La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

Par Maître NONOBSTANT, avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19

(ebook gratuit au format PDF à télécharger et partager)

Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.

[Voir aussi les articles complémentaires dans les dossiers :
Vaccins et virus
et
5G et ondes pulsées]

TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

Informations juridiques sur les vaccins anti-Covid-19

RÉSUMÉ

Avant-propos

Abréviations, acronymes, conventions

Lexique

INTRODUCTION

Chapitre I. — Le consensus scientifique, la majorité ou l’unanimité font-ils la science ?

Chapitre II. — L’argument d’autorité, l’un des stratagèmes utilisés par l’establishment pour manipuler l’opinion publique

§1. Cas concrets de manipulation de l’opinion publique par les experts médiatiques

§2. Conditions de validité du consensus scientifique, d’une étude scientifique et de l’argument d’autorité

Chapitre III. — Les preuves de mensonges du discours de propagande des autorités, des médias et des experts officiels

§1. Mensonges sur la contagiosité

§2. Mensonges sur la réduction des formes graves

A. Les études princeps n’ont pas apporté la preuve scientifique de l’évitement des formes graves

B. Les études observationnelles ne montrent pas non plus une réduction des formes graves

§3. Contenu caché des vaccins

§4. Toxicité de la protéine Spike

§5. Toxicité des vaccins

§6. Effets indésirables : décès et pathologies multiples

 Décès
 Pathologies multiples
 Effets indésirables en images

§7. Imperfection de la pharmacovigilance

§8. Immunité collective

§9. Surestimation du rapport bénéfices/risques des vaccins

A. Cas des études interventionnelles

B. Cas des études observationnelles

§10. Saturation fictive des hôpitaux par la Covid-19

§11. Laxisme des agences de sécurité des médicaments

§12. Études truquées ou biaisées

A. Du LancetGate à Recovery et consorts

B. Les essais cliniques de Pfizer

C. Les essais cliniques sur les 12-15 ans et les moins de 5 ans

D. L’étude bidonnée de l’institut Pasteur

E. Les études justifiant le confinement

F. L’étude bidonnée de la DREES

 Les études bidonnées d’EPI-PHARE
 L’étude bidonnée du Conseil d’analyse économique
 Les études peu solides invoquées par la HAS et la FDA
 L’article de l’INSEE sur l’impact de l’épidémie de Covid-19

§13. Irresponsabilité pénale et civile de Big Pharma

§14. Vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé

§15. Vaccination de masse en période épidémique

Chapitre IV. – Les artisans de la réponse globale à la pandémie et leurs stratagèmes pour cacher diverses arnaques

§1. Les artisans de la réponse globale à la pandémie

A. Dr Anthony Fauci, le patron de la santé publique américaine

B. Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum économique mondial (Davos)

C. Bill Gates, le cofondateur de Microsoft et de la fondation éponyme

§2. Les diverses arnaques et les stratagèmes utilisés pour les cacher

A. Genèse de la Covid-19

     Origine controversée du SARS-Cov-2
     Succession de faits troublants avant et pendant la pandémie
 Gestion absurde de la crise sanitaire
 Instrumentalisation de la peur
 Contrôle total de la population
     La régulation du stock de la population mondiale
     L’identification biométrique et numérique des Terriens
         Identification biométrique, identité numérique, portefeuille numérique
         Traçage numérique, objets connectés, 5G
         Propagande du rapport sénatorial n° 673
     Un nouvel ordre mondial qui masque une dystopie transhumaniste
         Les prétendus complotistes ont tort d’avoir raison trop tôt
         Le transhumanisme comme horizon
         La nécessité d’une union sacrée pour un autre monde
 Plaintes pour crimes contre l’Humanité
 Bouc émissaire
 Théorie du complot
 Censure et désinformation

Chapitre V. — Bilan de la controverse autour de la balance bénéfices-risques des vaccins

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

  • Articles & rapports
  • Collectifs citoyens
  • Conférences
  • Entretiens et confessions
  • Désintoxication contre la protéine Spike et autres toxines vaccinales
  • Documentaires
  • Lanceurs d’alerte
  • Livres
  • Médias indépendants
  • Pfizer Gate
  • Procès Covid-19 pour crime et génocide contre l’Humanité
  • Scientifiques indépendants
  • Observatoires des effets indésirables
  • Observatoires de la pandémie
  • Observatoires des traitements
  • Observatoires de la prophylaxie

ANNEXE

 Le Great Reset et les agendas du Forum énonomique mondial
 Comment retrouver un lien mort ou une vidéo supprimée ?
 Où consulter les liens d’intérêts des professionnels de santé ?
 À l’attention de Monsieur X
 À l’attention des jeunes
 À l’attention des adultes
 Crise alimentaire planifiée pour poursuivre les agendas des globalistes

Article n°1. — Revue de presse internationale n°165 de Pierre Jovanovic
Article n°2. — 20 preuves qu’une pénurie alimentaire va bientôt toucher le monde entier

 Article de Michaël Lord : « Exposed: Klaus Schwab's School For Covid Dictators, Plan for 'Great Reset' (Videos) »
 Qu’en est-il des vaccins anti-Covid classiques, qui n’injectent pas l’ARNm ou l’ADN mais un virus inactivé ?
 Déclaration IV du Global Covid Summit
 Covid-19 : la face cachée de la croisade contre le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine




REVUE DE PRESSE DU 15 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
Le début du bon sens commence au Danemark ?

Un frémissement se fait jour, du Danemark à la marine américaine, reconnaissant que la maladie Covid ne présente pas de risque pour les enfants et adultes de moins de 50 ans, ou renonçant à l’obligation vaccinale pour certains personnels, tandis qu’en France les « suspendus » sont toujours sans ressource depuis un an, que l’inefficacité des vaccins n’a d’égale que la corruption et la fraude qui les entourent, et que la chasse aux lanceurs d’alerte se poursuit.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Le Pr Perronne, marqueur de la répression gouvernementale

« Dans le monde tordu du COVID, Perronne est forcément un dissident. Il croit que l’on peut soigner sans vacciner. Il croit que la bureaucratie passe après l’intelligence. Il croit que l’intérêt général précède les turpitudes politiques ».

La répétition générale a eu lieu en 2009

https://www.aimsib.org/2022/09/11/la-pseudo-pandemie-grippale-de-2009-en-france-etait-une-repetition-generale/

«  la « gestion » de la grippe A(H1N1)v s’est appuyée sur une menace sanitaire exagérée pour organiser de grandes manœuvres sanitaires, financières, politiques et militaires dont l’ampleur et le coût collectif restent encore à préciser ».

ÉTRANGER

Danemark, avant 50 ans les vaccins anti-covid ne sont plus recommandés

https://www.francesoir.fr/societe-sante/danemark-le-vaccination-anti-covid-n-est-plus-recommandee-aux-moins-de-50-ans#.YyIUkxlsUgk.twitter

« Les personnes âgées de moins de 50 ans n’encourent généralement pas de risque particulièrement élevé de faire une forme grave de la maladie/les enfants et les adolescents contractent rarement des formes graves de la maladie grâce au variant Omicron du Covid-19 ».

USA – la marine renonce à l’obligation vaccinale pour son personnel

https://www.aubedigitale.com/la-marine-americaine-renonce-discretement-a-la-vaccination-obligatoire-des-seals/

« Le gouvernement américain persiste à refuser de reconnaître l’immunité naturelle comme un statut acceptable pour l’armée ou les employés fédéraux, bien que leurs tentatives d’imposer la preuve de la vaccination (passeports vaccinaux) aient de toute façon échoué. »

USA – les fausses informations du CDC sur la sécurité des vaccins

https://www.anguillesousroche.com/coronavirus/la-directrice-des-cdc-admet-que-lagence-a-donne-de-fausses-informations-sur-le-suivi-de-la-securite-du-vaccin-covid-19/

Le « manque global de transparence des CDC est inacceptable, en particulier à la lumière des déclarations incohérentes des CDC sur cette question ».

JUSTICE

Soignants suspendus, un an sans salaire

https://www.francesoir.fr/societe-sante/suspendus-les-professionnels-de-sante-sans-salaire-depuis-le-15-septembre-2021

« Un an après la suspension des soignants non vaccinés contre le Covid-19, de nombreux Français n’ont pas conscience de leurs conditions de vie, certains pensant qu’ils ont été réintégrés suite l’abolition du passe sanitaire. Une ignorance qui s’explique par le silence des grands médias à ce sujet. »

La justice examine la plainte de Didier Raoult contre Karine Lacombe

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-justice-examine-la-plainte-de-didier-raoult-contre-l-infectiologue-karine-lacombe-ae4f1308-3040-11ed-9e46-e8e99a9e99a0

INJECTIONS

Pas de protection contre les formes graves

https://reinfocovid.fr/science/efficacite-du-vaccin-contre-une-forme-grave-le-deces/

« Au niveau mondial… l’évolution du nombre de décès n’est pas impactée significativement par l’introduction des vaccins. Le discours qui consiste à répéter que les vaccins protègent des formes graves, ici le décès, n’est pas fondé. Au bout de 18 mois, et des milliards de doses administrées, le doute n’est plus permis. »

EFFETS INDÉSIRABLES

La preuve des lésions provoquées par les vaccins à ARNm

https://www.epochtimes.fr/preuve-irrefutable-que-les-vaccins-a-arnm-provoquent-des-lesions-vasculaires-et-organiques-etude-2108059.html

« Cette étude, de par le type de colorants qu’ils utilisent, apporte la preuve irréfutable que la protéine spike va partout – le cœur, les ovaires, le foie, la rate – et dans une moindre mesure, les testicules »

MAIS :

« Ceux qui ont attiré l’attention sur les dangers que représentent ces injections Covid ont été largement censurés et tournés en dérision. »

RÉSISTANCES

CSI n°71 du 15 septembre 2022



« Invité : Jean Dominique MICHEL membre du CSI, pratique l’anthropologie depuis 25 ans. Il intervient en santé publique auprès d’universités et de hautes écoles Sujet : Les mesures de confinement : est-elle la plus grande erreur de santé publique de l’histoire ? »

Colloque de Lisbonne, corruption et fraude dans la crise Covid

https://coroinfo.wordpress.com/2022/09/11/corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020-colloque-des-10-et-11-septembre-2022/

« Le tableau complet reflétera le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude qui permet la manipulation des masses et l’obtention de leur consentement.
Il est donc essentiel d’y voir clair, et l’enjeu de cette conférence est de
fournir des outils pour un discernement plus aiguisé. »




Moderna porte plainte contre Pfizer et BioNTech pour violation de brevets du vaccin à ARNm

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna » , selon un communiqué publié par Moderna le 26 août.
 DOMINICK REUTER, Joseph Prezioso / AFP]

L’entreprise américaine de biotechnologies Moderna a annoncé ce 26 août qu’elle portait plainte contre les géants Pfizer et BioNTech, pour violation de brevets sur l’ARN messager.

L’entreprise américaine est « convaincue que le vaccin Comirnaty de Pfizer et BioNTech contre le Covid-19 contrevient à des brevets déposés par Moderna entre 2010 et 2016 et couvrant la technologie fondamentale de l’ARN messager de Moderna », précise un communiqué de la firme.

Dès le début de la pandémie, les deux concurrents Pfizer/BioNTech et Moderna se sont lancés dans la course à la production des vaccins anti-covid, notamment en se basant sur la technologie à ARN messager. Le communiqué rapporte que la société américaine « estime que le vaccin COVID-19 Comirnaty® de Pfizer et BioNTech enfreint les brevets que Moderna a déposés entre 2010 et 2016 et qui couvrent la technologie ARNm fondatrice de Moderna ».

Accusant Pfizer et BioNTech d’avoir « copié cette technologie, sans l’autorisation de Moderna, pour fabriquer Comirnaty® », Stéphane Bancel, président-directeur général de Moderna, a affirmé que la firme compte poursuivre Pfizer et BioNtech en justice. « Nous intentons des poursuites pour protéger la plateforme technologique ARNm innovante que nous avons développée, pour laquelle nous avons investi des milliards de dollars et que nous avons brevetée au cours de la décennie qui a précédé la pandémie de COVID-19 », précise-t-il.

De son côté, la directrice juridique de Moderna, Shannon Thyme Klinger a assuré que Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna ». Et d’ajouter : « Moderna s’attend à ce que Pfizer et BioNTech dédommagent Moderna pour l’utilisation continue par Comirnaty® des technologies brevetées de Moderna ».

En revanche, le communiqué indique que Moderna :  

–       « ne cherche  pas à retirer Comirnaty® du marché » et « ne demande pas d’injonction pour empêcher sa vente future. » 

–        « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer aux pays de l’AMC 9, c’est-à-dire les 92 pays à revenu faible ou intermédiaire qui font partie du système Covax. »

–       « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer lorsque le gouvernement américain serait responsable de tout dommage »

–       « ne cherche pas non plus à obtenir des dommages et intérêts pour des activités survenues avant le 8 mars 2022. »

Plus précisément, Moderna accuse les géants Pfizer et BioNTech d’avoir « sciemment copié deux caractéristiques clés des technologies brevetées de Moderna », car aucune n’avait ni les connaissances ni l’expérience nécessaire en matière de développement du vaccin à ARN messager pour les maladies infectieuses. Selon les dires de Moderna, elles auraient tout simplement suivi l’exemple « en développant leur propre vaccin. »

Aux prémices de la production des vaccins, Pfizer et BioNTech ont décidé de faire passer quatre candidats vaccins différents en phase d’essai clinique. Mais peu après, les deux concurrents de Moderna se sont penchés « pour un vaccin dont la modification chimique de l’ARNm est exactement la même que celle du Spikevax® ». Sauf que cette technologie à ARN messager aurait été pensé par les scientifiques de Moderna dès 2010, et les essais sur l’homme ont été validés en 2015, et non pas par Pfizer.

Autres agissements dénoncés par Moderna : « Pfizer et BioNTech ont copié l’approche de Moderna pour coder la protéine Spike complète dans une formulation de nanoparticules lipidiques pour un coronavirus », dévoile le communiqué. À cela, la firme américaine a répliqué que les scientifiques de Moderna avaient déjà créé un « vaccin contre le coronavirus à l’origine du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), des années avant l’apparition du Covid-19. »

Le développement d’un vaccin est un long processus. S’agissant du vaccin contre le MERS, mentionné par le communiqué de Moderna, peu d’informations sont sorties. Comme le confirme le document de l’Organisation mondiale de la Santé daté du 5 août 2022 : « Aucun vaccin ou traitement spécifique n’est disponible actuellement. » Par conséquent, si Moderna affirme avoir développé un vaccin contre ce coronavirus, celui-ci n’a jamais fait l’objet d’une autorisation d’urgence pour vacciner la population. 

Depuis 2021 et la sortie de son vaccin à ARN messager puis de son antiviral, le Paxlovid, Pfizer a accumulé les plus gros bénéfices de toute son histoire. Selon Challenges« le chiffre d’affaires du laboratoire a bondi de 47 % pour atteindre 27,74 milliards de dollars »

Habitué des procès pour fraude, la plainte de Moderna peut-elle nuire encore à l’image de Pfizer ?

Voir aussi : Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA et Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton

Pour plus d’informations sur la société Pfizer, il est possible de voir cet interview de Radio Courtoisie : « Idriss Aberkane: « Pfizer, une société multirécidiviste, a truqué ses données ! » » 




Vaccins anti-Covid : alerte rouge !

[Source : infodujour.fr]

Par Marcel Gay

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néozélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Les dangers des injections répétées (UnLimPhotos)
Les dangers des injections répétées (UnLimPhotos)

Les études se suivent et se ressemblent. Dans un article publié par The Epoch Times, le Dr Paul Alexander, épidémiologiste et chercheur, affirme que les injections anti-Covid peuvent endommager le système immunitaire inné des jeunes enfants. Il explique que « les gens naissent avec un système immunitaire inné, qui constitue la première ligne de défense de l’organisme contre les nombreux agents pathogènes qu’il rencontre. Et c’est l’exposition aux germes et aux substances étrangères qui permet d’entraîner le système immunitaire inné à fonctionner. »
Les cellules du système immunitaire inné sont en quelque sorte « entraînées » par l’exposition à un agent pathogène. Mais « cette formation peut être perturbée lorsque les enfants reçoivent des injections d’ARN messager basées sur la souche virale initiale. Cela s’explique par le fait que les anticorps vaccinaux ciblent de manière très spécifique la protéine Spike et empêchent les anticorps innés de faire leur travail. » Cela peut se traduire par une maladie auto-immune, « le système immunitaire attaque le corps ».

Les enfants vaccinés plus exposés à la Covid

Ainsi, sans être vaccinés, les enfants en bonne santé sont capables de neutraliser et d’éliminer le virus pour empêcher l’infection, la réplication et la transmission, ajoute le Dr Alexander. C’est pourquoi les enfants, pour la plupart, ne présentent aucun symptôme ou des symptômes légers, en particulier contre le variant Omicron dominant aux États-Unis et dans d’autres pays.
Or, note encore le Dr Alexander, « les autorités sanitaires américaines recommandent fortement la vaccination des enfants dès l’âge de 6 mois, bien que la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) reconnaissent, selon leurs propres données, que les enfants vaccinés sont susceptibles d’être infectés par la Covid-19.

« Un bénéfice négatif »

Le Pr Harvey Risch, professeur émérite d’épidémiologie à l’école de santé publique de Yale, à New York, confirme que « les anticorps déclenchés par les vaccins anti-Covid 19 interfèrent avec le système immunitaire à mesure que se succèdent les variants du SARS-CoV-2 » Les vaccins sont conçus à partir de la protéine Spike du virus initial, qui a muté dès le début de la pandémie. « Les vaccins ne produisent qu’une gamme très étroite d’anticorps contre la protéine Spike », dit-il. « Lorsque la protéine Spike change avec les nouvelles souches du virus, la capacité du système immunitaire à produire des anticorps correspondant aux nouvelles souches est réduite à tel point que l’efficacité du système peut s’avérer quasi nulle sur de longues périodes (…) Cela signifie qu’ils deviennent des anticorps interférentsau lieu d’anticorps neutralisants », poursuit le Pr Risch. « Selon moi, c’est la raison pour laquelle nous avons constaté ce que l’on appelle un bénéfice négatif – une efficacité vaccinale négative sur une plus longue période – de quatre, six à huit mois après la dernière dose du vaccin, on peut voir le bénéfice apporté par les vaccins virer au négatif. »

Le courage des médecins en Nouvelle-Zélande

La convergence et la multiplication de ces études sur le rôle délétère des vaccins interrogent de nombreux professionnels de santé. C’est le cas en Nouvelle-Zélande où de nombreux médecins ont adressé une lettre officielle à la police pour demander l’ouverture d’une enquête sur les décès liés au vaccin.
« Le nombre de décès et de blessures consécutifs aux vaccins Covid-19 est scandaleusement élevé, en soi et par rapport à tout autre traitement ou vaccin des temps modernes », soulignent les médecins néo-zélandais (NZDSOS) dans un communiqué.
« Nous signalons de nombreux cas qui EXIGENT une enquête appropriée, comme il convient à tout médicament dépourvu d’études de sécurité. Nos systèmes de surveillance ont été désactivés afin de cacher l’étendue des dommages. La déclaration des événements indésirables n’est PAS OBLIGATOIRE, et ce seul fait sape toute tentative de présenter les injections comme sûres. »
Les médecins rebelles ajoutent : « Des enfants et des jeunes meurent et souffrent de lésions particulièrement cardiaques (bien que de nombreuses personnes âgées en bonne santé soient également décédées), alors que le risque qu’ils courent avec la covid-19 est particulièrement faible. Nous pensons que l’on nous ment. »
La lettre s’accompagne d’une liste de nombreux cas.
En conclusion, les médecins font « à nouveau appel à la police, dirigée par Andrew Coster, et à nos députés, pour qu’ils interviennent afin de protéger le peuple ».
À quand une telle initiative des médecins français et européens ?

Jean-Marc Sabatier* : « Un dérèglement durable du système immunitaire »

Jean-Marc Sabatier (DR)
Jean-Marc Sabatier (DR)

Jean-Marc Sabatier n’est pas surpris par ces études, lui qui, le premier, dans infodujour.fr a alerté sur le dérèglement durable du système immunitaire lié aux vaccins. Résumons.
« Je voulais revenir sur le fait que tous ces rappels conduisent au dysfonctionnement de l’immunité innée et, par voie de conséquence, de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire au dérèglement généralisé du système immunitaire. Des travaux scientifiques montrent que la protéine Spike, ou l’injection répétée et massive d’un antigène vaccinal, peut conduire à un dérèglement durable du système immunitaire. Ceci suggère que les cellules de l’immunité innée ne vont plus être capables d’effectuer correctement leur travail. Et cela peut avoir pour conséquence d’initier des maladies auto-immunes. Si l’on procède à des injections multiples et massives du même vaccin, il y aura un dysfonctionnement inévitable de l’immunité innée, avec l’apparition potentielle de maladies auto-immunes ou une aggravation de celles-ci, voire de cancers, de troubles neurologiques et autres pathologies. »

La protéine Spike dérègle le SRA

« Déjà, un article publié en 2009 suggérait que, quel que soit l’antigène, si trop de rappels étaient effectués (c’est-à-dire si on sature/déborde le système immunitaire), l’immunité innée sera immanquablement déréglée, conduisant à l’apparition de maladies auto-immunes.
En plus, dans le cas du SARS-CoV-2, pour vacciner, on va utiliser un système biologique qui va produire la protéine Spike (ARNm, vecteur viral), ou injecter directement la protéine Spike (virus inactivé, protéine Spike recombinante). Cette protéine Spike dérègle le système rénine-angiotensine (SRA) qui contrôle l’immunité innée. Il y a donc un double effet. D’une part, le système immunitaire sera saturé parce que le seuil de tolérance/criticité auto-organisée du système est dépassé, ce qui peut déclencher des maladies auto-immunes. De plus, la protéine Spike va dérégler cette immunité innée puisqu’elle agit directement sur le SRA qui contrôle l’immunité innée.

Une catastrophe sanitaire à venir

Personnellement, je crains que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent si la politique de rappels multiples avec des vaccins quasiment obsolètes et dangereux (compte tenu de la toxicité démontrée de la protéine Spike vaccinale) se poursuit. Comme les autorités semblent s’orienter vers des rappels réguliers, nous allons être prochainement dans une situation critique. Par conséquent, le problème ne sera même plus les phénomènes de facilitation de l’infection virale (ADE/ ERD), mais pourrait bien être le déclenchement des maladies auto-immunes, des cancers, et autres pathologies. Il faut vraiment retenir que la protéine Spike suractive le système rénine-angiotensine qui va altérer l’immunité innée et que le SRA, impliqué dans de nombreuses voies métaboliques majeures, est directement à l’origine (lorsqu’il est suractivé) des thromboses, coagulopathies, myocardites, péricardites, troubles menstruels, etc. Ces dernières sont en fait des maladies Covid-19 qui vont être induites soit par une infection naturelle au virus SARS-CoV-2, soit qui seront directement déclenchées par la protéine Spike vaccinale. »

*Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie. Éditeur-en-Chef des revues scientifiques internationales : « Coronaviruses » et « Infectious Disorders – Drug Targets ». Il s’exprime ici en son nom propre.

Autres études :

LE SYSTÈME RÉNINE-ANGIOTENSINE

SARS-COV-2 ET COVID-19




REVUE DE PRESSE DU 27 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant

Phrase choc extraite des premières conclusions de l’enquête menée sous la direction de Me Reiner Fuellmich, tandis qu’un autre article rappelle que le test PCR n’est qu’une mascarade, ou encore un autre qui prouve un lien entre la 5G et la gravité de la « pandémie » de Covid-19, tandis que de nouvelles preuves d’efficacité négative des vaccins sont mises en évidence aux USA, où Fauci et des hauts responsables sont cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours, tandis que les « rats » quittent le navire dans les CDC, NIH et autre FDA, par exigence morale ou crainte de poursuites ??

En France un comité scientifique chasse l’autre, et lave plus propre (indépendance, transparence, on attend de voir), tandis que l’OMS met à jour sa stratégie vaccinale et recrute la plus intransigeante des défenseurs de restrictions du Royaume-Uni, et que la Chine commence à utiliser un médicament anti-VIH dans le traitement de la Covid.

Et tandis qu’un médecin italien est réintégré en Sardaigne, trois autres meurent mystérieusement après la 4e injection au Canada.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Fin des mesures d’exception au 31 juillet 2022

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/Covid-19-le-parlement-vote-la-fin-des-mesures-d-exception-dont-le-passe-sanitaire_2177637.html

« En cas de crise sanitaire à l’avenir, si le gouvernement a besoin de pouvoirs exceptionnels, il devra les négocier un par un avec le Parlement »

Nouveau comité scientifique « commando »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-le-ministre-de-la-sante-annonce-la-mise-en-place-d-un-nouveau-comite-scientifique-commando-dans-les-10-jours-qui-viennent_5279884.html

« Mis en place dans les 10 jours qui viennent pour pouvoir alerter le gouvernement en cas de nouveau risque sanitaire, équipe commando de scientifiques de très haut niveau, indépendant, transparent dans ses avis et extrêmement réactif ». Pas facile de trouver des scientifiques réellement indépendants, sans conflit d’intérêts. Quant à la réactivité, elle risque d’être encore synonyme de précipitation.

Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent du Covid

Prise de conscience tardive, qui aboutit à ce que la commission donne plus d’importance aux tests qu’aux vaccins, ce qui montre qu’ils n’ont compris qu’une partie de la vérité (voir le chapitre « test » plus loin).

Deuxième dose de rappel pour les soignants et professionnels du médico-social

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-les-professionnels-de-sante-et-du-secteur-medico-social-peuvent-desormais-beneficier-de-la-deuxieme-dose-de-rappel_5278564.html

Mais pas obligatoire, pour l’instant !

Faut-il suivre encore les PU-PH ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/C97-7e-vague-faut-il-suivre-les-pu-ph

Une interview du Pr Gilles Pialoux contrée point par point, arguments à l’appui, et cerise sur le gâteau à la fin, les conflits d’intérêts de ce médecin.

ÉTRANGER

L’OMS met à jour sa stratégie de lutte contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/27/loms-met-a-jour-sa-strategie-de-lutte-contre-le-Covid/

Une mise à jour basée uniquement sur la vaccination et en aucun cas sur les soins aux malades en particulier les traitements ambulatoires précoces. Consciente de l’inefficacité des vaccins actuels, l’OMS s’entête et attend des vaccins « actualisés » !

Et recrute une extrémiste des mesures restrictives

https://www.anguillesousroche.com/sante/un-professeur-du-parti-communiste-britannique-qui-a-soutenu-les-methodes-de-surveillance-pendant-la-periode-Covid-rejoint-loms/

Mme Susan Michie est en faveur du maintien « pour toujours » des masques et des mandats de distanciation sociale !!!

USA — Démissions massives des experts des CDC, NIH et FDA

https://www.francesoir.fr/politique-monde/Covid-19-demissions-en-cascade-des-experts-en-sante-des-nih-et-des-cdc-americains

« Ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère »

JUSTICE

ITALIE — le premier médecin réintégré en Sardaigne du Nord

https://resistance-mondiale.com/italie-medecin-non-vaccine-reintegre-le-premier-cas-en-sardaigne-du-nord

Le juge a également ordonné que lui soient versés les salaires accumulés depuis le jour de la suspension

USA — Fauci et des hauts responsables du gouvernement cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours

https://www.anguillesousroche.com/technologie/fauci-et-de-hauts-responsables-de-biden-sont-cites-a-comparaitre-dans-le-cadre-dune-action-en-justice-alleguant-quils-ont-collabore-avec-les-medias-sociaux-pour-supprimer-la-liberte-dexpression/

« La présidente de Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, a salué ce jugement. Maintenant, grâce au processus que le juge DOUGHTY a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mésinformation”. C’est un nouveau jour. »

COVID

USA — Lien entre Covid et 5G dans une étude gouvernementale

« le rayonnement de communication sans fil est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui pourrait avoir contribué aux résultats négatifs sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de Covid-19 »

Premières conclusions de l’enquête mondiale sur la crise sanitaire

L’essentiel est qu’il y a une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux.

C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant.

Le [Covid-19] n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas Ebola. Ce n’est pas le SRAS. C’est la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. Des milliers de décès et d’effets secondaires graves sont rapportés à l’issue de la campagne en masse d’injection Covid. Il est presque certain que la vaccination de masse avec le Covid-19 est nuisible à la santé de la population générale. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins Covid-19 doit être arrêtée immédiatement, car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins. Les quatre grandes entreprises qui ont mis au point ces vaccins génétiques (…) ont toutes décidé de choisir les parties les plus inappropriées du virus pour fabriquer un vaccin. Alors comment ces quatre sociétés ont-elles pu indépendamment, à moins d’être de connivence, faire exactement les mêmes erreurs ? Eh bien, non, elles n’ont pas pu. « Ce type de produit pharmaceutique n’était pas la spécialité de Pfizer mais “ILS” ont dit qu’il fallait le faire. Le code de Nuremberg stipule que “le consentement volontaire du sujet humain est absolument indispensable”. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques s’est fait l’écho de cette interdiction de l’expérimentation involontaire dans son texte de 1966, qui stipule : “Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ». Cette interdiction est désormais si universellement reconnue que certains tribunaux et universitaires ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier.

TESTS

Renonçons à la mascarade du test PCR

« Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les “cas” confirmés de Covid-19. »

TRAITEMENTS et STRATÉGIES

CHINE Traitement antiVIH contre le Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/chine-approuve-un-traitement-anti-VIH-contre-Covid

« l’Histoire donne-t-elle raison au défunt professeur Montagnier ? »

INJECTIONS

Code de la Santé publique et cas des vaccins Covid

https://reinfocovid.fr/science/article-r4127-39-du-code-de-sante-publique-cas-des-vaccins-Covid/

« il est évident que la recommandation, de décembre 2020, des vaccins ARNm n’était aucunement scientifique et encore moins en accord avec l’article r4127-39 du CSP.

Il est difficile de comprendre que le ministre, le Directeur Général de la Santé, les Agence Régionales de Santé et autant de médecins aient décidé de ne pas respecter ce point du code de santé publique et de se mettre dans l’illégalité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Vaccins anti-Covid, alerte rouge !

https://infodujour.fr/sante/59038-vaccins-anti-Covid-alerte-rouge

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néo-zélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Vaccin à ARNm, efficacité négative, selon le Pr Risch professeur d’épidémiologie à Yale

https://www.epochtimes.fr/face-aux-mutations-de-la-proteine-spike-les-anticorps-produits-par-les-vaccins-sont-davantage-interferents-que-neutralisants-explique-le-pr-risch-2077045.html

« Après la deuxième dose des vaccins à ARNm, il apparaît qu’ils offrent un intérêt contre l’infection symptomatique pour… la plupart des personnes pendant peut‑être 10 à 12 semaines. Après le premier rappel (la troisième dose), ce délai tombe à six ou huit semaines. Après la quatrième dose, il peut suffire de quatre semaines pour que l’efficacité s’estompe et commence à devenir négative. »

Les injections géniques inefficaces et dangereuses

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-injections-geniques-sont-inefficaces-et-dangereuses-25-07-22/

Une image qui vaut mille mots, les décès liés à tous les vaccins en 33 ans, dans la base américaine des effets indésirables

Trois jeunes médecins meurent en trois jours dans le même hôpital, peu après la 4e injection

https://noqreport.com/2022/07/24/three-doctors-die-within-four-days-shortly-after-hospital-begins-injecting-staff-with-fourth-Covid-shots/

Quelle est la probabilité que ce soit une coïncidence dans cet hôpital canadien ?? « Cela s’ajoute à la montagne de preuves qu’il y a une véritable conspiration en jeu avec les piqûres de Covid. La vérité doit continuer à se frayer un chemin. »

RÉSISTANCES

Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années

https://lemediaen442.fr/le-producteur-de-cinema-del-bigtree-les-non-vaccines-sont-les-heros-de-ces-deux-dernieres-annees/

« Ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid. Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort. »




REVUE DE PRESSE DU 23 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Immunité biologique versus immunité juridique

Si un vaccin est approuvé aux USA pour les enfants, son fabricant ne peut être poursuivi pour les effets indésirables qu’il provoque, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants, et même si ce produit n’assure pas la protection avancée, d’où la course à l’approbation pour les laboratoires déjà en selle, tandis que Valneva voit ses contrats annulés en Europe et au Royaume-Uni, pour cause de retard à l’AMM : deux poids deux mesures.

L’immunité acquise avec Omicron reste forte contre les sous-variants, et les masques une fois de plus se révèlent inutiles et dangereux, comme en témoigne le désastre de leur utilisation en Nouvelle-Zélande.

Les vaccinés affichent une surmortalité toutes causes, y compris avec une explosion de la mort subite de l’adulte. Mais les caciques de la HAS et de l’Académie de médecine aux conflits d’intérêts bien connus ont conforté le gouvernement dans son refus de réintégrer les soignants suspendus, malgré un été sous tension dans tous les services d’urgence.

Quant à l’OTAN s’il considère l’esprit humain comme un nouveau domaine de guerre, la manipulation est visible pour les esprits éveillés et selon le Pr Perronne, le mensonge ne durera pas éternellement. Exemple au Royaume-Uni où l’on a découvert les morts cachés sous le tapis du groupe non vacciné alors qu’ils sont décédés après la première dose de « vaccin ».

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS dit non à la réintégration des soignants suspendus

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-gouvernement-suit-lavis-de-la-has-et-dit-non-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines

Hélas, sur des arguments dont on sait qu’ils sont faux (l’efficacité n’est pas au rendez-vous, ni contre la contamination, ni contre les formes graves et décès).

Pour comprendre cette décision, il faut en connaître les auteurs et leurs conflits d’intérêts

Exemple, le Pr Aubier, membre de l’Académie de médecine

https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=45432

À ce niveau-là, tout s’explique.

France, le seul pays au monde, avec l’Italie, à maintenir la suspension des soignants et pompiers

https://pgibertie.com/2022/07/22/la-protection-vacxxxinale-a-disparu-meme-en-france-seul-pays-au-monde-avec-litalie-a-maintenir-lobligation-pour-soignants-et-pompiers/

Malgré l’absence de protection des injections contre les formes graves.

La forfaiture du gouvernement et de ses alliés

https://pgibertie.com/2022/07/23/non-reintegration-des-soignants-et-pompiers-non-vaccines-la-forfaiture-du-gouvernement-et-de-ses-allies-verifiez-vous-memes-les-stats-qui-le-prouvent/

Les non-vaccinés représentent le quart de la population française et « seulement » 15 % des cas et décès. « Affirmer, en juillet 2022 que les injections protègent les plus vulnérables, c’est du même ordre que présenter le Médiator comme l’invention médicale du siècle et le tabac comme un produit efficace contre le cancer ».

Les statistiques de la DREES parlent toutes seules

France — pour la première fois les statistiques officielles révèlent l’absence de protection vaccinale contre les formes graves

https://pgibertie.com/2022/07/22/pour-la-premiere-fois-en-france-les-statistiques-officielles-revelent-que-la-protection-vaccxxinale-contre-les-formes-graves-n-existe-pas/

et

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rapport-vaccinesnon-vaccines

« 5 décès par 10 millions pour les vaccinés et 4 pour les non-vaccinés. » Pour autant on ne sait pas de quoi sont décédées ces personnes, dont le diagnostic est « avec Covid » et non « du Covid ».

Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

On souhaite qu’un jour prochain quand le bon sens aura réintégré les institutions, hôpitaux et facultés de médecine, cette jeune étudiante puisse reprendre ses études interrompues avec un courage moral qui force le respect.

ÉTRANGER

Les actions de l’OTAN pour le contrôle de l’opinion publique

https://fr.sott.net/article/40404-Propagande-operations-psychologiques-et-guerre-cognitive-Les-actions-de-l-OTAN-pour-le-controle-de-l-opinion-publique

« Elle a mis en place dès avril 2020 une structure dédiée à l’étude de ce qu’ils appellent “l’infodémie”, et lancé dès avril 2020 l’Information Network for Epidemics (EPI-WIN) » ; « En mai 2020 elle fait passer la résolution WHA73.1 qui affirme que le contrôle des infos non conformes est un point essentiel dans la lutte “contre le Covid”, impose aux États de produire des contenus conformes et prendre des mesures contre les infos non conformes. »

« L’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de guerre ». « Les armées développent déjà des armes neurologiques qui visent le système nerveux et les capacités cognitives. Des expérimentations dans ce sens sont très certainement menées actuellement en Amérique latine avec la DARPA. »

L’UE abandonne Valneva

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/lue-abandonne-valneva/

Annulation quasi totale de la commande, car l’AMM a tardé à venir (l’appréciation de l’urgence n’est pas la même selon le laboratoire concerné).

ROYAUME-UNI — les morts cachés sous le tapis

https://pgibertie.com/2022/07/16/en-soulevant-le-tapis-on-a-retrouve-planques-des-milliers-de-morts-victimes-de-la-premiere-dose/

Ces morts survenues après la première injection avaient été comptabilisées dans le groupe des non-vaccinés.

ROYAUME-UNI — près de 19 millions de citoyens non vaccinés

Depuis avril 90 % des décès dus au Covid se trouvent chez les triple-vaccinés.

JUSTICE

Les sénateurs refusent la signification par huissier du courrier de l’association Bon Sens

Déni de considération des citoyens et refus d’entendre ce qu’ils ne veulent pas savoir.

ITALIE — décision historique contre la vaccination obligatoire

Décision largement argumentée autant juridiquement que scientifiquement.

USA — les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers qui ont conduit à la mort de leurs proches

https://www.epochtimes.fr/nous-allons-obtenir-justice-les-familles-sunissent-pour-denoncer-les-protocoles-hospitaliers-douteux-qui-ont-conduit-a-la-mort-de-leurs-proches-2070225.html

« Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les “protocoles mortels” sont étrangement similaires.Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement” »

COVID

Immunité naturelle acquise avec Omicron forte contre les sous-variants

https://www.aubedigitale.com/limmunite-naturelle-acquise-avec-omicron-est-forte-contre-les-autres-sous-variants-etude/

« Des scientifiques du Qatar ont constaté que la protection conférée par la résistance au COVID-19 était forte contre les plus récents sous-variants du virus, y compris celui qui domine actuellement aux États-Unis. »

TRAITEMENTS ET MESURES

Les masques sont INUTILES et DANGEREUX, l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/

Inutiles, car les virus sont 5000 fois plus petits que les trous des masques, dangereux, car ils augmentent la contamination au lieu de la diminuer et provoquent des troubles cutanés, respiratoires, psychologiques et neurodéveloppementaux chez les enfants.

INJECTIONS

La FDA approuve l’utilisation d’urgence de Novavax

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/19/la-fda-approuve-lutilisation-durgence-du-vaccin-de-novavax/

Pour les réticents aux vaccins à ARNmessager… mais pas de réelle étude de pharmacovigilance pour ce vaccin qui injecte la fameuse Spike, toxique.

Les vaccins anti-Covid sont inefficaces et toxiques pour les enfants

https://pgibertie.com/2022/07/18/la-biologiste-helene-banoun-accuseles-vaccins-covid-sont-inefficaces-et-toxiques-pour-les-enfants/

« L’efficacité a été mesurée uniquement selon la méthode de l’‘immunobridging », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps observé après les injections et non sur la capacité du vaccin à empêcher une infection par le virus. Aucun enfant déjà naturellement immunisé par une infection antérieure n’a été infecté : ceci démontre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle. »

Mais alors, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les enfants ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/que-cache-la-marche-forcee-de-la-vaccination-covid-des-enfants-par-laurent-aventin/

Selon l’avocat Robert Kennedy Jr, aux USA, “quand les ‘vaccins’ sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi”.

EFFETS INDÉSIRABLES

La mort subite de l’adulte, bien pratique pour cacher les effets indésirables des injections

https://www.lavieensante.com/2022-07-07-syndrome-de-la-mort-subite-de-adulte/

« Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d’informations » sur ce phénomène. »

Surmortalité des personnes vaccinées contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/18/lavocat-todd-callender-associe-a-la-direction-dun-groupe-dassurance-denonce-la-surmortalite-des-personnes-vaccinees-contre-covid-par-laure/

Toutes les formes de maladies parmi ceux qui ont reçu les injections contre Covid montent en flèche.”

En Angleterre et au Pays de Galles, près de 10 000 décès excédents non covid au cours des 2 derniers mois, en grande partie dus à des troubles vasculaires et cardiaques

https://dailysceptic.org/2022/07/19/excess-non-covid-deaths-approach-9500-in-last-11-weeks/

Les personnes vaccinées et contaminées contagieuses plus longtemps que les non-vaccinées

https://www.israelnationalnews.com/news/356245

les données du ministère israélien de la santé montrent que dans la population plus âgée (plus de 60 ans), le fait d’avoir reçu un plus grand nombre de vaccins COVID est souvent lié à une plus grande probabilité d’être infecté par le COVID.”

BELGIQUE — le risque d’être hospitalisé pour le Covid est plus important pour les vaccinés que les non-vaccinés

Autrement dit “efficacité négative” !!

La 4e dose est la pire de toutes !

https://pgibertie.com/2022/07/20/on-sait-maintenant-que-la-quatrieme-dose-est-la-pire-de-toutes-deux-plus-plus-de-risques-detre-contamine-pour-100-000-habitants/

Comme le montrent les données canadiennes, 20 fois plus de décès par million de personnes pour les 4 doses et plus que pour les 0 dose.

RÉSISTANCES

Touche pas à mon Doc !

https://www.aimsib.org/2022/07/23/touche-pas-a-mon-doc-et-plus-de-qr-code-pour-decider-de-qui-ils-soignent/

“Les services de la Sécurité Sociale épluchent les ordonnances des médecins (Ivermectine, Azythromycine) et des centaines de médecins sont convoqués par les Conseils de l’Ordre pour répondre de ces prescriptions. Et demain, est-ce que les médecins seront encore indépendants ?”

CSI n° 63, 21 juillet 2022, avec Marc Girardot



Un regard différent sur les contre-vérités Covid”

Faut s’réveiller, chanson de Xavier Domingue

… “les droits d’l’homme aujourd’hui sont bien bafoués
le crédit social est planifié
on est manipulés…”

Le mensonge ne durera pas éternellement

https://www.profession-gendarme.com/exclu-360-le-professeur-perr0nne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/

Le Pr Perronne revient sur toutes les mesures absurdes, inutiles et dangereuses prises dans l’épidémie de Covid-19 et croit en l’éveil des consciences pour que cette folie cesse.

Un témoignage du nord de l’Inde

https://reinfocovid.fr/temoignage/nouvelles-du-nord-de-linde/

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J’arrête là, car le peu de personnes à qui je me confie restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.”

USA, la vérité en train d’éclater

Jean-Dominique Michel, interviewé par Pierre Barnérias



Dr RICHARD URSO — Explosion des Cancers et des maladies latentes

Retranscription de la traduction française de l’interview

Quelle est la biodistribution de ce produit, cette nanoparticule lipidique ? Eh bien, devinez quoi : elle se distribue partout ! C’est quelque chose que j’ai su tout de suite parce que je travaille avec des nanoparticules lipidiques. J’aurais pu vous dire que les nanoparticules lipidiques, j’ai l’habitude de dire : elles ont besoin d’une (petite) fente, alors que le virus a besoin d’une porte ouverte, et un vaccin normal a besoin d’une porte ouverte. Un vaccin normal reste dans le bras à peu près à 99,9 %. (????) Une nanoparticule lipidique a (juste) besoin d’une fente pour sortir. Une grande majorité de la nanoparticule lipidique ne reste pas dans le bras. En fait nous savons maintenant qu’une grande partie d’entre elles va dans le ganglion lymphatique juste en dessous d’ici et qu’elles continuent à produire des protéines de pointe (spike) jusqu’à 60 jours plus tard. 

C’est une merveilleuse étude de Cell. C’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique qui aurait dû être examinée bien avant la sortie de ce produit. Ils n’ont jamais dit aux gens :

« nous allons le coller dans votre bras et il va apparaître dans votre ganglion lymphatique, il va apparaître dans votre cerveau, il va apparaître dans vos ovaires, dans votre moelle osseuse, vos glandes surrénales, votre foie et votre rate, qui va ensuite remonter par le nerf vague et aller jusqu’à vos ganglions de la base ».

Toutes ces choses se produisent. Pourquoi est-ce que je le sais ? Parce que les études ont été faites maintenant. Si elles n’ont pas été faites par Pfizer ou si Pfizer les a faites, ils n’en ont parlé à personne. Donc il ne reste pas dans le bras, il produit la protéine de pointe jusqu’à 60 jours. 

La Spike, comme nous le savons, est en fait retrouvée jusqu’à 15 mois plus tard dans les monocytes et d’autres cellules. Elle n’est pas dégradée. C’est un gros problème, les gens devraient avoir ces choses. Elle bloque le gène P53, le gardien du génome. Elle bloque le microRNA-27a qui est aussi présent dans le cancer du côlon. Elle affecte beaucoup de choses qui vont augmenter les cancers, le BCRA (le gène du cancer du sein) qui interfère avec ça. Ce sont des choses qui auraient dû être faites à l’avance. Ce que je vous dis… ces études sont faites, ce ne sont pas des opinions. Je ne donne pas d’opinions, je vous donne des données. Ça va partout. Elle bloque d’importants gènes de réparation des tumeurs appelés P53. Elle bloque le BCRA. Elle perturbe aussi le microRNA-27a (ce ?) qui provoque des poussées dans les cellules cancéreuses du colon.

Ça provoque une production pouvant aller jusqu’à 60 jours. Ça perturbe les récepteurs 7 et 8 que vous et moi avons de manière assez similaire. Ils font partie du génome de tous ceux qui sont dans cette pièce. Ils sont importants pour la surveillance immunitaire des virus. On va donc assister à une forte augmentation de tous les virus qui restent en sommeil dans notre corps, comme la famille des virus de l’herpès. Dans ma clinique, je vois en ce moment 3 à 5 personnes chaque semaine — car elles savent que je consacre beaucoup de temps au covid — elles viennent me voir avec un long covid et elles viennent me voir avec des problèmes post-vaccinaux. Ces gens viennent me voir, ils sont épuisés, ils ne se sentent pas bien et je constate qu’un très grand nombre d’entre eux ont réactivé l’Epstein-Barr, l’herpès simplex, l’herpès zooster, le CMV. Je n’ai jamais eu d’interview où j’ai révélé cela au grand public. C’est très important.

Beaucoup de gens se posent des questions sur ce long covid, si tout est lié à des problèmes viraux, en particulier la protéine spike ou à d’autres problèmes. Ils ne savent pas que nous assistons à une énorme réactivation des virus de la famille de l’herpès. Et nous avons un traitement pour que cela fonctionne vraiment bien. Ce sont des choses que nous devons faire connaître. Et nous voyons aussi une augmentation de 40 % des décès. Comme vous le savez, de 18 à 64 ans, ce sont les données funéraires. Personne ne les a renseignés pour leur dire de ne pas laisser passer cette information. Et de 25 à 44 ans, nous avons vu le dernier trimestre de l’année dernière une augmentation de 82 % des décès. Il y a beaucoup de données qui sont très troublantes et la plupart des gens ne sont pas au courant.

C’est notre travail de faire savoir aux gens que cette plate-forme de nanoparticules lipidiques de l’ARN messager — peu importe ce que vous y attachez — elle va toujours voyager partout. Ce sera toujours un problème. Et c’est pourquoi vous voyez que la distribution des troubles qui en découlent après le vaccin affecte tant les différents organes parce qu’elles se propagent partout. J’ai entendu quelqu’un dire : « Nous ne savons pas pourquoi il fait toutes ces choses ». Et bien, nous savons pourquoi, c’est parce que c’est une nanoparticule lipidique, elle va partout. Je dis aux gens : « C’est comme de l’ail ». Ce n’est pas quelque chose qui est contrôlable et peu importe si vous le faites pour le VRS, peu importe si vous le faites pour la grippe, si vous faites une plate-forme de nanoparticules lipidiques, vous cherchez des ennuis. Vous demandez un modèle de distribution incontrôlé. 

https://rumble.com/v12y1pz-dr-richard-urso-explosion-des-cancers-et-des-maladies-late.html

http://echelledejacob.blogspot.com/2022/07/dr-richard-urso-explosion-des-cancers.html




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

crime contre lhumanitégrand juryhistoire et géopolitiquereiner fuellmichtribunal




Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




REVUE DE PRESSE DU 13 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Entre péremption et incitation à un second rappel

L’UE encourage les plus de 60 ans à demander une deuxième dose de rappel tandis que la France va jeter plus de 3 millions de doses d’AstraZeneca, que les effets indésirables sont dénoncés largement et qu’un jugement d’annulation de suspension d’une soignante pourrait faire jurisprudence. Le ministère fait volte-face et demande l’avis des scientifiques pour une éventuelle réintégration des soignants suspendus. Dans la folle course aux nouveaux vaccins supposés agir sur de nouveaux variants, on renonce à tous les protocoles et les mathématiciens continuent de modéliser les morts à venir. Inversion accusatoire, restrictions et censures et pour couronner le tout, ces journalistes qui n’ont lu aucune des 1750 études sur les effets indésirables des vaccins anticovid. Mais l’AFNOR veille et dénonce l’escroquerie des masques, et l’on découvre des fraudes aux tests dans des officines pour la modique somme de 53 millions d’euros.


POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Un ministre sous contrôle et derrière, une caste de technocrates qui prendra les vraies décisions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/06/francois-braun-un-parfait-playmobil-sous-controle-au-ministere-de-la-sante/

Entre-soi et connivence.

Nomination de François Braun, une provocation

https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/remaniement-la-nomination-de-francois-braun-comme-ministre-de-la-sante-est-une-veritable-provocation-selon-l-association-des-medecins-urgentistes_5237065.html

« Les propositions qui sont faites par François Braun sont catastrophiques. C’est une rupture du service public. Il explique qu’on peut fermer les urgences la nuit. Monsieur Braun ne représente pas les urgentistes. »

(Dr Prudhomme, porte-parole des urgentistes de France)

Rentrée des classes, protocole sanitaire allégé

https://www.francesoir.fr/politique-france/covid-19-protocole-sanitaire-ecole

« alignement de l’école avec la population générale et contact tracing aboli »

Le bilan selon le Pr Perronne

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne

 « Tout cela était planifié. Je ne vois pas comment l’expliquer autrement/en avril 2020 le ministère savait que le Remdesivir était toxique pour le rein et pour le foie/L’Assistance Publique est à la dérive/la baisse du niveau de formation des étudiants en médecine est dramatique/le système est en train de s’écrouler »

Pr Raoult « êtes-vous complotiste » ?

« Je pense que le niveau de l’argent qui circule atteint un niveau auquel on n’était pas habitués et je pense qu’il faudra bien que la vigilance se mette en place. »

Lettre de BonSens aux députés et Sénateurs, le 5 juillet 2022

Alerte sur les effets indésirables des injections et l’urgence d’un moratoire

La réintégration des soignants suspendus, un sujet à 600 millions d’euros !

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/12/macron-refuse-de-payer-les-600-millionse-quil-doit-aux-soignants-suspendus/

« Pour 600 millions, mieux vaut mettre l’hôpital en danger, plutôt que réparer ses fautes et manger sa salive… »

MAIS, scoop au ministère !

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegration-des-soignants-non-vaccines-braun-lenvisage

« La protestation va-t-elle finir par porter ses fruits ? »

10 millions d’euros jetés par les fenêtres !

https://www.ladepeche.fr/2022/07/11/vaccins-contre-le-covid-19-la-france-va-jeter-36-millions-de-doses-astrazeneca-perimees-10429268.php

3,6 millions de doses d’AstraZeneca périmées, qui n’ont pas trouvé preneurs..

La folle course en avant des nouveaux vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/nouveaux-vaccins-de-rappels-automne-la-folle-course-en-avant

De nouveaux vaccins bivalents sans aucune étude clinique ni garantie d’efficacité, exit le protocole, seulement des extrapolations et la population devient le terrain d’expérimentation de tout nouveau vaccin anti-covid !

L’objectif d’un vaccin adapté à tout nouveau variant est une chimère, inatteignable !

« c’est un moratoire vaccinal qui devrait prévaloir de la part des autorités, et une réflexion éclairée dans le débat public au bénéfice de la population générale. »

Crise Covid, restrictions et censures

Mensonges des médias, censure des GAFA, procès du Conseil de l’Ordre, suspension des soignants vaccino-prudents, menaces contre la démocratie en France et dans l’UE.

L’inversion accusatoire des auteurs anti-conspirationnistes

https://www.francesoir.fr/entretien-essentiel/francois-belliot

« Le complotisme a servi à labelliser et diaboliser tous ceux qui critiquaient la gestion gouvernementale de la crise sanitaire »


ÉTRANGER

AUTRICHE
ce sont les médecins qui sont responsables en cas d’effets indésirables

https://www.wochenblick.at/corona/haftungshammer-gesundheitsminister-bestaetigt-aerzte-bei-impfschaeden-verantwortlich/

« La sanction pour violation de l’obligation de déclarer les effets secondaires ou le manque d’efficacité (selon la loi sur les médicaments) est de 7500 €, et jusqu’à 14 000 € en cas de récidive »

ITALIE
Flop total de la 4e dose

https://lemediaen442.fr/italie-flop-total-pour-la-4e-dose-du-vaccin-les-centres-de-vaccination-sont-vides/

« Le désintérêt des peuples du monde à la vaccination ne fait que s’amplifier. »

UE
2e dose de rappel pour les plus de 60 ans

https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-l-ue-recommande-une-deuxieme-dose-de-rappel-pour-les-plus-de-60-ans_AD-202207110253.html

Au lieu de la population des plus de 80 ans visée précédemment.

CHINE, HONG-KONG
quarantaine ET bracelet électronique pour les positifs au Covid

No comment.

PÉROU
catastrophe vaccinale, il faut stopper les injections

https://www.mondialisation.ca/la-catastrophe-vaccinale-du-perou-demontre-encore-quil-faut-stopper-ces-injections-experimentales/5669655

Au 15 juin 2022, taux de mortalité le plus élevé au monde dû au Covid ; dans les pays africains adeptes des traitements précoces, c’est 200 à 400 fois moins.

URUGUAY
Les vaccins ne sont plus disponibles pour les moins de 13 ans

https://en.mercopress.com/2022/07/07/a-judge-in-uruguay-has-prohibited-covid-vaccines-for-children-health-ministry-complies-with-the-ruling

Jusqu’à nouvel ordre.


JUSTICE

Annulation de la suspension d’une infirmière de Dijon, non vaccinée

https://m-epochtimes-fr.cdn.ampproject.org/c/s/m.epochtimes.fr/une-infirmiere-non-vaccinee-suspendue-gagne-son-proces-contre-lhopital-public-2059142.html/amp

et

https://www.youtube.com/embed/Jubmtzbx6J8

Ce jugement — sur le fond — pourrait faire jurisprudence.

« La décision n’était pas motivée/donc elle est nulle ».

Sans les avocats, les restrictions auraient été pires

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/me-tarek-koraitem

« Me Koraitem, avocat pénaliste a obtenu par voie de justice au cours de la crise sanitaire des décisions fondamentales pour le rétablissement des libertés des salariés aussi bien dans le secteur public que privé ».

Le point sur les démarches en cours de Réinfo Liberté

https://drive.infomaniak.com/app/share/417240/b34b30ca-403a-455c-8c43-8a424bcf103d/preview/pdf/3914

Médecins objets de plaintes en raison de leurs prises de position inacceptables, ou mesures gouvernementales assises sur des arguments fallacieux, la lutte se poursuit.


COVID

Preuves biochimiques que Moderna a créé le Covid 19 ?

https://perma.cc/PHY6-5MPN

« Il n’y a absolument aucun virus qui possède un doublet CGG dans un site de clivage de la furine (PRRAR), à l’exception de Covid-19 et des virus végétaux que Dow Agroscience, Monsanto ou autres ont modifiés ».

https://factuel.afp.com/doc.afp.com.327792X

L’immunité naturelle reste efficace à 97 % après 14 mois

https://www.epochtimes.fr/apres-14-mois-limmunite-naturelle-reste-efficace-a-97-contre-les-formes-graves-de-covid-revele-une-etude-2068571.html

« Ce pourcentage est supérieur à la protection conférée par les vaccins Covid — 19, selon d’autres études et données empiriques. »


TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

L’AFNOR prouve que le masque est une escroquerie

https://nouveau-monde.ca/lafnor-prouve-que-le-masque-grand-public-recommande-par-le-gouvernement-est-une-veritable-escroquerie/

Le maillage des masques bleus chirurgicaux, les masques « maisons » et les masques en tissus est trop gros (trous de 0,3 micron) pour arrêter le coronavirus qui mesure entre 0,06 et 0,14 micron.

Rejet de prorogation du pass vaccinal

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/13/passe-vaccinal-quelles-options-pour-macron-apres-que-lopposition-a-depasse-la-borne/

« Pour autant, il ne faudrait pas sous-estimer le danger du texte tel qu’il a été adopté le 12 juillet. Son article premier proroge la collecte de données sanitaires individuelles sans le consentement des personnes jusqu’au 31 janvier 2023. »


TESTS

Fraude aux tests, 34 pharmaciens, 53 millions d’euros détournés

https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/info-rtl-fraude-aux-test-covid-34-pharmacies-accusees-d-avoir-detourne-53-millions-d-euros-7900171555

169 officines font toujours l’objet d’une procédure.


INJECTIONS

Rôle des vaccins dans une réduction et un contrôle des populations

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/

« Le grand public commence à comprendre que quelque chose ne tourne pas rond dans le comportement des dirigeants politiques de la terre ».


EFFETS INDÉSIRABLES

C’est bien la vaccination et pas la Covid qui provoque les myocardites

https://pgibertie.com/2022/07/06/la-preuve-enfinles-myocardites-sont-des-effets-secondaires-des-injections-pas-de-la-covid/

La Spike vaccinale est plus dangereuse que la Spike virale.

Selon le VAERS (pharmacovigilance américaine), multiplication majeure des irrégularités menstruelles et malformations fœtales par les vaccins

https://www.epochtimes.fr/les-vaccins-covid-multiplient-par-mille-les-irregularites-menstruelles-et-par-cent-les-malformations-foetales-selon-une-analyse-du-vaers-2064256.html

« L’absence de données et de tests adéquats concernant l’innocuité pendant la grossesse a entraîné des toxicités reproductives et fœtales qui auraient pu être évitées », selon le Dr Malone, un des contributeurs de la technologie ARNm.

Les rappels favorisent les effets indésirables

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/12/la-toxicite-des-injections-covid-augmente-elle-avec-le-nombre-de-rappels-par-laurent-aventin/

Les femmes sont plus touchées que les hommes (71 % versus 29 %), et les données de l’ANSM ne permettent pas de différencier les effets selon le nombre de doses, quand c’est possible au Royaume-Uni.

Le vaccin tue de plus en plus de célébrités et d’anonymes

https://www.mondialisation.ca/le-vax-tue-de-plus-en-plus-de-celebrites-et-combien-danonymes-et-de-vies-brisees-stoppons-le-massacre/5669734

Des carrières et des vies brisées.

Effets des injections Covid, plus de 1750 études/rapports que les journalistes n’ont pas lus

https://pgibertie.com/2022/07/11/plus-de-1750-rapports-et-etudes-portant-sur-les-effets-des-injections-covid-ont-ete-publiees-et-les-journalistes-nen-ont-pas-lu-un-seul/

« Il y a un moment où la négation des faits devient un crime ».


RÉSISTANCES

CSI n° 62 du 7 juillet 2022

https://crowdbunker.com/v/PB9hobdK

Dr Erik Loridan, sur les fondements scientifiques du masque.

Plate-forme de témoignages de victimes des injections

https://effets-secondaires-vaccins-covid.org/

La liste est longue et douloureuse.

13 juillet 2022
300 jours sans ressources pour les soignants et pompiers suspendus




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Mise en garde sur l’augmentation des cancers post-vaccinaux suite à l’analyse récente de 845 cas de leucémie liés aux vaccins Covid

[Source : epochtimes.fr]

Par Dr YUHONG DONG & HEALTH 1+1

Le Dr Ryan Cole, pathologiste américain et fondateur de Cole Diagnostics, a constaté une augmentation anormale de certains cancers suite à la campagne de vaccination contre le Covid. Parmi les tendances inquiétantes, on note une augmentation inhabituelle de certains cancers rares. Selon lui, les injections contre le Covid ont peut‑être nui au système immunitaire des vaccinés.

Le Dr Cole est pathologiste, son travail consiste à examiner un grand nombre de coupes histologiques et à fournir ses conclusions pathologiques aux cliniciens. Récemment, il a constaté une augmentation du nombre d’adultes avec des maladies infantiles ou des cancers rares. Ces pathologies rares se développent à un rythme anormal, dans des groupes d’âge atypiques. Il a également constaté une augmentation des décès, toutes causes confondues, chez les personnes vaccinées.

En tant que professionnel explorant ces phénomènes au niveau microscopique, le Dr Cole est très troublé.

Ce ne sont absolument pas des cas isolés.

Récemment, un grand nombre de leucémies ont été signalées en Chine de manière spontanée. Tous les patients avaient été vaccinés contre le Covid.

Il semble donc que nous ayons en Chine un phénomène similaire à celui signalé par le Dr Cole.

Nous souhaitons publier ici nos résultats et susciter une attention mondiale urgente sur les hémopathies malignes comme effets indésirables des vaccins Covid.

Dernière analyse portant sur 845 cas post‑vaccinaux de leucémie

En date du 4 juin 2022, nous avons reçu deux listes avec près de 1000 cas de leucémie rapportés comme événements indésirables post‑vaccinaux. Dans notre article précédent, faute de temps, nous n’avons analysé que 235 cas certifiés. Nous fournissons désormais une analyse de tous les cas.

Après vérification, nous avons supprimé les doublons (certains cas ont été signalés dans deux groupes différents afin d’augmenter les chances d’être remontés) et les cas dont les informations étaient incomplètes. Il restait 845 cas recevables.

Pour classer les informations, nous avons adopté une méthode rigoureuse et prudente, telle que pratiquée dans le milieu. Par exemple, si le moment de l’apparition de la maladie ne comportait pas de date précise, mais seulement le mois, nous avons remonté cette ambiguïté et le caractère approximatif du cas, moins propice à établir la causalité.

Voici notre analyse complète des 845 cas admis.

Analyse du genre

La moitié des patients étaient des hommes. La prédominance masculine est conforme à l’incidence généralement observée de la leucémie selon le genre.

Analyse de l’âge

Les patients étaient âgés de 1 à 80 ans, l’âge médian étant de 29 ans, et la moitié d’entre eux avaient entre 12 et 45 ans.

En examinant les cas, on constate que l’âge d’apparition de la leucémie myéloïde aiguë (LMA) et de la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) ne semble pas correspondre à celui généralement observés pour ces maladies. Par exemple, l’âge médian d’apparition de la LMA pour les cas observés est de 37,5 ans et de 32 ans pour la LLA. On constate que cet âge est très inférieur aux âges d’apparition historique de ces maladies chez les adultes, qui sont de 68 ans pour la LMA et de 70 ans pour la LLA.

La distribution géographique

L’incidence de la leucémie est généralement associée à une source de pollution environnementale ou des radiations. Cependant, les cas rapportés en Chine touchaient 29 provinces et municipalités et ne présentaient pas de caractéristiques géographiques particulières. Le seul point commun était que les patients avaient reçu le vaccin Covid. Nous nous sommes donc focalisés sur ce facteur.

Les vaccins

Parmi les patients qui ont reçu les vaccins d’un seul laboratoire, 39 % ont reçu le vaccin de Sinovac Life Sciences Co. C’est la proportion la plus élevée. Ensuite, 12 % ont reçu le vaccin de Beijing Institute of Biological Products Co. Certains patients ont également reçu des vaccins d’autres laboratoires moins importants.

Types de leucémie

Parmi les cas de leucémie, 49% étaient des leucémies myéloïdes aiguës, et 32% étaient des leucémies lymphoblastiques aiguës.

Les patients atteints de leucémie aiguë totalisaient 81%.

Les autres types de tumeurs malignes du sang représentent 11% des cas : syndrome myélodysplasique (n=23) ; myélome multiple (n=7) ; leucémie myéloïde chronique (n=9) ; lymphome (n=24), y compris lymphome non hodgkinien ou lymphome hodgkinien ; lymphohistiocytose hémophagocytaire (n=2) ; myélofibrose secondaire (n=1) ; sarcome myéloïde (n=1).

Exemples de cas

Cas 1061 : Homme, 30 ans. Le 29 juin 2021, il a reçu une première dose de vaccin de Sinovac Biotech. Le 21 juillet 2021, il a reçu une deuxième dose de vaccin de Chengdu Biology. Le 6 septembre 2021, il a passé un examen physique destiné aux étudiants de première année d’université et des globules blancs anormaux ont été décelés. Une leucémie myéloïde aiguë M3 a ensuite été diagnostiquée. Cependant, lors de l’examen d’entrée à l’université, avant qu’il ne soit vacciné, tout était normal. Globalement, c’était une personne en bonne santé, il était rarement malade. Il n’était pratiquement jamais enrhumé et ne prenait pas de médicaments. Il avait une alimentation équilibrée. Les facteurs génétiques et environnementaux sont exclus dans son cas.

Cas 717 : Femme, 38 ans. Le 3 août 2021, elle a reçu une deuxième dose du vaccin Sinovac Biotech. Le jour suivant, des rougeurs sont apparues sur sa jambe droite. Le médecin de l’hôpital lui a prescrit un médicament. Après quelques jours, la situation s’est améliorée. Au début du mois de septembre 2021, elle a commencé à avoir la diarrhée. Le 10 septembre, elle s’est rendue dans un hôpital local. Le médecin a transféré la patiente dans un hôpital provincial. Le 15 septembre, elle a subi une ponction de la moelle osseuse. Le 18 septembre, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M2. Le soir du 21 septembre, elle a fait une hémorragie cérébrale et est décédée.

Cas 747 : Homme de 26 ans. Le 22 juillet 2021, il a reçu la première dose du vaccin de Sinovac Biotech. Le 18 août 2021, il a pris la deuxième dose du vaccin de Lanzhou Biotechnology. Le 9 novembre 2021, il était fiévreux et s’est rendu à l’hôpital. Le 13 novembre 2021, un taux élevé de globules blancs a été découvert. Le 16 novembre, il a été transféré au deuxième hôpital de Lanzhou. Le lendemain, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M5. Aucune amélioration n’a été observée en suivant une chimiothérapie pendant cinq mois. Il est décédé le 2 avril 2022.

Concordance chronologique entre vaccinations et leucémies

Combien de temps après la vaccination la leucémie a‑t‑elle été diagnostiquée chez ces patients ? Il s’agit d’une information primordiale.

Selon notre analyse détaillée, 51% des patients ont présenté des symptômes ou ont été diagnostiqués 102 jours (médiane) après avoir reçu leur deuxième dose, avec une fourchette globale de 2 à 5 mois. Cela correspond au temps d’apparition de la leucémie. La leucémie implique une mutation génétique assez longue, généralement calculée sur une base mensuelle.

Certaines personnes ont également développé des symptômes ou ont été diagnostiquées environ deux mois après avoir reçu leur troisième dose.

Conditions des patients

Au 4 juin 2022, date à laquelle nous avons reçu les rapports, 77% des patients atteints de leucémie étaient toujours traités, 7% étaient en attente d’une transplantation et 5% étaient décédés. Un petit nombre de patients avaient abandonné le traitement, généralement pour des raisons financières ou parce que la maladie était trop avancée.

Trois types de preuves pour expliquer la leucémie post-vaccinale

Comme nous le savons, la leucémie est généralement causée par une mutation de l’ADN dans les cellules hématopoïétiques.

Trois types de données scientifiques pourraient expliquer pourquoi la leucémie se développe après avoir été vacciné.

Tout d’abord, la protéine spike entrave le mécanisme d’autoréparation de l’ADN. Des scientifiques suédois ont découvert que les protéines spike du virus SRAS‑CoV‑2 entravent deux mécanismes majeurs d’autoréparation de l’ADN cellulaire humain : la jonction des extrémités non homologues (Non‑Homologous End Joining ou NHEJ) et la recombinaison homologue (Homologous Recombination ou HR).

Lorsque ces deux mécanismes sont entravés, la capacité de l’ADN à s’autoréparer est considérablement réduite, ce qui entraîne des mutations génétiques.

Deuxièmement, le SRAS‑CoV‑2 peut altérer l’ADN humain. Selon une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology, bien que le SRAS‑CoV‑2 ne soit pas un rétrovirus, il est en mesure de modifier l’ADN humain.

Un rapport de cas clinique a révélé une manifestation clinique de leucémie myéloïde aiguë après une ponction de la moelle osseuse suite à une infection par le Covid ‑19. Selon les auteurs, il s’agirait d’un cas inquiétant.

Troisièmement, en six heures seulement après la pénétration du vaccin Pfizer Covid ‑19 à ARNm dans des cellules hépatiques humaines cultivées in vitro, l’ARNm du vaccin peut achever sa « transcriptase inverse » dans les cellules et affecter les gènes humains. Cela constitue une preuve irréfutable que les vaccins à ARNm peuvent affecter le génome humain.

Si le virus d’un vaccin inactivé n’est pas complètement inactivé, son ARNm est toujours présent et peut s’insérer dans le génome humain et ainsi modifier les gènes.

« Cas de leucémie liés aux vaccins », un argument sans poids ?

Après la diffusion en ligne de notre analyse préliminaire, les lecteurs ont publié leurs commentaires.

Certains avaient eux aussi entendu parler de personnes atteintes de leucémie après avoir été vaccinées. D’autres en étaient eux‑mêmes atteints. D’autres encore avaient des proches qui l’étaient. Pour la plupart d’entre eux, ils avaient demandé de l’aide à leurs médecins, ils avaient demandé si cela pouvait être lié aux vaccins, mais n’avaient reçu aucune attention.

D’autres internautes ont déclaré qu’il n’était pas nécessaire d’accorder autant d’attention à ces cas, certains ont affirmé qu’il s’agissait d’une campagne visant à diffamer la Chine.

Un lecteur a écrit : « Avec un taux d’incidence normal de 30 sur un million par an, étant donné que 1,2 milliard de personnes ont été vaccinées en Chine, il n’y a rien d’anormal dans le fait que 36 000 personnes développent une leucémie. Nous ne pouvons pas exclure cette réalité, donc ce n’est pas convaincant. »

À l’époque où je travaillais dans une grande entreprise pharmaceutique internationale, si des événements indésirables graves apparaissaient après la mise sur le marché d’un nouveau médicament, nous devions envoyer notre personnel dans les hôpitaux et auprès des patients. La maladie n’était peut-être pas liée au médicament, mais il fallait faire acte de présence à partir du moment où un événement indésirable avait été signalé. Nous devions également soumettre un rapport d’enquête à l’autorité de réglementation pharmaceutique. Dans un cas, il m’est arrivé de me rendre auprès du patient en train et de veiller à son chevet pendant deux nuits pour en savoir plus sur sa situation.

Dans le milieu, on appelle cela la « diligence raisonnable ».

Il s’agit d’une question de conduite professionnelle, de minimum déontologique, peu importe les résultats de l’analyse finale. Il est avant tout question d’assumer ses responsabilités et de traiter les patients.

Si, au lieu d’augmenter, l’incidence de la leucémie avait diminué, cela n’aurait rien changé. Ces 800 patients sont toujours en vie et leur vie est en danger.

Peu importe que j’aie été médecin dans le passé ou plus tard spécialiste de la pharmacovigilance, dans une entreprise pharmaceutique, ce qui me préoccupe actuellement, c’est de déterminer s’il existe une relation de cause à effet entre ces plus de 800 cas de leucémie et leur vaccination. Et nous devrions tous nous en inquiéter par respect pour ces personnes et pour la vie.

Parmi ces patients atteints de leucémie, et c’est là que se trouve la solution, il y a un schéma cohérent. Aucun n’a d’antécédents d’exposition aux radiations, pas d’antécédents familiaux de maladies héréditaires et il n’y a aucune spécificité géographique. La seule chose qu’ils ont en commun, c’est d’avoir reçu des vaccins Covid‑19, et dans la plupart des cas, leurs symptômes sont apparus en moyenne trois mois après leur deuxième dose. Il s’agit d’un schéma très troublant, aussi déconcertant que celui observé par le Dr Cole.

Malheureusement, le problème est loin d’être résolu, car la vaccination obligatoire à grande échelle est toujours en cours. Si les vaccins sont effectivement liés à ces événements indésirables, des mesures doivent être prises, au minimum, la vaccination doit être suspendue pour certaines personnes. Il s’agit d’une démarche tout à fait sensée, acceptable. Il y a tout juste un an, au moins deux situations de ce type se sont produites.

En mars 2021, des caillots sanguins et des décès suite au vaccin AstraZeneca ont été signalés dans plusieurs pays européens. En une semaine, le Danemark, la Norvège, l’Islande et la Bulgarie ont suspendu la vaccination avec ce vaccin spécifique.

En octobre 2021, la vaccination des jeunes avec le vaccin Moderna en Europe du Nord a été suspendue en raison d’un risque accru de cardiopathie.

Il ne s’agit donc en aucun cas d’une préoccupation « politique » ni d’une « méfiance exagérée ». Il s’agit d’un acte approprié de réglementation et de surveillance de la santé et des soins médicaux. De plus, ce vaccin est le premier à avoir été administré obligatoirement à grande échelle dans le monde entier. Or, il a été mis sur le marché seulement un an après avoir été mis au point. L’industrie pharmaceutique et les laboratoires en charge de développer des vaccins n’avaient jamais pris un tel risque auparavant. Alors comment peut-on se permettre d’ignorer ses probables effets secondaires ?

Trois aliments naturels pour prévenir et traiter la leucémie

Si quelqu’un souffre malheureusement de leucémie, peut‑on la traiter ? Quels aliments naturels peuvent aider à prévenir la leucémie ?

La leucémie est généralement traitée par chimiothérapie ou transplantation. Comme nous le savons, les globules blancs du patient leucémique sont affectés par des facteurs externes nuisibles au cours de leur développement et subissent des mutations génétiques. En conséquence, ils échappent au cycle de vie cellulaire normal et se multiplient indéfiniment. Les gènes sont le code de la vie, et leur mutation est une attaque profonde pour l’organisme.

Afin de remédier à un état anormal des cellules, outre les médicaments, on peut mettre à profit des méthodes plus naturelles.

La médecine traditionnelle chinoise met l’accent sur le lien entre traitement et alimentation. Nous allons maintenant présenter quelques aliments efficaces face à la leucémie.

Mangoustan (xanthone)

Le mangoustan contient un principe actif appelé xanthone. Lors d’une étude publiée dans le Journal of Natural Products, l’Institut international de biotechnologie Gifu, au Japon, montre que les xanthones peuvent induire l’apoptose (mort cellulaire) dans les lignées cellulaires leucémiques.

Les chercheurs ont étudié six xanthones. Ils ont découvert qu’elles pouvaient toutes inhiber la croissance des cellules cancéreuses. Parmi celles-ci, l’α‑mangostine a montré une inhibition complète des cellules leucémiques à une concentration de 10 μM. De plus, elle n’est pas toxique pour les cellules saines.

La leucémie est une prolifération anormale de cellules du sang qui ne passent pas par une apoptose (mort cellulaire) normale et qui prolifèrent donc sans fin. D’autres études ont révélé que l’α‑mangostine peut induire l’apoptose des cellules leucémiques en trois heures seulement. Toutefois, il convient de noter que le mangoustan est de nature froide et qu’il ne doit pas être consommé par les personnes ayant une constitution « carence‑froid », [selon la typologie de la médecine traditionnelle chinoise, ndlr]. Il est également riche en sucre, les diabétiques doivent donc en tenir compte.

Champignon amande

Le champignon amande est également connu sous le nom d’Agaricus blazei Murill (AbM). Les Japonais ont découvert ses effets anticancéreux ainsi que sa capacité à renforcer l’immunité. Ils ont donc développé de nombreux aliments bons pour la santé à base de ce champignon.

En 2017, une étude publiée dans BioMed Research International a révélé que l’extrait d’Agaricus blazei (Andosan) a pour effet d’inhiber les cellules leucémiques humaines.

Il a été découvert que l’ajout de 5% et 10% d’Andosan inhibait la croissance des cellules cancéreuses de 17% et 23%, respectivement.

Dans une étude du cycle cellulaire, les chercheurs ont cultivé des cellules de différentes phases cellulaires (phases sub G1, G1, S et G2) dans un groupe expérimental ayant 10% d’Andosan et dans un groupe témoin, et ils ont observé les changements.

Comme nous le savons, la réplication cellulaire comporte des cycles de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort. Il en va de même pour les cellules cancéreuses. On a découvert que le pourcentage de cellules en phase apoptotique (phase sub G1) [ou de mort cellulaire, ndlr] était plus élevé dans les cellules cultivées ayant l’ajout de 10 % d’Andosan, alors que le pourcentage de cellules en phase de croissance 1 (phase G1) était plus faible. Cela suggère que l’andosan peut induire l’apoptose des cellules cancéreuses.

Les composés contenus dans le champignon amande peuvent également renforcer l’effet thérapeutique de la chimiothérapie. Il sera donc plus efficace d’associer la chimiothérapie à une thérapie diététique.

Le thé vert

Le thé est une des boissons les plus populaires et c’est une boisson saine. Une étude publiée dans Nature Reviews Cancer, portant sur des recherches faites sur des animaux, montre que certains extraits de thé vert inhibent la formation et le développement de tumeurs dans différents organes.

Le thé vert contient une grande quantité de catéchines (dont l’EGCG), qui inhibent de nombreux cancers hématologiques. Les catéchines peuvent agir de plusieurs façons sur les cellules cancéreuses, inhiber la prolifération des cellules cancéreuses, renforcer l’apoptose des cellules cancéreuses et inhiber l’invasion cellulaire, l’angiogenèse et les métastases.

Une caractéristique de nombreux médicaments naturels est leur capacité à agir sur des « cibles multiples ». Les médicaments occidentaux n’agissent généralement que sur une « cible unique ». Cela fait une grande différence dans leur efficacité.

Une étude de cohorte prospective de 9 ans portant sur environ 42.000 participants a évalué l’association entre le thé vert et le risque de tumeurs hématologiques. Cette étude ne manque pas d’être très convaincante.

Elle a révélé que les personnes buvant une à cinq tasses de thé par jour présentaient des degrés variables de réduction du risque de leucémie, par rapport à celles qui ne buvaient pas de thé. Le risque de leucémie était significativement plus faible chez les personnes qui buvaient cinq tasses par jour.

Il faut faire attention à la température de l’eau lors de la préparation du thé vert. Elle ne doit pas dépasser 80℃, car une température trop élevée peut endommager les catéchines et autres substances contenues dans le thé.

Nous espérons que ces données de recherche sur les plantes naturelles pourront vous aider à prévenir et à traiter la leucémie. Par ailleurs, il faut éviter tout contact avec les substances cancérigènes et les radiations, et limiter son exposition aux appareils électroniques.

Références :




La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.(([1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.))

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.(([2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al))

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres(([3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )):

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?(([4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815))

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».(([5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir))

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !





REVUE DE PRESSE DU 13 JUIN 2022

Par MF

ÉDITO
Le mur de mensonges se lézarde, mais le discours ne change pas

Les témoignages et les articles concernant les effets indésirables se multiplient et des citoyens de par le monde en prennent conscience et diffusent l’information, tandis qu’en France on est encore à « vacciner tout CE qui peut l’être » (selon le discours chosifiant de Cherbourg) qu’on commence à oser parler de fuite de laboratoire, que la politique du « zéro Covid » est un échec, que 12 millions de doses attendent les petits Français qui ne risquent rien du Covid, et que le lien est établi entre la nouvelle forme de MCJ et l’injection anti-covid.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Restrictions Covid, nouveau projet de loi le 22 juin !

https://lemediaen442.fr/restrictions-covid-19-nouveau-projet-de-loi-le-22-juin-2022-juste-apres-les-legislatives/

Et derrière, un but mondial « Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés

Il est temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique.

Seule la liberté des soignants peut sauver la médecine, pour les patients

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/seule-la-liberte-des-medecins-et-soignants-peut-sauver-la-medecine-pour-les-malades/

La liberté est nécessaire pour une médecine qualitative.

Sans soignants ni médecins, pas de soins

Il est plus qu’urgent d’exiger la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse.

Vacciner peut rapporter gros !

https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html

Des trop perçus, jusqu’à 10 000 euros par mois.

ÉTRANGER

La politique du zéro Covid est un échec, en Australie (et ailleurs)

et les dégâts sur l’ensemble de la santé publique sont considérables.

Espagne, suppression du passeport sanitaire pour les pays européens

https://www.expansion.com/economia/2022/06/02/62986b41e5fdeac23b8b4648.html

UE, la commission européenne prolonge le passe sanitaire sans débat parlementaire

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/07/la-commission-europeenne-prolonge-le-passe-sanitaire-sans-debat-parlementaire/

« la Commission a commis l’erreur d’écrire noir sur blanc que le passe sanitaire vise à inciter à la vaccination, et non à prévenir la propagation de l’épidémie ».

OMS, le traité sur les pandémies, liberticide et anti-démocratique

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-traite-de-l-oms-sur-les-pandemies-un-projet-liberticide-et-anti-democratique

Objet de concertations entre les états membres, aux mois de juin et suivants.

USA. Missouri, une loi pour protéger les médecins prescrivant HCQ et IVM

https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-missouri-loi-protection-prescription-medecin-ivermectine-chloroquine

« Certains pharmaciens voulaient endosser le rôle de médecins et refusaient de délivrer ces ordonnances. Cela rétablit l’équilibre professionnel entre médecins et pharmaciens ».

USA. Louisiane, les écoles qui exigeront un certificat de vaccination Covid pourraient bientôt faire face à des poursuites judiciaires

https://lailluminator.com/briefs/louisiana-schools-that-require-covid-vaccine-could-soon-face-lawsuits/

« Ce projet de loi est vraiment conçu pour permettre le libre choix et aussi (protéger) contre la discrimination à l’égard de ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner », a déclaré le sénateur Barry Milligan, R-Shreveport, qui a présenté le projet de loi au Sénat. 

JUSTICE

Les témoignages interdits au Sénat

Trois enseignants-chercheurs écartés, auditions non publiques 

« Durant ces auditions, nous avons alerté sur l’augmentation historique et inédite de certaines pathologies durant 2021, notamment : de 1788 % sur les troubles du cycle menstruel ; de 732 % des AVC ; Autant de cécité durant 8 mois que durant 30 ans tous vaccins confondus ».

Me MARIAN demande au gouvernement d’abroger l’obligation vaccinale des soignants

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/11/lavocate-marian-demande-officiellement-au-gouvernement-dabroger-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/

En cas de rejet l’avocate prépare un contentieux dit de l’erreur manifeste d’appréciation devant le juge administratif.

Recours devant la Cour européenne des Droits de l’Homme, par Bon Sens et l’AIMSIB

À lasuite de la décision de rejet (non susceptible de recours interne) rendue par la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République, qui concernait une plainte déposée contre le Premier ministre, le Ministre des solidarités et de la santé et le Ministre de l’éducation de la jeunesse et des sports, en vue de contester l’ensemble des mesures sanitaires auxquelles sont confrontés les citoyens français depuis mars 2020 et notamment les membres des associations requérantes, qui comptent bon nombre de soignants et d’experts censurés.

COVID

Fuite d’un laboratoire, ou quand TF1 vire au « complotisme »

https://www.tf1info.fr/sante/le-covid-une-fuite-de-laboratoire-ce-que-l-on-sait-vraiment-apres-plus-de-deux-ans-de-speculations-2187224.html

Certes l’article ne tranche pas, mais la question n’est plus tabou !

TRAITEMENTS et autres STRATÉGIES

Détoxifier son corps des protéines Spike

https://www.epochtimes.fr/detoxifier-son-corps-des-proteines-spike-les-6-principaux-medicaments-et-composes-naturels-2034836.html

La gravité de la maladie tient plus au terrain qu’au virus, et il existe des moyens de renforcer les capacités de guérison du corps (médicaments, compléments alimentaires et plantes).

Quand les masques tuent

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-masques-sont-responsables-d-un-plus-grand-nombre-de-deces-covid-selon-une-etude

Effet inverse de celui recherché en raison de « l’effet Foegen », « les virions du Covid-19 se propagent plus profondément dans les voies respiratoires en raison de leur petite taille ».

INJECTIONS

L’ADN fœtal avorté dans les vaccins (en général)

Entretien de Robert F. Kennedy Jr avec le Dr Theresa Deisher sur l’utilisation de l’ADN fœtal avorté dans les vaccins —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Même en mettant de côté la morale (ce qui est difficile quand on sait comment sont extraits les tissus de ces fœtus vivants), l’aspect scientifique n’est pas rassurant avec un risque de maladies auto-immunes ou d’autisme.

EFFETS INDÉSIRABLES

Vu à Houston, Texas. « Arrêtez les “vaccins” contre le COVID qui ont tué et blessé des milliers de personnes aux États-Unis. Sauvez nos enfants ».

Un nouveau syndrome, le PIDS (mortalité post-injection)

https://pgibertie.com/2022/06/11/une-nouvelle-maladie-le-syndrome-de-la-mortalite-post-injection-pids/

Augmentation de la mortalité toutes causes après les injections.

Liens établis entre vaccin et maladie de la vache folle (Creutzfeld-Jacob)

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/des-etudes-scientifiques-mettent-en-evidence-une-nouvelle-forme-de-maladie-de-la-vache-folle-post-vaccinale/

Bien que la variante Omicron de COVID-19 ne porte pas de région de prion dans sa protéine de pointela première variante de Wuhan COVID-19 a une région de prion sur sa protéine de pointe. Les injections sont construites sur le variant Wuhan… et cette zone prion est capable d’interagir avec les cellules humaines. Il s’agit d’une nouvelle forme de MCJ, d’apparition et d’évolution très rapide.

Plus de problèmes cardiaques avec Pfizer qu’avec le Covid

https://pgibertie.com/2022/06/04/le-pfizer-cause-plus-de-problemes-cardiaques-que-la-covid/

Novavax ne fait pas mieux que les autres, 5 cas de myocardites chez les vaccinés

https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/covid-19-aux-etats-unis-inquietudes-sur-un-risque-potentiel-de-myocardite-avec-le-vaccin-de-novavax-11176480.amp.html

et comme toujours pas de lien de causalité reconnu par le laboratoire !

Les enfants en danger

https://nouveau-monde.ca/enfants-en-danger-stop-a-lindifference/

Risque à court terme de myocardite et hépatite, pour le long terme, on ne sait RIEN !

303 fois plus de risque de mourir du Covid chez les enfants injectés que non injectés

https://expose-news.com/2022/05/23/children-303x-likely-to-die-following-covid-vaccination/

Source : statistiques officielles du gouvernement anglais

Documents secrets de Pfizer : deux fois plus de décès chez les injectés que les non injectés

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

Le mur de mensonges se lézarde.

Chaque jour de nouvelles victimes rejoignent Verity France

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/chaque-jour-des-nouvelles-victimes-des-vaccins-rejoignent-verity-france/

Familles de victimes décédées, ou personnes injectées vivant un calvaire depuis leur vaccin.

APRÈS COVID

Variole du singe, un virus fabriqué en laboratoire et peut-être libéré intentionnellement

https://resistance-mondiale.com/une-etude-revele-que-la-derniere-epidemie-de-variole-du-singe-est-le-resultat-dun-virus-manipule-par-un-laboratoire-biologique-et-probablement-libere-intentionnellement

Le houleux mariage à trois autour du Monkeypox

https://www.aimsib.org/2022/06/05/houleux-mariage-a-trois-autour-de-monkeypox/

ou comment les instances de santé se contredisent au détriment des citoyens.

RÉSISTANCES

CSI n° 58



Pr Jean-Paul BOURDINEAU, Jean-Paul Bourdineaud : Professeur de biochimie et toxicologie environnementales. Exposé très clair du rôle de la protéine S et de ses effets délétères.

Réinfocovid, la revue de presse du 6 juin

Une actualité très riche !




REVUE DE PRESSE DU 19 JUIN 2022

Par MF

ÉDITO : Il n’y a plus d’épidémie, et pourtant…

L’UE prolonge le passe sanitaire, l’OMS veut renforcer ses pouvoirs, le déni est de mise en Espagne et au Portugal, on a engrangé 12 millions de doses en France pour vacciner des enfants qui ne risquent rien du Covid, tandis que les anticorps facilitants et le piégeage du système immunitaire révèlent les dangers des injections, et que la résistance au dogme vaccinal se poursuit avec appels, rassemblements et films.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Qui veut encore être soignant ?

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-temps-du-debat/qui-veut-encore-etre-soignant-e-5521906

Il faut que les experts soient plus près de ce qu’il se passe dans la réalité et un peu moins de ce qu’il se passe dans les grandes organisations. Il faut absolument adapter les effectifs.

Pénurie catastrophique de poches de sang par manque de personnel soignant préleveur

Maintenir la suspension du personnel soignant est une décision criminelle aux conséquences dramatiques.

On a frôlé la catastrophe

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/deux-sevres-un-enfant-de-4-ans-gravement-blesse-attend-5-heures-pour-etre-opere-2562472.html

À une heure près cet enfant perdait son pied. Le système s’effondre.

Un nouveau projet de loi opaque

https://www.francesoir.fr/politique-france/restrictions-sanitaires-nouveau-projet-de-loi-opaque

Nouvelles restrictions ? Quatrième dose ?

Émergence du néo-fascisme en santé publique

https://reseauinternational.net/lemergence-du-neofascisme-en-sante-publique/

« la santé publique doit être au service du peuple et non de ceux qui cherchent à le contrôler »

ÉTRANGER

Le renforcement du pouvoir de l’OMS reste une menace majeure

https://www.epochtimes.fr/suite-a-son-echec-loms-soriente-vers-de-plus-grandes-modifications-des-regles-mondiales-2045630.html

« but ultime : imposer une « tyrannie médicale » à l’humanité, et non protéger la santé. »

L’UE prolongera le passe sanitaire jusqu’en juin 2023

https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-l-union-europeenne-prolongera-le-passe-sanitaire-europeen-jusqu-en-juin

Et pourtant l’outil numérique a démontré son inefficacité sur la transmission du virus.

ESPAGNE, une quatrième dose pour toute la population ?

https://www.lindependant.fr/2022/06/16/covid-il-y-aura-une-quatrieme-dose-pour-toute-la-population-annonce-le-gouvernement-espagnol-10369907.php

La date de lancement sera fixée lors de la livraison de vaccins plus adaptés auxvariants actuels

JAPON, manipulation des résultats entre vaccinés et non vaccinés



Les personnes ayant oublié la date de leur vaccination étaient comptées parmi les non-vaccinés !

PORTUGAL, un déni national et mondial

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/16/au-portugal-le-covid-fera-plus-de-morts-en-2022-quen-2020-avec-94-de-la-population-vaccinee/

La Faculté des Sciences de Lisbonne prévoit plus de morts du Covid en 2022 qu’en 2020, mais ne remet pas en cause la vaccination (94% de la population)

JUSTICE

USA, le NIH admet que le Covid était le plus grand canular de l’Histoire

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9062939/

« des mensonges officiels dans un flot incessant mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales »

USA, la FDA assignée en justice par des médecins suspendus pour avoir prescrit de l’ivermectine

https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-la-fda-assignee-en-justice-par-des-medecins-suspendus-apres-avoir

« La FDA a fait des déclarations publiques sur l’ivermectine qui ont été trompeuses et qui ont soulevé des inquiétudes injustifiées concernant un médicament pourtant essentiel dans la prévention et le traitement du Covid-19 »

COVID

Pourquoi maintenir l’hypothèse d’une zoonose ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/14/origines-du-covid-pourquoi-la-these-de-la-zoonose-continue-t-elle-de-persister/

Alors qu’ une insertion entre les fragments S1 et S2 de la protéine spike a créé un site de clivage protéolytique sensible à la furine. Cette insertion est récente, puisqu’aucun virus connu proche de Sars-CoV-2 ne la contient. Sars-Cov-2 est l’unique coronavirus à coder cette particularité… et c’est Moderna qui détient ce brevet depuis 2016.

La pandémie, un génocide qui ne dit pas son nom ?

Lincoln National, 5e plus grand assureur-vie aux États-Unis, a signalé une augmentation de 163% des prestations de décès versées dans le cadre de ses contrats d’assurance-vie collective en 2021. Ces chiffres montrent à nouveau une augmentation des décès et des maladies en 2021 en lien avec la mise en place de la campagne de vaccination. Les relevés annuels de la compagnie montrent que la société a versé un peu plus de 500 millions de dollars en 2019, 548 millions de dollars en 2020 et un superbe 1,4 milliard de dollars en 2021.

Il est rare que le Covid soit sévère chez les personnes non vaccinées

https://www.epochtimes.fr/enquete-revele-quil-rare-covid-soit-severe-chez-personnes-nont-ete-vaccinees-2049149.html

Une enquête internationale révèle que de ne pas avoir reçu de vaccin entraîne une diminution des hospitalisations

TRAITEMENTS

Ivermectine et Together, vers un nouveau Lancetgate ?

https://www.covid-factuel.fr/2022/06/14/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau-lancetgate/

Cette étude qui concerne l’ivermectine vient d’être publiée dans le New England Journal of Medecine. Et elle pose problème, avec nombre d’anomalies.

INJECTIONS

International. La vaccination, réponse arbitraire des dirigeants mondiaux à la pandémie de Covid 19

https://qactus.fr/2022/06/19/covid-la-reponse-vaccinale-au-covid-etait-planifiee-a-lavance-les-auteurs-dun-livre-sur-le-sujet-decryptent-les-differentes-etapes/

« Tout a été complètement annoncé depuis le début (dès 2010) »

La vidéo du 14 juin du Pr Didier Raoult



Depuis le début de l’épidémie il y a eu 5 décès d’enfants alors que TOUS LES ANS, 20 enfants meurent de varicelle et qu’on ne préconise pas le vaccin contre cette maladie en France.

Efficacité réelle des vaccins

https://www.covid-factuel.fr/2022/06/11/encore-efficaces-les-vaccins/

« Anticorps facilitants, piégeage du système immunitaire par les injections répétées ? Ces questions vitales mériteraient d’être abordées et examinées de toute urgence, plutôt que d’être ignorées et niées par les autorités. » « Les soignants suspendus devraient être réhabilités et réintégrés ».

Une cinquième dose pour les personnes à risque ????

https://www.midilibre.fr/2022/06/15/covid-une-cinquieme-dose-de-vaccin-peut-elle-etre-ouverte-a-lautonome-pour-les-personnes-a-risque-10367864.php

Les personnes à risque ET les professionnels de santé ! On voit venir le retour des restrictions.

USA. Floride, pas de précommande de vaccins pour les enfants de moins de 5 ans

https://www.theepochtimes.com/florida-opts-not-to-preorder-covid-19-vaccines-for-toddlers-babies_4538377.html

« Il n’y a pas assez de données montrant des bénéfices sur les risques »

EFFETS INDÉSIRABLES

Le Lancet confirme le risque de myocardites par les vaccins Pfizer et Moderna

Version française du risque de décès chez les enfants (303 PLUS !)

Témoignage bouleversant d’une maman de 32 ans

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/effets-secondaires-des-vaccins-temoignage-bouleversant-deloise-jeune-maman-de-32-ans/

Destins tragiques de deux stars mondiales après vaccination

https ://www.mondialisation.ca/les-destins-tragiques-de-stars-mondiales-comme-celine-dion-et-justin-bieber-vont-ils-ouvrir-les-yeux-de-leurs-fans/5668895

Ils avaient exigé que leur public soit lui-même injecté.

58 bébés injectés, en danger de mort

https://rtmag.co.il/english/breaking-58-babies-who-received-mrna-covid-19-vaccines-suffered-life-threatening-adverse-events

On ne sait pas pourquoi ces nourrissons ont été vaccinés, ni s’ils ont participé aux essais cliniques, ni s’ils ont survécu. Toutefois, lors de la prochaine réunion de la FDA mercredi, celle-ci ne pourra pas faire valoir qu’elle n’était pas au courant.

Les effets indésirables graves les plus fréquents étaient les suivants : hémorragie potentiellement mortelle, choc anaphylactique, syndrome anticholinergique, encéphalite, hypoglycémie et syndrome neuroleptique. Dans la plupart des cas rapportés, il s’agit de lésions multisystèmes. »

Protégeons les enfants, et faites-le savoir !

https://protegeonslesenfants.org/

Sur 4000 injections, un effet indésirable grave. et si votre enfant tire le n° 4000 ??

APRÈS COVID

Dr Martin ZIZI, la variole du singe est un faux problème

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-variole-du-singe-est-un-faux-probleme-dr-martin-zizi

Urgence internationale, selon l’OMS !!

https://www.lefigaro.fr/sciences/variole-du-singe-l-oms-envisage-de-declarer-une-urgence-de-sante-publique-internationale-20220614

Surtout une aubaine pour les fabricants de médicaments (nouveaux) et autres « vaccins »

RÉSISTANCES

Appel aux familles, enseignants, soignants, protégeons les enfants !

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-familles-enseignants-educateurs-professionnels-de-sante-etc-protegeons-nos-enfants/

Informons avant qu’il ne soit trop tard, on retire des pizzas qui ont tué deux personnes, les vaccins en ont tué des milliers, on continue.

Rassemblement du 18 juin à Paris

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/retour-sur-le-rassemblement-a-la-bastille-a-paris-appel-du-18-juin-organise-par-marc-doyer-nombreux-extraits-videos-ambiance-extraordinaire-fraternite-soutien-verite-liberte/

Fraternité, soutien, vérité, liberté !

Entretien avec Marc Doyer, dont l’épouse est morte de la MCJ le 24 mai dernier

https://www.francesoir.fr/videos-entretien-essentiel/marc-doyer

Dans cet Entretien essentiel, Marc Doyer répond sans concession sur divers sujets, allant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et des symptômes à la relation construite avec le Pr Montagnier, en passant par les problèmes rencontrés avec la pharmacovigilance.

Le Grand Appel du 15 juin 2022

https://www.facebook.com/1079899003/videos/428795059061135

l’association qui vient en aide aux soignants suspendus en Ile de France

https://lemediaen442.fr/momotchi-interviewe-florence-de-lassociation-porteurs-desperance-qui-vient-en-aide-aux-professionnels-suspendus/

Film « des soignants entre deux mondes », avec des soignants suspendus

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

« je ne peux pas soutenir la malhonnêté intellectuelle. » témoignage d’un médecin

CSI 59, du 16 juin 2022



Codification des actes hospitaliers ou la corruption par les chiffres.

Réinfocovid, revue de presse du 13 juin 2022

https://reinfocovid.ca/revue-de-presse-de-la-semaine-du-13-juin/

Extrait : y aurait-il une relation entre la création des vaccins..et celle du virus ?




Appel aux familles, enseignants, éducateurs, professionnels de santé, etc. : protégeons nos enfants !

Par Nicole Delépine

INFORMONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE

« Myocardites, péricardites, etc.

La résistance à l’obligation vaccinale Covid relève désormais de la légitime défense ».

@TvlCampagnol

On nous demande constamment de protéger la planète. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants ? La question actuelle serait plutôt : quels enfants laisserons-nous à la planète bleue ?

Chacun d’entre nous (— en dehors des quelques milliers de milliardaires et affidés anaffectifs qui nous dirigent) — est concerné par le sort des enfants, des siens, mais aussi de ceux que nous côtoyons et/ou qui nous sont confiés comme enseignants, éducateurs, infirmiers, médecins, kiné, entraîneurs, coachs, etc.

Nous avons donc une responsabilité directe, morale, voire juridique dans certains cas si nous leur imposons, par notre position d’autorité et notre influence, une injection morbide.

Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernants qui nous ont constamment menti (sur les masques, sur l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques, sur l’efficacité des confinements, sur l’utilité des pass sanitaires, puis vaccinaux, sur l’efficacité des vaccins…) et faire comme si nous ne savions pas.

Aujourd’hui, s’il accepte d’ouvrir les yeux CHACUN SAIT, à moins de nier les signaux quotidiens comme les décès brutaux de trop de grands sportifs, sains et en bonne santé avant l’injection, mais tombés sur le sol en plein match ou les accidents post vaccinaux d’artistes célèbres comme Céline Dion ou Bieber incapables de poursuivre leurs activités.

Nous aimons les enfants et voulons leur bien. Ils sont notre avenir et celui de la planète.

Trop d’entre nous ont été instrumentalisés par la manipulation médiatique et gouvernementale durant ces deux années, et appliqué des mesures coercitives nocives, mais nous n’avons pas à les juger. Nous sommes tous dans le même bateau, vaccinés ou non, masqués encore ou non. Selon les circonstances, ses expériences antérieures, le temps libre pour s’informer, la propagande gouvernementale au service de Big Pharma et de Davos a été plus ou moins efficace. Gardons-nous de sermons, de leçons de morale, de jugements de valeur. Mais informons-les et agissons.

L’important est d’en sortir, ENSEMBLE. MAINTENANT.

Ensemble, nous devons protéger nos enfants de l’injection dont on connaît maintenant l’absence d’efficacité contre les contaminations, mais aussi contre les formes graves et la mort,

et la toxicité révélée à court terme pour certains effets déjà, et largement inconnue à moyen et long terme.

Les nombreux effets toxiques sur les organes reproducteurs bien explicités par le site « où est mon cycle » font craindre des troubles de la fertilité des bébés contaminés in utero chez les mamans injectées et les plus grands, vaccinés à tout âge.

Les myocardites dont la fréquence a été rapidement dépistée par les Israéliens ont de quoi nous choquer.

L’inutilité de l’injection chez les enfants avait été soulignée d’emblée par toutes les sociétés de pédiatrie, rappelant que les enfants ne risquent rien du covid et que cela avait été démontré dans de nombreuses études internationales résumées dans « les enfants sacrifiés du covid ».(([1] N et D Delépine éditions Fauves, janvier 2022))

L’inefficacité globale couplée à ses dangers a également été démontrée chez l’adulte.(([2] Delepine, G. Les vaccins Covid-19 conduisent à de nouvelles infections et à la mortalité : les preuves sont accablantes.
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccines-lead-to-new-infections-and-mortality-the-evidence/5746393))

Les effets secondaires déclarés se sont multipliés, colligés par les banques de données internationales(([3] Vogel, G. (2021). Israël signale un lien entre de rares cas d’inflammation cardiaque et la vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes hommes. Science.
https://www.sciencemag.org/news/2021/06/israel-reports-link-between-rare-cases-heart-inflammation-and-covid-19-vaccination)). Même si les déclarations sont sous-estimées, le nombre effrayant de toxicités doit imposer le retrait de cette injection et l’interdire tout particulièrement chez les enfants.(([4] Le ridicule ne tue pas, mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] Classen, JB. Il a été prouvé que les vaccins américains contre la COVID-19 causent plus de mal que de bien sur la base des données d’essais cliniques pivots analysées à l’aide du critère d’évaluation scientifique approprié, « Tous causent une morbidité grave ». Trends Int Med. 2021 ; 1 (1) : 1-6))(([6] Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections .
Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org))

Ces myocardites, même apparemment guéries après quelques semaines ou mois, ne sont pas anodines et sont à risque de séquelles tardives. Les cicatrices dans le cœur provoquent au fil des ans un « remodelage » pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des arythmies et une mort subite.

Déjà en septembre 2021, le Pr Claverie criait au secours dans le désert…

Ainsi :

« Les enfants font face à un risque substantiel de myocardite à partir d’une injection anticovid19. VAERS = 48 500 rapports d’événements indésirables chez les enfants, dont 112 décès (au 20 mai 2022) et # de rapports d’encéphalopathies, de problèmes de coagulation, de diabète et de problèmes neurologiques chez les enfants après des injections de C19. Arrêtez la pression de la FDA »

14 juin 2022 @jammingem

Et quelques jours plus tard, à la date du 17 juin 2022 on note

« Il y a maintenant 49 283 rapports VAERS d’événements indésirables chez les enfants par suite d’injections Anti-Covid, dont 114 décès, 457 rapports d’invalidité permanente et 1 326 rapports de myocardite. Ces rapports sous-estiment probablement les méfaits par un facteur de 41 à 100. »

6 h 19 · 17 juin 2022· @mhstangarone

« Allez regarder sur Eudravigilance, rien que pour l’Europe ! Pour 2 décès d’enfants par suite d’une contamination de pizza Buitoni, on arrête tout, on enquête et on retire du marché le produit ! Là on continue à injecter les gens ! Dans des essais normaux cliniques, tout serait arrêté ! »

@Arletty32083869

Le bon sens évidemment, mais quelles sont les raisons profondes de la poursuite de ce massacre que personne ne peut plus ignorer, rien qu’en regardant autour de soi, fatigues, troubles menstruels, AVC jeune (faute à pas de chance, mais à force…). Cette fameuse dépopulation programmée à laquelle nous refusions de croire ? En tous cas, le massacre continue.

ET GLOBALEMENT POUR L’UE 27 pays

RISQUE D’UNE CAMPAGNE DE VACCINATION À LA RENTRÉE.
NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER, NOUS UNIR ET REFUSER TOUS ENSEMBLE

Devant la pression gouvernementale et des instances européennes et internationales, on peut craindre une grande campagne pour la vax des enfants dès la rentrée. Trois événements couplés — projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France pour prolongation de l’état d’urgence, réunion de l’OMS(([7] L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! Quelle coïncidence ! ATTENTION à l’élargissement de la vax anticovid couplée à un vax antivariole du singe. Soyons vigilants.)) et prolongation du certificat européen(([8] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire Par Parlement Européen, le 15 juin 2022.
Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022.
Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.))— prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur alternant virus, guerre, famine ou autre chose.(([9] Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce mauvais théâtre mondial, et refuse en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Pourtant malgré les mises en garde d’instances médicales et scientifiques internationales telles le conseil mondial de la santé(([10] Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), l’appel de scientifiques japonais, canadiens ou américains, etc., la FDA vient d’autoriser le pseudovax chez les enfants. On peut craindre que l’EMA suive et donc la France.

18/06/2022 16 h 52(([11] La FDA américaine autorise les vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer pour les enfants dès 6 mois — Le Courrier du VietNam))

L’Administration américaine des aliments et des médicaments (FDA) a autorisé vendredi 17 juin l’utilisation d’urgence des vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants dès 6 mois.

Pour le vaccin Moderna, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure son utilisation chez les individus âgés de 6 mois à 17 ans. Le vaccin avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les adultes de 18 ans et plus.
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure l’utilisation du vaccin chez les individus âgés de 6 mois à 4 ans. Il avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les personnes de 5 ans et plus.

« Et pourtant Moderna a été retiré du marché dans les pays scandinaves il y a déjà plusieurs mois à cause des nombreuses myocardites chez les moins de 30 ans, ce sont carrément des rituels de sacrifices d’enfants, ils ne peuvent pas faire ça, c’est criminel. »(([12] Belzil Sylvio sur twitter))

Un élément positif, le peuple français n’est pas prêt à l’injection des enfants selon le Pr Delfraissy.

Il s’était exprimé ainsi en mars 2022 lors d’une conférence à Science Po Lille(([13] Ibid ref 3)) en réponse à un étudiant.

« Bonsoir Mr Delfraissy. 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA ; 36 000 morts dans l’UE,

Imputables au vaccin. Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike. Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes.

Ma question

Mr Delfraissy : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament, pourquoi ces vaccins continuent-ils de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse.

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« (…) là où vous pouvez m’argumenter, c’est en population plus générale, c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolue dans ma tête qu’on vaccine, pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

Vidéo 2/2 :

https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes. »

(…)

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon, mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions. Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

EN RÉSUMÉ :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE !

Il est capital que chacun se sente responsable y compris juridiquement des enfants qu’il pourrait influencer.

Les directeurs d’école, les journalistes, les chroniqueurs, etc. ne peuvent pas impunément répandre de fausses informations comme une soi-disant efficacité sur les formes graves et la rareté et bénignité des effets secondaires.

Les parents doivent imposer la neutralité aux enseignants et dénoncer les brochures de propagande destinées à conditionner les élèves à la vaccination.

L’injection n’est pas un vaccin (ils ne contiennent pas d’antigène), ce sont des médicaments expérimentaux. Il faut via les associations, les avocats, etc. faire supprimer cette propagande mensongère prévue y compris dans les petites classes. Les enseignants ne sont pas là pour désinformer et conditionner les élèves.

COURAGE À TOUS !
SAUVONS LES ENFANTS !




Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.(([1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien !(([3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome)) On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid(([4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22)).

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).(([5] 08/06/22
Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
« Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
(https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
“Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
(N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp))

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » (([6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) ))

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX(([7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/))

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »(([9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979))

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.(([10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?))

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 : https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 : https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimation. Le reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.(([11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) ))

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA(([12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences))

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe : Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr., Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA, WorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????





Envoyer les imposteurs politico-sanitaires au tapis pour le compte

[Source : yetiblog.org]

La guerre de l’information fait rage entre les propagateurs de peur sanitaire et le carré des résistants à l’empoisonnement vaccinal. Mais le moins qu’on puisse dire est que l’avantage est sérieusement en train de pencher du côté des seconds.

La balance bénéfice/risque catastrophique des vaccins ARN

La balance bénéfice/risque des vaccins ARN est en effet catastrophique et cela commence à se savoir :

  • 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé)
  • 25 000 morts aux états-Unis, 36 000 dans l’Union européenne imputables aux vaccins
  • Très haute toxicité de protéine spike injectée par les vaccins
  • Des effets secondaires de plus en plus nombreux, de plus en plus flagrants : thromboses, myocardites, AVC, rechutes de cancers, maladies neurodégénératives (maladie de Creutzfeldt-Jakob), réveil de maladies auto-immunes…
  • Des conséquences dramatiques pour les plus jeunes et les enfants, pourtant peu sensibles aux différents coronavirus, mais que les fous veulent absolument vacciner.

Les faux-fuyants de plus en plus piteux des imposteurs

Face à cette offensive de la réalité conforté par des expériences et des statistiques de plus en plus implacable, les propagateurs de peur sanitaire n’ont que des contre-études si foireuses, si grossièrement trafiquées qu’elles sont aussitôt démontées. Et la clique des imposteurs genre Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, n’a plus que les faux-fuyants de plus en plus piteux et les procès en complotisme pour sauver la face de leur propagande.

Mettre les imposteurs KO

Ce n’est pas quand ton adversaire… que dis-je, ton ennemi chancelle qu’il faut faire du sentiment. Tu cognes et tu l’envoies au tapis pour le compte, me disait jadis mon entraîneur de boxe. Nous en sommes-là, cogner du plus fort que nous pouvons pour mettre KO ceux qui nous pourrissent la vie depuis maintenant plus de deux ans. Certains s’y emploient avec vaillance.


Philippe Poindron, virologue et professeur honoraire de virologie, remet à sa place un chroniqueur de plateau-télé


Sandrine, veuve d’un homme mort d’un cancer foudroyant trois mois après sa troisième injection, interpelle Jean-Michel Blanquer à propos de la vaccination des enfants « avec un poison ».


Le Dr Ryan Cole témoigne : les cas de cancer, surtout chez les jeunes, explosent dans le monde entier après le vaccin covid19.




ENFANTS EN DANGER ! STOP À L’INDIFFÉRENCE !

Par Nicole Delépine

Les regards se détournent, « Parlez-moi d’autre chose », « Encore un article sur les complications des vax », etc.. « Oui on a compris » et ils sont de moins en moins lus  ! Eh bien non ! Le danger encore plus important guette à court terme si nous laissons faire la Commission européenne et nos dirigeants aux ordres qui veulent injecter dès la rentrée scolaire tous les enfants qui y ont échappé pour l’instant.

Et la phrase terrifiante du chef de l’état en ce début juin : « Il faut vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus, on va continuer d’agir sur ce volet ».

Au-delà du mensonge arrogant de ce président qui paraît ignorer que les pseudo vaccins sont incapables de nous faire éviter le virus et du mépris intrinsèque à la formulation « ce qui peut être vacciné », les humains, les poulets, les vaches, ou les hamsters (posons-lui la question), l’intention est clairement avouée = on ne réintégrera pas les soignants, car on veut vacciner tout ce qui traîne…

Il fallait oser quelques jours avant des élections.

Et pourtant l’absence d’obligation pour les députés et sénateurs et plus encore la révélation de ce qu’on soupçonnait depuis longtemps : « Les faux certificats de vaccination pour l’Élite, à eux seuls sont un aveu que ce vaccin est un poison » et qu’ils le savent.
https://www.elmundo.es/madrid/2022/05/25/628df993e4d4d8b1038b456e.html

L’AVENIR INCONNU DES ENFANTS VACCINÉS

Nombre d’enfants de moins de 12 ans vaccinés contre le Covid-19 en France, par classe d’âge, au 18 novembre 2021 :

Et en plus des effets secondaires graves, mais encore rares à court terme, leurs complications d’ici quelques années et le suspense de leur fertilité est évidemment mis en cause. La clique de Davos ne s’en cache pas, elle veut diminuer la population mondiale et se débarrasser des riens, des inutiles, des râleurs, grévistes et autres « déchets » de l’humanité selon eux. Et nous rêvons à un monde nouveau pendant qu’ils injectent… comme nous avons détourné les yeux des scandales de la pédophilie dénoncés par Serge Garde et Laurence Beneux(([1] Au printemps 2000, Serge Garde dans L’Humanité, puis Laurence Beneux dans Le Figaro, révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8 500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise à partir du CD-Rom, avec 472 photos de mineurs. Qui sont ces enfants en danger ? Des journalistes, des parents, des associations et des professionnels de l’enfance, faute d’obtenir des enquêtes adaptées, vont rechercher et identifier une vingtaine des enfants du fichier. Du côté des institutions, police et justice, c’est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers. Le Livre de la honte : Les réseaux pédophiles — 12 octobre 2001)), et Carl Zéro(([2] Karl Zéro balance tout 12 décembre 2019 de Karl ZÉRO, Éditions Télémaque/Plon)). Que sont devenus des enfants dont nous n’avons pas voulu connaître le martyr ? Plus de 20 ans déjà.

La majorité de la population y compris les « militants pour un monde meilleur » et de « il faut sauver la planète » se taisent, ignorent ou veulent ignorer le danger majeur des injections à répétition, qui guette nos enfants et petits-enfants. En même temps pourrait-on dire, qu’elle ignore l’euthanasie des vieux, et des malades déclarés incurables (pour leur bien évidemment). Et en même temps la population ignore le sacrifice des nouveau-nés, des fœtus, largement facilité par les modifications de la loi bioéthique.(([3] L’infanticide au cœur de l’eugénisme de la Nouvelle Société. — Pro Fide Catholica
(https://profidecatholica.com/2022/06/06/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/?amp=1)
On impose masques et vaccins de la manière la plus intrusive possible et simultanément, on défend le droit d’euthanasier des bébés dans la période périnatale au nom des droits de disposer de son c…))

Avant même d’imposer à tous cette piqûre toxique(([4] http://videos.senat.fr/video.2908931_628cbfd4c67cf.declaration-analyse-et-communication-autour-des-effets-indesirables-des-vaccins-contre-la-covid-19)) (et comment l’ignorer après les enquêtes au Sénat, etc.),(([5] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) ils ont osé piquer des enfants depuis des mois avant toute autorisation.(([6] Les enfants vaccinés ont-ils été recrutés à travers cette plateforme dès juillet 2021 ?
https://www.covireivac.fr/actualites/actualites-de-la-plateforme-covireivac/lancement-de-la-plateforme-covireivac-enfant-et-adolescent/))

ENFANTS COBAYES ILLÉGAUX EN TOUTE IMPUNITÉ ?

Le courrier des stratèges détaille ici le scandale de 22 500 enfants « vaccinés » en France avant toute autorisation des autorités.(([7] Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? Par Isabelle Hock — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) O. Véran et A. Fischer ont-ils couvert la vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l’an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l’origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu’Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer… dans le silence des autorités sanitaires françaises.))

En décembre 2021, alors que PFIZER BIONTECH ne disposait encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, 4 512 enfants de cette tranche d’âge avaient déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

Et selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021, au moins de 22 490 enfants français âgés de 0 à 11 ans avaient déjà été injectés avec l’ARNm.(([8] « Au 18 novembre, ils sont 17 199 à être complètement vaccinés et 110 à avoir bénéficié d’un rappel. Le fichier “Vaccin Covid”, qui permet de suivre la progression de la vaccination, recense deux premières injections sur des tout-petits dès le 27 décembre 2020. »))

Or la vaccination pour ces enfants n’a été proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021.

Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute proposition de la HAS et sans aucune procédure d’essai scientifique déclarée. Et bien entendu ni les ARS ni l’état ne se sont saisis de cette violation des lois alors que des professeurs célèbres et compétents, mais mal vus du pouvoir (dont D Raoult et H Joyeux) sont arbitrairement accusés sous ce motif. Au royaume républicain de France, peu a changé depuis La Fontaine « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

DES ENFANTS FRANÇAIS ONT DONC BEL ET BIEN SERVI DE COBAYE À UNE EXPÉRIMENTATION DU VACCIN ARNM À GRANDE ÉCHELLE.

Le chiffre de 17 199 enfants complètement vaccinés et de 22 490 enfants ayant reçu une première dose doit être comparé aux 1 250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ».(([9] Vaccination contre le Covid-19 : qui sont les 17 000 enfants de moins de 12 ans déjà vaccinés en France ? (lemonde.fr) ))

Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

D’où sont sortis ces petits, avec quel accord de familles nécessairement non informées en l’absence de tout dossier d’essai autorisé ?

Une internaute commente :

« Ces vaccinations d’enfants avant autorisation du vaccin en pédiatrie n’ont pourtant jamais été cachées, les médias classiques en ont parlé ouvertement : il s’agit pour un petit nombre des enfants ayant une pathologie, et pour le plus grand nombre il s’agit d’enfants dont les parents ont une pathologie les rendant “à risque” de formes graves du covid. Il me semble que la HAS ou une autre instance avait validé ces vaccinations pour protéger les adultes, ce qui avait fait hurler dans le désert un certain nombre de personnes encore attachées aux valeurs morales. une civilisation qui sacrifie ses enfants pour éviter un risque à des vieillards et des malades ne mérite plus le nom de civilisation ».

Il me semble que cela était même présenté à l’époque comme une faveur faite à ces enfants handicapés ou immunodéprimés… !(([10] « Les sociétés savantes de pédiatrie se sont concertées pour identifier les patients à protéger en priorité. Parmi eux, des enfants souffrant de pathologies sous-jacentes très sévères, des déficits immunitaires primitifs, mais aussi des transplantés comme les greffés cardiaques, ou encore des patients en dialyse » écrit le Monde. concertation sans aucune preuve scientifique évidemment.)) Comme le Rivotril injecté aux vieillards simplement suspects de Covid comme « une faveur pour leur éviter de souffrir » sans même les informer ni leur famille.

Cependant en mai 2021, A Fischer avait déclaré que vacciner des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022.

Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

Le courrier des stratèges fait remarquer l’absence de suivi de ces enfants, ce que finalement on ne sait pas (numéros de lots décelables par Pfizer BioNTech ?)(([11] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccination-et-affichage-sur-les.html?m=1)). En tous cas, tous les vaccinés en France n’ont été l’objet d’aucun suivi particulier connu, cela évitant d’enregistrer les effets indésirables officiellement.

Les effets toxiques ont commencé à apparaître doucement sur Eudravigilance avant le début officiel des injections et se multiplient depuis l’été. Jusqu’à quand les familles laisseront-elles faire ?

AU 29 MAI 22 :

ET AVANT DE LAISSER INJECTER VOTRE ENFANT, PARCOUREZ LES DOCUMENTS SECRETS PFIZER

Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

https://pgibertie.com/2022/06/03/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

COMMENT AGITER LA PEUR POUR DUPER LES PARENTS

Enfin, rappelons les craintes pour la future campagne de vaccination. Depuis quelques mois déjà les Anglais d’abord ont publié des observations d’hépatite grave d’enfants très jeunes dont environ 10 % des patients ont dû être transplantés. Des observations similaires ont aussi été notifiées dans plusieurs pays européens, aux États-Unis, en Israël et au Japon(([12] https://www.vidal.fr/actualites/29175-augmentation-des-hepatites-graves-de-l-enfant-d-origine-indeterminee-enquete-en-cours.html)). En France, plusieurs cas ont été signalés. La polémique a vite surgi, car ces cas sont survenus uniquement dans les pays vaccinés et après que les injections aient commencé chez les enfants. Le statut vaccinal des enfants touchés était peu ou pas précisé, car il ne fallait surtout pas accuser le vax. De toute façon rien n’empêcherait de penser qu’ils auraient récupéré la protéine spike des bisous de leur maman vaccinée.
Mais l’occasion était trop belle. Bien qu’il n’y ait pas eu de covid infantiles et encore moins mortels, on les voit venir avec des séquelles à long terme de covid passé inaperçu…

Leurs décisions : « plus de 12 millions de doses pédiatriques du PFIZER-BIONTECH ont été livrées à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans. »

Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de “considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents”.

La protéine spike est toxique pour le foie

Pour le “Journal of Hepatology”, la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie.(([13] « Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis »
[« Notre cas démontre de manière concluante l’existence d’une hépatite à médiation immunitaire induite par un vaccin, avec une apparition rapide de lésions hépatiques après la première dose de Moderna, qui, lors d’une nouvelle exposition, a entraîné une hépatite auto-immune aiguë sévère. »]))

Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut engendrer ces effets toxiques hépatiques : « ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres) ».

Ceci suggère ‘qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins’.

Depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégerait contre l’Hépatite infantile se répand dans la presse aux ordres (subventionnée par nos impôts et Bill Gates).

On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas censés être vaccinés. C’est sans compter les 22 490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet, depuis 2021…

En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 6 à 11 ans…’

Il est reconnu dans toute la littérature internationale que le COVID n’affecte les enfants que de manière très mineure. En deux ans d’épidémie Santé Publique France n’a recensé que 13 enfants de moins de 15 ans morts avec un test Covid positif, dont un seul d’entre eux ne souffrait pas d’autre maladie mortelle tandis que la grippe saisonnière tue en moyenne chaque année entre 7 et 10 enfants de cet âge. Le COVID perd en virulence au fil de ses mutations. Omicron s’est révélé plus contagieux, mais beaucoup moins virulent que les souches précédentes. Le prochain variant, s’il en émerge un, sera certainement encore moins toxique.

Il faut refuser ces vax qui n’ont aucune justification médicale chez l’enfant, car ils sont dangereux à court terme (myocardite, hépatite, etc.) et parce qu’on en ignore l’ensemble des effets à moyen et long terme.





Chers amis, désolée d’annoncer un génocide

[Source : naomiwolf.substack.com]

Par Dr Naomi Wolf

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonnez-moi.

La vérité, c’est que je suis restée presque sans voix (ou l’équivalent littéraire de cela) parce que récemment j’ai eu la tâche peu enviable d’essayer d’annoncer au monde qu’en effet, un génocide — ou ce que j’ai appelé maladroitement mais de toute urgence une « mortalité de bébés » — est en cours.

Les volontaires de recherche WarRoom/DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui se trouve dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des Volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que Pfizer (et donc la FDA) savait en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils « perdaient en efficacité » et présentaient « un échec vaccinal ». L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le déploiement massif de 2020, était le « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même déployé l’EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu’à ce que août 2021, après que des milliers d’adolescents ont été vaccinés. [https://dailyclout.io/pfizer-vaccine-fda-fails-to-mention-risk-of-heart-damage-in-teens/]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l’ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques ne restaient pas sur le site d’injection dans le deltoïde, mais se propageaient plutôt dans les 48 heures dans la circulation sanguine, puis de là se logeaient dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires. [https://dailyclout.io/internal-pfizer-documents-prove-knowledge-that-lipid-nanoparticles-in-mice-subjects-do-not-remain-in-muscle-but-were-shown-to-be-rapidly-distributed-in-the-blood-to-the-liver/]

Pfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d’ARNM, de nanoparticules lipidiques et de protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer. Les documents internes de l’entreprise montrent un taux plus élevé d’événements indésirables avec la dose de 100 mcg. Ils ont donc cessé d’expérimenter cette quantité en interne en raison de sa « réactogénicité » — les mots de Pfizer — mais personne ne l’a dit à tous les millions d’Américains qui ont eu les première et deuxième doses de 100 mcg de Moderna, et les rappels .

Pfizer a faussé les sujets de l’essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes — sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu’il est advenu de centaines de leurs sujets d’essai.

Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.

Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d’effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l’encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox [la variole du singe]).

Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l’urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole contenu dans les ingrédients du vaccin — un allergène que vous n’êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n’ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.

Pfizer savait que « l’exposition » au vaccin était définie — selon ses propres termes — comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou une lactation. [https://dailyclout.io/vaccine-shedding-can-this-be-real-after-all/]. Les « vérificateurs de faits » peuvent nier tout ce qu’ils veulent. Les documents parlent d’eux-mêmes.

Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l’un de ces problèmes ont été dépréciées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.

Les athlètes, les étudiants et les adolescents s’effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l’AMA ne soufflent pas un mot : s’évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l’un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC, mais pas pour le souligner à vous et moi.

J’ai pu traiter tout cela et continuer simplement à faire des rapports. Mais ces dernières semaines, l’horreur m’a submergé. Parce que maintenant, les volontaires, sous l’excellente direction de la responsable du programme Amy Kelly, ont confirmé qu’un génocide est en cours, intentionnellement ou non. Et la journaliste israélienne Etana Hecht a ajouté sa propre superbe analyse. Voici le résumé de Mme Hecht des conclusions des Volontaires :

Clown World – Honk
Femmes vaccinées
Le sujet des mères enceintes et allaitantes qui se font vacciner sous l’encouragement et la coercition est douloureux. C’est douloureux de faire des recherches, douloureux d’écrire et douloureux d’apprendre à quel point les plus précieux d’entre nous sont traités avec insouciance. L’essence même de la vie et de la nature vit chez les femmes enceintes et allaitantes. En réfléchissant au peu d’attention accordée à…
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Il semble qu’il puisse effectivement y avoir un génocide fortuit. La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm. Et si vous savez que la reproduction est altérée, et que les bébés et les fœtus sont altérés, et que vous savez que c’est à grande échelle, ce que tout le monde chez Pfizer et à la FDA qui a lu ces documents savait — et si vous n’arrêtez pas — alors est-ce que ça ne peut finalement pas devenir un génocide ?

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que les nanoparticules lipidiques (les minuscules enveloppes grasses dures qui contiennent l’ARNm) traversent la membrane amniotique. Cela signifie qu’ils pénètrent dans l’environnement fœtal, bien sûr. (Ils traversent également la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut aider à expliquer les accidents vasculaires cérébraux post-ARNm et les problèmes cognitifs que nous observons). Les volontaires ont approfondi les rapports de Pfizer sur la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude de 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont dirigé l’étude sont actionnaires ou employés de BioNTech). [https://dailyclout.io/covid-19-vaccines-pregnancy-risky-business/]

Les Volontaires ont constaté que si les femmes enceintes étaient exclues des études internes, et donc de l’EUA sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes étaient assurées que le vaccin était « sûr et efficace », néanmoins environ 270 femmes sont tombées enceintes au cours de l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été perdues d’une manière ou d’une autre en cours de route. Mais sur les 36 femmes enceintes dont les résultats ont été suivis, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé était mort après avoir été allaité par une mère allaitante vaccinée et qu’il avait eu une inflammation du foie. De nombreux bébés allaités de mères vaccinées ont montré de l’agitation, des troubles gastro-intestinaux et un retard de croissance et étaient inconsolables.

J’entends maintenant des rapports anecdotiques de ces symptômes chez les bébés allaités par des mères vaccinées de partout au pays.

Les documents de Pfizer montrent également que certaines mères vaccinées avaient supprimé la lactation ou ne pouvaient produire aucun lait.

Les médecins, bien sûr, sont perplexes face à tout cela. Perplexes.

La base de données du NIH contient une étude préimprimée démontrant qu’il existe des quantités négligeables de PEG dans le lait maternel des femmes vaccinées. 
[https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8351783/]

Mais qu’est-ce qu’une quantité négligeable d’un produit pétrolier dans le lait maternel, quand on est un tout petit, nouveau-né sans immunité, qui vient d’arriver au monde ? La préimpression du NIH elle-même a signalé des niveaux plus élevés de détresse gastro-intestinale et d’insomnie chez les nourrissons étudiés, et une mère avait des niveaux élevés de PEG dans le lait maternel, et les petits caractères concluent qu’une étude plus approfondie est nécessaire :

« Des études plus importantes sont nécessaires pour accroître notre compréhension du transfert du PEG dans le lait maternel et des effets potentiels après ingestion par le nourrisson. Bien que le consensus des experts indique que le risque potentiel de la vaccination maternelle contre le COVID-19 est minime ou inexistant pour le nourrisson ( 20 , 21 ). Les symptômes mineurs qui ont été signalés (modifications du sommeil et symptômes gastro-intestinaux) pourraient être étudiés plus en détail dans de futures études pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. »

Étant donné qu’aucun bébé n’est mort dans le bref laps de temps de la petite étude, celle-ci a conclu que les bébés allaités ne souffraient d’aucun effet néfaste réel de la part des mères vaccinées. Mais l’étude n’a pas suivi ces pauvres bébés, avec leur insomnie reconnue et leur détresse gastro-intestinale confirmée, pour voir s’ils « prospéraient » réellement — prenaient du poids et se développaient normalement.

Sur une telle science erronée, les femmes ont assuré que les vaccins étaient « sûrs et efficaces » pour elles et leurs bébés allaités.

Mais — quatre des femmes allaitantes vaccinées dans les documents de Pfizer ont signalé du lait maternel « bleu-vert ». Je ne l’invente pas. Et le bébé allaité qui est mort, avec une inflammation du foie — le cas a été enterré ; n’a pas fait la une des journaux.

Par coïncidence – ou non – la MÊME FDA qui a fermé les yeux sur les vastes méfaits causés aux humains et à la sous-catégorie des mères et des bébés, dans les documents de Pfizer, a déclaré qu’Abbot, un important producteur de lait maternisé aux États-Unis, devait fermer son usine. 
[https://www.cnbc.com/2022/05/16/abbott-reaches-agreement-with-fda-to-reopen-baby-formula-plant-to-ease-nationwide-shortage.html]

Par coïncidence, avec peu de préparations disponibles et avec certaines ou plusieurs (nous ne savons pas) mères vaccinées ayant un lait maternel compromis, il s’avère que Bill Gates, Jeff Bezos, Richard Branson et Mark Zuckerberg ont tous investi dans une startup appelée « BioMilq  » — qui produit du lait maternel cultivé en laboratoire à partir de cellules mammaires.
[https://www.cnbc.com/2020/06/16/biomilq-raises-3point5-million-from-bill-gates-investment-firm.html].
Les rapports de cette startup incluent ce langage à la Frankenstein comme si c’était normal :

« L’équipe BIOMILQ crée son produit à partir de cellules prélevées sur du tissu mammaire humain et du lait, données par des femmes de la communauté locale, qui reçoivent en retour une carte-cadeau Target. »

 [https://www.cnn.com/2022/05/03/business/lab-grown-human-milk-biomilq-health-climate-hnk-spc-intl/index.html]

Comme si tout cela n’était pas assez horrible, Mme Hecht a tiré des études de trois pays — le Canada, l’Écosse et maintenant Israël — pour montrer que les bébés meurent de manière disproportionnée, pendant et après 2021, dans les pays hautement vaccinés, et que les nouveau-nés meurent de manière disproportionnée s’ils ont des mères vaccinées versus des mères non vaccinées.

Dans une Écosse hautement vaccinée, près du double du nombre de bébés décédés en 2021 par rapport aux chiffres de référence. 
[https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/]. 
En Ontario, au Canada, 86 bébés sont décédés en 2021, contre une base de référence de quatre ou cinq ; il s’agissait d’une mortalité infantile si grave qu’un parlementaire courageux a porté la question au Parlement. 
[https://nonvenipacem.com/2021/12/10/explosive-rise-in-ontario-stillbirths-triggers-parliamentary-questions/].

En Israël, à l’hôpital RamBam de Haïfa, il y a eu 34 % d’avortements spontanés et de mortinaissances en plus chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées.

Jonction Jackanapes
Mortinaissances, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées
Les données de l’hôpital Rambam à Haïfa révèlent un taux de mortinatalité, de fausse couche et d’avortement (SBMA) de 6 % chez les femmes qui n’ont jamais reçu de vaccin COVID-19, contre 8 % chez les femmes qui ont été vaccinées avec au moins une dose (et n’ont jamais eu de vaccin). Infection par le SRAS-Cov-2…
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Mme Hecht note également que le dérèglement menstruel chez les femmes vaccinées est maintenant pleinement confirmé par de nombreuses études, avec une moyenne d’un jour supplémentaire de saignement par mois (un effet secondaire à propos duquel j’avais mis en garde en mars 2021, qui à son tour m’a fait être traitée de tous les noms par un commentateur de CNN et définitivement virer de Twitter).

Vous n’avez pas besoin de connaître plus que la biologie de la huitième année [de scolarité] pour savoir qu’un cycle menstruel dérégulé, sans parler de l’accumulation de protéines de pointe dans les ovaires, sans parler de la traversée des membranes du corps, y compris le sac amniotique, par de minuscules graisses dures (les nanoparticules lipidiques), sans parler du PEG dans le lait maternel, vont toutes affecter la fertilité, la santé fœtale, l’accouchement et le bien-être ou la détresse gastro-intestinale des bébés, et donc leur capacité ou leur incapacité à se développer (et encore moins à créer des liens).

Et maintenant, les bébés meurent. Maintenant, étendez les données du Canada, de l’Écosse et d’Israël à toutes les nations vaccinées du monde.

Que fait-on de tout cela ?

Sachant comme je le sais maintenant, que Pfizer et la FDA savaient que les bébés mouraient et que le lait des mères se décolorait en regardant simplement leurs propres dossiers internes, sachant comme moi qu’ils n’ont alerté personne et encore moins arrêté ce qu’ils faisaient, et qu’à ce jour, Pfizer, la FDA et d’autres entités démoniaques de « Santé publique » poussent à vacciner de plus en plus de femmes enceintes, maintenant qu’ils sont sur le point d’imposer cela aux femmes d’Afrique et d’autres pays à faible revenu qui ne recherchent pas les vaccins à ARNm, selon le PDG de Pfizer, Bourla, la semaine dernière au WEF, et sachant que Pfizer fait pression et pourrait même recevoir un EUA américain pour des bébés aux enfants de cinq ans, je dois conclure que nous nous penchons sur un abîme du mal jamais vu depuis 1945.

Alors, je ne sais pas pour vous, mais moi, je dois changer de vitesse avec ce genre de savoir indicible pour tenir un autre genre de discours.

Je ne dis pas que c’est exactement comme trouver des preuves des expériences du Dr Mengele, mais je dis, avec ces résultats, que maintenant la comparaison n’est peut-être pas si excessive. Ces anti-humains chez Pfizer, parlant au WEF, ces anti-humains à la FDA sachant ce qu’ils savent ciblent le corps féminin miraculeux, avec sa capacité à concevoir, engendrer, donner naissance et nourrir la vie. Ils ciblent la capacité du corps féminin à soutenir un être humain nouveau-né avec rien d’autre que lui-même. Ils ciblent la membrane amniotique, les ovaires qui libèrent l’ovule, ils ciblent la lymphe et le sang qui aident à soutenir la formation du lait maternel, ils ciblent le fœtus in utero, impuissant.

Ils visent l’environnement même du fœtus humain, l’un des espaces les plus sacrés sur cette terre, sinon le plus sacré.

Et ils le savent.

Je ne sais pas pour vous, et je ne fais pas de prosélytisme, mais comme vous le savez peut-être si vous me lisez ici, en ces jours apocalyptiques, je me tourne vers la prière. J’ai commencé à dire en public, une fois que j’ai dû faire face au fait de la mort des bébés, que c’est un temps biblique, et je veux dire biblique de l’Ancien Testament.

C’est une époque comme celle de la construction de la tour de Babel — d’une arrogance massive contre les plans divins. Des hommes comme Bill Gates trafiquent et cherchent à surpasser les meilleures œuvres de Dieu, laboratoire après laboratoire, et Tech Bros « perturbe » la concurrence humaine pour leurs biens et services non recherchés, en ciblant les processus humains et en ruinant les corps créés à l’image de Dieu.

C’est un moment comme celui où les dix plaies ont assailli les Égyptiens dans Exode 11:4-6 :

« 4  Alors Moïse dit : « Voici ce que dit l’Éternel : « Vers minuit, j’irai dans toute l’Égypte. 
 Tout fils premier-né en Égypte mourra, depuis le fils premier-né de Pharaon, qui est assis sur le trône, jusqu’au fils premier-né de la servante, qui est à son moulin, et tous les premiers-nés du bétail. 
 Il y aura de grands gémissements dans toute l’Égypte, pires qu’il n’y en a jamais eu et qu’il n’y en aura jamais. »

Ce fut le pire fléau de tous, le meurtre du premier-né.

C’est un temps où ha-Satan — Satan — « va et vient sur la terre, et […] y marche de long en large », comme le décrit Job 2.

C’est une époque où les démons se promènent dans les espaces humains, bien qu’ils aient l’air assez humains eux-mêmes, suffisants dans leurs costumes italiens sur les panneaux du Forum économique mondial.

Ha-Satan – et ses armées : ruiner la conception, le lait, les règles, le toucher, bercer l’enfant par sa mère, ruiner l’alimentation de l’enfant, ruiner les bébés eux-mêmes.

Je lis beaucoup les prophètes ces temps-ci — car comment pourrais-je ne pas le faire ? Je cherche ce que l’écrivaine Annie Lamott a appelé « Mode d’emploi ». Que faites-vous lorsque l’humanité elle-même est menacée ? Quand il y a des bataillons professionnels et des départements bureaucratiques de personnes qui agissent avec anathème envers la race humaine ?

Il doit sûrement y avoir un indice.

Alors j’ai beaucoup relu l’histoire de Noé, et le livre d’Esther ces temps-ci. J’ai relu Jérémie.

Nous avons déjà connu ça. C’est souvent embarrassant, quand il s’agit de cela.

L’histoire est toujours la même, du moins dans la Bible hébraïque (dans le Nouveau Testament, bien sûr, Dieu saute à la fin et renverse l’intrigue).

Au moins dans la Bible hébraïque, Dieu essaie toujours d’attirer notre attention, toujours, semble-t-il, nous demandant simplement de marcher à ses côtés ; nous demandant simplement de garder ses commandements pas trop difficiles ; Ce n’est pas, en effet, demander beaucoup.

Jérémie 1:13 :

« Et l’Eternel me dit: Tu as bien vu; car je veille sur ma parole, pour l’exécuter. 
13 La parole de l’Eternel me fut adressée une seconde fois, en ces mots: Que vois-tu? Je répondis: Je vois une chaudière bouillante, du côté du septentrion. 
14 Et l’Eternel me dit: C’est du septentrion que la calamité se répandra sur tous les habitants du pays.
15 Car voici, je vais appeler tous les peuples des royaumes du septentrion, dit l’Eternel; ils viendront, et placeront chacun leur siège à l’entrée des portes de Jérusalem, contre ses murailles tout alentour, et contre toutes les villes de Juda. 
16 Je prononcerai mes jugements contre eux, à cause de toute leur méchanceté, parce qu’ils m’ont abandonné et ont offert de l’encens à d’autres dieux, et parce qu’ils se sont prosternés devant l’ouvrage de leurs mains. »

Dans la Bible hébraïque, en tout cas, le calcul est simple. Nous nous tournons, nous écoutons, et nous sommes sauvés ; ou bien nous continuons sans réfléchir, adorant ce que nos propres mains ont fait, salopes d’autres dieux — de la « science », des mensonges des médias, du narcissisme des conventions, pourrait-on dire aujourd’hui — et nous sommes perdus.

Nous avons été presque perdus, maintes et maintes fois.

Cette fois pourrait vraiment être la dernière fois. Ces monstres dans les labos, sur les panels transnationaux, sont tellement habiles, et si puissant, et leur travail sombre est si vaste.

Si Dieu est là — de nouveau — après toutes les fois où nous avons éprouvé sa patience (et qui le sait en effet ?) allons-nous lui tendre la main en retour, allons-nous sortir de cet abîme au dernier moment et trouver simplement un moyen de marcher à ses côtés ?

Ou allons-nous cette fois, en perdant les bébés, et en continuant malgré tout insouciant, être vraiment nous-mêmes perdus ?




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers

Par Nicole Delépine

Il est temps d’engager une grande campagne populaire contre la poursuite de la pseudo vaccination anti-covid dont l’inefficacité contre l’épidémie est devenue évidente alors que liste des complications dans la vraie vie, s’allonge. Les pétitions en cours n’ont pas suffi(([1] Pétition : Vaccins anti-covid : STOP aux RAPPELS systématiques ! (mesopinions.com)
Pétition : STOP au Pass sanitaire et à la « vaccination covid » obligatoire pour tous (mesopinions.com) entre autres.)). Chacun d’entre vous sait maintenant que les AVC, les morts brutales lors d’un effort, les infarctus et les myocardites, les régressions intellectuelles, les encéphalopathies se multiplient, et particulièrement chez les sujets jeunes et les adolescents qui ne risquaient pas de mourir du covid.

Le temps passant, de nouvelles complications apparaissent et singulièrement en cancérologie. Il a fallu quelques mois pour que la fameuse protéine spike agisse dans l’organisme et bloque la réparation de l’ADN et ainsi les défenses de l’organisme contre un cancer quiescent en place ou un pré cancer qui finalement se transforme en véritable néoplasie active.

Les cancers des organes sexuels (ovaires(([2] Well official UK data shows that cases of Ovarian cancer in 2021 were at an all time high, and the UK Medicine Regulator received over 40,000 reports relating to reproductive and menstrual disorders suspected as adverse reactions to the Covid-19 injections in 2021 alone.
Confidential Pfizer Docs. reveal the Covid-19 Vaccine accumulates in the Ovaries; & now Official UK Data shows cases of Ovarian Cancer are at an all time high — The Expose (expose-news.com) )), testicules) sont particulièrement concernés en raison de la propension de la protéine spike, pour cette localisation, attirance dont témoignent par ailleurs les nombreux effets secondaires chez la femme et en particulier les troubles des règles précocement après l’injection (arrêt des règles, hémorragies, saignements dont certains majeurs réglés seulement par l’ablation de l’utérus) et chez l’homme : raréfaction des spermatozoïdes constatés rapidement par les centres de donneurs…(([3] Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) Et Pfizer le savait d’emblée comme en témoignent les documents enfin publiés grâce à la justice américaine.

COÏNCIDENCE DE TEMPS ENTRE FLAMBÉE DU CANCER ET VACCINATION ANTICOVID RÉCENTE = TEMPORALITÉ

Concentrons-nous ce jour sur les cancers potentiellement liés aux injections ARNm, le critère de temporalité rendant les observations signalées plausibles et ainsi retenues par le site VAERS. Nous avions évoqué cette possibilité il y a plusieurs mois, alertés par des publications de grands scientifiques(([4] Covid “vaccine” spike proteins destroy DNA repair pathways, paving the way for CANCER to grow and spread (oncology.news) :
Ces flacons effrayants remplis de produits mystérieux qu’ils appellent « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) se sont avérés détruire la capacité du corps à protéger l’intégrité de l’ADN, qui au fil du temps peut causer le cancer. » « Une fois injectées dans le corps, explique l’étude, les protéines de pointe “détournent et désagrègent la machinerie cellulaire de l’hôte pour répliquer, assembler et propager les virus de la progéniture”. Dans le pire des cas, le résultat est une baisse drastique des lymphocytes T, des lymphocytes T auxiliaires et des lymphocytes T suppresseurs, qui sont tous nécessaires pour combattre les cellules malignes qui, si elles ne sont pas contrôlées, peuvent provoquer le développement de tumeurs.
« En tant que deux systèmes critiques de surveillance de l’hôte, les systèmes immunitaires et de réparation de l’ADN sont les principaux systèmes sur lesquels les organismes supérieurs comptent pour se défendre contre diverses menaces et l’homéostasie tissulaire », indique l’étude.
« Les preuves émergentes indiquent que ces deux systèmes sont interdépendants, “Si les dommages à l’ADN ne peuvent pas être correctement réparés, ils contribueront à l’amplification de la pathologie induite par l’infection virale”, prévient l’étude.))(([5] The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine” | peckford42 (wordpress.com) )). Malheureusement aujourd’hui le doute n’est plus permis(([6] Histoires de cancer partagées par des utilisateurs de Twitter en réponse à l’article sur des cas de cancer ou une croissance rapide du cancer après COVID vax (cf réf. 7) )). L’accumulation de témoignages et d’articles scientifiques(([7] Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs
Stephanie Seneff a,*, Greg Nigh b, Anthony M. Kyriakopoulos c, Peter A. McCullough.
A B S T R A C T(…)
In this paper, we present evidence that vaccination induces a profound impairment in type I
interferon signaling, which has diverse adverse consequences to human health. Immune cells that have taken up the vaccine nanoparticles release into circulation large Numbers of exosomes containing spike protein along with critical microRNAs that induce a signaling response in recipient cells at distant sites. We also identify potential profound disturbances in regulatory control of protein synthesis and cancer surveillance.
These disturbances potentially have a causal link to neurodegenerative disease, myocarditis, immune thrombocytopenia, Bell’s palsy, liver disease, impaired adaptive immunity, impaired DNA damage response and tumorigenesis.
We show evidence from the VAERS database supporting our hypothesis. We believe a comprehensive risk/benefit assessment of the mRNA vaccines questions them as positive contributors to public health.
seneff@csail.mit.edu (S. Seneff), drnigh@immersionhealthpdx.com (G. Nigh), antkyriak@gmail.com (A.M. Kyriakopoulos), peteramccullough@gmail.com (P.A. McCullough).
Food and Chemical Toxicology journal homepage: www.elsevier.com/locate/foodchemtox
https://doi.org/10.1016/j.fct.2022.113008
Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs—PubMed (nih.gov) )) rend indispensable l’information des patients ou des citoyens encore non injectés ou susceptibles de recevoir une nouvelle dose dite rappel ou booster. Il faut les refuser, car la toxicité est cumulative, et les risques d’autant plus importants que vous additionnez les doses.(([8] The more vaccines you take, the weaker your immune system becomes (chemicalviolence.com) ))

Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes :

  • il accélère la progression des cancers ;
  • il réveille les cancers en rémission même depuis longtemps ;
  • il s’accompagne de l’éclosion de nouveaux cancers d’évolution brutale.

Ces cancers sont dits « étranges », car peu ou pas sensibles aux traitements habituels.

Ils surviennent à des âges inhabituels.

IL FAUT REFUSER TOUTE NOUVELLE INJECTION.

IL FAUT REFUSER D’INJECTER LES ENFANTS.

IL FAUT STOPPER CES CAMPAGNES ET EXIGER PUBLICATION DES RÉSULTATS ET ACCIDENTS.

Comme l’avait démontré le Vaers en ce qui concerne la totalité des effets secondaires depuis trente ans pour les vax en général, les cancers flambent depuis le début de la vax anticovid.

TEMPORALITÉ COMPARABLE

Le graphique concernant les cancers et leurs multiplications depuis la vax covid démontre largement la temporalité qui permet d’attribuer au moins une part de responsabilité aux injections. Il a la même forme que ceux concernant les myocardites, les fausses couches et les décès pendant les années précédentes et celle de la vax. Ces constatations qui sont des FAITS devraient conduire à stopper cette injection dangereuse aux composants encore inconnus pour certains.

TÉMOIGNAGES CLINIQUES

Si les explications théoriques et statistiques sont convaincantes pour les savants et citoyens intéressés, les rapports cliniques accumulés devraient faire réfléchir avant d’injecter ses propres enfants ou bien de faire une nouvelle injection.

Exemples dans le VAERS(([9] Cancer — COVID Vaccine Dangers (wordpress.com) )) de témoignages vécus : rapports de cas VAERS sélectionnés

  • Nouveau diagnostic de tumeur solide après vax.
  • Nouveau diagnostic de cancer du sang après vax.
  • Croissance rapide/métastase d’un cancer stable précédemment diagnostiqué.
  • Tumeur solide diagnostiquée après vax
  • De nouveaux CANCERS agressifs tuent des gens peu de temps après le covid vax… y compris des ENFANTS.

Une jeune fille de 13 ans, 1 mois après vax, se plaint de vagues douleurs dans le haut du dos. Au cours des 6 semaines suivantes, fatigue, des douleurs thoraciques, des maux de gorge et de la toux. Huit semaines après le vax, elle a développé une accélération du rythme cardiaque et les symptômes se sont aggravés > liquide autour du cœur, drainé : contenait des cellules cancéreuses du muscle cardiaque. Au cours des 30 jours suivants, elle a développé une tumeur massive à l’intérieur de l’oreillette gauche de son cœur. Il a continué à croître rapidement malgré une chimiothérapie agressive : enfant décédée moins d’un mois plus tard. Vaers id 1913198

En bonne santé 53 ans. Mammographie de dépistage normale 2 mois après Moderna vax. 4 mois plus tard, on lui diagnostique « un cancer du sein inflammatoire très agressif ». A commencé la chimio. « Nous sommes une petite structure rurale desservant une population relativement fermée et de tels cas sont très rares mais j’en ai relevé plusieurs depuis le printemps. En signalera d’autres également. » VAERS ID 1684985

Un autre rapport du même centre de soins : 42 ans F. Mammographie normale 1,5 an avant. 4 mois après Pfizer vax, remarquez une masse mammaire près de l’aréole (même emplacement que le cas précédent). La biopsie du mois suivant a montré « un cancer du sein infiltrant triple + (nœud +) agressif ». ID VAERS 1685076

60 ans Monsieur décédé dans les 3 mois suivant la vax de plusieurs cancers. 3 jours après dose 1 : 2 bosses sur son cou. 2 semaines plus tard : anémie. 1 semaine plus tard : dose 2 : 2 semaines plus tard : Faiblesse, douleur. 2 semaines plus tard : légèrement plus anémique. Au cours des 4 semaines qui ont suivi, on lui a diagnostiqué un lymphome et 1 tumeur au cerveau, puis 3, puis 7 tumeurs au cerveau, de nombreuses tumeurs dans son corps, 1 tumeur dans son œil, d’origine adénocarcinome à cellules caliciformes. Ce cancer très rare : seulement 1 sur un million. Cancer spécial de l’appendice. L’appendicite est fréquemment observée au cours de la première semaine de vax, à tous les âges. Il se passe quelque chose à l’appendice à cause du vax. L’appendice fait partie du système immunitaire. VAERS ID 1697379

55 ans F. Mammographie normale 3 mois avant vax. 3 jours après vax, le sein a commencé à grossir. La biopsie a montré un cancer du sein inflammatoire. ID VAERS 1641095

69 ans F. 4 mois après la 2e dose, diagnostic de glioblastome « Son médecin a estimé que la tumeur avait 3 mois, ce qui coïncidait complètement avec la réception du vaccin Pfizer ». VAERS ID 1646951

74 ans M. 3 semaines après la dose de vax 2 « le patient a remarqué un gonflement des ganglions lymphatiques du côté droit de son cou. Lorsqu’il l’a interrogé, on lui a dit que le gonflement de la lymphe était un effet secondaire courant et qu’il devrait disparaître en 4 à 6 semaines.
Dans l’intervalle, plutôt que de s’affaisser, ils ont augmenté en nombre de nœuds et en taille. Lorsqu’il l’a signalé à son doc, il les a regardés et lui a assuré que ce n’était pas cancéreux, car ils étaient mobiles. Ils n’ont pas testé ou enquêté par précaution. [6 mois après la dose 2], le patient a reçu un diagnostic de cancer d’adénocarcinome pulmonaire avec propagation aux lymphatiques. » VAERS ID 1647308.

Femme de 86 ans, sans antécédent de cancer. 10 jours après la dose 2, « j’ai commencé à me sentir mal. Laboratoires au jour 17 : CRP 10,08, LDH, CK et proBNP élevés (51,4). Jour 24 : CRP 6,63, WBC 11k, LDH 60, KL-6 3406, ANA 1280. Le jour 30 a été diagnostiqué avec une polymyosite/dermatomyosite ». En cherchant la cause, un cancer de l’ovaire a été découvert et elle est décédée.

57 ans F. « Vaccinée en mars, j’ai passé une mammographie fin avril mais mes ganglions étaient enflés. Le médecin m’a demandé de revenir pour vérifier dans 3 mois et a dit que c’était probablement une réaction au vaccin. Quand je suis revenue trois mois plus tard, j’avais un cancer du sein métastatique. Je ne sais pas comment cela peut être si ma mammographie avait l’air correcte. » VAERS ID 1623680

1587116 – 43 ans F, en bonne santé, 31 jours après vax, diagnostic d’un cancer du sein métastatique (carcinome canalaire invasif, grade 3)

1647170 — 83 ans F « En 3 semaines, une tumeur a atteint la taille d’une balle molle. Elle a régulièrement décliné chaque jour après avoir reçu le vaccin… Avant le vaccin, elle marchait 2 miles par jour à la fin du mois de mars [quand elle a reçu un vax], elle ne pouvait pas sortir du lit sans aide. Elle est morte 60 jours après vax. »

Exemple de la présentation que vous pouvez trouver directement dans le VAERS

Pour de nombreux autres témoignages, ouvrir l’article en référence OU DIRECTEMENT LE SITE DU VAERS.

Exemples récents trouvés récemment sur tweeter : comme chaque jour de nouveaux !

Dukaandy @Dukaandy1‬

témoignage vaccin sur telegram : Je viens d’apprendre que la gérante du complexe où je vis, entièrement vax vient de décéder d’un cancer utérin fulgurant : il y a 3 semaines elle était en super forme, 1 semaine plus tard elle s’est sentie malade elle a été hospitalisée et décédée hier matin 11/05/2022 02:41

Et celui-ci qui traduit une remarque fréquente de collègues par téléphone ou mail le caractère étrange de ces cancers…

En conclusion, si vous n’êtes pas convaincu, allez visiter les nombreux canaux de Telegram sur les effets secondaires des pseudovaccins anticovid.

Après près de 18 mois d’injections, les observations cliniques mondiales d’explosion des cancers et de leur caractère intraitable et explosif concordent avec les publications scientifiques qui elles aussi s’accumulent, comme pour les autres complications graves comme les myocardites et encéphalopathies.

Il est grand temps d’exiger un ARRÊT TOTAL DE TOUTE INJECTION, QUEL QUE SOIT L’ÂGE !

En période de législatives, nous pensons qu’informer TOUS LES CANDIDATS AUX POSTES DE DÉPUTÉS DE TOUTES TENDANCES SERAIT L’OCCASION DES LES INFORMER VRAIMENT !

Prenons nos vies et surtout celles de nos enfants et petits-enfants en main sans attendre l’aide d’un sauveur.

Distribuez les informations à tous via tracts, petites réunions informelles entre amis et connaissances, etc.

Cela a bien marché pour Tupperware… C’est ici CAPITAL.





Une étude établit un lien entre l’augmentation des maladies cardiovasculaires urgentes et le déploiement du vaccin contre le COVID-19

[Source : aubedigitale.com]

Une nouvelle étude a trouvé une corrélation entre une augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence chez les personnes de moins de 40 ans pendant le lancement du programme de vaccination israélien contre le COVID-19.

Publiés dans la revue Nature, les chercheurs ont utilisé les données des services médicaux d’urgence nationaux d’Israël entre 2019 et 2021 qui ont évalué les appels d’urgence, ou EMS, chez les personnes âgées de 16 à 39 ans à travers Israël « avec des facteurs potentiels, notamment l’infection par le COVID-19 et les taux de vaccination. »

Ils ont constaté qu’il y avait une augmentation de 25 % des appels EMS entre janvier 2021 et mai 2021, par rapport aux années 2019 et 2020. Israël, qui utilise principalement le vaccin à ARNm de Pfizer, a lancé son programme de vaccination contre le COVID-19 fin décembre 2020.

« Le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge, mais pas aux taux d’infection par le COVID-19 », ont-ils constaté. « Bien qu’ils n’établissent pas de relations de cause à effet, ces résultats suscitent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »

Ils recommandent que, lors de l’évaluation des effets secondaires possibles des vaccins et des résultats de l’étude sur le COVID-19, les responsables intègrent les données des EMS et les données pertinentes afin d’identifier les nouvelles tendances sanitaires potentielles, telles qu’une augmentation des appels aux EMS, et « recherchent rapidement les causes sous-jacentes potentielles. »

Une étude récente menée par des chercheurs suédois sur des populations de Finlande, du Danemark, de Suède et de Norvège a suggéré que les inflammations cardiaques nécessitant des soins hospitaliers étaient plus fréquentes chez les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 que chez celles qui ne les avaient pas reçus.

« Ces cas supplémentaires chez les hommes âgés de 16 à 24 ans correspondent à un risque 5 fois plus élevé après Comirnaty et 15 fois plus élevé après Spikevax par rapport aux personnes non vaccinées », a déclaré la semaine dernière à The Epoch Times le Dr Rickard Ljung, professeur et médecin à l’Agence suédoise des produits médicaux qui a participé à l’étude. Spikevax est le nom du vaccin contre le COVID-19 de Moderna, tandis que Comirnaty est le vaccin de Pfizer.

Son équipe a constaté que les taux de myocardite ou de péricardite sont plus élevés que ceux d’une cohorte non vaccinée, soit 38 pour 100 000 après l’administration des secondes doses des vaccins à ARNm.

L’équipe de recherche israélienne a déclaré dans son étude, publiée le 28 avril, qu’elle estime que « les avantages de la vaccination contre le COVID-19 sont clairs, en particulier pour les populations présentant un risque élevé de développer une maladie grave et potentiellement mortelle », comme les personnes âgées ou les personnes immunodéprimées. Cependant, ils ont noté qu’ »il est important de mieux comprendre les risques potentiels afin de minimiser les dommages potentiels ».

En menant leurs recherches, les scientifiques israéliens ont relevé plusieurs failles potentielles, notamment un « biais d’autodéclaration » lorsque les personnes signalent leurs symptômes par le biais de systèmes de déclaration, y compris le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) géré par le gouvernement fédéral américain, y compris une « sous-déclaration et une surdéclaration » des symptômes liés aux vaccins.

« Même l’étude israélienne, qui repose sur une collecte de données plus proactive, mentionne que certains des cas potentiellement pertinents n’ont pas fait l’objet d’une enquête complète », ont-ils ajouté.

Un deuxième problème auquel les chercheurs se sont heurtés est la façon dont les symptômes de la myocardite, un type d’inflammation cardiaque, se présentent.

« La myocardite est une maladie particulièrement insidieuse avec de multiples manifestations rapportées », ont-ils noté. « Il existe une vaste littérature qui met en évidence les cas asymptomatiques de myocardite, qui sont souvent sous-diagnostiqués. »

Parallèlement, « les lésions myocardiques et la myocardite [sont] prévalentes chez les patients infectés par le COVID-19 », et pas seulement chez ceux qui ont reçu le vaccin, ont-ils précisé.

« Étant donné que le lancement du vaccin contre le COVID-19 a souvent lieu dans un contexte d’infections communautaires par le COVID-19, il pourrait être difficile de déterminer si l’augmentation de l’incidence de la myocardite et des affections cardiovasculaires connexes … est due aux infections par le COVID-19 ou induite par les vaccins contre le COVID-19 « , a-t-il ajouté.

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la plupart des agences sanitaires du monde entier ont déclaré que les avantages des vaccins COVID-19 l’emportaient sur les risques potentiels. Sur son site Internet, les CDC indiquent que la plupart des patients ayant développé une myocardite ou une péricardite et ayant reçu des soins médicaux ont bien répondu au traitement.

Les symptômes comprennent des douleurs thoraciques, un essoufflement et une sensation de battement rapide ou de palpitation du cœur.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




L’utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Doliprane et restez chez vous » ! © MYCHELE DANIAU / AFP/Archives]

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, pour FranceSoir

Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, dans cette tribune, analysent la politique du « paracétamol et restez chez vous » utilisée à l’envi pendant la crise sanitaire, qu’ils jugent « contreproductive en termes de santé comme en termes de coût ». Pour cela, ils traitent dans une première partie de l’historique du médicament depuis le début de la crise, en soulignant notamment les désaccords entre le gouvernement et les autorités sanitaires. Puis, ils analysent les effets néfastes du Doliprane, notamment dans le cadre du traitement contre le Covid-19.

TRIBUNE — Historique 2020-2022 de l’utilisation et des recommandations concernant l’usage du paracétamol et de l’ibuprofène/anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Le ministre de la Santé, Oliver Véran, a tweeté le samedi 14 mars 2020 que les personnes suspectées de Covid-19 devraient éviter les anti-inflammatoires. « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone…) pourrait être un facteur aggravant de l’infection. Si vous avez de la fièvre, prenez du paracétamol », a-t-il dit. (BMJ, 2020)

À l’opposé, quatre jours plus tard, le 18 mars 2020, l’EMA publiait un communiqué remettant en cause ce tweet :

« Il n’existe actuellement aucune preuve scientifique établissant un lien entre l’ibuprofène et l’aggravation de la COVID‑19. L’EMA suit la situation de près et examinera toute nouvelle information disponible à ce sujet dans le contexte de la pandémie. »

Elle recommande donc les deux :

« Lors du début d’un traitement contre la fièvre ou la douleur dans le COVID-19, les patients et les professionnels de la santé doivent envisager toutes les options de traitement disponibles, y compris le paracétamol et les AINS. ».

De plus, le 19 avril, l’OMS publiait un rapport scientifique avec 13 références sur la base de 73 études, dont la conclusion était :

« À l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve d’événements indésirables graves, d’utilisation des soins de santé aigus, de survie à long terme ou de qualité de vie chez les patients atteints de COVID-19, à la suite de l’utilisation d’AINS. ».

Aux États-Unis, la FDA de son côté, le 19 mars 2020, écrit qu’elle « a pris connaissance d’articles de presse indiquant que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène, pourrait aggraver la maladie à coronavirus (COVID-19). Ces reportages médiatiques faisaient suite à une lettre du 11 mars 2020 dans la revue médicale The Lancet, qui émettait l’hypothèse qu’une enzyme (protéine qui facilite une réaction biochimique dans le corps) est augmentée par les AINS et pourrait aggraver les symptômes de la COVID-19. » L’agence ajoute qu’« à l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

C’est donc une simple phrase sans référence scientifique (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l’ibuprofène »), dans l’étude du Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), qui estutilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Ce tweet, sans aucune recherche approfondie et sur la base d’une hypothèse, exclut l’utilisation de l’ibuprofène et des AINS. Et ceci est toujours d’actualité alors que, comme on l’a vu, quelques jours plus tard, les grandes agences de santé envoient des recommandations différentes.

Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d’un groupe de recherche au Département de biomédecine de l’Université et de l’Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s’adresse aux scientifiques en vue d’une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d’utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.

Le site de l’Université de Bâle poursuit :

« En soi, l’enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l’ACE et les bloqueurs des récepteurs de l’angiotensine entraînent une formation accrue d’ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l’utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. »

Et selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003. 

Le site continue :

« Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d’hypertension ou de diabète sont en effet traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d’ACE2. »

Et, le Dr Roth conclut :

« Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l’utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».

En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d’aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).

Les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA sont prises en compte dans de nombreux pays comme au Royaume-Uni, où ce changement a été acté au contraire de la France, dès le 17 avril : les agences britanniques des médicaments ont changé leurs conseils sur l’ibuprofène pour dire que le médicament pouvait être utilisé pour traiter les patients présentant des symptômes de Covid-19, même si les preuves qui ont motivé la révision n’ont pas été rendues publiques (Torjesen I, 2020). Le changement fait suite à un examen par le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments à usage humain (CMH) sur le Covid-19 ainsi que des examens antérieurs des preuves, qui a conclu qu’il n’y avait actuellement pas suffisamment de preuves pour établir un lien entre l’utilisation de l’ibuprofène ou d’autres médicaments inflammatoires non stéroïdiens (AINS), et le fait de contracter ou d’aggraver la Covid-19 (Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, 2020). L’examen du groupe n’a pas été publié, mais a incité l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), le NHS England et le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) à mettre à jour leurs conseils pour déclarer que les patients pouvaient prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène contre les symptômes de la Covid-19, comme la fièvre et les maux de tête (Powis S, 2020).

Il semble qu’Olivier Véran ait aussi été influencé par des médecins français ayant alerté sur la toxicité des anti-inflammatoires « type ibuprofène », qui ont participé à un reportage pour le journal 20Minutes, dont voici un paragraphe très négatif sur l’utilisation de l’ibuprofène (Bosredon, 2020) :

Tous les patients en réanimation avaient pris des anti-inflammatoires

À Bordeaux, on confirme que les cas graves de Covid-19, ne touchent pas que les personnes âgées : les quatre premiers patients admis sont tous jeunes, l’un ayant même seulement 26 ans. » « Nous avons une population différente de celle décrite par nos collègues chinois », confirme le Dr Benjamin Clouzeau (anesthésiste-réanimateur au CHU de Bordeaux). « Mais nos malades ont tous le même profil, et j’insiste là-dessus : ils ont tous pris des anti-inflammatoires type ibuprofène, pour traiter les symptômes de fébrilité. Il faut bannir cela. »

Le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :

« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s’accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l’infection. Cependant, les preuves scientifiques n’indiquent pas que la consommation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d’une maladie plus grave, alors qu’ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d’autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d’augmenter leur risque de COVID-19. »

Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).

Beaucoup de scientifiques ont donc réagi au tweet d’Olivier Véran. On rappelle aussi les mots prudents de la FDA :

« À l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

Ce tweet un peu rapide n’est pas sans rappeler un autre cas lié au Lancet, sur une autre molécule et avec la même rapidité. Le même Lancet qui publiait en 2021 une étude disant :

« L’utilisation d’AINS n’est pas associée à une mortalité plus élevée ou à une gravité accrue de la COVID-19 (Drake TM et al., 2021). Les décideurs politiques devraient envisager de revoir les conseils émis concernant la prescription d’AINS et la gravité de la COVID-19. »

On parle ici d’une étude réalisée entre le 17 janvier et le 10 août 2020, sur 78 674 patients dans 255 établissements de santé en Angleterre, Écosse et Pays de Galles. Cet article rappelle aussi les propriétés anti-inflammatoires observées pour l’ibuprofène contre des vecteurs de l’inflammation (cytokines impliquées dans le fameux orage inflammatoire) dans la COVID en particulier l’IL-6, mais nous y reviendrons. Autre étude du Lancet (Rheumatology) :

« Au début de la pandémie de COVID-19, les médias craignaient que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier l’ibuprofène, ne puisse exacerber les symptômes de la COVID-19. Ces inquiétudes, basées sur des données non publiées, ont conduit à déconseiller l’utilisation des AINS. »

Et en conclusion :

« La présente étude complète plusieurs études antérieures études d’observation, dont la plupart ont soutenu l’absence d’association entre l’utilisation d’AINS et la COVID-19 gravité. En fin de compte, sur la base des connaissances actuelles, les cliniciens ne doivent pas s’abstenir ou interrompre les AINS chez les patients atteints de COVID-19 si un traitement par AINS est indiqué » (Kragholm K  et al., 2021). »

Ces résultats sont corroborés par de nombreuses autres publications depuis 2020 (Bruce E et al. 2020), dont une méta-analyse d’une équipe française qui aurait pu intéresser nos responsables (Moore N et al., 2020) (Kelleni MT, 2020) (Kelleni MT, 2021). De plus, deux études ont révélé que lorsque l’ibuprofène ou les AINS étaient utilisés seuls chez des patients atteints de COVID-19, il n’y avait aucun décès, contre 3 ou 4 % avec le paracétamol utilisé seul (Rinott E et al., 2020) (Jeong HE et al., 2020).

Hélas, en France, on ne voit pas de changement au tout-paracétamol. Et même opportunément, un rapport de l’ANSM publié le 18/04/2019 et remis à jour le 20/05/2020, intitulé « Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et complications infectieuses graves » vient en soutien aux recommandations gouvernementales pour recommander de ne pas prendre d’ibuprofène, mais plutôt du paracétamol, dans les complications infectieuses graves notamment dans un contexte de varicelle et de pneumonie.

Le problème plus grave est qu’avec le temps, les preuves scientifiques ne vont cesser de s’accumuler en faveur des AINS, dont l’ibuprofène, médicaments génériques, et au contraire en défaveur du médicament de Sanofi, mais sans aucun changement de cap des responsables politiques de la santé en France. On peut regretter aussi l’absence de mise au point de la part du conseil scientifique, qui aurait pu intervenir et même anticiper les risques de toxicité du paracétamol dans le cadre de la COVID-19 au regard du rôle crucial de l’inflammation dans la pathologie de la COVID : on rappelle que le Doliprane n’est pas anti-inflammatoire et qu’il est pro-oxydant, au contraire de l’ibuprofène et des AINS.

L’ANSM rapporte que « La dispensation d’ibuprofène a été quasiment arrêtée à la suite des messages des autorités sanitaires, tandis que la délivrance sur ordonnance de paracétamol a atteint jusqu’à 1 million de patients par jour (pic le 16 mars). » (ANSM, 2020)

Malgré les arguments scientifiques connus et entérinés depuis fin mars 2020 par les plus grandes agences mondiales de la santé, on peut lire encore en juillet 202, en France, les affirmations suivantes de l’HAS adressé à Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé :

Encore répété par la HAS, le 11mars 2022 :

Ou encore sur la page actuelle du site du ministère de la Santé :

Le journal Le Point avait aussi honnêtement rectifié en 2021:

Le gouvernement français a donc choisi de privilégier uniquement le paracétamol dans le cadre de la COVID, tout en refusant systématiquement aux Français différents traitements ambulatoires précoces et en faisant même pression sur les médecins. Il les a notamment empêchés de prescrire l’azithromycine, un traitement qui, en association avec le zinc, a pourtant fait ses preuves, comme une multitude de médecins et patients peuvent en témoigner. Quid de l’aspirine, qui en plus est anticoagulante ?

Questions sur la sécurité du Paracétamol à travers quelques études cliniques rétrospectives

Alors, une question jamais évoquée se pose étant donné cette politique à sens unique concernant le Doliprane. C’était particulièrement prégnant en 2020, mais hélas encore d’actualité, même si de nombreux médecins et personnes éclairées l’ont abandonné : à quel moment a-t-on validé que le paracétamol (Doliprane) était vraiment sécurisé pour la santé, en particulier dans la pathologie de la COVID ? Le Doliprane est-il un médicament anodin comme le pensent beaucoup de Français ?

La réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d’effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK , 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n’existe, d’articles et d’essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, cet auteur observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).

On en est donc réduits à tenter d’analyser des données à travers des analyses statistiques rétrospectives sur des études existantes. Ainsi, une analyse multivariée sur une cohorte de 524 patients a montré que les patients exposés au paracétamol avaient une probabilité significativement plus élevée d’être dirigés vers des unités de soins dans le groupe d’exposition modérée (100-1000 mg/day, nb de sujet : 256) et fortement exposés (>1000 mg/day ; nb de sujets : 132) que le groupe témoin n’ayant pas reçu de paracétamol (nb de sujets : 136) (Manjani L et al., 1021). La durée de séjour en unité de soins était aussi plus longue (5 vs 10 jours, p < 0,001) et les deux groupes qui ont pris du paracétamol ont aussi eu une mortalité plus élevée : 5,1 % en plus pour le groupe avec prise modérée et 16,5 % en plus (p = 0,001) pour le groupe avec prise supérieure à 1 g/j en comparaison du groupe sans paracétamol. Ils notent aussi un risque plus élevé de nécessiter une assistance respiratoire (2,9 % vs 15,5 % p < 0,001) dans les groupes exposés modérément ou fortement exposés. Cela laisse entendre que le Doliprane pourrait aggraver la maladie de la COVID et augmenter les chances d’hospitalisations, voire de décès.

Une étude observationnelle rétrospective est particulièrement intéressante : dans le groupe dit de contrôle, 45 patients sur 77 (58,44 %) ont reçu du paracétamol comme traitement à domicile, alors que dans le groupe suivant un protocole recommandé, utilisant en particulier des anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase (Suter F et al., 2020), seuls 6 sur 86 (6,98 %) utilisaient le paracétamol comme thérapie principale (Suter Fet al., 2021). Le taux d’hospitalisation fut de 1,2 % pour les patients suivant le protocole recommandé et 13,1 % (p = .007) pour les patients utilisant majoritairement du paracétamol, soit 44 jours cumulés d’hospitalisation (groupe protocole recommandé) contre 481 (groupe paracétamol). En plus d’une hospitalisation presque 11 fois supérieure dans le groupe Doliprane, il en découle des frais cumulés d’hospitalisation 10 fois plus élevés finalement : 296 243 euros pour le groupe Doliprane vs 28 355 euros pour le groupe anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase. À noter que 9,2 % du groupe Doliprane a pris des corticoïdes vs 30 % avec le protocole recommandé.

La politique du « Doliprane et restez chez vous » est donc contreproductive en termes de santé comme en termes de coût : 11 fois moins efficace pour l’hospitalisation et 10 fois plus cher pour le contribuable :

Légende : Jours d’hospitalisation cumulés et coûts associés dans les deux groupes étidiés
Panneau A : Jours d’hospitalisation cumulés dans la cohorte de traitement recommandé (recommended cohort) et dans le groupe Paracétmol (control cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)
Panneau B : Coûts cumulés d’hospitalisation dans la cohorte « traitement recommandé » et dans le groupe paracétamol (conrtol cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)

Comment cela est-il possible ? Y a-t-il des mécanismes biologiques connus qui pourrait l’expliquer, alors qu’on prescrit du Doliprane à tout-va, y compris en post-vaccination ?

La réponse est oui, et ces mécanismes biochimiques et physiologiques sont nombreux et connus ! Ils surviennent, il est vrai, essentiellement dans le cadre du dosage plus important que les doses thérapeutiques maximales normalement acceptées (3-4 g/j), mais sont aussi susceptibles d’intervenir à des doses plus basses, notamment en lien avec certaines conditions qui sont associées… avec les comorbidités de la COVID.

Après une brève introduction sur l’historique du paracétamol, nous décrivons ci-dessous sa toxicité générale, mais aussi les mécanismes inflammatoires, coagulants et pro-oxydants connus du paracétamol (Doliprane, Efferalgan…), qui peuvent être néfastes dans le cadre de la pathologie de la COVID-19.

Quelles sont les conséquences biologiques de la prise de paracétamol ?

Antalgique le plus vendu au Monde, le Paracétamol trouve son origine dans l’industrie des colorants du XIXème siècle. Depuis sa commercialisation en France, en 1957, sa consommation ne cesse d’augmenter. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a tiré à plusieurs reprises la sonnette d’alarme, jusqu’à récemment encore. En effet, sous son apparente innocuité, ce dérivé de la Phénacetine, elle-même dérivée de l’Anniline, cache un fonctionnement complexe dont l’entièreté des mécanismes reste à confirmer. Bien que longtemps assimilé aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sa pharmacodynamie apparaît, en fait, bien plus complexe. Aussi, la première hypothèse d’un mécanisme d’action via l’inhibition des cyclo-oxygénases est largement reconsidérée.

A contrario de son mécanisme d’action, son métabolisme est, quant à lui, bien établi. Normalement bien toléré aux doses thérapeutiques, sa métabolisation dans l’organisme n’est pas dénuée d’effets indésirables et/ou d’interactions aux conséquences parfois dramatiques, de sorte que sa toxicité est reconnue depuis 50 ans au moins et depuis 2018, même hors surdosage apparent et à des doses thérapeutiques ou très proches (Kurtovic J and Riordan SM, 203) (Graham GG et al., 2005) notamment avec des facteurs de risque comme d’hépatotoxicité comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie ou chez des adultes âgées de faible poids (les plus fragiles face à la COVID), une séropositivité au VIH ou hépatite C (Bonkovsky HL et al, 1994) (Claridge LC et al., 2010). Ces personnes ont-elles vraiment été averties par les autorités de santé et leurs médecins de ces contrindications nécessitant des précautions d’emploi ?

Toxicité générale du paracétamol et de son métabolite toxique : le N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI

Dans le cadre de son métabolisme, une proportion minime de paracétamol (aussi appelée acétaminophène ou encore acetyl-para-aminophénol) est relâchée dans le système sanguin sous forme inchangée, la majeure partie étant métabolisée au niveau du foie par le biais de plusieurs voies (Steventon GB et al., 1996). Les métabolites actifs distribués dans le sang sont, pour une faible part, inactivés par liaisons avec l’albumine à raison de 10 à 15 % (Gimenez F et al., 2012). Majoritaires, la conjugaison à l’acide glucuronique ou glycuroconjugaison et la conjugaison à l’acide sulfurique ou sulfoconjugaison se partagent environ 80 % de la biotransformation de l’acétaminophène à hauteur d’un ratio moyen de 1/3//2/3. Inactives et non toxiques, les deux formes qui en résultent sont éliminées par voie urinaire.

Suite aux travaux d’Högestätt, une autre voie mineure a été mise en évidence. Ainsi, le paracétamol subit également une hydrolyse catalysée par l’acylamidase et la N-désacétylase du foie aboutissant à un métabolite désacétylé : le P-aminophénol (Högestätt ED et al., 2005).

Enfin, et surtout, la voie oxydative, quant à elle, intervient à une moyenne de 10 %. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6, elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est également responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).

En conditions dites « thérapeutiques », il est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996).

Et, c’est là qu’intervient l’élément qui nous intéresse : le glutathion. Son rôle dans la lutte contre la toxicité du paracétamol est absolument essentiel. Gros consommateur de cet oxydant, seuls 10 g en une prise suffisent à effondrer suffisamment les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement de bas du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives d’autolyse ou suicide. En cas de surdosage, deux molécules sont principalement utilisées :

  • Le charbon actif, capable d’adsorber jusqu’à 90 % du paracétamol s’il est administré dans les cinq premières minutes. Son efficacité est « dose-dépendante » et n’est prouvée que dans un délai de deux heures après ingestion de la surdose.
  • La N-acétylcystéine, véritable antidote, atténue voire évite l’atteinte hépatique en produisant de la cystéine, élément précurseur du glutathion. Néanmoins, sa protection complète ne va pas au-delà dès huit heures après ingestion. Passé ce délai, son activité protectrice décroit progressivement.

Au sujet de l’importance de la toxicité du paracétamol vis-à-vis du glutathion dans le cadre du COVID paracétamol, des chercheurs écrivent :

« Au vu de ce qui précède, poursuivre l’utilisation généreuse du paracétamol peut signifier que nous ignorons les messages importants de la recherche. Cela peut ne pas être inquiétant chez les adultes en bonne santé. À l’inverse, au milieu d’une pandémie dévastatrice, il est plus important que jamais de présenter des arguments satisfaisants pour prescrire du paracétamol aux populations sensibles avec des niveaux de GSH faibles. Nous avons décrit en détail quatre problèmes de santé graves associés à la réduction de GSH et les risques de développer une COVID-19 sévère. Nous suggérons que la sécurité et l’efficacité du paracétamol devraient être étudiées plus en détail dans COVID-19. Des recherches futures pourraient tenter de corréler le taux de mortalité attribuable à la COVID-19 avec les chiffres de doses quotidiennes de paracétamol pour 1 000 habitants dans des pays au niveau de vie similaire. » (Verd S and Verd M, 2020).

Effets néfastes du paracétamol dans le COVID-19 :

Consommation du glutathion : effet délétère sur l’inflammation/stress oxydant et l’immunité dans la COVID-19 – Le premier effet particulièrement délétère du paracétamol et de loin le plus dangereux est donc la consommation de glutathion (GSH).

Certains chercheurs ont suggéré qu’en appauvrissant le GSH, le paracétamol pourrait également aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020). Or, le GSH comme protecteur de l’inflammation et du stress oxydant joue un rôle crucial et central dans la résistance au COVID-19 pour éviter d’évoluer vers une forme grave et la mort (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Ceci a été trop sous-estimé et trop peu évoqué dans la communauté scientifique et pratiquement jamais par la plupart des médecins et des médias. Probablement parce que cela implique de travailler sur des domaines vastes allant de la virologie à l’immunité, l’inflammation/stress oxydant et requérant des notions non seulement médicales, mais aussi de chimie et de biochimie poussées. Un des résultats, notamment chez les médecins, est que l’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie de la COVID a été largement sous-estimée, quand elle leur est connue, et donc de l’importance centrale du glutathion dans la pathologie de la COVID !

Dans la COVID (et dans toutes les pathologies inflammatoires), l’inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes. Ceci devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires y compris pour les formes longues du Covid (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020). Le glutathion est justement le maître antioxydant dans l’organisme qui permet de lutter contre ce stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R et al., 2007). Le paracétamol fabrique justement du stress oxydant et notamment des radicaux libres (peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 20003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).

Au niveau de l’immunité, un autre effet néfaste de la consommation de GSH par le paracétamol est l’efficacité diminuée des globules blancs, en particulier des lymphocytes T, si importants pour lutter dans la COVID. Ces lymphocytes T ont besoin GSH afin de travailler efficacement, améliorant ainsi l’identification et destruction des bactéries et virus (Droge W and Breitkreutz R, 2000) (Grimble RF and Grimble GK, 1998) (Maciolek JA et al., 2014) (Wang K et al., 2017). Le taux de GSH qui régule l’état oxydatif dans toutes les cellules de l’organisme ralentit également la réplication des virus comme la grippe et d’autres virus respiratoires (Geiler J et al., 2010) ce qui peut donc potentiellement atténuer les symptômes viraux et améliorer la survie (McCarty MF et al.,2010) (De Flora S et al., 1997) (Mata M et al., 2012) (Nencioni L et al., 2003) (Cai J et al., 2003) (Khomich OA et al., 2018) (Ghezzi P et al., 2004).

Effet du paracétamol sur une des voies inflammatoire principales de la COVID-19 : la voie immuno-inflammatoire du complément

La voie du complément est une des voies principales de l’immuno-inflammation dans la COVID-19, notamment dans les formes graves et contribue aussi à la coagulation dans les vaisseaux et à la mort.

Or le paracétamol a été décrit par plusieurs travaux comme un activateur de cette voie inflammatoire, ce qui est préoccupant et jamais évoqué même si d’autres études doivent être menées pour mieux étudier ce sujet. Dans une récente étude, Li et ses collaborateurs rapportent la sur-activation du complément en lien avec la toxicité hépatique du paracétamol et l’effet protecteur de la CRP (C réactive protéine)  (Li HY et al., 2022) (Garcia-Ruiz C et al., 2022).

Dans des études chez l’homme avec surdosage de paracétamol, l’activation du complément a été associée à un dysfonctionnement hépatique (Ellison et al., 1990) (Clapperton et al., 1997).

L’hépatotoxicité induite par le paracétamol est initiée par une lésion précoce des hépatocytes, qui peut évoluer vers l’insuffisance hépatique aiguë par une amplification des lésions hépatiques entraînée par l’activation des cellules immunitaires. Des études antérieures ont rapporté un rôle de l’activation du complément dans les lésions hépatique induites par le paracétamol (Singhal R et al., 2012). Dans cette étude chez la souris, des niveaux plasmatiques élevés de cytokines inflammatoires sont retrouvés, telles que l’interleukine-6, interleukine-10 dont les taux élevés sont prédictifs d’une aggravation de la pathologie COVID (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020) et sont des marqueurs de la sévérité et même de la mortalité (Udomsinprasert W et al., 2020) (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020).

C’est donc une question importante qui est posée ici : la prise de Doliprane, en plus de consommer le GSH, aggrave-t-elle la pathologie COVID en activant une de ses voies inflammatoires et mortelle principale, inflammatoire et pro-coagulante et qui mène au décès : la voie du complément ?

1. Paracétamol et coagulation : activation de la thrombine et autres acteurs de la coagulation

On sait que la coagulation est une conséquence grave de la COVID-19 notamment dans les formes très sévères et terminales.

Il se trouve que le paracétamol a la capacité d’activer des mécanismes pouvant promouvoir la coagulation (en plus de la voie évoquée précédemment). En effet, on sait que la progression des lésions hépatiques induites par le paracétamol est associée à l’activation de la cascade de la coagulation sanguine. La génération de thrombine (enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine, protéine qui participe à la formation de caillots sanguins) est évidente chez les patients présentant une surdose aiguë de paracétamol et dans les modèles murins de lésions hépatiques aiguës (Ganey P et al., 2007) (Gazzard BG et al., 1975) (Sullivan BP et al., 2012). La thrombine active en particulier le proteinase-activated receptor (PAR-1) conduisant à l’activation des plaquettes et à une inflammation (cyclooxygénase-2 et autres cytokines) (Coughlin, 1999) (Uzonyi et al., 2006) (Kawabata and Kawao, 2005). Hautement exprimé dans les plaquettes et les cellules endothéliales, PAR-1 joue un rôle clé dans la médiation de l’interaction entre la coagulation et l’inflammation, ce qui est important dans la pathogenèse des maladies pulmonaires inflammatoires et fibrotiques et c’est le cas dans la COVID (Sriram K and Insel PA, 2021) (Rovai ES et al., 2021).

Aussi, l’administration de paracétamol est associée à des taux plasmatiques de protéine plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1) augmentés (Ganey P et al., 2007) (Bajt ML et al., 2008) (Radonovich MF et al., 2001) (Kastl et al., 2006). Or le PAI-1 est une enzyme qui freine la capacité de fibrinolyse, c’est-à-dire de dissolution de caillots (par inhibition de l’activateur tissulaire du plasminogène (tPA) et de l’urokinase (uPA), eux-mêmes activateurs du plasminogène, enzyme qui permet de dégrader les caillots (Mackman N, 2005) (Schaller J et Gerber SS, 2011). Ce PAI-1 est également important dans la pathologie de la COVID et retrouvé à des taux élevés chez les patients ayant des formes sévères (Khan SS, 2021) (Zuo Y et al., 2021).

Le PAI-1, qui peut être libéré par les cellules de Kupffer en réponse à C5a est augmenté dans le plasma par le paracétamol et réduit par une déplétion préalable du complément (Kastl et al., 2006).

Ces mécanismes inflammatoires et pro-coagulants du paracétamol devraient aussi être pris en compte dans l’utilisation de ce produit après vaccination, ce qui est largement proposé, étant donné que la protéine spike vaccinale (plus concentrée) induit des conséquences inflammatoires importantes qui peuvent expliquer une grande partie des très nombreux effets graves et des décès induit par la vaccination.

2. Fièvre et baisse de l’interféron

Faire baisser la fièvre, comme déjà évoqué dans un article précédent « Covid-19 : le paracétamol aurait-il tué ? » n’est pas forcément une bonne idée. Le paracétamol fait tomber la fièvre et améliore le confort des patients, mais la fièvre a une raison d’être : il s’agit d’un mécanisme de défense bien connu de l’organisme face à l’infection. D’ailleurs, en pédiatrie, les nouvelles recommandations HAS ne préconisent plus de faire « tomber » systématiquement la fièvre, sauf cas particuliers :

Prise en charge de la fièvre chez l’enfant – recommandations HAS : Rôle physiopathologique de la fièvre  « La fièvre est un des moyens de réponse de l’organisme aux infections. Elle est également présente dans les maladies inflammatoires, rares chez l’enfant. La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (purpura infectieux, septicémie) et il a été observé que des infections graves non fébriles étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »

En particulier, le paracétamol, en faisant baisser la température, diminue le taux et l’activité de l’interféron (IFN-I), molécule antivirale produite par l’organisme (Hirai et al., 1984). Des températures plus basses réduisent l’activité de l’interféron de type I et favorisent l’arthrite alphavirale (Prow NA et al.. 2017). Et de plus, il a été publié qu’un bas taux d’interféron est associé aux formes graves de la maladie (Activité altérée d’interféron de type I et réponses inflammatoires dans les patients graves de COVID-19 (Hadjadj J et al., 2020).

C’est un phénomène essentiel, car comme déjà décrit , le SARS-Cov-2 est un mauvais inducteur de la réponse IFN-I in vitro et dans des modèles animaux ainsi que chez l’homme puisque les taux d’IFN-I dans le sérum des patients infectés sont en dessous des niveaux de détection des tests couramment utilisés (Sa Ribero M et al., 2020) (Hadjadj J et al., 2020) (Lee JS et Shin EC, 2020). Le SARS-CoV2 induit encore moins d’IFN-I que le SARS-CoV et ces coronavirus contiennent plusieurs protéines permettant d’échapper à la production ou aux réponses induites par l’interféron (Spiegel M et al., 2005) (Hu Y et al., 2017) (Sa Ribero M et al., 2020). 

Conditions et pathologies associées à la dangerosité du paracétamol : un lien avec les comorbidités du COVID-19 ?

La réduction du GSH est une condition particulièrement sévère pour la réponse antioxydante et antiinflammatoire de l’individu et il est compréhensible que sa déplétion soit cruciale pour l’aggravation du COVID‐19.

Plusieurs facteurs de risques d’hépatotoxicité du paracétamol comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie, une séropositivité au VIH et hépatite C (Moling O et al., 2006).

  • Personnes âgées
    La réduction des taux plasmatiques et intracellulaires de GSH est typique chez les patients âgés (Sekhar RV et al., 2011) en particulier s’ils sont affectés par le syndrome métabolique (Sekhar RV et al., 2011) donc les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de la COVID‐19 ne doivent pas être traités avec paracétamol déclarent certains scientifiques (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Pandolfi S et al., 2021) : «  Les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de COVID‐19 ne doivent pas être traités avec du paracétamol. » Chez des adultes dénutris de faible poids corporel (comme peuvent l’être les personnes âgées, les plus fragiles face au COVID), 4 g de paracétamol répété quotidiennement peut être hépatotoxique (insuffisance hépatique acidose lactique) et a été décrits (Claridge LC et al., 2010). Des cas d’hépatotoxicité aigüe chez des personnes âgées (80 à 91 ans) sans autre risque que l’âge et à des doses faibles (de 1-4 g/j)  ont été reportés après quelques jours d’utilisation et les auteurs invitent à des révisions des doses pour les personnes âgées (Ging P et al., 2016) (Liukas A et al et al., 2011) (What dose of paracetamol for older people?, 2018) voire même chez des personnes un peu plus jeunes (Schmidt LE et al., 2005).

    Ainsi, à la vue de ses interactions, médicamenteuses ou non, ainsi que des répercussions sur la physiologie du vieillissement, la question de la sécurité de son utilisation, chez la personne âgée et/ou fragile se pose. Les recommandations d’usages du paracétamol apparaissent peu respectées pour cette population « pré-fragile » ou « fragile » et de manière globale, ce traitement semble, peu évalué, comme peu surveillé, en EHPAD comme en ville alors que cela devrait s’inscrire dans une démarche de pharmacovigilance et de qualité des soins, en particulier dans le COVID où le paracétamol est pris en continu sur plusieurs jours. Il est globalement reconnu que des surdosages itératifs sont plus délétères qu’un surdosage massif (Craig D et al., 2011). Afin de lutter contre cette surutilisation, l’ANSM a limité sa délivrance à deux boites par prescription. Pour autant, les chiffres de ses délivrances en officine ne décroissent pas, au contraire. La crise sanitaire débutée fin 2019 et surtout les recommandations officielles excluant tout autre molécules dans le traitement des symptômes associé à une infection à SARS-CoV-2 ou variants a permis un pic des consommations allant jusqu’à un million de boites vendues/jours.

    Les personnes âgées peuvent souvent être en déficit de glutathion (Erden-Inal M et al., 2002) (Samiec PS et la., 1998) (Sekhar RV et al., 2011) (Matsubara LS, Machado PE  et al., 1991) (Loguercio C et al., 1996) (Suh JH t eal., 2004) (Lang CA et al., 1992), qui comme on l’a vu, est une molécule clé pour contrer et parfois survivre à la phase inflammatoire (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Or comme on l’a cité le paracétamol en abaissant les niveaux de GSH sont susceptibles d’aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020).

    L’âge étant le paramètre le plus significatif de la mortalité dans la COVID, ignorer ces connaissances est au minimum un manque de sérieux scientifique, au maximum, grave et irresponsable. La COVID est une pathologie où le stress oxydant joue un rôle central et a un lien avec toutes les comorbidités.
     

  • Diabète et obésité, maladies cardiovasculaires 
    La corrélation entre un faible taux de GSH et le diabète est bien établie. Le diabète a été largement associé à des dommages oxydatifs et à une diminution de la teneur en GSH (aussi augmentation du rapport GSSG/GSH, glutathion oxydé/glutathion réduit) dans différents tissus (Yoshida K et al., 1995) (Thornalley PJ et al., 1996). La diminution du GSH est, dans la plupart des cas, associée à une activité accrue du NF-kB, un nœud l’inflammation y compris dans le COVID (Arnalich F et al., 2001). Une étude de Samiec et ses collègues a montré que les niveaux de glutathion total et de sa forme réduite étaient plus faibles dans le plasma des sujets âgés et encore plus bas chez les patients diabétiques (Samiec PS et al., 1998).

    Plusieurs études ont rapporté que chez les patients obèses, le stress oxydatif est aussi associé à une diminution des niveaux de glutathion (Habib S et al, 2015) (Uzun H et al., 2017) et à une diminution du rapport GSH/GSSG) (Zamora-Mendoza R et al., 2018) et que le paracétamol pourrait avoir une toxicité augmentée (Michaut A et al., 2014). De plus, le stress nutritionnel causé par un régime riche en graisses et en glucides favorise le stress oxydatif, comme en témoignent l’augmentation des produits de peroxydation lipidique, la diminution du système antioxydant et la diminution des niveaux de glutathion (Parsanathan R and Jain SK, 2019) (Andrich DE et al., 2019).

    Les maladies cardiovasculaires en général sont associées au stress oxydatif et l’inflammation et les doses de paracétamol devraient être adaptées à la gravité de la pathologie : un homme de 67 ans atteint d’une maladie cardio-pulmonaire chronique a présenté une atteinte hépatique sévère et une atteinte rénale modérément sévère après ingestion à court terme de doses thérapeutiques d’acétaminophène (1 à 3 g/jour pendant 3 jours) (Bonkovsky HL et al, 1994).
     

  • L’hypertension est une comorbidité nettement reconnue dans le COVID
    Une étude chez des patients atteints de maladie coronarienne (CAD) (Sudano I et al., 2010) a montré qu’un traitement au paracétamol était associé à une augmentation significative de la tension artérielle et soulève la question de la prudence de l’usage du paracétamol chez ces patients. De plus, des revues systématiques de la littérature soutiennent l’association entre l’utilisation de paracétamol et l’élévation de la pression artérielle chez les patients souffrant d’hypertension (Turtle EJ et al., 2013). La prise quotidienne régulière de 4 g d’acétaminophène (dose COVID) augmente la pression artérielle systolique chez les personnes souffrant d’hypertension de ≈ 5 mm Hg par rapport au placebo ; « cela augmente le risque cardiovasculaire et remet en question l’innocuité de l’utilisation régulière d’acétaminophène avec cette condition » (MacIntyre IM et al., 2022).

    Ceci est observé aussi dans certaines études aves les AINS, mais pas avec l’aspirine, même si le sujet est débattu (Curhan GC et al., 2002) (Bautista LE et al., 2010).

    Favoriser l’hypertension est donc dangereux dans le COVID en particulier parce que l’hypertension, comme le diabète et d’autres conditions cardiovasculaires peuvent être associées à l’augmentation des protéines MASP (Mannan-binding lectin serine protease) (Bumiller-Bini V et al., 2021) qui activent la voie clé faisant le lien entre l’inflammation et les phénomènes de coagulation en phase finale des formes graves du COVID-19 (la voie des lectines du complément).
     

  • Affections pulmonaires, respiration
    Un grand nombre d’études ont rapporté une toxicité pulmonaire du paracétamol (Kennon-McGill S and (McGill MR, 2017) (Nassini R et al., 2010) (Baudouin SV et al., 1995). Cette dernière étude montre que les lésions pulmonaires aiguës (33 %) peuvent être fréquentes chez les patients atteints d’insuffisance hépatique fulminante induite par le paracétamol et associées à une insuffisance circulatoire systémique et à un œdème cérébral (Baudouin SV et al., 1995). Le développement de lésions pulmonaires aiguës était associé à une mortalité élevée.

    Des études montrent que le phénomène toxique dans le foie se produit également dans les poumons qui possèdent aussi l’enzyme CYP2E1 qui fabrique le dérivé toxique du  paracétamol, le NAPQI, capable de consommer le glutathion et produire des dommages dans les poumons Breen K et al., 1982) (Sandoval J et al., 2019).

    Cette toxicité dans les poumons pourrait même survenir à des doses pour lesquelles le paracétamol n’est pas toxique sur le foie, comme le montre une étude récente chez la souris avec de 140 mg/kg ip (Dobrinskikh E et al., 2021).

    La prise de paracétamol est aussi associée à une aggravation possible de l’asthme et de la Bronchopneumopathie chronique obstructive (COPD) et une baisse de la fonction pulmonaire au contraire de l’aspirine (McKeever TM et al., 2005) (Allmers H et al, 2009) (Beasley RW et al., 2011) (Goto T et al., 2018). D’ailleurs, des chercheurs et médecins s’interrogent sur les effets à long terme de ce médicament qui est utilisé à plus de 65 % chez tous les nourrissons nés à moins de 27 semaines de gestation sur le développement des poumons, alors qu’aucune donnée de sécurité n’est disponible (Wright CJ, 2021).

Autres toxicités, un exemple : l’autisme

On pourrait citer encore plusieurs conditions et maladies dans lesquelles la toxicité du paracétamol est impliquée sans que les autorités de santé, visiblement peu indépendantes, ne s’en inquiètent vraiment.

C’est le cas de l’autisme, pour prendre un dernier exemple très préoccupant en relation, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020) (Ji Y et al., 2020) : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l’association entre l’exposition prénatale et périnatale à l’acétaminophène et le risque de neuro-développemental chez l’enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ». Cette étude vient de la prestigieuse université John Hopkins et est publié dans le JAMA.

Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis :

D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans a révélé que l’exposition gestationnelle à l’acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu’un trouble hyperkinétique était également présent (Andrade C et al., 2016).

« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l’augmentation exponentielle de l’incidence de l’autisme depuis 1980, lorsque l’acétaminophène a commencé à remplacer l’aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L’impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l’aspirine était associée au syndrome de Reye — a depuis été démystifiée de manière convaincante. L’auteur conclut : « Si l’aspirine n’est pas à craindre comme cause du syndrome de Reyes et que l’acétaminophène est à craindre comme cause de l’autisme, l’épidémie d’autisme peut-elle être inversée en remplaçant l’acétaminophène par de l’aspirine ou d’autres remèdes ? »

Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoide (Schultz S et al., 2021).

Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance : « Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l’allaitement, contrairement à l’aspirine et à l’ibuprofène contre-indiqué dans ces deux circonstances ».

« france » avec un petit « f » et « santé » avec un petit « s »…

On sent bien que cette molécule a été mise en avant avec des grands bénéfices financiers et malgré des bénéfices de santé contestés, par une grande partie de la communauté scientifique, même en ce qui concerne l’effet antidouleur (da Costa BR et al., 2017).

Conclusion :

Cette revue de la littérature scientifique pose de sérieuses questions sur l’utilité et la sécurité de l’utilisation du paracétamol dans le cadre du COVID, en particulier dans le cadre des comorbidités qui lui sont associées (âge, hypertension, diabète et obésité et autres conditions inflammatoires). D’une manière plus générale d’ailleurs, de nombreux scientifiques se posent la question de l’utilité de cette molécule au regard de sa faible efficacité et de cette toxicité établie (Roberts E et al., 2016).  

Un blockbuster dont on pourrait très probablement se passer, ce qui n’est évidemment pas l’avis de ceux à qui elle rapporte autant d’argent.

Curieusement, là où l’argument du « hors AMM » fut le fer de lance opposé à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, là où les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) furent déboutés au motif d’évaluation bénéfice/risque en faveur du risque de formes graves, force est de constater, que l’utilisation du paracétamol, tout autant hors AMM, ne fut ni surveillée, ni étudiée. Bien au contraire, puisque les autorités sanitaires le recommandent encore actuellement, avec un peu plus de vigilance aujourd’huin mais la dose quotidienne de 3g/j fut longtemps recommandée sans autres mises en garde. Aucune rectification n’a été faite concernant les AINSn alors qu’ils ont été réhabilités pour le COVID dès la fin mars 2020 par l’ensemble des agences internationales de santé. Dans le cadre d’une pathologie dont nous ne savions rien et dont la concentration aurait pu être jusqu’à une contrindication stricte à son usage, il eut été de rigueur qu’une surveillance accrue de ces interactions soit effectuée. Il n’en fut rien, bien à tort, car si nous ne pourrons probablement jamais évaluer l’impact de l’utilisation du paracétamol sur le nombre de décès associé à la COVID-19, il y joue très probablement un rôle particulier.

La crise sanitaire de la COVID-19, même si elle en cache d’autres, est la plus grande crise de ce début de XXIème siècle. La Santé doit être éclairée par une Science indépendante de la politique et du business afin d’éviter les résultats catastrophiques que l’on observe depuis deux ans. À quel moment des scientifiques, des médecins et des citoyens indépendants vont-ils décider de se réapproprier vraiment la Science au service de notre Santé ?


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Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

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  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




Une hausse insensée du nombre de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux incite les services d’urgence allemands à demander la suspension de la prescription du “vaccin” anti-covid

[Source : resistance-mondiale.com]

Vous n’entendrez pas les médias en parler parce qu’ils ne veulent pas que vous sachiez. Même en Allemagne, les médias et le gouvernement tentent d’enterrer l’affaire, mais la vérité commence à sortir.

Il est extrêmement difficile d’obtenir des données médicales précises, en particulier en ce qui concerne les services d’urgence. Les différentes bases de données et services de suivi ont été manifestement en retard dans les rapports depuis que covid-19 a frappé le monde. Une personne conspirationniste pourrait en arriver à la conclusion que notre gouvernement essaie de nous cacher quelque chose.

Ils auraient raison d’en arriver à cette conclusion.

En Allemagne, il y a un meilleur suivi et un nouveau rapport soulève de sérieuses questions sur les dangers des vaccins Covid-19. Comme prévu, ni le gouvernement allemand ni son appareil médiatique corporatif ne s’attaquent à ces questions, mais les personnes qui répondent aux urgences demandent une suspension des mandats de vaccination après qu’un nouveau rapport montre une augmentation spectaculaire des problèmes cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux depuis le déploiement de la vaccination.

Le rapport, qui compare les données de 2018 à la fin de 2021, est extrêmement révélateur. Par rapport à la moyenne de 2018/19, il y a eu une augmentation massive de 31,2% pour les problèmes cardiaques et de 27,4% pour les accidents vasculaires cérébraux. C’est plus du double de l’augmentation enregistrée en 2020 avant que les vaccins ne soient lancés dans le monde.

Selon une traduction du journal allemand Berliner-Zeitung :

Le nombre d’opérations de sauvetage des pompiers de Berlin impliquant les mots-clés problèmes cardiaques et accidents vasculaires cérébraux a fortement augmenté en 2021. C’est ce qui ressort de la réponse de l’administration intérieure du Sénat à une demande du député SPD Robert Schaddach. On peut y lire :

“L’objectif de l’enquête est de déterminer le nombre d’interventions des pompiers de Berlin concernant des problèmes cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux au cours des quatre dernières années.”

Sous les mots-clés « troubles cardiaques / défibrillateur implanté » et « douleurs thoraciques / autres affections thoraciques », le nombre de missions enregistrées en 2021 a augmenté de 31% par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 43 806 missions. Le nombre de déploiements enregistrés sous les mots-clés « AVC / attaque ischémique transitoire (TIA) » a augmenté de 27 % par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 13 096 déploiements.

De nombreux médecins et scientifiques, dont la plupart ont été réduits au silence et censurés, pensent que le Covid-19 et, de manière plus aiguë, les vaccins associés à la maladie provoquent des réactions indésirables à long terme dans le système circulatoire pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des myocardites et des péricardites, entre autres. Ces affections semblent être plus fréquentes chez les jeunes adultes et même chez les enfants, ce qui suscite des spéculations selon lesquelles les protéines de pointe contenues dans le Covid-19 et les vaccins provoquent des microcaillots dans tout le corps.

Cela aiderait à expliquer pourquoi des athlètes jeunes et en bonne santé sont tombés malades et sont même morts à un rythme alarmant depuis que les vaccins ont été déployés.

Comme l’a noté Berliner-Zeitung, des groupes au sein des services d’urgence de Berlin exigent que les mandats de vaccination soient suspendus jusqu’à ce qu’ils puissent les exclure comme la cause des problèmes de santé :

La communauté des pompiers de Berlin, une association qui regroupe des centaines de pompiers critiques à l’égard des vaccinations, déclare avoir “pris note avec grand intérêt” de la demande du député SPD Robert Schaddach. Un porte-parole de la communauté des pompiers a déclaré au Berliner Zeitung : “De tels taux d’augmentation doivent être expliqués”. Il est frappant de constater que “le nombre total de problèmes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux en 2018 et 2019 est relativement proche. En 2020, on observe une première augmentation par rapport à la moyenne 2018/19 de 12,4 % pour les problèmes cardiaques et de 12,9 % pour les AVC. En 2021, il y aura une deuxième augmentation encore plus importante. Par rapport à la moyenne 2018/19, cette augmentation plus massive est alors de 31,2 % pour les problèmes cardiaques et de 27,4 % pour les accidents vasculaires cérébraux.

Pour l’année 2020, il pourrait “encore sembler plausible qu’une combinaison sinistre de l’émergence d’un nouveau type de virus et de l’introduction de mesures sans précédent avec tous les dommages collatéraux ait conduit à une augmentation tragique des chiffres”. Le porte-parole poursuit : “Pour l’année 2021, cependant, un autre facteur inconnu semble s’être ajouté, ce qui augmente à nouveau considérablement l’augmentation précédente.” En outre, en comparant les groupes d’âge, on remarque que “les taux d’augmentation les plus élevés se produisent précisément dans les groupes d’âge qui ne sont pas communément considérés comme des groupes vulnérables par rapport à la maladie de Covid-19”.

En ce qui concerne la “netteté des augmentations, il faut vérifier s’il existe un lien de causalité avec les effets secondaires du vaccin corona, qui font de plus en plus l’objet de l’attention des médias”, selon la communauté des pompiers. En ce qui concerne les ” vaccinations obligatoires selon l’IfSG, que la direction des autorités applique sans distinction à tous les membres du corps des sapeurs-pompiers de Berlin “, la demande du point de vue de la communauté des sapeurs-pompiers ” représente une excellente occasion d’exclure complètement un tel lien – si des preuves scientifiquement fondées sont disponibles – et de briser ainsi les réserves “.

C’est pourquoi la communauté des sapeurs-pompiers “demande instamment à la direction des sapeurs-pompiers de Berlin de mener une enquête scientifique et ouverte sur un éventuel lien, en collaboration avec les experts de l’Institut Robert Koch (RKI) et de l’Institut Paul Ehrlich (pour initier PEI). Les institutions sollicitées pourraient également “vérifier si les observations faites à Berlin peuvent être transférées à travers l’Allemagne”.

Si une telle enquête “ne devait pas être initiée malgré les questions sans réponse au vu des données mises en lumière”, “il devrait y avoir des raisons tout aussi valables pour cela, notamment en tenant compte de la sécurité des citoyens et des membres du corps des pompiers de Berlin”.

Jusqu’à l’achèvement de “toutes les enquêtes” et “la disponibilité de preuves scientifiques correspondantes qui excluent clairement un lien de causalité”, la communauté des sapeurs-pompiers demande maintenant “avec insistance la suspension pour tous les membres concernés des professions respectives – y compris et surtout au-delà des sapeurs-pompiers – de l’application de l’obligation de vaccination liée à la zone”.

Dans le dernier épisode de End Medical Tyranny, j’ai expliqué pourquoi ce n’est pas seulement un phénomène aléatoire et devrait être considéré comme directement causé par les vaccins jusqu’à ce que cela puisse être prouvé faux… ce qu’il ne peut presque certainement pas. Ce serait une coïncidence unique en un siècle qu’une augmentation aussi massive des urgences liées au sang soit directement corrélée au déploiement de médicaments expérimentaux qui agissent directement dans le sang.

Les gouvernements, y compris ceux de l’Allemagne et de l’Amérique, n’accepteront pas un tel résultat. Ils feront tout ce qu’ils peuvent pour subvertir la vérité et gazer les gens jusqu’à ce qu’ils atteignent leur objectif d’injecter chaque homme, femme et enfant sur terre. C’est vraiment une conspiration et le peuple doit se tenir aux côtés de ceux qui exigent des réponses.

Comme prévu, le gouvernement allemand trouve déjà des excuses. Comme l’article l’a noté :

Dans une autre question, le politicien du SPD veut savoir de l’administration du Sénat: « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les accidents vasculaires cérébraux (symptômes d’AVC de moins de 12 heures) est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin? » La réponse : « En ce qui concerne les changements possibles en ce qui concerne la fréquence d’utilisation du registre principal des plaintes ‘ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL / accident ischémique transitoire (AIT)’ dans la requête d’appel d’urgence normalisée, il est fait référence à la réponse à la question 2, qui s’applique également de manière analogue à ces groupes de cas. »

L’administration du Sénat rapporte également que « les demandes d’assistance médicale lors de la réponse à un appel d’urgence sont interrogées à l’aide du système de répartition des priorités médicales (MPDS) ». « Dans le cadre de cette requête d’appel d’urgence standardisée avec MPDS, les symptômes sont attribués à une plainte principale. Cela se fait sur la base de critères médicaux d’urgence. La ‘plainte cardiaque’ peut être caractérisée par divers symptômes. Par conséquent, « le choix de la raison de l’alarme sur la base du MPDS ne représente pas un diagnostic concluant ». Et plus loin : « Dans ce contexte, on ne peut pas conclure que les plaintes décrites étaient en fait des « problèmes cardiaques » ou qu’il y avait une autre maladie. »

À quel moment les gens se rendront-ils compte que le pouvoir en place nous ment à tous ? Le vieil adage “remettez tout en question” n’a jamais été aussi nécessaire qu’aujourd’hui. Les gouvernements et leurs mandataires dans les médias couvrent le véritable programme, qui devrait préoccuper tout le monde, qu’il soit vacciné ou non. Il ne s’agit pas seulement de rester en bonne santé et donc de ne pas se faire vacciner. Il s’agit de savoir comment l’angoisse des gens se manifestera lorsque les vaccins commenceront à avoir des effets encore plus notables.

Aucun insigne de mérite ne sera décerné à ceux d’entre nous qui ont eu raison au sujet des vaccins. Nous serons méprisés presque autant que les auteurs de cette odieuse escroquerie. On nous reprochera d’avoir été prudents alors qu’une population déséquilibrée commencera à se sentir victime. Ils ne nous féliciteront pas. Ils nous détesteront encore plus qu’ils ne le font aujourd’hui.

Il est impératif que nous fassions passer le mot. Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que les effets indésirables du vaccin sont cumulatifs, donc si nous pouvons empêcher même les vaccinés de recevoir d’autres rappels, nous pourrons peut-être les aider à se remettre de ce qui a été injecté dans leur corps. Lorsque le chaos commencera, et il commencera, nous aurons besoin d’alliés car, pour l’instant, les vaccinés sont plus nombreux que les non-vaccinés et ils ont le poids du gouvernement derrière eux.

Source : https://noqreport.com/2022/04/15/insane-spike-in-heart-attacks-and-strokes-prompts-german-emergency-services-to-demand-suspension-of-covid-vaccine-mandates/

Berliner Zeitung : Problèmes cardiaques et accidents vasculaires cérébraux : le nombre d’opérations de sauvetage augmente fortement

Le député SPD Robert Schaddach a interrogé les opérations des pompiers de Berlin en raison de problèmes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux.

Le nombre d’opérations de sauvetage des pompiers de Berlin sous les mots-clés problèmes cardiaques et accident vasculaire cérébral a fortement augmenté en 2021. C’est ce qui ressort de la réponse de l’administration de l’Intérieur du Sénat à une demande du député spd Robert Schaddach. Ici, il est dit:

« Le but de la demande est de déterminer l’évolution des chiffres de déploiement des pompiers de Berlin en ce qui concerne les plaintes cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux au cours des quatre dernières années. »

Sous les mots-clés « problèmes cardiaques / défibrillateur implanté » et « douleur thoracique / autres plaintes dans la poitrine », le nombre de missions enregistrées en 2021 a augmenté de 31% pour atteindre un total de 43 806 missions par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019. Le nombre de missions enregistrées sous les mots-clés « AVC / attaque ischémique transitoire (AIT) » a augmenté de 27 % par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 13 096 missions.

Dans l’enquête du 10 mars 2022, Schaddach veut savoir : « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les problèmes cardiaques est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin ? » La réponse du Département de l’intérieur, de la numérisation et du sport du Sénat du 7 avril 2022: « Les changements dans la fréquence d’utilisation des principaux protocoles de plainte ‘Plaintes cardiaques / Défibrillateur implanté’ et ‘Douleur thoracique / Autres plaintes dans la poitrine’ dans le cadre de l’appel d’urgence standardisé peuvent être combinés avec une utilisation plus intensive du protocole, la classification des symptômes, le développement ultérieur de la gestion de la qualité, mais aussi le changement du nombre de demandes dans de sauvetage d’urgence, par exemple par la croissance démographique ou l’évolution démographique ».

Sénat : La raison de l’alarme n’est pas un diagnostic concluant

Dans une autre question, le politicien du SPD veut savoir de l’administration de l’intérieur du Sénat: « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les accidents vasculaires cérébraux (symptômes d’AVC inférieurs à 12 h) est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin? » La réponse : « En ce qui concerne les changements possibles dans la fréquence d’utilisation du protocole de plainte principale ” Avc / Accident ischémique transitoire (AIT)” dans l’appel d’urgence normalisé, il est fait référence à la réponse à la question 2, qui s’applique également mutatis mutandis à ces groupes de cas. »

L’administration du Sénat informe également que « les demandes d’aide médicales sont interrogées auprès du Système de répartition des priorités médicales (MPDS) » lorsqu’elles répondent à l’appel d’urgence. « Dans le cadre de cette intervention d’URGENCE normalisée avec MPDS, les symptômes sont attribués à une plainte principale. Cela se fait sur la base de critères médicaux d’urgence. La ‘plainte cardiaque’ peut être caractérisée par divers symptômes. Par conséquent, « le choix de l’occasion d’alarme sur la base du MPDS ne constitue pas un diagnostic concluant ». Et plus loin: « Dans ce contexte, on ne peut pas conclure que les plaintes décrites étaient en fin de compte en fait des « plaintes cardiaques » ou peut-être aussi une autre maladie était présente. »

« Ces taux d’augmentation doivent être expliqués »

La communauté des pompiers de Berlin, une association de centaines de pompiers et de pompiers critiques pour les vaccins, a pris note de la demande du député SPD Robert Schaddach selon sa propre déclaration « avec un vif intérêt ». Un porte-parole de la communauté des pompiers a déclaré au Berliner Zeitung: « De tels taux d’augmentation doivent être expliqués. » Il est frappant de constater que « le nombre total de plaintes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux en 2018 et 2019 est relativement proche les uns des autres. En 2020, une première augmentation par rapport à la moyenne de 2018/19 de 12,4% pour les problèmes cardiaques et de 12,9% pour les accidents vasculaires cérébraux peut être observée. En 2021, une deuxième augmentation, encore plus élevée, peut être enregistrée. Par rapport à la moyenne de 2018/19, cette augmentation plus massive est alors de 31,2% pour les problèmes cardiaques et de 27,4% pour les accidents vasculaires cérébraux.

Pour l’année 2020, il peut « sembler encore quelque peu plausible qu’un mélange inquiétant de l’émergence d’un nouveau type de virus et l’introduction de mesures sans précédent avec tous les dommages collatéraux aient conduit à une augmentation tragique des chiffres ». Le porte-parole poursuit: « Pour l’année 2021, cependant, un autre facteur inconnu semble avoir été ajouté, ce qui intensifie considérablement l’augmentation précédente. » En outre, en comparant les groupes d’âge, il est frappant de constater que « les taux d’augmentation les plus élevés se produisent en particulier dans les groupes d’âge qui ne sont généralement pas compris comme des groupes vulnérables au regard de la maladie Covid-19 ».

Demande : RKI et PEI devraient traiter scientifiquement les chiffres de déploiement

En ce qui concerne les « anomalies des augmentations, il faut examiner s’il existe un lien de causalité avec les effets secondaires du vaccin causés par le vaccin corona, qui sont de plus en plus au centre de l’attention des médias », selon la communauté des pompiers. En ce qui concerne « l’obligation de vaccination selon l’IfSG, qui a été introduite sans discrimination par les autorités pour tous les membres des pompiers de Berlin », la demande représente « une excellente raison du point de vue de la communauté des pompiers d’exclure complètement un tel lien – si des preuves scientifiquement étayées sont disponibles – et donc de réduire les réserves ».

Par conséquent, la communauté des pompiers « exhorte la direction de la brigade de pompiers de Berlin à lancer une enquête scientifique et ouverte sur un lien possible en coopération avec les experts de l’Institut Robert Koch (RKI) et de l’Institut Paul Ehrlich (PEI) en ce qui concerne les chiffres de déploiement disponibles ». Les institutions mentionnées pourraient également « vérifier si les observations faites à Berlin peuvent être transmises dans toute l’Allemagne ». Si une telle enquête « n’était pas ouverte malgré les questions ouvertes au vu des données mises au jour », « il devrait y avoir des raisons tout aussi valables à cela, en particulier compte tenu de la sécurité des citoyens et des membres des pompiers de Berlin ».

Jusqu’à l’achèvement de « toute enquête » et « l’existence de preuves scientifiquement étayées appropriées qui excluent clairement une relation de causalité », la communauté des pompiers exige maintenant « pour tous les membres concernés des professions respectives – y compris et surtout au-delà des pompiers – une suspension catégorique de la mise en œuvre de l’obligation de vaccination liée au secteur ».

Source : https://www.berliner-zeitung.de/news/berlin-feuerwehr-herzprobleme-und-schlaganfaelle-zahl-der-rettungseinsaetze-steigt-stark-an-li.222431

La question complète du député SPD Robert Schaddach et les réponses intégrales du Département de l’intérieur, de la numérisation et du sport du Sénat peuvent être trouvées ici




Contre Macron le 24 avril 2022

[Source : p-plum.fr]

[Transmis par Christine Côte]

Par Fred (pplum-admin)

J’ai cinquante et un ans. Je n’ai jamais gagné une élection présidentielle. Jamais je n’aurai imaginé voter Le Pen de ma vie. Mais la crise Covid a révélé à mes yeux que le personnage Macron est pire que le personnage Le Pen.

Le cœur du problème est le décalage entre le narratif et la réalité. On vous dit qu’il y a une grave épidémie qu’il faut s’isoler les uns des autres, etc. Mais la réalité c’est qu’il n’y a pas de grave épidémie. Voir le livre de l’épidémiologiste Laurent Toubiana « Covid19 une autre vision de l’épidémie » éditions L’Artilleur 2022. La réalité, c’est que la peur d’une grave épidémie est orchestrée par la propagande afin de réaliser un objectif politique bien précis : habituer les gens à s’identifier électroniquement à chaque geste de la vie quotidienne.

Nous pourrions donc continuer à faire comme s’il n’y avait pas de décalage, comme si c’était normal de voir des gens masqués alors qu’il n’y aucune raison, comme si ça allait de soi d’obliger les élèves à tuer toutes les bactéries de leurs mains avec du gel bactéricide à chaque entrée en classe alors que ça nuit à leur santé.

Mais ce décalage nous place en situation de dissonance cognitive, c’est très grave. On s’enfonce dans la folie.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est jeu-enfant-formes.jpeg.

Quand un enfant joue à faire rentrer une forme ronde dans un trou carré, il cesse assez vite parce qu’il voit bien que ça ne rentrera pas. Les adultes eux, peuvent continuer jusqu’au burn-out, jusqu’à la violence sur soi ou sur les autres ou sur les objets.

Si vous observez ces graphiques (([1] https://twitter.com/felicittina/status/1507813114879922179
https://twitter.com/Mounotella/status/1496197873293275140)), vous voyez que le vaccin tue des gens en leur injectant la Spike. Quand vous essayez de faire coller cette réalité au narratif institutionnel (le vaccin sauve de la covid), ça ne marche pas. Donc, soit vous devenez fou, soit vous trouvez une échappatoire.

Une échappatoire possible est le complotisme : celui qui montre le graphique serait un complotiste, c’est-à-dire qu’il choisirait des images afin de faire croire que les gouvernements veulent tous nous tuer.

Comme Didier Raoult, je préfère qu’on me traite de complotiste plutôt que de devenir fou. Je préfère vivre pas longtemps sain d’esprit plutôt que vivre longtemps dans la dissonance cognitive.

À continuer avec Macron, on arrivera inévitablement à ce qui se passe en Chine : des policiers abattent un chien à coups de bâton dans la rue. La Police covidiste rafle les animaux de compagnie parce qu’ils sont suspectés de véhiculer la covid. La Police covidiste retire les enfants à leurs parents. 25 millions de personnes sont confinées à Shanghai, il n’y a plus à manger. Les habitations sont réquisitionnées pour servir de quarantaine. La Police fait s’agenouiller les gens pour leur scanner le QR Code en pleine rue. Tout ça pour… la Covid ?? Ce qui est en train de se passer en Chine est la pire horreur qu’on avait plus vue depuis longtemps.

https://twitter.com/El_Dic_TatoR/status/1513565318781845504

Les Chinois ne sont pas différents de nous. Quand on essaie de faire coller le narratif avec la réalité alors que ça ne marchera jamais, on devient violent. La violence qu’on a observée à l’hôpital en France (on ligote un vieux sur son lit d’hôpital pour qu’il garde son masque contre la covid, puis il meurt par exemple) vient de là. Si vous n’arrivez pas à faire rentrer la forme ronde dans le trou carré, il y a des moyens d’adultes que l’enfant ne connaît pas : casser le trou, limer le trou, couper la forme et surtout rejeter la faute sur quelqu’un d’autre qui a touché le trou ou la forme. Bref, employer les grands moyens… Inhumains…

Avec Macron, nous sommes entrés dans la dictature absolue : le système où les gens croient être libres. C’est une hallucination collective.

« Leur propagande est marquée par un mépris extrême des faits.« 

H.Arendt

« Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » Vera Sharav et Ariane Bilheran (([2] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/vera-sharav-et-ariane-bilheran Vidéo 1h10))

Je pense aux soignants et pompiers dont la vie est devenue un enfer parce qu’ils n’ont pas la même culture vaccinale que les crânes d’oeufs du Ministère. Marine Le Pen a promis de réintégrer les soignants non vaccinés (([3] https://www.europe1.fr/politique/presidentielle-marine-le-pen-veut-reintegrer-15000-soignants-mis-a-pied-4105801)). Je sais, ça ressemble à une manoeuvre électoraliste, mais ce n’est pas comme Macron qui annonce un projet de VIe République après le 1er tour pour draguer les électeurs de J.-L. Mélenchon. Cette mesure de réintégrer les soignants non vax, faite en novembre 2021, elle dit quelque chose sur le coup de frein à donner sur la politique vaccinale totalitaire de Emmanuel MacKinsey.

En réalité, c’est le think tank progressiste Terra Nova qui évoque le mieux la parole de Marine Le Pen, en essayant de dézinguer ses points de vue sur la pandémie « scientifiquement », c’est-à-dire avec les chiffres présentés dans le journal transhumaniste « Le Monde » (([4] https://tnova.fr/societe/sante/marine-le-pen-et-le-covid-deux-ans-dincoherences/)).

Il faut que M. Le Pen devienne présidente pour que les injections (soi-disant contre la covid-19) cessent d’être le laissez-passer de toute activité humaine sur cette Terre. Voter contre Macron est un message adressé à la prochaine Assemblée nationale ; si Marine Le Pen n’est pas présidente, si elle n’a pas la majorité, il y aura eu au moins ce message.

Je note quand même que l’abrogation des lois sur l’état d’urgence sanitaire et sur le passe sanitaire n’est pas dans le programme de Marine Le Pen (([5] https://mlafrance.fr/programme)). Contrairement à la France Insoumise de Mélenchon (([6] C’est dans son programme ici :
https://laec.fr/section/31/sorganiser-pour-faire-face-aux-pandemies?q=sanitaire,passe )).

Quand je vois le programme du Rassemblement National, tout ce discours sécuritaire, je me dis que c’est de la gnognote comparé à la dictature complètement hallucinée qui s’est mise en place avec le covidisme.

Macron MacKinsey flatte l’égoïsme le plus vil. On est entre gens qui ont le « passe » et on en profite à fond de nos loisirs égoïstes. Mais qu’est-ce qui peut être pire en termes de totalitarisme que cet encouragement massif au repli sur soi et la délation ?

Mettre du gel bactéricide sur les mains, c’est comme éradiquer tous les étrangers dans les zones frontalières, sous prétexte que certains sont dangereux, alors il faudrait tous les éliminer, peu importe qu’il y en ait une immense majorité qui soit bénéfique et que l’équilibre puisse être atteint naturellement comme toujours. Cette idéologie radicale qui tient de la folie est mise en application sur chacun, sur les enfants par la Macronie progressiste. Il faut y mettre un coup d’arrêt.

« On nous vole ce qu’on a de plus précieux : notre vie intérieure ! À l’est, c’est la foire du parti qui la foule aux pieds, à l’ouest, c’est la foire du commerce! »

A. Soljenitsyne

Je conçois ma décision comme un électro-choc pour celles et ceux qui continuent de croire que le Ministère de la Santé et leurs commanditaires de Davos (Gates, l’OMS, les GAFAM et compagnie) nous veulent du bien en nous faisant faire des tests PCR à tout bout de champ. Le test PCR a été officiellement arrêté aux USA parce qu’il ne dit pas – il n’a jamais dit – que vous étiez malade. Parce qu’il ne fait pas bien la différence entre la grippe et la covid…

Macron a déchaîné la Police sur les manifestants en gilets jaunes, qui défendent l’honneur des travailleurs. J’ai observé ces gens mutilés par la Préfecture sous Macron. Et nous avons vu ces migrants à Calais, traités par des bêtes inhumaines. Avec Macron, avec n’importe qui d’autre, nous sommes déjà dans cette société de la précarité totale : les riches sont de plus en plus riches et ça marche aussi très bien dans l’autre sens, ça va même avec. Les plus faibles trinquent toujours en premier.

Macron ou Le Pen, mon message est destiné à celles et ceux qui sont dans le narratif de la société industrielle, « on n’arrête pas le progrès ». Il n’y a rien de plus urgent justement que d’arrêter la fuite en avant de la société industrielle et de revenir aux fondamentaux simples de la vie sur Terre. Lire à ce sujet « La Fin de la mégamachine – Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement » Fabian Scheidler Seuil 2020.

En écrivant ce texte, je voudrais que tout le monde se préserve des injonctions paradoxales, des ordres contradictoires qui placent les gens dans des situations de dissonance cognitive. Par exemple il faut arrêter de faire du « développement durable », c.-à-d. continuer avec le « développement », mais de manière « durable ». C’est l’équation impossible à résoudre, la destruction du psychisme calme et modéré.

Avec Marine Le Pen présidente, j’entends les sirènes transphobes, homophobes : Marine a été mariée, elle a eu des enfants. Macron lui, c’est un pédé qui pelote les Messieurs muscles noirs. Comme si j’en avais quelque chose à faire de ces trucs. Quand on a perdu un oeil en manif, quand on a perdu son boulot de soignant non vax, quand on ne peut plus entrer dans une médiathèque à cause de sa culture propre, quand on se désole de la casse du service public, qu’est-ce qu’on en a à faire de la couleur et des préférences sexuelles du commanditaire ? Un dictateur, c’est un dictateur. Qu’il soit cisgenre ou LGBT-compatible ne lui donne pas le droit de se comporter comme un dictateur. Qui peut imaginer une seconde que Marine Le Pen puisse faire abroger la loi sur l’avortement en France en 2022 ? La société civile veille. Par contre, Macron lui, on connaît ses méthodes de progressiste : il ferait aboutir – apparemment en douceur avec les médias de masse – le projet de portefeuille numérique européen, qui contiendrait la monnaie numérique voulue par les grands trusts internationaux.

On a été élus, on a essayé de faire mieux, et ça a donné comme d’habitude »

Viktor Tchernomyrdine

Et encore et toujours :

« Je sais que partout dans le monde, il y a des gens qui s’entretuent.
C’est pas gai.
Mais je sais aussi qu’il y a des gens qui s’entre-vivent.
J’irai les rejoindre.« 

Jacques Prévert

En vous souhaitant bonne journée

Fred

PS : à lire aussi « N’oublions jamais que sous E.Macron, on a voulu nous faire accepter : … »

PPS : Graphique spectaculaire qui montre que le décès covid chez les 0-9 ans est corrélé à la génévaccination (il y a de quoi devenir fou de réaliser ce qu’on fait aux enfants, et dans quel monde on vit !) : 




Baisse des performances sportives après vaccination par un vaccin COVID-mRNA

[Source : reinfocovid.fr]

À RETENIR

  • Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau antérieur à la vaccination.
  • Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  • Ces effets sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination des premiers sportifs.

Cet article est une traduction de l’article de J. Murphy, C. Huber, “Student athletes perform worse than controls following COVID vaccines”(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines))

Il s’agit de l’étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA.(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines)) La moitié d’entre eux était vaccinée et l’autre ne l’était pas (décision prise au préalable par leurs parents). Les activités sportives des deux groupes étaient les mêmes. Les auteurs ont aussi comparé les performances des sujets vaccinés avec leurs résultats antérieurs à la vaccination. On verra que les modifications observées après vaccination sont utiles pour illustrer les modifications cardiovasculaires apparaissant lors de la vaccination.

[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !
15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »
Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19]

Les preuves de corrélation entre des lésions et des décès avec l’administration de vaccins CovidmRNA sont en train de s’accumuler et les études cliniques consacrées à ce phénomène se comptent par centaines(([2] COVID vaccines scientific proof lethal. Jan 5 2022
https://www.saveusnow.org.uk/covid-vacciine-scientific-proof-lethal/)). Plus de1.500 types d’effets indésirables, dont beaucoup sont connus pour entraîner un handicap permanent, avec un total dépassant 158.000 cas, ont été trouvés après l’utilisation de vaccin anti-Covid Pfizer, et les auteurs encouragent les lecteurs à en lire la liste sur les 9 dernières pages du rapport joint ici(([3]  Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT62B2) received through 28_Feb-2021 Pp. 30-38
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experiencce.pdf)). Ce document de Pfizer n’avait pas été ouvert au public par la FDA qui voulait le rendre inaccessible avant 75 ans, a été déclassifié en décembre 2021 sur Ordre du Tribunal(([4] US District Court. Northern District of Texas. Public Health and Medical Professionals for Transparency v Food and Drug Administration. Complaint for declaratory and injunctive relief
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/10/001-Complaint-101021.pdf)). Les médecins et les scientifiques du monde entier se sont alarmés de voir les risques de lésions sévères et de décès dûs à cette vaccination. Le Dr Sucharit  BHAKDI, immunologiste et microbiologiste renommé, et le Dr A. BURKHARDT, pathologiste, ont résumé le rôle direct de la vaccination dans les morts observées(([5]  S. BHAKDI, A. BURKHARDT. On COVID Vaccines : why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination. 
https://doctors4covidethics.org/wp-content/uploads/2021/12/end-covax.pdf)). Les résultats d’autopsie montrent plus d’anomalies au niveau cardio-vasculaire que pour n’importe quel autre organe. L’élévation des marqueurs d’inflammation est corrélée avec les vaccins anti-COVID(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Et on pense que les morts soudaines observées parmi les athlètes pendant l’année 2021 depuis l’expansion de l’utilisation des vaccins anti-COVID est principalement dûe à une pathologie cardiaque ou cardiovasculaie sévère.

Deux entraineurs partageaient l’entraînement des athlètes-étudiants et avaient des relations franches et informelles avec leurs élèves. Ils ont ainsi pu connaître leurs réactions après vaccination, de même qu’ils ont pu facilement savoir qui était vacciné et qui ne l’était pas. Une stricte anonymisation des sportifs, de leurs parents et de leurs entraîneurs a été respectée pour éviter l’aspect émotionnel lié à la propagande faite pour la vaccination par les leaders politiques. Le choix des parents, quant à la vaccination de leur enfant, n’a pas été connu ni par les entraîneur ni par les auteurs de l’étude avant que celle-ci soit terminée.

Voici le rapport des entraîneurs obtenu rétrospectivement après leur observation des sujets vaccinés :

  1. Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau de performance antérieur à la vaccination. Tous ont été en dessous de leur niveau en 2020, selon les évaluations des deux entraîneurs.
  2. Aucun des sujets vaccinés ne peut soutenir le même exercice pendant la durée qu’ils toléraient pourtant avant la vaccination.
  3. Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  4. Après les injections de vaccin, la plupart sinon tous les vaccinés se plaignaient de l’une ou plus des réactions suivantes après vaccination :
    1. Douleur thoracique
    2. Sensation de vertige
    3. Voir des étoiles
    4. Se sentir près de s’évanouir
    5. Souffle court

Les jeunes sportifs parlaient à leur entraîneur spontanément et librement de ces symptômes.

  1. Les filles non-vaccinées étaient maintenant capables de battre les garçons vaccinés en compétition. Ceci est inattendu et considéré comme inhabituel par les entraîneurs.

1), 2), 3) et 5) sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination.

Par contre, les sportifs non-vaccinés n’ont eu aucun des symptômes ou déficit de leurs performances sportives ou de diminution de leur endurance, comme observé par les deux entraîneurs, et continuent à améliorer leurs performances et leur endurance, comme s’y attendaient les entraîneurs.

On peut s’attendre à ce que les athlètes aient une circulation sanguine plus efficace pendant un exercice que s’ils étaient sédentaires. Cette augmentation de la circulation a pour but de suppléer au besoin accru d’Oxygène du corps et à l’élévation d’activité métabolique que requiert cet exercice.

Augmenter le flux sanguin requiert une augmentation du débit cardiaque et une vasodilatation artérielle. La vasodilatation coronaire est contrôlé par des mécanismes autorégulateurs, de même que l’innervation neurologique vasculaire médiée par le système nerveux autonome et les hormones servent à ajuster vasodilatation et vasoconstriction, si c’est rendu nécessaire par une activité physique.

Les vaccins COVIDmRNA démarrent leur activité par la production de protéine Spike partout dans le corps. Les effets de cette protéine Spike sur les récepteurs ACE2 dans l’endothélium vasculaire sont une vasoconstriction. Le résultat peut être l’empêchement d’augmentation de flux sanguin et d’oxygène, au moment où la demande est la plus importante, pendant l’exercice. Les facteurs immunitaires et inflammatoires associés à la protéine Spike peuvent aussi affecter les cellules périvasculaires et périartérielles, aboutissant à une infiltration de lymphocytes T-CD8 et de lymphoctes NK(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Tout cela peut diminuer la vasodilatation coronaire.

De plus, les positions et les effets de la protéine Spike viennent compliquer le problème de l’apport de sang aux tissus coronaires et périphériques. Exsudant de la surface endothéliale, les protéines Spike sont arrimées sur les récepteurs ACE2. Ceux-ci sont suspectés d’affecter défavorablement un flux sanguin turbulent plutôt qu’un flux laminaire. Quand le sang stagnant s‘accumule, la cascade des réactions de coagulation démarre de façon ubiquitaire dans tout le corps. De tels micro-caillots s’épaississent et ralentissent le flux sanguin, ce qui va encore plus empêcher la livraison de sang et d’oxygène dans les lits capillaires du cœur et à la périphérie.

Donc, le flux sanguin coronaire peut être défavorablement affecté par une viscosité élevée, qui est aussi causée par une agrégation des globules rouges, provoquée par la protéine Spike par le biais d’une adhésion via la molécule CD 147. En résultat, le cœur se fatigue à pousser au travers des artérioles et des capillaires du corps un liquide plus visqueux que le sang normal.

Un tel mécanisme, décrit plus loin ici(([7]  C.Huber. Heart damage from the COVID vaccines : is it avoidable ? PDMJ 3 Jul 14 2021
https://pdmj.org/papers/myocarditis_paper)) crée un obstacle au passage optimal du sang, ce qui affectera nécessairement tous les receveurs de vaccins anti-COVID générateurs de protéines Spike. Nous devons donc recommander d’éviter l’utilisation de tout vaccin anti-COVID  pour tous les enfants ou jeunes adultes qui prévoient ou réalisent un engagement dans les exercices physiques.

Références




Effets secondaires des vaccins : les scientifiques allemands jettent plusieurs pavés dans la mare

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.

Les observations du généraliste Eric Freisleben

Ainsi, la Berliner Zeitung ou encore la télévision nationale ont dû rapporter ces jours-ci les observations d’un médecin berlinois très en vue, le généraliste Erich Freisleben. Un relai inhabituel étant donné que celui-ci s’est déclaré à maintes reprises contre toute obligation vaccinale, et avait publié en 2021 un livre réquisitoire : Medizin ohne Moral (Médecine sans morale).

En 35 ans d’exercice, Eric Freisleben déclare avoir vu, jusqu’en 2021, environ cinq cas d’effets secondaires graves des vaccins. Or, depuis 2021 et les injections anti-Covid, il a vu « 96 cas avérés » et a dû embaucher un autre médecin à son cabinet pour y faire face. Il explique 3 % de ces patients vaccinés sont en incapacité totale de travailler. Sur un échantillon de 60 patients vaccinés, les D-dimères sont anormalement élevés chez 40 % d’entre eux ; ce sont les signaux de micro-caillots diffus.

Il a également trouvé des « anticorps antagonistes », observés normalement sur environ 3 % des poches de sang, et seulement chez un malade grave ou chronique. Mais, sur les patients présentant des effets secondaires que voit désormais le médecin, « 90 % d’entre eux sont dans ce cas. » Ces récepteurs se trouvant dans le cœur, les yeux, les reins, cela expliquerait la diversité des symptômes. « Nous connaissons leur existence, mais pour combien de temps ces anticorps entraveront-ils le trajet des signaux, nous n’en savons rien encore. De tels incidents n’ont jamais été observés avec d’autres formes de vaccin », explique-t-il.

Déplorant la passivité des autorités et l’absence de toute recherche officielle sur les effets secondaires, Eric Freisleben expérimente actuellement un traitement à la cortisone, qui fonctionne relativement bien chez environ 70 % des blessés, car suppose-t-il, les injections auraient déclenché un processus inflammatoire massif et généralisé. Il relève également, chez 95 % des patients présentant des effets secondaires, un manque flagrant de « Memory-Tc cells », des cellules qui jouent un rôle essentiel dans l’immunité.

À l’instar de ce médecin généraliste, en amont du vote au Parlement qui a eu lieu jeudi 7 avril, d’autres scientifiques de renom ont donné de la voix.

Surmortalité post-vaccinale

55 scientifiques, dont 43 professeurs titulaires d’université, ont décidé de tirer groupés pour défendre le professeur Christof Kuhbandner.

Le 21 janvier 2022, Christof Kuhbandner, expert des techniques statistiques et de modélisation mathématique, avait publié en open source un article de 28 pages intitulé « La surmortalité grimpe en corrélation chronologique avec les vaccinations-COVID« . Il y concluait que « la courbe des décès en 2021, ainsi que celle de la surmortalité, réflètent avec un léger décalage dans le temps, presqu’exactement la courbe de la 1ère et 2ème dose des vaccins puis des rappels ». Cet article a déclenché un barrage hostile, notamment de la part de l’Institut Leibniz pour la recherche en économie, sur la rubrique de leur site : « La non-statistique du mois ». (Unstatistik des Monats: Impfquote und Übersterblichkeit, eine „Spurious Correlation“ = Taux de vaccinés et surmortalité – une corrélation fallacieuse).

Le 3 avril, les susnommés 55 scientifiques ont signé et publié une lettre ouverte argumentée, appelant au retrait immédiat de l’article de la rubrique « Unstatistik des Monats » :

« Nous nous agaçons de ce que la rubrique renommée Unstatistik des Monats puisse publier un texte aussi mal recherché et douteux de point de vue factuel, texte qui de surcroît et de manière flagrante désinforme le grand public au sujet d’un signal d’alarme qui existe et qui indique des effets secondaires possibles des injections anti-COVID. Ainsi, nous exigeons le retrait immédiat de ce texte et la publication d’une mise au point. Des publications aussi peu sérieuses entravent la bonne pratique scientifique en vue du développement de médicaments sûrs, ce qui – ainsi que le démontre l’histoire de la pharmacovigilance – met en danger la santé et la vie d’innombrables êtres humains et nourrit la défiance envers tous les vaccins dans la population. »

Le Paul-Ehrlich Institut en prend pour son grade

À la mi-mars, cinq professeurs titulaires de chimie à cinq universités différentes, en Suisse et en Allemagne, avaient cosigné plusieurs lettres au Paul-Ehrlich Institut (PEI, équivalent de l’ANSM), exigeant d’avoir accès aux données « sur le potentiel oncogène des injections à ARNm ». Ils demandaient aussi l’accès aux études validant l’utilisation des adjuvants des injections ALC-0159 et ALC-0350, des réponses précises sur le contrôle qualité des lots, ainsi que le détail des dispositifs officiels prévus pour le signalement des effets secondaires. Ces lettres pointent des manquements notables. Mais, n’ayant pas reçu de réponse satisfaisante dans les 15 jours fixés comme échéance, les professeurs ont fait publier l’une des lettres en précisant leurs exigences dans les journaux allemands.

Les dangers de la protéine Spike

De même, à la mi-mars et depuis son laboratoire de pathologie à Reutlingen, le médecin légiste Arne Burkhardt a envoyé une série de lettres au PEI, dans laquelle il expose les résultats actualisés des 40 autopsies qu’il a supervisées et appelle à un arrêt immédiat à la campagne de vaccination. Dans la lettre du 16 mars, désormais publique, il écrit notamment :

« Dans tous les tissus des organes étudiés, notamment le système vasculaire, le cœur et le cerveau des personnes subitement décédées en relation temporelle avec la vaccination contre le SARS-CoV-2 (dont la majorité ne prenaient aucun traitement et n’étaient pas hospitalisés), apparaissent des lésions correspondant à l’action de substances toxiques, accompagnées de réactions inflammatoires, témoin de lésions intravitales. Les résultats histologiques sont, dans leur combinaison, extrêmement inhabituels et dans certains cas jamais observés auparavant. […] Dans ces lésions et les zones inflammatoires autour des vaisseaux, il a été possible d’identifier nettement l’expression de la protéine Spike grâce à l’immunohistochimie, qui est particulièrement spécifique. Ainsi a-t-on pu démontrer que cela est provoqué par la vaccination plutôt que par une infection au virus SARS-CoV-2. »

Et le Pr Burkhardt conclut sa lettre au PEI ainsi :

« Pour ces motifs, nous vous demandons instamment, en ce qui concerne ces médicaments (appelés vaccins) basés sur l’ARNm ou pro-ARNm :

a.  Comirnaty
b.  Spikevax
c.  Vaxzevria
d.  Vaccin Covid-19 Janssen

1. le retrait immédiat desdits médicaments actuellement en circulation ;
2. la suspension immédiate des autorisations de leur mise sur le marché ;
3. la présentation au signataire de cette lettre avant le 18 mars 2022 d’une copie de vos décisions en la matière. »

Si la lettre est restée sans réponse, elle a toutefois été lue par des dizaines de milliers d’Allemands avant le vote sur l’obligation vaccinale.

Lire aussi : En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie

La BKK Pro Vita avait sonné l’alerte

Fin février 2022, Andreas Schöfbeck, alors président du conseil de BKK ProVita, l’une des caisses d’assurance maladie d’entreprise les plus importantes du pays, pulvérisait les rapports officiels en assurant dans une lettre que le nombre d’effets secondaires était sous-estimé d’un facteur 10.

Lire aussi : Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels

Début mars, Andreas Schöfbeck a été congédié, le jour même où il avait prévu sa rencontre avec le Paul-Ehrlich Institut.

Quelques semaines après qu’il a été remplacé, le mathématicien et analyste des données Tom Lausen a déposé une plainte visant le nouveau chef de la mutuelle BKK Pro Vita. Et ce devant une centaine de procureurs allemands.

Lire aussi : Obligation vaccinale en Allemagne: procureurs et magistrats accusent le coup avec force

Dans un premier temps, Tom Lausen avait écrit au PEI pour demander si la nouvelle direction du BKK avait transmis les données chiffrées dont faisait état Andreas Schöfbeck, et si le PEI veillait à ce que les associations de médecins conventionnés transmettent, elles aussi, les données de pharmacovigilance conformément à la loi. Le long silence qui s’ensuivit a incité le mathématicien à prendre un avocat. Puis, il a déposé plainte, car « il est tout à fait possible que la vaccination provoque des blessures que les vaccinés ne peuvent imaginer d’avance. Ce sont des délits potentiels. »




Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile

Par Nicole Delépine

ATTENTION ! NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTÉ

Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse, voire de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés !

Certains, de force pour continuer à gagner leur vie (personnel soignant, pompiers, etc. les MALGRÉ EUX), d’autres sous pression pour poursuivre un sport ou plus simplement pour se sentir « comme tout le monde » ne doutant pas de la bonne foi des médecins de plateaux (ignorant leurs liens étroits avec Big Pharma) ou de nos gouvernants, ne pouvant imaginer leur indifférence par rapport aux conséquences potentielles. D’importants effets toxiques ont été rapportés : des décès immédiats, mais aussi de nombreux problèmes cardiaques, des AVC, etc..

Nous insisterons ici sur les conséquences morbides sur les menstruations et l’érection, souvent tues.

Très tôt on a entendu des « rumeurs » sur les femmes et leurs règles, sujet tabou par excellence au moins chez les plus âgées ou très jeunes. Aussi lorsqu’une femme de 75 ans ménopausée depuis un quart de siècle, s’est remise à saigner, il est évident que les médecins ont nié tout lien de cause à effet, si même on a osé OSE (!) évoquer cette absurde hypothèse.. Les rumeurs ont enflé, car les complotistes sont terribles et veulent écouter les citoyens. Et quand des bébés au sein de leur mère vaccinée (éliminant de la protéine spike dans son lait probablement) ont présenté des saignements vaginaux, on a hurlé au délire.

Mais les observations s’accumulant, des citoyens ont pris en main le problème que les scientifiques ou soi disant tels ont refusé de voir. Une jeune femme Mélanie, prise dans le drame des troubles des règles constatant que des amies avaient aussi des soucis, a créé un groupe Instagram « où est mon cycle » (#ouestmoncycle) qui a rapidement gonflé.

Une audition de la créatrice du compte Instagram dédié à cet effet secondaire, de maître Diane Protat (qui défend les hôtesses de l’air et les pilotes contraints à la vaccination) et du docteur Laurence Kayser a été réalisée au parlement européen en présence d’une députée européenne Virginie Joron, qui tente d’obtenir une commission d’enquête sur les possibles effets délétères des « vaccins ». Mais même cela est quasiment blasphématoire.

Table ronde sur les effets de secondaires qui seraient liés aux vaccins Covid !

Prenez le temps d’écouter cette table ronde qui décrit bien les troubles ressentis par de nombreuses victimes de l’expérimentation, des jeunes femmes qui ne peuvent plus dormir tant elles doivent se changer devant l’importance des saignements, ou pire ne peuvent plus sortir de la douche. La gynécologue belge témoigne de la grande difficulté de soigner certaines de ses patientes pour lesquelles les traitements classiques ne marchent pas et dont certaines sont obligées de passer à l’hystérectomie pour cesser de souffrir le martyre et de saigner.

Si la femme a déjà trois enfants, ce n’est que moindre mal encore que l’hystérectomie ne soit pas une opération anodine. Mais quid de la femme qui voulait faire des FIV pour lesquelles on lui a imposé le vax et qui a présenté ces saignements majeurs aboutissant à une ablation de son utérus. Vaccinée pour bénéficier de la chance de procréer et se retrouver sans utérus… Acceptable ?

Et ces gamines de treize ans réglées régulièrement qui voient leurs règles disparaître ou au contraire se retrouvent comme leurs aînées devant des saignements les coinçant à la maison plusieurs jours de suite. Tout ça pour quoi alors que cette injection n’a aucun intérêt à leur âge et ne protège personne de la contamination. Que les mamans soient inquiètes de leur fertilité à long terme est logique et personne ne peut leur répondre. ET NE FAITES PAS « VACCINER » VOS ENFANTS !

Témoignez auprès de Mélanie ou d’une des autres intervenantes. Le tabou doit être levé.

Quant aux hommes devenus impuissants après une ou deux injections, qu’ils osent parler même si c’est encore plus difficile que pour la gent féminine !

et Maître Protat devant le sénat où l’audience n’est malheureusement pas publique.

Maître Diane Protat 137 000 effets indésirables :

Vidéo : Me Diane Protat s’exprime suite à l’audition de l’OPECST du Sénat — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Des radiologues s’étonnent de la fréquence des examens des testicules demandés chez leurs patients depuis la vaccination. Thromboses multiples sont découvertes….

Il faut faire cesser ces injections à haut risque dans divers domaines (les cardiopathies chez les jeunes, etc..) exiger des enquêtes parlementaires et dans cette attente imposer un moratoire.

Bientôt le temps d’un vote national puis de législatives. Les candidats doivent se positionner clairement sur ce sujet majeur pour l’avenir de nos enfants et de l’humanité.

TÉMOIGNAGES REÇUS À LA SUITE DE LA PARUTION DE L’ARTICLE DANS RL

Covid : Injections responsables de troubles menstruels et d’impuissance — Riposte Laique, mais aussi cet article sur internet :

Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, « l’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi » (anguillesousroche.com)

« J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines », raconte Julie.

Pour Julie, l’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin.

« L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant », fait remarquer Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, qui ajoute prudemment « maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus… »

La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle », qui a été auditionnée lundi au Parlement européen et qui sera entendu mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat.

UN TÉMOIGNAGE D’UN CABINET MÉDICAL DE GÉNÉRALISTES

« Une jeune patiente de 19 ans, en pleine santé, jamais de soucis de règles, a fait 2 doses de Pfizer pour pouvoir prendre le train des vacances l’été 2021. Aménorrhée de 6 semaines puis ménorragies continues après la 2e dose pendant plus de 3 mois entraînant une anémie, une asthénie majeure. Découverte d’un adénome hypophysaire et d’une hyperprolactinémie.

Sa gynéco affirme qu’elle voyait depuis quelques mois — après vaccination — une quantité de jeunes femmes présentant de tels troubles menstruels similaires avec d’immenses difficultés à faire remonter et accepter par la pharmacovigilance.

Aucun traitement efficace sur ces troubles (ni progestérone, ni pilule, ni Spotof)

Quel avenir pour la fertilité de cette jeune femme ?

Un collègue médecin généraliste m’a fait part de sa colère : une de ses patientes en PMA de 35 ans qui avait une bonne réserve folliculaire en février 2021 s’est retrouvée ménopausée (plus aucun follicule dans les ovaires à l’écho) dans les suites immédiates de la vaccination en juin 2021.

Une de mes patientes, enceinte de 7 mois, s’est fait vacciner sur les conseils de sa gynécologue. Résultat, myalgies, asthénie, toux, douleurs abdominales. Accouchement Ok mais covid périnatal pour la mère et l’enfant retrouvés en soins intensifs tous les deux.

Le bébé à un mois de vie présentait des marbrures généralisées anormales inquiétantes et un petit poids de naissance.

La filleule d’un ami vaccinée en juin, enceinte en juillet de son premier enfant a dû faire une interruption thérapeutique de grossesse en septembre à 14 SA pour anencéphalie du fœtus et graves malformations (alors que le taux de folates était parfaitement normal chez cette jeune femme en pleine santé de corpulence normale)

Un de mes patients travaillant aux pompes funèbres de notre secteur — qui souhaite rester anonyme- a témoigné auprès de moi, car il était choqué : Il a géré un bébé mort-né entre janvier et juin, et curieusement 8 mort-nés presque à terme de la grossesse entre juin et septembre 2021… Du jamais vu dans toute sa carrière ! Il constatait également une augmentation de 30 % des décès de personnes entre 45 et 60 ans l’été 2021… Du jamais vu non plus.

Ces signaux sont très alarmants, sachant qu’un cabinet médical est un échantillon représentatif de la population générale… »

ET MÊME UNE RÉACTION DE HANOUKA SUR TMTP

Cyril Hanouna consterné de voir Éloïse, 32 ans, victime du vaccin : « C’est inadmissible, elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! » (lemediaen442.fr)

Quelles seront les conséquences sur l’ensemble de la population de ces injections imposées par la pub ou les institutions et l’autoritarisme du président en poste ? Qui va évaluer leurs responsabilités pour avoir fait croire avec les médias aux ordres à l’innocuité des vax et à leur efficacité ?

Trop de malheurs engendrés. Il faut que cela cesse et il faut changer de gouvernance !

ET POURQUOI L’ENSEMBLE DES CANDIDATS N’ONT-ILS PAS PROFITE DE LEURS SPOTS TV POUR DEMANDER L’INTERRUPTION DE CES INJECTIONS DANGEREUSES ET INUTILES ?

ATTENTION L’OBLIGATION VACCINALE EST ENCORE DANS LES TUYAUX DE L’UE
ET LES COMMANDES DE VAX SE MULTIPLIENT À NOUVEAU

https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/13375-extension-of-the-regulation-about-the-digital — certificat-COVID-de

NOUS DEVONS RECONQUERIR NOTRE INDEPENDANCE ET FAIRE STOPPER DE TOUTE URGENCE CES INJECTIONS EXPERIMENTALES




15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »

[Source : echelledejacob]



« Cette semaine, 15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami “pour des raisons de santé” — des athlètes ont quitté le terrain en larmes pendant le match en raison de symptômes douloureux soudains dans la région du cœur et des poumons ou ont refusé de poursuivre les duels sur les conseils des médecins qui les surveillaient…

Un événement tout à fait fortuit et qui n’a rien à voir avec le fait que tous ces athlètes sont triplement vaccinés, et que la protéine Spike, qui entraîne des changements dans les tissus musculaires cardiaques, a des effets tangibles sur les personnes ayant une activité physique accrue (ces mêmes athlètes !) en premier lieu… »


[Source : thelibertydaily.com]

Personne ne montre l’évidence. Tous les joueurs doivent être « entièrement vaccinés » pour pouvoir concourir. Comme nous le faisons remarquer depuis plusieurs mois, la plupart des grands sportifs sont frappés par des problèmes médicaux « inexplicables » qui apparaissent chez des athlètes jeunes et en bonne santé, et nous avons notamment signalé la chute de trois cyclistes au cours du seul mois de mars.

Les amis, c’est le coup monté. Il n’y a pas d’autre possibilité viable, surtout si l’on considère que même le CDC et d’autres agences ont reconnu que les « vaccins » Covid provoquent une augmentation des problèmes cardiaques chez les jeunes, notamment des myocardites, des péricardites et des crises cardiaques.

Il n’y a jamais eu autant de manipulation et de propagande visant à dissimuler la vérité que pour ces injections. Les dirigeants de tout le pays et du monde entier ont tellement investi dans les vaccins que l’on peut se demander qui tire les ficelles. Une partie de ces pressions est personnelle : tout politicien qui dévoile la vérité sur les vaccins sera évincé de son poste plus rapidement que la sortie de Will Smith du club des élites d’Hollywood. Il en va de même pour les journalistes. Les médias d’entreprise sont tout aussi investis et peut-être même plus complices de la diffusion des mensonges.

Mais cela pourrait être pire. Comme pour beaucoup de choses dont nous avons été témoins ces trois dernières années, il semble qu’il y ait un effort coordonné pour supprimer la vérité. Le théâtre de la panique pandémique est toujours en action, malgré l’impulsion bizarre donnée en février par les démocrates pour lever la plupart des obligations en matière de masques et de vaccins. On parle déjà des 5e et 6e vaccins, alors que le 4e vaccin est en cours de déploiement aux États-Unis.

Tout cela fait-il partie du programme de la Grande Réinitialisation ? S’agit-il de contrôle ? De dépeuplement ? La réponse à ces trois questions est très probablement « Oui ».

Ces injections sont dangereuses. Des athlètes du monde entier tombent. Les gens ordinaires subissent d’horribles réactions indésirables. Des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes en meurent. Cela pourrait même être des millions ; les données sont tellement dissimulées. Pendant ce temps, les politiciens et les médias d’entreprise font semblant de ne rien voir, comme s’il n’y avait rien.





Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre en France et dans le monde. Nous avons recensé une dizaine d’études documentant un possible lien avec le vaccin, mais celui-ci est formellement réfuté par l’ANSM. La précipitation de l’État à écarter cette hypothèse l’expose-t-elle demain à un nouveau scandale sanitaire ?

Le 15 octobre 2021, la France entière découvrait sur CNews l’histoire de Mauricette Doyer, cette femme de 72 ans ayant déclaré une forme atypique de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) 15 jours après sa deuxième injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Depuis la diffusion de son témoignage, son mari ne cesse d’alerter les autorités sanitaires et de recevoir des messages de proches de personnes vaccinées (une quarantaine à ce jour) relatant strictement le même récit, caractérisé par les mêmes symptômes et la même chronologie.

Ce lien entre les vaccins à ARN messager et la survenue d’une maladie à prions est-il suffisamment plausible pour être pris en compte par les autorités sanitaires ? Le ministère de la Santé a-t-il, à défaut de respecter le principe de précaution qui prévaudrait ici, agi conformément à ce qu’exigerait l’éthique ou plus prosaïquement la loi au regard de la spécificité de cette maladie à déclaration obligatoire ? C’est ce que nous avons cherché à comprendre.

La réponse du corps médical : écoute-t-on les bonnes personnes ?

À défaut de l’être par les autorités de santé (Olivier Véran n’a jamais pris la peine de contacter Marc Doyer, malgré son engagement à le faire), la situation particulière de Mauricette Doyer a interpellé le Pr Luc Montagnier, biologiste virologue, prix Nobel de médecine en 2008, qui alerte depuis des mois sur un possible lien entre les injections d’ARN messager (ARNm) et le déclenchement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob :

« Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million. Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer. C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent. On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins, mais il faut quand même regarder cette hypothèse. Parce que le seul facteur commun entre ces personnes, c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin. »

Sud Radio, 17 novembre 2021

[Note de Joseph :
De nombreux articles indiquent la présence de graphène et d’éléments métalliques divers dans les vaxins.
Et l’article Explication de la maladie de la vache folle suggère la véritable cause probable de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et de celle de la Vache folle. Il s’agirait de la conjugaison de certains métaux (comme le manganèse), de facteurs oxydants (chimiques — provenant par exemple de pesticides —, mais aussi électromagnétiques — UV, radars, micro-ondes de smartphones et autres, etc.)]

Le Pr Luc Montagnier faisait état en décembre 2021 de 21 décès survenus sur le territoire national post injection [1]. Peu avant son décès, il évoquait 40 cas suspects. Sans accuser formellement les vaccins, il questionne, car il n’est pas possible de fermer les yeux aujourd’hui. La responsabilité du vaccin dans la survenue de ces cas peut-elle être pour autant établie à ce stade ? Le cas échéant, s’agit-il d’un effet secondaire connu des vaccins ?

« Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial »

Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude ancienne directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et accessoirement l’une des plus grandes spécialistes de l’ARN messager, on ne peut pas parler d’« effet connu » compte tenu de l’incidence extrêmement faible de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais la proximité de survenue de ces cas avec les injections est a minima inquiétante.

Interrogée par Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie, elle évoque un « pic d’intérêt » sur Internet (Google Trends) pour cette maladie rarissime, le dernier – de bien moindre amplitude – ayant été observé en 2016, ce qui l’amène à conclure que le cas de Mauricette n’est sans doute pas un cas isolé : « Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial, le dernier pic étant daté du 19 octobre 2021. »

Au Canada, les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont en effet annoncé l’ouverture d’une enquête sur une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées. Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ?

Un faisceau d’indices en faveur d’un possible lien

C’est sans doute prématuré pour le dire, la presse évoque au contraire la piste d’un élevage de homards et l’utilisation d’un produit phytosanitaire. Dans le cas de Mauricette, ce lien a été établi a minima par son médecin traitant qui mettra un mois et demi avant de déclarer son cas à la pharmacovigilance comme cas suspect de maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle dénombre dans sa patientèle une seconde personne vaccinée ayant développé un tableau clinique similaire, également à proximité de l’injection.

La neurologue C. Moret Chalmin qui a étudié une dizaine de ces cas, dont celui de Mauricette exclut tout concours de circonstances au regard de la similarité des tableaux cliniques (démence, dyspraxie, mutisme akynétique), de la parfaite superposition de leur courbe d’évolution temporelle et de l’impossibilité d’expliquer statistiquement un tel nombre de cas, dont certains ont également été détectés en Suisse et en Belgique.

Que répondent les autorités sanitaires et le corps médical ?

En marge des explications psychologisantes avancées par plusieurs médecins dans les médias, évoquant systématiquement la tentation de « rechercher un coupable » (S. Haïk), et donc d’incriminer le vaccin face à une maladie rarissime et « extrêmement mystérieuse » dont « on ne connaît pas encore bien le mécanisme », les hypothèses émises par le corps médical s’orientent systématiquement vers un diagnostic d’exclusion a priori du rôle du vaccin : « Elle l’avait en elle, elle l’a déclenchée lors de la vaccination » ; « On ne sait pas, on verra s’il y a une explosion des cas ». Que sait-on des enquêtes de pharmacovigilance conduites en France et de l’incidence de la maladie ?

 Le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires 

Épidémiologie de la maladie : est-il trop tôt pour s’inquiéter ?

Un article paru dans Libération le 31 janvier 2022 prétend faire le point sur cette question. Concernant l’incidence de la maladie, les données épidémiologiques françaises ne confirmeraient pas « pour le moment » le signal évoqué par Marc Doyer : : « Les spécialistes interrogés par CheckNews assurent que les délais d’apparition de cette maladie rendent impossible tout lien avec la vaccination », explique Libération en introduction de l’article.

Plus de cas suspects relevés en quelques semaines qu’en 27 ans

Interrogé par le journaliste de Libération, Jean-Philippe Brandel, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et coordinateur de la Cellule nationale d’aide à la prise en charge des maladies de Creutzfeldt-Jakob, explique qu’aucune augmentation de l’incidence de cas suspects ou avérés n’a été enregistrée en 2020 et 2021 au sein du Réseau national de surveillance de la MCJ, dont le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires.

Il rappelle également que l’incidence de la maladie est particulièrement stable, en moyenne de 150 cas par an, selon la forme de la maladie :

  • sporadique (de survenue aléatoire) : en moyenne 100 cas/an en France ;
  • héréditaire (familiale ou génétique) : en moyenne 8 à 10 cas/an en France ;
  • acquise (par contamination), avec deux formes spécifiques : les MCJ iatrogéniques (112 cas recensés en France entre 1992 et 2004) et la variante de la MCJ (vMCJ, 28 cas diagnostiqués entre 1992 et 2019 en France, 200 dans le monde depuis 1995), dont la plus connue est l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), à l’origine de la maladie dite « de la vache folle ».

Aucune inquiétude donc pour le moment, mais une vigilance : « Il y a une surveillance active qui est en place, et l’on va continuer à surveiller de près si l’on y voit une augmentation significative du nombre de suspicions. Mais pour le moment, ça n’est pas le cas », précise dans le même article le Dr Stéphane Haïk, neurologue responsable de l’équipe Maladie d’Alzheimer-Maladies à prions au sein de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) et coordonnateur du Centre national de référence des prions.

Et si ce n’était pas le hasard ?

Cette inquiétude serait en effet majeure si le vaccin pouvait être à l’origine des cas cités par Marc Doyer, qui évoquait récemment une incidence anormale de la maladie en Israël, pointée par un professeur du département de Neurologie de l’université de Tel-Aviv. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier cette information, les autorités sanitaires ont-elles cherché à le faire ?

Le ministre des Solidarités et de la Santé est en tout cas formel. Il a récemment menacé en plein hémicycle une ancienne députée de la majorité, médecin, de poursuites pénales pour avoir suggéré une possible implication du vaccin dans la survenue de ces cas, qu’il qualifie de « délire complotiste » auquel il oppose le « fait scientifique » :

« Délires complotistes » sur les vaccins : « Les mandats s’arrêtent un jour et ceux qui continuent à tenir ces propos là seront susceptibles d’en rendre compte devant la justice… je le dis pour madame @MartineWonner », rappelle @olivierveran. #DirectAN #Covid19 pic.twitter.com/mSCv6Zbh9M

LCP (@LCP) February 24, 2022

Elle le serait d’autant plus si ces cas avaient pu échapper aux radars de la surveillance épidémiologique en raison de leur atypicité et de l’incrédulité des médecins dénoncée par un nombre inquiétant de personnes ayant déclaré un événement indésirable à proximité des injections. Omerta, tabou… ce sont les termes qui reviennent dans de nombreux témoignages pour décrire le refus du corps médical d’envisager l’hypothèse d’un possible lien avec le vaccin, à l’instar de celui de l’épouse de Jean-Pierre Pernaut dont les médecins ne parviennent pas à expliquer les 4 accidents vasculaires cérébraux (AVC) consécutifs à l’injection de sa 3e dose, mais qui ont une seule certitude qui les empêche de procéder à des investigations plus poussées : ça ne peut pas être le vaccin.

« On ne remet pas en cause la vaccination »

Peut-on douter du manque de sincérité ou de lucidité du corps médical, et donc de l’exhaustivité des cas déclarés dans les bases de pharmacovigilance ? C’est ce que suggère en tout cas le Dr Amine Umlil, pharmacien et juriste en droit de la santé, responsable du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) de Cholet, qui alerte depuis plusieurs mois sur la défaillance et les entorses au droit de la pharmacovigilance dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination.

Il motivait en ces termes sa démission du Comité scientifique permanent de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM), intervenue en novembre 2021, dénonçant un «  tabou bien intériorisé  » : « On ne remet pas en cause la vaccination. »

Sans pour autant reprendre cette hypothèse, que sait-on de l’intégrité des enquêtes de pharmacovigilance évoquées par le Pr Adnet lors de l’émission Touche pas à mon poste du 21 janvier 2022 (74’) et le Dr Martin Blachier qui martèle à chacune de ses interventions médiatiques que l’ANSM enquête sur l’ensemble des cas, comme ici à l’antenne de CNews le 15 octobre 2021 : « Dès qu’il y a un signalement sur quelque chose de très rare, ils investiguent, ils recherchent. »

L’Agence européenne des médicaments qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020

Exclusion du rôle du vaccin : sur quelles bases s’est fondée l’ANSM ?

L’ANSM recense sur son site 6 cas de suspicion de MCJ déclarés après une vaccination, dont 4 avec le vaccin Comirnaty (Pfizer-BioNTech), 1 avec Spikevax (Moderna) et 1 avec Vaxzevria (AstraZeneca). Or l’Agence précise de manière contradictoire que « ces cas ont fait l’objet d’une analyse approfondie par les CRPV » mais que « s’agissant d’une pathologie d’évolution très lente, le comité de suivi considère que le court délai de survenue ne permet pas de retenir le rôle des vaccins contre la COVID-19 dans la survenue de ces cas », tout en rappelant que « les suspicions de MCJ sont des maladies à déclaration obligatoire [pour lesquelles] le diagnostic est complexe et long ».

Un risque théorique mais jugé minime par l’Agence européenne des médicaments

Au-delà de cette étrange contorsion rhétorique, deux éléments interrogent quant à l’arbitrage de l’ANSM et à la communication qu’elle organise sur son site, à destination du grand public dont elle pourtant garante de l’information loyale sur laquelle se fonde légalement l’exercice du consentement libre et éclairé sanctifié par le Code de la santé publique (articles L. 1111-4 et R. 4127-36, CSP) :

l’Agence européenne des médicaments (European Medical Agency, EMA) qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020 : « La Protéinase K utilisée dans la fabrication de DS et bouillon LB utilisé dans l’établissement du pST4-1525 MCB et WCB sont les seuls matériaux d’origine animale utilisés dans la fabrication du BNT162b2. Le demandeur a identifié une contamination du produit par des agents de l’encéphalopathie spongiforme transmissible (EST) [maladie à prion] comme principal risque théorique associé à ces ingrédients, jugé minime » ;
les enfants de Mauricette Doyer ont fini par obtenir des autorités sanitaires une exemption de vaccination en raison d’un possible terrain familial pouvant favoriser le déclenchement de la maladie. L’État admet donc tacitement que le lien ne peut être à ce stade formellement exclu.

Le principe de précaution a-t-il été respecté ?

Pourquoi, au vu de ces éléments, l’ANSM a-t-elle choisi de poser aussi rapidement un diagnostic d’exclusion plutôt que de signaler l’existence d’un lien possible entre ces cas de MCJ et le vaccin – et donc d’un risque, fût-il exceptionnel –, ou de se contenter d’indiquer qu’une enquête est en cours ?

Les bonnes pratiques de communication sur la sécurité d’emploi des médicaments, décrites dans le chapitre 7 du Guide de bonnes pratiques de pharmacovigilance de février 2018, édité par l’ANSM indiquent en effet clairement que « la communication sur la sécurité d’emploi de médicaments » doit être « claire et adaptée aux destinataires afin de répondre à leurs attentes », « présentée de manière objective et non trompeuse », « présente[r] toujours le risque en perspective du bénéfice attendu » et « fai[re] état des éventuelles incertitudes ».

Le Code de la santé publique précise de son côté que toute personne a le droit d’être informée sur « les risques fréquents ou graves normalement prévisibles » que comportent « les traitements ou actions de prévention qui [leur] sont proposés » (art. L. 1111-2), y compris les risques exceptionnels, comme l’a rappelé le Conseil d’État (décision no 181899, séance du 10 décembre 1999). Ce cadre est-il aujourd’hui respecté ?

Il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là.

Luc Montagnier

L’exclusion du vaccin s’est faite sur un seul critère : le délai d’apparition de la maladie

L’article de Libération apporte un éclairage plus précis sur le motif d’exclusion par l’ANSM du rôle des vaccins dans la survenue de ces cas : « Lorsque la maladie apparaît quelques semaines ou quelques mois après une vaccination, il est impossible en l’état actuel des connaissances que ce soit lié à la transmission d’un prion ou à l’injection d’une molécule qui induirait une conformation anormale de la protéine prion. » (S. Haïk)

Pour la forme acquise de la maladie, le délai d’apparition varierait de 1 an minimum en cas de contamination infectieuse jusqu’à 10 à 15 ans en cas de contamination iatrogénique. Les délais seraient selon eux beaucoup plus longs si un composant du vaccin avait déclenché une anomalie sur une protéine prion. Quant à l’accélération du développement d’une maladie sous-jacente, évoquée par certains médecins, elle ne serait suggérée par aucune donnée selon les neurologues interrogés par Libération.

Restent donc deux hypothèses pour expliquer la survenue de ces cas :

  • un concours de circonstances orientant le diagnostic vers la forme sporadique de la maladie (la plus commune), ce qui serait cohérent avec la « banalité » de leur incidence. Mais elle paraît de fait exclue en raison de la similarité des cas et de leur déclenchement systématique deux semaines après une injection ;
  • une contamination induite par les vaccins ou l’un de ses composants. Cette hypothèse ne peut être écartée d’un revers de la main puisqu’une telle contamination a été constatée par Pfizer lui-même sur l’un de ses sites de productions et recensée par l’EMA

Voici l’analyse que le Pr Luc Montagnier faisait de son côté de la situation commentée par les neurologues de la Pité-Salpêtrière, sur la base des mêmes éléments :

« C’est une maladie qui normalement arrive lentement mais sûrement et qui détruit les cellules du cerveau. Le temps travaille contre la personne qui reçoit. Plus on reçoit du vaccin, plus on fait une partie de la protéine qui est appelée “prion” car elle est capable de changer de forme, s’aplatir et de faire des agrégats insolubles et de tuer ainsi les cellules du cerveau. C’est une maladie très rare normalement, mais là nous avons déjà 8 cas signalés par des médecins neurologues. Plus on injecte, plus le risque augmente, car il est possible que ces prions se forment, c’est-à-dire s’aplatissent, quand ils sont en très grande quantité. Alors il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là. Donc j’informe les médecins qui injectent le Pfizer qu’ils risquent d’induire les maladies de Creutzfeldt-Jakob. »

Radio Courtoisie, 9 décembre 2021

Aucune cause alternative n’est avancée par l’ANSM

Revenons à l’enquête de pharmacovigilance. Selon l’ANSM, la fulgurance du développement de la maladie exclut formellement qu’elle puisse avoir été provoquée par les injections, mais les enquêtes se poursuivent en attendant qu’un diagnostic soit établi.

[…]

L’ANSM ne sait pas, donc elle exclut formellement le rôle du vaccin

C’est donc l’incapacité du corps médical à expliquer, à partir des données actuelles de la science, la manière dont le vaccin pourrait induire ces cas (suspects ou avérés) de maladie de Creutzfeldt-Jakob qui les conduit à réfuter cette hypothèse. Cette limite constitue-t-elle une objection suffisante dans le contexte d’une technologie vaccinale inédite ? Sur quelles données sémiologiques se sont basés les enquêteurs de l’ANSM pour exclure le vaccin ? Ont-ils pris en compte l’ensemble des études décrivant le mécanisme d’action des vaccins ou uniquement la documentation commerciale fournie par les laboratoires ?

La méthode d’imputabilité médicamenteuse inclut en effet la prise en compte des critères bibliographiques, c’est-à-dire le fait que cet événement indésirable soit ou non décrit dans la littérature. Or les preuves dont on dispose aujourd’hui sont à ce point accablantes qu’elles laissent penser que ce n’est pas le cas.

Les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau

Mécanisme d’action des injections : les scientifiques alertent depuis plus d’un an sur ce risque

La science a progressé depuis les premiers communiqués des laboratoires et l’octroi de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Un consensus domine désormais au sein de la communauté scientifique [3-14] concernant la toxicité intrinsèque de la protéine Spike et sa capacité à provoquer à elle seule tous les signes cliniques de forme sévère du COVID-19.

Toxicité des nanoparticules lipides

L’ARNm injecté dans le corps est un ARNm synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), l’ALC-0159 (polyéthylène glycol, PEG) et l’ALC-0315, hautement inflammatoires [15-19]. Le PDG de Moderna évoquait déjà lui-même en 2016 le problème de la toxicité des nanoparticules lipidiques : « Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

Dans un article daté du 10 mars 2021, le British Medical Journal (BMJ) relatait également des inquiétudes formulées par des spécialistes dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique concernant la biodistribution de ces LNP : « Il est essentiel d’avoir des informations plus spécifiques pour savoir précisément où les nanoparticules liposomales vont après l’injection. » [20, 21] Que nous apprend la littérature sur cette question ?

Perturbation de la barrière hématoencéphalique

On sait aujourd’hui [15, 16, 22-28] que les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais qu’ils circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau. Les autorités sanitaires peuvent-elles décemment l’ignorer ?

Le rapport d’évaluation de l’EMA l’a confirmé pour le vaccin Moderna : « De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique). » [29, p. 47]

Ce risque est également évoqué par l’Agence concernant le vaccin Pfizer : « Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. » [30, p. 54]

Cet ARNm a pour objectif de faire produire massivement (l’équivalent de 6 750 L de fluide nasal infecté pour le vaccin Pfizer, de 23 m3 pour le vaccin Moderna [11, 31]) par les cellules de l’organisme des protéines de pointe (Spike) elles-mêmes circulantes, dont le caractère pathogène et hautement inflammatoire est aujourd’hui démontré [9, 11, 15, 32].

Des études récentes montrent plus spécifiquement que la perturbation de la barrière hématoencéphalique (BHE) par la protéine Spike [15, 33-35] est alors susceptible d’induire l’apparition de neuropathies, d’inflammations du système nerveux central (polyradiculonévrites notamment) et de maladies neurodégénératives [15, 33-45], dont plus spécifiquement des maladies à prions invalidantes [15, 33–34, 38-46].

Selon une étude, les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type “prion” susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob

Identification d’une région de type « prion » dans la protéine Spike

Ce mécanisme d’action permet-il d’expliquer la survenue de ces cas dans des délais aussi rapides que ceux relatés par les proches des personnes vaccinées, compte tenu notamment de la réitération des injections et des quantités astronomiques d’ARNm contenu dans chaque dose ?

La chercheuse Stefanie Seneff (Massachusetts Institute of Technology) alerte pour sa part depuis plusieurs mois sur ce risque associé aux vaccins ARNm qu’elle estime majeur en raison de la nature de la protéine Spike : « Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence, il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion », expliquait-elle déjà en juillet 2021 [15] en se basant sur les travaux de plusieurs chercheurs [40].

Ce risque est aujourd’hui confirmé par une nouvelle étude, cosignée par le mathématicien J.-C. Perez, V. Lounas et le Pr L. Montagnier, selon laquelle les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type « prion » susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob [46] :

« L’ARN messager permet la traduction de son message dans le corps tout entier sans le corps. Personne ne peut dire pour chacun d’entre nous où vont aller ces messages. C’est une inconnue terrible. Et on apprend maintenant, en fait c’est un travail qui a été publié depuis plus d’un an, que ces messages contiennent une région qu’on peut appeler “prion”, qui est une région capable d’induire des modifications de protéines dans notre corps d’une façon imprévisible. »

L. Montagnier, Parlement luxembourgeois, France, 12 janvier 2022 [1, 13’30”]

[…]

Quantité et qualité de l’ARN messager

Indépendamment du mécanisme d’action des vaccins ARNm, à mille lieues de celui décrit dans la documentation commerciale (reprise ici dans la rubrique « Les Décodeurs » du journal Le Monde) et d’une possible source de contamination par du matériel d’origine animale utilisé signalée par l’EMA, la présence dans le sérum injecté d’« espèces fragmentées » d’ARN, donc d’ARN de mauvaise qualité pourrait induire l’apparition de maladies auto-immunes, notamment à prions s’ils étaient reproduits et qu’une instruction aberrante était envoyée aux cellules [11]. La généticienne A. Henrion-Caude a elle-même alerté à de nombreuses reprises sur ce risque.

[…]

Une étude publiée dans la revue Nature le 22 novembre 2021 relate la détection d’un nouveau type d’impureté dans la préparation des ARNm vaccinaux. Les chercheurs [54] ont identifié une réaction chimique, invisible par les techniques d’analyse d’intégrité habituellement utilisées par les laboratoires pharmaceutiques, qui conduit à des ARNm « impropres à la consommation », incapables de produire des protéines Spike correctes.

[…]

Personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire.

Persistance de la protéine Spike dans l’organisme

Ces inquiétudes sont renforcées par la persistance de deux inconnues majeures.

1/ Pendant combien de temps l’ARN va-t-il envoyer des instructions au corps pour qu’il fabrique la protéine Spike ? Pour S. Seneff, « Il n’existe bien sûr pas de réponses à cette question. Les laboratoires eux-mêmes n’ont pas la réponse » [34]. Même inquiétude du côté de ce professeur d’immunopathologie qui s’étonne de la présence de deux « codons-stops » sur la partie codante qui permet la production de la Spike censée reproduire la pointe du virus [11].

2/ Pendant combien de temps la protéine Spike va-t-elle persister dans l’organisme ? On ne le sait pas précisément, mais une étude anglaise [55] a montré que des fragments de la protéine Spike étaient détectables dans le plasma jusqu’à 29 jours après la première injection. Une seconde étude plus récente [56] a montré qu’elle était retrouvée dans les cellules au moins quatre mois après la 2e injection.

Tout ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que l’ARN messager a été modifié afin de pénétrer dans l’ensemble des cellules et assurer la synthèse de nombreuses copies de la protéine de pointe.

Nous sommes donc en présence d’un vaccin reposant sur la manipulation génétique d’un ARN naturel [57] dont « le but est de garantir qu’on ne peut pas s’en débarrasser » [15] contrairement à ce qui est observé dans le vivant [11] : « “Normalement, un ARN messager est utilisé une fois et éliminé”Avec ces injections d’ARNm par Pfizer et Moderna, l’ARN messager est “utilisé maintes et maintes fois… encore et reste dans les cellules pendant [très] longtemps” », explique le Dr P. McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires, vice chief of medicine à l’université Baylor du Texas, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America.

En d’autres termes, personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire, ni même ce qu’on injecte réellement aux personnes vaccinées puisque 20 % de la composition des vaccins est protégée par le secret de fabrication et que Pfizer, soutenu dans cette démarche par la FDA refuse de rendre cette information disponible, le laboratoire ayant récemment invoqué la loi sur les secrets commerciaux (Trade Secrets Act) pour demander l’octroi à la justice d’un sursis de 75 ans.

Les personnes ayant déclaré la maladie de Creutzfeld-Jakob sont-elles la confirmation qu’il est urgent de s’inquiéter des conséquences de ces injections ou doit-on s’enfouir la tête dans le sable pour sauver le vaccin, quoi qu’il en coûte aux personnes qui ont choisi de faire aveuglément confiance au Gouvernement ?

Si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable

Les autorités sanitaires ont choisi : sacrifier les Français plutôt que le vaccin

La littérature concernant le risque associé aux vaccins ARN messager de déclencher, à court ou moyen terme, une maladie de Creutzfeldt-Jakob est aujourd’hui abondante. Il ne s’agit certes à ce stade que d’un risque, mais celui est susceptible d’être majoré par la réitération des injections.

Ces études ont-elles été prises en compte par l’ANSM ? Probablement pas. Comme ne l’ont probablement pas été les récits de pathologistes (ici le Dr R. Cole, cité par le Dr R. Malone, co-inventeur de la technologie des vaccins ARNm) disant avoir pu observer, chez des personnes vaccinées déclarant brutalement un cancer après leur vaccination, des cellules cancéreuses d’une taille qu’il n’avait encore jamais rencontrée se multiplier sous leurs yeux lorsqu’ils les étudiaient au microscope. Même fulgurance glaçante.

Or cette exclusion a priori du rôle possible du vaccin dans la survenue des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob au seul titre de la fulgurance de leur forme, est éminemment problématique puisqu’elle corrompt l’intégrité de la pharmacovigilance et conduit à biaiser l’information sur laquelle doit se fonder aujourd’hui le consentement des patients et se fondera demain le renouvellement éventuel de l’AMM des vaccins.

Mensonge par omission : peut-on parler de mise en danger de la vie d’autrui ?

Dans le cadre d’une obligation vaccinale, réelle pour les soignants ou déguisée pour le reste de la population éligible au passe vaccinal, cette omerta est d’autant plus problématique que si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable, et à hypothéquer la santé des Français pour ne pas sacrifier le vaccin.

Face à une telle imprudence, renforcée par le caractère de maladie à déclaration obligatoire de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, peut-on partager la confiance (faussement) naïve du Pr Adnet, qui affirmait récemment que « l’ANSM n’a aucun intérêt à promouvoir ces injections » ?

Si l’ANSM n’a pas d’intérêt à promouvoir le vaccin, elle a a minima, en tant qu’établissement public placé sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé, un devoir de loyauté à son égard. A-t-elle intérêt à dissimuler des effets secondaires ou à écarter la responsabilité éventuelle du vaccin dans leur survenue ?

En temps normal, si l’on exclut les considérations politiques et commerciales qui ont pu expliquer sa cécité dans d’autres circonstances, elle n’en a sans doute aucun. On rappellera toutefois que dans le scandale du Mediator, l’ANSM a été reconnue coupable il y a tout juste quelques mois d’avoir « failli dans (son) rôle de police sanitaire et de gendarme du médicament » et s’est vue infliger « la peine maximale de 225 000 euros pour “homicides et blessures involontaires” par négligence, à laquelle s’ajoutent des peines d’amendes contraventionnelles à hauteur de 78 000 euros ».

Qu’en est-il dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination où, pour la première fois dans l’histoire, les laboratoires ont négocié leur irresponsabilité juridique totale en cas d’apparition d’effets secondaires graves dont la possibilité est par ailleurs clairement mentionnée dans les contrats ?

Les laboratoires menant des recherches sur les prions ont tous été fermés fin juillet 2021, “par précaution”, suite à la découverte d’un cas de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez une ancienne laborantine

[…]

Vacciner, vacciner, vacciner, quoi qu’il en coûte

La liste des pays ayant requalifié le COVID comme maladie bénigne ou endémique ne cesse de s’allonger. Comment comprendre, dès lors, que le couple exécutif s’acharne à vouloir vacciner les Français, en particulier les enfants et les femmes enceintes pour lesquels la balance bénéfice-risque des injections est, si ce n’est déficitaire, nulle à de rares exceptions près, et à les exposer de fait à un risque gravissime, dûment notifié dans les documents de l’EMA et clairement identifié par la littérature ?

Des mesures de recherche (et à terme d’éviction) de l’agent infectieux pouvant expliquer l’incidence des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob relatés notamment par le Pr Montagnier ont-elles été prises au nom du principe de précaution ? Olivier Véran s’était-il rapproché de son confrère, ou son appel, pourtant entendu par des millions de Français, n’est-il toujours pas parvenu à ses oreilles ?

Ce principe sacré a pourtant été récemment rappelé par Pierre Germain Sonigo, docteur en médecine et en biologie, qui a fait partie de l’équipe de l’Institut Pasteur ayant développé le vaccin contre l’hépatite B pour lequel des cas de sclérose en plaques se sont déclarés peu de temps après le début de la vaccination, et où une décision a dû être prise à l’époque :

« Il y a toujours des effets indésirables, la plupart du temps exceptionnels, mais s’il y a un effet exceptionnel grave – tous les 10000 – avec des gens qui meurent, dans ce cas, on sait qu’on risque de tuer des gens, alors on essaie d’en vacciner le moins possible. »

Conclusion

Faut-il en déduire qu’un arbitrage est aujourd’hui réalisé par le Gouvernement entre la santé des Français et l’intérêt des laboratoires ? Pour le dire autrement, le déni de tout risque vaccinal et l’injonction adressée aujourd’hui à l’ensemble des citoyens de se vacciner pour conserver leurs droits fondamentaux est-il le fait d’un ministre de la Santé et des Solidarités ou de l’avocat des laboratoires auquel il est de fait assimilé par les contrats ?

Sur ce principe, les médecins sont-ils seulement sûrs que si des risques documentés à la hauteur de ce qu’ils sont aujourd’hui (une revue de la littérature recense pas moins de 1 000 études pointant un possible lien entre le vaccin et des effets indésirables pour certains gravissimes) se concrétisent demain, l’État les protégera pour avoir fait le choix d’obéir à une simple injonction, portée par un ministre par nature éphémère, au mépris de la loi et de l’éthique la plus élémentaire ?

Car – c’est une hypothèse qui se précise de jour en jour au fur que les données épidémiologiques s’affinent et que la distinction entre mort avec et mort du COVID se fraie un chemin dans plusieurs pays –, si la véritable épidémie n’était pas le COVID ou sa résurgence, mais les effets secondaires qui se multiplient depuis le début de la campagne de vaccination et dont les autorités sanitaires refusent d’admettre simplement l’hypothèse malgré des données de pharmacovigilance littéralement alarmantes ?

Pourquoi ?

M. le Ministre et M. le Président, nous attendons votre réponse.


Avertissement

Une étude publiée en preprint depuis la rédaction de cet article, cosignée par la neurologue C. Moret Chalmin, le Pr L. Montagnier et le mathématicien J.-C. Pérez vient confirmer l’hypothèse que nous soutenons ici : « Vers l’émergence d’une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob neurodégénérative : Seize cas de MCJ déclarés quelques jours après un “vaccin” COVID-19 ». Les conclusions de cette étude seront présentées lors du 16e Congrès mondial des controverses en neurologie (CONy) qui se tiendra virtuellement à Londres du 24 au 27 mars 2022.

Note

On rappellera que Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude avaient annoncé avoir découvert, lors du séquençage du génome du SARS-CoV2 réalisé peu de temps après sa mise à disposition : pour le premier, des séquences de HIV et de malaria ; pour la seconde, une séquence présente au niveau du site de clivage de la furine, retrouvée à l’identique dans un brevet déposé par Moderna en 2016, comme le confirme un article paru le 21 février 2022 dans la revue Frontiers of Virology qui démontre que la probabilité d’une origine naturelle du virus contenant une telle séquence brevetée est statistiquement nulle.

Références

Source et article complet :
https://lepointcritique.fr/2022/02/18/maladie-creutzfeldt-jakob-postvaccinale-epidemie-dans-epidemie/

Photo : Mauricette Doyer avec sa petite fille Léonie




La marque d’infamie de la Macronie

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

La Macronie et sa presse donnent des leçons de morale au monde en oubliant que 15 000 personnes ont perdu leur travail, car elles refusaient de se faire injecter. Moins de dix pays au monde connaissent une telle infamie !

Aujourd’hui les soignants sont les victimes, mais demain après la réélection de Macron les nourrissons passeront aussi à la casserole !

Un Français sur deux serait encore à injecter 3 doses…

Et pourtant les injectés sont plus contaminables que les non-vaccinés

Peter McCullough, MD MPH

@P_McCulloughMD

Les données britanniques montrant que les triplets échouent et se retournent peut-être avec des taux d’infection plus élevés. L’OMS a mis en garde contre eux pour des raisons d’inefficacité ou peut-être d’affaiblissement de l’immunité en pompant du matériel génétique étranger de longue durée et de la protéine Spike dans le corps.

Marco Nius ne cesse de le rappeler : pour les moins de 20 ans, les non-vaccinés ont trois fois moins de risques de décéder que les vaccinés.

Seulement 53 % des Français ont eu la troisième dose. Soit 63 % des personnes éligibles pour obtenir la pass vaccinal (+ de 16 ans)

Ne vous mentez pas. Le #passevaccinal fera son grand retour en juillet si Emmanuel Macron est réélu. Cette suspension est exclusivement politique, alors il faudra y passer avec certainement une vaccination obligatoire y compris pour les enfants.

Les injections sont inutiles et même dangereuses, mais les refuser sera un sacrilège !

Serons-nous capables de faire reculer maintenant le pouvoir pour obtenir la suppression de l’obligation vaccinale pour les soignants 

L’Angleterre vient d’y renoncer et les pays du continent également à l’exception de l’Italie, du Vatican, de la Grèce et de la France. La mesure la plus stupide, la plus injuste : l’obligation vaccinale des soignants quand lesdits vaccins sont totalement incapables d’empêcher la contamination et même la facilitent…

Qu’un infirmier ou un médecin non vacciné, mais non malade et testé négatif ne puisse pas soigner, alors qu’un médecin ou une infirmière porteurs du virus, mais vaccinés puissent le faire relève juste de l’imbécillité la plus crasse.




Il faut impérativement sauver les enfants de l’injection inutile et dangereuse, et refuser les ukases de la CPAM

Par Nicole Delépine

Il ne faut pas se laisser endormir par la suspension transitoire du pass à l’occasion des élections. Le silence des médias sur le covid depuis la guerre Ukraine-Russie ne doit pas vous tromper. Vos enfants restent en danger par la volonté persistante du pouvoir de les injecter.

Même la suppression du masque à l’école reste floue laissant persister la peur chez les enseignants, leurs syndicats et les enfants eux-mêmes. Il est clair que le pouvoir laissera subsister le scénario tragique aussi longtemps qu’il le pourra, menaçant d’autres virus si la peur de sars cov2 tombe trop vite.

Tant que tous ne seront pas injectés, et que les rappels pluriannuels ne seront pas rentrés dans les mœurs, ce pouvoir mondialiste tentera de nous maintenir la tête sous l’eau via les films d’horreur dans un temps où la fiction et la réalité ne sont plus évidentes à distinguer pour chacun d’entre nous tant la désinformation tient le haut du pavé.

La CPAM a osé rappeler aux médecins généralistes leur « devoir » de « vacciner les enfants » !

Faut-il répéter une nouvelle fois que les enfants ne risquent rien du covid, ne contaminent personne, ni les autres enfants, ni les adultes.(([1] https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/enfants-et-covid-1-MARS-22.pdf avec le diaporama sur l’absence d’efficacité des masques et leurs nombreuses complications)) Faut-il rappeler que les « vaxxins ne protègent pas des contaminations ni des formes graves » ?

Comment accepter ce nouvel ukase ? Alors que l’on dénombre en France déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale en fin février selon l’ANSM elle-même, et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site des accidents médicamenteux de l’agence européenne.

La CPAM obéit au gouvernement qui ne « connaît » pas ou ne veut pas connaître les données sur l’inutilité et la dangerosité de la vaccination des enfants. Il a déjà commandé des doses et maintient le mythe de la protection vaccinale en imposant le pass sanitaire à l’hôpital et la vaccination aux soignants. C’est insupportable et le pire est la soumission des patients, des soignants, des médecins, des citoyens. Encore aujourd’hui, vous serez rejeté de l’hôpital si vous accompagnez votre vieille maman pour une urgence médicale, et que vous n’êtes pas vacciné, alors que l’épidémie est terminée selon l’aveu même du pouvoir. Et si vous n’êtes pas injecté, on vous retirera la tutelle de votre proche handicapé qui se verra injecté sans plus de discussion. De quel droit ? De quel droit les handicapés placés sont-ils devenus une chair à canon pour l’expérimentation mondiale avec ces substances géniques en essai ?

Des morts, des enfants perdus pour leur avenir sportif après une atteinte cardiaque lors d’un effort pour ceux qui survivront, des enfants devenus aveugles… Tout ça pour ça…, pour ne pas dire qu’on s’est fourvoyé en mettant trop vite sur le marché une « sorte de médicament »,(([2] Selon l’expression récente du Pr Delfraissy)) une injection expérimentale.

Voici le courrier adressé aux médecins par la CPAM destiné à favoriser la vaccination des enfants dès l’âge de 5 ans ! Comment ne pas tenir compte des chiffres français et internationaux sur le danger de ces vaccins complètement inutiles chez l’enfant ? Ces médecins ou ces administratifs, voire des juges pour les handicapés sous tutelle, qui imposent la vax se rendent-ils compte de la responsabilité pénale qu’ils encourent pour mise en danger de la vie d’autrui en cas de complication, voire de décès de l’enfant injecté ?

Le docteur Denis Agret a rappelé les données publiées par l’ANSM, l’agence du médicament française, le 5 mars 2022 lors d’une manifestation à Montpellier. La vidéo a sauté.

Nous avons fait récemment le point des effets secondaires avoués par les agences des différents pays,(([3] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/)) bien inférieurs probablement à la réalité, mais quand l’UE reconnaît près de 40 000 décès liés aux injections, que faut-il de plus pour exiger un ARRÊT IMMÉDIAT des pseudovaccins sans utilité contre la pandémie, mais avec d’énormes risques de décès ou aussi de handicaps (pour certains définitifs). De nombreux articles fouillés démontrent que les effets secondaires que nous découvrons avec horreur jour après jour étaient connus d’emblée par Pfizer et que les agences ont néanmoins donné des autorisations « provisoires ».

Lisez la belle mise au point de Patrice Gibertie sur son blog et vous tremblerez. Ils savaient…(([4] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) Et ils continuent : « Le vaccin ARNm produit plus de spike qu’une grosse infection et on a plus de mal à soigner les effets secondaires graves (très nombreux) que le COVID, même avancé. Le scandale : les effets secondaires sont connus depuis longtemps, les risques pour l’ADN, les risques pour les enfants, tout était connu et ils ont recommandé les injections ».

Vous avez eu trois doses, pour de toutes nouvelles études les mécanismes de la protéine spike injectée sont en pire ceux de la maladie contractée, certains ont même contracté un covid vaccinal symptomatique avec des formes aussi graves que la maladie. »

Moratoire, arrêt immédiat : c’est ce qu’ont redemandé une nouvelle fois des médecins anglais(([5] Open Letter from the Children’s Covid Vaccines Advisory Group (CCVAG) to the JCVI: Pause vaccines for children pending urgent review — HART (hartgroup.org) )) et d’autres insistent sur les risques des femmes enceintes pourtant poussées encore récemment par la DGS à la vaccination !(([6] FOIA docs reveal Pfizer shot caused avalanche of miscarriages, stillborn babies—LifeSite (lifesitenews.com) ))

Et pourtant la pandémie si elle a eu lieu est bel et bien terminée. Les chiffres officiels publiés : https://covid.irsan.eu 21 malades/100 000 habitants le 5 mars 2022. L’IRSAN est dirigé par Laurent Toubiana. Le seuil épidémique est à 170 malades/100 000 h !

QUE FAUDRA-T-IL POUR FAIRE TOMBER LE MYTHE DE LA PANDÉMIE ET DE L’EFFICACITÉ DES INJECTIONS ?

Le mur de Berlin n’est tombé qu’en 1989 après construction et blocage des populations depuis 1961. Soyons patients ou mieux révoltés et informons malgré la redoutable efficacité des fabricants de mensonges tant sur les médias que sur les réseaux sociaux. Revenir aux messages papier, aux tracts, serait peut-être la meilleure solution. À chacun son idée, sa méthode, tout est bon à prendre sauf la soumission qui détruirait l’avenir de nos enfants.