Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

26/07/2022 (2022-07-13)

Par Zoé B.

Zoé B.

Au Président et aux membres du
Conseil de l’Ordre des Médecins de l’Isère
Bât A, 1 BD de la Chantourne
38700 La Tronche

Objet

Demande d’un RDV pour échanger sur les raisons qui me font arrêter mes études de médecine.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux,
Chers Professeurs, Chers Docteurs, Chers Maîtres,

Étudiante en 4e année de médecine à la rentrée 2021/2022, j’ai reçu récemment un courrier de la scolarité de la Faculté de Médecine de Grenoble relatif à la fin de ma période de césure (sollicitée suite à la promulgation de la Loi du 5 août 2021).

J’ai répondu au Doyen de la Faculté en le remerciant très sincèrement de m’avoir accordé ce temps de réflexion et pour la bienveillance dont il avait fait preuve à mon égard ; puis en lui annonçant, avec un profond regret, ma décision de ne pas poursuivre mes études de médecine, après ces 3 années et quelques mois, passés au sein de sa Faculté. Voici l’essentiel de mes propos.

C’est vraiment à contrecœur que je prends cette décision, mais en pleine conscience, et je l’espère avec bon sens, sagesse et rationalité :

Je m’étais en effet engagée en médecine avec pour ambition de soigner mon prochain, d’agir toujours en conscience, avec probité et honnêteté vis-à-vis de lui, sans jamais déroger au code d’honneur du serment d’Hippocrate, un serment sur lequel tout le monde jure sans toutefois, j’en ai le sentiment, en mesurer l’importance, les conséquences, et sans être prêt à en respecter tous les engagements, en toutes circonstances, et quoi qu’il en coûte.

J’aime profondément étudier, j’aime apprendre comment fonctionnent le corps et l’esprit humain, comprendre les pathologies, et aller chercher quelles sont les récentes avancées médicales, scientifiques et technologiques pour trouver celles qui vont pouvoir profiter à mon patient. J’aime me réjouir avec les patients qui guérissent, et écouter, accompagner tous ceux qui en ont besoin. J’étais prête à faire face aux difficultés qui jalonnent le parcours d’un médecin.

Malheureusement, aujourd’hui je ressens que soigner comme on me demandera de le faire ne sera pas en accord avec mes convictions, et que je ne serai pas en mesure de respecter le serment d’Hippocrate qu’on me demandera de prêter à l’issue de mes études.

Je croyais que la médecine avait avant tout pour ambition suprême de soigner toutes les personnes, coûte que coûte, et qu’en tant que médecin je serais libre d’agir dans le seul intérêt de mon patient, dans le respect du recueil de son consentement libre et éclairé, et guidée par mes connaissances, la sagesse acquise lors de mes formations et de mes expériences, et ma capacité de discernement.

Les deux ans qui viennent de s’écouler m’ont montré que la médecine telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui (et le sera de plus en plus) n’est pas en phase avec l’idée que je m’en faisais.

J’ai toujours pensé pouvoir exercer ma vocation, sans pression d’aucune sorte et surtout en toute indépendance des lobbies financiers, croyant naïvement que la mission de soigner résistait à l’appât de l’argent, à l’appel du pouvoir et à la satisfaction de l’ego tel que le souligne notre serment : « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

Nous devons également jurer : « Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. » Comment comprendre alors le refus de soin imposé pendant ces deuxannées ? En effet, comment a-t-on pu déconseiller voire interdire à des gens qui avaient besoin de soins de se rendre chez leur médecin ? Comment a-t-on pu leur dire, sans prendre le temps de les ausculter, de rester ou de retourner chez eux juste avec du Doliprane ? Comment accepter tout cela lorsque l’on sait que le simple fait d’accueillir, écouter et accompagner avec compassion le patient participe significativement à sa guérison et à son mieux-être ?

Nous devons aussi prononcer « Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. » Mais commentconcilier cette promesse avec l’obligation faite aux patients de disposer d’un Pass sanitaire ou de s’être administré au préalable une molécule sur laquelle il y a peu de recul pour avoir le droit de se faire soigner ?

Dans l’état actuel des données scientifiques, est-il raisonnable d’exiger ce geste des patients, des professionnels de santé, a fortiori des étudiants des filières santé, dont le jeune âge aurait mérité que s’applique un élémentaire principe de précaution ?

J’ai aussi très mal vécu de voir en septembre 2021 des collègues soignants suspendus, sans aucune considération ni égard pour leurs états de service antérieurs, leur dévouement aux patients et leur loyauté à leur institution. Pouvons-nous supporter de les voir toujours sans aucun revenu pour avoir refusé d’aller à l’encontre de leurs convictions ou de leurs arguments médicaux ? Ces soignants étaient pourtant prêts à d’autres mesures de protection au contact des malades. De voir tous ces professionnels, qui se sont dévouées pendant tant d’années pour le bien de leurs prochains, perdre leur travail, leur statut social, parfois ne plus pouvoir subvenir aux besoins de leur famille voire manger à leur faim a été pour moi d’une grande violence. (J’ai personnellement vu des soignants se servir de la nourriture issue des poubelles.)

Comment proclamer encore « J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. » et, dans le mêmetemps, précipiter de force, sous l’influence de la peur, vers une thérapie expérimentale des millions de personnes, en abusant de la confiance aveugle qu’ils ont dans la médecine et la science représentée par certains experts. Quelle folie s’est emparée de la communauté médicale pour accepter tout ça sans sourciller, au mépris de tous les principes qui faisaient consensus avant 2020 ?

Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu, et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ?

Qu’il n’y ait pas de méprise : je ne doute pas de la probité et de l’honnêteté de la majorité des médecins et des soignants en France. En revanche, je doute désormais de la capacité du plus grand nombre à prendre du recul et à assumer avec courage le serment qu’ils ont prononcé dès lors que la situation devient un peu compliquée et que leurs intérêts personnels soient en jeu. Je crains, malheureusement, qu’une petite poignée de gens bien placés suffise à corrompre l’ensemble d’un système.

Comment a-t-il été rendu possible d’en venir à expliquer à nos patients que nous pouvions leur imposer des soins inutiles pour eux-mêmes (comme l’est le vaccin contre la covid pour les personnes non à risque de formes graves, notamment les enfants, les adolescents et les jeunes adultes) et inutiles pour protéger les autres (puisqu’avec ou sans vaccins il n’y a pas de différence dans la transmission), tout en laissant l’industrie qui les produit engranger 36,8 milliards d’euros sur ce seul et unique produit ?

Enfin comment pourrai-je oser jurer « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément » et accepter de laisser des gens sans soins, des personnes âgées mourir loin de leurs proches et dans la solitude la plus abjecte ?

Non, décidément, cette médecine qu’on nous propose d’exercer n’est vraiment pas celle que j’avais envisagée.

Des lits ferment, des services d’urgence ferment, des collègues souffrent, des patients meurent, de maladie ou d’abandon…
Ce n’est pas ma définition de la médecine.
Je n’ai pas signé pour cela.
Pas pour abandonner, tromper ou laisser mourir.
Pas pour être le bouc émissaire de décisions qui ne sont plus motivées par notre mission de soins et le respect de notre serment, mais on dirait bien par la seule ambition dévorante ou la folie de certains individus.

Alors ma décision je la prends avec regret, car j’aime profondément la médecine, c’est ma vocation, mais je la prends avec la sagesse que m’inspire l’Ecclésiaste :

« Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir ».

Je reste reconnaissante pour tous les enseignements reçus pendant ces trois belles années. Ils ont été intellectuellement riches et demeureront un bagage de connaissances et de principes utiles qui continueront de m’accompagner.

En vous remerciant de votre attention, et en espérant que ma lettre saura susciter en vous des interrogations ou des éclairages à m’apporter, je suis pour ma part à votre entière disposition pour un échange constructif et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux, mes sincères et respectueuses salutations.

Zoé Bruder
Étudiante en 4e année à la Faculté de Médecine de Grenoble

Le 6 juin 2022

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(48 commentaires)

  1. L’ordre ,avec les ARS, est un organisme de police des medecins, au service du système
    Il n’ya rien à en attendre!

    1. Cette lettre est poignante et témoigne d’une réalité désolante et fascistoide avec un grand courage. Elle nous est destinée autant qu’au conseil de l’ordre des médecins pour nous faire réfléchir : qu’est-ce que chacun d’entre nous peut faire aujourd’hui pour être utile à la collectivité à la place qui est la sienne ? La lettre exemplaire de cette étudiante en médecine de 3ème année peut nous inspirer ! Ne soyons pas des témoins passifs du Mal rampant !

      1. Je suis un témoin du Mal Rampant car je suis victime de maltraitance medicale et institutionnelle, de retard de diagnostic et d’errance médicale.
        J’ai 56 ans
        C’est extrêmement grave la violence des structures d’Etat et leurs professionnels (administratifs inclus) à l’encontre des usagers.

      2. Oui cette lettre est poignante et nous fait comprendre que dans peu de temps la médecine ne sera plus ce qu’elle était

  2. Enfin, quelqu’un d’intelligent et d’honnête qui sait ce qu’elle veut et ne se laisse pas acheter ! Bravo !

  3. Mille bravos à cette étudiante. Cette lettre est un bijou d’intelligence et d’intégrité, et dépeint brillamment une triste réalité. Comment faire pour la contacter directement, afin de pouvoir lui exprimer personnellement tout le respect et l’admiration que m’inspire son texte? Prions pour que cette étudiante fasse partie de l’avenir de la médecine!

    1. Merci ! Votre réponse est exactement ce que j’aurais aimé lui dire. Merci à tous les deux !

    2. Ne peut-on étudier et résister ? Garder sa conscience, sa détermination malgré la pression ? Sauf, bien sûr, si, diplôme en poche,on se voit refuser le droit d’exercer, parce qu’on n’est pas vacciné ou toute autre invention du même type à venir…
      À la fois admirative – pour le courage de la décision – et désolée de perdre un futur médecin qui m’aurait bien plu…
      Espérons qu’elle trouvera un enseignement alternatif qui sera à la hauteur de ses exigences et lui permettra de répondre à sa vocation !

  4. Cette jeune fille ne connaît visiblement pas l’objectif des mondialistes. Sans cette explication, elle ne peut pas comprendre, elle n’a pas la clé de lecture.
    Oui, il faut mieux qu’elle abandonne cette voie qui est la voie de la destruction humaine puisque les « zélites » l’ont voulu ainsi. On ne soigne plus, on rend encore plus malade ou/et on tue (j’en sais quelque chose !)

    1. Je rejoins vos propos. La volonté de nuisance et de destruction des acteurs qui s’entretiennent à Davos touche tous les secteurs de nos sociétés : la santé tant physique que psychologique, les relations humaines, les arts, l’école, la recherche, les servies publics, le travail, l’économie, le climat, la terre, les mers, la faune et la flore… Un affreux bourbier auquel nous participons malgré nous par nos financements et nos besoins financiers. La décision de cette jeune femme est saine, courageuse, honorable, mais vraiment regrettable. J’espère que sa vocation lui permettra de trouver une voie qui lui convienne. Il n’y a pas que les facultés pour apprendre. Je ne vois que la solution de s’affranchir.

      1. Elle devrait s’orienter vers l’osthéopatie. Pas de prescription de médicament tout en soignant et en plus mieux orienté vers la prévention.

  5. Il est bien dommage qu’une étudiante avec un tel potentiel et un tel courage en arrive à ces conclusions et cette décision.
    Force est de constater que sa clairvoyance sur les instances sanitaires actuelles, nationales et internationales, ne pouvait la mener qu’a sa volonté de ne plus pouvoir collaborer à un système perverti par des mafias criminelles et corruptrices des plus hautes instances sanitaires et politiques.
    On aimerais connaitre la réponse de l’ordre sans se faire guerre d’illusions…

  6. 

    https://nouveau-monde.ca/lettre-dune-etudiante-en-medecine-au-conseil-de-lordre/

    Bonjour Mme Bruder,

    J’ai lu votre lettre.

    Je suis médecin, né en 1939.

    J’ai suivi de très près l’évolution de l’épidémie et les moyens mis en jeu pour en diminuer les effets, y compris la mortalité.

    J’ai pesé le pour et le contre (car il y en a) de la vaccination.

    En lisant plusieurs articles scientifiques sérieux (sourcés) sur la question, j’ai acquis la conviction que malgré les variants et le risque (très faible) d’effets secondaires, la vaccination réduit la contamination tout autant que la mortalité. Tous les services de réa ont témoigné que la majorité de leurs patients ne sont pas vaccinés ou mal vaccinés (sans rappels).

    La grande majorité des médecins ont procédé de la sorte pour acquérir le savoir nécessaire et encourager la vaccination dans leur patientelle.

    Une seule idée dans votre lettre mérite d’être retenue – et encore, tous les médecins ne sont pas d’accord – celle de réserver la vaccination aux plus âgés et au plus fragiles.

    Vous avez le droit d’abandonner vos études, mais il ne me semble pas que vous ayez fait les recherches nécessaires à un éclairage sur l’efficacité de la vaccination.

    Ou alors vous avez une posture idéologique qui vous interdit d’évaluer la question de la vaccination avec la moindre sagesse scientifique.

    Et en cela vous avez raison de réorienter vos études.

    Sincèrement

    franck Dubourdieu

    franck@franckdubourdieu.com

    1. Dans le cas des symptômes regroupés sous le terme générique de Covid-19 que la théorie virale attribue à un virus dénommé SRAS-CoV-2, la majorité des prétendus « vaccins » n’en sont pas au sens pasteurien du terme, mais représentent une technologie génique destinée à faire produire par nos cellules une protéine spike modifiée. Il existe donc déjà un problème à ce niveau. Ensuite, ces « vaccins » ont produit un nombre record d’effets secondaires, dont des morts, de l’ordre de dizaines ou de centaines de fois plus que les vaccins classiques. Voir notamment à ce sujet :
      Les effets secondaires graves des injections expérimentales éclatent au grand jour dans le monde entier
      Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
      Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe
      Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.
      Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

      Par ailleurs, l’hypothèse (car il ne s’agit ici encore que d’une théorie) que des vaccins (classiques ou pseudo) peuvent prémunir contre des maladies reste à démontrer de manière scientifiquement rigoureuse afin de pouvoir garantir avec un haut pourcentage de confiance l’existence d’un lien de causalité entre une vaccination et la maladie dont elle est censée nous prémunir. Or, il existe malheureusement de nombreux cas, notamment pour la rougeole, la grippe et la Covid-19, où des vaccinés attrapent quand même la maladie. C’est particulièrement vrai dans ce dernier cas pour lequel nous disposons d’un grand nombre de données et de témoignages. C’en est au point où même les instances officielles ont dû admettre que finalement ces vaccins (qui de plus nécessitent apparemment des rappels réguliers aux six mois, voire aux trois mois) ne servent surtout, soi-disant, qu’à éviter les formes graves de la maladie. Problème : il existe malheureusement de nombreuses morts attribuées à la Covid chez les triples et les quadruples vaccinés. Et la mort est quand même une forme grave de la maladie. Ceci en est même la forme la plus grave.

      Pour ce qui serait de l’encombrement des urgences par des non-vaccinés prétendument malades de la Covid, là aussi nous avons affaire à un vaste enfumage, étant donné que les tests PCRs ne permettent de caractériser aucune maladie (comme l’avait d’ailleurs bien averti l’inventeur même de cette technique) et du fait que les hôpitaux déclarent un patient comme malade de la Covid à partir du moment où il a été testé positif au PCR dans les jours précédents son admission ou une fois sur place alors qu’il n’avait pas le moindre symptôme de cette maladie. Voir notamment :
      Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
      et Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR

      Cerise sur le gâteau, lorsque l’on se penche d’assez près sur le cas de la virologie, notamment sous les angles historique et de rigueur scientifique, pour peu que l’on ait quelques connaissances de la méthodologie scientifique et de la logique, on ne peut malheureusement que constater que cette discipline ne relève pas de science, mais de scientisme très proche d’une religion pour ce qui est des croyances jamais remises en question. Entre autres articles démonstratifs ou récapitulatifs sur le sujet sous un angle ou un autre (historique et/ou scientifique), voir notamment :
      Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
      Le mythe de la contamination épidémique
      Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
      Fauci et la grande arnaque du sida
      Ebola : briser les mensonges et la supercherie
      La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
      Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
      La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
      ou encore comme article de synthèse : L’enterrement de la théorie virale
      D’autres articles sur le sujet sont disponibles sur le site.

      Bien cordialement,

      Joseph

      1. Merci beaucoup pour cette mise au point précise et claire. Merci aussi pour les références transmises. La littérature ne manque pas sur ces sujets pour qui prend la peine de s’interroger.

      2. Merci pour toutes ces sources, bien utiles pour répondre à ceux qui argumentent à coups de « références scientifiques »..

    2. Bonjour Confrère.

      Excellent et juste, ce commentaire. Je partage à 1000 % votre opinion. Cette psychose ‘anti-vax’ me fait doucement rigoler, pour la raison objective que vous évoquez : les respirateurs sont utilisés en grande majorité pour des non vaccinés.
      Cette jeune femme, aux idéaux au demeurant fort respectables semble un peu orientée (exaltée ?) ; un « bon » médecin ne doit-il pas modérer ses réactions émotionnelles, au profit du pragmatisme et de l’objectivité ?

      Bien à vous,
      lvan Greindl

        1. J’opte pour la croyance aveugle puisque je sais de source sûre qu’Ivan n’a pas lu les 6.000 pages des travaux de Bechamp et Pasteur !

      1. Ivan ta réponse est helas, bien excessive. As-tu vérifier aux urgences ? Une de mes amies medecin urgentiste à Grenoble (vaccinée) nous a confié qu’elle était sidérée de constater que les 3/4 des personnes aux urgences pour Covid étaient bel et bien vaccinées !! La propagande est bien puissante… les données des effets secondaires recensées par le VAERS – entre autre – sont plutôt inquiétantes et devrait inciter à une très grande prudence pour la vaccination des enfants.

        1. Idem à Metz mes beau-frere et belle-soeur pharmaciens sont en contacts réguliers avec le service hospitalier et sont consternés par les confidences et il est interdit aux infirmières de recenser le nombre d’effets secondaires.

    3. Bonjour monsieur.
      Arrivez-vous d’une autre planète ? Tous les chiffres cités démontrent sans aucune pitié que les injections de ces nouveaux produits dans le meilleur des cas ne font rien, mais le plus souvent accélèrent ou déclenchent des maladies, souvent invalidantes, trop souvent mortelles. Les cas d’insuffisances respiratoires cette année (spécifions bien) parmi les coureurs du tour de France (tous injectés par obligation tyrannique) le démontrent sans chercher plus loin.
      Autrefois j’avais confiance envers les médecins en France ; c’est fini désormais.

    4. OK d’accord mais il ne s’agit pas que du covid et de sa vaccination, il s’agit d’un etat d’esprit dans lequel on veut nous entraîner
      Je suis généraliste depuis 36ans,et je n’ai jamais reçu autant de directives, parfois 10 par jour, jamais n’ai autant ressenti cet étau administratif jusqu’à des formations sur les arrêts maladie !!
      Ils n’ont pas compris que la médecine est un art avec des bases scientifiques certes mais c’est un art ,mêlant connaissances intuitions empathie ecoute et respect de tous. Effectivement c’est écrit dans notre serment.
      Maintenant on ne parle plus que de chiffre rentabilité statistiques..Tout est fondé sur des etudes, pas toujours très honnêtes d’ailleurs..je ne nie pas leur intérêt mais on ne peut pas baser notre exercice uniquement là dessus. Nous connaissons tous le décalage qu’il peut y avoir entre nos connaissances et la réalité du terrain surtout quand on s’installe. Cette interne qui demissione à beaucoup de courage et c’est bien dommage car elle aurait sans doute fait une excellente praticienne. !!

    5. Cher confrère,

      Avez vous soigné des malades de la Covid depuis 2020 ?
      Si oui que leur avez vous prescrit ?
      Avez vous vous soigné des patients vaccinés pour les effets secondaires du vaccin ?
      Vu votre grand âge, je ne crois pas.
      Sur quoi vous basez vous pour prétendre qu’il y a un risque très faible d’effets secondaires ? Sur les effets secondaires réellement déclarés ?
      Si vous étiez encore au chevet des malades, vous vous rendriez compte que les patients atteints d’effets secondaires du vaccin ignorent souvent que leur problème de santé vient du vaccin. Et quand ils font le rapprochement et qu’ils vont voir un spécialiste qui nie leur problème, ils n’ont plus le courage de se battre tout seul. Les autres se disent : À quoi bon ? et d’autres encore prêts à dénoncer sont découragés par la complexité des formulaires à remplir. Bref 1 à 5 % des effets secondaires sont officiellement déclarés.
      Vous vous basez sur des déclarations de médecins qui travaillent aux soins intensifs mais
      pour quelles périodes ? En Belgique les graphiques de nos services de santé publique Sciensano montrent très clairement qu’au printemps dernier ce sont les triples vaccinés qui contractaient à nouveau la Covid, qui étaient en grande majorité hospitalisés, qui étaient bien plus nombreux aux soins intensifs et qui mourraient davantage Et pourquoi sont ils réellement aux Soins intensifs La plupart sont très âgés ou ont des co-morbidités ou n’ont pas été soignés à temps ! J’ai dans ma famille et mes patients des exemples concrets de malades que leur médecin a refuser de soigner ou qui ont été remballés des services d’urgence et puis ont dû être hospitalisés pendant des mois sous respirateur !
      A l’heure actuelle, il n’échappe plus à personne que le vaccin ne nous empêche pas de tomber malade ou de contaminer votre entourage or souvenez vous que les fabricants de vaccins relayés par des experts nous assuraient que ce vaccin était efficace à 95 % !

      Comment voulez vous que la population ait encore confiance ?
      Comment voulez-vous que cette étudiante ne soit pas révoltée quand elle voit que ses collègues médecins sont suspendus sans solde pour le seul motif qu’ils ont refusé le vaccin alors qu’il y a une grave pénurie de soignants ce qui oblige à fermer davantage de lits et qu’on laisse travailler des soignants qui sont vaccinés mais positifs en France comme en Belgique ??

      Bravo à cette étudiante pour sa lettre, elle a le mérite de faire réfléchir car beaucoup se retranchent derrière la Science actuellement complètement soumise à l’industrie pharmaceutique dont le seul but est de faire du profit !
      Tous les médecins devraient la lire et se poser enfin les bonnes questions !
      Je vais l’envoyer à l’Ordre chez nous qui me poursuit honteusement depuis 2020 pour mon discours mais jamais pour mon travail avec des plaintes débiles émanant probablement de faux patients….

      1. Soutien à vous une patiente détruite par l’industrie pharmaceutique (pas de l’injection, d’autres poisons tout autant mortifères, c’est scandaleux, un crime).Il faut dénoncer ces POISONS.

    6. Vous n’êtes pas médecin vous êtes un charlatan qui s’est fait rouler et qui cherche à rouler d’autres gens c’est un mécanisme assez connu auquel vous devriez vous intéresser avant de lire des études scientifiques menées par ceux là même qui nous vendent les vaccins.

      Cadeau, s’il vous reste de la jugeote allez lire ces choses c’est intéressant :

      https://twitter.com/NiusMarco/status/1554431190395928581
      https://twitter.com/ouestmoncycle

    7. Pauvre vieux !
      Que de bêtises et d’ignorances dans vos propos.
      Vous êtes pitoyable de tristesse, vous avez signé un serment d’hypocrite…
      Mais de quelle médecine parle t’on aujourd’hui, tant on tente de la vider de sa substance originelle…
      Je soutiendrai toujours tout le corps de médecine qui fait tout pour respecter son serment.
      Nous avons vu le pire face à ce covid, mensonges, manipulations, gouvernement en tête…
      Quel monde nous attend…

    8. Monsieur vous êtes pour la vaccination dont le but est l’extermination des humains.la modification de l’ADN pour détruire l’humanité.

    9. Bonjour Docteur,
      Je ne suis pas médecin mais j’ai lu et écouté de trés nombreux témoignages de médecins et professeurs de médecine de plusieurs pays. Cela ne m’améne pas du tout aux mêmes conclusions que les vôtres et plutôt aux conclusions inverses.
      Les effets secondaires de ces vaccins sont maintenant constatés par le VAERS, l’ANSM et tant d’organismes qui plus est largement sous estimés, ce qui remet en question votre « posture scientifique ».
      Sans vouloir préjuger de votre posture idéologique, les derniers dévellopements sur cette vaccination COVID devraient vous amener à mettre à jour votre vision de cette même affaire, totalement hors norme sous bien des aspects, aux répercussions autant funestes qu’irreversibles et pour tout dire que nous devrions qualifier de criminelles afin de pouvoir en juger les responsables…
      Afin de rendre à cette jeune étudiante le lustre qu’elle mérite voici ces paraoles de Napoléon: « Aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années »….

    1. je ne suis pas médecin mais maman d une fille qui est morte à 36 ans de Scĺ70. je dirai que si j ai rencontré des professeurs formidable
      nombreux ont été ceux qui n ont manifesté aucune empathie à mon égard et meprisè les douleurs de ma fille en les sous évaluant ignorant cette maladie…
      Vous n êtes que la mère on m a dit
      Face à une médecine déshumanisée
      Je comprends que toute vocation soit
      Remise en question

  7. BRAVO et un grand MERCI à cette jeune femme !
    Les commentaires des médecins qui l’encouragent à changer de voie sont choquants. Je pense qu’eux n’ont pas hésité à injecter cette substance expérimentale pour l’appât du gain… Nous savons tous maintenant qu’ils gagnaient beaucoup pour piquer à tour de bras. Dommage qu’eux aient oublié qu’ils avaient prêté serment !

  8. Si beaucoup de personnes comme vous avait votre courage et votre lucidité.Chapeau bas, vous laissez un futur métier pour lequel vous étiez faite cela ne laisse aucun doute suite à votre lettre.Mais vous êtes honnête et ce que vous dites est la triste vérité…Et honte à ceux qui ont agit comme ils l on fait durant ces 2 années. Je n ai plus confiance en cette médecine et m en écarte également.

  9. Un immense Bravo a cette étudiante remplie de courage et d intelligence que ce courier écrit d une façon magistral puisse porté du fruit
    merci Mlle

  10. Non Zoé! Ne nous quitte pas! Tu es trop belle pour que tes futurs patients ne puissent pas profiter de ta magnifique humanité. Tout ce que tu dis est horriblement vrai. Il nous faut le combattre en restant sur le terrain, droits dans nos bottes, comme notre confrère Grégory Pamart, ou comme l’a fait Irène Frachon. Sache que le CNOM ne te prêtera aucune oreille. J’avais essayé de les réveiller à propos du cas de Vincent Lambert, ils se sont « ecrasés » devant les juges au lieu de soutenir les medecins. Reste avec tous ceux, très nombreux, qui veulent défendre une médecine centrée sur le patient et sur la relation soignant soigné: « Guèrir parfois, soulager souvent, écouter toujours » aurait dit Pasteur, et ça personne ne pourra jamais nous le prendre. Crois en mon expérience de praticien de soins palliatifs: aucune loi d’état ni avis de comité d’éthique ne m’a jamais empêché de prendre soin d’un patient de la façon dont il était demandeur. Quoi qu’ils fassent, politiciens, financiers, grands professeurs et autres médecins avant tout soucieux de leur confort mental et souvent prêts à te cracher dessus, ils ne pourront jamais t’empêcher d’être l’unique agent (mais souvent avec l’aide et le soutien de collègues de confiance) de ce qui permettra au patient de rester « en vie bonne » telle que lui même l’aura décidé. Écoute la philosophe Simone Weil: « Ce n’est pas la loi qui fait la justice, c’est la bienveillance. » Face au patient (au sens de Levinas), si tu es bienveillante tu es juste, et personne d’autre que toi n’a quoique se soit à dire, à moins que tu ne.le.lui demandes, et il ne manquera jamais de vrais médecins et de vrais infirmiers pour t’y aider. Oui, Zoé, ne nous laisse pas tomber!

  11. « J’aime dans la jeunesse sa ressemblance avec l’avenir. » Victor Hugo
    Veillons sur la jeune génération, prenons le temps de dialoguer, de l’écouter, et lui transmettre de l’espoir.
    Un jeune est comme une graine porteur d’un potentiel infini. Je suis certain que cette jeune fille a été soutenue et encouragée par sa famille, des professeurs ou autre. Quand un jeune se dresse, soutenu par des encouragements sincères, il en inspire d’autres, et quand la jeunesse se dresse, le monde change.

  12. Magnifique lettre …
    mais nous aurions eu grand besoin de toi pour résister … et changer le système !
    Dommage….
    Apres je comprends tout à fait que rentrer dans ce combat soit au dessus de tes forces car cela signifie que ta vie n’allait pas être ce que tu avais imaginé…
    Belle continuation à toi

  13. Merci pour ce magnifique témoignage auquel j adhérer complètement cependant nous avons besoin de médecins comme vous pour remettre la médecine sur pied et donc je vous demande de revenir sur votre décision

  14. C’est terriblement touchant. Terriblement troublant et inquiétant de voir où l’on pousse les gens honnêtes. Le retour de bâton viendra, soyons en sûrs, mais en attendant, combien serrent les dents?

  15. Merci Zoé pour cette lettre intelligente qui résume la parfaite hypocrisie et incompétence de nos dirigeants de santé (Ars, conseiller ordinaux, les multiples comités scientifiques mises en place par le gouvernement, les professeurs X et lambdas) Tous ceux-ci ont été relayés par des médias pour obscurcir la libre pensée des citoyens.
    vous avez pris une forte décision mais quel dommage car nous manquons de médecins ayant encore une éthique de leur profession et nous n’aurons bientôt que des suppots des lobbys pharmaceutiques comme médecins référents
    Comme Monsanto, Bayer et Cie la prise du monopole de la santé est en bonne voie et nos politiciens français et européens s’en régalent.
    Le système médical français est aux abois depuis des années et chaque gouvernement qui se succède n’a fait qu’empirer et démonter notre liberté de pratique.
    Comme vous Zoe de nombreux médecins ont jeté l’éponge et ont abandonnés leur patient en mettant la clef sous la porte.
    Quelque part ils ont donc gagnés et l’avenir semble bien sombre pour le serment d’Hippocrate totalement bafoué.

    Dr Jean-Marie

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