Extrême dangerosité des tests PCR

[Source : LMDR]



[Voir aussi :
Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR]




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

crime contre lhumanitégrand juryhistoire et géopolitiquereiner fuellmichtribunal




Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Le test COVID est une immense arnaque !

[Source : #LigneDroite]






Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence !

Par Nicole Delépine

EXIGEONS DE CONNAÎTRE LE CONTENU COMPLET DE CE PROJET DE LOI ET INFORMONS LES ÉLECTEURS LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE.

Pétition flash pour connaître le contenu du projet de loi covid du 22/06 avant les législatives – Les Patriotes (les-patriotes.fr)

Olivia Grégoire, la porte-parole du gouvernement, a annoncé le 8 juin un nouveau projet de loi portant sur la gestion de l’épidémie de Covid-19. Celui-ci sera présenté en Conseil des ministres le 22 juin, avant une première lecture au Sénat annoncée dans la semaine du 11 juillet. Avec ce texte présenté en Conseil des ministres le 22 juin, le gouvernement veut « être en mesure d’intervenir si nécessaire, avec la mise en place de mesures de freinage si la situation ».

Pourquoi passer une loi qui prévoit d’autoriser de nouveaux confinements ou d’autres mesures liberticides et inefficaces alors que rien ne le justifie, car depuis qu’Omicron a immunisé une grande partie de la population le nombre de malades est infinitésimal ?

Qu’y a-t-il dans ce projet de loi Covid 6/22 qui nous attend trois jours après le deuxième tour ?

Relayez, partagez la pétition, car Florian Philippot a raison, moins les députés Macron seront nombreux, plus le gouvernement aura du mal à imposer la poursuite et le renouvellement des mesures liberticides de l’état d’urgence.

Voici ce que dit le site des Patriotes à ce propos :

« À la surprise générale, le 8 juin dernier, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a annoncé l’arrivée en Conseil des ministres le 22 juin prochain d’un nouveau projet de loi Covid.
Ce projet de loi, dont le contenu reste largement mystérieux, vise dans sa philosophie à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui doit s’arrêter le 31 juillet prochain.

Il est inadmissible que les électeurs français ne connaissent pas précisément le contenu de ce projet de loi qui va toucher leur vie quotidienne et leurs libertés avant le 19 juin, c’est-à-dire avant la date du second tour des élections législatives, qui vont être déterminantes ! »

Ce projet sera sur la table des conseils des ministres, annoncé par la porte-parole le 8 juin 2022, le but du projet de loi est clairement la pérennisation par la loi des mesures de l’état d’urgence.

Dans ce but Olivia Grégoire fait croire à un léger retour du virus :

« nous en profitons et nous profiterons pour rappeler la quatrième dose et les mesures coercitives, et éventuellement légiférer à nouveau. »

Alors que tout cela est mensonger. Il n’y a pas de quatrième, septième ou vingt-cinquième vague ! Et de toute façon nous savons que les injections de rappel sont inefficaces (on ne compte plus les quadri-injectés malades comme tout récemment la reine Elizabeth) et dangereux (voyez l’état de Céline Dion ou Bieber)(([1] Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) les traitements précoces multiples pour traiter les patients éventuels.

La propagande de la presse aux ordres :

« un léger retournement de tendance »

« hausse de l’incidence »

« nous en profiterons pour rappeler la 4e dose (sic !), les gestes barrière que nous ne devons pas oublier… »

Contenu : « portant l’ensemble des mesures qui ont vocation à tomber naturellement au 31 juillet (loi du 11/11/2021) » C’est donc bien la pérennisation de l’état d’urgence que Macron veut nous imposer !

Les médias aux ordres ont traduit :

« retour en force possible des restrictions covid » « le covid 19 refait surface en France »(([2] Covid-19 : comment expliquer le rebond épidémique en France ? (europe1.fr) ))

« Après deux mois de baisse, le nombre de cas positifs au Covid-19 semble bien repartir en France. Selon Santé publique France, l’épidémie a commencé ces derniers jours à rebondir avec une reprise des contaminations. En moyenne 23 000 personnes ont été testées positives au Covid par jour cette semaine. La moyenne était de 18 000 il y a tout juste 10 jours. Certaines régions sont plus touchées. Par exemple la Corrèze où l’on recense 283 cas pour 100 000 personnes ». 1.850 cas pour 100 000 habitants en Martinique.

Cela reste bien loin du taux d’incidence dans les outre-mer. En Martinique il y a 1 850 cas pour 100 000 habitants. Pour l’instant, on ne ressent pas d’impact dans les hôpitaux, puisqu’il y a toujours un décalage de deux à trois semaines entre la hausse des contaminations et les entrées à l’hôpital ». Via Europe n° 1.

Donc, ils font tout pour relancer l’inquiétude ; c’est la phase de terreur décrite par Laurent Toubiana et qui doit succéder à la phase de sidération normale devant une épidémie qui a eu lieu et qui est maintenant terminée.

Ils recommencent à mentir, car il n’y a aucun rebond de l’incidence !

Laurent Toubiana donne chaque semaine les vrais chiffres de la maladie cette semaine sur https://covid.irsan.eu

Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

Les chiffres de « contamination » brandis par la propagande médiatique sont totalement trompeurs, car ils sont fabriqués à partir du test PCR qui, lorsqu’il est positif chez un asymptomatique, ne prouve ni qu’il est porteur du virus, ni qu’il est, ni qu’il sera malade, ni qu’il peut contaminer quiconque.

Ce fait scientifique a été formellement reconnu par le tribunal de la chambre d’appel de Lisbonne qui a exigé la libération immédiate de touristes mis en quarantaine sur la foi en ce seul test. (PROCESSO N.º 1783/20.7T8PDL.L1-3 covid Tribunal da Relação de Lisboa Data11 de novembro de 2020)(([3] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/))

La fréquence des faux positifs lors du dépistage d’asymptomatique atteint en effet 97 %.(([4] Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Van Hoang T, Colson P, Raoult D, La Scola B. Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction-Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates. Clin Infect Dis. 2021 Jun 1;72(11):e921. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Erratum in : Clin Infect Dis. 2021 Nov 2;73(9):1745. PMID : 32 986 798 ; PMCID : PMC7543373.))

La FDA elle-même a demandé qu’un test plus spécifique le remplace et le 20 janvier 2021, l’OMS l’a reconnu(([5] https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users)) en pesant soigneusement les termes de ses recommandations.

Seul compte le nombre de « malades » effectifs, ceux qui souffrent de symptômes (fièvre, toux, difficultés respiratoires…) Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

DANS LE MÊME TEMPS, L’OMS CONVOQUE UNE RÉUNION POUR STATUER SUR L’« ÉPIDÉMIE VARIOLE DU SINGE »

L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! quelle coïncidence !

Et même temps, l’UE a prévu une pérennisation du certificat européen(([6] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire (occitanie-tribune.com) ))

Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire

Par Parlement Européen, le 15 juin 2022

Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022

Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.

Lundi soir, les équipes de négociation du Parlement et du Conseil ont conclu un accord visant à prolonger le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE — dont la validité arrive à expiration le 30 juin — d’une année supplémentaire.

Avec cette prolongation, les législateurs de l’UE souhaitent garantir la liberté de circulation(([7] Humour de rigueur ? et non malheureusement.)) des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant.

Les négociateurs ont convenu que les États membres devraient s’abstenir d’imposer des restrictions supplémentaires à la libre circulation des titulaires du certificat. Les États membres ne seront autorisés à le faire que si ces restrictions sont nécessaires, proportionnées et non discriminatoires, dans le but de préserver la santé publique.

Les députés ont tenu à ce qu’une clause soit ajoutée, demandant à la Commission d’évaluer si le dispositif est toujours nécessaire au bout de six mois (fin 2022), en se fondant sur l’avis scientifique du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et du comité de sécurité sanitaire (CSS). La Commission devra alors également publier un bilan décrivant toutes les évolutions du certificat au niveau national et international. Le dispositif devrait ensuite être abrogé dès que la situation épidémiologique le permettra.

Prochaines étapes

L’accord informel devra désormais être officiellement approuvé par le Parlement et le Conseil afin d’entrer en vigueur le 30 juin, date à laquelle le dispositif actuel prend fin. Le vote en plénière est prévu lors de la session des 22 et 23 juin à Bruxelles. »

Parlement Européen (15-06-22)

#actualites #Europe

Là encore les députés européens mentent ce n’est pas pour« garantir la liberté de circulation des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant » qu’ils veulent prolonger leur Certificat COVID, mais au contraire pour interdire aux non injectés de circuler !

Alors qu’en aucun pays du monde les pass n’ont montré qu’ils pouvaient limiter les contaminations

Ces trois évènements couplés, projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France, réunion de l’OMS et prolongation du certificat européen prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur, alternant virus, guerre, famine ou autre chose.

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce théâtre mondial, refusent en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Dans l’immédiat, pour sauver nos libertés faisons tout pour que Macron n’ait pas de majorité.




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

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25. Hope JR.rédacteurs. Mort subite par « sort chaud »—Dr. Michael Yeadon tire la sonnette d’alarme. La revue du désert. 2022. p.

26. Huff E. Un médecin de l’Idaho signale une « augmentation de 20 fois » du nombre de cancers parmi les personnes « vaccinées » contre le covid. https://www.naturalnews.com/2021-09-14-idaho-doctor-20times-increase-cancer-vaccinated-covid.html [dernière consultation le 6 février 2022].

27. Ioannou P, Karakonstantis S, Astrinaki E, Saplamidou S, Vitsaxaki E, Hamilos G. Transmission de la variante B1.1.7 du SRAS-C0V-2 parmi les agents de santé vaccinés. Infect Dis. 2021. p. 1-4

28. Interview de James Thorpe par le Dr Steve Kirsch. Rumble https://rumble.com/vru732-dr.-james-thorp-on-medical-censorship.html [dernière consultation le 06 février 2022].

29. Jiang H, Mei YF. La protéine de pointe SARS-CoV-2 altère la réparation des dommages à l’ADN et inhibe la recombinaison V(D)J in vitro. Virus. 2021. 13: 2056

30. Jimenez JVigdor N. Covid-19 news : Plus de 150 employés d’hôpitaux du Texas sont licenciés ou démissionnent pour des mandats de vaccination. https://www.nytimes.com/live/2021/06/22/world/covid-vaccine-coronavirus-mask [Dernier accès le 06 février 2022].

31. Katz E. Postal demande une exemption temporaire du mandat de vaccin ou de test de Biden. https://www.govexec.com/workforce/2022/01/postal-service-seeks-temporary-exemption-bidens-vaccine-or-test-mandate/360376 [dernière consultation le 6 février 2022].

32. Kennedy R. éditeurs. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. Édition Skyhorse ; 2021. p. 24-29

33. Kennedy RF.editorsp. 24-25

34. Kennedy RF.éditeurssp. 26-30

35. Kennedy RF.editorsp. 32

36. Kennedy RF.éditeurssp. 35-56

37. Kennedy RF.editorsp. 47-56

38. Kennedy RF.editorsp. 135

39. Kennedy RF.editorsp. 217

40. Lee M. Université de Floride trouve des agents pathogènes dangereux sur le masque facial des enfants. NTD https://www.ntd.com/university-of-florida-lab-finds-dangerous-pathogens-on-childrens-face-masks_630275.html [dernière consultation le 6 février 2022].

41. Liu Q, Wang RS, Qu GQ, Wang YY, Liu P, Zhu YZ. Rapport d’examen brut d’une autopsie de décès Covid-19. Fa Yi Xue Za Zhi. 2020. 36 : 21-23

42. Loffredo J. Entièrement vaccinés sont les « super-épandeurs » de Covid, déclare l’inventeur de la technologie de l’ARNm. https://childrenshealthdefernce.org/defender/justin-Williams-Robert-Malone-fully-vaccinated-covid-super-spreaders [Dernier accès le 6 février 2022].

43. Marik PE, Kory P, Varon J, Iglesias J, Meduri GU. Protocole MATH+ pour le traitement de l’infection par le SARS-CoV-2 : le rationnel scientifique. Exp rev Ant-infectieux Ther. 2020. p.

44. McCullough P, Kelly R, Ruocco G, Lerma E, Tumlin J, Wheeland KR. Base physiopathologique et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19). Amer J Med. 2021. 134 : 16-22

45. McCullough P.éditeurs. Étude : Les travailleurs de la santé entièrement vaccinés portent 251 fois la charge virale et constituent une menace pour les patients non vaccinés, Collègues. p.

46. ​​McCullough P. « Nous sommes au milieu d’une catastrophe biologique majeure » : l’expert Covid, le Dr Peter McCullough. https://www.lifesitenews.com/news/were-in-the-middle-of-a-major-biological-catastrophe-top-covid-doc-mccullough/?_kx=9EtupqemhhFXJ1kgCo9W3xUNfwrkqB5nT7V2H15fUnA%3D.WXNMR7 [Dernier accès le 06 février 2022].

47. McGovern C. Des milliers rapportent avoir développé des tumeurs anormales à la suite de coups de Covid. 1er novembre 2021 https://www.lifesitenews.com/news/thousands-report-developing-abnormal-tumors-following-covid-shots [Dernier accès le 6 février 2022].

48. Mercola J. Bill Gates et Anthony Fauci : un partenariat « formidable et néfaste ». https://childrenshealthdefense.org/defender/rfk-jr-the-real-anthony-fauci-bill-gates [Dernier accès le 6 février 2022].

49. Moffatt B, Elliott C. Ghost Marketing : Entreprises pharmaceutiques et articles de journaux écrits par des fantômes. Persp Biol Med. 2007. 50 : 18-31

50. Mulvany C. éditeurs. Covid-19 aggrave la faillite des hôpitaux à risque. Association de gestion financière des soins de santé. 2020. p.

51. Muoio D. Combien d’employés les hôpitaux ont-ils perdus à cause des mandats de vaccination ?. https://www.fiercehealthcare.com/hospitals/how-many-employees-have-hospitals-lost-to-vaccine-mandates-numbers-so-far [dernière consultation le 6 février 2022].

52. Nalivaeva NN, Turner AJ, Zhuravin IA. Rôle de l’hypoxie prénatale dans le développement cérébral, les fonctions cognitives et la neurodégénérescence. Neuroscience avant. 2018. p.

53. Nicole Sirotek partage ce qu’elle a vu en première ligne à New York. # Meurtre. https://rumble.com/vt7tnf-registered-nurse-nicole-sirotek-shares-what-she-saw-on-the-front-lines-in-n.html [Dernier accès le 6 février 2022].

54. Noether MMat S. Avantages de la fusion des hôpitaux : points de vue des dirigeants d’hôpitaux et analyse économétrique. Janvier 2017 https://www.aha.org/guidesreports/2017-01-24-hospital-merger-benefits-views-hospital-leaders-and-econometric-analysis [dernière consultation le 6 février 2022].

55. Témoignage de l’infirmière Colette Martin devant la Chambre des représentants de la Louisiane. https://www.youtube.com/watch?v=cBwnIRUav5I [dernière consultation le 6 février 2022].

56. Infirmière Dani : Ce sont les protocoles hospitaliers Covid-19 qui tuent les gens. https://rumble.com/vqs1v6-nurse-dani-its-the-covid-19-hospital-protocols-are-killing-people.html [dernière consultation le 06 février 2022].

57. La clinique Parpia R. Mayo licencie 700 employés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid-19. https://thevaccinereaction.org/2022/01/mayo-clinic-fires-700-employees-for-refusing-to-get-covid-19-vaccinations [dernière consultation le 6 février 2022].

58. Pomara C, Li Volti G, Cappello F. Morts du Covid-19 : sommes-nous sûrs qu’il s’agit d’une pneumonie ? S’il vous plaît, autopsie, autopsie, autopsie !. J Clin Med. 2020. p.

59. .éditeurs. Post Editorial Board Facebook admet la vérité : les « vérifications des faits » ne sont qu’une opinion (de gauche). Poste de New York. p.

60. DG de Rancourt. Le masque ne fonctionne pas. Une revue de la science pertinente à la politique sociale covid-19. https://archive.org/details/covid-censorship-at-research-gate-2 [Dernier accès le 06 février 2022].

61. Redshaw M.éditeurs. Alors que les rapports de blessures après les vaccins Covid approchent le million de dollars. CDC, FDA clear Pfizer, boosters Moderna pour tous les adultes. p.

62. Roche D. éditeurs. Les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés du mandat de vaccin de Biden, Newsweek 9/10/21 Boston Herald Editorial Staff. Éditorial : Les élites politiques exemptées des mandats vax. Boston Herald. 2021. p.

63. Ross E. Comment les tactiques de relations publiques des sociétés pharmaceutiques faussent la présentation de la recherche médicale. https://www.theguardian.com/science/2011/may/20/drug-companies-ghost-writing-journalism [dernière consultation le 6 février 2022].

64. Saul S. Ghostwriters utilisés dans les études sur le Vioxx, dit l’article. 15 avril 2008 https://www.fpparchive.org/media/documents/public_policy/Ghostwriters%20Used%20in%20Vioxx%20studies_Stephanie%20Saul_Apr%2015,%202008_The%20New%20Times.pdf [dernière consultation le 06 février 2022] .

65. Saxena V. Doctors perd sa licence médicale. Ordonné d’avoir Psych Eval pour Ivermectin Scrits, partageant la « désinformation » de Covid. Disponible sur : https://bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-orderedto-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharining-covid-falsehoods-1189313. [Dernier accès le 06 février 2022].

66. Schwab K, Malleret T. éditeurs. La pandémie de Covid-19 et la grande réinitialisation. Forum Publishing 2020 Forum économique mondial. Cologny/Genève : p.

67. Le sénateur Ron Johnson sur les blessures causées par le vaccin Covid-19 aux sujets testés. https://www.youtube.com/watch?v=6mxqC9SiRh8 [dernière consultation le 6 février 2022].

68. Sperhake JP. Autopsies du Covid-19 décédé ? Absolument!. Méd. Juridique 2020. p.

69. Svab P.éditeurs. Pic de décès non Covid chez les Américains âgés de 18 à 49 ans. The Epoch Times. p.

70. US Medical, Scientific, Patient and Civic Organization Funding Report: Pfizer: Fourth Quarter 2010. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/responsibility/grants_contributions/pfizer_us_grants_cc_q4_2010.pdf [Dernier accès le 6 février 2022].

71. Vivek Saxena. Les médecins perdent leur licence, ont reçu l’ordre d’avoir une évaluation psychologique pour les scrits d’ivermectine, partageant la « désinformation » de Covid. https://www.bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-ordered-to-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharing-covid-falsehoods-1189313.

72. Westendorf AM. L’hypoxie améliore l’immunosuppression en inhibant la fonction des lymphocytes T effecteurs CD4+ et en favorisant l’activité des Treg. Cell Physiol Biochem. 2017. 41 : 1271-84

73. Wood PM.rédacteurs. Technocratie : la route difficile vers l’ordre mondial. édition cohérente ; 2018. p.

74. Wood PM.rédacteurs. Technocratie en hausse : le cheval de Troie de la transformation mondiale. édition cohérente ; 2015. p.




Législatives : des candidats ont répondu FORMELLEMENT OUI à la réintégration des soignants

Trop peu de candidats dénoncent le martyre des soignants suspendus. Il nous semble possible, si chaque citoyen envoie ce questionnaire aux candidats de sa circonscription, de préciser quels sont les candidats susceptibles d’améliorer la situation de l’hôpital et d’embarrasser la majorité présidentielle et ses alliés félons responsables de son état catastrophique ! 

Ce questionnaire est tiré de l’article de Nicole Delépine :

https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/020622-programme-sante-et-reintegration-des-soignants-au-coeur-des-preoccupations-des-francais-dr-nicole-delepine/

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-candidats-deputes-sur-les-mesures-urgentes-a-prendre-en-matiere-de-sante/

Quelques candidats ont répondu positivement et méritent d’être soutenus :


Comme Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Karine Dubarry <karine.dubarry.01@orange.fr>

« Candidate sur la 3e circonscription de l’Ain je réponds à votre questionnaire ci-dessous : mes réponses les plus sincères (oui à chaque question).

J’ai rencontré des collectifs anti pass, anti vacc, solidarité et vendredi les infirmières en colères à bourg

Je suis très préoccupée par tous ces sujets, je suis contre l’obligation vaccinale, contre le pass sanitaire et vaccinal, je ne suis pas vaccinée moi-même et trouve intolérable la façon dont a été traité le personnel hospitalier. Des sacs poubelles quand ça arrange et dehors quand ça répond plus à leurs demandes

J’ai vu avec beaucoup d’inquiétudes passer la porte de mon agence de travail temporaire, des infirmières qui ne pouvaient plus exercer et qui me demandaient de travailler à l’usine. Une catastrophe la gestion de notre gouvernement et l’obligation de vacciner nos enfants.

Bref, mes réponses ci-dessous. Merci pour ce contact. Bien à vous

Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI INADMISSIBLE

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI et avec une augmentation d’ailleurs

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

Question n° 10

Paierez-vous à la hauteur de leur investissement les médecins et les soignants en général ? OUI

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI plus de moyens !!! plutôt que des économies


Naoual Hamzaoui

Envoyé le : mercredi 8 juin 2022 20:58
Objet : réponses Questions

« Reconquête vient de me faire parvenir votre mail. Je suis à 200 % pour le soutien du personnel soignant.

Malheureusement Madame Borne qui se présente dans ma circonscription 6, dans le Calvados va gagner pour laisser sa place à son suppléant. Bien évidemment je ferai tout pour l’hôpital. Cordialement » V Dupont 0683875815

Outlook-1pfs04yl.png

“Madame,

Je suis Naoual Hamzaoui, candidate pour le Mouvement de la Ruralité. LMR

Sur la 3ème circonscription du Val-de-Marne (94), nous avons le grand hôpital de Villeneuve-Saint-Georges. J’ai pu visiter les urgences de l’hôpital et en effet le constat est lourd de sens. L’hôpital est malade ! Nous manquons cruellement de soignants. Les services d’urgence sont saturés. Le personnel hospitalier est fatigué. Tout ça, au détriment des patients. 

Le Mouvement de la Ruralité vous soutient et sachez que nous sommes proches de vous et de la réalité du terrain. Je souhaite un aboutissement positif dans vos requêtes ! Le 12 juin prochain, je compte sur vous pour faire entendre nos voix”

Bien cordialement Naoual Hamzaoui

La réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

2 juin 2022 Nicole Delépine DICTATURE SANITAIRE 4

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à 
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ


Mickael Guettier, candidat dans le calvados et ses réponses


Nicolas Dupont-Aignan

Objet : Questionnaire législatives politique sanitaire — NDA

Chère Madame,  Veuillez trouver ci-joint les réponses de M. DUPONT-AIGNAN à votre questionnaire. Bien cordialement.

Questionnaire 

 Nom et prénom du candidat : DUPONT-AIGNAN Nicolas

Circonscription : 8ème de l’Essonne

 Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

 Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

 Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

 Question n° 4 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

 Question n° 5 Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

 Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI

 Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

 Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI 

Question n° 9 Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

 Question n° 10 Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? OUI

 Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

 Question n° 12 Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI


Je vous relaie l’initiative de Caroline Fiat de FI. C’est une option possible.

https://lafranceinsoumise.fr/2021/09/14/demande-dannulation-de-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/

Quoi qu’il en soit, votez pour ceux-là ou d’autres pour empêcher la marche forcée qui nous attend si on les laisse rassembler une majorité. Force et courage. E.R.


Bonjour, 

ci-joint le questionnaire aux candidats 

Je suis directement concernée en tant que médecin « suspendue » ..cordialement  Dr Véronique Rogez  06 87 24 47 65 


Christine PASTOR

Bonjour Madame,

Je suis candidate pour Le Mouvement de la Ruralité dans la 3ème circonscription du Doubs et on m’a fait suivre votre article. Je réponds à la suite à vos questions et vous assure de tout mon soutien aux soignants suspendus (cf la première mesure de mon projet : https://www.christinepastor.fr/

Je suis par ailleurs signataire de la Charte de l’Élu ReCiProC (https://reciproc.org/).1

Je vous souhaite une excellente fin de journée. Bien à vous,

Christine PASTOR

Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?OUI

Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ?OUI

Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ?OUI

Question n° 4  Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?OUI

Question n° 5  Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?OUI

Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?OUI

Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?OUI

Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?OUI

Question n° 9  Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?OUI

Question n° 10  Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?OUI

Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?OUI

Question n° 12  Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ?OUI

CONCLUSION PROVISOIRE

Voici les réponses reçues à ce jour (omettant peut-être quelques spams ou blocages)

Ces réponses sont encourageantes, mais il faut en susciter davantage en informant directement les candidats et en leur faisant comprendre que les électeurs veulent des réponses claires et positives pour retrouver confiance dans les politiques.

Mais le mieux, le plus humain est de contacter vous-même vos candidats pour leur demander leur position, et le cas échéant les informer directement de la situation tragique dans laquelle nous sommes et tenter de faire sortir les citoyens et leurs futurs représentants de l’indifférence.

Sortons de la résignation, de l’impression que nous ne pouvons rien faire. LES SOLUTIONS SONT DANS NOS MAINS. Nous sommes des millions, les tyrans ne sont que quelques milliers.

Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice.

Georges Orwell

Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

1 Charte de l’élu — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Par ReCiProC

« Nous faisons aujourd’hui face à une profonde crise de la représentativité qui génère une défiance et met dangereusement en cause aussi bien notre démocratie que la cohésion de notre pays.

Afin d’éviter que cette crise de confiance ne s’aggrave, il est urgent de redonner confiance aux Français en leurs institutions et particulièrement en leurs députés. Pour y parvenir, les députés doivent impérativement retrouver leur indépendance et remplir trois rôles majeurs qui relèvent leur fonction, soit :

Contrôler l’action du gouvernement et non lui obéir de façon intolérable, comme nous l’avons vécu ces 5 dernières années,

S’assurer que les lois votées sont conformes à notre Constitution et aux engagements internationaux de la France en matière de droits de l’Homme et de protection de la personne et, notamment, la Convention d’Oviedo,

Voter des lois visant à améliorer la vie des Français et non à obéir aux ordres d’E. Macron et de cabinets de conseil mondialistes.

À cette fin, ReCiProC propose pour les élections législatives à venir une solution simple et pragmatique, sous la forme d’une démarche citoyenne et apartisane traduite dans une Charte intitulée “Charte pour la protection des citoyens et pour le respect de la Constitution” ou, plus simplement, “Charte de l’élu”.




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

[Voir aussi :
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
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Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

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Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

delfraissy

Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

Irlande du Nord 2

On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

2022-06-02 19_55_55-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

von der leyen bourla

Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

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On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




La « variole du singe » comme possible effet secondaire de « vaccins » anti-Covid ?

[Source : planetes360.fr]

Miles Guo lanceur d’alerte chinois :

« La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »


[Source : cosmopolitan.fr]

Vaccin contre le Covid-19 : un nouvel effet secondaire dangereux pour la peau ?

Par ELISE POIRET 09/02/2022

Une étude menée par des scientifiques turcs atteste que sept personnes ont développé une pathologie rare de la peau après la vaccination contre le Covid-19.

Plus d’une personne sur dix fait état d’effets secondaires liés à la vaccination contre le Covid-19, selon l’Agence européenne des médicaments. Si beaucoup souffrent de maux de tête, de fièvre ou encore de douleurs à l’endroit de l’injection, certains auraient aussi développé des symptômes cutanés.

Vaccin contre le Covid-19 : une maladie rare de la peau chez certains patients

Une récente étude publiée dans l’International Journal of Dermatology a mis en lumière ce qui semblerait être un nouvel effet indésirable lié à la vaccination contre le Covid-19. En effet, selon les recherches menées par des scientifiques turcs, plusieurs patients vaccinés auraient développé une maladie rare de la peau, appelée pemphigoïde bulleuse.

Qu’est-ce que la pemphigoïde bulleuse ?

La pemphigoïde bulleuse est une maladie bulleuse de la peau, qui se caractérise par des bulles (ou cloques), en général de grande taille, se développant sur une peau rouge (cela ressemble de l’urticaire ou à de l’eczéma), informe la société française de dermatologie. Le nombre de bulles présentes sur la peau est variable d’un individu à l’autre. Parfois, il peut même ne pas y en avoir, ce qui rend le diagnostic plus compliqué. Les patients atteints de cette maladie souffrent aussi de démangeaisons.

La pemphigoïde bulleuse est une maladie auto-immune, ce qui signifie qu’elle est, comme toutes les pathologies auto-immunes, liée « à la fabrication anormale par l’organisme d’anticorps dirigés contre soi-même », explique la SFD. Ce phénomène touche essentiellement la peau et notamment le corps et les membres, plus rarement le visage. La maladie peut aussi toucher les muqueuses (buccales et génitales) mais cela concerne moins de 10% des cas. Elle n’est ni contagieuse, ni héréditaire.

Cette pathologie affecte majoritairement les personnes âgées de plus de 70 ans.

Quel lien entre la pemphigoïde bulleuse et le vaccin contre le covid-19 ?

Les recherches dirigées par les scientifiques turcs mettent en avant les cas de sept personnes ayant développé la maladie bulleuse, quatre à six semaines après avoir reçu leur première, deuxième ou troisième injection de vaccin contre le Covid-19. À noter qu’il s’agit de personnes âgées.

Parmi les sept patients, quatre d’entre eux ont développé l’affection pour la première fois. Tandis que les trois autres ont eu un épisode récurrent après leur vaccination. « Dans deux des quatre cas d’apparition de la maladie, la pemphigoïde bulleuse a été observée après la deuxième dose de CoronaVac à virus inactivé. Pour les deux autres, cela s’est produit après leur troisième dose, pour laquelle ils ont reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech », indiquent les chercheurs. Avant d’ajouter : « La période de latence de la nouvelle pemphigoïde bulleuse variait de 2 semaines à 1 mois après la vaccination, alors qu’elle était aussi courte qu’une semaine après la première dose chez un patient présentant une exacerbation post-vaccinale. » Selon l’étude, l’état de la peau des patients s’est amélioré grâce à un traitement.

Les scientifiques sont tout de même prudents. À ce jour, ils ne peuvent établir un lien définitif entre la maladie et les vaccins contre le Covid-19. Ils estiment que d’autres recherches sur le sujet doivent encore être menées.


Par Joseph Stroberg

D’après les expérimentations et démonstrations de chercheurs qui suivent réellement la démarche scientifique (mais pas la mauvaise cuisine des virologues et autres microbiologistes), comme Stefan Lanka, les virus ne sont pas la cause des maladies, mais sont produits naturellement par les cellules qui subissent une agression (par des toxines chimiques ou d’autres facteurs agressifs ou stressants) ou une déficience plus ou moins grave en nutriments. Voir :

La théorie des exosomes contre celle des virus
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Alors pourquoi les militaires s’acharnent-ils à modifier des virus (en fait « exosomes ») pour en faire des armes biologiques ?

Parce qu’ils se fient aux croyances de virologues et autres prétendus experts des germes, des virus ou des épidémies (qui pourtant n’adoptent jamais intégralement les méthodes rigoureuses de la science, mais se contentent de reproduire ce que Big Pharma leur a enseigné lors de leurs études universitaires).
Et peut-être parce qu’accessoirement les récipients contenant les exosomes modifiés pour espérer en faire des armes bactériologiques contiennent au moins une partie des toxines qui sont à l’origine de la production de ces derniers et que ces toxines continuent à produire des effets néfastes sur la santé si elles entrent en contact avec des organismes vivants.




Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

Par Samuel Eckert

Traduction : P. et E. Merkel

[Texte source en allemand :]

20 janvier 2022 16:53

Ce que vous allez lire dans la série d’articles « La confirmation par écrit — Les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène » semble presque inconcevable. Cette série se composera de plusieurs articles, qui seront publiés au fur et à mesure, exclusivement sur Corona_Fakten [1]

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.

Cet article devrait faire taire tous ceux qui nous reprochaient de créer un nuage de fumée pour ridiculiser les critiques. Car ce n’est pas nous qui soutenons encore et toujours ce narratif, ce sont ceux qui se refusent encore aujourd’hui à remettre l’existence des virus en question.

Mais il semble plutôt que la triste réalité soit que la plupart des critiques, qui considèrent que la question de l’existence des virus est ridicule ou qui l’ignorent intentionnellement, sont tout simplement poussés par la peur d’être mis à l’écart ou d’être catalogués comme des hurluberlus, et peut-être de perdre des « suiveurs ».

Petit conseil pour ces personnes : vous pouvez oublier vos craintes. Nous avions et nous avons les connaissances requises pour traiter ce sujet, pour le proclamer à la face du monde et même pour offrir 1,5 million d’euros [2] à qui pourra citer une publication conforme aux règles scientifiques.

Il ne peut y avoir qu’une seule raison pour laquelle cet argent n’a pas encore été réclamé — ce montant est d’ailleurs supérieur à celui du prix Nobel : personne ne connaît de publication conforme aux règles prescrites par la science !

Des compagnons de lutte et nous, de Corona_Fakten, avons écrit à différents chercheurs, virologues, biologistes moléculaires, avocats, médias et à d’autres personnes en les priant de nous citer la ou les publications apportant les preuves scientifiques de l’existence d’un coronavirus, y compris les essais de contrôle documentés de toutes les étapes réalisées pour cette démonstration.

Mais jusqu’ici personne n’a manifestement été en mesure de nous répondre, ce qui en dit très long. Et, a contrario, cela signifie que les responsables se reposent aveuglément sur les déclarations de tiers, sans vérifier eux-mêmes ces affirmations et en les acceptant sans la moindre critique comme des faits parfaitement établis.

Ceci est malheureusement notre triste réalité quotidienne !

Pour moi, les raisons de ce dilettantisme sont claires :

Ou bien :

  • ceux qui étaient censés rédiger les publications nécessaires sont simplement trop paresseux ;
  • ceux qui étaient censés lire ces publications étaient trop « occupés » ;
  • ils ont été si pressés par le temps du fait de la panique provoquée par les médias qu’ils n’ont pas pris le temps d’éliminer l’énorme quantité d’erreurs de leurs publications ;
  • ils n’étaient pas en mesure de comprendre la teneur des publications les plus importantes ;

Ou bien :

  • ils ont agi de manière délibérée, intentionnellement — ce qui serait la pire de toutes les variantes !

Pourquoi doutons-nous de l’existence du SARS-CoV-2 et de tous les autres prétendus virus pathogènes ?

Nous allons essayer de vous expliquer brièvement, chers lecteurs, pourquoi l’existence même des prétendus virus pathogènes est mise en doute, et pourquoi ce fait est le point le plus important de tous ceux qui circulent actuellement parmi les personnes qui doutent des virus.

La raison certainement la plus déterminante est qu’avec la réfutation de l’affirmation de la découverte d’un nouveau virus pathogène, toutes — et réellement toutes — les mesures et restrictions, ainsi que toutes les vaccinations seraient immédiatement balayées d’un revers de la main et ne constitueraient rien d’autre qu’un danger pour la santé et la vie des personnes !

Une autre approche pourrait être que la reconnaissance du fait que cette idée de virus dangereux flottant dans l’air n’est qu’un fantasme permettrait d’ouvrir une nouvelle voie pour une médecine raisonnable pensée pour l’homme, dans laquelle les causes de la « maladie » et les « symptômes » seraient clairs et compréhensibles — ce qui retirerait leurs moyens d’existence à de nombreux secteurs de l’industrie pharmaceutique.

Les discussions sur les tests, les statistiques (nombre de morts, de personnes réellement « malades »), les mesures et autres permettent toujours de dévier sur des argumentations qui à leur tour débouchent sur de nouvelles discussions sans fin…

En d’autres mots : tous ceux qui ne posent pas la question de l’existence des virus soutiennent automatiquement le narratif des virus pathogènes, qui n’a JAMAIS été prouvé de manière scientifique. Ces personnes critiques contribuent ainsi, peut-être inconsciemment, à alimenter en permanence la pandémie.

Pourquoi sommes-nous si sûrs qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un virus pathogène ?

La réponse à cette question est presque trop simple, même si cela semble inconcevable.

En 1998 [3], du fait de falsifications nombreuses, systématiques et importantes dans la recherche sur les infections et le cancer, des « propositions pour la garantie de bonnes pratiques scientifiques » ont été rassemblées et publiées dans un système réglementaire. Elles ont été rédigées en 1997 par une commission internationale à la demande de la Deutsche Forschungsgesellschaft (DFG) et précisées par les universités et la Conférence des Recteurs allemands, publiées en version papier et sur l’Internet, et rendues obligatoires en Allemagne pour toutes les institutions scientifiques d’État et tous les scientifiques. Ces règles et prescriptions font partie du contrat de travail de chaque chercheur.

La science doit être compréhensible par chacun et réfutable.

Malheureusement, ces règles sont ignorées en permanence dans la virologie, ce qui conduit à des comportements anti-scientifiques.

L’autre point est la découverte même d’un virus pathogène.

Différentes étapes sont nécessaires pour permettre une telle affirmation. Si ces étapes ne sont pas réalisées, il n’est pas possible de parler d’une preuve scientifique irréfutable, mais tout au plus d’une spéculation — et il y a un gouffre d’une spéculation à une preuve !

Pour affirmer qu’une structure bien spécifique est responsable de l’apparition de symptômes bien spécifiques, il faut qu’au moins trois étapes aient été réalisées et documentées en intégralité :

Isolation de la prétendue structure

La structure doit être isolée à partir des prélèvements d’un patient malade. Elle doit être isolée au sens propre de ce terme, c’est-à-dire séparée de tous les autres constituants du prélèvement. Déjà Luc Montagnier savait cela et l’a confirmé pour le HIV [4]. Cette étape est obligatoire car, dans le cas contraire, il n’est pas possible d’affirmer que les fragments de gènes séquencés qui ont été obtenus font partie d’une seule structure.

Si l’échantillon « isolé » comporte encore un autre matériel génétique, il n’est pas possible d’attribuer les séquences génétiques obtenues. L’affirmation qu’il s’agit ici d’une procédure standard dans la virologie n’améliore en rien cette situation. Au contraire, elle démontre l’aveuglement de la virologie.

Ce genre de séquençage produit de nombreuses séquences génétiques courtes à partir d’un mélange de toutes les possibilités. Il est donc impossible de déterminer le vrai responsable.

Le brin de génome du prétendu virus obtenu doit être unique.

Les séquences génétiques séquencées, ou l’assemblage de celles-ci (alignement de séquences) en une longue séquence génétique présentée ensuite comme le génome viral ne doivent pas :

  • être trouvées dans l’ARN humain/microbien obtenu par lavage pulmonaire d’une personne en bonne santé,
  • être trouvées chez une personne souffrant d’une autre affection pulmonaire,
  • être trouvées chez une personne ayant été testée négative au SARS-CoV-2,
  • être trouvées dans de l’ARN issu d’échantillons de contrôle datant de l’époque où le virus du SARS-CoV-2 n’était pas encore connu.

Toutes les étapes des expériences de contrôle doivent être réalisées et documentées.

La première expérience de contrôle serait, comme décrit ci-dessus, la construction du génome sur la base d’échantillons d’origines diverses.

La deuxième expérience de contrôle résultant de la logique scientifique est de contrôler de manière approfondie, au moyen de la technique PCR (real-time RT-PCR) développée, si des échantillons cliniques de personnes souffrant d’autres maladies que celles attribuées au virus et des échantillons de personnes, d’animaux et de plantes en bonne santé ne s’avèrent pas eux aussi « positifs » à ce test.

La troisième expérience de contrôle concerne l’effet cytopathique provoqué en laboratoire, dont il est affirmé qu’il est dû à un virus. Ici non plus, aucun groupe de contrôle n’est disponible.

[Voir aussi :
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
►et les autres articles du dossier Vaccins et virus
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Graphène et 5G
►et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées.]

Nous avons questionné aussi bien des virologues et des épidémiologistes critiques que des défenseurs des mesures contre le coronavirus, aucun n’a été en mesure de citer une seule publication qui aurait respecté les règles du travail scientifique.

Prof. Sucharit Bhakdi & Prof. Karina Reiss

Commençons par deux scientifiques respectés opposés aux mesures, dont l’un n’a ensuite plus été sûr si le « premier » SARS-CoV-2 en Chine n’a jamais été isolé… [5]

Après que le Prof. Bhakdi et son épouse, le Prof. Karina Reiss ont clairement répondu oui à la question du public [6]

« si le SARS-CoV-2 avait vraiment été isolé » et prétendaient même s’appuyer sur des expérimentations animales réussies, nous leur avons demandé de manière ciblée s’ils pouvaient nous citer la ou les publications scientifiques, documentant la preuve, c’est-à-dire l’isolation, d’un nouveau coronavirus, avec les expérimentations animales correspondantes.

La première réponse du Prof. Bhakdi a été :

« Merci de télécharger notre article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag (éditions Goldegg). L’information se trouve dans la citation 5. Les souches du SARS-CoV-2 peuvent être obtenues auprès de l’European Virus Archive Global. »

Malheureusement, son message renvoyait simplement à une étude de synthèse et pas à des publications directes, ce qui n’avait que peu d’utilité et renforçait le soupçon qu’aucun des deux ne pouvait citer de publication.

Nous avons alors posé des questions plus concrètes, de manière à éviter toute possibilité d’échappatoire :

Question :

« Pouvez-vous me citer une publication concrète affirmant l’existence d’un SARS-CoV-2 avec des preuves scientifiques et pouvez-vous nous indiquer les passages dans cette publication qui documentent la démonstration ET les expériences de contrôle prouvant que ce sont bien des séquences nucléotidiques virales et non cellulaires qui ont été alignées en un long génome viral. »

Et c’est ici que les choses deviennent intéressantes.

Le Prof. Bhakdi & le Prof. Reiss nous ont cité la publication suivante comme preuve de la démonstration de l’isolation d’un SARS-CoV-2, avec ses expériences de contrôle :

Publication : « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea » [7]

Nous avons demandé à l’auteur de la publication lui-même si les prises de vue au microscope électronique réalisées dans ses expériences in vitro représentaient des virus purifiés, ce que celui-ci a confirmé par écrit [8]

Auteur ayant répondu : Wan Beom Park
Date : 19 mars 2020

Réponse : « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. »

Traduction :

« Nous n’avons pas obtenu de prise de vue au microscope électronique montrant le degré de purification. »

[8]

Toute personne examinant les images constate immédiatement qu’il n’y a pas de structures sous forme isolée.

[7]

Il est affirmé ici qu’une structure virale a été photographiée à l’intérieur de cellules (et non isolée, comme l’auteur de l’étude l’a confirmé en personne). L’affirmation que cette étude démontre un virus sous forme isolée n’est à aucun moment corroborée.

L’attribution d’une pathogénicité à une structure sans avoir isolé celle-ci au préalable, ni réalisé les expérimentations de contrôle nécessaires, ne doit et ne peut pas être qualifiée de scientifique !

Par ailleurs, aucune expérimentation de contrôle n’a été réalisée dans le cadre de cette étude, ce que nous avions cependant mentionné et demandé explicitement, et ce qui constitue une obligation pour tout scientifique.

La question se pose ici de savoir pourquoi le Prof. Bhakdi et le Prof. Karina Reiss ne sont pas, ou ne veulent pas être au courant de ce fait, et pourquoi ils ont malgré tout voulu nous faire accepter cette étude comme preuve.

Ce fait doit être clair pour tout le monde maintenant : aucun des deux n’a fait de vérifications, ou ils ignorent ce fait pour d’autres motifs. Tous deux bafouent ainsi les règles et les obligations de tout scientifique.

Ce qui nous offusque personnellement, c’est que tous deux continuent d’affirmer publiquement que le virus existe, que cela a été prouvé depuis longtemps, qu’ils évitent toute discussion avec nous à ce sujet, mais qu’eux-mêmes ne sont pas en mesure de citer une seule publication.

Après avoir fait remarquer cela au Prof. Reiss et au Prof. Bhakdi, ils nous ont à nouveau renvoyés à leur article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag « citation 5 », avec l’ajout :

« Voici ce que nous pouvons vous proposer. »

En d’autres mots, ils ne peuvent rien proposer, ils n’ont aucune preuve, mais ils persistent à affirmer, comme de rien, que le virus existe.

Et c’est exactement là que se situe le problème de la grande majorité d’entre eux. Ils n’ont rien vérifié, mais ils refusent toujours toute discussion.

Si nous nous résumons concrètement :

La répétition de quelque chose de faux et de mensonger ne rend pas soudain cette chose juste et vraie !
Monsieur Bhakdi, ce que vous proposez est tout à fait non scientifique !

Il est évident et vérifiable par tout un chacun que les auteurs n’ont fait qu’additionner de courtes séquences cellulaires pour obtenir quelque chose de plus long, qu’ils ont alors fait passer pour le génome du virus.

Les expériences de contrôle obligatoires imposées par la science pour exclure tout artefact issu de la cellule n’ont pas été réalisées !

Ce seul fait devrait déjà vous faire comprendre que « votre proposition » est sans valeur.

Cher lecteur, lisez vous-même l’intégralité de la correspondance par courriel [9]

Prof. Marcel Tanner

Épidémiologiste, chercheur dans le domaine de la malaria et spécialiste de santé publique suisse. Il est Président de la Fondation R. Geigy, Président des Académies des Sciences suisses et Directeur émérite de l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) et ancien chef de la task-force Corona.

Après une interview réalisée en commun (Samuel Eckert et l’équipe de Corona_Fakten) du Prof. Tanner (Président des Sciences Académiques), celui-ci a confirmé plusieurs points élémentaires : [10]

  • que le test du Prof. Drosten n’est pas conforme aux normes scientifiques requises et qu’il génère de nombreux résultats faussement positifs, qui ont mené à cette panique du corona. Le Prof. Tanner a apaisé les choses en déclarant qu’il fallait laisser le passé — c’est-à-dire le déclencheur — en paix, car il n’est pas possible de revenir en arrière. (min. 21:05 à min. 23:00).
  • le Prof. Tanner a également confirmé (à la min. 53:15) qu’il ne suffit pas de réaliser un alignement pour prouver l’existence d’un virus pathogène. (Exactement ce qui a été fait en Chine)
  • La conversation a entre autres porté sur l’existence actuelle d’une publication présentant une isolation du virus du SARS-CoV-2. Le Prof. Tanner nous a renvoyés au Prof. Volker Thiel de l’Institut de Virologie et d’Immunologie de l’Université de Berne. Notre communication par courriel a montré (voir plus bas) qu’ici non plus aucune preuve de cette isolation n’a pu être présentée. Nous pouvons prouver cette déclaration finale par notre correspondance par courriel. Nous sommes ainsi exactement dans la situation que le die Prof. Tanner a décrite de manière étonnamment honnête lors de notre entretien :

« Et si l’on arrive alors à la conclusion qu’il n’existe vraiment aucun isolat… Dans ce cas, nous avons un problème ! »

(min. 56:14 à min. 56:27)

Ce que nous apprécions grandement chez le Prof. Tanner, c’est qu’il n’a jamais hésité à entamer une discussion avec nous.

IVI Suisse — Prof. Thiel, Prof. Schweizer

Je résume les points principaux de la correspondance :
Notre demande initiale au Prof. Thiel comprenait cinq questions simples :

  1. Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
  2. Avez-vous publié un article à ce sujet et sinon à quelles publications vous référez-vous ?
  3. Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme « isolation » ?
  4. Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
    Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante :
  5. Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

  • Ni Volker Thiel ni personne d’autre de son institut n’a pu présenter de publication propre dans laquelle l’existence d’un nouveau virus pathogène a pu être prouvée conformément aux règles scientifiques.
  • Ils ont confirmé que les virologues n’isolent pas réellement, et ils admettent ainsi que l’origine des séquences génétiques séquencées ne peut pas être attribuée !
  • Nous avons reçu dans un premier temps seulement des liens Wikipédia et des fiches internes sur les bases de l’isolation des virus.
  • L’IVI a confirmé en complément qu’une simple « isolation » a été réalisée dans un mélange de prélèvements de patients et de cultures cellulaires.
  • L’IVI affirme simplement, sans apporter un seul argument approprié dans ce sens, que ce serait une absurdité de prétendre qu’il n’existe pas de virus du simple fait que l’on ne l’aurait pas purifié…
  • Nous n’avons reçu de réponse à aucune de nos cinq questions. Par exemple :

Votre réponse à la question 2 nous renvoie à une fiche de travail qui décrit la procédure pour les profanes. Nous demandions des publications scientifiques auxquelles vous vous référez.

Pour la preuve de l’existence d’un SARS-CoV-2, nous avons demandé une publication de l’Institut même, le Prof. Tanner ayant déclaré que l’IVI avait une publication propre, malheureusement l’IVI nous a renvoyé vers une publication de Munich. Travail de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/)

Nous avions à l’origine écrit au Prof. Thiel et pas à M. Schweizer et, comme M. Schweizer ne semblait apparemment pas en mesure ou pas disposé à répondre à nos questions, nous avons posé des questions plus concrètes et nous avons insisté de manière explicite pour obtenir une réponse du Prof. Thiel.

Ci-dessous le libellé de notre courriel :

« Monsieur le Professeur Thiel,

Je vous prie de répondre personnellement à nos questions, votre collaborateur Marin Schweizer semblant ne pas être disposé ou en mesure d’y répondre (cf. son courriel précédent).

Nous vous avons contacté vous, et non Mr. Schweizer, au nom du Prof. Tanner, en vous demandant clairement de répondre à cinq questions concrètes issues d’un entretien que nous avons eu avec le Prof. Tanner.

  1. Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
  2. Avez-vous publié un article à ce sujet et, sinon, à quelles publications vous référez-vous ?
  3. Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme “isolation” ?
  4. Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
  5. Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante : Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

Votre collaborateur Mr. Schweizer prétend dans son deuxième courriel du 17.9.2020, 15h .22, voir ci-dessous, qu’il aurait répondu aux questions 1à 3 en citant les travaux de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/).

La première question vous est adressée à vous, Prof. Thiel, et non à votre collaborateur — qui ne travaille pas sur le SARS-CoV-2 — en vous demandant ce que vous entendez par un isolat pour le SARS-CoV-2.

La seconde question vous demande si vous, Prof. Thiel, avez publié à ce sujet et, que vous ayez publié oui ou non, à quelles publications contenant la preuve scientifique de l’existence du SARS-CoV-2 vous vous référez.

La troisième question demande également une réponse concrète, car Mr. Schweizer a oublié d’indiquer le passage dans lequel l’intégralité du génome du virus a été isolé, représenté et séquencé dans le travail cité par lui de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/), avec lequel il pense avoir répondu aux questions 1 à 3.

Nous avons étudié cette publication et nous arrivons à la conclusion suivante :

Bien que l’abrégé de ce travail soit le suivant : “Infectious virus was readily isolated from samples derived from the throat or lung»  (Un virus infectieux aisément été isolé à partir d’échantillons obtenus dans la gorge ou les poumons), il n’y a dans tout le texte aucune preuve de l’isolation d’un virus et de la représentation de son génome.

Si 7,11×10 puissance 8 copies du virus sont effectivement présentes dans un “throat swab” (écouvillon de gorge) et 2,35×10 puissance 9 copies sont présentes par ml de liquide, la représentation directe de l’intégralité du génome viral par électrophorèse sur gel ou par séquençage Nanopore ou au moyen de la technique de la coloration négative en microscopie électronique à l’aide de marqueurs de longueur ne doit pas poser de problèmes, mais cela n’a pas été réalisé.

Le point déterminant de cette publication est que les auteurs, à la page 466, colonne de droite, 5ligne à partir du bas, affirment avoir séquencé les génomes viraux entiers de tous les patients, mais ne prouvent pas cette affirmation : ni dans le texte, ni dans la section méthodologie, ni dans le supplément.

[Remarque : une analyse un peu plus détaillée de cette étude se trouve dans la source [11]]

Nous vous prions de nous faire parvenir par courriel une publication rédigée par vous ou de m’indiquer celle d’un autre groupe de travail, dans laquelle l’isolation et le séquençage d’un génome du SARS-CoV-2 sont décrits, et qui ne se contente pas d’affirmations.

Au sujet de la question 4 :

Aucune des publications décrivant l’alignement du SARS-CoV-2 dont nous disposons ne mentionne d’expériences de contrôle, qui sont obligatoires dans la recherche scientifique, prouvant que ce sont effectivement de courtes séquences de nucléotides viraux, et non cellulaires, qui ont été additionnées de manière théorique lors de l’alignement pour obtenir un génome viral complet et long.

Nous vous prions de nous citer une publication, de vous ou de quelqu’un d’autre, qui documenterait ces expériences de contrôle essentielles.

L’importance de cette question est corroborée par le fait suivant :

Dans la publication de Fan Wu et al, dans Nature, vol 579 du 3.2.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32015508/), dans laquelle le génome du SARS-CoV-2 est présenté pour la première fois et qui est devenue le modèle de tous les alignements ultérieurs, il a clairement été fait appel à l’intégralité de l’ARN d’un lavage broncho-alvéolaire (BALF) d’un patient, sans qu’il y ait eu au préalable une isolation ou un enrichissement des structures virales ou des acides nucléiques.

Cet ARN a été converti en cDNA et des morceaux d’une longueur de 150 nucléotides ont été séquencés, pour calculer sur cette base le génome d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour prouver que l’ARN d’un BALF de personnes saines, de personnes souffrant d’autres maladies, d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore ou d’ADN de cultures cellulaires destinées à des expériences de contrôle ne permet pas de calculer le même génome « viral » lors de l’alignement.

L’affirmation de votre collaborateur Monsieur Schweizer, que la question 4 a reçu une réponse indirecte par le fait que le génome calculé dans l’alignement ne se trouvait pas dans le génome humain, n’est pas défendable pour deux raisons :

  1. Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.
  2. Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Votre Monsieur Schweizer ne mentionne pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral, qui en réalité n’existe pas.

Comme cette possibilité existe, que nous n’avons pu trouver jusqu’ici aucune expérience de contrôle pour le SARS-Cov-2, que nous supposons de ce fait que ces expériences n’ont pas été réalisées jusqu’ici et que le doute est le devoir le plus important de tout scientifique, la question 5 que nous vous avons posée prend toute son importance :

Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

Nous vous remercions d’avance pour votre réponse personnelle.

Recevez nos meilleures salutations,

With best regards, »

Après avoir remarqué que cette étude présente exactement les mêmes faiblesses que toutes les autres, on nous a demandé si nous accepterions comme preuve pour le SARS-CoV-2 un clone d’un génome présenté comme suggestion par les Chinois. Savourez cette demande :

Les virologues chinois ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 simplement par un pur calcul, en additionnant des fragments très courts de séquences.

Ils n’ont trouvé ni le génome entier, ni même de grandes parties de celui-ci ! [12]

Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire. Donc, accepteriez-vous un clone d’un modèle informatique comme preuve pour un virus qui aurait prétendument déjà existé de nombreux mois auparavant ?

Ils n’ont fourni aucune expérience de contrôle, mais ils ont affirmé que celles-ci auraient été réalisées indirectement du fait que le génome calculé par l’alignement ne se trouve pas dans le génome humain.

Ceci n’est pas défendable pour deux raisons :

a.) Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés dans la réalité, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.

b.) Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Les virologues responsables de l’Institut Suisse de Virologie et d’Immunologie ne mentionnent pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral,qui en réalité n’existe pas.

Ci-dessous le libellé de notre courriel :

« Monsieur le Professeur Thiel,

Je comprends votre étonnement devant une telle situation qui émerge soudain du néant et remet en cause votre propre travail.

Le fait que vous répondiez néanmoins en me laissant entrevoir la preuve de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous honore et prouve votre sérieux scientifique.

Je vous prie de respecter aussi mon étonnement, lorsque j’ai lu de mes yeux que le Prof. Christian Drosten de la Charité à Berlin a fait synthétiser les réactifs (Primer) pour le test PCR du virus du SARS-CoV-2 par la société Tib Molbiol avant même que les scientifiques chinois, autour de Fan Wu ont publié en ligne le10.1.2020 leurs suggestions provisoires de séquences pour le virus.

J’ai alors examiné leur publication et j’ai constaté avec horreur que les virologues chinois n’ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 que par calcul, en additionnant des fragments de séquences très courts. Ils n’ont pas trouvé l’intégralité du génome, ni même des parties plus grandes de celui-ci.

Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire.

Point déterminant : les virologues chinois n’ont réalisé aucune expérience de contrôle pour exclure la même addition d’un génome viral à partir de courts fragments d’ARN humain/microbien obtenu par lavage broncho-alvéolaire d’une personne saine, d’une personne souffrant d’une autre maladie pulmonaire, d’une personne textée négative au SARS-CoV-2 ou d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore.

Votre indication qu’il existe de nombreuses études de transcription dans lesquelles aucun gène du SARS-CoV-2 n’est trouvé ne peut pas remplacer les expériences de contrôle logiquement impératives, car l’addition artificielle de quelque chose qui en réalité ne peut pas être trouvé ne peut naturellement pas se trouver ailleurs ni dans aucune étude de transcription.

Pour cette raison, votre référence aux travaux publiés par votre collègue Marco Binder sur Twitter est sans fondement scientifique.

Comme il serait naturellement possible que je me trompe, et que je m’excuserais publiquement en cas de réfutation de ma position, je vous prie — également au sens des critères scientifiques du DFG — de clarifier cette situation de manière univoque. À ce jour, nous ne disposons pas de publications de ce genre.

Et c’est ici que se pose la question la plus importante :

À laquelle des premières publications des affirmations de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous référez-vous personnellement pour admettre l’existence scientifiquement prouvée du virus du SARS-CoV-2 ?

Si le génome publié du SARS-CoV-2 ou les courtes séquences génétiques qui ont été additionnées pour former le génome sont effectivement issus d’un virus, moi et tous les autres reconnaîtrons naturellement la preuve que vous nous offrez d’une “expérience au cours de laquelle le génome (sous la forme d’ARN avec 30 000 nucléotides) aura été fabriqué artificiellement, et d’où résulte le SARS-Cov-2” comme une preuve de l’existence du virus.

Si la démonstration que vous nous proposez n’est pas univoque ou échoue, je suis sûr que vous serez d’accord pour réaliser les expériences de contrôle afin d’essayer d’obtenir le génome du virus du SARS-CoV-2 à partir de l’ARN de personnes saines, de personnes testées négatives au SARS-CoV-2 et de l’ARN de cultures cellulaires non infectées exactement de la même manière que le font vos collègues ?

Ceci serait un tournant majeur, qui respecterait les prescriptions d’un travail scientifique, car je n’arrive pas à trouver ces expériences de contrôle, qui sont pourtant prescrites, dans l’ensemble de la littérature scientifique relative au virus du SARS-CoV-2. Ici aussi, je vous serais reconnaissant de m’indiquer un lien vers votre publication de référence.

Je vous souhaite une bonne journée et vous remercie beaucoup pour le temps que vous m’avez consacré

Recevez mes meilleures salutations

Nous n’avons obtenu une réaction à notre courriel que deux semaines plus tard, après deux rappels, bien que le Prof. Tanner eut demandé cette discussion et avait été mis en copie de l’ensemble de la correspondance. La première réaction est venue après deux semaines :

« Cher Monsieur XXX,

Je vous répondrai dès que j’en aurai le temps.

Cordialement,

Volker Thiel »

Après encore plus que deux semaines, nous avons finalement reçu la réponse, par laquelle le Prof. Thiel confirmait exactement ce que nous soupçonnions depuis le début.

L’IVI n’a pas d’isolat propre et s’appuie sur une source qui n’a jamais démontré l’existence d’un virus. Mais lisez vous-même :

Réponse du Prof. Thiel de l’IVI :

Notre réponse ci-dessous montre les erreurs flagrantes présentes dans les hypothèses de l’IVI et, selon toute probabilité, les erreurs des hypothèses de la plupart des autres virologues :

“Cher Prof. Thiel,

Nous vous remercions de votre réponse, qui clarifie les choses.

Je suis maintenant sûr de savoir où se trouve l’erreur centrale de votre hypothèse, et je peux le justifier avec toute la rigueur requise.

Vous écrivez dans votre publication (https://www.nature.com/articles/s41586-020-2294-9) :

‘The detection of a new coronavirus in China at the end of 2019 prompted us to test the applicability of our synthetic genomics platform to reconstruct the virus based on the genome sequences released on 10–11 January 2020 (Fig. 2)’

(La détection d’un nouveau coronavirus fin 2019 nous a incités à tester l’applicabilité de notre plateforme génomique synthétique pour reconstruire le virus sur la base des séquences génétiques publiées le 10-11 janvier 2020)

Vous indiquez ainsi clairement la source que nous vous demandions, sur laquelle vous vous basez et à laquelle le monde entier fait confiance en croyant qu’elle donne la preuve scientifique de l’existence du nouveau virus du SARS-CoV-2.

Il s’agit de la publication du Prof. Yong-Zhen Zhang (Fan Wu et al.), à laquelle le Prof. Drosten se réfère également :

Le Prof. Zhang décrit en détail comment il a calculé par juxtaposition de très courtes séquences génétiques le génome du virus désigné aujourd’hui sous le terme « SARS-CoV-2 ».

Il décrit clairement qu’il a prélevé pour cela ces courtes séquences génétiques non sur un virus, mais directement sur le liquide pulmonaire issu d’un lavage broncho-alvéolaire (= BALF) d’une personne souffrant de pneumonie.

Il ne décrit pas d’expériences de contrôle, qui sont exigées par la science pour qu’une affirmation puisse être qualifiée de scientifique. Ces expériences de contrôle, qui résultent également des règles de la logique scientifique — afin d’exclure l’évidence, c’est-à-dire qu’il pourrait être obtenu à partir de courtes séquences génétiques propres à l’organisme humain et aux nombreux microbes connus et surtout inconnus qui colonisent l’homme — n’ont à ce jour pas été réalisées.

Une méthode, comme dans notre cas l’alignement, pour calculer une longue séquence génétique théorique à partir de séquences très courtes, qui n’est pas corroborée par des expériences de contrôle, ne peut pas être qualifiée de scientifique. Le caractère scientifique revendiqué ici n’est ni évident, ni reproductible, ni vérifiable par chacun.

*Le fait que vous vous référiez toujours, pour ces expériences de contrôle, sur des entrées Twitter de Marco Binder, n’est pas scientifique, mais révoltant, car, si quelque chose, qui en réalité n’existe pas, est construit par une procédure d’« alignement » à plusieurs étapes, cette chose ne peut naturellement être trouvée dans aucune base de données publiant des séquences génétiques humaines.

En utilisant cet argument que les expériences de contrôle sont réalisées par le fait que cette séquence virale n’est pas trouvée dans les bases de données génétiques humaines, vous vous référez à une littérature de troisième classe trouvée dans les média sociaux, en oubliant de nombreux points :

  1. Personne n’a jusqu’ici vérifié, pour cette procédure d’alignement, si les séquences génétiques utilisées pour calculer le génome du virus du SARS-CoV-2 ne viennent pas de séquences génétiques générées par le métabolisme de microbes qui colonisent l’homme et les cultures cellulaires.
  2. Le génome de seulement environ 5 % des microbes existants a été séquencé. Ce fait impose la réalisation immédiate d’expériences de contrôle, car il est manifeste que le génome du virus a été calculé intégralement ou en partie par plusieurs étapes d’« alignement » à partir des séquences inconnues de ces microbes.
  3. Il est connu depuis longtemps que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques génèrent en permanence de nouvelles séquences génétiques entre autres par le mécanisme du « Template-Switching », qui ne peuvent être enregistrées dans aucune base de données, et que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques de l’ARN le font aussi sans modèle génétique. Ceci signifie que de nouvelles séquences génétiques, qui n’ont pas été enregistrées par les méthodes utilisées jusqu’ici, apparaissent constamment. Ce seul fait impose l’obligation de réaliser immédiatement des expériences de contrôle, car il est évident que le génome du SARS-CoV-2 a été construit par calcul, intégralement ou en partie, au moyen de telles séquences non spécifiques.
  4. Vous ne pouvez pas, dans cette situation spécifique, apporter la preuve de l’existence du virus par le fait que vous ayez fabriqué de manière synthétique le génome du virus à partir de la séquence présentée par le Prof. Zhang et que vous l’utilisiez pour vos expériences. Il s’agit ici d’un raisonnement circulaire scientifiquement inadmissible.

Le Prof. Zhang mentionne expressément dans cette publication qu’il n’a pas respecté les postulats de Koch, les règles pour la preuve de l’existence d’un virus. Pas même le premier postulat, l’isolation du virus.

Le Prof. Zhang indique expressément qu’il n’existe qu’une corrélation entre la « preuve » par calcul de ce virus et une pneumonie réelle, mais pas de preuve que sa « découverte » soit à l’origine de cette maladie.

Pour votre information, si cela devait vous avoir échappé :

Il est prouvé que le Prof. Drosten a — déjà avant de disposer de la séquence du Prof. Zhang — fait synthétiser les séquences amorces pour le virus du « SARS-CoV-2 » et les a fait envoyer, le jour même de la publication des données, dans la nuit du « 10-11 January 2020 », aux endroits où des voyageurs de retour de Wuhan ont été testés pour le virus du « SARS-CoV-2 » au moyen de son test. Il a ainsi apparemment été prouvé que le supposé virus était à présent quand même transmissible d’homme à homme.

Jusqu’au 20.1.2020, les autorités de santé et le gouvernement chinois avaient démontré qu’il n’y avait manifestement pas transmission d’homme à homme. Tous les parents et l’ensemble du personnel hospitalier qui était et est en contact avec les personnes souffrant de pneumonie atypique — que, du fait de la définition « atypique », l’on attribuait à un virus inconnu — sont restés en bonne santé. De ce fait, le gouvernement pouvait, en toute honnêteté, renoncer aux mesures de confinement.

Le 20.1.2020, le célèbre médecin du « SRAS », le Dr Zhong Nanshan, âgé de 84 ans, est arrivé à Wuhan. Il avait voyagé depuis la Chine du Sud de sa propre initiative et à ses propres frais. Il a répandu à Wuhan la nouvelle du résultat « positif » de la procédure de test PCR Drosten, qui selon lui permettait et imposait d’affirmer que la transmission d’homme à homme du supposé nouveau virus était prouvée.

Cette information a d’abord semé la panique à Wuhan, et le soir même dans toute la Chine, lorsqu’il annonça aux informations du soir que la transmission d’homme à homme avait été confirmée. Comme nous le savons, la panique a rapidement gagné population mondiale.

Dans cette affaire, en tant qu’homme, et notamment en tant que scientifique, avec votre fonction centrale de Directeur de l’IVI, vous avez le devoir et la responsabilité, vis-à-vis du peuple suisse et de la population mondiale, de communiquer IMMÉDIATEMENT ces contradictions et ces réfutations au public.

Afin d’éviter que principalement des enfants, des personnes âgées, des malades et l’économie n’étouffent au sens propre du terme et ne meurent du fait de conclusions non justifiables scientifiquement et qui ont été réfutées, et des mesures qui en résultent, je vous prie d’agir immédiatement.

Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire de clarifier si un virus a effectivement été isolé au sens du terme « Isolation ».

Vous avouez maintenant par votre référence centrale et exclusive à la publication du Prof. Zhang qu’aucun virus n’a été isolé, mais que, manifestement et sans aucun doute, des séquences génétiques très courtes de l’homme, de microbes connus et inconnus et probablement de séquences génétiques créées par la biochimie ont été réunies uniquement par calcul, c’est-à-dire purement théoriquement, pour créer un génome viral qui en réalité n’existe pas.

Vous ne pourrez pas non plus à l’avenir faire valoir — pour continuer à vous dérober à votre responsabilité centrale et globale — que l’alignement théorique des courtes séquences génétique en un génome viral « complet » a été réalisé sur la base d’un autre coronavirus. Ce prétendu modèle de séquence virale a lui aussi été obtenu par calcul à partir de très courtes séquences virales, dont il est certain qu’elles n’ont pas été isolées à partir d’un virus, mais qu’elles sont issues de courtes séquences génétiques de l’homme, d’animaux, de microbes et possiblement synthétisées par la biochimie.

Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire (et il y veille) à la réalisation des expériences de contrôle, qui sont la condition pour considérer l’affirmation de l’existence d’un virus comme scientifique.

Votre argument que ces expériences de contrôle sont réalisées indirectement par le fait que des tiers, et pas vous, prétendent sur Twitter qu’ils ne trouvent pas le génome calculé du virus dans les bases de données génétiques humaines, est réfuté par le fait que quelque chose de calculé (laborieusement) ne pourra logiquement ni être trouvé dans une base de données ni démontré en laboratoire.

C’est pourquoi je vous prie à nouveau de réaliser et de documenter conjointement avec moi les expériences de contrôle qui confirmeront ou infirmeront le fait que les très courtes séquences génétiques disposées en un long génome par calcul, c’est-à-dire théoriquement, lors de l’« alignement », au moyen de différents programmes de retraitement, ne viennent pas de l’homme lui-même ou des nombreux microbes et phages qui colonisent l’homme, tout particulièrement en cas de maladie ou de pneumonie. Ou si celles-ci sont issues en partie de séquences génétiques purement créées par la biochimie, ou si elles ont été en partie inventées par les programmes utilisés pour l’alignement pour combler les lacunes (gaps) du génome qui ne pouvaient pas se combler au moyen des courtes séquences génétiques disponibles. Ces programmes sont mentionnés dans la section méthodologique du Prof. Zhang, mais celle-ci n’indique pas quelle est la proportion du « génome viral » complet qui a été « comblée » par ces programmes de « Gap filling ».

Nous vous offrons à nouveau de financer ces essais de contrôle. Le Prof. Tanner ne vous a demandé de présenter et de documenter ces essais de contrôle que pour des raisons scientifiques et humaines. Il n’y a aucune raison de ne pas réaliser ces essais ou de continuer à les repousser.

La détresse due à la crise du corona est immense et n’admet aucune raison de protéger par exemple votre profession ou sa réputation. Cette détresse augmente de jour en jour, et il existe le risque que notre société, dans une hystérie collective sans aucune justification scientifique, s’inflige des dommages toujours plus graves. J’ai également demandé à d’autres virologues de réaliser avec moi les expérimentations de contrôle. Aucun n’a répondu à ce jour.

Vous avez la possibilité de clarifier ce problème, le Prof. Tanner m’ayant renvoyé à vous pour la clarification de cette question essentielle.

Je vous prie de vous décider et d’agir sur le champ, et de ne pas laisser passer à nouveau plus de deux semaines avant de me répondre.

Recevez mes meilleures salutations,




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications

Par Nicole Delépine

DÉFENDONS LES MÉDECINS ATTAQUÉS POUR AVOIR SOIGNÉ ET/OU PARLÉ.

EXIGEONS LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS SUSPENDUS.

La députée européenne Virginie Joron a pris à bras le corps le danger des vaccinations obligatoires anticovid chez les enfants à la rentrée scolaire, dont les députés européens sont les premiers avertis par les rapports et feuilles de route qu’ils reçoivent de la commission non élue. Les ordres, de fait.

💉 Vaccination COVID des enfants : la Commission veut vacciner les plus jeunes à la rentrée ! – PLANETES360

Le 18 MAI 2022 :



La députée virginie Joron revient sur la feuille de route diffusée par la Commission européenne aux députés en mai 2022 « mettre en place la stratégie vaccinale des enfants » résumant le document long du 27 04 2022

European Commission

Brussels 27.4.2022

Covid-19—Sustaining EUPreparedness and Response: Looking ahead

Key actions for member states

.

Before the beginning of the 2022-2023 school year, consider strategies to increase vaccination coverage rates among younger children, e.g. by working with paediatricians and other health professionals who are trusted sources of information for manu parents.”

En France « seulement » 4 % des enfants vaccinés, regrette la Commission. Et donc celle-ci fait pression sur les états pour l’injection des enfants. Il n’y a eu aucune discussion sur ce rapport et il sera soumis au vote en juin 2022.

« On découvre dans ce parlement supposé démocratique que les valeurs ne sont pas respectées. »

La députée donne l’exemple de la consultation sur le green pass, notre pass sanitaire.

La commission a mis en ligne une consultation publique qui demandait un avis sur l’extension du certificat covid, sujet important. Il y a eu environ 400 000 avis apparemment largement négatifs. Elle n’a pas vu d’avis positifs. Il doit y avoir début juin sur la prolongation du pass. Va -t-on tenir compte de cette consultation citoyenne ?

Elle insiste aussi sur le retournement de situation concernant le vaccin Valneva plus traditionnel. La commission avait passé commande. Il y a retournement de situation, car récemment la commission refuse. Il faudra enquêter pour le fin mot de l’histoire.

Enfin Virginie Joron informe sur le devenir du Docteur Laurence Kayser poursuivie par les tribunaux belges pour avoir informé sur les complications du pseudovaccin covid en gynécologie.

Elle doit défendre son droit de parole, car elle a osé donner son expérience sur les accidents des vax. Pour Virginie Joron, la liberté d’expression est la base de la société et elle est bafouée.

Interview de Mme Diane Protat sur les conséquences de la prise de parole du DR Kayser 18 mai 2022 :

Laurence Kayser sur Tweeter

Moi-même gynécologue belge convoquée aujourd’hui au conseil de l’Ordre pour avoir dit qu’il fallait parler des effets secondaires des vaccins, je vous envoie ma force et mon énergie. Ensemble, nous vaincrons ! 18 mai 2022

@CarpentierLulu @LaurenceKayser et @Julia_Miniver

merci pour votre courage, la lâcheté des médecins — sauf quelques rares exceptions — est incompréhensible et effrayante.

@ycn92 18 mai En réponse à @LaurenceKayser

Ce n’est plus de la médecine c’est devenu une secte

@Fannybvv 18 mai En réponse à @LaurenceKayser

C’est avec des exemples comme le vôtre que l’on voit qu’il y a bel et bien de la censure en France. Depuis quand parler d’effets secondaires est un délit ? Merci pour votre bienveillance

@CoroInfos 18 mai

En réponse à @LaurenceKayser

J’espère qu’il y a du monde pour vous soutenir.

À #Lyon aujourd’hui on doit bien être une centaine pour 3 médecins convoqués

Des médecins français héroïques ont besoin de votre soutien le 18 mai à Lyon ! | Collectif Sauver la Science (typefully.com)

Le docteur Denis Agret médecin interdit pour trois ans (!) écrit ce qui suit :

« Merci. Diffusez où vous voulez, vous pouvez aussi l’imprimer et aller le porter dans les gendarmeries et les commissariats ou l’afficher chez le boucher ou le boulanger ou vous voulez ! Ou prendre un haut-parleur et le parler en public! Dans les cités !

Pour protéger LA VIE ! Soyez militants créatifs inventifs.

Nous allons gagner ! »

Dr Denis Agret www.yoga-medecine.fr

Son témoignage est sur fb :
https://m.facebook.com/groups/1177374342737620/permalink/1178297352645319/ auquel nous n’avons pas accès, mais que certains pourront ouvrir. Les liens tweet de ce médecin sont supprimés.
Lanceur d’alerte en 2021.
Dr Agret : avec ces risques, M. le ministre, souhaitez-vous continuer la vaccination ? (francesoir.fr)

Et il y a des milliers de témoignages dans le monde.

Écoutez celui-ci d’un médecin très célèbre :

https://twitter.com/i/status/1528038788118749184

Signalons les informations concernant la fraude :

https://jackanapes-substack-com.translate.goog/p/is-subject-12312982-the-key-to-proving?s=r&_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en

« (…) Même si Augusto a eu un test PCR négatif à l’hôpital, et même si le médecin de l’hôpital a écrit que son état était dû au vaccin, quand Augusto a appelé le site d’essai le 14 septembre pour les informer qu’il était à l’hôpital, il est écrit dans son dossier d’essai clinique qu’il avait été admis pour une pneumonie bilatérale qui n’avait rien à voir avec le “produit expérimental” – même si ce n’était pas ce qu’il leur avait dit.

Le 7 octobre, l’essai clinique note qu’“à la demande du sponsor” (AKA Pfizer), le code d’événement indésirable a été mis à jour pour la maladie COVID-19. Et c’est ainsi que Pfizer a fait disparaître les cas de myocardite et de péricardite, en les balayant sous le tapis du COVID-19. De plus, le diagnostic de COVID-19 ne compterait pas dans les calculs d’efficacité, car ceux-ci nécessitaient un test PCR positif pour confirmer le diagnostic. »

Lire le détail de la recherche du patient – avocat, feuilleton passionnant et tragique à la fois. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

Suède: les autorités sanitaires confirment que les décès survenus jusqu’à 14 jours après la 2e dose de vaccin sont comptabilisés comme décès de personnes non vaccinées. C’est un énorme problème qui a biaisé la mesure de l’efficacité vaccinale.

fr: https://lakaruppropet-se.translate.goog/public-health-agency-reporting-has-distorted-mortality-rates-for-the-unvaccinated-and-vaccinated/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en




Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma

[Source : RI]

par F. William Engdahl.

Sur une initiative de l’administration Biden, l’Organisation mondiale de la Santé imposera, sauf miracle, d’ici novembre 2022, c’est-à-dire au début de la prochaine saison de grippe dans l’hémisphère nord, un contrôle descendant sans précédent sur les réglementations et mesures sanitaires nationales de la planète entière. Dans ce qui s’apparente à un coup d’État furtif, l’OMS obtiendra de nouveaux pouvoirs draconiens lui permettant de passer outre la souveraineté nationale dans 194 pays membres des Nations unies et de dicter leurs mesures sanitaires avec la force du droit international. On en parle parfois comme du traité de l’OMS sur les pandémies, mais c’est bien plus que cela. Pire, la majeure partie du budget de l’OMS provient de fondations privées liées aux vaccins, comme la Fondation Gates, ou de Big Pharma, ce qui constitue un énorme conflit d’intérêts.

Nouveaux pouvoirs draconiens de l’OMS

Faire quelque chose de façon furtive signifie le faire de manière secrète ou dissimulée, afin d’éviter qu’il ne soit largement connu et éventuellement combattu. Cela s’applique à la proposition faite par l’administration Biden à l’OMS de Genève le 18 janvier 2022, selon les documents officiels de l’OMS. L’OMS a caché les détails des « amendements » américains pendant près de trois mois, jusqu’au 12 avril, un mois seulement avant que l’organe compétent de l’OMS ne se réunisse pour approuver ces mesures radicales. De plus, au lieu des 18 mois d’attente précédents pour devenir un traité en droit international, seuls 6 mois sont utilisés cette fois-ci. C’est une véritable fuite en avant. La proposition américaine est soutenue par tous les pays de l’UE et par 47 pays au total, ce qui garantit une adoption quasi certaine.

Les propositions, officiellement intitulées « Renforcer la préparation et la réponse de l’OMS aux urgences sanitaires : Proposition d’amendements au Règlement sanitaire international », ont été soumises par la secrétaire adjointe aux Affaires mondiales du département américain de la Santé et des Services sociaux, Loyce Pace, en tant qu’« amendements » à un traité de 2005 sur le Règlement sanitaire international de l’OMS déjà ratifié. L’OMS définit ce traité de 2005 ainsi : « Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) constitue un cadre juridique général qui définit les droits et les obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de franchir les frontières. Le RSI est un instrument de droit international qui est juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l’OMS ».

Pace a rejoint l’administration Biden après avoir dirigé le Conseil mondial de la santé, qui compte parmi ses membres les noms les plus corrompus de Big Pharma, dont Pfizer, Lilly, Merck, J&J, Abbott et AVAC, financée par Bill Gates, pour n’en citer que quelques-uns. Ses propositions de transformation radicale des pouvoirs de l’OMS en matière de « pandémies » et d’épidémies auraient facilement pu être rédigées par Gates et Big Pharma.

Avant d’examiner ce que les « amendements » de Loyce Pace feront pour permettre la transformation de l’OMS en une dictature mondiale de la santé dotée de pouvoirs sans précédent pour annuler les jugements de tout gouvernement national, il convient de noter un problème juridique furtif. En déguisant un changement complet des pouvoirs du traité de 2005 de l’OMS en simples « amendements » à un traité ratifié, l’OMS prétend, avec l’administration Biden, que l’approbation des amendements ne nécessite aucun nouveau débat de ratification par les gouvernements membres. C’est de la furtivité. Sans débat national par des représentants élus, l’OMS non élue deviendra à l’avenir une superpuissance mondiale sur la vie et la mort. Washington et l’OMS ont délibérément restreint le processus de participation du public pour faire passer ce projet en force.

Une nouvelle loi de facto

Comme il se doit, l’OMS a finalement publié les « amendements » américains. On y trouve les suppressions ainsi que les nouveaux ajouts. Les modifications apportées par l’administration Biden transforment le rôle consultatif de l’OMS auprès des gouvernements nationaux, non seulement sur les réponses aux pandémies mais aussi sur tout ce qui touche à la « santé » nationale, en un tout nouveau pouvoir de passer outre les agences sanitaires nationales si le directeur général de l’OMS, désormais Tedros Adhanom, le décide. L’administration américaine Biden et l’OMS se sont entendues pour créer un traité entièrement nouveau qui fera passer toutes les décisions en matière de santé du niveau national ou local à Genève, en Suisse, et à l’OMS.

L’article 9 est typique des modifications apportées par Washington au traité existant de l’OMS. La modification américaine consiste à insérer « pourra » et à supprimer « devrait » de l’OMS : « Si l’État partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS pourra… ». Dans le même article, le mot « offre de collaboration par l’OMS, en tenant compte de l’avis de l’État partie concerné… » est supprimé. Le point de vue ou le jugement des autorités sanitaires de l’Allemagne, de l’Inde ou des États-Unis ne sont plus pertinents. L’OMS pourra passer outre les experts nationaux et dicter en tant que loi internationale ses mandats pour toutes les pandémies futures, ainsi que pour les épidémies ou même les problèmes de santé locaux.

De plus, dans le nouvel article 12 proposé sur la « Détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire », le chef de l’OMS – maintenant Tedros dans son nouveau mandat de cinq ans – peut décider seul de déclarer une urgence, même sans l’accord de l’État membre. Le chef de l’OMS consultera alors le « comité d’urgence » de l’OMS concerné sur la polio, l’Ebola, la grippe aviaire, le COVID ou tout autre problème déclaré. En bref, il s’agit d’une dictature mondiale sur la santé des citoyens par l’un des organismes de santé les plus corrompus au monde. Les membres d’un comité d’urgence donné de l’OMS sont choisis selon des procédures opaques et généralement, comme dans le cas du comité actuel sur la polio, de nombreux membres sont liés aux différents fronts de la Fondation Gates comme GAVI ou CEPI. Pourtant, le processus de sélection est entièrement opaque et interne à l’OMS.

Entre autres pouvoirs, le nouveau traité sur les pandémies donnera à Tedros et à l’OMS le pouvoir de rendre obligatoires les passeports vaccinaux et les vaccins COVID dans le monde entier. Ils travaillent actuellement à la création d’un programme mondial de passeport vaccinal/identité numérique. En vertu du nouveau « traité sur la pandémie », lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l’OMS, il n’y a aucune responsabilité. L’OMS bénéficie de l’immunité diplomatique.

Astrid Stuckelberger, ancienne cadre supérieure de l’OMS et lanceuse d’alerte, aujourd’hui scientifique à l’Institut de santé mondiale de la Faculté de médecine de l’Université de Genève, a fait remarquer que « si le nouveau traité sur les pandémies est adopté par les États membres, cela signifie que la Constitution de l’OMS (conformément à l’article 9) primera sur la Constitution de chaque pays en cas de catastrophe naturelle ou de pandémie. En d’autres termes, l’OMS dictera aux autres pays et ne fera plus de recommandations. »

Qui est l’OMS ?

Selon les nouvelles règles, le directeur général de l’OMS aurait le pouvoir ultime de déterminer, par exemple, si le Brésil, l’Allemagne ou les États-Unis doivent imposer un confinement pandémique de type Shanghai ou toute autre mesure qu’il déciderait. Ce n’est pas une bonne chose. Surtout lorsque le chef de l’OMS, Tedros, originaire de la région du Tigré en Éthiopie, est un ancien membre du Politburo de l’organisation marxiste désignée comme terroriste (à l’époque par Washington), le Front de libération du peuple du Tigré. Il n’est pas titulaire d’un diplôme de médecine, le premier dans l’histoire des directeurs généraux de l’OMS à ne pas en avoir. Il est titulaire d’un doctorat en santé communautaire, un domaine assurément vague, qui ne constitue pas une qualification médicale pour un tsar de la santé mondiale. Parmi les articles scientifiques qu’il a publiés figurent des titres tels que « Les effets des barrages sur la transmission du paludisme dans la région du Tigré ». Il aurait obtenu son poste à l’OMS en 2017 grâce au soutien de Bill Gates, le plus grand donateur privé de l’OMS.

En tant que ministre éthiopien de la Santé sous la dictature dirigée par le Tigré, Tedros a été impliqué dans la dissimulation scandaleuse de trois grandes épidémies de choléra dans le pays en 2006, 2009 et 2011. Un rapport d’enquête publié par la Society for Disaster Medicine and Public Health a révélé que, lors d’une des principales épidémies de choléra, « malgré l’identification en laboratoire du V cholerae comme étant la cause de la diarrhée aqueuse aiguë (DLA), le gouvernement éthiopien (Tedros) a décidé de ne pas déclarer une « épidémie de choléra » par crainte des répercussions économiques résultant des embargos commerciaux et de la baisse du tourisme. En outre, le gouvernement, au mépris du Règlement sanitaire international (OMS), a continuellement refusé de déclarer une épidémie de choléra et a largement décliné l’aide internationale. »

En tant que ministre éthiopien de la Santé, puis des Affaires étrangères, Tedros a été accusé de nettoyage ethnique systématique contre les tribus rivales du pays, en particulier les Amharas, de refuser aux partisans de l’opposition l’aide alimentaire de la Banque mondiale et d’autres organismes, ainsi que de népotisme et de détournement de fonds internationaux destinés à la construction d’hôpitaux pour soutenir politiquement son parti minoritaire. Ironiquement, c’est le contraire de la nouvelle loi sur l’OMS que Tedros soutient aujourd’hui. Le 22 septembre 2021, l’Allemagne de Merkel a proposé Tedros pour un nouveau mandat sans opposition.

OMS, Gates, GERM

Le plus grand donateur de l’OMS (incluant GAVI), l’autoproclamé « tsar du tout mondialiste », Bill Gates, a donné un avant-goût de ce qui nous attend avec les nouvelles règles. Dans son billet de blog du 22 avril, Gates propose quelque chose d’amusant avec l’acronyme GERM – Global Epidemic Response and Mobilization-team (équipe de mobilisation et de réponse aux épidémies mondiales). Il s’agirait d’une « organisation permanente d’experts entièrement rémunérés et prêts à organiser une réponse coordonnée à une épidémie dangereuse à tout moment ». Il dit que son modèle est le film hollywoodien « Alerte ! ». « Les experts en surveillance des maladies de l’équipe rechercheraient les épidémies potentielles. Dès qu’elle en repère une, le GERM devrait avoir la capacité de déclarer une épidémie… » Elle serait coordonnée par, bien sûr, l’OMS de Tedros : « Le travail serait coordonné par l’OMS, le seul groupe qui puisse lui donner une crédibilité mondiale. »

Une notion dystopique de ce qui pourrait se produire est l’actuelle fausse épidémie de « grippe aviaire », H5N1, qui entraîne l’élimination de dizaines de millions de poulets dans le monde entier si un seul poussin est testé positif pour la maladie. Le test est le même test PCR frauduleux utilisé pour détecter le COVID-19. Récemment, le Dr Robert Redfield, le chef du CDC de Trump, a donné une interview dans laquelle il a « prédit » que la grippe aviaire se propagerait à l’homme et serait hautement fatale lors de la prochaine « grande pandémie », pour laquelle le COVID-19 n’était qu’un simple échauffement. Redfield a déclaré dans une interview de mars 2022 : « Je pense que nous devons reconnaître – j’ai toujours dit que je pense que la pandémie de COVID a été un signal d’alarme. Je ne crois pas que ce soit la grande pandémie. Je pense que la grande pandémie est encore dans le futur, et qu’il s’agira d’une pandémie de grippe aviaire pour l’homme. Elle aura une mortalité significative de l’ordre de 10 à 50%. Il y aura des problèmes ». En vertu des nouveaux pouvoirs dictatoriaux de l’OMS, celle-ci pourrait déclarer une urgence sanitaire sur une telle fraude, sans tenir compte des preuves contraires.

source : New Eastern Outlook

traduction Réseau International




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Démolition de l’escroquerie Covid par PERRONNE

[Source : profession-gendarme.com]

Extrait :

Les tests PCR ça faisait une dizaine d’années qu’on les utilisait à l’hôpital, mais on enfonçait un petit tuyau en plastique de deux à trois centimètres. On aspirait les sécrétions nasales. Je n’ai jamais vu entrer des tringles à rideaux pour défoncer la base du cerveau. Ça, c’est une invention. Je ne sais pas qui a inventé ça, mais c’est pour vous bousiller le nerf olfactif, la glande pinéale. Ça n’a aucun sens scientifique. Si le virus est là-haut, il est au bord des narines et même dans la salive.

Et ça, je crois que c’est volontaire, ce n’est pas par hasard. L’inventeur de la PCR [qui est Kary Mullis] (qui malheureusement est décédé l’été 2019 juste avant le Covid) avait toujours dit qu’on n’utilise jamais la PCR sur des gens qui n’ont pas de symptômes. Et en dépistage de masse, c’est une erreur scientifique puisqu’il y a toujours des faux positifs dans la PCR.

Pour affoler les gens il fallait que les vagues soient très grosses à chaque fois, donc on a fait des PCR à toute la population, à des millions de gens qui étaient en très bonne santé, et après le Gouvernement a dit « regardez, catastrophe, on a fermé 3000 classes en France ! ». On ne fait pas de PCR à des gens qui n’ont pas de symptômes, donc ça a fait des vagues artificielles, chaque fois qu’ils étaient positifs ils étaient « morts du covid » alors qu’ils étaient morts d’autre chose, le comble c’est qu’ils ont fait des tests jusqu’à 45 cycles d’amplification (normalement on amplifie à 25 fois, 35 fois maximum), on amplifie du vent, on vous crée comme ça des super épidémies totalement artificielles.

Quand les vaccins sont arrivés, et que leurs PCR exagérés rendaient tout le monde positif, ils ont été très ennuyés (CDC d’Atlanta), ils se sont dit « zut ! ça ne va pas dans notre logique », ils ont dit : « bon, pour les vaccinés on baisse le cycle à 20, pour les non-vaccinés on reste à 45 ». Tout est comme ça. Tout est pourri ! il n’y a pas de science. Tout le monde a gobé. La fraude partout.

Il y a aussi tous ces médecins des plateaux télé qui font de la désinformation permanente, même si quelques-uns ont déclaré leurs conflits d’intérêts. Comme répondit Göring au procès de Nuremberg, c’est très simple, il suffit de faire peur aux gens.

[Voir aussi :
Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »
Le Pr Perronne balance des chiffres sur les décès post injection
Audition du Pr Christian Perronne au Parlement du Luxembourg : toute la manipulation autour du covid révélée en 8 minutes
Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »
6 mois après la sortie du documentaire Hold-Up, interview du Pr Perronne sur la situation Covid-19
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !
Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
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Sur les vaccins, les virus et la contagion :
Dossier vaccins et virus]




L’incroyable malhonnêteté des médias sur les questions de vaccination

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain

Février 2022. La scène se passe en direct, à la télévision, sur la chaîne info CNews.

Cela fait plus d’un an déjà que les vaccins anti-Covid ont été massivement injectés aux populations, avec la bénédiction des grands médias.

Mais ce matin-là, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche » et stupéfie ses interlocuteurs :[1]

« Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.

C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.

Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. » 

Conclusion du Pr Peyromaure : 

« C’est quand même un drôle de vaccin ! »

Un peu sidérée, la présentatrice de l’émission Sonia Mabrouk s’interroge : 

« pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et au centre du débat ? » 

Et en effet, c’est bien la question essentielle.

Écoutez bien comment la journaliste Élisabeth Levy, présente sur le plateau, a réagi à la démonstration du Pr Peyromaure :

« Cela pose quand même une question politique. On nous a tellement dit que ce vaccin allait être merveilleux, qu’on regardait tous ces gens qui ne voulaient pas se vacciner comme des sortes d’hurluberlus, on se demandait vraiment s’ils n’étaient pas un peu complotistes, moyenâgeux, etc. Je ne comprenais pas pourquoi des gens ne voulaient pas se vacciner ».

Si Élisabeth Levy, pourtant rédactrice en chef d’un journal « non consensuel », a pu penser qu’il fallait être un « hurluberlu complotiste » pour ne pas se faire vacciner contre le Covid, c’est la preuve que les grands médias étaient unanimes.

Même au début de l’année 2022, les discours critiques comme celui du Pr Peyromaure étaient encore rarissimes dans les médias (Sonia Mabrouk fait partie des très rares journalistes à apprécier les invités « non-conformistes »).

Alors que se passe-t-il ? Pourquoi les médias sont-ils aussi biaisés en faveur de la vaccination ? Comment cela se manifeste-t-il ? Et avec quelles conséquences pour le débat public ?

C’est ce que nous allons voir.

Comment les médias construisent la réalité, avec les « bons » et les « mauvais » experts

L’immense pouvoir des médias vient d’abord de l’effet loupe.

L’actualité est remplie de milliers d’informations potentiellement intéressantes ou utiles. Mais les médias n’en sélectionnent qu’une infime proportion : quelques dizaines d’informations clés, rabâchées sur toutes les antennes. Voilà ce qui façonne la « réalité » des gens.

Imaginez qu’à l’automne 2021, les journaux de « 20h » se soient ouverts sur la souffrance des soignants non vaccinés, suspendus sans salaire et plongés dans la misère sociale. Imaginez que les journalistes aient fait preuve de pédagogie, en expliquant que ces soignants étaient prêts à faire un test PCR tous les jours pour travailler, ce qui les aurait rendus moins susceptibles de contaminer leurs patients que leurs collègues vaccinés qui risquaient de transmettre le virus à leur insu.

Si les médias avaient fait leur travail, le caractère absurde, discriminatoire et violent de cette mesure aurait créé une grande émotion dans les foyers français, et cela aurait certainement conduit le gouvernement à reculer et à réintégrer les soignants – surtout en pleine épidémie, alors que de nombreux lits d’hôpitaux étaient fermés faute de soignants[2].

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Même lorsque plusieurs soignants ont entamé une grève de la faim de plus de 40 jours à Périgueux, il n’y a eu aucune dépêche AFP, ni même un reportage de France 3 Régions[3].

De façon générale, sur les vaccins anti-Covid, il n’y a eu globalement qu’un seul refrain, psalmodié dans les grands médias dès le début de l’année 2021 : ils étaient « salvateurs », sans risque, et allaient nous débarrasser de l’épidémie. 

Vous me direz peut-être que les médias se sont contentés de refléter le « consensus des experts » de l’époque, mais ce n’est pas vrai !

Un immense expert comme le Pr Raoult a prévenu dès le départ que ce vaccin ne serait pas une « baguette magique » contre l’épidémie. Le Pr Perronne, autre grand connaisseur des vaccins, jugeait dès l’été 2020 que ces vaccins contre le nouveau coronavirus étaient une « foutaise purement financière » sachant que l’on peut traiter les malades dès le début des symptômes.

Mais la parole de ces experts-là a été marginalisée médiatiquement, ou tout bonnement étouffée.

Le Pr Perronne a ainsi été banni de la plupart des antennes radio et télévision, comme l’a reconnu le journaliste Pascal Praud, en avril 2021 :

«Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal pensant, etc. »[4]

Voilà comment on « fabrique » un pseudo consensus : en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui sont dans la « ligne du parti ».

Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la campagne vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé suisses, menés par le Dr Philippe Saegesser, ont demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec des arguments parfaitement raisonnables :

« Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?

Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème ?

N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement »[5].

Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Très probablement non, ou alors en termes péjoratifs.

Car le journal suisse Le Temps a immédiatement allumé un contre-feu contre la tribune de ces 700 professionnels de santé, avec ce titre accusateur : 

« En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau », et un intertitre qui parle de « tentative de désinformation».

Ainsi, les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis-à-vis des vaccins ; ils s’efforcent également de les diaboliser !

Quelques mois plus tard, en juin 2021, la diabolisation du Dr Philippe Saegesser est d’ailleurs montée d’un cran dans la presse suisse, avec notamment ce titre cinglant : «Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise»[6]. Vous le voyez : une critique raisonnable des vaccins est immédiatement assimilée à un « délire antivax »[7] !

Donc, les médias ne se contentent pas de taire les opinions « minoritaires » : ils concourent activement à les censurer en les diabolisant !

BFM TV : «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques »

J’en ai moi-même fait les frais, en tant que journaliste indépendant.

En janvier 2021, j’écrivais à mes lecteurs une lettre détaillant les « 6 bonnes raisons de se méfier des vaccins ARN ».

C’était cette fameuse époque où la presse unanime criait au miracle et à la « baguette magique » contre l’épidémie (souvenez-vous des paroles d’Élisabeth Levy !). Mais de mon côté, après avoir évalué calmement la situation, j’en étais arrivé à la conclusion inverse :

«Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ».

La suite m’a donné raison, avec son cortège d’obligations « anormales » (masques), de restrictions des libertés fondamentales (pass sanitaires et vaccinaux, etc.), et bien sûr de contaminations et de décès Covid.

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

Il n’était pas difficile de l’anticiper : à l’époque, le généticien Axel Kahn, pourtant un grand défenseur des vaccins anti-Covid, l’avait même avoué publiquement : « Ilest assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés »[8] – rendant ainsi le vaccin initial inefficace.

Mais savez-vous comment j’ai été récompensé, pour avoir été plus lucide que ceux qui nous promettaient des miracles avec ces vaccins ?

Par l’ostracisme médiatique ! Au printemps, non seulement je n’ai été invité à peu près nulle part pour parler de mon livre (Big Pharma démasqué), mais la chaîne BFM TV est allée jusqu’à s’insurger que cet ouvrage puisse être mis en avant dans un magasin Fnac (un seul parmi des centaines !) :

«Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques, ont trouvé une place de choix, mis en avant sur un présentoir dans un magasin Fnac»[9].

Voilà la seule et unique mention de mon livre dans les grands médias français (si l’on excepte France Soir et Sud Radio) ! Alors qu’ils ont donné la parole, sur le Covid, à des dizaines de gens qui n’y connaissent rien et qui se sont trompés sur tout !

Et hors de France, c’est pareil : la seule mention de Big Pharma Démasqué dans un média étranger, la chaîne de radio publique « Ici Radio-Canada », était dans un article qui s’indignait que l’on puisse trouver mon livre dans des bibliothèques publiques canadiennes («Des discours antivax bannis de YouTube, mais disponibles à la bibliothèque»)[10].

Bref, les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts, ils contribuent activement à le façonner : en choisissant qui a le droit de s’exprimer, et qui au contraire doit être disqualifié comme « antivax ».

Et cela a des conséquences majeures sur l’opinion publique et les politiques vaccinales.

Comment les médias font l’opinion : l’exemple des 11 vaccins obligatoires

Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les médias le « quatrième pouvoir ».

Ils sont même souvent le « premier pouvoir », dans nos démocraties modernes, car ils façonnent l’opinion publique – et donc, in fine, les élections et ce qui est voté.

Prenez le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France en 2017 : le texte est passé comme une lettre à la poste, grâce à la bienveillance des médias.

Car les médias ont tout fait pour atténuer ou étouffer les sujets qui fâchent, et en particulier les risques sanitaires liés à la présence d’aluminium dans 8 de ces 11 vaccins.

Prenez cet article très représentatif de France Info intitulé 

«Onze vaccins obligatoires au 1er janvier 2018 : ‘’L’aluminium dans les vaccins représente une goutte d’eau’’».

Cet argument de la « goutte d’eau » de l’aluminium vaccinal a été véhiculé à l’époque dans tous les médias. Ici, l’article donne la parole à une scientifique, membre de l’Académie de pharmacie, qui affirme sans rougir :

« Avec tous les vaccins obligatoires, un bébé reçoit entre 4 et 5 milligrammes au total d’aluminium. Ce n’est rien »[11].

Mais c’est de la désinformation pure et simple ! Car personne ne peut affirmer sérieusement que ce métal, même à faible dose, ne peut pas avoir de toxicité, sachant qu’aucun organisme vivant ne contient la moindre trace d’aluminium à l’état naturel.

Au contraire, une étude publiée par des chercheurs français[12], et présentée quelques mois plus tôt devant l’Agence du médicament[13], avait démontré que de faibles doses d’aluminium étaient plus toxiques pour le cerveau des souris que des doses plus élevées !

Toujours à propos de l’aluminium vaccinal, voici un autre exemple de désinformation véhiculée fréquemment par les médias à l’époque[14][15] – ici dans la bouche d’un médecin généraliste :

«Mais les quantités d’aluminium apportées par les vaccins sont faibles (jamais plus de 0,85 mg) par rapport aux apports quotidiens d’aluminium dans l’organisme. Nous en mettons 3 à 5 mg dans notre corps chaque jour en mangeant et en buvant»[16].

Cet argument est simplement ridicule, car on ne peut pas comparer l’aluminium ingéré et l’aluminium injecté, quand on sait que 99 % de l’aluminium alimentaire est éliminé dans les selles et les urines !

Tout média ou journaliste sérieux et objectif devrait donc se garder de relayer une propagande « rassuriste » aussi grossière – sa mission devrait au contraire consister à « fact-checker » cette comparaison avec l’aluminium alimentaire pour en démontrer l’inanité !

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les médias laissent courir, sans contradiction, la propagande pro vaccinale, et s’acharnent à contredire ceux qui émettent des critiques nuancées.

Et c’est ainsi que l’opinion publique est faussée.

De plus, à l’époque du passage aux 11 vaccins obligatoires, il y avait déjà une stratégie de diabolisation des « antivax ».

C’est ainsi que le Parisien a publié en juillet 2017 un grand article sur «Les figures de proue du mouvement anti-vaccins en France», avec cet intertitre qui pointe un supposé « sectarisme » : « leur gourou, le professeur Henri Joyeux »[17].

Autre exemple frappant : à l’automne 2017, deux grands scientifiques, le Pr Joyeux et le Pr Montagnier (Prix Nobel de Médecine) organisent une conférence de presse sur le thème : «Oui aux vaccins, non aux 11 vaccinations du nourrisson dès la 6e semaine ».

Mais aucune radio ou télévision n’a retransmis cet événement, ce qui a empêché le grand public de se faire un avis sur la qualité des arguments de ce ceux qui s’opposaient aux vaccins obligatoires.

Pire : dans la presse écrite, on a assisté à un déchaînement d’articles assassins sur cette conférence de presse, notamment parce que le Pr Montagnier avait osé évoquer le sujet tabou (mais hélas terriblement plausible) du lien entre vaccins infantiles et mort subite du nourrisson :

« Du mauvais théâtre contre les vaccins » Libération, 7 novembre
« L’hallucinante soirée anti-vaccin », France Inter, 8 novembre
« Le lent naufrage scientifique du Professeur Luc Montagnier », Le Figaro, 17 novembre
« De l’outrance à la modération, la nébuleuse des anti-vaccins »L’Express, 30 novembre

Voilà comment les médias ont traité un sujet démocratique aussi fondamental que l’obligation vaccinale, qui touche à la fois à la santé de nos enfants et à nos libertés publiques !

Et depuis 2018, ce sujet a totalement disparu des radars médiatiques, comme si l’aluminium vaccinal n’était plus controversé et que l’obligation de ces 11 vaccins ne se discutait plus.

Voilà comment on façonne l’opinion publique.

Big Pharma le sait – et va jusqu’à utiliser les médias complaisants pour faire pression sur les autorités sanitaires.

Les campagnes médiatiques influencent aussi nos autorités de santé !

Vous vous souvenez peut-être comment un laboratoire a créé une campagne médiatique en faveur de son nouveau médicament, un soi-disant « viagra féminin » – qui était en réalité un médiocre antidépresseur repositionné – en accusant les critiques de vouloir « réprimer le désir féminin » et combattre l’égalité entre hommes et femmes.

Cette pression médiatique a bien fonctionné puisque la FDA, probablement pour ne pas être accusée d’être « machiste », a autorisé ce très mauvais médicament en 2015, sans motif scientifique sérieux[18].

Pour les vaccins Covid, un stratagème de même nature – mais de beaucoup plus grande ampleur – a été déployé.

Ce n’est pas un hasard si, à l’automne 2020, l’efficacité à 90-95 % des vaccins anti-Covid a été annoncée par communiqué de presse des labos pharmaceutiques, plutôt que par des publications scientifiques.

L’objectif était de former une immense vague médiatique autour de vaccins supposés « miraculeux », afin de forcer les régulateurs à les autoriser aussi rapidement que possible.

Ce n’est pas une théorie du complot.

Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins[19].

Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis-à-vis du vaccin de Pfizer :

« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

L’Agence européenne était « préoccupée », car le vaccin Pfizer testé n’était pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché, avec des risques d’inefficacité et de dangerosité, notamment à cause de quantités d’ARN messager qui variaient selon les lots.

Mais finalement, l’Agence européenne s’est couchée et a rapidement autorisé ces vaccins. Pourquoi ? Car la pression politique et médiatique était trop grande !

Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé après coup, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile, vis-à-vis de l’opinion publique, de ne pas approuver ces vaccins :

«Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste […], l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public)».

Ici encore, plutôt que de favoriser le débat critique et nuancé sur la vaccination, les médias se sont contentés de relayer la propagande vaccinale des laboratoires.

Mais pourquoi ? Pourquoi les médias ne favorisent-ils pas la confrontation d’idées et d’arguments d’experts ayant des positions différentes ?

Pourquoi jouent-ils au contraire un rôle de « chien de garde pro-vax », en censurant toute critique et ne relayant que les arguments favorables ?

C’est ce que l’on verra au prochain épisode – restez connecté !

Sources

[1] CNews, émission Midi News, 15 février 2022.
https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

[2] https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/

[3] https://www.francebleu.fr/infos/societe/trois-personnes-en-greve-de-la-faim-a-perigueux-contre-le-pass-sanitaire-et-l-obligation-vaccinale-1633106501

[4] https://planetes360.fr/le-pr-christian-perronne-seul-contre-tous-chez-pascal-praud-tire-les-choses-au-clair-au-sujet-des-traitements-et-de-la-vaccination/

[5] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

[6] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/son-association-sen-fiche-les-delires-antivax-dun-ponte-de-la-medecine-vaudoise-id16778677.html

[7] Dans la foulée, les médias suisses nous informent que le Dr Saegesser passera devant une « commission de déontologie » et « risque une sanction de ses confrères » (alors que la liberté de parole des médecins en Suisse est infiniment plus respectée qu’en France).
https://www.24heures.ch/le-docteur-philippe-saegesser-risque-des-sanctions-de-ses-confreres-858231714856

[8] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

[9] https://www.bfmtv.com/tech/fnac-une-selection-d-ouvrages-sur-le-covid-19-fait-polemique-sur-les-reseaux-sociaux_AN-202108180251.html

[10] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1830295/discours-antivax-bibliotheques-youtube-liberte-expression-recherche

[11] https://www.francetvinfo.fr/sante/vaccins/onze-vaccins-obligatoires-au-1erjanvier2018-l-aluminium-dans-les-vaccins-represente-une-goutte-d-eau_2539435.html

[12] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X16303043?via%3Dihub

[13] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/aluminium-dans-les-vaccins-des-effets-toxiques-caches-par-l-ansm_116650

[14] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-aluminium-autisme-la-video-eclairante-d-un-medecin-contre-les-rumeurs_1927989.html

[15] https://www.sudouest.fr/sante/vaccins-mais-que-leur-reproche-t-on-exactement-3351247.php

[16] https://www.tf1info.fr/sante/aluminium-present-dans-les-vaccins-adjuvant-est-un-danger-pour-la-sante-2059587.html

[17] https://www.leparisien.fr/societe/les-figures-de-proue-du-mouvement-antivaccins-en-france-24-07-2017-7152822.php

[18] http://www.slate.fr/story/214536/viagra-femmes-sexualite-feminine-desir-libido-agence-americaine-etats-unis-etudes-industrie-pharmaceutique-marketing

[19]https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html




Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

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LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

[Vidéo en anglais]


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Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié

[Source : RI]

[NDLR : pour rappel, l’article original datant de décembre 2021]

par Paul Craig Roberts.

Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2.

« Après le 31 décembre 2021, les CDC retireront la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement ».

Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.

J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible.

Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des médias ou des politiciens.

Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur du processus PCR, a déclaré il y a plusieurs années que « le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ». Il n’a jamais été conçu pour être un test Covid.

Le Dr Pascal Sacre, le célèbre Belge spécialisé dans les soins intensifs, a déclaré que le processus RT-PCR a été détourné et appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle pour créer l’apparence d’une pandémie basée sur des résultats de tests bidons et non sur de véritables patients atteints du Covid afin de violer les droits humains et constitutionnels des citoyens.

Comme je l’ai toujours signalé, le test PCR a été délibérément effectué à des cycles élevés, connus pour produire des faux positifs. La plupart des prétendus « cas Covid » n’étaient rien d’autre que des fabrications intentionnelles. Les hôpitaux ont fait partie de l’escroquerie, car ils ont été incités par des récompenses financières à déclarer pratiquement tous les décès comme des décès dus au Covid. C’était facile à faire, car chaque personne mourante, quelle qu’en soit la cause, subissait un test PCR qui produit jusqu’à 97% de faux positifs et était ainsi déclarée « mort Covid ».

La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires », qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma, comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr., les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg par la vaccination obligatoire.

Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible.

Les personnes qui ont fait confiance à Fauci, qui ont fait confiance à Biden, qui ont fait confiance à l’establishment médical et qui ont fait confiance aux médias ont vu leur vie ruinée.

La race humaine sera-t-elle trop stupide pour comprendre cette tromperie et les conséquences pour les droits de l’homme et la liberté humaine ? Continuera-t-elle à faire confiance aux autorités et aux médias qui l’ont trompée avec un récit contrôlé qui exigeait de réduire au silence et de punir tous les vrais experts ? Si tel est le cas, ils auront été effectivement réduits en esclavage.

Paul Craig Roberts

source : https://www.paulcraigroberts.org
traduction Réseau International




Reiner Fuellmich : « ils veulent le chaos, par la guerre, car le covid ne fonctionne plus… »

[Source : businessbourse.com]



[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

Grand Jury – Session 2

Jour 3 – Grand Jury]




Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

Références

  1. European Medicines Agency (EMA). Assessment report. Comirnaty: Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. EMA/707383/2020 Corr.1*1 https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  2. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Szpt 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
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  5. Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 2021 Dec 14. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
  6. Mevorach D, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021; 385:2140-2149. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730.
  7. Chua GT, et al. Epidemiology of acute myocarditis/pericarditis in Hong Kong adolescents following comirnaty vaccination. Clinical Infectious Diseases. 2021 Nov 28. ciab989. DOI: 10.1093/cid/ciab989.
  8. Nuovo GJ, et al. Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 and a mouse model induced by injection of the S1 subunit of the spike protein. Ann Diagn Pathol. 2021 Apr;51:151682. DOI: 10.1016/j.anndiagpath.2020.151682.
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  98. Riemersma KK, et al. Shedding of Infectious SARS-CoV-2 Despite Vaccination. [Excrétion du SRAS-CoV-2 infectieux malgré la vaccination] 2021 Oct 15. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.07.31.21261387.
  99. Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021;70:1059-1062. DOI: 10.15585/mmwr.mm7031e2
  100. MSNBC. Dr. Fauci: “The CDC Hasn’t Changed, The Virus Has Changed”. 28/07/2021. https://www.youtube.com/watch?v=8Vgn43Ly-L8.
  101. Covid-19 Impfstoffe: Das israelische Fernsehen lässt die Bombe platzen [Vaccins contre le C vid-19 : la télévision israélienne largue la bombe]. 2021 Sept 27. https://uncutnews.ch/covid-19-impfstoffe-das-israelische-fernsehen-laesst-die-bombe-platzen/.
  102. Mallapaty S. COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long [Les vaccins COVID réduisent le risque de transmission de Delta – mais pas pour longtemps]. Nature. 2021 Oct 5. https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y#ref-CR1.
  103. Servellita V, et al. Predominance of antibody-resistant SARS-CoV-2 variants in vaccine breakthrough cases from the San Francisco Bay Area, California. 2021 Aug 25. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.19.21262139.
  104. Singanayagam A, et al. Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study. Lancet Infect Dis. 2021 Oct 29;S1473-3099(21)00648-4. DOI: 10.1016/S1473-3099(21)00648-4.
  105. Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Sept 30. DOI: 10.1007/s10654-021-00808-7.
  106. Veneti L, et al. Vaccine effectiveness with BNT162b2 (Comirnaty, Pfizer-BioNTech) vaccine against reported SARS-CoV-2 Delta and Omicron infection among adolescents, Norway, August 2021 to January 2022. Mar 2022. DOI: 10.1101/2022.03.24.22272854.
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  108. Bio Moon. Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après? FranceSoir. 2021 Oct 30. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pfizer-nest-pas-pasteur-la-3eme-dose-et-apres.
  109. Wadman M. A grim warning from Israel: Vaccination blunts, but does not defeat Delta. Science. 2021;373(6557). https://www.science.org/content/article/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta.
  110. Bar-On YM, et al. Protection by a fourth dose of BNT162b2 against Omicron in Israel. N Engl J Med. 2022 Apr 5. DOI: 10.1056/NEJMoa2201570.
  111. Palmer M, Bhakdi S. M Elementary, my dear Watson: why mRNA vaccines are a very bad idea. Doctors for COVID Ethics. 10/01/2022. https://doctors4covidethics.org/elementary-my-dear-watson-why-mrna-vaccines-are-a-very-bad-idea/.
  112. Drustan JY. Évaluation scientifique d’une idéologie sanitaire. LePointCritique. 2022 Mar 4. https://lepointcritique.fr/2022/03/04/evaluation-scientifique-ideologie-sanitaire/.
  113. Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JP. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. DOI: /10.1111/eci.13484.
  114. Alexander PE. Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires (confinements, restrictions, fermetures). Browstone Institute. 2021 Nov 30. https://brownstone-org.translate.goog/articles/more-than-400-studies-on-the-failure-of-compulsory-covid-interventions/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=op,wapp.
  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




Le plus grand danger pour nos libertés ne serait-il pas la réélection de E. Macron ?

Par Gérard Delépine

Les médias et le gouvernement essayent de nous faire croire que reconduire E. Macron protégerait nos libertés, que menacerait par ailleurs M le Pen.

Pourtant le quinquennat Macron a été le plus antidémocratique et antisocial de la cinquième république avec utilisation permanente de mensonges d’état, propagande massive, censure, persécution des donneurs d’alerte et des opposants, fichage généralisé et restriction des libertés…

Que restera-t-il de nos libertés s’il poursuit ses attaques contre elles pendant 5 ans de plus ?

Mensonges permanents pour manipuler l’opinion, faire régner la terreur et culpabiliser les opposants

Les mensonges sur l’intérêt supposé des masques ont été les premiers à atteindre des sommets ubuesques que chacun garde en mémoire.(([1] https://www.bfmtv.com/politique/olivier-veran-l-usage-des-masques-est-inutile-en-dehors-des-regles-d-utilisation-definies_VN-202003040077.html))(([2] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/commerces-les-masques-sont-desormais-obligatoires_4050923.html))(([3] https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/04/06/port-du-masque-l-executif-amorce-un-virage-a-180-degres_6035698_823448.html))

Allocutions répétées des membres de l’exécutif et des interventions de la Direction générale de la santé, relayées par les principaux médias et spots publicitaires anxiogènes quotidiens, conçus par une agence de communication, experte en sciences comportementales. Allocution présidentielle martelant que nous sommes en guerre alors qu’il n’en est rien. Allocutions ministérielles présentant des chiffres exorbitants et infondés avec mise en avant permanentes des testés « positifs » et non pas des « malades » afin de présenter des chiffres susceptibles d’entretenir la terreur.

Manipulation liée aux tests PCR du SARS-CoV2

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre. Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.(([4] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603?login=false)) Cette étude a conclu : « À un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70 % des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) ; dans un ct de 30, 20 % des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35,3 % des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme). »

La confirmation de l’absence d’intérêt médical des tests PCR chez les asymptomatiques a été confirmé lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan(([5] http://www.chinadaily.com.cn/a/202006/03/WS5ed6f96ea310a8b24115a6a8.html))(([6] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020)) où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.(([7] Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Le 11 novembre 2020, la 3e chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne(([8] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés.)) se basant sur les données de la littérature internationale a condamné le recours exclusif au test PCR comme moyen de diagnostic de covid.

« Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins. Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2.

La cour rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic. »

Manipulation du taux d’incidence

(nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants)(([9] https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite)): le seuil épidémique d’alerte pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux)(([10] https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/covid-19-une-enquete-pour-suivre-l-evolution-des-comportements-et-de-la-sante-mentale-pendant-l-epidemie))(([11] V.DAR Page 13 sur 44 bilan annuel)) auparavant fixé entre 150 et 200 cas pour 100 000 habitants a été abaissé à 50 cas pour 100 000 habitants, en mai 2020. Ce changement de seuil a pour but de faire croire que la situation est grave, ce qui permet aux Agences régionales de santé (A.R.S.), aux préfets et à l’exécutif de prendre des mesures liberticides

Mensonges concernant les patients en hôpitaux : les malades et décédés ont été comptabilisés covid-19 sur la simple foi d’un test frauduleux même lorsque le décès et/ou la maladie étaient la conséquence d’une autre pathologie ou d’un accident.

Manipulation des taux d’occupation des lits de réanimation : le gouvernement a décidé d’abaisser le seuil de vigilance de 60 % à 40 % de patients covid-19 en réanimation et le seuil d’alerte de 80 à 60 %.

Opacité autour des patients décédés : absence d’autopsie (voire interdiction) qui aurait permis d’établir la cause réelle de la mort. Le même refus d’autopsie est actuellement pratiqué en cas de mort après vaccination afin de nier tout lien possible de causalité.

[La Pologne n’achètera plus de « vaccins » anticovid :
https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-pologne-nachetera-ni-ne-paiera-plus-le-vaccin-anti-covid]

Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière et globalement très inefficace.

En effet, en cas d’épidémie, les experts savent qu’il est nécessaire d’isoler les « malades » (non pas les « positifs ») et de les soigner.

Confinement(([12] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Imposant une astreinte à domicile de toute la population, mesure pourtant totalement contraire à l’état de la science.

Violant le droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violant la liberté d’entreprendre visant spécifiquement les P.M.E. : les commerçants, les indépendants, le secteur de la culture et de l’événementiel, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le tourisme, etc.

Violant le droit de manifester et de se rassembler et usant de violence à l’encontre des manifestants (ou interdiction pure et simple).

Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France.

Toutes les études scientifiques indépendantes ont depuis démontré que ces confinements n’ont entraîné aucune réduction des taux de transmission du Covid-19, ni une réduction du nombre des décès, mais de nombreuses victimes par défaut de soins, des dommages majeurs à l’enseignement, un recul sans précédent du PIB et de l’économie de la France, une augmentation de la pauvreté et des inégalités sociales.

Mesures de couvre-feu et d’interdictions diverses restreignant les libertés sans aucune justification scientifique, faisant fi de l’intelligence collective et traitant les citoyens comme des mineurs alors qu’aucune étude scientifique des faits constatés n’a démontré qu’elles pouvaient avoir un effet utile sur l’épidémie.

Euthanasie active des anciens dans les EPHAD et dans certains hôpitaux par administration du Rivotril alors que l’euthanasie active est interdite en France.(([13] Loi Clayes-Léonetti n° 2016-87 du 2 février 2016))

La volonté de mettre à l’isolement des citoyens simplement « positifs » à un test fallacieux (proposition de loi du député Olivier Becht) et volonté d’étendre cette séquestration aux non-vaccinés attestée par le projet de loi 3714. Allocution présidentielle du 24 novembre 2020 menaçante :

« Je souhaite que le gouvernement et le Parlement prévoient les conditions pour s’assurer de l’isolement des personnes contaminées, y compris de manière plus contraignante ».

Décision de rendre le port du masque obligatoire en toutes circonstances pour les adultes (juillet 2020), puis les enfants(([14] l’article 36 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020)) (octobre 2020) alors qu’aucune étude scientifique ne démontre l’utilité du masque en cas d’épidémie de Covid et que beaucoup rappellent l’absence de bénéfices et la nocivité du port du masque, même pour les professionnels(([15] Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery (Journal Neurocirurgia, 19 avril 2008 — PMID 18500410))(([16] Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial (American Journal of Infection Control, 12 février 2009 – PMID 19216002))(([17] A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers (British Medical Journal, 22 avril 2015 PMID: 25903751) : 20)). Mesure parfaitement disproportionnée, qui ne tient pas compte de la balance bénéfice/risques en l’état des connaissances scientifiques.

Interdiction de traitements anti-covid-19 disponibles bon marché en violation des droits du patient, de la liberté de prescrire et des données de la science.

Le 19 novembre 2020 le Professeur Harvey Risch, MD, PhD, spécialiste en épidémiologie et maladies chroniques de l’université de médecine de Yale, auditionné par le Sénat américain affirme(([18] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Risch-2020-11-19.pdf)):

« Les preuves des avantages de l’hydroxychloroquine utilisée à un stade précoce chez les patients ambulatoires à haut risque sont extrêmement solides, et les preuves d’absence d’effets nocifs sont tout aussi solides.

Cet ensemble de preuves l’emporte nettement sur les preuves de risques/bénéfices du Remdesivir, des anticorps monoclonaux ou du bamlanivimab, difficile à utiliser, que la FDA a approuvés pour les autorisations d’utilisation d’urgence, tout en refusant l’autorisation d’utilisation d’urgence de l’hydroxychloroquine. Ce double standard flagrant pour l’hydroxychloroquine doit être immédiatement renversé et sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence approuvée. C’est ainsi que nous nous mettrons sur la voie d’un traitement ambulatoire précoce et d’une réduction importante de la mortalité ».

En France aussi ce double standard de critères d’autorisation a été scandaleusement appliqué en autorisant le Remdesivir alors que cette molécule extrêmement coûteuse n’avait aucunement démontré son efficacité qui a d’ailleurs été niée depuis par l’O.M.S.

Censure et violation de la liberté d’expression

Tous les médias, Facebook et Twitter ont interdit l’expression d’opinion contestant le récit officiel en les qualifiant systématiquement de fausses nouvelles et leurs auteurs traités de complotistes et d’antivax même lorsqu’ils avaient toute leur vie défendu les vrais vaccins comme les Pr Raoult et Perronne.

Depuis le début de son mandat, E M a choisi de placer l’information sous contrôle. Dès lors, tout était possible, et la fermeture de RT France n’est que le résultat de « la propagande et la censure voulue » par le président de la République.

Il n’y a eu aucun débat sur la réalité de la crise, l’intérêt médical des mesures ou la nécessité d’un état d’urgence.

Les délibérations du conseil scientifique pilotant les décisions sanitaires ont été déclarées Secret-défense pour 50 ans et en même temps J. Castex affirmait que cette politique était transparente !

Le conseil de l’ordre des médecins a rétabli le délit d’opinion(([19] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion#disqus_thread)) à la demande du gouvernement et poursuivi de nombreux médecins qui exprimaient des doutes sur la stratégie anti-covid de E. Macron.

Le 24 décembre 2020, J. Castex s’est attaqué à la liberté d’expression des médecins en publiant un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle.

Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante visant à lutter contre les fausses informations, présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres ont été choisis par l’Élysée. Beaucoup d’entre eux ont la fâcheuse habitude d’user du terme « complotisme » comme d’un anathème contre quiconque pense mal (= différemment du gouvernement).

Persécution des donneurs d’alerte et des soignants vaccino prudents

Raoult, Perronne et bien d’autres médecins dont la seule faute était de dénoncer les erreurs et mensonges du récit officiel et de s’y opposer publiquement ont été diffamés, poursuivis par l’ordre, démis de leurs fonctions et parfois chassés de leur emploi.

Et pour pouvoir évincer de la profession médicale sans possibilité de recours les médecins, chirurgiens-dentistes sage-femme, pharmacien et autres soignants infirmiers, masseur-kinésithérapeutes, pédicure-podologue qui n’obéiraient pas aux ukases gouvernementaux, E. Macron a créé par ordonnance en date du 19 juillet 2021 un « Conseil national de certification ». Officiellement chargé de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles [et] l’actualisation et le niveau des connaissances, il dispose en pratique du droit exorbitant de retirer le droit d’exercer des médecins. Il abolit en pratique la valeur du diplôme de docteur en médecine puisqu’elle peut décider seule de supprimer le droit d’exercice aux soignants qui lui déplaise.

L’obligation vaccinale des soignants a exclu inutilement de la profession 15 000 à 30 000 soignants. Ce n’étaient pas des antivax comme les ont présentés le gouvernement et les médias (ils avaient dans le passé accepté de recevoir de vrais vaccins et de les injecter) mais des soignants qui ayant observé des complications vaccinales étaient devenus vaccino prudents, attendant les résultats définitifs des essais toujours en cours avant de se décider de les accepter ou non. Ils ont été exclus de la profession sans salaire ni chômage aggravant le manque cruel de personnel qualifié et le nombre de déserts médicaux tandis que le ministre et les ARS prétendent qu’ils n’auraient « pas de soignants dans les placards ».

Roi de la propagande, de la censure, de la persécution des donneurs d’alerte et des opposants, du fichage généralisé et des restrictions des libertés, E. Macron le fait en cohérence avec la complaisance qu’il éprouve envers les régimes et dirigeants autoritaires, comme la Chine (initiatrice du confinement) ou du Qatar, apôtre de l’obligation vaccinale.





Contre Macron le 24 avril 2022

[Source : p-plum.fr]

[Transmis par Christine Côte]

Par Fred (pplum-admin)

J’ai cinquante et un ans. Je n’ai jamais gagné une élection présidentielle. Jamais je n’aurai imaginé voter Le Pen de ma vie. Mais la crise Covid a révélé à mes yeux que le personnage Macron est pire que le personnage Le Pen.

Le cœur du problème est le décalage entre le narratif et la réalité. On vous dit qu’il y a une grave épidémie qu’il faut s’isoler les uns des autres, etc. Mais la réalité c’est qu’il n’y a pas de grave épidémie. Voir le livre de l’épidémiologiste Laurent Toubiana « Covid19 une autre vision de l’épidémie » éditions L’Artilleur 2022. La réalité, c’est que la peur d’une grave épidémie est orchestrée par la propagande afin de réaliser un objectif politique bien précis : habituer les gens à s’identifier électroniquement à chaque geste de la vie quotidienne.

Nous pourrions donc continuer à faire comme s’il n’y avait pas de décalage, comme si c’était normal de voir des gens masqués alors qu’il n’y aucune raison, comme si ça allait de soi d’obliger les élèves à tuer toutes les bactéries de leurs mains avec du gel bactéricide à chaque entrée en classe alors que ça nuit à leur santé.

Mais ce décalage nous place en situation de dissonance cognitive, c’est très grave. On s’enfonce dans la folie.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est jeu-enfant-formes.jpeg.

Quand un enfant joue à faire rentrer une forme ronde dans un trou carré, il cesse assez vite parce qu’il voit bien que ça ne rentrera pas. Les adultes eux, peuvent continuer jusqu’au burn-out, jusqu’à la violence sur soi ou sur les autres ou sur les objets.

Si vous observez ces graphiques (([1] https://twitter.com/felicittina/status/1507813114879922179
https://twitter.com/Mounotella/status/1496197873293275140)), vous voyez que le vaccin tue des gens en leur injectant la Spike. Quand vous essayez de faire coller cette réalité au narratif institutionnel (le vaccin sauve de la covid), ça ne marche pas. Donc, soit vous devenez fou, soit vous trouvez une échappatoire.

Une échappatoire possible est le complotisme : celui qui montre le graphique serait un complotiste, c’est-à-dire qu’il choisirait des images afin de faire croire que les gouvernements veulent tous nous tuer.

Comme Didier Raoult, je préfère qu’on me traite de complotiste plutôt que de devenir fou. Je préfère vivre pas longtemps sain d’esprit plutôt que vivre longtemps dans la dissonance cognitive.

À continuer avec Macron, on arrivera inévitablement à ce qui se passe en Chine : des policiers abattent un chien à coups de bâton dans la rue. La Police covidiste rafle les animaux de compagnie parce qu’ils sont suspectés de véhiculer la covid. La Police covidiste retire les enfants à leurs parents. 25 millions de personnes sont confinées à Shanghai, il n’y a plus à manger. Les habitations sont réquisitionnées pour servir de quarantaine. La Police fait s’agenouiller les gens pour leur scanner le QR Code en pleine rue. Tout ça pour… la Covid ?? Ce qui est en train de se passer en Chine est la pire horreur qu’on avait plus vue depuis longtemps.

https://twitter.com/El_Dic_TatoR/status/1513565318781845504

Les Chinois ne sont pas différents de nous. Quand on essaie de faire coller le narratif avec la réalité alors que ça ne marchera jamais, on devient violent. La violence qu’on a observée à l’hôpital en France (on ligote un vieux sur son lit d’hôpital pour qu’il garde son masque contre la covid, puis il meurt par exemple) vient de là. Si vous n’arrivez pas à faire rentrer la forme ronde dans le trou carré, il y a des moyens d’adultes que l’enfant ne connaît pas : casser le trou, limer le trou, couper la forme et surtout rejeter la faute sur quelqu’un d’autre qui a touché le trou ou la forme. Bref, employer les grands moyens… Inhumains…

Avec Macron, nous sommes entrés dans la dictature absolue : le système où les gens croient être libres. C’est une hallucination collective.

« Leur propagande est marquée par un mépris extrême des faits.« 

H.Arendt

« Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » Vera Sharav et Ariane Bilheran (([2] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/vera-sharav-et-ariane-bilheran Vidéo 1h10))

Je pense aux soignants et pompiers dont la vie est devenue un enfer parce qu’ils n’ont pas la même culture vaccinale que les crânes d’oeufs du Ministère. Marine Le Pen a promis de réintégrer les soignants non vaccinés (([3] https://www.europe1.fr/politique/presidentielle-marine-le-pen-veut-reintegrer-15000-soignants-mis-a-pied-4105801)). Je sais, ça ressemble à une manoeuvre électoraliste, mais ce n’est pas comme Macron qui annonce un projet de VIe République après le 1er tour pour draguer les électeurs de J.-L. Mélenchon. Cette mesure de réintégrer les soignants non vax, faite en novembre 2021, elle dit quelque chose sur le coup de frein à donner sur la politique vaccinale totalitaire de Emmanuel MacKinsey.

En réalité, c’est le think tank progressiste Terra Nova qui évoque le mieux la parole de Marine Le Pen, en essayant de dézinguer ses points de vue sur la pandémie « scientifiquement », c’est-à-dire avec les chiffres présentés dans le journal transhumaniste « Le Monde » (([4] https://tnova.fr/societe/sante/marine-le-pen-et-le-covid-deux-ans-dincoherences/)).

Il faut que M. Le Pen devienne présidente pour que les injections (soi-disant contre la covid-19) cessent d’être le laissez-passer de toute activité humaine sur cette Terre. Voter contre Macron est un message adressé à la prochaine Assemblée nationale ; si Marine Le Pen n’est pas présidente, si elle n’a pas la majorité, il y aura eu au moins ce message.

Je note quand même que l’abrogation des lois sur l’état d’urgence sanitaire et sur le passe sanitaire n’est pas dans le programme de Marine Le Pen (([5] https://mlafrance.fr/programme)). Contrairement à la France Insoumise de Mélenchon (([6] C’est dans son programme ici :
https://laec.fr/section/31/sorganiser-pour-faire-face-aux-pandemies?q=sanitaire,passe )).

Quand je vois le programme du Rassemblement National, tout ce discours sécuritaire, je me dis que c’est de la gnognote comparé à la dictature complètement hallucinée qui s’est mise en place avec le covidisme.

Macron MacKinsey flatte l’égoïsme le plus vil. On est entre gens qui ont le « passe » et on en profite à fond de nos loisirs égoïstes. Mais qu’est-ce qui peut être pire en termes de totalitarisme que cet encouragement massif au repli sur soi et la délation ?

Mettre du gel bactéricide sur les mains, c’est comme éradiquer tous les étrangers dans les zones frontalières, sous prétexte que certains sont dangereux, alors il faudrait tous les éliminer, peu importe qu’il y en ait une immense majorité qui soit bénéfique et que l’équilibre puisse être atteint naturellement comme toujours. Cette idéologie radicale qui tient de la folie est mise en application sur chacun, sur les enfants par la Macronie progressiste. Il faut y mettre un coup d’arrêt.

« On nous vole ce qu’on a de plus précieux : notre vie intérieure ! À l’est, c’est la foire du parti qui la foule aux pieds, à l’ouest, c’est la foire du commerce! »

A. Soljenitsyne

Je conçois ma décision comme un électro-choc pour celles et ceux qui continuent de croire que le Ministère de la Santé et leurs commanditaires de Davos (Gates, l’OMS, les GAFAM et compagnie) nous veulent du bien en nous faisant faire des tests PCR à tout bout de champ. Le test PCR a été officiellement arrêté aux USA parce qu’il ne dit pas – il n’a jamais dit – que vous étiez malade. Parce qu’il ne fait pas bien la différence entre la grippe et la covid…

Macron a déchaîné la Police sur les manifestants en gilets jaunes, qui défendent l’honneur des travailleurs. J’ai observé ces gens mutilés par la Préfecture sous Macron. Et nous avons vu ces migrants à Calais, traités par des bêtes inhumaines. Avec Macron, avec n’importe qui d’autre, nous sommes déjà dans cette société de la précarité totale : les riches sont de plus en plus riches et ça marche aussi très bien dans l’autre sens, ça va même avec. Les plus faibles trinquent toujours en premier.

Macron ou Le Pen, mon message est destiné à celles et ceux qui sont dans le narratif de la société industrielle, « on n’arrête pas le progrès ». Il n’y a rien de plus urgent justement que d’arrêter la fuite en avant de la société industrielle et de revenir aux fondamentaux simples de la vie sur Terre. Lire à ce sujet « La Fin de la mégamachine – Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement » Fabian Scheidler Seuil 2020.

En écrivant ce texte, je voudrais que tout le monde se préserve des injonctions paradoxales, des ordres contradictoires qui placent les gens dans des situations de dissonance cognitive. Par exemple il faut arrêter de faire du « développement durable », c.-à-d. continuer avec le « développement », mais de manière « durable ». C’est l’équation impossible à résoudre, la destruction du psychisme calme et modéré.

Avec Marine Le Pen présidente, j’entends les sirènes transphobes, homophobes : Marine a été mariée, elle a eu des enfants. Macron lui, c’est un pédé qui pelote les Messieurs muscles noirs. Comme si j’en avais quelque chose à faire de ces trucs. Quand on a perdu un oeil en manif, quand on a perdu son boulot de soignant non vax, quand on ne peut plus entrer dans une médiathèque à cause de sa culture propre, quand on se désole de la casse du service public, qu’est-ce qu’on en a à faire de la couleur et des préférences sexuelles du commanditaire ? Un dictateur, c’est un dictateur. Qu’il soit cisgenre ou LGBT-compatible ne lui donne pas le droit de se comporter comme un dictateur. Qui peut imaginer une seconde que Marine Le Pen puisse faire abroger la loi sur l’avortement en France en 2022 ? La société civile veille. Par contre, Macron lui, on connaît ses méthodes de progressiste : il ferait aboutir – apparemment en douceur avec les médias de masse – le projet de portefeuille numérique européen, qui contiendrait la monnaie numérique voulue par les grands trusts internationaux.

On a été élus, on a essayé de faire mieux, et ça a donné comme d’habitude »

Viktor Tchernomyrdine

Et encore et toujours :

« Je sais que partout dans le monde, il y a des gens qui s’entretuent.
C’est pas gai.
Mais je sais aussi qu’il y a des gens qui s’entre-vivent.
J’irai les rejoindre.« 

Jacques Prévert

En vous souhaitant bonne journée

Fred

PS : à lire aussi « N’oublions jamais que sous E.Macron, on a voulu nous faire accepter : … »

PPS : Graphique spectaculaire qui montre que le décès covid chez les 0-9 ans est corrélé à la génévaccination (il y a de quoi devenir fou de réaliser ce qu’on fait aux enfants, et dans quel monde on vit !) : 




Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

[Source : mondialisation.ca]

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux

Par Prof Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.

Introduction

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

Cliquez ici ou sur l’écran pour voir la vidéo



Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS »

Mercola

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020 Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMSLe Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population »

(Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020

Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Source : HeathData.org

#Oui, c’est un « Vaccin tueur »

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »

Nature

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. »

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standardSelon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippeNous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

  • 31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
  • Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
  • Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
  • 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années..En décembre 2021, Bloomberg rapportait que.« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « ..Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars. .Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?  .La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021..« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

L’article a été publié initialement en anglais le 19 mars 2022.

Traduction et révision par l’auteur.


À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Mollesse russe et nécessaire destruction du complexe euro-américain

Par Nicolas Bonnal

Nous nous rapprochons de la Fin, entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge, et notre cauchemar euro-américain est à son comble : Leyen, Breton, Attal ou l’infecte Wargon en pleine campagne présidentielle annoncent la confiscation des maisons (vivre à la campagne sera illégal), le camp de concentration électronique, le marquage numérique et vaccinal, l’expropriation et la pénurie pour tous (litre de machin à 2,30 euros tout de même)… La destruction de cet hitlérien complexe atlantique et oligarchique serait le seul moyen de vivre et de vivre libre. Dans quelques années, peut-être même quelques mois, il sera trop tard. Ils veulent de la pénurie, du contrôle, de l’extermination : on les aura. Je viens de voir qu’il est impossible de retourner dans des pays non européens ou j’ai vécu (notamment en Amérique du Sud) : là-bas aussi, Davos et l’OMS ont gagné. On est enfermé, et Debord le disait déjà :

« dans un monde unifié, on ne peut s’exiler ».

Paul Craig sait tout cela parfaitement et il s’énerve une nouvelle fois contre Poutine et la Russie, qui ne détruisent pas ce complexe alors qu’ils pourraient le faire. On est face à un champion qui se laisse marcher sur les pieds, alors on s’énerve — d’autant qu’ils vont NOUS LIQUIDER. Les politiques ont été payés et sélectionnés pour ça.

Pour PCR [Paul Craig Roberts — pas le test PCR] :

« les sanctions russes contre l’Occident peuvent gravement nuire à l’Occident. Pourquoi la Russie n’utilise-t-elle pas ce pouvoir ? »

Et de donner les raisons ; d’une part la Russie reste trop bien élevée (c’est ce que dit Custine [Voir : Custine et les racines du conflit entre Russes et Occidentaux] déjà : les Russes sont trop polis) :

« La première raison est que la Russie veut prouver qu’elle est un partenaire commercial fiable qui remplit ses contrats et n’utilise pas les relations commerciales comme une arme. Mais à quoi cela sert-il à la Russie alors que les États-Unis et l’Europe ne sont pas des partenaires commerciaux fiables et utilisent le commerce comme une arme ? Comme la Russie est le seul partenaire fiable dans l’accord, la Russie est prise pour un tour. »

Ensuite Craig Roberts rappelle ce qu’on sait tous : la Russie est en partie contrôlée par les atlantistes et c’est comme pour les avoirs gelés par la piraterie occidentale. Craig Roberts :

« L’autre raison erronée est que les économistes et la banque centrale russes, soumis au lavage de cerveau des économistes néolibéraux américains, pensent que la Russie ne peut pas se développer sans devises étrangères. La banque centrale pense même qu’elle ne peut créer de roubles pour financer des projets d’investissement que si les roubles sont adossés à des devises. Cela a amené la banque centrale à emprunter de l’argent dont elle n’a pas besoin et sur lequel elle paie des intérêts. En d’autres termes, la politique de la banque centrale russe est absurde et sert les intérêts occidentaux aux dépens de la Russie. »

La Russie n’a pas encore compris son génie autarcique ; et elle n’a pas sauté le pas (on sent qu’elle va devoir le faire) :

« Les Russes pourraient fermer l’industrie occidentale si la Russie cessait d’exporter de l’énergie et des minerais, mais elle a peur de le faire à cause de la perte de devises.   En revanche, les États-Unis n’ont rien dont la Russie a besoin.   Biden a proposé une interdiction des exportations américaines de produits de luxe vers la Russie, ce qui ne gêne que quelques oligarques et leurs maîtresses.

La Russie n’a pas besoin de devises étrangères.   Elle n’a pas besoin d’importer de l’énergie et des minéraux.   La Russie regorge d’ingénierie et de science et peut fabriquer tout ce dont elle a besoin. »

 Craig Roberts ajoute :

« La banque centrale peut financer tous les projets internes.   Mais comme les Américains ont réussi à laver le cerveau des économistes russes, les Russes ne peuvent pas utiliser l’arme puissante qu’ils ont sous la main pour mettre l’Occident à genoux en implorant grâce.   De plus, les économistes russes n’ont pas assez de bon sens pour exiger le paiement en roubles de leur énergie et de leurs minerais. Cela renforcerait leur propre monnaie plutôt que les monnaies de leurs ennemis.   Pourquoi la banque centrale russe renonce-t-elle à l’opportunité d’utiliser les exportations russes pour stabiliser la monnaie russe ?

La conclusion est que dans le jeu des sanctions, les Russes ont toutes les cartes en main mais ne savent pas comment les jouer. »

Explication :

« La raison de l’impuissance auto-imposée de la Russie est qu’une grande partie de la classe intellectuelle et dirigeante russe a subi un lavage de cerveau par le Forum économique mondial et est attachée au mondialisme. »

On a vu aussi comment les moscovites se sont rués angoissés chez Ikea avant la fermeture de cette horrible enseigne. Le monde marchand esquinte tout le monde.

Puis Craig Roberts en vient à Biden et aux Occidentaux :

« L’idiot mal avisé de la Maison-Blanche se vante que le gouvernement américain ‘va rendre plus difficile pour la Russie de faire des affaires avec les États-Unis’. Cela rend également plus difficile pour les États-Unis et leurs États fantoches de faire des affaires avec la Russie. L’Occident n’a rien dont la Russie a besoin, mais l’Occident ne peut pas survivre sans l’énergie et les minerais russes. Pendant de nombreuses années, les Américains n’ont pas eu accès à l’espace et aux expériences en apesanteur sans que les Russes les transportent jusqu’à la station spatiale. »

Rappelons que nos marcheurs sur la lune ne disposent pas de moteurs soixante après pour y aller.

Au final la sottise américaine sera le déclencheur de la libération russe :

« Washington va aider davantage la Russie en interdisant les investissements occidentaux dans tous les secteurs économiques russes.   En d’autres termes, les idiots d’Américains vont faire pour la Russie ce que la Russie aurait dû faire pour elle-même il y a des années. »




Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

Par Hügo Krüger — 24 novembre 2021

Traduction : Jean Bitterlin

L’histoire du VIH/SIDA

« La vérité est la fille du temps, non celle de l’autorité. »

Sir Francis Bacon

Je suis persuadé par les arguments selon lesquels le VIH ne cause pas le SIDA et que, comme le Président Thabo Mbeki, j’ai fait l’effort indescriptible d’examiner les preuves pour ensuite décider de changer d’avis.

Le scandale a débuté le 23 avril 1984

1984 était une année d’élections et le président américain Ronald Reagan n’avait pas dit un mot sur le SIDA. Pour empêcher le Parti Démocrate de faire du SIDA un sujet de campagne, Margaret Heckler, Secrétaire d’État de la Santé et des Services à la Personne, a organisé une conférence de presse où elle a déclaré que la cause du SIDA avait été trouvée. Le coupable était un rétrovirus découvert par le Dr Robert Gallo. Ronald Reagan fut réélu.

L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.

Après trois années d’enquête, le Bureau Fédéral de l’Intégrité de la Recherche a découvert ce jour que le Dr Robert Gallo, le codécouvreur de la cause du SIDA avait commis une faute scientifique. Les enquêteurs ont dit qu’il avait « faussement rapporté » un fait critique dans l’article scientifique de 1984 dans lequel il décrivait l’isolation du virus qui cause le SIDA.

Le nouveau rapport disait que le Dr Gallo avait intentionnellement induit des collègues en erreur afin d’en tirer profit et de diminuer le mérite qui revenait à ses concurrents français. Le rapport disait également que sa fausse déclaration avait « entravé le potentiel progrès de la recherche sur le SIDA » en détournant les scientifiques d’un travail potentiellement fécond avec les chercheurs français.

Le SIDA en Afrique du Sud

Aucune maladie n’a autant secoué la psyché sud-africaine que le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA). Durant ma scolarité on disait que la pandémie se répandait dans tout le pays et cela emporta les médias, les ministères, les commerces et le système éducatif dans une frénésie — une situation qui est comparable à ce que nous vivons aujourd’hui avec le coronavirus. En Afrique du Sud des rubans rouges ont été placés sur chaque communication, les enfants ont dû apprendre les avantages des pratiques sexuelles sans risque et les églises avaient des prières d’ouverture et de fermeture (des offices — NdT) pour demander une bénédiction du Tout-Puissant pour ceux qui souffrent de la maladie mortelle. Dans son allocution sur « son plus grand regret lorsqu’il était en fonction » l’ancien président Nelson Mandela a passé ses années de retraite avec des influenceurs comme Bono, Oprah Winfrey et les Spice Girls pour sensibiliser sur les habitudes de vie dangereuses qui conduisent à l’infection au VIH et au développement du SIDA.

Et qui pourrait oublier le courageux Nkosi Johnson, l’orphelin du SIDA, qui s’est exprimé contre le Président Thabo Mbeki en 2000 lors de la conférence du SIDA à Durban et l’a supplié en public afin que d’autres enfants comme lui puissent avoir accès aux médicaments antirétroviraux. Puis il y a eu la ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang, étiquetée par le Mail et le Guardian comme « Dr Betterave » après qu’elle ait suggéré que la betterave et l’ail pouvaient traiter la maladie à la conférence Internationale sur le SIDA de Toronto en 2006. Lors d’une interview avec John Robbie le présentateur de Radio 702, on lui a demandé si elle croyait vraiment que le VIH cause le SIDA ? Robbie lui a dit en colère et probablement sans réfléchir « de partir » — suscitant une compréhensible accusation de racisme, car c’était souvent le ton de langage que la femme noire subissait sous l’Apartheid.

Dans les médias on disait que Thabo Mbeki s’associait avec des hurluberlus négationnistes du SIDA et qu’il était obstiné et irresponsable pour avoir retardé le déploiement des médicaments antirétroviraux chez les plus pauvres d’entre les pauvres. Au Parlement, lorsque Ryan Coetze, porte-parole de l’Alliance Démocratique, lui a demandé « s’il pensait vraiment que le VIH ne cause pas le SIDA » il en a résulté une autre accusation de racisme. En opposition aux mesures du gouvernement, une nouvelle forme d’activisme est née, appelée « Militants du SIDA » qui comprenait notamment Zachie Achmat, Nathan Geffen et Mark Heywood de la Treatment Action Campaign (association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zachie Achmat — NdT).

Le nombre de victimes causé par le négationnisme du Président Mbeki a été estimé être de l’ordre d’un quart de million de Sud-Africains, ce qui a conduit la Ligue de la Jeunesse du Parti Communiste à exiger qu’il soit jugé pour génocide. La négligence de Thabo Mbeki a contribué à sa défaite politique lors de la conférence Polokwane (réunion du Congrès National Africain ou ANC, parti de Nelson Mandela — NdT) et d’être destitué pendant son dernier mandat. Le Congrès National Africain (ANC) le remplaça par un président plus charismatique, Jacob Zuma dont le premier acte d’arrivée au pouvoir a été de prendre ses distances de « l’ère du déni » du pays. Jacob Zuma débuta un déploiement massif des antirétroviraux, et fait rare dans les dissensions des politiques sud-africaines, il a été temporairement loué par la leader du parti d’opposition Helen Zille. Zille se sentait très fortement concernée par le sujet du SIDA, si fortement que quelques années plus tard elle a préconisé la criminalisation de la transmission du VIH dans ce qu’un commentateur a désigné comme étant « une Gestapo du SIDA ».

Jusqu’à il y a deux ans, je ne pouvais pas comprendre la pandémie VIH/SIDA en Afrique du Sud et pour quelle raison Thabo Mbeki, qui était très intelligent, semblait si têtu sur la question. Comment se faisait-il que lui et son gouvernement étaient si sensibles aux critiques et recouraient souvent à des accusations infondées de racisme lorsqu’ils faisaient l’objet de pressions sur la question ? L’attitude m’a frappé comme étant absurde, mais c’était jusqu’à ce que je réalise que j’étais un de ceux qui assumaient simplement ce qu’il disait et qui n’écoutait pas ce qu’il disait.

Le mensonge VIH/SIDA remonte à la mauvaise interprétation de la tentative d’isolation initiale faite par le virologue français Luc Montagnier. Mon opinion se fonde sur les découvertes du Groupe de Perth en Australie, dont le travail est souvent cité dans le nouveau livre « Virus Mania » (coécrit par le journaliste allemand Torsten Engelbrecht — un livre à lire absolument — NdT). Le Groupe de Perth a convaincu le Président Thabo Mbeki que nous examinons la maladie VIH/SIDA à travers le mauvais paradigme et j’encourage ceux qui ne sont pas d’accord avec moi à au moins lire leur travail scientifique. Le Groupe de Perth a non seulement révélé que le VIH ne cause pas le SIDA, mais c’était le début du regain d’intérêt de la « Théorie écologique » de la maladie. L’idée que tout le fondement de la Théorie du Germe repose sur des bases fragiles et que les conditions environnementales jouent également un rôle important dans la progression de la maladie.

Mon voyage dans le SIDA

Durant la pandémie Covid-19, moi-même et de nombreux autres avons été atterrés lorsque des voix dissidentes provenant de scientifiques qui s’opposaient au confinement pour des raisons de santé publique ont été réduites au silence, et qu’on a découragé le recours à des médicaments hors homologation pour faire passer un vaccin à ARNm mis au point dans la précipitation sans disposer de données appropriées sur la sécurité à long terme. En niant la vérité, les autorités ont lancé une des campagnes de propagande médiatiques les plus sophistiquées de l’Histoire moderne de l’Humanité.

Comme l’ont montré récemment le physicien Denis Rancourt et ses collègues, les données ne suggèrent pas qu’il y a une dangereuse pandémie Covid-19 puisqu’il est évident que la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis, en Europe et au Canada n’a que peu changé durant ces deux dernières années. En parcourant les données de mortalité, je suis surpris combien les médias et la population en général ne savent ni lire ni compter. Les humains ont tout simplement du mal à mettre les chiffres dans une perspective compréhensible surtout lorsqu’il y a une tentative délibérée des autorités de répandre la peur, d’induire en erreur et de monopoliser la vérité. Je ne peux que conclure qu’il n’y a qu’une pandémie de peur qui provient de la nature peu fiable du test PCR et de la non-spécificité des tests anticorps.

En faisant ma recherche et mes interviews sur le Covid-19, il devint évident que le Covid-19 n’était pas le premier des nombreux crimes commis par le Dr Fauci et que les techniques actuellement déployées pour manipuler le public à l’échelle mondiale ont été expérimentées durant la pandémie du SIDA.

L’AZT – Poison par prescription

Mon exploration dans la question VIH/SIDA est venue lorsque je suis tombé sur un article de l’épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch, qui rapportait le refus d’Anthony Fauci d’autoriser dans les années 1980 le médicament Bactrim aux homosexuels masculins. Le Bactrim, tout comme l’Ivermectine, était un médicament hors homologation qui aurait pu traiter la pneumonie à pneumocystis associée et que de nos jours les médecins utilisent couramment comme faisant partie du Protocole du SIDA HAART. Probablement pour apaiser ses amis de l’industrie pharmaceutique Anthony Fauci a décidé de bloquer le déploiement du médicament pendant près de deux ans et de promouvoir un médicament connu sous le nom d’AZT sans que des essais cliniques appropriés aient été faits. Tout comme pour le vaccin Covid-19, le groupe placébo a été délibérément cassé pour cacher les risques de fond et la criminalité n’a été révélée qu’après qu’un militant gay du nom de John Lauritsen ait enquêté sur le processus d’approbation de la FDA. Le Dr Risch a souligné que bien que le médicament AZT fonctionnait, il était très toxique aux doses initiales, mais comme j’en ai lu davantage sur la toxicité dans le livre de John (Lauritsen – NdT) « Le Poison par Prescription » tout le couvercle sur le VIH et le SIDA s’est soulevé. De plus, à la fin de l’an passé, Neville Hodgkinson, un ancien correspondant scientifique du Sunday Times a soulevé mes soupçons lorsqu’il a écrit que les supercheries Covid-19 avaient été expérimentées pendant la pandémie VIH/SIDA, ce qui m’a amené à poser la question simple :

« Que savait le Président Mbeki au sujet du VIH/SIDA ? »

Que disaient les dissidents et pourquoi avaient-ils tort ? Il s’avère que je suis maintenant d’avis que non seulement le Président Mbeki avait raison, mais qu’il avait raison de se poser des questions sur la toxicité des antirétroviraux et en particulier de l’AZT (plus tard appelé zidovudine). L’AZT — initialement conçu comme chimiothérapie anticancéreuse — cible la synthèse de l’ADN, la base de toute vie et après son utilisation généralisée, le taux de « décès SIDA » parmi les homosexuels masculins a été multiplié par 10. Récemment un ancien documentaire de la BBC intitulé « Les Enfants Cobayes » a refait surface, documentaire qui exposait comment on s’est servi d’enfants orphelins de New York dans les essais de l’AZT — la plupart d’entre eux en sont décédés.

Le médecin spécialiste du VIH/SIDA Joseph Sonnabend, né en Afrique du Sud, a qualifié l’AZT « d’incompatible avec la vie » — la définition même du poison. John Lauritsen a estimé que l’AZT a tué 330 000 homosexuels masculins aux États-Unis et à la Conférence de Vienne sur le SIDA il a prononcé un discours émouvant où il n’a pas hésité à utiliser le terme de « génocide gay » en l’honneur des jeunes hommes homosexuels qui ont pris le poison en pensant qu’il allait les guérir alors qu’en fait il les a emportés dans leurs tombes.

Pourtant c’était ce médicament que les militants de l’association Treatment Action Campaign (TAC – Campagne d’Action pour le Traitement, association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zackie Achmat en 1998 – NdT – une façade de relations publiques pour Big Pharma) voulaient que le Président Thabo Mbeki importe en Afrique du Sud. Pendant la pandémie Covid-19, la TAC et Nathan Geffen en particulier ont écrit une série d’articles montés de toutes pièces sur l’association PANDA de Nick Hudson après qu’il ait remis en question les statistiques de vaccination du gouvernement de la Province du Cap Occidental. (PANDA est une association dont les membres sont des professionnels multidisciplinaires qui ont considéré que la réaction planétaire envers le Covid, et plus particulièrement les confinements, était exagérée – NdT). Les mêmes personnages qui avaient fait passer le profit avant les vies humaines durant la pandémie du SIDA refont la même chose avec la Covid-19.

En ce qui concerne l’Afrique du Sud, ce qui m’a encore davantage frappé c’étaient les paroles de Nkosi Johnson à la conférence de Durban sur le SIDA qui ont été publiées par les médias du Monde entier.

« Je déteste avoir le SIDA parce que je tombe très malade et je deviens très triste lorsque je pense à tous les autres enfants et nouveau-nés qui sont malades du SIDA. Je souhaite simplement que le gouvernement puisse commencer à donner l’AZT aux mères enceintes séropositives pour aider à empêcher la transmission du virus à leurs bébés ».

(Nkosi Johnson est né en 1989 et mort en 2001 ; il était né « avec le SIDA » et il est venu faire le discours ci-dessus à Durban en juillet 2000 — NdT)

L’histoire de Nkosi Johnson a-t-elle été utilisée par l’industrie pharmaceutique comme propagande émotionnelle pour vendre un médicament toxique, et quel était le médicament qu’il prenait avant de mourir ?

Le voyage de Mbeki — Débat sur le SIDA

Au cours de mon interview avec Anthony Brink, dissident du SIDA, il m’a raconté l’histoire comment Thabo Mbeki en vit à s’intéresser au débat, car, comme moi, cela a également commencé avec l’AZT. Brink était un avocat du barreau de Pietermaritzburg qui s’est intéressé à l’AZT après que la pression des médias ait commencé à pousser le gouvernement à prendre au sérieux la pandémie VIH/SIDA et à importer des (médicaments-NdT) antirétroviraux dans le pays. Sa femme l’a averti qu’il y avait sur Internet des discussions scientifiques au sujet de la toxicité des médicaments. Comme son intérêt sur le sujet grandissait, il a décidé d’écrire un livre de titre « Débats sur l’AZT » qui contenait toute la littérature médicale et scientifique sur la toxicité du médicament.

Brink m’a également mentionné qu’il connaissait un collègue avocat qui est décédé après avoir testé positif au VIH. Son partenaire juridique l’a informé qu’il prenait des antirétroviraux avant son décès. Brink a envoyé son manuscrit à la veuve et à sa grande horreur il a découvert que les symptômes étaient précisément ceux prédits par la littérature citée dans « Débats sur l’AZT ».

Brink a alerté la ministre de la Santé Nkosazana Dlamini-Zuma en envoyant à son bureau une copie de son livre, mais à ce moment-là Nelson Mandela était sur le point de quitter ses fonctions (de président de l’Afrique du Sud — NdT) et un de ses (à la ministre de la Santé – NdT) conseillers spéciaux, le Dr Ian Roberts, pensait qu’il valait mieux reporter le problème sur le prochain ministre de la Santé.

Immédiatement après avoir prêté serment, la première chose à l’ordre du jour du ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang a été de passer en revue le livre d’Anthony Brink « Débat sur l’AZT ». Après avoir été informé des conclusions du livre, le Directeur Général à la Présidence de l’ANC, Smuts Ngonyama a appelé Brink et lui a demandé de rédiger la déclaration aux médias de l’ANC sur l’AZT. Mbeki a pris connaissance qu’il y avait un problème de toxicité avec les antirétroviraux et ceci l’a conduit à découvrir qu’il y avait autre chose que le virus du VIH dans le SIDA et que les médicaments eux-mêmes sont toxiques.

Comité consultatif

Débats sur le SIDA a déclenché une bombe en Afrique du Sud. Il a convaincu Mbeki d’écouter les arguments des dissidents du SIDA. Ils peuvent être trouvés sur le site Internet Virusmyth et dans le film documentaire « House of Numbers » (La Maison des Chiffres — visible, en anglais, sur le lien https://www.youtube.com/watch?v=qdJpBL6aBFQ — NdT). Les dissidents tout comme les scientifiques orthodoxes ont été invités à son Comité Consultatif sur le SIDA de mars 2000 qui s’est tenu à l’hôtel Sheraton à Prétoria. Parmi les participants à la première rencontre, il y avait des sceptiques du SIDA tels que le professeur Peter Duesberg, David Rasnick et le Professeur Sam Mhlongo de la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA pour Medical University of South Africa — NdT). Les scientifiques orthodoxes, parmi lesquels le Professeur Glenda Gray, le Professeur Salim S. Abdool-Karim, le Dr Malegapuru W. Makgoba et le découvreur du VIH le Dr Luc Montagnier, étaient également présents. Plus significatif encore, ce sont ceux qui n’ont pu participer qu’à la deuxième réunion, le Professeur Eleni Papadopoulos — Eleopoulos et le Dr Valander Turner connus sous le nom du « Groupe de Perth » (groupe de scientifiques de Perth en Australie – NdT). Brink m’a dit que Mbeki et Kgalema Motlanthe auraient finalement été persuadés par leurs arguments.

Le Rapport Consultatif Présidentiel donne le meilleur résumé des arguments pour ou contre l’hypothèse VIH/SIDA et c’est une tragédie pour l’Afrique du Sud que nos médias n’aient jamais correctement débattu des conclusions du rapport, car cela aurait dévoilé tout le scandale. Le rapport a une valeur considérable pour l’histoire de la médecine et pour la pandémie en Afrique du Sud. La Société de Télédiffusion sud-africaine a également refusé de diffuser les vidéos de l’événement, mais heureusement une partie du matériel a refait surface et est disponible grâce à des sources anonymes sur Odysee.

Il n’y a que peu d’interviews où l’on a donné à Thabo Mbeki une occasion honnête pour exprimer son opinion sur le SIDA, mais parmi celles-ci il y a un bon film « La Recherche de Solutions » qui a été diffusé par Carte blanche et télédiffusée qu’en Afrique.

Le seul débat honnête sur la toxicité de l’AZT a été diffusé en 2005 sur ETV. Il a présenté le Dr David Rasnick et le Dr Sam Mhlongo du côté opposé (à l’hypothèse orthodoxe — NdT) et le Dr Malegapuru W. Makgoba et le Professeur Ian Sanne (du côté orthodoxe — NdT).

Le Dr Sam Mhlongo était le chef du Département de Médecine Familiale et de Soins de Santé Médicale à la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA). Durant des décennies le Dr Mhlongo a été exilé pour son opposition au régime d’apartheid. Après son retour en Afrique du Sud il a continué à combattre un nouvel ennemi : l’impact dévastateur du « commerce avec la maladie » de l’industrie pharmaceutique en Afrique du Sud.

Il était membre du Comité Consultatif Présidentiel sur le SIDA, où il a exploré et adopté des alternatives viables pour faire face à cette épidémie, en particulier pour les communautés pauvres et marginalisées. Le Dr Mhlongo est malheureusement décédé en 2006 dans un accident de voiture, ses réflexions sur le SIDA et sur les médicaments sont bien conservées en ligne.

L’hypothèse VIH — SIDA

Dans le rapport consultatif de Mbeki, je vais souligner quelques déclarations qui montrent les raisons pour lesquelles moi aussi je rejette l’hypothèse VIH et pour quelles raisons il contient des leçons pour le Covid-19.

Une préoccupation particulière soulevée par certains membres du comité était qu’après 15 années de recherches, il n’y avait pas d’« étalon d’or » (en anglais gold standard — référence absolue — NdT) pour mesurer la précision et la fiabilité des données générées à partir des méthodes généralement utilisées pour diagnostiquer de l’infection VIH.

Le test PCR

Les arguments contre l’utilisation de la PCR (polymerase chain reaction ou réaction de polymérisation en chaîne — NdT) sont que ce test est caractérisé par une grande variabilité et un manque de reproductibilité. En outre, la très grande variabilité peut conduire à une interprétation erronée des résultats, compromettant ainsi l’exactitude et la validité de la PCR. Le Dr Bialy avait souligné que le test de charge virale avec la PCR pourrait ne pas être une mesure légitime du virus infectieux. Cela démontre un niveau élevé de fluctuation, et la charge virale peut être augmentée non spécifiquement par d’autres infections virales et bactériennes (les infections opportunistes peuvent également augmenter la charge virale). Les résultats de la recherche indiquent qu’il se peut que le test de charge virale ne soit pas toujours un indicateur de la progression clinique du VIH vers le SIDA.

Le Dr Kary Mullis (hélas décédé le 7 août 2019 — NdT), l’inventeur de la PCR a dit en maintes occasions que les soi-disant tests PCR ne peuvent pas détecter une infection ou la présence du virus. Même la notice dit que les « tests » PCR ne peuvent pas être utilisés pour diagnostiquer le SIDA ou détecter la présence de VIH.

Il en va de même des tests anticorps notamment des tests Elisa et Western Blot. Ils ne vous disent rien sur un virus unique ou une infection.

Le test Elisa

L’absence de normalisation des résultats ELISA, tant à l’intérieur du pays qu’entre les pays, était une source de préoccupations majeures pour certains membres du comité consultatif. Les résultats des tests ELISA pouvaient être interprétés différemment au sein d’un même laboratoire, entre les laboratoires d’un même pays et entre les pays. Cela peut signifier qu’une personne testée positive dans un laboratoire d’Afrique du Sud pouvait être testée négative dans un autre laboratoire du même pays. En outre le manque de standardisation entre le pays pouvait entraîner qu’une personne soit positive dans un pays et négative dans un autre.

Le test Western Blot

Le Dr Papadopoulos-Eleopoulos a présenté une diapositive montrant les résultats d’un test Western Blot avec un certain nombre d’échantillons provenant de patients atteints de lèpre, de tuberculose et de SIDA. Il est apparu que les résultats du Western Blot des différents échantillons étaient indiscernables les uns des autres, montrant que le test Western Blot était non spécifique et non fiable. Tous les échantillons ont testé positif, même ceux des patients atteints de lèpre et de tuberculose. Au cours de délibérations ultérieures, le Dr Mark Smith a souligné que Max avait déjà démontré en 1994 les résultats indéterminés des tests Western Blot. Ce qui précède souligne le fait que le test Western Blot ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic déterminé.

Alors que fait-on d’un virus pour lequel il n’y a pas de test fiable qui indique sa présence ? Comment se fait-il que le grand public ait été entraîné dans une frénésie sur la base de résultats faux positifs ?

Comme me l’a confirmé un médecin, aujourd’hui la pratique consiste à utiliser à la fois les tests sanguins Elisa et western Blot ainsi que le test PCR pour mesurer une « charge virale » arbitraire et qui n’a aucune signification.

Mais si aucun des trois tests n’a de sens ? Quel est leur but lorsque les facteurs suivants sont connus pour causer des résultats de test anticorps au VIH qui sont de faux positifs ?

  • Les anticorps antiglucides (52, 19, 13)
  • Les anticorps apparaissant naturellement (5,19)
  • L’immunisation passive : réception de gammaglobuline ou d’immunoglobuline (en tant que prophylaxie contre l’infection qui contient des anticorps) (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13)
  • La lèpre (2, 25)
  • La tuberculose (25)
  • La Mycobacterium avium (25)
  • Le Lupus érythémateux disséminé (15, 23)
  • L’insuffisance rénale (48, 23, 13)
  • Hémodialyse/insuffisance rénale (56, 16, 41, 10, 49)
  • La thérapie par interféron alpha chez les patients hémodialysés (54)
  • La grippe (36)
  • La vaccination antigrippale (30, 11, 3, 20, 13, 43)
  • L’Herpès simplex I (27)
  • L’Herpès simplex II (11)
  • L’infection des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11)
  • L’infection virale récente ou exposition à des vaccins viraux (11)
  • La grossesse chez les femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36)
  • Le paludisme (ou malaria- -NdT) (6,12)
  • Des niveaux élevés de complexes immuns circulants (6, 33)
  • L’hypergammaglobulinémie (niveaux élevés d’anticorps) (40, 33)
  • Les faux positifs sur d’autres tests, parmi lesquels le test RPR (réactif au plasma rapide) pour la syphilis (17, 48, 33, 10, 49).
  • La polyarthrite rhumatoïde (36)
  • La vaccination Hépatite B (28, 21, 40, 43)
  • La vaccination antitétanique (40)
  • La transplantation d’organes (1, 36)
  • La transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56)
  • Les anticorps antilymphocytaires (56, 31)
  • Les anticorps anti-collagènes (trouvés chez des hommes gays, des hémophiles, des Africains des deux sexes et les personnes atteintes de la lèpre) (31)
  • Le sérum positif pour le facteur rhumatoïde, les anticorps antinucléaires (tous deux trouvés dans la polyarthrite rhumatoïde et dans d’autres auto-anticorps) (14, 62, 53)
  • Les maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : Lupus érythémateux aigu disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosite.
  • Les infections virales aiguës, les infections virales à ADN (59, 48, 43, 53, 40, 13)
  • Les tumeurs malignes (cancers) (40)
  • L’hépatite alcoolique/maladie alcoolique du foie (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53)
  • L’angiocholite sclérosante primitive (48, 53)
  • L’Hépatite (54)
  • Le sang « collant » (chez les Africains) (38, 34, 40)
  • Les anticorps à haute affinité pour le polystyrène (utilisé dans les kits de test) (62, 40, 3)
  • Les transfusions sanguines, les multiples transfusions sanguines (63, 36, 13, 49, 43, 41)
  • Le myélome multiple (10, 43, 53)
  • Les anticorps HLA (aux antigènes leucocytaires de classe I et II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53)
  • Les anticorps anti muscles lisses (48)
  • Les anticorps cellulaires antipariétaux (48)
  • Les IgM anti- hépatite A (anticorps) (48)
  • Les IgM anti-Hbc (48)
  • L’administration avant 1985 de préparation d’immunoglobulines humaines regroupées (10)
  • L’hémophilie (10, 49)
  • Les troubles malins hématologiques/lymphome (43, 53, 9, 48, 13)
  • La cirrhose biliaire primitive (43, 53, 9, 48, 13)
  • Le syndrome de Stevens-Johnson 9 (48, 13)
  • La fièvre Q avec hépatite associée (61)
  • Les spécimens traités thermiquement (51, 57, 24, 49, 48)
  • Le sérum lipidémique (sang avec des taux élevés de graisse ou de lipides) (49)
  • Le sérum hémolysé (sang où l’hémoglobine est séparée des globules rouges) (49)
  • L’hyperbilirubinémie (10, 13)
  • Les globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on peut observer dans les groupes à risques du SIDA) (10, 13, 48)
  • Les personnes en bonne santé suite à des réactions croisées mal comprises (10)
  • Les ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13)
  • Les autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13)
  • Les anticorps anti-mitochondriaux (48, 13)
  • Les anticorps antinucléaires (48, 13, 53)
  • Les anticorps anti-microsomiques (34)
  • Les anticorps antigéniques leucocytaires des lymphocytes T (48, 13)
  • Les protéines sur papier filtre (13)
  • Le virus Epstein Barr (37)
  • La leishmaniose viscérale (45)
  • Le sexe anal réceptif (39, 64)

L’expérience de Luc Montagnier

On dit que le virus de l’immunodéficience humaine a été découvert par le virologue français Luc Montagnier au début des années 1980. En 1990 à une conférence sur le SIDA à San Francisco Montagnier a exprimé son propre scepticisme envers l’hypothèse VIH.

« Le VIH n’est ni nécessaire ni suffisant pour causer le SIDA »

Luc Montagnier

Bien que ne s’éloignant jamais complètement de l’hypothèse VIH/SIDA, Montagnier, dans la série documentaire House of Numbers, a doublé la mise de son scepticisme, en particulier en ce qui concerne l’Afrique.

« Le SIDA ne conduit pas inévitablement à la mort, surtout si vous supprimez les cofacteurs qui soutiennent la maladie. Il est très important de dire cela aux personnes qui sont infectées, je pense que nous devrions accorder la même importance aux cofacteurs que nous en accordons au VIH. Les facteurs psychologiques sont essentiels dans le soutien de la fonction immunitaire. Si vous supprimez ce soutien psychologique en disant à quelqu’un qu’il est condamné à mourir, rien que vos seules paroles l’auront condamné ».

Luc Montagnier.

En 2000 lors du Comité Consultatif sur le SIDA de Mbeki, on a demandé à Montagnier s’il avait réellement « purifié » le VIH. Il a simplement dit qu’il s’agissait d’une vieille technique et qu’elle n’était plus valable. Le Groupe de Perth s’est élevé contre l’interprétation initiale de Montagnier.

Que le SIDA et tous les phénomènes interprétés comme « VIH » sont induits par des changements dans l’oxydoréduction provoqués par la nature oxydative des substances et des expositions communes à tous les groupes à risque du SIDA et aux cellules utilisées dans la « culture » et « l’isolation » du « VIH ».

Les problèmes avec l’isolation du VIH authentique sont bien présentés dans la longue l’interview de Bret Leung du Groupe de Perth dans le film House of Numbers et également sur le site Internet du Groupe de Perth.

Anthony Fauci

Aggravant la fraude de Gallo, Anthony Fauci a recyclé la hautement toxique chimiothérapie AZT comme médicament anti-VIH, qui selon John Lauritsen aurait tué 330 000 homosexuels masculins.

Fauci a promis qu’un vaccin contre le VIH serait disponible « dans les deux ans à venir ». 37 ans plus tard, nous attendons toujours. Depuis lors le gouvernement des États-Unis a dépensé plus de 600 milliards de dollars pour le SIDA et n’a pas sauvé une seule vie.

L’histoire comment le dogme du SIDA a débuté a été racontée dans le film de Joan Shenton « Positiveley False » (Carrément Faux, également titre du livre de Joan Shenton — NdT).

Donc, si le virus VIH n’a pas été isolé, qu’en est-il alors du SIDA ?

Le SIDA

Donc, si le virus n’a pas été isolé, qu’en est-il du SIDA ?

« Les morts manquants »

Durant la présidence de Thabo Mbeki, le journaliste Rian Malan, qui travaillait sous contrat avec le Magazine Rolling Stone, s’est penché sur la question du VIH/SIDA et a entrepris de trouver les 250 000 morts et les 20 millions de victimes que l’on disait qui mourraient de la maladie sur tout le continent. À son grand étonnement, il a constaté que « L’Afrique ne mourrait pas du SIDA » et que des villes dont on prévoyait qu’elles allaient mourir de la pandémie voyaient en réalité leurs populations augmenter. Après avoir examiné les rapports des médecins légistes et avoir visité dans toute l’Afrique du Sud les cliniques dédiées au SIDA, Malan n’a tout simplement pas pu trouver l’excès des décès.

« Une note sur le site web du MRC (Medical Research Council — Comité de la recherche Médicale — NdT) expliquait que la modélisation est une science inexacte, et que “le nombre de personnes mourant du SIDA ne fait que commencer à augmenter”. En outre, a déclaré le MRC, il y a un nouveau modèle en cours d’élaboration, un qui produira “probablement” “des estimations environ 10 % inférieures” à celles qui sont actuellement avancées. L’exercice n’était pas strictement valide, mais j’ai persuadé mon copain scientifique Rodney Richards de faire exécuter les données révisées sur son propre simulateur et de voir ce qu’il en sortirait pour 1999. La réponse, très grossièrement, était un nombre de morts du SIDA d’environ 65 000 — très loin des 250 000 initialement avancés par l’UNAIDS.

Sans prétendre savoir quoi que ce soit sur le VIH/SIDA, Rian Malan a simplement expliqué que les millions de personnes qui étaient censées mourir de ces maladies étaient le produit de modèles informatiques.

C’est quoi le SIDA ?

À l’origine le SIDA était limité aux hommes homosexuels d’Amérique qui utilisaient des poppers comme drogue récréative dont les effets secondaires donnaient des symptômes de type de ceux du SIDA. La population homosexuelle était fortement ciblée par le dépistage et étant donné le taux élevé de faux positifs, ils testaient positif en grand nombre. Au fil du temps le CDC a regroupé des maladies qui n’avaient rien à voir les unes avec les autres. Tout comme pour la Covid-19, la définition du SIDA a commencé à s’élargir en ajoutant de nouveaux symptômes à la maladie. Peut-être la plus grande absurdité est que le SIDA en Afrique et le SIDA en Amérique n’ont en commun que le nom. En Afrique c’est avant tout une maladie de la pauvreté et en Amérique c’est surtout une maladie liée à la consommation de drogues.

La liste du CDC des 26 maladies et affections définissant le SIDA qui ont peu ou rien à voir les unes avec les autres

  • Les infections bactériennes, multiples ou récurrentes
  • La candidose bronchique, de la trachée ou des poumons.
  • La candidose de l’œsophage
  • Carcinome cervical invasif
  • Coccidioïmycose
  • Cryptococcose extrapulmonaire
  • Cryptosporidiose intestinale chronique
  • Maladie à cytomégalovirus
  • Herpès simplex
  • Histoplasmose
  • Encéphalopathie à VIH (démence)
  • Syndrome du vieillissement pathologique du VIH
  • Isosporose
  • Sarcome de Kaposi
  • Pneumonie lymphoïde interstitielle
  • Lymphome de Burkitt
  • Lymphome immun blastique
  • Lymphome primaire du cerveau
  • Mycobactérium avium ou M. kansasii
  • Mycobactérium tuberculosis
  • Pneumonie à pneumocystis carinii
  • Pneumonie récurrente
  • Leucoencéphalopathie multifocale progressive
  • Septicémie à salmonelle
  • Toxoplasmose du cerveau
  • Immunosuppression sévère liée au VIH

Voici les définitions du SIDA en Afrique des Nations Unies

  1. Perte de poids
  2. Fièvre
  3. Diarrhée et
  4. Toux persistante
  5. Tuberculose
  6. Ganglions lymphatiques gonflés

Ces deux maladies sont tellement distinctes qu’il n’est pas possible qu’elles proviennent du même virus. Si vous deviez être diagnostiqué du SIDA en Afrique du Sud et vous vous envolez pour l’Amérique, selon la définition officielle seriez-vous guéri ? Comme me l’a dit David Rasnick dans une interview “Le VIH n’a que 3 gènes structurels et pourtant il sait si vous êtes Blanc ou Noir, homosexuel ou hétérosexuel, riche ou pauvre, et sur quel continent vous vivez”.

Le rapport du comité consultatif de Mbeki a également exprimé des préoccupations sur la définition de la construction du SIDA.

Pour quelle raison le VIH/SIDA est-il transmis de manière hétérosexuelle en Afrique tandis que dans le monde occidental on dit qu’il est surtout transmis de manière homosexuelle”.

Les Africains ne peuvent certainement pas être tellement différents pour souffrir de manière différente du même virus ? Face à cette anomalie, l’establishment du SIDA a décidé de requalifier ces deux maladies en VIH-1 et VIH-2.

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

En résumé

  • Comme le montrent les travaux du Groupe de Perth, les preuves que le virus VIH a été purifié n’existent pas.
  • Comme le montrent les contradictions des méthodes de dépistage, aucun des tests VIH ne peut dire quoi que ce soit sur la présence du virus.
  • Comme le montre la découverte de Rian Malan, l’Afrique ne meurt pas d’une pandémie mortelle.
  • Comme le montre la définition du SIDA, les maladies du SIDA en Afrique sont largement liées à la malnutrition et à la pauvreté et aux États-Unis elles sont la conséquence du mode de vie et de la consommation de drogues.

Ce que j’attends que cet article génère c’est que nous commencions et ouvrions la discussion sur le VIH et le SIDA sur les points suivants.

  • La toxicité des antirétroviraux doit être ouvertement admise et les laboratoires pharmaceutiques et la FDA doivent être tenus pour responsables pour les innombrables décès qui sont de leur fait.
  • Les leçons de VIH/SIDA sont d’importance capitale si nous voulons en finir avec les crimes qui sont commis sous le nom de l’urgence sanitaire Covid-19 et si jamais nous voulons croire en la justice pour les centaines et milliers d’homosexuels et les millions d’Africains qui ont été soumis à cette expérimentation cruelle en leur donnant des médicaments sur la base d’un faux résultat positif.
  • Pour les Sud-Africains il est temps d’examiner objectivement les preuves détaillées qui sont dans le rapport du comité consultatif de Mbeki, puis que nous lui présentions tous des excuses.

Le Président Thabo Mbeki avait raison :

“Le VIH ne cause tout simplement pas le SIDA”

Références

Pour ceux qui sont intéressés par la question, des blogs, de bons vieux articles sur les arguments des dissidents peuvent être trouvés sur les sites web suivants :

  1. Virusmyth pour un recueil d’arguments sur les dissidents.
  2. Viroliegy pour une introduction sur la théorie du terrain.
  3. Treatment Information Group pour un recueil sur la toxicité des antirétroviraux.
  4. The Perth Group pour les opinions dissidentes auxquelles Mbeki a souscrit.
  5. Le site web de David Rasnick pour de bonnes références sur le SIDA. David a décidé de garder en ligne les réflexions de son ami le Dr Sam Mhlongo.

Livres sur le sujet :

  1. Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies, faisant des milliards de dollars de profits à nos dépens, 3e édition par Torsten Engelbrecht (auteur), Claus Köhnlein (auteur), Samantha Bailey (auteur) et Stefano Scoglio (auteur)
  2. Le poison par prescription — l’histoire de l’AZT par John Lauritsen.
  3. “Le SIDA : Le raté de la science contemporaine” par Neville Hodgkinson.
  4. “L’invention du virus de SIDA” par Peter Duesberg.
  5. “Débats sur l’AZT” par Anthony Brink.

Traduction Jean Bitterlin le 08 mars 2022.




Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr via Antidotes]

Le conseil de l’ordre n’était-il pas assez obéissant pour sanctionner les médecins indépendants ? toujours est-il que le 19 JUILLET 2021 un décret créait un conseil de certification des médecins et qu’aujourd’hui la première victime est un professeur respecté et connu internationalement le pour Perronne ! Les médecins français vont-ils enfin relever la tête et protester à large échelle contre cette mesure inique, injustifiée, dangereuse pour les patients, car qui osera soigner si cette mesure monstrueuse n’est pas rapidement levée. Nous avions protesté en 2016 en écrivant « soigner ou obéir » pour témoigner de la perte de la liberté de soigner. Aujourd’hui, il est non seulement interdit de respecter son serment d’Hippocrate en soignant les malades en fonction des meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science (arrêt Mercier, 1936) mais interdit de parler… Toutes nos libertés disparaissent en même temps que le pétrole augmente. Il serait temps de réagir.

Nicole Delépine

INTERVIEW EXCEPTIONNELLE A FAIRE LARGEMENT CIRCULER

Le brillant et courageux Professeur Christian Perronne a compris les véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire. Ce que nous diffusons depuis près de deux ans sur ce blog commence à circuler un peu plus largement mais rien n’est encore gagné. Le combat pour l’information est quotidien. Si seulement 10% de nos concitoyens venaient à découvrir les dessous et enjeux de cette crise et à manifester un peu de courage, nous serions sauvés.

Arnaud de Brienne

Entretien avec le Professeur Christian Perronne par Nelly Fouks

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2e, la 3e, la 4e et la 5e vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.


https://twitter.com/brienico/status/1500878940210085892?s=20




Jour 3 – Grand Jury

[Source : @JeanneTraduction]




Grand Jury – Session 2

Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !




Crise de confiance entre les Français et le corps médical

[Source : RL]

Par Christophe Sévérac

Je suis Covid+. Grosse fièvre, fatigue, courbature, perte partielle du goût. Je ne suis pas vacciné, mais je suis en bonne santé et surtout, je sais à peu près comment me soigner. J’appelle mon docteur, lui explique mes symptômes. Il me demande si je suis vacciné… et me prépare une ordonnance pour un test PCR en labo. Avec une seule consigne : isolement, isolement, isolement. C’est beau la médecine en France en 2021. Ça sait remplir des papiers et vous coller l’ARS aux fesses.

Ils ont oublié leur mission qui était de soigner les gens. Les docteurs renvoient chez eux des milliers de personnes malades, sans traitements, sans soins, et quand leur état se détériore, direction les urgences et pour beaucoup (surtout au début), hélas, la morgue.

Comment appeler cela? Un crime de masse. L’état est le premier responsable qui a interdit pêle-mêle quasiment tous les traitements précoces. Mais on peut interroger néanmoins l’attitude pour le moins servile de la majorité des médecins.

Flavia Groșan, pneumologue roumaine affirme que c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! Ce qui compte selon elle, c’est un traitement précoce, elle a donné des antibiotiques comme la clarithromycine, utilisé pour les pneumonies. Elle n’a eu aucun décès dans ses patients, même parmi les personnes âgées. En France, le professeur Raoult a eu de trop bons résultats dans son hôpital, il est maintenant harcelé par la meute.

Comme ils n’ont rien côté remèdes précoces, les médecins matraquent côté vaccination.

Mon grand frère (54 ans) s’est fait vacciner deux  fois Moderna. Depuis sa vie a basculé dans l’horreur. Péricardites à répétition, douleurs cardiaques insupportables, impossibilité de réaliser le moindre effort, aucune amélioration depuis six mois. Les médecins ne comprennent pas, ils évoquent peut-être une péricardite auto-immune…

Il a voulu faire un signalement ANSM, les médecins ont cherché à l’en dissuader, puis devant son insistance, on lui a fait remplir un papier, depuis il n’a eu aucune nouvelle.

Les victimes d’effets indésirables du vaccin témoignent de la difficulté des médecins à les écouter et les prendre au sérieux…

Ça va du condescendant « c’est psychologique, vous êtes dépressif», en passant par l’agacement « vous deviez avoir ça avant, c’est le hasard » ou le scientifique « désolé, mais statistiquement c’est infime », pour finir par l’autoritaire «  il n’y a aucun rapport, le vaccin n’y est pour rien ».

Un ami infirmier me disait que ces personnes dérangent. Leurs souffrances dont le vaccin est responsable est une accusation silencieuse de tout le système médical. Celui-ci se protège en ignorant, minorant, en rejetant tout lien de causalité.

Pourtant les chiffres sont affolants, le nombre de signalements concernant ces vaccins est sans commune mesure avec ceux des autres vaccins ou médicaments, même sur des décennies !

Peut-on encore faire confiance à ce système médical ?

La médecine est censée être le fer de lance du progrès et de la science, en réalité elle a toujours été inféodée au pouvoir en place. La médecine n’est pas une science et elle n’est aucunement neutre. En France, elle est intrinsèquement lié aux groupes pharmaceutiques et aux puissances dirigeantes. Le conseil de l’ordre, sorte de chien de garde, se charge de ramener les rebelles dans le droit chemin ou de les expulser.

Il faudrait un article entier pour parler de toutes ces personnes, ostracisées pour avoir oser chercher et trouver des solutions hors du cadre fourni par l’institution.

Dès les premiers symptômes, puisque je savais que mon docteur ne me donnerait rien,  j’ai pris des antibiotiques et antiviraux naturels, des huiles essentielles. Le Ravintsara est pratique d’utilisation car même les enfants et femmes enceintes peuvent en prendre et j’ai complété avec du pin sylvestre, très efficace pour les voies respiratoires. Ce sont des substances puissantes, il faut toujours faire attention à la posologie et aux allergies éventuelles.

Les Français ne s’y trompent pas, la consommation d’huiles essentielles explose, +45 % en 6 ans (chiffres 2017).

L’industrie pharmaceutique ne pouvait pas rester sans réagir, le programme Reach de l’union européenne, qui a l’origine devait lutter contre les substances chimiques toxiques dans les produits de consommation, s’attaque aux huiles essentielles, en les considérant comme des produits industriels ! Elles risquent de disparaître. L’enjeu est crucial : la possibilité de se soigner quand le gouvernement vous prive des médicaments efficaces.

Le système médical s’est transformé en une espèce d’accélérateur de la numérisation de l’individu, compte virtuel, dossier médical numérique dès la naissance. On sent la nasse se refermer, ce mouvement de numérisation de notre santé et de nos identités est mondial. Pour ma part, j’ai refusé l’ouverture de ces comptes pour mes enfants et pour moi-même.

En prenant un peu de hauteur, on peut voir que le système de santé a été dévoyé de sa mission première qui est de soigner, pour vacciner et contrôler la population. Il a été déshabillé par des fermetures de lits, des manques de moyens, la maltraitance des soignants, la persécution de nombreux médecins et infirmiers.

Nous avons glissé en deux ans dans le monde merveilleux de Kafka.




Fauci et la grande arnaque du SIDA. Mise à jour

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique

Extrait:

En tant que défenseur de la santé publique, d’une science solide et d’autorités régulatrices indépendantes, libres de toute corruption et de tout lien financier avec l’industrie pharmaceutique, j’ai combattu le Dr Fauci pendant de nombreuses années. Je le connais personnellement, et l’impression que j’ai de lui est très différente de celle qu’ont mes collègues démocrates, qui l’ont d’abord connu comme la star des conférences de presse COVID télévisées de la Maison Blanche ; poli, humble, sérieux, attachant et endurant la critique sans broncher. Le Dr Fauci a joué un rôle historique en tant qu’architecte principal de la «capture des agences» – la prise de contrôle des agences de santé publique américaines par l’industrie pharmaceutique.

Hélas, l’incapacité du Dr Fauci à atteindre les objectifs de santé publique pendant la pandémie de COVID n’est pas surprenante. Elle découle d’un schéma trop classique dans lequel la santé et la sécurité publiques sont sacrifiées sur l’autel des profits pharmaceutiques et de l’intérêt personnel. Il a toujours fait primer les profits de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique. Les lecteurs de ces pages apprendront comment, en exaltant la médecine brevetée, le Dr Fauci a, toute sa longue carrière durant, régulièrement falsifié la science, trompé le peuple et les médecins, et menti sur les questions d’innocuité et d’efficacité. Cet ouvrage, qui détaille les malversations du Dr Fauci, inclut ses crimes contre les centaines d’orphelins et enfants placés, noirs et hispaniques, auxquels il a infligé des expériences médicales cruelles et mortelles. Il traite également de son rôle – avec Bill Gates – dans la transformation de centaines de milliers d’Africains en rats de laboratoire pour des essais cliniques à moindre coût de médicaments expérimentaux dangereux qui, une fois approuvés, restent financièrement hors de portée de la plupart des autochtones. Vous apprendrez comment le Dr Fauci et Gates ont transformé le continent Africain en un dépotoir de médicaments périmés, néfastes et inefficaces, dont beaucoup ont été abandonnés pour des raisons de sécurité aux États-Unis et en Europe.

Vous découvrirez comment l’étrange fascination du Dr Fauci pour les expériences dites de «gain de fonction», visant à créer des superbactéries pandémiques, ainsi que ses généreuses subventions en faveur de ces essais, rendent plausible l’éventualité ironique qu’il ait pu jouer un rôle dans le déclenchement de la pandémie mondiale – dont deux présidents américains lui ont confié la gestion. Vous découvrirez également la stratégie qu’il a appliquée pendant 20 ans pour promouvoir de fausses pandémies dans le but de promouvoir de nouveaux vaccins, de nouveaux médicaments et de faire plaisir aux entreprises pharmaceutiques. Vous découvrirez comment il a dissimulé une contamination généralisée du sang et des vaccins, ses vendettas destructrices contre les scientifiques remettant en question le paradigme pharmaceutique, son sabotage délibéré des remèdes brevetés contre les maladies infectieuses (du VIH à la COVID-19) afin de laisser la voie libre à des remèdes moins efficaces – mais plus rentables. Vous découvrirez le nombre sidérant de cadavres qui se sont accumulés dans son sillage, parce qu’il a de sang-froid accordé la priorité aux profits de Big Pharma au détriment de la santé publique. Toutes les stratégies qu’il a fait adopter contre la COVID (falsifier la science pour mettre sur le marché des médicaments dangereux et inefficaces, supprimer et saboter les traitements concurrents dont les marges bénéficiaires sont plus faibles – même si le prix à payer est de prolonger les pandémies et de perdre des milliers de vies) ont un dénominateur commun: la dévotion myope à Big Pharma. Ce livre vous montrera que Tony Fauci ne fait pas de la santé publique; c’est un homme d’affaires qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires de l’industrie pharmaceutique et élargir sa sphère d’influence. Elle fait de lui le médecin le plus puissant – et le plus despotique – de l’histoire de l’humanité. Pour certains lecteurs, arriver à cette conclusion nécessitera de franchir de nouveaux ponts. Quant à ceux qui connaissent intuitivement le vrai visage d’Anthony Fauci, ils ont seulement besoin d’avoir sous les yeux les faits éclairés et organisés.

J’ai écrit ce livre pour que vous puissiez comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.

À lire sur The Defender :

L’éditeur de «The Real Anthony Fauci » met les critiques au défi de trouver des erreurs factuelles dans le livre et appelle à un débat ouvert

Tony Lyons est avocat et président et éditeur de Skyhorse Publishing, éditeur du nouveau best-seller de Robert F. Kennedy Jr. aux USA, intitulé « The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. » Vous trouverez ci-dessous la note de l’éditeur que Lyons a écrite et qui figure à la page xii de l’édition américaine.

« Les problèmes scientifiques et moraux complexes ne sont pas résolus par la censure des opinions dissidentes, la suppression du contenu de l’internet ou la diffamation des scientifiques et des auteurs qui présentent des informations contestant les pouvoirs en place. La censure conduit plutôt à une plus grande méfiance envers les institutions gouvernementales et les grandes entreprises. Il n’y a pas d’idéologie ou de politique à souligner l’évidence : les erreurs scientifiques et les erreurs de politique publique existent – et peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Les erreurs peuvent résulter d’une analyse défectueuse, de la précipitation, de l’arrogance et parfois de la corruption. Quelle que soit la cause, les solutions proviennent d’une exploration ouverte, d’une introspection et d’un examen constant. Idéalement, la science et les politiques publiques ne sont jamais statiques. Ils sont un processus, une collaboration, un débat et un partenariat.

Si des puissants contestés par ce livre prétendent qu’il contient des informations erronées, notre réponse est simplement la suivante : Dites-nous où vous pensez que quelque chose est incorrect, présentez vos meilleurs arguments et offrez le meilleur soutien disponible pour ces arguments.

Nous encourageons et invitons le dialogue, la critique, l’engagement – et chaque suggestion sera entendue et prise en compte.

Disponible en pré-commande sur le site de l’éditeur ici.



Présentation du livre lors de la conférence de presse CHD Europe à Bruxelles le 23 janvier 2022. Avec Senta Depuydt, présidente de CHD Europe, Professeur Christian Perronne, ancien VP du Groupe consultatif européen d’experts en vaccination de l’OMS, et Marco Pietteur, directeur des éditions Marco Pietteur,


[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health [Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique], n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »

Le livre commence ainsi :

« J’ai écrit ce livre pour aider les Américains – et les citoyens du monde entier – à comprendre les fondements historiques du cataclysme affolant qui a commencé en 2020. Au cours de cette seule annus horribilis, la démocratie libérale s’est effectivement effondrée dans le monde entier. Les organismes gouvernementaux de santé publique, les patrons des réseaux sociaux et des médias d’information sur lesquels les populations idéalistes avaient cru voir les champions de la liberté, de la démocratie, des droits civils et des politiques publiques fondées sur des données fiables, ont fait collectivement volte-face pour s’attaquer directement à la liberté d’expression et aux libertés personnelles. Soudain, ces institutions qui nous inspiraient confiance ont agi de concert pour générer la peur, susciter l’obéissance, décourager la pensée critique et rassembler sept milliards de personnes dans une marche forcée vers une expérimentation de santé publique avec une nouvelle technologie mal testée et illégalement autorisée, une technologie si risquée que les fabricants ont refusé de la produire à moins que chaque gouvernement sur Terre ne les protège de toute responsabilité. […] Les objecteurs de conscience qui ont résisté à ces interventions médicales non sollicitées, expérimentales et à zéro responsabilité ont été déstabilisés, marginalisés et désignés comme boucs émissaires. Les vies et les moyens de subsistance des Américains ont été brisés par un éventail ahurissant de diktats draconiens imposés sans approbation législative et sans évaluation des risques. Sous le prétexte d’un état d’urgence, on a fermé nos entreprises, nos écoles et nos églises, on a fait des intrusions sans précédent dans la vie privée, et on a bouleversé nos relations sociales et familiales les plus précieuses. »

Kennedy n’est pas un nouveau venu dans cette effrayante dystopie. « Mes 40 ans de carrière en tant que défenseur de l’environnement et de la santé publique, écrit-il, m’ont donné une compréhension unique des mécanismes de corruption de la “capture réglementaire” (ou “captation de la réglementation”, le processus par lequel le régulateur devient redevable à l’industrie qu’il est censé réguler). » À partir du moment où il est entré dans le débat sur les vaccins en 2005, Kennedy s’est rendu compte que « le réseau profond d’enchevêtrements financiers entre Pharma et les agences de santé gouvernementales avait mis la capture réglementaire sous stéroïdes ». Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), par exemple, possèdent 57 brevets de vaccins et ont dépensé 4,9 milliards de dollars en 2019 pour acheter et distribuer des vaccins. La Food and Drug Administration (FDA) reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique. Les National Institutes of Health (NIH), avec leur budget de 42 milliards de dollars, possèdent des centaines de brevets de vaccins et profitent souvent de la vente de produits qu’ils sont censés réglementer. Les hauts fonctionnaires de ces agences reçoivent des émoluments annuels pouvant aller jusqu’à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu’ils aident à développer puis à faire approuver.

Le Dr Anthony Fauci se tient au sommet de ce Léviathan. Depuis 1968, il a occupé divers postes au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), un département clé du NIH dont il est devenu directeur en 1984. Avec un salaire annuel de 417 608 dollars, il est le mieux payé de tous les employés fédéraux, y compris le président des États-Unis. Au cours de son expérience de 50 ans en tant qu’administrateur d’une bureaucratie fédérale, il a conseillé six présidents, le Pentagone, des agences de renseignement, des gouvernements étrangers et l’OMS. Il entretient un réseau complexe d’enchevêtrements financiers qui a transformé le NIH en une filiale de Big Pharma. Puisant dans les poches profondes des fondations Clinton et Gates, il a utilisé son budget annuel de 6 milliards de dollars pour dominer et contrôler de nombreuses agences, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il peut faire et défaire des carrières, enrichir ou punir les centres de recherche universitaires, et dicter les résultats de la recherche scientifique à travers le monde, en donnant systématiquement la priorité aux bénéfices de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

Le livre de Kennedy documente la stratégie systématique de Fauci de « promouvoir de fausses pandémies afin de promouvoir de nouveaux vaccins », ainsi que sa dissimulation des catastrophes sanitaires qu’il a provoquées, ses vendettas destructrices contre les savants qui défient le paradigme pharmaceutique, et son ​​sabotage délibéré des remèdes dont les brevets ont expiré.

Mais le livre de Kennedy n’est pas la biographie d’un homme : c’est un réquisitoire contre un système irrémédiablement corrompu et prédateur, créé aux États-Unis et exporté dans le monde entier. En fin de compte, cependant, le système est fabriqué et géré par des humains, et se concentrer sur son représentant le plus emblématique permet de mieux voir en transparence l’âme qui anime cet organisme, ou plutôt cette machine infernale.

Le livre de Kennedy place la crise actuelle dans une perspective historique. Mais il ne raconte pas l’histoire chronologiquement. Il débute par un très long premier chapitre sur la gestion de la pandémie du Covid-19, puis remonte, à partir du chapitre 3, aux années 1980 et à la recherche du vaccin contre le sida, qui a été le tremplin pour le coup d’État pharmaceutique qui se déroule sous nos yeux. Dans cette recension, je me concentrerai sur l’épisode du sida, car c’est la partie la moins familière d’une histoire couvrant cinquante ans, et elle aide à donner un sens à ce qu’il se passe aujourd’hui. C’est une histoire incroyable, que j’aurais eu du mal à croire il y a à peine trois ans, mais que notre asservissement actuel rend désormais très crédible.

Kennedy mérite notre gratitude pour l’énergie et le courage qu’il met à faire éclater cette histoire au grand jour, dans un exposé clair et bien documenté. Son livre, déjà un best-seller malgré le silence prévisible de la critique (Kennedy est déjà banni de presque tous les réseaux sociaux) est destiné à devenir un jalon dans la lutte pour la Vie et la Vérité, et dans la saga héroïque des Kennedy. Le présent article ne reflète qu’une fraction de ce que l’on peut apprendre de ses 480 pages remplies de données et de références.

Au commencement

Dans les premières lignes de son livre de 2014, Thimerosal : Let the Science Speak (qui a contribuer à faire connaître le lien de cause à effet entre les vaccins contre l’hépatite B et l’explosion de l’autisme aux États-Unis), Kennedy affirmait prudemment être « pro-vaccin » et « croire que les vaccins ont sauvé la vie de centaines de millions d’humains au cours du siècle dernier. » Il ne répète pas cela dans son nouveau livre. Au contraire, il se range du côté des critiques du dogme, citant une étude réalisée en 2000 par les scientifiques du CDC et de Johns Hopkins qui a conclu : « près de 90 % de la baisse de la mortalité par infection chez les enfants américains s’est produite avant 1940, lorsque peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles. » Les principales causes de la baisse spectaculaire de 74 % de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle ont été l’amélioration de l’alimentation et l’assainissement des conditions de vie, à commencer par l’eau.

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Date d’introduction du vaccin (quand il existe) et baisse de la mortalité de six maladies
De gauche à droite et de haut en bas : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose, scarlatine, poliomyélite

Cette perspective révisionniste mais parfaitement objective explique pourquoi l’obsession de Fauci et Gates pour la vaccination a eu des impacts globaux négatifs sur la santé publique en Afrique et en Asie, en réduisant proportionnellement les flux d’aide pour l’alimentation, l’eau potable, les transports, l’hygiène et le développement économique. Gates et Fauci ont en fait détourné le programme de santé publique de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour lutter contre les maladies infectieuses.

Pour comprendre cet engouement pour les vaccins, Kennedy rappelle l’influence pionnière de la fondation Rockefeller. En 1911, après que la Cour suprême a statué que Standard Oil constituait un « monopole déraisonnable » et l’a divisé en trente-quatre sociétés, John D. Rockefeller a inauguré ce que Bill Gates appellera plus tard le « philanthro-capitalisme ». Il a accordé d’importantes subventions pour la synthèse et le brevetage de molécules chimiques. La fondation a fourni près de la moitié du budget initial de l’Organisation de la santé de la Société des Nations en 1922, et de son personnel. Elle a imprégné la Ligue de sa philosophie médicale technocratique, dont héritera l’OMS en 1948.

La fondation Rockefeller lança un « partenariat public-privé » appelé l’International Health Commission, qui commença par inoculer les populations des tropiques avec un vaccin contre la fièvre jaune. Au moment où John D. Rockefeller Jr. l’a dissoute en 1951, la Commission avait dépensé des milliards de dollars pour des campagnes contre les maladies tropicales dans près de 100 pays et colonies. Ces projets avaient un agenda caché, selon un rapport de 2017, U.S. Philanthrocapitalism and the Global Health Agenda : ils permirent à la famille Rockefeller d’ouvrir les marchés du monde émergeant pour le pétrole, l’exploitation minière, la banque et d’autres commerces rentables.

Dans les années 1970, le potentiel financier des produits pharmaceutiques eux-mêmes a explosé lorsque,

« une vague de nouvelles technologies, y compris les tests PCR et les microscopes électroniques super puissants, ouvrirent des fenêtres sur de nouveaux mondes grouillants contenant des millions d’espèces de virus auparavant inconnus des scientifiques. […] L’attrait de la gloire et de la fortune déclencha une révolution chaotique en virologie, tandis que de jeunes docteurs ambitieux s’efforçaient d’inculper les microbes nouvellement découverts comme étant la cause d’anciennes maladies. […] Sous cette nouvelle rubrique, chaque percée théorique, chaque découverte devenait potentiellement la base d’une nouvelle génération de médicaments. »

Au milieu des années 1970, le CDC cherchait à justifier son existence en traquant les clusters de rage. Entretenir la peur d’une pandémie était un moyen naturel pour les bureaucrates du NIAID et du CDC de justifier la pertinence de leurs agences. Le patron immédiat du Dr Fauci et son prédécesseur en tant que directeur du NIAID, Richard M. Krause, aida à lancer cette nouvelle stratégie en 1976. Cette année-là a été concoctée la fausse épidémie de grippe porcine. Le vaccin expérimental posait tant de problèmes que les Health and Human Services (HHS) l’ont retiré après avoir vacciné 49 millions d’Américains. Selon les articles de presse, l’incidence de la grippe était sept fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. De plus, le vaccin a causé quelque 500 cas de maladie nerveuse dégénérative du syndrome de Guillain-Barré, 32 décès, plus de 400 paralysies et jusqu’à 4 000 autres effets indésirables. Les victimes ont déposé 1 604 plaintes. En avril 1985, le gouvernement avait versé 83 233 714 dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars pour traiter et résoudre ces plaintes.

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Le président Ford montre l’exemple le 14 octobre 1976

Un autre scandale éclata en 1983, lorsqu’une étude de l’UCLA financée par le NIH révéla que le vaccin DTP développé par Wyeth – maintenant Pfizer – tuait ou causait de graves lésions cérébrales, et parfois la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, le vaccin DTC ruinait leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large éventail d’autres infections mortelles.

Les poursuites qui en ont résulté ont provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et ont menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth se plaignait de perdre 20 dollars en dommages et intérêts pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 la National Childhood Vaccine Injury Act, qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité légale. Cette incitation à la cupidité sans restriction sera renforcée en 2005 par une nouvelle loi signée par George W. Bush, le Public Readiness and Emergency Preparedness Act.

Le sida et l’AZT

En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

« Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

« De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

L’Afrique est une terre promise pour les groupes pharmaceutiques à la recherche de gouvernements coopératifs et de populations illettrées. Les coûts pour des essais y sont très bas, et la surveillance des médias est plutôt laxiste. Au début des années 1990, certains dictateurs africains ont déroulé le tapis rouge pour Big Pharma. Et le 29 janvier 2003, le président George W. Bush a annoncé lors de son discours sur l’état de l’Union son Plan d’urgence pour la lutte contre le sida (PEPFAR), demandant au Congrès « d’engager 15 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, dont près de 10 milliards de dollars d’argent frais, pour renverser la tendance contre le sida dans les pays les plus touchés d’Afrique et des Caraïbes. »

Le VIH cause-t-il le sida ?

Kennedy commence son chapitre 5, « The HIV Heresies », par cette note :

« J’ai hésité à inclure ce chapitre parce que toute remise en question de l’orthodoxie selon laquelle le VIH est la seule cause du sida reste une hérésie impardonnable, voire dangereuse, face au cartel médical régnant et à ses alliés médiatiques. Mais on ne peut pas écrire un livre complet sur Tony Fauci sans aborder la controverse scientifique interminable – et fascinante – sur ce qu’il qualifie de sa “plus grande réussite” et “l’œuvre de sa vie”. »

La controverse illustre comment les industries pharmaceutiques et les agences de santé, agissant de concert, forgent un consensus sur des théories incomplètes ou frauduleuses et répriment impitoyablement la dissidence même lorsqu’elle vient de savants mondialement reconnus. « Dès le départ, insiste Kennedy, je tiens à préciser que je ne prends aucune position sur la relation entre le VIH et le sida. » Cependant, il affirme :

« Au cours des trente-six ans depuis que le Dr Fauci et son collègue, le Dr Robert Gallo, ont affirmé pour la première fois que le VIH est la seule cause du sida, personne n’a été en mesure de citer une seule étude qui démontre leur hypothèse par des preuves scientifiques valides. […] Même aujourd’hui, l’incohérence, les lacunes dans les connaissances, et les contradictions continuent de jeter le doute sur le dogme officiel. »

La façon dont s’est imposé le dogme du VIH-sida illustre « les tactiques que le Dr Fauci a mises au point pour esquiver le débat, éblouir et embobiner la presse pour qu’elle évite toute enquête sur le credo, et dénigrer, intimider, punir, marginaliser et museler les critiques. » L’une des victimes de Fauci a été le Dr Peter Duesberg, qui en 1987 était encore reconnu comme le rétrovirologue le plus accompli au monde. Duesberg soutient que le VIH ne cause pas le sida, mais est essentiellement un « passager clandestin » commun aux populations à haut risque qui souffrent de suppression immunitaire en raison d’expositions environnementales. Le VIH, dit-il, est un virus passager inoffensif qui a presque certainement coexisté chez l’homme pendant des milliers de générations sans causer de maladie. Alors que le VIH peut être sexuellement transmissible, prétend Duesberg, le sida ne l’est pas.

Duesberg a publié ses opinions dans un article retentissant de 1987, puis dans un livre de 724 pages, L’Invention du virus du SIDA. Kennedy trouve les raisonnements de Duesberg « si clairs, si élégamment conçus et si convaincants qu’en les lisant, il semble impossible que l’ensemble de l’hypothèse orthodoxe ne s’effondre instantanément sous le poids étouffant d’une logique implacable. » Mais Fauci et Gallo n’ont jamais tenté de répondre à Duesberg. Blâmer le sida sur un virus était le pari qui avait permis au NIAID de s’approprier la responsabilité et les crédits pour la recherche sur le sida, auxquels auraient pu prétendre autrement le NCI, et Duesberg fut sévèrement puni pour avoir mis ce plan en danger.

« Le Dr Fauci a convoqué l’ensemble du haut clergé de son orthodoxie du VIH – ainsi que tous ses prêtres et même les enfants de chœur – pour déclencher une tempête de représailles féroces contre le virologue et ses partisans. […] L’establishment du sida, jusqu’à son plus humble médecin, a publiquement vilipendé Duesberg, le NIH lui a supprimé ses crédits, et le monde universitaire a ostracisé et exilé ce brillant professeur de Berkeley. La presse scientifique l’a pratiquement banni. Il est devenu radioactif. »

Étonnamment, cependant, le Dr Luc Montagnier, dont Gallo avait volé la découverte du VIH – comme il le reconnut en 1991 après des années de –, s’est rallié à la thèse de Duesberg, déclarant à la Conférence internationale sur le sida de San Francisco en juin 1990, que « le virus VIH est inoffensif et passif, un virus bénin. » Il a ajouté que, selon ses découvertes, le VIH ne devient dangereux qu’en présence d’un d’une bactérie de type mycoplasme. Montagnier, d’ailleurs, n’avait jamais prétendu que le VIH était le seul facteur du sida, et devint de plus en plus sceptique à l’égard de cette théorie. Sa remise en cause répétée du paradigme fétiche de l’establishment a marqué le début d’une campagne de dénigrement, dont son prix Nobel de médecine reçu en 2008 l’a néanmoins relativement protégé.

La « preuve » de Gallo que la cause du sida était un virus, par opposition à des expositions toxiques, avait fourni à Fauci la pierre angulaire de la carrière, lui permettant de prendre les commandes de la politique de lutte contre le sida, et de faire du NIAID le principal partenaire fédéral de l’industrie de la production de médicaments. Cela explique pourquoi Fauci n’a jamais financé aucune étude pour déterminer si le VIH causait réellement le sida et prit des mesures préventives vigoureuses contre toute étude de ce type.

Kennedy cite d’autres voix dissidentes sur l’épidémiologie du sida. Le Dr Shyh-Ching Lo, chercheur en chef chargé des programmes de lutte contre le sida pour l’Institut de pathologie des forces armées (Armed Forces Institute of Pathology), était choqué par l’affirmation d’Anthony Fauci selon laquelle les anticorps, qui normalement indiquent une réponse immunitaire robuste, devraient, avec le VIH, être le signal d’une mort imminente. Puisque les « tests VIH » ne détectent pas en réalité le virus insaisissable mais seulement les anticorps qui sont censés le combattre, n’a-t-on pas ici une inversion orwellienne, où la preuve de santé devient preuve de maladie ? Kennedy cite également le Dr David Rasnick, un biochimiste qui a travaillé pendant trente ans dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique :

« La confusion fondamentale de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le sida sur la base de la présence d’anticorps anti-VIH. Avec toutes les autres maladies, la présence d’anticorps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le sida, Fauci et Gallo, et maintenant Gates, prétendent que c’est le signe que vous êtes sur le point de mourir. Réfléchissez : si l’objectif d’un vaccin contre le sida est de stimuler la production d’anticorps, alors le succès du vaccin signifierait que chaque personne vaccinée se retrouverait nécessairement avec un diagnostic de sida. C’est un sujet de comédie. Autant donner aux Pieds nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars ! »

La nature du sida est elle-même sujette à questions, puisqu’il a été défini comme un « syndrome » englobant une galaxie d’une trentaine de maladies distinctes bien connues, qui surviennent toutes chez des individus qui n’ont pas d’infection VIH. « Entre les mains des IP opportunistes du Dr Fauci, le sida est devenu une maladie amorphe sujette à des définitions en constante évolution, englobant une multitude de maladies anciennes chez des hôtes dont le test de dépistage du VIH est positif. » Le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, a souligné que ces tests étaient capables de trouver des signaux VIH dans de larges segments de la population qui ne souffraient pas de symptômes du sida. D’un autre côté, le sida peut survenir chez les personnes dont le test de dépistage du VIH est négatif, comme Geoffrey Cowley l’a documenté dans un article de Newsweek de 1992, suivi de Steve Heimoff dans le Los Angeles Times. Les tests étaient d’ailleurs si relatifs et arbitraires que vous pouviez ne plus être infecté par le VIH en traversant simplement la frontière des USA vers le Canada, par exemple.

Ces incohérences n’étaient pas un problème pour Fauci et son armée de mercenaires pharmaceutiques. Bien au contraire : elles ont ouvert la manne africaine du sida. Des chercheurs financés par Fauci, utilisant des tests PCR et des modèles statistiques obscurs, ont déclaré que jusqu’à 30 millions d’Africains souffraient du SIDA, soit près de la moitié de la population adulte dans certains pays. Alors que dans les pays occidentaux, le sida continuait d’être une maladie de toxicomanes et de consommateurs de poppers adeptes de la sodomie (signalons que ces poppers étaient brevetés par Burroughs Wellcome qui en faisait la publicité dans la presse gay), mystérieusement, en Afrique, 59 % des cas de sida étaient des femmes et 85 % étaient des hétérosexuels. S’agissait-il vraiment de la même chose ? Et d’ailleurs, on nous annonçait une hécatombe qui ne s’est jamais manifestée, la population africaine continuant d’augmenter exponentiellement.

Parallèlement, en Occident, le caractère du sida a radicalement changé au début des années 90 avec la mise sur le marché de l’AZT. Lorsqu’ils ont commencé à administrer de l’AZT à des personnes qui n’étaient même pas malades mais simplement positives au test de dépistage du VIH, le sida s’est mis à ressembler de plus en plus à un empoisonnement à l’AZT. Et le taux de mortalité a grimpé en flèche. Selon les Duesbergiens, la grande majorité des « décès dus au sida » après 1987 étaient en fait dus à l’AZT. Il semblerait que le médicament prescrit par le Dr Fauci pour traiter les patients atteints du sida faisait en réalité ce que le virus ne pouvait pas faire : il causait le sida lui-même. En 1988, la durée de survie moyenne des patients sous AZT était de quatre mois. En 1997, reconnaissant l’effet mortel de l’AZT, les responsables de la santé ont réduit la dose de prescription ; la durée de vie moyenne des patients sous AZT est alors passée à vingt-quatre mois. Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA ».

Conclusion

En juillet 2019, le Dr Fauci a fait une annonce surprise : il disposait enfin d’un vaccin fonctionnel contre le VIH. C’était potentiellement le « clou dans le cercueil » de l’épidémie. Il admit que son nouveau vaccin n’empêchait pas la transmission du sida, mais prédit que ceux qui recevraient le vaccin découvriraient que lorsqu’ils contracteraient le sida, les symptômes seraient considérablement réduits. Kennedy commente :

« Le Dr Fauci était si confiant dans la crédulité servile des médias qu’il supposa, à juste titre, qu’il n’aurait jamais besoin de répondre aux nombreuses questions soulevées par ce charabia fiévreux. Toute cette proposition étrange n’a reçu aucun commentaire critique dans la presse. La réussite de son stratagème consistant à mettre du rouge à lèvres sur son âne pour le vendre en tant que pur-sang l’a sans doute enhardi dans sa ruse, un an plus tard, à faire passer pour un vaccin contre le covid un produit qui n’empêche ni la maladie ni sa transmission. »

En 2019, la corde du sida a commencé à s’user. Qui se souciait encore du sida de toute façon ? La « pandémie de Covid-19 » s’est présentée comme l’occasion idéale pour une mise à jour (un reset) du racket pharmaceutique. Comme l’a dit un jour Winston Churchill : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. » Grace à la complicité des médias occultant les antécédents scandaleux de sa mafia en blouse blanche, Fauci a réussi à se présenter, encore une fois, comme le sauveur.

« Est-il juste de blâmer le Dr Fauci pour une crise qui, bien sûr, a de nombreux auteurs ? » demande Kennedy. Oui, dans une certaine mesure.

« Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès a spécifiquement chargé le NIAID de prévenir, se sont multipliées pour affliger 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu’il a pris le contrôle du NIAID en 1984. Le Dr Fauci n’a donné aucune explication quant aux raisons pour lesquelles les maladies allergiques comme l’asthme, l’eczéma, les allergies alimentaires, la rhinite allergique et l’anaphylaxie ont soudainement explosé à partir de 1989, cinq ans après son arrivée au pouvoir. Sur son site Web, le NIAID se vante que les maladies auto-immunes sont l’une des priorités de l’agence. Quelque 80 maladies auto-immunes, dont le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Graves et la maladie de Crohn, qui étaient pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa surveillance. L’autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, est passé de 2/10 000 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur trente-quatre aujourd’hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/H, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de la Tourette sont devenues monnaie courante chez les enfants américains. Les coûts humains, sanitaires et économiques des maladies chroniques éclipsent les coûts de toutes les maladies infectieuses aux États-Unis. À la fin de cette décennie, l’obésité, le diabète et le prédiabète sont en passe d’affaiblir 85 % des citoyens américains. L’Amérique fait partie des dix pays les plus obèses de la planète. Les impacts sanitaires de ces épidémies, qui frappent principalement les jeunes, éclipsent même les impacts sanitaires les plus exagérés du Covid-19. »

Le Dr Fauci n’a rien fait pour honorer l’obligation fondamentale du NIAID de rechercher les causes des maladies allergiques et auto-immunes chroniques qui se sont multipliées sous son mandat. Au lieu de cela, Fauci a « transformé le NIAID en le principal incubateur de nouveaux produits pharmaceutiques, dont beaucoup, ironiquement, profitent de la pandémie de maladies chroniques en cascade ». Au lieu de rechercher les causes de la santé défaillante des Américains, le Dr Fauci consacre la majeure partie de son budget de 6 milliards de dollars à la recherche et au développement de nouveaux médicaments et vaccins qui sont en grande partie responsables de l’affaiblissement de leur immunité naturelle. « Ces derniers temps, il a joué un rôle central dans la sape de la santé publique et la subversion de la démocratie et de la gouvernance constitutionnelle dans le monde, et dans la transition de notre gouvernance civile vers le totalitarisme médical. »

Cela me fait penser au Dr Knock, personnage central du célèbre roman de Jules Romains, Knock ou le triomphe de la médecine, écrit en 1923. Le Dr Knock est un médecin louche d’origine douteuse qui professe que la « santé » est un concept obsolète et non scientifique, et que tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore. Pour convertir toute une ville en malades permanents, il fait appel à l’instituteur comme agent de propagande, et passe un marché avec le pharmacien, qui voit soudainement sa clientèle exploser (regardez ici et ici des moments inoubliables de l’adaptation cinématographique de Guy Lefranc avec Louis Jouvet). Fauci, c’est Knock à l’échelle mondiale.

Dans une certaine mesure, cependant, Fauci est lui-même le produit d’un choix civilisationnel qui, à long terme, ne pouvait conduire qu’à la technocratie médicale tyrannique qui essaie maintenant de nous asservir. Plutôt qu’un nouveau Dr Frankenstein, Fauci est notre propre monstre qui se retourne contre nous. Kennedy fait allusion à ce vaste aspect de la question, soulignant la nécessité d’un questionnement approfondi. La façon dont les Américains et les Occidentaux en général en sont venus à considérer les soins de santé a été façonnée par la philosophie de la fondation Rockefeller : a pill for an ill, soit « une pilule pour une maladie ». Dans le débat entre la « théorie des miasmes » – qui met l’accent sur la prévention des maladies en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant les expositions aux toxines et aux stress environnementaux – et la « théorie des germes » – qui attribue la maladie à des agents pathogènes microscopiques –, nous avons opté sans ambiguïté pour cette dernière. Nous avons souscrit à une approche de la maladie qui demande d’identifier le germe coupable et de trouver un poison pour le tuer. Nous avons confié la responsabilité de notre santé à des experts médicaux et à des courtiers d’assurance.

Comme le Dr Claus Köhnlein l’observe dans son livre Virus Mania (2007) cité par Kennedy : « l’idée que certains microbes – champignons, bactéries ou virus – sont des ennemis que nous devons combattre avec des bombes chimiques spéciales, s’est imprimée profondément dans la conscience collective. » C’est un paradigme guerrier, parfaitement adapté pour fabriquer le consentement sur la voie de la dictature. Comme Kennedy l’a écrit dans sa préface au livre du Dr Joseph Mercola, The Truth About Covid-19 (2021), « les démagogues doivent susciter la peur pour justifier leurs demandes d’obéissance aveugle. »

« Les technocrates du gouvernement, les oligarques milliardaires, Big Pharma, Big Data, Big Media, les barons de la haute finance et l’appareil de renseignement militaro-industriel, tous aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment les guerres et les attaques terroristes. Les crises catastrophiques créent des opportunités pratiques pour augmenter à la fois le pouvoir et la richesse. »

Laurent Guyénot

PS : pour les francophones désireux d’approfondir le sujet, je recommande vivement le livre de Peter Duesberg, L’Invention du virus du sida.(([1] Amazon.fr – L’invention du virus du sida – Duesberg, Peter H. – Livres))

[Voir aussi :
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Notes




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

20:42

Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




Exigeons la suppression immédiate du pass vaccinal et des fichiers sanitaires et refusons le passeport numérique européen

Dr Gerard Delépine

Partout dans le monde, la pression populaire pour la reconquête des libertés fait reculer les enfermistes et les gouvernants provax, pro-pass, pro fichage.

L’échec patent des pseudo vaccins et des pass incapables de contrôler l’épidémie et la colère populaire contre les restrictions injustifiées forcent partout les tyrans à reculer.

Après la Suède, la Norvège, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Croatie, la Catalogne, la Lituanie qui les ont déjà abandonnés, c’est au tour de la Suisse et de l’Autriche et même de la quasi-totalité des provinces du Canada de libérer leurs populations. Et les discussions en cours en Allemagne présagent son prochain abandon.

Resterons-nous longtemps les retardataires des grands pays de l’Europe, avec l’Italie et la Grèce en conservant ces restrictions inefficaces et même contre-productives ?

Les pass sanitaires(([1] Accordés aux personnes vaccinées ou guéries ou porteurs d’un test PCR négatif)) comme vaccinaux(([2] Vaccinées ou guéries)) sont totalement inefficaces !

Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner l’évolution du nombre de contaminations quotidiennes publiées par l’OMS dans les différents pays avant et après les pass.

En Autriche, le pass sanitaire imposé le 1er juillet 2021 (alors que le nombre de nouveaux cas journaliers moyen s’élevait à 78) a été suivi par une augmentation considérable des contaminations qui ont dépassé les 32 000 fin janvier 2022 (quatre cents fois plus qu’avant le pass !). Qui peut encore prétendre qu’il a été utile ?

En Grèce, l’instauration du pass a été également suivie par une augmentation très importante des contaminations quotidiennes (multipliées par 40)

Même effet délétère constaté en Roumanie :

Dans la majorité des pays qui ont instauré un pass vaccinal à la suite des demandes de la Commission européenne son échec sanitaire avéré a justifié son abandon

Comme en Irlande :

ou en Croatie :

Ou en Grande-Bretagne :

Dans aucun pays, les pass ont été sanitairement efficaces et leur abandon n’a nulle part été suivi d’une aggravation de l’épidémie.

L’échec des pass sanitaires ou vaccinaux était parfaitement prévisible d’emblée, car ils reposent sur l’hypothèse fallacieuse que les pseudos vaccinés seraient résistants au virus et incapables de le transmettre. Ces deux hypothèses sont totalement contredites par les faits depuis déjà de nombreux mois. Rassurer à tort les injectés les incite à négliger les gestes d’hygiène qu’ils respectaient auparavant et accroît logiquement les risques de contamination.

Les pass ne sont qu’un moyen de préparer la dictature à la chinoise

Mais les pass n’ont jamais eu pour but réel le contrôle de l’épidémie ; ils sont destinés à ficher les gens ! Une preuve supplémentaire est apportée par la volonté affirmée (et votée) de les intégrer au passeport numérique européen dès septembre 2022. Ce passeport numérique européen regrouperait carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale…

Dire qu’en France il existe une commission informatique et liberté totalement silencieuse depuis la crise !

Trop d’entre nous avons accepté sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les interdictions de promenades seul en forêt, de s’asseoir sur les plages, de boire debout, le Pass sanitaire, le Pass vaccinal, deux doses pour être libre, puis trois doses et bientôt quatre…

Désormais, totalement engourdis et soumis, trop sont préparés pour accepter la surveillance individuelle, ultime prélude à l’esclavage généralisé : le passeport numérique européen(([3] Olivier Demeulenaere Le pass vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen : Vous serez numérisé, tracé puis pucé Publié le 17 février 2022)) en attendant la puce sous-cutanée qu’on utilise pour surveiller les animaux domestiques.

Dans cette optique, la commission a proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE.

Stella Kyriakidès « Madame Vaccin », qui a signé les contrats d’achats des pseudo vaccins expérimentaux(([4] Et dont le mari a reçu juste après, des crédits de plusieurs millions d’euros dans des conditions opaques.)) a déclaré :

« Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

Et on peut être certain que nos dirigeants trouveront un nouveau motif sanitaire chaque année.

Les mesures prétendument sanitaires et les pass inefficaces constituent des atteintes intolérables à nos libertés fondamentales. Il faut accentuer les manifestations pour exiger leur suppression immédiate.

MAIS IL NE FAUT SURTOUT PAS SE CONTENTER DE L’ABROGATION DES PASS.
IL FAUT EXIGER LA SUPPRESSION DES FICHIERS SANITAIRES ET DES QR CODES CONSTITUÉS À CETTE OCCASION ET DE TOUTES LES MESURES COERCITIVES




Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.