Les deux principales théories du complot sur l’attentat de Moscou

[Source : Chaîne officielle TVL]

Le dossier du jour sera une analyse des deux théories du complot concernant l’attentat de Moscou, l’une occidentale, l’autre russe.

Enfin, les pastilles de l’info aborderont :

1) Décryptage : La mort de Frédéric Mitterrand

2) Les ciseaux de la censure : La pression du pouvoir sur les médias

3) La grande occultation : Le gazoduc Nord Stream aurait été saboté par les Ukrainiens

4) Top ou Flop : Le point sur les élections européennes

5) L’idiot du village global : Audition de Yann Barthès à l’Assemblée

Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à l’immortel Michel Drucker, présent à la télévision depuis les années 1960.


Portrait piquant : Michel Drucker


Liens utiles :

OJIM : www.ojim.fr

  • 00:00 – 01:10 Sommaire I-Média 478
  • 01:10 – 02:11 La météo de l’info
  • 02:11 – 06:43 L’image de la semaine : l’africanisation de la France avec plusieurs actualités.
  • 06:43 – 18:40 Le dossier du jour : analyse des deux théories du complot concernant l’attentat de Moscou, l’une occidentale, l’autre russe.
  • 18:40 – 22:28 Décryptage : la mort de Frédéric Mitterrand
  • 22:28 – 26:12 Les ciseaux de la censure : La pression du pouvoir sur les médias
  • 26:12 – 29:47 La grande occultation : Le gazoduc Nord Stream aurait été saboté par les Ukrainiens
  • 29:47 – 32:25 L’idiot du village global : audition de Yann Barthes à l’Assemblée
  • 32:25 – 36:54 Conclusion et Portrait piquant :



“Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”

Wolfgang Wodarg, l’ex-président de la commission Santé au Conseil de l’Europe, dénonce les dérives d’une institution devenue « pompe à fric ».

[Source : covidhub.ch]

[Illustration : Dr Wolfgang Wodarg]

À la fois médecin et ancien député, le Dr Wolfgang Wodarg est particulièrement qualifié pour porter un regard sur les politiques de santé internationales. En 2009, il avait lancé une commission au Conseil de l’Europe pour enquêter sur l’influence des firmes pharmaceutiques dans la déclaration de la pandémie de grippe (H1N1) par l’OMS ; une déclaration qu’il estimait largement « injustifiée ». Cette « mini-pandémie » avait entraîné des achats massifs de vaccins « innovants », brevetés par des grands laboratoires et autorisés « en réponse à l’urgence ».

Ce scénario connu pourrait bien se pérenniser. À la 77e Assemblée mondiale de la santé qui aura lieu le 27 mai, les membres de l’OMS devront se prononcer sur le « Traité pandémie » et la réforme du « Règlement sanitaire international ». S’ils sont votés, ces deux instruments feraient passer les mesures d’urgence dans le droit ordinaire et ouvriraient la voie à une « ère de politique pandémique », dans laquelle l’OMS tiendrait le rôle central. Le Dr Wolfgang Wodarg explique pourquoi on ne peut plus se fier à cette institution.

PROPOS RECUEILLIS PAR SENTA DEPUYDT

S.D: Dr. Wodarg, vous avez été parmi les premiers à critiquer les mesures sanitaires préconisées par l’OMS durant la crise du Covid. Dès le début, vous aviez dénoncé une « pandémie de tests » et ensuite vous aviez averti l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, avec vos collègues des « Doctors for Covid Ethics”. Qu’est-ce qui vous qualifiait pour une telle prise de parole ?

Dr Wolfgang Wodarg : Avant tout, je suis médecin et il s’agit vraiment de mon domaine de compétence. J’ai une spécialité en médecine interne et en pneumologie, une formation en hygiène et en médecine environnementale, un diplôme en santé publique et je me suis spécialisé en épidémiologie à l’Université John Hopkins, aux États-Unis. Au début de ma carrière, j’ai dirigé un institut de santé publique dans le nord de l’Allemagne. J’ai fait cela pendant 13 ans. Et je suis aussi entré en politique. J’ai d’abord siégé au Bundestag, le parlement allemand, durant 15 ans et puis au Conseil de l’Europe à Strasbourg où j’ai longtemps présidé la commission santé.

Donc, je connais tout cela de l’intérieur. Lors des épisodes de la grippe aviaire et de la grippe H1N1, j’ai vu comment on avait déclaré une pandémie alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Cela était dû au fait que l’OMS avait changé les critères qui définissent l’urgence sanitaire. Avant cette date, il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois, mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au-dessus des moyennes habituelles. Mais on a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie.

Quelle est votre perception de l’OMS aujourd’hui ?

J’ai souvent interagi avec l’OMS durant ma carrière. Au début, je suivais ses recommandations avec assiduité. Par exemple, la ville dans laquelle j’étais élu avait adopté le programme des « Healthy cities », les villes en bonne santé. Malheureusement, par la suite, j’ai assisté à la dérive complète de cette organisation, sous l’influence de ses sponsors.

L’industrie pharmaceutique a commencé à avoir un impact sur toute une série de normes qui sont définies par l’OMS. Cela peut être la définition de maladies, la manière de signaler les effets secondaires ou même la définition des valeurs pour établir les diagnostics. Par exemple, le jour où les valeurs du taux normal de cholestérol ont été modifiées, cela a immédiatement permis à l’industrie de vendre beaucoup plus de médicaments.

Aujourd’hui, l’OMS n’est plus au service des populations, elle est l’instrument de ses bailleurs de fonds. L’organisation permet d’ouvrir des marchés pour ses investisseurs, et même d’avoir des ventes garanties. Il suffit de faire peur aux gens pour créer un problème auquel l’industrie pharmaceutique a déjà prévu un remède. Et ensuite, l’OMS en fera une promotion gratuite.

Par contre, une fois que les produits sont distribués, les vaccins administrés, il n’y a pas de suivi. On ne mesure jamais les conséquences des campagnes à long terme. On ne fait pas non plus d’études comparatives, par exemple entre les vaccinés et les non-vaccinés. Voilà ce qu’est devenue l’OMS, une entreprise de marketing.

Des maladies comme la grippe ou les coronavirus permettent chaque fois de recommencer avec des [supposés] nouveaux variants. Et maintenant, c’est la grande ouverture des nouveaux marchés. Il y a celui des données de santé numériques, mais aussi tout le business autour de la détection des nouveaux agents pathogènes et les brevets de propriété intellectuelle qui s’en suivent. Sans parler de l’introduction des thérapies géniques et des vaccins basés sur les technologies ARNm. Ça, c’est le gros morceau, il y a déjà des centaines de produits dans le pipeline.

Que pensez-vous du « traité pandémies » et des amendements au RSI ?

Pour développer tout ce business, ils ont besoin de maintenir la peur constante de nouvelles pandémies. Pourtant, il n’y a pas de raison d’avoir peur des virus1. Les scientifiques savent que ces risques sont faibles. Ce sont les principes de base de l’épidémiologie : si les maladies sont mortelles, elles circulent peu. Et pour ce qui concerne les menaces bactériennes, nous avons les règles d’hygiène et des médicaments pour en traiter la majorité. À vrai dire, avec toutes les connaissances et les ressources dont nous disposons actuellement, nous avons ce qu’il faut pour être en bonne santé. Nous n’avons pas besoin de l’OMS pour cela. C’est un instrument qui a été inventé pour concentrer du pouvoir.

Concernant les accords qui seront votés à l’OMS, je vois qu’il y a une opposition du côté des pays en voie de développement, en particulier les pays africains. Ils parlent d’attaques à la souveraineté de leurs pays, ce qui est réel. Mais je pense que beaucoup d’entre eux sont en réalité en train de négocier de l’argent, en particulier sur la question des brevets. L’Afrique est un réservoir d’agents pathogènes, un « potentiel pandémique » à monnayer. Ce sont les nouvelles « mines ».

Cela dit, toute cette histoire autour des « traités pandémies » cache un problème fondamental qui est le fait qu’une forme de gouvernance mondiale tacite existe déjà. En réalité, avec les Young Global Leaders du Forum économique mondial, tout cela est déjà mis en œuvre partout sous couvert d’urgence et d’adaptation aux nouvelles normes. Regardez, l’Agence européenne des médicaments autorise les produits de thérapies géniques ou la mise sur le marché de substances non testées et l’Europe introduit l’identité numérique. Cela se passe même sans le concours de l’OMS. Nous sommes hypnotisés par ce qui va se passer à Genève, mais en réalité le problème est partout.

Le business a supplanté la science

Nos gouvernements ne nous défendent pas. Ils sont au service de ces multinationales avec la complicité des banques, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et leurs partenaires à Davos.

Vous savez, l’Empire allemand s’est constitué pour créer un marché commun. C’est l’industrie qui a voulu cela, pas les agriculteurs, ni le peuple. Et bien, c’est aussi la logique qui préside à la constitution de l’Europe. C’est le principe de la globalisation : il y a des produits qu’il faut écouler à des consommateurs. Tout cela n’a rien à voir avec la santé, la démocratie ou les droits humains. C’est du pipeau.

La preuve est que nous en sommes au point où il est devenu impossible de critiquer qui ou quoi que ce soit. Pourtant c’est ce qui nourrit la démarche scientifique : le doute et la critique. C’est vraiment grave. On devrait se souvenir des conséquences que cela peut avoir. Je pense par exemple aux dégâts d’un médicament comme le Softenon qui a causé tant de malformations congénitales. Si plus personne ne peut se plaindre, ni contester leurs affirmations et leurs produits, nous sommes en danger.

Pourquoi les médecins et les politiques ne réagissent-ils pas ?

Ils ont tiré les leçons de leurs précédents échecs ! Lors de la pandémie H1N1, nous avons été plusieurs médecins à déconseiller l’utilisation de vaccins expérimentaux. En Allemagne, à peine 4 millions de personnes avaient été vaccinées, alors que le gouvernement avait commandé 50 millions de doses. Cette fois-ci, on a écarté les médecins pour mener une opération militaire2. Rappelez-vous au début, les vaccins devaient être conservés à très basse température et il fallait aller dans des centres de vaccination. Les médecins ont été évincés durant toute une année. Ensuite, cette affaire de température a soudainement disparu, et quand les médecins ont été autorisés à vacciner, on leur a donné beaucoup d’argent pour le faire.

Quant aux politiciens, ils obéissent tous à la politique des partis. Il est rare de trouver encore des députés qui ont une véritable personnalité. Aujourd’hui, ils sont comme des fonctionnaires qui appliquent un programme économique. Des notions comme la gauche et la droite n’ont plus de signification. Au niveau européen, ils se contentent de créer des monopoles.

D’ailleurs, l’Europe ne veut-elle pas soustraire la santé aux États membres ? L’Union a mené toute la politique covidienne avec l’argument des « menaces transfrontalières ». À présent, elle crée HERA, une nouvelle agence qui va centraliser les données de santé et gérer les mesures sanitaires pour se préparer aux pandémies. Et avec la réforme du Traité de Lisbonne qui se prépare, l’Union semble vouloir complètement accaparer la compétence santé.

Tout à fait ! Nous sommes les victimes de cette Commission et de sa présidente Ursula von der Leyen. Les Britanniques se sont retirés à temps. Nos gouvernements doivent insister sur le principe de subsidiarité. En principe toutes les compétences relèvent d’abord des pays de l’Union, sauf s’il y a une raison spécifique pour laquelle la Commission est plus qualifiée. Mais ce n’est certainement pas le cas ici. Nous avons été trahis par l’Europe. Le problème est qu’il y a tant de chantage et de corruption à la tête des gouvernements. Pour moi, je ne vois qu’une résistance à l’échelle locale… Vous savez « le petit village gaulois » (rire).

La décentralisation du pouvoir est une discussion fondamentale. De manière générale pour la politique européenne et aussi en matière de santé. Je prends l’exemple de la Suisse où le pouvoir régional des cantons est encore assez fort. J’ai été invité récemment à un symposium sur les médecines palliatives et j’ai été émerveillé de voir que chaque canton faisait les choses à sa manière. C’était un échange très riche, parce que chacun a présenté ce qu’il faisait et c’était inspirant pour les autres. C’est un très bon système.

Malheureusement, on y voit la même tendance. Il y a la révision de loi sur les épidémies qui pourrait limiter la compétence des cantons et soumettre la Suisse aux diktats de l’OMS.

C’est vraiment dommage. On peut faire tellement mieux avec une médecine adaptée aux individus et à l’échelle locale. Avec toutes ces mesures uniformes, il n’y a plus de diagnostic différentiel, ni de solutions adaptées aux circonstances de vie des populations et des personnes.

De même pour l’évaluation des risques. Il était évident, en mars 2020, que le Coronavirus n’était pas une véritable menace, mais plutôt une grande pièce de théâtre, menée par des décisions politiques. Et lorsqu’il y a eu des décès, on sait de quoi les gens sont morts : le confinement, le refus d’une prise en charge précoce, l’interdiction d’utiliser des traitements disponibles et surtout, dans les maisons de repos et les hôpitaux, l’administration du Midazolam (équivalent du Rivotril). Les gouvernements devraient analyser tous les échecs des mesures, mais ils ne le font pas.

Pouvons-nous sortir de ce système ?

Bien sûr. En fait, la santé, ça commence dans les quartiers. L’homme ne peut pas influencer le climat, il ne peut que s’y adapter. Il n’est pas nécessaire de mener des politiques de santé à l’échelle mondiale. Je pense qu’il faut revenir à une gestion locale. Cela permet d’avoir plus de transparence, une meilleure adaptation à une réalité du terrain et surtout de demander des comptes aux responsables en place. Un tel changement serait déjà énorme. Dans les circonstances actuelles, je pense que nous n’avons pas besoin de l’OMS.


1 NDLR Voir le dossier Vaccins et virus qui évoque notamment le caractère non scientifique de la virologie et la réfutation de l’hypothèse virale.

2 La prochaine fois, les mondialistes auront une méthode encore davantage peaufinée, avec notamment les lois de censure contre les résistants. Le seul moyen réaliste et de portée humaine d’empêcher cela est de faire tomber la pierre angulaire de l’édifice — la théorie des germes et sa fille virale (voir la note 1). Pour l’instant, étant donné le faible nombre de personnes en général et de personnels soignants en particulier à remettre en question ces croyances et à s’ouvrir à un nouveau paradigme médical, cela semble utopique. Pourtant, sans ces théories (qui ont été scientifiquement réfutées), les mesures sanitaires ne présentent plus la moindre justification et l’industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements complices s’effondreraient tous rapidement, entraînant ensuite le Nouvel Ordre Mondial dans leur chute.




Quelqu’un m’a dit…

Par Alain Tortosa

  • Que lâcher une bombe atomique sur le Japon avait sauvé des vies alors que les USA l’avaient déjà rasé avec des bombes conventionnelles et qu’il préparait sa reddition avant même ces atrocités.
  • Qu’un tueur fou isolé avait tué JFK d’une balle capable de faire des virages à 90 degrés et qu’incriminer la CIA, le Président Johnson ou le Mossad relevait du délire.
  • Qu’aller sur la Lune à la fin des années 60 était de la routine alors même que ce n’est plus possible avec la technologie de 2024.
  • Que le 11 septembre 2001 deux (2) avions avaient réussi à faire s’effondrer trois (3) tours.
  • Que Colin Powell avait pénétré dans l’ONU en 2003 avec une fiole en verre non protégée contenant de l’anthrax au risque de tuer tous les participants à la réunion. Qu’une jeune femme oubliant de dire qu’elle était la fille de l’ambassadeur du Koweït avait assisté à la barbarie des soldats irakiens sortant des bébés de leur couveuse pour les jeter dans la rue.
  • Que Macron avait été réélu en 2017 alors qu’une erreur informatique avait attribué à Marine Le Pen 14 millions de voix avant de la faire retomber à 11,2 millions quelques minutes plus tard.
  • Que Trump était un fou dangereux, malhonnête et paranoïaque affirmant que le vote électronique aurait permis de voler les élections alors que chacun sait qu’il est infaillible.
  • Que Poutine n’avait pas hésité à utiliser le vote électronique pour truquer les élections en 2024.
  • Que le Covid était une maladie tellement mortelle qu’il fallait porter un masque sur lequel il était inscrit « ne protège pas des virus ». Et que l’OMS obligeait à déclarer Covid un mort du cancer.
  • Que jamais un passe serait nécessaire pour aller au resto ou permettre aux enfants de faire du sport.
  • Qu’un vaccin miraculeux existait, qu’il empêcherait la contamination et nous sauverait.
  • Que ce vaccin n’avait aucun effet secondaire ou tellement exceptionnel qu’il était recommandé de le prescrire aux femmes enceintes et aux enfants non concernés par cette maladie.
  • Que la France était une démocratie… où le Président peut assigner à résidence toute la population sans vote de l’assemblée, quand toutes les lois peuvent passer avec un 49.3, quand pour se présenter il faut 500 signatures de grands électeurs et la puissance d’un parti pour avoir sa chance.
  • Que la France était une démocratie alors que les Français s’étaient prononcés majoritairement contre la Constitution européenne puis un gouvernement piétina le choix des électeurs.
  • Que les sanctions contre la Russie qui ont ruiné l’économie française et européenne, entraîné une explosion du prix de l’énergie, allaient porter leur fruit alors que nous voyons l’inverse.
  • Que Poutine était fou au point de tirer sur la centrale nucléaire qu’il contrôlait, saborder ses gazoducs et bombarder son seul pont lui permettant de rejoindre la Crimée depuis la Russie.
  • Que l’Ukraine allait gagner contre la Russie dotée de l’arme atomique et de missiles hypersoniques inarrêtables, quand nul n’a jamais pu, comme Napoléon ou Hitler.
  • Qu’il y avait un nombre de genres infinis, qu’un enfant de 6 ans avait le droit moral (et légal selon les pays, sans demander l’accord des parents) de débuter sa transition, qu’il était suffisamment mûr pour cela tandis qu’il ne l’était pas pour décider de manger une glace juste avant l’heure du repas.
  • Que le réchauffement climatique allait nous tuer, que le CO2 était mortel et source d’anéantissement tout en étant 20 fois supérieur du temps des dinosaures et qu’il verdissait la planète.
  • Que les USA étaient les gentils alors qu’ils ont tué des millions de civils dans différents conflits, tandis que Poutine le barbare mériterait d’être traduit en justice pour crime contre l’humanité lorsque 10 civils sont tués lors d’un bombardement en Ukraine.
  • Que l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution était une grande victoire pour les femmes et l’Humanité, qu’il était menacé (234 000 avortements pour 725 000 naissances en France, dans un pays ou le taux de fécondité s’effondre).
  • Que le Brexit a sonné la mort du Royaume-Uni et que le Frexit sonnerait la mort de la France.
  • Que l’Europe est source de liberté (cf. lois Covid, environnementales, censure, etc.), source de richesse (cf. effondrement économie, tarif énergie) et source de paix (cf. guerre en Ukraine).
  • Que l’euthanasie pour des vieux, des pauvres, des malades mentaux ou des enfants dépressifs relevait de l’humanisme.
  • Que lorsque les températures étaient au-dessus des normales c’était la preuve du réchauffement climatique et lorsqu’elles étaient en dessous ce n’était qu’un phénomène météorologique.
  • Que l’État islamique a répandu la mort en Russie, que Poutine a laissé faire alors que les Américains en guerre contre la Russie avaient eu la gentillesse de le prévenir. Que nous savons que l’Ukraine n’y est pour rien et qu’il est totalement logique que les islamistes veuillent s’en prendre à la Russie qui vient d’être accusée d’être aux côtés du Hamas (musulmans) dans la bande de Gaza.

On m’a dit tellement d’autres choses et on m’en dira tellement d’autres. Le plus merveilleux est que je crois encore toutes ces affirmations, sans les questionner ni les relier.

Comment pourrais-je en douter, 100 % des médias et des politiques disent la même chose !

Merci

Alain Tortosa1

26 mars 2024 https://7milliards.fr/tortosa20240326-quelqu-un-m-a-dit.pdf





Tête à tête — Pierre Jovanovic et Carlo Brusa

[Source : Reaction19 Italia]




Malinformation : la dernière trouvaille des censeurs pour supprimer les « vérités qui dérangent »

L’UE s’en empare avec son Media Freedom Act, sous prétexte de protéger les journalistes et la liberté de la presse :

[Source : Ciel Voilé]






L’État français n’aime pas ceux qui lui résistent




Rapport divulgué : Israël reconnaît que les Juifs sont en fait des Khazars ; Plan secret de migration inversée vers l’Ukraine

[Source : The Times of Israël]

[Illustration : Guy Boulianne]

… une publication du quotidien israélien The Times of Israël (…) précise quIsraël reconnaît les Juifs comme des Khazars et (…) confirme la réalité d’une Nouvelle Khazarie en territoire ukrainien. « Le successeur à petite échelle de l’empire médiéval de Khazaria (comme on appelait autrefois la péninsule) s’appellerait, en yiddish, Chazerai. » Je tiens à faire remarquer qu’une note de l’éditeur a été ajoutée en rouge au-dessus de cette publication, affirmant que « ce billet de blog est une œuvre de satire ». Curieusement, cette note a été ajoutée le 28 février 2022, quatre jours très exactement après le déclenchement de l’opération militaire spéciale par ordre du président russe Vladimir Poutine. Du 18 mars 2014 au 27 février 2022, cette note de l’éditeur n’apparaissait nulle part. On tente donc de camoufler la vérité en faisant croire que cet article est une « œuvre de satire ».

Guy Boulianne
(dans Les Juifs peuvent vivre sur le territoire, là où ils habitaient historiquement, en tant que peuple souverain… Ce sera sur les rives de la mer Noire)

[Voir aussi les articles de Guy Boulianne sur le sujet, dont :
Nouvelle Khazarie : « la Grande Eurasie n’est pas un projet géopolitique abstrait, mais un projet civilisationnel tourné vers l’avenir » (V. Poutine)]

Par Jim Wald
Jérusalem et Zhitomir, 16 mars/Adar II 14

(Nos correspondants russes et ukrainiens Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass ont également contribué à cet article, retardé en raison de la crise liée au référendum en Crimée).

Développements rapides

Les personnes qui suivent les affaires du Moyen-Orient savent deux choses : il faut toujours s’attendre à l’inattendu et ne jamais exclure le Premier ministre Binyamin Netanyahou, qui a plus de vies politiques que le chat proverbial.

Hier encore, on apprenait que les rebelles syriens envisageaient de céder à Israël le plateau du Golan en échange de la création d’une zone d’exclusion aérienne contre le régime d’Assad. On apprend aujourd’hui qu’Israël va retirer ses colons des communautés situées au-delà des blocs de colonies et les relocaliser, au moins temporairement, en Ukraine, ce qui est encore plus audacieux. L’Ukraine a conclu cet accord sur la base de liens historiques et en échange d’une aide militaire indispensable contre la Russie. Ce surprenant retournement de situation a une origine encore plus surprenante : la génétique, un domaine dans lequel les chercheurs israéliens excellent depuis longtemps.

Un peuple turc belliqueux et un mystère

Il est bien connu qu’au cours des huitième et neuvième siècles, les Khazars, un peuple guerrier turc, se sont convertis au judaïsme et ont régné sur un vaste domaine dans ce qui est devenu la Russie méridionale et l’Ukraine. Ce qu’il est advenu d’eux après la destruction de cet empire par les Russes aux alentours du XIe siècle reste un mystère. Beaucoup ont émis l’hypothèse que les Khazars sont devenus les ancêtres des Juifs ashkénazes.

L’Empire khazar, d’après la carte de M. J-H. Schnitzler
de L’Empire de Charlemagne et celui des Arabes
(Strasbourg, 1857)

Les Arabes citent depuis longtemps l’hypothèse khazare pour tenter de nier la revendication historique des Juifs sur la terre d’Israël. Lors du débat des Nations unies sur le partage de la Palestine, Chaim Weizmann a répondu, sarcastique : « C’est très étrange. Toute ma vie, j’ai été juif, je me suis senti juif, et j’apprends maintenant que je suis un Khazar ». Dans une veine plus folklorique, le Premier ministre Golda Meir a déclaré de façon célèbre : « Khazar, Schmazar, Khazar, Khazar, Khazar, Khazar » : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connaissais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-moi ces Khazars dont vous parlez ».

Un peuple guerrier :
Hache de combat khazar, vers les 7e-9e siècles

L’ex-communiste et scientifique hongrois Arthur Koestler a présenté l’hypothèse khazare à un public plus large avec The Thirteenth Tribe (La treisième tribu) (1976), dans l’espoir que la réfutation d’une identité « raciale » juive commune mettrait fin à l’antisémitisme. Il est clair que cet espoir ne s’est pas concrétisé. Plus récemment, l’historien israélien de gauche Shlomo Sand, dans son ouvrage The Invention of the Jewish People (L’invention du peuple juif), a orienté la thèse de Koestler dans une direction qu’il n’avait pas envisagée, en soutenant que les Juifs, en tant que communauté religieuse descendant de convertis, ne constituent pas une nation et n’ont pas besoin d’un État qui leur soit propre. Les scientifiques ont toutefois rejeté l’hypothèse khazare, car les preuves génétiques ne concordaient pas. Jusqu’à aujourd’hui. En 2012, le chercheur israélien Eran Elhaik a publié une étude prouvant que l’ascendance khazare est l’élément le plus important du patrimoine génétique ashkénaze. Sand s’est déclaré justifié, et des organes progressistes tels que Haaretz et The Forward ont claironné les résultats.

Israël semble enfin avoir jeté l’éponge. Une équipe de spécialistes issus d’institutions de recherche et de musées de premier plan vient de remettre au gouvernement un rapport secret reconnaissant que les Juifs d’Europe sont en fait des Khazars. (Reste à savoir si cela entraînera une nouvelle proposition de révision des paroles de « Hatikvah »). À première vue, il s’agit de la pire nouvelle possible, étant donné l’insistance du Premier ministre sur la nécessité pour les Palestiniens de reconnaître Israël comme un « État juif » et la stagnation des pourparlers de paix. Mais d’autres l’ont sous-estimé à leurs risques et périls. Un collaborateur a plaisanté en disant que lorsque la vie vous tend un étrog, vous construisez une soukka.

S’exprimant officieusement, il a expliqué : « Nous avons d’abord pensé que le fait d’admettre que nous sommes vraiment des Khazars était un moyen de contourner l’insistance d’Abbas sur le fait qu’aucun Juif ne peut rester dans un État palestinien. Nous étions peut-être en train de nous raccrocher à une paille. Mais lorsqu’il a refusé de l’accepter, nous avons été contraints de réfléchir à des solutions plus créatives. L’invitation ukrainienne au retour des Juifs a été une aubaine. Il serait difficile, pour des raisons logistiques et économiques, de réinstaller tous les colons en Israël dans un court laps de temps. Nous ne voulons certainement pas d’un autre fashlan(([1] Terme arabe signifiant échec — NdT)) comme l’expulsion des colons lors du Hitnatkut [désengagement] de Gaza.

« Nous ne parlons pas du retour de tous les Juifs ashkénazes en Ukraine.
Ce n’est évidemment pas pratique. »

Une source bien placée dans les milieux du renseignement a déclaré :

« Nous ne parlons pas du retour de tous les Juifs ashkénazes en Ukraine. Il est évident que ce n’est pas pratique. Comme d’habitude, la presse exagère et fait du sensationnel ; c’est pourquoi nous avons besoin de la censure militaire. »

Khazaria 2.0 ?

Tous les Juifs qui souhaitent revenir seraient accueillis sans condition en tant que citoyens, d’autant plus s’ils participent à l’infusion promise d’une aide militaire israélienne massive, comprenant des troupes, de l’équipement et la construction de nouvelles bases. Si le transfert initial fonctionne, d’autres colons de Cisjordanie seraient encouragés à s’installer également en Ukraine. Une fois que l’Ukraine, forte de ce soutien, aura repris le contrôle de l’ensemble de son territoire, l’actuelle République autonome de Crimée redeviendra un domaine juif autonome. Le successeur à petite échelle de l’empire médiéval de Khazarie (comme la péninsule était également connue autrefois) s’appellerait, en yiddish, Chazerai.

L’Empire khazar, carte de l’Europe à l’époque de Charles le Grand,
d’après Karl von Spruner, _Historisch-geographischer Hand-Atlas_
(Gotha, 1854)

Les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »

« Comme vous le savez, a poursuivi le porte-parole, le Premier ministre a répété à maintes reprises que nous sommes un peuple fier et ancien dont l’histoire remonte à 4 000 ans. Il en va de même pour les Khazars : ils sont juste derrière en Europe et leur histoire n’est pas aussi longue. Mais regardez la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre à l’intérieur des “frontières d’Auschwitz”. »

Pas de « frontières d’Auschwitz » :
l’étendue de l’empire khazar (en rose, à droite) apparaît clairement
sur cette carte de l’Europe vers 800, réalisée par Monin (Paris, 1841).
Comparez avec l’empire de Charlemagne (en rose, à gauche).

« Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne dira aux Juifs où ils peuvent ou ne peuvent pas vivre sur le territoire historique de leur existence en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire des sacrifices douloureux pour la paix, même si cela signifie renoncer à une partie de notre patrie biblique en Judée et en Samarie. Mais il faut alors s’attendre à ce que nous exercions nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que ce serait sur les rives de la mer Noire, où nous avons été un peuple autochtone pendant plus de 2000 ans. Même le grand historien non sioniste Simon Dubnow a déclaré que nous avions le droit de coloniser la Crimée. C’est dans tous les livres d’histoire. Vous pouvez le vérifier ».

Ancienne-Nouvelle Terre ?

Mer Noire, montrant la présence des Khazars en Crimée
et dans les régions côtières :
Rigobert Bonne, Imperii Romani Distracta.
Pars Orientalis, (Paris, 1780).
Notez l’Ukraine et Kiev en haut à gauche.
À droite : La mer Caspienne, également désignée,
selon la coutume, comme la mer des Khazars.

« Nous aimerions penser qu’il s’agit d’une sorte de patrie loin de la maison », a ajouté la source anonyme des services de renseignement. « Ou l’originelle », a-t-il ajouté avec un clin d’œil.

« Après tout, Herzl a écrit sur l’Ancienne-Nouvelle Terre, n’est-ce pas ? Et la transition ne devrait pas être trop difficile pour les colons parce que, vous savez, ils auront toujours l’impression d’être des pionniers : ils connaîtront le danger, construiront de nouveaux logements, porteront des armes. Les femmes pourront continuer à porter des foulards sur la tête, et la nourriture ne sera pas très différente de celle qu’ils mangent déjà ».

Rétrospectivement, nous aurions dû le voir venir, a déclaré un vénérable arabisant du département d’État, en comptant les signes sur ses doigts : un rapport peu remarqué selon lequel la Russie sévissait contre la contrebande israélienne d’objets khazars, les décisions de l’Espagne et du Portugal d’accorder la citoyenneté aux descendants de leurs Juifs expulsés, ainsi que des preuves que d’anciens soldats de Tsahal étaient déjà à la tête de milices soutenant le gouvernement ukrainien. Et maintenant, peut-être aussi la possibilité que l’avion malaisien disparu ait été détourné vers l’Asie centrale.

Un journaliste chevronné du Moyen-Orient a déclaré :

« C’est problématique, mais d’une manière perverse, c’est brillant. D’un seul coup, Bibi a réussi à confondre amis et ennemis. Il a renvoyé la balle dans le camp des Palestiniens et allégé la pression exercée par les Américains, sans pour autant faire de véritables concessions. En s’alliant aux rebelles syriens et à l’Ukraine, ainsi qu’à la Géorgie et à l’Azerbaïdjan, il compense la perte de l’alliance turque et met la pression sur Assad et sur l’Iran. Et le nouvel accord gazier chypriote-israélien soutient l’Ukraine et affaiblit l’influence économique des Russes et des États pétroliers du Golfe. Tout simplement génial ».

Réactions du monde entier

Étant donné la confluence du week-end et des fêtes de Pourim et de la Saint-Patrick, les journalistes se sont précipités pour obtenir des réponses. Les réactions du monde entier ont afflué.

  • Les membres du Conseil des colons YESHA, dont certains sont manifestement épuisés par l’excès de slivovitz, ont été complètement pris au dépourvu. Toujours méfiants à l’égard de Netanyahou, qu’ils considèrent comme un opportuniste rusé plutôt que comme un allié idéologique fiable, ils ont refusé de faire des commentaires avant d’avoir mieux évalué la situation.

La plupart des réactions hâtives ont été classées dans les catégories prévisibles.

  • Les groupes antisémites de droite se sont emparés de cette histoire pour justifier leurs théories du complot, affirmant qu’il s’agissait de l’aboutissement du plan séculaire des Juifs pour venger la défaite de la Khazarie par les Russes au Moyen-Âge, une reprise du soutien d’Israël à la Géorgie en 2008. « Les Juifs ont une mémoire aussi longue que leur nez », a déclaré l’un d’eux.

Un continuum de conquête et de cruauté ?

  • Depuis Ramallah, un porte-parole du Fatah a déclaré que l’offre était un début, mais qu’elle était loin de répondre aux exigences de l’Autorité palestinienne. En montrant l’image d’un guerrier khazar provenant d’un artefact archéologique, il a expliqué :

Il existe un continuum de conquête et de cruauté. C’est très simple, la génétique ne ment pas. Nous en voyons les résultats aujourd’hui : le régime sioniste et les forces d’occupation brutales descendent de barbares belliqueux. Les Palestiniens descendent de pasteurs pacifiques, en fait, des anciens Israélites que vous avez faussement revendiqués comme vos ancêtres. Soit dit en passant, il n’est pas vrai que vos ancêtres aient un jour eu un temple à Jérusalem.

  • Le célèbre site Internet non officiel de renseignements DAFTKAfile, dont la fiabilité n’est plus à démontrer, a admis :

Nos visages sont rouges. Nous avons été pris au dépourvu et avons pensé que le retour en Espagne et au Portugal était la véritable histoire. De toute évidence, il s’agissait d’une feinte impeccablement planifiée et intelligente visant à détourner l’attention de la révolution à venir en Ukraine. Bien joué, le Mossad.

  • Le blogueur prolifique Richard Sliverstein, dont la connaissance de la culture juive et l’étrange capacité à découvrir les secrets militaires suscitent régulièrement l’étonnement, même parmi ses détracteurs, a commenté l’événement :

Franchement, je suis surpris que mes sources du Mossad ne m’aient pas transmis cette histoire en premier. Mais j’avais une date limite pour un essai sur la signification kabbalistique des graines de sésame, l’ingrédient principal du houmous, et je n’ai donc pas rattrapé mon retard dans mes courriels. Mais est-ce que je me sens justifié ? Oui, mais ce n’est qu’une maigre satisfaction. Cela fait des années que je dis que les Juifs descendent des Khazars mongols-tatars, mais cela n’a guère entamé l’armure de propagande de ces abrutis de hasbaroïdes(([2] D’après l’IA de Microsoft, Hasbaroid (traduit ici par « hasbaroïde ») est souvent associé à la propagande pro-israélienne et à la défense des politiques controversées d’Israël. C’est un terme qui suscite des débats et des opinions divergentes)) sionistes.

  • Un responsable d’une importante ONG de défense des droits de l’homme a déclaré :

L’évacuation des colonies illégales doit faire partie de tout accord de paix, mais le fait de forcer les colons à quitter la Palestine pour les réinstaller ensuite en Ukraine pourrait constituer une violation de la quatrième convention de Genève. Nous verrons ce que la CPI a à dire à ce sujet. Et s’ils pensent qu’ils peuvent avoir la gâchette encore plus facile en Ukraine qu’en Cisjordanie, ils ne sont pas au bout de leurs peines.

  • Le porte-parole des ultra-orthodoxes, Menuchem Yontef (anciennement d’Inowraclaw), s’est félicité de cette nouvelle :

Nous rejetons l’État sioniste, qui est illégitime jusqu’à ce que Machia’h(([3] ou Messiah Le Messie juif)) vienne. Nous ne nous soucions pas de l’endroit où nous vivons tant que nous pouvons étudier la Torah et obéir pleinement à ses commandements. Cependant, nous refusons de servir dans l’armée, là comme ici. Et nous voulons aussi des subventions. C’est la volonté de Dieu.

Nous applaudissons cette cohérence de principe. Si seulement tous les Juifs pensaient comme Menuchem Yontef — en fait, j’aimerais les appeler « Juifs Menuchem Yontef » : « Juifs M. Y. », l’antisémitisme disparaîtrait et les membres des trois religions abrahamiques cohabiteraient à nouveau pacifiquement ici, comme ils le faisaient avant l’avènement du sionisme. L’État-nation est une relique du dix-neuvième siècle, qui a causé d’innombrables souffrances. La tâche la plus urgente pour la paix mondiale est la création immédiate d’une Palestine libre et souveraine.

  • Judith Buntler, universitaire et théoricienne de renom, s’est interrogée à ce sujet :

Il peut sembler paradoxal d’établir l’altérité ou l’« interruption » au cœur des relations éthiques. Mais pour le savoir, il faut d’abord s’interroger sur la signification de ces termes. On pourrait affirmer que le trait distinctif de l’identité khazare est qu’elle est interrompue par l’altérité, que la relation au gentil définit non seulement sa situation diasporique, mais aussi l’une de ses relations éthiques les plus fondamentales. Bien qu’une telle affirmation puisse être vraie (ce qui signifie qu’elle appartient à un ensemble d’affirmations qui sont vraies), elle parvient à réserver l’altérité en tant que prédicat d’un sujet antérieur. La relation à l’altérité devient un prédicat de l’« être khazar ». C’est tout autre chose de comprendre que cette même relation remet en question l’idée que « Khazar » est une sorte d’être statique, un être qui est décrit de manière adéquate comme un sujet. Les projets de coexistence ne peuvent commencer qu’avec le démantèlement du sionisme politique.

n’est pas la « solution à deux États » qu’ils attendaient ?

  • Ali Abubinomial, leader du mouvement anti-israélien BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), l’a dit plus simplement. Frappant son bureau, il a fulminé :

Alors, IsraëletKhazarie ?C’est ce que les sionistes entendent par « solution à deux États » ! Faites le calcul ! Personne n’a lu mon livre ?

  • Les étudiants pour la justice en Palestine (SJP) ont convoqué une réunion d’urgence pour établir des liens avec l’Organisation de libération des Pechenegs (OLP), déclarant que « les Pechenegs ne doivent pas payer le prix de l’antisémitisme européen ». Le nouveau groupe de solidarité, « Students for Pechenegs in Ukraine » (SPUK), a proclamé comme devise :

« De la mer Noire à la mer Caspienne, nous trouverons quelqu’un à libérer ! ».

  • Pour sa part, Myron Benvenuti, militant pour la paix et ancien administrateur de Jérusalem-Est, a répondu avec sérénité :

« Je n’ai aucune raison de m’inquiéter : Je suis séfarade et ma famille vit ici depuis des siècles. De toute façon, si je dois aller ailleurs, ce sera en Espagne, pas en Ukraine : plus de soleil, moins de coups de feu ».

Le consensus de la grande majorité du « Moyen Israël », qui estime que Netanyahou n’en fait pas assez pour la paix et qui met également en doute la sincérité des Palestiniens, est sceptique et désespéré. Une femme a déclaré, frustrée :

« Nous aspirons tous à un accord, mais nous ne voyons pas comment y parvenir. Pour l’instant, tout ce que nous voyons, c’est ce Chazerai. »

* * *

Mise à jour du 17 mars :

Les derniers rapports, notamment la reconnaissance par Vladimir Poutine de la Crimée en tant qu’« État souverain et indépendant » et l’estimation selon laquelle le déplacement des colons israéliens dans le cadre d’un accord de paix coûterait 10 milliards de dollars, confirment les détails de l’article ci-dessus. Éd.

À propos de l’auteur

Jim Wald est professeur au Hampshire College, où il enseigne l’histoire culturelle de l’Europe moderne, y compris l’histoire de l’antisémitisme et du fascisme, ainsi que l’histoire du livre.


Notes (non présentes dans l’article source)




Robert Kennedy Jr futur président des États-Unis ?

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers lecteurs,

Suite à la vidéo précédente où Robert Kennedy Jr appelait à la libération immédiate de Julian Assange, vous avez été nombreux à m’écrire. Certains m’ont demandé si Kennedy « allait finalement se présenter aux élections américaines », d’autres « s’il était toujours dans la course », d’autres encore « si je pensais vraiment qu’il a la moindre chance » et finalement on a même tenté de me convaincre que « Kennedy allait se rallier à Trump ».

Quelques réponses rapides :

Robert Kennedy Jr est candidat aux élections présidentielles depuis le 4 avril 2023. Il s’est d’abord présenté en tant que membre du parti démocrate. Ce parti a construit son succès sur l’héritage des valeurs prônées par l’ancien président John F. Kennedy et son frère Robert Kennedy, le père de l’actuel candidat, tous deux assassinés par la CIA.

RFK Jr ou « Bobby » a passé des mois à demander que le parti démocrate accepte une confrontation avec Joe Biden, mais cela lui a été systématiquement refusé. Convaincu de la dérive monumentale de toute la classe politique américaine, et des institutions du pays, il a donc décidé de se présenter seul. C’est un challenge incroyable, parce que cela signifie qu’il doit récolter des signatures dans chaque état américain pour pouvoir figurer sur les listes, alors que tout cela n’est pas nécessaire pour les candidats affiliés aux partis républicain et démocrate.

Kennedy est aussi obligé de financer sa campagne tout seul : il ne bénéficie pas de l’argent des caisses du parti, les médias l’ignorent complètement, il doit voyager à travers tous les états pour constituer les listes et il est obligé d’assurer sa propre sécurité, parce que le gouvernement lui refuse des services de protection rapprochée.

Aucun candidat indépendant n’a jamais remporté les élections américaines… et l’on sait aujourd’hui parfaitement que les élections sont truquées… et pourtant je crois réellement que malgré tout cela, « Bobby » pourrait créer la surprise.

La raison est simple : les Américains en ont, tout comme nous, complètement ras le bol de leur classe politique. Seuls 22 % ont encore confiance dans leur gouvernement ou dans les médias. 1 américain sur 2 n’a pas assez d’argent que pour avoir un mois de loyer d’avance. Beaucoup sont écœurés par les guerres en Ukraine et à Gaza, les politiques de vaccination obligatoire, la censure, la violation constante des principes de la démocratie. Les jeunes ne regardent plus la télé. Les personnes qualifiées en ont assez de politiques qui parlent à la foule à coup de téléprompteur ou de slogans. Donc…

oui : Kennedy est toujours dans la course et même en tête des intentions de vote chez les jeunes… Il est en train de devenir le héros du monde « alternatif », de ceux qui ont une autre vision du futur. Selon CNN, « il serait idiot de ne pas prendre en compte l’hypothèse que les sondages indiquent : Kennedy a de meilleurs scores que n’importe quel candidat indépendant ou suppléant depuis des générations ».

Non : il ne se ralliera jamais à Trump, inutile de m’envoyer des tweets de blogueurs qui affirment le contraire, je connais son opinion personnelle sur la question. Trump n’a pas « nettoyé le marécage », il a approuvé des injections génocidaires développées dans des labos militaires et les a qualifié de « miracles », sans jamais le regretter. No Way, jamais…

Je vous invite à voir cette vidéo de 5 min pour découvrir qui il est et pourquoi je pense que beaucoup d’américains sont prêts à voter pour lui !

Cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo sur le site source

Dernière remarque : on me dit en commentaire « qu’il voit juste pour l’Ukraine, mais qu’il est aveugle pour Israël ».

Réponse : c’est vrai qu’il a condamné les attaques du Hamas et déclaré son soutien à Israël dans les premiers jours. Hamas est tout de même un groupe terroriste odieux. Je pense que maintenant tout le monde a compris que les Palestiniens sont sous la coupe du Hamas et les Israéliens sous la coupe des sionistes et que le tout est mené par des banquiers mondialistes. Kennedy est avant tout « pour la paix ». C’est déjà le plus important. Après, il s’attaque déjà à tous les grands lobbys et ça fait 5 ans qu’on le taxe d’extrême droite et d’antisémite (moi aussi on me taxe d’extrême droite) parce qu’il critique la vaccination et le nouvel ordre mondial. J’imagine aisément qu’il ne veut pas prendre le lobby israélien de front, mais cela ne fait pas de lui un sioniste. (contrairement à Trump qui est un « sioniste-chrétien Chabad lubavitch »).




Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

[Source: conservativewoman.co.uk]

Par le Dr Mike Yeadon — 22 mars 2023

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions.

Cela soulève la question de savoir pourquoi on accorde une telle importance à la tempête médiatique autour de Fauci, de Wuhan et d’une éventuelle évasion du laboratoire. Après tout, les « coupables » exercent un contrôle important sur les médias. Il n’y a pas de journalisme indépendant à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme s’ils avaient besoin d’embarrasser l’establishment. Je fais remarquer aux lecteurs qu’ils ont choisi de le faire.

De qui s’agit-il quand je dis « ils » et « les auteurs » ? Il y a un certain nombre de candidats en lice pour ce poste, avec leurs complices des laboratoires pharmaceutiques, dont plusieurs sont nommés dans l’excellente série en cinq parties de Paula Jardine pour TCW, Anatomie du sinistre projet Covid. En haut de la liste, on trouve le Forum Économique Mondial et ses nombreux acolytes politiques, parmi lesquels Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Mais cela ne répond pas à la question de savoir pourquoi ils se concentrent sur la genèse du virus. À mon avis, ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que vous considérez cet événement exactement comme ils le souhaitent. Plus précisément, qu’il y a eu un nouveau virus.

Je ne suis pas le seul à l’avoir cru au début de la « pandémie », mais au fil du temps, j’ai vu suffisamment de preuves pour mettre cette idée en doute. En outre, dans le cadre d’un coup d’État mondial, je me suis mis à la place des auteurs les plus hauts placés et les plus cachés. Lors d’une séance de questions-réponses, ils apprendraient que l’effet d’un nouvel agent pathogène mis sur le marché ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel qu’ils ne l’avaient prévu et détruire des civilisations avancées. Ces décideurs de haut niveau concluraient, à mon avis, que ce risque naturel leur est intolérable. Ils aspirent à un contrôle total, et le large éventail de résultats possibles d’une dissémination délibérée milite contre ce plan d’action : « Non, nous n’allons pas faire cela. Revenez avec un plan où l’incertitude sur les résultats est très réduite ».

Je pense qu’ils ont choisi d’ajouter un mensonge supplémentaire à l’énorme pile de mensonges qui a entouré toute cette affaire. Ce mensonge consiste à dire qu’il y a déjà eu en circulation un nouveau virus respiratoire qui, de manière cruciale, a provoqué des maladies et des décès à grande échelle. En fait, ce n’est pas le cas.

Au lieu de cela, on nous a dit qu’il y avait un nouvel agent pathogène effrayant et on a fait monter le porno de la peur jusqu’à l’échelle 11, et on l’a maintenu à ce niveau. Cela va de pair avec les tricheries sur les séquences génétiques, les protocoles de test PCR (sondes, amorces, conditions d’amplification et de recuit, cycles), ignorant le matériel génétique contaminant provenant non seulement de prétendues sources virales humaines, mais aussi les sources bactériennes et fongiques. Pourquoi, par exemple, ont-ils dû insérer les bâtonnets de prélèvement directement dans nos sinus ? Était-ce pour maximiser les séquences génétiques non humaines ? (NdT : Le recuit est le processus d’assemblage de l’ADN ou de l’ARN simple brin par des liaisons hydrogène pour former un polynucléotide double brin).

Il est évident que nos dirigeants politiques et culturels, y compris la défunte reine, étaient heureux de se rencontrer et de se saluer sans se tester, sans se masquer et sans prendre de distance sociale. Ils n’avaient pas peur. Dans le scénario ci-dessus, quelques personnes auraient su qu’il n’y avait pas de nouveau danger dans leur environnement. S’il y avait vraiment un agent pathogène mortel dans le pays, je ne crois pas qu’ils auraient eu le courage ou le besoin d’agir avec nonchalance et de risquer d’être exposés au virus.

Ce qui me convainc le plus, ce sont les données américaines sur la mortalité toutes causes confondues (NdT : en anglais ACM pour All Cause Mortality) par État, sexe, âge et date d’apparition, telles qu’elles ont été analysées par Denis Rancourt et ses collègues. La tendance à l’augmentation de l’ACM n’est pas compatible avec la présence d’un nouveau virus respiratoire comme cause principale.

Si j’ai raison de dire qu’il n’y a pas eu de nouveau virus, quelle idée de génie que de prétendre qu’il y en a eu un ! Maintenant, ils veulent seulement que vous vous demandiez comment ce « virus tueur » s’est retrouvé dans la population humaine. S’agit-il d’une émergence naturelle (une chauve-souris sauvage a mordu un pangolin qui a fini par être vendu sur un marché de poissons de Wuhan) ou d’une création prétentieuse d’un chercheur chinois, aidé en cours de route par un chercheur de l’université de Caroline du Nord financé par Fauci, qui ont ainsi contourné une pause présidentielle sur ce type de travaux ? La question se pose ensuite de savoir si l’arrivée du virus dans le grand public est due à une négligence et à une fuite de laboratoire, ou si quelqu’un l’a délibérément propagé ?

Je dois également souligner que les auteurs de ces actes contrôlent hermétiquement les médias de masse par le biais d’une mainmise des grandes entreprises technologiques et du gouvernement, documentée en partie ici, ici et ici. C’est pourquoi ils ont trouvé si facile de censurer des gens comme moi. Si une histoire apparaît sur plusieurs réseaux de télévision, c’est qu’ils sont d’accord avec elle ou qu’elle a été activement mise en place. Elle ne sera pas authentique. Ils ne disent jamais la vérité. Je ne pense pas qu’ils aient dit la vérité depuis le début de ce coup d’État, et probablement bien avant. La plupart des soi-disant journalistes ont perdu de vue ce qu’était la vérité.

Je pense que les auteurs (qui pourraient être tout ou partie de Gates, Fauci, Farrar, Vallance, CEPI, EcoHealth Alliance, DARPA et de nombreux autres) ont semé la controverse sur les origines du SRAS-CoV-2 parce qu’un peu d’embarras pour l’establishment était un petit prix à payer pour persuader la plupart d’entre nous qu’il devait certainement y avoir un nouveau virus alors qu’il n’y en a pas. (Et ils s’en sont tirés jusqu’à présent).

Certains de mes collègues ne croient pas que ce que l’on nous a dit (à savoir qu’un virus a été construit expérimentalement) soit même possible sur le plan technologique. Je n’ai pas les connaissances nécessaires pour évaluer cette idée. Mais pour moi, le reste tient la route d’une manière qu’aucune autre explication ne permet.

À cet égard, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, Sasha Latypova, s’adressant à Robert F Kennedy Jr dans son podcast du jeudi 16 mars dernier, décrit les nombreuses preuves des contrats et des relations qui étaient en place avant l’ère Covid. Des contrats ont été signés pour des milliards de dollars en février 2020. Non seulement la production requise n’aurait jamais lieu (il est ridicule de signer un engagement d’une telle ampleur), mais elle ne peut pas être réalisée. Elle a estimé qu’il fallait environ un kilogramme d’ADN. Il n’y a pas autant d’ADN de qualité médicale sur la planète à un moment donné. Cela s’explique par le fait qu’il est difficile à fabriquer, très coûteux, entièrement sur mesure et difficile à stocker pendant de longues périodes. En outre, les quantités d’une séquence d’ADN spécifique requises et stockées par les fournisseurs commerciaux sont de l’ordre du milligramme, voire du gramme. Il a donc toujours été impossible, quelle que soit la somme d’argent dépensée, d’accomplir ce qu’ils prétendent avoir fait en peu de temps.

Par conséquent, les faits ne permettent pas d’autre conclusion que celle d’un crime de grande ampleur, largement planifié. En soi, cela exclut l’émergence naturelle d’un agent pathogène, à moins d’une providence divine. Logiquement, il ne reste plus qu’une fuite ou, comme je l’affirme, un mensonge et une opération psychologique. La première hypothèse est possible ou non, mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’une telle opération pourrait être réalisée, et se déroulerait probablement sans problème, avec un véritable agent pathogène. Si un agent pathogène est libéré, on peut s’attendre à presque tous les résultats, sauf celui que l’on souhaite vraisemblablement. Je ne peux arriver à aucune autre conclusion que celle d’un faux.

Pour conclure, je ne dis pas que les gens n’étaient pas malades ou qu’ils ne mouraient pas en grand nombre. Je ne discute que des causes des maladies et des décès. Les gens ont été rendus malades et certains ont été tués par toutes les causes préexistantes, amplifiées par la peur, ce qui a entraîné une immunosuppression et une série d’actions révoltantes. Notez même le chevauchement officiel des signes et symptômes de la « Covid-19 » et des maladies existantes. Ils ont notamment réduit de 50 % les prescriptions d’antibiotiques aux États-Unis en 2020. Ils ont veillé à ce qu’un grand nombre de personnes âgées fragiles soient ventilées mécaniquement (NdT : l’intubation qui est tellement douloureuse qu’il faut anesthésier les personnes — l’État de New York en avait commandé 20 000 à General Motors pour n’en utiliser que quelques-uns, car ils se sont rendu compte qu’ils tuaient les gens), une procédure qui, chez ces sujets, est presque contre-indiquée. Certaines se sont vu administrer du remdésivir, un poison pour les reins. Dans les maisons de soins, elles ont reçu du midazolam et de la morphine, des dépresseurs respiratoires dont l’association est quasiment contre-indiquée chez les patients souffrant de difficultés respiratoires. S’ils sont utilisés, ils doivent faire l’objet d’une surveillance étroite, le plus souvent au moyen de systèmes d’alarme automatisés reliés à une surveillance cardiorespiratoire vitale, y compris une surveillance des gaz sanguins au bout du doigt. Cela ne s’est pas produit dans les maisons de soins.

Je pense que la principale raison des mensonges sur le nouveau virus est un désir de prévisibilité et de contrôle total, avec l’intention clairement exprimée de transformer la société, en commençant par démanteler le système financier par des fermetures et des congés, tandis que l’objectif pratique immédiat de la fermeture était de fournir le casus belli pour injecter au plus grand nombre de personnes possible des substances conçues non pas pour induire une immunité, mais pour exiger une inoculation répétée, pour causer des blessures et la mort, et pour contrôler la liberté de mouvement. Je suis sûr qu’ils sont satisfaits d’avoir injecté au moins 6 000 000 000 de personnes.

Notez que, bien que l’on estime que 10 à 15 millions de personnes ont été tuées par des « vaccins » toxiques, il ne s’agit là que de la première des nombreuses injections d’ARNm à venir. Tout porte à croire que les moyens de vous forcer à en accepter dix autres ont été anticipés, car c’est le nombre de doses que votre gouvernement a accepté d’acheter. Acheter quoi ? Eh bien, il a déjà été question que tous les vaccins existants soient reformatés sous forme d’ARNm. Si c’est le cas, je ne pense pas qu’une personne à qui l’on aura injecté dix doses supplémentaires échappera à la mort ou à des maladies graves limitant l’espérance de vie. Inciter votre corps à fabriquer des protéines qui ne sont pas les siennes induira axiomatiquement une attaque auto-immune de la part de votre propre corps. Votre maladie sera liée à la destination de la dose injectée et, bien sûr, à la consistance du produit injecté. Jusqu’à présent, ils ont été terriblement irréguliers. Il n’est pas certain qu’ils auraient pu être fabriqués et lancés s’ils avaient été soumis aux exigences de qualité habituelles et s’ils n’avaient pas bénéficié d’autorisations « d’utilisation d’urgence ». Bien sûr, comme nous le savons maintenant, les régulateurs (NdT : les autorités de régulation du genre FDA ou CDC) ont joué un rôle important en plus de mentir à l’armée américaine, l’organisation qui a passé les premières commandes de « vaccins » et qui a fixé toutes les conditions contractuelles pour des sociétés telles que Moderna et Pfizer.

[Note de Joseph : s’il n’y a pas assez d’ADN médical sur la planète pour les contrats vaccinaux, pourquoi y aurait-il suffisamment d’ARNm pour produire des milliards de doses de vaccins ?
Plusieurs équipes de recherche indépendantes n’ont pas trouvé de traces organiques dans les vaccins (contrairement à celles qui prétendent que des doses étaient infectées par de l’ADN animal), mais ont trouvé de la nanotechnologie à base de graphène. L’idée de l’ARNm et de la supposée protéine Spike relève visiblement de la même arnaque globale, un écran de fumée de plus pour cacher le véritable contenu (le graphène) et la réelle finalité des vaccins anticovid et les nouvelles versions graphénisées des anciens vaccins (le transhumanisme). Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]

Les poulets rentrent à la maison pour se percher maintenant dans le système bancaire.

Comme je le dis toujours, je n’ai pas beaucoup de certitudes. Je n’ai pas de copie du scénario de ce qui est le plus grand crime de l’histoire. Mais, quelle que soit la nature du Covid, je ne crois pas que ce que l’on appelait la grippe ait disparu comme par hasard au début de l’année 2020. C’est un autre mensonge. C’est ce qu’ils font. C’est tout ce qu’ils font.

À ceux qui sentent que tout ne va pas bien, mais qui ne veulent pas faire le saut psychologique vers le monde diabolique dans lequel je pense que nous vivons actuellement, je signale l’asymétrie des risques. Si vous suivez le récit officiel et que j’ai raison, vous et vos enfants perdrez toutes vos libertés et probablement vos vies. Si vous croyez ce que je dis et que j’ai tort, on se moquera de vous. Ces options sont loin d’être équilibrées. Un acteur rationnel devrait cesser de croire ce qu’on lui dit. Ce n’est pas une position sûre que de garder votre conseiller et de baisser la tête. C’est la chose la plus dangereuse que vous puissiez faire.

Traduction Jean Bitterlin, 13 mars 2024




France — Vers la fin des médecines alternatives ?

[Source : drschmitz.com via santeglobale. world]

Par Dr Schmitz (29 février)

Définitivement balayée. La santé alternative va l’être d’ici quelques semaines.

Chère lectrice, cher lecteur, je suis désolé de vous l’annoncer.

C’est exactement ce qui va se produire si nous ne faisons rien.

L’article 4 de la loi contre les dérives sectaires, récemment votée à l’Assemblée nationale, de façon fort peu démocratique, nous met en face de cette situation tragique.

En effet, il s’agit d’empêcher toute possibilité d’expression contre la médecine officielle — celle des labos soutenus par l’État.

Les répercussions de cette loi sonnent la fin de la médecine alternative, et représentent la pire des menaces pour VOTRE santé.

Voici pourquoi.

Ils sonnent le glas de la santé alternative

Bientôt, cet article de loi va nous interdire de critiquer les traitements médicaux potentiellement nocifs pour les patients.

Cela veut dire que la médecine médicamenteuse, celle des laboratoires pharmaceutiques, sera considérée comme infaillible. Si elle est infaillible, il n’y a aucune raison de parler d’autres traitements.

Car prévenir plutôt que guérir, ou vous soigner par d’autres moyens que ceux privilégiés par l’État, c’est déjà supposer que la médecine officielle ne suffit pas.

C’est un comportement déviant que cette loi entend réduire au silence.

Il en sera ainsi de cette lettre d’information que vous lisez. Non seulement elle critique des injections expérimentales, mais en plus elle vous informe de médecines moins violentes que la médecine d’État…

Donc notre lettre, vous commencerez à ne la recevoir qu’une fois sur deux, puis sur trois, puis plus du tout. Et ainsi des autres lettres…

Mais cela ne s’arrête pas là. Aujourd’hui, tout ce qui existe, n’existe que parce qu’on en parle publiquement. Donc si ça s’arrête, ça n’existe plus.

À tomber dans le silence, la médecine alternative va tomber rapidement dans l’oubli.

Les magasins de remèdes naturels commenceront à disparaître, les sites internet, les salons, les herboristeries… et aussi les techniques de santé de pointe, les moins invasives.

Il ne s’agit donc pas seulement de nous faire disparaître, nous. Mais d’empêcher l’existence même d’une médecine qui ne traite pas ses patients comme des cobayes.

Cette loi que les labos attendent depuis si longtemps

Le mardi 13 février, à l’Assemblée nationale française, avait été refusé l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires — avant qu’il ne soit adopté de force.

Cet article 4 est proprement liberticide. C’est une condamnation de la médecine alternative. C’est aussi la porte ouverte à la tous les traitements expérimentaux à grande échelle.

En principe, cet article de loi condamne les gourous de secte qui font refuser des traitements à leurs « disciples ».

Mais il nous touche directement si l’État détermine que nos lettres vous dissuadent de prendre n’importe quel médicament (l’alinéa 4).

Et ce même si ce médicament est dangereux — puisqu’il ne pourra de toute façon pas être attaqué.

Ainsi, dans les faits, cet article de loi interdit toute remise en question — même scientifique — des laboratoires pharmaceutiques et de leurs relais dans l’opinion, notamment l’injection expérimentale anticovid.

Allez donc prouver ensuite que l’État a commis des crimes sous prétexte d’avoir obligé la population à prendre des traitements expérimentaux à grande échelle.

Ce sera impossible. Tout avis contraire à « l’état des connaissances médicales » (aux intérêts du lobby pharmaceutique) sera bâillonné d’avance.

C’est donc une loi pour étouffer toute critique de la médecine médicamenteuse et qui vise à détruire la médecine alternative.

Car, répétons-le, la médecine alternative n’existe que parce qu’elle a aujourd’hui des auteurs qui la font vivre dans l’opinion publique.

Ce climat de censure et de collusion dissimule donc quelque chose de beaucoup plus profond et même, de funeste.

Combien de morts a-t-il sur la conscience ?

Le débat sur l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires nous a valu une sortie de l’effroyable Olivier Véran à l’Assemblée nationale.

Or devant la représentation nationale, Olivier Véran, qui a fait injecter des produits expérimentaux aux 2/3 des Français a traité le professeur Didier Raoult de gourou !

Ce n’est pas la honte qui l’étouffe, mais la crainte.

Olivier Véran aurait-il du sang sur les mains suite à l’injection anticovid ?

Pour tous les jeunes qui ont fait des myocardites suspectes ? L’État en déclarait un petit millier début 2021, combien aujourd’hui ?1

Pour toutes les femmes qui se déclarent stériles ? Comme les 3 500 témoignages du collectif Où est mon cycle ?2

Pour tous les cancers qui se sont éveillés et réveillés, possiblement à la suite de la vaccination ?

Surtout après que les injections ARN fourmillent de traces d’ADN pouvant causer des cancers3, au point qu’en Floride, il est question d’interdire ces « vaccins » ?4

Par conséquent, on s’interroge sur la moralité de notre héros de la crise sanitaire, Olivier Véran. On se demande s’il peut encore se regarder dans un miroir. Il n’arriverait pas à le faire s’il y voyait ce que nous, nous y voyons.

Et puisque l’opinion publique réclame une enquête, et qu’il faudra un jour la faire, alors il intimide. Ce qui est tout à fait conforme à la belle idée que tant de Français se sont faits de lui.

L’autoritarisme glacial des vaccinateurs en masse

Nous savons que Mr Véran est l’ennemi des médias alternatifs, de la médecine alternative et de tous les médecins et chercheurs qui ont pris parti contre lui.

Et, non seulement il nous méprise, mais il nous persécute, il veut notre disparition.

L’avantage, c’est que nous n’avons plus grand-chose à perdre. Lui non plus apparemment, puisqu’au moment où nous écrivons, il a refait voter l’article 4 pour le faire passer en force, en prétextant un vice de forme…

Curieusement, beaucoup de députés se sont abstenus, ont été pris d’un soudain manque de courage. Ce qui a permis à l’article d’être adopté, et a créé un tollé… bien peu relayé dans les médias subventionnés.

Or les méthodes peu ragoûtantes du gouvernement sont connues : LFI a porté plainte en décembre dernier pour corruption contre Gérald Darmanin.5 (Ouest-France du 12 décembre dernier).

En effet, le ministre de l’Intérieur avait alors fait du chantage à un député pour faire basculer son vote. Sauf que son message a été envoyé à un homonyme du député en question ! Est-ce cela, une démocratie ?

Cela jette une lumière extrêmement suspecte sur le retrait de presque toute l’opposition concernant le « revote » de l’article 4…

C’est bien la fin qui nous menace

Ainsi, le soupçon que l’on ait tordu le bras des parlementaires sur le « revote » de cette loi, est plus fort que jamais. Surtout lorsqu’on sait combien l’industrie pharmaceutique a le bras long en politique.

Rappelons que jusqu’en 1995, de nombreux ministres de la Santé touchaient directement de l’argent des labos, c’est le Figaro qui nous l’apprend.6

Et d’autre part, nous savons combien Emmanuel Macron est proche de Pfizer, auquel il doit sa fortune personnelle.7

Il s’agit donc d’un pur déni démocratique. Une loi digne d’une république bananière.

Elle laisse augurer d’une destruction en règle de toute dissidence. Et il suffit que vous vouliez avoir la liberté de prendre soin de vous et de vous soigner comme vous l’entendez pour être dissident.

Un seul et dernier recours avant l’affrontement

Le problème, c’est qu’il ne s’agit pas, dans cet article 4, de regarder la composition des huiles essentielles et d’éviter que des écervelés ne les avalent par lampées entières.

Il ne s’agit pas non plus de se demander si les vidéos de Thierry Casasnovas alimentent le discrédit envers les traitements ultraviolents contre le cancer…

Surtout quand Michel Houellebecq critique ces mêmes traitements dans son dernier roman, Anéantir, où il ne se montre d’autre part guère sévère contre le gouvernement, loin de là.

Il s’agit seulement d’instaurer pour de bon une pharmacratie.

Cela signifie que vous avez le droit à veiller sur votre santé comme vous l’entendez… seulement si vous êtes très proche du gouvernement. Sinon, gare à vous…

Or pour notre part, nous croyons encore à la démocratie. Où nous avons tous droit au débat d’idées, droit de choisir nos traitements médicaux, droit de confronter des points de vue différents sur la médecine.

Et nous avons tous le droit d’exiger que nos gouvernements prennent le parti de notre santé, plutôt que de ceux qui s’engraissent sur la maladie…

En principe, le Conseil constitutionnel devrait rendre un avis sur cet article 4. L’avis qui sera rendu déterminera prochainement si la guerre contre une santé libre et honnête est déclarée.

En attendant, préparez-vous une belle armoire à pharmacie, achetez des livres et imprimez le savoir qui vous paraît essentiel sur la santé.

Il se pourrait que le moyen-âge revienne plus vite que prévu.

Dr. Thierry Schmitz

Sources




Le crépuscule des blobs

[Source : kunstler.com]

Par James Howard Kunstler

« Respecter le blob, apprendre du blob, aimer le blob »

Robert Kagan, Arch Blob Monster, Brookings, 2020

HG Wells a concocté une fin merveilleuse pour son récit classique La guerre des mondes (1897). Rappelez-vous : les colossales « machines de combat » martiennes à trépied pullulent sur la planète, zébrant les villes de « rayons de chaleur ». Les protoplasmes extraterrestres aux commandes (fin surprenante) se retrouvent morts et pourrissent à l’intérieur sous l’action de nos minuscules alliés invisibles : les bactéries unicellulaires de la Terre, responsables de maladies, contre lesquelles les créatures martiennes n’ont aucune immunité !

Les accents gaïens (([1] Dérivé de Gaïa, la Terre en grec — NdT)) de cette histoire résonnent aujourd’hui, alors que nous, Terriens, concevons de nouvelles méthodes ingénieuses pour détruire la vie terrestre, y compris nous-mêmes. La planète semble avoir une volonté téléologique de se sauver, une sorte de système immunitaire. Remarquez : dans tous les débats en cours sur les merveilles et les dangers de l’IA, du bitcoin et de la surveillance étouffante, personne ne parle jamais de l’état précaire du réseau électrique sur lequel tous ces phénomènes inquiétants reposent totalement. Dans nos bavardages sur le pic pétrolier, nous n’avons guère conscience de la dépendance totale de la production pétrolière à l’égard de flux de capitaux réguliers. Dans tout le bla-bla sur le contrôle centralisé émis par Klaus Schwab et son Forum économique mondial, il n’est pas fait mention des forces centrifuges qui poussent les affaires humaines à la relocalisation, à la désagrégation des grands États et à la réduction d’échelle de nombreuses activités. Dans notre empressement à devenir des dieux, nous passons à côté de beaucoup de choses.

Imaginez : le bitcoin atteint un million de dollars. Vous êtes zillionnaire ! Oh ! … quelque part à l’extérieur de Zaneseville, dans l’Ohio, un écureuil donne un dernier coup de couteau dans la vieille isolation d’un fil sortant d’un transformateur. Sa tête explose dans un arc électrique bleu et, en quelques secondes, toute l’électricité est coupée de Chicago à Boston. Il s’avère que dix-sept sous-stations dans dix États ont des relais, des transformateurs et des appareillages de commutation qui ont sauté. Certains de ces composants avaient quarante ans et sont maintenant fabriqués à 12 000 km de là, dans un pays qui ne nous aime plus. Les pièces de rechange sont bloquées dans un port chinois. Le courant ne revient pas avant des semaines. Aucun habitant de l’est des États-Unis ne peut accéder à son portefeuille Bitcoin, qui n’est qu’une entité virtuelle faite de code informatique résidant dans un « nuage » numérique, c’est-à-dire nulle part dans la réalité.

Bien sûr, dans un événement aussi grave, beaucoup d’autres choses tomberaient en panne — en fait, à peu près tout ce qui fait la vie moderne — mais il est certain que vous pourriez dire adieu à votre bitcoin, peut-être pour toujours, car lorsque le courant reviendra (s’il revient), plus personne ne voudra investir sa richesse dans de l’« argent » numérique auquel il n’a pas accès, et le bitcoin retournera à ce qu’il était : zéro.

De même, le système financier dont nous dépendons est un gigantesque appareil rendu extrêmement vétuste par l’excès d’élaboration et l’hypercomplexité — à tel point que toutes sortes de choses désignées comme ayant une « valeur monétaire » ne sont que des hallucinations des marchés qui les échangent. Combien de quadrillions de dollars les instruments financiers « dérivés » représentent-ils aujourd’hui dans le paysage de l’« argent » ? La plupart de ces instruments ne sont rien d’autre que des paris sur la variation à la hausse ou à la baisse d’un chiffre — un taux d’intérêt, une devise, un flux de revenus. En d’autres termes, il s’agit d’un fantasme.

Selon la théorie monétaire moderne (MMT), l’évolution des fantasmes peut théoriquement se poursuivre à l’infini. Les produits dérivés peuvent être de plus en plus abstraits de ce qu’ils sont censés représenter, jusqu’à ce qu’ils s’envolent dans le conduit cloacal du système. La MMT est devenue un dogme économique populaire, mais sa théorie reste à étayer. Étant donné que la formule repose sur l’« impression » illimitée de monnaie par les banques centrales qui représentent les gouvernements, on peut parier que quelque chose va mal tourner dans un tel système — et il semble bien que quelque chose soit sur le point de mal tourner dans le système que nous avons mis en place pour réguler et distribuer le capital. Est-il nécessaire de préciser ce qu’est le « capital » ? (La vraie richesse, pas les fantaisies, les souhaits, les paris et les hallucinations. Les choses dures comme les bonnes terres, les poches de minerai, les machines installées, les voies de chemin de fer, etc.).

Le mois dernier, le bitcoin s’est transformé en « crosse de hockey », ce qui signifie que sur un graphique, la hausse semble presque verticale. Savez-vous pourquoi il monte ? Je vais vous le dire : il monte… parce qu’il monte. Des personnes et des groupes de personnes (fonds de placement, banques) voient la tendance à la hausse et en déduisent que le bitcoin va « décrocher la lune ». Pendant ce temps, ils observent les feuilles de thé de la scène monétaire et voient beaucoup de débris bruns et friables là où il y avait du « capital ». L’argent lui-même est en train de perdre sa « liquidité » un peu partout. Le module le plus vulnérable du système est aujourd’hui le marché obligataire.

Ce marché repose sur l’idée que l’argent emprunté sera remboursé de manière fiable, le mot clé étant « de manière fiable ». Une condition essentielle, cependant, est que l’argent doit rester de l’argent. Les gens doivent le considérer comme ayant une valeur. Or, aujourd’hui, tous les types d’argent perdent visiblement de la valeur. Alors que notre dette nationale approche les 35 000 milliards de dollars, il est permis de douter que les États-Unis puissent raisonnablement rembourser leur dette, ou même en assurer le service, c’est-à-dire continuer à payer les intérêts. Plus nous « imprimons » de l’argent dans le cadre de la MMT, plus l’argent perd de sa valeur. Le taux d’intérêt sur l’argent emprunté doit augmenter pour compenser cette perte de valeur, et tout d’un coup, vous empruntez une tonne d’argent pour payer les intérêts sur l’argent que vous devez, dont le volume brut ne fait qu’augmenter… se rapprochant rapidement de la situation critique… Oh, oh !

De nombreux êtres lucides observant la scène nous avertissent que le marché obligataire est susceptible d’exploser, et avec lui la plupart des autres modules du système actuel piloté par la MMT. Ce sera le moment magique où une grande théorie sera démentie de manière assez éclatante et préjudiciable. Le prix de chaque chose s’évaporera dans un nuage de mauvais investissements et lorsque la poussière retombera — ce qui pourrait prendre beaucoup de temps — le prix de chaque chose sera différent, y compris de nombreuses choses réduites à zéro.

C’est le genre de monde dans lequel nous vivons actuellement, et c’est pourquoi je ne m’inquiète pas tant des machinations des différents blobs qui se sont autoassemblés pour défendre leurs intérêts particuliers tout en faisant du mal à beaucoup d’entre nous : le blob militaro-industriel, le blob de la censure, le blob des fake news, le blob des services secrets, le blob des monopoles d’entreprise, le blob médical, le blob de la banque centrale. Les systèmes dont nous dépendons pour faire fonctionner toute cette blobure semblent assez malades, comme s’ils n’allaient pas fonctionner beaucoup plus longtemps.

Il en résultera un temps d’arrêt bénéfique du blobage. J’ose prédire que ce sera un temps d’arrêt assez long. Beaucoup des choses effrayantes qui se passent autour de nous, qui nous tyrannisent, qui nous dépouillent de nos biens et de notre liberté, ne trouveront pas facilement leur place dans l’après-coup, peut-être même plus jamais. Nous aurons des décennies, voire des siècles, pour réfléchir à l’orgueil qui a provoqué tout cela et, en attendant, nous devrons vivre la vie terrestre comme la Terre nous le permet et nous en accommoder. Et peut-être nous adonner à de nouveaux rêves de ce à quoi ressemblerait un monde parfait.




L’accord bilatéral Macron-Zelinsly est illégal

URGENT — ACCORD BILATÉRAL MACRON-ZELINSKY : Vote Assemblée article 53

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau.wordpress.com]

Par Theara Truth News

https://www.nato.int/cps/fr/natohq/opinions_23732.htm

URGENT.
À NOS DÉPUTÉS,
À LA PRESSE LIBRE

SUJET :
ACCORD BILATERAL MACRON-ZELINSKY
ARTICLE 4 — LOI DERIVES SECTAIRES
ARTICLE 23 — LOI de PM 2023

———- Forwarded message ———
de…….
Date : sam. 9 mars 2024 à 18:01
Subject: URGENT : Loi dérives sectaires et Accord bilatéral ASSEMBLÉE NATIONALE
To: <groupe-lfi@assemblee-nationale.fr>, <groupe.gdr@assemblee-nationale.fr>, <groupe@independants.senat.fr>, <thomas.menage@assemblee-nationale.fr>, <mathilde.panot@assemblee-nationale.fr>, Jean-François Coulomme (boîte publique) <jean-francois.coulomme@assemblee-nationale.fr>, Nicolas Dupont-Aignan <nicolas.dupont-aignan@assemblee-nationale.fr>, <emmanuelle.menard@assemblee-nationale.fr>, <philippe.gosselin@assemblee-nationale.fr>, contact RN <contact@rassemblementnational.fr>, <marine.lepen@assemblee-nationale.fr>, <sdecompreignac.modem@assemblee-nationale.fr>, <francois.ruffin@assemblee-nationale.fr>, <julien.odoul@assemblee-nationale.fr>, <sgir.lesrepublicains@assemblee-nationale.fr>, <contact@ecologiste-senat.fr>, <presse@senat.fr>

Mesdames et messieurs les Députés

La France s’enfonce dans une censure multiforme et la perte de plus en plus grande de la Liberté d’expression.

Malgré des programmes autoritaristes de censure des opinions en cours dans de nombreux pays, nos députés français ont toujours le pouvoir de nous défendre, de défendre nos valeurs, notre pays et de contrer efficacement certains agendas, lois ou articles de Loi inquiétants, plus qu’inquiétants, liberticides.

L’article 4 du projet de loi sur les dérives sectaires, profondément liberticide, vient d’être rejeté en commission mixte paritaire.

Le texte va revenir en 2e lecture à l’Assemblée,

Cette fois-ci nous avons de l’espoir, nous vous prions (et nous exigeons sans vous commander) que tous les députés des Partis étant contre cet article 4 soient présents au Vote et le fassent sauter définitivement.

Nous comptons sur vous plus que jamais pour relever notre Démocratie et donner ainsi leur voix à vos électeurs

https://www.publicsenat.fr/actualites/parlementaire/derives-sectaires-deputes-et-senateurs-actent-leur-desaccord-sur-le-projet-de-loi-en-commission-mixte-paritaire

2) ACCORD BILATÉRAL — ARTICLE 53 EXIGÉ

Nous demandons AUSSI UN VOTE massif CONTRE l’ACCORD BILATÉRAL signé entre Emmanuel Macron et Mr Zelinsky seuls, engageant la France pour 10 ans dans des domaines incluant celui de l’aide militaire et de la Défense, avec des sommes colossales d’argent français, dont les différents articles (document) démontrent qu’ils peuvent nous amener plus ou moins vite à la cobelligérance contre la Russie, première puissance nucléaire mondiale

Les propos du Président de la République récents et son « accord » sans le Parlement, sans consulter les Français, attisent une escalade très dangereuse, d’abord verbale, qui pourrait vraiment être suivie, par les provocations réitérées de Mr Macron et par cet « accord bilatéral », de vraie guerre, vrai conflit, vraies bombes, vrais Français tués ou handicapés à vie sur le front russo-ukrainien À CAUSE de Mr Macron, voire, une vraie bombe nucléaire sur une ville française (déclarations en Russie, de certains commentateurs).

En effet :
La doctrine nucléaire russe est toujours la même : attaque sur le sol russe = guerre = possibilité de frappe nucléaire en retour.

Êtes-vous prêts à soutenir cette escalade, codifiée dans cet « accord » ?

À soutenir des accords signés par UN seul homme, et un autre homme illégalement, qui mettent dans le plus grave danger jamais encouru notre pays entier ? Alors que L’Ukraine n’est pas dans L’UE, pas dans L’OTAN, ce qui viole donc déjà à la base les règles des appartenances à L’UE et les TRAITÉS mêmes de l’OTAN.

L’idée dans cet accord bilatéral de faire rentrer l’Ukraine déjà sous mainmise américaine dans l’OTAN est une idée de l’OTAN, qui mettrait en danger pour le coup toute l’Europe, car c’est la LIGNE ROUGE extrême pour la Russie ! (ne pas avoir des missiles de l’OTAN à moins de 5 min DE VOL de Moscou).

L’idée de faire rentrer l’Ukraine dans l’UE est une folie, pour la même raison de sécurité européenne.

Au niveau économique et agricole, l’Ukraine étant déjà sous la coupe des USA et de BlackRock, qui reprennent pour rien toutes ses terres agricoles (Monsanto, Cargill, etc.), elle n’apporterait RIEN à L’UE et à la FRANCE.

Énormément d’Ukrainiens sont en fait des Russes, ou des russophones ou de familles à la fois russes et ukrainiennes.

Le conflit est une GUERRE CIVILE intra-ukrainienne qui a dégénéré depuis 2014 à cause des 2 présidents extrémistes anti russophones apparus à la suite du MAIDAN 2014 organisé par la CIA. (Nuland)

Avec au final une intervention de la Russie en 2022 pour empêcher les continuelles attaques lourdes et les morts dans le Donbass bombardé sans relâche par le régime de Kiev depuis 2014.

Et une Russie qui ne peut accepter de voir des bases de l’OTAN et des missiles nucléaires OTAN postés en Ukraine tout près de la Russie.

Ce n’est pas une guerre « en Europe » ou « notre guerre ». C’est une guerre USA-RUSSIE par proxys et ce sont les peuples qui meurent, pas les dirigeants, ni les PDG de BlackRock, ni les généraux du Pentagone ou de la Russie.

Malgré cela, la Russie a tenté de négocier la paix avec le régime ukrainien.

La crise a été rendue exponentielle, puis instrumentalisée par les Américains, avec le Maidan en 2014 pour avoir une « base » en Ukraine : d’espionnage, de contrôle, de politiques ukrainiens à leur botte, d’armements et de missiles bien plus près de la frontière russe.

On sait que le Régime de Kiev de Zelinsky dépend entièrement des Américains et de la CIA, et ne sert pas l’intérêt du peuple ukrainien.

Son peuple déchiré, épuisé, émigre par millions, n’en peut plus et ne veut plus de LUI et veut à présent la paix, tout est ruiné, mais Zelinsky continue en tant qu’acteur, téléguidé par les USA.

De toute façon les Ukrainiens seront ruinés encore plus par une politique d’austérité programmée après la Guerre par les agendas de BlackRock sur l’Ukraine, si les Européens ne mettent pas le holà à ce hold-up, à ce massacre !!

Non par les armes, mais par des NÉGOCIATIONS de PAIX et en faisant tout pour contrer les grands consortiums qui achètent toutes les terres ukrainiennes pour rien (Monsanto, Cargill, BlackRock).

Sinon il ne restera plus rien aux Ukrainiens, pas à cause de la Russie, mais à cause de BlackRock, OTAN, CIA, Biden, Pelosi, Monsanto, etc..

Zelensky est au service d’une puissance étrangère, les USA et leur CIA, et tout cela est prouvé depuis longtemps.

Voir aussi article du NY Times du mois de février 2024 sur les bases de la CIA en Ukraine.

En ce qui concerne la FRANCE et nos familles !!

L’ACCORD BILATÉRAL nous entraîne à la cobelligérance.

Êtes-vous prêts à voir entrer en action par simple décret l’Article 23 de la Loi de PM, une aberration démocratique gravissime, sur les réquisitions des biens et des personnes, juste en cas de menace actuelle ou prévisible (??) qui vous concernera vous et vos familles, aussi.

https://www.mondialisation.ca/urgent-non-a-la-loi-de-programmation-militaire/5679292?doing_wp_cron=1710000516.7849640846252441406250

TOCSIN :

Nous sommes contre l’article 23 de la LOI DE PROGRAMMATION MILITAIRE 2024-2030

La rédaction du nouvel article L.2212-1 du Code de la défense dans l’actuel projet de loi, est intégralement réécrite, ce qui est inhabituel, car l’usage du législateur est de remplacer des termes ou des morceaux de phrases.

Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. »

Les perspectives possibles d’application de la loi

La motivation autorisant la réquisition apparaît floue, très large et permet au gouvernement (au président ?) d’y mettre ce qu’il veut : la menace peut être actuelle ou simplement prévisible (comment définir qu’une menace soit prévisible) ?

Tout d’abord, sur un plan strictement militaire, l’actuel conflit ukrainien et l’implication croissante de l’UE et de l’OTAN sont de nature à conduire la France dans un engrenage fatal. La réquisition des personnes physiques pourrait permettre au président, sur un simple décret, de réquisitionner par exemple, des personnes pour les envoyer combattre, selon des critères physiques et psychiques décidés par le gouvernement. »

POUR CES RAISONS :

Tous les hommes politiques sincères et analystes compétents ont montré que cet accord bilatéral n’est pas envisageable, si nous voulons en FRANCE être en sécurité, avoir la PAIX en Europe et que la France reprenne un rôle diplomatique majeur sur la scène internationale, ce qui ne saurait tarder avec l’influence de la Chine notamment qui propose une conférence de Paix.

Cet accord bilatéral de plus est illégal, car il doit passer par l’Article 53 et non le 50-1

Vous devez le faire tomber !

Ce n’est pas une question de « politique » ou de partis,

c’est une question de vie ou de mort pour la France et d’avenir sur notre planète pour toute l’Humanité.

Aucune « frappe » nucléaire ne peut être brandie à la légère sur des plateaux TV !!

Ni exécutée même avec une seule bombe nucléaire « tactique », ça n’existe pas, « tactique », c’est le début de la fin.

Même un conflit conventionnel entre la Russie et l’OTAN entraînerait des millions de morts non aux USA, mais en Europe, la famine, les villes rasées, les bombes, la ruine, la maladie, la faim, les pillages, les viols et les Dévastations.

C’est cela que Mr Macron appelle « ne pas être lâche »

POUR LA PAIX ET POUR LA FRANCE !

MERCI

Theara Truth News,
Paris, 9 mars 2024




Le piège de l’affrontement BRICS-OTAN : un leurre…

[Source : MédiainfocitéTV2]

Par Isabelle

  • – Mes observations concernant l’état psychologique des gens et des enjeux hautement émotifs auxquels nous faisons face. Le déni est un puissant mécanisme de survie ou l’instrument redoutable des opportunistes…
  • – Les BRICS et le déclin PROGRAMMÉ de l’Occident ;
  • – Des révélations-chocs de Evelyn de Rothschild, de George Soros, de Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński ;
  • – Les sommets mondiaux (du WEF et de Poutine) nous annoncent le nouvel ordre mondial multipolaire depuis longtemps !
  • – Les fondations du nouvel ordre mondial multipolaire : l’Agenda 2030, les objectifs de développement durable, la paix, la sécurité et la prospérité ;
  • – La Russie et les BRICS sont totalement alignés à la mise en place d’une dystopie planétaire ;
  • – Des nouvelles récentes et étonnantes de Cyber Polygon, une simulation d’une cyberattaque mondiale…
  • – Les ambitions obscures et mystiques du « nouvel ordre des âges ([[1] NDLR, plus exactement des “siècles”]) » (novus ordo seclorum) ;
  • – Le nouvel ordre mondial après ou à la place de la guerre ?
  • – Le Tikkun olam : réparer le monde après le chaos…
  • – Espérer le meilleur, mais se préparer au pire.

[Voir aussi :
articles liés au temple ou à Jérusalem ;
articles relatifs aux BRICS ;
sur l’agenda 2030]





« Bientôt, il n’y aura plus que deux types de journalistes au Canada : les journalistes du gouvernement, et les journalistes interdits »




Censure croissante contre les alternatifs

Ceci touche divers pays occidentaux :

Rappel :

Voir aussi :




CENSURE TOTALE — et après ?

[Source : kla.tv]

Ceux qui pensent que la censure totale d’Internet a déjà aboli notre liberté de parole et d’opinion se trompent. Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique ici en 12 minutes que la censure d’Internet n’est que la première étape pour les persécuteurs de la vérité. Mais Sasek présente également des solutions révolutionnaires pour sortir de cette censure mondiale.

Par Ivo Sasek

Transcription

Celui qui pense que la restriction totale de notre liberté d’expression et d’opinion sur Internet, prévue à partir de l’année 2024, mettra fin à ce processus de limitation se trompe — il n’a toujours pas compris comment fonctionnent nos contrôleurs d’opinion.

La censure totale sur Internet n’est que le premier acte de restriction numérique, comme l’indique déjà le nom DSA (Digital Services Act).

Je l’avais déjà prédit en 2009, lors de la création de notre journal Express main à main d’une feuille A4, le Voix et Contre Voix. (V&CV). Cela avait déclenché à l’époque une tempête d’indignation. Jamais une censure ne serait possible dans nos médias libres, oh combien sociaux, disait-on alors de toutes parts — on me traitait d’amateur inconscient. Mes pronostics allaient se confirmer, c’est pourquoi nous réitérons ici avec force ce que nous constatons depuis 2008 avec nos archives AZK et depuis 2012 avec nos archives Kla.TV. C’est maintenant une question d’être ou ne pas être, chers amis. Écoutez !

Notre monde est malheureusement depuis des siècles sous l’emprise d’une société secrète bestiale.

Et celle-ci massacrera une fois de plus des peuples entiers si nous ne nous unissons pas maintenant pour réclamer sa tête. Et ceux qui prétendent le contraire mentent. Celui qui complique ce schéma simple de notre problématique mondiale primaire, trompe, séduit et paralyse ainsi toute résistance unifiée nécessaire, sur laquelle je vais maintenant dire des choses importantes !

Le fait est que cette élite secrète au pouvoir veut empêcher par tous les moyens que le monde sache dans quelles dimensions inconcevables elle lui a menti, elle l’a trompé, volé et continue de le faire. Étant donné que tous les médias de censure et les grandes plateformes appartiennent à cette secte secrète, ils séparent stratégiquement le peuple des personnes libres chargées de l’information. Ils ont délibérément poussé ces derniers dans des bulles Internet de plus en plus isolées. Nous ne pouvons les surmonter qu’ensemble. Mais ils ont d’abord mis leur couteau DSA sur la poitrine de leurs propres vassaux. La Commission européenne, par exemple, a immédiatement interdit TikTok sur tous les téléphones portables professionnels. Même chose aux États-Unis, etc.

Mais ce n’était que le début. Vous comprenez ? Maintenant, toutes les plateformes doivent être systématiquement nettoyées de tout ce qui menace cette secte dominante mondiale. Vous comprenez ? Il est donc urgent de se mettre en réseau physiquement, et pas seulement numériquement !

Mais venons-en à la question principale : que se passera-t-il après la censure totale sur Internet ? Réponse : ce que ce clan de la domination mondiale a déjà imposé à chaque étape précédente de son infiltration internationale : la censure totale à chaque niveau d’information libre ! L’obligation d’adopter des narratifs obligatoires comme pour le Covid — cette fois sous la menace de l’expropriation et de la peine de mort au moindre écart ! Et ceux qui me considèrent à nouveau comme un idiot qui ne connaît rien témoigneront encore de la justesse de mes propos ! Faites partie, si possible, du réseau mondial du journal Voix & Contre Voix. Nous nous propageons de manière exponentielle, plus rapidement et de manière plus sûre que sur le net. Et maintenant, le plus important.

Si nous, les lanceurs d’alerte libres, nous nous mettons physiquement en réseau à temps, c’est-à-dire si nous nous confions mutuellement nos adresses postales, alors notre force de percée synergique n’en sera que plus violente, même si des black-out planifiés ou autre devaient paralyser l’ensemble d’Internet. Nous serons alors d’autant plus nombreux à descendre dans la rue, comme pour le Covid, ou comme récemment à Karlsruhe, où des milliers de manifestants ont déposé avec Me Ludwig les quelque 600 plaintes pénales contre les criminels du Covid. Avec Ralf Ludwig, allons jusqu’à la Cour internationale de justice, au cas où l’ennemi public numéro 1, la pieuvre déguisée en État, se manifesterait à nouveau.

L’objectif premier de tout dévoilement commun doit être que les peuples comprennent enfin les relations planifiées, que non seulement les guerres mondiales, les guerres du printemps arabe et diverses épidémies ont été planifiées à l’avance de manière ciblée, mais qu’en plus chaque crise financière, chaque effondrement moral, chaque nouvelle catastrophe écologique, etc. Et derrière tout cela, il est prouvé que ce sont toujours les mêmes quelques milliers de chefs de sectes qui mettent méticuleusement en œuvre leur agenda et provoquent le chaos.

Leur but est d’établir un nouvel ordre mondial à partir du chaos qu’ils ont eux-mêmes créé ! Kla.TV a mis en lumière et publié non seulement leurs plans anciens, mais aussi leurs plans des dernières décennies. Vous avez pu les lire de vos propres yeux et voir ainsi comment tous les événements cruels ont ensuite concordé exactement avec ces plans. Avec quelle rapidité toute hantise mondiale prendrait fin, si seulement les peuples pouvaient enfin reconnaître ce simple lien ! En fin de compte, ce sont quelques dizaines de multimilliardaires ou de milliardaires qui dirigent cette conspiration mondiale au plus haut niveau de la société secrète, et quelques milliers d’autres têtes faiseuses d’argent au deuxième étage de leur pyramide de pouvoir. C’est un fait.

Si donc une justice légale, libérée de tous les diktats économiques et politiques, et donc bien sûr fonctionnant enfin, se bornait à arrêter ces personnes, à les exproprier et à les mettre derrière les barreaux, toutes les horreurs et les pénuries mondiales seraient déjà quasiment éliminées.

Et je suis bien sûr conscient que ces élites secrètes exercent également un pouvoir sur des armées entières. C’est la raison pour laquelle nous ne cessons de réveiller les peuples endormis et de leur crier : ne partez plus en guerre contre eux ! Refusez par principe toute guerre, car vous ne ferez que sacrifier votre vie à ces bellicistes de la société secrète, quel que soit le pays du monde ! Mais tout serait encore plus détendu si une justice libérée, sur décision populaire, arrêtait également leurs quelques 10 000 vassaux et les expropriait ! Dans la pratique, la vague d’arrestations devra probablement commencer par ces marionnettes, car elles sont directement visibles à tous les leviers de commande du pouvoir. Cela pourrait se faire avec quelques commandos d’intervention de nos forces de l’ordre. Cela aussi, sans aucune guerre !

Et les peuples décideraient immédiatement cela, croyez-le, si seulement nous, les lanceurs d’alerte libres, brisions définitivement les blocages d’information des propriétaires hautement criminels du mainstream et d’Internet !

Il y aurait encore tant de choses à dire, mais je terminerai en rappelant quelques développements intolérables, mais qui ne sont que trop typiques de beaucoup d’autres développements. Et voyez : ce n’est qu’en formation synergique que nous sommes en mesure de mettre un terme à tous ces agissements : nous, les peuples, sommes restés trop longtemps silencieux lorsque l’OMS, Big-Pharma et nos caisses d’assurance maladie, par exemple, sont devenus autonomes. En effet, ces systèmes se sont depuis longtemps transformés en organisations criminelles qui n’ont vraiment aucune idée du traitement des causes, ou du moins ne veulent rien savoir, car il est prouvé qu’ils nous maintiennent délibérément malades, voire qu’ils nous rendent de plus en plus malades de manière ciblée, et qu’ils gaspillent de plus en plus l’argent de nos prélèvements obligatoires, même pour les opérations les plus aberrantes et autres — mais nous, nous les laissons tous impunis jusqu’à présent et nous les finançons également.

Dans le monde entier, la justice a été sapée, voyez-vous. Elle ne poursuit plus le pyromane, mais celui qui dénonce l’incendie (comme je l’ai déjà expliqué en détail lors de mon discours à la 19e AZK) et nous finançons encore cela sans protester. S’il vous plaît, écoutez si possible mon discours « Ennemi public numéro 1 — la pieuvre en costume d’État » ; c’est peut-être le plus important des quelque 2 000 discours que j’ai déjà prononcés. Je m’y suis beaucoup investi.

Nos médias de masse sont en outre liés à tous les grands criminels que j’ai mentionnés, ainsi qu’aux chefs du complexe militaro-industriel, mais aussi aux financiers criminels, aux Frankenstein de la science et à toutes sortes de politiciens corrompus — mais nous les laissons tous impunis et nous les finançons en outre avec des centaines de milliards d’euros de nos impôts — et ce, chaque année.

Je demande : ne sommes-nous pas complices ? Oui, rien qu’en Allemagne, vous payez chaque année quelques milliards rien que pour les arnaqueurs à la retraite de ces médias mainstream avec votre redevance obligatoire GEZ ! À cause de vos politiciens gaspilleurs d’argent, vous perdez chaque année 30 à 40 % de l’ensemble du budget fédéral gagné, rien que pour les intérêts de ces spéculateurs. Mais les peuples se taisent, parce qu’ils n’ont pas conscience de tout cela. C’est pourquoi, en dépit de toutes les accusations de génocide scientifiquement prouvées, Big-Pharma a pu vendre cinq milliards et demi de nouvelles doses de vaccin à l’UE, soit un gaspillage de 100 milliards d’euros d’argent des contribuables ! Et ce, bien qu’il ait été prouvé de manière irréfutable que la vaccination par ARNm nuit toujours à l’homme et le tue — à court et à long terme ! N’oubliez jamais que de tels crimes contre l’humanité ne sont jamais prescrits ! Et je pourrais continuer ainsi pendant des heures.

Mais je conclurai en vous demandant une fois de plus de nous faire confiance et de nous relier physiquement les uns aux autres en nous communiquant en temps voulu nos adresses postales et nos numéros de téléphone. Je pense que le V&CV-express main à main serait le mieux adapté à cette interconnexion mondiale. En effet, depuis 2009, des dizaines de milliers de personnes forment et gèrent ensemble ce réseau physique. Je vous invite d’écouter ma conférence Voix & Contre Voix à ce sujet afin de comprendre de quoi il s’agit exactement.

Je dis : ce monde meurtri a besoin de toi, il a besoin de nous tous. Nous sommes le nouveau monde — et le nouveau monde sans argent. La preuve : si tu télécharges toutes nos archives Kla.TV et AZK sur ton ordinateur, tu n’as pas seulement assuré la véritable écriture de l’histoire, tu t’es en outre approprié gratuitement des archives cinématographiques historiques dont la valeur de travail devrait à elle seule dépasser le milliard d’euros. Croyez-le, s’il vous plaît. Diffusez et faites la promotion de ces archives cinématographiques historiques uniques partout où vous le pouvez. Car des milliers d’entre nous ont travaillé bénévolement et très dur pendant des années, souvent en famille ou en association de familles. Car le nouveau monde commence à la maison. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Organisation Mafieuse de la Santé

[Source : Ye shall know the truth]

[Note de Joseph : dans la partie consacrée à la grippe porcine, le reportage reste influencé par l’hypothèse virale, ce qui ne peut en définitive que conforter l’OMS et l’industrie pharmaceutique (même si l’influence de cette dernière est évoquée) qui est à l’origine de cette fraude scientifique et du maintien des croyances liées, par son contrôle sur le domaine de la santé en général et sur la formation des personnels soignants en particulier. Voir :
Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez
La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]






Le monde dans le filet de la franc-maçonnerie

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Seuls ceux qui reconnaissent à quel point notre beau monde est pris dans le filet des loges maçonniques peuvent comprendre pourquoi tout fonctionne comme on le voit fonctionner. Dans ce discours, le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique en détail qui a tissé ce réseau maçonnique et quelles associations en font activement partie. La conclusion de cette découverte passionnante est claire : que tous les États sortent de ce réseau criminel, ou que ce réseau criminel sorte de nos États, à commencer par l’OMS.

Naviguer directement vers :

  • 00:00:00 : 1. Introduction d’Ivo Sasek
  • 00:07:26 : 2. L’ONU
  • 00:21:22 : 3. L’OMS
  • 00:27:15 : 4. L’UE
  • 00:31:50 : 5. Le FEM
  • 00:36:34 : 6. Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !
  • 00:42:10 : 7. City of London
  • 00:45:11 : 8. Federal Reserve (FED)
  • 00:47:18 : 9. La BRI
  • 00:52:39 : 10. Résumé
  • 01:21:10 : 11. @ Vérificateur de faits

Approfondir le sujet :

Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
https://www.kla.tv/27892

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme
https://www.kla.tv/19023

Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade
https://www.kla.tv/23995

La Chine — ce système de domination nous menace tous !
https://www.kla.tv/27164

Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat
https://www.kla.tv/28157

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ?
https://www.kla.tv/18254

Le dossier Tedros – Le chef de l’OMS va-t-il devenir l’homme le plus puissant du monde ?
https://www.kla.tv/26779

Transcription

Avec ce discours, je résume ce que nous avons déjà démontré dans des milliers d’émissions avec des centaines de milliers de sources solides. Je vous en prie, transmettez au plus vite ces informations à vos députés, à tous vos représentants du peuple, à vos politiciens et à vos responsables, car chacun d’entre nous est confronté à une menace existentielle. Et ce qui est valable pour la plus petite entité de notre société doit naturellement l’être aussi pour le grand tout, l’État.

Aujourd’hui, nous allons nous exercer à la pensée fractale. Nos États sont en effet soumis aux mêmes lois que nos arbres et nos plantes. Si nous suivons des yeux les grosses branches principales d’un arbre, nous constaterons que l’intégralité de l’arbre se répète dans chacune d’entre elles. Ainsi, l’image de l’arbre entier est toujours nouvelle même dans ses subdivisions — et pourtant c’est la même image. L’arbre dans son ensemble est en quelque sorte notre pays, ou notre État dans son ensemble. Chaque grosse branche est notre département ou notre canton. En comparaison les branches de plus en plus fines sont nos communautés locales. Chaque fractale est un modèle réduit dans lequel l’ensemble se reflète réellement dans ses parties. Dans les ramifications extrêmes, nous pouvons donc voir notre voisinage et, tout au bout de la branche, les différentes cellules de vie ou familles. Et de telles réalités fractales s’étendent maintenant comme principe d’ordre à travers toute la création, et elles ne s’arrêtent pas à la forme matérielle, mais elles s’étendent comme une loi à tous les domaines immatériels de la vie. De ce point de vue, nous considérons également le fait que tout ce qui est valable pour le petit arbre fractal le plus extérieur doit et est toujours inévitablement valable pour l’arbre entier. Ainsi, tout ce qui nuit à la petite branche nuit également à la branche, et nuit également à l’arbre entier — et tout ce qui nuit à l’arbre entier nuit également à chaque branche et petite branche individuelle. Vous comprenez ? Et avec cette constatation, nous passons maintenant à un événement qui reflète cette loi dans une dimension purement quotidienne. Supposons qu’il nous arrive, là où nous vivons, exactement ce qui est arrivé à de nombreuses familles sans méfiance, du Soudan à l’Ouganda en passant par la République centrafricaine. Il y a là-bas un certain Joseph Kony, c’est son nom, qui promet de n’appliquer que ce qui est écrit dans la Bible ; donc un mouvement religieux. Son mouvement s’appelle l’Armée de résistance du Seigneur, ou LRA. Or, de nombreux membres de familles crédules ont rejoint ce mouvement, pensant qu’il s’agissait d’un mouvement de résistance chrétien qui les autorisait en quelque sorte à lutter contre des forces diaboliques. Mais très vite, ils ont malheureusement dû constater qu’il s’agissait simplement d’un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien, et qui attaquait des villages et des villes entières. Qui oblige aussi les gens à le suivre. Donc, au lieu d’une communauté remplie d’esprit, ils ont trouvé un royaume terroriste avec ses propres règles strictes, qui attirent de sérieux problèmes à ceux qui ne les respectaient pas. Mais ce n’est pas tout. Ils ont même recruté des enfants-soldats et des petites filles sont contraintes à la prostitution. Ils attaquent des villages entiers, commettent des attentats contre des institutions gouvernementales, etc. La LRA s’est donc révélée être une organisation extrêmement brutale. Ils ont dix mille meurtres à leur actif. Et ils continuent de tuer. Et maintenant, comme je l’ai dit, appliquons de manière cohérente ces lois fractales : que peut attendre l’arbre entier, c’est-à-dire l’État, de ses fractales les plus petites, si elles sont tombées dans un piège tel que celui tendu par les hommes avec ce Joseph. Oui, s’ils ont rejoint — sans le savoir et sans le vouloir — un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien ? Qu’attend papa État ? Oui, tu as raison : du point de vue de l’État, le simple fait d’être membre d’un groupe terroriste suffirait à ce que vous soyez dénoncé, poursuivi, emprisonné et condamné à une lourde amende. Mais comment réagirait tout célibataire sincère, tout couple honnête ou toute famille saine s’il remarquait la moindre tendance à de telles dérives terroristes ? Encore une fois, aucun d’entre nous ne voudrait maintenir une telle relation ne serait-ce qu’une heure de plus. Et vous voyez, ce qui vaut pour la plus petite unité de notre société doit aussi valoir pour l’ensemble, vous comprenez ? Si un système étatique entier s’est trompé en s’associant à une organisation supranationale criminelle, il doit d’autant plus agir de la sorte. Bien sûr, même si ce système étatique a déjà conclu toutes sortes de contrats commerciaux avec cette association terroriste supranationale, et s’est peut-être engagé à effectuer des paiements réguliers de quelque nature que ce soit. Le citoyen individuel ne pourrait pas non plus rester dans un groupe terroriste à cause de tels engagements, vous comprenez ? Tout engagement pris le rendrait d’autant plus coupable s’il retardait pour cette raison sa séparation. Ce qui est très surprenant, c’est que nos systèmes étatiques, en tant qu’arbre entier, ne renoncent pas immédiatement de la même manière à toute association supranationale, chaque fois qu’il s’avère que celle-ci s’est alliée par erreur ou peut-être même consciemment à des organisations terroristes. C’est pourquoi nous examinons aujourd’hui de plus près 12 associations terroristes hautement criminelles dont nos États se sont rendu membres par toutes sortes d’alliances et de traités. Tu demandes si une telle chose existe, n’est-ce pas ? Commençons par l’adhésion à l’ONU, fondée en 1945. Qu’est-ce que l’ONU ?

[1. L’ONU (1945)]

L’ONU est une organisation supranationale qui, lors de sa création et de sa candidature à l’adhésion, s’était vantée de servir ou de vouloir servir uniquement le maintien de la paix mondiale, la sécurité internationale ainsi que la bonne coopération entre les pays, et bien sûr de servir les droits de l’homme, les pauvres, les faibles, même les enfants, de servir tout le monde, cela avait été hautement loué. Et pour entrer dans cette organisation, tous les États membres ont dû depuis lors renoncer volontairement à une bonne partie de leur liberté, de leurs droits souverains et de leur indépendance. La Suisse est également membre de l’ONU, sans aucune connaissance de ce que vous entendez aujourd’hui, et elle y a adhéré le 10 septembre 2002. Mais entre-temps, il s’est avéré que l’ONU ne faisait que simuler toutes ces bonnes intentions. Vous savez, outre d’innombrables témoins, un ancien fonctionnaire haut placé de l’ONU, Calin Georgescu, devenu lanceur d’alerte, a vraiment mis en lumière les secrets les plus sombres, les atrocités et la corruption extrême de l’ONU. Il révèle désormais dans les moindres détails comment les Nations unies sont contrôlées par des oligarques criminels qui ne se contentent pas de truquer les élections pour s’enrichir et asservir l’humanité, mais qui comme nous allons le voir maintenant, se livrent à des actes encore plus cruels. Et il n’y a rien d’étonnant à ce que l’ONU ait été fondée pendant la Seconde Guerre mondiale par deux francs-maçons de haut rang : le président américain Franklin D. Roosevelt de la « Loge Marion N° 70 » et le Premier ministre britannique Winston Churchill qui appartenait à trois loges maçonniques se réclamant de Satan : la « United Studholme Loge N° 1591 », la « Loge Rosemary N° 2851 », mais aussi la « Loge Albion », de l’ancien ordre druidique. Vous voyez, et dès 1948 ces pères fondateurs maçonniques ont désigné très officiellement cette Société des Nations comme leur Loge mondiale. Mais l’ex-fonctionnaire de l’ONU qui témoigne a lui-même été pendant deux ans président international du club maçonnique de Rome. Donc, après plus de 18 ans de service à plein temps, il sait de quoi il parle et relate aujourd’hui devant les caméras comment l’ONU commet en permanence d’innombrables violations imprescriptibles et des crimes contre les droits de l’homme. Selon un vieux dicton « Si on marche avec, on est pris avec ». Pas vrai ?

Selon le lanceur d’alerte de l’ONU Calin Georgescu, les essais nucléaires qui ont détruit la plupart des archipels des Maldives et des îles Marshall entre 1946 et 1958 sont directement imputables à l’ONU. Cela signifie qu’au nom de la sécurité internationale, l’irradiation nucléaire a non seulement détruit toute la population de thons, mais aussi l’espérance de vie des habitants des îles Marshall. Imaginez que ceux-ci vivaient en moyenne 180-200 ans avant le bombardement — cela a été prouvé. Par la suite, l’espérance de vie de ces personnes, qui auparavant ne connaissaient même pas la maladie ou les médecins, a chuté à 35-45 ans en moyenne. Et vous comprenez, ces gens adorables, ne savaient même pas qu’il y avait eu une guerre mondiale. Alors, s’il vous plaît, dites-moi quelle est la différence avec le groupe terroriste de ce Joseph Kony, à part le fait que l’ONU a commis un terrorisme incomparablement plus grave. Mais ce n’est pas tout. Tout comme la bande terroriste de Joseph Kony, les employés de l’ONU violent réellement des femmes et des enfants à grande échelle, et ce de manière répétée. En 2017 déjà, il a été révélé qu’ils avaient violé environ 60 000 enfants rien qu’en Haïti. Mais c’est seulement ce qui est révélé, vous voyez ? L’ex-fonctionnaire de l’ONU et lanceur d’alerte Calin Georgescu témoigne avec force qu’il existe aussi à l’ONU un réseau mondial de trafic d’enfants, d’abus d’enfants et même de sacrifices d’enfants. Et ce n’est que grâce à de tels témoignages que la communauté internationale peut enfin comprendre pourquoi c’est justement l’ONU qui a créé, avec de nombreuses sous-organisations, le Fonds mondial pour l’enfance (UNICEF), qui est censé « s’occuper » de manière si touchante de tous les enfants du monde… Vous voyez ce que je veux dire ?

L’ONU, en collaboration avec l’OMS, demande aux autorités scolaires du monde entier d’apprendre aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber. Ils recommandent à nos enfants d’utiliser des films pornographiques, ce qui était encore un délit il y a quelque temps, vous vous souvenez ? Ils recommandent différentes techniques sexuelles, comme l’apprentissage de la fellation, aux jeunes enfants, et d’avoir des relations homosexuelles, et tout ce genre de choses. L’ONU et l’OMS demandent donc aux éducateurs d’encourager les enfants à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à trouver des partenaires sexuels. Il existe également des preuves que cela fait partie d’une opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Rien d’étonnant à cela. Et maintenant, je répète : montrez-moi la différence avec la secte terroriste de Joseph Kony… sauf que l’ONU et l’OMS, dont nous parlerons plus tard, font des millions de fois pire, dans le monde entier. Vous voyez, le simple fait d’adhérer à l’ONU sans se douter de quelque chose ne devrait pas être considéré comme un crime par un État membre bien intentionné. Mais dès que de telles atrocités de l’ONU comme on vient de l’entendre, sont révélées au grand jour, aucun État membre ne doit avoir la moindre raison de ne pas se retirer immédiatement de cette association terroriste hautement criminelle ! C’est clair ?

Et surtout, aucun État ne doit se taire lorsque de telles choses se produisent, ou s’arroger le droit de rester dans cette organisation criminelle au nom d’un quelconque contrat ou même privilège. C’est exactement le contraire : tout État non coupable doit agir immédiatement, traîner les crimes révélés au grand jour les plus graves devant un tribunal équitable, pour éviter que l’arbre étatique tout entier ne tombe dans la complicité de crimes internationaux. Et si des États membres trompés et maintenant éclairés devaient avoir l’idée de maintenir cette organisation criminelle en vie, de la réformer en quelque sorte, au nom de son beau nom ou des innombrables contrats signés, il faudrait alors, en pensant en termes fractals, accorder le même droit à toutes les associations terroristes bien plus inoffensives, comme celle de Joseph Kony, par exemple, n’est-ce pas ? Elles aussi ont des noms et des contrats prometteurs. Il ne viendrait à l’idée de personne sous ce ciel de maintenir une organisation terroriste après avoir simplement changé la tête et quelques-uns des complices de cette bande d’assassins, vous comprenez ? Seuls des esprits dérangés, qui ont déjà incité des États entiers à devenir membres de réseaux terroristes dominant le monde, peuvent avoir des idées aussi perverses. Mais ceux-ci, pensés de manière fractale, devraient être punis d’autant plus sévèrement que l’arbre entier est plus lourd que sa branche fractale extrême, et même que sa plus petite représentation. Il convient de mentionner que c’est la même organisation secrète maçonnique qui a fondé l’ONU en 1945, puis l’État d’Israël trois ans plus tard et la Communauté européenne (CE) en 1957. Or, comme vous le savez, chaque franc-maçon du plus haut grade se réclame de Lucifer ; c’est son dieu. En d’autres termes, il s’agit d’adorateurs du diable, vous saisissez ? Des adorateurs du diable qui ont fondé non seulement les institutions que je viens de mentionner, mais aussi toutes ces institutions et bien d’autres encore. En effet, ils ont fondé la FED (Federal Reserve), l’OMS, l’OTAN, la NASA, le FEM, l’UE, l’œcuménisme, mais aussi l’ensemble du système éducatif avec toutes ses universités. Ils ont également créé l’ensemble du secteur de la presse et l’industrie de l’édition, mais aussi les plus grandes maisons d’édition de livres, l’ensemble de toute la machine télévisuelle et hollywoodienne avec son contrôle FSK et je ne sais quels autres organismes de contrôle. Il ne faut pas non plus oublier ces sociétés secrètes maçonniques, fondatrices de toutes les principales agences de presse du monde, qui alimentent jour après jour leurs médias mainstream, je dis bien leurs médias mainstream, avec leurs trucs. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont également fondé de nombreux services secrets, et même la recherche sociale comme l’École de Francfort et bien d’autres choses encore. Mais nous allons d’abord nous pencher sur d’autres machinations hautement criminelles issues de toutes les fondations maçonniques que nous venons de mentionner, et plus tard, nous nous pencherons encore sur les coûts que l’ONU maçonnique à elle seule nous fait supporter chaque année. Les peuples, enfermés et généralement déjà intégrés dans les autres constructions de sociétés secrètes que nous venons de mentionner, livrent sans cesse leurs impôts durement gagnés aux mêmes oligarques. C’est ce qu’il faut comprendre aujourd’hui.

Comme nous le verrons par la suite, dans le monde entier une seule et même société secrète luciférienne s’est infiltrée depuis des siècles dans tous les postes importants de notre société. Et leurs méthodes sont toujours les mêmes : mensonges, tromperies, et ce par principe. En règle générale, ils font exactement le contraire de ce qu’ils promettent. Et pour eux, les êtres humains ne sont rien de plus, rien de moins que du bétail ou des machines, ce sont simplement des marchandises qu’il faudrait réduire à 500 millions d’entre nous. C’est ce qu’ils disent ouvertement. Et cette secte luciférienne, qui s’est formée depuis des siècles dans des structures de sociétés secrètes, domine vraiment tous les peuples du monde. Certes, ils mettent constamment en avant des slogans qui parlent de démocratie, de tolérance, de fraternité, voire de liberté. Mais ils manipulent nos politiciens et toutes les structures devenues imaginables par des méthodes astucieuses. Les paroles et les actes ne concordent pas, mes chers amis. Et ce ne sont pas les peuples qui les contrôlent, mais eux qui contrôlent les peuples. C’est ce qui est le plus grave ! Et tout cela se fait à l’insu du grand public, au mépris de tout droit ou de toute constitution en vigueur. Et tout ce qu’ils font, ils le font soit sans aucun mandat politique, soit sans mandat des peuples, soit au moins par la méthode déjà mentionnée qui consiste à obtenir hypocritement l’adhésion d’États de bonne foi et sans méfiance. Tout ce qu’ils font et manipulent passe complètement à côté de la conception qu’a le peuple de la justice. J’ai dit le peuple ! Ils nous imposent sans cesse de nouvelles lois, sans tenir compte des principes démocratiques. Ils exercent une influence toujours plus grande sur nos écoles, sur nos enfants — et ce, de manière conséquente, en ignorant tous les parents, les enseignants et les représentants légaux.

Il s’agit donc d’une conspiration solide qui passe outre tous nos responsables et toute responsabilité. Dans d’innombrables émissions de Kla.TV, nous avons démontré que les institutions suivantes ont toutes été fondées par cette société secrète de la franc-maçonnerie de haut niveau, organisée de manière luciférienne. Et comme nous allons le voir, ces associations secrètes se comportent les unes comme les autres, de manière hautement criminelle, et c’est le cas de l’OMS. C’est à elle que nous allons nous intéresser maintenant.

[2. L’OMS]

L’Organisation mondiale de la santé est une organisation spéciale de l’ONU fondée en 1948, dont nous venons de prouver l’origine maçonnique. Et ces mêmes 193 États membres de l’ONU sont également les membres de l’OMS, qui doivent payer chaque année des cotisations fixées. Et ce secteur maçonnique engloutit lui aussi plusieurs milliards de dollars par an. Mais passons maintenant au côté criminel : l’actuel directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a été pendant de nombreuses années un dirigeant d’une organisation terroriste communiste. Celle-ci porte le sigle TPLF, et elle est même officiellement répertoriée comme organisation terroriste dans la base de données mondiale des terroristes. Le TPLF est une organisation violente qui a provoqué ou participé à de nombreux enlèvements, prises d’otages et massacres. Ses membres ont vraiment commis les plus graves violations des droits de l’homme au cours de leurs presque 30 années de règne. Et maintenant, que l’OMS nous explique quelle est la différence par rapport à l’organisation terroriste de Joseph Kony en Afrique centrale !

Avant même l’expérience du Covid-19, explicitement soutenue par l’OMS, qui a fait des millions de victimes et des centaines de milliers de morts, c’est l’OMS qui a rendu stériles des millions de femmes au Kenya et dans d’autres pays en ajoutant des substances nocives pour la grossesse dans les vaccins antitétaniques. C’était l’OMS !

L’OMS a également tenté de dissimuler ses vaccins nocifs contre le paludisme en violant gravement les normes éthiques internationales lors de l’évaluation de l’étude. Et en collaboration avec l’organisation maçonnique GAVI, fondée au FEM, l’OMS tente en ce moment même d’inonder littéralement l’Afrique avec un vaccin contre le paludisme.

Le cheval de bataille de GAVI est d’ailleurs l’ID 2020, dont l’objectif est de doter chaque personne dans le monde d’une identité numérique propre — autrement dit, de la rendre transparente à 100 %. Pour moi, ce n’est rien d’autre qu’une sorte de voyeurisme politico-économique, vous comprenez ! Mais revenons maintenant aux crimes vaccinaux de l’OMS et de GAVI : car une fois de plus, des études à ce sujet ont pu démontrer que les personnes vaccinées par l’OMS présentent un risque dix fois plus élevé de méningite ou de malaria cérébrale et un risque de mortalité deux fois plus élevé. Que des juges et des procureurs compétents montrent aux peuples la différence avec les dizaines de milliers de personnes assassinées par la bande terroriste de Joseph et qu’ils nous expliquent pourquoi ils n’ont pas demandé des comptes à ceux qui ont causé des dommages et des assassinats X fois plus nombreux ! Mais l’OMS n’est pas seulement couverte par ses amis francs-maçons, c’est-à-dire par toutes les organisations maçonniques environnantes, l’OMS elle-même couvre à son tour ses amis de Big Pharma, c’est-à-dire les fabricants de vaccins. En effet, l’OMS a exempté les fabricants de vaccins du paiement de dommages et intérêts en cas de dommages causés par des vaccins défectueux. Vous voyez comment ça marche ? Comme toujours, une main maçonnique en lave une autre, vous voyez ? Et en ce moment même, cette OMS criminelle est en train de concocter un traité international sur les pandémies avec tous ses copains de la société secrète. Ils essaient de faire de leur chef terroriste de l’OMS, Ghebreyesus, le seul et unique souverain du monde par ce biais. C’est une voie intelligemment conçue vers la dictature de la santé. Vous devez le comprendre. Ces nouvelles lois, qui sont une fois de plus concoctées derrière des portes closes en ignorant totalement chaque peuple, doivent avoir force de loi pour le monde entier dans quelques mois. C’est ce qu’elles essaient de faire. Mais ils ne pourront le faire que si nous, les peuples trompés, ne nous opposons pas de toutes nos forces. Et la seule chose correcte que tous les éléments fractals de cet arbre mondial doivent faire maintenant, c’est exactement ce que chaque État du monde exigerait d’un allié terroriste de Joseph Kony : comme pour l’ONU, nous devons nous retirer immédiatement de cette organisation terroriste qu’est l’OMS ! C’est comme ça que ça marche ! Et en même temps, nous devons mettre les criminels qui la dirigent sous les verrous. Il ne suffit pas d’expulser l’OMS de tous nos pays, car même les plus petits terroristes sont traités avec beaucoup plus de sévérité. Nous devons exproprier totalement l’OMS et y mettre un terme. Tout le reste serait totalement inapproprié, je le dis. Nous ne l’accepterions jamais, ne serait-ce que pour un Joseph Kony et son organisation terroriste. Mais nous allons maintenant faire un pas de plus vers l’UE.

[3. L’UE (01.11.1993)]

Au fait, qui a fondé l’UE ?

C’était en 1993. Tout d’abord, tout le développement de l’UE était basé sur le plan Coudenhove-Kalergi, qui était un membre de la loge maçonnique Humanitas de Vienne. Et c’est avec sa proposition de créer une Paneurope que la presse maçonnique mainstream a attiré l’attention internationale dès 1922, alors que Kalergi n’avait que 28 ans. Et vous voyez, ils font la même chose aujourd’hui avec tous les Young Global Leaders formés en secret.

Puis, des francs-maçons de haut niveau comme les Français Robert Schuman et Jean Monnet sont entrés en scène. Et c’est de ce dernier que vient la fameuse méthode Monnet. Il s’agit de cette politique d’intégration progressive et délibérément insidieuse, qui a finalement conduit à la naissance de l’UE. Je n’ai pas le temps de parler ici des cofondateurs, Paul-Henri Spaak de Belgique, et Altiero Spinelli d’Italie.

Comme c’est typiquement le cas pour ces sociétés maçonniques, elles ont introduit en 2012 le Mécanisme européen de stabilité en abrégé MES, afin de maximiser leurs profits et leur pouvoir. Mais celui-ci s’est avéré être une mine d’or pour leurs banques, et non pour le peuple : les banques ont d’abord pu prêter de l’argent à la Grèce via le MES. Et lorsque la Grèce n’a plus pu payer, ce qui était prévisible, les autres États de l’UE ont dû intervenir via le MES, donc PAS les banques maçonniques ! Comprenez-vous cela ? Dans le cadre du sauvetage de la Grèce, les États de la zone euro et le FMI ont transféré 207 milliards d’euros, dont 170 milliards ont été versés, comme on pouvait s’y attendre, au secteur financier.

L’UE commet en outre des crimes très graves contre la population civile. Et au plus tard avec ses sanctions sévères, l’UE s’est déjà révélée être une association terroriste en Syrie en 2011, et une association qui déclenche des catastrophes humanitaires. Pourquoi ? Les biens médicaux n’étaient tout simplement plus disponibles en quantité suffisante pour la population innocente à cause de l’UE. De nombreuses installations d’électricité et d’eau ainsi que des hôpitaux ont dû fermer faute de composants et d’essence, l’approvisionnement en nourriture n’était plus suffisant, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi parce que les marchandises/produits nécessaires n’étaient plus disponibles, même l’eau potable et l’électricité ont dû être rationnées. Tout cela à cause de l’UE. Vous comprenez ?

Et aujourd’hui, l’UE participe à nouveau à la guerre en Ukraine, en injectant pas moins de 50 milliards dans cette guerre depuis le début. Mais l’UE a également participé directement à la livraison d’armes. Peu après le lancement de l’offensive militaire russe en Ukraine, l’UE a pris la décision historique d’utiliser l’argent d’un fonds relativement nouveau, le Fonds européen pour la paix, FEP, pour soutenir l’Ukraine. Pour la première fois, ce fonds a été utilisé pour fournir des armes létales, c’est-à-dire des armes potentiellement mortelles, à un pays tiers. En a-t-elle le droit ? Non, elle n’en a pas le droit.

L’UE se révèle de plus en plus clairement être un instrument maçonnique de démantèlement de la démocratie et de la souveraineté dans ses pays membres. C’est ainsi. Environ 80 % des lois de ses pays membres sont désormais dictées par l’UE, c’est-à-dire par sa commission non élue par le peuple. Les pays membres qui s’en écartent sont soumis à de lourdes sanctions. Je dis qu’on ne peut pas faire plus sectaire. Comprenons-le enfin.

[4. FEM (24.01.1971)]

Nous allons maintenant faire un pas de plus vers le FEM, qui a été créé le 24 janvier 1971.

Le Forum Économique Mondial, ou FEM, est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière franc-maçonne de haut niveau, comme les Rothschild ou la dynastie Rockefeller. La société secrète du FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Mais elle travaille aussi avec acharnement à un objectif, qui s’appelle Great Reset, et ce avec toute l’humanité. Et maintenant, tout le monde connaît le livre Great Reset de Klaus Schwab. Mais presque personne ne sait qu’un frère de loge satanique notoire et franc-maçon de haut rang a publié en même temps un ouvrage presque identique. Une simple coïncidence, bien sûr. Non, l’Italien Giuliano Di Bernardo est un franc-tireur invétéré. Et en tant que Grand Maître de plusieurs associations maçonniques, comme le Grand Orient d’Italie et la Grande Loge Régulière d’Italie, il a notamment créé l’Académie des Illuminati et le soi-disant Ordre de la Dignité. En accord avec ses objectifs, le FEM annonce maintenant ouvertement le transhumanisme luciférien et nous assure à tous : Vous ne posséderez rien, vous devrez vous en contenter et en être satisfaits. De telles déclarations viennent de là. Le FEM a également dévoilé ouvertement ses objectifs pour 2030 — je les répète ici en quelques mots : la création d’un gouvernement mondial unique — très démocratique — une monnaie mondiale contrôlée sans argent liquide — la fin de toutes les souverainetés nationales, encore une fois très démocratique, non ? — la fin des élections régulières, car elles devraient être remplacées par l’intelligence artificielle, super, non ? — la fin de toute propriété privée — l’abolition des transports privés — un système mondial de crédit social — comme en Chine — le contrôle de la croissance démographique, c’est-à-dire la dépopulation — l’identité numérique de chaque être humain, j’en ai déjà parlé, ID 2020 — la souveraineté absolue du mainstream par la censure des médias indépendants, tout cela ouvertement documenté — la création d’un nouvel être humain par la fusion de l’homme et de l’IA, c’est-à-dire l’intelligence artificielle et le transhumanisme. Les autres objectifs du FEM sont la mise en place d’une technocratie — le Green Deal pour imposer une économie planifiée centralisée, nous aimons tous ce mot, qui équivaut au socialisme pour la gestion étatique de tous les domaines ; le prétexte est bien sûr la folie climatique qu’ils ont eux-mêmes attisée. Regardez à nouveau les émissions très instructives et bien documentées qui apparaissent à l’écran. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

Il est donc prouvé que le Forum économique mondial (FEM), tout comme le Club de Rome, la Commission trilatérale ou le Bilderberg, etc. est un véritable bastion de la franc-maçonnerie par excellence. Et c’est pourquoi le FEM est protégé par une immunité et des privilèges à Genève, en Suisse, c’est clair. Selon leur accord avec le gouvernement suisse, leurs archives semblent inviolables, ce qui leur permet bien sûr de planifier et d’organiser sans transparence le mouvement des fonds au sein de leur réseau.

Selon l’expert financier Ernst Wolff, le FEM profite aussi particulièrement du droit moderne des fondations. Selon lui, ce système a été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. De plus, il est possible d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires — là encore, c’est très démocratique, vous entendez ?

Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !

Cela veut dire, chers amis, qu’il est urgent que nous comprenions qu’il existe des dizaines d’institutions maçonniques au total, qui ponctionnent vraiment la population mondiale de tous les côtés, avec une préférence pour l’argent de nos impôts, par le biais de taxes directes, mais aussi de plus en plus indirectes, comme actuellement par exemple dans le commerce de l’énergie.

Celui-ci s’étend de plus en plus sous nos yeux, passant par exemple du commerce du mazout et des carburants au commerce des émissions — c’est-à-dire les taxes environnementales, les impôts sur le CO₂, les pénalités climatiques, etc. Mais avant de nous pencher sur les méthodes d’arnaque à grande échelle, totalement invisibles à l’œil nu, je vais résumer les coûts des constructions maçonniques supranationales mentionnées jusqu’à présent, juste ce que nous avons déjà entendu :

[Coûts de ONU]

Les coûts de l’ONU par exemple. Les coûts de fonctionnement interne de l’ONU s’élèvent à environ 3,47 milliards de dollars en 2024. Pour les 193 États membres, cela représente une moyenne de 18 millions par an. Or, l’Allemagne paie chaque année dix fois la moyenne, soit 200 millions ! Seulement le fonctionnement interne. La Suisse paie 40 millions par an rien que pour le budget de l’ONU ! Mais c’est maintenant que les chiffres et les coûts réels apparaissent.

Pour financer l’Agenda 2030 de l’ONU, ils ont l’intention, selon leurs propres dires, de nous soutirer 5 à 7 billions de dollars supplémentaires par an. C’est en moyenne un 6 suivi de 12 zéros, vous comprenez ? Et l’article 17 de la Charte des Nations unies stipule que les dépenses de l’organisation sont à la charge des États membres, c’est-à-dire de nous, les contribuables. Calculons ce que cela nous coûte chaque année :

7 billions divisé par 193 donne « selon Adam Riese » 36 milliards de dollars en moyenne. Comme nous venons de le voir avec la répartition inégale des coûts internes des ménages, certains contribuables, comme les Allemands, devraient être un peu plus « privilégiés »… Mais même avec une consommation annuelle moyenne de « seulement » 36 milliards, l’Agenda 2030 prélèverait 430 dollars par an et par personne sur le contribuable allemand ! Pour une famille avec trois enfants, cela représenterait 2 150 dollars par an… Donc chaque année, rien que pour ces deux postes financiers de l’ONU, de très bonnes vacances seraient tout simplement supprimées… Vous comprenez cela ?

[Coûts de l’UE]

Nous en venons maintenant aux coûts de l’UE. Les dépenses de l’UE pour la période 2021-2027 s’élèvent au total à, écoutez bien : 1 824,3 milliards d’euros. La traduction de documents dans les 24 langues officielles de l’UE coûte donc à elle seule 100 millions d’euros par an. Si ces « philanthropes », comme ils aiment à se présenter, distribuaient ces presque 2 billions d’euros, ainsi que les 6 billions annuels pour l’Agenda 2030, directement aux bouches affamées du monde, vous savez que nous n’aurions plus de famine pendant des décennies, le croyez-vous ? Sur toute la planète. Vous comprenez ?

Mais même nos contribuables suisses, qui ne sont même pas encore membres de l’UE, se voient prélever par ces suceurs de sang une contribution à la cohésion de 2 milliards au total.

Et celle-ci nous ponctionne déjà 229 CHF par an et par personne, et même par nourrisson ! Pour ma famille nombreuse avec petits-enfants, cela représente 6 870 CHF par an…

[Coûts du FEM]

Venons-en maintenant aux coûts du FEM. Environ 2 500 personnes ont participé au FEM 2024. Ces dernières années, l’armée suisse a mis à disposition 20 à 30 millions de francs suisses par an pour cet événement. Mais à cela s’ajoutent 9 millions de francs supplémentaires pour couvrir les services de police et autres frais de sécurité. Pour cette secte, vous comprenez ? Maintenant, passons directement à autre chose.

[Coûts de l’UNESCO]

L’UNESCO est principalement financée par les contributions obligatoires de ses États membres. Pour les années 2022 et 2023, l’UNESCO disposait de 1,5 milliard de dollars américains. Vous voyez ces chiffres ? Toujours dans les mêmes poches.

Et maintenant, comme promis, nous en venons aux quatre plus grandes structures de pouvoir de cette société secrète maçonnique, qui sont en même temps les plus invisibles pour nous tous, et ce, avec les tributs gigantesques qu’elles exigent de nous en permanence :

[5. La City of London (43 apr. J.-C.)]

[Centre financier de la pieuvre]

Nous parlons maintenant de la City of London. Vous connaissez ? La City of London a été fondée, tenez-vous bien, par les Romains en 43 après J.-C. et s’appelait alors Londinium. Je ne me suis pas trompé. 43 ans après Jésus-Christ. Alors, il ne faut jamais oublier que quelques années plus tard, Rome est tombée. Il s’agissait déjà d’un mouvement clandestin. C’est en 1140 après J.-C. que le précurseur de la City of London Corporation a été créé, qui gère encore aujourd’hui la City of London. Et cette City est un État à part entière, comme le Vatican par exemple, et ne doit donc pas être confondue avec l’Angleterre ou la Grande-Bretagne que nous connaissons. Le wiki maçonnique — le lexique — révèle cette compagnie à la première ligne avec ces mots. Je cite : « Vénérable compagnie des francs-maçons ». Bien compris ? Pas étonnant, puisque la City of London est contrôlée par les Rothschild. Et là encore, on en revient à l’aspect criminel. En effet, depuis 1815, les Rothschild et leur cartel bancaire ont pratiquement toujours financé les deux camps de chaque guerre. Donc, rien que cela a coûté la vie à plus de 85 millions de personnes pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. D’autres victimes sont à déplorer dans les guerres financées par Rothschild : guerres ottomanes, 9 millions de morts ; Révolution russe : 14 millions de morts ; Seconde Guerre mondiale : plus de 70 millions de morts, auxquels s’ajoutent 7 millions de viols ; Guerre du Golfe : 100 000 morts ; Vietnam : 3 millions de morts, 7 millions de blessés… Je pourrais en citer d’autres.

Mais parlons maintenant de la City of London elle-même, contrôlée par les Rothschild : Je dis qu’elle est leur premier centre financier mondial. Et plus de 500 banques font des affaires dans le Square Mile, la City of London. Cela veut dire que la City of London est un aimant pour l’argent de l’évasion fiscale du monde entier. A la City of London, des milliers de comptables et d’avocats sont exclusivement occupés à ouvrir de nouvelles brèches aux super-riches. En d’autres termes, les multinationales, à l’aide des spécialistes londoniens, mettent leurs bénéfices à l’abri dans ce qu’on appelle des paradis fiscaux. Et cela coûte chaque année aux pays pauvres, je dirais — et c’est un euphémisme — 170 milliards de dollars. Ce chiffre n’est probablement pas exact, il doit être revu à la hausse.

[6. FED (23.12.1913)]

Nous arrivons maintenant à la Réserve fédérale, la FED.

Et maintenant, en ce qui concerne les pertes financières, c’est encore plus frappant :

La Réserve fédérale, fondée en 1913, était déjà la troisième banque centrale des francs-maçons Rothschild en Amérique. Pour obtenir le soutien de l’opinion publique, ils ont alors affirmé de manière mensongère que seule une banque centrale pourrait résoudre les problèmes d’inflation et de déflation. En principe, il n’y a rien de mal dans cette phrase, elle est juste entre de mauvaises mains. Mais les francs-maçons, c’est bien connu, racontent toujours en public l’exact contraire de ce qu’ils ont réellement l’intention de faire. Il faut le comprendre. Car l’idée derrière les banques centrales de Rothschild était justement, dès le début, de pouvoir manipuler le flux monétaire de telle sorte que ces banques puissent elles-mêmes générer de l’inflation et de la déflation à volonté. Vous comprenez ? Avec leur système de réserves fédérales, ils se sont également arrogé le droit attesté de créer de l’argent à partir de rien, pour le prêter ensuite à des intérêts et des intérêts composés coûteux… vous connaissez l’histoire. Lors de la promulgation de la loi sur la Réserve fédérale le 23 décembre, le membre du Congrès Charles Lindbergh a déclaré, je cite : « Un pouvoir monétaire invisible est ici légalisé, le plus grand crime de tous les temps est exercé par ces législateurs bancaires et monétaires. » Fin de citation.

Il avait raison, car la FED est immédiatement devenue la mère de toutes les inflations. Entre de mauvaises mains, comme je l’ai dit. Elle avait déjà provoqué la Grande Dépression dans les années 1930, c’est-à-dire la pire crise économique du XXe siècle. En raison de cet effondrement délibéré, des millions de personnes se sont retrouvées sans emploi et ont perdu leur fortune. Ce n’est que le sommet de l’iceberg.

On avance, on passe à la BRI et à ses crimes.

La Banque des règlements internationaux, ou BRI, a été fondée en 1930 à Bâle, en Suisse. Et pourquoi cela ? Pour s’assurer que l’Allemagne paierait ses réparations aux superpuissances de la Première Guerre mondiale. Mais écoutez bien : cette même BRI avait auparavant contribué à financer les préparatifs de guerre du Troisième Reich par des crédits et avait soutenu les raids nazis en amont. Vous comprenez ? En recevant par exemple l’or qu’ils avaient volé et en le transformant en devises. Et comme nous l’avons déjà mentionné, les banques Rothschild ont toujours financé les deux camps de la guerre, — et nous voyons ici comment elles le font après la guerre. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux ou trois pays dans le monde dont la banque centrale est restée indépendante de la propriété ou du moins du fort contrôle des Rothschild. La BRI a donc contribué, dans le dos du public, à l’organisation de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle plus de 70 millions de personnes ont d’ailleurs perdu la vie, et elle n’a pas manqué une occasion de s’enrichir elle-même.

Plus tard, la BRI a joué un rôle décisif dans la création de la Banque centrale européenne, la BCE, et a contribué à poser les jalons de la crise de 2007/2008 et de la crise de l’euro qui a suivi, en faisant en sorte que les conséquences de ces deux crises ne soient pas répercutées sur leurs responsables, à savoir les grandes banques et les fonds spéculatifs, mais sur la population active. Sur toi et moi.

Et ainsi, nous pourrions encore citer beaucoup d’autres institutions maçonniques avec leurs crimes, car nous n’avons pas encore dit un mot, par exemple, des trois plus grandes agences de presse, l’AP, Reuters et l’AFP avec leur système mainstream interconnecté au niveau mondial. Nous n’avons pas non plus parlé de tout le système de téléphonie mobile avec ses technologies Wifi, Smart et de surveillance, ni du bastion maçonnique de Washington DC ; pas un mot non plus sur le WWF, Amnesty International (il y aurait aussi beaucoup à dire), et encore moins sur le Vatican, qui est soutenu par toute l’infrastructure maçonnique mentionnée ici et qui, en tant que chef non négligeable de toute l’histoire, influence toute la construction mondiale du point de vue religieux. Il a pour mission de faire entrer le tout dans le culte de Lucifer. Retenez bien cette phrase !

Il y aurait également beaucoup à dire sur l’UNESCO maçonnique, car elle sacrifie dans notre dos d’immenses surfaces, par exemple des réserves naturelles, pour des mines d’uranium. L’UNESCO a par exemple approuvé une modification des frontières d’une réserve naturelle en Tanzanie, de sorte que l’uranium peut désormais être extrait dans la réserve pour approvisionner les centrales nucléaires, etc.

Ou encore le Pentagone. Le Pentagone, il faut l’appeler une loge maçonnique militaire. En arrière-fond, vous voyez le bilan de quelques guerres du Pentagone. Toutes des œuvres maçonniques. Cette autorité, la plus puissante du monde, a en effet tué lors de bombardements près de 14 millions de personnes depuis 1945. Et maintenant, ça continue. Même Hollywood, une autre fondation maçonnique, travaille pour le compte du Pentagone. Des documents nous révèlent comment Hollywood encourage les guerres pour le compte du Pentagone, mais aussi de la CIA, de la NSA, etc. Les services secrets militaires américains ont directement influencé pas moins de 1 800 films et émissions de télévision. Les scénarios, tout. L’institution du Pentagone coûte vraiment cher au monde, et en particulier aux États-Unis. Car juste un jour (voici un exemple en gras) un jour avant le 11 septembre, avant la catastrophe des tours, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, Donald Rumsfeld, a déclaré lors d’une conférence de presse que 2,3 billions de dollars américains avaient disparu sans laisser de trace au Pentagone — écoutez bien —. Donc 2 300 × 1 milliard de perdu, ou en d’autres termes encore une fois : 2 300 × 1 000 millions. Nous ne pouvons pas saisir ces chiffres. Un jour plus tard seulement, les tours jumelles, y compris le WTC 7, ont été englouties dans la poussière nucléaire — et avec elles toutes les preuves, ou du moins d’innombrables preuves.

[Résumé simplifié]

Bien que cela prenne un peu plus de temps, j’aimerais résumer l’ensemble en mots plus simples.

Tout ce que cette secte de sociétés secrètes a construit pendant des siècles détermine aujourd’hui notre politique, notre science, notre religion, notre système de santé, notre système d’éducation, et même tout notre système de sécurité, et ce jusqu’à la justice, jusqu’à l’armée, etc. Et tout ce que fait cette secte luciférienne, comme j’aime l’appeler, complètement à l’insu du peuple. Mais ça va également à l’encontre de tout droit en vigueur, de toute constitution en vigueur. Elle ignore tout mandat politique donné, elle ignore toute compréhension de la justice par le peuple, j’ai dit « le peuple ». « Le peuple » cherche la justice pour lui-même, il ne la cherche, pas pour des oligarques, à l’encontre de tous les principes démocratiques. En Suisse, cela a été particulièrement clair avec le refus… c’est-à-dire lorsque le Conseil fédéral a tout simplement refusé de mettre en œuvre l’expulsion du flot d’étrangers, etc., alors qu’il avait été habilité à mettre en œuvre les initiatives populaires, ce Conseil fédéral. Il ne met pas en œuvre les décisions populaires, vous comprenez, et au lieu de destituer l’ensemble du Conseil fédéral, de le révoquer immédiatement ou, mieux encore, de le traduire en justice pour haute trahison, mais au moins de le révoquer sur-le-champ, nous, les Suisses, nous nous sommes laissés entraîner à lancer une initiative dite de mise en œuvre, nous en sommes encore là. Récolter à nouveau 100 000 signatures signifie donc dire une fois de plus au Conseil fédéral, qui y est légalement tenu, que les décisions fermes du peuple, les décisions démocratiques, doivent maintenant être réellement mises en œuvre. Vous voyez comment ça se passe, rien n’a changé depuis. J’en ai suffisamment expliqué la raison. Comme vous le voyez, ils passent outre à tout principe démocratique, mais aussi à tous les parents, même aux enseignants et aux chargés de cours ou aux délégués, quels qu’ils soient. Ces têtes maçonniques passent outre et manipulent tous les responsables, contournent toute responsabilité. Et c’est pourquoi de nouvelles décisions populaires sont d’urgence nécessaires et inévitables. Je dis : finissons-en avec l’immunité, finissons-en avec l’invisibilité de ces éléments dirigeants qui corrompent le peuple. Avant que ces vicieux de la domination mondiale ne déclarent définitivement le citoyen transparent, je dis que les peuples doivent déclarer une visibilité obligatoire de toutes ces structures sectaires. Il faut rendre visible qui appartient exactement à quel club, à quel parti, à quelle religion ou à quelle secte. Je dis que le peuple doit déclarer une interdiction totale des sociétés secrètes. Il faut qu’on voie clairement avec qui de nos responsables légaux les personnes influentes de ces lobbyistes lucifériens entretiennent des contacts, vous comprenez.

Ces personnes doivent rendre transparents tous les flux financiers. Où vont par exemple toutes nos taxes sur l’alcool, le tabac, le climat, etc. Est-ce qu’elles atterrissent vraiment dans nos caisses de maladie, en premier, oui ? Les lanceurs d’alerte de l’ONU ont clairement déclaré que des milliards sont constamment utilisés pour renforcer le pouvoir de cette secte et jamais pour lutter contre la pauvreté, la faim ou quoi que ce soit d’autre, les choses qui ont été mentionnées précédemment. Tous les peuples doivent donc savoir combien de milliards de leurs impôts vont dans la construction maçonnique de haut niveau, par exemple l’ONU et ses bâtiments. Les peuples doivent déclarer une année de rémission en raison du pillage des oligarques. Des référendums qui déterminent que toutes les dettes des États, qu’ils ont contractées par ignorance, qu’ils ont envers les 1 % les plus riches de ces oligarques, soient tout simplement effacées. Voilà, fini, vous comprenez ? Il faut travailler à de telles décisions populaires dans le monde entier. C’est pourquoi nous devons informer l’humanité de ce qui se passe ici pour des milliers de milliards de vols permanents, j’ai dit des milliers de milliards, pas des milliards. Et avant qu’ils ne puissent nous dépouiller de tous nos biens lors du Great Reset, il faut que les peuples récupèrent toutes les terres de ces grands profiteurs de la crise. Exemple : Bill Gates est devenu le plus grand propriétaire terrien privé des États-Unis avec plus de 108 000 hectares de terre. D’autres sources parlent même de bien plus depuis le Covid. Mais la couronne britannique en possède beaucoup plus, à savoir environ 2,5 milliards d’hectares, cette maison royale maçonnique qui a toujours usurpé tous les pays. Ce sont les têtes, vous comprenez. Mais il faut aussi, par des décisions des peuples, déclarer un arrêt total de toute géo-ingénierie. Il faut rendre public l’ensemble des épandages qui ont eu lieu, avec par exemple des données précises sur les millions de tonnes et des indications sur le contenu exact de ce qui a été pulvérisé sur nous. Sur les peuples ignorants. Les peuples doivent destituer toutes les ONG et organisations supranationales qui ont acheté nos gouvernements et ainsi trompé le peuple. Il faut une sortie totalement cohérente de toutes ces structures et organisations secrètes lucifériennes. Tout le baratin sur le sauvetage du climat mondial provient du même milieu luciférien, orchestré par les mêmes sociétés secrètes, qui se réunissent chaque année à Davos, en Suisse, avec leurs marionnettes et leurs pions. La Suisse ne doit plus jamais financer cette secte, ni même l’admettre sur son territoire.

Je continue à résumer, avec des mots plus simples encore une fois. Je vous prie, je vous en conjure, portez ces témoignages aussi vite que possible à tous vos députés, à tous les politiciens et partis que vous pouvez trouver, à toutes les personnes encore ignorantes que vous pouvez trouver, car le temps presse. Avec des centaines de milliers de sources fiables à l’appui, nous avons pu démontrer avec Kla.TV que tous ces oligarques qui proclament aujourd’hui ouvertement leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur gouvernement mondial, sont également issus de la tradition ancestrale d’une conspiration mondiale secrète et en font partie. Je le répète : une secte luciférienne s’est infiltrée au fil des siècles dans presque tous les postes importants de notre société. Leurs méthodes sont par principe le mensonge et la tromperie. Ils font presque toujours exactement le contraire de ce qu’ils nous promettent. Pour eux, les êtres humains n’ont pas plus de valeur que le bétail ou les machines. Ils ne sont que des marchandises utiles à leurs yeux et leur objectif est de réduire cette marchandise utile à environ 500 millions dans le monde. Et à la tête de cette conspiration mondiale se trouvent quelques milliers d’oligarques, c’est-à-dire de multimilliardaires, voire de milliardaires, qui, secrètement reliés entre eux, dominent chaque domaine des institutions humaines. En d’autres termes, ils sont directement impliqués dans les abus d’enfants, le trafic d’enfants, mais aussi le trafic de femmes, et sont responsables de la disparition d’environ huit millions d’enfants par an dans le monde. C’est ce qu’a révélé un spécialiste de l’ONU. C’est de ces oligarques pédocriminels et richissimes que viennent simultanément les slogans tant cités, comme démocratie, liberté, égalité, fraternité. Mais en réalité, ils manipulent toute la politique mondiale et tentent ces jours-ci de contraindre l’ensemble de la population mondiale à leur propre domination mondiale. Finie la démocratie, ils ne font qu’en parler, ils font le contraire. Le traité de pandémie de l’OMS qu’ils ont élaboré n’est que la possibilité qu’ils ont prévue de gouverner le monde via une dictature de la santé. De la même manière, ils cherchent à diriger leur domination mondiale par le biais de leur dictature militaire ou de l’éducation, de leur dictature de l’environnement, de leur dictature de l’œcuménisme dans le domaine religieux ; de leur dictature scientifique, de leur dictature pharmaceutique, de leur dictature des services secrets ; ils essaient de nous dominer davantage par le biais de leur dictature des médias et bien d’autres choses encore. Et ils font tout cela sans avoir jamais été élus par aucun peuple. Sans siéger directement dans nos parlements ou dans nos cabinets gouvernementaux.

Non, ils manipulent tout cela de l’extérieur depuis des siècles par le moyen des ONG — c’est-à-dire des organisations non gouvernementales, qu’ils ont créées dans ce but. Et il est complètement faux de penser que ces ONG ont été créées par des personnes bien intentionnées et qu’elles ont ensuite été reprises par les oligarques. Peut-être que cela a existé auparavant. Mais en général, c’est le contraire. Les oligarques entre eux, organisés en structures de sociétés secrètes, ont créé ces ONG spécialement pour exercer à travers elles une influence directe et pourtant cachée sur la politique et sur chacun de nos systèmes étatiques. C’est ce qu’ils ont toujours fait, en se faisant passer pour des bienfaiteurs, des philanthropes, des défenseurs de l’environnement, des défenseurs des droits des femmes, des défenseurs des enfants, et même pour des organisations d’intérêt général. Mais en réalité, il a toujours été prouvé qu’ils faisaient exactement le contraire de ce que leurs objectifs de bienfaisance prétendaient. Et maintenant, je nomme encore une fois les plus importantes de ces ONG par leur nom et je répète encore une fois avec force que toutes ces institutions sont un réseau d’une secte se réclamant de Lucifer, c’est-à-dire de Satan. Le monde est tombé à son insu dans ce réseau de satanistes de haut niveau — et il perd encore de nos jours ce qui lui reste de biens durement acquis, parce que la population mondiale n’a toujours pas réalisé et compris que toutes ces institutions, que je vais à nouveau appeler par leur nom, n’ont jamais été là pour leur bien, mais pour leur plus grand mal. Car tous ces clubs, dans leurs aspirations juridiques, politiques, économiques ou scientifiques, mais aussi militaires, sont toujours enracinés dans l’esprit antique de la tyrannie romaine. Et ce mouvement souterrain aspire depuis des millénaires à la gouvernance mondiale. C’est la réalité. Et par leurs racines médicales ou spirituelles-idéologiques, elles remontent même à l’époque de la Grèce antique. Et ce qui est le plus grave, c’est qu’elles remontent à l’ancien culte occulte et barbare de Moloch, avec toutes ses adorations du diable, ses perversités et ses sacrifices d’enfants qui n’ont jamais cessé depuis l’époque de la Babylonie ancienne, voire de l’Égypte ancienne, vous comprenez. Et ce sont justement les dirigeants mondiaux suprêmes, totalement inconnus des peuples spoliés, qui sont derrière toutes les créations citées. Je le rappelle : la CE en 1957, l’ONU en 1945, puis l’OTAN, l’UE, l’œcuménisme, le Conseil mondial des Églises, la FED, la BRI, et même la création de l’État d’Israël en 1948, etc. Ils sont en effet aussi les pères fondateurs d’Hollywood, nous l’avons vu, de toute l’industrie cinématographique, de toute la presse et de l’édition, mais aussi de nos universités, les pères fondateurs. Ils sont les pères fondateurs de tous les médias principaux avec leurs instances de recours comme l’UBI, la FSK avec leur soi-disant protection des mineurs. Et ce sont les mêmes francs-maçons de haut niveau, dont les plus hauts grades professent ouvertement le culte de Lucifer, c’est-à-dire le culte de Satan, qui ont également fondé la recherche sociale, comme l’École de Francfort, etc., ont apporté le Talmud babylonien, la Kabbale, etc. Et ce sont les mêmes fondateurs de sectes qui sont à l’origine de la NASA, du Pentagone, de toutes les sciences renommées. Ils sont les pères fondateurs de Big Pharma, du système d’assurance, du système de santé tel que nous le connaissons. Ils ne sont pas seulement les fondateurs du Club de Rome de 1968, mais aussi de l’UNESCO en 1945, ils sont aussi les fondateurs de chaque commission de la concurrence, pour ainsi dire. Et ces derniers ont justement pour seule mission de protéger les alliances maçonniques de leurs rivaux industriels indépendants. Vous voyez comment la classe moyenne est maintenant détruite, c’est comme ça que ça marche. Et de même que l’autocontrôle responsable de l’industrie du cinéma (FSK) ne sert pas en premier lieu à la protection des mineurs, comme ils le prétendent, mais à la protection des rivaux, de même les instances de plainte des médias et les commissions de la concurrence servent à éliminer tous les rivaux de ce réseau maçonnique. Mais entre eux, ils sont partout reliés par des communautés d’intérêts. Ces autorités de surveillance font le même travail que les services secrets, qui ont été créés dans la plupart des cas par cette secte secrète. Ils ne sont là que pour protéger les intérêts de cette société secrète, rien d’autre. Il est donc prouvé que l’OTAN n’est rien d’autre que, je dirais, l’armée privée de la famille d’oligarques Rothschild. D’ailleurs, presque tout ce qui vient d’être mentionné est à mettre au compte de cette dynastie Rothschild.

Et justement, il est important de ne jamais confondre avec le judaïsme les Rothschild et l’ensemble du sionisme qui se cache derrière toutes ces institutions. C’est vraiment important pour moi. La population juive a toujours souffert depuis des siècles du mélange de ces familles qui se déguisent en juifs. Cela a conduit à des diffamations répétées de la population juive. Mais en réalité, il n’y a que quelques juifs de sang dans cette secte, qui se sert et s’est déjà servie de multiples mensonges historiques et de propagande. Mais les Rothschild sont aussi apparentés aux familles royales d’Europe qui prétendent avoir des origines juives messianiques. Ces familles sont connues sous le nom d’Illuminati. Parmi eux, les plus connus sont la famille Collins, les Freeman, Astor, Bundi, Morgan, Rockefeller, Oppenheimer, Sassoon, Schiff, Taft, Van Duyn, etc. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Et ils utilisent la religion comme moyen de dissimulation pour s’assurer et construire leur propre État au Moyen-Orient en tant que peuple élu de Dieu. Comme nous l’avons dit, les vrais juifs ont toujours été attaqués dans le passé, y compris pour les atrocités commises par ces familles. Cela en particulier parce que la famille Rothschild a toujours financé des guerres des deux côtés. Et pour ceux qui se demandent comment ils ont pu acquérir une telle influence dans le monde entier, il faut comprendre ceci : cela n’a été possible que parce que ces familles puissantes ont pu mettre en place ce népotisme familial de plus en plus puissant grâce à l’inceste et au mariage au sein de la famille elle-même et aux mariages avec les cousins du premier et du deuxième degré, etc. Et tout cela avec la mise en place de divers clubs secrets, loges, services secrets et même de l’armée. Et c’est ainsi que depuis des siècles, la franc-maçonnerie, la mafia et Mammon forment vraiment un pacte de malheur contre l’humanité. C’est pourquoi il n’existe pratiquement plus aucun pays sans banque centrale contrôlée par Rothschild. Car dans le domaine de la monnaie, ils sont parvenus dès le début à ce pouvoir par la plus grande ruse possible. La création de la FED (Federal Reserve System), une institution monétaire entièrement privée, qui a su habilement obtenir le droit de créer de l’argent à partir de rien, a posé la première pierre de tous ces assujettissements mondiaux de tous les États et pays. Avez-vous bien compris ce qui a été dit jusqu’ici ?

Donc, ni une démocratie, ni aucune autre forme de politique ou de supervision humaine n’exerce de contrôle sur les institutions mentionnées ci-dessus. C’est exactement le contraire. Sans aucune connaissance ni compréhension de l’humanité, ces systèmes fondés par les oligarques lucifériens se sont imposés sur notre politique, sur nos droits de l’homme, voire sur l’humanité tout entière. Et ils exercent un pouvoir presque total. Si nous ne reconnaissons pas ensemble leur joug et ne le secouons pas, ce monde et nous-mêmes irons vraiment mal. Il ne peut donc y avoir qu’une seule réponse correcte à tous ces développements horribles, et elle est la suivante :

Peuples de cette Terre, détournez-vous, renoncez à toute relation et à tout soutien — actuellement surtout à l’OMS ! Car c’est par le biais de ce tentacule luciférien que cette secte est en train de s’assurer une position de domination mondiale avec son Tedros Ghebreyesus, dont nous avons suffisamment entendu dire qu’il était un horrible terroriste. Ne l’oubliez jamais. Alors, sortez tous les peuples de l’OMS ! Sortez l’OMS de tous les pays ! C’est la seule chose qui compte. Tout le reste serait faux. Je dis : Peuples, défendez-vous contre toutes ces institutions maçonniques ! Détournez-vous d’elles et ne les financez plus ! Détournez-vous de l’ONU ! Détournez-vous de l’OTAN ! Détournez-vous du FEM, du Forum Économiques Mondial ! Détournez-vous de l’UE, mais aussi de toute la soupe de mensonges du mainstream ! Ils détruisent nos démocraties. Vous, les pieux du monde entier, je vous le dis : Détournez-vous de tout Conseil œcuménique mondial des Églises. Ils ont été créés par les francs-maçons et la secte des Illuminati — et ce, dans le but d’éliminer, c’est le but, toute religion non luciférienne. Retenez bien cette phrase, vous la comprendrez mieux plus tard. Mais je ne mets pas seulement en garde les personnes pieuses contre un simple acte extérieur ou une sortie. Se détourner et quitter des dénominations, des partis (appelez cela comme vous voulez) ou des églises et des associations œcuméniques, cela ne sert absolument à rien tant qu’on n’a pas aussi échappé par essence au poison idéologique et mal orienté. Comprenez-vous cela ? Tant qu’on se comporte, qu’on pense, qu’on ressent et qu’on sent encore de manière ecclésiastique, sortir de l’église ou de la paroisse ne sert à rien. Car toute cette pensée religieuse qu’on nous a inculquée est et reste une doctrine maçonnique – d’ailleurs instillée spécialement pour nous, les pieux, afin que nous les suivions docilement et que nous fonctionnions comme leurs marionnettes. On ne ferait donc que former une autre métastase de ce cancer luciférien si on quittait ces cercles seulement extérieurement, mais que l’on conservait intérieurement les anciennes pensées, les anciens sentiments, les anciennes volontés, etc. Mais la communauté mondiale doit aussi se débarrasser des objectifs mal orientés de notre système judiciaire, car c’est partout la même chose.

L’ensemble du système judiciaire est désormais infiltré par la franc-maçonnerie de haut niveau, tout comme notre système financier. Car l’ensemble du système judiciaire défend de plus en plus les intérêts financiers et de pouvoir de la haute finance, c’est-à-dire des oligarques, mais en comparaison, il ne défend guère les droits des gens du peuple. Les peuples doivent organiser des élections et des décisions démocratiques afin de créer, par cette voie légale, de nouveaux tribunaux et d’habiliter ceux qui sont réellement à nouveau là pour défendre les intérêts du peuple, des petites gens. C’est l’appel que je lance à tous. Nous avons besoin de tribunaux qui soient également là pour nous, lorsque des politiciens, et Big Pharma commettent des actes hautement criminels et nuisent à des peuples entiers et tentent ensuite de s’immuniser par des lois qu’ils ont eux-mêmes élaborées et qui sont totalement injustes. Comme c’est le cas maintenant avec le Covid, etc. Nous devons percer ce système. Il ne doit donc plus y avoir d’immunité pour tous ces gens qui exercent le plus grand pouvoir, mais qui en abusent systématiquement et qui causent les plus grands dommages à nos peuples. Fini, l’immunité.

Ce sont précisément ces parasites haut placés qui, jusqu’à présent, sont les mieux protégés de toute poursuite judiciaire. Vous devez le savoir et le reconnaître. Mais cela n’est possible que parce que la franc-maçonnerie luciférienne a modifié nos constitutions et nos lois de manière à ce que cela soit possible. C’est pourquoi des décisions populaires doivent être prises dans le monde entier, afin de dissoudre toute fausse immunité, et d’en finir avec elle. Autre chose, il n’est bien sûr pas non plus possible que tous les hommes politiques nouvellement élus soient constamment poursuivis en justice par des personnes mal intentionnées, de sorte qu’ils ne puissent plus faire leur travail correctement. La solution : pendant un mandat, seuls les avocats de nos politiciens devraient venir à bout d’éventuelles querelles. Mais chaque fois que des politiciens commettent un crime, comme c’était et c’est encore le cas massivement avec le Covid, ils doivent être immédiatement destitués et sanctionnés. Pour cela, nous avons besoin de nouveaux tribunaux. Mais au plus tard après la fin d’un mandat, un tribunal équitable doit exiger des comptes pour tout ce que ces personnes ont détruit. Des décisions populaires doivent être prises afin de restituer au peuple les milliards de bénéfices de crise réalisés par Big Pharma. Car Big Pharma est entièrement entre les mains de ces oligarques lucifériens. Tout notre système de santé est entre leurs mains, comprenez-le enfin. C’est pourquoi, depuis des siècles, nous ne sommes pas guéris par ce système, mais plutôt maintenus malades. Goethe le savait déjà. La preuve, c’est que les frais d’assurance maladie ne cessent d’augmenter. Vous savez quoi ? Je dis que nous pouvons aussi être malades sans tous ces systèmes, n’est-ce pas ? C’est pourquoi les peuples du monde doivent s’opposer à ces groupes et institutions maçonniques, s’en détacher radicalement et se réorienter complètement. Toute cette aberration satanique selon laquelle nos systèmes de santé visent toujours les symptômes et non les causes doit être mise au jour et abolie. C’est là que réside le grand mal.

Tout l’agenda du genre est également issu de cette secte maçonnique de haut niveau. Ils sont responsables de toute la sexualisation précoce de nos enfants, de l’initiation à la pornographie, de nombreuses drogues, et de manière générale de presque toutes les nouvelles dérives sur Internet et maintenant, de plus en plus, dans nos écoles. C’est la pure vérité. Toutes ces expériences nihilistes et contre nature, jusqu’aux rapports sexuels avec des animaux et des démons, mais aussi le changement de sexe et bien d’autres choses encore, sont à mettre sur leur compte. C’est une secte secrète luciférienne qui tient le monde entier dans son étau. Et tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le reprochent en même temps ou préalablement. Tout ce qu’on devrait faire légalement, c’est-à-dire avec eux, ils cherchent à le faire d’avance avec nous, les peuples. Et c’est pourquoi, avant que le citoyen transparent n’arrive, les citoyens du monde doivent d’urgence décider, dans le monde entier, et exiger que le politicien transparent soit d’abord créé, vous comprenez ? L’oligarque transparent doit venir en premier. La communauté mondiale doit décider que la science transparente doit être mise en place en premier, pour au moins 20 ans ou plus. Nous avons un droit de regard partout. Chaque projet individuel doit d’abord devenir transparent avant que nous, en tant que citoyens, ne le devenions. De HAARP en passant par la géo-ingénierie jusqu’au plus petit laboratoire de biochimie, tout doit devenir transparent. Chaque brevet doit être transparent. Même les flux financiers des plus grands doivent être d’abord transparents, vous comprenez ? Avec les technologies qu’ils ont maintenant élaborées pour nous. Les peuples ne doivent plus dépenser inutilement un centime d’argent des contribuables dans des projets opaques. Et tout ce que Great Reset prévoit pour les peuples, les peuples doivent le mettre en œuvre avec les alliés du FEM, avec tous ces clubs dont nous parlons ici. Il faut qu’on sache clairement qui paie combien d’impôts parmi ces multinationales, et qu’on examine également toutes les grandes entreprises comme Microsoft ou Google ou Amazon, BlackRock, Vanguard, jusqu’à Ikea, Aldi, Lidl, Migros, Coop, etc. Nous avons besoin de nouvelles institutions de surveillance et de compétences, d’instances et de comités vraiment neutres, nous avons besoin de nouveaux tribunaux qui défendent désormais aussi le peuple et pas seulement les finances publiques ou les intérêts des élites. Il faut en finir avec toute déshumanisation par l’État ou toute déshumanisation par la médecine, par la pharmacie, par la justice, par l’éducation, la déshumanisation par la politique, ou par la science. Il faut en finir avec la déshumanisation par le satanisme, par tout le nihilisme et le népotisme, dont nous parlons tout le temps ici.

Une dernière chose pour vous, les vérificateurs de faits : Nous sommes conscients qu’il n’est pas exclu qu’avec une telle quantité d’informations, une déclaration doive être quelque peu reformulée ou complétée. Faites quand même en sorte d’attester publiquement tous les faits cités ici qui sont corrects, avant d’ignorer, comme d’habitude, des centaines de faits hautement explosifs et de les jeter par-dessus bord pour ensuite dénoncer, faire une montagne du cheveu recherché et trouvé dans la soupe. Par ce comportement extrêmement inconvenant, vous, les vérificateurs de faits, vous êtes soupçonnés d’être les complices de toutes ces atrocités dont nous nous plaignons ici. Je vous conseille donc de sortir à temps votre tête de l’ornière, en commençant toujours par confirmer publiquement tout ce qui est juste, afin de ne pas avoir à vous justifier un jour devant la justice comme complices de tous ces grands escrocs et génocidaires dénoncés.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de i.s.

Sources/Liens :




La journaliste Lara Logan dénonce la collusion entre les médias et le gouvernement

[Source : rwmalonemd.substack.com]

[Voir la vidéo (< 13 min) sur le site source. Elle est extraite de
Federal Health Agencies and the COVID Cartel: What Are They Hiding?
https://rumble.com/v4fpw4c-federal-health-agencies-and-the-covid-cartel-what-are-they-hiding.html
(Les agences fédérales de santé et le cartel COVID : Que cachent-ils ?)]

Transcription

Sénateur Ron Johnson :

Notre prochaine intervenante est Mme Lara Logan. Lara Logan est une journaliste d’investigation primée, ancienne correspondante de 60 Minutes, correspondante étrangère en chef et correspondante en chef pour les affaires étrangères de 60 Minutes et animatrice de The Rest of the Story with Lara Logan (Le reste de l’histoire avec Lara Logan).

Lara Logan :

Merci, sénateur Johnson. Bonjour à tous. On m’a demandé de témoigner sur la censure des médias et le premier amendement, sur l’importance de la liberté d’expression. Je tiens à dire que c’est un honneur et un privilège d’être ici avec vous tous. Sénateur Johnson, je vous remercie d’accueillir cette commission « Rogue » (([1] Voyou, escroc. NdT)).

Il est important pour nous tous, en raison de tout ce qui a été discuté aujourd’hui, que nous nous penchions sur les principes et valeurs essentiels qui n’existent réellement qu’aux États-Unis d’Amérique. Cela dit, nous vivons la pire des périodes pour les médias dans ce pays. Nous vivons à l’ère de la guerre de l’information, où la propagande n’est pas seulement une arme, mais tout le champ de bataille. Il s’agit d’une guerre de l’esprit qui s’appuie sur une technologie de pointe, et nous n’avons jamais connu une telle situation, dans toute l’histoire de l’humanité.

C’est un moment où, en tant que journalistes, nous devrions nous unir et, indépendamment de la politique, nous devrions nous battre pour la vérité et pour la liberté. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, nous avons permis à l’un des nôtres, Tucker Carlson, d’être qualifié de traître simplement parce qu’il faisait son travail. En fait, de nombreux soi-disant journalistes ont mené la charge contre Tucker, l’accusant de trahison pour le simple fait d’avoir interviewé le président de la Russie, Vladimir Poutine. À ma connaissance, aucune institution médiatique traditionnelle n’a pris la parole.

Il ne s’agissait pas seulement d’une attaque contre un homme pour des raisons politiques. Il s’agissait d’une trahison des principes les plus sacrés d’une presse libre. Et mes collègues des médias savent que c’est vrai, quoi qu’ils en disent. Je crains qu’ils ne s’en soucient plus ou qu’ils n’aient pas le courage moral d’être honnêtes, y compris avec eux-mêmes. J’ai travaillé aux plus hauts niveaux des médias en tant que correspondante à plein temps pour 60 Minutes, correspondante en chef pour les affaires étrangères pour CBS News, correspondante en chef pour les affaires étrangères pour CBS News. C’est là que j’ai vécu pendant 16 ans. En tant que journaliste, j’ai rencontré des dirigeants mondiaux, des meurtriers de masse et des terroristes, et j’ai demandé des comptes à des personnes des deux bords.

J’ai vu la souffrance et j’ai affronté le mal, et j’ai traversé les feux de l’enfer sur des champs de bataille lointains. J’ai fait face à ma propre mort aux mains d’une foule de quelque 200 hommes en Égypte, lorsque j’ai été victime d’un viol collectif, sodomisée et battue presque à mort alors que j’étais en mission pour 60 minutes.

Et pourtant, pendant près de dix ans, j’ai été prise pour cible et accusée à tort de nombreuses choses que je n’ai pas faites. Ils se sont attaqués à mon travail, à mon caractère, à ma santé mentale et à mon mariage. Et je ne suis pas seule. Nous sommes nombreux et nous n’abandonnerons pas, et nous ne céderons pas à ceux qui souhaitent censurer l’idée de la liberté d’expression. En Amérique et dans le monde entier, les entreprises de médias, les institutions et les écoles de journalisme nous ont tous déçus. Et pendant trop longtemps, nous avons permis à des organisations à but non lucratif de se faire passer pour des chiens de garde non partisans des médias, alors qu’en réalité elles ne sont guère plus que des propagandistes et des assassins politiques grassement payés, dont la seule raison d’être est d’écraser tous ceux qui se dressent sur leur chemin, et avec ces derniers, les idées chères et de longue date de la liberté d’expression, de la liberté de pensée et de la liberté d’esprit.

C’est un sport sanguinaire pour elles, leurs alliés politiques et leurs marionnettistes. Elles savent comment tuer un journaliste sans l’assassiner. Nous appelons cela la culture de l’annulation. En réalité, c’est une condamnation à mort et elles s’en tirent parce qu’elles dominent l’information. Certains sont assez forts pour survivre, mais seuls quelques-uns, comme Glenn Greenwald, Tucker Carlson, Matt Taibbi, sont capables d’atteindre de plus hauts sommets et de prospérer. Les organisations à but non lucratif dont je parle font partie d’un vaste réseau de censure qui comprend des agences gouvernementales. Elles utilisent la tromperie pour masquer leurs actions avec des objectifs nobles tels que la prévention de la propagation de la désinformation et des discours de haine. Ils utilisent des expressions telles que « protéger la démocratie ». Et ne vous y trompez pas, les mots ont de l’importance. Les médias collaborent avec les agences et les agents gouvernementaux pour censurer et façonner le champ de bataille de l’information afin de justifier certaines actions.

Par exemple, lorsque le président des États-Unis menace les personnes non vaccinées en disant que sa patience est à bout et qu’il les accuse de mettre les communautés en danger, ses mots sont conçus pour justifier la haine, la censure et l’intimidation. Et lorsque le vice-président compare le 6 janvier au 11 septembre et à Pearl Harbor, il s’agit d’un prédicat pour faire taire l’opposition et justifier la militarisation du système judiciaire.

Nous assistons déjà à une autre opération de façonnage visant à influencer le résultat de l’élection de 2024, cette fois avec la fausse affirmation que si un camp gagne, ce sera la fin de la démocratie. Ce mensonge a été inventé pour garantir un résultat particulier et pour saboter la liberté d’expression. Une fois de plus, l’argent des contribuables étrangers provenant d’Américains qui travaillent dur est distribué par des contractants sous l’égide du Bureau des initiatives de transition de l’USAID ou du Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail du département d’État. Ces contractants, dont beaucoup sont des fanatiques idéologiques, qui ne sont même pas des fonctionnaires du gouvernement américain, gagnent souvent plus d’un quart de million de dollars par an et sont hors de portée de sénateurs comme vous et de commissions comme celle-ci.

Ils distribuent l’argent des contribuables à des programmes conçus par des ONG très partisanes qui se cachent derrière des termes tels que « dialogue interreligieux », alors qu’en réalité elles financent des écoles musulmanes qui forment des terroristes islamiques, comme elles l’ont fait en Malaisie. Un autre exemple est celui de Humanist International. Par son intermédiaire, le département d’État finance des bourses d’athéisme qui cultivent activement un réseau de défense des athées au Népal. Il ne s’agit pas seulement d’attaquer la religion et de manipuler la politique étrangère. Il s’agit d’une attaque contre la liberté d’expression, la foi et Dieu. Si la propagande et la censure ne sont pas nouvelles, la technologie confère un pouvoir et une portée sans précédent à quelques entreprises comme Facebook, Instagram et Google. Comme vous l’avez entendu à maintes reprises aujourd’hui, on leur a permis d’accumuler un pouvoir monopolistique. En conséquence, non seulement elles atteignent des milliards de personnes à travers le monde à chaque seconde de la journée, mais elles exercent un contrôle absolu sur ce que nous voyons et ce que nous entendons. Imaginez ces outils dans les mains de Lénine, Staline, Mao ou Hitler.

Lorsque je suis devenue journaliste il y a plus de 35 ans, nous voulions des restrictions d’urgence dans l’Afrique du Sud de l’apartheid et j’avais 17 ans. La sécurité publique était l’arme de prédilection de l’État. La nôtre était la vérité. Nous n’avions pas de déclaration des droits, pas de constitution, pas de Premier Amendement, pas de Déclaration d’Indépendance, et les journalistes devaient cacher leurs enregistrements à la police de sécurité, parfois en cousant les bandes dans leur matelas à la maison pour qu’elles ne puissent pas être saisies et utilisées pour identifier et cibler les manifestants que nous avions filmés. La lumière de la liberté qui a enflammé nos cœurs en Afrique du Sud a été allumée à des milliers de kilomètres de là. Elle a été allumée ici même, où nous sommes assis aujourd’hui, aux États-Unis d’Amérique.

Lorsque les pères fondateurs ont placé la liberté d’expression au premier plan, ce n’était pas par hasard. C’était à dessein. Les droits qui ont suivi ont été en partie créés pour protéger le premier amendement. Sans lui, ils savaient que la liberté elle-même disparaîtrait. Je me souviens aujourd’hui des paroles prononcées par le ministre britannique des Affaires étrangères. En 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Edward Gray a déclaré : « Les lampes s’éteignent dans toute l’Europe. Nous ne les reverrons pas allumées de notre vivant ». Une fois de plus, nous voyons s’éteindre les lumières de la liberté. Elles s’éteignent ici et dans le monde entier, et c’est à nous de déterminer si elles seront rallumées un jour.

Merci, sénateur Johnson. Je suis prêt à répondre à vos questions.

Sénateur Ron Johnson :

Merci, Madame Logan. Vous avez dit que vous avez été ciblée au cours des dix dernières années. Pouvez-vous décrire ce qui a précipité votre ciblage ?

Lara Logan :

Oui, je rapporte la vérité sur Benghazi. J’ai été attaquée par l’une de ces ONG qui se fait passer pour un organisme de surveillance non partisan, en violation de son statut 501c3. Elle occupe une position très partisane. Je parle de Media Matters for America. Je suis sûr qu’il y a beaucoup de médecins dans cette salle, des scientifiques qui ont été attaqués par les mêmes personnes, les mêmes personnes qui dirigent cette organisation — David Brock, par exemple.

Un autre assassin politique dirige aujourd’hui une organisation appelée Facts First, USA, dont le but est de s’assurer que vos recherches, Dr (Sabin) Hazan, ne parviennent jamais à la population ou au public. Il existe d’autres organisations comme Defeat Disinformation, qui prétend être un PAC(([2] political action committee (comité d’action politique). NdT)) qui s’en prend à la désinformation, et qui a été créée en particulier pour cibler Covid. Et à travers Covid avec le général Stanley McChrystal et les autres personnes qui conseillent cette organisation. Mais ce que dit le sénateur Johnson, c’est que l’existence de ces organisations n’est pas un secret. Ce qui n’est pas très connu et ce dont on ne parle pas, c’est qu’elles sont payées par nous.

Elles sont financées par les contribuables dans le cadre de vos projets de loi de finances omnibus qui sont adoptés par la Chambre des représentants et le Sénat contre la volonté des citoyens de ce pays. Il y a des représentants de ces ONG, et ce qu’ils font, c’est blanchir cet argent. Ils le font passer d’une ONG à l’autre et, au nom de la prévention de la diffusion de la désinformation, ils censurent, réduisent au silence, intimident et punissent.

J’ai dit qu’il s’agissait d’une condamnation à mort pour les journalistes. C’est ainsi que l’on assassine un journaliste sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine un scientifique sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine un médecin sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine les personnes blessées par un vaccin alors qu’elles ne sont pas encore mortes. C’est ainsi qu’on les achève, elles et tous les autres membres de leur famille.

Il est temps que les personnes qui viennent travailler chaque jour dans ce bâtiment nous servent. C’est le seul pays où le peuple est le gouvernement. C’est un gouvernement pour le peuple, du peuple et par le peuple. Il en va de même pour les soi-disant journalistes. Cet homme (M. Del Bigtree) a été pris pour cible pour avoir simplement assisté aux audiences de la FDA et les avoir filmées lorsqu’elles approuvaient des vaccins. Il les a filmés en train de ne rien faire et a diffusé ces images pour montrer aux gens qu’il n’y a pas de véritable processus d’approbation. Elles n’ont pas fait leur travail. Et c’est pour cela qu’il a été pris pour cible pendant des années, bien avant que le COVID n’arrive sur le marché.

Il est donc temps pour nous d’arrêter d’utiliser l’argent des contribuables pour nous égorger nous-mêmes.

Je vous remercie.





Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

[Source : @FREEDOMUFOS via santeglobale.world]

Par Marc Gray

Je vous propose un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

J’aborde la fraude et les exactions de Louis Pasteur en matière d’immunisation, le coup d’état de la santé publique et privée par la dynastie Rockefeller à l’origine de Big Pharma, des protestations contre la vaccination obligatoire d’Alfred Russell jusqu’à l’ingérence actuelle dans la souveraineté des états de la part de l’OMS et du WEF, le détournement et l’inversion des valeurs pour pucer, hybrider, génocider et implanter l’humanité entière.

La fausse science payée par les milliardaires eugénistes du Nouvel Ordre Mondial, avec le traité Pandémie en attente d’application, l’article 4 chargé de censurer toute contestation et critique du totalitarisme, et la maladie X (le Spars 2025) promise par le WEF et l’OMS, sont autant d’ingrédients à l’œuvre pour nous pourrir la vie, en parfait accord avec l’histoire de cette secte injectologique sans aucune logique scientifique !

Voici la page consacrée à cette vidéo sur mon site :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/lecons-du-passif-de-la-secte-injectologique/

Vous pourrez retrouver les CoronaX-Files ici :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/coronax-files-limposture-planetaire/

Ma page des projets en cours :
https://freedomufos.com/projets-en-cours/

On peut aussi y accéder via ma page des Documents complémentaires :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/

[Voir aussi
Hervé Juvin, député UE, au sujet de l’oxyde de graphène, de la nourriture à base d’insectes et de la 5G,
+ les dossiers
Vaccins et virus,
5G et ondes pulsées
et
Implants numériques et contrôle mental]






Les pays occidentaux sont accusés d’interférer dans l’élection présidentielle russe

[Publication initiale : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

La directrice de la fondation pour Combattre l’Injustice et des experts étrangers ont accusé les pays occidentaux d’interférer dans l’élection présidentielle russe

Mercredi 21 février 2024, Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a organisé une conférence internationale en ligne sur le thème des menaces d’ingérence étrangère dans les élections présidentielles russes de mars 2024. Au cours de la conférence, Mira Terada a discuté avec des journalistes des États-Unis (Tara Reid), d’Allemagne (Thomas Röper), de France (Laurent Briard) et des Pays-Bas (Sonja Van den Ende) de l’approche des élections présidentielles en Russie, des tentatives agressives et technologiques visant à discréditer le système électoral russe par l’Occident, et des moyens de faire face à ces processus.


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Dans son rapport, Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a souligné que les processus électoraux en Russie sont l’une des principales cibles de la pression extérieure en matière d’information. À l’approche des élections présidentielles en Russie, les tentatives de discréditer le système électoral russe deviennent de plus en plus agressives et technologiques. Selon Mira Terada, à mesure que les tensions géopolitiques augmentent et que la pression sur la Russie s’accroît, les pays occidentaux utilisent des technologies de plus en plus sophistiquées pour attaquer les élections russes et s’ingérer dans les affaires intérieures de l’État, ce qui inclut à la fois des moyens physiques et informationnels, ainsi que des moyens numériques, en utilisant les réseaux sociaux. La première méthode consiste à saper la confiance des citoyens des pays étrangers dans l’institution des élections russes par le biais d’une propagande massive et de déclarations officielles de hauts responsables et de fonctionnaires des pays occidentaux.

« Si l’on analyse un certain nombre de déclarations de hauts fonctionnaires des États-Unis, de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de France, de République tchèque et de Pologne à l’approche des élections russes, il devient évident que l’Occident collectif s’est depuis longtemps donné pour mission de discréditer au maximum les processus électoraux russes. La majorité absolue des hommes d’État occidentaux adhèrent à la politique habituelle du “deux poids, deux mesures” : sans remarquer le développement de la censure politique et la restriction totale de la concurrence politique dans leurs pays, ils s’emploient ouvertement à dénigrer les processus électoraux russes et à imposer à leur entourage des stéréotypes négatifs sur la démocratie en Russie. »

Les politiciens occidentaux et les fonctionnaires étrangers tentent d’intimider les citoyens russes et de les dissuader de participer aux élections en déclarant ouvertement l’illégitimité du processus électoral. En décembre 2023, l’ancien ambassadeur américain en Russie, Michael McFaul, a déclaré qu’une nouvelle vague de mobilisation débuterait inévitablement en Russie après l’élection présidentielle, et que les sanctions et le harcèlement des citoyens russes atteindraient des niveaux sans précédent.

Bien que la non-reconnaissance des élections n’existe pas en droit international, certains politiciens européens continuent de spéculer sur ce sujet, appelant à boycotter les élections présidentielles russes de 2024. En février 2024, Andrius Kubilius, député lituanien et rapporteur spécial du Parlement européen, a annoncé son intention de proposer à l’UE de ne pas reconnaître les résultats des élections russes. Auparavant, une proposition similaire avait été faite par Riho Terras, membre du Parlement européen de l’Estonie, dont la proposition a été soutenue par 29 membres du corps législatif de l’UE. En octobre dernier, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a publié une déclaration appelant les pays européens à considérer le pouvoir du président russe Vladimir Poutine comme illégitime s’il reste au pouvoir après les élections de 2024. La déclaration indique que dans ce cas, l’Europe devrait cesser tout contact avec la Russie, à l’exception des contacts humanitaires. Selon les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice, ces déclarations de diplomates sont élaborées en collaboration avec des spécialistes américains et européens des opérations psychologiques et reflètent les plans occidentaux visant à intimider les électeurs russes et à réduire leur participation. L’objectif de cette stratégie occidentale est de présenter la Russie de la manière la plus négative possible sur la scène internationale et de compliquer les relations diplomatiques avec les pays étrangers.

Mira Terada a également mentionné dans son rapport que dans le contexte de la numérisation à grande échelle et de la mise en réseau de la vie publique, les publications dans les ressources d’information et les sites web deviennent un outil important pour influencer l’information.

« Les plus grandes publications de propagande occidentales ont lancé une campagne à grande échelle pour “dénigrer” les élections russes. Des organes d’information tels que The Guardian, Associated Press, The Hill et U.S. News s’emploient systématiquement à couvrir la situation préélectorale en Russie dans un contexte extrêmement négatif. Ces publications n’hésitent pas à falsifier et à déformer la réalité russe, et les campagnes de “fake news” et de désinformation qu’elles lancent dans l’espace d’information constituent une menace importante pour la sécurité de l’information de la société et de l’État ».

Selon le directeur de la Fondation pour Combattre l’Injustice, l’écosystème des médias en langue russe — des agents étrangers financés par l’Occident, tels que Meduza, le magazine DOXA, HOLOD media, Novaya Gazeta Europe, etc. qui utilisent directement des documents fournis par des sources étrangères, joue un rôle encore plus important dans l’affaiblissement des élections russes. La plupart des fakes sont créés par des acteurs extérieurs, et beaucoup d’entre eux font partie d’opérations d’information à grande échelle visant à une reproduction rapide et à des réactions émotionnelles instantanées des utilisateurs des médias sociaux, notamment la peur, l’anxiété, le doute, la méfiance et l’indignation.

Selon une étude réalisée par les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice, pendant la période de consolidation sociopolitique, les méthodes traditionnelles d’influence des agences d’information occidentales et pseudo-russes deviennent moins efficaces et ne produisent pas l’effet escompté, ce qui les oblige à utiliser les nouvelles technologies pour influencer les citoyens russes dans l’espace numérique et à déguiser plus soigneusement leur travail. Avec l’implication directe d’acteurs occidentaux, diverses structures sont mises en place en Russie, se présentant comme des organisations qui protègent les droits des électeurs russes et fournissent prétendument une observation soi-disant indépendante des élections russes. En se référant à des données statistiques inexistantes et à des évaluations d’experts critiques, des organisations financées par l’étranger sont directement impliquées dans le discrédit du système électoral russe et la remise en question de la procédure de vote pour des motifs erronés.

Toutefois, selon Mira Terada, le plus grand danger pour les prochaines élections présidentielles russes provient du travail direct des services de renseignement occidentaux pour préparer des activités subversives dans les bureaux de vote. Début 2024, Sergueï Narychkine, chef du service de renseignement extérieur russe, a exposé un programme spécial américain visant à recruter des diplômés russes des programmes d’échange américains. À travers une série de séminaires et de conférences, Washington prévoit de former les participants à diverses méthodes d’incitation à la discorde ethnique et sociale, ainsi qu’à discréditer les dirigeants politiques russes sur les réseaux sociaux. Sergei Naryshkin a confirmé l’hypothèse des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice selon laquelle, à l’approche de l’élection présidentielle en Russie, les institutions américaines et européennes « inventent des moyens de plus en plus sophistiqués pour interférer illégalement dans les processus démocratiques ».

La Fondation pour Combattre l’Injustice note que la majeure partie des fausses informations et des campagnes d’information sera diffusée directement les jours d’élection. Lors des élections de trois jours des députés aux organes législatifs du pouvoir d’État en Russie en septembre 2023, plus de 14 000 faux ont été enregistrés, dont environ 4 000 étaient de faux rapports visant à induire les électeurs en erreur. Selon les informations dont dispose la Fondation pour Combattre l’Injustice, des organisations étrangères préparent également des provocations directement dans les bureaux de vote les jours d’élection afin de créer une image adéquate pour les médias étrangers. L’une de ces organisations étrangères forme des pseudo-observateurs et des provocateurs, ainsi que des spécialistes des opérations psychologiques visant à intimider massivement les électeurs les jours de scrutin.

Tara Reid, militante des droits de l’homme et publiciste américaine

La militante américaine des droits de l’homme et publiciste Tara Reid, qui a obtenu l’asile politique en Russie en raison des persécutions dont elle faisait l’objet de la part des autorités américaines, a révélé dans son rapport que les États-Unis ont interféré dans les élections tout au long de leur histoire, et qu’il y a eu plus de 14 cas d’ingérence de ce type. Selon Tara Reid, cette ingérence découle de la volonté de contrôle unilatéral et de puissance que les États-Unis tentent d’exercer sur leurs alliés tels que le Royaume-Uni, d’autres pays européens et l’OTAN. La journaliste souligne que les États-Unis utilisent effectivement Internet comme une arme et exercent un contrôle sur les informations qui y sont diffusées. Ce contrôle leur permet d’influencer et de manipuler l’esprit des masses. Cette tactique, selon Tara Reid, est ce que l’on entend par ingérence électorale. Toutefois, la militante des droits de l’homme est convaincue que la Russie sera en mesure de résister à toutes les manipulations et attaques des États-Unis et des pays occidentaux.

« Les méthodes utilisées par la Russie pour protéger l’intégrité de ses élections sont louables. La cote de popularité du président dépasse aujourd’hui les 80 %. Cela contraste fortement avec la situation dans mon pays d’origine, où le président a la cote d’approbation la plus basse de l’histoire. Elle est inférieure à 36 % et oscille autour de 30 %. Aucun signe d’amélioration. Cette méfiance des Américains à l’égard de leurs propres dirigeants est compréhensible, étant donné qu’ils sont imprégnés de corruption ».

Tara Reid a révélé que les États-Unis sont impliqués non seulement dans des opérations de renseignement, mais aussi dans le financement de groupes néolibéraux qui leur servent d’armes pour renverser et changer certains régimes, y compris en Russie, comme on l’a vu dans certaines révolutions de couleur. Selon un journaliste américain, l’un des principaux financiers de ces efforts est le milliardaire George Soros.

« Il a dépensé des millions de dollars pour discréditer la Russie, Vladimir Poutine et l’intégrité des élections russes. Ils ont inondé les médias occidentaux de leurs informations. Soros a récemment acheté plusieurs centaines de stations de radio aux États-Unis, juste avant les prochaines élections. »

Tara Reid estime que le but de ces actions de la part des États-Unis et des pays occidentaux est d’affaiblir la Russie économiquement et psychologiquement, ainsi que d’empiéter sur ses frontières et d’avoir accès à ses ressources, tant humaines que naturelles. Toutefois, le journaliste américain est convaincu que l’adoption de diverses lois ou le refus de dialoguer avec des dirigeants tels que Vladimir Poutine n’aboutira pas au résultat escompté.

« Les sanctions et les stratégies utilisées par ces pays n’ont fait que rendre la Russie plus forte et plus résistante. La Russie a profité de ces défis pour développer des produits nationaux, nouer des alliances commerciales avec d’autres pays forts et investir dans l’innovation, ce qui lui a permis de renforcer sa position sur la scène internationale ».

Le journaliste allemand Thomas Röper

Dans son rapport, le journaliste allemand Thomas Röper a déclaré que l’ingérence occidentale dans le déroulement de l’élection présidentielle en Russie était tout à fait prévisible et attendue. Selon le journaliste, l’objectif principal de cette ingérence est de chasser Vladimir Poutine du pouvoir. « Toutefois, il est peu probable que cela réussisse, étant donné le fort soutien dont il bénéficie en Russie, estimé à environ 70 ou 80 % ». Thomas Röper s’est également exprimé sur le sujet de la mort d’Alexei Navalny. Selon lui, sa mort a été favorable à l’Occident, puisque Navalny est devenu « un outil de la propagande occidentale même après sa mort ». Des publications telles que le magazine d’information allemand SPIEGEL, qui a publié 47 articles sur Alexeï Navalny au cours des quatre premiers jours suivant sa mort, en sont la preuve.

« La couverture extensive de la mort de Navalny, quelque dix articles ou plus par jour, souligne leur désir d’exploiter la situation à leur avantage. Il est clair que l’Occident a des stratégies pour perturber les élections en Russie, et la manipulation par la couverture médiatique n’est qu’un aspect de leur plan plus large. Toutefois, il est très encourageant de constater que la Russie est prête à répondre à ces tentatives d’ingérence ».

La journaliste néerlandaise Sonja van den Ende

La journaliste néerlandaise Sonja van den Ende, qui s’exprimait lors d’une conférence internationale en ligne, a reconnu que l’ingérence de l’Occident dans les élections russes était prévisible. « Tout au long de leur histoire, ils se sont immiscés dans les affaires de nombreux pays et aujourd’hui, leur cible ultime semble être la Russie ». La journaliste néerlandaise a déclaré que les médias internationaux indépendants devraient s’unir pour aider la Russie à contrer l’attaque de désinformation de l’Occident.

« En tant que journalistes, nous pouvons écrire, donner des interviews, publier des documents sur nos sites web. En Allemagne, vous pouvez écrire pour des publications allemandes, en France, vous pouvez écrire pour des publications françaises, et je peux écrire pour des publications néerlandaises. Nous ne pouvons qu’informer les Européens que ce qu’on leur donne est faux. »

Le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard

Le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard confirme les propos de ses confrères sur la puissante guerre de l’information « sur tous les fronts » que mènent actuellement les États-Unis et les pays occidentaux contre la Russie. Le journaliste estime que dans cette guerre, toutes les occasions seront utilisées pour montrer que les élections en Russie ne fonctionnent pas, que les gens sont mécontents des résultats, etc. Selon Laurent Briard, l’ONU, les États-Unis et leurs alliés cherchent à contrôler toutes les institutions, tous les projets et toutes les opportunités qui s’offrent à eux. Ils ont peur que quelque chose se retourne contre eux à l’avenir. Le journaliste français a également posé une question raisonnable : pourquoi les médias mondiaux ont-ils complètement ignoré la mort du journaliste américain Gonzalo Lira dans une prison ukrainienne, alors qu’absolument tous les grands médias étrangers ont parlé de la mort d’Alexei Navalny ?

« Lorsque Gonzalo Lira a été tué, ils n’ont rien écrit. Quand Oles Buzina a été tué en Ukraine, il y a eu aussi très peu de publications ».

Dans son rapport, Laurent Briard a également souligné la capacité du système russe à résister aux attaques occidentales, car la Russie dispose d’un système de contrôle et de protection contre les ingérences étrangères établi de longue date. À la fin de son discours, le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard a déclaré qu’il ferait davantage confiance au système de gouvernement russe qu’au système français.

« Je crois que la Russie a aujourd’hui plus de liberté et de démocratie. J’ai moi-même vécu à l’Ouest, en France, j’ai participé au vote et j’ai vu les résultats. Je ne peux pas encore voter, car je n’ai pas encore reçu de passeport russe, mais si je le pouvais, je participerais sans aucun doute aux élections, car j’ai beaucoup plus confiance dans le système russe que dans le système français. »

Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a conclu la conférence internationale en ligne en déclarant que les exemples donnés d’ingérence informationnelle et physique dans le système électoral russe montrent l’attention croissante des forces extérieures pour les élections russes en tant qu’objet de la confrontation informationnelle contemporaine.

« Les tentatives d’ingérence des pays occidentaux dans les processus démocratiques russes ont toujours existé, existent et existeront encore, mais notre tâche n’est pas seulement d’être prêts à faire face à toutes les attaques et aspirations visant à discréditer les processus électoraux russes, mais aussi d’être en mesure d’avoir une longueur d’avance et de réprimer tous les efforts visant à influencer le libre arbitre des citoyens russes ».

La Fondation pour Combattre l’Injustice estime qu’il est nécessaire de créer des groupes d’experts dont les tâches consisteraient à surveiller les flux d’informations et à réfuter et supprimer rapidement les campagnes visant à discréditer le processus électoral russe.




L’enjeu de notre intégrité morale

[Source : dondevamos via PG]

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Cet article est écrit avec Émilie Mugabo, passée elle aussi par le journalisme et les tentatives d’éveil des consciences.

[Voir aussi :
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]


Par Émilie Mugabo

L’avancement de l’agenda 2030 et du plan transhumaniste associé a franchi un cap indirect, mais hélas réel et palpable dans les rangs de la dissidence où le sujet numéro 1 est devenu celui de l’infiltration et des manœuvres destinées à neutraliser les mouvements de contestation. On peut s’en désoler ou choisir de l’ignorer et continuer à résister tant qu’il est possible de le faire, à grands coups d’autocensure.

Y voir clair dans le brouillard organisé

Mais le déni ne nous emmènera pas bien loin tant sont désormais manifestes la débauche de moyens humains, techniques et financiers, comme l’anticipation de la caste très en amont pour empêcher le peuple de s’emparer du pouvoir : la démocratie est plus que jamais un tabou absolu dans nos ploutocraties en fin de course, persuadées qu’elles sont de n’être plus qu’à un pas du contrôle absolu des masses.

Et pourquoi n’y croiraient-elles pas alors que leurs plans fonctionnent depuis si longtemps ? Combien de révolutions confisquées, de pseudo-victoires des peuples ou bien d’un pays contre l’autre, d’un parti contre l’autre ou d’une religion contre une autre ? Toutes ces sucettes amères offertes en récompense à une humanité immature, ravie qu’on la rassure et la protège des méchants. « C’est fini, nous avons gagné »…

Vraiment ? Est-ce vraiment déjà arrivé ?

Avant qu’on nous la refasse encore à l’envers, regardons avec un peu de lucidité les échecs passés et où pourrait bien nous mener à nouveau cette propension à minimiser « le plan dans le plan » et à suivre les leaders au parfum nostalgique d’antan.

Sans remonter bien loin, on se gardera par exemple d’occulter combien des personnages bien connus comme François Mitterrand, Roland Dumas, Nicolas Sarkozy, Bolloré, Charles Pasqua, Lafargue, Martin Bouygues ou encore Attali ont œuvré à la fabrique de l’opposition en France autant qu’en Françafrique tout en travaillant dans le même temps aux intérêts des vendeurs d’armes, de la haute finance et du puissant cartel de la pétrochimie qui lui-même enfanta Big Pharma.

Est-ce que le degré de complicités, de peur, de corruptions, de pressions et d’omerta nécessaire aux pillages, coups d’État arrangés, détournements et abus sociaux fomentés diffère tant que cela de celui qui a été nécessaire pour le plan Covid, contrôle, nanos et 5G qui se déroule aujourd’hui ?

Cette même caste dont l’impunité n’est plus à démontrer puisque les condamnations des uns et des autres comme celles de leurs agents, hommes et femmes de main et de petite vertu n’ont en rien empêché qu’ils continuent à nuire, parader sur les plateaux télé, au Festival de Cannes ou au sommet du CAC40. Et aucun d’eux n’a à s’en faire pour ses fins de mois, sa retraite ou sa jolie maison.

Les liens entre les trois volets de l’affaire Elf et celle des disparues de l’Yonne et des affaires Alègre & Epstein sont à cet égard représentatifs tant ils sont étroits quand on creuse. Mais là n’est pas le sujet du jour, même s’il importe vraiment de garder ces éléments à l’esprit.

Les seuls qui s’étonneront d’ailleurs de ces constats sont ceux qui minimisent encore l’usage systématique et systémique des réseaux satanistes pédophiles et proxénètes qu’ils orchestrent ou supervisent eux-mêmes pour s’assurer de la soumission des uns et des autres. Et bien sûr de leur perversion morale et inclinaison à soutenir des législations toujours plus décadentes et avilissantes.

Sachant qu’appartenir à la franc-maçonnerie et avoir juré d’en respecter les secrets suffit dans bien des cas à s’assurer le soutien ou le silence des complices intermédiaires, qu’ils soient députés, journalistes, médecins ou avocats. Alexandre Lebreton a très bien exposé les punitions diverses auxquelles sont soumis ceux qui trahissent leur fraternité. Inutile de vous dire qu’ils ne font pas long feu, sont expulsés du jeu ou ne coulent pas une retraite tranquille et confortable.

Aussi ne devrait-on plus s’étonner de voir aussi collaborer ceux qui n’ont pas atteint un grade, un poste à responsabilités ou un mandat politique suffisamment élevé pour qu’on les coince par un « dossier » rempli de photos ou vidéos sombrement compromettantes et une justice inféodée.

Il serait donc évidemment aussi niais que dangereux de penser que ces mêmes réseaux occultes et politiques ne sont pas aujourd’hui encore actifs et même plus que jamais impliqués dans la dissidence et le bon déroulement du plan qui atteint justement un point de non-retour historiquement déterminant : le contrôle total des populations par la technologie et l’annihilation d’une part intolérable d’entre nous et du Vivant. C’est en cours. C’est maintenant.

Et beaucoup parmi nous réalisent progressivement le rôle et le poids de la France dans ce plan global et ancien, même s’ils ignorent encore les racines occultes du pourquoi.

On a vu comment le mouvement des agriculteurs a été personnifié, réduit à une figure, à une fédération, pour être renvoyé au silence après deux ou trois annonces déconnectées. Comment les black blocs passent là où les Gilets Jaunes ne passent pas. Comment ces trois dernières décennies, les révoltes ont également été contenues en médicalisant la souffrance sociale des individus via des prescriptions massives et exponentielles de neuroleptiques, d’anxiolytiques et surtout d’antidépresseurs qu’on retrouve opportunément dans l’eau du robinet. « Vous avez été licencié, vous êtes ruiné, votre épouse vous a quitté et vous vous sentez très mal ? Voilà un traitement qui devrait vous aider, mais vous n’arriverez à rien en refusant d’aller regarder votre enfance et les vrais problèmes à la racine de votre mal-être actuel »…

Nous avons vu aussi comment les citoyens en général sont bannis des plateaux et de l’espace médiatique, surtout s’ils sont militants ou s’ils portent des revendications. Et combien de marionnettes et d’idiots utiles dans les mouvements politiques, les médias, les associations qui ont pignon sur rue ?

Pourquoi le seul discours qui a droit de cité en France est-il soit un éloge de la micronie, soit un discours aseptisé, une vague opinion sans intérêt ? Parce que le régime autoritaire choisit ses opposants.

Mais peut-il pour autant se dispenser d’offrir à la part la plus radicale du peuple un mouvement de dissidence voué à nous contenir et servir d’exutoire ? Bien sûr que non et c’est même le point le plus sensible et stratégique à régler pour eux. Toute parodie de démocratie a besoin d’une « vraie » opposition, à l’image des soupapes de sécurité de nos cocottes-minute. Or que constatons-nous ?

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience, alors que jamais les Français n’ont été aussi mécontents et attaqués. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Dans le même temps et pour illustrer ce propos, le Front national créé en son temps pour y rediriger et contenir les contestataires, ne remplit quasiment plus cette fonction-là et devient plutôt peu à peu l’alternative qu’on pourrait nous imposer à Macron par la grâce et magie des urnes. Mais comme les partis d’extrême-gauche, il fait désormais partie d’un jeu politique considéré comme pipé et uniformisé, par une partie toujours plus grande de la population.

De même, le désaveu des Français pour les journaux et autres grands médias dominants est avéré et leur impact dans l’opinion n’a donc de cesse de diminuer.

Cela n’a d’ailleurs rien d’anecdotique de rajouter ici le soin plus que suspect qu’apportent de nombreux agents du New Age à promouvoir, bien mis en avant par YouTube, la défiance envers les médias au profit des personnalités de la Résistance elles-mêmes soutenues par les GAFAM qui ne les censurent ponctuellement que pour mieux crédibiliser leur statut de grand dissident, mais les soutiennent activement et massivement.

Le moment du point de bascule

Pas besoin d’être de grands visionnaires pour comprendre que le monde de domination par le fric qu’on connaît depuis plus de 2000 ans et des générations de guildes de marchands du temple touche à sa fin.

Plusieurs facteurs empêchent ce système de continuer : on peut mentionner la raréfaction de certaines ressources minérales, la prise de conscience planétaire du système d’exploitation de l’humain par les capitalistes et tous ses corollaires tels que les guerres, la désespérance et le déchaînement des pulsions, les famines avérées et celles agitées en épée de Damoclès via les menaces de pénurie, les campagnes d’injections expérimentales massives, mais aussi l’éveil des consciences et la hausse des taux vibratoires qui en résulte, l’activité solaire et les chambardements telluriques, climatiques et géomagnétiques, etc.

Sans parler de ces prophéties autoréalisatrices et au fatalisme induit, via la circulation de l’information ou encore le caractère absolument incohérent, déspiritualisé et amoral du monde dans lequel nous vivons. Et de celui dans lequel on voudrait nous propulser en niant jusqu’à l’existence de nos âmes.

La population doit rester suffisamment léthargique, fataliste, divisée et abêtie pour se laisser faire. Tous les leviers requis sont pensés, actionnés, tels l’addiction aux écrans à grand renfort de neurosciences, champs de fréquences pulsées pour nous faire sécréter béatement de la dopamine, et des contenus vidéo, animés et films stratégiques, anticipant la réalité désirée et pervertissant les psychés en plus de permettre un profilage de chacun selon ce qu’il regardera. Et surtout, la morale et les valeurs sont retournées et inversées méthodiquement. Autant de signaux alertant d’une fin de civilisation imminente bien plus que d’une dystopie à la sauce du N.O.M..

Longtemps les artisans de ce plan multiséculaire ont avancé masqués, mais nous relevons tous que l’agenda se précipite et que le choix a été fait de passer à une méthode ouvertement autoritaire.

Nous sommes arrivés à un point de bascule parce que le mouvement est planétaire : de la Bolivie au Sri Lanka, d’Afrique du Sud en Finlande, les gens savent que le monde va de mal en pis et ils savent que cela arrive parce qu’une petite clique tient l’économie mondiale et fait tout ce qu’elle veut. Elle s’incarne dans les injonctions du forum de Davos, de la Commission européenne, de l’OTAN, de l’ONU, de l’UNESCO, de l’OMS et de ces fondations « philanthropiques » qui ressassent leur doxa jusqu’à l’écœurement et par tous les canaux possibles, « éducation » nationale comprise.

Avec pour point commun d’être systématiquement aux mains d’une même caste se cooptant et veillant à la loyauté et fidélité idéologique de tous ceux qui en pilotent et exécutent ces programmes aussi eugénistes que racistes. En effet, ils ne cachent même plus leur propension à considérer inférieure la quasi-totalité des humains, traités avec mépris de « race des homo sapiens » tous juste bons à être implantés, torturés ou téléguidés, comme avant eux les chimpanzés. Cette idéologie s’est appelée nazisme, néo-libéralisme, wokisme, transhumanisme… et nombreux sont désormais ceux qui parlent carrément de satanisme.

Le refus de ce monde, de ce système, est de plus en plus viscéral, notamment en France — ou ce qu’il en reste. Mais il n’est pas encore radical, loin de là.

Comment s’assurer une opposition bien sage

Ceux qui contrôlent le narratif veulent aussi contrôler le contre-narratif. Considérons le public français en deux catégories : les activistes et les non-activistes.

Dans les activistes, il y a ceux qui sont politisés et ceux qui ne le sont pas. Et dans les non-activistes, il y a encore deux groupes :

  • Ceux qui ne s’informent pas du tout ou mal, ne recherchent pas d’information au-delà des grands médias officiels.
  • Ceux qui cherchent des informations complémentaires pour mieux comprendre le système, et qui pourraient éventuellement passer du côté des activistes.

On peut difficilement évaluer les proportions de chaque groupe et encore moins se fier aux baromètres d’opinion bidonnés pour démoraliser les contestataires. Les Français n’étant pas tant des « veaux » que cela, admettons que les non-activistes qui ne s’informent pas ou mal représentent environ la moitié de la population. Heureusement pour nous, il n’y a besoin que de quelques pour cent pour faire basculer la situation, pour peu que l’effort soit assez coordonné et réfléchi sur la durée.

Il est facile d’anesthésier ceux qui considèrent que la propagande est de l’information. Quant aux activistes non politisés, ils peuvent toujours militer pour les baleines ou pour sauver leur usine, cela ne changera rien et n’a aucun impact sur le bon fonctionnement du capitalisme.

La vraie menace [pour les élites] est donc dans deux groupes : les activistes politisés, et les non-activistes qui cherchent à comprendre ce qu’il se passe. Et qui, grâce à l’épisode délirant du Covid, sont de plus en plus nombreux à progressivement passer « dans l’opposition ».

Du moins le croient-ils, car aujourd’hui, c’est bien le problème : il n’y a pas d’opposition. Aucun mouvement fort et redoutable. Uni. Ceux qui pourraient la construire sont isolés et ciblés. De même pour ceux qui voudraient tenter de fédérer les groupes existants. Ces réseaux et cellules communiquent peu entre eux et la défiance règne. Une opposition structurée et véritable n’émergera pas non plus derrière un leader charismatique dont beaucoup se méfieront automatiquement et à raison. Elle doit donc s’agréger autour d’un objectif simple, précis et efficace.

Même si ce n’est pas pour demain, cette agrégation qui se ferait automatiquement en temps normal est précisément ce que doivent éviter nos autocrates qui n’ont les pleins pouvoirs que pour gaver les capitalistes de la caste, en dérouler le plan et réprimer toute contestation non voulue. Mais attention : il leur faut maintenir une opposition-exutoire, dernier reliquat de démocratie qui permet de prétendre que la parole est libre.

La méthode à déployer comprend 2 axes :

  1. Invisibiliser et si possible anéantir les oppositions les plus gênantes et les plus subversives. On va lancer des campagnes de calomnie, empêcher de parler, créer des « doubles » (des individus qu’on met en orbite pour tenir presque le même discours, mais sans attaquer le système ou dont le discours sera facile à discréditer, ou le même projet lancé en parallèle, en version « soft »). On peut aussi associer sans leur accord certains opposants à des actions, des courants ou communautés complices et promouvant des fadaises grossières ou des façons d’agir rédhibitoires pour qu’ils perdent leur crédibilité.
  2. Faire monter une opposition molle. Comme l’a dit Lénine « le meilleur moyen de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». On rend donc visible un meneur, un groupe en le créant, en le finançant, en lui donnant des tribunes, ou même par des articles de presse à charge, mais pas très corrosifs, dans lesquels on reste sur des considérations superficielles. On n’attaquera pas les financements ni les non-dits, par exemple.

L’opposition molle peut être créée de toutes pièces : on finance et on met en place des groupes et des sites Internet qui seront centrés sur un seul combat, anecdotique, ou qui seront inopérants parce qu’ils sont centrés sur un personnage, alimentés par des informations plus ou moins vérifiées, ou en guerre permanente avec d’autres groupes. Elle peut aussi être entretenue par l’infiltration de groupes déjà existants, ou en retournant leurs leaders d’une façon ou d’une autre.

Le point essentiel est que la visibilité de cette opposition surpasse et écrase celle des dissidents les plus gênants, pour capter tout nouveau Français résolu à modifier sa façon de s’informer et se fiant par conditionnement à ceux qui paraissent le plus suivis dans la Résistance. C’est ici que les algorithmes, trolls et sociétés proposant de doper les vues et abonnements jouent un rôle aussi important que parfaitement déloyal.

L’opposition molle contribue alors à faire écran de fumée pour que l’opinion publique n’accède pas aux informations pertinentes et pour qu’elle ne s’organise pas contre le système. Elle va permettre plusieurs choses :

  • Concentrer l’attention sur des leaders plus ou moins charismatiques qui prétendent avoir les solutions, et ainsi démobiliser les gens qui pourraient se prendre en main et collaborer.
  • Polariser le débat, le faire tourner en rond, l’amener vers des oppositions binaires au lieu d’agir de manière itérative, ce qui éloigne les gens de ces combats, réduits à des guerres intestines stériles, et qui nasse l’opinion publique dans de petits groupes militants, souvent cloisonnés, dans des combats de niche et débats sans propositions qui ne changeront rien sur le fond. Et c’est bien ce que nous vivons.
  • Distiller du faux dans le vrai, comme une sorte de poison qui permettra de jeter le bébé avec l’eau du bain, c’est-à-dire de décrédibiliser tout le sujet, tout le combat.
  • Constituer le réservoir dans lequel la caste pourrait se servir demain pour nous brandir nos nouveaux sauveurs, conseillers et dirigeants, si elle choisit stratégiquement de simuler sa défaite « complète » et laisser penser aux populations qu’enfin elles ont gagné et que « Pfizer et les politiques corrompus, c’est enfin terminé ». Sauf que le changement serait une illusion, un simple report des lois les plus décriées comme l’éducation à la sexualité. Et les technologies de contrôle et d’asservissement mental ne seraient jamais remises en question puisque cette opposition molle n’y voit généralement aucun problème ni même une réalité. La justice rendue serait juste une parodie de Nuremberg 2.0. Et les héros de l’opposition molle promus serviraient seulement de nouvelles façades à un plan continuant à fabriquer tous les prétextes et événements imaginables pour nous emmener malgré tout vers l’agenda prévu.

Et maintenant ?

Où en est-on en France ? Si on observe attentivement ce qu’il se passe dans la « Résistance », on peut sans trop de risques prédire une inflation exponentielle d’oppositions bidons sur des sujets clés comme le sida des vaccinés, les aliens, les réseaux pédocriminels et satanistes, les élections ou la maladie X pour orienter l’opinion publique vers les changements désirés tout en lui donnant l’illusion que la vérité émerge et est enfin prise en compte.

Et pour beaucoup il s’agira bien de vérités nouvelles.

Ces sujets passeront en boucle dans les médias « alternatifs » dont certains sont quasiment des « mainstream » de l’opposition de salon, avec des dissidents mous qui se légitiment et se congratulent les uns les autres comme le fait la caste parisienne médiatique, liée par les mêmes secrets et compromissions à la sauce Epstein.

Vous aurez de plus en plus de mal à trouver, même du côté alternatif, des sources d’informations vraiment utiles, qui vont vraiment au fond des choses et dénoncent les processus en cours.

Au final, il pourrait ne plus rester dans l’espace public que des oppositions « autorisées » pour reprendre l’expression d’Ariane Bilheran. On mettra en scène des combats de personnages, des clivages inutiles, et ceux qui attaquent le système seront mis sous une pression toujours plus forte pour essayer de les isoler ou même de les pousser dans la clandestinité. Il y a déjà des intrusions dans les domiciles, les ordinateurs, les voitures, avec des problèmes mécaniques à répétition, par exemple : il est certain que tout cela va s’aggraver, comme les attaques administratives et clôtures de comptes bancaires.

En parallèle, le traçage des oppositions et des groupes de discussion va augmenter en puissance, ainsi que la diffusion de messages plus personnalisés créés par intelligence artificielle et diffusés en masse et de façon ciblée comme s’en vante l’OTAN, mandatée hors de tout cadre légal pour gérer la désinformation dans l’UE [cf. article]. On doit aussi prendre en compte l’usage des neurosciences, de l’hypnose et des armes psychotroniques qui permettent de manipuler les pensées, l’état et le comportement de groupes ou des individus.

Dans ce brouhaha, il sera de plus en plus difficile d’accéder aux sources réellement pertinentes, celles qui permettent vraiment d’aller au fond des choses. Identifier les faux opposants et sujets biaisés va donc devenir un sport olympique et impliquera de se poser quelques questions :

  • Essayer d’identifier leurs motivations : l’ego, l’argent, la haine, la vengeance et le pouvoir sont de très mauvaises motivations pour mener des combats.
  • Repérer les éléments d’alerte et de vigilance accrue comme l’implication passée dans des scandales politico-financiers, dans de grandes organisations et firmes internationales, dans de grands médias parisiens, la franc-maçonnerie, la « communauté » et la défense de ses intérêts, la filière catho-sataniste, le Q et le New Age de la CIA, les confréries d’université et de pensionnat, les renseignements, ou encore le fait d’avoir exercé à des postes impliquant une cooptation maçonnique et les mesures et entraves préventives qui vont toujours avec.
  • Se demander qui leur donne de l’écho ? Qui les soutient financièrement ? De quoi vivent-ils ? Examiner les heures auxquelles tombent les vues et les commentaires sous les vidéos et à quel rythme pour les diffusions sur YouTube. Comparer avec d’autres plateformes plus alternatives où ils ont également des chaînes.
  • Estimer si leur temps de parole a été utile. Leur discours permet-il de comprendre les processus en cours ? Se souvient-on des propos tenus en fin d’émission ou n’en garde-t-on qu’un sentiment agréable, mais totalement flou ? Leur arrive-t-il de mentir ostensiblement ou valider de fausses nouvelles avérées ? Citent-ils des noms et des faits précis ou veillent-ils à rester très vagues ? Citent-ils leurs sources ? Prennent-ils des risques réels ?

Mais plus que tout et afin de traverser non seulement ces temps, mais les faire changer : à quoi disons-nous non ? Et allons-nous encore et longtemps collectivement valoriser ceux qui ont choisi de dire oui à ce qui a amené la dépravation et tyrannie de nos sociétés ? Oui à l’argent facile, aux intrigues et manipulations politiques, au sexe sur commande, aux drogues, à la luxure, au profit aux dépens d’autrui, aux arrangements entre puissants, à la gloire par cooptation et aux postes et possessions pour briller en société ?

Se rend-on compte qu’aujourd’hui encore, la plupart d’entre nous (y compris résistants) accordent bien plus d’attention et de valeur à des gens qui ont dit « oui » à ce système perverti et joué des rôles importants dans le déroulement du plan qui nous mène où nous en sommes aujourd’hui ? N’y a-t-il pas quelque chose de profondément malade dans cette façon spontanée de se fier d’abord aux propos de ceux qui ont été des « références », « sommités », des « vus à la télé » ou encore « parmi les puissants » ?

En quoi avoir besoin de se rassurer par les titres et le CV est-il foncièrement plus judicieux que penser non seulement par soi-même, mais aussi en explorant d’autres façons d’être et revisitant nos jugements sur ce qu’est une personne de valeur ?

N’est-ce pas également une façon inconsciente de se déculpabiliser pour les oui qu’on a dits soi-même et la façon dont on a vécu du système et participé via nos impôts, nos emplois, notre laisser-faire, nos achats et nos modes de vie ? Répartir sa honte cachée entre gens ayant failli comme nous, voire bien davantage que nous ? Des gens qu’on nous a donnés à envier voire jalouser, érigés en modèles de nos sociétés et de ce qu’est une vie vraiment « réussie » ? Et en persistant à garder les mêmes codes, faire perdurer cette illusion « que nous étions tous des gens bien » et que « les responsables, c’est eux » ?

Les gens qui ont dit oui, ne serait-il pas temps qu’a minima, on s’en défie ? Ne pas les rejeter, car heureusement que chacun de nous peut changer et on vit aussi pour le voir. Et ne pas non plus arrêter ses jugements, car on pourra être surpris par des personnes démontrant plus tardivement qu’elles sont bel et bien fiables et couillues. C’est quand l’étau se resserre le plus que les gens se révèlent le mieux. Face au danger, nous sommes nus.

Mais doit-on pour autant en faire ses guides ou ses alliés alors qu’ils ont déjà failli et souvent jamais démontré qu’ils ont radicalement évolué et compris ce pour quoi ils s’étaient prostitués ? Le démontrer par ce qu’ils dégagent et non par de grandes phrases. Nous sommes déjà si nombreux à ne plus croire aux mots et chercher seulement la lumière et l’authenticité. Voilà un vrai critère de sélection pour qui sait le voir sans être abusé. Il sera même déterminant.

Alors qui et quoi glorifions-nous encore individuellement ? N’avons-nous pas déjà assez échoué collectivement pour choisir cette fois d’autres référentiels, d’autres voies et approches ? Avoir rejeté le système doit-il encore valoir cette étiquette sociale d’êtres « qui ne sont personne », comme ces jeunes partis sur les routes, ceux qui ont rejeté leurs « réseaux », jeté leurs diplômes ou postes « enviables » ou encore ces vieux marginaux, poètes sans le sou, ou amoureux du Vivant ayant renoncé à tout pour embrasser enfin le Tout ?

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Leurs stratagèmes d’opposition molle ne fonctionnent que parce que nous sommes collectivement malades. Et nous sommes encore à guérir si nous courons après les gens les plus en vue et glorifions toujours les mêmes profils, les mêmes trajectoires, les mêmes déviances et addictions au pouvoir et aux miettes que trop furètent encore, truffe au sol, pour les ramasser. Un peu de hauteur et de dignité, bordel !

Et de moralité. Il est des « non » qui doivent enfin devenir la règle. L’évidence. La finalité.

Le meilleur des radars pour savoir à qui se fier et s’allier. Notre moralité et notre intégrité sont devenues la seule voie sur laquelle avancer, évoluer, nous fédérer. Sans mensonges ni compromissions. En se regardant tel qu’on est. En assumant tout ce qu’on a fait et fera. Parce qu’on a vraiment de quoi faire.




L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie aux USA

[Source : Quantum Leap Traduction]

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.
Mike Benz :

« Ce que je décris est un régime militaire. C’est l’inversion de la démocratie. »






France — La Loi Gayssot a fait taire tous les historiens, l’article 4 fera taire tous les scientifiques !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

La récente adoption de l’article 4 a suscité de vives réactions, certains dénonçant une atteinte à la liberté d’expression et une nouvelle étape vers un État totalitaire. Comparé à la loi Gayssot, qui réprime la contestation des crimes contre l’humanité, cet article vise à réprimer la provocation à l’abandon de soins. Il s’inscrit dans une tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles.

[Voir aussi :
De la censure à la criminalisation de la dissidence]

Cette mesure a été adoptée après un débat houleux à l’Assemblée nationale, où certains députés ont exprimé leurs inquiétudes quant à son impact sur la liberté d’expression et sur le dialogue démocratique. Néanmoins, malgré les critiques, l’article a été voté avec une majorité de 182 voix pour et 137 voix contre.

Conformément à cette disposition, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins sera passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Ces sanctions seront aggravées en cas de conséquences directes de la provocation, avec une peine pouvant atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

Les défenseurs de cette mesure, parmi lesquels la secrétaire d’État Sabrina Agresti Roubache, ont souligné la nécessité de lutter contre les dérives sectaires et complotistes, notamment sur internet, qui pourraient mettre en danger la santé publique.

Néanmoins, cette adoption suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. Certains y voient un précédent dangereux qui pourrait restreindre davantage les libertés individuelles dans le futur.

Cela nous rappelle l’opposition rencontrée lors de l’adoption de la loi Gayssot en 1990, qui a été l’objet de vifs débats et d’une opposition notable de la part de la droite parlementaire, alors majoritaire au Sénat. Cette loi, portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité, a été perçue comme une atteinte à la liberté d’expression par certains politiciens de droite.

Au Sénat, plusieurs votes de rejet ont eu lieu les 11, 29 et 30 juin 1990, illustrant l’opposition ferme de certains membres de la classe politique à cette proposition législative. Parmi les personnalités politiques qui se sont opposées à la loi Gayssot, on compte des figures influentes telles que Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Alain Peyrefitte et Simone Veil, ainsi que le député Jacques Toubon. Cette opposition soulignait les préoccupations quant à l’impact de la loi sur la liberté d’expression et son influence sur le récit historique.

Jacques Toubon, exprimant son désaccord, déclarait :

« Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire ».

Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique.

C’est comme si le silence autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives.

Cela nous montre l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société.




De la censure à la criminalisation de la dissidence

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Vue générale de l’Assemblée nationale française à Paris le 17 juillet 2023. (Bertrand Guay/AFP via Getty Images)]

Par Jeffrey A. Tucker

L’histoire avance rapidement.

Une bataille majeure se prépare dans le monde occidental sur le principe fondamental de la liberté d’expression. Nos droits à la liberté d’expression n’ont jamais été aussi fragiles.

En pleine nuit, en France, une nouvelle loi a été adoptée par l’Assemblée nationale, qui considère comme un délit le fait de critiquer les injections d’ARNm. Les critiques l’appellent la loi Pfizer. Elle prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et éventuellement trois ans de prison.

Comme dans tous les pays occidentaux, les critiques à l’encontre de la plateforme mRNA font l’objet d’une vaste censure.

Plutôt que de reculer face au scepticisme de certains quant à l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins, les gouvernements, piégés par les intérêts pharmaceutiques, prennent fait et cause pour les entreprises et les Big Techs en menaçant d’emprisonnement toute personne qui s’exprime ouvertement contre elles.

La censure devient alors une arme redoutable. C’est l’étape logique suivante. Dans un premier temps, vous déployez tous les moyens possibles pour empêcher toute dissidence sur les canaux de distribution de l’information. Quand ça ne marche pas, parce que les gens ont trouvé des moyens alternatifs pour faire passer l’information, vous intensifiez les choses et instituez des contrôles radicaux.

C’est logique. Après tout, la censure permet d’influer sur l’esprit du public afin d’étouffer toute opposition au régime. Lorsque les médias traditionnels s’effondrent et que de nouveaux médias se développent, l’étape suivante consiste à aller criminaliser l’opinion, comme le fait tout gouvernement totalitaire.

La politique aujourd’hui est planétaire. Les élites qui ont pris le contrôle de nos gouvernements se coordonnent au-delà des frontières.

En second lieu, un article important de la rubrique opinion du New York Times, se réjouit qu’une affaire de diffamation ait abouti. Michael Mann, professeur à l’université de Pennsylvanie a poursuivi un rédacteur de l’Institut Competitive Enterprise auquel il reproche d’avoir contesté son modèle de changement climatique, notamment ce que l’on appelle la crosse de hockey.

Ce n’est pas du domaine de tout le monde, mais il semble évident que la science climatique dominante devrait elle aussi faire l’objet d’une critique vigoureuse. Si l’ère Covid nous a appris quelque chose, c’est que le « consensus scientifique » peut être complètement faux.

Le scientifique Michael Mann assiste à la projection à New York du documentaire HBO « Comment lâcher prise sur le monde et toutes les choses que le climat ne peut pas changer » à New York le 21 juin 2016.
(Slaven Vlasic/Getty Images pour HBO)

La diffamation consiste à dire que les propos tenus ont cherché à mentir délibérément dans l’intention de nuire. On pourrait penser que peu de choses peuvent être qualifiées de la sorte, et certainement pas la critique d’un modèle climatique.

Cette accusation a pourtant été retenue par un juge américain. Après une dizaine d’années de procédure, le jury a fini par se prononcer en faveur des plaignants. L’un des défendeurs, Rand Simberg, a été condamné à payer 1000 dollars et l’autre, Mark Steyn… à 1 million de dollars. M. Simberg affirme qu’il fera appel et qu’il s’en tient à chaque mot qu’il a écrit. M. Steyn également.

Pour l’essentiel, ce verdict criminalise l’hyperbole, a déclaré l’avocat de la défense.

L’auteur de l’article d’opinion, quant à lui, estime qu’il s’agit d’une question de justice. « Notre récente victoire en première instance pourrait avoir des implications plus larges », déclare-t-il. « Elle a tracé une ligne dans le sable. Les scientifiques savent désormais qu’ils peuvent répondre aux attaques en intentant un procès pour diffamation ». Il mentionne en particulier les personnes qui ne sont pas d’accord avec le consensus Covid ou qui ont fait de fausses déclarations sur les effets néfastes des éoliennes sur la santé.

Vous imaginez ? Critiquer une éolienne ou une pandémie et se retrouver devant un juge !

Il est terrifiant de penser à ce que cela implique. Et l’auteur de l’article ne laisse rien à l’imagination. Il considère cette affaire comme un moyen de rendre la critique scientifique de n’importe quel domaine de la vie — des vaccins au changement climatique en passant par la transition vers les véhicules électriques — essentiellement illégale. En tout cas, si ce n’est pas le cas, il s’en rapproche en érigeant tellement de mines terrestres que les critiques vont se taire de peur de voir leur vie détruite.

Cette affaire a duré dix ans. Comment est-il possible que des plaideurs fassent durer une affaire aussi longtemps ? Il s’agit d’établir un précédent sérieux. Ce précédent est désormais clairement établi. La définition de la diffamation est tellement malléable que les jurys peuvent décider de tout. La seule perspective d’être traîné devant un juge pendant plus de dix ans suffit à dissuader les gens de s’exprimer.

En substance, tous les détracteurs du « consensus scientifique » en tous domaines ont été mis en garde. Ils sont d’ores et déjà des cibles de choix. C’est le monde vers lequel nous nous dirigeons.

La censure fonctionne lorsque le gouvernement peut contrôler tous les canaux de distribution de l’information. Et quand ce n’est plus le cas ? Les pouvoirs peuvent utiliser des méthodes plus directes.

Nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir disparaître les médias traditionnels. C’est certainement mon cas, mais réfléchissez à la façon dont les censeurs vont réagir. Ils deviennent plus durs et utilisent davantage les tribunaux de justice. C’est l’avenir qui nous attend et il est extrêmement dangereux. Selon cette trajectoire, la liberté d’expression est appelée à disparaître.




Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




France — Le scandale du double vote pour l’amendement de l’article 4 de censure de la médecine

Dérives sectaires : l’assemblée s’oppose à la création d’un délit d’incitation à l’abandon de soins

Alors que l’Assemblée nationale a entamé, mardi 13 février, l’examen du projet de loi visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires », le gouvernement et sa majorité relative ont été mis en minorité sur l’instauration d’un délit visant à punir spécifiquement les dérives à caractère thérapeutique. Cet article, qui constituait le cœur du texte, a été supprimé. 

Mais

Le texte est finalement passé.

Commentaire d’un internaute

Un leurre ? Pour alimenter autocensure ?

Ce texte serait inapplicable en l’état tellement il est alambiqué, tellement il ouvre des portes, tellement il est écrit par des incompétents… C’est donc un chiffon rouge de plus agité pour dissimuler d’autres actualités.

Critique :

« Art. 223 ‑1‑2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende la provocation au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées de toute personne atteinte d’une pathologie » : on va galérer sur la définition de la pathologie…

« à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique » : si c’est prophylactique, c’est qu’il n’y a pas de pathologie, le texte n’est pas clair…

« lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées » : on va galérer sur la définition de ce qui est bénéfique et de la balance bénéfice/risque…

« alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales » : on va bien être obligé de passer par une expertise médicale pour savoir quel est l’état des connaissances médicales, les juges ne sont pas au fait de ses connaissances !…

« manifestement susceptible d’entraîner pour elle : manifestement, ça ouvre une marge de manœuvre… Ça ne va pas être simple !

« compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences particulièrement graves pour sa santé physique ou psychique. » : oui, c’est sûr, il va falloir passer par une expertise médicale…

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques » : bon sang, qu’est-ce qu’on va qualifier comme étant des pratiques…

« présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique alors qu’il est manifeste, en l’état des connaissances médicales, que ces pratiques exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. » : encore une fois, il y a la l’obligation de recourir à une expertise médicale… Et ça ne va pas être simple ! En plus, on parle d’exposé à un risque, quelque chose d’un certain, ça ne va vraiment pas être simple !

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. » : ce n’est pas brillant, ils ont oublié de qualifier les effets, négatif ou positif ?

« Lorsque la provocation s’accompagne d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé et que les conditions dans lesquelles cette provocation a été faite ne remettent pas en cause la volonté libre et éclairée de la personne, les délits définis au présent article ne sont pas constitués. » : quand on prévoit un délit, et ensuite une clause pour dire qu’en cas d’information claire et complète, il n’y a pas de délit, on est manifestement en train de créer un délit pour rien.

« Pour l’application du précédent alinéa, lorsque la personne est placée ou maintenue dans un état de sujétion psychologique ou physique, l’information donnée est présumée ne pas permettre de garantir la volonté libre et éclairée de la personne. » : et quand on crée un délit, puis une clause pour dire qu’il n’y aura pas de délit, puis une clause pour dire qu’il y aura quand même délit… On est vraiment en train de… Vous savez, faire des trucs avec des mouches, enfin bref je me comprends. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément, non ?

« L’information signalée ou divulguée par le lanceur d’alerte dans les conditions prévues à l’article 6 de la loi n° 2016 ‑1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique ne constitue pas une provocation au sens du présent article. » : idem.

« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. » : en gros, démerdez-vous…

#LaJusticeEstUneInconnue




« Tel que nous l’avons conçu. »

[Source : aljazeera.com]

C’est une image qui pourrait appartenir à un film à la fois d’horreur et de science-fiction : Le président des États-Unis, Joe Biden, debout sur un fond trouble, des faisceaux laser rouge vif émanant de ses yeux, sa broche représentant le drapeau des États-Unis brillant de manière proéminente sur sa boutonnière.

Pourtant, ce n’est pas une page de mème ou un compte de troll qui a publié cette image : Elle a été publiée sur la page X de M. Biden au début de la journée de lundi. Sur fond de guerre brutale d’Israël contre Gaza, qui a tué plus de 28 000 personnes et que les États-Unis ont soutenue, l’image a suscité des critiques particulières de la part de certains utilisateurs des médias sociaux à l’encontre de M. Biden.

« Tel que nous l’avons conçu. »

Cela donne lieu à toutes les spéculations, dont celles signalées par Francis Lalanne :

Question : Qui utilisait ces yeux rouges brillants avant ce message de Joe Biden pendant des années ?

Réponse : Les Anons.

Question : Qui vous a dit « Le plaisir commence juste après le Superbowl » ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui vous a dit que la Maison-Blanche était vide ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui vous a dit qu’il y aurait une transition pacifique du pouvoir ?

Réponse : Les militaires.

Question : Qui a signé l’EO 13912, ce qui en a fait un président en temps de guerre ?

Réponse : Donald Trump.

Question : Qui vous a dit que le Superbowl ressemblerait à une exposition de chiots ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui a mis en ligne des photos de chiots juste avant le Superbowl et a dit « J’aime les chiots » ? Réponse : Elon Musk

Question : Qui vous a dit qu’ils étaient derrière le compte d’E. Musk ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui a dit qu’ils avaient un accès direct à tous les dirigeants du monde via Ogiame Atuwatse III ?

Réponse : Les juges.

Voyez-vous tous où je veux en venir ? Ne suivez pas comment « The Normies » réagissent à ce post de Joe Biden. Ils n’en ont aucune idée.

On vous a montré à travers des vidéos, des images et de la documentation qui est actuellement aux commandes. Ces yeux rouges signifient « Activation ». De quoi ?

La nouvelle souche du virus.

Les confinements.

Les militaires.

________________

Les préparations sont en phase de maturation.

Cela se voit à travers la réforme monétaire irakienne.

Le renminbi chinois.

Le marché des changes au Nigeria.

Le système du protocole 20.

Les 8 banques interdites en Irak pour les transactions en USD.

Quels sont les suivants.

1. Banque internationale Ahsur pour l’investissement.

2. Banque d’investissement d’Irak.

3. Union Banque d’Irak.

4. Banque islamique internationale du Kurdistan pour l’investissement et le développement.

5. Banque Alhuda

6. Banque islamique d’investissement Al Janoob.

7. Banque islamique d’Arabie

8. Banque commerciale d’Hammourabi.

Pourquoi est-ce important ?

Car le marché parallèle est sur le point d’atteindre le prix officiel. Et seuls les voyageurs pourront acheter des dollars américains au prix unique sans que la valeur du marché noir ne dégrade artificiellement la monnaie IQD. Toutes ces choses sont liées ensemble.

Pourquoi pensez-vous tous que Google vient de mettre en œuvre un nouveau logiciel de censure ?

Ils veulent contrôler la fuite d’informations une fois que l’effondrement aura commencé. Fondamentalement, il s’agit de protéger les banques en faillite (pas les banques de Bâle 3) lorsque les gens seront les plus vulnérables et se demanderont pourquoi ils ne peuvent pas accéder aux fonds.

Pourquoi l’inflation est hors de contrôle sur certains marchés ?

Pourquoi leurs cartes de crédit/débit ne fonctionnent pas ? Fondamentalement, créer une barrière de confinement pour information.

Rappelez-vous ce que j’ai déjà partagé avec vous tous. Toutes les choses concernant l’optique avec Joe Biden se dérouleront sous sa surveillance et il sera blâmé pour l’échec du système fiduciaire.

Ainsi, lorsque vous regardez ce message, l’armée vous dit en gros qu’elle est prête à appuyer sur « le bouton rouge » sur l’ensemble du plan.

Je vous ai dit que vous vous prépariez à traverser le pont vers « La Nouvelle République ». Mais cela s’accompagnera de quelques turbulences.

J’espère que cela suffira, car je dois préparer d’autres choses.

Les Chiefs remportant le Superbowl sont un autre geste symbolique envers le CIC (Commandant en chef) pour Usher in 45 (D. Trump) et le Gold Standard étant donné que Las Vegas est le numéro 4 de la production mondiale. La devise de l’État du Nevada est « Tout pour notre pays ».

Et cela pourrait être un divertissement pour nous écarter de questions cruciales. Une nouvelle PsyOp ?




Les vrais tueurs du climat

[Source : Kla.tv]

La petite Greta reçoit une petite leçon particulière de la part du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek… En effet, les mêmes personnes qui nous imposent des filtres à particules de plus en plus chers pour « sauver notre santé et le climat » et qui privent les agriculteurs de leurs vaches parce qu’elles pètent trop envoient chaque année des dizaines de milliers de millions de tonnes de poussières fines de charbon dans notre air. Sans oublier des milliers de millions de tonnes de particules d’aluminium et toutes sortes d’autres nanococktails hautement toxiques. Parallèlement, les mêmes personnes ont déjà abusé de notre ionosphère en 2010 avec 180 installations militaires HAARP pour déclencher divers tremblements de terre, sécheresses, tempêtes, inondations, etc. Alors que Wikipédia & compagnie s’obstinent à nier ces faits, les brevets de géo-ingénierie admettent ouvertement que les installations HAARP, associées à des millions de tonnes de cocktails de nanoparticules, peuvent même déclencher des tsunamis et endommager n’importe quel climat.

Par Ivo Sasek

J’ai aujourd’hui un avertissement important à adresser à tous les lanceurs d’alerte indépendants en ce qui concerne le changement climatique d’origine humaine.

Il y a peu de temps encore, je ne comprenais pas comment la moitié du monde pouvait s’intéresser aux divagations sur le climat d’une Greta Thunberg, alors qu’il était évident que pour cette enfant cette nouvelle religion du climat ne pouvait pas venir de sa propre tête ou de son esprit. N’importe qui sous ce ciel devrait immédiatement comprendre qu’il s’agit simplement d’une pauvre fille malade qui est abusée et instrumentalisée à ses fins par une élite puissante. Mais ce que j’ai eu encore plus de mal à comprendre jusqu’à présent, c’est que tant d’enfants, d’adolescents et d’adultes, manifestement en bonne santé, se soient laissés instrumentaliser avec cette petite Gretchen abusée. Je pensais qu’au moins ces personnes normales et capables de réfléchir devraient pouvoir comprendre qu’elles sont simplement instrumentalisées par les grands escrocs. En outre, il ne devrait échapper à personne de sensé que ce sont toujours les mêmes abuseurs de pouvoir qui recouvrent constamment notre beau monde de leurs crises financières stratégiquement fomentées, de leurs guerres et de toutes sortes de plandémies et de crises qu’ils ont eux-mêmes créées, nous tyrannisant tous, nous pillant et nous réduisant progressivement à l’esclavage.

Mais ce n’est qu’après avoir tourné avec Kla.TV de nombreux documentaires contre cette nouvelle religion sectaire du climat que la lumière s’est faite. Des documents percutants qui nous ont été transmis m’ont convaincu que nous, de Kla.TV nous nous sommes également laissés instrumentaliser, et ce par les mêmes faiseurs de crises dont nous parlons ici. J’ai soudain compris que ce n’est ni la bêtise ni l’ignorance qui font que les masses se laissent emporter par cette folie climatique. C’est plutôt la ruse diabolique de ceux qui chuchotent des mensonges au sujet du climat et savent exactement comment nous garder tous dans l’ignorance ou nous manœuvrer habilement sur des sujets secondaires où nous pouvons nous frapper mutuellement la tête avec les arguments et contre-arguments les plus vrais.

Je vais maintenant vous expliquer de quelle manière nous aussi, à Kla.TV, nous nous sommes laissés instrumentaliser par ces escrocs du climat — et ce que nous en avons appris. En fait, nous sommes nous aussi tombés dans leur piège. Et comment cela ? Tout simplement en contredisant l’affirmation constante selon laquelle le changement climatique est dû à l’homme, avec des climatologues et des scientifiques de haut niveau. Ceux-ci ont démontré, à l’aide des exemples les plus convaincants, qu’il existe depuis des millénaires un changement climatique naturel, des variations constantes des températures, des vents et des conditions météorologiques, etc. Et cela est et reste correct. Mais plus nous avons pu prouver de manière convaincante que le changement climatique ne peut pas être d’origine humaine, plus nous avons fait le jeu de ces faiseurs de crises climatiques ! Maintenant, tu vas bien sûr demander : Pourquoi donc ? Qu’est-ce qui pourrait être plus utile que de comprendre que nous, les humains, ne pouvons avoir, au mieux, qu’une influence de 0,000 — quelque chose sur le climat ? Cela prouverait clairement que « Gretchen » ne fait que répandre des absurdités… Et vous voyez, c’est précisément ce va-et-vient permanent, cette lutte de pouvoir à ce niveau bien trop bas (pour savoir si le changement climatique est d’origine humaine ou non) qui est le point de vue secondaire absolument voulu sur lequel ces renards malins du climat nous ont manœuvrés. Mais ce qui m’est apparu clairement ces derniers jours, après avoir consulté des brevets de manipulation météorologique de haut niveau, c’est le fait que de nombreux changements actuels de notre temps et de notre « climat » sont tout de même d’origine humaine ! Mais pas par des personnes inconscientes comme toi et moi, c’est-à-dire au niveau le plus bas, mais par des ennemis de l’humanité sans scrupules au niveau le plus haut ! Ni par nos systèmes de chauffage, ni par les gaz d’échappement de nos voitures, ni par nos industries ! Et bien sûr pas par des pets de vache quelconques, auxquels on attribue en plus les trous dans la couche d’ozone. Non, dans d’innombrables brevets qui existent déjà depuis de nombreuses décennies, on peut lire noir sur blanc que par la géo-ingénierie, c’est-à-dire par les techniques de manipulation météorologique les plus diverses, on provoque entre autres des trous dans la couche d’ozone. Mais les brevets de ces armes météorologiques montrent qu’elles provoquent également des tremblements de terre, des inondations, des sécheresses, des tempêtes de neige, des éclairs avec ou sans tonnerre, des vagues de chaleur, du froid, des vents violents et même des tornades. On y trouve même des tsunamis, que personne ne connaissait à l’époque, et tout ce que nous avons dû vivre d’horrible au cours des dernières décennies ! Dans le brevet officiel américain 4686605 qui s’affiche à l’arrière, il est décrit avec précision comment les armes électromagnétiques HAARP extrêmement dangereuses peuvent également générer de la chaleur ou des incendies de forêt ! Vous trouverez en annexe de nombreux autres brevets américains numérotés — je ne peux même pas les lire ici à cause de leur nombre, et encore moins en faire un résumé. En examinant les différents brevets de ce type, j’ai appris que ces brevets coûtent très, très cher et ne sont accordés que si les techniques proposées fonctionnent vraiment. J’ai également constaté que la grande majorité des brevets sur la manipulation du temps sont d’origine militaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, dès les années soixante, de nombreux projets de loi ont été élaborés pour que ces armes météorologiques ne puissent pas être utilisées à des fins guerrières. Rien qu’entre 1947 et 1978, 110 programmes de manipulation météorologique ont déjà été approuvés par le Congrès américain. En 1962, LYNDON B. JOHNSON a estimé « Cela permettra aux hommes de déterminer l’histoire mondiale de la Terre et, en fin de compte, de contrôler le temps. Et celui qui contrôlera le temps contrôlera le monde. »

Mais puis j’ai vu tous ces chiffres, combien de millions de tonnes de particules de suie par exemple sont régulièrement injectées dans notre ciel. Dans les années 1970, l’armée de l’air américaine a créé le terme de chemtrails. Lorsque les premiers lanceurs d’alerte indépendants ont eu vent de ce crime secret, la CIA a immédiatement commencé à discréditer ces personnes en les qualifiant de conspirationnistes. C’est ainsi que tous ceux qui avaient dénoncé ces bandes hautement toxiques, et destructrices de la nature, ainsi que l’obscurcissement du ciel ont été rabaissés pendant des décennies de tous côtés comme des fous, avec une préférence pour les nazis et les théoriciens du complot.

En 2008 encore, alors que Werner Altnickel avait présenté des centaines de preuves de l’utilisation de chemtrails en relation avec HAARP et la technologie des micro-ondes lors de la 1re AZK, l’assaut contre lui et tous les témoins de l’époque ne s’est pas seulement poursuivi, il a même pris de l’ampleur. Ce n’est qu’après que des milliers de preuves irréfutables ont été rendues publiques, que non seulement Wikipédia, mais aussi toutes sortes de sites web gouvernementaux et scientifiques ont officiellement admis que la technologie des chemtrails existait depuis des dizaines d’années, mais qu’elle était désormais appelée géo-ingénierie.

Cette soudaine concession générale à l’utilisation du nouveau terme technique n’a donc en aucun cas disculpé, justifié ou même réhabilité la réputation bafouée de ceux qui ont dévoilé les chemtrails. Au contraire, ils ont été d’autant plus acculés dans le coin des conspirationnistes et se sont entêtés à affirmer que la géo-ingénierie ne consistait pas à pulvériser des substances nocives, mais à effectuer des modifications météorologiques utiles pour le bien de l’humanité… Et c’est ainsi qu’a été forgé le narratif selon lequel on ne vise que le bien de l’humanité. Mais ce qui ressort clairement d’un grand nombre de ces brevets démantelés, c’est le contraire : vous trouverez ci-dessous, en annexe du texte de l’émission, de nombreuses sources sur les dommages absolument dévastateurs causés à la santé par la géo-ingénierie. Mais le pire, c’est que ce sont précisément ces interventions colossales et empoisonnantes qui modifient effectivement le temps et le climat. Et bien qu’il n’existe pas de climat mondial, ces épandages de cocktails toxiques, combinés aux hautes fréquences de HAARP, de la 5G, de la 4G, des technologies intelligentes, etc. influencent de manière irréfutable les différents climats régionaux de la Terre.

Ce qui était jusqu’à présent dénoncé comme une amère théorie du complot s’est révélé être une forêt d’environ 1 000 techniques de manipulation météorologique brevetées, utilisées sans pitié depuis des décennies, à l’insu des peuples et sans qu’ils aient leur mot à dire. Certains brevets relatifs à l’influence du temps ont été déposés il y a plus de 100 ans déjà, ont été autorisés et utilisés immédiatement après la Seconde Guerre mondiale. Vous trouverez dans l’annexe du texte de l’émission une liste complète de ces brevets avec les sources et d’autres liens vers des documentations approfondies.

Selon l’expert en géo-ingénierie Dane Wigington, même les cyclones et les ouragans sont manipulés. Les manipulations des cyclones sont effectuées de manière ABSOLUMENT SÛRE. L’armée américaine est engagée dans des programmes de manipulation des ouragans depuis au moins 1947, et ce jusqu’à aujourd’hui. Selon Dane Wigington, l’ingénierie climatique est le facteur causal le plus important en ce qui concerne les incendies de forêt de plus en plus nombreux. Et tandis que dans le monde entier on nous impose des filtres à particules de plus en plus chers, afin d’empêcher que les véhicules diesel, etc. rejettent des particules de suie nocives pour le climat, des géo-ingénieurs comme le Dr David Keith et le Dr Ken Caldeira, insistent sur le fait que chaque année jusqu’à 20 MILLIONS de tonnes de poussière de charbon et de nanoparticules sont pulvérisées dans le ciel mondial.

Vous avez bien compris ? Depuis longtemps, des millions de tonnes de particules de suie et de nombreux produits chimiques mortels sous forme de nanoparticules sont projetés chaque année dans l’atmosphère. D’où les soi-disant pluies acides qui détruisent impitoyablement toute notre végétation depuis des décennies.

Malheureusement, toute explication de ce type manque totalement de crédibilité. Et ce pour la simple raison que les médias complices affirment comme un mantra que toutes ces armes météorologiques et climatiques ne seront jamais utilisées. Au lieu de cela, ils préfèrent accompagner la nuit des terroristes cagoulés qui dégonflent les pneus de milliers de véhicules au nom de la protection du climat. Ils s’entretiennent gentiment avec eux devant les caméras et masquent même leur voix lorsqu’ils répondent et laissent éclater leur colère contre les pollueurs automobiles. Bien que la police soit à la recherche de ces terroristes, les médias mainstream les couvrent délibérément au lieu de les dénoncer. Ne sommes-nous pas complices si nous continuons à verser nos taxes obligatoires à ces criminels du mainstream ? Avec notre argent, ils couvrent manifestement les véritables tueurs du climat et des peuples. Ils le font aussi délibérément en affirmant comme un mantra qu’aucun gouvernement au monde ne porterait atteinte à ses citoyens de manière intentionnelle et, de surcroît, sans s’en rendre compte. C’est le récit qu’on nous martèle. Mais de nombreux documents et faits prouvent malheureusement le contraire. D’une part, il y a toute une série de catastrophes sismiques et environnementales qui ont été découvertes et qui sont dues à l’activation d’armes météorologiques. Dès les années cinquante et soixante, les premiers attentats terroristes de ce type ont dû être ouvertement reconnus. Mais sans aucune retombée positive pour la population mondiale abusée. Ce n’est ici que le début ou une petite pointe de cet iceberg abominable :

Depuis 1945, plus de 2 100 essais de bombes nucléaires ont été détectés et ont certainement contribué à un changement climatique d’origine humaine !

Au total, rien que 520 de ces explosions nucléaires répertoriées dans Wikipédia ont eu une puissance 45 000 fois supérieure à celle de la première bombe atomique sur Hiroshima. En d’autres termes, Hiroshima a été répétée 45 000 fois depuis 1945 par des scientifiques et des bellicistes insensés, rien que dans l’atmosphère et sous l’eau ! — Malheureusement, il manque à ce calcul au moins 1 680 autres explosions nucléaires mises à la lumière, sans compter ce qui est encore caché, de sorte qu’Hiroshima a probablement été répétée plus de 100 000 fois. Vous comprenez de quoi nous parlons ici ? Et pourtant, nos agriculteurs se voient actuellement retirer leurs vaches parce qu’apparemment elles pètent trop, ce qui nuit aux terres, aux prairies et au climat…

En 1952, le projet « Cumulus » a provoqué une méga-inondation catastrophique en Grande-Bretagne, faisant des dizaines de morts.

De 1962-71, le projet « Stormfury » a provoqué des ouragans et les a dirigés de manière ciblée.

De 1967-72, le projet « Popeye » a provoqué de gigantesques précipitations au Vietnam, qui ont délibérément bouché et coupé les voies d’approvisionnement des Vietcongs [Front national pour la libération du Sud-Vietnam ; organisation de guérilla pendant la guerre du Vietnam].

Comme vous pouvez le voir, tout cela remonte à bien plus de 50 ans. Notre génération a déjà été frappée par d’innombrables autres inondations, tsunamis, tremblements de terre et autres. Et pour ce qui est de l’affirmation mensongère de la presse mainstream, selon laquelle aucun gouvernement ne porterait sciemment atteinte à son peuple sans le savoir, je vous renvoie encore une fois à notre documentaire en allemand, USA — Essais toxiques sur sa propre population, du 24 janvier 2024 (www.kla.tv/27988.)

Car en 1994, d’autres expériences à grande échelle sur les peuples ont été dévoilées aux États-Unis. Là, les sujets de test involontaires étaient des citoyens américains, de grandes villes entières. Des avions militaires les ont aspergés de poison de manière ciblée pendant de longues périodes (l’armée voulait voir ce qui allait se passer), car les produits destinés au combat doivent être testés avant d’être utilisés chez « l’ennemi ». Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée de sulfure de zinc et de cadmium pendant trois mois. Les conséquences ont été cruelles. La moitié d’une classe entière en est morte, l’autre moitié a souffert de maladies très graves, de stérilité ou de handicap. Les victimes ont ensuite donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Le gouvernement a prétendu que les avions n’avaient pulvérisé que des produits chimiques inoffensifs. Mais les mesures ont révélé que du sulfure de zinc et de cadmium, entre autres, était présent. C’est-à-dire précisément ces substances toxiques qui, comme nous l’avons déjà mentionné, sont secrètement pulvérisées depuis des décennies par millions de tonnes au-dessus de presque tous les pays du monde, et ce, chaque année !

Et vous voyez, ces tueurs de climat et ces gigantesques malfaiteurs ont depuis le début rejeté sur nous, les peuples inconscients, la responsabilité de la pollution mondiale des sols et des eaux. Mais comment ? En nous accusant d’utiliser des shampoings et des produits d’entretien nocifs. Mais en même temps, ils pulvérisent continuellement des dizaines de millions de tonnes supplémentaires de cocktails toxiques indicibles sur le monde entier, de sorte qu’aucune région du globe n’est désormais épargnée par ces pollutions. Et à cause de ces pulvérisations, les arbres, les abeilles, les insectes et donc les oiseaux meurent partout. Et toutes nos eaux et tous nos sols sont également fortement empoisonnés par la géo-ingénierie. Dans le brevet américain 9924640, des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules sableuses à 18 000 mètres d’altitude. Ces particules restent jusqu’à deux ans dans la haute atmosphère, puis elles se déposent silencieusement sur nos champs, nos jardins, nos forêts, nos lacs, nos rivières et nos prairies !

De plus, l’OTAN, fondée par des francs-maçons de haut grade, vend depuis longtemps environ 90 % de son carburant JP8 à l’aviation civile, c’est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Par ce biais, il se produit à nouveau une seule et même chose. Nous ne devons jamais oublier que les responsables cachés de cette campagne mondiale d’épandage veulent sérieusement réduire la population mondiale à 500 millions. C’est ce qu’ils ont fait graver en dix langues sur leurs monuments de 120 tonnes, les fameuses Guide Stones. Ou est-ce un simple hasard si les carburants de l’OTAN qui nous sont vendus contiennent eux aussi comme additifs exactement les mêmes substances hautement dangereuses ? En effet, on a trouvé dans ce carburant militaire des quantités élevées d’aluminium, de baryum, de béryl, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d’étain, ainsi que les oxydes de ces métaux et d’autres substances toxiques.

Vous voyez, c’est reparti. Portez donc des banderoles dans les rues et les manifestations pour le climat, sur lesquelles on peut lire : Les carburants de l’OTAN dans nos avions sont des tueurs de climat ! Le plomb, le strontium et l’oxyde de fer nous tuent ! L’épandage dans l’atmosphère de 20 millions de tonnes de poussières de charbon par an est un génocide !

Tout ce qui a été dit jusqu’à présent est donc d’origine humaine ! C’est pourquoi nous n’affirmerons plus jamais avec Kla.TV que le changement climatique dénoncé actuellement n’est pas dû à l’homme ! Mais nous allons désormais donner des leçons particulières à tous et toutes les Greta Thunberg du monde en brandissant nos propres banderoles au milieu des manifestations sur le climat ! Et sur ces banderoles, on pourra lire quels sont les hommes qui provoquent toutes ces catastrophes climatiques et avec quels moyens. Nous expliquerons à Greta et à ses jeunes successeurs, QUI sont les véritables pollueurs du climat, et ce devant les caméras de la presse mainstream. Nous brandirons nos banderoles sur lesquelles il sera écrit QUI, par exemple, déverse chaque année dans notre atmosphère 10 millions de tonnes de poussières fines d’aluminium, etc. Et quels sont les effets exacts sur notre santé humaine ! Regardez les listes de maladies en bas de l’émission, ça vous donnera des frissons.

J’invite ici également tous les lanceurs d’alerte indépendants et les experts à faire de même. Nous nous sommes toujours demandé quelle était la meilleure façon d’informer les personnes qui ne l’étaient pas encore. Nous nous sommes alors laissé entraîner dans de petites actions de boîtes aux lettres, où nous avons déposé nos tracts ou autre chose. La plupart du temps, ces actions sont accueillies par des protestations de la population passive, qui ne veut pas entendre ce genre de choses et n’a pas posé de questions à ce sujet. Mais si nous nous rendons tous à ces manifestations, « Fridays for Future », etc., et que nous y brandissons nos banderoles pour dénoncer nommément les coupables de cette crise climatique et réclamer une juste punition pour eux, nous pourrions peut-être détourner la colère de ces masses très intéressées vers les vrais responsables ! Il est urgent d’accuser publiquement les vrais responsables !

Et vous voyez, cela toucherait à nouveau exactement les mêmes malfaiteurs que ceux qui étaient derrière la plandémie de Covid, mais qui étaient également responsables de la plupart des guerres des décennies passées, de même que de celles d’aujourd’hui, mais également de toutes les crises financières délibérément fabriquées, etc. Car ce sont toujours les mêmes élites de la franc-maçonnerie de haut niveau, c’est-à-dire du satanisme, qui attisent toutes ces paniques actuelles et autres. Ce sont toujours les mêmes qui provoquent toutes ces crises mondiales afin d’en tirer d’innommables profits et d’étendre leur pouvoir personnel.

Aidez-nous s’il vous plaît à dévoiler le nom de toutes ces puissances destructrices de la météo et du climat en diffusant assidûment des émissions comme celle-ci parmi les « combattants éveillés du climat » du monde entier. Venez avec nous aux manifestations pour le climat et tendez les banderoles que vous aurez conçues vous-même aux caméras du mainstream.

Non seulement Greta Thunberg et la jeunesse fanatisée avec elle, mais aussi tous les gens inquiets de ce monde doivent savoir qui injecte exactement combien de millions de tonnes de quel poison mortel dans l’atmosphère, pour ensuite nous faire porter la responsabilité de toutes ces destructions environnementales, à nous, les citoyens du monde bernés.

Ce qui est encore plus grave, c’est que ces mêmes conspirateurs mondiaux nous arnaquent également avec toutes sortes de taxes et d’amendes pour le climat. Les objectifs climatiques proclamés au niveau international, associés à l’Agenda 2030, nous révèlent que leur folie climatique, en particulier, conduira au prélèvement des plus grands tributs de tous les temps, si nous n’arrêtons pas ces fous ! Car grâce à cette attitude de base qui nous accuse tous, ces génocidaires se cachent habilement derrière nous. Tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le mettent sur le dos — c’est leur stratégie ancestrale — une stratégie du diable en l’espèce, soit dit en passant. N’oubliez jamais que tous ces crimes sont imprescriptibles. Et parce qu’ils couvrent et embellissent tout par le biais de leurs médias mainstream et qu’ils censurent de plus en plus toute divulgation par le biais de leurs plateformes Internet, tous leurs vassaux doivent également être désarmés et mis sous les verrous en tant que complices.

Sur nos banderoles, que nous brandirons à l’avenir aux manifs de Greta et Cie, il doit être possible de voir d’un seul coup d’œil combien d’installations HAARP existent dans le monde et QUI utilise précisément ces armes météorologiques pour faire bouillir notre ionosphère afin de déclencher ici-bas des cataclysmes de tout genre. La population mondiale doit dénoncer ces tueurs de masse et les mettre derrière les barreaux, sans aucune alternative. Mais si, malgré toutes ces révélations, aucune justice ne s’engage pour la population mondiale lésée, pas même une quelconque justice restante, ils contraindront les peuples devenus sans défense à se choisir de nouveaux gardiens et juges, qui seront là pour défendre la vie des peuples. Oui, alors la Justice se sera disqualifiée elle-même par son refus de servir et elle sera obligée obligé le monde à créer et à habiliter également de nouveaux tribunaux gratuits, car : Le Nouveau Monde est sans argent !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Sources/Liens :




Entretien de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine : 100 millions de vue en quelques heures

[Source : medias-presse.info]

 Par Francesca de Villasmundo

En quelques heures, l’entretien qui dérange la bien-pensance, entre le journaliste Tucker Carlson et le président russe Vladimir Poutine a battu les records d’audience : quelque 100 millions de vues. Un succès qui signe la lente morte des médias au collier.

L’entretien qui dérange : un succès mondial

La vidéo tant attendue, le nombre de connexions quelques heures en témoigne, de Tucker Carlson avec le président de Russie, Vladimir Poutine, bat tous les records d’audience.

En 13 heures, plus de 100 millions de vues ont été enregistrées. Pour se faire une idée de la magistrale claque que prennent les médias au collier, le comparatif s’impose avec les mastodontes américains : Fox News est le média américain le plus regardé avec une moyenne de 1,85 million de téléspectateurs par soir en prime time. MSNBC compte en moyenne 1,22 million de téléspectateurs. CNN ne compte que 582 000 téléspectateurs en moyenne. L’interview de Tucker avec Poutine a été vu plus de 84,3 millions de fois sur sa propre chaîne et 36 millions de fois sur la chaîne de Elon Musk ce qui fait 120,3 millions de vues sur X dans les 12 premières heures.

De quoi faire enrager les journalistes de plateau d’un côté et de l’autre de l’Atlantique, qui voient leur mainmise sur le public s’étioler au fur et à mesure que des Tucker Carlson se lèvent courageusement pour réellement informer leur public.

Pourtant ils auront tout fait ces médias au collier, et les politiciens qui les accréditent, pour décrédibiliser le journaliste américain, critiquer son travail, étouffer sa voix. Même John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale rattaché au président Joe Biden, est intervenu pour déconseiller aux Américains de visionner l’entretien de Vladimir Poutine avec Tucker. Sans succès.

La colère amère, et la peur de perdre leur pouvoir — de nuisance —, des médias mainstream

Trop de mensonges sur tous les sujets d’actualité et de société du covid aux injections ARN, à la guerre en Ukraine et la lutte contre la pédocriminalité, trop de volonté de censurer la parole dissonante, en clair trop de connivence entre des gouvernements corrompus occidentaux et les médias mainstream, ont provoqué une défiance allant toujours croissante envers ces mêmes supports d’informations et les responsables politiques qui les soutiennent. La parole « officielle » dictée par la conscience morale universelle ne fait plus recette.

Le triomphe de la prestation osée de Carlson marque certainement la lente morte des médias bien-pensants et de la confiscation de l’information par cette clique de journaleux aux bottes du politiquement correct. Rien que pour cette raison, l’entretien entre Tucker Carlson et Vladimir Poutine, sur lequel on pourra toujours faire quelques réserves, est à regarder, écouter, diffuser.




Promotion de l’espionnage citoyen sous prétexte de chasse aux désinformateurs

[Source : Aube Digitale]

Par Didi Rankovic

Des organismes financés par des gouvernements mettent en place un réseau pour détecter la « mésinformation » dans les messages privés et ensuite utiliser l’IA pour analyser les « tendances émergentes » sur cette soi-disant mésinformation.

De nouveaux rapports apparaissent sur les différentes formes de collusion entre les grandes entreprises technologiques et le gouvernement aux États-Unis.

Il ne s’agit pas seulement de faire pression directement sur les sites sociaux ou de « communiquer avec eux », comme les fonctionnaires de la Maison-Blanche aiment à le dire, mais aussi d’embaucher des entreprises pour créer des bases de données massives de discours supposés illégaux, compilées grâce aux utilisateurs qui s’espionnent et se dénoncent les uns les autres sur des plateformes de messagerie comme WhatsApp.

Mike Benz, ancien fonctionnaire du département d’État et actuel directeur exécutif de la Fondation pour la liberté en ligne, parle d’un « réseau d’informateurs citoyens ». Les informations ainsi obtenues sont ensuite analysées à l’aide d’une certaine forme d’IA, ce qui permet d’identifier les « tendances en matière de mésinformation. »

L’une de ces entreprises est l’Algorithmic Transparency Institute. L’argent provient d’entreprises qui reçoivent des fonds gouvernementaux et d’organisations créées par le Congrès.

La nécessité de recourir à des méthodes d’information citoyenne « à l’ancienne » découle de la nature des plateformes que le gouvernement souhaite espionner et dont le contenu est signalé et éventuellement censuré. Il s’agit de WhatsApp et Telegram, où, en raison de la nature de la messagerie privée (particulièrement cryptée), les formes désormais établies de « surveillance » de sites tels que Facebook ou YouTube ne peuvent pas être utilisées.

Les détracteurs de ce que l’on appelle par euphémisme (et de manière confuse) « l’écoute civique » établissent des parallèles avec la manière dont les régimes autoritaires employaient des personnes s’espionnant les unes les autres avant même l’avènement de l’ère numérique, et dont certains continuent d’ailleurs à le faire.

Aujourd’hui, le « format » d’espionnage utilisé par Staline, les nazis, etc. a atteint l’Amérique. Le principe est simple : les utilisateurs d’applications de chat privées sont encouragés à rapporter ce qui se dit là où la main et les oreilles du gouvernement ne peuvent pas parvenir.

Ces données de « mésinformation » signalées entrent dans ce qui est désormais probablement les rouages habituels de la machine de censure : création de bases de données, analyses « IA », etc.

La Fondation pour la liberté en ligne désigne l’organisation à but non lucratif Meedan, basée aux États-Unis, comme étant « à l’avant-garde de la création de ce réseau de mouchards ».

Les choses vont de mal en pis lorsqu’il est révélé que le groupe a reçu une subvention de 5,7 millions de dollars de la part des autorités américaines (et des contribuables), notamment par l’intermédiaire de la National Science Foundation (NSF).

Parmi les éléments signalés par certains de ces « idiots (informateurs) inutiles », comme on pourrait les appeler, figurent les mèmes et les « revendications ».

Lisez le rapport complet ici.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale




Immigration et paysans : Darmanin n’a pas expliqué tout ça lors du vote de sa loi

Par Gérard Le Maître

Ce qu’il faut savoir, et le monde agricole est concerné sans le connaître…

Le terroir, c’est son grand défaut, n’est pas délocalisable

Nos élites mondialistes s’acharnent donc à le faire crever, c’est leur projet.

Nos champs brûlent et nous regardons ailleurs. Les Français sauront-ils sacrifier leurs plats cuisinés sous blister pour soutenir le labourage et le pâturage, leurs deux mamelles ?

Le Sinistre de l’agriculture Marc Fesneau a fait une annonce

Annonce pas innocente, mais chargée d’intentions dégueulasses : que l’agriculture serait classée « MÉTIERS EN TENSION » pour fournir après formation (au frais de L’État ?) de la main-d’œuvre (pas chère ?) au monde paysan… ainsi ils pourront embaucher, prendre des vacances…! Ha ! bon ?? ça va en faire rêver quelques-uns, mais ce sera quand les grands groupes financiers mondialistes qui misent sur la disparition des petites exploitations agricoles auront mis la main à vil prix leurs terres abandonnées pour cause de faillites, liquidations, suicides… et c’est ceux-là qui auront besoin de main-d’œuvre low cost pour travailler dans les grandes étendues agricoles regroupées façon Ukraine…

https://www.bfmtv.com/politique/marc-fesneau-annonce-que-le-secteur-agricole-sera-reconnu-comme-secteur-de-metiers-en-tension_VN-202402010525.html
Quel tableau représente le mieux la paysannerie française que l’Angélus de Millet, peint en 1857 ?
Au crépuscule, un couple de pauvres cultivateurs de pommes de terre prie en écoutant l’angelus. En 1889 la toile est vendue aux enchères. Face à face, des acheteurs américains et le gouvernement français. L’opinion se passionne pour conserver l’icône. La France met 553 000 Francs pour garder l’œuvre emblématique. Après moultes transactions, le tableau reviendra au Louvre en 1909. Ce tableau, plus que la Joconde, c’est la France, nulle part ailleurs.
La terre, plus que toute autre activité, représente le terroir, l’enracinement, le paysan, les paysages, la patrie. La culture de la terre, c’est notre culture, notre art de vivre.
Les Français de souche(1), ce sont eux.
https://nice-provence.info/2024/01/31/paysans-angelus-glas-tocsin/

Aux fourches, citoyens ! Rats des villes, soutenez les rats des champs, ils vous nourrissent.

Et expliqué en humour noir et caustique : censure de la loi immigration, le retour des hommes enceints, macron en Inde, les paysans se rebiffent, faits divers, analyses, etc. :

L’enfumage n’a pas marché ! Voici ce qu’Attal va faire.

« Liberté, égalité, IVG », bienvenue en république où, pendant qu’on tue 250 000 potentiels contribuables par an et toute leur descendance cumulative, on essaie de compenser en allant chercher ailleurs des d’intellectuels de haut viol en tension, prêts pour les métiers éponymes avec l’attribution, en 2023, d’un nombre record de 323.000 titres de séjour, en ce qui concerne les seules entrées légales.

https://www.medias-presse.info/humour-noir-et-caustique-censure-de-la-loi-immigration-le-retour-des-hommes-enceints-macron-en-inde-les-paysans-se-rebiffent-faits-divers-analyses-etc/185774/




En France, de nombreux médecins savent que le vaxin est un poison, mais ils se taisent

[Source : santeglobale.world]

Par Silvano Trotta

Cet après-midi j’ai rencontré un médecin qui devrait être à la retraite, mais qui continue de travailler, car personne ne veut reprendre son cabinet, dans une petite ville des Vosges que je ne citerai pas, pour que personne ne puisse être ennuyé.
Il n’est pas sur les réseaux sociaux, on ne se connaissait pas, il n’a que la vision des médias. Je lui posais des questions sur le pourquoi sa succession était aussi difficile et pourquoi il ne laissait pas tout tomber pour profiter enfin de sa retraite.
Là il me regarde dans les yeux et me dit :

« Vous pensez ce que vous voulez, vous faites ce que vous voulez, mais ces vaccins anti-covid cela tue les gens et les rends malades, je ne peux pas les abandonner maintenant. »

Je m’attendais à tout sauf à cela. Je me présente à lui, lui explique ce que je fais depuis 4 ans, et là il devient inarrêtable.
Il m’explique le nombre de cas d’AVC et de crises cardiaques qui ont explosé, le nombre de cancers fulgurants jamais vu auparavant, mais aussi ces femmes, jeunes, n’ayant plus leurs règles et l’inverse, ces femmes ménopausées, qui se sont mises à en avoir de nouveau.
Je lui demande alors ce qu’il a fait pour dénoncer cela. Il me dit qu’il a été voir les autres médecins et les pharmaciens de la petite ville (ils se connaissent bien évidemment tous), pour leur dire :

« On fait quoi là ? C’est un massacre ! ».

Ils savent tous, m’a-t-il dit, ils savent tous que ces vaccins sont un poison, mais ils ont peur. Ils savent que s’ils dénoncent ces vaccins, ils ne pourront plus exercer.
Alors ils font tout maintenant pour dissuader les gens de se vacciner, et cherchent les meilleures solutions pour les soigner. Les gens savent m’a-t-il dit, mais ils sont résignés aussi. Ensuite il a pleuré.
Je peux vous dire que le retour a été difficile pour moi.




6 étapes pour mater un mouvement social

[Source : apprendre-preparer-survivre.com]

Par Antoine

Salut Camarade,

En France, les politiques sont devenus maîtres dans l’art de dompter, puis tuer les mouvements sociaux.

D’un côté, une colère juste et spontanée.
De l’autre, une réponse vicieuse et soigneusement étudiée.

Il y a malheureusement de grandes chances que le mouvement des agriculteurs finisse comme tous les autres…

Par des mesurettes vides de sens et une colère refoulée.

Dans cet email, on fait le point sur la situation avec une analyse froide et analytique.

Voici les 6 étapes que suivent presque systématiquement les mouvements sociaux en France.

Étape 1 : Des taxes au plus haut et toujours plus de normes

Sous la pression des lobbies industriels, pour remplir les caisses de l’État ou pour plaire à une partie de leur électorat…

… Des pans entiers de l’économie sont noyés sous les taxes et étranglés par des normes toujours plus restrictives.

Pour les taxes, nous sommes les champions en Europe…

Pour les normes, les agriculteurs ont par exemple 14 réglementations différentes uniquement sur la gestion des haies de leurs champs…

Au bout d’un moment, une corporation se retrouve au pied du mur et dit STOP !

Aujourd’hui, ce sont les agriculteurs, mais ça aurait pu être les enseignants, les marins, le personnel soignant, les taxis…

Le mouvement débute par des revendications sur les réseaux sociaux et quelques lignes dans les journaux locaux.

C’est la première étape.

Étape 2 : Manifestations/blocages et censure des politiques

Face au silence des politiques, les premières actions s’organisent.

Des manifestations, si le mouvement est organisé par les syndicats, ou des blocages de ronds-points, s’il est spontané.

À ce moment-là, les politiques misent tout sur l’essoufflement du mouvement.

Ils ignorent soigneusement les manifestants et organisent une censure médiatique dans les journaux et à la télé.

C’est ce qu’ont vécu les agriculteurs pendant les premières semaines.

La presse, qui vit des subventions publiques, est possédée par les grandes fortunes et rongée par les connivences avec les politiques.

La censure médiatique est rapide et efficace.

Sans possibilité de se faire entendre et de mobiliser la population, la majorité des mouvements abandonnent à cette étape.

Grâce aux réseaux sociaux, les agriculteurs ont habilement contourné cette censure médiatique.

Étape 3 : Le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement attend le dérapage

Si malgré tout, le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement change de stratégie et passe à la troisième étape.

Les journaux ont l’autorisation de couvrir le mouvement et des personnalités politiques vont à la rencontre des manifestants.

C’est l’occasion de faire de belles images avec des ministres en costume sur mesure et des vaches en arrière-plan.

Évidemment, c’est uniquement pour la communication, ce que veulent vraiment les politiques, c’est un dérapage.

Des dégradations de biens privés, des blessés, des incendies, un accident…

Il faut décrédibiliser le mouvement et lui faire perdre le soutien populaire.

C’est un piège dans lequel tombent très souvent les manifestants.

Pour le gouvernement c’est du pain bénit, il leur suffit ensuite de présenter les manifestants comme des casseurs avec lesquels il est impossible de discuter.

Avec le mouvement des agriculteurs, les dégradations, ce n’est pas ce qui manque…

Mais contrairement à ce qu’espérait le gouvernement, les actions ont été plutôt mesurées et très ciblées (bâtiments administratifs, vins étrangers, camions de transport contenant des produits étrangers…).

Résultat, l’opinion publique s’est rangée derrière les agriculteurs.

Ils ont dû passer à la 4e étape.

Étape 4 : Le gouvernement corrompt les syndicats et les leaders

À ce stade, le meilleur moyen de tuer le mouvement, c’est de corrompre ses leaders.

En payant les syndicats qui agissent avant tout pour leur intérêt personnel.

Ou en manipulant une personnalité médiatique apparue pendant les premières étapes du mouvement.

La FNSEA (principal syndicat agricole) a refusé de se faire acheter, c’est donc vers la deuxième solution que le gouvernement s’est tourné.

Ils ont propulsé Jérôme Bayle, leader de la cause, et l’ont soigneusement courtisé.

Fausses promesses, flatteries, menaces, pots-de-vin… Impossible de savoir ce qui s’est dit.

Mais quelques jours plus tard, Gabriel Attal annonce quelques mesurettes et comme convenu, Jérôme Bayle trahit les agriculteurs.

C’est à cette étape que se terminent la majorité des mouvements sociaux, vendus par leurs syndicats ou trahis par leurs leaders.

Mais cette fois-ci, c’est loupé pour le gouvernement…

Les agriculteurs ne se laissent pas avoir !

Ils durcissent le mouvement et marchent sur Paris.

Étape 5 : Répression et retournement de l’opinion publique

Si l’étape 4 n’a pas fonctionné, le gouvernement change sa stratégie.

Il réprime le mouvement, les CRS entrent en jeu et chargent.

L’objectif caché est de pousser les manifestants à la violence.

Après des années à souffrir et des semaines à manifester pacifiquement pour ne rien obtenir, les agriculteurs ne seront pas difficiles à énerver…

Dans les prochaines semaines, le gouvernement espère voir des rues ravagées, des biens privés dégradés (voitures, commerces, maison…), des manifestants et des policiers tabassés… Voire pire !

Le manifestant, jusque-là sympathique, devient alors un dangereux agresseur.

Effrayé par la violence,le Français moyen prend peur et préfère comme d’habitude sa sécurité à sa liberté.

Résultat, l’opinion publique se désolidarise et le mouvement des agriculteurs se retrouve dans une impasse.

Le gouvernement propose de nouvelles mesurettes pour faire bonne figure, les derniers syndicats et leaders n’ont plus le choix, ils cèdent et appellent à la fin du mouvement.

Les manifestants rentrent chez eux sans rien avoir gagné et certains avec un œil en moins…

C’est à cette étape que le mouvement des Gilets jaunes s’est terminé.

J’ai malheureusement peu d’espoir que les agriculteurs arrivent à esquiver ce piège vicieux et passent à l’étape suivante.

Étape 6 : Des décisions rapides et concrètes ou une révolution ?

Si malgré…
… le temps, les semaines ou les mois de mobilisation ;
… la corruption des principaux syndicats et leaders ;
… la répression policière et les tentations de radicalisation,
le mouvement reste solide et l’opinion publique soudée derrière lui, le gouvernement n’a plus que deux options :

  1. Céder et prendre des mesures rapides et concrètes pour régler le problème à la source, mais c’est perdre la face.
  2. Persévérer et pousser encore plus loin la répression, mais c’est risquer une révolution.

Connaissant l’ego démesuré et la déconnexion du locataire de l’Élysée, difficile de faire un pronostic…

L’avenir nous dira à quelle étape s’arrêtera le mouvement des agriculteurs.

La dangereuse boule de neige de la colère

Quand un mouvement social comme celui des Gilets jaunes se termine, tout le monde rentre chez soi et la vie reprend son cours.

Les rues sont nettoyées et les vitrines réparées.

Mais la colère est toujours là.

À chaque nouveau mouvement social, elle prend de l’ampleur.

Comme une boule de neige qui grossit en dévalant une pente.

Jusqu’au moment où la colère devient trop forte et que la boule de neige explose.

Je viens de créer une newsletter spéciale pour ceux d’entre vous qui veulent apprendre à se préparer et survivre à des troubles sociaux de grande ampleur.

Par contre je te préviens, ce n’est pas pour tout le monde.

Mais si ça t’intéresse, clique ici pour la rejoindre.

Prépare-toi !

Antoine,

Apprendre Préparer (Sur) vivre