », Flynn affirma aussi à son intervieweur qu’un président était souverain en matière de classification et de déclassification, et donc que toutes les absurdités qui avaient été débitées à ce sujet n’étaient là que pour faire du bruit. Le président avait aussi droit à un SCF [NT : prononcer skif. Secure Compartment Facility] à son domicile, c’est-à-dire à un endroit protégé où garder ses documents confidentiels pour les consulter. Tellement de choses fausses avaient été dites à ce sujet, s’exclama le général Flynn, c’était vraiment du grand n’importe quoi :

« Si les rumeurs sur un péril nucléaire que ces documents faisaient courir à la nation étaient vraies, vous imaginez-vous qu’ils auraient attendu un week-end entier, entre la date de la signature du mandat un vendredi et celle de son exécution le lundi suivant ? »

La solution à cette succession ininterrompue de drames était entre les mains du peuple américain, pas du gouvernement, estimait le général. La Constitution demandait à “We, the People” d’avoir le courage de ses convictions et de se battre pour elles en s’impliquant dans l’action civique. Elle l’engageait aussi à réclamer des comptes à ses dirigeants.

Les sondages qui avaient succédé au raid sur Mar-a-Lago montraient que les Américains en étaient conscients : la progression de l’ordre de 20 % de la cote de popularité de Trump se lisait en creux comme une motion de censure contre l’action du FBI. L’arrogance des agences de renseignement les mènerait à leur perte, croyait le général qui en avait une connaissance intime :

« Elles se croient invulnérables et c’est leur talon d’Achille. Le peuple doit retourner cette faiblesse à son avantage ».

Mais risquer une inculpation pour piéger l’adversaire, n’est-ce pas jouer avec le feu?

Un internaute n’était guère inquiet :

« C’est vrai, ils veulent que Trump soit arrêté, mais je ne pense pas qu’ils y arriveront. Je ne dis pas qu’ils n’essayeront pas, car ce sont des idiots. Ils veulent vraiment des troubles civils, mais le peuple est trop malin pour se laisser prendre. »

Un autre était encore plus enthousiaste :

« Ha ha ! Je me sens super bien…Trump a toujours deux longueurs d’avance sur la cabale…préparez-vous tous…Trump a toujours dit qu’il allait faire tomber le FBI pourri…ils sont tombés dans le piège…ça va être biblique…Dieu est en train de gagner, nous sommes en train de gagner, le monde est en train de gagner. Trump tient tête à la tyrannie…il est en train de démasquer les tyrans… »

L’avocat et commentateur politique Ben Shapiro se voulait également rassurant. Il n’était pas d’accord avec certains experts qui estimaient, à l’instar de l’ancien procureur fédéral Neama Rahmani, qu’une inculpation empêcherait Trump de se présenter en 2024 et même d’exercer des fonctions politiques:

« Pour votre gouverne, vous qui prétendez que contrevenir à la réglementation sur les documents classifiés empêcherait Trump de se présenter, désolé de vous contredire, mais les sanctions prévues pour ce type d’infraction ne sauraient le disqualifier ni se substituer aux critères d’éligibilité tels que définis par la Constitution ».

L’avocat et professeur de droit Jonathan Turley était plus mitigé. Le raid lui semblait être le prolongement d’une ancienne querelle entre Trump et les Archives nationales au sujet du sort des documents régis par le Presidential Records Act (PRA). Turley avait lui-même témoigné devant le Congrès sur les saisies de Mar-a-Lago et sur le droit qu’avaient les Archives nationales de demander l’intervention du ministre de la Justice pour faire respecter le texte de loi du PRA.

Cela étant dit, le PRA, qui stipulait que les documents devaient [être] conservés par NARA, ne prévoyait pas de mécanismes d’exécution. Par ailleurs, les présidents des administrations précédentes s’étaient toujours cabrés contre les contraintes de cette loi relative aux documents présidentiels et contre l’obligation de divulguer ceux qui se trouvaient en leur possession. Les infractions au régime du PRA ne faisaient que rarement l’objet de poursuites pénales, et les poursuites passées avaient abouti à des peines remarquablement légères: amendes ou emprisonnement inférieur à trois ans.

Nonobstant ce manque de sévérité, des allégations de suppression de matériel classifié pouvaient en principe déclencher l’invocation d’autres violations plus graves ou de circonstances aggravantes. On pouvait citer l’exemple de l’ancien directeur du FBI, James Comey, qui avait emporté des documents du FBI classés sous le sceau du secret mais avait ensuite divulgué des informations les concernant à la presse. Et pourtant, malgré ces circonstances aggravantes, il n’avait pas été poursuivi. Autre exemple, l’ancien directeur de la CIA et général quatre étoiles à la retraite David Petraeus, qui avait été accusé d’avoir partagé des informations classifiées avec sa maîtresse, Paula Broadwell. Malgré la gravité des faits qui lui étaient reprochés, Petraeus avait également bénéficié d’un généreux arrangement sans peine de prison.

Cibler Trump pour une affaire de PRA susciterait à coup sûr des interrogations sur la nécessité d’un tel raid, estimait le Pr Turley, à plus forte raison s’il était possible d’exiger la production des documents saisis par d’autres moyens, et surtout si près des élections de mi-mandat. Ceci dit, des accusations au pénal demeuraient théoriquement possibles, selon lui, malgré l’optimisme excessif affiché dans certains milieux.

Le professeur Alan Dershowitz déclara quant à lui au « New York Post » qu’il y avait suffisamment de preuves mentionnées dans l’affidavit caviardé du FBI pour inculper l’ancien président Donald Trump : « N’importe quel grand jury de Washington D.C. inculperait Trump s’il est prouvé qu’il était en possession de matériel en violation de la loi ». Mais Dershowitz mettait néanmoins le ministère de la Justice en garde contre la poursuite de cette affaire : « Obtenir un mandat de perquisition n’est pas difficile : un grand jury est même capable d’inculper un sandwich au jambon. C’est justement pour ça que nous devons toujours exercer notre pouvoir discrétionnaire dans la poursuite des affaires ». Il citait à l’appui de son analyse l’impuissance de l’enquête sur Trump à passer ce qu’il appelait les « tests Nixon et Clinton ». C’est-à-dire l’impuissance à établir un large appui bipartite comme dans le cas de Nixon, et l’incapacité à démontrer que la conduite de Trump était pire que celle de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton dans le scandale des e-mails classifiés.

Le risque existe donc, en principe du moins. L’inculpation de Trump a été réclamée par le New York Times dans un réquisitoire qui constitue un véritable monument d’hypocrisie : pour le “Times”, Trump avait commis une “attaque sans précédent contre l’intégrité de la démocratie américaine”, ce qui appelait une “enquête criminelle sur ses malversations post-électorales” et sur ses tentatives de subvertir la Constitution et la volonté du peuple américain.

Puisqu’un risque semble exister, la question qui se pose est: vaut-il la peine d’être pris? Le raid aura-t-il été utile pour faire avancer le plan d’“assèchement du marécage”, selon la promesse électorale faite par le candidat Trump en 2016?

Le jeu en valait-il la chandelle?

Il semble que l’on puisse répondre par l’affirmative. Et ce, pour trois raisons principales :

1- Un test utile de loyauté

Trump, bien avant le début de son engagement politique, alors qu’il n’était qu’un entrepreneur new-yorkais d’une quarantaine d’années, avait confié à Charlie Rose, journaliste de la chaîne PBS :

« Un jour, j’aimerais peut-être tout perdre pendant un certain temps, pour découvrir qui est loyal et qui ne l’est pas. En fait, j’ai compris que ce n’était pas quelque chose qu’on peut deviner à l’avance, ni prédire. Vous croyez parfois que certaines personnes vous seront loyales quoi qu’il arrive, et puis il s’avère que non. J’ai traversé une période de deux ans qui n’a vraiment pas été facile. Tout à coup, le monde semblait toucher à sa fin. C’était une expérience surréaliste. J’aurais parié ma vie sur certaines personnes, mais elles n’ont pas été là pour moi… Ce n’est pas quelque chose que l’on peut prévoir, c’est très difficile. Ça m’a beaucoup appris sur moi-même et sur les autres. »

La leçon de vie que Donald Trump avait apprise est qu’il fallait être sur le point de tout perdre, ou presque, pour pouvoir juger de la loyauté de son entourage. C’est quand on est au plus bas que les gens se dévoilent. Subir une descente des services secrets sur son domicile quand on a été président des États-Unis est à n’en pas douter un coup dur pour la dignité. Et pourtant… à condition de garder le contrôle de la situation, n’est-ce pas le prix à payer pour voir les “créatures du marais” sortir une à une pour s’acharner sur vous? Quand on s’appelle Donald Trump et qu’on est l’auteur de deux best-sellers: “The Art of the Deal”, et “the Art of the Comeback”, la question ne se pose même pas.

Pour ne citer que lui, son vice-président Mike Pence l’avait trahi, selon toutes les apparences, en ne s’opposant pas à ce que le Congrès certifie les résultats de l’élection présidentielle le 6 janvier 2021. Il était pourtant au courant de la fraude. Et voici qu’après le raid du 8 août, Pence récidivait en donnant, au Collège “Saint Anselm”, une conférence aux membres du parti républicain [GOP] au cours de laquelle il défendait le FBI en disant qu’il fallait arrêter de lui tomber dessus au sujet de ce raid contre la propriété de Trump.

Il s’attira les foudres de Steve Bannon, analyste politique proche de Trump, qui le qualifia de “traître dégoûtant”.

2- Appâter l’adversaire pour l’inciter à agir dans le sens voulu

Comment attrape-t-on un poisson ? Avec un appât. Trump a appâté les traîtres pour les faire sortir de l’ombre et s’avancer vers lui. Avec l’affaire des documents secrets de Mar-a-Lago, il a attiré les “créatures du marais” hors de leur bourbier. Dans une guerre irrégulière, on ne s’attaque pas directement à ses ennemis, on les appâte. Trump les a attendus, bien calé dans son fauteuil : il avait tous les documents qu’il lui fallait contre eux, puisqu’il avait procédé avant son départ de la Maison Blanche à des déclassifications massives, mais il voulait que tout se déploie étape par étape pour les laisser s’incriminer par eux-mèmes, et que chacun de leurs mouvements les fasse s’enfoncer davantage.

Or, sentant qu’ils n’avaient plus beaucoup de temps — car c’était un plan de 16 ans (8 ans d’Obama, et 8 de Hillary) qui tirait à sa fin — les malfrats allaient trop vite en besogne, ils avaient lancé tous leurs agendas simultanément: Russiagate, le Covid, la fraude électorale, le 6 janvier, le climat, l’Ukraine, l’économie, les pénuries, le raid du FBI… Ce qui devait faciliter leur regroupement, pour le coup de filet final.

Dans leur précipitation, ils ont accumulé les erreurs. Dans le raid du 8 août, ils ont violé des règles de procédure, remué de fond en comble les tiroirs de lingerie de Melania, brisé un coffre sans mandat…

Trump les attendait au tournant. Voici ce qu’il avait laissé dans le coffre-fort vide : “Merci d’avoir joué. La partie est finie.”

Ce raid anticonstitutionnel ne peut que se retourner comme un boomerang contre ses instigateurs, en les exposant. Comme le dit ce tweet publié par un supporter, citant un mot que l’on a prêté à Trump :

« Mon retour ne sera pas ma vengeance, il sera leur punition. »

Les caméras de vidéo surveillance de Mar-a-Lago avaient en outre filmé le raid, ainsi que le moment où le coffre-fort avait été cassé par la force. Trump et famille avaient pu tout visionner depuis New York en temps réel, avec les irrégularités qui avaient été commises. Eric Trump avait déclaré sur Fox News que sa famille était “absolument” décidée à diffuser la vidéo.

Trump avait sans tarder engagé des poursuites contre le FBI et le DoJ, en invoquant le 4ème amendement, qui prévoit que :

« Ne sera pas violé le droit à être protégé dans sa personne, sa maison, ses papiers et ses effets, contre les perquisitions et les saisies abusives, et aucun mandat ne sera délivré, sans cause probable, et sans être étayé par un affidavit décrivant avec précision le lieu à perquisitionner et les personnes à appréhender ou objets à saisir. »

L’affidavit caviardé ne satisfaisait ni à l’une ni à l’autre condition.

Par ailleurs, Trump réclama aussi la nomination d’un “Special Master” ou expert indépendant pour examiner de manière objective les documents saisis lors de la perquisition exceptionnellement étendue de sa propriété.

La nomination de “Special Masters” se fait de manière routinière pour rassurer l’opinion publique sur l’existence d’un examen impartial et répondre aux questions difficiles et non résolues liées aux documents collectés. Leur rôle est complémentaire de celui du tribunal, en cela qu’ils aident à établir un dossier sur lequel le juge pourra se prononcer.

Or le ministre de la Justice Merrick Garland, qui avait pourtant admis que le FBI avait peut-être saisi des documents protégés par le secret professionnel, commença par s’opposer farouchement à la requête de Trump, comme s’il redoutait que quelqu’un d’autre que ses petits copains du DoJ et du FBI ne puisse mettre le nez dans ce dossier.

Trump, qui savait probablement que le raid allait avoir lieu, avait malicieusement laissé traîner dans un des cartons un numéro du “Time Magazine”, au titre évocateur : “Toc, toc !” Il avait aussi placé 48 chemises vides étiquetées “Classé secret”. Trump jouait au chat et à la souris avec les fédéraux en leur mettant sous le nez des chemises ayant vraisemblablement contenu des informations accablantes sur des affaires dans lesquelles ils avaient trempé. Il se doutait que, pris de panique, ils accumuleraient les erreurs pour en retrouver le contenu.

Ces dossiers vides avaient fait leur effet. Le Washington Post, citadelle de l’Etat profond, publia la photo ci-après, tout en posant la question en gros titre: “Ce que nous savons de Trump et des chemises vides”.

Le 5 septembre, un tribunal fédéral infligeait un camouflet à Garland, en déférant à la requête de Trump de nommer un “Special Master” pour trier et départager les documents saisis par le FBI, et en ordonnant aux procureurs d’arrêter de les utiliser comme pièces a conviction jusqu’à ce que leur statut juridique soit tranché. Autre camouflet, la juge Aileen Cannon dénonçait le refus préalable du département de Justice de reconnaître à l’ex-président Trump l’immunité de l’exécutif. Enfin, en pages 2 et 3 de sa décision, la juge révélait que le régime de Biden n’avait pas fait qu’organiser, mais qu’il avait bel et bien ordonné le raid du FBI aux fins de saisir les documents conservés à Mar-a-Lago.

La frénésie invariablement suscitée par tout ce qui a trait à Trump explosa avec une virulence particulière à l’annonce de la nomination d’un “Special Master”. La juge Cannon fut même accusée de faire entrave à la bonne marche de la Justice.

Et le DoJ contesta immédiatement son ordre au motif qu’empêcher l’exécutif d’examiner ces documents par lui-même causerait “un préjudice immédiat et sérieux au gouvernement et au public”. Il demandait à la juge un moratoire sur une partie de sa décision afin que le gouvernement puisse examiner les dossiers en interne, avec la participation du FBI, avant que le “Special Master” ne se prononce sur leur statut.

Laurence Tribe, un professeur à Harvard (celui-là même qui avait récemment demandé que Trump soit accusé de tentative de meurtre contre son ancien vice-président Mike Pence), alla jusqu’à dire que l’ordre de nommer un maître spécial pour examiner de manière indépendante les documents saisis constituait un abus du pouvoir judiciaire.

Le Pr Jonathan Turley commenta dans un éditorial que c’était au contraire le ministère de la Justice qui avait sérieusement abusé de sa position en prétendant qu’un examen indépendant ne pouvait en aucune manière être une menace pour la sécurité nationale, tout comme le DoJ s’était moqué du monde en publiant un affidavit caviardé.

Les avocats de Trump, en réponse aux objections du DoJ, déclarèrent que le moratoire réclamé revenait à « préjuger du résultat » de l’examen par le master spécial et que le PRA [Presidential Record Act relatif à l’archivage] donnait en tout cas à Trump un droit d’accès plein et entier à ses dossiers présidentiels, même s’il était entendu qu’il « n’en était pas propriétaire ». Les avocats en profitèrent pour marteler qu’une transparence totale, et non point seulement de façade comme pour l’affidavit caviardé, devait être observée dans la gestion de cette affaire.

Le ministre de la Justice Garland menaça la juge Cannon de faire appel de sa décision si elle persistait à ne pas lui accorder le moratoire demandé, et il mit sa menace à exécution le 8 septembre, montrant à quel point le gouvernement était hostile à l’idée qu’une tierce partie puisse mettre le nez dans sa tambouille.

Mais considérant l’importance d’une enquête lancée contre un ancien président des États-Unis, la Cour tomba d’accord avec le principal intéressé, pour décider qu’elle devait être conduite de manière publique, au vu et au su de tous.

3- La publicité sert la stratégie de Trump

Le raid et ses nombreuses péripéties ont d’abord eu le mérite d’attirer l’attention du public sur des documents relatant des faits que la presse mainstream refusait de couvrir, et dont le public ignorait jusqu’à l’existence. Et à présent, le pays entier regardait.

CNN releva le fait que Trump avait lui-même annoncé la perquisition, torpillant par lui-même son droit au secret de sa vie privée, afin d’orchestrer une tempête politique et discréditer le FBI. S’il est difficile de parler de secret et de vie privée quand un commando de 30 feds débarquent chez vous avec des voitures de police tous feux allumés, sur le reste, CNN n’avait pas tort.

Trump n’avait en tout cas pas une mine de chien battu, c’était le moins qu’on puisse dire. Plutôt le panache d’un acteur dramatique déclamant sa partition en amplifiant les moments forts pour l’édification du public.

“Ce n’est pas là un simple pion qui se meut sur l’échiquier. Plutôt quelque chose d’intermédiaire entre une tour et une reine”, commenta avec justesse le journaliste de CNN, Stephen Collinson.

Trump est connu pour ses talents de joueur d’échecs. On dit même de lui qu’il joue sa partie en 4D. Ce terme n’est pas agréé dans le monde des échecs (comme l’est celui de 3D), mais il est utilisé métaphoriquement en politique pour désigner quelqu’un dont les réactions imprévisibles déroutent mais dont on devine qu’il sait néanmoins où il va.

En fait, tout se passe comme si Trump (et les militaires patriotes qui l’ont poussé dès 2014 à se présenter) voulaient entraîner l’Etat profond là où le monde pouvait le voir pour ce qu’il était vraiment.

Acculé, celui-ci recourt de plus en plus aux méthodes autoritaires pour essayer de reprendre le contrôle de la situation, et fait tomber les masques dans sa précipitation. Alors que son modus operandi était l’infiltration et la “soft power”, il s’appuie de plus en plus sur la répression et la force policière. Lorsqu’on perd le contrôle du peuple, il ne reste plus qu’à aboyer pour le faire obéir et c’est ce qui se passe actuellement.

Des personnages clés de l’entourage de Trump ont fait l’objet de ce qui a été qualifié de “purge”: 50 perquisitions ou arrestations ont été ordonnées, dans le sillage du raid du FBI, contre les avocats Rudy Giuliani, Sidney Powell et Jenna Ellis, et contre les loyalistes Peter Navarro, Mike Lindell et bien d’autres …

Cet acharnement montre que l’Etat profond est en perte de vitesse. Il ne peut plus, comme avant, s’appuyer sur les “Fake News”, sur les médias mainstream qui étaient son moulin à propagande, car la mayonnaise ne prend plus; CNN est en train d’être “droitisé”par l’installation d’un nouveau PDG ; Big Tech ne fonctionne plus comme avant: Facebook rase les murs suite à des révélations publiques qu’il s’est fait avoir par le CDC au sujet des vaccins, et il envisage même de reprendre Trump pour faire patte blanche… Quand faire le gentil avec Trump devient synonyme de bonne conduite, c’est que les choses sont en train de changer.

Bref, toute l’infrastructure que l’Etat profond avait mise en place depuis des décennies est en train de s’écrouler. Certes pas à la vitesse de la foudre, mais à un bon rythme, qui va en s’accélérant.

L’État profond et les traîtres de Washington D.C. sont en panique et vont trop vite en besogne, car ils savent ce qui les attend. Si le peuple se réveille avant qu’ils n’aient pu se débarrasser de Trump, c’en est fait d’eux et de leur échafaudage de mensonges, qui s’effondrera comme un château de cartes, y compris pour ce qui a trait à la fraude électorale et à la fausse pandémie. Car tout était lié. Ils avaient besoin du vote à distance pour pouvoir frauder avec les machines à voter et installer leur pantin Biden. Or pour imposer le vote à distance, ils avaient besoin du Covid, qui n’était pas prévu pour si tôt. Il est arrivé en avance de deux ans sur le calendrier. Ils avaient également besoin du Covid pour confiner et tirer l’économie vers le bas, ce qui réduirait les chances de réélection de Trump. Puis, comme il s’avérait un adversaire plus coriace qu’ils n’avaient anticipé, les affaires bidonnées se sont multipliées pour le destituer. Comme le dit cette légende humoristique sous la photo de Trump vu de dos:

« Trump a été déclaré coupable lorsqu’il a été élu, et tout au long des six années qui ont suivi, ils étaient à la recherche de son crime. »

Mais il les a pris de vitesse : il a contourné le DoJ et le FBI, bien trop corrompus pour en attendre quoique ce soit de valable, en déclassifiant tout avant de quitter le Bureau ovale. Tous les documents protégés par le sceau du secret, tous les secrets inavouables que l’État profond essayait de camoufler, seraient ainsi portés à la connaissance du public, sans avoir à passer par le crible des bureaucrates du gouvernement. Tout ce qui avait trait à la création de la Fed, à l’assassinat de John F Kennedy, à l’attentat du 11 septembre, aux extra-terrestres, au Sida, à Ebola, au MERS, au SARS-Cov1, à Benghazi, aux emails de Hillary Clinton, à Pizzagate, à l’État islamique, à Burisma et à l’Ukraine, au Covid-19, à Russiagate, à la fraude électorale, au 6 janvier, à l’ordinateur de Hunter Biden et aux malversations de la famille Biden, aux réseaux pédocriminels, etc., etc..

Timothy Charles Holmseth, journaliste d’investigation et membre de l’équipe du Pentagone pour la lutte contre la pédophilie, publia le 30 août sur “Truth Social” et sur son site web, un billet intitulé “le président Trump tient le FBI et le DoJ par les bonbons.

Trump aurait en effet en sa possession des documents soumis à la justice américaine, établissant que le FBI et le DoJ sont co-conspirateurs dans une affaire autrement plus sinistre que celle du Russiagate, puisqu’ils exploiteraient ensemble une entreprise de racket et de trafic international d’enfants.

Pour citer Honoré de Balzac :

« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements. »

Avec ces documents déclassifiés, témoins de cette histoire secrète et honteuse, Trump détient de puissants leviers de pression sur les “créatures du marais” et elles le savent. D’où leurs tentatives désespérées de mettre la main dessus et de les examiner en interne, entre amis, pour les faire passer à la trappe.

Le « Special Master » réclamé par Trump s’inscrit dans la même optique de publicité. Il y a un mois, le juge Raymond Dearie a été nommé pour servir de « Special Master » pour l’examen du matériel saisi par le FBI. C’était a priori une bonne nouvelle, car ce juge avait eu à connaître de près les irrégularités du FBI dans une affaire antérieure. Dearie ne figurait pas sur la liste des maîtres spéciaux recommandés par le ministère de la Justice, mais ce dernier avait néanmoins accepté la recommandation de l’équipe de Trump en raison de son « expérience des juridictions fédérales » et de sa réputation de « juriste exemplaire et intègre ». La juge Cannon n’avait pas subi de pressions pour rejeter Dearie comme si un loyaliste de Trump avait été recommandé. À l’annonce de sa nomination, Dearie avait même été félicité par les ennemis de Trump.

Il y avait également un bénéfice lié au calendrier. En mettant fin à l’enquête du FBI sur Trump et en remettant le dossier à un maître spécial qui examinerait l’affaire (il n’y a pas de limite de temps légale pour la publication des conclusions de ce dernier), la Cour avait effectivement porté un coup d’arrêt au plan de l’État profond, qui était de mettre Trump en accusation avant les élections de mi-mandat. La juge Cannon a demandé à Dearie de terminer son examen des documents d’ici le 12 décembre et de présenter, entretemps, des rapports et des recommandations intérimaires.

L’équipe de Trump a cependant essuyé un revers car le DoJ, qui avait fait appel au niveau fédéral du moratoire de la juge de district Cannon, a eu gain de cause : le FBI pouvait désormais reprendre son examen des documents marqués secrets, parmi les 11.000 emportées de Mar-a-Lago. Il n’y a pas eu moyen de les laisser entre les mains de Dearie, car si Trump ne s’était pas privé de clamer qu’il avait tout déclassifié, l’information n’avait pas été versée par ses avocats à son dossier. Dearie n’avait pas réussi à les persuader de déclarer officiellement que ces documents avaient bel et bien été déclassifiés par l’ancien président avant de quitter la Maison Blanche. Leur objection était que cela reviendrait à divulguer prématurément l’un des moyens juridiques que leur client pourrait être amené à utiliser au cas où “une” inculpation avait lieu. Les avocats n’avaient pas spécifié de quelle(s) inculpation(s) il pouvait s’agir.

« La position du gouvernement part du principe que si un document est marqué confidentiel, il le reste indépendamment de toute action du président Trump pendant son mandat », avaient déclaré les avocats à la Cour, arguant que le président jouissait d’une « autorité absolue en matière de déclassification, » et que « ce n’était pas à un rond de cuir assis à son bureau à brasser de la paperasse, et qui tenait son autorité du président, de lui délivrer des autorisations chaque fois qu’il voulait déclassifier un document pour l’emporter chez lui et y travailler. »

Ce à quoi Dearie avait rétorqué qu’ils“ne pouvaient pas avoir le beurre et l’argent du beurre”. Il leur fallait décider dans quel lit juridique ils voulaient se coucher. S’ils refusaient d’indiquer clairement le statut de ces 103 pages, Dearie les traiterait comme étant des documents classés secrets.

En dépit de la jubilation du camp adverse, qui vit dans cette apparente déconvenue une défaite propre à rabattre le caquet à “ce Trump qui se croyait tout permis”, Trump avait le droit pour lui. Même Bloomberg avait reconnu, à contrecœur, dans un article de 2017 que ce privilège du président des États-Unis était choquant, mais conforme à la loi:

« Le président a l’autorité que lui confère la Constitution de déclassifier toute information à sa guise. En d’autres termes, les lois fédérales qui criminalisent la divulgation de secrets classés ne s’appliquent pas à lui. L’autorité de qualifier des faits ou des documents de “secrets” revient au président en sa qualité de commandant en chef. »

Pour Mark Levin, juriste constitutionnaliste, le FBI n’avait aucun moyen de justifier sa descente chez Trump. C’était un un abus de pouvoir manifeste puisque tout président des Etats-Unis avait indiscutablement le droit, prévu dans la Constitution, de déclassifier n’importe quel document et de l’emporter chez lui comme bon lui semblait. Selon lui, ce raid était un prétexte cousu de fil blanc pour faire une razzia chez Trump, farfouiller en son absence afin d’emporter de quoi l’incriminer dans l’affaire du 6 janvier, qui était passible de sanctions bien plus lourdes qu’une simple histoire de documents à archiver. Une affaire de documents emportés, qu’ils soient déclassifiés ou pas, ne pouvait jamais, au grand jamais, donner lieu à l’ouverture d’une enquête pénale contre un président, et du reste elle n’aurait jamais pu être diligentée aussi promptement. Les litiges relatifs à la conservation de documents officiels par d’anciens présidents donnaient généralement lieu à de longues négociations avec NARA, s’étalant sur plusieurs années, mais jamais à des raids du FBI pour les récupérer dans un laps de temps de seulement 18 mois.

Du reste, s’il y avait eu de véritables soupçons de détention de matériel posant un quelconque risque sécuritaire, le mandat aurait été bien plus spécifique, commenta Levin. On ne rédige pas un mandat de perquisition en termes aussi généraux quand on cherche quelque chose de précis. Enfin, estimait-il, un même procureur était en charge des deux dossiers, celui du 6 janvier et celui du raid de Mar-a-Lago, et ce fait seul devait interpeller.

Non, Trump n’a pas été piégé. Il n’est pas stupide. Il a peut-être lui-même provoqué le raid en faisant courir la rumeur qu’il conservait à Mar-a-Lago des documents très importants.

Pour mieux saisir son modus operandi, il convient de se poser une simple question : pourquoi son ministre de la Justice William Barr n’avait-il pas fait leur affaire aux feds quand il était en poste et que Trump avait déjà toutes les preuves contre eux ? Pour laisser à Merrick Garland, au ministre de la Justice de Biden, le soin de le faire. Non seulement parce que cela serait mieux perçu, mais aussi pour tromper l’état profond, pour les laisser s’enfoncer toujours plus, et faire voir au public ce qu’ils étaient vraiment. Une ruse de guerre classique consiste à se mettre en avant, s’arranger pour se faire accuser afin de pouvoir contre-attaquer pour se défendre, en retournant l’accusation contre l’adversaire.

Cela permettait aussi de faire coup double et de mettre en cause simultanément le FBI et le DoJ pour abus de pouvoir, au cas où Garland ne faisait pas son devoir en disciplinant le FBI.

Vu sous cet angle, le revers infligé par la victoire en appel de Garland est probablement une opportunité de plus pour Trump de démontrer la mauvaise foi du DoJ. Trump prend donc son temps et donne l’impression de quelqu’un qui connaît déjà l’issue de la partie, ce qui lui permet d’avancer ses pions sans affolement. S’il peut se permettre de rester serein, s’il semble avoir le temps pour lui, c’est qu’en définitive, il doit avoir sa base couverte:

D’abord, les documents que le DoJ lui a repris comme étant toujours marqués secrets, ne lui feront pas défaut puisque le 7 septembre, un second jeu lui a été remis par le journaliste Timothy Holmseth, de l’équipe de lutte anti-pédophilie du Pentagone. Ce dossier intitulé “Crimes contre l’humanité” contient les déclarations faites sous serment devant un tribunal du Minnesota par la lanceuse d’alerte et ancienne victime Jessie Marie Czebotar.

Holmseth publia la nouvelle simultanément sur son site et sur la plate-forme “Truth Social” :

« Le président Trump reçoit des preuves de crimes contre l’humanité :

#OPERATIONALERTDONALDJTRUMP a REMIS les déclarations sous serment de Jessie Marie Czebotar, intitulées “Crimes contre l’humanité” au président Donald J. Trump par l’intermédiaire de son avocat Lindsey Halligan.

De ce fait, même si le FBI a saisi ces documents lors de son cambriolage de la maison de Trump, un JEU complet de copies est désormais entre les mains de ce dernier.

Mme Czebotar me les a remises et m’a autorisé à les publier.

#OPERATIONALERTDONALDJTRUMP entre maintenant dans sa 2ème étape.”

Ces documents ayant été personnellement remis à Trump, ils échappent aux contraintes susceptibles de peser sur les documents présidentiels, et rien ne s’oppose donc à leur divulgation.

Dans une interview accordée à Nino Rodriguez, Jessie Czebotar s’est exprimée sur le litige qui continue d’opposer l’équipe juridique de Trump et le gouvernement, autour de la question de savoir qui a juridiction sur cette centaine de documents, classés secrets selon le gouvernement, déclassifiés selon Trump. Mais au-delà de cette querelle de classification, certains documents ne pouvaient jamais, selon elle, être classés secrets, de par leur nature même. C’était le cas des crimes contre les enfants, qui devaient toujours faire l’objet de divulgations. Les documents qui avaient été remis au président Donald J. Trump tombaient dans cette catégorie.

En second lieu, que Trump parvienne ou pas à faire examiner par Dearie ces documents emportés par le FBI (au nombre de 103 pages), il faut avoir à l’esprit que le “Special Master” n’était pas pour Trump une fin en soi, mais une mesure qui lui avait permis de gagner du temps et de passer le cap des mid-terms, tout en donnant aux documents contestés un début de publicité. Mais Trump vise en fait leur divulgation devant la plus haute juridiction. Jessie Czebotar estime elle aussi qu’il faudra une juridiction plus importante qu’une Cour fédérale pour connaître des crimes décrits dans ces documents scellés, et que le FBI cherchait à récupérer (selon une version non expurgée de l’affidavit déposée auprès du tribunal). Car ce sont des crimes transnationaux, a-t-elle dit, de nombreux leaders politiques et membres de maisons royales y sont impliqués. Elle spéculait que la levée judiciaire des scellés sur ces documents risquait fort de donner le coup d’envoi à des déclassifications massives et à grand retentissement.

Le 5 octobre dernier, Trump a justement réclamé l’intervention de la Cour suprême dans le conflit qui l’oppose au ministère de la Justice.

« Dans ce qui était à la base un conflit de stockage de documents, mais qui a par la suite dégénéré, le gouvernement a cherché à tort à criminaliser la possession par le 45e président de ses propres documents présidentiels et personnels », ont écrit ses avocats.

Trump continue d’affirmer que certains de ces fichiers sont protégés par le secret professionnel avocat-client, ou par l’immunité présidentielle. D’autres sont des documents personnels qui n’auraient jamais dû être saisis, comme son testament et son accord prénuptial.

Comme pour apporter de l’eau à son moulin, des registres décrivant le contenu des centaines de documents confisqués par le FBI ont brièvement été mis en ligne sur le site de la Cour il y a deux jours, apparemment par erreur, avant d’être effacés. Trump s’est plaint que des dossiers protégés par le secret professionnel ou le privilège de l’exécutif n’auraient jamais dû être exposés sur la place publique.

Samedi dernier, 15 octobre, la Cour suprême que Trump avait saisie a déclaré refuser d’intervenir dans cette affaire. Ce revers s’ajoute à une décision antérieure de la Cour d’appel du 11e circuit de retirer les cent pages litigieuses d’entre les mains de Dearie et de rétablir l’accès du DoJ au reste des documentsLe DoJ s’est empressé de faire un second appel dans la foulée, cette fois contre la désignation même d’un “Special Master”, montrant qu’il ne voulait à aucun prix d’un examen public des documents saisis à Mar-a-LagoIl sera intéressant de voir comment Trump compte s’y prendre pour forcer la Cour suprême à y mettre le nez. Son équipe juridique a jusqu’au 10 novembre pour présenter sa réponse. Il y a fort à parier que le remue-ménage actuel dans l’enquête sur l’ordinateur de Hunter Biden fera effet de levier…ou de détonateur. Les médias grand public ont commencé à évoquer ouvertement la destitution probable de Joe Biden, en lien avec les affaires véreuses de son fils en Chine et en Ukraine.

Un autre avantage de la publicité donnée au raid est qu’elle a accéléré les ralliements de lanceurs d’alerte, et non des moindres. Deux semaines après le raid, quatorze agents du FBI qui déclaraient ne pas être d’accord avec leur hiérarchie avaient fait défection. Le mouvement se poursuit et s’amplifie.

Thibault, l’agent spécial du FBI qui avait lancé l’enquête contre Trump, a été renvoyé et escorté hors du quartier général du Bureau, après avoir été soupçonné par le Congrès de parti pris dans son enquête sur l’ordinateur portable de Hunter Biden et sur le président Trump. Des dénonciateurs l’accusaient d’avoir caché au directeur du FBI Christopher Wray et au ministre de la Justice Merrick Garland le caractère partisan des preuves contre Trump, pour les persuader d’ouvrir une enquête contre l’ancien président. Cette enquête avait culminé avec le raid du FBI contre la propriété de Trump à Mar-a-Lago.

D’autres démissions ont suivi, d’agents accusant la direction locale du FBI de leur avoir donné comme consignes de ne pas mettre le nez dans l’ordinateur de Hunter Biden ni dans les résultats de l’élection présidentielle de 2020.

Un membre de la famille Biden y était aussi allé de ses dénonciations: Hallie, la veuve du fils aîné de Joe Biden, Beau, qui avait eu une liaison avec le fils cadet, Hunter. Le 29 août dernier, elle publiait le message suivant sur un compte Twitter ouvert le même jour:

« Au milieu de tous les derniers drames et scandales entourant mon ex Hunter, je voulais juste dire que je fais officiellement mon coming out en tant que républicaine et supporter de Donald Trump + je suis prête à dire ma vérité, quoi qu’il en coûte. Je sais des choses sur cet ordinateur portable et sur cette famille, qui choqueront le public. »

Suivait une série d’autres tweets tout aussi stupéfiants, tous datés du 29 août.

« J’ai personnellement entendu mon ex beau-père à la Maison-Blanche parler de lancer un raid contre le président Trump. Joe savait tout. Tout. »

« Et Obama en personne a dit que le FBI a planté ces documents à Mar-A-Lago. Ils veulent arrêter Trump pour espionnage, car ça peut chercher jusqu’à la peine de mort. La Maison-Blanche a explosé de joie quand le raid a eu lieu. Ils veulent le faire disparaître. »

« Il y a déjà un acte d’accusation prêt, ils prévoient de déployer la Garde nationale pour réprimer toute agitation. Mais mon beau-père a demandé une retransmission télévisée, à l’échelle nationale, de Trump traîné hors de Mar-A-Lago menotté, et il est en train de préparer sa conférence de presse. »

« Le mot de code qu’ils ont utilisé était “Snowden”. Ils veulent faire subir à Trump le traitement de Snowden et c’est ce qui est dans les actes d’accusation descellés. Il ferait mieux de quitter le pays et vite. La Russie n’extrade pas…Trump est mon héros. »

« Le président Trump a gagné cette élection et toute ma famille le sait. »

« La presse dissimule également les graves problèmes de santé de mon beau-père. Le plan est de permettre à Kamala d’être nominée en 2024. Trump me manque et je ne parle plus à aucun des membres de ma famille à cause de ce que Jill fait subir à Joe. »

D’autres tweets avaient trait au rôle joué par Jill Biden et Obama dans la fraude électorale, le plan de désarmement des Américains, ou donnaient des détails salaces sur la vie privée de Hunter Biden, des Obama, des Clinton, et sur la pédophilie de Joe Biden. Elle affirmait ne plus être en relation avec sa belle-famille dont elle était dégoûtée. Le compte fut suspendu deux jours plus tard par Twitter, mais le fil complet archivé peut être consulté sur cette page de “Citizen News”.

Les fact-checkers sont accourus pour affirmer qu’il s’agissait d’un faux, car le compte exprimait un “sentiment pro-Trump” explicite, et que Hallie Biden n’avait pas de compte Twitter, selon une porte-parole de la Fondation Beau Biden, interrogée pour la circonstance.

Si elle n’en avait pas un avant le 29 août 2022, il n’était pas exclu qu’elle ait pu en ouvrir un ce jour-là pour faire son déballage, jusqu’à sa suspension par Twitter deux jours plus tard. Par ailleurs, la Fondation Beau Biden a une réputation plus que douteuse qui la décrédibilise d’emblée. Établie après la mort de Beau, le seul élément sain de la famille Biden, pour lutter contre la pédophilie, ce qui déjà fait sourire venant d’une famille qui a la la pédophilie inscrite dans son ADN, elle n’avait affecté en 2020 que 550.000 $ des 4 millions recueillis à sa mission proclamée.

En revanche, les détails donnés dans les tweets et repris sur un compte Telegram ouvert le 30 août cadrent bien avec des faits qui sont de notoriété publique. On peut aussi assez facilement imaginer que Hallie, veuve de Beau Biden — qui avait entamé une liaison avec son beau-frère Hunter avec la bénédiction de Papa Joe, avant de découvrir en 2018 que son « fiancé » la trompait avec sa propre sœur Elizabeth, et qu’il avait de plus débauché sa fille de 14 ans — ait eu envie d’en découdre publiquement avec la « saga sordide » de cette famille. Et il est plausible, même si ce n’est pas prouvé, que le raid du FBI ait pu jouer le rôle de catalyseur dans sa défection. Après tout, Ashley, la propre fille de Joe Biden, avait ouvert la voie avec la publication de ses Mémoires dans lesquels elle levait le voile sur certains aspects de son enfance troublée, notamment l’insistance de son papa à vouloir prendre des douches avec elle…

Plus de nouvelles de Hallie sur la toile depuis la clôture de son compte Twitter, si c’est bien d’elle qu’il s’agissait. En revanche, depuis deux jours, cela chauffe sérieusement pour Hunter Biden. Une enquête ouverte contre lui en 2018 a été réactivée. Les médias à grande circulation comme le “NY Post”“Fox News”, et même ceux de gauche comme “Yahoo News” et le “Washington Post” affichent en gros titres que “des e-mails, textes et photos choquants pourraient envoyer Hunter Biden dans une prison fédérale,” et que : “l’issue de cette affaire vieille de plusieurs années pourrait être imminente”. Joe Biden ne manquera pas d’en être éclaboussé, lui dont le nom a été mêlé aux malversations de son fils.

Un dernier détail permet de penser que le raid ne se terminera pas bien pour Biden : sa date. Le 8 août est une date hautement symbolique, fatidique même : c’est un 8 août que le président Nixon démissionnait, suite au scandale du Watergate.

Coïncidence ou petit clin d’oeil de l’histoire? Petit clin d’oeil de Trump, plutôt, qui a lâché le mot de Watergate dès le 8 août, ce qui est en soi remarquable, dans un message en trois parties, envoyé sur les réseaux sociaux, qui annonçait la couleur comme suit :

« À Watergate, des agents s’étaient introduits par effraction dans les locaux du Comité national démocrate. Ici, ce sont des démocrates qui se sont introduits dans la maison du 45e président des États-Unis ».

Il a ensuite parlé des enjeux…

« Je me suis battu contre la corruption bureaucratique de l’Amérique, j’ai redonné le pouvoir au peuple, et je me suis engagé à fond pour notre pays, comme personne avant moi. Le système a détesté. À présent qu’on voit les candidats que j’ai soutenus remporter de belles victoires, et qu’on me voit en tête des sondages, on essaie une fois de plus de me barrer la route, ainsi qu’au Parti républicain ».

L’épilogue était un appel à la fin de la persécution dirigée contre sa personne et une allusion à son retour à une position de leadership sur la scène politique américaine :

« L’anarchie, la persécution politique et la chasse aux sorcières doivent être dénoncées et stoppées.

Je continuerai à me battre pour le grand peuple américain !”

Le raid du FBI n’a pas fini de faire des petits. Il est vraisemblable qu’il précipitera la chute du régime de Biden et enclenchera le processus de démantèlement de la cabale mondialiste au pouvoir aux États-Unis et ailleurs dans le monde.