Les expériences étrangères de la transidentité chez les mineurs éclairent le problème

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

Depuis une dizaine d’années, en se victimisant, les transgenres ont obtenu dans les pays occidentaux des droits dérogatoires à la loi commune comme celui d’être reconnu du sexe opposé sur simple déclaration d’un ressenti, de changer de prénom et d’exiger d’être appelé par celui-ci, et pour les hommes de naissance déclarant être des femmes trans celui de pouvoir pénétrer dans les espaces auparavant destinés aux femmes de naissance, de concourir dans les compétitions féminines et de demander, en cas d’incarcération, de l’être dans des prisons pour femmes.

Les nombreuses études qui ont été réalisées permettent maintenant de se faire une idée objective du problème chez les mineurs afin d’éviter de prendre des positions purement idéologiques sur le sujet.

L’expérience suédoise

La Suède a accordé des droits spécifiques aux personnes trans dès 1972 et a, en particulier, autorisé les personnes souffrant de dysphorie de genre, même mineures, à changer de prénom et à recevoir des traitements pris en charge par l’état, suivant les recommandations de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres (World Professional Association for Transgender Health ou WPATH) société plus militante transgenre que médicale et scientifique.

Dès 16 ans, les mineurs qui attribuaient leur mal-être à leur sexe pouvaient recevoir des bloqueurs de puberté, des injections de testostérone ou d’œstrogènes, se faire opérer de la poitrine, suivre des orthophonistes pour changer leur voix, se faire épiler ou au contraire subir une greffe de barbe… L’hôpital Karolinska de Stockholm a ainsi pratiqué l’ablation des seins sur des filles de 14 ans. Dès 18 ans, l’administration autorisait l’opération des parties génitales, pour réaliser un pénis à partir du clitoris ou avec de la peau de l’avant-bras ou de la cuisse, ou modéliser un vagin par inversion de la verge ou avec un morceau d’intestin.

Les demandes de transidentité ont considérablement augmenté en Suède passant de 12 en 2001 à 1859 en 2018. Une telle augmentation s’explique principalement par les surdiagnostics liés au mécanisme de reconnaissance d’un ressenti sur simple déclaration.

Sven Roman1, psychiatre pour enfants, l’explique ainsi :

« Tous les adolescents ont des soucis d’identité, de recherche de soi, sans être pour autant atteints de dysphorie de genre… Leur problème disparaît le plus souvent au début de l’âge adulte avec la possibilité de devenir homosexuel, ou pas »
Le lobe frontal du cerveau, où se forme la capacité d’évaluer les risques, où se jouent les intentions, finit d’évoluer vers 25 ans :
« C’est à cet âge que l’on est assez mûr pour prendre une décision aussi lourde qu’un changement de genre. C’est d’ailleurs à cet âge que la loi suédoise autorise la stérilisation, pas avant ».

Peter Salmi, enquêteur de la sécurité sociale suédoise constate :

« Malheureusement le système de santé est bien loin de raisonner les indécis : 70 à 80 % des personnes entrant en clinique obtiennent le diagnostic de dysphorie de genre ».

Ces jeunes patients qui croient souffrir de dysphorie de genre souffrent souvent d’autres troubles psychiatriques comme l’autisme, la dépression, l’anxiété qui pourraient bénéficier de traitements sans prise d’hormone ni chirurgie. Mais ces patients refusent souvent de se soumettre à une évaluation de leur santé mentale.

Angela Sämfjord pédopsychiatre qui a créé l’une des cliniques pour enfants transgenres de Suède a démissionné en 2018 après avoir pris conscience des excès qui se sont produits dans les hôpitaux du pays

« Quand j’y travaillais, on a bloqué la puberté d’adolescentes dès l’âge de 12 ans avec des médicaments, alors que c’est un diagnostic complexe. J’ai rencontré beaucoup de patients venus consulter pour une transition de genre qui avaient d’autres problèmes psychiques. »
« Un grand nombre étaient autistes, soit 25 %. Je pense que la Suède s’est perdue. On a été plus vite que la science. Même si l’intention était de faire du bien à nos patients, on a donné des traitements médicaux sans suffisamment de preuves. »2

En 2019, dans le journal Svenska Dagbladet, Christopher Gillberg, psychiatre de Göteborg mondialement reconnu s’est alarmé :

« Le traitement hormonal et la chirurgie sur les enfants sont une grande expérience qui risque de devenir l’un des pires scandales médicaux du pays. »3.

Le documentaire The Trans Train4, de la journaliste Carolina Jemsby a révélé les risques encourus par les adolescents avec les traitements hormonaux et la colère de certains d’entre eux :

« On a été des cobayes. Ils ont mené des expériences sans base scientifique. Qui fait ça en médecine ? ».

Des témoignages ont aussi rapporté les pressions que le corps médical avait exercées sur des parents de ces adolescents.

« De nombreux parents qui s’opposaient à un traitement pour leur enfant et demandaient d’attendre se sont vu traiter de transphobes. »

Les cliniques pour adolescents transgenres sont allées jusqu’à signaler des parents aux services sociaux en leur disant :

« Attention, nous avons un enfant transgenre dans cette famille et des parents transphobes. »

Et cela, juste parce que les parents voulaient qu’on prenne le temps avant de donner des hormones ou qu’on fasse une chirurgie à leur enfant.

Johanna, qui a transitionné deux ans en se faisant appelée Kasper avant de détransitionner (revenir à son sexe de naissance) décrit ainsi sa première consultation :

« Au premier rendez-vous on m’a dit : “Félicitations ! Vous avez fait votre coming out, c’est courageux, quel traitement vous voulez faire ?”. Heureusement, je consultais aussi un psychologue indépendant une fois par semaine. Avec lui, on parlait de tout et j’ai compris peu à peu que cette détestation de mon corps, ma dysphorie, était une conséquence de mon anorexie, et pas l’inverse. Quand je l’ai réalisé, je me suis effondrée en larmes, et j’ai tué Kasper. »5

En octobre 2019, le suicide par pendaison de Jennifer Ring 4 ans après chirurgie de transition de sexe réalisée au Karolinska a constitué un véritable électrochoc d’autant plus que d’autres hôpitaux avaient refusé de la traiter pour transition, en raison de ses signes de schizophrénie.

Deux ans plus tard, en mars 2021, l’hôpital Karolinska a annoncé qu’il ne prescrirait plus de traitements hormonaux aux nouveaux patients mineurs en dehors d’un essai clinique6. Cette décision a été prise après une macroanalyse des études sur le sujet montrant qu’il n’y avait pas de preuves de l’efficacité de ces traitements, pour le bien-être des patients et que la prise à vie de ces hormones pouvait favoriser les maladies cardiovasculaires, certains cancers, l’ostéoporose, les thromboses.

Un projet de loi qui aurait abaissé l’âge minimum pour le changement de sexe et supprimé la nécessité de consentement parental a été abandonné avant le débat au parlement et le Conseil de la santé et de la protection sociale a reçu l’ordre de réévaluer le problème.

7

Le rapport du ministère de la Santé de décembre 2022 (version anglaise) a établi la très grande fréquence des troubles psychiatriques chez les jeunes femmes âgées de 13 à 17 ans se ressentant en dysphorie de genre (32,4 % d’anxiété, 28,9 % de dépression, 19,4 % d’ADHD, et 15,2 % d’autisme), observé qu’il n’y avait pas de preuve que les traitements pouvaient diminuer le risque de suicide, montré que les traitements hormonaux pouvaient donner des complications et que les mineurs ne pouvant pas mesurer l’impact des mutilations chirurgicales sur leur futur ne pouvaient pas donner un consentement éclairé.

Cette position a été adoptée par le ministère de la santé suédois et les autres services du pays : depuis 2023 on ne donne plus d’hormones pour changer de genre aux mineurs suédois.

En Finlande, en juin 2020 l’interdiction de traiter médicalement ou chirurgicalement les mineurs a été précisée dans les recommandations officielles qui donnent la priorité à la thérapie psychologique. La Norvège et le Danemark ont, pour les mêmes raisons, récemment restreint de même les traitements hormonaux pour les enfants et adolescents.

L’expérience britannique

En 8 janvier 2001, l’âge de la majorité sexuelle a été abaissé à 16 ans, quelle que soit l’orientation sexuelle des partenaires, grâce à un amendement sur le Sexual Offences Act.

En 2004, le Gender Recognition Act a permis aux personnes souffrant de dysphorie de genre de changer légalement de sexe et interdit la discrimination sur la base de l’identité de genre dans le logement, l’embauche, la fourniture de biens et de services et l’entrée dans les forces armées britanniques.

Le service pédiatrique de la clinique Tavistock, promoteur des traitements transgenre chez les mineurs avec des bloqueurs de puberté, des hormones croisées et des traitements chirurgicaux a vu le nombre de demandeurs augmenter de manière considérable. Cette demande a surtout concerné les filles dont beaucoup ne se reconnaissaient pas dans les représentations féminines dépeintes par les médias et pour se protéger, voulu adopter le genre masculin.

Jusqu’à ce qu’une malade, Keira Bell, amputée de ses seins et traitée aux hormones regrette les traitements prodigués à Tavistock et l’attaque en justice pour consentement mal éclairé8.

Fin 2020, elle a gagné son procès en première instance contre la clinique9 qui avait donné son feu vert trop rapidement pour des traitements et mutilations qu’elle regrettait. Les juges ont estimé :

« Il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté ».

La Cour d’appel avait ensuite annulé cette décision en septembre 2021.

Keira Bell avait alors tenté de porter l’affaire devant la Cour suprême qui a refusé de l’examiner.10

« Je suis surprise et déçue que le tribunal ne se soit pas inquiété du fait que des enfants âgés d’à peine 10 ans aient été mis sur la voie de la stérilisation », a déclaré Keira Bell affirmant être « ravie » d’avoir contribué à faire « la lumière sur les pratiques obscures de l’un des plus grands scandales médicaux de l’ère moderne ».

Depuis cette période, la justice britannique a émis des conditions limitatives aux transitions des mineurs en dysphorie de genre et le gouvernement britannique, saisi par des demandes de famille, a demandé un rapport indépendant sur les pratiques de la clinique Tavistock à la pédiatre Hilary Cass qui a rendu un rapport préliminaire en février 2022 et sa version finale en avril 2024.

Dans ce rapport11 12, Hilary Cass, déplore l’absence de transparence sur « la manière dont les recommandations ont été développées » et du manque d’« approche indépendante et basée sur des faits ». La pédiatre précise que la majorité des études analysées qui ont servi de base pour diverses normes internationales se citent les unes les autres et font preuve d’« un manque de données probantes ».

« Cette approche circulaire pourrait expliquer pourquoi un consensus apparent a émergé sur des pratiques clés, puis ont servi à recommander des traitements médicaux malgré une validité scientifique faible. Les preuves que ces bloqueurs pourraient améliorer la santé mentale des jeunes trans seraient « très limitées », ce qui n’a pas empêché la mise en place de leur utilisation dans la pratique clinique. »

Le rapport démontre que de nombreux praticiens ont été soumis à des pressions pour continuer à administrer des hormones, sous prétexte que « le cas échéant, ces jeunes gens risqueraient de se suicider » et par « peur d’être appelés transphobes s’ils optaient pour une approche plus prudente ».

L’étude réalisée par Hilary Cass a confirmé le risque des bloqueurs de puberté qui « perturbent de façon permanente le développement du cerveau » et « enferment les enfants dans un parcours irréversible et traumatisant » de traitements hormonaux.

Après lecture de ce rapport, la secrétaire d’État à la Santé, Maria Caulfield a décidé que ces traitements pour mineurs seront désormais uniquement disponibles dans le cadre d’essais cliniques ou « de manière exceptionnelle, au cas par cas »13.

« Mettre fin à la prescription habituelle de bloqueurs de puberté contribuera à faire en sorte que les soins soient basés sur des preuves, des avis d’experts et soient dans l’intérêt du mineur ».

Le service spécialisé de Tavistock a fermé, remplacé par deux autres entités à Londres et Liverpool, qui adoptent une approche plus respectueuse de la médecine basée sur les preuves. Des personnalités du Parti conservateur ont de plus demandé que les cliniques privées, vers lesquelles vont se reporter certaines personnes, se voient interdire de prescrire ces bloqueurs de puberté et hormones aux mineurs14.

Évolution récente aux USA

Une loi interdisant les procédures médicales pour les mineurs transgenres est désormais applicable dans l’Idaho aux États-Unis, décidée le 15 avril 2024 par la Cour suprême fédérale. Il s’agit d’une décision temporaire, en attendant la décision sur le fond du dossier. Le procureur général de l’Idaho n’a pas caché sa satisfaction, saluant une décision qui « permet à l’Idaho de faire respecter sa loi qui protège les enfants de procédures et traitements expérimentaux néfastes ».

Une loi adoptée au Texas interdit aux professionnels de la santé de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans et prévoit une exception pour les enfants mineurs recevant déjà des médicaments bloquant les hormones ou bénéficiant d’une thérapie hormonale, mais exige dans ce cas un sevrage médical sur une période appropriée.

Au total, une vingtaine d’États américains (dont la Floride, l’Oklahoma et le Missouri) ont adopté des législations interdisant les traitements hormonaux destinés aux mineurs.

Situation française en avril 2024

Dans une consultation parisienne ouverte en 2014, il a été constaté une augmentation croissante de demandes jusqu’en 2017, puis une stabilisation jusqu’à la fin de l’année 2020, où est apparue une nouvelle augmentation liée à l’existence de réseaux financés par les agences Régionales de Santé15 et les cours d’éducation scolaire durant lesquelles des associations activistes trans diffusent leur propagande.

La hausse des demandes de changement de sexe chez les enfants et les adolescents a interpellé le Groupe Les Républicains au Sénat le poussant à conduire une étude approfondie sur le sujet. Durant 35 heures le groupe de travail a auditionné 67 experts français et internationaux, tous concernés par cette thématique, et rendant compte de tous les points de vue : ceux des médecins et des équipes médicales en France et dans le monde, ceux des associations de personnes concernées et des parents, ceux des institutions. Mais certains extrémistes vont même jusqu’à accuser le sénat d’avoir invité les pires « experts transphobes »16 qui prôneraient des thérapies de conversion pour les personnes trans mineures, alors qu’à aucun moment de tels traitements n’ont été discutés.

Ils ont constaté qu’en France, comme à l’étranger, le débat scientifique et médical sur le sujet est tendu. Sous couvert de la lutte contre les discriminations et pour les droits des minorités, certaines associations tentent d’imposer dans les instances nationales et internationales, sans preuves scientifiques de qualité, le principe de l’autodétermination de l’enfant, au préjudice de l’autorité parentale.

Le diagnostic de « dysphorie de genre », tel que décrit par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), semble accélérer le parcours de nombreux adolescents en détresse pubertaire vers une transition médicale, au motif que leur ressenti aurait valeur de diagnostic, sans tenir compte des éventuelles comorbidités, l’influence des réseaux sociaux ou encore celle des pairs.

Des médecins spécialisés dans le domaine de la transidentité chez les mineurs ont tiré la sonnette d’alarme au vu des résultats cliniques des traitements prodigués.

En France, les équipes des consultations dédiées aux enfants et aux adolescents en questionnement de genre peuvent être qualifiées de « transaffirmatives », dans la mesure où elles accompagnent les jeunes vers la transition médicale, et ce dès la puberté. Ces équipes se réfèrent, pour la plupart, aux recommandations de l’Endocrine Society, qui repose sur la « Dutch approach », et sur les directives internationales de la WPATH (Association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres).

Les professionnels de santé français qui s’opposent à cette démarche « Trans affirmative » prônent une approche plus globale de la souffrance de l’adolescent et certains estiment que la demande de changement de genre de l’adolescent est à entendre et à questionner, par une approche psychothérapeutique, sans y apporter de réponse par un traitement médical immédiat.

À l’heure actuelle, le manque de consensus et de débat sur le diagnostic de « dysphorie de genre » des mineurs est criant, ce qui obère la qualité des réponses cliniques appropriées à un jeune public. Les services spécialisés ont augmenté en France (au nombre de 18), traduisant la focalisation des services de santé sur le traitement médicalisé de la dysphorie de genre, plutôt que sur les comorbidités…

Aujourd’hui, un mineur en questionnement de genre peut consulter dans un centre dédié, à l’hôpital privé ou public, ou encore un médecin non spécialisé en ville, et se faire prescrire des médicaments, hors autorisation de mise sur le marché (AMM), sans que ne s’imposent des règles précises sur le plan national. Plusieurs études internationales critiques soulignent les effets indésirables des bloqueurs de puberté, qui n’ont pas fait l’objet de recherches suffisantes sur leurs incidences à long terme. La réversibilité des traitements ne semble pas aussi totale que ce qu’affirment les prescripteurs. En revanche, les effets secondaires sont bien connus.

Plusieurs experts auditionnés ont estimé que les lignes directrices actuelles en matière de traitement ne respectaient pas la norme de soins exigée dans le domaine médico-légal, notamment en termes de conformité avec les normes méthodologiques. Une partie de la communauté médicale s’accorde pour dire que les directives thérapeutiques doivent être révisées sur la base des résultats d’examens systématiques des preuves…

À l’école la « circulaire Blanquer », est contestée, car elle n’inciterait pas au strict respect du principe de neutralité de l’école. L’influence du Trans activisme au sein de l’école, notamment dans les manuels scolaires, les cours d’éducation à la sexualité, ou encore les formations proposées par certaines associations, interrogent sur l’orientation prise par l’institution scolaire qui, en tant que service public, a un devoir de neutralité et d’égalité.

Les jeunes qui souhaitent revenir à leur identité sexuée d’origine (détransition) sont en augmentation. Plusieurs études montrent que leur nombre est sous-estimé et qu’il devrait encore s’accroître dans les années à venir. Certains chercheurs soulignent qu’il faut attendre entre 5 et 8 ans après un traitement de transition, pour pouvoir évaluer le nombre de détransitions. Si les chiffres varient selon les études, du fait d’un manque de cohérence des données, certains évaluent de 7 à 10 % de la population concernée, le nombre de retours à l’identité sexuée. Pour d’autres études, ce chiffre atteindrait jusqu’à 20 % d’arrêts des traitements. Il en résulte que les personnes souhaitant détransitionner devraient pouvoir bénéficier, sans crainte d’être stigmatisées notamment par leurs pairs, des soins appropriés.

Ce rapport sénatorial conclut par quelques préconisations :

Préconisations dans les domaines scientifique et médical

1. Imposer l’évaluation et le diagnostic de la transidentité des mineurs par des équipes pédopsychiatriques de proximité.

2. En présence de troubles psychopathologiques et/ou neurodéveloppementaux, prévoir, en première intention, une prise en charge psychiatrique et/ou psychothérapeutique de l’enfant et de sa famille.

3. Si la détresse liée au genre perdure depuis la petite enfance, que le jeune ne présente aucun trouble psychopathologique majeur associé, dans cette seule situation, adresser le mineur vers un service spécialisé dans l’incongruence de genre, à l’instar de ce qui est pratiqué dans plusieurs pays d’Europe du Nord.

4. Interdire la prescription de bloqueurs de puberté aux mineurs pour l’indication de dysphorie de genre. (Pour les jeunes actuellement sous traitement, celui-ci ne sera pas interrompu.) Au moment de la prescription des hormones croisées (si celle-ci reste souhaitée) : réévaluation de l’état psychologique du jeune, de sa prise en charge et de son consentement.)

5. Interdire la chirurgie dite de réassignation sexuelle aux mineurs. Par ailleurs, les apports récents des neurosciences au sujet de la maturité du cerveau montrent que celui-ci continue d’évoluer jusqu’à 25 ans, incitant à la prudence pour toute « réassignation » chirurgicale avant cet âge.

6. Interdire la prescription et l’administration d’hormones croisées à tous les mineurs.

7. Prévoir un accueil spécifique à l’hôpital pour les personnes qui souhaitent détransitionner et favoriser la recherche sur la qualité des soins à leur apporter.

8. Préconiser, dans le domaine de la recherche, la revue systématique des données, fondée sur les preuves à l’instar des pratiques EBM (evidence-based medicine [médecine fondée sur des preuves]) appliquées en médecine.

Préconisations dans le domaine scolaire et administratif

9. Abroger la circulaire, dite « Blanquer », du 29 septembre 2021, « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire ». Parce qu’elle crée un régime d’exception pour les « élèves transgenres », la circulaire remet en cause les principes de neutralité et d’égalité au sein de l’institution scolaire.

10. Remplacer la circulaire par une note de service afin de sécuriser les personnels de l’Éducation nationale, désigner les enfants comme « enfants en questionnement de genre » et non plus « enfants transgenres ». L’objet de la note de service est d’aider les personnels à se positionner clairement dans le respect des lois existantes, en restant neutres.

11. Veiller au respect par l’Éducation nationale de l’état civil de l’enfant (prénom et sexe). La controverse scientifique et médicale concernant l’impact de la transition sociale sur les mineurs invite à rester neutre à l’école.

12. Protéger les espaces non mixtes s’agissant des sanitaires, douches et vestiaires dans les établissements scolaires.

13. Interdire l’intervention auprès des élèves, dans les établissements scolaires, des associations qui ne respectent pas le principe de neutralité de l’Éducation nationale.

14. Mettre en place une veille, au sein du ministère de l’Éducation nationale, sur le contenu des manuels scolaires mis à disposition des enfants et adolescents concernant l’identité sexuelle, dans un principe de neutralité de l’école.

15. Prévoir que les formulaires administratifs, actes, questionnaires, documents, etc. diffusés par une personne publique, ou une personne privée agissant dans le cadre d’une délégation de service public, ne puissent comporter que la mention du sexe masculin ou féminin.

La sénatrice du Val-d’Oise, Jacqueline Eustache-Brinio présentera le 28 mai au nom du groupe LR une proposition de loi sur la « Trans identification des mineurs » reprenant ces conclusions. 

« Aujourd’hui on va trop vite, on oriente trop rapidement les jeunes vers une transition, il faut plutôt les accompagner sur leur mal-être et favoriser les prises en charge psychiatriques », en pointant un « phénomène prenant de l’ampleur dans les médias et dans la vie publique », alors que « tous les pays étrangers reculent dans la prescription de ces traitements. »

Le 5 mai 2024, 800 associations et personnalités ont organisé des manifestations dénonçant « un climat atroce qui pèse sur les personnes transgenres » et demandant l’interdiction du livre Transmania et du rapport sénatorial et l’abandon du projet de loi sur la « Trans identification des mineurs ». Le ministère de l’Intérieur a comptabilisé 10 880 manifestants sur l’ensemble du territoire, dont 2 500 à Paris. Les trans genres ont ainsi confirmé qu’ils ne constituent qu’une infime minorité dont la population juge les revendications infondées, voire abusives.

Les jeunes en questionnement de genre sont des victimes qu’il faut comprendre pour les aider

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car elle impose d’intégrer le processus de changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très inconfortable. Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants.

Lorsqu’un influenceur internet attribue ce mal être au genre, il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, où sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance.

Il faut rappeler que la très grande majorité (85 %) des adolescents qui croient souffrir de dysphorie de genre verront cette souffrance disparaître après leur puberté et que cette dysphorie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté. L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Ce ne sont pas eux qu’il faut stigmatiser, mais la propagande permanente que diffusent les médias et certains influenceurs internet pour les faire entrer dans une communauté dont le fonctionnement évoque parfois celui des sectes (message d’amour envers les impétrants, volonté de les séparer de leur famille, agressivité envers ceux qui les quittent…).

Pour minorer le risque de suicide d’un jeune qui croit souffrir d’une dysphorie de genre, la psychiatre Miriam Grossman rappelle que l’attitude bienveillante de la famille est essentielle :

« Il est très important que les parents ne réagissent pas d’une manière terriblement négative ou en portant un jugement, même s’ils ont l’impression sur le moment que c’est de la folie et que cela n’a aucun sens ».« Il faut lui dire que vous comprenez qu’il traverse une période difficile, que c’est quelque chose d’important pour lui, que c’est quelque chose de sérieux, et que vous allez en apprendre le plus possible à ce sujet ».Il faut faire preuve d’amour et de soutien, sans pour autant être d’accord avec ce que croit votre enfant : qu’il est du sexe opposé, ou que vous allez utiliser le nouveau nom et les nouveaux prénoms… Il est important que l’enfant et l’adulte comprennent qu’il est possible d’avoir une relation aimante même s’il y a de gros désaccords ».

Le chemin pour sortir l’enfant de sa confusion sexuelle peut être long, allant de plusieurs mois à quelques années, mais dans tous les cas le soutien sans faille de la famille est essentiel.

Contactez vos maires et vos députés pour qu’ils consultent les rapports du ministère suédois de la Santé, celui du National Health Service rédigé par Hilay Cass celui du Sénat et notre livre17, qu’ils basent leur opinion et leur vote sur les éléments factuels que ces documents exposent.

Il faut sauver les enfants de l’idéologie trans genre qui les conduit inutilement à prendre à vie des traitements médicaux dangereux, à accepter des mutilations irréversibles et à intégrer un groupe où le stress minoritaire domine et le taux de suicide atteint 40 %.

Il faut tout faire pour que la loi sur la « Trans identification des mineurs » les protège d’une idéologie mortifère.





Transgenrisme : les journalistes intègres sur la présentation des chiffres et les enjeux sociétaux de cette démarche ?

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Nicole Delépine

Dans deux articles successifs, le journal le Monde semble oublier les valeurs journalistiques qui ont jadis fait sa notoriété et se transformer en propagandiste trans, ignorant les faits avérés et les risques sociétaux constatés d’une telle propagande.

Ce petit article tient à rétablir la réalité des faits pour informer et aider ceux qui souffrent de dystrophie de genre, qui ne sont que de malheureuses victimes de ceux qui vivent à leurs dépens : laboratoires pharmaceutiques, médecins qui leur prescrivent à vie des hormones toxiques, chirurgiens qui les opèrent, et influenceurs responsables d’une emprise de type sectaire. Un véritable consentement éclairé est nécessaire à ces traitements invasifs et mutilants et ne semble pas être fourni dans la majorité des cas.1 2 C’est sur ces points que nous tentons d’informer les familles et candidats potentiels comme médecin et chirurgien dans notre petit livre « dysphorie de genre ».

En France, les trans genres constituent une infime minorité. L’ignorer c’est mentir

Dans un article intitulé pompeusement « Mineurs transgenres et hormonothérapie : ce que dit la science » publié le 29 mars 2024, il est écrit :

« En France, il n’existe aucune donnée sur le nombre de jeunes concernés par la transidentité ».

Pourtant, on ne peut ignorer les chiffres officiels du rapport gouvernemental sur le sujet et ceux de l’assurance maladie qui publie le nombre de demandes de prise en charge pour ALD dystrophie de genre (ALD 31) et celui des interventions de chirurgie trans ? Manque de curiosité ou d’efficacité dans les recherches ? Volonté de ne pas savoir ou désinformation volontaire ?

Les traitements d’affirmation de genre sont coûteux et l’obtention de sa prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie nécessite une demande. La demande de prise en charge des traitements constitue donc la première démarche que font tous ceux qui désirent les subir.

Selon la Caisse Nationale d’Assurance Maladie il y a eu 3 000 demandes de prise en charge pour ALD « dystrophie de genre » en 20213, et 462 demandes de prise en charge chirurgicale en 2020 pour un nombre global de trans déclarés en France de 9 000.

L’incidence annuelle de la trans-identité déclarée, tous âges confondus, est donc de 0,004 5 % en France (3 000/67 millions) et sa prévalence de 0,01 % dont une très petite minorité concerne les jeunes. Alors pourquoi la journaliste du Monde prétend qu’on ne dispose pas de données officielles en France et cite-t-elle la prévalence des transgenres au Canada (1 %) ou aux USA (0,5 %), surestimant donc considérablement la réalité française actuelle ?

En 2024, beaucoup d’adolescents français sont mal dans leur peau notamment depuis les confinements, mais il n’y a toujours qu’une infime minorité d’entre eux, souvent mal informés des inconvénients des traitements qu’on leur propose, qui s’exposent aux traitements hormonaux à vie ou acceptent des interventions chirurgicales mutilantes. Et rendre cette minorité trop visible ne lui rend malheureusement pas service, bien au contraire.

Mais au-delà de l’erreur colossale du journaliste sur l’incidence des trans en France, il faut souligner ses oublis ou mensonges par omission : sur les conséquences de cette « sur représentation » des trans, des droits dérogatoires actuels des trans et des limitations récemment imposées aux traitements trans des mineurs par la très grande majorité des pays du monde.

La surreprésentation médiatique des extrémistes trans nuit à leur cause

Les médias subventionnés, comme Le Monde, accordent aux trans une place disproportionnée4 par rapport à leur incidence réelle, croyant que leur plus grande visibilité serait susceptible de faciliter leur inclusion5 6 7 8.

Cette propagande pro trans s’exprime dans tous ces médias comme une véritable transmania9. Tout feuilleton télévisuel doit montrer des personnages LGBTQ+ pour bénéficier de la complaisance de l’Arcom10 et des diffuseurs des chaînes. Aux USA, en 2022, GLAAD11 comptabilisait 637 personnages LGBTQ+ à la télévision et sur les plateformes US12 soit 11,9 % des personnages, alors que les trans n’y rassemblent qu’environ 0,5 % de la population.

Cette surreprésentation considérable des trans s’accompagne de campagnes de harcèlement organisées par les extrémistes trans contre leurs opposants qu’ils traitent de TERF13 et de manifestations violentes pour empêcher tout débat contradictoire sur la théorie du genre et les résultats à long terme des transitions de genre chez les mineurs14 15.

La surreprésentation médiatique et la censure violente qu’exercent des extrémistes trans sur le débat démocratique nuisent en réalité beaucoup à leur communauté et constituent un des moteurs de l’augmentation des actes agressifs contre les minorités sexuelles.

En France de 2016 à 2021, le nombre de crimes ou délits anti-LGBT+ enregistrés par les services de police et de gendarmerie a doublé (+104 %). L’enquête Cadre de vie et sécurité a estimé que les violences à caractère anti-LGBT+ touchent 7 000 personnes chaque année, les menaces 25 000 et les injures 160 000. En Grande-Bretagne, le « Washington Post » a rapporté que le nombre d’incidents liés à la transphobie est passé de 75 en 2013 à 428 en 2021.

« Pour vivre heureux, vivons cachés » estiment les nombreux homosexuels et trans qui n’aspirent qu’à une vie tranquille et s’estiment instrumentalisés, contre leur volonté, en « icônes » par les militants extrémistes trans.

Les conséquences des droits dérogatoires des trans

En se victimisant, et en accusant la société de leur mal être, les extrémistes trans ont obtenu des droits dérogatoires comme la reconnaissance de leur transidentité sur simple affirmation sans devoir entreprendre un quelconque traitement pour se mettre en accord avec leur désir.

Mais aussi d’exiger de leurs camarades de classe qu’ils les appellent du prénom de leur choix tout en interdisant au professeur d’expliquer le problème du genre aux autres élèves. Cette recommandation officielle est souvent responsable de problèmes psychologiques chez ces derniers.

Les droits des femmes trans de pénétrer dans les vestiaires, les toilettes des femmes, partager leurs prisons mettent la sécurité des femmes de naissance en danger. En prison plusieurs cas de viols de femmes de naissance par des femmes trans (nées hommes et non opérées) ont été rapportés aux USA, Canada16 et Grande-Bretagne17 et pousse ces pays à ne plus considérer pour le choix des prisons que le sexe de naissance.

Le droit de concourir dans les épreuves sportives de haut niveau contre les femmes de naissance, contraire à l’équité sportive, a privé beaucoup de championnes de titres et médailles qu’elles méritaient. L’injustice des résultats observés, la fronde médiatique et les procès intentés par les femmes de naissance ont finalement convaincu la plupart des fédérations sportives internationales à exclure les femmes trans des compétitions féminines pour privilégier l’équité à l’inclusivité.

Le droit des trans d’accuser de transphobie ceux qui énoncent des faits biologiques.

Un étudiant canadien a été exclu de son école puis arrêté par la police18 pour avoir dit « il n’y a que deux sexes ». Mais là aussi l’idéologie se heurte à la réalité et le Premier ministre britannique, Rishi Sunak a rappelé, au congrès du Parti conservateur du 4 octobre 2023 :

« Un homme est un homme et une femme est une femme…C’est juste du bon sens. »

« Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance que les gens peuvent avoir que le sexe de leur choix. »

L’absence de données probantes que les hormones diminueraient véritablement les symptômes de dysphorie, de dépression, d’anxiété et les idées suicidaires chez les jeunes (40 % des trans), qu’elles exposent à des complications médicales en particulier cardiovasculaires19 et que les trans traités souffrent d’une mortalité double de celle de la population générale20 a incité de nombreux pays européens pionniers des transitions de genre (Suède, Norvège, Finlande, Danemark et Angleterre), à imposer des restrictions d’âge aux traitements médicaux.

Les excès des extrémistes trans ont entraîné le vote de lois restreignant les droits des minorités sexuelles dans la très grande majorité des pays du monde et/ou interdisant les traitements trans affirmatifs chez les mineurs aux USA21 22 23, en Russie24 en Afrique25 ou en Chine. En France, après le communiqué de l’Académie de médecine alertant sur les risques des traitements trans affirmatifs chez les mineurs26, un rapport sénatorial27 propose d’interdire tout traitement actif de transition aux mineurs suivant l’exemple des pays précédemment cités.

Il est triste de constater que Le Monde préfère diffuser des informations erronées plutôt que d’exposer plus globalement l’évolution mondiale actuelle de la question.

Les trans genres sont des victimes qu’il faut comprendre pour les aider

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car il faut intégrer le processus de changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très gênante et inconfortable.

Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants. Et lorsqu’un gourou internet attribue ce mal être au genre il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, ou sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance dont les formes deviennent progressivement sectaires.

Il faut savoir que la majorité des adolescents qui croient souffrir de dysphorie verront cette souffrance disparaître après leur puberté28 29 30, et que cette dystrophie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente en particulier autisme, anxiété ou dépression, ou un vécu de traumatisme dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté.

L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Devant un enfant qui croit souffrir d’une dystrophie de genre « Il est très important que les parents ne réagissent pas d’une manière terriblement négative ou en portant un jugement, même s’ils ont l’impression sur le moment que c’est de la folie et que cela n’a aucun sens », conseille la psychiatre Miriam Grossman31 32 :

« Il faut lui dire que vous comprenez qu’il traverse une période difficile, que c’est quelque chose d’important pour lui, que c’est quelque chose de sérieux, et que vous allez en apprendre le plus possible à ce sujet ».

Il faut faire preuve d’amour et de soutien, sans pour autant être d’accord avec ce que dit votre enfant : qu’il est du sexe opposé, ou que vous allez utiliser le nouveau nom et les nouveaux prénoms… Il est important que l’enfant et l’adulte comprennent qu’il est possible d’avoir une relation aimante même s’il y a de gros désaccords.

Le chemin pour sortir l’enfant de sa confusion sexuelle peut être long, allant de plusieurs mois à quelques années, mais dans tous les cas le soutien sans faille de la famille est essentiel.




Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Une épidémie silencieuse compromet l’équilibre mental et émotionnel

[Source : epochtimes.fr]

Le temps passé devant les écrans : une épidémie qui ne dit pas son nom

L’évolution des troubles mentaux a été soudaine et sans précédent et inquiète les scientifiques

Par Marina Zhang

Billy était auparavant un garçon brillant de 10 ans, ses parents ont fait des études supérieures dans des universités réputées. Lire et étudier avaient développé son intelligence et sa vivacité d’esprit ; à l’école, il obtenait des notes excellentes dans toutes les matières, mais il n’était pas débrouillard.

Il n’était pas non plus « fairplay » : Billy mentait et trichait souvent lorsqu’il jouait à des jeux de société ou participait à des activités d’équipe, et faisait de véritables crises de nerfs lorsqu’il perdait. Ses amis, qui le côtoient depuis la maternelle, commençaient à perdre patience. Ses parents ont compris qu’il fallait faire quelque chose.

Ils ont donc emmené Billy chez le Dr Victoria Dunckley, une pédopsychiatre spécialisée dans l’utilisation des écrans.

Après un « jeûne d’écran » de quatre semaines prescrit par le Dr Dunckley, qui a supprimé tout accès à la télévision, au téléphone et aux jeux vidéo, les problèmes de Billy se sont miraculeusement dissipés. Ses parents ont été tellement satisfaits qu’ils ont décidé de poursuivre le jeûne.

Six mois plus tard, les amis de Billy ne l’évitent plus et son attitude dans un contexte de compétition s’est nettement améliorée. Billy a décidé de se présenter à la présidence de la classe, et a même prononcé un discours, ce qui l’aurait auparavant terrifié.

Billy est l’un des nombreux patients du Dr Dunckley dont les problèmes comportementaux et d’ordre mental ont disparu, après avoir éliminé ou réduit de manière significative le temps passé devant un écran.

L’utilisation excessive des écrans est devenue une épidémie qui érode silencieusement les vies sans rencontrer de résistance. Une enquête réalisée par Gallup en 2012 a révélé qu’environ 60 % des jeunes adultes admettaient passer trop de temps sur l’Internet ; lors d’une enquête ultérieure réalisée en 2022, 83 % des utilisateurs de smartphones ont déclaré qu’ils gardaient leur téléphone près d’eux « presque tout le temps pendant leurs heures d’éveil ».

Les personnes qui passent beaucoup de temps sur des écrans en dehors du travail apprécient généralement les vidéos courtes, les films et les émissions de télévision, les médias sociaux ou les jeux vidéo. Toutes ces formes de divertissement sur écran offrent une expérience émotionnelle similaire de nouveauté, de découverte et de récompense instantanée. Ce processus est à la fois stressant et satisfaisant.

Le problème est que les écrans peuvent excessivement stimuler notre cerveau, ce qui entraîne un stress perpétuel, également connu sous le nom d’état de lutte ou de fuite. Cet état sollicite et le cerveau et le corps, et nous rend enclins à l’effondrement, à la dépression et à l’anxiété lorsque des changements, même mineurs, surviennent dans l’environnement.

Un problème croissant

Le lien initial entre le temps passé devant un écran et une mauvaise santé mentale a été mis en évidence par Jean Twenge, professeur à l’université d’État de San Diego et titulaire d’un doctorat en psychologie, dans le cadre d’études générationnelles.

« Je m’étais habituée à des changements qui se développaient lentement et régulièrement au fil du temps », a déclaré Jean Twenge lors d’une conférence TEDx. « Après 2010, j’ai commencé à observer des changements beaucoup plus soudains — je n’avais jamais rien vu de tel. »

Vers 2010, l’utilisation des médias sociaux et d’Internet a connu une augmentation spectaculaire,
suivie d’une augmentation des dépressions majeures.
(Epoch Times)

Entre 2005 et 2012, la variation des taux d’épisodes dépressifs chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans a à peine dépassé 1 %. Cependant, entre 2012 et 2017, l’augmentation a été de près de 4 %.

En outre, les adolescents sont moins nombreux à sortir de chez eux ou à lire des livres, tandis que le temps qu’ils consacrent aux réseaux sociaux et à Internet augmente considérablement.

En 2008, le psychothérapeute Tom Kersting, qui a travaillé comme conseiller scolaire pendant 25 ans, a constaté une augmentation des diagnostics de trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDAH) chez les enfants de plus de 8 ans.

Le TDAH a tendance à être détecté dans la petite enfance, après l’entrée à l’école. Toutefois, il a déclaré avoir constaté une augmentation des diagnostics chez les adolescents et les adultes. S’il est possible que certains de ces adolescents n’aient pas été détectés par les cliniciens lorsqu’ils étaient jeunes, Tom Kersting soupçonne que certains d’entre eux ont développé des symptômes de TDAH en raison de l’utilisation d’écrans.

Le diagnostic de TDAH est en augmentation.
(Epoch Times)

Vers 2012, alors que 30 % des adolescents possédaient un smartphone, il a commencé à observer un comportement rebelle et des troubles d’anxiété plus fréquents chez les enfants. Les jeunes adultes et les adolescents qui grandissent aujourd’hui ont également tendance à être plus antisociaux et à avoir une résilience émotionnelle réduite, ce qui peut être lié au manque de socialisation en personne parce qu’ils passent la majeure partie de leur temps derrière des écrans.

« Il ne s’agit pas seulement du temps passé dans le cybermonde », a déclaré Tom Kersting à Epoch Times, « mais aussi de ce qui leur manque : les jeux extérieurs et l’apprentissage social ».

Pendant la pandémie de Covid-19, le temps passé devant un écran par les adolescents a doublé.

Peu d’études ont porté sur la dépendance à Internet chez les enfants pendant la pandémie de Covid-19, mais une vaste étude menée auprès d’adultes a montré que les personnes considérées comme présentant un risque de dépendance à Internet étaient 2,3 fois plus susceptibles de souffrir de dépression et 1,9 fois plus susceptibles de souffrir d’anxiété que le reste de la population. En outre, les personnes souffrant d’une dépendance certaine ou grave étaient 13 fois plus susceptibles de souffrir à la fois de dépression et d’anxiété.

Après la pandémie de Covid-19, les enseignants signalent que les membres de la dernière génération — la génération Alpha — ont tendance à être agressifs et indisciplinés et à mal gérer leurs émotions en classe.

Le Dr Clifford Sussman, psychiatre spécialisé dans la dépendance aux écrans, a axé sa pratique sur le traitement de cette pathologie en raison de l’augmentation des besoins. En particulier après la pandémie de Covid-19, « la demande d’aide pour ce problème a explosé », a-t-il déclaré à Epoch Times.

Comment les écrans nous rendent « accros »

Les activités sur écran, qu’il s’agisse de jeux vidéo, de médias sociaux, de défilement sur Internet ou de streaming vidéo, permettent de s’évader. Ces activités sont également très stimulantes pour le cerveau en raison de leurs couleurs vives et de leur intégration transparente dans le monde virtuel, a déclaré le Dr David Rosenfeld, psychothérapeute et professeur de médecine à l’université de Buenos Aires, à Epoch Times.

Lorsqu’il est confronté à quelque chose de nouveau et d’excitant, le cerveau libère de la dopamine, et tout ce qui induit une libération de dopamine peut créer une dépendance. La dopamine produit une sensation de plaisir, tandis qu’une baisse de cette substance est liée à l’irritabilité et à la mauvaise humeur.

La dopamine produit une sensation de plaisir,
tandis qu’une baisse de celle-ci est liée à l’irritabilité et à la mauvaise humeur.
(Illustration d’Epoch Times, Shutterstock)

Les activités sur écran ont été conçues pour capter notre attention en nous fournissant des doses régulières de dopamine. À l’instar d’un jeu vidéo immersif, qui procure des sensations fortes lorsque l’on monte en niveau, que l’on vainc un boss ou que l’on trouve un nouvel objet, les écrans nous incitent à passer plus de temps dans le monde virtuel.

« Les jeux vidéo sont régis par des règles microscopiques », a déclaré Bennett Foddy, qui enseigne la conception de jeux au Game Center de l’université de New York, dans le livre « Irresistible: The Rise of Addictive Technology and the Business of Keeping Us Hooked » (NDLR. »Irrésistible : la montée des technologies addictives et le business qui entretient notre dépendance ») d’Adam Alter, cité par The Guardian.

Ces microrègles peuvent prendre la forme d’un « ding » ou d’un éclair blanc lorsqu’un personnage se déplace sur une case particulière, et elles sont synchronisées avec les actions du joueur afin qu’il ait l’impression d’en être à l’origine. Ce micro-feedback génère un sentiment de récompense qui incite les joueurs à jouer en permanence.

Ce système peut également expliquer pourquoi les activités interactives sur écran peuvent être plus problématiques pour les enfants que les activités passives sur écran, comme regarder la télévision.

Le Dr Dunckley a observé que si regarder la télévision pendant deux heures est lié à des signes de dysrégulation chez les enfants, 30 minutes seulement d’activités interactives sur écran sont suffisamment stimulantes pour que des signes apparaissent.

De nombreux jeux vidéo font également appel à des stratégies utilisées dans les jeux d’argent, comme les récompenses de type « loot-box » (boîte à butin), dans lesquelles les joueurs sont récompensés à des intervalles aléatoires tout au long du jeu. Comme les joueurs ne savent pas quand viendra la prochaine récompense, ils sont davantage incités à jouer, même s’ils n’apprécient pas le jeu.

Cette stratégie est issue des travaux du psychologue Burrhus Frederic Skinner. Skinner a placé des pigeons dans une boîte munie d’un bouton et les a récompensés en leur donnant de la nourriture chaque fois qu’ils appuyaient sur ce bouton. Il a constaté que les pigeons récompensés de manière irrégulière étaient plus enclins à appuyer sur le bouton que ceux qui étaient récompensés à chaque fois qu’ils appuyaient sur le bouton.

Cette compulsion existe également chez l’homme.

Un enfant joue à des jeux vidéo lors d’un salon à Milan, en Italie,
le 22 novembre 2013. (Tinxi/Shutterstock)

Les messages des médias sociaux divisent l’information en petits morceaux, ce qui donne aux utilisateurs une poussée de dopamine à chaque message, chaque « like » et chaque commentaire.

En outre, les médias sociaux ont été conçus de manière à ce que les signaux d’arrêt naturels inhérents à de nombreux aspects de la vie soient absents.

Qu’il s’agisse d’un article de journal, d’un livre ou d’un film, il y a toujours une fin. Il faut donc choisir une autre activité une fois que l’article, le chapitre ou le film est terminé. Toutefois, avec les médias sociaux, on peut faire défiler le contenu à l’infini sans qu’il se termine, ce que l’on appelle le « doom scroll » (défilement de la fin).

Il en va de même pour la navigation sur Internet. Il suffit de taper un mot dans le moteur de recherche pour que d’innombrables résultats et liens connexes apparaissent, et on part à l’aventure.

Quand le temps d’écran empiète sur le temps « humain »

L’acceptabilité sociale et l’omniprésence des écrans font qu’il est souvent difficile pour les gens de se rendre compte que leur temps d’écran peut devenir incontrôlable.

Jusqu’à présent, il n’existe pas de critères cohérents pour définir la dépendance à l’écran, mais de plus en plus de données suggèrent que de nombreuses personnes ont une utilisation problématique de l’écran.

Les Américains passent en moyenne sept heures par jour derrière des écrans, sans compter le temps passé à l’école ou au travail.

En France, l’usage de smartphones, ordinateurs et autres télévisions accapare près d’un tiers du temps hors sommeil. En 2022, les Français ont passé en moyenne 4,6 heures par jour devant un écran, d’après le Baromètre du numérique sorti en janvier dernier.

En 2022, la majorité des adolescents — 95 % de la population de plus de 12 ans en France métropolitaine — possédaient un téléphone mobile ; 87 % avaient un smartphone. Néanmoins, on constate des différences notables d’utilisation selon l’âge. « Le temps passé par les enfants devant les écrans a augmenté ces dernières années en France », confirme une enquête de Santé publique France sortie en avril 2023. Les enfants de 2 ans passent en moyenne 56 minutes par jour devant les écrans, tandis que les adolescents peuvent atteindre six à sept heures les jours sans école. En moyenne, les Français passeraient donc 14 ans et 310 jours devant les écrans au cours de leur vie.

La conseillère Hilarie Cash, co-fondatrice de reSTART Life, un centre de traitement résidentiel de la dépendance à la technologie, a déclaré à Epoch Times que l’utilisation d’un écran est considérée comme problématique lorsqu’elle commence à empiéter sur le temps nécessaire au fonctionnement normal de l’être humain.

Les gens ont besoin d’environ huit heures de sommeil par jour, et le temps de travail moyen est de 8 heures et demie. Ils ont également besoin de temps pour se socialiser, faire de l’exercice, manger, se doucher, gérer leurs affaires quotidiennes et leurs loisirs. Sept heures de temps d’écran par jour signifieraient que des activités nécessaires sont sacrifiées.

Dino Ambrosi, fondateur d’un programme de 12 semaines qui aide les étudiants à limiter le temps passé sur les médias sociaux, a estimé lors d’une conférence TEDx que si la plupart des jeunes de 18 ans vivaient aujourd’hui jusqu’à 90 ans, il leur resterait 334 mois de temps libre dans leur vie.

Ce que l’on fera de ce temps restant « déterminera littéralement le type de personne que l’on deviendra », a-t-il déclaré. Or, les estimations de Dino Ambrosi montrent qu’environ 93 % de ce temps est passé derrière des écrans, la plupart du temps de manière involontaire.

Mme Cash, dont le programme de traitement des personnes souffrant de dépendance à la pornographie et aux jeux vidéo sur Internet a débuté dans les années 1990, a observé une tendance inquiétante.

Bien que ses premiers clients aient connu des bouleversements majeurs à cause de leur dépendance à l’écran, ils possédaient des compétences suffisantes pour vivre. En revanche, nombre de ses clients d’aujourd’hui n’ont pas les compétences nécessaires à la vie courante, comme savoir cuisiner, avoir une bonne hygiène personnelle, tenir une conversation, avoir des relations humaines authentiques et enrichissantes, garder un emploi, etc. Ces personnes sont plus difficiles à traiter.

L’une des raisons en est qu’ils ont reçu un outil leur permettant de s’échapper dès leur enfance ou leur adolescence. En conséquence, ces individus sont devenus des fuyards chroniques des inconvénients et des difficultés de la vie. Selon Mme Cash, ces personnes ont du mal à nouer des liens sociaux, à relever des défis, et à conserver un emploi — autant d’éléments essentiels pour se construire une vie en dehors du monde virtuel.

L’utilisation d’un écran est considérée comme problématique lorsqu’elle commence à empiéter sur le temps nécessaire au fonctionnement humain.

Hillaty Cash, cofondateur de Restart Life

4 troubles mentaux majeurs

Les psychologues Daria Kuss et Mark Griffiths, tous deux professeurs à l’université de Nottingham Trent, comptent parmi les principaux chercheurs qui étudient les effets de l’utilisation problématique des écrans.

Ils ont interrogé 26 psychothérapeutes qui traitent des personnes souffrant d’une dépendance à l’Internet, et certains d’entre eux ont déclaré que les problèmes de santé mentale de leurs patients étaient indubitablement dus à l’utilisation des écrans.

« Ils ne souffraient pas d’anxiété sociale ou de troubles anxieux généralisés avant de commencer à jouer », a déclaré un psychothérapeute.

Selon le Dr Sussman, lorsqu’il y a comorbidité avec la dépendance, les problèmes de santé mentale sont souvent impossibles à traiter si l’on ne s’attaque pas d’abord à la dépendance.

La dépression

Le divertissement prolongé sur écran entraîne des périodes prolongées de libération de dopamine, ce qui signifie que l’on constate une chute de dopamine lorsque l’on cesse de passer du temps devant un écran. Un faible taux de dopamine est lié à une humeur irritable et à la dépression.

Avec une stimulation constante, le corps finit par tenter de se stabiliser en rendant les voies du plaisir du cerveau moins sensibles. Cela signifie que pour obtenir le même haut niveau de satisfaction ou de légèreté, une personne doit soit augmenter le degré de stimulation du contenu, soit regarder davantage. Il peut s’agir de contenus plus graphiques, plus intenses ou plus violents. Ensuite, lorsque la personne quitte l’écran, elle manifeste davantage de désintérêt et de mauvaise humeur.

Naturellement, les gens sont moins intéressés par les activités moins stimulantes, telles que les plaisirs inhérents des relations interpersonnelles.

L’utilisation des écrans est également associée à une faible libération de mélatonine, qui peut perturber le sommeil et est potentiellement liée à divers troubles de l’humeur, y compris la dépression.

Depuis 2010, moins d’adolescents sortent avec leurs parents
et le pourcentage d’enfants signalant des symptômes de dépression a augmenté.
(Alain Jocard/AFP via Getty Images)

Anxiété et irritabilité

Regarder un écran signifie que l’on est constamment distrait.

Les médias sociaux et le défilement sur Internet brisent la capacité d’attention d’une personne, car l’attention est détournée d’une chose à l’autre. « Nos recherches ont mis en évidence une corrélation entre la fréquence des changements du centre d’attention et le stress », a déclaré la chercheuse Gloria Mark, titulaire d’un doctorat en psychologie, lors d’une interview accordée au podcast « Speaking of Psychology ».

Plus le changement d’attention est rapide, plus le stress est élevé (mesuré par des moniteurs de fréquence cardiaque et des auto-évaluations), a-t-elle ajouté.

La stimulation par les écrans active également la réaction de lutte ou de fuite et provoque la libération d’adrénaline. Cette poussée d’adrénaline peut provoquer un sentiment d’anxiété ou de grande excitation. Selon Cris Rowan, ergothérapeute pédiatrique — et critique de l’impact de la technologie sur le développement humain, le comportement et la productivité — si cet état continue d’être déclenché, une personne peut se retrouver en manque d’adrénaline.

L’épuisement de l’adrénaline peut conduire le corps à libérer du cortisol à la place, a-t-elle expliqué. Le cortisol est une hormone de stress liée à l’anxiété et aux troubles dépressifs majeurs.

TDAH

Le TDAH est un trouble majeur lié à l’utilisation abusive des écrans.

Le cerveau est comme un muscle qui peut être entraîné, selon le Dr Andrew Doan, ophtalmologiste spécialisé dans la santé publique, les problèmes dus à l’abus des jeux vidéo et à l’utilisation excessive des technologies personnelles.

Comme les activités sur écran sont très distrayantes, le temps passé sur les écrans se fait au détriment du temps consacré à l’entraînement de la capacité d’une personne à maintenir son attention, ce qui est nécessaire pour mener à bien une tâche mentalement difficile, telle que terminer un long devoir.

Le temps prolongé passé devant un écran est également associé à un amincissement du cortex préfrontal, qui est essentiel pour le contrôle des compulsions et la pensée logique. C’est aussi ce qui fait que les personnes atteintes de TDAH éprouvent des difficultés à accomplir des tâches qu’elles jugent inintéressantes.

J’ai commencé à voir des changements beaucoup plus soudains — je n’avais jamais rien vu de tel.

Jean Twenge, professeur de psychologie, université d’état de san diego

L’autisme

Le temps d’écran isole.

Pendant qu’une personne s’adonne à des jeux, aux médias sociaux et à Internet, « la question est de savoir ce qu’elle ne fait pas » a soulevé Tom Kersting.

Pour les parents, il peut s’agir de l’éducation et de l’établissement ou renforcement d’un lien avec leurs enfants. Pour les enfants, il peut s’agir d’occasions de jouer et de socialiser, dont l’absence retarde le développement social et peut entraîner des comportements de repli sur soi, antisociaux et anxieux qui peuvent imiter les symptômes de l’autisme.

Les docteurs Dunckley et Sussman ont expliqué que la formation d’une utilisation problématique des écrans et de problèmes de santé mentale peut être bidirectionnelle. En d’autres termes, les personnes atteintes d’autisme ou de symptômes apparentés peuvent utiliser des écrans pour éviter les situations d’anxiété sociale, mais moins elles s’entraînent à être sociales, plus elles se replient sur elles-mêmes.

Éviter les écrans, « c’est comme boire de l’eau dans un bar »

L’utilisation problématique des écrans ne se limite pas aux enfants. Selon Cris Rowan, qui a animé plus de 400 ateliers sur des sujets tels que la productivité, les dépendances, l’utilisation excessive des technologies, les programmes éducatifs sur les médias, et l’aménagement de l’environnement scolaire, les parents permettent parfois à leurs enfants de se tourner vers l’utilisation des écrans.

« Levez la main si vous gérez correctement l’utilisation des écrans », a-t-elle demandé à une salle d’adultes lors de l’un de ses ateliers. Sur les quelque 500 personnes présentes, moins de 10 ont levé la main.

Les travaux de Catherine Steiner-Adair, psychologue clinicienne et éducatrice, ont également montré que les enfants rivalisent de plus en plus avec les écrans pour attirer l’attention de leurs parents. Certains enfants ont déclaré se sentir délaissés parce que leurs parents consultent constamment leur téléphone.

Les parents qui ne sont pas conscients ou qui ne contrôlent pas leur propre utilisation des écrans peuvent également avoir du mal à fixer des limites de temps d’écran pour leurs enfants.

Certains parents élèvent aujourd’hui leurs enfants en utilisant les écrans comme baby-sitters. Cela peut amener les enfants à donner la priorité aux écrans plutôt qu’à la famille, et vice-versa pour les parents, a déclaré le Dr Rosenfeld.

Ce phénomène se reflète dans la génération Alpha. Ces enfants manquent souvent de discipline, ce qui stresse les parents, et seuls les écrans peuvent les apaiser pendant leurs crises de colère.

La généralisation de l’utilisation croissante des moyens numériques des écoles et des lieux de travail a également facilité l’utilisation des écrans.

Le divertissement étant souvent à portée de clic, « c’est comme boire de l’eau dans un bar », a déclaré le Dr Sussman, décrivant la difficulté de réduire l’utilisation des écrans dans l’environnement actuel.

Lorsqu’on lui demande s’il est possible de se remettre d’une telle dépendance, le Dr Rosenfeld répond que le facteur le plus important est d’avoir une famille aimante qui se soucie de la personne et qui est prête à faire tout ce qui est en son pouvoir pour l’aider à se rétablir.

Mais qu’en est-il de la nouvelle dynamique familiale dans laquelle les parents sont également dépendants de leurs écrans et ne considèrent donc pas la dépendance de leurs enfants à l’égard des écrans comme un problème ?

« Ce n’est pas une situation qu’un psychanalyste peut aider à résoudre », déclare sombrement le Dr Rosenfeld.


[Sous un autre angle :]

Addiction aux écrans ? Vraiment ?

[Source : Scilabus]




Dossier vaccin enfants : poison ou protection ?

😳 Après avoir vu ça, je peux vous garantir que plus personne ne fera injecter un vaccin à son bébé.

Avec l’espoir évidemment que cette vidéo circule.

Et j’espère que le corps médical en prendra connaissance.

➡️ VACCINATION POUR LES ENFANTS :
9 choses à savoir sur la vaccination.

Tout le monde devrait être informé sur les vaccins, faites vos propres recherches et vérifiez ce que nous vous présentons !

1/ saviez-vous que la plupart des maladies avait déjà disparu grâce à une amélioration de l’hygiène ?

2/ Saviez-vous qu’aux États-Unis les bébés de la naissance à 15 mois, reçoivent 26 injections contre 14 maladies différentes ?

3/ Saviez-vous que parmi tous ces cocktails vaccinaux, aucune étude n’a été réalisée sur les effets secondaires ?

4/ Saviez-vous que le nombre de personnes atteintes d’autisme augmente de façon exponentielle chaque année ?
L’autisme touche 1 enfant sur 54.

5/ Saviez-vous qu’il n’y a pas d’autisme dans les communautés Amish ?

6/ Saviez-vous que le gouvernement américain a dû verser 4,5 milliards de dollars américains à titre de compensation financière à la suite de vaccinations qui ont mal tourné ?

7/ Saviez-vous que la même stratégie a été utilisée lors de la pandémie porcine en 2009 et la pandémie de Covid 19 ?

8/ saviez-vous que 58 % des décès de nourrissons sont survenus dans les 3 jours suivants la vaccination, et 75 % dans la semaine qui a suivi ?
Avez-vous déjà entendu parler du syndrome de mort subite du nourrisson ?

9/ Saviez-vous que les adjudants suivants sont utilisés dans les vaccins ?
Thiomersal, Formaldéhyde, Aluminium, Tissu foetal. (

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[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

Un désastre pour l’humanité

Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

Disparition étrange

On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

Un bébé ne pleure pas pour rien

Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

« Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

« Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?

[Source : https://www.kla.tv/24056]

La recherche scientifique et les rapports faisant état de graves dommages causés aux vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martin sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous désormais mieux l’Agenda 2030 et le plan du Forum Économique Mondial ?

Transcription en français de l’interview

Kla.TV : D’accord, alors commençons. Bienvenue Ricardo Delgado Martin. Une brève présentation de vous-même pour le public germanophone. Eh bien, Ricardo Delgado Martin est fondateur et directeur de « la Quinta Columna ». Il est diplômé en biostatistique de l’Université de Séville. Il est titulaire d’un Master en Biostatistique, Postgraduate en Biologie de la Santé, Microbiologie Clinique, Épidémiologie et Immunologie Clinique, appliqué à l’Université Européenne Miguel de Cervantes. Expert universitaire en génétique clinique de l’Université Antonio de Nebrija. Certificat de contribution scientifique, de l’Université de Séville et Master de troisième cycle en psychologie de l’enfant. Master en banque et finance de l’Instituto Superior de Técnicas y Prácticas Bancarías. Master en formation personnelle. Autrement dit, un dossier long et complet.

M. Delgado : Merci, Angel, pour l’invitation et à la chaîne Kla.tv pour l’opportunité d’y présenter nos recherches.

Kla.TV : Ricardo, si tu devais te décrire, qui est selon toi Ricardo Delgado Martin ?

M. Delgado : En fait, puisque l’être humain est probablement soumis à une évaluation et à un changement constants, nous pouvons dire qu’une personne, proche de l’éveil, dans un sens, nous avons réalisé, nous avons constaté que le monde dans lequel nous vivons n’est pas exactement celui qu’on nous a dit. À partir d’un certain moment, j’ai dû mettre en quarantaine tous les grands dogmes et paradigmes officiels qui viennent de ce qu’on appelle la science.

Kla.TV : Eh bien, qu’est-ce que la biostatistique ?

M. Delgado : La biostatistique est une spécialité des statistiques, qui à son tour est une branche des mathématiques, une science exacte, et il s’agit plutôt d’un sujet d’épidémiologie, appliqué au domaine de la santé. C’est pratiquement la même chose, ce sont des synonymes.

Kla.TV : D’accord, comment vous est venue l’idée de fonder la plateforme « La Quinta Columna » ?

M. Delgado : Cela est né du besoin urgent de former un collectif humain, un groupe d’êtres humains conscients, qui ne partagent absolument pas la réalité qu’ils veulent peindre avec ce soi-disant agenda 2030. Puis, à partir de là, petit à petit, la chaîne s’est développée de manière exponentielle, surtout lorsque nous avons décidé d’analyser les flacons, d’abord de Pfizer, puis d’Astra Zeneca, Moderna et Johnson également. Dès lors, nous avons logiquement commencé à fournir des informations basées sur l’observation et à mettre en quarantaine tout ce qui provenait de la version officielle et des articles scientifiques des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes.

Kla.TV : D’accord, donc la question est : quelle est votre mission, pratiquement, eh bien, vous avez répondu à cette question. Je suppose que c’est reconnaître toutes ces incohérences et ces doutes, etc. J’imagine.

M. Delgado : À partir d’aujourd’hui, nous pouvons énoncer encore plus clairement la mission de la « Quinta Columna ». Il s’agit littéralement de sauver autant d’êtres humains que possible. Car là où ils veulent nous emmener, c’est la perte de toute forme d’identité et d’humanité intrinsèque, vers le transhumanisme ou l’extinction de l’espèce humaine, telle que nous la connaissons.

Kla.TV : Pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas plus de biostatisticiens, comme vous, ou de personnes dans le monde de la recherche ? Des scientifiques qui se consacrent à ces questions, c’est-à-dire à l’analyse et à la recherche sur le sujet du vaccin, de l’épidémie, etc.

M. Delgado : Il y en a, le problème est que ceux qui savent se taisent, et c’est un silence complice qui cause la perte d’un grand nombre de vies, et les autres se contentent de suivre le système et de travailler pour lui. Bien sûr, avec de grosses sommes d’argent sur la table, de l’argent taché de sang, pour le dire précisément.

Kla.TV : Eh bien, si nous revenons au début des événements, c’est-à-dire à tout ce que nous avons vécu de la soi-disant pandémie. Comment pourrait-on mieux expliquer, ou présenter ainsi à travers les médias officiels, ce qui nous a été dit, ou ce qui ne nous a PAS été dit, dans ce sens ?

M. Delgado : On nous a dit que tout était la conséquence d’un coronavirus inexistant et qu’il s’agissait donc d’une pandémie, alors que la réalité est évidente : il s’agit d’un génocide par l’introduction d’un composé chimique toxique à l’intérieur de l’organisme. Par conséquent, si nous introduisons un composé chimique qui a une capacité radio modulable et qui agit dans le corps comme un agent pathogène, nous parlons d’un acte prémédité et conscient et bien sûr d’un génocide et pas du tout d’une pandémie. C’est pourquoi ils peuvent savoir avec une précision absolue quand une vague apparaît, la deuxième, la troisième, qu’ils appellent variants, ce qui n’est qu’une justification des morts et des maladies causées par ce qu’ils appellent des vaccins, qui logiquement ne sont pas du tout des vaccins.

Kla.TV : D’accord. À partir de quel moment, ou plutôt, à quel moment avez-vous vraiment commencé à avoir des soupçons, ou comme on dit, à penser que quelque chose ne colle pas ? À quel moment avez-vous eu ces doutes ou avez-vous commencé à ne pas trouver de logique dans tout ce qu’on nous dit et ce que nous vivons ?

M. Delgado : Pratiquement depuis le début. Nous avons d’abord pensé qu’il pouvait y avoir un type d’agent biologique qui ne correspondait pas à ce que l’on nous avait dit. Nous avons commencé à faire des calculs, en utilisant précisément les chiffres que les modèles épidémiologiques peuvent donner. Nous avons fait des comparaisons avec la grippe saisonnière commune et nous avons considéré les contre-mesures qui étaient prises. Et nous avions aussi le précédent de la fameuse grippe A de 2009/2010. Tout cela nous a fait soupçonner qu’il y avait une grande opération derrière tout cela : le fameux événement 201 organisé à New York le 18 octobre par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université John Hopkins et le Forum Économique Mondial, et c’est très important. Tout cela était très suspect, mais surtout lorsque nous avons analysé le vaccin, c’est-à-dire lorsqu’ils ont commencé à l’injecter, nous avons constaté un effet magnétique exacerbé, d’abord dans la zone de la piqûre, puis étendu à la zone du plexus solaire supérieur et enfin à la tête, c’est-à-dire le tissu conducteur d’électricité du corps. Nous avons émis l’hypothèse qu’il s’agissait d’un dérivé du graphène sur la base de tout ce que nous savions déjà et des hypothèses ou des fortes indications qui existaient, et nous l’avons finalement prouvé par une analyse préliminaire, puis par une analyse finale que nous développerons un peu plus tard.

Kla.TV : Nous avons donc entendu dire jusqu’à présent que le virus SRAS-CoV-2, c’est-à-dire le virus censé causer cette maladie Covid-19, n’a jamais été isolé ni séquencé. Que signifie isoler ou séquencer au sens d’un virus ?

M. Delgado : Le séquençage et l’isolement d’un agent biologique — de type Corona viral, dans ce nouveau cas — impliqueraient de disposer de la séquence exacte de nucléotides et de la combinaison de toutes ces paires qui ne donnaient pas l’impression d’être 29 800, ou environ 30 000 paires de nucléotides. Il s’agit d’un format d’ADN, c’est-à-dire que nous n’avons pas cela. Ce que vous avez, c’est une construction virtuelle assemblée avec un algorithme informatique qui est également appelé MUSCLE, c’est-à-dire que ce sont des virus in silico [sous forme purement logicielle ou virtuelle, NDT] ou des virus chimères, c’est ainsi qu’on les appelle. Il n’existe que dans l’ordinateur. Le SRAS-CoV-2 n’existe pas dans la nature. À partir du mucus de trois patients atteints ou décédés de différents types de pneumonie précisément à Wuhan, ils ont extrait du matériel génétique et essayé de séquencer quelque chose, mais avec seulement une amorce initiale, à partir de laquelle ils ont extrapolé. Ils n’ont pas besoin de le faire [ils pensent qu’ils n’ont pas besoin de séquencer une chaîne complète de nucléotides, NDT], ils ont des logiciels ! [qui sont supposés permettre de reconstituer la chaîne complète du supposé virus à partir de l’amorce et de multiples bouts de chaînes dont en réalité on ne peut certifier l’origine génétique, NDT.] Mais pas seulement pour cet agent biologique, mais aussi pour tous les autres qui l’ont précédé. Il n’y a donc pas de véritable connaissance en matière de séquençage de la nature du SRAS-CoV-2. Personne ne l’a [le virus et/ou son séquençage d’un seul tenant, NDT]. S’ils l’avaient eu, ils auraient soi-disant fabriqué un vaccin traditionnel atténuant l’agent. Il n’existe pas non plus de laboratoire capable de le cultiver, alors qu’il y a déjà environ 180 institutions dans le monde : ministère de la Santé, institutions universitaires de toutes sortes, etc. dont aucune ne dispose du séquençage [réel] du SRAS-CoV-2. Néanmoins, elles nous parlent de variants et de sous-variants.

Kla.TV : Exactement, donc à un moment donné de l’histoire, pour autant que nous le sachions, y a-t-il eu un séquençage d’un virus ? D’une manière générale, savons-nous que certains virus, je ne sais pas, Ebola ?…

M. Delgado : Il est possible qu’il y en ait un, Angel, il est possible qu’il y ait un véritable séquençage d’un agent biologique [mais jusqu’à présent, aucun institut n’a pu apporter la preuve de l’isolation et du séquençage intégral d’un seul tenant d’un supposé virus, alors que l’on a pu scientifiquement isoler et caractériser des exosomes produits naturellement par des cellules agressées, et d’aspect similaire aux supposés virus pathogènes vus par microscopie électronique, NDT]. Car désormais, nous devons également nous demander si ce que nous appelons virus est la conséquence ou la cause [en tant que supposés agents contagieux (cause) envahissant le corps d’un hôte (effet), puis se propageant à un autre (cause) pour le rendre à son tour malade (effet), etc., NDT] de maladies et non le produit de celles-ci [en tant qu’exosomes résultant de l’agression de cellules par des causes supérieures telles que des toxines chimiques ou des ondes électromagnétiques, NDT]. Il est probable que la virologie actuelle doive littéralement être déchiquetée et jetée à la poubelle. Nous avons amené tout le monde à croire — en fonction des intérêts pharmaceutiques, d’abord la Fondation Rockefeller et maintenant la Fondation Bill et Melinda Gates, qui prend le relais — que ce que nous appelons virus ou agents viraux sont la cause de maladies, alors qu’ils en sont très probablement la conséquence. Et la maladie est causée par des phénomènes de radiation, d’intoxication, etc. comme c’est le cas que nous allons voir maintenant avec ce qu’ils appellent Covid-19.

Kla.TV : Dès lors, nous devrions, comme on dit, prendre avec des pincettes le fait qu’il existe peut-être un virus de la grippe, de la variole, de la rougeole, du sida, d’Ebola, etc., selon ce que vous mentionnez.

M. Delgado : Et il n’y a pas non plus de contagion en tant que telle, et il n’a jamais été démontré non plus qu’une personne soi-disant infectée par la grippe puisse contracter ou transmettre la maladie à une autre personne par voie aérienne, car il a été démontré que l’information voyage, l’information génétique, mais comme messager d’alerte, c’est-à-dire ce que nous appelons le Coronavirus — ces types d’agents viraux, sont probablement des messages d’alerte inter-espèces pour alerter qu’il existe un phénomène tel que les radiations qui affecte tout le monde. [NDT Ici, il s’agit sans doute de l’hypothèse du rôle messager de certains exosomes, mais surtout un messager intracorporel pour avertir les autres cellules du corps. Il resterait à démontrer que les exosomes produits par un organisme donné peuvent réellement pénétrer dans un autre corps biologique. Cependant, il a été scientifiquement démontré que les cellules ou les tissus vivants peuvent communiquer de l’information biologique entre individus d’une même espèce par le biais d’ondes électromagnétiques dans les gammes de fréquences visibles et ultra-violettes sous forme de biophotons. Voir Communication entre organismes vivants par biophotons.] Le virus synthétise alors une protéine qui va protéger l’individu, non pas pour le tuer, mais pour le protéger. [NDT Alors que la nature abonde en exemples de collaborations symbiotiques entre diverses espèces, par exemple entre arbres, champignons et bactéries, la vision pasteurienne et de l’industrie pharmaceutique voudrait nous faire croire que les bactéries et surtout les virus ont été essentiellement créés pour nuire aux plantes, aux animaux et aux êtres humains.]

Kla.TV : Préparer l’organisme, le corps humain à réagir d’une certaine manière ou sous une certaine forme.

M. Delgado : Exactement, mais ce qui le tue ou le rend malade, ce sont les radiations. Il est probable que la grippe commune soit saisonnière, il s’agit probablement d’une sorte de rayonnement solaire naturel, par exemple : typique des hivers.

Kla.TV : Nous posons la question automatiquement, par exemple dans les vaccins qui nous ont été administrés depuis des générations. Qu’est-ce qui a vraiment été donné à l’être humain, si toutes ces causes virales n’ont vraiment aucune justification ou n’existent pas en tant que telles ?

M. Delgado : Je vais vous répondre très rapidement : le mercure sous forme de thimérosal, qui a augmenté la prolifération d’enfants souffrant de troubles nerveux. L’aluminium, c’est précisément à cela que le corps réagit de manière allergique, et non à aucun virus atténué, responsable d’une épidémie d’autisme depuis précisément le moment où il a commencé à être injecté. Dans les vaccins traditionnels dont nous parlons, il existe des solvants qui sont censés dissoudre la membrane lipidique cellulaire, de sorte que le vaccin a davantage d’importance en tant qu’adjuvant. C’est ce qu’ils nous disent. Détergents tels que polysorbate 80 et tritoniqui 100 ; c’est ce qui a été introduit dans les vaccins traditionnels, mais maintenant il existe ce qu’ils appellent la technologie de l’ARN messager, il n’y a pas d’ARN messager du tout, la seule chose qui existe est la microtechnologie et le graphène. Le graphène est une autre matière particulièrement toxique à l’intérieur du corps, qui s’ajoute à toute cette opération machiavélique qui dure depuis longtemps.

Kla.TV : OK, en parlant de cet agent toxique, l’oxyde de graphène comme vous le dites. Que provoque exactement l’oxyde de graphène dans l’organisme humain ?

M. Delgado : L’oxyde de graphène — la première chose que nous devons comprendre est que lorsqu’il est à l’intérieur du corps en contact avec des cellules vivantes, il a un comportement magnétique exponentiel, c’est pourquoi « La Quinta Columna » a envoyé un message lorsque nous avons vu de nombreux cas autour de nous, le phénomène typique où les cuillères et les objets métalliques se collent directement dans la zone de la piqûre et ensuite, comme je l’ai dit, dans la zone de la poitrine et de la tête, mais il était également mesurable et l’est encore avec des appareils de mesure électromagnétique comme celui-ci. Nous savons donc que le graphène renforce le signal des antennes téléphoniques en gigahertz et, grâce à l’effet transistor, le convertit ou le transfère en térahertz, ce qui permet précisément à la microtechnologie présente à l’intérieur du vaccin de fonctionner. Le graphène dans le corps entier active la coagulation sanguine, il est utilisé dans le format, pour réduire les plaquettes, pour activer la coagulation et a donc un effet thrombocytopénique. Toutes sortes de maladies apparaissent à la suite de thrombus générés par la coagulation du graphène, et c’est le cas, parce qu’il renforce les dommages causés par les radiations. Les radiations génèrent déjà l’effet de bobine, en empilant les globules rouges, les érythrocytes. Si le graphène renforce cet effet, il y aura un effet cumulatif de coagulation. Conséquence : accidents vasculaires cérébraux, embolies, toutes sortes de phénomènes d’accidents cardiovasculaires et cérébrovasculaires, embolies également là où il y a un manque d’apport sanguin. Mais le graphène est également mutagène à l’intérieur du corps, il a la capacité de moduler les gènes, il génère la mutagenèse, l’altération chromosomique et le cancer. Il est également à l’origine de l’infertilité masculine et féminine. Dans le sperme masculin, il affecte la motilité des spermatozoïdes et entraîne la stérilité de la quasi-totalité de la population. La neurodégénérescence également et, bien sûr, le cancer. Mais aussi des arythmies cardiaques parce que c’est un matériau super conducteur et qu’il va se loger dans cette ligne où l’on provoque précisément le magnétisme, c’est-à-dire le système nerveux central, formé par la moelle épinière et les neurones. Dans la tête, comme je l’ai dit : neurodégénérescence. Il a d’autres capacités dont le but final que nous verrons plus tard. Et dans le cœur, lorsqu’il entre en activité électrique en raison de l’activité cardiaque, le graphène sera dirigé là, agissant comme un super conducteur, ce qu’il est. Tout le monde connaît donc déjà les batteries au graphène. Le graphène est également un condensateur d’énergie : il stocke l’énergie qu’il reçoit de son environnement, en particulier des antennes téléphoniques. Il reçoit cette énergie et peut la décharger. S’il génère des décharges dans le cœur, il rompt le rythme cardiaque, provoquant un évanouissement dû à un manque d’irrigation cérébrale et, par conséquent, un effondrement, une syncope, un évanouissement, une arythmie avec une mort soudaine et abrupte, ce que nous constatons également aujourd’hui. Et j’oublie l’essentiel : à moyen terme, le graphène est dépendant des radiations, c’est-à-dire qu’il absorbe les radiations des micro-ondes et multiplie à la fois la fréquence et les dommages. Dès qu’il pénètre dans le corps, il commence à libérer des radicaux libres. Le moment venu, il dépassera un certain seuil du système immunitaire et générera ce que l’on appelle une tempête de cytokines, la fameuse tempête de cytokines. À l’intérieur du corps, comme il s’agit d’un toxique, le système immunitaire répond par une inflammation pour essayer d’empêcher la prolifération du toxique. Il s’agit donc d’une inflammation systémique ou multi-organes. La tempête de cytokines est éliminée par les poumons. Dieu merci, le corps humain a la capacité de l’éliminer, mais une fois irradiée dans les poumons, elle génère une pneumonie bilatérale. Nous avons donc déjà une Covid-19 sévère. La vraie Covid.

Kla.TV : Puisque nous parlons d’un syndrome d’irradiation aiguë, d’après certains programmes que je vous ai entendus dire, il n’y a pas de législation au niveau de chaque pays sur la quantité d’émissions autorisées, ou sur les antennes : combien sont autorisées à être émises pour qu’elles n’affectent pas les êtres humains, la santé humaine. Savez-vous quelque chose à ce sujet ? Je veux dire, parce que bien sûr nous parlions il y a des années des antennes 2G, 3G, 3G+, 4G, mais à un moment donné j’imagine que ce rayonnement est collecté de manière à ce que nous puissions savoir s’il est nocif ou non. Jusqu’à quelle limite pouvons-nous dire qu’elles sont nocives et qui peut nous protéger de ces radiations ? Officiellement, à qui devrions-nous nous adresser ?

M. Delgado : En théorie, auprès des organisations du comité des radiofréquences, dans notre pays, par exemple en Espagne, ou auprès du Conseil de l’environnement. Les valeurs qui causent des dommages dépassent même 500 à 1000 fois celles qui sont autorisées dans notre pays. Les chiffres changent ou varient légèrement d’un pays à l’autre au sein de l’Union européenne, mais même ainsi, ceux qui sont déjà considérés comme permissifs dépassent de loin ceux qui affectent la biologie humaine. Par exemple, j’ai ici en ce moment, si vous regardez l’écran, je ne sais pas si vous voyez quelque chose… eh bien, les volts par mètre ou en microwatts par cm² sont de 13, à l’intérieur de la maison il faudrait que ce soit 0,1, c’est-à-dire que nous parlons de 130 fois plus. Bien que nous ayons placé un tissu antiradiation sur cette fenêtre et de l’autre côté de l’arrière, je veux dire que c’est de la folie. Ils ont transformé le monde en une soupe électromagnétique. Si nous introduisons également dans le corps un matériau qui augmente le rayonnement de trois magnitudes d’onde, qui convertit les gigahertz des antennes téléphoniques en térahertz, ce qui est précisément là où la microtechnologie que nous avons également trouvée dans le vaccin fonctionne, alors vous avez un syndrome d’irradiation aiguë. C’est pourquoi la symptomatologie et le tableau clinique du syndrome d’irradiation aiguë correspondent exactement au syndrome de Covid. Le syndrome d’irradiation chronique, conséquence de l’irradiation constante de la personne ou de l’individu, est appelé Covid long — Covid long ou Covid persistant.

Kla.TV : En parlant de radiations et de virus, comment expliqueriez-vous l’événement de 1918 ou 19, je pense, de la fameuse ou de la soi-disant grippe espagnole ? Je veux dire, que s’est-il passé là ? Parce que si nous regardons parfois ainsi, dans les livres d’histoire, nous voyons des gens protégés, avec des masques, etc. Et que s’est-il passé, que s’est-il passé exactement là ?

M. Delgado : C’est à ce moment-là que les premières ondes radio du spectre électromagnétique ont commencé à être émises globalement et massivement vers la biologie humaine pour la première fois. La première modification globale du terrain de l’être humain a eu lieu, en fait, elle a commencé précisément dans des casernes militaires aux États-Unis, qui étaient le foyer de l’épidémie supposée de ce qu’ils appelaient le virus H1N1 de la grippe espagnole, ou la variante de l’époque. C’est là que tout a commencé. Chaque fois qu’il y a eu un bond technologique avec une nouvelle émission de rayonnement micro-ondes, dans ce cas déjà, nous avons eu une épidémie ou ce que l’on a appelé une pandémie. La pandémie de Hong Kong était liée à la pandémie de 1958, qui comportait également une nouvelle émission de radiofréquences. La 4G a coïncidé, la 4G+ a coïncidé avec la grippe de 2018. Je me souviens qu’en 2018, le Covid-19 est déjà apparu, au cas où vous ne le sauriez pas, des pneumonies bilatérales sont apparues, des inflammations sur tout le corps. Encore plus qu’en 2020. En 2018, ils ont déjà introduit dans le vaccin antigrippal, selon toute probabilité, ce matériau radiomodulable et l’irradiation subséquente avec la 4G+. Ils ont constaté que cela fonctionnait, donc la campagne suivante, la campagne 2019-2020, ils ont globalement introduit chez les personnes âgées dans les maisons de retraite, dans le vaccin contre la grippe, l’oxyde de graphène réduit, et c’est ce que le Dr Campra a trouvé par la suite.

Kla.TV : Alors, parlons encore de la question de la grippe espagnole, de cet événement très célèbre. C’est arrivé et il n’y avait pas de vaccins, il n’y avait absolument rien dans ce sens. Que se passe-t-il pour que l’être humain ait la capacité de s’adapter à cela ? Et pourquoi tout d’un coup, après qu’un nombre effarant de personnes soient mortes soi-disant à cause de la fameuse grippe, que s’est-il passé là, c’est-à-dire comment les êtres humains ont-ils pu s’adapter ? Parce que les antennes émettaient toujours, je comprends. C’est-à-dire que notre capacité d’adaptation nécessite un certain temps chez la plupart des gens, mais bien sûr, comment pourrait-on mieux expliquer cela ? C’est-à-dire que chaque fois qu’une nouvelle radiation arrive, un élargissement du spectre se produit, à partir de ce moment-là, nous avons davantage de possibilités de tomber malade ou de ne pas nous adapter et peut-être que seuls certains sont capables de faire face à cette nouvelle exposition, pour ainsi dire.

M. Delgado : Simplement, lorsqu’il y a une nouvelle altération de l’environnement, certains survivent, résistent et d’autres meurent, comme dans la nature. Sauf que cela ne correspond pas à la nature, c’est une nouvelle altération artificielle de l’environnement. Il y a une… dans le concept d’épigénétique une adaptation par la modulation rapide des gènes, ce qui est fait précisément c’est d’aller à l’endroit de ce que l’on appelle à tort virus ou Coronavirus, qui n’est qu’une réadaptation de notre ADN par une synthèse protéique lorsqu’il est soumis ou irradié, dans ce cas avec une nouvelle longueur d’onde qui n’est pas de la trame normale — solaire naturelle par exemple.

Kla.TV : Alors ce nouveau rayonnement, la 5 G, en quoi est-il clairement différent de la 2 G ou de la 3 G jusqu’à présent, c’est-à-dire que sommes-nous… quelle est l’ampleur ou de quoi parlons-nous en comparaison ?

M. Delgado : Eh bien, en tout, il n’y a absolument aucune comparaison possible. Depuis la 4 G+ et surtout la 5 G, outre le fait que c’est infiniment plus d’électricité ambiante artificielle, infiniment plus de millions d’antennes placées partout dans le monde, il y a un nombre exponentiel élevé de Volts par mètre qui traversent la biologie humaine, le règne végétal et tous les êtres vivants en général. Nous voyons également des oiseaux tomber lorsqu’ils changent de fréquence. Surtout, ils tombent fondus, et même certaines antennes téléphoniques brûlent à cause des radiations qu’elles émettent. On parle aussi de micro-ondes, mais avec beaucoup plus de force et aussi en format AX. C’est-à-dire qu’il s’agit d’un faisceau. La 5G est scalaire et millimétrique, elle envoie un faisceau directement à la personne qui se connecte ou qui a un smartphone. Mais ce n’était pas seulement pour le téléphone, c’était aussi pour les gens, d’après ce que nous savons maintenant.

Kla.TV : Mais ce faisceau, disons, dont vous parlez, auquel vous faites référence, signifie qu’il n’émet pas toujours. Je veux dire, ce que j’ai du mal à comprendre, c’est qu’une antenne normalement, si elle est en fonctionnement, est censée émettre en permanence et si elle est au niveau de la 5 G, eh bien évidemment, elle émettrait en permanence, mais vous me dites que ce n’est peut-être pas son but, de ne pas émettre en permanence, mais d’émettre seulement à un certain moment de la journée, de l’heure, je ne sais pas. C’est ce que je n’ai pas…

M. Delgado : Il émet, il émet toujours dans un format vectoriel à gradient directionnel, c’est-à-dire qu’il y a un courant qui vous traverse constamment, mais s’il y a une exigence d’un certain type d’appareil électronique qui est connecté à cette fréquence, parce que c’est un objet intelligent, par exemple une couche qui va… une couche intelligente va nous dire quand elle est mouillée ou non, selon que l’enfant a fait ses besoins ou non. Dans ce cas, la couche reçoit un faisceau pour exiger cette information automatiquement ou à la demande de l’utilisateur et, bien sûr, ce faisceau est une impulsion électromagnétique, ce qui est peut-être la chose la plus dangereuse. Les changements brusques sont les plus dommageables. Ainsi, une personne entre dans un supermarché avec un niveau de radiation, entre à l’intérieur, est protégée par les murs. C’est pourquoi nous observons de nombreux évanouissements et syncopes à la sortie des supermarchés, où il y a également beaucoup de radiations.

Kla.TV : Nous parlerions donc d’une dose, pour lui donner un nom, que nous recevions une quantité de dose supérieure à ce qui est sain, à quoi le corps humain pourrait s’adapter. Nous pourrions le dire ainsi.

M. Delgado : Exactement. Les doses mesurées en millisievert, c’est-à-dire que les rayonnements causent des dommages, soit sous forme d’impulsion, soit à moyen terme, parce qu’ils absorbent la dose de rayonnement qui s’accumule dans les tissus. C’est ce qui finit par générer le cancer, qui prolifère. C’est ce qui finit par générer, ensuite, tout type de… Tous les dommages causés par les radiations sont précisément ce qui a été décrit comme le Covid 19, et ses variantes respectives, parce qu’il s’agit d’un syndrome d’irradiation aiguë. Lorsque nous avons vu les études officielles, qui comparaient le syndrome d’irradiation aiguë avec le Covid-19, le problème est qu’elles ne l’ont pas considéré comme un agent causal, comme la véritable cause, parce qu’elles ne sont pas conscientes, ou elles [les études, NDT] n’étaient pas conscientes que ce dérivé du graphène, l’oxyde de graphène réduit, est introduit, ce qui augmente les dommages causés par les radiations. Même s’il les rapproche des rayonnements Cherenkov, c’est-à-dire qu’il les multiplie par mille, le graphène augmente les dommages causés par les rayonnements. Et tout ce que je dis, ce sont des articles scientifiques que j’ai recueillis ; même le projet CORDIS de l’Union européenne, et nous pourrons continuer plus tard.

Kla.TV : Alors, euh, Wuhan, juste pour revenir un peu en arrière, quand toute cette histoire macabre a-t-elle commencé, pour ainsi dire, est-ce là que le rayonnement 5G a été pratiquement émis pour la première fois ?

M. Delgado : Exactement en novembre, fin novembre 2019, à Wuhan, a coïncidé l’apparition de ce qu’ils ont appelé un virus corona inexistant, en raison de ce que nous avons dit dans l’introduction, avec juste la mise en œuvre de la technologie 5G dans une ville de 11 millions d’habitants, dans le temps et l’espace, qui était Wuhan. Dites-moi quelle est la probabilité que la prétendue épidémie de coronavirus apparaisse à Wuhan, au moment et à l’endroit où cette technologie a été mise en œuvre pour la première fois, avant la vaccination contre la grippe de tous les Chinois, hein ; il faut aussi dire que dans le vaccin contre la grippe, il y avait déjà ce matériau, l’oxyde de graphène, qui est également mentionné dans les brevets.

Kla.TV : OK, très intéressant ce que vous venez de dire, ou très inquiétant, comment mieux le dire ? Euh, nous avons entendu parler de l’analyse du Dr Campra, dans laquelle de l’oxyde de graphène a été trouvé. Comment et pour quelles raisons la recherche sur les ingrédients des différents vaccins a-t-elle commencé, c’est-à-dire, quelle en était la raison exactement ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Sevillano, qui est un élément important de la Quinta Columna et qui nous accompagne tous les soirs dans les émissions en direct, a déclaré : « quand ils commenceront à injecter les gens, nous réaliserons vraiment ce qui se passe ». Jusque-là, nous savions que des personnes tombaient à proximité des antennes téléphoniques ; en effet, 8 antennes sur 10 ont été placées dans les maisons de retraite, on comprend maintenant pourquoi. Nous sommes allés jusqu’à estimer la mortalité des EHPAD. Un autre cofacteur était le vaccin contre la grippe. Il y a eu certains rapports, comme celui de Barbastro, une région ici à Teruel en Espagne, et nous avions enregistré que, euh, ceux qui n’étaient pas vaccinés contre la grippe, pratiquement tous avaient survécu. Et chez ceux qui ont été vaccinés contre la grippe, il y a eu une mortalité très élevée liée au Covid-19 ; et la morbidité due à la maladie également. Il y avait des maisons où 80 personnes âgées sont mortes en 4 heures. Aucun agent biologique ne peut faire cela, pas même Ebola. Mais les radiations…

Kla.TV : La simultanéité, disons. Cela s’appelle la simultanéité, je ne sais pas… En même temps, il est difficile de penser que ce soit un agent infectieux, que certains expliquent comme la version officielle, qui puisse provoquer une telle chose dans un tel groupe.

M. Delgado : Ce n’est pas comme cela que nous voyons les choses, avec les médecins et les travailleurs de la santé qui ont vu la situation ; beaucoup d’entre eux sont déjà d’accord avec la thèse de la Quinta Columna. Je dis bien, avec la thèse, pas avec l’hypothèse. Mais lorsqu’ils ont commencé les injections et que le phénomène magnétique s’est aggravé, nous nous sommes rendu compte que ce matériau était magnétique, qu’il était conducteur, supraconducteur et qu’il était un condensateur énergétique. De plus, il dégageait des différences de potentiel, une tension importante dans la tête des personnes inoculées, notamment avec mes parents, j’ai pu faire l’expérience et avec un multimètre, des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 Volt sont arrivés. C’était fou. Ils pouvaient même allumer une petite LED. Ensuite, on a cherché quels matériaux : il y en avait aussi un qui était candidat, c’était une merveille, c’était le matériau miracle, c’était le graphène, c’était à la mode, c’était magnétique à l’intérieur du corps, c’était un supraconducteur, c’était un condensateur d’énergie : il était utilisé pour les futures batteries et il avait aussi des applications biomédicales dans le domaine des neurosciences qui est l’objet de ce fameux transhumanisme qui est venu après. Nous avons reçu un flacon de Pfizer, par l’intermédiaire de Rafa Navarro, un policier d’Alicante, nous étions à un stade intermédiaire bien sûr, nous avons fait appel à quelques universités et le Dr Campra, professeur à l’université d’Almeria, le Dr Campra à Madrid, pas seulement en sciences chimiques et diplômé en sciences biologiques, s’est chargé de l’enquête. Nous lui avons dit : cherchez comme hypothèse — suspicion — un dérivé du graphène dans l’échantillon et en effet, une semaine plus tard, bien qu’il ait d’abord douté de la présence de ce matériau, il nous a dit : « Félicitations ! C’est probable. Il est très probable qu’il y ait des preuves sérieuses de la présence d’un dérivé du graphène dans l’échantillon, d’après le rapport préliminaire qui comprenait une analyse microscopique jostique, une analyse par microscopie électronique TEM, S-TEM et une compatibilité avec les séquences de lumière ultra-violette. » Mais ce n’est que 4 mois plus tard, lorsque non plus un seul flacon de Pfizer mais 7 flacons, provenant maintenant de 4 marques différentes : Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen, qui sont les plus commerciales dans notre pays, ont été soumis à une technique Micro Raman qui donnait déjà les pics caractéristiques de tous les matériaux d’un point de vue physique. L’oxyde de graphène réduit est apparu sans équivoque et de manière concluante.

Kla.TV : Dans tous les échantillons de différentes marques ?

M. Delgado : Dans chacun d’eux. Dans chacun d’eux. Cette matière est assez abondante dans le corps, mais qui plus est, voici la partie inquiétante. Le graphène a expliqué ce qu’ils ont appelé le syndrome Covid et toutes les morts immédiates et subites auxquelles nous assistons, en dehors de tous les cas de cancer de nos jours. Mais le graphène lié au domaine des neurosciences est utilisé, avons-nous dit, pour convertir le signal Gigahertz en Terahertz. L’effet secondaire : le syndrome Covid, d’accord. Mais ces Tera-Hertz sont utilisés pour les micro et nanotechnologies afin qu’ils puissent fonctionner, c’est-à-dire à l’échelle nanométrique et micrométrique, à cette très petite échelle, ces appareils dans le domaine des nanocommunications et des réseaux intra-corporels ne peuvent que travailler dans le groupe Terahertz. C’est pourquoi ils ont introduit l’oxyde de graphène dans tout le corps.

Kla.TV : La batterie, l’énergie nécessaire au fonctionnement de cette nanotechnologie.

M. Delgado : En effet, même si cette énergie a généré la mort de millions de personnes et une épidémie qu’ils ont qualifiée ou présentée comme un coronavirus, ce n’est qu’un écran de fumée pour continuer à tromper les gens.

Kla.TV : Cela soulève une question Ricardo, excusez-moi. Les gens qui n’ont pas été vaccinés, nous n’allons pas appeler cela un vaccin, évidemment. Ils n’ont pas été vaccinés, ni injectés, ni graphénés, mais ils ont quand même contracté le Covid, comment expliquez-vous cela ?

M. Delgado : Il faut faire une parenthèse. Lorsque nous parlons de Covid, nous parlons d’inflammations dans tout le corps. Le véritable Covid est : inflammations dans tout le corps, dyspnée — difficulté à respirer, parce que vous avez des niveaux de saturation bien inférieurs à la normale —, pneumonie bilatérale et tempête de cytokines. C’est à peu près tout. Tout le reste, il y a des preuves, mais tout le reste n’est pas un test PCR positif, un autre outil qui a été utilisé pour poursuivre cette tromperie massive en faisant croire que tout est positif.

Kla.TV : Oui, il semble que tout ait donné un résultat positif pour le Covid, y compris la grippe — il semble que nous n’ayons pas entendu parler de cas de personnes qui avaient seulement la grippe.

M. Delgado : Cela faisait longtemps que nous ne pouvions plus croire ce qui venait des médias, ni les chiffres, ni les statistiques, probablement tous manipulés. 47 000 euros ont été payés ici par admission, et par décès Covid dans les hôpitaux. On a donc essayé de rendre positifs les patients atteints de pneumonie, jusqu’à 15 et 16 PCR. Finalement, ils ont opté pour l’eau du robinet, ce qui leur a permis d’obtenir très facilement leur précieux résultat positif. Il y a aussi le test de l’antigène. Le test de l’antigène déclenche l’immunoglobuline ; nous pourrions dire qu’il est plus proche de la réalité, mais le fait est que le graphène déclenche les immunoglobulines à l’intérieur du corps. Ce qu’ils font, c’est que si vous introduisez de la ciguë, ou n’importe quel toxique, les anticorps neutralisants vont agir comme s’il s’agissait d’un agent biologique pathogène, alors qu’il s’agit d’un composé chimique toxique. Ainsi, les immunoglobulines sont déclenchées, les anticorps neutralisants apparaissent et vous disent que le vaccin fonctionne. Bien sûr, lorsque le corps parvient à l’éliminer, au bout de quelques mois, on vous dit : vous n’avez plus d’anticorps, vous devez recevoir la deuxième dose, ou la troisième, ou la quatrième, etc.

Kla.TV : C’est-à-dire que le graphène se dégrade d’une manière ou d’une autre, puis retourne à la charge, afin que cette énergie puisse continuer à s’accumuler dans l’organisme.

M. Delgado : En effet. En fait, la seule façon de se soustraire aux doses est de finir aux soins intensifs de l’hôpital ou au cimetière, ce qui est malheureusement le cas d’innombrables parents, très proches d’ailleurs, qui n’ont pas voulu croire, disent-ils, mais ce n’est pas une question de croyance. Nous avons déjà démontré et prouvé tout ce qui se trouve à l’intérieur des vaccins. De plus, le graphène n’a pas seulement été injecté, rappelez-vous que tous les éléments de la prétendue protection ou prévention de la maladie contenaient du graphène. Les masques contenaient du graphène et ont été rappelés. Le FPP2 en contient encore. Et les autres en contiennent également, parce qu’ils disent qu’ils les mettent au point de manière à ce qu’ils ne soient pas contaminés une fois jetés. Les hydrogels alcooliques, avec lesquels les enfants se lavaient compulsivement les mains, contiennent également des dispersions d’oxyde de graphène. Les tests PCR sont fabriqués par Nanographic, une entreprise qui commercialise et produit du graphène. Il en va de même pour les tests antigéniques. En d’autres termes, cela a été introduit partout, et aussi par inhalation. Il y a des gens qui ont présenté le phénomène magnétique dans la poitrine, parce qu’ils n’avaient pas été vaccinés, et nous ne doutons pas qu’ils ont également été fumigés. Il existe des brevets pour la dispersion d’oxyde de graphène dans des biocides, eh, des fongicides, dans des produits phytosanitaires, des pesticides, et pour améliorer la combustion du kérosène liquide brûlé dans les avions. Donc, ils l’ont probablement fumigé…

Kla.TV : Je veux dire, à travers ces traînées qu’on voit parfois dans le ciel, euh, qu’on ne sait pas, on pense que c’est de l’évaporation, etc. Mais en fait, bien sûr, quand elles persistent, ça semble être pour une période plus longue et, à partir de ce moment-là, il faut évidemment se méfier.

M. Delgado : Bien sûr. En fait, il ne s’agit pas de traînées de condensation de vapeur d’eau normales pour l’aviation, qui disparaissent immédiatement. Elles durent jusqu’au lendemain, et tout ce matériel, ainsi que les métaux lourds, génèrent également des pneumopathies, tombent au sol et s’intègrent aux poumons des patients en service.

Kla.TV : Eh bien, Ricardo, qu’en est-il des autres vaccins prévus au calendrier, peut-on leur faire confiance ? En général ? Ou ?

M. Delgado : Non. Depuis 2018, avec l’introduction de cette technologie, nous avons découvert qu’elle n’affecte pas seulement le vaccin Covid, nous avons déjà examiné le vaccin contre la grippe également. Hier, ils nous ont envoyé un document sanitaire contenant davantage d’images, et ces objets ressemblant à du graphène, non caractérisés dans ce cas, oui dans les vaccins Covid, mais nous avons la caractérisation des vaccins Covid, et une fois que nous connaissons l’image, le relief que le graphène forme, comment il se replie sur lui-même, il est très probable qu’il soit dans le calendrier régulier des vaccins, parce que, en outre, le phénomène magnétique est observé après la piqûre, dans le vaccin pour les enfants également. Le vaccin antipneumococcique, Pneumovax, je crois qu’il s’appelle, Prevenar 13, Vaxigrip, qui est un vaccin antigrippal, tous ces vaccins contiennent également du graphène. Il s’agit probablement d’une nanotechnologie appliquée aux flacons. Ainsi, de 2018 à aujourd’hui, le conseil, ou la recommandation de la Quinta Columna, est que personne n’injecte absolument rien.

Kla.TV : D’accord. Ces personnes qui se sont conformées, eh bien, aux deux premiers vaccins, puis aux rappels ; et ils ont encore des doutes, je ne sais pas s’ils ont pris les trois vaccins, ou s’ils vont continuer à se faire vacciner, que diriez-vous à ces gens ?

M. Delgado : Eh bien, ils ont eu beaucoup de chance. En effet, pas plus tard que la semaine dernière, je parlais à quelqu’un qui me disait qu’il avait reçu deux doses, l’une de Pfizer et l’autre de Moderna, et qu’il était en vie. Avant-hier, nous sommes revenus des funérailles de cette personne. Mort subite et immédiate, 36 ans. Un autre, un autre cas, 34 ans, un garçon, cancer fulminant. N’oublions pas que le graphène augmente les dommages causés par les radiations, et que l’un des effets des radiations est le cancer. Ils arrivent en feu. Il peut arriver qu’une personne reçoive trois doses et qu’il ne lui arrive absolument rien parce qu’elle vit dans un environnement où elle n’a pas accumulé de radiations ; par conséquent, elle ne va pas absorber ces radiations. C’est l’arme parfaite pour tuer. Cependant, une personne ayant reçu une seule dose, et qui reçoit l’impact des radiations parce qu’elle a une antenne téléphonique, et que le temps d’exposition, disons, est très élevé, développera très probablement soit une mort subite à la suite de la décharge de graphène dans le cœur, soit une myocardite péricardique, lorsqu’elle enflamme ce tissu, soit une mort subite, également, en raison de la même conséquence. Ou le fameux poumon Covid, euh, à moyen terme ; surtout, quand il commence à l’éliminer par le poumon. Au bout d’un mois et demi, ce matériel commence à être éliminé par les poumons, certaines enzymes entrent en jeu, comme la myéloperoxydase, qui essaient de le dégrader, mais comme il a été irradié alors qu’il est dans les poumons, il génère des inflammations pulmonaires qui ont été appelées « pneumonie bilatérale ».

Kla.TV : C’est-à-dire que ces personnes, euh, eh bien, avec la deuxième et la troisième [dose], eh bien, ce qu’elles font vraiment, c’est accumuler des radiations, et il arrive un moment où, si elles sont dans un foyer très aigu, très fort, très intense, disons, de cette irradiation qu’elles reçoivent, c’est à ce moment-là, j’imagine, que les problèmes commencent. Elles peuvent ne pas être en mesure de réagir à temps parce qu’il semble que cela provoque des arythmies ?

M. Delgado : Fulminant, c’est un fulminant, oui. Faire du sport, c’est fulminant parce que, quand on fait du sport, c’est le cœur qui entre en jeu, et les impulsions électriques cardiaques sont beaucoup plus élevées, alors, comme le graphène est super conducteur, elles vont être dirigées vers là. Et une fois là, lorsque vous terminez l’activité, il génère un choc arythmique mortel ; même avec le défibrillateur, ils n’arrivent même pas à faire avancer les gens. Les jeunes de 20 à 30 ans, les athlètes, en plus. Il absorbe également, excusez-moi, il absorbe tous les types de radiations, y compris ultrasons, infrasons, etc. C’est donc la roulette russe. Il n’y a rien dans le vaccin qui permette de développer une quelconque immunité, bien au contraire, c’est juste un composé chimique toxique et une micro-technologie, pour marquer les gens, en plus.

Kla.TV : D’accord, et à partir de là, de ces gens, comme je vous l’ai dit, les deux ou troisièmes doses, qu’ils appellent le rappel, puis celle qui a peut-être une pathologie qu’ils appellent Covid long, ça semble vouloir dire « Covid persistant », non, ou quelque chose comme ça ?

M. Delgado : Mais c’est cela, d’un point de vue biologique, nous ne connaissions pas d’agent biologique persistant. Je veux dire, la grippe commune qui sera n’importe quel autre type de coronavirus, comme ils disent, bien que l’oxyde de graphène génère l’effet corona, ils ont probablement tiré le nom de là, ils ont dit, « disons que c’est un coronavirus ». Euh, tout autre coronavirus met fin à la vie de l’hôte ou bien l’hôte développe une immunité contre lui, un point c’est tout. Il n’y a pas de séquelles à vie. Ce qui laisse des séquelles à vie, c’est l’irradiation, et c’est un syndrome, qui devient un syndrome d’irradiation chronique, qui figure dans la littérature médico-scientifique depuis plus de 70 ans. Ce n’est pas nouveau.

Kla.TV : Par exemple, au sein d’une même famille, il peut y avoir des membres qui ont développé ce Covid long, ou même ce Covid, disons, pour l’appeler d’une manière générale, et d’autres qui ne l’ont pas encore découvert, je suppose, je ne sais pas.

M. Delgado : Bien sûr, cela dépend du rayonnement que vous absorbez, mais aussi de variables intrinsèques à l’individu lui-même, telles que les niveaux de glutathion. Le glutathion est un antioxydant qui agit précisément contre l’oxyde de graphène, car celui-ci génère des radicaux libres. Ainsi, s’il génère des radicaux libres, il oxydera toutes sortes de molécules, entraînant leur mort. D’autre part, le glutathion endogène (c’est pourquoi la NAC agit contre le Covid, car c’est un précurseur du glutathion) ou la vitamine D (c’est pourquoi les patients atteints de Covid ont de faibles niveaux de vitamine D), car ils épuisent leurs ressources en essayant de dégrader l’action de l’oxyde de graphène. C’est pourquoi les personnes vaccinées, ou celles qui souffrent de Covid, sont si fatiguées, parce que le corps, le système immunitaire, travaille constamment pour essayer de dégrader l’action du toxique. Ainsi, le glutathion chez les jeunes, beaucoup de glutathion, moins de glutathion en vieillissant, plus de difficultés à avoir le Covid-19. À partir de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent, c’est pourquoi cela a affecté, je veux dire, parce que maintenant cela affecte aussi les jeunes, à partir du moment où les jeunes sont vaccinés.

Kla.TV : Comment expliquez-vous… euh, au début de la pandémie, je me souviens que même les autopsies étaient interdites dans les hôpitaux, comment expliquez-vous le fait que c’était même accepté dans les hôpitaux, qu’on ne fasse pas d’autopsies, qu’il fallait incinérer directement ? J’ai entendu dire, je ne sais pas si c’est vrai. Puisque certains médecins, Italiens, je crois, je ne sais pas s’ils étaient du nord de l’Italie, de Milan, ont exactement contredit cette règle, qu’ont-ils découvert ? Peut-être pourriez-vous m’expliquer plus en détail.

M. Delgado : Oui, Pascual Baco était le médecin, ou l’équipe médicale, qui a ignoré les directives et protocoles génocidaires de l’Organisation mondiale de la santé de l’époque, et qui a pratiqué des autopsies. C’est incompréhensible. La seule explication est de cacher l’arme du crime. Aujourd’hui, si une autopsie est pratiquée sur un véritable patient Covid, victime d’un syndrome d’irradiation aiguë, on trouvera, et c’est d’ailleurs déjà le cas, de l’oxyde de graphène. Nous avons également trouvé de l’oxyde de graphène dans le sang des personnes ayant reçu des injections. Des équipes allemandes l’ont confirmé, de même que nous avons vu ces images de micro-feuillets d’oxyde de graphène sur tout le corps, après la piqûre. Ensuite, nous avons eu l’occasion de parler plusieurs fois avec Pascual Vasco, ce médecin, lorsqu’ils ont sauté les autopsies, ils ont découvert que ce qu’ils appelaient Covid était un phénomène thrombotique, il coagulait le sang, mais c’est le graphène qui le fait ! Le graphène active la coagulation du sang. En fait, il est, ou est destiné à être utilisé comme traitement antiplaquettaire, n’est-ce pas ? Il provoque également une réduction des plaquettes, c’est-à-dire tout ce que l’on a dit que le vaccin faisait au départ, bien sûr, parce qu’il en contient.

Kla.TV : Ils n’étaient pas intéressés, je suppose, à découvrir, disons, ce qu’ils faisaient, ou qu’ils appliquaient un protocole, j’imagine, euh, très faux, parce que cela semble être….

M. Delgado : En fait, en fait, on nous a dit de ne pas utiliser l’ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire, alors que ce que fait précisément l’ibuprofène est de prévenir l’inflammation provoquée par le Covid, comme premier prodrome de la maladie. De plus, le paracétamol est toujours administré, et le paracétamol, c’est le contraire, il est contre-indiqué, car c’est l’antidote de la N-acétylcystéine, qui fonctionnerait.

Kla.TV : Donc, l’un est un oxydant et l’autre est un antioxydant.

M. Delgado : Exactement. Exactement…

Kla.TV : D’accord. Euh, à part l’oxyde de graphène, qu’a-t-on trouvé d’autre dans la composition ou les ingrédients du prétendu vaccin ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Campra a commencé à identifier des modèles artificiels. Par la suite, il a produit un autre rapport. La Quinta Columna, datée du 14 janvier de l’année 2022, a produit un autre rapport avec des échantillons très, très, très clairs de ce que, euh, de microcircuits ; nous avons même identifié ces modèles en comparant avec la littérature scientifique, avec des micro-rectènes, qui sont des ponts redresseurs à diodes, qui passent le courant alternatif direct, nous nous souvenons qu’avec un multimètre [sur] la tête des inoculés, nous pouvions mesurer des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 volts. Mais pour que cette microtechnologie fonctionne, il faut qu’elle se fasse en courant continu ; nous avons donc découvert ces redresseurs de courant, nous avons trouvé ces formats de microantennes, également des microantennes, également un cryptage de communication Codex, des supports logiques, des micro-routeurs qui émettent des adresses MAC, c’est-à-dire que cela peut être vérifié dès à présent par n’importe qui. Toute personne vaccinée peut télécharger l’application Bluetooth scanner, par exemple, et activer le GPS, puis le Bluetooth, et elle verra que toutes les personnes vaccinées dans son environnement émettent une adresse MAC, qui ne correspond à aucun fabricant de n’importe quel appareil qu’elle a chez elle. Il s’agit donc de dire que tous les individus ont été étiquetés. Nous savons que ce qui est émis, ou ce qu’ils émettent, ce sont au moins des données biomédicales : le rythme cardiaque et l’indice glycémique du sang, au minimum. Mais ils peuvent aussi émettre des signaux vers vous, rappelez-vous que tout le monde qui a un routeur…

Kla.TV : Donc, cela va dans les deux sens.

M. Delgado : Exactement.
Si vous voulez voir mes voisins, c’est toujours le cas, ou lorsque le voisin vacciné arrive, je serai toujours au téléphone ici. Je sais donc quand le voisin est là et quand il n’est pas là.

Kla.TV : Peut-il y avoir une personne qui n’est pas vaccinée, ou au moins… OK ?

M. Delgado : Voici ma télévision d’un côté, et tous les chiffres qui apparaissent sont des adresses MAC, des codes MAC de personnes vaccinées. On peut même cliquer sur l’un d’entre eux et connaître la distance approximative qui nous en sépare.

Kla.TV : Ces adresses sont donc censées se trouver dans votre environnement immédiat ou dans votre quartier ? Et peut-être auriez-vous la confiance nécessaire pour leur demander s’ils ont été vaccinés efficacement.

M. Delgado : Oui, en effet. Il s’agit d’adresses dynamiques. Elles changent toutes les 50 à 52 secondes. N’oublions pas que dans chaque dose, nous trouvons des dizaines de ces microcircuits dans une seule gouttelette et qu’avec une qualité de grossissement de 100 à 120, cela a l’air très bien. En d’autres termes, ils ont marqué tous les individus. Mais ils les ont également marqués au niveau intracorporal et intraneuronal. Et c’est ce qui est le plus dangereux. Il existe de nombreux articles scientifiques. Ils sont tous rassemblés dans la recherche de la Quinta Columna. L’oxyde de graphène traverse la barrière hématoencéphalique, une barrière qui sépare le cerveau de l’extérieur et le protège des agents pathogènes et des produits chimiques. Nous comprenons maintenant pourquoi les tests PCR passent tous par le nez, pourquoi les patchs à l’oxyde de graphène réduit pour les diabétiques qui veulent supprimer la piqûre d’aiguille et la remplacer par l’oxyde de graphène. Tout passe par la tête. Le but de toute cette opération est le contrôle comportemental dans le domaine des neurosciences de l’ensemble de la population mondiale. L’oxyde de graphène, lorsqu’il mesure moins de 45 nanomètres, traverse la barrière hématoencéphalique et s’installe dans les neurones, ce qui est très bon pour eux et présente beaucoup d’affinités parce qu’ils ont des impulsions électriques et que c’est un supraconducteur. Cet oxyde de graphène remplace le réseau neuronal naturel par un réseau neuronal artificiel. La personne est donc parasitée numériquement. Elle peut être connectée à un Cloud ou à la Meta, comme l’appelle Mark Zuckerberg, et être contrôlée par une intelligence artificielle. Cet oxyde de graphène, nous l’avons dit, est magnétique. C’est un support magnétique. Il a donc une capacité de mémoire — flash ! On peut effacer des souvenirs, enregistrer l’activité neuronale sous forme d’impulsions électriques et la contrôler sur un écran, au point de savoir ce que pense l’individu. Il est possible d’effacer des souvenirs et d’insérer des émotions, des sentiments, des pensées, en brisant la synapse neuronale, ce que fait l’oxyde de graphène. Et tout cela à distance et sans fil. En utilisant bien sûr la technologie 5 G. Nous comprenons maintenant pourquoi le président chilien Sebastián Piñeira, lorsqu’il a annoncé la 5G, a parlé d’insérer des émotions, d’insérer des pensées, en même temps qu’il proposait une loi sur les neurodroits avant la réforme constitutionnelle au Chili. Cela se fait d’ailleurs dans tous les pays. Si les gens ne sont pas conscients de ce qui se passe, je le répète : l’espèce humaine telle que nous la connaissons est en train de disparaître pour devenir un automate dirigé par l’intelligence artificielle selon les caprices de 4 ou 5 personnes au Forum de Davos. Elon Musk, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc.

Kla.TV : C’est-à-dire qu’ils peuvent influencer nos décisions à un moment donné de notre réflexion dans le sens qu’ils souhaitent et nous incliner dans une direction ou une autre en fonction du sujet qui les intéresse, j’imagine.

M. Delgado : Cela surprendrait-il quelqu’un s’ils essayaient vraiment de nous conditionner par le biais des médias, d’acheter telle ou telle chose, de voter pour tel ou tel président, etc. S’ils pouvaient le faire avec la technologie et s’il était nécessaire de l’injecter ? C’est ce qui se passe actuellement, alors que les gens n’en sont pas conscients. C’est un acte de trahison. Et oui, pour autant que je sache, on peut rendre l’individu ou le groupe d’individus ou la population en général plus docile, plus malléable. On peut le rendre plus dépressif, plus ductile, plus malléable, comme je l’ai dit, on peut le rendre plus agressif. On y parvient en brisant les synapses neuronales et en excitant certaines zones du cerveau qu’ils connaissent très bien. Rappelons que le Graphene Flagship, une organisation européenne depuis 2013, a dépensé deux milliards d’euros sur le graphène et un autre milliard d’euros sur la connaissance du cerveau. Toutes les universités sont présentes, pratiquement beaucoup d’entre elles en Espagne. L’Espagne est l’un des pays qui participent le plus et aussi avec la contribution du neuroscientifique « Rafael Yuste », qui a rencontré Obama en 2015 et a remis la clé du cerveau de pratiquement toute l’Humanité à l’élite psychopathe de l’Agenda 2030.

Kla.TV : Existe-t-il également une possibilité que la nanotechnologie dont vous parlez et le graphène puissent nous être fournis par d’autres moyens que par injection ? Surtout la nanotechnologie, car même si le graphène peut se dégrader à un moment donné en fonction, comme vous le dites, du niveau de glutathion de chaque individu, il y a peut-être cette partie dont je sais qu’elle ne se dégrade pas au sein de l’organisme humain.

M. Delgado : Les nouveaux comprimés auront très probablement aussi un support magnétique et seront probablement dotés de la nanotechnologie de l’oxyde de graphène — un nouveau comprimé en tant que nouveau traitement qui a été annoncé en 2018 — et seront probablement aussi dotés de microcircuits. Les aiguilles qui ont été éliminées chez les diabétiques qui ont vu le ciel s’ouvrir ont été remplacées par un patch d’oxyde de graphène réduit à l’intérieur de la joue. C’est-à-dire ce qui se rapproche le plus du cerveau. La majorité de la population n’est pas consciente de cette folie. C’est pourquoi nous devons réveiller tout le monde et leur faire voir ce qu’il en est. Nous constatons aujourd’hui que ceux qui se sont piqués ne le feront probablement plus parce qu’ils ont vu ce qui s’est passé autour d’eux et la symptomatologie qu’ils ont acquise, s’ils sont encore en vie pour le raconter. Mais l’orgueil, disons l’orgueil humain, le fait de ne pas reconnaître et de ne pas être honnête (ce qui, mêlé à la vertu de l’intelligence, est déjà beaucoup demander à un être humain de nos jours) fait que ces personnes se taisent et ne sont pas capables d’alerter leur entourage. C’est très triste, très triste ce que nous voyons.

Kla.TV : Vous m’avez parlé du président du Chili, je ne me souviens pas du nom que vous m’avez donné.

M. Delgado : Sebastian Piñeira.

Kla.TV : Sebastian Piñeira, oui, exactement. Ils disent avoir adopté une loi sur les neuro-droits et la protection des mutants. Je ne sais pas si j’ai bien lu ? Ou alors, de quoi s’agit-il exactement ?

M. Delgado : Si cette information était diffusée à la télévision, qui est une information publique, les gens commenceraient probablement à faire le lien avec tout ce que nous avons fait ici. Bien que nous l’ayons fait directement avec l’analyse des vaccins. Mais nous parlons de preuves et je répète que tout ce que nous disons ici est démontré et prouvé. Quiconque souhaite obtenir des preuves peut se rendre sur le site La Quinta Columna.net ou nous écouter tous les soirs sur la chaîne Telegram. Quelqu’un peut-il se demander si nos pensées et nos sentiments sont en danger ? Oui, ils le sont ! Les neurosciences et les nanotechnologies ont considérablement progressé dans le dos de la société civile. Il est désormais possible de surveiller ce que pense une personne en se basant sur les signaux qu’elle émet. Le graphène ne fait qu’amplifier ces signaux et les microcircuits les captent et les surveillent. Mais pas seulement ! Le graphène est bidirectionnel. D’une part, nous pouvons recevoir les signaux des personnes vaccinées, comme indiqué ici, mais nous pouvons également émettre des signaux à leur intention. Ces émissions de signaux, lorsqu’elles sont dans la tête, lorsque l’oxyde de graphène est installé dans les neurones, peuvent modifier le comportement des synapses neuronales de manière à faire de l’individu un automate contrôlable, à mettre au pas le cerveau d’une personne, d’un groupe ou d’une communauté entière. Tout cela est possible par la volonté d’une intelligence artificielle qui programme logiquement quelqu’un ! Et ils ont profité de l’ignorance et du manque de connaissances de 99 % de la population, y compris de la communauté médicale, pour introduire les nanotechnologies et le graphène, même si l’effet secondaire de l’introduction du graphène est de renforcer les dommages causés par les radiations qu’ils ont fait passer pour un coronavirus. Ils l’ont appelé Covid-19. C’est la chose la plus importante que l’on puisse dire à l’heure actuelle. Il n’y a pas d’information plus importante que celle que nous donnons ici. Car de cette information dépend l’avenir de toute l’espèce humaine dans toute l’histoire de l’Humanité. C’est un cauchemar pour tous ceux qui sont conscients et qui regardent dans le microscope pour vérifier par eux-mêmes. Dans quelques jours, nous aurons probablement une réunion avec plus de 100 médecins qui examineront la situation au microscope. Pouvons-nous dire si cela servira à quelque chose ? Probablement à sauver au moins ces familles, ce groupe de familles. Et de leur faire prendre conscience de ce qui se passe. Mais c’est de la folie. C’est tellement odieux, humiliant et aberrant pour l’être humain qu’on n’arrive pas à s’y faire.

Kla.TV : Si les vaccinés faisaient une prise de sang, que trouveraient-ils ?

M. Delgado : Si vous effectuez une analyse des D-dimères, par exemple, vous constaterez que la protéine de fibrine est impliquée dans le déclenchement de la coagulation. Le taux est très élevé, ce qui est très inquiétant. Et cela peut être fait par n’importe qui. Un test qui coûte seize euros en pharmacie. Mais si vous faites un test au microscope optique, vous trouverez ce matériau, l’oxyde de graphène, ou micro-oxyde de graphène, dans le sang.
Par conséquent, les globules rouges, c’est-à-dire ce que l’on peut voir au microscope optique, les érythrocytes, sont pratiquement déformés, détruits, amorphes et empilés.
N’oublions pas que le graphène renforce les radiations. Et l’un des effets du rayonnement est de générer l’effet de rouleaux, c’est-à-dire l’empilement et la coagulation du sang par l’empilement des globules rouges. Nous allons donc voir des thromboses. Cela génère des thromboses. Et si vous avez des thromboses, vous avez toutes sortes d’accidents cardio-cérébrovasculaires. Il y a des embolies cérébrales et pulmonaires, des hémorragies dues à l’obstruction d’une artère quelque part et à un saut de pression ailleurs, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des ischémies, toutes sortes d’insuffisances de la circulation sanguine. C’est d’ailleurs ce que nous constatons.

Kla.TV : À tous ceux qui ne croient pas avoir été inoculés de graphène et de nanotechnologies, que diriez-vous ?

M. Delgado : Je comprends tout d’abord qu’il existe un principe que nous étudions également en psychologie, à savoir le principe du déni. Avant tout, chaque personne a littéralement peur, comme une partie instinctive de la survie humaine, de reconnaître qu’elle a fait une erreur. Et ce n’est pas tout, c’est une sorte de protection, sachant qu’ils ont probablement envoyé leurs parents à la mort, et aussi qu’ils ont l’intention de le faire à leurs enfants s’ils ne l’ont pas déjà fait ou s’ils ne leur apportent pas au moins beaucoup de problèmes d’après tout ce que l’on sait. Toutes ces informations, pour les démolir d’un seul coup, c’est démolir tous les fondements de la base qu’ils ont générée et créée tout au long de leurs trente, quarante ou cinquante ans. Pourquoi ? Parce qu’ils croyaient aux institutions, tout le monde, moi y compris, croyait avant aux institutions. Nous n’avions aucune raison de penser que c’était vraiment en train de se faire. Mais le doute et la suspicion nous ont fait analyser de première main et réaliser qu’il y avait eu un changement, depuis cette chose qu’ils appellent l’agenda 2030. Et lorsqu’ils parlent de développement durable de la société, ils veulent dire la maintenir en éliminant littéralement les gens. Puis en contrôlant le comportement de ceux qui restent. La quatrième révolution industrielle. Je leur dirais de regarder au microscope. Et si ce n’est pas d’ici, nous proposons à la Quinta Columna de rentrer à la maison si vous le souhaitez et d’examiner un, deux, trois, dix vaccins. Autant que vous le souhaitez. Tous ceux que nous avons examinés et qui ont été recréés en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Argentine et au Chili ont tous la même composition !

Kla.TV : Bien sûr, ce que j’ai du mal à croire, c’est que tant de médecins qui doivent fournir des vaccins sachant également qu’il s’agit d’un vaccin expérimental, en tant que médecin qui fait une expérience, devraient avoir un doute dans ce sens. Donc, si je fournis ce vaccin à cette personne, peut-être que cela ne fonctionnera pas ou peut-être qu’il aura au moins des effets secondaires. Et ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’il n’y a pas plus de protestations, plus de refus de proposer quelque chose d’expérimental dès le départ. C’est-à-dire sans aborder la question de ce qui est dedans ou de ce qui n’est pas dedans. C’est-à-dire qu’un médecin prête le serment d’Hippocrate. Comment cela n’aurait-il pas pu être envisagé dès le début ? Après tout, nous parlons d’une expérience.

M. Delgado : Eh bien, ils ne le recommandent pas aujourd’hui. Il n’est plus recommandé par tant de gens parce qu’ils en sont conscients. Dans notre pays, les 4 premiers médecins qui l’ont recommandé sont décédés. Ils ne sont plus là. Ici, nous enterrons un ou deux médecins tous les deux jours. Il y avait des jeunes, des infirmières, des médecins, des chefs de service de chirurgie, etc. Je me souviens de certains noms de ceux qui sont décédés. Eh bien, c’est pareil. Les médecins ont également été payés. Les médecins sont répertoriés dans les politiques de transparence de Pfizer et de Moderna qu’ils ont reçu une grande somme d’argent par l’intermédiaire de l’organisation à laquelle ils appartiennent, que ce soit le service de santé andalou ou le service public de santé ou individuellement. Ils ont littéralement reçu de l’argent pour avoir recommandé cela ! Je pense que c’est expérimental pour eux de voir à quel point la biologie humaine résiste. Je vais être clair, regardez le degré d’humiliation auquel ils ont humilié l’être humain et l’énorme tromperie à laquelle ils ont soumis la population entière. Ils ont qualifié le vaccin de « ce qui peut potentiellement provoquer le développement de la maladie ». C’est pourquoi vous comprendrez que ce sont justement les vaccinés qui occupent 90 % des USI et les 10 % sont dans les cimetières. Ils ont dit que, comme nous avons vacciné tant de gens, il était normal qu’ils ne se portent pas bien. Comment ça, c’est normal ? Ceux qui ont reçu trois doses se sont fait dire : « il vous manque la quatrième ». Celui qui est mort avec le deuxième, ont-ils dit, « s’il avait pris le troisième ».

Kla.TV : Bien sûr, il y a toujours une excuse pour continuer à se vacciner et continuer à se soumettre au plan 2030 en fin de compte, car c’est celui-là qui semble, d’une manière ou d’une autre, fixer le cap. Au niveau politique, nous savons déjà que personne ne s’est prononcé ou du moins presque personne ne s’est prononcé sur ces questions de contenu ou d’analyse des vaccins, etc. Surtout lorsqu’il y a un pourcentage de la population qui a crié à haute voix après le « Rapport Campra », comment en sommes-nous dans cette situation ? Y a-t-il une possibilité que la plainte soit portée devant un tribunal qui la prendra au sérieux et qui donnera réellement suite à la plainte ?

M. Delgado : Nous nous proposons tous les jours, le docteur Sevillano, le docteur Campra et moi-même, de nous présenter devant les tribunaux lorsque nous sommes appelés à témoigner par le procureur ou par un juge ou un magistrat. Nous avons déjà déposé 550 plaintes entre les tribunaux, les postes de la police nationale qui ont reçu l’ordre et sont obligés de le faire, et les casernes de la Guardia Civil. Certaines plaintes ont été portées devant une Haute Cour de justice. En particulier ici en Andalousie. Et puis il y en a qui progressent, mais très légèrement. C’est-à-dire que, normalement, les juges gardent le dossier dans un tiroir, lorsqu’ils sont appelés à témoigner, ils ne le leur ont même pas lu. Il est probable qu’ils ont un slogan pour ne rien dire de tout ce qui se passe ici. Au Royaume-Uni, ils disposent même d’une traçabilité et d’une garde légale. Ils ont également découvert le graphène et la microtechnologie dans les vaccins et pourtant, ils ont beaucoup de mal à se faire entendre ou à intenter une action en justice alors qu’il est démontré et prouvé qu’ils tuent tout le monde et que cela n’a rien à voir avec une pandémie ou un coronavirus. C’est pourquoi ils savent quand les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vagues apparaissent. Parce qu’il leur suffit d’exciter la qualité de la fréquence de ce matériau à l’intérieur d’eux [les vaccinés]. Et maintenant, ils vous le disent, et il y aura d’autres pandémies, bien sûr. Avec ce matériel, lorsqu’ils sont technologiquement excités, ils peuvent créer et générer autant d’épidémies qu’ils le souhaitent. Des sous-variantes, tout ce qu’ils veulent. Et ils diront aux gens qu’il s’agit d’un coronavirus ou d’un variant d’Omicron ou de Deltacron une fois de plus.

Kla.TV : Eh bien, Ricardo, pour conclure : quelles possibilités avons-nous, nous, le citoyen ordinaire, la base, je ne sais pas comment l’appeler, pour contrer efficacement tout ce plan macabre qui est en cours ?

M. Delgado : Eh bien, la vérité est que c’est extrêmement difficile. Nous avons prévu que de nombreuses personnes se réunissent demain. Nous avons organisé des groupes par provinces et les gens apprennent à se connaître. Car il est également bon de faire monter un peu la vibration, compte tenu de la torture psychologique quotidienne dans les médias officiels qui servent le Forum Économique Mondial à travers Vanguard et Blackrock. Certains disent : comment se fait-il que tous les médias disent la même chose ? Parce que tous les médias sont dirigés par le même gars ! C’est aussi simple que ça ! Sauf pour les médias alternatifs comme Kla.tv et très peu d’autres. Nous en sommes très reconnaissants. Celui qui veut chercher des informations se tourne donc logiquement vers les groupes d’information alternatifs. Nous devons faire quelque chose d’important. Il y a des actions collectives comme des entretiens comme celui que nous faisons actuellement. Des Plaintes. Nous avons épuisé toutes les voies d’un État de droit démocratique. Mais sommes-nous vraiment dans un État de droit démocratique ? Ou est-ce une tyrannie ? Quoi qu’il en soit, qu’allons-nous dire que les gens ne savent pas déjà ? Même ceux qui ont tout avalé. C’est très difficile. Nous devons rechercher une formule commune, afin d’une part d’augmenter la masse critique plus que ce que nous faisons actuellement. Mais ces gens sont allés jusqu’à payer littéralement des gens pour qu’ils mentent en tant que porte-parole dans les médias et continuent de tromper une grande partie de la population. Une tromperie qui n’est pas une tromperie idéologique ou politique. Il s’agit d’une tromperie majeure qui conduit la personne et sa famille à la mort. C’est ce que nous constatons. C’est que cette tromperie n’est pas n’importe quelle tromperie. C’est une tromperie qui mène à la mort.

Kla.TV : J’ai entendu dire qu’au Royaume-Uni, ils semblent avoir fait une analyse similaire à celle effectuée par le Dr Campra, mais j’ai lu qu’elle était même légalement protégée.

M. Delgado :… sous surveillance légale. Parce que nous avons aussi la traçabilité et la garde. Les gens qui ont produit la fiole, nous sommes prêts à témoigner et à jurer la vérité devant un tribunal. Mais là, ils ont la garde légale, c’est-à-dire qu’il y a un notaire qui a suivi toutes les traces… Pourtant, ils auraient dénoncé cela, mais pensez-vous que cela changera quelque chose ? Parce que ce que nous voyons est le quatrième vaccin, le cinquième de la grippe, qui sera le sixième parce qu’il transporte aussi ce matériel, c’est-à-dire que c’est ce qui est prévu et quand nous introduisons un matériel globalement et simultanément dans la population mondiale entière et puis nous l’irradions, vous générez une épidémie, une pandémie, tout ce qu’ils veulent. C’est aussi clair que ça.

Kla.TV : Eh bien, j’aimerais que vous donniez un peu d’espoir avec tout ce que vous racontez et que vous voyiez une lumière au bout du tunnel ou quoi que ce soit. Si c’est une lumière et qu’elle nous mène à un port sûr, alors nous accueillerions favorablement une idée qui pourrait, je ne sais pas, que vous pourriez transmettre et qui pourrait être vraiment efficace comme phrase finale.

M. Delgado : À l’heure actuelle, nous devons trouver un moyen de garder espoir dans cette situation, qui est très difficile parce que cette technocratie contrôle pratiquement tout, les institutions politiques, judiciaires, financières, communicationnelles, médiatiques, etc. Mais peut-être qu’une solution serait de créer une société alternative d’êtres conscients qui ne croient plus absolument rien à ce qui est vomi dans les médias officiels. Voyons s’ils nous le permettent. Pour augmenter la masse critique, pour être ensemble, pour porter l’ambiance et pour essayer de convaincre. Ne pas essayer de convaincre pour le plaisir de convaincre, c’est-à-dire que les informations de la Quinta Columna n’essaient jamais de convaincre qui que ce soit, vous devez vous convaincre vous-même. Nous disons bien sûr « regardez le microscope ». On nous dit que les nanoparticules lipidiques de taille nanométrique ne sont visibles qu’au microscope électronique — eh bien, non ! Au microscope optique, on peut tout voir, aussi bien le graphène que la microtechnologie. Vérifiez si vous émettez une adresse MAC et si vous avez été marqué comme un bovin, comme un bovin directement à partir de votre téléphone portable, ainsi que vos amis. Nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus. Pour l’instant, il s’agit de résister et de se rendre dans des environnements ruraux pour vivre à l’écart de toutes les radiations.

Kla.TV : Eh bien, jusqu’à présent, je pense que toutes les questions auxquelles vous avez répondu ont été assez intéressantes et en principe, nous n’avons plus de questions pour le moment. Il y a beaucoup d’informations que nous devons diffuser en ce moment et soyez assuré que Kla.tv se chargera de diffuser ce message. Merci d’avoir assisté à cette interview, merci beaucoup, et bien, espérons que si à un moment donné dans le futur nous pouvons en avoir une deuxième, eh bien, espérons que nous pourrons compter sur vous aussi.

M. Delgado : Il y a sûrement plus d’informations et la capacité de les élargir, car c’est beaucoup d’informations qui doivent être fournies progressivement pour que tout le monde puisse les assimiler. Et merci aussi Angel et un grand merci à cette production de Kla.tv pour m’avoir donné l’opportunité de diffuser le travail de recherche pionnier de La Quinta Columna dans le monde.

Kla.TV : Merci beaucoup, Ricardo, merci beaucoup.

M. Delgado : Un câlin.

Kla.TV : Un câlin.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées
Dossier Vaccins et virus
Dossier Implants numériques et contrôle mental
Nanotechnologie
Quinta Columna]

Interview traduite en anglais

Original en espagnol




La controverse sur les manipulations du climat

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Il va de soi que ce n’est pas auprès des « experts du GIEC » qu’il faut s’informer sur les questions climatiques, tout comme ce n’est certainement pas auprès des « experts de l’OMS » qu’il faut chercher une information sérieuse sur la santé ! Dès que vous évoquez ce thème concernant le climat et l’eau en particulier, vous avez immédiatement une pluie de railleries qui vous tombe dessus ! Puis, vous êtes traîné dans la boue ; les pouvoirs nient farouchement la réalité et développent des arguments copieusement puisés dans le registre de la diffamation, traitant de « complotistes » ou « délirants » tous ceux qui osent évoquer ce scandale bien réel pour la santé publique. Ceux qui ont des preuves de la pratique des « chemtrails » sont bâillonnés, enfermés en psychiatrie ou astucieusement exécutés ! Une femme pilote de l’US Air Force, Kristen Meghan, témoigne depuis quelque temps, partout dans le monde, de la réalité indiscutable de ces programmes qui se pratiquent dans tous les pays occidentaux. Sa carrière a été brutalement compromise ! Pour ceux qui sont encore en mesure d’avoir envie de savoir, vous pouvez écouter son témoignage sur :



Concernant les Chemtrails, il existe un rapport scientifique qui ne laisse aucun doute possible sur la question et qui a été publié le 8 juillet 2010 par Vivre Debout ! Ce rapport scientifique a pour nom CASE ORANGE.

[Voir aussi :
Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles,
Révélations sur les chemtrails,
Smart dust, la poudre blanche intelligente,
L’arme du climat, une guerre invisible]

Case Orange a été élaboré par une équipe « d’experts », qui ont estimé qu’il était temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme « chemtrails ». Certes, l’identité des auteurs n’est pas dévoilée dans ce rapport — on peut comprendre pourquoi — mais toutes les données peuvent être contrôlées via les renvois en bas de page et toutes les affirmations sont étayées par des annexes détaillées.

Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action tout d’abord par les États-Unis.

Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, en Belgique, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010. L’on pouvait écouter les orateurs sur le site suivant :
http://www.ustream.tv/channel/belfort-test

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :
http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf
[en allemand en anglais ??]

Si vous ne pouvez pas le visualiser, je propose ici un résumé du texte de base que j’avais gardé en son temps dans mes documents.

Définition des termes

Contrails (condensation — trails = traînées de condensation): il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau émise dans les gaz d’échappement des avions.

Leur formation dépend et de l’altitude et de la température (aussi pour les moteurs à hélice). Leur caractéristique : ils sont éphémères.

Les avions actuels, équipés de moteurs plus puissants génèrent des traînées plus persistantes sur des longueurs de 30 à 40 km.

Distrails (dissipation — trails = dispersion) : ce sont des tunnels qui se forment lorsqu’un avion vole à travers un nuage. Les gouttelettes d’eau se transforment en vapeur d’eau.

Chemtrails (chemical – trails = traînées chimiques) : il s’agit de traînées d’avion délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques.

Elles sont plus persistantes, elles durent des heures et se déploient en quadrillant, de grandes surfaces. Officiellement, les États nient leur réalité. Si l’on met de côté le mensonge et la négation par les pouvoirs, la justification qui est avancée est celle-ci : il s’agirait d’influencer le climat et plus particulièrement de favoriser ou d’éviter les précipitations par le « cloud seeding » (ensemencement de nuages) en vue de s’opposer au réchauffement climatique !

Les carburants

Pour les avions civils, il y a +/— 50 substances chimiques dont l’éthylène, le formaldéhyde, l’acétylène et le propène.

Pour les avions militaires, le carburant est différent et breveté parce qu’il contient des additifs en relation avec le « point d’inflammabilité » (point plus élevé), la stabilité thermique, l’encrassement par des résidus de coke, etc. Il contient un lubrifiant supplémentaire.

Pas de contrôle sur les programmes militaires

Le commandement militaire qui centralise les missions d’épandages n’est pas contrôlé par les pouvoirs publics. Les avions militaires sont exclus des normes. Les recommandations ne sont pas toujours traduites en lois et sont donc non contraignantes.

Les avions-citernes KC135 (= équivalent du Boeing 707) et les bombardiers posent problème. Leurs émissions de gaz sont 1200 % supérieures pour le CO2 et 30 % supérieures pour le NO si on compare ces valeurs aux normes de référence !

Les Contrails

En d’autres termes, les contrails (« normaux ») sont déjà source d’une sérieuse pollution ! Les cirrus quant à eux — naturels ou artificiels — ont un effet refroidissant sur la température.

Les aérosols ont une double action :

1 — d’une part, ils forment un écran/filtre de la lumière du soleil (assombrissement global — global dimming). Il fait plus froid et plus sec.

2 — d’autre part, ils forment des gouttelettes d’eau et donc des précipitations.

La quantité d’aérosols influence le climat et cela donne donc la possibilité de manipuler le climat !

Les Chemtrails

Le phénomène des chemtrails a démarré à la fin des années 90. (On se rappelle l’article de William Thomas)

La recherche sur ce thème doit être menée et basée sur les programmes militaires et scientifiques existants, des études sur la modification de l’atmosphère et du climat basées sur des notions telles que « l’ensemencement », la « géo-ingéniérie », etc..

Elle doit également se baser sur des faits concrets comme des brevets, des licences, des contrats…

On connaît déjà plusieurs expériences faites par les militaires, comme le WWII, qui sont des plaquettes de brouillage (aluminium) servant de contre-mesure radar. (CHAFF)

Le Projet « Cirrus » qui est le premier programme d’ensemencement de nuages par General Electric, mais, dès le début, effectué dans un contexte militaire et donc en collaboration avec l’US Air Force et l’US Navy…

C’était un essai pour provoquer « artificiellement » la pluie.

Continuation des projets d’ensemencement via « Storm Fury » 1962 et « Popeye » 1967. Le but était d’affaiblir des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent.

1. À partir de cette époque, divers programmes d’ensemencement ont été réalisés aux États-Unis et sont devenus une arme par modification du climat.

Les ELF (Extreme Low Frequency)

En 1974, est découverte une autre possibilité pour influencer les conditions atmosphériques à savoir, modeler la magnétosphère (la couche au-dessus de l’ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – extreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’onde supérieures à 1 000 000 mètres).

Les ondes ELF génèrent un courant de particules qui sont capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF — extreme high frequency — ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres).

Elles influencent les conditions atmosphériques et peuvent provoquer la pluie ou la sécheresse.

En 1995, on assiste à la création en Alaska, d’une entreprise commune (militaire, civile) avec le projet HAARP (High Active Auroral Research Project). En réalité, HAARP est devenu une arme puissante et redoutable et fonctionne actuellement à pleine capacité : plusieurs gigawatts !

Ceci permet de provoquer des séismes (cf. les brevets et la hausse du magnétomètre 2 jours avant le tremblement de terre à Haïti).

Avec cette technologie, l’on peut donc aussi influencer le temps : « La Guerre des Fréquences ».

La manipulation du climat est un fait !

De plus, on en parle ouvertement depuis 1996 ! Des études sont effectuées au sein de l’armée américaine sous la dénomination « 2025 ». L’objectif poursuivi, c’est le contrôle et le monopole de l’atmosphère ainsi que de l’espace !

Le document « Owning the weather in 2025 » regroupe toutes les études qui ont un rapport avec la manipulation des conditions atmosphériques.

1 — Ensemencement des nuages avec de l’iodure d’argent.

2 — Modification de la ionosphère : « Space Weather ».

3 — Contrôle des pluies et des tempêtes par la formation de nuages et de CONTRAILS.

« Les évolutions actuelles sur le plan démographique, économique et environnemental créeront, au niveau mondial, des zones de tension qui, pour beaucoup de pays et ‘groupements‘ rendront inévitables et effectives, l’exécution des possibilités de modifications climatiques. » (Rapport Case Orange)

« Aux États-Unis, la modification du climat sera une composante de la politique nationale de défense avec des applications internes y compris des applications à l’étranger. Nos gouvernements mèneront les politiques à différents niveaux selon et compte tenu des intérêts. » (Idem)

On peut donc provoquer ou empêcher la pluie où l’on veut. Et ceci est très important. L’eau sera une ressource rare, chère et essentielle pour la survie. Celui qui contrôle l’eau contrôlera le monde.

Le programme a prévu une introduction de miroirs ionosphériques artificiels à partir de 2000 avec une nette hausse aux alentours de 2008.

Le système HAARP est devenu complètement opérationnel en 2015.

L’emploi de produits chimiques était prévu pour ensemencer l’atmosphère à partir de 2000 afin d’obtenir ainsi un « Weather Force Support » pour 2015 et obtenir un climat virtuellement contrôlable à 100 % en 2025 !

Le programme stipule une introduction de « smart clouds » par la nanotechnologie aux environs de 2004, avec un accroissement exponentiel après 2010. Une évolution identique est prévue pour « l’Énergie Dirigée », en parlant du réchauffement de l’ionosphère.

Une application toute particulière fut la présentation du « Carbon Black Dust » (poussière carbone noir), une technologie qui a été développée par le Ministère de la Défense US à partir de 2005.

Les gens à l’origine de ce programme délirant en parlaient ouvertement à la conférence de l’AAAS (American Association for Advancement of Science) à Asilomar en Californie, conférence qui a eu lieu du 18 au 22 février 2010. Ces gens sérieux affirmaient ouvertement qu’ils devraient épandre annuellement jusqu’à 20 millions de tonnes d’Aluminium ! Aujourd’hui, tous les pouvoirs nient farouchement dans toutes les langues, qu’on serait en train d’en épandre…

Le thème du « Réchauffement climatique Global » est sujet à de sérieuses controverses, surtout après le ‘climate-gate’ et la condamnation du film d’Al Gore par la Justice britannique.

La Géo-ingénierie est un néologisme pour exprimer la manipulation délibérée du climat pour contrecarrer les effets du réchauffement climatique (dû à l’émission des gaz à effet de serre) en influençant la balance énergétique et la réflexion de la lumière du soleil dans l’espace. La géo-ingénierie est apparue pour la première fois dans un brevet de la Hughes Aircraft Company: le brevet décrit — déjà en 1991, 18 techniques pour réduire le réchauffement global en dispersant dans la stratosphère de l’oxyde d’aluminium, de l’oxyde de thorium et des particules de « Welsbach » (=des particules de métaux) pour réfléchir la lumière du Soleil.

Ces substances sont vaporisées à une altitude de 7 à 13 000 m et sont de la taille de 10 à 100 microns.

La Hughes Aircraft Company est momentanément une division de la Raytheon Corporation, une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 21 milliards de dollars, qui est propriétaire de HAARP et fournisseur de l’armée américaine…

Les autorités nient l’existence d’opérations d’épandages dans l’atmosphère, mais le scénario proposé dans le rapport IPCC en 2001 ressemble étrangement au brevet « Welsbach »

D’une part, ces particules réfléchissent partiellement la lumière du Soleil, mais, d’autre part, elles bloquent le ‘rayonnement de corps noir‘ (black body radiation), le rayonnement thermique de la terre.

La conséquence de tout cela a été une nette hausse du réchauffement global !

Une étude récente montre qu’il y a deux manières de vaporiser ce mélange, qui contient 85 % de particules métalliques et 15 % de silica colloïdal (gel) (dioxyde de silicium) : Les particules sont ajoutées au carburant des avions à réaction civils et vaporisées à l’altitude de croisière et ainsi le problème de l’épandage n’est ni vu ni connu !

Ou alors, le mélange est injecté directement dans les gaz d’échappement à haute température, via un dispositif dont la marine américaine détient le brevet.

Ainsi, ce mélange se diffuse comme un aérosol, dans la traînée que produit l’avion avec l’avantage, encore une fois, de n’être ni vu ni connu !

Plusieurs avions militaires, dont l’avion-citerne KC135, possèdent ce dispositif d’aérosol et ceci pourrait expliquer au moins partiellement le fait que les avions militaires ont des valeurs d’émission plus élevées que les avions des lignes commerciales.

De plus, il n’est pas difficile de se procurer les preuves que des Ministères Européens de la Défense font des achats en grande quantité de baryum et de barytine C14, qui est employée, entre autres, pour la détection des courants maritimes… (Pour la France, voir les analyses de la Cour des Comptes publiées chaque année.)

Il existe des cartes météorologiques indiquant les zones d’épandage de par le monde. Elles ont même été, un certain temps, consultables publiquement sur un site officiel de Californie, avant d’être retirées par les pouvoirs qui se sont tardivement aperçus de la bourde.

Ceci indique que les hauts responsables des États ont connaissance de ces programmes de contrôle du climat, mais qu’ils se taisent, peut-être parce que la situation est plus grave qu’on se l’imagine. Depuis le délire covidiste, nous savons que les États au service du mondialisme veulent organiser le génocide des peuples pour les motifs que nous avons déjà largement analysés et publiés au cours de ces trois dernières années passées.

Dans un communiqué de presse du 9 septembre 2009, au cours des préambules du sommet de Copenhagen, 5 économistes (dont des prix Nobel) déclaraient que la géo-ingénierie du climat était considérée comme le moyen le moins coûteux pour résoudre le problème du réchauffement climatique global.

À propos de la légalité

Aux États-Unis, il n’y a pas de « problème » : l’épandage est légal depuis 1977. Le Ministère de la Défense peut faire des expérimentations biologiques sur sa propre population.

Ces mesures ont été renforcées en 2002. Initialement, il y avait une proposition de loi garantissant la sauvegarde de l’espace, d’armes à basse fréquence, la sauvegarde du milieu et du climat d’armes de nouvelles technologies destructrices et la protection contre les « chemtrails ». Mais toutes ces restrictions sont tombées lors de l’approbation de la loi en 2002.

En Europe, certaines directions militaires ont déjà dû admettre qu’ils épandaient au-dessus de leur propre territoire (propre population), mais, soit ils nient les effets nocifs (comme en Allemagne), soit ils justifient cet épandage dans le cadre de l’intérêt national (comme en Grande— Bretagne).

Menaces sur la santé des peuples et argent public utilisé contre les contribuables

Après avoir revu la vidéo de Claire Séverac (cf., également « La Guerre secrète contre les peuples », éditions Contre Kulture, 2015, 405 pages) j’ai noté la composition des produits chimiques qu’elle avait signalée en son temps. Composition des épandages (chemtrails) :

DIBROMURE D’ÉTHYLÈNE

– allergies
– gorge irritée, toux

– symptômes grippe

– fatigue

BARYUM, THRONTIUM

– difficultés respiratoires

– difficultés cardio-vasculaires

– division du cerveau (empêche une interaction entre les acides aminés)

– destruction de la couche d’ozone

ALUMINIUM
– alzheimer
– parkinson
– lou gehrig : La sclérose latérale amyotrophique ou SLA, également appelée dans le monde francophone maladie de Charcot ; maladie de Lou Gehrig ou ALS en anglais, est une maladie neurodégénérative des motoneurones de l’adulte.

– Autisme

METAUX LOURDS

– nanoparticules : la maladie des morgellons.

Elle conseillait de regarder un film : BYE BYE BLU SKYE



https://crowdbunker.com/v/QIRCm5BYU_8

Les autres dommages sont les suivants : les dégâts désastreux sur la couche d’ozone ; les coûts sont plus élevés pour introduire du soufre ; une diminution de la luminosité. Le cycle hydrologique est perturbé ce qui a comme conséquence l’apparition de sécheresses plus fréquentes. Le ciel bleu est désormais plutôt gris ou voilé. L’énergie solaire est amoindrie. Le vivant est clairement menacé.

Les gaz des avions, même sans l’ajout d’aérosols, sont une menace directe pour la nature, les animaux et l’homme, pour tout ce qui vit sur Terre…

L’existence de programmes en vue de maîtriser le climat ne peut plus être niée. Ils sont contrôlés et coordonnés par les autorités militaires. Ils sont approuvés par les gouvernements partisans du mondialisme et exécutés en silence pour éviter tout conflit et protestation, ainsi que pour pouvoir continuer tranquillement le massacre de ce qu’ils considèrent comme une « surpopulation problématique ». Les 2 objectifs principaux sont : 1 — le contrôle de la température en créant des nuages artificiels, les chemtrails via des contrails manipulés ; et 2 — le contrôle du climat par manipulation de l’ionosphère, via des Installations comme HAARP (ionisation, réchauffement de l’ionosphère).

Les États-Unis ambitionnent le contrôle total, civil et militaire, du climat d’ici 2025. Sur base des brevets qui sont la propriété de Raytheon et du Département de la Défense américain, il est clair que les programmes de manipulation climatique émanent et sont organisés à partir des États-Unis.

Les pouvoirs sont clairement criminels et n’ont aucun scrupule à planifier un génocide de masse. Ces deux dernières années qui viennent de passer nous ont donné un aperçu de ce qui va pouvoir se faire, comme les tremblements de terre sur commande (Turquie, Maroc) ; les incendies rigoureusement ciblés (île Maui Hawaï), où le métal des voitures a même été fondu ; les nuages de poussière gigantesques (sable du Sahara sur toute l’Europe) ; les vents d’une violence exceptionnelle comme en octobre 2023 en France (210 km/h sur la Bretagne)…

Récapitulons :

Toutes les sources d’eau potable ont été globalement captées par les communes ou par des sociétés d’exploitation et de distribution de l’eau potable. C’est d’ailleurs la captation abusive des sources d’eau sur tous les territoires, et la prolifération des « bassines » qui ont également provoqué la pénurie par l’épuisement de la nappe phréatique.

Le réchauffement climatique en tant que tel, n’est pas la cause première ou exclusive de la pénurie d’eau potable (des sources qui tarissent, des nappes phréatiques qui ne sont plus réalimentées par les pluies devenues plus rares, des petits et moyens cours d’eau qui se retrouvent asséchés), mais c’est le comportement irresponsable des industries de l’agriculture intensive et surtout les programmes militaires contrôlant le climat qui sont à l’origine de ce dérèglement climatique observé…

L’eau est un élément indispensable à la vie ; elle est donc d’une valeur inestimable. Nous devons faire preuve d’un immense respect pour cet élément sans lequel rien ne peut vivre sur Terre. Sur cette question, il est également évident que la conscience reste essentielle. Les conditions de la vie sur Terre sont en relation étroite avec la spiritualité, avec l’éveil de conscience de chacun, avec une éthique intime qui a trouvé la voie de son avènement.

Seul, ne sait pas, celui qui ne veut pas savoir ! Il va de soi que les inconscients ou les handicapés de l’autocensure n’ont toujours pas compris le projet criminel des mondialistes, ayant entre leurs mains l’ensemble des pouvoirs, et le degré de perversion qui anime ceux qui veulent dominer le monde. Les acteurs égarés de ces programmes délirants sont capables d’abolir toute trace de vie sur Terre en préservant la leur, mais aussi tout avenir pour l’espèce humaine ! Il faut impérativement les arrêter ou disparaître !

Jean-Yves Jézéquel

Voir aussi :

https://crowdbunker.com/v/CZZ46R4mqL

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :

http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf

*

Pour aller plus loin :

Voir en anglais :

Weather Warfare: “Beware the US Military’s Experiments with Climatic Warfare” par Michel Chossudovsky

En français :

HAARP : La guerre climatique par Michel Chossudovsky (article également publié par The Ecologist)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2023




L’impact des ondes sur la santé

[Source : maisonsaine.ca]

[Illustration : source]

    Par Dre Martha Herbert

    Si quelqu’un m’avait demandé il y a près de 20 ans, lorsque j’ai commencé à travailler dans la recherche sur l’autisme et à voir des patients atteints d’autisme, si les champs électromagnétiques (CEM) domestiques ou les rayonnements de radiofréquence (RF) du sans-fil avaient quelque chose à voir avec l’autisme, je n’aurais eu aucune idée de ce dont il parlait. À l’époque, j’étais déjà accro aux ordinateurs et au courrier électronique. Mais le Web était nouveau et nous n’utilisions pas de téléphones portables, donc il n’y avait pas d’antennes relais. J’avais un four à micro-ondes et l’utilisais pour chauffer ma nourriture avec seulement les préoccupations les plus vagues.

    Il n’y avait donc pas tellement de Wi-Fi et pas tellement d’autisme non plus — une coïncidence ? Beaucoup d’autres choses ont changé depuis1, et il y avait déjà beaucoup d’électricité2, mais en tout état de cause, je n’avais pratiquement pas vu de patients autistes pendant ma formation au début des années 1990. À l’époque, on enseignait que l’autisme et les autres troubles neurodéveloppementaux ou neuropsychiatriques de l’enfance étaient causés par des perturbations génétiques précoces du développement cérébral3.

    Beaucoup de choses se sont passées pour m’amener au point où j’ai coécrit un article de 40 000 mots avec 560 références scientifiques soutenant la plausibilité d’un lien entre l’autisme et les CEM, et une version révisée a été publiée en 2013 dans la revue Pathophysiology4.

    Au fil des ans, j’ai beaucoup appris en observant et en écoutant attentivement mes patients. J’ai constaté de grandes divergences entre ce que l’on m’avait appris à surveiller dans mes recherches sur le cerveau et ce que je trouvais réellement dans les données. J’ai commencé à découvrir de plus en plus de façons dont l’environnement et l’alimentation pouvaient affecter le cerveau et le corps. Et j’ai vu le nombre d’enfants autistes monter en flèche, alors que c’était censé être purement génétique et héréditaire.5-7

    L’écoute de mes patients m’a beaucoup aidé à changer ma façon de penser. Ma formation en neurologie pédiatrique ne m’avait pas vraiment préparée aux problèmes que présentaient mes patients. Ma pratique clinique a débuté en 1996, dans un cabinet de neuropsychiatrie. Au fur et à mesure que mon cabinet se remplissait d’enfants atteints d’autisme, de TDAH [trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité], de TOC [troubles obsessionnels compulsifs], de difficultés scolaires et de crises d’épilepsie, je les soumettais parfois à des recherches élaborées de causes génétiques et métaboliques, comme j’avais été formé à le faire, mais je trouvais rarement quelque chose à redire. En écoutant leurs histoires, j’ai été intriguée par les problèmes banals que partageaient tant de patients qui, par ailleurs, étaient différents les uns des autres. Ces enfants n’étaient tout simplement pas en bonne santé. Ils souffraient de diarrhée, de constipation ou d’éruptions cutanées. Ils avaient des maux de tête. Ils ne pouvaient pas dormir. Ils se tortillaient beaucoup sur leur chaise. Ils souffraient d’allergies alimentaires. Ils mangeaient quelques aliments et en refusaient beaucoup d’autres. Ils détestaient certaines textures ou sensations. Je devais travailler très dur, reformuler et répéter souvent pour qu’ils suivent mes instructions lorsque je les examinais. Tous ces problèmes se posaient à la plupart de mes patients, et pas seulement à ceux qui étaient atteints d’autisme. Et mon cabinet se remplissait de ces enfants malades et instables.

    En chevauchant les mondes de la recherche sur le cerveau, de la neurotoxicologie environnementale et des soins médicaux de terrain, je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me contenter des questions que les gens posaient dans un seul et même domaine. Il ne suffisait pas de se demander en quoi le cerveau des personnes atteintes d’autisme ou d’autres troubles neuropsychiatriques pouvait différer de celui des personnes « normales », ou quelles toxines présentes dans l’environnement pouvaient être à l’origine de l’autisme. Pour moi, ces questions ne m’aidaient pas directement à améliorer le sort de mes patients. En fait, certains de mes patients et de ceux de mes amis allaient mieux, S’AMÉLIORAIENT — mais COMMENT changions-nous l’« autisme » du cerveau s’il n’était pas censé être modifiable ?

    Au fil du temps, j’ai rassemblé de plus en plus de preuves à l’appui de l’idée que l’autisme n’est pas un « cerveau brisé », mais un cerveau qui a du mal à s’autoréguler. Cela m’a amené à chercher non pas ce qui cause l’autisme, mais COMMENT l’autisme est causé, et comment on peut l’éliminer.8-11

    Quels sont donc les éléments qui peuvent dérégler le cerveau ? Eh bien, beaucoup de choses.12 Comme un sommeil perturbé ou l’insomnie. Comme l’exposition aux pesticides et aux émissions des automobiles ou des produits ménagers, aux colles et à d’autres produits chimiques. Un régime alimentaire pauvre en zinc, en magnésium ou en d’autres nutriments vitaux, ou trop riche en sucre, en additifs ou en autres cochonneries. Comme avoir un intestin tellement irrité ou enflammé que vous n’absorbez pas bien les nutriments. Comme avoir des allergies.

    Un cerveau déréglé peut ou non présenter des changements dans son anatomie — d’après ce que l’on voit sur une image de résonance magnétique du cerveau. Il peut ne pas présenter d’ondes cérébrales suffisamment anormales pour constituer des crises d’épilepsie si l’on procède à une étude des ondes cérébrales par électroencéphalogramme. Mais en procédant à un examen plus subtil, les chercheurs qui étudient la FONCTION du cerveau dans le trouble du spectre de l’autisme constatent que les différentes parties du cerveau ne sont pas aussi bien coordonnées entre elles que chez les enfants au développement plus typique.13-15

    C’est là où les champs électromagnétiques et les radiofréquences sont entrés en jeu pour moi. Les ondes cérébrales que le cerveau utilise pour communiquer à l’intérieur de lui-même sont électriques ou électromagnétiques. Il en va de même pour les CEM/RF. Étant donné la prolifération des appareils qui émettent des radiofréquences (tours de téléphonie cellulaire, téléphones portables, téléphones sans fil numériques ou DECT, routeurs Wi-Fi, etc.), nous nous promenons dans une soupe invisible de signaux électromagnétiques sans vraiment savoir si nous ne compliquons pas ou n’embrouillons pas les processus de communication dans notre cerveau.

    Cela peut sembler un peu tiré par les cheveux, mais ce n’est pas tout. Tout d’abord, le cerveau n’est pas le seul à utiliser des signaux électromagnétiques. Plus nos instruments de mesure scientifiques deviennent sensibles, plus nous apprenons que chaque cellule de notre corps utilise des signaux électromagnétiques — de nombreux processus cellulaires, et même l’ADN, impliquent des propriétés électromagnétiques qui changent de manière significative. La principale différence avec le cerveau est qu’il porte cette activité électromagnétique à un niveau d’organisation éblouissant et complexe.16

    À l’école, nous étudions la biologie, la chimie et la physique (y compris l’électromagnétisme) comme des matières distinctes, mais en réalité, notre corps biologique et notre cerveau fonctionnent grâce à des processus qui sont à la fois chimiques et électriques. Les ions chimiques créent des différences de tension électrique à travers les membranes cellulaires, par exemple, qui nous maintiennent en vie. On a récemment découvert que les personnes présentant une faible différence de tension entre l’intérieur et l’extérieur d’une membrane sont plus vulnérables au cancer. Or, si l’on augmente la différence de tension entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule, la vulnérabilité diminue et le cancer peut s’améliorer17.

    Nos fonctions biologiques vitales découlent d’innombrables interactions chimiques et électriques, et pour que nous soyons au mieux de notre forme, elles doivent être optimisées. Je pense qu’il y a suffisamment de preuves scientifiques pour affirmer que les CEM/RF sont des facteurs importants qui contribuent à dégrader la fonction chimico-électrique optimale de notre corps, déréglant ainsi notre cerveau et notre système nerveux.18

    Comment les CEM/RF peuvent-ils agir de la sorte ? Les problèmes que j’énumère ci-dessous sont parallèles à ceux qui ont été documentés chez les personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme.

    – Les CEM/RF stressent les cellules. Ils entraînent un stress cellulaire, tel que la production de protéines de choc thermique, même lorsque les CEM/RF ne sont pas suffisamment intenses pour provoquer une augmentation mesurable de la chaleur.19-21

    – Les CEM/RF endommagent les membranes cellulaires et les rendent perméables, ce qui les empêche de maintenir des différences chimiques et électriques importantes entre l’intérieur et l’extérieur de la membrane. Cela dégrade le métabolisme à bien des égards et le rend inefficace.22-30

    – Les CEM/RF endommagent les mitochondries qui sont les usines de production d’énergie des cellules. Elles conduisent leurs réactions chimiques sur leurs membranes. Lorsque ces membranes sont endommagées, les mitochondries luttent pour faire leur travail et ne le font pas efficacement. Les mitochondries peuvent aussi être endommagées par des chocs directs dans leur chaîne de montage chimique. Quand nos mitochondries deviennent inefficaces, il en est de même pour nous. Cela peut frapper notre cerveau avec une intensité particulière, puisque les communications et synapses électriques dans le cerveau requièrent une quantité énorme d’énergie.

    – Les CEM/RF créent un stress oxydatif, un phénomène qui se produit quand un système ne peut s’adapter à un stress causé par l’utilisation de l’oxygène, parce que le prix à payer est que la consommation d’oxygène génère des radicaux libres. Ceux-ci sont générés dans le cours normal des choses et ils sont habituellement neutralisés par les antioxydants comme ceux présents dans les fruits et légumes ; mais quand les antioxydants ne suivent pas le rythme ou que le dommage est trop grand, les radicaux libres commencent alors à faire des dommages.

    – Les CEM/RF sont génotoxiques et endommagent les protéines, le mécanisme le plus important étant celui des radicaux libres qu’ils génèrent et qui endommagent les membranes cellulaires, l’ADN, les protéines et tout ce qu’ils touchent. Lorsque les radicaux libres endommagent l’ADN, ils provoquent des mutations. C’est l’une des principales façons que les ondes sont génotoxiques — toxiques pour les gènes. Quand elles endommagent des protéines, elles peuvent les mener à se replier de façons particulières. Nous apprenons que des maladies comme l’Alzheimer sont liées à l’accumulation de protéines mal repliées et à l’incapacité du cerveau à éliminer ces déchets biologiques de ses tissus et de ses fluides.

    – Les CEM/RF épuisent le glutathion, le principal antioxydant et la principale substance de détoxification de l’organisme. Ainsi, d’une part, les CEM/RF créent des dommages qui augmentent le besoin d’antioxydants et, d’autre part, ils appauvrissent ces mêmes antioxydants.4,18

    – Les CEM/RF endommagent les barrières vitales de l’organisme, en particulier la barrière hématoencéphalique qui protège le cerveau des substances présentes dans le sang qui pourraient lui nuire. Lorsque la barrière hématoencéphalique présente des fuites, les cellules à l’intérieur du cerveau se détériorent, sont endommagées et tuées.4, 18, 31

    – Les CEM/RF peuvent altérer la fonction des canaux calciques, qui sont des ouvertures dans les membranes cellulaires jouant un grand nombre de rôles vitaux dans le cerveau et le corps.32-41

    – Les CEM/RF dégradent l’intégration riche et complexe des ondes cérébrales et augmentent l’entropie, ou la désorganisation, des signaux dans le cerveau, ce qui signifie qu’ils ne peuvent plus être synchronisés ou coordonnés, ce qui a été mesuré dans l’autisme.13-15, 42-51

    – Les CEM/RF peuvent perturber le sommeil et la production de mélatonine par le cerveau.52-54

    – Les CEM/RF peuvent contribuer aux problèmes immunitaires.55-61

    – Les CEM/RF contribuent à l’augmentation du stress aux niveaux chimique, immunitaire et électrique, dont nous faisons l’expérience sur le plan psychologique.31, 62-79

    Notes :

    Il y a beaucoup d’autres choses qui créent des effets de dégradation similaires, comme les milliers de substances « xénobiotiques » que nous disons toxiques.

    Notamment, les produits chimiques toxiques (dont ceux qui contiennent des éléments toxiques naturels comme le plomb et le mercure) causent des dommages par le biais de plusieurs des mécanismes susmentionnés.

    Dans de nombreuses études expérimentales sur les CEM, les dommages ont pu être réduits en améliorant l’état des nutriments, en particulier en ajoutant des antioxydants et de la mélatonine.80-83

    Nous vivons dans un monde plein de nouvelles substances et de combinaisons et intensités de fréquences électromagnétiques inexistantes dans la nature, dont plusieurs endommagent nos cellules, nos tissus et processus vivants de manières similaires. Il m’est donc difficile de croire que les CEM/RF sont les SEULS contributeurs à l’autisme et autres problèmes neuropsychiatriques et de santé. D’un autre côté, leur impact pourrait être significatif — et nous pouvons faire beaucoup pour réduire l’exposition et, par conséquent, cet impact.84

    Nous avons à peine commencé à explorer l’impact des ondes sur les fœtus et les bébés, mais cela ne s’annonce pas bien. Le développement du fœtus ou du jeune enfant est engagé dans un ensemble incroyable de processus dynamiques très vulnérables, où même de petits changements peuvent avoir des conséquences à vie. Et pourtant, combien de personnes mettent des moniteurs sans-fil juste à côté de la tête de leur bébé, sans se rendre compte de la dégradation potentielle qu’elles peuvent infliger au cerveau de leur enfant ?85 Combien de femmes enceintes branchent leur ordinateur portable et les mettent sur leurs cuisses et exposent ainsi leur fœtus aux rayonnements CEM/RF ?86 Combien d’hommes mettent-ils leur cellulaire dans la poche de leur pantalon alors qu’il a été démontré que cela dégrade le nombre de spermatozoïdes et entraîne des mutations ?87-92

    Plus j’en sais sur la biologie sous-jacente de l’autisme et de nombreuses autres maladies chroniques neuropsychiatriques et médicales, moins j’accorde d’importance aux étiquettes que nous apposons sur des maladies spécifiques. Du point de vue de la protection des personnes et de l’aide à leur guérison, je ne me soucie pas tellement de savoir s’il s’agit d’autisme, de TDAH, de TOC ou de toute autre étiquette que vous pourriez choisir, car sous la surface je vois plus de chevauchements que de différences entre ces conditions. Je pense que nous pouvons faire la différence en nous attaquant à la FONCTION de nos corps et de nos cerveaux, en :

    – réduisant les expositions nocives autant que possible, afin d’éviter la dégradation de nos fonctions corporelles et de prévenir la désynchronisation de notre système nerveux, et en

    – maximisant la qualité de notre alimentation grâce à une diète à haute densité de nutriments afin que notre corps ait tout ce qu’il lui faut pour se protéger et fonctionner au mieux.

    Entre-temps, étant donné tout ce que nous avons déjà appris sur les subtils impacts biologiques, cellulaires et électriques des CEM/RF, nous devons mettre à jour nos réglementations obsolètes pour tenir compte de l’extrême vulnérabilité que nous connaissons aujourd’hui. Et nous devons rechercher des moyens plus sûrs de répondre à nos besoins en matière d’appareils de communication et d’autres appareils générant des CEM/RF. Ce n’est pas parce que ces ondes sont invisibles qu’elles sont sans danger. Nous devons admettre que nous avons un problème et faire quelque chose pour le résoudre.

    Cet article est une traduction de la version anglaise originale, parue en mai 2015 dans le magazine Autism Notebook https://health.maryland.gov/phpa/OEHFP/EH/Shared%20Documents/CEHPAC/Dr.%20Herbert%20Autism%20and%20EMF%20The%20Autism%20NoteBook%20April-May%202015.pdf

    Références : https://www.electrosmog.be/doc/sc/enfants/Dr-Martha-R-Herbert_EMF-and-autism_2015.pdf

    Site de l’auteure : http://drmarthaherbert.com

    Dre Martha Herbert

    Dre Martha Herbert est une professeur adjointe de neurologie à l’École de médecine de l’Université Harvard, une neurologue pédiatrique au Massachusetts General Hospital à Boston, et une affiliée au Centre Martinos Harvard-MIT-MGH pour l’imagerie biomédicale, où elle est directrice du programme de recherche TRANSCEND (Recherche de traitement et d’évaluation neuroscientifique des troubles neurodéveloppementaux).
    L’approche de Dre Herbert en matière de traitement de l’autisme consiste à identifier méthodiquement les problèmes de chaque enfant et à y répondre en optimisant la nutrition, en réduisant l’exposition aux substances toxiques, en soutenant le système immunitaire, en réduisant le stress et en stimulant la créativité.
    Elle est l’auteure du livre La révolution de l’autisme : Whole Body Strategies for Making Life All it Can Be (http://www.AutismRevolution.org/et http://www.autismWHYandHOW.org) et codirectrice du BodyBrain Resilience Center (www.bodybrainresiliene.com), un organisme de recherche et pratique clinique appliquant les principes décrits dans son livre.
    Les recherches de la Dre Herbert peuvent être consultées à l’adresse www.transcenaresearch.org — https://transcend.mgh.harvard.edu/ et www.marthaherbert.org [ou https://drmarthaherbert.com/]


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    Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables

    [Source : maisonsaine.ca]

    [Source illustration : LP]

    Par : André Fauteux

    C’est l’un des nombreux arguments fallacieux souvent utilisés par ceux qui ignorent les effets biologiques des champs électromagnétiques (CEM) artificiels — et ceux qui ne veulent pas que le public les découvre :

    Ils prétendent que les CEM artificiels sont inoffensifs parce qu’ils ne sont pas assez puissants pour provoquer des cassures de l’ADN comme le font les rayonnements ionisants pouvant arracher ou donner des électrons aux atomes, tels que le radon, les rayons X ou les rayons gamma. Même l’Organisation mondiale de la santé déclare que les seuls effets avérés sur la santé des rayonnements non ionisants d’origine humaine sont l’échauffement dû à une exposition aiguë à des niveaux élevés de radiofréquences (RF) ou la stimulation nerveuse et musculaire et l’excitabilité des cellules du système nerveux central par les CEM domestiques (50/60 Hz, également appelés rayonnements d’extrêmement basses fréquences — EBF).

    Images © Dimitris Panagopoulos, sauf mention du contraire.

    Toutefois, des milliers d’études scientifiques évaluées par des pairs ont montré que l’exposition chronique et/ou aiguë aux CEM EBF des lignes électriques et RF des communications sans fil peut être préjudiciable parce que ce rayonnement artificiel a deux propriétés uniques et nuisibles absentes dans la nature, a expliqué le biophysicien grec Dimitris J. Panagopoulos PhD lors d’un atelier du Parlement européen sur l’électrohypersensibilité, tenu à Bruxelles le 13 avril dernier. Ils sont polarisés et cohérents, a-t-il expliqué, et peuvent donc « produire des interférences constructives et amplifier leur intensité à certains endroits, et aussi forcer toutes les particules chargées (par exemple les ions mobiles) dans les cellules/tissus vivants à osciller en parallèle et en phase avec eux. La polarisation et la cohérence expliquent pourquoi les CEM de ~ 0,1 mW/cm2 émis par un téléphone portable sont nocifs, alors que les CEM solaires de ~ 10 mW/cm2 (100 fois plus forts) sont vitaux. »

    Des publications très influentes

    Dimitris Panagopoulos a récemment édité et coécrit le livre Electromagnetic Fields of Wireless Communications : Biological and Health Effects (CRC Press/Routledge, 2023, 544 pages — lire les résumés des chapitres et l’extrait sur le rayonnement 5G ici). Rédigé par des experts de premier plan sur les bioeffets des CEM, ce livre s’adresse aux étudiants du premier au troisième cycle en physique, biologie, médecine, bioélectromagnétique, biologie électromagnétique, biophysique des rayonnements non ionisants, télécommunications, électromagnétisme, bio-ingénierie et dosimétrie.

    Les expériences de ce chercheur au laboratoire de recherche Choremeion de l’école de médecine de l’Université d’Athènes ont été parmi les premières à montrer les effets néfastes des CEM d’origine humaine sur l’ADN et la reproduction. Il est l’auteur ou le coauteur de plus de 40 publications scientifiques évaluées par des pairs et très influentes, qui sont référencées plus de 2 000 fois dans d’autres publications scientifiques. En 2007 et 2008, il a figuré parmi les 10 auteurs les plus cités dans les revues scientifiques de Mutation Research, un véritable exploit pour un scientifique dans un domaine aussi marginal que celui des bioeffets des CEM. « Sa théorie sur le mécanisme biophysique d’action des CEM sur les cellules est considérée comme la plus valide parmi toutes les théories proposées et est citée dans près de 700 publications scientifiques », écrit CRC Press, un éditeur mondial de livres sur les sciences, l’ingénierie et la médecine.

    Des centaines d’études lient l’exposition aux radiofréquences à des problèmes de santé. 
    © https://www.orsaa.org/orsaa-database.html

    Ses recherches comptent parmi celles à l’origine de la directive sur les téléphones portables publiée en 2017 par le département de la santé publique de Californie, qui recommande des moyens de réduire l’exposition aux rayonnements des cellulaires. Ce document stipule :

    « Bien que la science soit encore en évolution, certaines expériences de laboratoire et études sur la santé humaine ont suggéré la possibilité que l’utilisation élevée et à long terme des téléphones cellulaires puisse être liée à certains types de cancer et à d’autres effets sur la santé, notamment :
    – le cancer du cerveau et les tumeurs du nerf acoustique (nécessaire à l’audition et au maintien de l’équilibre) et des glandes salivaires
    – une diminution du nombre de spermatozoïdes et des spermatozoïdes inactifs ou moins mobiles
    – des maux de tête et des effets sur l’apprentissage et la mémoire, l’audition, le comportement et le sommeil. »

    Les CEM artificiels ont été classés comme « peut-être cancérogènes » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS. Les radiofréquences parce que des études épidémiologiques montrent une augmentation des cancers du cerveau chez les personnes qui utilisent des téléphones portables contre leur tête pendant 17 minutes par jour en moyenne pendant 10 ans, et les EBF parce qu’une douzaine d’études montrent que les enfants surexposés aux CEM des lignes électriques/domestiques ont une incidence plus élevée de leucémie.

    Polarisation et cohérence

    Le Dr Panagopoulos a aimablement partagé sa présentation du 13 avril, qui peut être téléchargée ici, et a expliqué par courriel :

    « Un signal CEM polarisé est un signal qui oscille sur un seul plan. Tous les CEM artificiels sont totalement polarisés et cohérents (oscillent en phase). Les CEM naturels (par exemple la lumière, les résonances de Schumann, les micro-ondes cosmiques, etc.) ne sont ni polarisés ni cohérents, c’est-à-dire que les ondes individuelles oscillent sur tous les plans possibles et avec une phase aléatoire, et ce n’est qu’en certaines occasions qu’ils sont partiellement ou localement polarisés (comme les champs terrestres et les champs des membranes cellulaires). Comme nous l’avons montré pour la première fois dans notre article de 2015 [Polarization: A Key Difference between Manmade and Natural EMFs in regard to Biological Activity, Nature, Scientific Reports, 5, 1491, cosigné avec les docteurs Olle Johansson et George Carlo], seules les ondes polarisées et/ou cohérentes produisent des effets biologiques autres que l’échauffement. Ce simple fait concernant la polarisation/cohérence de TOUS les CEM artificiels et le rôle unique de cette propriété avait échappé à l’attention de tous les scientifiques auparavant, mais c’est quelque chose que j’avais compris depuis le début de mon doctorat. C’est pourquoi cet article a été attaqué par certaines personnes qui travaillent pour l’autre camp… Le rôle de la polarisation/cohérence est l’une des découvertes les plus importantes de toute la littérature sur les effets biologiques des CEM. L’importance de cet article a déjà été acceptée par la communauté scientifique (malgré la corruption profonde et les conflits d’intérêts), comme le montrent les 120 citations qui y font référence dans d’autres publications scientifiques. » (Pour plus de détails sur les conflits d’intérêts, lire le rapport FCC : Captured Agency, du Centre d’éthique Edmond & Lily Safra de l’Université de Harvard, et WHO, Radiofrequency and Health — a Hard Nut to Crack, par le célèbre épidémiologiste et oncologiste suédois Lennart Hardell, dont les 355 publications parues depuis 1977 ont été citées pas moins de 16 935 fois).

    Comme des variations d’intensité de 20 à 30 % des CEM terrestres naturels et des champs électriques des membranes cellulaires induisent des effets sur les cellules et la santé, Panagopoulos postule qu’une même variation des CEM artificiels peuvent avoir des effets similaires. Cela pose un problème, dit-il, car « les CEM des communications sans fil sont très variables, avec des changements inattendus dépassant de plus de 100 % leurs intensités moyennes normales ».

    Selon lui, les effets non thermiques des CEM des technologies sans fil (téléphonie mobile, Wi-Fi, téléphones numériques sans fil, etc.) sont dus au fait que leurs fréquences porteuses sont combinées à des fréquences extrêmement basses et ultra-basses (0-3 000 Hz) sous forme d’impulsions, de modulation et de variabilité aléatoire. Il a expliqué à nouveau par courriel :

    « La pulsation et la modulation sont souvent confondues, même dans les articles scientifiques, mais elles ne sont pas identiques. On parle de pulsation lorsque le signal porteur (généralement RF) est inclus dans des impulsions qui se répètent généralement à des taux EBF, et qu’entre les impulsions successives, il n’y a pas de signal. Ainsi, un signal pulsé n’est pas une onde continue, car il est interrompu entre les impulsions successives. Les anciens signaux analogiques étaient des signaux à onde continue. Les signaux numériques modernes des communications sans fil sont pulsés. Pour transporter et transmettre des informations, le signal porteur RF doit être modulé, qu’il soit à onde continue ou pulsé. Le signal de modulation de basses fréquences transporte l’information. Lorsque le signal de modulation/information est chargé sur la porteuse, celle-ci est modulée et transporte l’information à transmettre. Les trois principaux types de modulation (d’amplitude, de fréquence et de phase) dépendent du paramètre de la porteuse qui est modifié (modulé) par le signal d’information (intensité-fréquence-phase). Le résultat de la modulation d’amplitude, par exemple, est une onde porteuse dont l’amplitude (l’intensité) n’est pas constante comme auparavant, mais varie en fonction des variations d’intensité du signal d’information. Bref, dans les signaux sans-fil modernes, l’onde porteuse (RF/micro-ondes) est émise sous forme d’impulsions, et chaque impulsion est modulée. Outre les impulsions qui contiennent le signal porteur modulé, des impulsions de synchronisation et de référence supplémentaires sont émises dans le signal final, également à des taux EBF. Nous avons donc une combinaison de CEM RF et EBF et c’est une erreur majeure de nommer ces CEM simplement “RF” ou “micro-ondes”. Différentes tâches et/ou différents utilisateurs communiquent simultanément avec la même antenne de base en utilisant des impulsions légèrement différentes, ce que l’on appelle le multiplexage. »

    La théorie de Dimitris Panagopoulos sur le mécanisme biophysique d’action des CEM sur les cellules « a expliqué la détection des tremblements de terre à venir par les animaux et la détection des orages à venir par les individus sensibles grâce à l’action des CEM naturels associés à ces phénomènes, ajoute son éditeur. La même théorie a récemment expliqué l’induction du stress oxydatif dans les cellules par l’exposition aux CEM ».

    Une autre observation importante est que l’exposition au téléphone portable simulée en laboratoire, comme le suggèrent les autorités sanitaires, ne produit des effets que dans 50 % des cas, notamment parce qu’elle est invariable, alors que l’exposition au téléphone portable dans la vie réelle varie de manière imprévisible à chaque instant en termes d’intensité, de fréquence, de phase, de forme d’onde, etc.

    « Parmi les études portant sur des expositions réelles, note-t-il, plus de 95 % concluent à l’existence d’effets. » 

    Génotoxicité

    Les dommages génétiques causés par les CEM artificiels, dont Panagopoulos a montré qu’ils se produisaient de la même manière chez l’animal et chez l’homme, sont apparemment dus au stress oxydatif (SO), selon des études signées en 2016 et 2022 par Yakymenko et Tsybulin. Comme Panagopoulos l’a expliqué aux législateurs européens lors de l’atelier du 13 avril sur l’électrohypersensibilité (EHS), depuis 2000, plusieurs études ont montré que :

    « Les CEM polarisés/cohérents et oscillants/variants provoquent l’ouverture et la fermeture irrégulières des canaux ioniques à potentiel (VGIC) dans les membranes cellulaires. Le dysfonctionnement induit des VGIC modifie les concentrations normales d’ions dans la cellule. L’équilibre électrochimique et l’homéostasie de la cellule sont ainsi perturbés, de même que l’état d’oxydoréduction de la cellule. Cela entraîne une (sur)production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) et crée des OS dans la cellule. Les premiers ROS sont le radical libre de l’anion superoxyde (O2–) et le radical libre de l’oxyde nitrique (NO) (Panagopoulos et coll. 2021). La HSEM est également liée à l’OS chronique et à l’inflammation des tissus (De Luca et al 2014 ; Irigaray et al 2018 ; Belpomme et Irigaray 2022). »

    (Il précise que le sens de la rotation des électrons n’a rien à voir avec leur nocivité :

    « Tous les radicaux libres ont des électrons libres (non appariés) avec des rotations (spins) simples (non appariés). Ils sont tous très bioactifs, que leurs rotations simples soient dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse.) »

    Sa théorie stipule que les bioeffets des CEM n’augmentent pas seulement avec des intensités plus élevées, mais que les fréquences plus basses sont plus bioactives, de sorte que les pulsations ELF multiplient la bioactivité des champs RF/Micro-ondes. Un autre point important négligé par la plupart des études sur les CEM et la santé est le suivant :

    « La partie électrique et non magnétique d’un CEM est le facteur le plus bioactif, contrairement à ce que considèrent les agences de santé et la plupart des experts. »

    Sa présentation s’est conclue par les recommandations suivantes :

    « – Éviter toute exposition inutile aux CEM artificiels.
    – Éviter de vivre à proximité d’antennes ou de lignes à haute tension.
    – Téléphones portables :
    1) Utiliser le haut-parleur ou les écouteurs à tube d’air et maintenir le combiné à une distance ≥ 40-50 cm [~16-20 pouces] du corps ;
    2) Réduire le nombre et la durée des appels ;
    3) Ne pas porter l’appareil dans vos mains ou sur votre corps lorsqu’il est allumé et le mettre en mode avion ;
    4) Le garder à la plus grande distance possible (plusieurs mètres) à la maison/au travail ;
    5) L’éteindre pendant que vous dormez ;
    – Utiliser des connexions filaires pour les téléphones domestiques et l’internet ;
    – Désactiver le Wi-Fi et le Bluetooth des voitures et des appareils (téléphones portables, imprimantes, etc.) ;
    – Sensibiliser les parents et les femmes enceintes à ne pas exposer les embryons et les enfants (la corrélation possible avec l’autisme et les maladies auto-immunes doit faire l’objet d’une étude approfondie) ;
    – Éviter le blindage permanent et complet, qui peut entraîner une désynchronisation interne (Wever 1979 ; Panagopoulos et Chroussos 2019) ; L’Académie américaine de pédiatrie et l’Académie européenne de médecine environnementale dénoncent le fait que les limites d’exposition actuelles aux champs électromagnétiques font fi des risques non thermiques à long terme.
    – Il est urgent de reconsidérer radicalement les limites d’exposition actuelles, en particulier pour les ELF, les RF et les micro-ondes, et d’appliquer le principe de précaution et le principe ALARA (niveau le plus bas qu’il soit raisonnablement possible d’atteindre), comme le recommande la résolution 1815 du Conseil de l’Europe sur Les dangers potentiels des champs électromagnétiques et leur effet sur l’environnement. »

    Dimitris Panagopoulos

    À propos de Dimitris Panagopoulos

    Le Dr Panagopoulos a obtenu son doctorat sur les effets biologiques des CEM en 2001, et réalisé deux études post-doctorales sur les effets biologiques des micro-ondes (2004) et sur l’induction de la mort cellulaire par les CEM du WC (2006). Il soutient que les photons sont strictement des paquets d’ondes, et non des particules de lumière, et que le rayonnement électromagnétique d’origine humaine n’est pas constitué de photons, mais d’ondes continues polarisées « classiques », contrairement à ce qu’ont postulé les physiciens quantiques au cours des 100 dernières années.

    Son récent livre couvre divers sujets liés à la physique, à la biologie, à la pathologie, à l’épidémiologie et aux mécanismes biophysiques et biochimiques plausibles des CEM émis par les antennes et les appareils. Il aborde les conséquences possibles des CEM de la téléphonie mobile de cinquième génération (5G) sur la base des données disponibles et de la corrélation entre les expositions anthropiques aux CEM et diverses pathologies telles que l’infertilité, le cancer, l’électrohypersensibilité, les maladies organiques et virales, ainsi que les effets sur les animaux, les plantes, les arbres et l’environnement. Il illustre en outre la protection de la santé individuelle et publique et la fixation de limites d’exposition fondées sur la biologie et l’épidémiologie.




    La Russie et le Great Reset selon Lucien Cerise

    [Source : E&R]

    Par Lucien Cerise

    En 2017, le politicien et intellectuel moldave Yurie Roșca lançait l’initiative du Forum de Chișinău, surnommé le « forum anti-Davos », avec la contribution d’Alexandre Douguine et du président de la République de Moldavie, Igor Dodon. J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset — La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.

    La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC — nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme. Mais comme l’explique Peter Töpfer :

    « Il semblerait que le “Great Reset” des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC [monnaies numériques], etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident. »(([1] Peter Töpfer, « Une contribution à la méthodologie multipolariste », Multipolaristen, 07/05/2023. https://multipolaristen.de/multipol…))

    De son côté, Yurie Roșca revenait ainsi sur son intervention à la Conférence mondiale sur la multipolarité organisée le 29 avril 2023 par Alexandre Douguine :

    « Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »(([2] Yurie Roșca, « La mort du paradigme libéral et la montée de la technocratie », Geopolitika.ru, 12/05/2023. https://www.geopolitika.ru/fr/artic…))

    Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ? C’est ce que pensent également d’autres commentateurs de la situation, tels que Pierre Hillard, Nicolas Bonnal ou Edward Slavsquat (Riley Waggaman), qui passent beaucoup de temps à nous expliquer que la Russie fait partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial ». De fait, nous sommes tous dans le même monde, et contraints de nous battre sur le même champ de bataille et avec les mêmes armes que l’ennemi, y compris les auteurs cités, qui font un usage intensif de l’informatique, eux aussi, et ont déjà mis le doigt dans l’engrenage qui conduit au Great Reset et au « Nouvel Ordre mondial ». Nous sommes tous des Charlie Chaplin happés par les machines comme dans les Temps modernes. Il est un domaine d’études peu fréquenté : ce sont les règles universelles des rapports de forces, modélisées par la théorie des jeux, dont la course aux armements est un exemple bien connu. Deux ennemis mortels peuvent partager le même champ de bataille et les mêmes armes, donc se ressembler presque parfaitement, et rester des ennemis mortels. La guerre est aujourd’hui en grande partie informatique, il ne faut donc pas s’étonner que la Russie et les autres pays des BRICS investissent également ce domaine, condition sine qua non s’ils veulent soutenir le rapport de forces avec les Occidentaux dans ce domaine. On ne lutte pas contre l’OTAN avec des arcs et des flèches. Pourquoi ? Parce que l’OTAN n’attaque pas avec des arcs et des flèches. Cette alliance militaire et son complexe militaro-industriel imposent le choix des armes de leur guerre hybride au niveau mondial, d’autant plus facilement que c’est la technologie qui écrit l’histoire universelle, et que tout le monde est obligé de s’adapter à son rythme, celui de la découverte scientifique, ne serait-ce que pour rester compétitif et soutenir les rapports de forces à armes égales sur la scène internationale, et ne serait-ce que pour contester l’agenda de l’OTAN.

    Une approche épistémologique, en termes de philosophie des sciences, dévoile que le transhumanisme et le Great Reset sont des retombées civiles des recherches menées par les divers complexes militaro-industriels nationaux de la planète, engagés dans une émulation concurrentielle sans limites. Dans le domaine scientifique, tout ce qui est faisable sera fait.

    La condition humaine est animée par une démesure scientifique prométhéenne qui la mènera potentiellement à sa perte, mais à laquelle aucun acteur ne peut renoncer, sauf à renoncer aux moyens de se défendre, donc à sa souveraineté. Chaque acteur géopolitique souhaitant défendre sa souveraineté, son identité et son humanité est contraint de participer à la course aux armements et donc de prendre le risque de la déshumanisation par la technoscience. Dilemme cornélien. Les acteurs nationaux qui rechignent à s’engager sur la pente du transhumanisme seront bien obligés de se positionner, eux aussi, par rapport à ce débat — pour ou contre l’altération de la nature humaine par la technoscience — dans la mesure où ce débat est universel et incontournable, commandé par le moteur de l’histoire humaine, à savoir l’optimisation technologique inlassable des systèmes d’armements, et ses retombées et applications civiles. Le soldat augmenté conduit inévitablement à l’humain augmenté. Plus généralement, porter des vêtements ou des lunettes, se déplacer en voiture ou en avion, sont déjà des augmentations culturelles et technologiques des capacités du corps humain par les outils, les prothèses, les artefacts, les artifices. Notre génétique néoténique est inachevée à la naissance et a besoin d’être augmentée par de l’épigénétique culturelle pour être viable et fonctionnelle. On l’oublie facilement quand la technologie est appliquée depuis un certain temps, car la culture devient une seconde nature, mais l’être humain est augmenté par nature et ce processus est a priori infini et sans limites, comme celui de la découverte scientifique. Cette donnée anthropologique conduit à certains paradoxes. Par exemple, de nombreux individus critiquent et dénoncent le transhumanisme, l’identité numérique, la 5G, les Smart Cities, mais ils le font sur Internet ou sur des messageries de Smartphone comme Telegram, et deviennent ainsi des sujets connectés et augmentés, donc des acteurs du transhumanisme, de l’identité numérique, de la 5 G et des Smart Cities. Les dissonances cognitives qui naissent de cette situation sont rapidement « rationalisées », au prix de contorsions rhétoriques assez peu rationnelles ou du déni pur et simple, mais attention au retour du refoulé. En effet, personne n’échappe aux sirènes de la technoscience, qui permettent d’amplifier notre champ d’action et notre impact sur autrui, car personne ne veut renoncer à se faire entendre. C’est ainsi que la multipolarité, le respect de la diversité, conduit à une sorte d’unipolarité technocratique, et inversement, car tout le monde converge sur les moyens technoscientifiques d’assurer les divergences. Sur le rapport de la Russie au Great Reset, certains commentateurs ne parviennent pas à distinguer ce qui serait une simple obéissance à l’agenda occidental et, d’autre part, un positionnement de type « rivalité mimétique », application de la théorie des jeux, qui induit chez tous les acteurs d’un conflit deux mouvements contradictoires : des mouvements rivaux et divergents, mais aussi des mouvements mimétiques et convergents, comme deux sinusoïdes entrelacées. Deux ennemis mortels sont bien obligés de se croiser et d’entretenir des points de contact pour se battre, ce qui servira de prétexte à certains commentateurs pour dire qu’ils appartiennent finalement au même système. Ce qui n’est pas faux, mais qui s’applique en fait à tout le monde. La dialectique hégélienne est universelle et personne n’y échappe, car personne n’échappe aux contradictions, extérieures comme intérieures. Pour être efficace sur un champ de bataille, il faut partager avec l’ennemi le même champ de bataille, voire partager les mêmes armes, afin de lutter au moins à armes égales. Paradoxalement, ce sont ces convergences obligatoires sur le champ de bataille, la méthode et les moyens, qui permettent de soutenir le rapport de forces pour diverger sur l’agenda et la finalité.

    [Note de Joseph : il semble que l’argumentation de Lucien Cerise ici soit pour le moment essentiellement d’ordre mécaniste ou matérialiste (à l’image de la théorie des jeux), mais néglige complètement la dimension de conscience. La « science sans conscience » peut probablement conduire à de telles extrémités que celles constatées ici et de nos jours. Cependant, la conscience peut mettre un frein salutaire à la dérive scientiste qui fait que la science devient une nouvelle religion (cette fois matérialiste et non à visée d’élévation spirituelle) et tend à envahir tous les aspects de la vie humaine. Elle peut fixer notamment des lignes rouges à ne pas franchir en matière d’invasion du corps physique individuel aussi bien que du corps social collectif. Qu’est-ce qui oblige par exemple la Russie à imposer la 5G à son peuple, alors que la fibre optique permet d’aboutir à un meilleur résultat en termes de capacités de transfert d’informations cybernétiques sans nuire potentiellement autant à la santé des individus ? Qu’est-ce qui oblige les Russes en particulier, et les êtres humains en général à utiliser un « smartphone » quand un téléphone filaire permet déjà des appels à distances et quand la plupart des autres fonctions de cet engin sont offertes depuis longtemps par l’ordinateur domestique ? Je vis personnellement très bien (et d’autant mieux) sans téléphone cellulaire, sans 4G, sans 5G et sans Wi-Fi, me contentant d’un ordinateur connecté par câbles. Et les amish vivent probablement encore plus sainement sans toute notre technologie. Et d’ailleurs, ils ne connaissent pas ou très peu de nombreuses maladies de civilisation, telles que cancer, diabète, autisme… dont une bonne partie découle de l’usage de la technologie et de la chimie. Doit-on automatiquement suivre la course aux armements contre l’Humanité sous prétexte que des nations font la course en tête ? Doit-on recourir aux mêmes armes qui finissent par asservir totalement l’Homme ? À un moment, il peut se poser le choix entre vivre esclave ou mourir libre, autant au niveau individuel qu’au niveau collectif ou national. Et de ce point de vue, la Russie et les autres pays des BRICS suivent visiblement plutôt la voie de l’asservissement, comme la plupart des pays occidentaux. Il est devenu une évidence psychologique (et scientifique) que la grande majorité des individus utilisant un téléphone cellulaire et les réseaux dits « sociaux » en deviennent drogués et finalement esclaves, abandonnant leurs capacités à la machine et perdant ainsi progressivement leurs aptitudes mémorielles, de réflexion, d’attention, d’analyse, d’intuition… (baisse reflétée par celle mesurable du QI). En matière d’artefacts techniques ou technologiques, il existe une différence fondamentale entre les supports externes et les invasifs. Si l’organisme humain est sacré, à l’image d’un temple, doit-il accepter de se laisser envahir par des vaccins ou des implants électroniques, microscopiques ou nanotechnologiques bien différents des prothèses qui pallient les pertes squelettiques et dentaires ? Quand les lunettes et les prothèses mécaniques sont de l’ordre de la carrosserie, les implants électroniques et vaccinaux agissent sur le moteur, les circuits et les organes internes. Il peut exister un juste milieu entre trop et pas assez, entre acceptable et intolérable. Les excès deviennent nuisibles, alors qu’un usage modéré peut rester bénéfique. Et seule la conscience est en mesure de déterminer ce qui convient réellement à l’individu comme à la société dans le respect de la liberté individuelle, de la souveraineté et du sacré. Enfin, deux ennemis mortels ne sont pas obligés de se combattre, surtout pas avec les mêmes armes. L’un des deux peut décider à un moment d’utiliser celle de l’amour et ainsi, au moins dans certains cas (lorsque l’on n’a pas affaire à des psychopathes) transformer les deux ennemis en amis. La Russie est-elle obligée de suivre les traces technologiques et les ornières de l’Occident ? Est-elle obligée de porter les mêmes œillères ? Le Nouvel Ordre Mondial ne tombera pas avant qu’une nation ou qu’un nombre suffisant d’individus ne montrent et ne réalisent par eux-mêmes une voie différente, radicalement différente. Et pour l’instant, la seule tendance qui écarte la Russie de l’Occident n’est pas celle de la technologie, mais d’ordre religieux.]

    L’objet de cet article est d’analyser cette illusion d’optique intellectuelle qui place sur le même plan le concepteur de l’agenda et ceux qui sont obligés de suivre l’agenda au niveau technique, et qui sont donc obligés de l’appliquer également, au moins partiellement, pour être en capacité de le contester, et avec le risque permanent d’en être finalement exclu et d’être alors dominé par l’adversaire — ce que les militaires appellent le « décrochage capacitaire », pour qualifier ce moment où je suis dépassé par la technologie de l’ennemi. Ce mécanisme est à l’origine du phénomène de la course aux armements, qui est une course à l’innovation technologique et à l’augmentation des capacités du corps humain pour mieux soutenir les rapports de forces physiques, ce qui suppose de partager le même agenda de « recherche et développement » que l’adversaire, mais pour le surpasser — ce que la Russie est parvenue à réaliser dans le domaine des armes hypersoniques. L’histoire du monde avance de manière décentralisée par des interactions concurrentielles et conflictuelles, mais aussi coopératives et convergentes, y compris entre ennemis. En résumé : il faut nécessairement rester au contact de l’ennemi si l’on veut espérer le battre. Croire qu’il serait possible de gagner un conflit sans jamais aller sur le même terrain que l’ennemi apparaît comme une vue de l’esprit purement théorique, dont le principal effet consiste à déserter théoriquement, puis physiquement, le champ de bataille et à offrir la victoire à l’ennemi. Dans son conflit avec l’Occident, la Russie a bien compris qu’il ne fallait donc pas faire cette erreur consistant à s’exclure soi-même du champ de bataille technologique et économique. C’est la raison pour laquelle les mondialistes essayent d’expulser la Russie de la mondialisation contre sa volonté. Dès le 27 février 2022, seulement trois jours après le début de l’opération militaire russe en Ukraine, la finance occidentale utilisait la bombe atomique dans le champ économique et commençait à débrancher la Russie du système SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication), le système universel de transactions informatiques entre les banques du monde entier :

    « Les pays occidentaux ont adopté une nouvelle volée de sanctions financières contre Moscou après l’invasion de l’Ukraine, en planifiant samedi d’exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale. Dans une déclaration commune, la Maison-Blanche a déclaré que les leaders de la Commission européenne, de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Royaume-Uni, du Canada et des États-Unis étaient résolus “à continuer d’imposer des coûts à la Russie qui l’isoleront davantage du système financier international et de nos économies”. “Nous nous engageons à exclure une sélection de banques russes du système de messagerie Swift”, des mesures qui seront prises “dans les jours qui viennent”, a ajouté la Maison-Blanche. »(([3] « Qu’est-ce que le système Swift dont des banques russes viennent d’être exclues ? », Euronews, 27/02/2022. https://fr.euronews.com/2022/02/27/…))

    En 2023, l’exclusion de la Russie du système SWIFT est achevée : les Occidentaux qui veulent voyager en Russie doivent s’y rendre avec de l’argent liquide en poche pour faire du change sur place, car plus aucune carte bancaire occidentale, de retrait ou de crédit, ne fonctionne en Russie. Dans son bulletin Stratpol n° 144, Xavier Moreau saluait le lancement par le Kremlin du rouble numérique, la CBDC russe (Central Bank Digital Currency, monnaie numérique de banque centrale) et s’attirait une volée de commentaires négatifs venant de gens légitimement inquiets de voir la Russie participer à la disparition de l’argent liquide. Peut-être Xavier Moreau avait-il commis une erreur : laisser entendre que la Russie avait le choix de passer, ou non, au rouble numérique. En fait, personne n’a le choix, c’est comme la course aux armements : si vous ne le faites pas, les autres le feront de toute façon, et vous vous désarmez vous-même. Un pays qui ne développe pas sa propre monnaie numérique sera soumis à la monnaie numérique des autres pays, point à la ligne. Ce qui peut avoir des conséquences catastrophiques. L’Occident livre une guerre d’extermination aux Russes, sur le principe hitlérien de la « guerre totale », et les Russes le comprennent bien ainsi. La création d’un système de transactions financières numériques alternatif à SWIFT et la création de la monnaie nationale numérique idoine est donc une question de survie économique, donc de survie tout court, pour la Russie. Le lancement du rouble numérique en août 2023 avant le dollar numérique vise à occuper la place de monnaie numérique de référence avant la concurrence — pour essayer d’occuper le centre de l’échiquier — et aura pour effet collatéral, à moyen terme, de dédollariser partiellement le monde dans le champ des transactions numériques. C’est la course aux armements aussi dans le domaine de la guerre économique, et si vous ne jouez pas le jeu tel qu’il est imposé par les nouvelles technologies, vous laissez l’ennemi gagner. Le site Coin Academy, spécialisé sur les monnaies numériques, rapportait en janvier 2023 :

    « La Banque centrale de Russie veut faire de sa CBDC, le rouble numérique, un moyen de paiement entre pays pour contourner les sanctions. Pour ce faire, la Banque centrale de la Fédération de Russie a présenté deux modèles de règlements transfrontaliers sous forme de CBDC. La Fédération commencera à développer le modèle de règlement entre pays dès le premier trimestre 2023. »(([4] « CBDC : La Russie prépare son système de paiements transfrontaliers », Coin Academy, 11/01/2023. https://coinacademy.fr/actu/russie-…))

    Autre conséquence de l’opération militaire russe en Ukraine : le World Economic Forum (WEF) prenait parti très logiquement pour l’Ukraine et excluait la Russie du Forum de Davos 2022, au titre de l’éventail des sanctions visant à l’isoler sur la scène internationale. La presse suisse nous apprenait début mai 2022 :

    « Le porte-parole du WEF, Samuel Werthmüller assure que l’argent russe ne parvient plus au Forum. VTB, Gazprom et Sberbank ont disparu de la liste des partenaires stratégiques, et le directeur de la Sberbank n’est plus mentionné comme membre du Board of Trustees. Et le WEF va encore plus loin et fait disparaître les traces de coopérations antérieures : le Centre for Cybersecurity, créé en 2018, initiative commune de cybersécurité du WEF et de la Sberbank, ne mentionne plus ladite banque comme partenaire fondateur. Une volonté de dissimuler ces collaborations aujourd’hui devenues gênantes ? Samuel Werthmüller le réfute : “Nous respectons simplement les sanctions.” »(([5] « La Russie exclue du Forum de Davos, l’Ukraine pourrait prendre le devant de la scène », Le Matin, 01/05/2022. https://www.lematin.ch/story/la-rus…))

    L’édition 2023 du Forum de Davos n’a pas réintégré la Russie, dont l’expulsion semble être définitive. À force de se faire chasser des organisations dites internationales, la Russie envisage de prendre les devants et de recréer son propre espace d’indépendance et de relations internationales alternatives en s’extrayant elle-même complètement du système sous contrôle occidental. Piotr Tolstoï, le vice-président du parlement russe, la Douma d’État, faisait le 18 mai 2022 un communiqué explosif qui permettait d’avoir accès aux coulisses de l’État profond russe et de ses projets de souveraineté à long terme :

    « Les comités, les commissions, les députés et les sénateurs auront beaucoup de travail à faire dans un avenir proche, ce qui, je pense, pourrait prendre plus d’un mois. La liste reçue par la Douma d’État de la part du ministère des Affaires étrangères contient 1342 éléments : il s’agit de traités et d’accords internationaux qui ont été signés et ratifiés par la Russie au cours des dernières décennies. Nous devrons tous les analyser pour en déterminer la pertinence et, pour ainsi dire, l’utilité pour le pays. Nombre d’entre eux font désormais partie de notre législation nationale et, par conséquent, les commissions compétentes devront également évaluer nos lois russes et décider lesquelles des normes qui y sont introduites nous pouvons et devons abandonner. En outre, nous avons la tâche d’évaluer l’opportunité de la présence de la Russie dans les organes supranationaux et les organisations internationales. Nous nous sommes déjà retirés du Conseil de l’Europe et, en avril, le président de la Douma d’État, Viatcheslav Volodine, a chargé les commissions compétentes, en collaboration avec des experts, d’étudier l’opportunité de la présence de la Russie au sein de l’OMC, de l’OMS et du FMI, étant donné que ces organisations ont déjà enfreint toutes leurs propres règles à l’égard de notre pays. Oui, ces deux tâches ne sont pas faciles, il y a beaucoup de travail, nous devons peser le pour et le contre. Mais c’est la voie vers la pleine souveraineté de la Russie, qui ne devrait être guidée que par ses propres intérêts et ceux de ses citoyens. »(([6] Piotr Tolstoï, Telegram, 18/05/2022 : « Комитетам, комиссиям, депутатам и сенаторам в ближайшее время предстоит большая работа, которая, думаю, может занять не один месяц. Перечень, который поступил в Государственную Думу от Министерства иностранных дел, содержит 1342 пункта : это международные договоры и соглашения, которые были подписаны и ратифицированы Россией за последние десятилетия. Нам предстоит все их проанализировать на предмет актуальности и, так сказать, полезности для страны. Многие из них стали частью нашего национального законодательства, а следовательно, профильным комитетам предстоит также оценить наши российские законы и принять решение о том, от каких из внедренных в них норм мы можем и должны отказаться. Кроме того, перед нами стоит задача оценить целесообразность пребывания России в наднациональных органах и международных организациях. Мы уже вышли из Совета Европы, а в апреле Председатель Госдумы Вячеслав Викторович Володин дал поручение профильным комитетам совместно с экспертами изучить вопрос о целесообразности присутствия России в ВТО, ВОЗ и МВФ в связи с тем, что эти организации в отношении нашей страны все свои же правила уже нарушили. Да, обе задачи непростые, работы много, надо взвесить все « за » и « против ». Но это путь к полному суверенитету России, которая должна руководствоваться только собственными интересами и интересами своих граждан. » https://t.me/petr_tolstoy/1374))

    L’État profond russe commence lentement, trop lentement — temps administratif et inertie institutionnelle obligent — à se rebeller contre toutes les menaces faites à sa souveraineté. Les menaces militaires classiques, comme celle incarnée par l’OTAN, sont identifiées par le cerveau humain depuis des siècles. Les menaces nouvelles représentées notamment par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont plus difficiles à percevoir et combattre. L’humain moyen a du mal à concevoir que la médecine puisse être utilisée contre les peuples à une telle échelle, et il n’est pas encore accoutumé à ce nouveau champ de bataille technocratique et bureaucratique qui se déploie seulement depuis l’expansion du secteur tertiaire au XXe siècle, mais qui a désormais tout envahi. L’Organisation des Nations Unies (ONU) fournit un cas d’école, et un vrai dilemme pour la Russie et pour la Chine : comment ces deux pays peuvent-ils réagir à la menace que l’Agenda 2030 de l’ONU fait peser sur leur souveraineté, c’est-à-dire comment peuvent-ils sortir de l’ONU, quand leur position dominante à l’ONU renforce leur souveraineté ? La lenteur de la réaction critique du pouvoir russe vient aussi de sa division, car, comme partout, une fraction de ce pouvoir est sincèrement séduite par le globalisme transhumaniste — ce que certains appellent la « cinquième colonne ». Mais il faut distinguer cette fraction d’une autre apparemment indistincte, celle des individus ayant compris que la souveraineté nationale est inséparable de la souveraineté technologique, car c’est la souveraineté technologique qui permet la souveraineté nationale, et rien d’autre, c’est-à-dire la capacité à assurer par la force le respect de l’intégrité de son propre territoire national.

    La question de la souveraineté en général rejoint donc la question du pouvoir et de la fuite en avant irrésistible qu’il engendre. Pour ne pas être dépassé par la volonté de puissance des autres, pour ne pas être réduit à l’impuissance, je dois moi-même cultiver ma propre volonté de puissance. Avant de dépasser mon concurrent, je dois, dans un premier temps, me mettre à niveau et me retrouver au coude à coude avec lui. Il n’y a pas de centre universel du pouvoir, mais il y a des lois universelles de l’exercice du pouvoir. Il y a des contraintes universelles qui sont les mêmes pour tous les sujets qui veulent exercer du pouvoir, sur soi-même ou sur les autres. Tout sujet souverain devra se plier à ces règles, ce qui induit une ressemblance du comportement de tous les sujets souverains, y compris ennemis, ce qui peut être interprété de l’extérieur comme une entente, une connivence, voire un complot, bref un projet intentionnel. Mais il n’y a aucun projet intentionnel à tomber si l’on saute par la fenêtre. Des ennemis mortels tombent de la même façon s’ils sautent par la fenêtre. Cela ne veut pas dire qu’ils ne s’opposent pas réellement, cela veut dire que les lois de la physique sont universelles et s’appliquent de la même façon sur tout le monde. Or, il existe aussi des lois universelles de physique sociale qui commandent aux ennemis d’adopter le même comportement, ou presque, dès lors qu’ils sont en quête de pouvoir et de souveraineté. La physique sociale est structurée par des rapports de force potentiellement nuisibles à tous les acteurs de la situation. Du point de vue de la compétition technoscientifique, nous sommes tous dans le même bateau, qui finira peut-être comme le Titanic, ce qui ne veut pas dire que nous soyons tous d’accord et unifiés par un agenda commun. Certains acteurs politiques plus avisés que d’autres anticipent la catastrophe possible et tentent d’encadrer la technoscience pour qu’elle reste au service des intérêts humains et nationaux. Le gouvernement russe publiait le 6 décembre 2016 une mise à jour de sa « Doctrine de la sécurité de l’information de la Fédération de Russie » :

    « 8. Les intérêts nationaux dans le domaine de l’information sont les suivants : a) garantir et protéger les droits et libertés constitutionnels de l’homme et du citoyen en ce qui concerne la réception et l’utilisation de l’information, l’inviolabilité de la vie privée dans l’utilisation des technologies de l’information, fournir un soutien informationnel aux institutions démocratiques, aux mécanismes d’interaction entre l’État et la société civile, ainsi que l’utilisation des technologies de l’information dans l’intérêt de la préservation des valeurs culturelles, historiques, spirituelles et morales du peuple multinational de la Fédération de Russie ; b) assurer le fonctionnement durable et ininterrompu de l’infrastructure de l’information, principalement de l’infrastructure critique de l’information de la Fédération de Russie (ci-après dénommée “infrastructure critique de l’information”) et du réseau unifié de télécommunications de la Fédération de Russie, en temps de paix, en cas de menace imminente d’agression et en temps de guerre ; (…) »(([7] Доктрина информационной безопасности Российской Федерации, Утверждена Указом Президента Российской Федерации от 5 декабря 2016 г. №646 : « 8. Национальными интересами в информационной сфере являются : а) обеспечение и защита конституционных прав и свобод человека и гражданина в части, касающейся получения и использования информации, неприкосновенности частной жизни при использовании информационных технологий, обеспечение информационной поддержки демократических институтов, механизмов взаимодействия государства и гражданского общества, а также применение информационных технологий в интересах сохранения культурных, исторических и духовно-нравственных ценностей многонационального народа Российской Федерации ; б) обеспечение устойчивого и бесперебойного функционирования информационной инфраструктуры, в первую очередь критической информационной инфраструктуры Российской Федерации (далее – критическая информационная инфраструктура) и единой сети электросвязи Российской Федерации, в мирное время, в период непосредственной угрозы агрессии и в военное время ; (…) » https://rg.ru/documents/2016/12/06/…))

    Comme on dit, tout le monde serait le perdant d’une escalade vers un conflit nucléaire mondial. Dans une perspective pacifiste et gagnant-gagnant, afin de contrôler, mitiger, brider et réduire dans la mesure du possible les dommages collatéraux universels de la course aux armements dans le domaine informatique, Vladimir Poutine prononçait en septembre 2017 un discours retentissant sur la stratégie numérique russe :

    « “L’intelligence artificielle représente l’avenir non seulement de la Russie, mais de toute l’humanité. Elle amène des opportunités colossales et des menaces imprévisibles aujourd’hui,” pense le dirigeant. Il poursuit : “Celui qui deviendra le leader dans ce domaine sera le maître du monde. Et il est fortement indésirable que quelqu’un obtienne un monopole dans ce domaine. Donc, si nous sommes les leaders dans ce domaine, nous partagerons ces technologies avec le monde entier,” affirme Vladimir Poutine. »(([8] « Vladimir Poutine : “Le leader en intelligence artificielle dominera le monde” », La revue du digital, 02/09/2017. https://www.larevuedudigital.com/vl…))

    Deux ans après ce discours, le gouvernement russe publiait sa stratégie officielle pour l’intelligence artificielle :

    « Décret du Président de la Fédération de Russie du 10 octobre 2019 n° 490 – Sur le développement de l’intelligence artificielle dans la Fédération de Russie ».(([9] Указ Президента Российской Федерации от 10.10.2019 №490 – О развитии искусственного интеллекта в Российской Федерации. http://publication.pravo.gov.ru/Doc…)) Thierry Berthier et Yannick Harrel, spécialistes français de cybersécurité et cyberstratégie, en proposaient quelques jours plus tard un commentaire approfondi sur le site The Conversation.(([10] « La stratégie russe de développement de l’intelligence artificielle », The Conversation, 26/11/2019. https://theconversation.com/la-stra…))

    Le second, fin connaisseur de ce sujet, avait déjà publié en 2013 un ouvrage intitulé « La cyberstratégie russe », dont la quatrième de couverture résume le contenu : « La stratégie des pouvoirs à l’ère du numérique n’est pas un tout monolithique, et des spécificités nationales apparaissent, aux États-Unis, en Russie, en France et ailleurs. Jusqu’à présent, la cyberstratégie russe n’avait jamais bénéficié d’étude sérieuse ; elle était réduite à des approximations ou perçue à travers le prisme d’études très parcellaires. Ne faisant aucunement l’impasse sur la prégnance des services de renseignement comme sur l’intérêt croissant du monde militaire pour ce nouvel espace, l’auteur de ce livre analyse les capacités et alliances potentielles de la Russie en matière de cyberespace, tout en évaluant l’émergence d’un “art de la guerre numérique” spécifiquement russe. »(([11] « Yannick Harrel : » L’intelligence artificielle — révolution anthropologique » », Dialogue Franco-Russe, 12/06/2023. https://www.youtube.com/watch?v=dOQ…))

    En 2021, l’Institut Français des Relations Internationales en diffusait sur son site un compte rendu :

    « Signée par le président russe en octobre 2019, la stratégie nationale de développement de l’intelligence artificielle entend placer la Russie sur la carte des pays qui comptent, entamant un effort de rattrapage technologique et financier en intelligence artificielle (IA) et en robotique avancée. L’IA fondamentale (recherche) comme l’IA appliquée (destinée à être commercialisée) demeurent accaparées par le secteur de la défense, qui en fait un outil au service de la modernisation de ses équipements et de l’art opératif des forces armées. »(([12] « L’intelligence artificielle : enjeu stratégique de la Russie », IFRI, 21/04/2021. https://www.ifri.org/fr/espace-medi…))

    Toujours en 2021, à l’occasion de la réunion annuelle du forum de discussion de Valdaï, Vladimir Poutine précisait encore les contours de la stratégie nationale russe sur les nouvelles technologies : « La révolution technologique, les réalisations impressionnantes dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’électronique, des communications, de la génétique, de la bio-ingénierie et de la médecine ouvrent des perspectives colossales, mais elles soulèvent également des questions philosophiques, morales et spirituelles qui, il y a peu, n’étaient posées que par les auteurs de science-fiction. Que se passera-t-il lorsque la technologie dépassera la capacité de penser de l’homme ? Où se situe la limite de l’ingérence dans l’organisme humain, au-delà de laquelle l’homme cesse d’être lui-même et se transforme en une autre entité ? Quelles sont les limites éthiques dans un monde où les possibilités de la science et de la technologie deviennent presque illimitées, et qu’est-ce que cela signifiera pour chacun d’entre nous, pour nos descendants, et pour nos enfants et petits-enfants ? »(([13] « Заседание дискуссионного клуба « Валдай » », Kremlin.ru, 21/10/2021 : « Далее. Технологическая революция, впечатляющие достижения в области искусственного интеллекта, электроники, коммуникаций, генетики, биоинженерии, медицины открывают колоссальные возможности, но они же ставят в прикладном плане философские, моральные, духовные вопросы, которыми ещё недавно задавались только писатели-фантасты. Что будет, когда техника превзойдёт человека по способности мыслить ? Где предел вмешательства в человеческий организм, после которого человек перестаёт быть самим собой и превращается в какую-то иную сущность ? Каковы вообще этические границы в мире, в котором возможности науки и техники становятся практически безграничными, и что это будет значить для каждого из нас, для наших потомков, причём уже ближайших потомков – для наших детей и внуков ? » http://kremlin.ru/events/president/…))

    De toute évidence, Vladimir Poutine ne souhaite pas sacrifier la question identitaire sur l’autel de la compétition technoscientifique. La bioéthique, la transmission aux générations futures, la protection de l’enfance ont déjà une traduction légale en Russie avec l’interdiction de la propagande LGBT et du « mariage homosexuel », qui pose ainsi des limites au transhumanisme et qui rétablit un clivage fondateur avec l’Occident et ses développements pédophiles institutionnels (cf. les standards de l’OMS pour l’éducation sexuelle des enfants dès la naissance). Quand Poutine reprend le concept de « Nouvel Ordre mondial », c’est pour en subvertir la signification donnée par le président George H. Bush au moment de la chute de l’URSS et de l’avènement du monde unipolaire dominé par les USA, ce que Francis Fukuyama avait appelé la « fin de l’Histoire ». Poutine reprend le même signifiant, mais avec un signifié différent. Quel est ce nouveau signifié ? La doctrine du gouvernement russe est un matérialisme conservateur, une politique des antagonismes concrets, à la lumière de ce qui a été sélectionné par l’expérience, réalisant une sorte de synthèse de l’empirisme organisateur de Charles Maurras et du matérialisme dialectique de Karl Marx. Cette vision politique et géopolitique propose un traitement réaliste et pragmatique des interactions et interdépendances concurrentielles et conflictuelles qui écrivent l’histoire universelle, et qui se résument dans l’aphorisme d’Héraclite : « Le combat est père de toutes choses. » Quelques siècles plus tard, Nietzsche nous dira en substance que ce sont la violence et les moyens de l’augmenter ou de s’en prémunir qui écrivent l’Histoire, en tant qu’éternel retour du Bien, mais aussi du Mal. Le matérialisme conservateur est un archéo-progressisme, ni technophobe, ni technophile, ou les deux en même temps, assumant les rapports de forces matériels et physiques dans leurs propres termes, ceux de l’innovation technologique et de la course aux armements, évitant le prisme déformant de la métaphysique et de l’essentialisme, tout en restant capable de faire alliance avec les conservateurs adeptes d’une métaphysique, sur la base d’un projet commun de souveraineté technologique réfléchie, consciente des risques et gardant le contrôle critique de la science pour en limiter les impacts négatifs sur la nature humaine. Deux courbes vont se croiser : celle de l’informatisation croissante de nos vies, et celle de la baisse du quotient intellectuel des programmeurs informatiques que l’informatisation croissante de nos vies provoque, ce qui aboutira à une augmentation des erreurs humaines de programmation, donc à une multiplication des bugs et des pannes, et à un dysfonctionnement global de cette informatique devenue omniprésente dans nos vies. Encore une ou deux générations, et l’humain ne sera plus capable intellectuellement de gérer le parc informatique dans lequel il s’est lui-même enfermé. Quand l’intelligence artificielle augmente, l’intelligence réelle diminue, d’où ce phénomène dysgénique des générations X, Y ou Z qui est en train de précipiter l’Occident vers l’effondrement complet. Comme le disait Bernard Stiegler, la technoscience est un pharmakon, simultanément remède et poison, autorisant le meilleur et le pire, capable selon le dosage d’améliorer la condition humaine, mais aussi de la réduire à néant.

    L’auteur de ces lignes espère avoir clarifié le rapport de la Russie au Great Reset et au « Nouvel Ordre mondial », et plus largement le rapport de tout être vivant à la technoscience. C’est un rapport intrinsèquement problématique. Ni tout blanc ni tout noir, tout dépend du contexte. L’erreur de l’essentialisme est de nous faire raisonner en termes de substances pures et de valeurs absolues idéales, alors que le réel s’analyse en termes de nuances et de pourcentages. La question n’est donc pas « La Russie est-elle globaliste ou non ? », mais « Quel pourcentage de la Russie est globaliste et quel pourcentage anti-globaliste ? » Il suffit ensuite de comparer avec l’Occident pour constater les différences. La même méthode par pourcentages doit être appliquée à toutes les entités, individus, communautés, organisations. Les commentateurs qui n’en tiendraient pas compte verraient leurs commentaires frappés d’obsolescence instantanée. Essayons maintenant de tourner la page sur un certain nombre de jugements hâtifs et portés sous le coup de l’émotion, afin de poser les termes du débat à l’étape suivante, dans le champ archéo-futuriste de la plateforme intellectuelle et revendicative commune à créer entre les bio-conservateurs de toutes origines à l’époque d’internet et des sujets connectés.

    [Note de Joseph : plutôt que de raisonner en termes de substances pures et de valeurs absolues idéales, le véritable essentialisme part simplement de la supériorité de l’Esprit sur la Matière et donc pose que la Conscience n’est pas tributaire de cette dernière, mais doit au contraire l’organiser dans le respect des Lois universelles. A contrario, l’existentialisme centre son approche sur la Matière et la substance, plaçant ainsi l’individu et l’Humanité sous les lois de l’ego. Après, le pourcentage de globalisme ou d’anti-globalisme dépendra autant pour l’individu que pour le groupe de la proportion d’ego ou de matérialisme par rapport à la conscience ou à la spiritualité. Et cette proportion peut bien sûr fluctuer au cours du temps, chaque individu et chaque groupe ayant sa part d’ombre. Cependant, la conscience et la spiritualité doivent s’ancrer dans la matière, par les actes, grâce à la Volonté. Autrement elles restent lettre morte ou stériles. Et pour l’instant, il semble que la volonté collective de retour aux traditions et aux valeurs humaines et religieuses ne soit pas suffisamment forte en Russie pour sortir celle-ci du piège matérialiste occidental qui se traduit par son maintien dans les institutions internationales ou la plupart d’entre elles. Si Poutine souhaite une Russie véritablement souveraine, il n’est malheureusement pas seul, mais est confronté, probablement même dans son entourage proche, à des individus qui travaillent en sens inverse.]

    Lucien Cerise

    Annexes rétrospectives du Forum de Chișinău

    Chișinău I, 26-27 mai 2017 : « 1er colloque eurasiatique : pour un destin commun des peuples eurasiatiques » https://www.youtube.com/watch?v=3mp

    Chișinău I, 26-27 mai 2017 : « Jean Parvulesco et la géopolitique transcendantale », Laurent James. http://parousia-parousia.blogspot.c

    Chișinău II, 14 décembre 2017 : présentation du livre de Hervé Juvin « Le mur de l’Ouest n’est pas tombé », avec Yurie Roșca, Igor Dodon, Alexander Dugin, Hervé Juvin, Valérie Bugault, Lucien Cerise, Emmanuel Leroy, et la traduction par Modeste Schwartz. https://www.geopolitika.ru/fr/studi

    Chișinău II, 15 décembre 2017, séance plénière : « Le capitalisme financier et ses alternatives au 21e siècle » https://www.youtube.com/watch?v=Gif

    Chișinău III, 20 septembre 2019 : « Beyond the Unipolar Moment : Perspectives on Multipolar World », première partie, avec Daria Douguine, Marion Sigaut, Marvin Atudorei, Antony Bonamy, Lucien Cerise, Arnaud Develay, Paul Ghițiu, Youssef Hindi, Ovidiu Hurduzeu, Gilles-Emmanuel Jacquet, Dimitris Konstantakopoulos, Alexander Markovics, Pierre-Antoine Plaquevent, Konrad Rękas, Irnerio Seminatore, David Shahnazaryan. https://www.facebook.com/watch/live

    Chișinău III, 20 septembre 2019 : « Discours de Lucien Cerise. Après le moment unipolaire, après l’incohérence : une étude de collapsologie cognitive » https://www.cultureetracines.com/ac

    Chișinău III, 21 septembre 2019 : « Beyond the Unipolar Moment : Perspectives on Multipolar World », deuxième partie. https://www.privesc.eu/Arhiva/88483

    Chișinău III, 21 septembre 2019 : « Présentation de livres d’auteurs français traduits en roumain et édités par l’Université populaire de Moldavie » https://www.youtube.com/watch?v=zys

    Notes




    Un article scientifique révèle que les signaux des téléphones portables peuvent activer la libération de charges utiles biologiques à partir de l’oxyde de graphène injecté dans le corps

    [Source : ozlecarolo.com]

    Par Mike Adams

    Un article scientifique publié dans MaterialsToday Chemistry révèle que les signaux des téléphones portables peuvent être utilisés pour libérer des charges biologiques ou chimiques provenant de l’oxyde de graphène introduit dans le corps humain. L’article, publié en septembre 2022, s’intitule « Nanothérapie à la demande électrosensible contrôlée à distance basée sur l’oxyde de graphène modifié par une amine pour une administration synergique de deux médicaments. »

    Le résumé de l’étude révèle comment un téléphone portable peut émettre des signaux pour activer un courant basse tension qui interagit avec les molécules d’oxyde de graphène (OG), provoquant une délivrance efficace de charges utiles de médicaments :

    Cette étude vise à déterminer la libération de deux médicaments (aspirine et doxorubicine) contrôlés par basse tension à partir de la surface OG. Ici, nous avons démontré comment contrôler le taux de libération du médicament à distance avec un téléphone portable pratique, sans aucune libération passive au repos.

    En raison de sa surface extrêmement élevée et de sa structure complexe, l’oxyde de graphène s’avère être la molécule idéale pour l’administration de charges biologiques ou médicamenteuses à l’intérieur du corps. Extrait de l’étude :

    Ces avantages font de l’OG un matériau nanocomposite extrêmement potentiel comme support de médicaments dans le domaine de la biomédecine et de la biotechnologie, tout en étant associé à une matrice polymère ou inorganique.

    Il est important de noter que la présence d’une fréquence spécifique d’un courant basse tension est tout ce qui est nécessaire pour que l’oxyde de graphène libère sa charge utile.

    Les signaux des tours cellulaires 5G créent des microcourants à l’intérieur du corps

    Nous savons déjà que les signaux 5G peuvent générer des courants électriques à l’intérieur du corps humain, même à une distance importante. Un article important rédigé par le Dr Joseph Mercola et publié dans Childrens Health Defense révèle que le rayonnement du signal cellulaire 5G entraîne des changements biologiques et chimiques mesurables à l’intérieur du corps humain. Extrait de son article :

    • La 5G s’appuie principalement sur la bande passante des ondes millimétriques, connues pour provoquer une douloureuse sensation de brûlure. Il a également été associé à des problèmes oculaires et cardiaques, à une fonction immunitaire affaiblie, à des dommages génétiques et à des problèmes de fertilité.
    • La Federal Communications Commission (FCC) admet qu’aucune étude sur la sécurité de la 5G n’a été menée ou financée par l’agence ou l’industrie des télécommunications, et qu’aucune n’est prévue.
    • La FCC a été capturée par l’industrie des télécommunications, qui à son tour a perfectionné les stratégies de désinformation employées par l’industrie du tabac avant elle.
    • Les expositions persistantes aux fréquences micro-ondes comme celles des téléphones portables peuvent provoquer un dysfonctionnement mitochondrial et des dommages à l’ADN nucléaire dus aux radicaux libres produits à partir du peroxynitrite.
    • L’exposition excessive aux téléphones portables et aux réseaux Wi-Fi a été associée à des maladies chroniques telles que les arythmies cardiaques, l’anxiété, la dépression, l’autisme, la maladie d’Alzheimer et l’infertilité.

    Le site Web du Cellular Phone Task Force répertorie de nombreux avertissements émanant de gouvernements et d’agences du monde entier qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les radiations des téléphones portables et leurs effets nocifs sur la biologie humaine.

    Le rayonnement micro-ondes radiofréquence provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, modifiant ainsi les canaux calciques.

    De plus, des recherches approfondies menées par Martin Pall, Ph. D., professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington, révèlent que le rayonnement micro-ondes des appareils mobiles et des routeurs sans fil provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, activant ce qu’on appelle » Canaux calciques voltage-dépendants » (VGCC), qui sont situés dans la membrane externe de vos cellules. C’est cette membrane qui détermine ce qui entre et sort de la cellule.

    Voir l’étude complète de Martin Pall, PhD., intitulée : Les champs électromagnétiques agissent via l’activation de canaux calciques voltage-dépendants pour produire des effets bénéfiques ou indésirables. Cette étude explique :

    Vingt-trois études ont montré que les canaux calciques voltage-dépendants (VGCC) produisent ces effets ainsi que d’autres effets CEM (champs électromagnétiques). En outre, les propriétés tension-dépendantes de ces canaux peuvent fournir des mécanismes biophysiquement plausibles pour les effets biologiques des CEM.

    Extrait de l’article du Dr Mercola lié ci-dessus : (c’est nous qui soulignons)

    Selon les recherches de Pall, le rayonnement micro-ondes radiofréquence, tel que celui de votre téléphone portable et de votre routeur sans fil, active les canaux calciques dépendants du potentiel (VGCC) situés dans la membrane externe de vos cellules.

    Selon Pall, les VGCC sont 7,2 millions de fois plus sensibles au rayonnement micro-ondes que les particules chargées à l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les normes de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois plus faibles.

    Le rayonnement micro-ondes basse fréquence ouvre vos VGCC, permettant ainsi un afflux anormal d’ions calcium dans la cellule, ce qui active à son tour l’oxyde nitrique et le superoxyde qui réagissent presque instantanément pour former du peroxynitrite qui provoque ensuite des radicaux libres carbonates, qui sont l’un des plus nocifs, espèces d’azote réactif connues et considérées comme étant à l’origine de nombreuses maladies chroniques actuelles.

    Cela signifie que le rayonnement des téléphones portables (et le rayonnement des tours de téléphonie cellulaire 5G) induit effectivement des changements de tension dans le corps humain, et que ces changements de tension ont des effets biochimiques très réels, dont certains peuvent être dangereux pour la santé humaine (comme la formation de molécules de peroxynitrite).

    La lutte contre ces puissants radicaux libres peut être obtenue en partie grâce à des approches nutritionnelles, telles que l’utilisation de l’enzyme superoxyde dismutase (SOD), qui est le nutriment fondamental des poudres de défense 5G du Health Ranger Store. Notamment, la SOD (qui est généralement dérivée du melon) ne bloque pas elle-même le rayonnement des tours cellulaires, mais elle aide l’organisme à répondre aux stress cellulaires tels que la formation de molécules de peroxynitrite.

    Dans des informations connexes rapportées par Reuters, les régulateurs français ont averti Apple de cesser de vendre des téléphones iPhone 12 en raison de la présence de rayonnements excessifs produits par les appareils. Le smartphone d’Apple dépasse la limite légale de rayonnement autorisée. Ce téléphone est vendu depuis 2020.

    Les signaux 5G peuvent être utilisés pour que l’oxyde de graphène libère des charges utiles à l’intérieur du corps humain

    En reliant les points à tout cela, les signaux 5G peuvent être utilisés pour générer une basse tension à l’intérieur du corps humain, provoquant la libération de charges utiles prédéterminées par les molécules d’oxyde de graphène à l’intérieur du corps. Via l’article publié lié ci-dessus :

    Lors de l’application de stimuli externes, de nombreux matériaux sont capables de libérer des médicaments. Cependant, la plupart d’entre eux ont besoin d’instruments sophistiqués hormis la stimulation électrique. L’administration de médicaments électrostimulée a attiré l’attention en raison du faible coût, de l’indolore et de la portabilité de l’équipement de contrôle, ce qui le rend gérable pour des applications personnalisées. Dans cette étude, nous avons utilisé le graphène comme matériau électrosensible pour délivrer des médicaments de manière contrôlable.

    « C’est la première fois que nous utilisons l’ASP et le DOX comme médicament modèle pouvant être administré simultanément par une tension externe », indique le document. La conclusion de l’article ajoute : (c’est nous qui soulignons)

    En conclusion, nous avons montré ici que le graphène peut être utilisé comme double agent d’administration de médicaments et que la libération de médicaments peut être contrôlée par une tension externe. Pour exploiter l’effet synergique de l’ASP et du DOX, nous avons modifié l’ONG et lui avons attaché deux médicaments. Notre appareil télécommandé fabriqué en laboratoire a libéré efficacement le médicament anticancéreux. Le processus de libération peut facilement être activé et désactivé avec un téléphone portable en modifiant la tension de polarisation.

    L’oxyde de graphène peut transporter des armes biologiques ou chimiques comme charges utiles

    Dans l’article scientifique cité ci-dessus, la charge utile était de l’aspirine et un médicament anticancéreux courant. Cependant, les charges utiles peuvent être presque n’importe quoi de taille suffisamment petite, y compris des molécules hydrophiles et hydrophobes. De l’étude, « nous avons également démontré comment les médicaments hydrophiles (ASP) et hydrophobes (DOX) peuvent être administrés en utilisant une plate-forme d’administration unique. »

    Cela signifie que des armes chimiques puissantes — incluant théoriquement des agents neurotoxiques qui sont mortels à quelques nanogrammes d’exposition — pourraient être chargées dans des molécules d’oxyde de graphène qui sont subrepticement administrées dans le corps via des interventions médicales agressivement propagées telles que de faux vaccins ou des écouvillons Covid. Théoriquement, de telles armes pourraient également être livrées à la population via des vecteurs alimentaires. Une fois dans le corps, une petite quantité de fuite de charge utile peut générer un certain niveau de lésions nerveuses chez les victimes vaccinées, mais la véritable distribution de charge utile n’aura pas lieu tant qu’un signal 5G approprié ne sera pas diffusé à travers la population inoculée, en utilisant la « fréquence de libération » qui génère la tension requise pour libérer la charge utile.

    En d’autres termes, un signal diffusé 5G à la fréquence appropriée pourrait instantanément amener les molécules d’oxyde de graphène à libérer les charges utiles dans le corps de ceux qui ont déjà été inoculés avec ces charges utiles. Cela se produirait simultanément, sur l’ensemble de la population se trouvant à portée des fréquences diffusées qui génèrent la tension nécessaire dans le corps.

    Si la charge utile était un agent neurotoxique, l’effet réel serait la mort soudaine d’une grande partie de la population dans les villes où la diffusion 5G est capable de les saturer. Si les charges utiles étaient des nanoparticules ressemblant à des virus, leur livraison pourrait donner l’impression qu’une grande partie de la population est soudainement « infectée » par un virus pandémique qui se propage à une vitesse inimaginable.

    En d’autres termes, cette technologie pourrait être utilisée comme un « coupe-circuit » pour mettre fin à toute partie de la population ayant déjà été inoculée avec du OG porteur de charge utile.

    « Encre noire » imprimée sur des capsules pharmaceutiques qui se révèlent magnétiques et peuvent contenir de l’oxyde de graphène

    Certaines informations supplémentaires ont été portées à mon attention lors de la rédaction de cet article. L’encre noire imprimée sur le côté des capsules pharmaceutiques est en réalité constituée de mystérieux points noirs magnétiques. Un contact m’a envoyé une vidéo, représentée dans la capture d’écran suivante, montrant des capsules pharmaceutiques trempées dans l’eau pendant plusieurs heures, après quoi « l’encre » noire des capsules s’est transformée en taches noires qui présentaient des propriétés magnétiques surprenantes. Sur cette photo fixe, vous pouvez voir les taches noires se rassembler au niveau de l’aimant commun maintenu contre le verre :

    Comme le révèle cet article de LiveScience.com, de nouvelles recherches étonnantes révèlent que le graphène peut être rendu magnétique en assemblant des couches dans une orientation de rotation spécifique. Cela donne naissance au magnétisme, même si les éléments atomiques sous-jacents ne sont que du carbone. Extrait de l’article :

    Le champ magnétique n’est pas créé par le spin habituel des électrons dans les couches individuelles de graphène, mais résulte plutôt du tourbillon collectif d’électrons dans les trois couches de la structure empilée du graphène, ont rapporté les chercheurs le 12 octobre dans la revue Nature Physics.

    Le graphène est-il utilisé dans « l’encre » imprimée sur le côté des médicaments sur ordonnance ? Nous ne le savons pas avec certitude, mais le fait que cette encre soit clairement magnétique est alarmant.

    L’oxyde de graphène peut également transmettre des signaux gigahertz aux récepteurs à proximité

    De plus, dans certaines applications exotiques des matériaux de graphène, ceux dont les corps sont activés par la diffusion des tours de téléphonie cellulaire pourraient eux-mêmes fonctionner comme des « répéteurs » électromagnétiques en raison de la capacité du graphène à fonctionner comme émetteurs.

    Cette capacité est bien documentée dans une étude intitulée « Caractéristiques radiofréquence de l’oxyde de graphène », publiée dans Applied Physics Letters en 2010 (https://doi.org/10.1063/1.3506468). Cette étude explique (c’est nous qui soulignons) :

    Nous confirmons que l’oxyde de graphène, une structure de carbone bidimensionnelle à l’échelle nanométrique, peut être un candidat sérieux pour un interconnecteur à haute efficacité

    dans la gamme des radiofréquences. Dans cet article, nous étudions les caractéristiques haute fréquence de l’oxyde de graphène dans la plage de 0,5 à 40 GHz. Les propriétés de transmission radiofréquence ont été extraites en tant que paramètres S pour déterminer la transmission CA intrinsèque des feuilles de graphène, telles que la dépendance de la variation d’impédance en fonction de la fréquence. L’impédance et la résistance des feuilles de graphène diminuent considérablement à mesure que la fréquence augmente. Ce résultat confirme que l’oxyde de graphène a un potentiel élevé pour transmettre des signaux dans des gammes de gigahertz.

    En d’autres termes, les matériaux à base d’oxyde de graphène peuvent à la fois transporter des charges utiles qui sont transmises via une signalisation de téléphone portable à distance, ainsi que transmettre des signaux à d’autres récepteurs à proximité.

    Cela pourrait théoriquement être utilisé pour déclencher une « réaction en chaîne » de signaux de tours de téléphonie cellulaire 5G rediffusés d’une personne à une autre. En théorie, cela pourrait étendre la diffusion d’un signal « kill switch » (interrupteur de la mort) bien au-delà de la portée initiale des tours de téléphonie cellulaire 5G elles-mêmes.

    De la conclusion de cet article publié :

    …[N]ous prévoyons que le graphène pourrait être utilisé pour les lignes de transmission dans l’électronique de prochaine étape et pourrait être un très bon candidat pour l’électronique à base de nanocarbones.

    Conclusions

    1. L’oxyde de graphène peut transporter des charges chimiques ou biologiques.
    2. L’oxyde de graphène transportant des charges utiles peut être introduit dans l’organisme par le biais de vaccins ou de prélèvements.
    3. La libération de ces charges utiles peut être contrôlée par des signaux externes de tour de téléphonie cellulaire qui provoquent des changements de tension spécifiques dans les cellules humaines.
    4. On sait déjà que certains changements de tension se produisent lors de l’exposition aux rayonnements des tours de téléphonie cellulaire, en particulier avec la 5G.
    5. Les charges utiles d’oxyde de graphène peuvent inclure des charges utiles « kill switch » telles que des agents neurotoxiques ou des agents infectieux.
    6. Le système de tour 5G peut donc fonctionner comme un système d’infrastructure de libération de charge utile d’armes chimiques pour réaliser une « destruction massive » de populations qui ont été auparavant inoculées avec du graphène transportant une charge utile.
    7. Les vaccins Covid — dont il est désormais largement connu qu’ils n’ont rien à voir avec l’arrêt d’une pandémie (puisque même la Maison-Blanche et le CDC admettent tous deux qu’ils n’arrêtent pas la transmission ou les infections) — auraient théoriquement pu être utilisés pour inoculer aux gens de l’oxyde de graphène et des charges utiles qui n’ont pas encore été activées.

    Ainsi, il est plausible — mais non prouvé — que les vaccins + les tours cellulaires 5G puissent être exploités comme système d’arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive quasi simultanée d’un grand pourcentage de la population humaine, simplement en activant la libération de la charge utile OG avec l’intensité et la fréquence énergétiques spécifiques de la diffusion.

    Étant donné que les gouvernements occidentaux du monde entier tentent clairement d’exterminer leurs propres populations à l’heure actuelle, cette conclusion devrait inquiéter tous ceux qui souhaitent survivre au programme mondial de dépopulation.

    Les sources citées dans cet article incluent :

    https://childrenshealthdefense.org/defender/5g-emf-radio Frequency-radiation-health-risks-exposure-humans-cola/

    https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2468519422002166

    https://www.reuters.com/technology/french-watchdog-halts-iphone-12-sales-over-too-high-radiation-minister-2023-09-12/

    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23802593/

    https://pubs.aip.org/aip/apl/article-abstract/97/19/193103/324025/Radio-fréquence-characteristics-of-graphene-oxid?redirectedFrom=fulltext

    Par Mike Adams Via Natural News




    Les enfants amish souffrent-ils de cancer, de diabète ou d’autisme ?

    [Source : numidia-liberum]

    Nous avons publié en juillet l’article suivant de S.D. Wells qui explique que les amish semblent en bien meilleure santé que les autres enfants. Cependant, ce qui s’est passé par la suite est intéressant. Notez que S.D. Wells ne dit pas que les enfants amish ne tombent pas malades, mais ils semblent beaucoup moins sujets à d’autres maladies qui touchent les enfants, en particulier les enfants vaccinés. Comme indiqué, les choses sont devenues intéressantes après la parution de l’article. Au début, il est devenu presque impossible de trouver l’article original en utilisant Google ou l’un des autres principaux moteurs de recherche.

    Nous n’avons trouvé l’article original, publié sur ce site, qu’en utilisant le moteur de recherche russe Yandex. Cependant, lorsque nous avons utilisé Google, l’article de Wells était non seulement totalement absent, mais la recherche a donné des articles comme ceux ci-dessous qui contestaient ce qui était sous-entendu dans l’article original.
    – Non, les enfants amish ne sont pas à l’abri du cancer, du diabète et de l’autisme
    – Fausse affirmation : aucun enfant amish n’est atteint d’autisme, de cancer ou de diabète
    – Les enfants amish ont-ils le cancer, le diabète, l’autisme ? C’est une pantalonnade
    – Vérification des faits – Aucune preuve que les enfants amish ont « zéro » cancer
    – Les amish souffrent en fait du cancer, du diabète et de l’autisme

    [NDLR On trouve également l’article en utilisant le moteur de recherche Bing de Microsoft (qui censure bien moins que Google). Avec les mots clefs « S.D. Wells amish study », l’étude arrive même en tête des résultats :

    ]

    Selon la Bibliothèque nationale des États-Unis, les enfants amish contractent le cancer, mais les taux sont TRÈS INFÉRIEURS à ceux des enfants non amish.

    De là, on ne peut que conclure que les grands médias, les « vérificateurs de faits » et les principaux moteurs de recherche Internet travaillent ensemble pour enterrer tout ce qui contredit le discours conventionnel sur la santé.

    Éd.


    Étude approfondie : Il a ZÉRO enfant amish qui souffre de cancer, de diabète ou d’autisme — POURQUOI ?

    Par S.D. Wells – Natural News 1er juillet 2023

    La population amish actuelle en Amérique approche rapidement les 400 000 personnes, avec les plus grandes concentrations de 90 000 en Pennsylvanie et de 82 000 dans l’Ohio. Les amish se sont installés dans pas moins de 32 États américains et ont en moyenne 7 enfants par famille, de sorte que la population augmente rapidement. Dans une toute nouvelle étude complète (en juin 2023), présentée par Steve Kirsch au Sénat de l’État de Pennsylvanie, il a été calculé que pour les enfants amish, qui sont strictement à 100 % non vaccinés (totalement non vaccinés), les maladies chroniques typiques existent à peine, voire pas du tout.

    Ces maladies chroniques, également appelées maladies et troubles évitables, dont souffrent de nombreux enfants vaccinés et de nombreux Américains, comprennent les maladies auto-immunes, les maladies cardiaques, le diabète, l’asthme, le TDAH, l’arthrite, le cancer et bien sûr… attendez… l’autisme (pensez aux TSA et au syndrome d’Asperger).

    Des panélistes d’experts ont attesté à quel point les enfants amish en bonne santé sont comparés aux enfants américains vaccinés.

    [Voir aussi :
    LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés
    et
    Covid : La stratégie des Amish a payé]

    Peut-être qu’effrayer les gens à l’égard des vaccins est une bonne chose, pour tous ces fanatiques du vaccin qui pensent que tout défenseur de la santé naturelle est un « théoricien du complot » qui propage la maladie et le désordre en parlant de vaccins néfastes, de blessures causées par les vaccins et de décès provoqués par les vaccins. Au cours de leur témoignage, des experts défenseurs de la santé ont expliqué POURQUOI aucun rapport n’a jamais été publié concernant la santé des enfants amish en général, affirmant : « Après des décennies d’étude sur les amish, il n’y a pas de rapport, car le rapport serait dévastateur pour le récit. Cela montrerait que le CDC fait du mal au public depuis des décennies en ne disant rien et en enterrant toutes les données. »

    Le Dr Peter McCullough, un cardiologue de renom aux États-Unis, avec des montagnes de travaux publiés et évalués par des pairs, a témoigné devant le Sénat des États-Unis et devant les législatures à travers les États-Unis, concernant les dangers des vaccins, y compris les vaccins à mutation génétique du COVID-19. En parlant de pandémie, les amish ne se sont PAS confinés, ils n’ont PAS mis de masques antibactériens et ils n’ont certainement PAS « vacciné ». Ils ont ignoré tous les mandats et protocoles propagés par le CDC et Fauci, y compris les injections mortelles de caillots (parce qu’ils savaient qu’il valait mieux ne pas se faire injecter des millions de protéines de pointe toxiques et collantes et des nanoparticules de graphite).

    Devinez ce qui s’est passé ? Les amish avaient un taux de survie au COVID 90 fois supérieur à celui du reste de l’Amérique. Personne ne veut en parler, sauf les défenseurs de la santé naturelle. Si vous publiez quoi que ce soit à ce sujet sur les réseaux sociaux, vous êtes immédiatement banni, mis sur liste noire et étiqueté « désinformation » ou « complotiste ».

    Pourquoi est-il si important d’ÉVITER les vaccins comme la peste ? Jetez simplement un œil à tous les ingrédients fous utilisés dans les vaccins, y compris les conservateurs, les émulsifiants, les adjuvants, les bactéries génétiquement modifiées, les virus mutés et les produits chimiques provoquant la stérilité. Tout cela est répertorié ouvertement. Aucun être humain ne devrait jamais se voir injecter ce produit dans son sang et ses tissus musculaires, en contournant les boucliers défensifs normaux du corps, notamment la peau, les poumons et le tube digestif.

    Ces ingrédients toxiques, parfois mortels, comprennent le mercure (doses élevées dans le vaccin multidose contre la grippe), le sang humain (albumine provenant d’avortements), des virus porcins mortels appelés circovirus (dans les vaccins Rotateq Rotavirus), sang d’aigle, sang de chien, cellules rénales de singe vert infectées, sucralose, glutamate monosodique (MSG), sang de vache, sang de poulet, œufs, produits laitiers, antibiotiques, huile d’arachide (oui, des résidus restent, d’où toutes les allergies mortelles à l’arachide), latex (des bouchons sur les aiguilles et des flacons dans lesquels les aiguilles pénètrent), de l’aluminium et bien plus encore…

    Source




    Libérez-Vous !

    [Source : liberez-vous.weebly.com]

    Nul esclave ne l’est davantage que celui
    qui se croit libre sans l’être.

    Goethe

    1. CONNAÎTRE SON ENNEMI

    Vous êtes inquiet de tout ce qui menace votre existence et votre avenir. Mais quel est le pilier principal sur lequel s’appuie la tyrannie actuellement, sans lequel celle-ci n’aurait jamais pu voir le jour en ce XXIe siècle ? Quel est le pire danger ? L’avez-vous identifié ? Vous pouvez bien continuer à montrer du doigt les crapules, les gangsters, votre voisin ou vos élus, la liste de coupables et criminels s’allongeant de jour en jour… Mais rien de tout ce que nous subissons depuis plusieurs années n’aurait pu avoir lieu sans le pilier central qu’est la TECHNOLOGIE, notamment la technologie SANS FIL. Cessez de prétendre que vous n’avez vous-même rien à voir avec le mal qui s’est répandu autour de vous, car en vérité, vous jouez dans ce drame un rôle déterminant. Nous sommes tous des acteurs majeurs dans ce désordre local, national et mondial, c’est pourquoi je vous invite à vous livrer à une petite introspection et à la lecture approfondie des lignes qui vont suivre !

    Il n’est plus d’usage de faire porter aux esclaves des fers et des colliers. Ces objets ont beaucoup évolué dans le temps et sont devenus très sophistiqués. Aucun n’est serré autour de votre cou, vous pensez donc être libre, mais sans le savoir, vous êtes un jouet et un prisonnier. Vous êtes un esclave qui s’ignore. Et même si vous êtes éveillé, vous ne savez plus ni comment, ni pourquoi il importe de vous libérer, étant donné que les derniers modèles de « colliers » modernes sont terriblement séduisants, et l’on peut même dire invisibles, puisque tous les derniers gadgets sans fil fonctionnent grâce aux champs et fréquences électromagnétiques.

    Ancien collier d’esclave

    Francis Lalanne, le « William Wallace » français, avait tout compris. Il a mis le « doigt dessus » en posant, avant toutes les autres, la question extrêmement judicieuse et intelligente aux parlementaires français, de savoir si les mesures de confinement, et par extension, toutes les autres restrictions, auraient pu être mises en place avant l’ère du SMARTPHONE. Vous êtes-vous posé la même question ? LA RÉPONSE, AUSSI PÉNIBLE ET DÉSAGRÉABLE À ENTENDRE SOIT-ELLE, EST POURTANT LA CLEF DE NOTRE LIBERTÉ.

    2. DANS LES FERS ET DANS L’ENFER

    Qui croit encore à « la Révolution » ? Mouvement de foule immense, l’Élysée pris d’assaut, et dedans… des pièces vides, les dirigeants ont fui ? La révolution extérieure est un leurre, et c’est à l’intérieur, en chacun d’entre nous qu’elle aura lieu ! Gandhi (1869-1948) nous a montré qu’il n’y a pas besoin de révolutions violentes, de bains de sang, ni de couper les têtes… Les révolutions peuvent échouer, mais l’évolution est une force incoercible, que rien ne peut arrêter. Il avait compris que le chemin vers la libération passe par le perfectionnement individuel et moral de chacun. C’est la Re – évolution, qui veut que lorsque l’on est engagé sur une mauvaise voie, on ne s’obstine pas à rouler pour aller se jeter dans le précipice, alors on fait demi-tour.

    Nous sommes dans les fers, en quête de solutions, mais depuis plusieurs années, nous continuons de tourner en rond, nous ne faisons que tailler quelques branches de l’arbre, alors que nous devrions viser les racines. Tout effort demeurera vain et inutile tant que nous ne nous attaquerons pas au fond du problème. Pour cela, il faut commencer par ôter le bandeau de vos yeux… Car, oui, le vrai coupable est ce petit bout de plastique et de métal, ce gadget sans fil qui est devenu votre « ennemi intime » : il s’agit bien de votre smartphone, téléphone portable ou téléphone mobile !

    L’évolution de la technologie s’est faite ainsi :
    — En 1996 est apparue la technologie que l’on tient dans sa main,
    À L’EXTÉRIEUR DU CORPS (le téléphone portable),
    — qui a conduit à la technologie que l’on porte sur soi,
    SUR LE CORPS (les smartwatches, fitbits, etc.),
    — et nous en sommes à la technologie que l’on porte à l’intérieur de soi,
    DANS LE CORPS (la nanotechnologie).

    3. UN PLAN DIABOLIQUE

    À propos de cette évolution, on peut dire « Moi, j’ai un portable, mais je ne veux pas d’autres objets connectés », ou bien « Moi, j’ai des gadgets, mais je ne veux pas de nanorobots dans mon corps », mais cela va beaucoup plus loin que ça… Cela revient à pactiser avec « le diable », du moins avec une force destructrice (nommez-la comme vous voulez), ou encore à prendre un peu d’arsenic ou de cyanure, en se disant « Tout va bien, je n’en suis pas mort, alors je continue ! »

    En 1996, l’industrie des télécoms a entrepris la mise en œuvre de son plan visant à doter chaque homme, femme et enfant sur Terre d’un téléphone portable. Quelques années plus tard, et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, chaque personne sur Terre tient entre ses mains une source ouverte de rayonnements micro-ondes. Et chacun continue à faire comme si tout allait bien. La menace la plus immédiate pour la santé, la vie et la liberté provient de cet objet maléfique et mortifère auquel vous vous accrochez — malgré tant d’informations, à hauteur d’environ 28 000 études scientifiques (voir par exemple ici, ici ou ) ! Le fait de passer un appel ou d’envoyer un SMS vous expose à une radiation bien plus importante que celle émise par les antennes de téléphonie mobile ; les radiations des portables interfèrent avec votre métabolisme et sont actuellement la cause prédominante de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer ; la radiation aux micro-ondes constitue un assaut plus grand et plus urgent contre la terre que la pollution chimique ou toute autre menace environnementale.

    Il a souvent été dit que le contrôle des autres est « la forme la plus vile du comportement humain ». Le contrôle de l’esprit a longtemps été un objectif du monde académique, de la science et de ceux intéressés par le pouvoir sur les autres. Ces derniers ont attendu très patiemment, des années, des décennies, pour mettre en œuvre leur plan diabolique, car il importait avant tout de nous voir asservis et dépendants de cette drogue. Nous perdons notre société et nous nous perdons nous-mêmes, tout ça pour une boîte en métal et en plastique, une commodité privée devenue une nuisance publique. On nous a trompés.

    Le but avoué et amplement discuté par exemple au WEF de Davos en 2020 est de nous transformer en cyborgs ou transhumains. Nous laissera-t-on le choix de refuser ? Croire que cette décision nous appartiendra serait faire preuve d’une grande naïveté, car comme pour tant d’autres choses, cette cyborgisation va nous être imposée. Le transhumanisme n’est rien d’autre que de l’anti-humanisme. Le projet transhumaniste est un projet de manipulation et de contrôle de l’homo sapiens, discuté et disséqué calmement par des hommes d’influence et des scientifiques, comme s’il s’agissait d’une simple avancée technologique ! Effacement des frontières entre les systèmes biologiques et numériques, entre les organismes vivants et non vivants, nouveaux « corps humains », nouveaux « sens de l’identité humaine », etc.

    Il existe plusieurs définitions du mot « humanité ». Ici, je fais référence à la « nature humaine », avec tout ce qu’elle comporte de compréhension, de bienveillance, etc. Non pas à « tous les peuples du monde dans leur ensemble ». Quand je pense aux enfants, et aux adultes, que je les vois incapables de parler, de jouer sans pouvoir lâcher leurs appareils ou détourner les yeux de leurs écrans, ils ont déjà perdu une partie de leur « nature humaine », et dans un sens plus large, ils se sont éloignés de la Nature elle-même. L’ingénierie ou manipulation sociale est là pour assurer une transition en douceur entre les différentes étapes de la cyborgisation. Cette dernière a commencé au moment même où la technologie a été introduite hors du corps ; un « humain » collé à un appareil et dépendant constamment de celui-ci, correspond déjà à la définition de « transhumain » ou « post-humain ». Le téléphone portable a toujours été la première étape de cette cyborgisation planifiée. C’est déjà un organe auxiliaire, un appendice supplémentaire, une prothèse ! Avant, nous n’avions que quatre membres, maintenant, nous en avons cinq !
    Mais que voulons-nous au juste ? Ne voulons-nous pas être des hommes et des femmes avec des droits ? Et non pas des produits du transhumanisme, cyborgs ou androïdes sans aucun droits, si ce n’est le droit de se taire et de mettre nos muselières !

    4. DANS LE DICTIONNAIRE

    Depuis le 14e siècle, le sens premier du mot « smart » en anglais était douloureux, intense, piquant, causant une douleur aiguë. En ce qui concerne les appareils, le mot « smart » fit pour la première fois son apparition en 1972, pendant la guerre du Vietnam, au sens de « se comporter comme s’il était guidé par l’intelligence » (pour la « smart bomb »). Dans ce contexte en effet, le mot « smart » fut utilisé en des termes militaires pour désigner des bombes et des missiles !

    Un autre mot digne d’intérêt dans le dictionnaire est le mot « meurtre ». La définition de « meurtre » pose un véritable problème, car la plupart d’entre nous et notre société en général associent le meurtre à une mort rapide ou instantanée. Mais les cancers des téléphones portables, des appareils « intelligents » et sans fil ne se forment pas du jour au lendemain, et lorsqu’une personne est empoisonnée lentement au fil du temps, c’est beaucoup plus difficile à prouver devant un tribunal, les juges ayant du mal à trouver des experts pouvant apporter les preuves d’un empoisonnement à long terme…

    À présent, nous nous tenons tous devant ce tribunal. Mais nous ne sommes ni des victimes ni des criminels ;
    en réalité, nous sommes les deux, car nous nous suicidons à petit feu. Il s’agit d’un suicide collectif.

    5. UN SIM DANS UNE PRISON

    Nous sommes tous dans un camp de concentration numérique géant. Vous ne voulez plus vivre en prison ? Alors notre seule chance de liberté et de survie, la véritable solution réside dans la création d’une vague de libération des téléphones portables, mais également de tous les objets connectés sans fil. Car il en va de même pour les tablettes, les écoute-bébés, les téléphones de maison sans fil, les souris et les claviers sans fil, tout ce qui est « intelligent » ou « smart », c’est-à-dire les montres « intelligentes », les couches et les biberons « intelligents », les compteurs « intelligents », les thermostats « intelligents », les télés « intelligentes », Alexa, sans oublier les ampoules dites économiques qui émettent des ondes nocives, etc. Bref, tout émetteur/récepteur de données et d’information sans fil, le Wi-Fi, le Bluetooth, tout ce qui est sans fil doit disparaître !

    Ce n’est pas pour vous et moi. Tout cela est piratable. Tout cela, c’est pour la collecte de données, la surveillance et le contrôle. Les données sont le pétrole brut d’aujourd’hui pour des milliardaires qui peuvent vous suivre sur tous vos appareils « intelligents ». Dans l’« Internet des Objets », vous n’êtes vous-même qu’un vulgaire « Objet », comme un « Sim » dans un jeu vidéo. Le consommateur est devenu celui qui est consommé, surveillé et contrôlé par l’« Intelligence Artificielle », qui n’a rien de vraiment « artificielle » ; ceci est encore une autre imposture, car au final il y a bien quelqu’un d’assis tout là-haut sur son trône, qui la maîtrise parfaitement, qui s’en sert et s’en servira contre nous.

    Un homme ou une femme a droit à la vie privée, un esclave non. Mais bon sang, vous êtes soit un homme, soit une femme, vous n’êtes pas une marchandise ou un esclave ! Vous n’avez peut-être rien à cacher, mais vous êtes né avec une « bulle » de vie privée, qui ne doit jamais être échangée contre une soi-disant « sécurité » ou « sûreté ». Vos données valent une fortune ! Il faut arrêter de « donner vos données » et de les laisser être récoltées pour remplir les poches et satisfaire la soif de pouvoir de ces milliardaires !

    Il est grand temps d’évoluer, et d’admettre enfin que toutes ces énergies invisibles, les ondes, les micro-ondes, les champs électromagnétiques régissent l’univers, et que dans la plus grande mesure possible, ils ont été piratés pour nous soumettre à l’esclavage.

    « Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergies, fréquences et vibrations. »

    Nikola Tesla (1856-1943)

    Les images suivantes illustrent le jeu vidéo, puis de vraies images de sources industrielles, scientifiques et militaires. La technologie de radar a bien évolué. Tous les objets connectés sont comme des « ampoules » :

    Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (1)
    À quoi ressemble le monde à travers les yeux du Wifi.
    Les petits rectangles en bleu sont de simples routeurs et appareils.
    Radar micro-ondes
    Cartographie 3D
    « On peut utiliser un drone pour cartographier l’intérieur
    d’un bâtiment entier en 20 à 30 secondes. »
    Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (2)
    Les murs sont transparents, presque comme du verre.
    Les appareils connectés agissent comme des ampoules.
    « On peut facilement scanner une pièce chez quelqu’un grâce à la transmission Wi-Fi. » (Adieu la vie privée !)

    6. DES MARIONNETTES ET DES MENTEURS

    Mais il n’y a même pas besoin d’avoir recours à des drones, comme illustré plus haut, chaque objet connecté possédant sa propre « signature ». Chaque signature ou empreinte numérique, reliée à toutes les autres données, permet de vous analyser et de vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même. Et c’est ainsi que l’on devient… une marionnette !

    À propos de marionnettes, savez-vous ce que Yuval Harari, l’éminence grise du WEF pense et dit de ceux qui ont un smartphone ? Voir dans l’onglet Vidéos, une interview de 2022 et la transcription, que je remets ici :

    « (…) et suffisamment de puissance de calcul, nous sommes très proches du point où les ordinateurs peuvent pirater les êtres humains, peuvent comprendre mes émotions, mes goûts, mes aversions mieux que moi-même, pas parfaitement, on ne peut jamais pirater quelque chose à 100 %, on n’a pas besoin de 100 %, il faut juste connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Et c’est assez facile, parce que la plupart des gens ne se connaissent pas très bien eux-mêmes. [Donc dès que l’algorithme sait ce que je veux, mieux que je ne le sais…], vous êtes une marionnette, il peut vous manipuler, il peut presser vos boutons émotionnels. Et c’est ce qui se passe maintenant avec nos smartphones et tous ces algorithmes sur les médias sociaux…
    — C’est pour cela que vous n’avez pas de smartphone ?
    — C’est une des raisons, en fait c’est pour gérer mon temps, et vous savez, au cours des 20 dernières années, les personnes les plus intelligentes du monde et la meilleure technologie du monde ont travaillé sur le moyen de pirater les êtres humains et de les contrôler à travers les écrans et les smartphones. Je ne suis pas de taille face à eux. Si je leur donne accès [montrant son cerveau], ils gagnent. J’essaie donc de limiter leur accès de cette manière. »

    Donc, si vous avez un smartphone, la marionnette, c’est vous ! Voir également des images avec citations de Yuval Harari, dont je publie la légende ici :
    — « Harari voyage énormément, est sollicité par les médias du monde entier, a un agenda de Premier ministre, mais ne possède pas de smartphone : “Les gens vraiment importants n’en ont pas”, assure-t-il au Monde. » (www.levif.be)
    À propos de Yuval Harari : « Il se refuse toujours à utiliser un smartphone. “Ainsi, je me sens mieux protégé”, concède-t-il. » (www.lefigaro.fr)
    — Yuval Harari :
    « Je n’ai pas de smartphone. Mon attention est l’une des ressources les plus importantes que j’ai, et le smartphone essaie constamment d’attirer mon attention. Il y a toujours quelque chose qui arrive. »

    Les « ultra riches » et nombre de ceux travaillant dans la Silicon Valley refusent d’utiliser des portables et vivent même dans des zones sans réseau (il en existe encore). Pourquoi, à votre avis, ces appareils ne sont-ils pas assez bons pour eux ? Que savent-ils que le grand public ignore ? Si vous voulez savoir ce qui est vraiment dangereux, pour eux comme pour nous, jetez un œil à la « liste noire » des compagnies d’assurance : certaines races de chiens dangereux, des ouragans ou inondations là où de telles catastrophes sont fréquentes, etc. La Lloyd’s de Londres et d’autres compagnies d’assurance n’assurent pas les dommages causés par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs « intelligents » de type « Linky ». Les champs électromagnétiques ou CEM sont classés comme un polluant, au même titre que le DDT, le plomb ou le benzène :

    « L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée de manière standard sur l’ensemble du marché. L’objectif de l’exclusion est d’exclure la prise en charge des maladies causées par une exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation de téléphones portables ».

    Passons maintenant de la « tête de bois » de la marionnette, à celle en plastique, qui est celle des menteurs !
    Les téléphones portables sont soumis à des tests de sécurité sur des têtes en plastique. Nous n’avons pas de tête en plastique. Je vous présente SAM pour les intimes, officiellement connu sous le nom de Specific Anthropomorphic Mannequin. SAM est un mannequin en plastique utilisé par l’industrie des télécommunications à travers le monde pour tester les effets thermiques de vos téléphones et gadgets, et non leurs effets biologiques.

    Pourquoi SAM est-il un « pinocchio » ? Les directives actuelles sont basées sur l’hypothèse que si le niveau de rayonnement ne brûle pas ou ne cuit pas les tissus en 6 ou 30 minutes, alors ce niveau est considéré comme étant « sûr. » Jusqu’ici, les tests n’ont montré aucun changement thermique significatif. Par conséquent, les téléphones portables sont déclarés sans danger !

    La tête (la seule partie du corps testée) de SAM est basée sur une recrue militaire masculine adulte en bonne santé de 100 kg et mesurant 1,88 m. Seulement 3 % de la population correspond à ce profil.

    Comment fonctionne le test : La tête en plastique SAM est remplie d’un liquide ou d’un gel pour voir si celui-ci chauffe de un degré sur un appel de 6 minutes (parfois 30 minutes). Si la température ne s’élève pas de 1 degré, c’est considéré sans danger et l’on peut apposer une marque d’approbation. C’est un peu comme de tester la sécurité des aliments en les donnant à manger à une poupée.

    SAM a des mains… beaucoup d’entre elles, avec un tas de configurations différentes pour chaque style de téléphone. Mais seul le test de la « tête » est requis, pas celui des mains, ni d’aucune autre partie ou organe du corps humain.

    Ces tests sont entièrement frauduleux, et pourtant ceci est le seul moyen par lequel vos téléphones et gadgets sont testés pour la sécurité humaine ! Comment cela est-il possible ? Il faudrait de nombreuses pages pour exposer les mensonges, la corruption et conflits d’intérêts au plus haut niveau, tant au sein de l’OMS, que de l’ICNIRP, de l’IEEE, du complexe militaro-industriel et des fabricants. Pour aller plus loin : https://wearenotsam.com/studies/

    « Si vous ne pouvez pas exposer les humains aux micro-ondes dans un laboratoire, dans un environnement contrôlé — si vous ne pouvez même pas le faire de manière éthique, car nous avons tellement de preuves des dommages — alors aucune de ces technologies ne devrait être déployée. Cela est illégal. »

    Sharon Goldberg, M.D.

    7. UN COMPORTEMENT DE BAS ÉTAGE

    Aux premiers temps du smartphone, être collé à son appareil était un signe de statut social. En 2008, regarder l’écran de votre BlackBerry avait encore une signification. Cela signifiait que vous étiez important, que vous aviez des choses à faire et que vous faisiez partie de la classe avant-gardiste des utilisateurs de technologie. Aujourd’hui, être perdu dans votre écran signifie que vous ne faites pas attention et que vous n’avez rien de mieux à faire. C’est une lampe et vous êtes un papillon de nuit. Les portables ne sont plus un signe de pouvoir, mais un signe d’asservissement. Comme les machines à sous chaque fois qu’on abaisse le levier, les smartphones sont conçus pour être une source constante de nouveauté et de « récompenses variables ». Être enchaîné à votre portable est désormais un comportement de bas étage, semblable au tabagisme.

    Il faut arrêter de faire pipi dans l’eau de la piscine, songeant que les autres n’en feront pas autant, car petit à petit l’eau prend une drôle de couleur… Pensez-vous que si vous ne gardez votre téléphone que pour les urgences, les antennes n’ont pas à être là ? Mais que vous l’utilisiez souvent ou non, l’infrastructure doit être là, ce qui est un parfait alibi pour les opérateurs de télécoms. Et si vous arrêtiez de leur fournir cet alibi ? Chaque centime que vous dépensez est un bulletin de vote. Chaque fois que vous payez votre facture, vous continuez à les enrichir et à les rendre plus puissants. Et il n’y a pas qu’une seule personne qui a envie, non pas de faire pipi, mais d’utiliser un téléphone portable en cas d’urgence, il y en a sept milliards !

    Quelle est votre excuse ? Vous en avez besoin quand vous voyagez, ou pour vos affaires, ou pour votre mari, ou pour votre femme, vos enfants et vos amis ? Ou bien n’avez-vous qu’un ancien modèle ? Ou encore ne gardez-vous votre téléphone que pour les urgences ? Ou peut-être pensez-vous que vous êtes en sécurité tant que vous gardez le téléphone éloigné de votre tête ? Ou bien encore que votre téléphone n’irradie pas les oiseaux, ni les insectes, animaux, plantes et arbres ou vos voisins comme le font les antennes relais ? Chaque fois que vous passez un appel, l’antenne la plus proche active un signal à cause de vous et irradie tout votre voisinage rien que pour vous. Pensez au nombre d’oiseaux, d’abeilles et de papillons que vous avez tués au fil du temps. Combien d’autres encore ? Et combien de personnes et de voisins autour de vous ? Combien d’oiseaux ? Combien d’enfants ?

    Dessin réalisé par un jeune de 17 ans.

    8. des stupéfiants

    Il y a quelques siècles, Francis Bacon, dans son « Essai sur la Mort » (1648), s’interrogeait :
    — « Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ? »
    Plus tard, François-Marie Arouet, alias Voltaire (1694-1778), « répondait » :
    — « Il est difficile de libérer les imbéciles des chaînes qu’ils révèrent. »

    Mais c’est chose d’autant plus difficile lorsque ces chaînes sont des stupéfiants et qu’ils modifient votre cerveau ! L’une des réalités les plus tragiques est que le rayonnement des micro-ondes, comme la nicotine, stimule les centres de plaisir du cerveau.

    Quelques exemples d’études, mais il y en a eu d’autres :
    • Dans les années 1980, des chercheurs de l’Université de Washington ont découvert que les radiofréquences activent les opioïdes endogènes, des composés générés par le cerveau se comportant comme la morphine (1).
    • En 1996, les chercheurs ont découvert que les micro-ondes pulsées des téléphones ont un effet hypnotique sur le cerveau (2).
    • En 1999, le journal The Guardian de Londres a cité une étude qui révélait que le rayonnement des téléphones portables stimule la production de substances chimiques semblables à la morphine dans le cerveau et que le « high » est déclenché par la libération d’endorphine lorsque le rayonnement du téléphone pénètre par l’oreille (3).
    • Il faut aussi noter qu’une augmentation de l’activité endogène des opioïdes dans le cerveau, causée par les radiations des micro-ondes, est connue pour augmenter le comportement de consommation d’alcool (1).

    1. « Neurological Effects of Radio Frequency Electromagnetic Radiation, » Dr. Henry Lai, op. cit.
    2. « Effects of Pulsed High-frequency electromagnetic fields on Human sleep, » Mann, K, Roschke, J. Neuropsychobiology 33 (1) : 41-47, 1996.
    3. « 
    Mobile Phone Users ’Addicted to Radiation » 03-14-99.

    Par ailleurs, chez les animaux de laboratoire, une exposition de 2 minutes à un portable endommage la barrière hématoencéphalique, et une exposition de 2 heures provoque des lésions cérébrales permanentes, même lorsque la puissance est réduite de 100 fois. Les radiations des portables interfèrent avec la conduction nerveuse et les fonctions cérébrales et sont une cause prédominante de la sclérose en plaques, du TDAH, de l’autisme, de la démence, des troubles anxieux, de la dépression et d’autres troubles neurologiques aujourd’hui.

    9. POURQUOI ILS N’ONT PAS PEUR DE NOUS

    Le monde est en ébullition. Des manifestations et mouvements en tout genre, dénonçant la tyrannie, s’indignant des injustices, ont eu lieu partout. Des années plus tard, après que des millions de personnes soient descendues dans les rues, masses agitées par d’inspirants orateurs, je reste consternée, songeant à la vision de tous ces gens baignant dans une mer sans fin, un océan, que dis-je, un raz-de-marée de téléphones portables ! Et je m’interroge sur ce qu’ils ont accompli.

    Il y a plusieurs années, j’écrivais :

    « Combien de temps allez-vous tenir debout si vous vous empoisonnez avec ces micro-ondes, étant totalement à découvert, traqués, visés et ciblés ? Combien de temps avant que vos capacités mentales ne soient réduites ? Dans quelques années, vous serez tous un peu moins intelligents et un peu moins résistants, si ce n’est pas déjà le cas… Méfiez-vous, vous devriez être mieux avisés. Vous devez savoir que les smartphones et le cancer sont les deux faces d’une même médaille, qu’il n’existe pas de niveau de radiation sans risque, que vous pouvez être manipulé, assassiné rapidement ou à petit feu à chaque instant, que la technologie 5G a été officiellement et secrètement déployée lors des confinements et qu’il est maintenant plus que jamais extrêmement dangereux d’avoir la tête ou le corps à proximité d’un téléphone portable ; il y a déjà suffisamment de CEM avec toutes les “antennes de la mort” et toutes les nouvelles petites antennes 5 G.

    Vous êtes accro à votre technologie parce que c’est une drogue dure. Les tortionnaires et les dictateurs le savent, c’est pourquoi ils n’ont plus vraiment peur de nous. Et bien que vous sachiez que c’est mauvais pour vous-même, vos enfants, vos animaux domestiques et tout le monde autour de vous, vous continuez à nourrir les grandes compagnies de Télécoms ! Un jour, ils n’auront qu’à appuyer sur un bouton, et il n’y aura plus de militants ni de manifestants… Vous ne sauverez pas ce monde et vos enfants en vous comportant comme des de drogués imbéciles et des amateurs, en vivant dans un monde d’illusions et en vous tuant. »

    Des années plus tard, et c’est toujours d’actualité.

    Nombreux sont les militants pour la liberté ou contre la 5G, et les scientifiques qui possèdent toujours un portable ! À quoi bon protester contre un système et un produit que vous continuez à financer chaque mois afin de les utiliser ? Imaginez-vous un membre du conseil d’administration des Alcooliques Anonymes qui distribuerait du whisky avant la réunion, des gens fumant en public tout en protestant contre le cancer et le tabac, un membre de la SPA militer avec un manteau de fourrure sur le dos, ou des activistes anti-OGM achetant ces produits ?
    Cela n’a aucun sens, et bien que cela ait été dit et redit, répétons-le encore une fois : Il faut être le changement que l’on souhaite voir autour de soi et dans le monde ! Et tout commence par soi-même !

    10. SOUS LA PEAU

    S’il ne fallait évoquer qu’un seul argument pour décider qui que ce soit à lâcher son portable ! Les informations ci-dessous sont d’une gravité extrême et sans précédent.

    Voici ce que Yuval Harari a également déclaré :

    « Les gens pourraient regarder en arrière dans 100 ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui, je pense, est peut-être le développement le plus important du 21e siècle, c’est cette capacité à pirater les êtres humains. » (1)

    et :

    « Le Covid-19 pourrait être un moment décisif dans l’histoire de la surveillance… transformée en une surveillance sous la peau(…) Pour un gouvernement ou une entreprise, c’est comme la chose la plus importante au monde de savoir ce que les gens ressentent réellement. Les tyrans ont fantasmé à ce sujet tout au long de l’histoire, mais ils n’ont jamais pu le faire réellement. Staline avait cette énorme police secrète et plus tard le KGB, qui suivait les gens tout le temps. Mais le KGB ne pouvait pas suivre chaque citoyen soviétique 24 heures sur 24, et même si un agent du KGB vous suivait, il ne pouvait pas savoir ce que vous ressentiez réellement. Si vous entendiez un discours de Staline à la radio, que vous souriiez et tapiez des mains, ce que vous ressentiez réellement, le KGB ne le savait pas. Mais le futur KGB pourrait savoir ce que vous ressentez réellement lorsque vous entendez un discours du “Grand Leader”. Vous pouvez sourire et taper des mains, mais si votre température corporelle, votre pression sanguine et votre rythme cardiaque indiquent que vous êtes en réalité en colère, vous ne pourrez pas le cacher à cette nouvelle police secrète biométrique. » (2)

    [sources vidéo : 1, 2]

    La seule façon de savoir ce qui se passe réellement « sous votre peau » est d’examiner au microscope ce qui a été injecté. Tout le reste peut relever de mensonges ou de spéculations. Voici les preuves que des formes géométriques (nanocircuits) se forment et se dissipent en présence des fréquences micro-ondes provenant d’un routeur Internet 4G, des téléphones et autres appareils sans fil :

    1 — Août 2022 : Recherches et analyses de Mat Taylor, ingénieur interviewé par le journaliste Stew Peters. Sur les photos au microscope et films en accéléré, on peut voir très clairement dans une goutte de vaccin des structures rectangulaires s’assembler et grandir exponentiellement sous l’effet des micro-ondes d’un routeur Internet. À noter que les nanocircuits se résorbent et finissent par se désassembler lorsqu’il n’y a plus de fréquences micro-ondes et que le modem est éteint (lien vidéo) :

    a) Une structure ressemblant à une croix gammée (nommée « Schwab ») s’est formée en moins de 3 heures. Lorsque le modem est retiré ou éteint, elle se dégrade lentement. Chaque instantané est pris à 4 minutes d’intervalle.
    b) Une autre structure, à 2 minutes d’intervalle. Le modem est éteint et rallumé. Il constate que la structure grandit à nouveau, mais pas exactement sous la même forme.
    c) Une structure qui s’était précédemment rétractée. Puis, il rallume le modem.
    d) « Celle-ci rétrécit, grandit, rétrécit, grandit, et rétrécit encore. Je rallume le modem à 2 minutes de la vidéo, et vous pouvez la voir se réassembler. »

    2 — Octobre 2022 : Recherches et analyses de Ricardo Delgado, de la Quinta Columna. Analyse d’une gouttelette de 1/2 cm2 de Pfizer sous microscope optique, nanotubes de graphène, grossissement : 300 fois. « C’est le câblage neuronal dont parlait Elon Musk. » (lien vidéo ou post de Profession Gendarme) :

    a) AVANT EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Ces nanoparticules flottent initialement, et lorsqu’elles sont exposées à des champs électromagnétiques [artificiels], elles se développent de manière plus complexe. »
    b) APRÈS EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Au départ, il n’y avait rien, ou il y en avait très peu. Mais au fur et à mesure que s’écoulait le temps d’exposition au rayonnement micro-ondes, tout ce maillage s’est formé. » ; « il va éliminer le système neuronal naturel et va le remplacer par cette ramification neuronale artificielle. »

    3 — Novembre 2022 : Recherches et analyses du Dr David Nixon, médecin de famille depuis 30 ans en Australie, interviewé par le journaliste Stew Peters, dans les pas de Mat Taylor. Dr Nixon assure que les « cristaux » dans le sang de personnes injectées avec Pfizer ne se transforment seulement et uniquement qu’en présence d’une source de micro-ondes. Ces circuits et puces autoassemblés, émettent des adresses Mac lorsqu’ils sont scannés par Bluetooth. À ce stade, ce ne sont plus des nanorobots, ce sont des microbots, dit-il. Grossissement : 200 fois, Accélération vidéo : 400 fois. (lien vidéo) :

    Picture

    Avec un appareil sans fil éteint.

    Picture

    Après qu’un appareil sans fil ait été allumé.

    PAR CONSÉQUENT, IL EST URGENT QUE LES PERSONNES INJECTÉES CESSENT IMMÉDIATEMENT L’UTILISATION DU TÉLÉPHONE PORTABLE et de tout dispositif employant une technologie sans fil ou à micro-ondes, les nanotubes de carbone et autres nanoéléments se multipliant et grandissant à leur contact. Ces personnes devraient également limiter autant que possible l’utilisation des routeurs Wi-Fi, de tout ce qui est « smart » ou « intelligent » (voir la liste dans la Section « 5. Un Sim Dans Une Prison »), qu’elles se tiennent le plus possible éloignées des antennes, des foules, des endroits et des gens connectés. La solution est . C’est soit ça, soit choisir de laisser évoluer ces « aliens » (structures étrangères) dans son corps.

    11. L’ÈRE DE LA DÉCONNEXION

    De nos jours, personne n’oserait entrer chez quelqu’un d’autre avec une cigarette allumée. On s’étonne de voir des gens fumer dans les vieux films et on sait que les producteurs étaient payés par les compagnies de tabac pour montrer de séduisants acteurs fumant des cigarettes. À l’avenir, nous serons choqués de voir les gens dans les films porter leur téléphone portable à leur tête. Comment les cinéastes pouvaient-ils encourager une pratique aussi dangereuse ? Tout comme les mises en garde sur les paquets de cigarettes, il y aura des messages d’avertissement sur les paquets de téléphones portables ; la vente aux jeunes sera interdite. Et personne ne songera à entrer chez quelqu’un avec un portable allumé. La pression de l’opinion publique engendrera une demande pour le développement de systèmes de télécommunication sans danger et l’on verra des cabines téléphoniques reparaître aux coins des rues. Nous veillerons à ce que personne n’emporte de portable lors de grands rassemblements tels que les évènements sportifs, concerts, foires, conventions, chorales, fêtes, etc., car un simple détecteur de CEM (champs électromagnétiques) pourra indiquer la présence de fréquences artificielles.

    Nous n’avons pas de Wi-Fi… Parlez entre vous.
    Faites comme si c’était 1995.

    Les hôpitaux, les crèches, les écoles et les bureaux n’autoriseront plus les téléphones portables, toutes les communications informatiques seront câblées, et les employés utiliseront tous des téléphones filaires !

    La connexion (sans fil) n’est plus la clé de notre survie. Elle est au contraire la clé de notre asservissement. Dans ce monde en évolution rapide de connexion artificielle, nous avons perdu le contact avec l’environnement naturel qui a défini les origines de notre espèce. Cette perte, ce vide est un immense espace que nous cherchons à combler par des distractions sans aucun sens et des addictions désastreuses. On s’est joué de nous et ce conditionnement est très profond…

    Par exemple, il est intéressant de voir que la distanciation sociale était déjà là avec votre portable, et qu’une chose en a entraîné une autre. C’est de l’ingénierie sociale au plus haut niveau ! L’acceptation de mesures coercitives a été soigneusement et longtemps planifiée. Prenez la machine à remonter le temps et voyez ces quelques photos d’artistes, qui sont nécessaires pour comprendre comment vous avez été conditionné et programmé il y a bien longtemps déjà :

    1 – 1962 : Une photo de Walter Molino, intitulée La vie en 2022, en première page d’une édition de 1962 de La Domenica del Corriere.
    2 – 2001 : Œuvre de l’artiste Nick Rodrigues montrant que la « distanciation sociale » existait déjà auparavant : « La cabine téléphonique portable offre une image visuelle des sacrifices sociaux et des possibilités d’interaction perdues en raison de l’intérêt rapporté à nous-mêmes. Grâce à cette cabine portable de téléphone, un membre de la société peut en devenir un membre isolé. » « La pièce est une cabine téléphonique rétractable que l’on porte sur le dos et que l’on peut faire glisser sur sa tête pour s’isoler complètement de la société. Cet isolement illustre la séparation qui existe déjà dès que l’on commence à parler sur son téléphone portable. » (nickrodrigues.com)
    3 — Œuvre de l’artiste Latif Fityani, des années avant l’ère des confinements et restrictions.
    4 – 2020 : Pods pour Covid — des gens dans des ShieldPods et WalkingPods (utwpods.com)

    12. CONCLUSION

    Le plan diabolique pour nous asservir peut s’écrouler comme un château de cartes.

    Le téléphone « cellul-aire » ou « insup’portable » est en train de détruire la liberté de l’humanité peu à peu.

    Aucune société dystopique, tyrannique, sans argent liquide ou physique, avec porte-monnaie électroniques biométriques, passeports sanitaires, traçage, chasse à l’homme, conformité à toutes les mesures les plus insensées et inhumaines n’existera plus et elle sera impossible à mettre en place le jour où vous ne serez plus le « malheureux détenteur » d’un portable.

    Car il y a encore une chose qu’ils ne savent pas faire ; personne ne peut vous contraindre, ni vous-même, ni qui que ce soit, à posséder un portable, une voiture, une télévision, une radio ou un lave-vaisselle si vous n’en voulez pas ! Et plus nous serons nombreux et nombreuses à refuser le portable et les appareils « connectés, sans fil », moins ils auront d’emprise sur nos vies, nos esprits, notre santé, nos libertés, etc.

    Nous avons évolué, et très bien vécu sans cela jusqu’en 1995. Un téléphone filaire, un ordinateur et un câble Ethernet relié au modem. La solution pour se libérer soi-même est tellement simple qu’il est vraiment inutile de continuer à chercher plus loin. Mais il faut également libérer les autres, car de leur liberté dépend aussi la nôtre.

    Allez-y, faites demi-tour et montrez le bon exemple autour de vous ! Vous ne pourrez jamais savoir ce que c’est tant que vous ne l’aurez pas fait. Dites-vous « je peux » et non pas « je pourrais ». Vous pouvez le faire ! Faites-le en ayant le cœur heureux, sans vous sentir coupable et sans regret. Vous devez simplement le faire — non seulement pour vous ou pour ceux qui vous entourent — mais également pour vaincre le Nouvel Ordre du « Meilleur des Mondes ». Le portable est le cheval de Troie du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial). Dans cette situation extrême, nous devons faire un retour sur nous-mêmes, sur nos droits et sur notre autonomie. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses. En choisissant une autre voie, via nos choix de consommation, ce qui a toujours été le moyen le plus efficace de nous faire entendre. Actuellement, c’est vraiment la seule option qui nous reste, compte tenu de la tournure que prennent les évènements. Votre vie est en jeu et il ne s’agit plus de posséder un téléphone portable, mais d’y renoncer. Il ne s’agit pas de se raser la tête ni de vivre de pain et d’eau ! Il suffit d’un peu de volonté et peut-être de quelques semaines ou quelques mois pour surmonter bravement une éventuelle période de sevrage — si vous suivez les bons conseils et astuces que j’aborde ici. Vous finirez par vous rendre compte à quel point cela était simple. Vous allez retrouver la liberté et la paix en vous et tout autour de vous. Je le sais parce que j’ai vécu cela moi aussi, en 2012.

    Si nous gardons nos téléphones, nous ne récolterons que la tyrannie, la souffrance et la maladie. Que voulez-vous avant tout, votre téléphone ou votre liberté, votre téléphone ou votre santé, votre téléphone ou votre planète ? Il y a tant à dire ! C’est pourquoi je vous invite à visiter la Galerie à la page suivante, car les images parlent souvent mieux que les mots…

    Allez-y, vous verrez, ça vaut le détour !

    [Voir aussi et notamment sur le même site :
    https://liberez-vous.weebly.com/liberez-vous.html]




    Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle

    [Source : childrenshealthdefense.org]

    [Traduction : Turiuya]

    Le traité de l’Organisation mondiale de la santé sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international menacent la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle, ont déclaré des experts au Defender.

    Note de l’éditeur : Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur la manière dont le traité sur les pandémies proposé par l’Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international pourraient priver les nations et les peuples de leur souveraineté en matière de prise de décision dans le domaine de la santé.

    Lire la première partie ici [en anglais].

    Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à convoquer son Assemblée mondiale de la santé annuelle du 21 au 30 mai, la controverse se poursuit autour de deux instruments proposés à l’ordre du jour : le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).

    La plupart des critiques formulées à l’encontre de ces deux instruments portent sur la menace qu’ils font peser sur la souveraineté nationale.

    Mais des experts ont déclaré au Defender que ces propositions menaçaient également la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle.

    « Ces instruments s’injecteraient eux-mêmes et interrompraient la relation médecin-patient », a déclaré l’avocate Reggie Littlejohn.

    « L’OMS dira quels sont les traitements “corrects” et quels sont les traitements “incorrects”, ce qui constitue une abrogation de la souveraineté. »

    Mme Littlejohn, cofondatrice de la Sovereignty Coalition, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente de la Task Force Stop Vaccine Passports, a déclaré au Defender :

    « Un groupe de bureaucrates étrangers non élus ne devrait pas dire aux États-Unis ou à tout autre pays comment gérer nos problèmes de santé. »

    Selon le Dr David Bell, médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund :

    « C’est exactement ce que nous avons vu dans l’affaire COVID, où, pour la première fois à ma connaissance, des gouvernements ont interdit des médicaments parfaitement sûrs.

    Ce n’est pas la première fois que l’on impose des vaccins, mais c’est la première fois que l’on impose des vaccins à l’ensemble de la population, et c’est la première fois que l’on interdit des médicaments sûrs, que l’on interdit aux médecins de faire ce qu’ils considèrent comme le meilleur pour le patient. »

    Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que les amendements proposés au RSI comprenaient une disposition permettant au directeur général de l’OMS de « convoquer un comité d’urgence » qui pourrait ordonner aux pays de ne pas administrer certains traitements.

    Selon Francis Boyle, J. D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, les autorités locales et étatiques des États-Unis seraient obligées de suivre les diktats de l’OMS.

    En contournant le 10e amendement de la Constitution des États-Unis, « les autorités locales et étatiques seraient obligées d’obéir à toutes les décisions émanant de ce nouvel organe créé par le traité sur la pandémie. Et cela pourrait aller jusqu’à donner des ordres à votre médecin traitant, qu’il serait obligé d’obéir », a déclaré M. Boyle.

    Selon M. Bell, les médecins se trouveraient ainsi dans la position de suivre les instructions du « gouvernement et des autorités supérieures » et d’en être « les instruments, plutôt que de traiter avec un patient en face d’eux, comme le veut la relation médecin-patient, où l’on examine le patient et où l’on prend des décisions sur la base d’une discussion avec le patient ».

    « Elle fait des médecins des organes de l’État et de l’OMS plutôt que des entités indépendantes qui s’occupent des soins de santé d’un patient », a ajouté M. Bell.

    Le Dr Katarina Lindley, présidente de l’Association texane des médecins et chirurgiens américains et directrice du Global COVID Summit, a déclaré au Defender : « L’une des raisons pour lesquelles je suis opposée à l’initiative de One Health [“Une seule santé”], un seul monde, c’est que je ne crois pas à la “taille unique”… même pendant la COVID ou le processus normal de la maladie… il faut adapter l’approche du traitement en fonction du patient ».

    Le Dr Karladine Graves, médecin de famille, a déclaré que l’autorité de l’OMS pour dicter des conseils médicaux est compromise par ses liens avec Big Pharma [les grandes entreprises pharmaceutiques]. Elle a dit :

    « L’OMS est largement financée par l’industrie pharmaceutique ainsi que par des groupes privés tels que la Fondation Bill & Melinda Gates. Si le traité de l’OMS et les amendements au RSI sont adoptés, l’OMS ne sera plus un organe consultatif pour les 194 pays membres des Nations unies, mais plutôt un organe directeur sans responsabilité qui imposera tous les protocoles de soins de santé ainsi que les médicaments disponibles uniquement sous sa direction.

    Cela signifie que les médecins privés n’auront pas la possibilité d’utiliser d’autres traitements que ceux “approuvés” directement par l’OMS… Les patients n’auront pas leur mot à dire sur leurs soins médicaux et éventuellement sur l’accès aux soins. »

    M. Lindley a prévenu que les instruments proposés par l’OMS pourraient déboucher sur un large éventail de mandats, notamment « la fermeture des frontières, l’approbation de certains traitements seulement, d’éventuelles nouvelles vaccinations, des passeports numériques et tout le reste ».

    De même, M. Bell a mis en garde contre le fait que les instruments pourraient donner lieu à des vaccinations forcées ou contraignantes, déclarant à The Defender que « l’observation purement forcée d’une procédure médicale » observée lors de la pandémie de COVID-19 « est ce à quoi nous nous attendons avec le traité sur les pandémies, qui continuera à se produire ».

    Les propositions de l’OMS sont liées à la demande d’une carte d’identité numérique mondiale

    Selon M. Boyle, l’OMS affirme que le traité sur les pandémies ne sera pas voté par l’Assemblée mondiale de la santé avant mai 2024, mais « nous ne savons pas si c’est vrai ou non. La dernière version du traité que j’ai examinée pourrait être prête à la fin du mois. Nous n’en savons rien. »

    M. Boyle a déclaré que les amendements au RSI « seront certainement prêts d’ici la fin du mois ».

    L’auteur et animateur de podcast Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy et cofondateur de la Sovereignty Coalition, a déclaré :

    « Un certain nombre de choses ont été très préoccupantes, en particulier le fait que nous n’avons pas eu un niveau de transparence adéquat. »

    « Dans l’ensemble, ils ont été très déterminés à le dissimuler, ce qui soulève des questions quant à leurs motivations », a ajouté M. Gaffney. « Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un effort concerté de la part de toutes les parties que j’ai mentionnées pour remplacer les États-Unis en tant que nation souveraine par un nouvel ordre mondial qu’ils commercialisent sous l’euphémisme de gouvernance mondiale. »

    Dans ce nouvel ordre mondial, a déclaré M. Gaffney,

    « nous ne serions qu’une autre sorte de composant […] et notre souveraineté, notre constitution et nos libertés seraient toutes soumises aux autorisations des autres. Et ces autorisations seraient certainement limitées, voire refusées, sur la base d’éléments tels qu’une carte d’identité mondiale ».

    Selon M. Gaffney, un système d’identification numérique mondial « serait présenté comme un moyen de contrôler la santé publique dans le monde entier », mais il permettrait en fait de « réaliser une opération de surveillance de notre peuple, parmi d’autres, dans le monde entier ».

    Journaliste et chercheur indépendant James Roguski a déclaré au Defender que « la partie sournoise » des amendements proposés au RSI est une disposition relative à un réseau mondial de certification de la sécurité sanitaire numérique qui créerait non seulement des passeports vaccinaux numériques, mais l’étendrait également à des certificats de test, de récupération ou de prophylaxie ».

    Cela pourrait constituer un confinement de fait pour ceux qui n’ont pas ces documents.

    « S’ils parviennent à ce que chaque pays accepte de restreindre les déplacements des étrangers, alors tout le monde sera bloqué », a déclaré M. Roguski.

    Si un pays comme les États-Unis ne souhaitait pas adhérer à ce réseau mondial de certification, M. Roguski a déclaré que ses citoyens pourraient être « piégés », car d’autres pays continueraient à imposer les certificats comme condition d’entrée sur leur territoire.

    M. Gaffney a déclaré qu’un certificat numérique global « devient le véhicule parfait pour mettre toutes vos données sur cette pièce d’identité et l’utiliser comme le fait le Parti communiste chinois dans son système de crédit social ».

    Cela permettrait aux autorités gouvernementales et mondiales « non seulement de surveiller ou de contrôler, mais aussi de contrôler les détenteurs de ces cartes d’identité et de les utiliser pour appliquer non seulement leurs mandats en matière de santé, mais aussi tout ce qu’ils veulent faire… y compris l’accès à votre argent, à vos voyages ou à vos possibilités d’emploi », selon M. Gaffney.

    M. Gaffney a rappelé que l’OMS avait déjà montré les dents lors de la pandémie de COVID-19, même si ses recommandations aux pays n’étaient pas contraignantes.

    « Je pense que la plupart d’entre nous ne pensent pas que les choses se soient bien passées », a déclaré M. Gaffney. « Les mensonges de l’OMS sur les origines du virus, sa nature, sa transmissibilité et la réponse à y apporter ont causé un tort incalculable à notre pays. »

    « Ce qu’elle a imposé, c’est le modèle chinois, a déclaré M. Gaffney, c’est-à-dire les masques, les quarantaines, les enfermements et les vaccinations avec des thérapies géniques insuffisamment testées, et le moyen numérique d’imposer ces mandats par le biais du passeport vaccinal. »

    Il a ajouté :

    « Nous avons vu comment cela fonctionnait, même si l’OMS ne disposait que d’une autorité consultative. C’était un avertissement… de ce qui pourrait nous arriver si cette organisation avait l’autorité qu’elle cherche maintenant à obtenir, pour nous dicter ce qu’est une PHEIC, une urgence de santé publique de portée internationale [Public Health Emergency of International Concern], ou comment nous devons y répondre. »

    Mme Littlejohn a fait remarquer que les amendements proposés au RSI prévoient un « comité de mise en œuvre » et un « comité de conformité », et que l’OMS et les gouvernements nationaux pourraient utiliser le mécanisme de surveillance qu’ils prévoient de mettre en place comme sanction potentielle en cas de non-conformité.

    « Ils vont surveiller votre compte de médias sociaux et si vous dites des choses qui vont à l’encontre du décret de l’OMS… ils pourraient vous retirer des médias sociaux et vous priver de vos cartes de crédit et de votre compte en banque », a-t-elle déclaré.

    « Ces mondialistes, ainsi que le WEF [World Economic Forum (Forum Économique Mondial)] et la Banque mondiale, pourraient imposer des sanctions économiques sévères aux pays qui ne suivent pas le mouvement », a déclaré Mme Littlejohn. « Surtout si nous avons une monnaie numérique de banque centrale globale… si nous avons un président qui s’y oppose, ils pourraient essayer de nous couper les vivres. »

    Experts : Les États-Unis et d’autres pays doivent quitter l’OMS

    Selon les experts, le meilleur moyen d’empêcher la mise en œuvre d’un éventuel traité sur les pandémies et/ou des amendements proposés au RSI est que les États-nations, y compris les États-Unis, quittent l’OMS.

    M. Gaffney, décrivant les négociations sur les deux instruments proposés comme un « jeu truqué » qu’il est « peu probable d’arrêter », a déclaré que cela avait incité la Sovereignty Coalition à « adopter la position selon laquelle ce que nous devons faire, c’est sortir de l’OMS ».

    M. Roguski, qui a lancé le site ExitTheWHO.com, a déclaré que l’OMS pourrait ne pas attendre l’approbation formelle des deux instruments.

    Il s’est référé à un document de l’OMS intitulé « Rapport O », qui « utilise des termes tels que : ils rendent opérationnelles les choses qui sont négociées… ils construisent simplement les systèmes, ils le font ».

    Par exemple, M. Roguski a déclaré :

    « Ils sont en train de mettre en place un réseau mondial de certification en matière de santé numérique, sans traité ni amendement. Ils ne font que cela. Qui va les arrêter ?

    Ils sont occupés à mettre en place le système de prestations d’accès aux pathogènes. Ils veulent développer le réseau logistique. Tout ce que vous pouvez imaginer, ils sont en train de l’opérationnaliser de sorte qu’au moment de signer un traité, ils pourront dire : oh, regardez, nous avons déjà ce réseau en place dans le monde entier. »

    M. Roguski a également déclaré au Defender que les négociations en cours concernant les amendements au RSI comprennent une proposition qui pourrait permettre à l’OMS de prétendre que ce sont les États-nations eux-mêmes qui mettent en œuvre les obligations de l’OMS, plutôt que l’OMS elle-même.

    Selon les amendements proposés pour l’article 4 du RSI, soumis par la Russie :

    « Les États parties adoptent ou adaptent la législation afin de doter les points focaux nationaux RSI de l’autorité et des ressources nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, en définissant clairement les tâches et la fonction de l’entité jouant le rôle de point focal national RSI dans la mise en œuvre des obligations prévues par le présent règlement. »

    Par conséquent, « l’Organisation mondiale de la santé n’aura pas besoin d’appliquer directement les règlements. Le “point focal national RSI” sera autorisé à mettre en œuvre les obligations découlant de la réglementation », a déclaré M. Roguski.

    Il a ajouté :

    « Cela répond directement à la question de savoir comment les amendements seraient appliqués… par la législation, la réglementation ou les ordres exécutifs dans chaque nation.

    Nos propres bureaucraties seraient susceptibles d’essayer d’appliquer les futurs diktats de l’OMS de la même manière qu’elles ont essayé d’appliquer les “recommandations” de l’OMS au cours des trois dernières années — sauf qu’elles pourraient invoquer des obligations internationales et une autorité nouvellement légiférée. »

    Aux États-Unis, par exemple, « le centre d’opérations du secrétaire à la santé et aux services sociaux est le “point focal national” chargé de signaler les événements à l’OMS » et devrait jouer ce rôle dans le cadre de la mise en œuvre du RSI modifié, a fait remarquer M. Roguski.

    M. Boyle : la loi sur le retrait de l’OMS nous protégerait

    M. Boyle a déclaré au Defender que le départ des États-Unis de l’OMS pourrait se faire par le biais d’une proposition de loi, la loi sur le retrait de l’OMS, actuellement examinée par le Congrès.

    Parrainée par le député Andy Biggs (R-Ariz.), elle retire les États-Unis de l’OMS, met fin à tout financement américain de l’OMS et « révoque cette résolution conjointe du Congrès ».

    « Je pense que si nous obtenions cette législation, ce serait terminé et nous serions protégés », a déclaré M. Boyle, ajoutant que les États et les collectivités locales s’opposent de plus en plus aux instruments proposés par l’OMS. Il a cité, par exemple, le comté de Collier, en Floride, qui a « adopté une ordonnance et une résolution » à cet effet.

    Mme Littlejohn a indiqué que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) avait parrainé la loi « No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act », qui exige que tout traité adopté par l’OMS ne soit mis en œuvre qu’« avec l’avis et le consentement du Sénat ».

    Toutefois, selon Mme Littlejohn, « le Sénat lui-même l’a rejeté », selon les lignes de parti.

    Mais cette proposition de législation « ne ferait pas l’affaire » de toute façon, a déclaré M. Boyle, en raison de l’ensemble des documents et des dispositions légales en vigueur. Selon M. Boyle, « la législation récemment introduite par le député Biggs, qui vise à mettre fin immédiatement à l’adhésion des États-Unis à l’OMS, fera l’affaire ».

    M. Boyle a déclaré que les républicains de la Chambre ont le pouvoir d’agir ainsi parce qu’ils « contrôlent la Chambre, ce qui signifie qu’ils contrôlent le budget et les crédits ». Par conséquent, « ils peuvent utiliser ce contrôle pour faire pression sur l’OMS dans ce domaine ».

    M. Gaffney a déclaré que la Sovereignty Coalition a recommandé « que le gouvernement américain cesse de financer l’OMS [and] et notifie officiellement son retrait de l’organisation ».

    Bien que ce processus nécessite un préavis d’un an, M. Gaffney a fait valoir que « s’ils modifient fondamentalement la nature de l’organisation et les modalités de son fonctionnement, je pense que nous devons nous en retirer immédiatement… et c’est ce que nous recommandons au Congrès ».

    M. Gaffney a toutefois déclaré : « Il est tout simplement stupéfiant que le Sénat américain ait été si indifférent à la possibilité que ces changements radicaux se fassent sans son avis et son consentement ».

    (Le Sénat américain n’a toujours pas étudié les milliers de pages données en 2014 par le Dr William Thompson du CDC établissant la preuve du lien entre le vaccin (contre le ROR ?) et l’autisme…)

    Mme Littlejohn, qui a également appelé à une sortie des États-Unis de l’OMS, a noté que l’ancien président Donald Trump avait lancé ce processus, mais que Joe Biden, qui est devenu président avant que la position de retrait d’un an ne soit achevée, a rétabli les États-Unis.

    De même, M. Boyle a déclaré :

    « Je ne dis pas que je soutiens Trump… Trump nous a correctement retirés de l’OMS, mais il y avait un préavis de six mois. Biden a été élu, a annulé le retrait et nous a réintégrés dans l’OMS et veillera à ce que nous soyons toujours dans l’OMS. »

    Mme Littlejohn a ajouté :

    « Nous pourrions faire valoir que les soins de santé ne sont pas un pouvoir énuméré qui revient au gouvernement fédéral ; ils restent du ressort de l’État, et donc, si la branche exécutive du gouvernement fédéral n’a pas le pouvoir de régir les soins de santé, elle n’a pas la capacité de les confier à l’OMS. »

    Toutefois, Mme Littlejohn a déclaré que de tels arguments juridiques étaient « en terrain inconnu », tandis que M. Gaffney a fait remarquer que l’Assemblée générale des Nations unies avait bientôt « l’intention de faire à peu près la même chose [que l’OMS] en ce qui concerne ses pouvoirs… qui donneraient essentiellement au secrétaire général le droit de répondre à… des crises ne relevant pas de la santé publique ».

    M. Boyle a fait valoir que « tous les responsables gouvernementaux, les scientifiques et les médias affirment qu’une nouvelle pandémie est imminente. C’est exact. Ils savent qu’une nouvelle pandémie se profile à l’horizon. Elle sort de leurs laboratoires BSL3 [biosecurity level 3] et BSL4. Ils préparent donc déjà le terrain pour la prochaine pandémie ».

    [Voir ce que disent les médecins qui disent que ce sont des exosomes, et que « le terrain est tout »]

    [Voir aussi : Bill Gates prépare sa prochaine plandémie]

    Se référant à One Health, qui est largement mentionné dans le traité sur la pandémie et auquel les centres de contrôle et de prévention des maladies participent activement, M. Boyle a déclaré qu’il s’agissait d’une violation du droit international existant. Il s’est référé à l’article 12, paragraphe 1, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui stipule que

    « les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre. »

    « Le pacte compte 171 États parties », a déclaré M. Boyle, ajoutant qu’il « constitue la norme pertinente en matière de droit international et de droits de l’homme lorsqu’il s’agit de répudier One Health ».

    « Vous noterez que cette formulation est sans équivoque et péremptoire », a déclaré M. Boyle. « Il ne dit rien du tout sur la santé animale ou l’environnement », a déclaré M. Boyle, estimant que « l’adoption de One Health violerait l’article 12, paragraphe 1, du pacte… et irait à l’encontre de l’objet et de la finalité de ce pacte ».

    À l’approche de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la Sovereignty Coalition a déclaré le mois de mai « Mois de la sortie de l’OMS », lançant une campagne d’envoi de lettres aux membres du Congrès et aux agences fédérales, ainsi qu’une « Déclaration de souveraineté américaine » et une campagne de signatures qui a recueilli le soutien d’éminents politiciens et experts médicaux.

    « Nous avons besoin d’une action du Congrès d’ici la fin du mois », a déclaré Mme Littlejohn, qui a ajouté :

    « La Constitution n’est pas un document auto-exécutoire. Elle ne peut pas se défendre. Nous devons la défendre. Nous ne pouvons pas compter sur un bout de papier pour nous sauver.

    La Constitution est un instrument qui protège notre liberté, et nous devons déployer cet instrument pour protéger notre liberté, car elle ne le fera pas d’elle-même. Les gens ne peuvent pas être passifs dans cette situation. Nous devons être actifs. »




    Interdit de parler de ça !

    [Source : covidhub.ch]

    Senta Depuydt est journaliste et mère d’un enfant qu’elle a réussi à délivrer de l’autisme après des recherches inlassables qu’elle retrace ici de manière émouvante.

    Après des années, Senta Depuydt a fini par découvrir une approche biomédicale, utilisant notamment des prescriptions nutritionnelles, qui ont rendu de façon spectaculaire la santé psychique à son fils.

    [Voir aussi :
    « Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
    Dossier Vaccins et virus]

    Impossible de faire savoir

    La journaliste belge a voulu partager ces informations à d’autres parents, et rassembler les connaissances, expériences et témoignages lors d’un congrès scientifique en 2016, en présence entre autres du Prix Nobel Luc Montagnier.

    Et c’est là qu’elle se heurte à un puissant système qui répond à ces recherches indépendantes par la répression et le discrédit. Car l’un des points soulevés était le lien de plus en plus vérifié entre l’autisme et un certain nombre de vaccins administrés toujours plus massivement aux enfants et aux bébés.

    Le film qui devait lancer le débat…

    Senta Depuydt a participé à la diffusion d’un documentaire, immédiatement dénoncé comme complotiste : VaxxedFrom Cover-Up to Catastrophe (Vaccinés — de la dissimulation à la catastrophe).

    Pourtant, le film commence par le puissant aveu de William Thompson, un scientifique du CDC (l’agence publique de contrôle des maladies), qui aurait dû lancer un débat public immédiat : « J’ai honte, nous avons menti, nous avons manipulé les données pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination ».

    Et pourtant, les chiffres sont là

    Pour rappel, les États-Unis sont le pays qui vaccine le plus et le plus tôt les nouveau-nés, et c’est aussi la région du monde où le niveau d’autisme est le plus élevé, avec un enfant touché sur 44 naissances en 2021. En 2016, ce taux s’élevait à un enfant sur 68 et en 2002 à un enfant sur 150.

    Or, comme pour le Covid quelques années plus tard, le débat sera tout simplement interdit. Senta Depuydt a beau organiser des projections et des conférences, ou alerter des députés au Parlement européen, en vain.

    La réponse violente du système

    La réponse du complexe pharmaceutico-médical sera particulièrement violente, raconte-t-elle : censure, lynchage médiatique, persécution des scientifiques et des témoins, manipulation des données…

    La journaliste se rend compte peu à peu qu’elle a affaire à un agenda global de vaccination et de sécurité sanitaire — « un véritable coup d’État mondial ». Qu’il s’agisse de l’autisme ou du Covid, on fait face aux mêmes stratégies, mêmes narratifs livrés aux autorités et aux médias, même fake news et fact checkings.

    Pour renforcer en Europe la prise de conscience et avant tout la protection des enfants, elle a proposé à Robert Kennedy Jr (qui dénonce depuis longtemps les vaccinations massives aux États-Unis) de fonder une section européenne de son organisation Children’s Health Defense.

    Conférence :






    Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

    Par Nicole Delépine

    Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

    Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

    Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

    [Voir aussi :
    Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
    Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
    Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
    Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
    MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
    La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
    Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
    La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

    Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

    « L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

    L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

    London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

    Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

    La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

    Nouvelle normalité

    La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

    Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

    La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

    Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

    Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

    LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

    « Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

    0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

    « Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

    « Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

    Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

    LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

    Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

    « La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

    On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

    J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

    Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

    Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

    « Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

    Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

    Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

    EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

    28 avril 202112 de Christine Westerhaus

    Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

    « Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

    Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

    Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

    « Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

    En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

    « J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

    Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

    Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

    Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

    « Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

    Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

    Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

    « À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

    En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

    Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

    « Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

    D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

    Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

    « Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

    GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

    Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

    Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

    « Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

    « Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

    « Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

    Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

    « J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

    Autre chose est devenu clair pour elle :

    « Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

    DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

    Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

    Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

    TRANS EST UNE TENDANCE15

    « DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

    Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

    « Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

    Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

    « En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

    Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

    Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

    Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

    « Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

    « Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

    Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

    Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

    « Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

    De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

    Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

    Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

    Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

    INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

    À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

    Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

    En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

    LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

    Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes. 

    Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

    « C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

    Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

    Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

    LES DÉTRANSITIONS

    Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

    « Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

    Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

    La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

    Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

    Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.





    Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire

    [Source : sentadepuydt.substack.com]

    Par Senta Depuydt

    Cela n’a échappé à personne. Sous couvert de réponse à l’urgence sanitaire, les démocraties et leurs économies ont été suspendues partout sur la planète pour être remplacées par des modes de gouvernance autoritaires, secrets et de type militaire.

    Progressivement, l’on a découvert un « coup d’état mondial » en cours, une prise de contrôle de la société entière par une élite globale, dont la partie visible est représentée au Forum économique de Davos. Son objectif affiché, est de « saisir l’opportunité de la pandémie pour effectuer un grand reset planétaire vers la 4ème révolution industrielle », soit une société de surveillance et de contrôle par la technologie. Une tentative de transformer l’OMS en un organe de gouvernance mondial, qui serait légitimé par le motif de l’urgence sanitaire est bien en cours.

    Peut-on parler d’un nouvel ordre mondial ?

    Commençons par une citation: le 23 novembre 2022, au « World Government Summit », lors du sommet du gouvernement mondial, Macron a appelé à la constitution d’un ordre mondial unique.  « Êtes-vous du côté des États-Unis ou de la Chine ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir deux ordres dans ce monde. C’est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine. Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial unique » !

    Il faut donc en parler publiquement, puisque les chefs d’état ne s’en privent pas et qu’il est indispensable de dénoncer cette atteinte à la souveraineté des peuples. Le projet n’est certes pas nouveau, l’on pourrait remonter aux empires, ou plus récemment à la politique de l’après-guerre avec la mise en place des organisations internationales et les objectifs des politiques américaines et brittaniques.

    Mais en ce qui concerne l’instrumentalisation du domaine de la santé comme arme de stratégie politique, c’est avec la notion de la lutte internationale contre le sida que les choses ont commencé à se mettre en place. Et d’après Robert F. Kennedy, Jr qui en a retracé l’historique dans son livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », c’est la rencontre et l’alliance entre Bill Gates et Anthony Fauci en 2010 qui a initié la stratégie de vaccination à l’échelle mondiale. D’abord avec le programme de « la décennie des vaccins », ensuite avec le Global Health Security Agenda.

    La ligne de temps de l’urgence sanitaire

    Lancé en novembre 2014, l’agenda de la sécurité sanitaire global (Global Health Security Agenda) a été précipité par deux facteurs: d’une part les révélations du lanceur d’alerte du CDC William Thompson qui a avoué noir sur blanc avoir commis une fraude scientifique majeure pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination. Et d’autre part, la réponse à cette nouvelle sur les réseaux sociaux qui ont été inondés de témoignages de victimes ayant subis des dommages vaccinaux.

    Ces évènements qui ont provoqué une véritable panique au sein du cartel des vaccins (et des gouvernements) ont suscité l’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan ayant pour objectif de renverser les accusations et de passer à une contre-offensive pour imposer la vaccination à l’échelle planétaire. Etant donné que la plupart des démocraties avaient bétonné les principes du libre choix du patient dans leur constitution ou dans leurs lois sur la santé, l’urgence sanitaire représentait le seul moyen de faire tomber ces obstacles aux obligations vaccinales.

    Au sortir de cette première réunion à la Maison Blanche à laquelle participaient l’OMS, différentes organisations onusiennes et les ministres de la santé d’environ 40 pays, la Californie, l’Italie, le Portugal (et sans doute la France) furent désignés comme pays pilotes pour tenter d’étendre les obligations vaccinales, en partant d’une campagne internationale axée sur les dangers du grand retour de la rougeole.

    En 2016, lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis, le sujet fut au coeur des débats, notamment suite à la sortie du film Vaxxed qui relayait les aveux de Thompson. Trump prônait la liberté vaccinale et l’ouverture d’une enquête sur les effets secondaires présidée par Robert F. Kennedy, Jr., tandis que Clinton répétait inlassablement que « la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins sont sûrs ».

    En novembre, à la veille de la victoire de Trump, Obama signa avec Bill Gates un gigantesque financement pour lancer le programme du GHSA à l’échelle planétaire. Ensuite Gates fit rapidement comprendre à Trump qu’il devait abandonner toute idée d’étudier la sûreté des vaccins.

    En 2017, le débat sur la vaccination qui était particulièrement animé en France, fut complètement passé sous silence durant la campagne électorale, alors que le nouveau gouvernement devait obligatoirement se prononcer sur l’extension des obligations vaccinales. Ce fut l’année du combat des fake news et des lois de censure, prônées par l’Union européenne et adoptées par une majorité d’états membres.

    L’année suivante, à Mar del Plata, le G20 décida d’investir massivement dans la préparation aux futures pandémies. Dans les semaines suivant cette réunion au sommet, l’Argentine fut le premier pays à instaurer une politique refusant l’accès aux documents administratif et à l’éducation, aux non-vaccinés. En décembre, le conseil de l’Europe vota une recommandation à l’union sur la vaccination avec l’objectif de vacciner tous les citoyens, tout au long de la vie et de lancer un programme de passeports vaccinaux à l’échelle européenne.

    Début 2019, ce plan mondial de la vaccination (voir l’article « la prophétie Nexus »), et de la mise en place d’un agenda de contrôle par une surveillance à l’échelle planétaire, sous prétexte d’une urgence sanitaire, était déjà palpable .

    L’on pouvait identifier des narratifs communs à tous les pays, alors qu’ils étaient clairement déconnectés de la situation épidémiologique locale. L’on retrouvait aussi les mêmes « incidents », les même phrases dans la bouche des politiques – « il est inacceptable de mourir de la rougeole » – et des propositions de lois identiques étaient votées partout, en même temps. L’on a donc assisté aux répétitions du choeur international de guignols (les chefs d’état) que la pandémie a offert au monde avec des slogans comme « aplatir la courbe », « tous ensemble », « la nouvelle norme » et « Build back better ».

    Le choeur des guignols de Davos

    2019, mise en place de l’agenda de la pandémie et du nouvel ordre mondial

    Si, comme le prétendent aujourd’hui certains scientifiques, le virus de la pandémie était déjà en circulation dès mars 2019 (partons de l’hypothèse qu’il existe ou que son existence ait été déclarée à divers niveaux décisionnels), il a bien pu servir à accélérer la mise en place d’une série d’instruments ayant pour objectif d’opérer une prise de contrôle mondial au profit de l’élite de Davos.

    [NDLR L’existence de virus pathogènes, dont celle d’un supposé SRAS-CoV-2 est de plus en plus contestée par de véritables scientifiques non inféodés à Big Pharma, dont l’équipe allemande autour du professeur Stefan Lanka.
    Voir le dossier Vaccins et virus.]

    En juillet, l’ONU a signé un accord de coopération avec le Forum économique mondial sur la mise en place de l’agenda 2030. Cet acte constitue d’une certaine manière un aveu du fait que les chefs d’état de la planète se considèrent au service des milliardaires, plutôt qu’à celui du peuple qu’ils représentent.

    A côté de cette étape politique, le 22 août, lors de la réunion annuelle des banques centrales à Jacksonhole, Blackrock a présenté le programme de réforme économique qui serait mis en oeuvre sous couvert de réponse à la pandémie. Cette opération (ea. ruiner l’économie, siphonner la trésorerie des gouvernements, imposer des emprunts exorbitants et opérer un gigantesque transfert de la manne publique aux mains des privés) a connu un coup d’accélérateur, en mars 2020, le jour de la déclaration de la crise sanitaire par le directeur de l’OMS.

    Au mois d’octobre a eu lieu la grande répétition générale nommée Event 201, permettant aux différents acteurs de cette offensive en partenariat public et privé d’accorder leurs violons.

    L’on pourrait encore citer toute une série d’éléments pour compléter ce tableau. Tout indique qu’en réalité, d’une certaine manière, une forme de gouvernance mondiale était déjà là. Sinon comment expliquer que 190 pays aient abandonné leurs programmes nationaux de réponse aux urgences sanitaires, pour adopter en l’espace de quelques jours un discours et des politiques identiques et inédites?

    Le gouvernement mondial est déjà là, mais il cherche à se légitimer

    Progressivement, l’on voit les différentes pièces du puzzle s’assembler. Dans le monde occidental, tout le monopole de la richesse est concentrée dans trois grands groupes d’investissements : Blackrock, Vanguard et State Street. A elles seules, ces compagnies et leurs principaux actionnaires peuvent imposer des politiques de gouvernance à tout le système économique, tant dans le secteur public que privé.

    L’agenda durable et les politiques du FEM sont adoptées par les banques centrales et imposées aux gouvernements, parfois via l’adoption des politiques globales européennes, mais aussi dans des accords bilatéraux directs. Exit la volonté du peuple.

    Petit à petit ce pouvoir invisible se dévoile, ou du moins ses exécutants. D’ailleurs, Klaus Schwab ne craint plus de se vanter publiquement d’avoir infiltré les cabinets de la majorité des gouvernements.

    L’on imagine à quel point cela doit être frustrant de se dire que l’on possède tout un royaume, mais que l’on ne peut y faire exécuter sa volonté de manière directe. Il semble pourtant logique qu’une mafia mondiale aspire à se reposer en installant un système de gouvernance par la technologie, avec la possibilité constante d’en modifier les règles dans un mode de gouvernance « agile ». (c’est à dire, basé sur la persuasion qu’il existe des données « objectives » censées justifier tous les caprices de l’élite).

    Le nouvel ordre mondial cherche à se rendre visible et à se légitimer, en utilisant l’urgence sanitaire pour créer un bureau de décision central et supranational au sein de l’OMS. Ces efforts se déroulent sur deux voies parallèles: la révision du Règlement sanitaire international et la négociation d’un « traité pandémies ».

    [Pour soutenir Senta Depuydt,
    voir sur son site]




    Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité

    Par Gérard Delépine chirurgien oncologue

    On subit actuellement une propagande intense et permanente niant l’existence des sexes, et faisant la promotion du « genre »1 et de la transition de genre, même chez les très jeunes. Même le Conseil de l’Europe y participe en éditant une brochure2 où les activistes trans parlent de « torture horrible et quotidienne des enfants trans à l’école ». Des activistes trans accusent l’état français de discrimination3, car il nierait la capacité des transgenres « à procréer4 ». Comme si l’imaginaire et le ressenti individuel pouvaient remplacer les réalités biologiques du monde réel ? Ont-ils oublié que la reproduction de l’espèce humaine, comme celle de tous les animaux supérieurs, est sexuée, car ce mode favorise l’adaptation des espèces au monde par la loterie chromosomique lors de la fécondation ? Ceci est un article non partisan, sans idéologie, de médecins ayant prêté le serment d’Hippocrate dont le premier devoir est « primum non nocere » et tristes de la désinformation sur ce sujet qui se développe dans les revues médicales ou les médias de la doxa et par les marchands de médecine-business.

    Les trans se suicident énormément

    En Grande-Bretagne l’étude de Biley5 portant sur 889 trans révèle une prévalence à vie de 84 % d’idées suicidaires et de 48 % de tentatives de suicide.

    En Ontario6, au cours de la seule année précédant l’étude, 35,1 % des trans ont sérieusement envisagé de se suicider et 11,2 % sont passés à l’acte.

    Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.

    En Thaïlande7 sur 411 LGBT, 39 % des participants à l’enquête ont déclaré avoir eu des idées suicidaires au cours de leur vie, 19,0 % des idées suicidaires au cours des 12 derniers mois et 13,1 % des tentatives de suicide au cours de leur vie.

    L’étude nord-américaine d’Austin8 indique que 82 % des personnes transgenres ont ressenti des envies de suicide et 40 % ont tenté de se suicider, la tendance suicidaire étant la plus élevée chez les jeunes.

    Le projet Trevor9 étudiant le vécu de près 35 000 LGBTQ américains âgés de 13 à 24 ans confirme ces taux exorbitants de suicide et tente de déterminer ce qui pourrait les diminuer.

    Possibles causes de ces suicides chez les trans

    Dans une tentative de victimisation classique des minorités, les activismes trans prétendent que ces suicides ne seraient liés ni à l’orientation sexuelle, ni à leur identité de genre, mais seulement à la maltraitance dont ils seraient l’objet. Cela leur permet de réclamer des droits particuliers comme la possibilité de faire de la propagande trans à l’école et de bénéficier d’une surreprésentation dans les médias afin de banaliser leur état. Mais la maltraitance dont ils souffrent n’est guère différente de celle qui frappe toutes les minorités qu’elles soient raciales, religieuses, politiques, sexuelles ou autres qui ne sont pourtant pas exposées à un risque comparable de suicide.

    Le suicide des trans traduit d’abord leur mal-être intrinsèque, ainsi que l’atteste le « diagnostic » plus fréquent de la dystrophie de genre chez ceux qui souffrent également de déficit de l’attention, de troubles de l’alimentation ou d’autisme, troubles qu’ils ont ressentis dès leur jeunesse et attribués, souvent à tort, à leur identité sexuelle via l’environnement médical et social très orienté en cette période. L’adolescence et ses transformations suscitent des interrogations, des inquiétudes, voire des angoisses chez beaucoup d’enfants tout particulièrement à propos du sexe. À cet âge, on se laisse facilement convaincre et, s’ils sont au contact de prosélytes trans ou commerciaux, ceux-ci peuvent les persuader que ce serait leur identité sexuelle qui les perturbe et qu’ils devraient en changer, les exposant alors à subir des traitements hormonaux à vie et des interventions chirurgicales mutilantes quasi irréversibles. Les influenceurs10 des réseaux sociaux et groupes de personnes en souffrance semblent jouer un grand rôle dans « l’épidémie actuelle » de jeunes qui se trouvent trans d’un jour à l’autre et à trois ou quatre brutalement dans une même classe11.

    Le suicide des trans est lié aussi à leur situation très minoritaire et à l’impossibilité de se fondre dans le groupe majoritaire. Le nombre d’adultes qui se déclarent transgenres est resté stable dans les dernières décennies. Aux USA, pays où ils sont les plus nombreux, ils représentent 0,6 % des personnes âgées de 13 ans et plus, dont 38,5 % se déclarent femmes transgenres, 35,9 % hommes transgenres et 25,6 % genre non conforme12. Leur pourcentage diminue rapidement avec l’âge, passant de 1,43 % chez les 13-17 ans à 0,45 % chez les 25-45 ans et 0,32 % chez les 65 ans et plus. L’expérience de la vie amène donc près des trois quarts des adolescents qui se croyaient trans à réaliser à l’âge adulte qu’ils ne l’étaient pas et à se déclarer, majoritairement homo ou bisexuels.

    Le mal-être des trans est fortement lié à leur isolement autoentretenu. Se sentir, et encore plus se revendiquer trans, rend les contacts avec les autres moins souhaités, plus difficiles et plus rares. Or nous sommes des êtres d’émotions13 plus que des êtres rationnels ou réfléchis. Le contact avec les autres améliore notre humeur, nous apaise, diminue le stress, relâche des tensions, et conforte le sentiment d’être compris et accepté. Se sentir différent dissuade souvent le trans d’aller vers les autres, de bénéficier de ces contacts et le conduit ainsi à ruminer sa condition aggravant la dépression et le risque de suicide.

    Un sondage sur la satisfaction de vivre réalisée par BMC Public Health montre que seulement 7,4 % des Transgenres binaires s’estiment satisfaits contre 17,9 % des Transgenres non-binaires, contre 38 % des femmes et 40,6 % des hommes, confirmant le mal vivre considérable des trans.

    Le mal vivre des trans est aggravé par les complications des médicaments et de la chirurgie

    Dans un premier temps, l’affirmation de son genre trans peut procurer à l’individu un soulagement, car il intègre alors une communauté qui le comprend. Mais la transformation physique trans sexuelle longue, compliquée et chère14 constitue un véritable chemin de croix. Elle nécessite des traitements hormonaux à vie exposant, comme tout traitement, à des complications. Bloquer la testostérone peut induire une ostéoporose (et ses risques de fractures), des problèmes cardiovasculaires, et aggraver la dépression augmentant, chez certains patients, le risque suicidaire. Inversement, les hormones virilisantes peuvent, quant à elles, favoriser un état d’excitation pathologique ou un épisode psychotique15.

    Globalement les résultats ne sont habituellement pas à la hauteur des espoirs initiaux des trans et font parfois l’objet de plainte en justice16 et de déception qui peuvent même aggraver le risque de suicide. Les témoignages de personnes regrettant leur changement de sexe effectué à un âge précoce se multiplient dans les pays où ces procédures ont été autorisées. Les nombreuses interventions chirurgicales entraînent des mutilations irréversibles pour des résultats esthétiques parfois discutables et une fonction souvent peu satisfaisante. L’homme trans ne peut avoir d’érection qu’avec un implant pénien et un système de pompe, et subit le manque de sensation tactile du néophallus. La peau du néo vagin de la femme trans est insensible et le risque de rétrécissement progressif impose habituellement l’utilisation de dilatateurs vaginaux pour le reste de la vie.

    Les articles rapportant des séries monocentriques écrits par des chirurgiens qui vivent de cette activité sont constamment élogieux et plaident pour la supériorité de leur technique personnelle, mais le nombre même de ces techniques (phalloplastie à partir d’un lambeau d’avant-bras, de grand dorsal ou des grandes lèvres..) et l’absence de consensus prouvent que ces problèmes ne sont pas résolus. Jeffrey B. Friedrich, et ses collègues analysant les résultats de cinquante études17 relatives à la phalloplastie estiment à près de 40 % le risque de complications urétrales.

    L’examen de plus de 100 études médicales internationales de personnes transgenres opérées par l’université de Birmingham a conclu qu’il n’était pas possible de se prononcer sur l’efficacité des chirurgies sur la santé mentale des personnes transgenres, une partie d’entre elles restant dépressives et même suicidaires après l’opération.

    Des professionnels de l’enfance dénoncent une « fascination » d’une partie du corps médical pour « ces discours autour de la transidentité » et les difficultés pour aborder objectivement le problème. Par exemple, devant la crainte de « débordements incontrôlables », le comité organisateur de la Conférence sur la santé des trans de Philadelphie de 2017 a dû annuler deux tables rondes sur la détransition (le retour au genre d’origine).

    Selon les associations d’activistes trans, le phénomène serait extrêmement rare, mais il n’est en réalité tout simplement pas mesuré. Au Royaume-Uni, aucune clinique du genre » ne collecte de données. Lorsqu’en 2017, le psychothérapeute britannique James Caspian a voulu étudier la question, sa proposition a été rejetée par son université en raison du risque de recevoir des critiques sur les réseaux sociaux, et donc de nuire à l’image de l’université.

    Charlie Evans, jeune journaliste scientifique britannique de 28 ans, a créé en 2019 le « Detransition Advocacy Network ». En l’espace de trois mois, elle a reçu plus de 300 messages de jeunes femmes qui regrettent leur transition. Souvent, elles sont lesbiennes, autistes, et regrettent de ne pas avoir été aiguillées vers un traitement contre leur dépression et/ou leurs troubles alimentaires. Le fait de ne pas correspondre aux attentes sociales qui pèsent sur les jeunes filles les a amenées à s’identifier au genre masculin, avant de se rendre compte que la transition était une fuite et non pas une solution.

    La Suède qui a été le premier pays au monde à autoriser la transition légale entre les sexes, et la Finlande qui l’avait suivi, ont récemment décidé de mettre un frein aux prescriptions hormonales chez les mineurs18.

    Au Royaume-Uni, une enquête commandée par le National Health Service (NHS) menée par le Dr Hilary Cass, pédiatre à la retraite, a révélé que la clinique du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » pour les jeunes et les enfants, car le personnel de la clinique se contentait souvent de précipiter les enfants dans la transition19.

    Aux USA plusieurs états (Utah, Arizona, Tennessee) ont interdit ces traitements chez les mineurs et plusieurs cliniques qui pratiquaient ces traitements ont été fermées.

    La France a appelé à « la plus grande réserve » sur les traitements hormonaux pour les jeunes.

    Comment aider les jeunes souffrant (éventuellement) de dystrophie de genre ?

    Il faut d’abord les rassurer en leur expliquant que leurs inquiétudes sur les questions sexuelles sont fréquentes chez les mineurs et singulièrement chez les adolescents, et qu’elles disparaissent le plus souvent à l’âge adulte, que les parents, ou autres membres de la famille, fratries, grands-parents, les aiment et qu’ils sont là pour les aider lorsqu’ils ont des problèmes. Si les angoisses persistent, les adresser à un psychologue neutre (ni anti, ni pro transsexuel, et osant ne pas se soumettre à la doxa). Les services vers lesquels sont orientés automatiquement les enfants susceptibles d’être atteints de dysphorie de genre sont malheureusement tenus par des idéologues de la théorie du genre et enclins au diagnostic par l’affirmatif, donc acceptation du diagnostic de dysphorie sans examen médical ou psychiatrique et organiser en urgence les prises en charge spécialisées (traitement hormonal, etc.). Il faut absolument chercher des intervenants « non spécialisés ».

    Et en cas de persistance de l’idée de transformation éventuelle, il faut les informer objectivement des modalités et de la durée des traitements médicaux et de la lourdeur et du caractère peu ou pas réversible de la chirurgie. Savoir que l’on sera de fait transformé en malade à vie puisque nécessitant un suivi permanent jusqu’à la fin de la vie.

    L’information complète sans tabou constitue la meilleure prévention des angoisses des adolescents et des délires de la propagande trans sexuelle.





    Pourquoi et comment l’aluminium est toxique ?

    [Source : sentadepuydt.substack.com]

    Traduction d’un article de Chris Exley [Par Senta Depuydt]

    Traduction de l’article du professeur Chris Exley, publié le 27/9/22 sur son compte substack

    Je suis bien sûr reconnaissant à tous ceux, toutes celles, qui prennent le temps de lire mes articles sur substack. J’apprécie et il est souvent clair d’après vos commentaires que beaucoup d’entre vous abordent le sujet de l’aluminium et plus particulièrement de sa toxicité pour la première fois. J’ai donc décidé de partager avec vous quelques réflexions générales expliquant pourquoi et comment l’aluminium peut devenir toxique.

    Commençons par le début, comme je l’ai fait il y a près de quarante ans, et interrogeons les poissons ! Il y a plus de vingt ans, j’ai publié des recherches qui se sont avérées, à bien des égards, révélatrices des raisons pour lesquelles l’aluminium est toxique. En résumé, et je pense que vous pouvez accéder à l’article original ici, j’ai démontré que lorsque l’aluminium était présent dans l’eau sous la forme prédominante de son ion métallique libre, Al3+, les poissons évitaient les très faibles concentrations d’aluminium. Ils étaient capables de détecter et de s’éloigner de concentrations d’aluminium aussi faibles que 27ppb, ce qui correspond à la concentration approximative d’aluminium dans l’eau potable. Cependant, lorsque l’aluminium était présent dans l’eau sous la forme prédominante d’hydroxyde d’aluminium, une phase solide de l’aluminium, les poissons n’évitaient pas les concentrations d’aluminium dix ou même vingt fois supérieures, par exemple 500ppb.

    Les poissons nous montrent donc que la forme biologiquement réactive de l’aluminium est Al3+ et que c’est la concentration de cette forme d’aluminium qui déterminera sa toxicité immédiate. J’en parle en détail dans mon livre, mais en bref, toutes les formes d’aluminium dans un environnement aqueux se dissolvent pour libérer du Al3+. Cependant, c’est la vitesse à laquelle cette dissolution se produit qui déterminera si la toxicité s’ensuit.

    Ceux d’entre vous qui suivent la science de la sécurité des vaccins savent qu’une forme d’hydroxyde d’aluminium est utilisée comme adjuvant dans les vaccins. Les adjuvants à base d’aluminium sont principalement solides lorsqu’ils sont injectés dans les vaccins. Les particules solides sont la cible des cellules immunoréactives « affamées » qui peuplent le site d’injection du vaccin. Elles engloutissent les particules d’adjuvant d’aluminium et les stockent dans leur corps cellulaire.

    Cette image tirée de l’un de nos articles montre l’aluminium, en orange fluorescent, à l’intérieur des cellules macrophages. Des preuves similaires de l’absorption de l’aluminium par les monocytes typiques du site d’injection d’un vaccin sont disponibles ici. Ces cellules sont capables d’accumuler des quantités importantes d’adjuvant à l’aluminium sans subir de toxicité immédiate. Cela signifie que ces cellules migratrices restent viables pendant des jours, voire plus, et qu’elles peuvent transporter leur cargaison d’aluminium toxique dans tout l’organisme. Ce transport d’aluminium du site d’injection d’un vaccin vers d’autres parties du corps pourrait être ce que nos images ont révélé dans notre recherche sur l’aluminium dans le tissu cérébral dans l’autisme. Voir l’image ci-dessous, tirée de cet article.

    L’adjuvant à base d’aluminium contenu dans les macrophages et autres cellules se dissout lentement et libère ainsi des quantités croissantes d’Al3+ qui finissent donc par tuer la cellule. Cette forme d’aluminium se répand ensuite dans les tissus qui entourent la cellule mourante, qu’elle peut également intoxiquer. Ceci permet donc d’entrevoir un mécanisme par lequel des quantités potentiellement toxiques d’aluminium peuvent s’accumuler, par exemple dans le tissu cérébral d’un nourrisson, en un laps de temps relativement court. On peut alors envisager un mécanisme d’encéphalopathie causée par l’aluminium (mort cellulaire accélérée) similaire à celui qui est connu dans l’encéphalopathie liée à la dialyse.

    Ainsi, la forme Al3+ explique le « pourquoi et le comment de la toxicité de l’aluminium », et toutes les autres formes d’aluminium, y compris les adjuvants pour vaccins à l’aluminium, sont la source de cet aluminium biologiquement réactif et donc toxique.

    Chris Exley

    Note de Senta: pour des infos en français sur l’aluminium dans les vaccins, je vous conseille aussi la vidéo l’Alu Total de mon amie Hypatie. C’est amusant, didactique et passionnant à regarder. Elle reprend évidemment les travaux du Prof. Exley




    À quel point les virus sont-ils morts ?

    [Source : wissenschafftplus.de]

    Quand bien même l’article date de 2020 (…), voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé (de titre « Die Wurzel » c’est-à-dire « La Racine »), interview qui est, une fois de plus, très intéressante et permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

    Jean Bitterlin

    [Traduction : Jean Bitterlin]

    Dr. Stefan Lanka, Biologiste moléculaire et océane

    Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées

    Le procès gagné du virus de la rougeole

    Die Wurzel : Cher Stefan, tu es biologiste moléculaire, biologiste marin et scientifique et tu as gagné le procès du virus de la rougeole en démontrant scientifiquement qu’il n’y a pas de virus (de la rougeole) du tout. Quand était-ce ?

    Stefan Lanka : J’ai initié le procès sur le virus de la rougeole fin 2011 afin d’empêcher l’introduction de la vaccination obligatoire contre la rougeole. Le procès a débuté en 2012 et a finalement duré jusqu’au début de l’année 2017. Le plaignant qui a perdu a laissé passer le délai pour faire appel de la décision de la Cour fédérale de justice (BGH) du 1er décembre 2016 auprès de la Cour constitutionnelle fédérale. Par cette décision, la BGH a rejeté le pourvoi du requérant contre l’arrêt de la Cour d’Appel (OLG) de Stuttgart du 16.02.2016.

    Au détriment de la population…

    Au détriment de la population, l’OLG de Stuttgart n’a pas pris en compte les preuves scientifiques issues d’expertises et d’expériences réalisées qui lui ont été présentées, preuves qui réfutaient toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole. L’OLG n’a pas non plus rejeté la plainte pour des raisons formelles, comme le prétend encore aujourd’hui le plaignant. Dans la motivation de son jugement, l’OLG s’est retranché derrière le fait que l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus.

    La virologie privée de sa raison d’être par voie judiciaire

    Ce qui est particulièrement explosif ici, c’est que l’une des six publications présentées constitue la base exclusive aussi bien de la rougeole que de toute la virologie. Le jugement du tribunal régional supérieur de Stuttgart du 16 février 2016, confirmé par la Cour Fédérale de justice, prive l’ensemble de la virologie, y compris le battage Corona, de son fondement, car tous les virologues se réfèrent à cette seule publication, dont la jurisprudence allemande affirme qu’elle ne contient aucune preuve de virus. Il s’agit maintenant de mettre en pratique cette jurisprudence sur les virus.

    Le tribunal régional supérieur de Stuttgart, afin de protéger l’expert désigné par le tribunal de poursuites pénales pour avoir fait par deux fois de fausses déclarations écrites dans ses expertises, a supprimé la déclaration consignée de l’expert concernant les six publications présentées.

    Expert condamné par le juge en cas de faux témoignage

    Sous la pression des questions claires d’une jeune juge, l’expert a reconnu son faux témoignage central : Contrairement à ses déclarations écrites, les six publications présentées par le plaignant ne contiennent pourtant aucun test de contrôle pour prouver si la méthode utilisée fonctionne, si le résultat est faussé ou si le résultat souhaité et obtenu est lui-même provoqué ! Les six publications présentées au procès sont donc du papier sans valeur, qui ne peut et ne doit pas être qualifié de scientifique. Car les règles du travail scientifique prescrivent impérativement la réalisation et la documentation exacte d’expériences de contrôle.

    Le procès et le procès-verbal de la première instance ainsi que le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart ont doublement privé de fondement les affirmations de l’ensemble de la virologie. Je renvoie à ce sujet à mon article « Der Bundesgerichtshof lässt den Glauben an die Viren untergehen » (La Cour Fédérale de Justice fait disparaître la croyance dans les virus), paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2017 et également consultable en ligne sur le site wissenschafftplus.de.

    [Voir Go Virus Go !
    pour plus de détails]

    Les virus sont un modèle purement intellectuel de « wirrologues »

    (NdT : en Allemand « sich wirren » signifie s’embrouiller, s’emmêler les pinceaux. Lanka a fait un jeu de mots).

    Erreur de raisonnement des virologues renommés

    Die Wurzel : Partout dans les médias, surtout depuis Corona, on entend les virologues les plus renommés, comme le Dr Drosten de la Charité (NdT : La Charité est l’hôpital universitaire de Berlin, un des premiers centres hospitaliers universitaires au Monde) ou le professeur Streeck de Heinsberg, rendre un prétendu virus vivant responsable de toutes sortes de maladies. Pourquoi les virologues croient-ils aux virus alors qu’il n’en existe pas dans l’ensemble des tissus et des cellules vivantes ?

    Stefan Lanka : Ces virologues et d’autres n’affirment pas que les virus sont vivants, mais que le brin de patrimoine génétique viral biochimiquement mort (c’est-à-dire le virus) est infectieux. Ils définissent, comme tous les virologues, qu’un virus ne dispose pas de son propre métabolisme et qu’il est biochimiquement mort. Tout au plus parlent-ils du fait que l’on trouve partout (et pas seulement sur les poignées de porte) des fragments de gènes de virus1 qui ne sont pas infectieux. À leurs yeux, seul l’ensemble du patrimoine génétique viral (le virus entier) est infectieux, mais une partie du virus (c’est-à-dire un fragment de gène) ne l’est pas. Ce faisant, ils passent sous silence leur plus grand secret professionnel, à savoir qu’ils n’ont jamais trouvé de brin de patrimoine génétique viral complet (c’est-à-dire de virus complet).

    Les virologues confirment : Les virus sont biochimiquement morts !

    Non seulement les virologues susmentionnés, mais tous les virologues définissent un virus comme n’ayant pas de métabolisme propre et étant biochimiquement mort.

    Cependant, la question de savoir comment quelque chose de mort peut développer la force de pénétrer dans l’organisme à travers les peaux, les fascias (NdT : Les fascias sont des structures de tissu conjonctif qui enveloppent les muscles et les organes) et les cuirs des organes, les revêtements des vaisseaux et à l’encontre du flux de mucus des muqueuses, pour y traverser la masse visqueuse du tissu conjonctif (qui entoure toutes les cellules), n’est plus une question ouverte, mais un mythe réfuté qui s’est développé dans notre histoire.

    La virologie s’était déjà réfutée en 1951

    Ce que les virologues n’ont pas vu, c’est que la théorie2 sur laquelle repose toute la biologie et la médecine et à partir de laquelle se sont inévitablement développées les théories tout aussi erronées de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer, non seulement n’est pas correcte, mais elle est réfutée.

    Ils ont également négligé le fait que la virologie médicale s’est autoréfutée en 1951. Et ils n’ont pas vu qu’une nouvelle idée de la virologie s’est développée à partir de 1952, l’idée du virus à brin génétique, qui repose toutefois sur une interprétation erronée chez les bactéries et ne peut pas être transposée à l’homme, à l’animal ou à la plante. Voir à ce sujet mon article « Fehldeutung Virus » dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 (couverture voir page 21).

    Die Wurzel : Et jusqu’à quand croyais-tu toi aussi à l’hypothèse largement répandue des virus ?

    Stefan Lanka : J’ai cru à cette idée jusqu’à ce que j’isole moi-même une structure marine et que je la caractérise biochimiquement, que j’ai alors mal interprétée comme étant un virus INOFFENSIF. J’ai ensuite appris qu’il ne fallait en aucun cas utiliser le terme « virus », car il signifiait quelque chose comme un poison provoquant une maladie (dans le cadre de la théorie cellulaire réfutée), que l’organisme produirait lui-même.

    Aujourd’hui, les chercheurs curieux savent que la vie biologique naît de ces structures3, qui se forment par auto-organisation. Chez les bactéries, ces structures sont appelées phages4, mais elles n’apparaissent en laboratoire que lorsque les bactéries sont individualisées, ce qui appauvrit leur biochimie. À partir d’un certain moment (dans un processus ciblé de métamorphose), l’ensemble de la biomasse bactérienne se transforme en de nombreuses petites structures construites exactement de la même manière.

    Ces petites structures ont pour fonction (comme les mini-spermatozoïdes) de mettre leur acide nucléique5 à la disposition des organismes qui en ont besoin. Ces processus ciblés et utiles ont été interprétés négativement à travers les lunettes du bien et du mal de la pathologie cellulaire et comme des poisons pathogènes (virus en latin).

    Ces petites structures sont, dans le sens du terme « isolation », très faciles à isoler, à photographier et à étudier biochimiquement. À partir de 1952, de jeunes virologues ignorants (qui ne savaient pas et pourquoi l’ancienne virologie avait abandonné) ont CRU que les virus allégués chez l’homme et l’animal avaient l’apparence et la structure des « phages » (mini spermatozoïdes des bactéries).

    Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

    En 1954, une technique a été proposée (l’une des six publications dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole) pour prouver l’existence des virus présumés de l’homme, exactement de la même manière que les phages des bactéries ont été détectés. Ils pensaient que lorsque les tissus mouraient, ils se transformaient en virus, tout comme les bactéries se transformaient en phages. Avec la différence décisive que les phages ont été à chaque fois isolés et photographiés en grand nombre et sous forme pure, et que leur brin de patrimoine génétique, toujours de même longueur et toujours composé de la même manière, a été et est toujours représenté comme un tout. Or, cela n’est pas possible à ce jour pour les virus qui sont seulement hypothétiques.

    Les « wirrologues » (NdT : voir plus haut) ne font que recomposer mentalement, à partir de courts fragments de tissus et de cellules décomposés, un modèle de virus qui n’existe pas en réalité (un examen plus détaillé est présenté plus loin).

    Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

    Les virologues refusent les expériences de contrôle

    Parce que ce type de virologues méprise encore aujourd’hui les règles fondamentales du travail scientifique et refuse de procéder à des essais de contrôle, ils n’ont pas remarqué que les tissus et les cellules meurent dans l’éprouvette non pas à cause d’un virus présumé, mais parce qu’ils (NdT : les tissus et cellules) sont involontairement affamés et empoisonnés dans la procédure qui précède toute « infection » apparente.

    C’est pourquoi les tests génétiques viraux ne détectent que les séquences propres à l’organisme. Comme le test n’indique « positif » que s’il y a suffisamment d’extraits de gènes dans l’échantillon à tester, cela explique pourquoi il y a aussi des résultats de test négatifs. Il est pourtant évident que le corps libère plus de matériel tissulaire, et donc de fragments de gènes, surtout lors de processus inflammatoires que lorsqu’il est en bonne santé ou que le corps ne libère rien du tout à certains moments de la guérison. Il suffit d’augmenter la quantité d’échantillons6 pour que chaque personne, chaque animal et probablement même chaque plante soit testé positif. Dans mon article « Mauvaise interprétation du virus. Partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020), j’appelle à ce que des scientifiques, bio-informaticiens et laborantins honnêtes réalisent et publient enfin ces essais de contrôle qui n’ont jamais été effectués ni publiés. Les preuves ont été présentées au tribunal régional supérieur de Stuttgart dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, mais elles ont été ignorées.

    De nombreux scientifiques travaillent de manière non scientifique !

    Die Wurzel : Que signifie pour toi un travail scientifique honnête en plus de la réalisation d’essais de contrôle, ce qui fait défaut chez de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat qui travaillent pour l’industrie ?

    Stefan Lanka : Le plus important est de vérifier en permanence ses propres hypothèses et celles des autres. Or, la grande majorité des gens ne le font pas, car sinon ils se licencieraient eux-mêmes. Le mécanisme à l’œuvre ici a été identifié et publié dès 1956 par le génie d’exception Eugen Rosenstock-Huessy. J’y fais référence et le cite constamment, entre autres dans la série d’articles n° 1 à 3/2019 du magazine WissenschafftPlus, qui t’ont tant enthousiasmé, cher Michael, et dont tu avais parlé dans ton article de Die Wurzel d’avril 2019.

    Die Wurzel : On lit de plus en plus souvent que des scientifiques financés par l’industrie produisent des travaux scientifiques et des statistiques pour répondre aux attentes de leurs clients. Il en résulte constamment des statistiques faussées sur les décès dus aux virus de la rougeole/du coronavirus/de la grippe, etc.. Pourquoi n’existe-t-il pas d’instances de contrôle indépendantes pour surveiller les résultats des études et les méthodes de travail ?

    Stefan Lanka : Faute de place, je ne peux pas répondre ici à cette question.

    Contrôle citoyen sur la Science et la Politique

    Juste une chose : du point de vue de l’idée démocratique, la politique et la science ne peuvent fonctionner que si le donneur d’ordre, c’est-à-dire chaque citoyen, est au courant de ce qui se passe, ce qui signifie qu’il contrôle les processus et les mandataires. Nous sommes très éloignés de cette idée et, pour l’instant, je pense que cela ne peut être réalisé que par une association de groupes qui s’organisent eux-mêmes.

    Les seuls qui se sont organisés avec succès jusqu’à présent sont, premièrement, les groupements qui violent manifestement leurs objectifs prédéfinis et ne les réalisent pas. Et deuxièmement, les optimiseurs de profit organisés en entreprises et en associations qui s’attaquent de manière conséquente à leurs objectifs (publics et non publics) et les atteignent. Dans un sens positif, l’entreprise Geox semble l’avoir compris : Elle fonde une nouvelle entreprise chaque fois que l’ancienne a atteint le nombre de 500 collaborateurs. C’est manifestement le nombre de personnes pour lequel une vue d’ensemble, la confiance mutuelle et, sur cette base, un travail en symbiose sont encore possibles.

    Transposé aux structures étatiques, le prince du Liechtenstein l’a reconnu et formulé dans son livre « Der Staat im dritten Jahrtausend » (l’État au 3e millénaire). Il réclame l’autogestion de tous les domaines de l’État (là où c’est possible) dans de petites structures, car les structures supérieures perdent toujours la vue d’ensemble et leur administration est inefficace et en même temps toujours trop coûteuse.

    Die Wurzel : Selon toi, certains événements de l’histoire scientifique ont conduit à élever certaines spéculations « scientifiques » au rang de faits scientifiques, notamment la preuve de l’existence des virus, bien que rien n’ait été prouvé.

    Stefan Lanka : Pour moi, il était et il est toujours important de reconnaître les grandes lignes de développement et les mécanismes qui expliquent comment et pourquoi les choses ont évolué. Je pense y être parvenu en ce qui concerne notre médecine « occidentale ». Voir mon article « Fehldeutung Virus » (Erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 [Voir La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple, L’interprétation erronée du virus — 2e partie et La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2]. Et je renvoie dans ce contexte à un article sur Eugen Rosenstock-Huessy de Siegfried Mohr paru dans WissenschafftPlus 2/2020 sous le titre « Die Wissenschaft vom Zeitpunkt » (La science du moment), dans lequel l’importance de la reconnaissance des contextes historiques est clairement mise en évidence.

    Die Wurzel : Tous les virologues et la science en général s’accordent à dire qu’un virus a pu être isolé, même si ce n’est pas le cas, comme nous l’avons vu plus haut. Peux-tu encore une fois approfondir ce point ?

    Les virologues tuent des tissus en laboratoire sans s’en rendre compte

    Stefan Lanka : Les virologues n’utilisent pas le mot « isolation » dans le sens de l’isolement et deviennent suspicieusement nerveux lorsqu’on leur en parle. Ils entendent par « isolement » la création d’un effet en laboratoire qu’ils considèrent en même temps comme :

    1. Une infection
    2. La preuve de la présence d’un virus
    3. La preuve de sa multiplication
    4. L’interprétation de la preuve de la puissance destructrice du virus supposé.

    En réalité, ils tuent sans le savoir et sans s’en rendre compte des tissus et des cellules en laboratoire — en les affamant et en les empoisonnant, voir mon article « Fehldeutung Virus » (erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020.

    Die Wurzel : Les virologues pensent que les tissus et les cellules qui meurent se transforment complètement en virus. C’est pourquoi ils qualifient également la mort des tissus et des cellules de multiplication des virus. Ai-je bien raison lorsque je comprends que toute mort de tissus et de cellules génère obligatoirement des prétendus virus, c’est-à-dire des déchets cellulaires, ce qui est dans la nature des processus de formation et de décomposition de l’organisme ?

    Les virus ne peuvent pas se multiplier

    Stefan Lanka : Pour expliquer cela, je dois d’abord parler des bactéries et des phages. La métamorphose, la transformation des bactéries en phages, ne peut pas être qualifiée de mort cellulaire, mais est un processus très ciblé et utile. Cette observation de la transformation des bactéries en phages a été faite en 1954 sur des tissus humains et animaux : on pensait que les tissus se transformaient en virus lorsqu’ils mouraient au cours d’une expérience d’infection. Tous les autres scientifiques, biologistes cellulaires et autres, ne partent pas du principe que les tissus ou les cellules qui meurent se transforment alors en virus. Au contraire, ils étudient la mort pour comprendre comment elle se produit dans le corps. Ils qualifient alors les mêmes processus que les virologues interprètent mal comme la formation de virus, de mort cellulaire coordonnée (= apoptose) ou d’autophagie (recyclage).

    Chez l’homme et l’animal, la construction et la dégradation permanentes se font silencieusement, les tissus et les cellules étant décomposés sur place en petits éléments qui sont ensuite retraités dans les organes7 prévus à cet effet, comme par exemple le foie, pour une utilisation ultérieure.

    Le terme « virus » ne doit plus être utilisé à l’avenir. Il est trompeur, chargé d’interprétations erronées et provient de la pensée réfutée du bien et du mal, dont se servent les personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas interpréter la complexité autrement.

    Die Wurzel : On attribue au virus, quel qu’il soit, une autonomie et une activité propre qui n’existent pas.

    Des brins de patrimoine génétique viral construits de manière purement intellectuelle

    Stefan Lanka : Oui, le concept entier est erroné et ne peut pas non plus être maintenu par des hypothèses de secours. Parce que les « virologues » croient depuis 1954 que les tissus mourants se transforment en matériel viral lors de ce que l’on appelle les « essais d’infection », ils interprètent également les courts morceaux d’acides nucléiques comme des composants de leurs supposés virus. À partir de ces petits morceaux d’acide nucléique8, ils construisent mentalement les brins de patrimoine génétique viral qui n’existent pas dans la réalité. Mais comme les analystes de séquences trouvent ces séquences prétendument virales à l’intérieur des séquences des chromosomes humains, ils affirment que plus de 50 % de nos chromosomes sont constitués de gènes viraux.

    Propriétés meurtrières exagérées et inventées des « virus »

    Die Wurzel : D’après ce que tu as dit jusqu’à présent, on comprend de mieux en mieux pourquoi l’industrie pharmaceutique, les médecins, les virologues, les politiciens et les autorités attribuent aux hypothétiques virus une dangereuse capacité de tuer qui n’existe pas, n’est-ce pas ?

    Stefan Lanka : Oui, et ils le font aussi d’un côté parce qu’ils pensent devoir se donner de l’importance et justifier leur action. Et parce que la médecine est devenue une énorme entreprise économique, soumise à l’obligation de rentabilité, et que rien que pour cela, elle est obligée d’exagérer en permanence. Cette évolution et ce danger de l’obligation d’exagérer, qui finira par tuer tout et tous, ont été soulignés par Ivan Illich en 1976 dans son livre « La Némésis Médicale ». J’ai eu avec lui une rencontre très éclairante en 1995, dont j’ai rendu compte dans notre premier livre sur la vaccination et dans le magazine WissenschafftPlus. L’auteur Seamus O’Mahony, qui a écrit en 2019 l’important livre « La Médecine peut-elle être guérie ? », se réfère de manière tout à fait centrale à Ivan Illich et arrive à la conclusion que la médecine ne peut plus se guérir par ses propres moyens et qu’elle agit de manière de plus en plus destructrice. Il se base sur la médecine des substances qui suppriment les symptômes.

    Il dit de l’autre « médecine9 » qu’elle n’a jamais eu la moindre chance d’être appliquée.

    Die Wurzel : Comment penses-tu qu’il soit possible de mettre à la disposition du grand public la nouvelle compréhension de la science concernant les virus et les bactéries (ces dernières sont indépendantes), mais à une vitesse telle que cela ne prenne pas 100 ans ?

    La crise Corona comme opportunité, comme catalyseur de changement

    Stefan Lanka : La réponse est : faire ce qu’il faut au bon moment, voir l’article sur Rosenstock-Huessy dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020 et mon article « La mauvaise interprétation du virus, partie II. Du début et de la fin de la crise des effets Corona » dans ce numéro. Cette contribution peut également être obtenue librement sur notre site wissenschafftplus.de. Cette contribution a le pouvoir (combiné à l’ampleur de la crise Corona, qui a secoué et mis en danger presque toute l’humanité) de provoquer un apprentissage rapide qui ne durera plus 100 ans. De ce point de vue, Corona est une chance pour tous les hommes et pour tous les domaines, et pas seulement dans les domaines des virus, de la médecine, de la politique et de l’économie. [Voir aussi : Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés]

    Théorie du virus pour des raisons de débouchés

    Die Wurzel : Je pense que l’industrie pharmaceutique veut maintenir la théorie des virus telle qu’elle est crue depuis toujours, sinon elle se priverait de milliards de dollars de chiffre d’affaires (pertes de ventes de médicaments/vaccins). Pour transmettre une nouvelle compréhension des virus, il faudrait dans un premier temps imprimer et appliquer de nouveaux manuels scolaires de biologie et de nouveaux contenus d’études pour les étudiants en médecine/biologie/pharmacie avec les nouvelles connaissances sur les « virus ».

    Je pense que seule la majorité des gens comprendra, par l’expérience personnelle, que les virus n’existent pas au sens traditionnel du terme. Ce ne sont pas les virus, les bactéries ou les parasites qui sont responsables des maladies, car la maladie elle-même est l’effort d’autoguérison du système immunitaire ou l’activité de nettoyage de la maison d’un organisme qui a accumulé des scories pendant des décennies et qui n’a pas pu s’en débarrasser faute de jeûne thérapeutique, d’alimentation saine, d’exercice physique, d’ensoleillement, etc. Es-tu du même avis ?

    Stefan Lanka : Avant Corona, je pensais aussi que le changement ne pouvait se faire que lentement et par le bas. Maintenant, la dynamique propre de Corona m’a obligé à étudier à nouveau tous les détails décisifs et à les rendre publics. Le résultat est l’article « Erreur d’interprétation des virus, partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020) qui, avec les actions qui s’y rattachent et qui en découlent, a effectivement le pouvoir de générer un bond en avant dans la connaissance plus rapide que je ne le pensais.

    Ce qui caractérise les scientifiques c’est plutôt la modestie que l’arrogance

    Entre panique et compréhension approfondie

    L’Humanité n’est désormais plus confrontée qu’à l’alternative « autodestruction par la peur et la folie » ou « compréhension plus profonde en tenant compte des autres niveaux et connaissances des causes et des interactions refoulés par le matérialisme primitif » et action en conséquence. Je pense que la majorité des gens sentent qu’au sujet de Corona les fondamentaux de la médecine et de la politique ne vont pas. C’est pourquoi je demande aux lecteurs de vérifier à l’avenir les termes tels que « système immunitaire », etc., afin que l’ancienne pensée du bien et du mal ne soit pas emportée dans l’avenir : Je vois l’importance de l’alimentation, en particulier celle du jeûne — mais dans le cadre d’un système de connaissances psychosomatiques fondé et individuel, dont le Dr Hamer a posé la première pierre essentielle. Nous devons veiller à ne pas fonder un nouveau dogmatisme, car de nombreux aspects « spirituels » et « matériels » doivent encore être intégrés dans ce système de connaissance en développement, voir ton article dans Die Wurzel 04/19.

    Le plus important, que j’ai appris d’un médecin10, est que nous devons toujours garder à l’esprit que nos idées peuvent être dépassées dès demain. C’est pourquoi je dis toujours dans mes conférences et mes séminaires que la meilleure réponse à une question viendra toujours dans le futur et que celle que nous avons donnée n’est que la deuxième meilleure. En tant qu’êtres humains, nous sommes des acteurs de la vie et c’est pourquoi il nous manque tout simplement une vue d’ensemble. L’humilité fait donc partie de la science, tout comme la remise en question permanente.

    Les virus contenus dans les vaccins

    Die Wurzel : Cher Stefan, revenons à la théorie des virus, qui est à la base de la vaccination. Les vaccins utilisés pour la rougeole, par exemple, sont appelés vaccins « vivants », bien qu’ils soient tout sauf constitués de virus vivants.

    Comment les vaccins « vivants » sont-ils conçus et pourquoi doivent-ils simuler des virus alors qu’il n’existe pas de virus ayant une activité infectieuse autonome ?

    Vaccins « vivants » et « morts »

    Stefan Lanka : Je comprends maintenant comment tu en es venu à parler de virus « vivants ». Si, en laboratoire, les tissus meurent lors d’une « tentative d’infection » au cours d’une famine et d’un empoisonnement involontaires, les personnes impliquées pensent que ces tissus se sont transformés en virus ou qu’ils libèrent des virus. Comme les fabricants de vaccins (et leurs virologues) partent du principe que la masse de tissus morts (c’est-à-dire leurs prétendus virus) qu’ils utilisent comme vaccin est capable d’infecter, ils parlent de « vaccin vivant ». Ils pensent que le virus vaccinal est toujours infectieux mais qu’il est atténué.

    En revanche, les composants de prétendus virus sont qualifiés de « vaccins morts » si, premièrement, ils ne sont pas infectieux ou si, deuxièmement, les tissus en décomposition lors d’une tentative d’infection sont protégés d’une nouvelle décomposition par des « conservateurs » tels que le formaldéhyde, pour être ensuite utilisés comme « vaccin mort », comme par exemple dans le cas de la polio.

    Donc : l’idée de virus pathogènes est morte et celle de la vaccination aussi, c’est pourquoi la question « mort » ou « vivant » n’est pas seulement trompeuse, mais fausse comme tout le concept.

    Die Wurzel : Et deuxièmement, nous savons qu’un tel virus vaccinal « vivant » ne peut pas exister dans la Nature et n’a donc absolument rien de comparable avec un agent pathogène sauvage, n’est-ce pas ?

    Domestication des agents pathogènes sauvages

    Stefan Lanka : L’idée d’un type sauvage n’est pas celle d’un virus particulièrement féroce, mais celle que le virus vient d’être recraché de l’enfer de la Nature et qu’il doit d’abord être domestiqué par « culture » en laboratoire pour être ainsi rendu accessible au système de vaccination — c’est de la science-fiction en somme. Il convient également de mentionner ici l’article particulièrement drôle mais profond de Jochen Schamal « Kleine Vampirkunde » (Petite science des vampires) dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020.

    Vaccins mortels minimisés

    Die Wurzel : Un aveugle peut voir que la composition des vaccins est cruelle. Mais beaucoup ignorent qu’un tel vaccin signifie une mort certaine chez les enfants s’il est injecté par erreur dans une veine plutôt que dans un muscle. Alors pourquoi les autorités gouvernementales qualifient-elles les vaccins de sûrs et inoffensifs, alors que les autorités elles-mêmes ont soi-disant « testé » et approuvé les vaccins ?

    Stefan Lanka : L’astuce utilisée par les intéressés pour se tirer d’affaire est très simple : ils définissent les nombreuses substances toxiques comme des substances auxiliaires (= adjuvants) de la substance médicale proprement dite — les prétendues protéines des prétendus virus. Rien qu’en raison de cet acte de définition insoutenable, ces poisons puissants ne sont pas soumis à la stricte législation sur les médicaments.

    Les vaccins sans adjuvants sont inefficaces

    L’affirmation des manuels selon laquelle les vaccins sont inefficaces sans leurs adjuvants montre à quel point cette affirmation de protection est infondée.

    Die Wurzel : Dans toute la littérature « scientifique » aucun virus réel et complet n’apparaît. À quoi devrait ressembler à tes yeux un virus réel et complet, et avec quelles caractéristiques, pour être considéré comme un virus tueur ? Plutôt dans le sens d’une Borrelia qui cherche délibérément un hôte ?

    Stefan Lanka : Pour qui a pris connaissance de la biologie, il est impensable d’imaginer un virus et encore moins un virus tueur. Les virologues ont pour modèle les phages (des bactéries) pour leurs virus supposés, mais ce sont des mini-spermatozoïdes avec leur propre alimentation en énergie, qui font activement quelque chose.

    L’idée des virologues d’un brin de patrimoine génétique enveloppé ou non, générateur de maladies, repose sur un modèle fou et dangereux de la biologie et de la vie. Cette idée a été postulée en 1858 par Rudolf Virchow11 dans un acte de désespoir, notamment pour se débarrasser d’une énorme montagne de dettes et pour plaire à ses mécènes et mentors.

    Il est très important pour moi de dire que toutes les affirmations concernant l’existence de bactéries pathogènes sont également fausses et dangereuses. Une de mes connaissances, sans m’en parler, s’est fait diagnostiquer une borréliose par un gourou de la scène alternative et s’est par la suite fait soigner par la peur et des antibiotiques à large spectre jusqu’à la limite de la viabilité. Avant que l’idée des virus ne soit inventée, les bactéries étaient les méchants universels.

    Drosten fait de la bio-informatique au lieu de travailler en laboratoire !

    Trouver un consensus sur le virus Corona en quelques clics de souris

    Die Wurzel : Le processus de recherche d’un consensus sur ce qui appartient ou non au virus de la rougeole a duré des décennies. Comment se fait-il que pour le prétendu nouveau coronavirus Sars-CoV-2, ce processus de recherche de consensus n’ait duré que quelques clics de souris ? Et sur quelle base scientifique ?

    Stefan Lanka : C’est le professeur Christian Drosten de la Charité (NdT : voir ci-dessus) qui a révolutionné la bio-informatique en virologie et l’a complètement détachée du travail de laboratoire. C’est ainsi qu’en 2003, lors de la panique provoquée par le SRAS qu’il a largement contribué à créer, il a été en mesure de proposer un test pour cette fiction deux jours seulement après avoir affirmé que le brin de patrimoine génétique du prétendu nouveau virus du SRAS avait été reconstitué. Il a joué un rôle essentiel dans la terreur de la grippe porcine et de ZIKA12 et n’a cessé d’aller plus vite, plus vite que son ombre…

    … Drosten plus rapide que le service d’épidémiologie

    Avant même que les virologues du service d’épidémiologie chinois ne se mettent d’accord sur la composition du brin de patrimoine génétique du virus (NdT : le SARS-CoV-2, le virus Covid-19), qui n’était jusqu’à présent que « supposé », Christian Drosten avait déjà développé son test et l’avait mis à disposition de l’OMS le 17 janvier 2020. Par son action, quelques clics de souris, il a mondialisé la panique de masse dangereuse, mais locale, déclenchée par un ophtalmologue à Wuhan. Voir mon article « Erreur d’interprétation des virus, partie II. Du début à la fin de la crise de la Corona » dans le magazine WissenschafftPlus 2/2020, également disponible gratuitement pour diffusion sur notre site wissenschafftplus.de.

    Les bio-informaticiens se moquent de la source de la séquence génétique

    Lors de la construction de l’idée des brins du patrimoine génétique des virus de la grippe, on blessait encore mécaniquement et on empoisonnait des embryons de poulets et on créait encore péniblement manuellement un modèle à partir des courtes séquences d’acide nucléique du tissu mourant. Aujourd’hui, ce sont des programmes informatiques appropriés qui s’en chargent, dans lesquels on introduit les séquences que les virologues présentent comme virales. Les bio-informaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par « alignement » se fichent de savoir d’où proviennent ces séquences. Erwin Chargaff avait d’ailleurs déjà mis en garde contre cette évolution en 1976 dans un livre intitulé « Le feu d’Héraclite ».

    Die Wurzel : La « mise au point » du virus Corona fait maintenant entrer en jeu la construction intellectuelle du « brin de patrimoine génétique viral ».

    Stefan Lanka : Lors de la construction du virus Corona actuel (SARS-CoV-2), on a d’abord utilisé uniquement des séquences de gènes provenant d’un lavage de poumons. Après que les données de séquences de très courts morceaux aient été péniblement torturées par plusieurs programmes, un brin complet du patrimoine génétique d’un nouveau virus a été proposé sur la base de ces « données de séquences ». Cette proposition a ainsi été confirmée et élevée au rang de modèle général après que cette construction laborieuse ait été répétée avec les « séquences génétiques » provenant des poumons de trois autres personnes.

    Un modèle de virus sans fondement avec séquences génétiques artificielles

    Les participants définissent comme preuve réelle de l’existence d’un nouveau virus le fait que le « virus » puisse être « cultivé ».

    Pour ce faire, des tissus sont tués en laboratoire en les affamant et en les empoisonnant (involontairement). Et comme un peu de matériel « infecté » est ajouté à ce processus, les participants pensent que les tissus se transforment en virus.

    Bien sûr, ils ne se demandent pas pourquoi, contrairement aux phages, il n’est pas possible de voir des milliards de virus, de les isoler et d’isoler leur patrimoine génétique intact. Ils commencent donc à reconstruire le grand ensemble supposé « génome » du virus supposé à partir des courts morceaux de séquence génétique existants. À la différence près que cet acte de culture laisse de grandes lacunes dans la reconstruction du restant de l’ensemble du génome. Celles-ci sont laborieusement comblées en produisant des séquences génétiques artificielles pour combler les lacunes du modèle. C’est une auto-illusion au sein de l’auto-illusion « virologique ».

    Die Wurzel : Pourquoi les scientifiques chinois affirment-ils que le Coronavirus -2019 de Chine provient de serpents venimeux ?

    Des séquences génétiques Corona dans chaque être vivant

    Stefan Lanka : Ils affirment cela parce qu’ils trouvent dans les serpents des séquences qui apparaissent également dans le modèle Corona. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que dans chaque être vivant apparaissent les mêmes séquences, à partir desquelles on a construit Corona et tous les autres brins de patrimoine génétique viral de manière purement intellectuelle. Cela explique pourquoi les papayes sont également testées « positives ». C’est un message important de Corona : tout et n’importe quoi est positif !

    Die Wurzel : Et qu’en est-il exactement des tests du virus ?

    Stefan Lanka : Si, à partir de courtes séquences d’acides nucléiques qui sont présentes dans tout organisme, on construit quelque chose de plus long qui n’existe pas, il est évident que les soi-disant méthodes de détection génétique des virus (tests PCR), qui ne détectent que la présence de très courtes séquences, permettent de tester « positivement » tout et n’importe quoi, y compris l’arbre. Ce n’est rien d’autre que de la science-fiction dangereuse en action.

    Les courtes séquences d’ADN sont présentes dans tout organisme, y compris dans un arbre ou une papaye. En fait, ces courtes séquences13 sont présentes partout. Mais un génome viral (prononcer virus) est défini comme quelque chose de plus long, composé de plusieurs « gènes ». Lors de la première construction d’un génome viral humain, les « wirrologues » se sont inspirés du génome des phages. Un « virus » a en effet besoin de plusieurs gènes pour former ses prétendues protéines d’enveloppe et ses enzymes. La méthode PCR ne permet de détecter que de petits morceaux, qui ne disent pas (si l’on part du principe que les virus existent) s’il n’y a que des fragments de virus (après une « attaque immunitaire »), que des virus défectueux ou des virus inoffensifs, ou si la quantité de virus est trop faible pour provoquer un massacre. Mais comme il n’y a pas de virus du tout, seulement un modèle, tout cela tombe à l’eau de toute façon.

    Sérum fœtal frelaté et contaminé

    Du sérum de fœtus humain pour la fabrication des vaccins ?

    Die Wurzel : J’ai lu que les vaccins pouvaient contenir des sérums de fœtus humains avortés.

    Stefan Lanka : Ce qui a réellement été fait ce sont des tentatives d’infection de tissu et de sérums (sang sans globules) issus de fœtus humains. Ce que je peux m’imaginer, c’est qu’un public aisé et complètement abruti demande — et obtient toujours — selon la devise « vous obtenez ce que vous payez », de tels tissus et sérums pour ses vaccins, mais aussi pour d’autres produits médicaux.

    Sérum de fœtus animal dans les vaccins

    En revanche, tous les vaccins de masse sont fabriqués à l’aide de sérums fœtaux de bovins et principalement de tissus rénaux de singes ou de tissus d’autres animaux.

    Die Wurzel : Un tel sérum fœtal animal, s’il a été utilisé pour des vaccins, peut-il entraîner une quelconque réaction ?

    Stefan Lanka : D’après mes connaissances actuelles, une substance ne provoque une allergie/maladie auto-immune que si l’acte de vaccination déclenche un « conflit biologique », c’est-à-dire représente un événement ressenti comme une menace existentielle qui ne peut pas être résolue en temps réel. Je recommande à ce sujet mon article sur les dommages causés par les vaccins et l’apparition de l’autisme dans le numéro 3/2016 de WissenschafftPlus.

    Vaccins et virus cultivés en laboratoire

    Die Wurzel : Je me rends de plus en plus compte que « virus » et vaccins sont identiques, qu’ils ont tous deux été créés en laboratoire, n’est-ce pas ?

    Stefan Lanka : Oui, avec la remarque très importante que les « virus » sont des chimères et que les restes de tissus morts en éprouvette ne sont justement pas des « virus », mais des tissus en décomposition.

    D’ailleurs, les tissus ne peuvent être empêchés de mourir et de se décomposer en laboratoire que pendant quelques jours et uniquement grâce à l’utilisation de sérum fœtal. Cela n’est pas possible avec du sérum humain ou animal adulte.

    Pour plus de clarté :

    Lorsque des organes sont prélevés sur un organisme, ils meurent rapidement et se décomposent, même si on les refroidit. Si l’on prélève d’un organe des tissus pour en étudier la « vie » en laboratoire ou pour « isoler », multiplier ou « cultiver » des virus en laboratoire, ces tissus meurent encore plus vite et se décomposent encore plus vite.

    Tissus découpés par la force = cultures cellulaires

    Pour travailler prétendument avec des cellules en laboratoire, les tissus, préalablement prélevés sur des organes (d’un fœtus par exemple), sont isolés de force (biochimiquement par des enzymes digestives et mécaniquement). Les personnes concernées pensent alors travailler avec des cellules et qualifient les tissus séparés de force de « cultures cellulaires ». Ils doivent constamment empêcher par la force ces « cellules » de se refondre en tissus. Sans les nombreuses substances contenues dans les tissus fœtaux, mais surtout sans la concentration élevée de « Pi-eau14 » qui s’y trouve, les tissus dans l’éprouvette et les tissus isolés mourraient encore plus rapidement.

    Le sérum fœtal est maintenant retiré des « cellules » dans l’éprouvette, en tant que préparation de « l’expérience d’infection » suivante. En conséquence, ces unités de tissu tentent de s’unir encore plus rapidement que d’habitude, mais meurent en « confluant ».

    La prétendue culture du virus

    Cette confluence est appelée formation de cellules géantes et « effet cytopathique ». Ce résultat de nombreuses étapes violentes et insensées est interprété comme la preuve centrale de « la présence, l’isolement, la multiplication, etc. du virus supposé ». Les personnes concernées affirment alors avoir réussi à cultiver le virus.

    Pour couvrir les besoins toujours croissants en sérum fœtal15, on ouvre chaque année 2 millions de vaches gestantes sans les anesthésier, on y ouvre le fœtus non anesthésié et on prélève son sang fœtal dans le cœur battant. Si l’on retirait le fœtus de la mère, on pourrait « récupérer » beaucoup moins de sérum. Si les mères et/ou les fœtus étaient anesthésiés, les anesthésiques dégraderaient rapidement le sérum fœtal, car les anesthésiques ne peuvent pas être retirés du sérum.

    Le sérum fœtal est fabriqué à partir de ce type de sang. Il est évident que, pour optimiser les bénéfices, on procède ici à des falsifications, comme pour le vin. Pour économiser de l’argent, les laborantins achètent du sérum bon marché, dont ils savent tous qu’il est encore plus contaminé que le sérum onéreux.

    Ce n’est qu’à l’aide de ces sérums fœtaux qu’il est possible de produire des vaccins. Les composants de ces sérums, qui ne peuvent jamais être stériles, nous sont implantés sous forme de vaccins. Je m’étonne depuis longtemps que ce fait bien connu ne soit pas abordé dans le milieu de l’alimentation crue ou Végan. L’alimentation crue et le véganisme excluent la vaccination, l’obtention de sérums fœtaux et les expériences de culture cellulaire.

    Les processus de décomposition comme base de la biologie/médecine

    Nous sommes dans une situation, non seulement dans le domaine de la vaccination, mais aussi dans l’ensemble de la biologie et de la médecine, où les processus de mort et de décomposition en éprouvette sont mal interprétés en tant que modèles de vie. Et ce n’est qu’un des nombreux points qui expliquent pourquoi, dans le système de l’opinion dominante de la pathologie cellulaire depuis 1858, les biologistes et les médecins ne sont pas en mesure de faire des déclarations raisonnables et utiles sur la vie, la santé, la maladie et la guérison.

    Die Wurzel : En 1951/52, la virologie s’était complètement réfutée et abandonnée. Pour quelle raison ?

    La virologie doublement réfutée

    Stefan Lanka : Tout d’abord, des expériences de contrôle ont été menées, qui ont prouvé que ce qui était autrefois interprété comme des virus (des protéines prétendument dangereuses, comme on l’affirme encore aujourd’hui pour certaines bactéries, malgré une meilleure connaissance) est également libéré lors de la décomposition d’organismes tout à fait sains ou de leurs organes. Et que rien n’a été vu ni trouvé au microscope électronique.

    Deuxièmement, parce que l’on a appris que les protéines ne peuvent pas se reproduire elles-mêmes. Avant 1952 encore, l’élément central de la virologie était que la dangereuse protéine virale (= virus, poison pathogène) pouvait soi-disant se reproduire elle-même. Mais en 1952, on s’est rendu compte que c’était l’acide nucléique qui était responsable de la multiplication des protéines. Dès lors, les jeunes chimistes ont considéré que les virus étaient de dangereux morceaux de substance génétique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie, de la médecine et du fait que la virologie médicale avait été abandonnée.

    Cette ignorance se prolonge jusqu’à aujourd’hui et a conduit à la crise de Corona. Les virologues d’aujourd’hui ne s’étonnent tout simplement pas de ne pas trouver de virus ni de génome viral. Ils ne s’étonnent pas non plus qu’ils assemblent constamment et toujours mentalement les génomes des virus (les brins de patrimoine génétique des virus) à partir de courts morceaux et les présentent ensuite comme la réalité.

    Mettre fin à la crise de la Corona de manière démocratique

    Nulle part ailleurs en biologie et en médecine, il n’est aussi clair qu’en virologie qu’une pure construction de l’esprit est présentée comme un fait existant. Lorsque la majorité de la population aura compris cela, la crise de Corona sera terminée de manière purement démocratique. Par conséquent, veuillez distribuer cette interview sur « Virus, sort de là ».

    Die Wurzel : Il y a encore tellement de choses à aborder, y compris le modèle des bactéries et des bactériophages. Dans ton article « Mauvaise interprétation des virus », disponible au prix de 5 €, tu abordes tout cela en détail, ainsi que de nombreux autres sujets. Cette interview d’aujourd’hui n’est qu’un tout petit extrait de ton article « Mauvaise interprétation du virus ». C’est pourquoi je recommande à tous les lecteurs cet article, voire le numéro complet de WissenschafftPlus (voir ci-dessous) avec l’article qu’il contient.

    Et avec les numéros suivants de WissenschafftPlus, vous restez, cher lecteur, au courant de ce qui s’est déjà passé dans la réflexion sur le virus dans la science en général, etc. Le mieux est de vous abonner à ce magazine trimestriel.

    Sur ce, je te remercie, cher Stefan, pour cette interview. Que nous puissions tous travailler ensemble et réaliser de grandes choses dans un collectif positif.

    Traduction Jean Bitterlin 6 janvier 2023


    1. Extraits de gènes de virus = fragments de virus

    2. La théorie de la pathologie des cellules datant de 1858.

    3. Dont j’ai découvert, isolé et caractérisé l’un d’entre eux et que Günter Enderlein a prédit.

    4. Les bactériophages

    5. ADN (DNA) = La biomolécule centrale des chromosomes, sur lesquels se trouvent des modèles informatifs grossiers pour environ 10 % de nos protéines, que l’on appelait autrefois des gènes.

    6. Quel que soit le type, frottis, sang, mucus, sperme, matériel de biopsie, etc.

    7. S’il existe donc des organes dans lesquels sont concentrées des fonctions qui, sinon, se déroulent toutes en même temps et côte à côte dans les tissus ou les cellules d’organismes « simples », il existe pour cela de tout autres mécanismes de recyclage intracorporel ou intraorganique.

    8. Les fragments de gènes de l’ADN.

    9. Je préfère l’appeler une autre vision ou tout simplement une biologie que je m’efforce de diffuser, dans laquelle la santé résulte de l’harmonie en moi-même et avec mon environnement.

    10. Elle a, en plus de son travail thérapeutique, une mission d’enseignement de la médecine chinoise.

    11. Article « Virchow — Ein Stratege der Macht » (Virchow — Un Stratège du Pouvoir) voir WissenschafftPlus édition no 5/2015, le rapport peut être lu en ligne, voir wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Mohr_Virchow.pdf

    12. L’affirmation de l’existence des virus ZIKA remonte à 1947, lorsque les virus étaient définis différemment qu’après 1952. Il tire son nom d’une forêt d’Entebbe, en Ouganda, où des singes ont été torturés pour des « expériences d’infection ».

    13. Les séquences d’une longueur inférieure à 22 nucléotides (éléments constitutifs de l’ADN/ARN) sont présentes chez tous les mammifères, ne sont pas spécifiques aux virus et sont néanmoins utilisées dans la construction des « génomes viraux ».

    14. Alias substance originelle dont nous sommes constitués — voir mon article sur l’eau Pi voir weissschafftplus.de/uploads/article/MW_PI_Wasser_Lanka2.pdf et l’article de Michael Delias dans le WZ 04/19.

    15. On cultive même déjà de la « viande » pour la consommation en laboratoire et on suggère que cela est possible sans animaux.




    Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

    [Source : francemediasnumerique.net]

    Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine [NDLR en date du 29 février 2020]. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études (…). Voici l’article détaillé de Paul :


    Par Paul Doyon

    Mon cœur va à la Chine et à tous ses habitants qui ont tant souffert à cause de cette nouvelle « nouvelle » épidémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Cependant, comme quelqu’un qui était devenu très malade et dont le système immunitaire s’était détérioré et qui était malade pendant six mois à la recherche de réponses avant même de soupçonner que vivre à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire était en fait ce qui causait le problème et le rendait malade, Je sens que je ne peux pas en toute conscience rester silencieux, et je soupçonne fortement que la Chine et le reste du monde cherchent sous la mauvaise pierre ce qui est réellement le problème ici.

    À l’heure actuelle, avec 10 000 antennes 5G récemment installées sur sa ville, Wuhan est probablement l’une des villes les plus électropolluées par la 5G de la planète.

    Avertissements d’électrosmog des scientifiques depuis plus de 40 ans

    Des scientifiques, des chercheurs, des médecins et des militants respectés nous mettent en garde, depuis plus de quarante ans, contre les dangers des rayonnements sans fil et des champs électromagnétiques. En 1977, le reporter Paul Brodeur publie un livre intitulé The Zapping of America. En 1985, le regretté Dr Robert O. Becker (nominé deux fois pour le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la dédifférenciation et la redifférenciation cellulaire dans le processus de guérison) a écrit The Body Electric [Le corps électrique] et a publié plus tard Cross Currents: The Perils of Electropollution , La promesse de l’électromédecine en 1990. En 1995 (et de nouveau plus tard en 2007), B. Blake Levitt, auteur et chercheur, a publié Champs électromagnétiques : Guide du consommateur sur les enjeux et comment se protéger. Depuis lors, de nombreux autres livres et films documentaires ont été publiés sur le sujet. Et la liste continue encore et encore.

    Le Dr Leif Stafford, neuro-oncologue suédois, a appelé ce déploiement sans fil :

    « la plus grande expérience biologique jamais réalisée. »  1

    Et le Dr Robert O. Becker a écrit en 1985 que :

    Les dangers de l’électropollution sont réels et bien documentés. Elle change, souvent pathologiquement, chaque système biologique [je souligne]. Ce que nous ne savons pas, c’est exactement la gravité de ces changements, pour combien de personnes. Plus nous, en tant que société, retardons la recherche de ces connaissances, plus les dommages risquent d’être importants et plus il sera difficile de les corriger. (p. 304) 2

    Et enfin, le Dr Martin Pall, PhD, et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à la Washington State University a déclaré récemment que :

    Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit être l’idée la plus stupide que l’on ait eue dans l’histoire du monde. 3

    La BioInitiative

    En 2007, un rapport intitulé BioInitiative a été publié, il a été republié à nouveau en 2012, et des mises à jour ont été effectuées entre 2014 et 2019. Son site Web indique que :

    le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs de dix pays, dix titulaires de diplômes de médecine (MD), 21 doctorats et trois MsC, MA ou MPH. Parmi les auteurs figurent trois anciens présidents de la Bioelectromagnetics Society et cinq membres à part entière de BEMS. 4

    Ce sont des scientifiques très respectés provenant de certaines des universités et instituts les plus respectés au monde. 5

    La BioInitiative met en garde :

    … que les preuves des risques pour la santé ont considérablement augmenté depuis 2007 en raison des champs électromagnétiques et des technologies sans fil (rayonnement radiofréquence). Le rapport passe en revue plus de 1800 nouvelles études scientifiques…. Les sujets de santé comprennent les dommages causés à l’ADN et aux gènes, les effets sur la mémoire, l’apprentissage, le comportement, l’attention, les troubles du sommeil, le cancer et les maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires de toute urgence pour la protection contre les CEM [Champs électromagnétiques] et les expositions sans fil qui apparaissent désormais partout dans la vie quotidienne. 

     Voir plus de recherches scientifiques ici.

    Avertissements 5G

    Avec l’avènement de la toute dernière technologie sans fil, la 5G, de nombreux chercheurs, médecins et organisations professionnelles et militantes ont lancé des avertissements sanitaires concernant sa mise en œuvre. 7 8 9 10 11 12 13
    Voir ici les dangers du rayonnement 5G.

    Et même récemment, il y a eu des marches dans les grandes villes du monde entier pour protester contre l’avènement de cette technologie. 14

    Malheureusement, pour la majorité de la population, ces avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd, l’opinion apparemment largement répandue estimant que la 5G est la meilleure chose depuis la crème glacée Ben & Jerry’s ™ Cherry Garcia ™.

    Bien sûr, la minimisation des dangers est compréhensible étant donné les avantages et les commodités extrêmes que toute cette technologie a continuellement offerts à une population sans méfiance. Malheureusement, ces personnes sont aussi souvent promptes à ridiculiser et à marginaliser ceux qui essaient de mettre en garde contre ces dangers en les qualifiant de théoriciens du complot luddites portant des chapeaux d’étain, jusqu’à ce que, bien sûr, eux ou un de leurs proches tombent soudainement malades et qu’ils y voient un lien possible avec ces expositions aux CEM, et puis soudain, il y a un changement de ton, et ils se demandent rapidement ce qu’ils peuvent faire pour se protéger : par exemple, comment protéger leurs maisons et leurs bureaux, quels  compteurs CEM acheter.

    À Ripon, en Californie, au sud de Sacramento, une antenne 5G a été retirée d’une école primaire, après que certains parents ont commencé à soupçonner qu’elle était liée à un certain nombre de cas de cancer dans l’école. 15

    16

    L’épidémie de coronavirus

    La récente épidémie de COVID-19 a stimulé la peur et l’hystérie de masse à travers la planète, malgré le fait qu’il n’y a eu que 93 décès (au moment d’écrire ces lignes le 29 février 2020) en dehors de la Chine, 2835 des décès 17 et 99% des infections ayant eu lieu en Chine. 18

    En fait, les taux de mortalité les plus élevés en dehors de la Chine ont été observés dans des endroits mettant déjà en œuvre la technologie 5G, en Corée du Sud et en Italie, par exemple. L’exception est l’Iran, qui compte actuellement 978 cas et 54 décès, ne l’applique pas officiellement, mais pourrait très bien le tester secrètement étant donné la raison pour laquelle

    le 1er décembre 2018, à la demande du gouvernement américain, Meng Wanzhou — la directrice financière de Huawei et fille de son fondateur — a été arrêtée au Canada sur des allégations selon lesquelles elle aurait participé à un complot visant à frauder des banques en lien avec des violations des sanctions contre l’Iran, 19

    était en effet parce que Huawei travaillait à vendre sa technologie 5G aux Iraniens. En fait, l’Iran – dans une opération conjointe entre Irancell et Ericsson – avait commencé à tester cette technologie dès septembre 2017. 20 Dans l’article intitulé « Irancell, Ericsson test 5G Systems » (2017) , il est précisé que :

    la technologie sera disponible d’ici 2020 et deviendra mondialement accessible un an plus tard.
    Lors de l’événement au siège d’Irancell, le PDG de la société, Alireza Dezfouli, a déclaré : « Nous visons à suivre le rythme des opérateurs internationaux. L’Iran ne sera plus en reste. 

    En outre, un certain nombre d’articles dans les médias ont déclaré que l’Iran avait effectué des « préparatifs » et était prêt à lancer la 5G. 21 22 23 Eh bien, les préparatifs comprennent généralement des essais. Par conséquent, il est facile de croire que l’Iran a déjà mis en place l’infrastructure 5G et qu’ils l’ont secrètement testée.

    La Belgique, en revanche, – qui avait décidé de ne même pas tester la 5G, et encore moins de la mettre en œuvre, en raison de problèmes de radiation 24 – n’a eu jusqu’à présent qu’un seul cas de coronavirus (récupéré) et aucun décès.

    En fait, pour la majorité, les symptômes des patients en dehors de la Chine (en particulier ceux qui sont loin de la 5G), pour la plupart, ont apparemment été relativement légers, comme on le verrait très probablement avec un virus du rhume ou de la grippe ordinaire, et beaucoup de personnes [supposément] infectées [NDLR du fait des tests PCR non significatifs] ne présentant aucun symptôme.

    Symptômes légers en dehors de la Chine

    C’est ce qu’affirme le Dr Maria Van Kerkhove, (responsable du programme d’urgence sanitaire de l’OMS), dans l’article d’Al Jazeera continuellement mis à jour, « Que se passe-t-il si vous attrapez le nouveau virus corona ? » que « certains patients ne présentent aucun symptôme » et que :

    « Vous avez des cas bénins, qui ressemblent au rhume, qui présentent des symptômes respiratoires, des maux de gorge, un écoulement nasal, de la fièvre, jusqu’à la pneumonie. Et il peut y avoir différents niveaux de gravité de la pneumonie jusqu’à la défaillance de plusieurs organes et la mort » , a- t-elle déclaré aux journalistes à Genève la semaine dernière.

    Cependant, dans la plupart des cas, les symptômes sont restés légers.

    « Nous avons vu des données sur environ 17 000 cas et dans l’ ensemble, 82 % d’entre eux sont bénins, 15 % d’entre eux sont graves et 3 % d’entre eux sont classés comme critiques », a déclaré Van Kerkhove. 18

    De plus, dans de nombreuses vidéos YouTube 25 26 27 28 29, nous voyons des entretiens avec des patients qui ne présentent apparemment que des symptômes légers.

    Un exemple est celui de Rebecca Frazier, interviewée à de nombreuses reprises dans de nombreux programmes d’information, après avoir été admise dans un hôpital de Tokyo après avoir été trouvée infectée par le COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess. Dans l’une des interviews, menée par le programme d’information néo-zélandais sur le réseau Radio New Zealand (RNZ) intitulé « Je ne me suis jamais vraiment sentie mal », par exemple, l’intervieweur déclare ce qui suit, puis poursuit l’interview de Mme Frazier :

    « Incapacité, ayant besoin d’aide pour respirer et entouré de médecins en combinaison de protection contre les matières dangereuses, est peut-être l’image de référence des personnes infectées par le coronavirus. Ce n’est pas le cas pour Rebecca Frazier, qui a le Covid-19 comme on l’appelle maintenant. Curieusement, elle a l’air très bien. Elle est isolée dans un hôpital de Tokyo après avoir été testée positive pour le virus, alors qu’elle était à bord du navire de croisière Diamond Princess qui est maintenant amarré à Yokohama, en quarantaine pendant 14 jours…. Rebecca dit qu’elle est choquée d’avoir été testée positive pour le virus mortel étant donné à quel point elle se sent en forme et bien . 

    « Je ne peux tout simplement pas y croire. Je ne peux pas croire que cela vous arrive. Euh. Je… Vous savez, je ne suis pas du genre à paniquer…. 

    « Vous ne vous êtes pas senti bien ? Vous ne vous sentez pas bien ? 

    « Non. Je ne me suis jamais vraiment senti mal. J’ai eu un peu de toux quand ils m’ont dit, et quand je suis arrivé ici, j’ai eu un peu de fièvre, mais tout cela s’est normalisé et je n’ai aucun symptôme…. ” 25

    Dans une autre vidéo YouTube, 29 provenant cette fois d’une chaîne de télévision chinoise, on trouve le témoignage d’une infirmière de Wuhan qui a contracté le virus et a décidé de rester à la maison pour récupérer (ce qui aurait très bien pu être ce qui lui a sauvé la vie).

    Dans la vidéo, nous la voyons vaquer à ses occupations quotidiennes comme si elle n’était qu’apparemment gênée par ce qui ne serait qu’un virus du rhume normal.

    Dans un reportage de la BBC 30 sur Steve Walsh, qualifié de « super épandeur », un homme qui a apparemment été infecté par COVID-19 à Singapour et l’a apparemment propagé à de nombreux autres dans une station de ski en France, nous entendons l’un de ses voisins déclarer que

    « Sa femme m’a dit au téléphone qu’en réalité il n’était pas si malade et elle pense que c’est un tas de conneries et que ce n’est pas pire que la grippe. Probablement pas aussi mauvais. » (2:20)

    Alors… pourquoi se fait-il que, alors que ces personnes ne manifestent apparemment que des symptômes bénins, de nombreuses personnes en Chine, et en particulier dans la ville de Wuhan (et dans certaines autres provinces), traversent une période si difficile et beaucoup succombent malheureusement au virus, et (à défaut d’une meilleure expression) « tombent comme des mouches » ?

    Au moins 10 000 antennes 5G installées à Wuhan seul

    Ce qui n’est pas évident dans les reportages, c’est le fait que la Chine, dans sa précipitation pour prendre la tête de la course 5G, avait installé fin 2019 (et surtout au cours des derniers mois précédant l’épidémie de COVID-19) 130 000 antennes 5G dans tout le pays, 31 avec au moins 10 000 antennes installées rien qu’à Wuhan. 32 (À titre de comparaison, les États-Unis ne disposent actuellement que d’environ 10 000 antennes 5G installées dans tout le pays.)

    Homme tenant un téléphone pour une connexion 5G

    « La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait disposer de 10 000 stations de base 5G d’ici fin 2019… » 32

    « Selon les rapports précédents, les trois opérateurs s’attendaient à exploiter près de 130 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019. »

    Wuhan : l’une des premières villes à tester la 5G

    En fait, Wuhan était l’une des 16 premières villes sélectionnées pour tester la 5G en 2018.

    China Unicom commencera à tester le réseau 5G dans 16 villes, dont Pékin, Tianjin, Qingdao, Hangzhou, Nanjing, Wuhan , Guiyang, Chengdu, Shenzhen, Fuzhou, Zhengzhou et Shenyang.

    China Mobile effectuera des tests externes sur le terrain et installera plus d’une centaine de stations de base 5G dans chacune des cinq villes suivantes : Hangzhou, Shanghai, Guangzhou, Suzhou et Wuhan . 34

    D’après l’article « Wuhan 5G Industry Development : Five-Chain Coordination, Three-Wheel Drive » (武汉5G产业发展:五链统筹 三轮驱动), 35 (écrit en chinois) publié le 11 octobre 2019, il devient clair que Wuhan était dans une course avec d’autres villes chinoises pour se positionner à la pointe de la technologie 5G, et avec environ 10 000 antennes 5G, est probablement l’une – sinon la plus – irradiée par la 5G en Chine :

    À l’heure actuelle, Wuhan saisit des opportunités de développement majeures dans la commercialisation de la 5G, avec la construction d’un réseau national 5G de première classe comme guide, avec le développement d’une industrie nationale 5G de première classe comme organe principal…

    … La ville de Wuhan a pleinement mis en œuvre le « Plan de mise en œuvre de la planification et de la construction de la station de base 5G de Wuhan », avec un effort politique extraordinaire, pour guider et soutenir les entreprises de télécommunications de base et China Tower Corporation pour accélérer la construction de réseaux 5G. Cette année et l’année prochaine, Wuhan construira plus de 20 000 stations de base 5G, formera un réseau de base 5G avec une échelle de premier plan, une qualité de première classe et une démonstration solide pour assurer une couverture complète du réseau 5G dans la ville et être au premier plan parmi les villes similaires dans le pays. 35

    Enfin, il a été indiqué dans un article intitulé « Réseau 5G à venir à Wuhan » (16 avril 2018), que « 3 000 macro stations de base et 27 000 micro stations de base » seraient bientôt construits, et que d’ici 2020 , le « réseau 5G couvrira tous les coins de la ville et sera disponible à un prix abordable. 36 Cela signifie qu’il peut en fait y avoir bien plus que 10 000 antennes à Wuhan, bien que 10 000 à elles seules feraient de Wuhan l’une des villes les plus concentrées en 5G au monde.

    Systèmes 5G déployés dans les hôpitaux

    Ce qui est également préoccupant ici, c’est que la Chine a, depuis environ novembre 2019, installé des systèmes 5G dans ses hôpitaux. 37 38 39 40

    ” Les principaux hôpitaux chinois, les principaux opérateurs de télécommunications et Huawei ont lancé mercredi un projet visant à établir des normes pour les réseaux basés sur la 5G dans les hôpitaux . » 37

    « La Chine a publié une norme pionnière pour ses réseaux hospitaliers 5G, à la suite d’un processus de rédaction et de vérification conjoint entre les secteurs médical et des télécommunications. » 38

    Systèmes 5G installés dans les hôpitaux du coronavirus de Wuhan

    Recherche scientifique 5G

    Et pour ajouter apparemment l’insulte à la blessure ici, Huawei n’a pas tardé à installer des systèmes 5G dans les nouveaux hôpitaux de coronavirus – l’hôpital de Wuhan Volcan Mountain et l’hôpital de Thunder Mountain – les deux hôpitaux connus pour n’avoir été construits qu’en un peu plus d’une semaine. 41 42

    Les deux articles cités ici sont ironiquement intitulés, (1) « Huawei installe la 5G dans un hôpital chinois pour lutter contre le coronavirus » et (2) « Huawei construit la 5G à l’hôpital de Wuhan, vise à lutter indirectement contre le coronavirus » car cela pourrait très bien être tout le contraire de ce qu’ils ont effectivement l’intention de faire ici. Il y a aussi une vidéo intéressante sur YouTube intitulée « Les hôpitaux chinois déploient des robots pour aider le personnel médical à lutter contre l’épidémie de coronavirus », 43  démontrant cela en action.

    Les télécoms chinois ont commencé à proposer la 5G commercialement en novembre 2019

    Les sociétés de télécommunications chinoises ont commencé à proposer des services commerciaux 5G à leurs clients le 1er novembre de l’année dernière.

    Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile chinois, China Mobile, China Unicom et China Telecom, commenceront à vendre des services 5G aux consommateurs le vendredi 1er novembre dans 50 grandes villes, dont Pékin et Shanghai, a déclaré Chen Zhaoxiong, vice-ministre du ministère de l’Industrie et de la Chine. Technologies de l’information le jeudi 31 octobre lors d’une conférence à Pékin….

    Le gouvernement chinois a fait de la construction de la 5G une priorité nationale, en éliminant les formalités administratives et en réduisant les coûts afin que les trois fournisseurs de services sans fil introduisent la nouvelle technologie le plus rapidement possible. « Ils en ont fait une priorité nationale. Cela fait partie de la capacité du Parti [communiste] à montrer qu’il livre la marchandise », a déclaré Paul Triolo, responsable de la géotechnologie au cabinet de conseil Eurasia Group. « Et au milieu du différend commercial et des actions contre Huawei, il est encore plus important pour la Chine de montrer qu’elle continue d’avancer malgré tous ces défis » , a- t-il ajouté….

    Le gouvernement central chinois souhaite que la couverture 5G soit étendue à l’ensemble de Pékin, Shanghai, Hangzhou et Guangzhou d’ici la fin de l’année. Le plus grand opérateur du pays, China Mobile, qui compte 900 millions d’abonnés au téléphone portable, affirme qu’il sera en mesure d’offrir des services 5G dans plus de 50 villes cette année….

    Environ 13 000 stations de base 5G ont été installées à Pékin, a annoncé cette semaine l’administration des communications. Environ 10 000 sont déjà opérationnelles. La Chine possède déjà un total de plus de 80 000 stations de base macro 5G, généralement des tours cellulaires avec des antennes et d’autres matériels qui diffusent des signaux sans fil sur de vastes zones, ont déclaré des responsables gouvernementaux. Voir cet article sur les tours 5G.

    Ils ont déclaré que la Chine terminerait l’année avec environ 130 000 [stations], tandis que Bernstein Research estime que la Corée du Sud sera à la deuxième place avec 75 000, suivie des États-Unis avec 10 000. Piper Jaffray a estimé que sur les 600 000 stations de base 5G qui devraient être déployées dans le monde l’année prochaine, la moitié le seront en Chine. 31

    Cela signifie essentiellement que la Chine avait soudainement activé le commutateur 5G, un peu moins de deux mois avant l’épidémie de COVID-19, recouvrant soudainement de nombreuses villes de ce rayonnement sans fil 5G. Et au moment d’écrire ces lignes, le nombre de cas de COVID-19 en Corée du Sud commence également à monter en flèche. Comme nous pouvons le voir dans l’article ci-dessus, la Corée du Sud possède le deuxième plus grand nombre d’antennes 5G avec 75 000. C’est beaucoup pour un pays de sa taille. Y a-t-il un lien ? Je pense qu’il y a à l’heure actuelle (29 février 2020) également le plus grand nombre de cas de coronavirus (3150) et l’un des taux de mortalité les plus élevés (17) en dehors de la Chine.

    Quarante villes buvant le service 5G

    Dans l’article en ligne « Ces 40 villes vont boire le service 5G », 44 publié le 7 juin 2019, il a été révélé qu’il avait été décidé que la 5G serait lancée dans 40 villes à travers la Chine en 2019 par China Mobile et China Unicom (avec aucune information spécifique de China Telecom pour le moment).

    Les villes de cette liste incluses dans la province du Zhejiang étaient Hangzhou, Ningbo et Wenzhou, sans parler des endroits comme Pékin, Shanghai, Wuhan, Guangzhou, Suzhou et Shenzhen. Le plan initial, semble-t-il, appelé stratégie de déploiement de réseau 5G « 7+33+n », était d’avoir une couverture complète à Pékin, Shanghai, Hangzhou, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing et Xiong’an, avec une couverture hotspot dans les 33 autres villes, puis des réseaux 5G personnalisés dans les villes dites « n », bien que cela ait très bien pu changer car d’autres villes voulaient apparemment également une couverture complète (notez l’installation par Wuhan de 10 000 antennes 5G).

    Les provinces les plus touchées par le coronavirus après Wuhan :
    Zhejiang et Guangdong

    Fait intéressant, à un moment donné de cette saga, les deuxièmes provinces les plus touchées (par le COVID-19) étaient les provinces du Zhejiang et du Guangdong (bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le Zhejiang ait maintenant été dépassé par le Henan). 45 Les provinces énumérées ci-dessous, en chinois, et dans l’ordre de la plupart des cas, sont (1) Hubei (湖北), (2) Guangdong (广东), (3) Henan (河南), (4) Zhejiang (浙江) et (5) Hunan .

    La situation a été si mauvaise dans la province du Zhejiang que le Japon, le 12 février, a même étendu ses restrictions d’entrée au Zhejiang touché par le virus (à l’époque, il était troisième en nombre de cas de COVID-19).

    Il comprend les villes de Hangzhou et Wenzhou, qui comptent parmi les plus fortes concentrations de cas de coronavirus du pays. Hangzhou abrite le siège social d’Alibaba Group Holding, tandis que Wenzhou est connue comme le berceau des petites entreprises. 46

    Sur la carte (Wikipédia) ci-dessous 47 , la province du Zhejiang est la province rouge plus foncée à droite et la province du Guangdong est la province rouge plus foncée en bas. La province rouge la plus foncée au milieu est le Hubei avec Wuhan en son centre. La province du Henan est au-dessus de la province du Hubei et la province du Hunan est en dessous.

    Attribution : Wikimédiens / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)

    Ces villes (Hangzhou, Wenzhou et Ningbo) ont également été sélectionnées pour tester la 5G dans la province du Zhejiang.

    Ookla 5G Maps 48 suit le déploiement de la 5G dans le monde, le nombre de télécommunications offrant un service 5G dans diverses villes de Chine.

    Dans la ville de Hangzhou, les trois télécoms chinois fournissent un service 5G dans la ville ; alors qu’à Ningbo, seuls deux le sont, et à Wenzhou, un seul (China Mobile) l’est.

    Les trois villes de la province du Zhejiang avec le plus de cas ont été Hangzhou (168 cas), Ningbo (156 cas) et Wenzhou (503 cas), 50 qui sont aussi curieusement les villes sélectionnées pour tester la 5G. La ville proprement dite de Wenzhou elle-même (bien que lorsque l’on inclut les préfectures extérieures, le total s’élève à 9 millions), par exemple, avec seulement 200 000 habitants, compte un nombre excessivement élevé de personnes infectées par le COVID-19, et la ville a été en confinement.

    Mais comme vous pouvez le voir dans certains des articles sélectionnés ci-dessous, il y a eu une poussée majeure dans cette ville pour mettre en œuvre et couvrir leurs villes avec la technologie 5G. 

    Dans l’article en ligne « China Tower Built 8400 5G Stations in Zhejiang » 51 (21 octobre 2019), il est révélé que 8400 stations de base 5G ont récemment été installées dans la province du Zhejiang, avec 4775 (sur une commande de 6154) installés rien qu’à Hangzhou, et 3 200 d’entre elles installées en 100 jours (en un peu plus de trois mois).

    China Tower a construit 8400 stations 5G dans le Zhejiang

    Selon un responsable de China Tower (Zhejiang), depuis cette année, elle a entrepris plus de dix mille demandes de construction 5G. A ce jour, 8397 stations ont été achevées, dont plus de 96 % ont été construites sur les sites des stations de stockage. À Hangzhou, depuis cette année, 6 154 demandes 5G ont été acceptées et 4775 ont été achevées et livrées, dont 93 % sont directement satisfaites et transformées via les sites des stations de stockage.

    Dans le centre-ville de Hangzhou, après avoir reçu la demande de construction 5G de trois entreprises de télécommunications, China Tower (Zhejiang), avec le soutien du gouvernement, a achevé 3200 stations de base 5G dans la région pittoresque de West Lake, le centre sportif olympique et d’autres scènes à moins de 100 jours, et ont coopéré avec les entreprises de télécommunications à une installation rapide complète et mise au point de l’équipement, en fonction des salles de télécommunications existantes, des armoires, des installations de soutien électriques et antenne 5G ajoutés sur les sites de la station d’actions, lampadaires de la rue, les bâtiments, etc.  51

    Dans un autre article en ligne, publié en chinois, « China Tower installe 8 400 antennes 5G dans le Zhejiang, 96 % sur la base de sites existants », [中国铁塔在浙江建成8400个5G站址,96%基于既有站址], 52 on peut voir China Tower recouvrir Hangzhou d’antennes 5G en très peu de temps.

    Dans cet article, il est indiqué que « le Zhejiang est l’une des premières provinces du pays à commencer à construire des réseaux 5G » et que « China Tower Zhejiang Company… a lancé l’accélération de la construction 5G au cours de la première année de commercialisation de la 5G… ». Et de plus , « plus de 10 000 exigences de construction 5G ont été entreprises depuis cette année », avec « 8397 sites… achevés ».

    Il devient clair que la province du Zhejiang, qui abrite le géant de la technologie Alibaba, est l’une des provinces qui devrait devenir l’une des premières à introduire la 5G. Dans l’article suivant, « La région du Delta pour construire un hub de communication d’informations de classe mondiale », 53 (Mise à jour : 01-11-2019), il est indiqué qu’avec la commercialisation des services 5G le 31 octobre,

    [cinquante] villes ont été sélectionnées pour devenir parmi les premières à accéder aux services commerciaux 5G, dont 10 villes de la région du delta du fleuve Yangtze (YRD), dont la moitié sont dans la province du Zhejiang – Hangzhou , Ningbo, Wenzhou , Jiaxing et Shaoxing.

    Il est en outre indiqué que les trois sociétés de télécommunications plus China Tower investiraient dans la région un total de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars US) pour la construction de l’infrastructure 5G afin de « la transformer en un centre de communication d’informations de classe mondiale. 

    Selon un plan de développement pour la région publié en 2016, China Telecom, China Unicom, China Mobile et China Tower prévoient d’investir plus de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars) dans la construction d’infrastructures 5G dans la région d’ici 2021 pour aider à « la construire en un centre de communication de l’information de classe mondiale » promouvant « l’utilisation pilote du réseau et des applications 5G par la région » et indiquant « clairement que la région YRD sera la première en Chine à effectuer un essai d’utilisation commerciale des services 5G », tout en visant à « réaliser la couverture du réseau 5G dans toute la province d’ici 2025 ». 53

    La ville côtière de Wenzhou la plus touchée dans la province du Zhejiang

    Dans la province du Zhejiang, les villes de Hangzhou, Ningbo et Wenzhou comptent le plus grand nombre de cas de COVID-19. Ce sont également les principaux endroits où la 5G a été installée jusqu’à présent dans la province.

    covid-19

    Wenzhou, une ville chinoise relativement faible, a le plus grand nombre démesurément – actuellement 503 – des cas dans la province du Zhejiang, et a été en confinement 54 depuis le 2 février lorsque le nombre de cas a atteint 304.

    Wenzhou : Internet et hub 5G

    Au cours de la dernière année, il y a eu de nombreuses conférences dans cette petite ville faisant la promotion directe ou indirecte de la 5G. 55 56 57

    Par exemple, la Conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie s’y est ouverte en septembre de l’année dernière et la sixième Conférence mondiale sur l’Internet s’y est ouverte en octobre de l’année dernière. La conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie a présenté les dernières technologies IoT de pointe et les applications 5G pour les technologies Big Data et les plateformes IoT. La sixième conférence Internet mondiale (trois jours) a réuni plus de 1 500 participants de plus de 70 pays et régions, dont des lauréats du prix Nobel et des dirigeants de grandes entreprises technologiques comme Qualcomm, Alibaba et Huawei.

    Dans un article intitulé « Experience the construction of 5G base stations under high temperature », publié en chinois (体验高温下5G基站建设) 58 le 26 août 2019, il est indiqué que « Wenzhou est l’un des premiers pilotes 5G villes des trois principaux opérateurs, et la couverture du réseau 5G bat son plein. 

    Dans un autre article, « Wenzhou montre une grande ambition dans l’industrie de l’IoT », 59 (10 septembre 2019), il est en outre déclaré :

    « Wenzhou est en train de devenir une ville pilote pour la construction de villes intelligentes et les applications 5G en Chine » , a déclaré Chen. « Il existe désormais 13 centres de cloud computing, plus de 500 stations de base 5G et plus de 10 000 bases IoT à bande étroite dans la ville. »

    Enfin, en regardant encore un autre article publié environ six mois plus tard intitulé « Le premier cas dans le Zhejiang ! La ligne S1 est la première à atteindre une couverture complète des signaux mobiles 5G » (19 janvier 2020), (également publié en chinois, 浙江首例!S1线率先实现移动5G信号全覆盖) 60 qui se délecte du signal 5G pénétration le long de la «ligne S1 aéroport de Longwan-Wenzhou South High Speed ​​Rail», il devient évident que Wenzhou a également participé à la course 5G pour recouvrir sa ville d’ondes électromagnétiques 5G.

    Champs électromagnétiques (CEM) et système immunitaire

    Les rayonnements sans fil de 1G à 5G ont tous émis des “champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) (CEM)” modulés et il existe littéralement des milliers d’études montrant les effets biologiques des expositions aux ondes électromagnétiques artificielles, et parmi celles-ci, des centaines montrent des effets biologiques sur le système immunitaire.

    Pour ne donner qu’un exemple, les recherches de Kolomytseva et coll. (2002) décrit dans l’article « Suppression de la résistance non spécifique du corps sous l’effet d’un rayonnement électromagnétique de fréquence extrêmement élevée et de faible intensité », 61 a constaté qu’avec :

    exposition du corps entier de souris en bonne santé à un rayonnement électromagnétique de faible intensité à très haute fréquence (EMR EHF, 42,0 GHz, 0,15 mW/cm2, 20 min par jour)… l’activité phagocytaire des neutrophiles du sang périphérique a été supprimée d’environ 50 % (p < 0,01 par rapport au témoin exposé de manière fictive) en 2-3 h après l’exposition unique à EHF EMR…

    et que :

    … l’effet a persisté pendant 1 jour après l’exposition, puis l’activité phagocytaire des neutrophiles est revenue à la norme dans les 3 jours.

    Et en plus :

    une modification significative du profil sanguin leucocytaire chez les souris exposées à l’EHF EMR pendant 5 jours a été observée après l’arrêt des expositions : le nombre de leucocytes a augmenté de 44 % (p < 0,05 par rapport aux animaux exposés de manière fictive), principalement en raison d’une augmentation de la teneur en lymphocytes.

    Ils ont conclu que :

    les résultats ont indiqué que l’exposition du corps entier de souris en bonne santé à un EMR EHF de faible intensité a un effet profond sur les indices d’immunité non spécifique.

    Dans un article 62 (écrit par moi-même avec le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska) – qui, je crois, offre l’hypothèse la plus solide à ce jour sur les principaux mécanismes par lesquels les CEM désactivent en fait le système immunitaire – un certain nombre de ces effets sur le système immunitaire sont énumérés dans les citations.

    Johansson (2012) détaille plus en détail, dans la section 8 de la BioInitiative , « Evidence for EMF Effects on the Immune System », 63  de nombreuses études démontrant ces effets, en particulier en ce qui concerne la façon dont les CEM radiofréquences modifient le système immunitaire.

    Dans l’article d’Aljazeera mentionné précédemment 18, il est indiqué qu’une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, le 24 janvier, a trouvé :

    ce qu’il a appelé une « tempête de cytokines » chez les patients infectés qui étaient gravement malades. La condition est une réaction immunitaire sévère dans laquelle le corps produit des cellules immunitaires et des protéines qui peuvent détruire d’autres organes.

    Par conséquent, il convient de noter ici qu’il existe, en fait, de nombreuses études de recherche montrant un effet des CEM sur les cytokines : une recherche PubMed, par exemple, a produit 119 résultats de recherche. 64

    En 1998, un biologiste du nom de Roger Coghill a mené une expérience dans laquelle il « a prélevé des globules blancs, appelés lymphocytes, d’un donneur » et les a maintenus en vie grâce à l’utilisation de nutriments tout en les exposant soit aux radiations d’un téléphone portable, soit au champ électromagnétique naturel du corps humain. Il a découvert que parmi les cellules immunitaires exposées aux radiations des téléphones portables, seulement 13 % restaient intactes et capables de fonctionner correctement ; alors que, parmi les cellules exposées uniquement au champ électromagnétique naturel du corps, 70 % sont restées intactes et capables de fonctionner correctement. Naturellement, bien que ses recherches aient fourni un aperçu, il a été attaqué et critiqué par l’industrie du sans fil pour être « non scientifique ».

    Le Dr Robert O. Becker (1985) a écrit sur la façon dont le système immunitaire est affaibli par les champs électromagnétiques artificiels via l’induction d’un « stress subliminal » :

    Initialement, le stress active le système hormonal et/ou immunitaire à un niveau supérieur à la normale, permettant à l’animal d’échapper au danger et de combattre la maladie. Si le stress persiste, les niveaux d’hormones et la réactivité immunitaire diminuent progressivement pour revenir à la normale. Si vous arrêtez votre expérience à ce stade, vous avez apparemment raison de dire : « L’animal s’est adapté ; le stress ne fait pas de mal. Néanmoins, si les conditions de stress persistent, les niveaux hormonaux et immunitaires diminuent encore, bien en dessous de la normale. En termes médicaux, la décompensation du stress s’est installée et l’animal est désormais plus sensible à d’autres facteurs de stress, notamment la croissance maligne et les maladies infectieuses.

    … Un aspect du syndrome était très déroutant. En subissant ces changements hormonaux, un animal serait normalement conscient que son corps était attaqué, pourtant, pour autant que nous puissions en juger, les lapins ne l’étaient pas. Ils ne montraient aucun signe extérieur de peur, d’agitation ou de maladie. La plupart des humains ne seraient certainement pas capables de détecter un champ magnétique de 100 gauss, du moins pas consciemment. Ce n’est que plusieurs années après les travaux de Friedman que quelqu’un a découvert comment cela se produit.

    En 1976, un groupe dirigé par JJ Noval au Naval Aerospace Medical Research Laboratory de Pensacola, en Floride, a trouvé la réponse lente chez les rats à des champs électriques très faibles, aussi bas que cinq millièmes de volt par centimètre. Ils ont découvert que lorsque de tels champs vibraient dans la gamme ELF, les niveaux du neurotransmetteur acétylcholine dans le tronc cérébral augmentaient, apparemment d’une manière qui activait un signal de détresse de manière subliminale, sans que l’animal ne s’en rende compte. Le plus effrayant était que les champs utilisés par Noval se situaient bien en deçà des niveaux de fond d’un bureau typique, avec son éclairage au plafond, ses machines à écrire, ses ordinateurs et d’autres équipements. Les travailleurs dans un tel environnement sont exposés à des champs électriques compris entre un centième et un dixième de volt par centimètre et des champs magnétiques entre un centième et un dixième de gauss. (p. 277-278)2

    CEM Affaiblissement du système immunitaire

    Il suffit de dire que, même si les mécanismes par lesquels les CEM affaiblissent le système immunitaire sont multiples, il ne fait aucun doute que les CEM peuvent effectivement avoir un effet négatif sur le système immunitaire.

    La 5G est beaucoup plus puissante et dangereuse que ses prédécesseurs

    Le déploiement de la 5G – qu’il s’agisse de la phase d’essai ou de la phase de mise en œuvre – a déjà commencé dans la plupart des grands pays développés du monde, la majorité des autres se préparant apparemment pour ses débuts.

    La Commission européenne a demandé à chaque État membre de sélectionner une ville pour être prête pour la 5G d’ici 2020 dans le cadre du plan d’action 5G de l’UE pour un marché unique numérique. La Commission européenne a demandé aux pays membres de l’UE de commencer à tester la 5G dans au moins une ville pour la préparer à la 5G d’ici 2020 dans le cadre de son « Plan d’action 5G pour un marché unique numérique ».

    La Belgique a refusé – même la phase d’essai, sans parler de la phase de mise en œuvre – en raison des niveaux de rayonnement plus élevés que la 5G apporterait, ce qui était bien au-dessus de ce que ses normes de rayonnement autorisaient. La Suisse a commencé à la fois avec les essais et la mise en œuvre, et il a été dit qu’elle mettait un terme à la poursuite du déploiement, en raison de toutes les plaintes concernant les effets sur la santé qu’elle produisait, mais semble malheureusement continuer le déploiement. D’autres pays ont apparemment simplement abaissé leurs normes probablement parce qu’ils ne pouvaient pas résister à la meilleure chose à côté de la crème glacée Chunky Monkey de Ben & Jerry. Et les États-Unis et la Chine ont apparemment été dans une course 5G pour couvrir leurs pays de ce rayonnement 5G (et très probablement par inadvertance du coronavirus), la Chine semblant maintenant gagner sur ces deux fronts.

    La 5G a été divisée en bandes passantes faible, moyenne et élevée. Les fréquences de bande passante faible à moyenne « sont contiguës et vont de 600 MHz à 6 GHz » 66 et ont été utilisées pour la 1G-4G au cours des quarante dernières années. D’autre part, les bandes passantes d’ondes millimétriques à plus haute fréquence sont de nouvelles fréquences commençant à environ 24 GHz (aux États-Unis en tout cas), et n’ont pas été utilisées pour les services commerciaux de téléphonie cellulaire aux États-Unis jusqu’à récemment, avec l’arrivée de ces services commerciaux 5G.

    Pour l’essentiel, à l’heure actuelle, la plupart des 5G se situent désormais dans la plage de bande passante faible à moyenne, avec une couverture limitée en ondes millimétriques élevées, bien que cela changera probablement au fur et à mesure que la technologie se développera et sera mise en œuvre. En outre, la technologie 5G est mise en œuvre parallèlement à la technologie 4G déjà en place. La technologie 5G apporte à la fois des macrostations de base plus grandes et des microstations de base plus petites installées entre les plus grandes stations de macro-base. Et parce que ces microstations de base sont souvent plus proches des maisons des gens dans les zones résidentielles, selon Oram Miller, spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment (EMRS) :

    nous mesurons maintenant des niveaux RF plus élevés dans les maisons des clients, en particulier dans les chambres du deuxième étage (lisez l’article de Lloyd sur les CEM dans les chambres), jusqu’à des dizaines à des centaines de milliers de microWatts/mètre carré (uW/m2) à partir de ces nouvelles antennes,

    tandis que :

    la profession de la biologie du bâtiment et les experts EMF du monde entier affirment que 10 microwatts par mètre carré ou moins sont sans danger pour les zones de couchage (en fait, 0,1 uW/m2 est notre niveau « aucune anomalie » pour les zones de couchage). Voici une liste d’experts EMF .

    De plus, alors que nous avons augmenté le spectre de 1G à 5G, à chaque nouvelle génération, il y a eu une modulation accrue, et une modulation accrue signifie des effets biologiques accrus et des dommages biologiques pour toute la vie sur cette planète. La 5G ne fait pas exception. Oram Miller continue d’expliquer :

    Toutes ces technologies avancées envoient plus de signaux cellulaires dans le même espace aérien à des vitesses plus rapides avec beaucoup plus de modulation que les technologies cellulaires 4G actuelles.

    Et…

    Cette modulation des signaux cellulaires transmis dans les bandes basses et moyennes par les nouvelles petites radios et antennes 5G et 4G LTE-Advanced apparaissant partout représente probablement la majorité des personnes vivant à proximité de ces antennes qui signalent l’apparition de symptômes de santé jamais ressentis auparavant.

    Dr Martin Pall, Ph.D. (Professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales, Washington State University), – qui a attiré l’attention du monde sur le fait que les CEM causent des dommages biologiques via l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants (VGCC), permettant un flux excessif d’ions calcium à l’intérieur de la cellule et l’incitation à la production d’oxyde nitrique (NO) via la stimulation de l’enzyme oxyde nitrique synthase pour former une multitude d’espèces réactives de l’oxygène via des effets en aval 67 – a averti que le déploiement de la 5G aurait des effets délétères massifs sur la population mondiale , sans parler de toutes les formes de vie. Il pense que la 5G sera beaucoup plus dangereuse pour les raisons suivantes :

    1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
    2. Les rendements énergétiques très élevés qui seront utilisés pour assurer la pénétration.
    3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
    4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés du capteur de tension. 68

    Dans un article récent intitulé « Massive Predicted Effects of 5G » (17 décembre 2019), 69 Pall déclare que « étant donné le niveau de pulsation élevé pour le rayonnement 5G, même de courtes expositions peuvent bien produire des effets biologiques graves », sans parler des densités de puissance jusqu’à 30 fois plus élevées que les systèmes précédents de 1G à 4G et avec une pénétration améliorée via le composant magnétique. Il prédit qu’avec l’activation à part entière de la 5G (par rapport à sa phase d’essai, où il y a encore peu de communication avec la 5G), nous verrons :

    • (1) une diminution de la reproduction humaine,
    • (2) une diminution du cerveau collectif fonctionnelle,
    • (3) une maladie d’Alzheimer à début très précoce,
    • (4) une augmentation de l’autisme et du TDAH,
    • (5) une détérioration du patrimoine génétique humain et
    • (6) une augmentation massive des arrêts cardiaques.

    Tout en suivant le déploiement de la 5G, il a suivi de nombreux signes de ses effets biologiques. Par exemple, il a décrit l’augmentation des effets neuropsychiatriques, des effets cardiaques et de l’hypersensibilité électromagnétique, tirée d’articles en ligne suisses, 70 71 comme ce que nous commençons déjà à voir avec l’avènement de cette technologie :
    • Augmentation de l’insomnie, des acouphènes, des maux de tête, incapacité à se concentrer et fatigue.
    • Augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique (EHS).
    • Augmentation des arythmies cardiaques.

    Il rapporte que bien que ces effets aient été signalés auparavant avec des études d’exposition professionnelle et des études sur les compteurs intelligents, « les effets semblent être beaucoup plus graves après [le déploiement de] la 5G  » avec « une apparence encore plus grave [à publier] 5G neuropsychiatrique. effets [apparaissant] dans le sud de la Californie », avec leur propre déploiement massif récent de la 5G.

    En outre, il déclare que « nous avons toutes les raisons de croire que tout système 5G à part entière, communiquant avec ‘l’internet des objets’, produira des effets encore bien plus importants que n’importe laquelle de ces découvertes initiales. » Cela pourrait très bien être ce que nous voyons dans la ville de Wenzhou, dans la province du Zhejiang, en Chine – qui a déjà mis en œuvre cette technologie avec la 5G – avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, et qui sait quelles autres augmentations des effets sur la santé (par exemple, augmentation des problèmes cardiaques, de la cécité, de l’hypersensibilité électromagnétique, etc.) il y a eu qui n’ont pas été rendus publics ?

    Il explique plus en détail – en corrélation avec les tests 5G – les suicides des services d’ambulance 5G au Royaume-Uni, 72 les cas de panique chez les bovins aux Pays-Bas, 73 et les comportements bizarres et agressifs chez les bovins et les moutons en Allemagne, 74 les malformations congénitales en Allemagne et en France, 75 76 et des centaines d’oiseaux tombant du ciel en raison d’un arrêt cardiaque soudain pendant trois jours de tests 5G dans un parc près de Rotterdam, 77 et la liste s’allonge encore et inclut également la mort d’insectes et l’augmentation des incendies en Corée du Sud. 78 79

    (Voir aussi l’article sur la 5G est-elle dangereuse ? )

    [Voir aussi :
    Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
    « Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

    La 5G pourrait-elle rendre le coronavirus plus virulent ?

    Lorsque nous regardons la vidéo suivante, il devient évident que les formes de vie plus petites comme les insectes sont en effet plus sensibles à ce rayonnement micro-ondes sans fil, cet exemple clair ne provenant que du radar :

    Cette photo montre des pucerons sur la feuille d’un oranger. Peu de temps après l’installation du radar dans un aéroport voisin il y a quelques années, j’ai remarqué que toutes les quelques secondes, tous les pucerons se tendaient à l’unisson et faisaient une sorte de petite danse, comme vous le voyez sur la photo. Après une enquête plus approfondie, j’ai trouvé que l’intervalle de temps entre l’activité de chaque danse, coïncidait exactement avec la rotation du dispositif de rotor de radar à l’aéroport, qui était une distance d’environ quatorze milles.

    Dans la vidéo suivante, le Dr Dietrich Klinghardt parle d’une expérience au cours de laquelle des moisissures exposées aux CEM ont proliféré :

    Je vais maintenant faire le lien avec les champs électromagnétiques. Un médecin suisse que je connais et qui est l’un des principaux chercheurs européens dans le domaine des moisissures a réalisé une belle expérience. Il a fait pousser des cultures de moisissures sous une cage de Faraday ressemblant simplement à un manteau d’argent, qui ressemble à une moustiquaire, faite d’un tissu recouvert d’argent. Il l’a drapé sur la culture de moisissures. Et il a mesuré combien de mycotoxines, combien de toxines, sont produites par ces moisissures sur une base quotidienne. Très facile à faire. Puis il a soulevé la moustiquaire et a exposé la culture de moisissures aux radiations électromagnétiques ambiantes de son laboratoire, causées par les lumières allumées, par l’ordinateur dans le coin, et surtout, comme il l’a découvert plus tard, par les radiations ambiantes des téléphones portables, provenant de la tour de téléphonie mobile voisine qui diffusait des radiations de téléphones portables. Il a découvert que la production de biotoxines dans cette culture a été multipliée par plus de 600. Non seulement la moisissure a soudainement produit beaucoup plus de mycotoxines pour se protéger, mais aussi des mycotoxines beaucoup plus virulentes, beaucoup plus vicieuses, plus toxiques. Et j’ai pris cette expérience comme une grosse ampoule qui s’est allumée pour moi…..

    Et si le même genre de chose se produisait avec le rayonnement 5G et le coronavirus ? Pall (2020) énumère dans une version plus récente de son article 80 (précédemment mentionné) un certain nombre d’études qui en fait soutiennent fortement cette théorie.

    La question qui est soulevée ici n’est pas de savoir si la 5G est responsable du virus, mais plutôt si le rayonnement 5G, agissant via l’activation du VGCC, peut exacerber la réplication virale ou la propagation ou la létalité de la maladie.

    Revenons en arrière et examinons l’histoire récente de la 5G à Wuhan afin d’avoir une certaine perspective sur ces questions. Un article d’Asia Times, daté du 12 février 2019, a déclaré qu’il y avait 31 stations de base 5G différentes (c’est-à-dire des antennes) à Wuhan à la fin de 2018.
    Des plans ont été élaborés plus tard, de sorte qu’environ 10 000 antennes 5G seraient en place au fin 2019, la plupart d’entre eux étant équipés de lampadaires intelligents à LED 5G.
    Le premier lampadaire intelligent de ce type a été mis en place le 14 mai 2019, mais un grand nombre n’a commencé à être mis en place qu’en octobre 2019, de sorte qu’il y a eu un rythme effréné d’un tel placement au cours des 2 derniers mois et demi de 2019.

    Ces résultats montrent que le rythme rapide de l’épidémie de coronavirus s’est développé au moins à peu près à mesure que le nombre d’antennes 5G est devenu extraordinairement élevé. Nous avons donc cette découverte que la première ville intelligente et autoroute intelligente 5G de Chine est l’épicentre de cette épidémie et cette découverte que l’épidémie n’est devenue rapidement plus grave que lorsque le nombre d’antennes 5G a monté en flèche.

    Ces résultats sont-ils une coïncidence ou la 5G a-t-elle un rôle causal dans l’exacerbation de l’épidémie de coronavirus ? Afin de répondre à cette question, nous devons déterminer si les effets en aval de l’activation de VGCC exacerbent la réplication virale, les effets de l’infection virale, en particulier ceux qui ont un rôle dans la propagation du virus et également le mécanisme par lequel ce coronavirus provoque la mort. . Ainsi, la réplication de l’ARN viral est stimulée par le stress oxydatif : J Mol Biol. 28 novembre 2008 ; 383 (5) : 1081-96. Modes d’oligomérisation variables dans la protéine non structurale du coronavirus 9. Ponnusamy R, Moll R, Weimar T, Mesters JR, Hilgenfeld R.

    D’autres aspects de la réplication virale, y compris ceux impliqués dans la propagation du virus, sont stimulés par l’augmentation du calcium intracellulaire [Ca2+]i, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose, chacun étant augmenté après l’exposition aux CEM. La première citation ci-dessous montre un rôle important de l’activation de VGCC dans la stimulation de l’infection à coronavirus.

    • Virologie. 2 janvier 2020 ; 539 : 38-48. Le deltacoronavirus porcin (PDCoV) module l’afflux de calcium pour favoriser la réplication virale. Bai D, et al.
    • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
    • Calcium cellulaire. 2018 novembre ; 75:30-41. La signalisation Ca2+ dépendante du NAADP régule la translocation du pseudovirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient-coronavirus à travers le système endolysosomal. Gunaratne GS, et al.
    • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
    • Protéome Sci. 8 mars 2011; 9:11. Analyse protéomique de la trachée embryonnaire de poulet et des tissus rénaux après infection in ovo par le coronavirus de la bronchite infectieuse aviaire. Cao Z, et al.
    • Res Vet Sci. Juin 2015 ; 100 : 12-7. Biomarqueurs sériques du stress oxydatif chez les chats atteints de péritonite infectieuse féline. Tecles F, et al.
    • J Infecter Dis. 15 mars 2008;197(6):812-6. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase augmente l’infection par le coronavirus humain. Wu YH et al.
    • J Virol. Juin 1998 ; 72(6) : 4918-24. Le coronavirus de gastro-entérite transmissible induit la mort cellulaire programmée dans les cellules infectées par une voie dépendante de la caspase. Eleouet JF, et al.

    La principale cause de décès par ce coronavirus est la pneumonie. La pneumonie est fortement exacerbée par chacun de ces cinq effets en aval de l’activation du VGCC, le calcium intracellulaire excessif, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La première des citations énumérées ci-dessous montre que les inhibiteurs calciques, le même type de médicaments qui bloquent les effets des CEM, sont utiles dans le traitement de la pneumonie. Cela prédit que les CEM, agissant via l’activation du VGCC, produiront une pneumonie de plus en plus grave et que le rayonnement 5G ainsi que d’autres types de CEM pourraient bien augmenter les décès par pneumonie.

    • Zheng et al. 2016 Utilisation avant l’admission d’inhibiteurs calciques et résultats après une hospitalisation pour pneumonie : étude de cohorte rétrospective correspondant à la propension. Suis J Ther. 2017 janv/fév;24(1):e30-e38.
    • Fang et al. 2017 Activation de la calpaïne dépendante de la pneumolysine et sécrétion d’interleukine-1α dans les macrophages infectés par Streptococcus pneumoniae. Infecter Immun. 18 août 2017 ; 85(9). pii : e00201-17.
    • Fettel et al. 2019 La sphingosine-1-phosphate (S1P) induit de puissants effets anti-inflammatoires in vitro et in vivo par la suppression de l’activité 5-lipoxygénase médiée par le récepteur S1P 4. FASEB J. 2019 fév;33(2):1711-1726.
    • Liu et Shi. 2019 Régulateur du canal chlorure activé par le calcium 1 (CLCA1) : Plus qu’un régulateur du transport du chlorure et de la production de mucus. World Allergy Organ J. 2019 Nov 29;12 (11):100077.
    • Sci Rep. 2018 Oct 18;8 (1):15393. La protéine tensioactive D atténue les lésions pulmonaires et rénales aiguës dans la septicémie induite par la pneumonie en modulant l’apoptose, l’inflammation et la signalisation NF-κB. Du J, et al.
    • Curr Neurovasc Res. 28 janvier 2020. Le microARN (miR)-429 favorise les lésions inflammatoires en ciblant le facteur 4 de type kruppel (KLF4) dans la pneumonie néonatale. Zhang L, et al.
    • Science de la vie. 1er juillet 2019 ; 228 : 189-197. L’ARN long non codant SNHG16 cible miR-146a-5p/CCL5 pour réguler l’apoptose et l’inflammation des cellules WI-38 induites par le LPS dans la pneumonie aiguë. Zhou Z, et al.

    Tous soutiennent que le rayonnement 5G est susceptible d’exacerber considérablement la propagation du coronavirus et d’augmenter considérablement la létalité des infections qu’il produit. La bonne nouvelle est qu’il est probable que ceux d’entre nous qui vivent dans des zones sans rayonnement 5G et qui évitent les autres CEM dans la mesure du possible échapperont probablement à une grande partie des impacts de cette future pandémie mondiale.

    Il est fort probable que l’une des meilleures choses que Wuhan puisse faire pour contrôler l’épidémie dans la ville soit de désactiver le système 4G/5G.

    [Note de Joseph : de nombreux articles du dossier Vaccins et virus concourent à démontrer que la virologie n’est pas une science, mais ressemble plutôt à une religion, et que la théorie virale est fallacieuse, voire frauduleuse. Il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de virus pathogènes qui seraient responsables de maladies prétendument virales. Et les apparentes contagions proviennent le plus souvent de l’exposition à une cause toxique commune, comme ici la 5G. Les rares cas d’épidémies apparentes inexplicables par une cause commune peuvent provenir du mécanisme exposé dans l’article Communication entre organismes vivants par biophotons.
    Voir aussi :
    Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G,
    Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
    et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques (sachant que le corps est très majoritairement composé d’eau).]

    Agences capturées et détournement de la science

    Et vous pourriez vous demander : « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce problème ? » ou vous pourriez vous dire que « les autorités ont certainement à cœur nos meilleurs intérêts lorsqu’elles prennent ce genre de décisions ».
    Eh bien, dans une récente critique de livre 81 du livre Triumph of Doubt (de David Michaels, 2020), Kathleen Rest, directrice exécutive, Union of Concerned Scientists (UCS), (14 février 2020) décrit comment la tromperie est utilisée pour fabriquer le doute et l’incertitude dans les manuels de relations publiques de nombreuses industries :

    • Attaquer la science. Cette boîte à outils contient de nombreux outils : commander de nouvelles études [prétendument] « scientifiques » pour réanalyser les données existantes avec des méthodologies biaisées vers des résultats prédéterminés ; passer en revue la littérature et les évaluations des risques pour remettre en question le poids de la preuve; publier ces revues et réanalyses dans des revues scientifiques sélectionnées ; magasiner et embaucher des experts dits « indépendants » pour remettre en question la science ; fournir des extraits sonores savoureux et à contre-courant pour les médias et la consommation publique ; et plus.
    • Créer et déployer des groupes de façade aux noms anodins pour saper la science, influencer l’opinion publique et accéder aux décideurs politiques tout en maintenant l’illusion d’indépendance.
    • Harceler et intimider les scientifiques indépendants dont la recherche démontre ou suggère un préjudice. Ou bien, privilégiez les institutions universitaires et les scientifiques en leur fournissant une forme de soutien financier tout en vernissant leur image d’intérêt public.
    • Submerger les organismes de réglementation de commentaires sur les réglementations proposées.
    • Utiliser leur argent, leur pouvoir et leur accès démesurés pour influencer les actions/inactions des décideurs politiques élus et des responsables des agences. (Oh, et il y a aussi cette porte tournante bien huilée. Il suffit de regarder combien de dirigeants d’agences et de décideurs de l’administration Trump viennent directement des industries qu’ils sont maintenant censés réglementer.)

    Une autre tactique que j’ai remarquée est que ces personnes semblent utiliser est d’inscrire leur matériel sur une liste de discussion pour faire des déclarations complètement farfelues afin que les médias couvrent l’affaire et essaient de faire passer toutes les personnes impliquées pour des fous furieux, ce qu’un public peu méfiant est prompt à consommer et à croire. C’est ce qui semble se passer actuellement avec cette question. En savoir plus sur la dissimulation des CEM.

    Certes, la façon dont les gouvernements et les entreprises occidentaux manipulent l’opinion publique est différente de la façon dont cela pourrait être fait en Chine, car dans ce dernier cas, il existe un contrôle gouvernemental strict (par exemple un pare-feu Internet) sur ce qui est autorisé et non autorisé à être consulté sur Internet, etc. Par conséquent, ils n’auront peut-être pas vraiment besoin d’utiliser le manuel ci-dessus et c’est peut-être la raison pour laquelle ils ont pu agir si rapidement pour mettre en œuvre cette technologie. Mais à quel prix ?

    « Tout doit être pris en compte.
    Si le fait ne correspond pas à la théorie – laissez tomber la théorie… Les vraies preuves sont généralement vagues et insatisfaisantes. Elles doivent être examinées, passées au crible. »

    Agatha Christie

    Comme le dit Agatha Christie, « Tout doit être pris en compte ». Ignorer – en particulier ignorer volontairement – tous les facteurs de causalité très possibles – en particulier les champs électromagnétiques – à mon humble avis, n’est tout simplement pas une bonne science, si vous pouvez appeler cela de la science.

    Selon le Dr Martin Pall, Ph.D. :

    L’échec des « directives de sécurité » à prédire les effets biologiques et donc la sécurité signifie que ce ne sont pas des directives de sécurité. Par conséquent, toute affirmation de sécurité faite par l’industrie des télécommunications de plusieurs milliards d’euros sur la base de ces « directives de sécurité » est tout simplement frauduleuse.

    Ces échecs des « consignes de sécurité » doivent être considérés au regard du principe qui est au cœur de la méthode scientifique. Ce principe est que lorsque nous avons une théorie scientifique et que nous testons les prédictions de cette théorie et que les prédictions de la théorie se révèlent fausses, alors nous devons rejeter la théorie. Il s’ensuit que lorsque nous avons huit résultats très répétés dont chacun montre que les « directives de sécurité » ne prédisent pas d’effets biologiques et ne prédisent donc pas la sécurité, c’est une exigence scientifique que les « directives de sécurité » soient rejetées. L’échec de l’ICNIRP, de la Commission européenne et de divers organismes de réglementation à rejeter les « directives de sécurité » montre clairement que leurs actions sont à la fois non scientifiques et anti-scientifiques. 65

    « Vous n’avez pas droit à votre opinion. Vous avez droit à votre opinion éclairée. Personne n’a le droit d’être ignorant. »

    Harlan Ellison

    Femme pensant

    Et quiconque souhaite avoir un aperçu de la façon dont – ce qui est perçu comme la vache sacrée des organisations internationales de santé – l’OMS a été indûment influencée par l’industrie, ils n’ont pas besoin de chercher plus loin que l’oncologue et professeur suédois, l’article du Dr Lennart Hardell, « World Organisation de la santé, rayonnement radiofréquence et santé – un problème difficile à résoudre (Revue). » 82

    Que pouvez-vous faire pour vous protéger ?

    Étant donné que, par conséquent, les effets des CEM agissent via l’activation des VGCC avec une augmentation résultante des ions calcium à l’intérieur de la cellule stimulant l’oxyde nitrique synthase pour produire plus d’oxyde nitrique conduisant en aval à la création de radicaux libres (aka espèces réactives de l’oxygène), il est important à, tout d’abord, limiter autant que possible les expositions aux CEM. Comme le recommande Oram Miller :

    Réduisez l’utilisation, augmentez la distance et privilégiez les connexions filaires chaque fois que possible. Vous pouvez mettre votre téléphone portable en mode avion, en vous assurant que le Wi-Fi et le Bluetooth sont désactivés en mode avion, et effectuer la plupart des fonctions de votre téléphone portable sur un appareil câblé différent à l’intérieur de votre maison. Cela inclut les conversations, les SMS, les e-mails, le streaming audio et vidéo et l’utilisation de diverses applications. 66 Apprenez-en plus sur la  radioprotection Bluetooth, WiFi et  des téléphones portables ici.

    Deuxièmement, embauchez un spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment pour vous aider à mesurer puis à réduire les CEM dans la maison, par exemple, en protégeant votre maison et votre chambre pour bloquer les RF nuisibles à la santé, éliminant ainsi toute erreur de câblage dans la maison pour réduire les champs magnétiques et réduire les sources d’électricité sale. Lisez à propos des champs électromagnétiques sur le câblage ici.

    [Voir les liens dans le dossier 5G et ondes pulsées]

    Troisièmement, je dirais que la mise en œuvre de ce que j’ai surnommé « Le programme de régime et de suppléments radioprotecteurs ™ » est essentielle.

    Il y a deux suppléments principaux que j’ai utilisés au fil des ans qui ont considérablement réduit ma propre sensibilité aux champs électromagnétiques et ce sont (1) le magnésium, car il agit comme un bloqueur naturel du VGCC, en ce qu’il empêche le calcium de pénétrer dans la cellule, et (2) L-lysine, un acide aminé essentiel, qui agit pour calmer la production d’oxyde nitrique (NO), (alors que l’acide aminé arginine est nécessaire à l’oxyde nitrique synthase pour stimuler la production de NO). En savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la sensibilité électrique ici.

    La L-lysine présente l’avantage supplémentaire d’agir de la même manière que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) en ce sens qu’elle se lie aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau pour augmenter les niveaux de sérotonine. Prendre ces deux suppléments avant de se coucher devrait également vous aider à mieux dormir.

    « Le programme de régime et de supplément radioprotecteur ™ » est essentiellement :

    • (1) un stimulant du système immunitaire,
    • (2) un anti-inflammatoire,
    • (3) un détoxifiant et
    • (4) un anti-radicaux libres. 

    Par conséquent, il se compose d’aliments et de suppléments qui soutiennent ces processus dans le corps. Voici un article sur la protection contre les CEM et la nourriture que vous mangez.

    Cela impliquerait de prendre, par exemple :

    • de la poudre de lactosérum biologique dénaturée pour augmenter les niveaux de glutathion (le super antioxydant du corps), qui non seulement atténue les radicaux libres, mais aide également à renforcer le système immunitaire et la détoxification, ainsi que des facteurs de transfert ciblés qui renforcent le système immunitaire en augmentant les cellules tueuses naturelles ;
    • anti-inflammatoires comme le gingembre et le curcuma ;
    • aliments détoxifiants comme les oignons, l’ail et le brocoli ;
    • et les fruits et légumes riches en antioxydants ;
    • sans parler des aliments qui reconstituent les hormones et les neurotransmetteurs perdus du fait de l’exposition aux CEM comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine, l’acide gamma amino butyrique (GABA) et la phényléthylamine (PEA) qui comprennent les bananes (tryptophane), l’ananas (sérotonine), les noix de cajou (sérotonine ), jus de cerise acidulée (mélatonine), lait de riz germé (GABA) et chocolat (PEA).

    Un autre supplément que je trouve essentiel pour renforcer le système immunitaire, stimuler la détoxification et guérir les intestins qui fuient (et probablement d’autres barrières qui fuient) sont les minéraux humiques.

    Il y a eu un certain nombre de publications sur des sites Web de médias sociaux recommandant des herbes et des suppléments censés être efficaces contre le coronavirus. Par exemple, Ty Bolinger énumère un certain nombre de suppléments et d’herbes que l’on peut prendre dans un article qu’il a publié sur son site Web, la vérité sur le cancer, intitulé « Coronavirus : The Good, the Bad, and the Answers ». 83 Et Doris Loh explique pourquoi la prise de vitamine C protégera et renforcera votre système immunitaire dans deux de ses articles. 84 85 Je sais d’après des recherches antérieures que les CEM et les virus épuisent les réserves de vitamine C, donc en compléter semble être une très bonne idée.

    Enfin, je dirais que vous exposer à des CEM bénéfiques via la mise à la terre, et également en utilisant une machine CEMP. Personnellement, j’en utilise un qui a pour moi, je pense, (1) stimule le processus de guérison, (2) réduit l’inflammation et (3) renforce mon système immunitaire. Si cette dernière solution vous intéresse, contactez-moi à EMF Refugee .

    Conclusion

    La Chine est un grand pays avec une population incroyable qui a fait des progrès étonnants en créant un pays moderne très sophistiqué au cours des dix dernières années, surpassant de nombreux autres pays modernes à bien des égards. Cependant, étant donné les faits que :

    1. nous avons des données réelles qui montrent en effet que le rayonnement sans fil a un impact sur le système immunitaire ;
    2. nous avons de nombreux patients en dehors de la zone 5G ne présentant aucun ou seulement des symptômes légers,
    3. il y a eu récemment 10 000 antennes 5G installées et allumées à Wuhan, sans parler de 130 000 antennes 5G installées dans toute la grande Chine ;
    4. des systèmes 5G ont récemment été installés dans de nombreux hôpitaux en Chine, sans parler des nouveaux hôpitaux COVID-19 ;
    5. nous constatons un nombre plus élevé d’infections au COVID-19 dans des endroits comme Hangzhou et Wenzhou, sans parler de la Corée du Sud, etc. où ils ont également récemment installé de nombreuses antennes 5G ; et
    6. aucun test n’a été effectué pour déterminer les implications biologiques de l’exposition de formes de vie à ce rayonnement ;

    nous pouvons conclure que le vrai problème ici pourrait très bien être avec le rayonnement électromagnétique 5G qui affaiblit le système immunitaire des gens, sans parler de rendre éventuellement le virus lui-même plus virulent. Et si cela est vrai et si la Chine ne change pas de cap, la 5G pourrait très bien devenir son – et le reste du Titanic du monde – avec le COVID-19 (et d’autres comme lui) ses icebergs.

    C’est peut-être ce dont les gens doivent vraiment commencer à s’inquiéter et il est peut-être temps pour le gouvernement chinois, ainsi que les gouvernements du monde entier d’enquêter sérieusement et de traiter les effets possibles de la 5G sur la santé et de mettre un terme au déploiement prématuré de la technologie 5G jusqu’à ce qu’on puisse prouver qu’elle est sûre (ce dont je doute qu’on puisse faire) et jusqu’à ce que des alternatives plus sûres puissent être développées.

    Le gouvernement belge ne l’a jamais mis en œuvre [en date de fin février 2020] et il a été question que le gouvernement suisse suspende le déploiement de la 5G, 87 mais ils semblent maintenant aller de l’avant. 88 Et il semble que, à moins que les gens ne s’en rendent compte, la Chine suivra certainement une voie similaire.

    Je suis désolé de devoir gâcher votre défilé électromagnétique ici, mais il se pourrait bien que ce soit votre 5G qui contribue à rendre tout le monde malade.

    « Les seules personnes en colère contre vous pour avoir dit la vérité, sont celles qui vivent dans le mensonge.
    Continuez à la dire. »

    Inconnu

    « Toute vérité passe par trois étapes : Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, il est violemment opposé. Troisièmement, il est accepté comme allant de soi. »

    Arthur Schopenhauer
    [NDLR Cette citation est en fait apocryphe.]

    Un grand merci à Paul Doyon pour ce billet d’invité.

    [À propos de l’auteur]

    Paul Raymond Doyon

    Paul Doyon est un chercheur, écrivain, enseignant et éducateur de 33 ans, qui s’est impliqué par inadvertance dans des recherches sur la question des CEM après être tombé malade en 2005, alors qu’il vivait à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire. Il a passé 27 ans de sa vie adulte à vivre en dehors de son pays d’origine, les États-Unis, à enseigner l’anglais comme langue étrangère (EFL) et l’anglais comme langue seconde (ESL), principalement à l’université, au collège et dans les écoles internationales.
    Paul est praticien en biologie du bâtiment (BBP) et spécialiste des rayonnements électromagnétiques (EMRS) à l’  Institut international de biologie et d’écologie du bâtiment (IBE). Il est également le fondateur du site  EMF Refugee .





    Comment le CDC ment sur la sécurité de l’aluminium dans les vaccins

    [Source : jeremyrhammond.com]

    Par Jeremy R. Hammond — 8 décembre 2022

    [Traduction : Jean Bitterlin]

    L’affirmation du CDC selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par son programme de vaccination est « sûre » équivaut à une fraude scientifique.

    Sommaire :

    1. Introduction
    2. Les raisons de la présence de l’adjuvant aluminium
    3. Absence de groupes témoins placebo et « effets non spécifiques » des vaccins
    4. La « limite de sécurité » de la FDA pour l’exposition à l’aluminium par rapport au calendrier des vaccins
    5. Le « niveau de risque minimal » falsifié de la FDA pour l’aluminium
    6. Aluminium injecté comparé à l’aluminium ingéré
    7. Ignorer la toxicité des particules d’aluminium
    8. Conclusion

    1. Introduction

    L’une des préoccupations légitimes qu’ont de nombreux parents au sujet de l’adhésion au programme de vaccination systématique des enfants recommandé par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) est que de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium, qui est utilisé comme « adjuvant ».

    Sur une page de son site web titré Adjuvants and Vaccines, le CDC explique les raisons de la présence de l’aluminium en disant, « Un adjuvant est un ingrédient utilisé dans certains vaccins qui permet d’obtenir une réponse immunitaire plus forte chez les personnes recevant le vaccin. En d’autres mots, les adjuvants permettent aux vaccins de mieux fonctionner.

    Pour rassurer le public, le CDC déclare que « les sels d’aluminium, tels que l’hydroxyde d’aluminium, le phosphate d’aluminium et le sulfate d’aluminium ont été utilisés en toute sécurité depuis plus de 70 ans ». Le CDC dit que les vaccins qui contiennent de l’aluminium « sont testés pour la sécurité et l’efficacité dans des essais cliniques avant qu’ils ne soient autorisés à être utilisés aux États-Unis » et qu’ils sont « surveillés en permanence par le CDC et la FDA une fois qu’ils ont été approuvés ».

    La page a été récemment mise à jour pour tenir compte du fait qu’une étude du CDC publiée en septembre 2022 a révélé « une association positive entre l’aluminium cumulé associé aux vaccins avant l’âge de 24 mois et l’asthme persistant entre l’âge de 24 et 59 mois chez les enfants avec et sans eczéma ». Pour les enfants atteints d’eczéma, le résultat était une augmentation de 26 % du risque d’asthme pour chaque tranche de 1 000 microgrammes (NdT :1 millième de gramme) d’aluminium reçu par vaccination.

    Cependant, le CDC minimise ces résultats en décrivant l’étude comme ayant trouvé une association « possible », même si le risque accru d’asthme chez les enfants avec et sans eczéma était statistiquement significatif et que les auteurs de l’étude eux-mêmes reconnaissent qu’une « association positive » a été trouvée. Le CDC décrit en outre l’association entre les vaccins contenant de l’aluminium et un risque accru d’asthme comme un simple signal de sécurité « potentiel », plutôt que de reconnaître qu’il s’agit d’un signal de sécurité existant.

    Minimisant ainsi le risque accru d’asthme associé à l’exposition à l’aluminium des vaccins, le CDC persiste dans sa politique et dans son affirmation de longue date selon laquelle « la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme ».

    « Des recherches scientifiques antérieures ont montré que la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme. »

    Pour étayer son affirmation selon laquelle les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés dans le cadre du programme de vaccination systématique des enfants sont « faibles » et que l’aluminium est facilement éliminé de l’organisme sans provoquer d’effets toxiques, le CDC cite une étude réalisée par des chercheurs de la Food and Drug Administration (FDA). Cette étude, menée par Robert J. Mitkus et coll. et publiée dans la revue Vaccine en 2011, est intitulée « Updated aluminum pharmacokinetics following infant exposures through diet and vaccination » (Mise à jour de la pharmacocinétique de l’aluminium après l’exposition des nourrissons par l’alimentation et la vaccination).

    La FDA cite également l’étude de Mitkus et coll. comme ayant montré que :

    « Le risque pour les nourrissons induit par l’exposition totale à l’aluminium reçue de toute la série recommandée de vaccins infantiles au cours de la première année de vie est extrêmement faible ».

    Cependant, cette étude ne soutient pas les affirmations du gouvernement sur la sécurité des vaccins. En effet, les affirmations des CDC et de la FDA servent à illustrer le manque total de fiabilité de l’establishment de « santé publique ».

    En réalité, l’aluminium est une neurotoxine connue qui s’accumule dans les tissus et les organes, y compris le cerveau, et qui cause vraisemblablement des dommages neurologiques aux enfants aux niveaux cumulatifs auxquels les enfants sont exposés par le calendrier de vaccination systématique des enfants du CDC.

    Les inquiétudes concernant les effets toxiques potentiels sur les enfants ont été soulevées dans la littérature médicale, mais le CDC sélectionne les données pour soutenir ses politiques, comme l’illustre la façon dont il cite l’étude de la FDA tout en ignorant délibérément d’autres recherches démontrant les graves erreurs commises par Mitkus et coll. dans leur analyse.

    En effet, le fait que ces agences de « santé publique » s’appuient sur l’étude de la FDA pour prouver que l’aluminium contenu dans les vaccins est « sûr » relève de la fraude scientifique pure et simple.

    2. Les raisons de la présence de l’adjuvant aluminium

    Comme nous l’avons vu, le CDC indique que l’objectif d’un adjuvant est d’aider les vaccins à « mieux fonctionner » en créant « une réponse immunitaire plus forte ».

    Ce que le CDC veut dire, c’est que l’ajout d’un adjuvant fait en sorte que le vaccin suscite une réponse immunitaire plus inflammatoire (elicit a more inflammatory immune response), ce qui entraîne l’induction d’un niveau plus élevé d’anticorps circulants (induction of a higher level of circulating antibodies). Cela permet ensuite aux sociétés pharmaceutiques d’obtenir le niveau d’anticorps requis par la FDA pour être considéré comme suffisamment immunogène et donc pour obtenir l’homologation de leurs produits.

    Par exemple, dans son document « Summary Basis of Approval (Résumé des motifs d’approbation) » de 1997 pour le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche acellulaire (DTaP) de GlaxoSmithKline, vendu sous le nom commercial Infanrix et comprenant 0,5 milligramme (mg) — ou 500 microgrammes (μg) — d’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant, la FDA a noté que :

    En l’absence d’un corrélat de laboratoire ou sérologique de protection contre la coqueluche, il a été demandé au promoteur de démontrer que les réponses en anticorps aux antigènes coquelucheux chez les enfants américains recevant Infanrix en série primaire de trois doses étaient comparables aux réponses des enfants italiens et allemands immunisés dans les études d’efficacité.

    La FDA a souligné une nouvelle fois qu’aucun des tests utilisés pour la mesure des anticorps « n’a montré de corrélation avec la protection » contre la coqueluche. La notice actuelle d’Infanrix (package insert) indique également « qu’un corrélat sérologique de protection contre la coqueluche n’a pas été établi », ce qui signifie qu’il n’existe aucun niveau spécifique d’anticorps dont la corrélation avec la protection immunitaire contre la maladie a été démontrée.

    Selon l’agent pathogène et l’individu, avoir un niveau élevé d’anticorps ne signifie pas nécessairement que la personne est protégée contre la maladie, et avoir un faible niveau d’anticorps ne signifie pas nécessairement que la personne n’est pas immunisée. La FDA a néanmoins accepté les mesures du taux d’anticorps comme mesure de substitution de l’immunité (a surrogate measure of immunity) aux fins de l’homologation des vaccins.

    3. Absence de groupes témoins placebo et « effets non spécifiques » des vaccins

    Pour rassurer le public, le CDC déclare que les adjuvants à base d’aluminium ont été utilisés « en toute sécurité » dans les vaccins depuis plus de 70 ans. Mais cette déclaration est pratiquement dénuée de sens. Ce n’est pas parce que l’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins depuis tant de décennies que ces vaccins n’ont pas provoqué d’effets indésirables chez les enfants. Cette déclaration du CDC pose simplement la question.

    Le CDC affirme également qu’il surveille continuellement la sécurité des vaccins après leur homologation par la FDA, mais les données de surveillance post-commercialisation ne remplacent pas les études de sécurité correctement conçues.

    Comme le notent les auteurs d’un article (article) publié dans le Journal of Pharmacy and Pharmacology en mars 2015, « l’adjuvant le plus utilisé, l’alun, est utilisé depuis près de 90 ans, mais son mécanisme d’action reste mal compris. De plus, si l’alun produit une puissante réponse anticorps Th2, il ne provoque pas la réponse immunitaire cellulaire nécessaire à l’élimination des infections intracellulaires ou des cancers. »

    « L’adjuvant le plus utilisé, l’alun, l’est depuis près de 90 ans, mais son mécanisme d’action reste mal compris. »

    Les auteurs de l’étude des CDC établissant un lien entre les vaccins avec adjuvant et l’asthme ont reconnu la possibilité que « l’exposition à l’aluminium par le biais de la vaccination puisse produire un profil immunitaire biaisé vers les cellules Th2 et éloigné des réponses immunitaires des cellules T helper 1 (Th1) ». Cette inclinaison du système immunitaire vers une réponse anticorps au détriment d’une immunité cellulaire déséquilibrée pourrait éventuellement « augmenter le risque de maladies allergiques telles que l’asthme ».

    En effet, comme le notent les auteurs d’une critique (review) publiée en 2005 dans l’European Respiratory Journal, « des preuves expérimentales substantielles soutiennent désormais l’idée que les maladies allergiques sont caractérisées par une déviation du système immunitaire vers un phénotype de cellules T auxiliaires de type 2 (Th2). » Comme l’ont observé de manière similaire les auteurs d’une critique intitulée « Immunité des cellules T CD4+ néonatales déséquilibrées (Unbalanced neonatal CD4+ T-cell immunity) et publiée dans Frontiers in Immunology en 2014, le développement de l’asthme est connu pour être associé à « une réponse immunitaire biaisée par les Th2 ».

    Les CDC rassurent néanmoins le public en affirmant que tous les vaccins contenant de l’aluminium « sont testés pour leur sécurité et leur efficacité lors d’essais cliniques avant d’être autorisés à être utilisés aux États-Unis ».

    Toutefois, cela ne signifie pas que l’innocuité et l’efficacité de ces vaccins ont été testées dans le cadre d’essais randomisés contrôlés par placebo.

    Si l’on reprend l’exemple d’Infanrix, le document « Résumé des Motifs d’Approbation de la FDA » révèle qu’aucun placebo inerte n’a été utilisé. Au lieu de cela, la FDA a déterminé que le vaccin DTaP était « sûr » en se basant sur une comparaison des événements indésirables survenus après l’administration de l’ancien vaccin anticoquelucheux à cellules entières (DTP), qui a été retiré du marché aux États-Unis précisément parce qu’il était plus « réactogène » (more « reactogenic »), ce qui a suscité l’inquiétude des parents au sujet des blessures causées aux enfants par le vaccin. (souligné par le traducteur !)

    Ce sont en grande partie les procès pour blessures vaccinales intentés aux fabricants du vaccin DTC (NdT : diphtérie, tétanos, coqueluche) qui ont conduit le gouvernement américain à adopter, en 1986, une loi accordant une large immunité juridique aux fabricants contre les procès pour blessures vaccinales et établissant le Programme d’indemnisation des victimes de vaccins (Vaccine Injury Compensation Program—VICP) afin de transférer la charge financière des blessures vaccinales de l’industrie pharmaceutique vers les consommateurs contribuables.

    Le vaccin DTC est encore très largement utilisé dans les pays en développement, où des études sur les « effets non spécifiques » des vaccins, terme qui désigne les conséquences involontaires, bénéfiques ou néfastes de la vaccination, ont montré que le vaccin était associé à un taux accru de mortalité infantile. Comme le soulignent les principaux chercheurs dans ce domaine dans une étude publiée en 2017 dans la revue EBioMedicine du Lancet :

    « Il faut s’inquiéter du fait que l’effet des vaccinations de routine sur la mortalité toutes causes confondues n’a pas été testé dans des essais randomisés. Toutes les données actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTP pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche (souligné par le traducteur). Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie cible, il peut simultanément augmenter la sensibilité à des infections non liées »

    (remarque du traducteur : cette affirmation — que le vaccin protège contre la maladie cible — n’est étayée par aucune étude scientifique).

    Cet effet non spécifique préjudiciable s’est avéré vrai pour les vaccins « non vivants » en général (true for “non-live” vaccines generally), qui sont les types de vaccins qui contiennent généralement de l’aluminium comme adjuvant, et l’effet est particulièrement prononcé chez les enfants de sexe féminin. (Les vaccins à virus « vivants » atténués, comme le vaccin contre la rougeole, ne nécessitent pas d’adjuvant pour induire une réponse immunitaire suffisante, car l’exposition à l’antigène du vaccin ressemble davantage à l’exposition au virus viable entier de l’infection naturelle).

    « Il est préoccupant de constater que l’effet des vaccinations systématiques sur la mortalité toutes causes confondues n’a pas été testé dans des essais randomisés »

    Le document de la FDA relatif à Infanrix décrit curieusement un essai d’efficacité du vaccin DTC comme ayant été « contrôlé par placebo », mais il n’y a aucune mention d’un groupe de contrôle placebo. Au lieu de cela, le « placebo » qui a manifestement été utilisé était le vaccin DTC.

    Le problème de l’utilisation courante de substances biologiquement réactives à la place d’un véritable placebo se reflète dans le titre d’une étude publiée dans Annals of Internal Medicine : « Qu’y a-t-il dans les placebos ? Qui sait ? Analyse d’essais contrôlés randomisés » (What’s in Placebos: Who Knows? Analysis of Randomized Controlled Trials). Cette étude soulignait que la plupart des études « ne divulguaient pas la composition du placebo de l’étude » et « qu’aucune réglementation ne régit la composition des placebos, ce qui peut influencer les résultats des études ».

    Bien entendu l’utilisation d’un autre vaccin contenant de l’aluminium comme « placebo » pour déterminer la prétendue innocuité d’un autre vaccin contenant de l’aluminium dissimulera le véritable taux de fond d’effets indésirables après la vaccination, ce qui permettra au produit pharmaceutique d’être qualifié « d’inoffensif » par la FDA.

    Au lieu d’essais randomisés contrôlés par placebo démontrant l’innocuité à long terme des vaccins contenant de l’aluminium, les chercheurs doivent se fier à des études toxicologiques ou à des études d’observation post-commercialisation.

    Cependant, comme l’a reconnu (acknowledged) en 2015 le directeur du Bureau de la sécurité des vaccinations des CDC, Frank DeStefano, « aucune étude épidémiologique de grande envergure n’a examiné spécifiquement les associations entre les problèmes de santé » et les adjuvants à l’aluminium.

    D’où le fait que le CDC s’appuie sur l’étude de Mitkus et coll. réalisée par la FDA pour étayer son affirmation sur la prétendue sécurité des vaccins contenant de l’aluminium.

    4. La « limite de sécurité » de la FDA pour l’exposition à l’aluminium par rapport au calendrier des vaccins

    L’Agence de Protection de l’Environnement (en anglais Environmental Protection Agency ou EPA) a établi un niveau maximal de contamination (maximum contaminant level for aluminum) pour l’aluminium dans l’eau potable de 0,05 à 0,2 milligramme par litre (mg/L), et la propre limite maximale « sûre » de la FDA pour l’eau potable est de 0,2 milligramme par litre, soit 200 microgrammes par litre (µg/L).

    En vertu de la réglementation fédérale (federal regulations), pour les médicaments ou thérapies administrés en grande quantité par voie parentérale, c’est-à-dire sans passer par le tube digestif (par exemple par injection intramusculaire ou intraveineuse), la FDA a fixé une limite maximale « sûre » de 25 microgrammes par litre (µg/L).

    Ces produits doivent inclure dans leur notice un avertissement indiquant que la teneur en aluminium « peut être toxique » et que « Les recherches indiquent que les patients dont la fonction rénale est altérée, y compris les nouveau-nés prématurés, qui reçoivent par voie parentérale des doses d’aluminium supérieures à 4 à 5 µg/kg/jour accumulent de l’aluminium à des niveaux associés à une toxicité pour le système nerveux central et les os. Une charge tissulaire peut se produire à des taux d’administration encore plus faibles. »

    L’Agence pour les Substances Toxiques et le registre des Maladies (en anglais «Agency for Toxic Substances and Disease Registry ou ATSDR»), un département supervisé administrativement par le directeur du CDC et fonctionnant aux côtés du CDC et de la FDA sous les auspices du Department of Health and Human Services (HHS), a également défini un “niveau de risque minimal” (en anglais MRL) pour l’aluminium, qui est ‘une estimation de l’exposition humaine quotidienne à une substance qui est susceptible d’être sans risque appréciable d’effets néfastes (non cancérigène) sur une durée d’exposition spécifiée’.

    Le niveau « sûr » pour une « exposition orale chronique (365 jours ou plus) à l’aluminium », selon l’ATSDR, est de 1 mg/kg/jour. C’est ce « niveau de risque minimal » estimé qui a servi de base aux calculs effectués par Mitkus et coll.

    Le premier point à souligner concernant la tromperie du CDC est la façon dont il présente cette étude comme ayant examiné « la quantité d’exposition à l’aluminium chez les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé », alors qu’en fait l’étude était limitée aux seules doses de vaccin administrées aux nourrissons pendant leur première année de vie. Les enfants qui suivent le calendrier des CDC continuent à recevoir des vaccins contenant de l’aluminium après leur premier anniversaire, de sorte que la déclaration des CDC est trompeuse. Mais c’est la moindre des tromperies des CDC.

    En utilisant le calendrier de 2011, Mitkus et coll. ont examiné « les combinaisons potentielles de vaccins infantiles de routine autorisés par la FDA » pour « déterminer les doses maximales d’aluminium qu’un enfant pourrait recevoir au cours d’une année ».

    Le premier jour de leur vie, les nourrissons reçoivent généralement 0,25 mg d’aluminium provenant du vaccin contre l’hépatite B (HepB).

    À l’âge de deux mois, puis à nouveau à l’âge de quatre mois, ils peuvent recevoir une dose de vaccin contre l’hépatite B, de vaccin DTaP, de vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI), de vaccin contre l’Haemophilus influenzae de type B (Hib) et de vaccin antipneumococcique (VPC), ce qui, selon les marques choisies, peut entraîner une exposition à 1,2 mg d’aluminium à chacune de ces deux visites chez le médecin.

    À l’âge de six mois, les enfants pourraient recevoir le HepB (Hépatite B), le DTaP (Diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) l’IPV (Polio inactivé) et le PCV (Pneumocoque), ce qui entraînerait une exposition à l’aluminium pouvant atteindre 0,975 mg.

    Lors de leur visite médicale d’un an, les enfants pourraient recevoir le Hib (Haemophilus influenza type b), le PCV et le vaccin HepA (Hépatite A), ce qui représente une exposition à l’aluminium de 0,6 mg.

    L’étude fournit le tableau suivant résumant la quantité maximale d’aluminium à laquelle les nourrissons étaient exposés au cours de leur première année de vie selon le calendrier vaccinal du CDC en 2011 :

    Tableau 1

    Séquence d’administration des vaccins conduisant à une exposition maximale à l’aluminium chez les nourrissons au cours de leur première année de vie. Basé sur le calendrier de vaccination de l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices—Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation).

    Vaccin Âge de l’enfant (jours) Teneur en aluminium
    Hep B 0 0,25
    DTaP + Hep B + IPV +Hib + PCV 60 1,2
    DTaP + Hep B + IPV + Hib + PCV 120 1,2
    DTaP + Hep B + IPV + PCV 180 0,975
    Hib + PCV + Hep A 365 0,6

    La FDA et les CDC nous assurent que cette exposition cumulée à l’aluminium que les enfants suivant le calendrier pourraient recevoir au cours de leur première année de vie — jusqu’à 4 225 microgrammes — représente une « faible » quantité d’aluminium qui est totalement « sans danger ». Cependant, comme l’indique un examen des preuves disponibles sur les adjuvants de l’aluminium et l’autisme publié dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology en avril 2021 (a review), cette étude « était sérieusement défectueuse ». Nous allons maintenant examiner en détail les principales erreurs de l’étude pour illustrer comment l’allégation de sécurité du gouvernement est scientifiquement frauduleuse.

    5. Le « niveau de risque minimal » falsifié de la FDA pour l’aluminium

    Comme on l’a vu, la conclusion des chercheurs de la FDA selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par les vaccins administrés au cours de la première année de vie présente un « risque extrêmement faible pour les nourrissons » était fondée sur un « niveau de risque minimal » fixé par l’ATSDR à 1 mg/kg/jour, et les expositions inférieures à ce niveau sont considérées comme « sûres » par la FDA.

    En utilisant cette limite « sûre », les chercheurs de la FDA ont calculé la « charge corporelle » d’aluminium provenant des adjuvants à base de phosphate d’aluminium (AlPO4) ou d’hydroxyde d’aluminium (Al [OH] 3). Les deux graphiques qu’ils présentent suggèrent que les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés par le calendrier vaccinal sont bien inférieurs à la limite « sûre » de la FDA.

    Cependant, le CDC omet d’informer le public que le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA a été calculé sur la base d’une seule étude portant sur l’ingestion de lactate d’aluminium, une forme soluble d’aluminium, chez des souris adultes. (souligné par le traducteur !)

    Les problèmes majeurs de l’étude de la FDA ont été observés dans une critique rédigée anonymement, publiée sur le site Vaccine Papers en juillet 2016 et intitulée « Démystifier l’adjuvant aluminium, 2e partie : l’étude erronée de la FDA sur la toxicité de l’adjuvant aluminium » (Debunking Aluminum Adjuvant, Part 2: FDA’s Flawed Study of Al Adjuvant Toxicity (Mitkus 2011)). Comme indiqué dans cet article, le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA « est basé sur une science obsolète et erronée. » Elle a été « dérivée d’une “dose sans effet indésirable observé” (NOAEL) mesurée dans une étude d’alimentation animale ». L’article explique :

    Cependant, il y a un problème fatal : 26 mg/kg/jour n’est pas un NOAEL (dose sûre) pour les animaux ((NOAEL pour No Observed Adverse Effect Level—Niveau sans effet indésirable observé). La NOAEL de 26 mg/kg/jour (ingéré) est le fondement de l’analyse de Mitkus, et elle est erronée. Les études scientifiques font état d’effets indésirables (par exemple, lésions cérébrales, troubles cognitifs et inflammation du cerveau) dus à des doses d’aluminium ingéré (et hydrosoluble) de 3,4, 4, 5,6, 6, 10 et 20 mg/kg/jour.

    Ces études sont examinées dans un article distinct sur Vaccine Papers intitulé « Le fondement de la sécurité des adjuvants est faux » (The Foundation for Al Adjuvant Safety Is False).

    Dans un article publié dans le Journal des Médecins et Chirurgiens Américains en 2016, Neil Z. Miller, auteur du livre Miller’s Review of Critical Vaccine Studies (Révision par Miller des études critiques sur les vaccins), explique de la même manière plusieurs « défauts majeurs dans l’analyse de la FDA », à commencer par l’utilisation d’un niveau de risque minimal qui avait déjà été falsifié par d’autres études animales (c’est nous qui soulignons) :

    Pour déterminer un « niveau de risque minimal » (LMR pour limite minimale de risque) d’aluminium pour les humains, une seule étude animale a été utilisée. Cette étude a révélé que les souris pouvaient recevoir jusqu’à 26 milligrammes d’aluminium par kilogramme de poids corporel par jour (26 mg/kg/jour) sans effets indésirables. Après avoir pris en compte les différences entre les souris et les humains (et d’autres facteurs), ce chiffre a été réduit pour créer une marge de sécurité, et une LMR de 1 mg/kg/jour a été établie pour les humains, y compris les nourrissons. Mais il y a un problème : 26 mg/kg/jour n’est pas une quantité d’aluminium sûre pour les animaux. Plusieurs études confirment que des quantités d’aluminium beaucoup plus faibles (de 3,4 à 6,1 mg/kg/jour) sont nocives pour les animaux — et au moins trois de ces études ont été publiées avant le document de la FDA en 2011, de sorte que l’étude de la FDA était fallacieuse dès le départ.

    Dans une révision intitulée « Critical analysis of reference studies on the toxicokinetics of aluminum-based adjuvants » (Analyse critique des études de référence sur la toxicocinétique des adjuvants à base d’aluminium), publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry en décembre 2017, Jean-Daniel Masson et coll. expliquent de la même manière que l’étude de Mitkus souffre de plusieurs biais importants. « Le premier problème est qu’« Une LMR orale inappropriée a été utilisée pour définir la courbe de sécurité. » La « LMR orale » utilisée par les chercheurs de la FDA « fixe la courbe de sécurité trop haut ». Citant des études constatant des effets indésirables chez les animaux à des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles, notamment une étude de 2017 observant des effets indésirables avec une exposition de 1,5 mg/kg/jour, les auteurs de l’examen font remarquer :

    En utilisant la LMR orale « officielle », Mitkus a donc fixé la courbe de sécurité à un niveau beaucoup plus élevé. Ce niveau a été surestimé d’un facteur allant jusqu’à 17,3 (c’est-à-dire 26/1,5) lorsque l’étude la plus récente a été prise en compte. Il convient de noter que la dose de 1,5 mg/kg/jour n’est même pas une NOAEL puisque des effets ont été documentés à cette dose.

    Les auteurs de la révision présentent deux graphiques corrigés, publiés à l’origine par l’auteur de l’article Vaccine Papers, qui montrent comment, « même si l’on utilise des niveaux NOAEL expérimentaux plus élevés pour le calcul, par exemple 3,4 mg/kg/d, la limite de sécurité est atteinte (hydroxyde) ou dépassée (phosphate) par l’aluminium des adjuvants vaccinaux ».

    6. Aluminium injecté comparé à l’aluminium ingéré

    Il y a pire. Comme indiqué, le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA comme base de leurs calculs est issu d’une étude sur l’aluminium ingéré et non injecté.

    Comme la FDA le sait parfaitement (the FDA knows perfectly well), « le tractus gastro-intestinal agit comme une barrière efficace à l’absorption de l’aluminium, et relativement peu d’aluminium ingéré atteint effectivement les tissus du corps », alors que « les produits pharmaceutiques administrés par voie parentérale contenant de l’aluminium contournent le mécanisme de protection du tractus gastro-intestinal » et se « déposent dans les tissus humains ».

    Mitkus et coll. ont reconnu de la même façon (c’est nous qui soulignons) :

    Les expositions potentielles à l’aluminium associées à l’administration de vaccins sont toutefois différentes des expositions alimentaires à l’aluminium, car l’aluminium contenu dans les vaccins n’a pas à traverser les parois du tractus gastro-intestinal, qui constitue une barrière importante à l’absorption systématique de l’aluminium. On s’attend plutôt à ce que la totalité de l’aluminium contenu dans l’adjuvant soit absorbée des muscles dans le sang après la vaccination, bien qu’à un certain taux au fil du temps.

    … L’exposition à l’aluminium par voie alimentaire (généralement sous forme de citrate) entraîne l’absorption de petites quantités d’aluminium à partir de l’intestin (inférieur à 1 %) avant d’atteindre la circulation sanguine.

    Pourtant, ils n’ont curieusement fait aucun commentaire sur la façon dont le niveau d’exposition « sûr » qu’ils ont adopté comme base de leur analyse était basé sur l’aluminium ingéré par les rongeurs, ce qui pourrait raisonnablement être interprété comme une indication de l’intention de commettre une fraude scientifique.

    Comme le commente Miller :

    La LMR pour les humains est dérivée de l’aluminium alimentaire donné à des souris. Mais les nourrissons reçoivent de l’aluminium par injection. L’aluminium injecté contourne le tractus gastro-intestinal et possède des propriétés toxiques uniques par rapport à l’aluminium ingéré. Pour déterminer la sécurité de l’aluminium injecté, les scientifiques doivent mener des expériences avec de l’aluminium injecté et non ingéré.

    7. Ignorer la toxicité des particules d’aluminium

    Ce qui explique peut-être l’incapacité des auteurs à reconnaître l’inapplicabilité de l’étude sur les rongeurs adultes utilisée pour déterminer le « niveau de risque minimal » adopté pour les nourrissons humains, c’est le fait qu’ils n’ont considéré que la quantité d’aluminium qui se dissout et est absorbée dans le sang, d’où il peut ensuite être traité par les reins et excrété dans l’urine, comme contribuant à la « charge corporelle » de la toxicité de l’aluminium ; ils ont complètement ignoré la quantité d’aluminium particulaire qui reste dans les tissus et les organes.

    Il s’agit là d’une « erreur critique », comme l’a noté l’auteur de l’article de Vaccine Papers :

    L’analyse de Mitkus est un moyen raisonnable d’estimer la toxicité et la rétention de l’aluminium hydrosoluble ingéré (ions Al3+). Mais elle ne peut pas établir la sécurité des particules d’aluminium adjuvantes persistantes et peu solubles…

    La LMR est dérivée d’une expérience d’alimentation avec du lactate d’aluminium hydrosoluble, et non des particules d’adjuvant d’aluminium insolubles et persistantes. La sécurité de l’adjuvant d’aluminium injecté ne peut être prouvée que par des expériences avec l’adjuvant d’aluminium injecté (qui comprend des particules insolubles et persistantes). Les études sur l’aluminium ingéré, soluble dans l’eau, ne sont pas un bon substitut. Les études scientifiques ont établi que l’adjuvant d’aluminium injecté a des propriétés toxiques uniques et des façons de se déplacer dans le corps (« cinétique ») qui ne sont pas les mêmes que celles de l’aluminium hydrosoluble. (NdT : cinétique = fonction du temps)

    L’erreur consistant à utiliser une étude sur l’ingestion d’une forme soluble d’aluminium est aggravée par le « défaut fatal » supplémentaire consistant à ignorer la toxicité des particules d’aluminium restant dans l’organisme :

    Mitkus suppose que l’adjuvant d’aluminium a une toxicité nulle lorsqu’il est sous forme de particules. La « charge corporelle » de Mitkus ne comprend pas les particules d’adjuvant d’aluminium. Dans l’analyse de Mitkus, seuls les ions Al3+ (libérés par la dissolution des particules d’adjuvant) sont toxiques.

    C’est pourquoi la courbe de l’adjuvant Al présente une pente ascendante après chaque date de vaccination… Les nanoparticules d’adjuvant Al ne sont pas inoffensives ou inertes. Elles sont biologiquement actives et provoquent une inflammation et une activation du système immunitaire. C’est pourquoi l’adjuvant aluminium est utilisé dans la plupart des vaccins. Les particules d’adjuvant se déplacent vers les tissus qui peuvent être blessés par l’inflammation, comme, par exemple, le cerveau.

    L’article présente cette illustration graphique des défauts fatals de l’étude de la FDA ainsi que le commentaire suivant : (titre du schéma : Les hypothèses fatalement erronées de Mitkus)

    Ci-dessus : Les nanoparticules d’adjuvant Al injectées voyagent vers des organes distants (rate, cerveau, reins, foie) où elles restent pendant des années, provoquant des inflammations. Mitkus suppose que les particules n’ont aucune toxicité, même lorsqu’elles sont présentes dans des organes sensibles comme le cerveau. Mitkus suppose à tort que seul l’Al3+ dissous est toxique. Il n’existe aucune preuve de cette hypothèse, et les expériences sur les animaux et les études sur la toxicité des autres nanoparticules montrent de manière concluante que celle-ci est fausse (l’hypothèse de Mitkus).

    Neil Z. Miller observe de même que « les nanoparticules d’aluminium peuvent être transportées par les cellules à lignage monocytaire vers les ganglions lymphatiques de drainage, le sang et la rate et peuvent également pénétrer dans le cerveau. » Néanmoins, la FDA « suppose, sans preuve, que ces nanoparticules d’aluminium faiblement biodégradables, qui ont été détectées dans les organes du corps jusqu’à un an après la vaccination, sont inoffensives, et elles ne sont pas calculées par la FDA comme faisant partie de la « charge corporelle » d’aluminium jusqu’à ce qu’elles se dissolvent. »

    Masson et coll. critiquent également Mitkus et coll. pour ne pas avoir pris en compte la toxicité de l’aluminium particulaire, en faisant remarquer (c’est nous qui soulignons) :

    Sous sa forme particulaire, l’aluminium est rapidement capturé puis transporté à distance par les cellules immunitaires. La comparaison entre la toxicité chimique des ions Al3+, tels que ceux absorbés au niveau intestinal, et la toxicité particulaire des sels d’aluminium injectés (par voie intramusculaire) est donc un non-sens. En témoigne la courbe dose-réponse atypique des effets neurotoxiques de l’hydroxyde d’aluminium, avec un transfert cérébral de l’aluminium et un effet clinique observé sélectivement pour les faibles doses, qui se rapproche de celles décrites en toxicologie particulaire. En toute rigueur, les LMR utilisées pour la modélisation du risque vaccinal devraient être définies sur la base d’expérimentations animales réalisées avec des adjuvants d’aluminium, contrôlées pour que leurs paramètres particulaires soient conformes à ceux des vaccins, et injectés (par voie intramusculaire), plutôt que des études avec des formes solubles d’aluminium (chlorure ou lactate) ajoutées à la nourriture ou à l’eau de boisson.

    En mentionnant « la courbe dose-réponse atypique des effets neurotoxiques de l’hydroxyde d’aluminium », ils faisaient référence à une étude de Guillemette Crépeaux et coll. intitulée « Non-linear dose-response of aluminium hydroxide adjuvant particles: Selective low dose neurotoxicity » (Réponse dose non linéaire des particules adjuvantes d’hydroxyde d’aluminium : Neurotoxicité sélective à faible dose), qui a été publiée dans la revue Toxicology en 2017.

    Comme l’ont noté les auteurs de cette étude de Toxicology, des expériences sur des souris avaient montré « la capture et le transport lent » de particules d’aluminium « par des cellules à lignage monocytaire depuis le muscle injecté vers les organes lymphoïdes et finalement le cerveau. » Leurs conclusions indiquaient que l’adjuvant d’aluminium « injecté à faible dose dans le muscle de la souris peut induire sélectivement une accumulation cérébrale (d’aluminium) à long terme et des effets neurotoxiques. »

    Les auteurs ont souligné de façon peu convaincante que « la comparaison de l’exposition à l’adjuvant vaccinal à d’autres expositions à l’aluminium non pertinentes, par exemple l’aluminium soluble et d’autres voies d’exposition, peut ne pas représenter des approches valables. »

    À titre d’exemple, ils ont cité Mitkus et coll., dont le modèle de rétention des nourrissons était basé sur « le taux de rétention de l’aluminium observé après des injections intraveineuses de citrate d’aluminium soluble traçable ». Le modèle de la FDA était « basé sur l’hypothèse que les adjuvants d’aluminium sont solubilisés par les ions citrate dans le liquide interstitiel des muscles, sans aucune considération de l’absorption cellulaire rapide de l’adjuvant et de la diffusion systémique à long terme des agglomérats d’adjuvants. » (C’est nous qui soulignons.) Ils ont conclu en suggérant, encore une fois de façon peu convaincante, qu’une « réévaluation » de la sécurité des adjuvants à base d’aluminium est nécessaire.

    Pour en revenir à la critique de l’étude de la FDA par Masson et coll., ils ont noté que le modèle mathématique développé par Mitkus et coll. incorporait également une estimation de la rétention d’aluminium chez les enfants basée sur une étude d’un seul adulte ayant reçu une injection intraveineuse de citrate d’aluminium, une forme soluble d’aluminium.

    Mitkus et coll. ont souligné que « l’on s’attend à ce que l’aluminium ne soit pas éliminé du sang des nourrissons aussi rapidement que celui des adultes », et ils ont donc tenté d’ajuster leur modèle pour tenir compte de la rétention plus élevée chez les nourrissons.

    « La comparaison entre la toxicité chimique des ions Al3+, tels que ceux absorbés au niveau intestinal, et la toxicité particulaire des sels d’aluminium injectés (par voie intramusculaire) n’a donc aucun sens. »

    Cependant, comme Mitkus et coll. le reconnaissent également, « Pour les vaccins, l’injection est intramusculaire, l’aluminium est sous une forme insoluble (par exemple, sous forme de phosphate ou d’hydroxyde d’aluminium), et le muscle au site d’injection est considéré comme un dépôt de stockage pour l’aluminium ». Ils reconnaissent que l’une des limites de leur étude est que leur « fonction de rétention » pour l’aluminium est « basée sur les résultats d’une seule personne », alors qu’idéalement elle devrait être basée sur des données pharmacocinétiques chez plusieurs nourrissons.

    Pour estimer leur taux d’absorption d’aluminium, qui représente les particules d’aluminium qui « sont solubilisées par les ions citrate dans les fluides interstitiels du muscle » et absorbées dans le sang, ils ont utilisé les données d’une étude portant sur l’absorption d’aluminium administré par voie intramusculaire à deux lapins pour chacun des deux types d’adjuvant d’aluminium utilisés dans les vaccins pour enfants (hydroxyde d’aluminium et phosphate d’aluminium).

    Ils ont reconnu les limites de leur étude, mais ils ont insisté sur le fait qu’il y a une « libération lente de l’adjuvant aluminium du site d’injection dans la circulation systémique ». Puisqu’ils ont supposé que seule la quantité d’aluminium absorbée dans le sang contribuait à la charge corporelle de la toxicité de l’aluminium, ils ont interprété ce résultat comme étant rassurant.

    Par exemple, ils notent que si 100 % de l’aluminium injecté était instantanément absorbé dans le sang (ce qui serait également le cas pour une injection intraveineuse par opposition à une injection intramusculaire), il y aurait alors « de brèves ”excursions” des niveaux d’aluminium corporels au-dessus de la LMR après la vaccination ». Ils ont raisonné que puisque l’absorption de l’aluminium dans le sang se fait lentement plutôt qu’instantanément, le risque de toxicité est plus faible.

    Cependant, ce raisonnement est à nouveau fallacieux puisque l’hypothèse selon laquelle la quantité d’aluminium particulaire restant dans le corps n’est pas toxique est fausse.

    Masson et coll. commentent également cet aspect de l’étude de la FDA :

    Mitkus et coll. ont tenu compte de la lenteur de l’absorption (solubilisation) de l’aluminium des adjuvants démontrée par Flarend et, ce faisant, ont trouvé une marge de sécurité apparemment élevée. Pour construire leur modèle, Mitkus et coll. ont raisonné comme suit : puisque l’absorption sanguine de l’aluminium était de 51 % pour l’adjuvant phosphate 28 jours après les injections dans l’étude de Flarend, il faudrait 28 jours de plus pour absorber la totalité de la dose d’adjuvant injectée (56 jours au total). De même, étant donné que l’absorption sanguine de l’aluminium était de 17 % pour l’hydroxyde d’aluminium à 28 jours, l’absorption complète prendrait 137 jours supplémentaires (total 165 jours). La quantité cumulée calculée d’aluminium absorbé par les vaccins était significativement plus élevée que l’absorption d’aluminium alimentaire… mais restait inférieure au niveau de sécurité pour le phosphate d’aluminium, et très largement inférieure pour l’hydroxyde d’aluminium. La conclusion de l’auteur est qu’il est peu probable que l’aluminium des vaccins ait une influence significative sur la charge corporelle en aluminium de l’organisme du nourrisson, ce qui implique une bonne sécurité des adjuvants à l’aluminium de 0 à 12 mois.

    Cependant, l’étude de la FDA « souffre d’un certain nombre de biais importants ». Comme nous l’avons déjà noté, les chercheurs de la FDA ont utilisé un niveau de risque minimal inapproprié qui avait déjà été falsifié par d’autres études montrant des effets indésirables chez les animaux à des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles. Ils ont également ignoré la toxicité des particules d’aluminium qui restent dans le corps plutôt que d’être absorbées dans le sang. De plus, ils ont incorporé dans leur modèle une interprétation erronée de l’étude sur les lapins réalisée par Flarend et coll. (c’est nous qui soulignons) :

    Comme Flarend avant lui, Mitkus et coll. n’ont apparemment considéré que seul aluminium soluble a un potentiel toxique. Son estimation de la durée de la translocation complète de l’aluminium du site injecté vers le sang est basée sur un calcul simpliste (voir ci-dessus) qui ne tient pas compte du fait que les courbes de Flarend suggèrent que la fin de la translocation de l’Al vers le plasma est soit en cours (phosphate) soit presque achevée (hydroxyde) au 28e jour (voir ci-dessus). Le corollaire de ce calcul trop simpliste est une sous-estimation du temps de biopersistance de l’aluminium sous une forme particulière. Des études histologiques réalisées après l’injection (intramusculaire) d’hydroxyde d’aluminium ont montré que l’aluminium particulaire et les granulomes qu’il induit sont encore détectables dans le muscle injecté après des mois dans les études animales et plusieurs années (jusqu’à 12 ans) chez les patients adultes atteints du syndrome de fatigue chronique post-vaccinale. Bien que des facteurs génétiques puissent expliquer la faible solubilisation intracellulaire de l’hydroxyde d’aluminium chez les individus sensibles, la sous-estimation par Mitkus de la stabilité à la dissolution des adjuvants d’aluminium est certaine et significative.

    L’aluminium des vaccins ne reste pas non plus au site d’injection, mais « peut migrer loin du muscle sous sa forme particulaire ».

    Selon l’étude de la FDA, il est « rassurant » de constater que « le dépôt de stockage à long terme » de l’aluminium solubilisé à partir du site d’injection se trouve probablement principalement dans les os et non dans des organes comme le cerveau. En ce qui concerne ce raisonnement, Masson et coll. font également le commentaire suivant (c’est nous qui soulignons) :

    En ne considérant que l’aluminium soluble, Mitkus pensait que « le dépôt de stockage à long terme (de l’aluminium solubilisé à partir du site d’injection), est susceptible d’être squelettique et non un système d’organes mous plus sensible est rassurant ». Cette hypothèse rassurante ne prenait pas en compte le devenir de l’aluminium particulaire. De même, une étude récente réalisée chez des prématurés vaccinés à l’âge de 2 mois, ne s’est intéressée qu’à l’aluminium soluble détectable dans les fluides corporels : les auteurs ont curieusement jugé « rassurant » le fait de ne pas avoir constaté d’élévation de l’aluminium dans le sérum et l’urine 24 h après l’administration de vaccins contenant une dose totale de 1200 μg Al (environ 200 μg/kg). L’absence à la fois d’absorption détectable et d’élimination rapide de l’aluminium des adjuvants représente plutôt un motif légitime d’inquiétude, car, en corollaire, elle indique probablement la persistance systémique de particules d’aluminium immunostimulantes et neurotoxiques transférées vers les organes lymphoïdes et atteignant potentiellement le cerveau.

    Une étude (study) de Grant McFarland et coll. publiée dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology en décembre 2019 critique de la même manière l’étude de Mitkus et coll. en la décrivant comme ayant été « minutieusement excoriée comme un simple parcours mathématique basé sur l’hypothèse erronée que des doses orales d’aluminium (d’une forme différente de celles trouvées dans les vaccins) chez des souris adultes pourraient être utilisées pour prédire l’impact des vaccins avec adjuvant, comme si ces données pouvaient être transformées via les mathématiques en données pertinentes pour les formes injectées chez les adultes et les enfants humains ».

    Comme le résument McFarland et coll. (c’est nous qui soulignons) :

    En bref, l’article de Mitkus fonde une évaluation de l’innocuité des formes d’aluminium injectées non solubles dans l’eau chez les adultes humains sur une seule étude des formes d’aluminium hydrosolubles alimentaires chez les souris adultes. Cette étude, choisie parmi de nombreuses autres par l’ATSDR (Agency for Toxic Substances and Disease Registry—Agence pour les Substances Toxiques et le Registre des Maladies), a été utilisée pour affirmer que les doses d’aluminium utilisées sur les humains sont sûres… Les études qui utilisent l’administration orale d’aluminium en solution de citrate… ne sont pas pertinentes pour l’étude de la toxicité des types d’aluminium provenant des vaccins… Les études sur les animaux sont encore plus limitées en raison de leur incapacité à traiter l’hypothèse d’une variation génétique dans la tolérance à l’aluminium chez les humains.

    En ce qui concerne la façon dont les chercheurs de la FDA ont cité l’étude sur les lapins comme offrant une réassurance de la sécurité des adjuvants à base d’aluminium dans les vaccins, Masson et coll. font un commentaire similaire (c’est nous qui soulignons) :

    Plutôt que de parler de la nature rassurante de ces résultats, une conclusion inverse aurait dû être faite par les auteurs du point de vue de la sécurité des vaccins, soulignant la faible élimination par dissolution des adjuvants aluminiques, en particulier l’adjuvant à base d’hydroxyde, et la nécessité d’autres études à long terme sur un plus grand nombre d’animaux. Les agences de réglementation elles-mêmes auraient été bien avisées de commander des études toxicocinétiques complémentaires afin d’éviter la propagation d’informations hasardeuses sur l’élimination rapide des adjuvants aluminiques, surtout après avoir pris connaissance d’études ultérieures montrant la phagocytose, la persistance intracellulaire, la migration à distance et la neurotoxicité des adjuvants aluminiques.

    8. Conclusion

    Maintenant, revoyez comment le CDC cite l’étude de Mitkus et coll. de la FDA comme ayant « démontré » que l’aluminium des vaccins « n’est pas facilement absorbé par le corps ». La conclusion logique inéluctable est que cette affirmation de l’établissement de « santé publique » est une dangereuse désinformation.

    Le CDC affirme que l’aluminium contenu dans les vaccins a pour but de les aider à « mieux fonctionner », mais ce que cela signifie en réalité, c’est qu’il permet aux fabricants d’atteindre le niveau d’anticorps circulants requis pour obtenir l’autorisation de la FDA, que ce niveau d’anticorps soit ou non en corrélation avec la protection immunitaire contre la maladie. (souligné par le traducteur)

    Le CDC affirme que l’aluminium est utilisé dans les vaccins depuis plus de 70 ans, mais cela ne veut certainement pas dire que les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés aujourd’hui selon le calendrier recommandé par les CDC sont « sûrs ».

    Le CDC affirme que chaque vaccin avec adjuvant fait l’objet d’essais cliniques avant d’être homologué, mais la FDA autorise les fabricants de vaccins à renoncer aux essais randomisés contrôlés par placebo en faveur d’une comparaison des taux d’effets indésirables entre les personnes recevant le vaccin expérimental et un autre produit contenant de l’aluminium.

    Le CDC affirme que les agences gouvernementales contrôlent les données de surveillance post-commercialisation pour garantir la sécurité des vaccins, mais ces données ne remplacent pas les essais randomisés contrôlés par placebo, et ces agences gouvernementales n’ont tout simplement aucune crédibilité étant donné leur conflit d’intérêts inhérent et leur habitude de déformer la science pour l’adapter à leurs objectifs politiques.

    Le Dr Frank DeStefano, auteur principal de la récente étude du CDC admettant une association entre les vaccins avec adjuvant et l’asthme, avait reconnu en 2015 l’absence d’études d’observation examinant spécifiquement les associations entre les problèmes de santé et les vaccins contenant de l’aluminium.

    Le CDC affirme que « la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme », mais cette affirmation est fondée sur une étude de modélisation de la FDA entachée d’erreurs fatales, qui a basé sa conclusion sur un « niveau de risque minimal » déjà falsifié pour l’exposition à l’aluminium et sur l’ignorance délibérée de la FDA de la toxicité de l’aluminium particulaire des vaccins qui reste dans les tissus et les organes au lieu d’être dissous et absorbé dans le sang, où il peut ensuite être traité par les reins et excrété dans l’urine.

    À titre de simple expérience de pensée, imaginez quelle serait la réaction de l’establishment de la « santé publique » et des médias grand public si les résultats d’une telle étude soutenaient au contraire la conclusion selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par les vaccins provoque des dommages. D’une manière ou d’une autre, chaque étude suggérant que les vaccins peuvent causer des dommages est fatalement erronée, tandis que chaque étude dont les résultats peuvent être interprétés — ou mal interprétés — comme soutenant la politique gouvernementale en matière de vaccins est acceptée sans discussion comme une preuve supplémentaire de la « sécurité » des vaccins, sans tenir compte des limitations méthodologiques ou des énormes disparités entre les conclusions des auteurs et leurs résultats réels.

    En résumé, l’affirmation du CDC selon laquelle l’aluminium contenu dans les vaccins s’est avéré « sûr », y compris pour les nourrissons, est un mensonge éhonté et montre à quel point le gouvernement est prêt à commettre une fraude scientifique pour soutenir ses politiques de recommandations actuelles. Le fait que le CDC déforme aussi grossièrement l’état des connaissances scientifiques sur la toxicité de l’aluminium est une illustration claire de son manque de fiabilité. Il est clair que le gouvernement est plus soucieux de servir les intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique que de la santé publique.

    Traduction Jean Bitterlin 18.12.2022




    Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster

    Par Dr Nicole Delépine

    Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.

    Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :

    Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1

    Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3

    REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ

    Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

    Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.

    En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

    En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.

    « Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

    En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4

    Un post d’alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5

    « Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6

    Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER

    Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

    Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

    Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.

    « En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

    Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

    « Cher Kamran Abbasi,

    Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

    Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

    Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

    Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

    J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

    Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.

    Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

    Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.

    Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.

    https://twitter.com/JosefSa39957439
    La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
    Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
    Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.


    L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

    « Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude ☀ @EthicalSkeptic sur twitter9

    Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10

    Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

    « Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.

    Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

    « Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

    Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :

    « Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

    “Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

    Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

    Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

    De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.





    A. Houpert et M. Wonner victimes de la chasse aux sorcières. Faire taire les parlementaires est une insulte à leurs électeurs et à la démocratie

    Par le Dr Nicole Delépine

    Après le sénateur Alain Houpert sanctionné de 18 mois d’interdiction d’exercice, dont neuf avec sursis1, c’est l’ex-députée Martine Wonner qui est scandaleusement suspendue par le conseil de l’ordre du Bas-Rhin2.

    Les conséquences de ces décisions vont au-delà du cas personnel de nos représentants, d’autant plus que les conseillers ordinaux qui condamnent les médecins qui parlent ou qui soignent ne font pas la chasse aux conflits d’intérêts non déclarés alors que la loi transparence-santé les en a chargés.

    Les Français rejettent les politiques comme en témoigne le taux d’abstention aux dernières élections. Comment pourraient-ils encore croire au jeu représentatif quand ceux qui détournent leurs mandats comme les conseillers de l’ordre des médecins bâillonnent ouvertement les élus courageux qui informent et font leur travail ?

    On avait bien compris les jeux d’influence, le politiquement correct, le pas de vague, les discussions de couloir et les pressions pour limiter l’expression de parole des opposants au sein des groupes. Mais réprimer ouvertement la libre expression d’un parlementaire est un pas supplémentaire qui ouvrira peut-être quelques consciences supplémentaires de la marche vers le totalitarisme qui s’installe et dont la seule limite est évidemment le peuple.

    🔴🇫🇷 L’ex-députée Martine Wonner, a été suspendue un an par le conseil de l’ordre des médecins.

    L’ex-députée du Bas-Rhin entre 2017 et 2022 Martine Wonner, psychiatre de profession a été suspendue vendredi 25 novembre par le conseil de l’ordre des médecins du Grand Est pour une durée d’un an. Elle va faire appel de cette sanction.

    L’ancienne députée avait affirmé que le masque « ne servait strictement à rien » et que les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

    Martine Wonner, qui compte faire appel de cette suspension, a jugé vendredi cette décision « scandaleuse ».3

    Que peut conclure un lecteur de cet article de la radio progouvernementale ? La députée s’est opposée au port du masque : on savait déjà qu’elle avait raison, mais la confirmation, par de multiples études internationales de l’inutilité de l’obligation généralisée du port du masque a démontré son rôle de lanceur d’alerte précoce et qu’on aurait dû l’écouter et la remercier.4 5 6

    Martine Wonner, fine psychiatre avait compris avant beaucoup d’autres la signification sociétale du port du masque :

    « Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».7

    Que ne l’a-t-on pas écouté au lieu de l’humilier dans l’hémicycle comme s’est permis l’ex-ministre Véran ? L’inefficacité antivirale et les innombrables effets pervers du masque, connus d’emblée, se sont malheureusement confirmés dans la pratique. 8

    « Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque. »

    « Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

    Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

    LE PORT DU MASQUE, UNE CATASTROPHE POUR UNE GÉNÉRATION

    Quant aux conséquences majeures chez les plus jeunes, elles ont été envisagées d’emblée et confirmées dans la réalité 9 :

    « Selon un rapport officiel, les mesures de confinement, y compris le port de masques par les adultes, ont laissé une génération de bébés et d’enfants en bas âge avec des difficultés d’élocution et de socialisation.

    Les inspecteurs travaillant pour l’Ofsted ont constaté que le fait que les enfants en bas âge soient entourés d’adultes portant des masques pendant de longues périodes au cours des deux dernières années a nui à leurs capacités d’apprentissage et de communication.

    Ceux qui atteignent l’âge de deux ans “auront été entourés d’adultes portant des masques pendant toute leur vie et n’auront donc pas pu voir les mouvements des lèvres ou les formes de la bouche aussi régulièrement”, selon le rapport.

    Certains prestataires ont signalé que des retards dans le développement de la parole et du langage des enfants les empêchaient de se socialiser avec d’autres enfants aussi facilement qu’ils l’auraient souhaité auparavant”, ajoute le rapport.

    En raison de ces restrictions, les tout-petits ont également du mal à ramper, à utiliser les toilettes de manière autonome et à se faire des amis.

    Les retards d’apprentissage ont également fait régresser certains enfants au point qu’ils avaient besoin d’aide pour des tâches de base comme mettre leur manteau ou se moucher ».

    Une autre étude, menée en Allemagne, a révélé que la capacité de lecture des enfants s’est effondrée par rapport à l’époque pré-COVID, en raison des politiques de fermeture des écoles.

    L’orthophoniste Jaclyn Theek a déclaré :

    « Le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des demandes de consultation de bébés et de jeunes enfants. Ils ne tentent pas de parler et ne communiquent pas du tout avec leur famille », a-t-elle déclaré, ajoutant que les symptômes de l’autisme sont également en forte hausse.

    A speech therapist says her clinic has seen a « 364% increase in patient referrals of babies and toddlers.» « It’s very important kids do see your face to learn, so they’re watching your mouth. » What the hell have we done?! End this cruel insanity10.

    Peut-on reprocher à une parlementaire, psychiatre de surcroit d’avoir averti ses collègues de faits avérés par de très nombreuses études et de l’avoir fait dans le cadre de son activité parlementaire pour laquelle elle a été élue ?

    « Selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents, les récentes politiques de confinements et de masques imposés par la nation vont créer une génération d’enfants présentant un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales. »

    Son devoir n’était-il pas justement d’alerter comme elle l’a fait ?

    « Le Dr Mark McDonald a cité une étude réalisée le 11 août par l’Université Brown (PDF), selon laquelle « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie », lors d’un entretien avec l’animatrice Cindy Drukier dans l’épisode du 25 décembre de l’émission The Nation Speaks“ dNTD. NTD est un média frère de The Epoch Times.

    Les masques, les « écoles Zoom » et les confinements ont conduit à « une privation générale de contact social, [à] ne pas pouvoir voir les visages, à être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a effectivement causé des dommages au cerveau des jeunes », a-t-il déclaré.

    Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions liées à la pandémie et la« peur que nous inspirons aux enfants » ont entraîné une aggravation des problèmes psychologiques.

    Heneghan a cité son étude du 2 octobre, qui conclut que« huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou de tout symptôme psychologique ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».11

    Même Facebook a reconnu son erreur concernant les masques12. Il y aurait beaucoup à dire sur la censure par fb des informations exactes.13

    Errare humanum est, perseverare diabolicum

    Tous ces faits avérés et ces drames ne peuvent être ignorés des « juges » de Mme le dr Wonner, ni de France info. Comment osent-ils après deux et demi de recul ? L’erreur est humaine, mais persévérer est diabolique.

    LES PSEUDOVACCINS ENTRAÎNENT DES FAUSSES COUCHES, DES TURBOCANCERS ET UNE BAISSE DE L’IMMUNITÉ et DES MORTS

    Le second reproche cité par France info serait le suivant :

    Les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

    Eh bien oui, malheureusement Mme le DR Wonner avait raison de le dire. Elle avait simplement consulté les publications du VAERS agence américaine dépendante de la FDA chargée de collecter les effets secondaires qui ont révélé très tôt l’augmentation considérable des fausses couches chez les femmes enceintes malencontreusement vaccinées. Les données d’EUDRAVIGILANCE ont malheureusement confirmé et on se demande comment la direction générale de la santé se permet encore de conseiller l’injection génique aux femmes enceintes après l’accumulation mondiale de données cohérentes sur les risques des pseudovaccins.14 15

    LES TURBOCANCERS

    Les cancers se sont malheureusement multipliés chez les injectés avec le nombre de rappels : non seulement le réveil de cancers en rémission longue depuis plusieurs années, parfois plus de quinze ans, mais aussi l’apparition de cancers chez des jeunes comme des lymphomes, des cancers du pancréas en particulier. La particularité de tous ces cancers, récidivés ou nouvellement apparus, est leur évolution très rapide et leur insensibilité aux traitements proposés. Ils sont qualifiés de « turbocancers ». La découverte de ces complications terribles au temps où les cancérologues se permettent d’exiger l’injection pour prendre en charge le patient date de plus d’un an déjà et se confirme mois après mois par de nouvelles publications. Comment les médecins juges du Conseil de l’ordre peuvent-ils reprocher cette mise en garde de notre clairvoyante députée ?

    Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué, plus gros, plus rapides, plus récidivants16. « Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées, un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également », selon l’article de l’AIMSIB qui correspond aux observations de très nombreux médecins.

    L’IMMUNODÉPRESSION ET SON TRAIN DE CONSÉQUENCES AUGMENTENT AVEC LE NOMBRE DES INJECTIONS

    Quant au SIDA il s’agit du syndrome de déficience immunitaire acquise, donc de perte de l’immunité, suivant une ou plusieurs injections géniques dont la réalité est malheureusement avérée par la pratique clinique et les publications.17

    « Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non. La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins. De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement. »

    En résumé, les inquiétudes et avertissements de Mme Wonner étaient largement justifiés et on s’étonne que les conseillers ordinaux dûment informés ? Ne serait-ce que par sa longue audition aient pu prendre une telle décision. Quel est leur degré de liberté ? Comment acceptent-ils de se transformer en simples inquisiteurs chargés de condamner les hérétiques qui mettent en doute le dogme gouvernemental ?

    Au-delà de la véracité et de l’importance des déclarations de Mme la Députée, le sujet récurrent est celui de la LIBERTÉ, et singulièrement de la liberté d’expression tant bafouée et menacée par les projets de la Milivudes, via une ancienne scientologiste, tentant de faire dénoncer les opposants traités de complotistes.

    La liberté d’expression18

    Elle fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

    « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

    Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

    « C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

    Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

    Éloge du doute et des débats

    Ce qui sépare la science de la religion est le doute.

    Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

    Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

    Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

    Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0, on peut lire ces phrases fondamentales :

    La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

    © AFP

    La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

    La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

    L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre « droit de savoir. »

    « De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix. »

    Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

    L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

    Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

    La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. « Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception, » a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.

    Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

    « C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socioreligieuses de son environnement. »

    Cette liberté d’expression est de plus en plus mise en cause, des condamnations de l’ordre des médecins aux convocations par des commissariats de soignants vaccino prudents.
    Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son interview récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker2

    Il est intolérable que cet ordre des médecins (créé par vichy et dont les premières mesures ont constitué à exclure les médecins juifs et à demander aux médecins de dénoncer les résistants blessés par balle) ose poursuivre des médecins pour l’expression d’opinions scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

    Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée unique.

    Cette suppression de la liberté d’expression touche les autres professions comme l’attaque du professeur de philosophie René Chiche ou du mathématicien Vincent Pavan suspendu de ses fonctions et privé de la moitié de son salaire l’ont prouvé récemment.19

    Surtout, ne croyez pas le gouvernement qui tente à nouveau de nous faire peur avec une pseudo nouvelle vague.

    Reprise de la propagande mensongère fondée sur un nombre stratosphérique de « cas » obtenus à partir du test PCR qui n’est pas fait pour le dépistage selon son inventeur Karry Mullis lui-même et, qui chez les asymptomatiques est faux dans 97 % des cas.20

    France-Désinfo martèle : « L’épidémie repart à la hausse avec 40 000 “cas” quotidiens. » Sauf que… les « cas » ne sont pas des « malades » ! Et seuls les nombres de malades et de morts permettent de mesurer l’évolution d’une épidémie.

    La vérité est ici : https://covid.irsan.eu. Il y a eu 29 « malades » pour 100 000 habitants pour cette semaine ! Il n’y a donc aucun redémarrage de l’épidémie de covid !





    Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

    [Source : geopolitique-profonde.com]

    L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

    L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

    Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

    Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

    Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

    Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

    Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

    En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

    Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

    Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

    Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

    La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

    L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

    • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
    • De favoriser leur taux de croissance,
    • D’augmenter leur rendement,
    • D’améliorer leur teneur en nutriments.

    Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

    Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

    L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

    Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

    Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

    Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

    En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

    Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

    Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

    Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

    Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

    « Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

    Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

    De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

    Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

    La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

    Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

    La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

    Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

    Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

    En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

    Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

    Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

    Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

    Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

    Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

    En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

    Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

    « La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

    « Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

    L’utilisation des herbicides en augmentation constante

    Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

    Culture pulvérisée aux herbicides

    La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

    Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

    Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

    Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

    Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

    L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

    Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

    Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

    En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

    Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

    En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

    Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

    • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
    • À l’obésité,
    • À la dépression,
    • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
    • À l’autisme,
    • À la maladie d’Alzheimer,
    • À la maladie de Parkinson,
    • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
    • À la sclérose en plaques, au cancer
    • À l’infertilité
    • Aux anomalies du développement.

    Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

    Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

    Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

    De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

    D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

    Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

    Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

    À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

    Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

    Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

    M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

    Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

    L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

    Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

    Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

    La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

    M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

    Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

    Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

    « Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

    « Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




    Les chercheurs comprennent de mieux en mieux les causes de l’autisme

    [Source : aimsib.org]

    Alors que, de source officielle, l’autisme pourrait toucher un nouveau-né sur cent en France et que ce chiffre pourrait grimper à un sur quarante-quatre aux USA, les spécialistes de la question affectent toujours de ne se quereller que sur la définition exacte de la maladie. Il faudrait pourtant accepter de crever l’abcès du doute entourant la responsabilité des vaccins aluminiques dans la genèse de ces troubles incurables. Il faudrait admettre également que la frénésie vaccinale anticoquelucheuse chez les femmes enceintes est mortifère. Voici la démonstration d’Hypatie A, implacable, sourcée, terrible. Les adjuvants aluminiques induisent des complications catastrophiques et les défenseurs de ces vaccins doivent comprendre qu’il ne leur reste plus grand chose pour s’opposer à l’évidence. Des vaccins obligatoires qui donneraient l’autisme voire des lésions cérébrales de type « bébé secoué », des vaccins pour femmes enceintes qui induiraient des coqueluches post-natales, mais dans quel monde on vit ?  Bonne lecture.

    Par Hypathie A

    Résumé :
    – Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce qu’on croit.
    – Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
    – Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
    – L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
    – La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle présente un danger réel pour le développement nerveux du nourrisson (en particulier chez les garçons).
    – Les adjuvants aluminiques sont un facteur supplémentaire de danger, en activant de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire (de façon immédiate ou retardée, l’aluminium étant neurotoxique).

    Introduction

    Les sites dédiés à l’autisme me laissent toujours perplexe : officiellement, on ne sait pas clairement ce qui cause l’autisme. Si tout le monde s’accorde pour considérer qu’il s’agit d’un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

    Un exemple, l’article de l’INSERM dédié à l’autisme date toujours de 2018 ! Autant dire qu’on cultive l’obsolescence sur un sujet pourtant d’actualité.

    Pour l’institution, l’origine est « largement génétique » [1] (ah bon ?) et bien sûr, il est impossible « de soigner l’autisme ». C’est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d’enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% – et pourtant, on serait incapable d’en déterminer la cause… Sauf si on a l’idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout : elle a même fait d’énormes découvertes ces vingt dernières années. L’équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd’hui une revue [3] complète de la littérature.

    On peut réellement affirmer qu’on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l’apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l’information ne parvient pas au grand public.

    Mais est-ce étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

    La clé de l’énigme : le système immunitaire

    1 – Un système encore très mal connu

    À en croire l’intégralité des articles grand public sur le sujet, le système immunitaire (SI) ne serait qu’un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n’est question que de contrôle, de défense, d’attaque et d’entraînement.

    Une « machine de guerre » dont chaque rouage n’aurait plus aucun secret à dévoiler… Il n’en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].

    C’est ainsi, par exemple, qu’on se garde bien de communiquer sur le fait que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du SI dépend le meilleur… comme le pire, pour le développement de l’organisme [6].

    Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le SI du cerveau.

    [Note de Joseph : la notion de système immunitaire provient de la théorie des germes, de son corollaire la théorie virale et de l’idée que l’organisme devait se défendre contre de minuscules agresseurs étrangers tels que les bactéries et les virus. Comme certaines maladies attribuées à ces microscopiques éléments vivants ou pseudo vivants ne semblaient avoir lieu qu’une fois dans la vie d’un individu, la médecine a supposé que le corps s’en trouvait ensuite immunisé, ceci grâce à des composants cellulaires ou protéiques particuliers. Cependant, s’il s’avère — comme l’a pratiquement et scientifiquement démontré le virologue Stefan Lanka — que les virus et les bactéries ne sont pas la cause réelle de telles maladies (voir le dossier Vaccins et virus), mais de simples conséquences d’agressions diverses subies par l’organisme*, alors la notion de système immunitaire devient également caduque et devrait plutôt être remplacée plus judicieusement par celle de système d’autoréparation ou d’entretien du corps.
    (* : Les bactéries se comportent en symbiotes vivant normalement en harmonie dans le corps humain et y permettent en particulier l’assimilation de nutriments dans les intestins. Cependant, lorsque leur environnement naturel est plus ou moins gravement perturbé dans ses conditions biochimiques (par exemple par manque d’oxygène), elles se mettent à produire d’autres substances, certaines pouvant être toxiques.
    Ce que la virologie a appelé « virus » est naturellement produit par les cellules en manque de nutriment et/ou lorsqu’elles subissent diverses formes d’agression, y compris par des ondes électromagnétiques pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G.)]

    2 – On devrait parler de système Neuro-Immun

    Le SI est présent dans tout l’organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d’un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination…) ce système va réagir : on parle d’activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du SI qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu’ici, on est d’accord.

    Mais il y a un hic.

    Ce que personne ne nous dit, probablement par manque de connaissance sur le sujet, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

    En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].

    Contrairement à la croyance officielle, le système immunitaire et le système nerveux (et donc le cerveau) ne sont pas séparés. Ils sont même carrément interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n’est pas du tout anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on le croit.

    Voyons ce qu’il en est pour le cerveau en développement.

    Activations immunitaires cérébrales précoces

    On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10], et plus précisément par les cytokines générées en cas d’inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l’apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l’objet de nombreuses études depuis près de vingt ans, à la fois chez la souris, le singe et l’humain [12].

    Les cytokines, même produites à distance du cerveau [13], peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui protège le cerveau (rappelons que la BHE du nourrisson est immature, plus poreuse que celle de l’adulte) et activer le système immunitaire cérébral : la microglie, les macrophages du système nerveux central. Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c’est la microglie qui s’emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

    Plus l’activation immunitaire dure longtemps (voire de façon chronique), plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps… plus le risque d’autisme est grand [16].

    Le timing de l’inflammation du cerveau, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

    Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

    Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l’apparition des troubles du neurodéveloppement. L’idée est d’activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l’équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d’alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

    « Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C’est le BUT de la vaccination. (…) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

    Leurs recherches, confirmées par d’autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l’apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l’autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité…) [22]. Chez l’homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu’une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

    Le « Multiple Hit »

    Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l’histoire de l’humanité aurait été bien différente… Des études récentes ont permis d’approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l’activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive. La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu’à un certain point [24]. Elle s’amorce progressivement avant de s’activer pleinement : on parle d’un modèle de « multiple hit » [25].

    Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d’amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d’amorçage. [26] Notons qu’il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l’enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

    Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s’activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l’autisme [29]. C’est un cercle vicieux : l’activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes…) [30].

    « … tous les facteurs qui modifient le nombre ou l’état d’activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l’autisme » [31].

    Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, serait vaccinée et/ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, et donc prête à s’activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance…

    Activation Immunitaire Post-natale

    Mais le plus intéressant, si je puis dire, c’est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l’Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

    « Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
    et

    « L’activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l’autisme ».

    Déjà en 2018, l’équipe tentait de tirer le signal d’alarme [33], soulignant dans le résumé d’introduction : « L’activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l’autisme ».

    Notez bien, car c’est d’une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l’absence d’infection, autrement dit, la présence d’un virus ou d’une bactérie n’est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L’activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en cas de toxiques persistants, comme un adjuvant vaccinal, dont le rôle est précisément d’activer le système immunitaire durablement.

    Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

    Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

    Il est donc théoriquement possible qu’un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

    Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35]
    (calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

    L’histoire emblématique du vaccin DTCoq

    Le lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d’hier… Le premier signal d’alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l’aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

    Le fameux DTCoq (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l’aluminium) est devenu en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

    Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l’ajout de l’adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d’antigènes. Comme d’habitude, le choix des industriels est imposé de force au grand public. Mais devant le nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs précieux bénéfices : la situation n’est pas tenable.

    Les industriels prennent le problème en main :

    – Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
    – Ils modifient la formule du DTCoq (qu’ils recombinent dans les penta et hexavalents) pour dire que tout va beaucoup mieux maintenant, sans avoir à le démontrer…
    – Car ils obtiennent l’immunité légale via l’obligation vaccinale [40], afin de ne plus être ennuyés par les réclamations intempestives du public : c’est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais…
    – Du coup, les systèmes de pharmacovigilance publics ne sont pas très motivés pour surveiller les signaux d’alarme, ils restent donc passifs, complexes et obsolètes, histoire de ne rien détecter de gênant [41].

    Parallèlement à tout cela, on a vu la multiplication du nombre d’injections, mais aussi la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42] et les métaux toxiques. On a surtout pu observer l’explosion exponentielle des cas d’autisme dans la population.

    Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

    Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd’hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Une majorité d’enfants naissent probablement avec une microglie au moins en partie amorcée.

    Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), ne peut que conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.

    Alors qu’il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l’aluminium, dont on sait qu’il peut traverser le placenta [43]).

    Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s’intéresse à l’impact de la vaccination sur le développement neurologique de l’enfant (on imagine bien pourquoi).

    Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré…

    Adjuvants aluminiques : une arme de destruction neurologique

    On le sait bien aujourd’hui, les particules d’aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l’organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plein de façons différentes !

    Neurotoxique et très persistant

    L’aluminium, en plus d’être neurotoxique, est aussi très biopersistant, provoquant une stimulation immunitaire de longue durée… ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

    Pro-inflammatoire même à distance !

    On sait qu’une vaccination adjuvée à l’aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l’a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

    Une étude de UC Davis [48] a observé qu’une simple injection d’adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d’IL-6 dans le cerveau.

    En clair, l’aluminium n’a même pas besoin d’entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d’injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

    Mais ce n’est pas tout…

    Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) en cas d’inflammation ou chez le nourrisson dont la BHE est immature. Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, permettent d’améliorer la porosité de la BHE… afin de faciliter l’accès au cerveau ? [50]

    Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd’hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

    Un dernier pour la route ?

    L’autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s’activer pleinement.

    En clair, tout, absolument tout est fait pour activer au maximum la microglie des nourrissons et provoquer des troubles du neurodéveloppement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques totalement ignorées… voire censurées [52].

    On voudrait causer ces troubles, on ne s’y prendrait pas autrement.

    Vaccination de la femme enceinte

    Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d’encre [53].

    Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l’aluminium.

    Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont bien évidemment rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n’ont été observés que pendant un mois… et bien sûr, la question de leur développement neurologique n’a effleuré personne… Rappelons que l’âge moyen du diagnostic d’autisme est de 50 mois [56].

    Mais alors, que sait-on de l’efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l’enfant ? C’est là que ça se complique. Les labos nous disent qu’un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s’opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l’enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n’est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d’être trop peu efficace [57]. Une étude de 2019 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la maladie, tout au long de leur vie.

    Mais le plus perturbant, c’est que les chercheurs (en lien avec l’industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l’enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l’OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l’une des plus grandes sommités dans le domaine.

    Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Helen explique que, dans deux études de cohorte qu’ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

    On dirait bien un exemple de « facilitation de l’infection par les vaccins », comme on l’a vu pour le vaccin contre la dengue… ou le covid [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l’enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d’anticorps ne signifie pas que l’enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

    Mais ce qui est très étrange, c’est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle… et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l’infection…

    Le grand public n’a de toute évidence pas besoin de savoir.

    Conclusion

    Je ne peux pas m’empêcher d’y penser… Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle… cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu’il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d’assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d’avoir maltraité leurs enfants… alors qu’une vaccination pourrait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

    À la lecture de la revue du Dr Crépeaux et de son équipe (réalisée notamment grâce aux dons du public, je le souligne) et de la littérature dans son ensemble, une chose me paraît évidente : tous les ingrédients sont réunis pour nuire au bon développement neurologique d’un maximum d’enfants. Il me semble que la médecine est passée du côté obscur de la force, depuis très longtemps : en maintenant des croyances non fondées scientifiquement, au prétexte que la vaccination serait aussi incritiquable qu’un dogme religieux, on condamne une partie grandissante de l’humanité à vivre coupée d’elle-même, avec des cerveaux qui ne sont pas ceux qu’ils auraient dû avoir, avec des troubles chroniques qui ne permettent pas l’accès au bien-être physique et mental, pour la majorité des autistes… et leurs proches [64].

    Nous sommes au milieu d’une guerre de l’information : chaque personne qui comprend les enjeux et a accès à ces données doit agir pour la diffusion de ce savoir, en particulier auprès des médecins. Nous avons absolument tous un rôle à jouer dans cette histoire.

    – Les chercheurs qui, contre vents et marées, produisent la connaissance, sans savoir s’ils auront encore des financements l’année prochaine. N’hésitez pas à les soutenir : ce sont eux qui nous permettent de comprendre ce qui se passe réellement : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3
    – Les médias alternatifs, les associations de patients et les citoyens qui lisent cette science et tentent de la transmettre au public le plus large possible.
    – Les activistes qui déterrent des informations dissimulées au public
    – Les soignants capables de remettre en question leurs croyances… et qui en paient le prix fort.
    – Les parents qui luttent pour protéger leurs enfants de cette barbarie… ou pour les soigner (car oui, c’est possible).

    C’est exactement ce que nous montrent les événements de ces deux dernières années. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette histoire. C’est notre histoire. Et personne d’autre que nous n’a le droit de l’écrire à notre place. Alors n’hésitez pas à faire passer le message à tous les médecins, infirmiers, pédiatres, pharmaciens que vous croiserez :

    « Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités,
    peuvent vous faire commettre des atrocités. »

    Anonyme

    Hypatie A
    Octobre 2022




    L’utilisation de la technologie sans fil modifie le cerveau — voici comment

    [Source : epochtimes.fr]

    Par MINGJIA JACKY GUAN

    Nous faisons tout avec nos téléphones : les provisions, le shopping, nous parlons avec nos amis, nous jouons, et des dizaines d’autres choses. Certains d’entre nous travaillent avec leur téléphone. Parfois, la table du dîner compte plus de téléphones que de personnes. Souvent, notre bien-aimé regarde son téléphone sans nous prêter plus d’attention. Nous-mêmes avons le nez collé dans le téléphone alors que nos enfants nous parlent.

    Le téléphone a été inventé en 1876, l’ordinateur personnel en 1974 et Internet la même année. La première tentative commerciale de smartphone a été réalisée par IBM en 1992. Il comportait plusieurs fonctions, notamment les appels, les textos, les mails, une horloge mondiale et bien d’autres fonctions qui font partie intégrante du téléphone d’aujourd’hui. Mais, 30 ans plus tard, le téléphone fait beaucoup, beaucoup plus de choses. Et les 50 000 unités vendues par IBM Simons au début des années 1990 semblent bien ridicules face aux 6 milliards de smartphones fonctionnant de par le monde actuellement.

    Il est intéressant de noter qu’à l’époque où l’IBM Simon est sorti, le gouvernement américain procédait à une réduction importante de son financement.

    Le Dr Joel Moskowitz a mené des recherches sur les effets des radiations sans fil dans le courant de la dernière décennie à l’Université de Californie-Berkeley. Il déclare :

    « Une grande raison pour laquelle il n’y a pas plus de recherches sur les risques sanitaires de l’exposition aux radiations radiofréquences est que le gouvernement américain a cessé de financer ces recherches dans les années 1990. »

    « Une recherche de 30 millions de dollars menée sur des souris fait exception. Elle a été publiée en 2018 par le Programme national de toxicologie du National Institute of Environmental Health Sciences. »

    « Ils ont trouvé des “preuves claires” de la cancérogénicité des radiations des téléphones cellulaires. »

    Une recherche de Harvard (PDF) de 60 pages rédigée par Norm Alster montre que la Federal Communications Commission (FCC), chargée de réglementer la technologie sans fil« est à la merci des industries qu’elle est censée réglementer ».

    Matière blanche, matière grise et problèmes de mémoire

    Le cerveau est composé de deux parties, la matière blanche et la matière grise, ainsi nommées en raison de leur apparence relative. La matière grise a fini de se développer totalement vers les 20 ans. La matière grise est responsable de tous les mouvements moteurs du corps et, surtout, des capacités cognitives. La matière blanche joue un rôle clé dans le relais et l’accélération des signaux nerveux en provenance et à destination du cerveau et continue à se développer plus tard, la cinquantaine dans certains cas.

    Ces deux substances sont principalement présentes dans le cerveau et dans certaines parties de la moelle épinière et sont considérées comme l’une des parties les plus mystérieuses, mais aussi les plus vitales du corps humain, jouant un rôle essentiel dans l’exécution de toute tâche, pour relayer les informations et les traduire en actions. Des études montrent que de plus petits volumes de matière blanche, par exemple, peuvent être associés à des déficiences liées à l’attention, à la mémoire, aux fonctions exécutives, à l’intelligence et aux résultats scolaires.

    Dans les cas extrêmes, la détérioration de la densité et de l’intégrité de la matière blanche et grise est la principale cause des maladies neurodégénératives. La maladie d’Alzheimer, par exemple, proviendrait de la croissance de plaques de protéines à la place de la matière blanche et entraînerait ainsi des troubles moteurs et de la mémoire. La sclérose en plaques est due à une maladie inflammatoire du système nerveux central qui entraîne également une détérioration de la matière blanche. La toxicomanie et les traumatismes cérébraux peuvent également entraîner une détérioration de la matière cérébrale.

    Les téléphones peuvent faire de même.

    Il a été cliniquement démontré que l’utilisation régulière du téléphone entraîne une détérioration de la matière grise, la partie du cerveau qui permet les mouvements moteurs, la mémoire et les émotions.

    Ce phénomène est probablement dû aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) émis par les smartphones.

    Une étude suisse menée en 2015 indique que l’exposition aux CEM-RF émis par les téléphones portables était liée à des problèmes de mémoire.

    Une autre étude suisse a conclu de manière préliminaire que l’exposition aux CEM-RF était associée à des déclins des fonctions cognitives dans le cerveau, ce qui inclut les problèmes de mémoire.

    Les IRM de patients dépendants des smartphones révèlent déjà que la composition de leur matière grise cérébrale ressemble à celle d’une personne souffrant de troubles liés à la consommation de substances : elle est détériorée.

    Il a déjà été cliniquement prouvé que l’exposition aux CEM-RF est liée à des modifications de la biochimie et de l’électrophysiologie du cerveau, comme indiqué précédemment. On peut donc logiquement en déduire que l’exposition prolongée aux CEM-RF des smartphones est liée à la détérioration du cerveau.

    Une étude publiée récemment détaille les effets de la 5G dans diverses situations : en cas des maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (SLA), ainsi que d’autres problèmes neurocomportementaux comme l’autisme, la production de mélatonine par la glande pinéale et la perturbation de la barrière hématoencéphalique. Les recherches sur la 5G et ses effets sont quelque peu limitées, mais les études préexistantes montrent déjà que les ramifications sont nombreuses.

    Il existe actuellement près de 300 études sur les champs électromagnétiques/rayonnements de radiofréquence (CEM/RF) qui documentent leurs effets neurologiques, ou leurs effets sur le cerveau. Compte tenu de l’abondance des preuves, un groupe composé de plus de 250 scientifiques dans le domaine de la recherche sur les CEM a lancé un appel aux États-Unis et à l’OMS pour une plus grande protection de la santé en matière d’exposition aux CEM. Cet appel est d’autant plus pertinent que les études sur les effets néfastes de la technologie de réseau mobile 5G sur la santé en conditions réelles se multiplient.

    [Voir aussi :
    dossier 5G et ondes pulsées]

    Comment les CEM-FR provoquent le cancer

    Un projet de recherche des National Institutes of Health (NIH) portant sur les effets néfastes des rayonnements 2G et 3G sur les souris, publié en 2018, a révélé que l’exposition aux radiofréquences liées aux réseaux téléphoniques est associée de manière flagrante à des tumeurs dans divers organes de souris et à d’autres types de cancer.

    En plus de cela, les preuves scientifiques actuelles démontrent clairement un risque accru de gliome et de neurinome de l’acoustique, types de cancers du cerveau et de la moelle épinière, liés à l’utilisation de téléphones mobiles et/ou sans fil.

    Un examen systématique effectué fin 2020 a abouti aux mêmes conclusions :

    « [il existe] des preuves très nettes associant l’utilisation des téléphones cellulaires à un risque accru de tumeur, en particulier chez les utilisateurs de téléphones cellulaires ayant cumulé au moins 1000 heures d’utilisation au cours de leur vie (ce qui correspond à environ 17 min par jour sur 10 ans). Cette association est d’autant plus nette dans les recherches ayant employé des méthodes de pointe. »

    Le narratif actuel en matière de technologie sans fil est que la technologie des ondes millimétriques pour, disons, la 5G ou le WiFi, n’est pas considérée comme suffisamment forte pour pénétrer dans la peau. Elle est non ionisante, et ne fait donc aucun mal aux humains.

    La Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) a établi diverses directives, mais ces directives :
    – n’empêchent pas une augmentation inacceptable de la température ;
    – ne limitent pas l’intensité des pics de rayonnement ;
    – exigent qu’un téléphone mobile 5G soit tenu à 8 cm de la tête ou du corps.

    Le professeur Yuri G. Grigoriev, membre de plusieurs commissions et comités russes et internationaux sur la sécurité des rayonnements et des CEM, ainsi que président adjoint du Bureau de radiobiologie de l’Académie des sciences de Russie, qui a publié son livre « Fréquences utilisées dans les télécommunications – Une évaluation radiobiologique intégrée » peu avant sa mort.

    Dans ce livre, le Dr Grigoriev souligne que l’ICNIRP n’est pas forcément crédible. Il s’agit d’une ONG allemande cultivant des liens étroits avec l’industrie, régulièrement critiquée pour présumer de son autorité.

    Selon le Dr Grigoriev, les directives de l’ICNIRP sont inadéquates parce qu’elles ont été conçues uniquement pour protéger les gens des effets thermiques des rayonnements.

    Dans son livre, il fait référence à des études qui mettent en évidence les dommages causés aux cellules nerveuses, les altérations des membranes cellulaires, les niveaux de protéines cérébrales dans l’hippocampe, les cassures de l’ADN, la reproduction, et bien d’autres effets encore.

    Selon le Dr Moskovitz, il existe pléthore d’études sur la technologie 5G, et la plupart d’entre elles vous diront que la 5G est tout à fait sûre et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Mais en lisant les petits caractères, on voit que sur les 408 études existantes, seules sept sont des études médicales ou biologiques.

    « Un examen plus approfondi, cependant, révèle que, bien que ces [sept] études aient employé des fréquences porteuses utilisées dans la 5 G, aucune de ces études n’a modulé ou pulsé le signal comme l’exige la 5 G ou utilisé d’autres caractéristiques de la technologie 5G (par exemple, la formation de faisceau, le MIMO massif et les réseaux phasés) qui sont susceptibles d’affecter la nature et l’étendue des effets biologiques ou sanitaires de l’exposition à ce rayonnement. »

    Cependant, une étude qui a modulé le signal dans les conditions du monde réel a conclu que les rayonnements radiofréquences, pas nécessairement la 5G, peuvent entraîner des effets cancérigènes, tels que des tumeurs cérébrales/gliomes, des cancers du sein, des neurinomes de l’acoustique, des leucémies et des tumeurs de la glande parotide. Ces résultats sont basés sur des expériences menées avec des niveaux de radiofréquences inférieurs aux directives de la FCC. La même étude a révélé que les radiations des téléphones portables peuvent également provoquer des inflammations, des maux de tête, de l’irritabilité, de la fatigue, des difficultés de concentration, des dépressions, des acouphènes, des troubles digestifs, et bien d’autres choses encore.

    À partir de là, on comprendra que les smartphones et leur impact sur le corps humain ne concernent pas une zone ou une autre, mais semble attaquer l’ensemble de l’organisme.

    Comment vaincre la dépendance aux smartphones

    Il est inutile de nier que les gens sont aujourd’hui dépendants des smartphones. Des études ont montré qu’un adolescent sur quatre était sujet à une addiction aux smartphones, mais les estimations prévoient que les chiffres réels sont bien plus élevés.

    On peut constater partout autour de soi que les smartphones n’affectent pas seulement les adolescents. Ils affectent également les relations, les familles et les personnes de tout âge. La dépendance aux smartphones entraîne de nombreuses conséquences défavorables sur le plan clinique (troubles du sommeil, oculaires et musculo-squelettiques), psychologique (distraction, modification de l’humeur, perte d’intérêt) et social (approche superficielle de l’apprentissage, isolement).

    Les smartphones sont conçus pour créer une dépendance, c’est dans leur ADN.

    On a constamment envie de taper sur l’écran, de faire glisser l’écran vers le bas et de le rafraîchir parce que cela procure une satisfaction inexplicable — les accros du jeu ne peuvent pas résister à l’envie de tirer sur le levier de la machine à sous, tout comme les accros des smartphones ne peuvent pas résister à l’envie de faire défiler l’écran. Les similitudes sont palpables, et Tristan Harris, ancien « éthicien du design » chez Google, explique que les fonctionnalités, telles que la fonction « pull-to-refresh », sont inspirées des machines à sous et autres jeux de casino. Le son d’un message entrant (petit tintement) a été conçu pour déclencher en quelque sorte la dopamine dans le cerveau. Comment faire pour réduire sa dépendance au smartphone ?

    Admettre sa dépendance

    La première étape consiste à analyser la façon dont on utilise son téléphone. L’utilise-t-on pour des choses indispensables ou pas. Certains parmi nous ont simplement besoin d’utiliser leur téléphone pour leur travail et ils ne peuvent pas se permettre de le mettre de côté. L’accent est mis sur cette dichotomie : « nécessaire » vs « inutile ». La dépendance consiste à ressentir constamment l’envie d’utiliser son téléphone même si ce n’est pas utile. Faire défiler son fil d’actualité pendant des heures sur les médias sociaux est un exemple assez classique. Papillonner sur son téléphone pour rien en est un autre. La frontière est parfois mince.

    Une fois qu’on a bien analysé la situation, on peut alors réfléchir aux étapes suivantes.

    Trouver d’autres divertissements

    La première étape consiste à trouver des activités non liées à la technologie, telles que le dessin, la cuisine ou autre.

    On peut privilégier le rapprochement physique avec les amis aux interactions téléphoniques. Faire des promenades en laissant le téléphone derrière soi, jusqu’à un lac, un sentier ou une ville à proximité, visiter un nouveau café ou aller dans un restaurant réputé.

    Le but est de réaliser qu’il y a toute une vie non numérique en dehors de notre zone de confort en ligne, et c’est tout à fait agréable simplement parce que c’est la vraie vie.

    Avoir quelqu’un qui nous soutient est très important.

    Être strict avec soi-même

    Une chose délicate face aux addictions est de rester TRÈS ferme avec soi-même. S’en tenir à un objectif, surtout celui-ci, exige beaucoup de détermination et de résistance. Parfois, cela peut sembler presque impossible, mais avec un bon état d’esprit et une attitude positive, on peut y arriver.

    Il ne faut pas considérer cela comme un fardeau ou comme un devoir, mais plutôt comme une façon de se « libérer » du harcèlement constant des messages entrants ou du dernier tweet. Il existe de nombreuses fonctions, comme les paramètres « ne pas déranger ». On peut les régler afin qu’ils s’activent automatiquement au cours de la journée. Le téléphone se fera alors un peu oublier. Ce qui nous amène à un autre point crucial.

    Certaines personnes regardent leur téléphone juste pour regarder leur téléphone, tandis que d’autres y vont délibérément pour « envoyer des messages à maman ». Oui, envoyer des messages à un ami en permanence est amusant, mais les relations sociales saines impliquent des pauses, quelle que soit la proximité.

    Rester constamment en contact 24/7 peut conduire à une apathie sociale, ce qui signifie qu’il n’y a pas de derniers potins à attendre avec impatience, pas de nouvelle voiture à évoquer, ou rien de ce qui s’est passé qui n’a pas été dit. Ne pas se connecter l’un à l’autre pendant une semaine ou deux et se retrouver ensuite pour passer un bon moment ensemble est mieux que d’avoir des textos qui fusent de gauche à droite et de passer un après-midi silencieux dans une chaîne de cafés. Une véritable interaction sociale est tout simplement meilleure.

    Se mettre hors ligne

    Si l’envie d’attraper le smartphone est trop forte, il faut l’enfouir quelque part.

    Une tradition japonaise appelée « Shinrin-Yoku » consiste à se rendre dans une forêt et à profiter de l’immense beauté de la nature. Les gens passent généralement des heures dans la nature de cette façon et prennent le temps de se désintoxiquer, de se détendre et d’être en paix.

    Pour aller plus loin, on peut organiser une escapade tout le week-end, seul ou avec des amis. On laissera le téléphone dans le sac, rangé et éteint. Un bon moyen de l’oublier est d’aller camper.

    Un autre moyen radical pour se sevrer est de troquer son smartphone pour un téléphone à clapet. Voilà une initiative efficace pour se déconnecter tout en restant joignable et envoyer des SMS.

    Tout cela montre simplement qu’on peut parfaitement vivre sans smartphone.




    Go Virus Go !

    [Source : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/goVIRUSgogogo.pdf]

    Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

    Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.

    Jean Bitterlin

    [Note du traducteur (Jean Bitterlin) :
    afin de bien comprendre les différentes étapes du « Procès du pari que le virus de la rougeole n’existe pas » ou du « Procès de la récompense à qui prouvera l’existence du virus de la rougeole de manière scientifique », il faut connaître les différentes étapes du système judiciaire allemand.

    • Le Landgericht (tribunal régional) ou LG correspond au tribunal de Grande Instance en France.
    • Le Oberlandgericht ou OLG est la juridiction de 2instance en matière civile et correspond à la Cour d’Appel en France. Les OLG sont compétents pour les recours interjetés contre l’ensemble des décisions rendues par les LG. Il y en a 24 en Allemagne.
    • Le Bundesgerichthof (tribunal fédéral) ou BGH est le dernier degré de juridiction civile en Allemagne. Son siège est à Karlsruhe.

    Par ailleurs le Robert Koch Institut ou RKI est l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur en France.

    Dans la traduction seront utilisés les acronymes LG, OLG et BGH pour désigner les différents tribunaux.

    La Cour fédérale de justice fait sombrer la foi dans les virus

    Dans le « procès du virus de la rougeole » qui a duré cinq ans, le 1er décembre 2016 la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe a confirmé le sensationnel jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016.

    Depuis le 1er décembre 2016, il est de jurisprudence suprême en Allemagne que toutes les affirmations concernant la contagion de la rougeole, les vaccins contre la rougeole et le virus de la rougeole n’ont aucun fondement scientifique.

    Les attendus du jugement, confirmés par la plus haute juridiction, comprennent la désignation claire de faits qui non seulement réfutent toutes les affirmations concernant la contagion de la rougeole, les vaccins contre la rougeole et le virus de la rougeole, mais aussi tous les soi-disant « virus pathogènes » et les vaccins.

    Le Monde attend maintenant que soit introduite dans la jurisprudence une première procédure judiciaire dans laquelle l’obligation de vaccination, l’exclusion scolaire, l’atteinte au droit des parents ou le droit au libre choix de la profession seront repoussés et dans laquelle la reconnaissance d’un dommage lié à la vaccination ou le caractère insoutenable des recommandations de l’État en matière de vaccination seront portés en justice.

    Cela peut et doit conduire — d’abord en Allemagne, puis au niveau mondial — à la reconnaissance des dérives de la médecine et au début d’un enseignement de la santé publique réellement scientifique. Pour cela les bases sont posées.

    ]


    [Voir aussi :
    dossier Vaccins et virus]


    La Cour fédérale de justice fait sombrer la foi dans les virus

    Go Virus Go

    Par le Dr Stefan Lanka

    Le 24 novembre 2011, j’avais promis une récompense de 100 000 € pour toute publication scientifique dans laquelle l’existence affirmée du « virus de la rougeole » serait prouvée. Ce défi a déclenché le « procès du pari sur l’inexistence du virus de la rougeole ». La condamnation médiatique préalable a été énorme. Le LG de Ravensburg s’est retrouvé sous pression et le président du tribunal, le juge Matthias Schneider, a paniqué.

    Le 12 mars 2015, dans la première partie de l’audience, par le biais d’une extension excessive du Droit et de la Loi et en ignorant tous les faits présentés par écrit, avant même le départ de l’expert et avant les autres étapes requises par la législation, le juge Schneider a rendu un « jugement sur la chaise ». Les « jugements sur la chaise » sont des jugements qui ne nécessitent pas le temps de réflexion nécessaire imposé par ailleurs au tribunal et aux parties. En Droit Civil, les « jugements sur la chaise » ne peuvent être rendus que pour des faits très simples et clairs.

    Le LG de Ravensburg m’a ainsi empêché, lors de l’audience de plaidoirie, dans le cadre de l’obtention de preuves prévue par la loi et au moyen de la documentation qui était préparée et qui aurait dû être présentée par le biais de mes avocats, de réfuter toutes les déclarations de l’expert désigné par le tribunal. C’est la raison pour laquelle cette réfutation n’a été faite que plus tard et de manière coûteuse, lors de la procédure d’appel devant la OLG de Stuttgart. Si je n’avais pas pu réunir et verser en très peu de temps l’énorme somme de plus de 150 000 €, la procédure d’appel et le recours devant la Cour fédérale de justice n’auraient pas eu lieu. Sans beaucoup d’argent, il est difficile d’obtenir justice en Allemagne.

    Le LG de Ravensburg a empêché, par le biais de l’insidieux « jugement sur la chaise », la possibilité suivante : « Les parties négocient de manière litigieuse sur le résultat de la preuve », comme cela figure à tort dans le procès-verbal de l’audience, sans qu’une instruction en bonne et due forme ait été menée et clôturée et également sans que la partie civile du plaignant ait été entendue. Le plaignant a prétendu qu’il y avait eu injure, raison pour laquelle je devais lui verser 492,54 € plus intérêts, sans que la prétendue injure n’ait été judiciairement constatée ni jugée. Par son « jugement sur la chaise » inacceptable et pris dans la panique — l’assesseur et rapporteur du tribunal a posé lors de l’interrogatoire de l’expert les questions décisives réfutant les affirmations de l’expert — le juge Schneider m’a empêché de déposer les conclusions préparées et de présenter mes réfutations des déclarations de l’expert. Par mesure de précaution, le juge Mathias Schneider, président du tribunal, m’a interdit dès le début de l’audience de poser des questions à l’expert, sachant que je disposais d’une expertise scientifique publiée dans le domaine de la virologie et que l’expert en question n’avait pas d’expertise scientifique publiée.

    Le juge m’a condamné à payer la récompense promise de 100 000 €, avec en plus des intérêts élevés, ainsi que tous les frais et les frais d’expertise élevés. Le juge a également ordonné que le plaignant puisse réclamer ces sommes, même si je faisais appel. Le demandeur l’a fait immédiatement et avec un maximum d’efforts. Il a même demandé un mandat d’arrêt à cet effet et a affirmé publiquement, au mépris de la vérité, que celui-ci était devenu effectif. En outre, le plaignant lui-même n’a même pas fourni la garantie bancaire que la loi exige pour réclamer un jugement exécutoire par provision.

    Cette « grossière erreur judiciaire » du LG de Ravensburg a été annulée le 16 février 2016 par l’OLG de Stuttgart suite au succès de mon appel. À ce jour (le 28 février 2017, mise sous presse), le plaignant n’a pas remboursé les 121 000 € que j’avais versés et n’a pas payé les frais d’avocat, de justice et d’expertise, bien que l’arrêt de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 ait été rendu exécutoire par la décision de la Cour Fédérale du 1er décembre 2016.

    Tâche difficile pour la Cour d’Appel de Stuttgart

    L’OLG de Stuttgart, qui a accepté mon appel « dans son intégralité », avait une tâche difficile. Comment la Cour d’Appel pouvait-elle, en même temps que mon acquittement, préserver la réputation de la justice, celle de ses collègues de Ravensburg, celle de l’expert désigné par le tribunal, le professeur Andreas Podbielski, et surtout celle du professeur Annette Mankertz de l’Institut Robert Koch ? En rendant son jugement, l’OLG de Stuttgart a tenté de protéger toutes les parties concernées en dehors du plaignant, le Dr Bardens qui a subi les foudres du tribunal.

    Le tribunal a tenté de faire le grand écart et a écrit une page d’histoire mondiale. Il a élégamment démasqué, désormais avec force de loi, la croyance erronée dans le « virus de la rougeole », dans la transmissibilité de la « rougeole » et dans la possibilité et l’efficacité des soi-disant « vaccins contre la rougeole ». Les faits ne sont pas à lire entre les lignes, mais dans les lignes du jugement, que toutes les affirmations concernant tous les virus responsables de maladies sont réfutées.

    Lors de la formulation de son jugement, l’OLG de Stuttgart a rencontré plusieurs problèmes avec les faits avancés. Elle a tenté d’en neutraliser certains sur le plan juridique, d’autres ont été présentés tels quels, sans les commenter, sans leur donner de valeur juridique. Par exemple toutes les déclarations écrites et orales de l’expert judiciaire, le professeur Podbielski, sur lesquelles reposait toute la procédure, sont manifestement et prouvées fausses(([1] Voir : L’acte d’appel du 7 juillet 2015 a été publié dans les numéros 5 et 6/2015 du magazine WissenschafftPlus. Ma prise de position du 10 décembre 2015 adressée à la Cour d’Appel de Stuttgart, qui fait partie intégrante de l’appel, a été publiée en cinq épisodes dans les numéros n° 1/2016 à n° 5/2016 du magazine WissenschafftPlus. L’expertise du 10 décembre 2015 d’un professeur dans le domaine de la virologie a été publié dans les numéros n° 6/2016 et n° 1/2017 du magazine WissenschafftPlus.
    À commander dans la boutique de www.food-or.de ou à l’aide du lien
    http://www.food-or.de/shop/c/de/abonnement)). Dans mon recours, j’ai réfuté toutes les déclarations de l’expert.

    En outre, le recours comprenait cinq expertises, chacune d’entre elles réfutant les déclarations du professeur Podbielski. La quatrième expertise confirme que le professeur Podbielski, en tant que simple bactériologiste, n’a aucune compétence pratique et publiée dans le domaine de la virologie. Il n’aurait jamais dû être désigné comme expert. Un autre problème des juges de l’OLG, qui étaient parfaitement préparés à la procédure et manifestement détendus, était le suivant : la réfutation scientifique à l’affirmation de l’existence du « virus de la rougeole » sous la forme du cinquième rapport d’expertise.

    Cette expertise réfute clairement toutes les affirmations existantes sur l’existence d’un « virus de la rougeole ». Je renvoie pour cela à la cinquième expertise du recours, la contre-expertise et mes interventions à ce sujet dans ce numéro de WissenschafftPlus de février 2017.

    Un problème majeur, que l’OLG de Stuttgart a tenté en vain de résoudre, continuera à l’avenir à peser sur le tribunal. Il s’agit du fait que l’expert provirus, le professeur Podbielski, s’est lui-même réfuté lors de l’audience au tribunal de Grande Instance de Ravensburg. Dans le feu croisé des questions de la juge rapporteuse, le Dr Anna-Maria Brutscher, il a admis que ses déclarations écrites antérieures sur le « virus de la rougeole », et qui sont cruciales, étaient fausses. Cette réfutation cruciale, faite par l’expert lui-même, et qui figurait dans le procès-verbal de la Cour a été supprimée par l’OLG de Stuttgart tout comme l’avait fait le LG de Ravensburg.

    Cette importante déclaration factuelle du procès-verbal de l’audience du 12 mars 2015, et la seule vraie du professeur Podbielski, n’a pas été retirée ou modifiée. L’OLG de Stuttgart a dû supprimer ce fait afin de protéger l’expert et le tribunal de grande instance de Ravensburg d’éventuelles conséquences négatives, bien que cette réfutation de l’expert par lui-même » soit avancée à plusieurs reprises, de manière explicite et sans équivoque, dans l’appel « recevable ».

    Par contre, le tribunal a fait preuve de génie dans le traitement des affirmations par le Robert Koch-Institut de l’existence du « virus de la rougeole », en réfutant de la manière la plus concrète ces affirmations. Le RKI, la plus haute autorité étatique et scientifique dans le domaine des allégations d’infection, a réfuté, par un document introduit dans la procédure, toutes les allégations d’existence du « virus de la rougeole ». Le RKI, en la personne de la Professeur Annette Mankertz, directrice de l’Institut National de Référence pour la rougeole au RKI, a réfuté, dans sa déposition sur le « virus de la rougeole », les affirmations antérieures des organismes gouvernementaux selon lesquelles les « vaccins contre la rougeole » sont bien tolérés et n’ont pas d’effets secondaires (voir ci-dessous).

    L’expert, le professeur Podbielski, a réfuté dans son intervention sur ledit document du RKI non seulement les affirmations sur l’existence du « virus de la rougeole », mais en même temps la prétendue démonstration « scientifique » de tous les « virus pathogènes » (voir ci-dessous). L’OLG de Stuttgart a décidé de mentionner ces faits, mais de ne pas les évaluer et de ne pas les exploiter.

    Le tribunal espérait que personne ne lirait le jugement. Pour faire diversion, le tribunal a jeté aux médias, après la fin de l’audience, des morceaux juridiquement non pertinents, de la taille d’une bouchée de pain, qui ont été avalés et reproduits sans être digérés.

    Ce qui s’est passé le 16 février devant la Cour d’Appel de Stuttgart

    C’est ainsi que le 16 février 2016 il s’est passé des choses intéressantes devant l’OLG de Stuttgart, choses dont les médias n’ont pas parlé. Au début de l’audience, le juge-président Karl-Heinz Oleschkewitz a critiqué le plaignant en disant qu’il agissait de manière hautement irresponsable dans le dépôt de la plainte et dans son maintien.

    Le tribunal a prouvé que le plaignant, le docteur en médecine David Bardens de Hombourg, n’avait pas lu lui-même les six publications censées contenir la preuve de l’existence du « virus de la rougeole » et qu’il a citées devant le tribunal de Ravensburg comme preuve de l’existence du virus de la rougeole. Bardens a avoué. Dans les motifs écrits du jugement, que la Cour d’Appel de Stuttgart a publiés sur son site Internet(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
    http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1)), le tribunal est allé encore plus loin. Il mentionne au point 30 du jugement le fait que le plaignant n’a pas présenté les six publications au tribunal régional de Ravensburg qui m’a condamné. La motivation du Dr Bardens était la suivante : la juridiction compétente ne devait pas être en mesure de vérifier le caractère extrêmement peu scientifique et le vide des six publications « justificatives » que je dénonçais et qui sautaient aux yeux de tout profane intéressé.

    Le tribunal de première instance, le tribunal régional de Ravensburg, m’a effectivement condamné sans avoir en main les documents de preuve sur lesquels portait la procédure. C’est sur cette base, en refusant délibérément de prendre connaissance des six publications, que le tribunal de Ravensburg a pu me condamner. Le tribunal a ainsi pu affirmer, contrairement aux constatations de fait que j’avais présentées par écrit, que ces six publications, extrêmement peu scientifiques, ce que tout profane intéressé était en mesure de constater, étaient « scientifiques », sans pour autant faire lui-même des déclarations mensongères. Le tribunal a laissé cette tâche à l’expert qu’il avait désigné, le professeur Podbielski. Cette équipe composée du tribunal et de l’expert correspondait de manière tout à fait inhabituelle par leurs prénoms dans l’échange interne de courriels dont j’ai pris connaissance par hasard.

    À la fin de mon audience d’appel à l’OLG de Stuttgart, le 16 février 2016, le juge président Oleschkewitz a rajouté une dernière couche au plaignant, le Dr Bardens : la Cour, avec trois juges, s’est prononcée contre lui 3-0. Il s’agit d’une première dans l’histoire juridique allemande. Jamais encore un tribunal n’avait expliqué publiquement s’il avait statué 3-0, 0-3, 2-1 ou 1-2. Cette émotivité du juge n’est pas surprenante si l’on s’est documenté sur le sujet. D’un point de vue biologique, il n’est pas étonnant que le juge qui présidait la séance ait perdu sa voix à la lecture du jugement. Sa voix s’est éteinte.

    Le plaignant a refusé de coopérer

    Malgré cette indication claire du juge président de laisser tomber cette affaire sans équivoque, malgré le caractère manifeste de la stratégie de la Cour d’Appel visant à protéger les parties concernées, le plaignant a encore une fois sorti des dizaines de milliers d’euros de sa poche et a fait examiner par un cabinet d’avocats exclusif s’il pouvait faire casser le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart par la Cour fédérale de justice (BGH).

    En faisant cela il a pris le risque, ce dont le juge président de la Cour d’Appel a tenté de dissuader de toutes ses forces, que les « péchés » des juges du tribunal régional de Ravensburg, ceux de l’expert, le professeur Podbielski, et peut-être même ceux des juges de l’OLG de Stuttgart soient abordés par la Cour fédérale de justice. Le Dr Bardens, le seul jeune médecin au monde à avoir sa propre mention sur Wikipedia, connaissait dans ses actes toutes les réfutations scientifiques, les réfutations par les quatre contre-expertises, la réfutation par l’expert par lui-même, la réfutation des affirmations sur le « virus de la rougeole » par le RKI et la réfutation, évidente pour tout le monde, de toutes les affirmations sur le « virus de la rougeole » par la contre-épreuve génétique impérative de la cinquième expertise. Les « gènes » du « virus de la rougeole » sont en réalité les « gènes » de cellules tout à fait normales et saines (voir l’article à ce sujet dans ce numéro).

    Le cabinet d’avocats a volontiers accepté son argent, a formulé, sans enthousiasme, mais par des verbiages, des contre-vérités et un contenu vide afin de relancer le « pari que le virus de la rougeole n’existe pas » perdu à la BGH. Dans son recours auprès de la BGH, le plaignant Dr Bardens a affirmé que je représentais un danger pour la santé publique, que la Cour d’Appel de Stuttgart avait violé ses droits fondamentaux lors de l’audience du 16 février 2016 et que l’affaire revêtait une importance fondamentale pour la jurisprudence.

    Le 1er décembre 2016, la Cour fédérale de justice (BGH) a rejeté en termes clairs les motifs mensongers du plaignant. La BGH a motivé son rejet en ces termes :

    « La première chambre civile de la Cour fédérale de justice a décidé le 1er décembre 2016 par le juge président, le professeur Dr. Büscher, les juges, le professeur Dr. Schaffert, le docteur Kirchoff, les professeurs Dr. Koch et Feddersen : Le recours du requérant contre la non-admission de la révision dans l’arrêt de l’OLG de Stuttgart — 12e chambre civile — du 16 février 2016 est rejeté au motif que l’arrêt n’a pas une importance fondamentale, que les griefs fondés sur la violation des droits fondamentaux de procédure ne tiennent pas et que la formation continue du droit ou la garantie d’une jurisprudence uniforme n’exigent pas non plus une décision du tribunal de révision (§ 543, alinéa 2, phrase 1, ZPO) (ZPO pour Zivilprozessordnung ou Code de Procédure Civile — NdT). Conformément à l’article 544 du code de procédure civile, paragraphe 4, deuxième phrase, deuxième demi-phrase, il est renoncé à une motivation plus détaillée.

    Le requérant est condamné aux dépens de la procédure de recours (article 97, paragraphe 1, du code de procédure civile). »(([3] Cette décision de la BGH, numéro de dossier : I ZR 62/16, est disponible sur notre site www.wissenschafftplus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole ».))

    Ainsi, le jugement de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 et ses déclarations ont force de loi depuis le 1er décembre 2016 et font désormais partie intégrante de la jurisprudence allemande confirmée par la plus haute juridiction.

    L’essentiel du contenu du jugement écrit du 16 février 2016 de l’OLG de Stuttgart

    Au paragraphe 122 du jugement, l’OLG de Stuttgart conclut que mon recours a abouti parce que « la preuve de l’existence du virus de la rougeole par “une publication scientifique” n’a pas été apportée par le demandeur ». La Cour s’est référée à l’expert désigné par le tribunal, le professeur Podbielski, qui a témoigné par écrit et oralement devant le tribunal de première instance qu’aucune des six publications présentées par le Dr Bardens ne contenait de preuve de l’existence du « virus de la rougeole ».

    En ce qui concerne la preuve de l’existence du « virus de la rougeole » supposé, l’expert explique à la page 27 de son rapport d’expertise du 17 novembre 2014 :

    « La validité d’un seul des 6 articles n’est toutefois pas suffisante, mais les déclarations issues de combinaisons des 6 articles sont nécessaires à l’établissement de la preuve. »(([4] L’expertise du professeur Podbielski du 17 novembre 2014 est disponible sur notre site Internet www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26.3.2015 ou sous le lien http://www.wissenschafftplus.de/blog/de.))

    L’OLG de Stuttgart rejette résolument et à l’unanimité des trois juges, pour des raisons juridiques, logiques et scientifiques, le fait que pour prouver l’existence prétendue du virus de la rougeole, « les déclarations issues de combinaisons des 6 articles soient nécessaires à l’établissement de la preuve ».

    La construction du professeur Podbielski visant à faire de six non-preuves une preuve scientifique, construction que le tribunal régional de Ravensburg avait suivie, est rejetée par la Cour d’Appel avec des justifications détaillées dans les paragraphes 82, 85 et 86 du jugement écrit.(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
    http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

    Il a donc été établi par la justice, et c’est désormais une jurisprudence allemande qui ne peut plus être remise en question, qu’aucune des six publications ne contient de preuve de l’existence du « virus de la rougeole ».

    Deux choses qui font toute la différence

    Depuis le 1er décembre 2016, date de la confirmation par la Cour fédérale de justice de l’arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart sur le procès du virus de la rougeole, il est de jurisprudence allemande que la première publication dans le procès du virus de la rougeole, celle du prix Nobel John Franklin Enders et de ses collègues datant de 1954, ne constitue pas non plus une preuve de l’existence présumée du « virus de la rougeole ».

    Ce qui rend ce fait si important, c’est d’une part :

    1. que cette publication est la base unique et exclusive de toutes les autres publications « scientifiques » (environ 30 000) sur le thème du « virus de la rougeole », de la « contagion » de la rougeole et de la « vaccination préventive » contre la rougeole. Toutes les déclarations sur le « virus de la rougeole », la transmissibilité de la rougeole et la vaccination contre la rougeole se basent exclusivement et uniquement sur cette publication. Comme il est maintenant de jurisprudence que cette publication ne contient aucune preuve de l’existence supposée du virus de la rougeole, il est clair que toutes les 30 000 publications spécialisées sur ces sujets sont privées de leur fondement.

      Dans cette publication centrale, Enders constate que des cellules meurent en éprouvette avec ou sans « infection » par le « virus de la rougeole » présumé présent dans la salive ou le sang de personnes malades. Il conclut dans ce travail que la mort des cellules pourrait être la preuve soit de la présence et de la multiplication du virus présumé de la rougeole, soit de l’action de facteurs inconnus, soit de l’action de virus inconnus dans les cellules elles-mêmes. Dans ce travail, Enders admet également qu’il se pourrait que ses expériences avec des cellules en éprouvette n’aient peut-être rien à voir avec la véritable rougeole chez l’homme.(([5] Voir : Enders JF, Peebles TC. Propagation dans des cultures tissulaires d’agents cytopathogènes provenant de patients atteints de la rougeole. Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun; 86(2):277-286. Cet article, comme les six publications du « Procès du virus de la rougeole », est également disponible sur Internet : https://archive.org/details/EndersPeebles1954))

      À la fin de l’année 1954, Enders a reçu le prix Nobel de médecine pour de telles spéculations. Lui et ses collègues ont oublié leurs propres réfutations et leurs doutes — la fin de toute scientificité — et ont affirmé que c’était précisément cette procédure de 1954 qui allait multiplier le virus de la rougeole et qui serait en même temps la base de tout développement futur de vaccin. Il en est ainsi jusqu’à aujourd’hui. Son protocole issu de cette publication de 1954 est encore utilisé aujourd’hui pour soi-disant multiplier le « virus de la rougeole » et utiliser les cellules mourantes comme vaccin.

      En réalité, Enders et ses collègues, sous l’influence du prix Nobel, et à la suite tous les virologues jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas vu qu’ils affamaient et empoisonnaient involontairement les cellules avant même que l’« expérience d’infection » proprement dite ne commence. Des composants cellulaires ont été isolés du mélange de cellules mourantes, jamais un « virus ». Conformément à un modèle imaginé de ce à quoi devrait ressembler un virus, les composants cellulaires trouvés ont été attribués au modèle de virus, en pensée et non en fait, au cours d’un processus de recherche de consensus qui a duré des années. Ces « virus » n’apparaissent nulle part dans la réalité. Des composants cellulaires typiques, par exemple les pattes adhésives des cellules, appelées villosités, ont été mal interprétés en tant que « virus » sur des coupes transversales (en microscopie électronique — NdT).

      Le vaccin contre la rougeole, qui est censé être composé de « virus vivants de la rougeole » atténués, se compose exclusivement de cellules affamées et empoisonnées. Comme les vaccins sont censés produire des réactions contre les protéines vaccinées, on sait pourquoi le vaccin contre la rougeole en particulier provoque nettement plus de dommages vaccinaux sous forme de réactions allergiques légères à très graves et — dans le sens le plus scientifiquement prouvé possible — également l’autisme.(([6] Voir les explications sur l’autisme et les dommages causés par les vaccins dans le magazine WissenschafftPlus n° 3/2016 à commander dans la boutique www.food-or.de ou sous le lien http://www.food-or.de/shop/c/fr/))

      Enders n’a pas effectué d’expériences de contrôle permettant de déterminer facilement si un virus ou la famine et l’empoisonnement sont à l’origine de la mort des cellules. Elles ne sont toujours pas effectuées par la « Science » jusqu’à aujourd’hui. Nous avons mené ces expériences de contrôle dans le cadre du « procès du virus de la rougeole ». Les résultats prouvent que les conditions établies par Enders en 1954, affamer et empoisonner les cellules, entraînent la mort des cellules sans qu’il y ait eu d’« infection ». Dans le prochain numéro de WissenschafftPlus, nous documenterons ces expériences de contrôle et leurs résultats.

    1. Et d’autre part, que ce qui est significatif dans la jurisprudence OLG/BGH sur le « virus de la rougeole », c’est qu’aujourd’hui encore tous les « virus pathogènes » sont « détectés » par la méthode introduite par Enders en 1954. Cette méthode, qu’Enders qualifiait au milieu de l’année 1954 de spéculation « à considérer avec la plus grande prudence », est devenue un « fait scientifique » grâce au prix Nobel qui lui a été décerné le 10 décembre 1954 et est devenue le modèle et la référence de toutes les méthodes actuelles de détection des « virus pathogènes ».

      Le 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart n’a pas seulement écrit l’histoire mondiale sur le « virus de la rougeole », mais a également réfuté la « scientificité » des affirmations sur l’existence de tous les « virus pathogènes » et sur la pertinence des vaccins « protecteurs ».

      Dès la publication de la validité juridique de l’arrêt de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 par la Cour fédérale de justice le 1er décembre 2016, toutes les « vaccinations contre la rougeole » et les mesures coercitives à cet égard sont illégales. La vaccination contre la rougeole en tant que telle et toutes les mesures restrictives afférentes sont, à partir du 1er décembre 2016, des atteintes interdites, car injustifiables et passibles de poursuites pénales, atteintes aux droits fondamentaux à l’intégrité physique et à la vie, à l’éducation, aux droits parentaux et au libre choix de la profession. En ce qui concerne tous les autres « virus pathogènes » et leurs vaccinations, la validité juridique de ces faits doit être établie au moyen d’une autre décision ou d’un autre jugement.

    Réfutation du « virus de la rougeole » et réfutation de la prétendue innocuité du vaccin contre la rougeole par la professeur Annette Mankertz de l’Institut Robert Koch (RKI)

    Le « Pari-récompense que le virus de la rougeole n’existe pas »(([7] Voir : « Parions que le prétendu virus de la rougeole n’existe pas » dans le magazine WissenschafftPlus n° 3 +4/2014. Cet article est également disponible librement sur Internet sur notre site www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Masern-Virus-Prozess » dans l’entrée du 14.9.2014 ou sous le lien
    http://wissenschafftplus.de/uploads/article/Masern_Prozess.pdf.)) a atteint dès 2012 le succès escompté. Dans l’annonce de la récompense, il y a le fait crucial que nous avons mis en évidence depuis 1995 et que nous avons documenté dans nos livres et notre magazine : Le RKI, l’autorité scientifique suprême instituée par le gouvernement fédéral dans le domaine des théories sur les infections et la vaccination, et les plus hautes autorités sanitaires fédérales et régionales font toutes des affirmations sur les infections et la vaccination sans aucune base scientifique publiée.

    Les requêtes formulées dans l’énoncé de la récompense et le déroulement de la plainte, qui était elle aussi présentée dans l’énoncé de la récompense, ont apporté la preuve souhaitée, prédite et fournie à plusieurs reprises par le passé. Les professionnels responsables dans le domaine de la santé agissent de manière délibérée et en pleine connaissance de cause en ce qui concerne les allégations d’infection et de la vaccination. Annette Mankertz, directrice de l’Institut national de référence du RKI, a reconnu, suite aux questions posées sur le virus de la rougeole, ce fait essentiel que nous avons dénoncé et déploré depuis 1995 : Le RKI aurait réalisé des études internes sur le « virus de la rougeole », mais celles-ci, contrairement à l’obligation claire du RKI de publier toutes les études, ne les a pas publiées.

    Le service juridique du RKI, le directeur du RKI de l’époque, son supérieur au sein du ministère fédéral de la Santé, le ministre fédéral de la Santé et la commission des pétitions du Bundestag allemand ont refusé, malgré la plainte et la demande d’agir de manière responsable, de suivre la loi et le droit et de veiller à ce que le RKI effectue des recherches scientifiques et les publie.

    La raison du refus d’effectuer et de publier des études sur le « virus de la rougeole » est devenue claire avec l’aveu du RKI du 24 janvier 2012. Ce document réfute l’affirmation de l’existence du « virus de la rougeole » et les affirmations selon lesquelles la vaccination contre la rougeole est sûre et efficace. Le RKI y écrit :

    « Les virus de la rougeole, comme d’autres paramyxovirus, ne présentent pas une taille précise ni un diamètre précis : ils mesurent de 120 à 400 nm de diamètre (le nanomètre ou nm est le millième du millimètre — NdT) et contiennent alors souvent des ribosomes en leur sein. »(([8] Voir : Lettre du RKI du 24 janvier 2012, présentée pour ma défense dans le procès contre le virus de la rougeole et introduite dans la procédure par le tribunal régional de Ravensburg par lecture. Les deux tribunaux, le tribunal de grande instance de Ravensburg et la Cour d’Appel, ignorent dans leurs jugements le contenu de la lettre, bien qu’il soit du devoir fondamental et permanent de tout fonctionnaire de l’État de prévenir les risques pour la vie et l’intégrité corporelle de tous les citoyens en se montrant ACTIF. La lettre est disponible sur notre site Internet www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26.3.2015 ou sous le lien
    http://wissenschafftplus.de/uploads/article/RKI-und_Ribosomen_vom_24-1-2012.pdf))

    Les « ribosomes » sont les usines dans la cellule avec lesquelles l’Homme, les animaux et les plantes fabriquent leurs protéines.

    *Comme le « virus de la rougeole » est défini par le fait qu’il ne contient pas de « ribosomes », cet aveu du RKI réfute toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole ! Plus encore : le RKI a ainsi admis qu’au lieu de travailler avec des « virus de la rougeole », il travaille avec des composants tout à fait normaux de la vie et des composants cellulaires. Plus encore, le RKI a ainsi fourni la preuve de la raison pour laquelle la vaccination contre la rougeole en particulier, avant toutes les autres vaccinations standard, génère le taux le plus élevé de dommages vaccinaux sous forme d’allergies et de réactions auto-immunes.

    Les substances auxiliaires contenues dans tous les vaccins (appelées adjuvants, en réalité de puissants neurotoxiques) sont censées stimuler les réactions immunitaires contre les prétendus virus. En effet, le corps développe des réactions immunitaires, mais au lieu des réactions utiles prétendues, il développe des réactions « auto-immunes » allergiques contre lui-même, parce qu’avec un vaccin contre la rougeole, des protéines typiques du corps sont implantées au lieu d’un corps « étranger ». Malgré ce fait évident, le RKI est resté inactif jusqu’à aujourd’hui et n’en a informé ni le public ni les professionnels de la santé. Le RKI a ainsi manqué à ses obligations légales de protéger la santé de la population et de la prévenir de tout dommage.

    Le LG de Ravensburg et l’OLG de Stuttgart ont ignoré, lors du « procès du virus de la rougeole », les faits que j’ai présentés par écrit et oralement à ce sujet. De même, les deux tribunaux ont ignoré mes demandes écrites de convoquer le professeur Mankertz du RKI en tant que témoin, sans y répondre par écrit ou oralement. Cela est grave, car lors du procès, le RKI a révélé que la vaccination contre la rougeole mettait manifestement en danger la santé de la population et que par conséquent rien que la recommandation de la vaccination contre la rougeole constituait une atteinte scientifiquement et juridiquement inadmissible au droit fondamental des personnes à la vie et à l’intégrité physique conformément à l’article 2, phrase 2 de la Constitution.

    En ce qui concerne la « découverte de ribosomes dans le virus de la rougeole par le RKI », l’OLG affirme au paragraphe 117 de l’arrêt « qu’il n’a prétendument pas été éclairci (c’est moi qui souligne) si au RKI on avait trouvé ou non des ribosomes à l’intérieur des virus de la rougeole, ce qui exclurait la qualité de virus ».

    De toute évidence, le tribunal espère que les lecteurs croiront le tribunal lorsqu’il dira que « l’argument des ribosomes » a été éclairci et invalidé par le tribunal. En effet, cette désignation des faits par le RKI n’a pas été éclaircie et n’a pas été poursuivie. La preuve : même après le 16 février 2016, les vaccins contre la rougeole sont inoculés « contre » des dizaines de maladies cutanées différentes, qui ne sont toutefois diagnostiquées comme rougeole que si la personne concernée réagit positivement au « test du virus de la rougeole ». Selon le réglage de ces différentes procédures de test du « virus de la rougeole », peu, beaucoup ou toutes les personnes ayant subi ce test sont « positives », qu’elles soient en bonne santé ou malades.(([9] Nous sommes justement en train de préparer les essais qui prouveront en pratique que les « procédures de test du virus de la rougeole » actuellement utilisées par l’Institut Robert Koch (RKI) sont réglées de telle sorte que non seulement les personnes malades, mais aussi les personnes en bonne santé sont testées « positives au virus de la rougeole ». Soit tous positifs à 20 % (sans épidémie de rougeole), soit tous positifs à 80 % (en cas d’épidémie de rougeole revendiquée par le RKI).))

    Nous avons atteint un petit objectif : grâce à la plainte du médecin, le Dr Bardens, et au « procès du virus de la rougeole » qui en a résulté, ces faits ont été portés à la connaissance d’un plus grand nombre de citoyens et de responsables. Le procès a bénéficié d’une couverture médiatique nationale et mondiale massive. Nous sommes convaincus d’avoir ainsi atteint un autre objectif : Nous sommes reconnaissants au Dr David Bardens d’avoir empêché, grâce à ce succès commun, l’introduction de la vaccination obligatoire pour le vaccin contre la rougeole, particulièrement risqué, comme l’exigeaient les politiques.

    La réfutation de l’ensemble de la virologie et de l’expert, le professeur Andreas Podbielski, par lui-même

    Au paragraphe 117 de son jugement du 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart mentionne la réfutation de l’ensemble de la virologie par l’expert. L’expert est cité : « La compréhension conceptuelle du virus est en fait toujours en évolution ».(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
    http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

    Si quelque chose est en évolution, il n’est scientifiquement pas défini et ne doit pas être affirmé en public comme un fait. J’ai demandé par écrit et lors de l’audience publique du 16 février 2016 que si quelque chose n’est pas défini scientifiquement, il ne peut pas être défini juridiquement et que, par conséquent, la plainte du Dr Bardens doit être rejetée. La Cour d’Appel a ignoré ce point afin de protéger les parties concernées.

    Ce que le professeur Podbielski a passé sous silence, c’est que des « virologues » renommés sont à nouveau en train de bouleverser et de redéfinir toute la virologie, comme en 1951 et 1952. Ils ont reconnu que des structures qui avaient été mal interprétées en tant que « virus » sont elles-mêmes vivantes et que nos noyaux cellulaires en sont issus. Ils militent pour que ces structures soient reconnues et désignées comme le quatrième règne de la vie, à côté des « règnes » de la vie découverts jusqu’à présent : les bactéries primitives, les bactéries et les vraies cellules. En tant que jeune étudiant, j’ai eu la chance d’être le premier à isoler de la mer une telle structure inoffensive, à la caractériser entièrement et bien sûr — en plus d’essais de contrôle — à la publier scientifiquement.(([10] Voir l’article « Les virus géants et les origines de la vie » dans le magazine WissenschafftPlus n° 1/2014. À commander dans la boutique www.food-or.de ou à l’aide du lien
    http://www.food-or.de/shop/c/de/abonnement))

    Ce que l’OLG de Stuttgart a tenté de dissimuler de la même manière avec ses explications au paragraphe 116 de son jugement du 16 février 2016 est décrit ci-dessous.

    En 1997, la plus grande fraude scientifique au monde à ce jour a été rendue publique. Toutes les données relatives aux allégations du « virus de l’hépatite B » et d’un vaccin contre le cancer, auxquelles ont participé des centaines de scientifiques du SIDA, de la génétique, de l’immunologie, des maladies infectieuses et du cancer parmi les plus éminents, n’étaient pas seulement falsifiées, mais inventées de toutes pièces. Des dizaines de procureurs, de parlementaires et de politiciens ont alors exigé que la fraude scientifique soit punissable. Les actes ne sont punissables que s’ils étaient définis comme des infractions au moment où ils ont été commis.

    La Société Allemande pour la Recherche (en allemand Deutsche Forschungsgesellschaft ou DFG), une association qui est chargée de distribuer les milliards de fonds de recherche pour le compte des gouvernements, a demandé aux responsables politiques de ne pas introduire le projet d’articles sur les infractions de « fraude scientifique ». La DFG a affirmé que la science ne pouvait que se contrôler elle-même. Pour convaincre les politiques qu’ils n’avaient pas besoin de contrôler la science, la DFG a nommé en 1997 un comité international. Ce comité avait pour mission de rédiger les règles du travail scientifique, qui ont toujours été valables et identiques pour toutes les disciplines scientifiques, sous la forme d’un ensemble de règles obligatoires, comme une Constitution de la science internationale, et de les rendre obligatoires au niveau international. C’est ce qui a été fait.

    En Allemagne, depuis 1998, tous les scientifiques et toutes les institutions qui reçoivent des fonds de recherche de l’État sont tenus de respecter cet ensemble de règles ingénieuses, logiques et simples dans leur travail et lors de l’élaboration d’expertises.

    Ce qui suit est central pour chaque nouvelle méthode introduite qui doit apporter des connaissances scientifiques :

    « Les essais de contrôle avec une divulgation tout aussi complète du processus expérimental sont un élément central de la méthodologie scientifique, afin de vérifier les méthodes appliquées et d’exclure les facteurs perturbateurs ».

    Les publications sans réalisation documentée d’essais de contrôle ne peuvent pas être présentées comme scientifiques.(([11] Voir : Pages 3-6 de ma prise de position du 2 février 2.2015 sur l’expertise judiciaire du Prof. Podbielski. À trouver sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26 mars 2015 ou sous le lien : http://www.wissenschafftplus.de/uploads/article/Stellungnahme_zum_Gutachten_von_Prof_Podbielski_2-2-2015.pdf))

    La seule et unique base de toute la virologie depuis 1953 est la supposition publiée par le professeur Enders en 1954, selon laquelle la mort de cellules dans le réactif pourrait constituer une preuve de l’action de virus ou de facteurs inconnus. Ce n’est qu’en recevant le prix Nobel fin 1954 que ces spéculations qui se réfutent elles-mêmes sont devenues un fait scientifique : « Ce sont des virus quand des cellules meurent »(([12] Voir les explications à ce sujet dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2016 à commander.)). Comme il n’a effectué aucun essai de contrôle, Enders et tous ses successeurs n’ont pas remarqué jusqu’à aujourd’hui que c’est la famine et l’empoisonnement qui sont la cause de la mort des cellules en éprouvette et non des virus présumés.

    L’expert désigné par le tribunal, le professeur Podbielski, affirme dans son « avis complémentaire » du 3 mars 2015, à la page 3, au point 6 concernant les six publications du procès sur le virus de la rougeole : « Les données et les expériences de contrôle nécessaires pour exclure les artefacts cellulaires au lieu du virus de la rougeole sont contenues dans les articles spécialisés — voir mon expertise »(([13] Voir « Prise de position complémentaire du professeur Podbielski » du 3 mars 2015. À consulter sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 14 octobre 2015 ou sous le lien : http://wissenschafftplus.de/uploads/article/Schreiben_von_Prof_Podbielski_3-3-2015.pdf)). Cette affirmation est un faux témoignage avéré avec des conséquences de grande ampleur.

    Le 12 mars 2015, sous le feu croisé des questions de l’assesseur et rapporteur de l’audience devant le LG de Ravensburg, il a admis : « Je ne peux pas dire maintenant s’il existe un article qui présente de manière exhaustive les mêmes choses que les articles originaux mentionnés, sans en mentionner les faiblesses méthodologiques, c’est-à-dire par exemple avec les contrôles négatifs qui, dans les faits, font défaut ».(([14] Voir page 7, ci-dessus, du procès-verbal de l’audience au tribunal de Ravensburg. À trouver sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 16 septembre 2015 ou sous le lien : http://www.wissenschafftplus.de/uploads/article/Protokoll_13_4_20150001.pdf))

    Il a ainsi réfuté lui-même sa déclaration écrite du 3 mars 2015. Il a ainsi réfuté toutes ses déclarations selon lesquelles les six publications présentées sont scientifiques et utilisables dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole et qu’il est prouvé qu’il existe un virus de la rougeole, etc.

    Bien que j’aie présenté et prouvé en appel le fait de l’absence d’expériences de contrôle et la réfutation de l’expert par lui-même consignée dans le procès-verbal, l’OLG a supprimé ce fait. Le LG de Ravensburg m’avait condamné en supprimant cette mention de fait consignée dans le procès-verbal de l’absence de toutes les expériences de contrôle lors du prononcé du jugement sur la chaise et dans les motifs écrits du jugement. À moins que le juge Matthias Schneider du tribunal de Ravensburg n’ait rendu le « jugement sur chaise » — en omettant les étapes légales d’une procédure — parce que l’expert, le professeur Podbielski, s’était lui-même réfuté par les questions claires de son assesseur, le docteur Anna-Maria Brutscher ?

    L’OLG de Stuttgart écrit dans son jugement au point 116 :

    « Dans la mesure où le défendeur expose que l’arrêt se fonde sur des prémisses erronées au moins dans la mesure où l’expert n’a pas précisé que les publications contenaient des expériences de contrôle visant à exclure les artefacts cellulaires (p. 23 de l’arrêt sous b., paragraphe 2), il n’est pas possible de le suivre. Dans sa prise de position complémentaire du 03 mars 2015, p. 3 (feuillet 134, d. A.), au point 6, l’expert aborde précisément ce point et explique, en faisant référence à son expertise, que les données et les expériences de contrôle nécessaires pour exclure la présence d’artefacts cellulaires en lieu et place du virus de la rougeole figurent dans les articles spécialisés ».(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :

    http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

    Dans son jugement du 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart supprime également le fait, consigné par le tribunal le 12.3.2015, de la réfutation de l’expert par lui-même. Il est ainsi prouvé que la Cour d’Appel de Stuttgart supprime l’absence de toute expérience de contrôle présentée en appel, les fausses déclarations de l’expert judiciaire présentées en appel et également la réfutation de l’expert judiciaire, le professeur Podbielski, par lui-même, réfutation consignée dans le procès-verbal du 12 mars 2015, et ce afin de protéger l’expert.

    Comment la Cour d’Appel de Stuttgart a tenté sans succès de se sortir de l’affaire

    La Cour d’appel de Stuttgart écrit à la ligne 121 du jugement sur le virus de la rougeole, à propos des expertises que j’ai introduites dans la procédure, qu’elles n’ont pas été prises en compte dans l’arrêt « parce qu’elles n’étaient pas pertinentes pour la décision »(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
    http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1)). Le tribunal a ainsi supprimé le fait, avancé dans l’expertise du 10 février 2016, que les comparaisons de séquences génétiques ont clairement réfuté toutes les allégations d’existence du virus de la rougeole (voir l’article à ce sujet dans ce numéro de WissenschafftPlus n° 2/2017).

    Mais avec la vaccination il s’agit, d’un point de vue juridique, d’une « atteinte réelle et punissable au droit à la vie et à l’intégrité physique », qui n’est exempte de peine que si la personne vaccinée ou le détenteur de l’autorité parentale a donné un consentement documenté et juridiquement valable. Parce que l’OLG de Stuttgart a pris connaissance de faits qui réfutent fondamentalement la validité juridique des vaccinations, la tentative décrite ici de la Cour d’Appel de se « tirer d’affaire » ne se justifie pas.

    Tous les citoyens sont appelés, et les fonctionnaires en particulier, à se mettre à agir de manière autonome et à faire appel aux autorités compétentes en matière de sécurité et de poursuites pénales lorsqu’il est porté atteinte de manière injustifiée et sans légitimation légale aux biens constitutionnels les plus précieux. Les juges ne sont pas exemptés de cette obligation. Le juge président de la Cour d’appel en est le mieux informé de tous les détails décisifs et de l’importance de la science et de la scientificité, comme il l’a amplement prouvé lors de mon interrogatoire à l’audience publique du 16 février 2016.

    Imitateurs célèbres, mauvais perdants

    Le célèbre acteur Robert de Niro et le neveu de l’ancien président américain Kennedy, Robert F. Kennedy Jr., ont également offert un prix de 100 000 dollars pour une preuve scientifique concernant la vaccination. Ils la donneront à celui qui leur présentera une publication scientifique prouvant l’innocuité du mercure dans les vaccins. Tous deux partent du principe que les vaccins sont particulièrement nocifs parce qu’ils contiennent des substances extrêmement toxiques. Le fils de Robert de Niro est devenu autiste au moment de la vaccination. D’un point de vue biologique, il est donc prouvé que les vaccins peuvent déclencher l’autisme.(([6] Voir les explications sur l’autisme et les dommages causés par les vaccins dans le magazine WissenschafftPlus n° 3/2016 à commander dans la boutique www.food-or.de ou sous le lien http://www.food-or.de/shop/c/fr/))

    Le plaignant, le docteur Bardens, médecin à Hombourg, qui travaille désormais en Suède, s’est avéré être un mauvais perdant. Pour expliquer qu’il avait perdu le procès qu’il avait intenté à la Cour d’appel de Stuttgart et à la Cour fédérale de justice de Karlsruhe, il a présenté dans les médias une explication qu’il a inventée de toutes pièces. Il affirme qu’il a perdu en raison d’une erreur formelle. Le Dr Bardens affirme qu’il a perdu parce qu’il a présenté six publications au lieu d’une seule.

    On ne trouve rien de tel dans la procédure orale de l’OLG de Stuttgart ni dans les motifs écrits du jugement. Au contraire. Le Dr Bardens a perdu le procès parce que l’expert mandaté par le tribunal a constaté qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus. C’était également la seule déclaration véridique de l’expert, le professeur Podbielski. L’OLG de Stuttgart a expressément rejeté l’argumentation du professeur Podbielski selon laquelle « les déclarations de combinaisons des 6 publications sont nécessaires à l’établissement de la preuve (de l’existence du virus de la rougeole) », comme documenté ci-dessus.

    Pour de plus amples informations, veuillez lire la lettre d’information électronique du 17 janvier 2017 publiée dans ce numéro.


    Traduction Jean Bitterlin le 17.09.2022





    L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr

    [Source : Kla.tv]

    Les Américains seraient devenus plus malades qu’ils ne l’ont jamais été, bien qu’ils dépensent plus pour la santé que les autres nations. Parmi les pays industrialisés, les résultats en matière de santé des Américains sont à la dernière place. Dans l’interview de Robert F. Kennedy Jr., la lumière est faite sur cet étrange illogisme : la face cachée d’Anthony Fauci. 

    [Voir aussi :
    Fauci et la grande arnaque du SIDA]

    Transcription

    En examinant la situation aux États-Unis et dans le monde, l’interview suivante avec Robert F. Kennedy Jr., le célèbre président et principal conseiller juridique de Children’s Health Defense, révèle des vérités choquantes.

    Dans un épisode de « Conversations That Matter » (Conversations qui sont importantes], Kennedy parle du contenu de son livre « Le vrai visage d’Anthony Fauci », avec Alex Newman, le présentateur et rédacteur en chef du « New American Magazine ».

    Au terme de recherches approfondies, Robert F. Kennedy Jr. a révélé la sombre histoire choquante de Fauci, jetant ainsi le doute sur tous les reportages des médias à propos du Covid-19 et alertant tous ceux qui ont à cœur la démocratie aux États-Unis ainsi que l’avenir et la santé de leurs enfants.

    « Le vrai visage du Dr Fauci » montre en détail comment Fauci, Bill Gates et leurs consorts associés utilisent le COVID-19 pour subjuguer l’humanité et la placer sous une domination totalitaire mondiale. Grâce à leur contrôle sur les médias, les revues scientifiques, les institutions gouvernementales et paragouvernementales, les services secrets mondiaux et les scientifiques et médecins influents, le public a été inondé de propagande de panique sur le danger de contagiosité et le développement du Covid-19. Des agents dévoués pour faire taire les critiques, étouffer le débat et censurer impitoyablement les opinions divergentes. Fauci aurait orchestré, entre autres, la transformation de l’agence du ministère de la Santé publique (NIH) en un laboratoire de produits pharmaceutiques.

    Découvrez d’autres informations dans l’interview suivante sur le vrai visage du Dr Fauci qui, avec Bill Gates, a servi les intérêts des entreprises pharmaceutiques et a contribué à faire des États-Unis la nation au monde la plus tributaire de la pharmacie.

    Newman : Qui est le vrai Anthony Fauci, et pourquoi devrions-nous nous inquiéter ? N’est-il pas un sympathique spécialiste en santé publique qu’on voit à la télé ?

    Kennedy : Anthony Fauci est à l’origine de la « capture » d’agences au sein des agences de santé publique. Il a orchestré la transformation du HHS, le Département de la Santé et des Services sociaux qui est devenu un laboratoire de produits pharmaceutiques qui promeut l’agenda de Big Pharma. C’est l’équivalent de J. Edgar Hoover de la santé publique. Je montre dans mon livre qu’il a réussi à rester au pouvoir pendant 50 ans, non pas en accomplissant des succès mesurables en matière de santé publique — la santé publique a considérablement décliné sous son régime — mais plutôt en servant les intérêts des sociétés pharmaceutiques, en aidant à faire de ce pays le pays au monde le plus dépendant de l’industrie pharmaceutique. Nous prenons trois fois plus de médicaments que la moyenne des autres pays occidentaux. Nous payons les prix les plus élevés pour ces médicaments et nous avons de loin les pires résultats du monde développé en matière de santé. Nous sommes au 79e rang mondial en termes de résultats totaux de santé. Cette génération d’enfants qui a atteint la majorité sous le régime de Tony Fauci — depuis 1984 — est la génération la plus malade de l’histoire. Lorsqu’il est entré au NIH, le Département de la Santé, les taux de maladies chroniques [chez nos enfants] dans notre pays étaient d’environ 6 %. Aujourd’hui, ils atteignent 54 %. Par maladie chronique, je veux dire, pas seulement l’obésité, mais les troubles neurologiques de développement comme le TDA, le TDAH, le retard de la parole, le retard du langage, les tics, la narcolepsie, le syndrome de Tourette, l’autisme. L’autisme est passé d’une personne sur 10 000 dans ma génération — ce qui est toujours le cas aujourd’hui — à un enfant sur 34 dans la génération de mes enfants. Sous l’administration de Tony Fauci, les allergies alimentaires sont apparues en 1989. Les allergies à l’arachide, les maladies cœliaques, les allergies au blé, toutes ces autres allergies alimentaires, puis les maladies auto-immunes : la polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, les lupus sont devenus épidémiques. C’étaient toutes des maladies qui étaient totalement inconnues dans les années 1960, et la science les fait remonter à des innovations contrôlées par Tony Fauci. Vous ne pouvez pas complètement blâmer Tony Fauci — une personne — avec cette avalanche, ce tsunami de maladies chroniques. Le travail de Tony Fauci au NIAID [Institut national des allergies et des maladies infectieuses] consiste à rechercher les sources de ces maladies chroniques, maladies immunitaires et maladies allergiques, puis à nous aider à les éliminer, à identifier les causes. Nous savons que c’est une toxine environnementale, ça doit l’être. Les gènes ne causent pas d’épidémies. Ce que je montre dans le livre, c’est qu’au lieu de faire cette recherche, il dépense la quasi-totalité de son budget de 7,7 milliards de dollars pour développer de nouveaux médicaments pour les sociétés pharmaceutiques et faire de la recherche sur les armes biologiques pour le Pentagone et pour le complexe militaro-industriel. 1,6 milliard de dollars par an de son budget vont essentiellement au développement d’armes — la recherche sur les armes biologiques. C’est la personne la mieux payée du gouvernement fédéral. Il reçoit 434 000 dollars par an, soit 34 000 dollars de plus que le président des États-Unis. Il a beaucoup, beaucoup d’autres sources de revenus avec ce travail. Soixante-huit pour cent de ce budget provient de sa gestion de la recherche sur les armes biologiques, et c’est pourquoi il a été contraint de faire les études sur le gain de fonction à Wuhan et de les gérer à Wuhan, parce que le Pentagone le paie pour faire ce genre de recherche. S’il ne le faisait pas, il perdrait la majeure partie de son salaire.

    Newman : Alors, où se situe Bill Gates dans cette histoire ? C’est le gars sympathique avec le gilet qui donne simplement des milliards pour améliorer la santé publique, et pourtant votre livre suggère qu’il y a aussi un côté plus sombre à tout cela.

    Kennedy : En 2000, Gates a convoqué Anthony Fauci dans son manoir de 87 millions de dollars sur les rives du lac Washington à Seattle et lui a proposé un partenariat entre eux qui imposerait toute une batterie de vaccinations différentes d’ici 2020 à chaque homme, femme et enfant sur la terre. Ils ont rebaptisé leur effort en 2009, la « Décennie des vaccins ». Ils ont promis que d’ici 2020, les enfants, mais aussi tout le monde sur terre seraient vaccinés non seulement par un seul vaccin, mais par toute une batterie de vaccins. Gates est fortement investi dans pratiquement toutes les entreprises qui fabriquent tous ces vaccins. Il utilise sa philanthropie – il l’appelle capitalisme philanthropique parce que ce n’est pas vraiment de la philanthropie. Il rafle 33 milliards de dollars et les protège des impôts, donc nous payons en fait ses politiques. Ensuite, il a utilisé cet argent pour prendre le contrôle de la politique mondiale de santé publique. Il possède essentiellement l’OMS [Organisation mondiale de la santé]. Il a créé une série d’organisations quasi gouvernementales qui dictent la politique de santé mondiale : GAVI, CIFI et d’autres dans lesquelles il a fortement investi et qu’il contrôle comme la Brighton Collaboration. Il utilise son contrôle sur ces agences pour exiger des pays en développement – Afrique, Asie, Amérique latine – qu’ils imposent des vaccins à leurs populations. Ces pays, par exemple les pays africains, dépendent fortement de l’OMS pour l’argent qui soutient leur ministère de la Santé et qui soutient leurs programmes de lutte contre le SIDA. Ce que Gates et l’OMS font, c’est dire à ces pays, vous devez administrer une certaine quantité de vaccins de Gates contre la polio, et ses vaccins diphtérie-tétanos-polio. Si, par exemple, 70 ou 80 % de votre population ne reçoit pas ces vaccins, vous n’obtiendrez pas l’argent pour votre ministère de la Santé. Les vaccins qu’ils achètent sont des vaccins fabriqués par des entreprises dans lesquelles il est personnellement engagé, et la Fondation Gates est personnellement investie. Lorsque des organisations indépendantes, comme le gouvernement danois, ont en fait cherché à savoir si ces vaccins sauvaient ou non des vies (ce que Gates prétend), ils ont découvert que c’était exactement l’inverse qui se passait. Prenons pour exemple, le vaccin le plus populaire au monde, le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, dont Gates avait fait la promotion en Afrique et en Asie pendant de très nombreuses années pour sauver la vie de dizaines de millions d’enfants. Lorsque le gouvernement danois a financé une étude en 2017, le gouvernement danois, le Statens Serum Institut au Danemark et une autre société de vaccins ont financé une étude. Ils ont examiné trente ans de dossiers en Afrique pour comparer comment allaient les enfants qui avaient reçu le vaccin par rapport aux enfants qui ne l’avaient pas eu. Ce qu’ils ont découvert, c’est que les filles qui ont reçu ce vaccin – alors qu’elles étaient protégées contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche – mouraient dix fois plus que les filles non vaccinées. Le vaccin les protégeait contre certaines souches de certaines maladies infectieuses, mais il avait anéanti leur système immunitaire et les avait rendues extrêmement sensibles aux infections mineures et notamment aux infections respiratoires. La malnutrition, l’anémie, le paludisme… les autres choses qui tuent de nombreux enfants africains… il s’avère que les enfants vaccinés étaient beaucoup moins capables de résister aux maladies que les enfants dont le système immunitaire n’avait pas été altéré.

    Newman : C’est absolument terrifiant.

    Kennedy : Permettez-moi d’ajouter autre chose. Gates a fondamentalement transformé l’OMS qui était une agence de développement, d’hygiène, d’assainissement et de développement économique en une agence qui s’occupe essentiellement des vaccinations. Cinquante pour cent du budget de l’OMS va au projet-phare de Gates, qui est le vaccin contre la polio, alors que la plupart des experts en vaccins dans le monde – très pro-vaccins – lui ont dit depuis le début que ça ne fonctionnerait pas. Vous n’allez pas éradiquer la poliomyélite. Et aujourd’hui, l’OMS admet que 70% des cas de poliomyélite dans le monde sont causés par le vaccin de Gates. En fait, au lieu d’effacer la maladie, ça aggrave le problème. Ça provoque des épidémies dans des pays où la poliomyélite a été éradiquée, comme le Congo et l’Afghanistan et de très nombreux autres pays.

    Newman : L’Associated Press a même rapporté cela sur la base des données de l’OMS. Je l’ai également vu en novembre 2019. Donc tout cela soulève la question suivante : Ces gens font-ils cela délibérément ? Sont-ils des obsédés du mal ? Ou s’agit-il simplement d’une politique stupide mais bien intentionnée, et quel est, selon vous, leur programme ultime ? Gagner de l’argent ? Quel est leur plan ?

    Kennedy : Ce n’est pas un mystère pour moi. Les mêmes motifs ont poussé les gens depuis le début des temps, le motif d’accumuler le pouvoir. Le pouvoir sur la santé publique et la promotion de la biosécurité ont désormais fondamentalement supplanté tous les autres objectifs de la politique étrangère. C’était délibéré. C’était intentionnel. C’est ce qui a été promu par ces deux hommes – Gates et Fauci – mais ils avaient de très, très nombreux alliés. Comme je le montre dans mon livre, les agences de renseignement sont profondément alliées au Dr Fauci et à Bill Gates. À partir de 2000 ils ont développé une série de… (en fait, la CIA a développé) une série de simulations impliquant des centaines de milliers de personnes, et Gates et Fauci y ont participé. Ils ont toujours été mis sur un piédestal par les agences de renseignement ainsi que par les militaires et les grandes sociétés pharmaceutiques. C’est un pacte très, très sinistre que j’explique dans le livre. Soit dit en passant, il y a 2 200 notes de bas de page dans le livre. Chaque phrase que j’ai écrite, chaque déclaration factuelle, est scrupuleusement, soigneusement documentée. N’importe qui peut les consulter. Ils ont développé ces simulations de pandémie qui ont formé des travailleurs de première ligne, des médecins hospitaliers, des responsables médicaux, des responsables du renseignement, des responsables de l’application des lois, des travailleurs de première ligne en Europe, aux États-Unis, en Australie et au Canada. Pratiquement chaque année, ils reprenaient ces simulations, lesquelles étaient des simulations de pandémie. Que faites-vous si une pandémie de coronavirus survient ? Ils n’avaient rien à faire des réponses médicales. J’ai publié les transcriptions dans mon livre. Il n’y a eu aucune discussion sur la façon de renforcer le système immunitaire des gens, comment distribuer de la vitamine D ou du zinc ou de la quercétine, ou comment réorganiser les médicaments, faire un traitement précoce, comment mettre les malades en quarantaine et les protéger de la maladie, réduire les hospitalisations, et protéger la Déclaration des droits. Rien de tout cela n’a jamais été discuté.

    La seule discussion était de savoir comment utiliser une pandémie comme prétexte pour réprimer, pour imposer des contrôles totalitaires et pour la destruction contrôlée de la démocratie libérale dans le monde. La série de simulations de pandémie qu’ils ont mise en place s’appelait Operation Lockstep parce que c’était un moyen de coordonner ostensiblement les activités de toutes les démocraties libérales à travers le monde pour faire basculer soudainement les défenseurs constitutionnels vers la censure, les contrôles totalitaires et l’effacement des droits constitutionnels et civils dans le monde. Beaucoup disent aux gens que cela ressemble à une folle théorie du complot, mais n’importe qui peut aller sur YouTube et rechercher l’événement 201, qui est l’un des plus célèbres. J’en ai trouvé beaucoup, beaucoup plus. Cela se produisait année après année après année. L’événement 201 a lieu en octobre 2019 et, à cette époque, le coronavirus circulait déjà à Wuhan. La meilleure estimation, c’est qu’il a commencé à circuler le 12 septembre 2019. Les Chinois le savaient déjà, et l’un des participants à l’événement 201, George Gao qui se trouve à l’hôtel Pierre à Manhattan, était à la tête du CDC chinois. Les autres personnes présentes étaient les militaires, les sociétés de médias sociaux, les grandes sociétés de médias comme Bloomberg et Washington Post, les plus grandes sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

    Qui sont les hôtes ?
    Les hôtes sont Bill Gates et Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA, ancienne directrice adjointe. Elle est maintenant à la tête de l’Agence de sécurité nationale de Joe Biden. Elle est chef de la réponse aux coronavirus. Que fait la CIA en matière de santé publique ? La CIA ne s’occupe pas de santé publique. Elle fait des coups d’État. Ce n’est pas une blague. Il est prouvé que la CIA a participé à 73 coups d’État contre la plupart des démocraties, soit un tiers des gouvernements du monde entre 1947 et 2000. Si vous regardez en arrière, chaque année, elle simulait des pandémies et aucune d’entre elles ne concernait la santé publique. Elles portaient toutes sur la façon d’utiliser la prétendue pandémie pour réprimer les contrôles totalitaires et pour effectuer un coup d’État contre toutes ces démocraties mondiales. Il y a une très, très forte présence de la CIA dans chacune d’entre elles. Il y a parfois trois, quatre, cinq hauts responsables d’In-Q-Tel et de la CIA. Ils enseignent aux gens, ils les forment. Il y avait aussi toujours une grosse pointure. Il y avait une fois Madeline Albright, une autre fois, le sénateur Gary Hart, le sénateur Sam Nunn, chef du comité de la défense, ou un membre du Congrès ou Bill Gates. Il y avait toujours une sorte de figure de proue. Ça donne à l’ensemble de l’exercice le consentement de la légitimité et de l’autorité. Ils enseignaient aux travailleurs de première ligne comment réagir face à une pandémie. Vous verrouillez les entreprises, vous obligez les gens à porter des masques, vous vous débarrassez des processus démocratiques comme de la procédure régulière, il y a la censure de la presse.

    Quiconque le souhaite peut aller faire des recherches sur l’événement 201. Le quatrième séminaire ce jour-là, le quatrième exercice et le plus long, était un exercice simulé, bizarre à tous points de vue – qui simulait une pandémie mondiale de coronavirus deux mois avant l’annonce du COVID-19.

    Quel était leurs soucis ?
    Ils se demandaient comment inciter les médias sociaux à censurer les rumeurs selon lesquelles il s’agirait d’une fuite de laboratoire. C’est ce dont ils parlaient tous en octobre 2019. Si vous revenez sur toutes ces simulations comme je l’ai fait et lisez mon livre, le chapitre « Jeux de microbes » décrit l’extraordinaire prescience, l’espèce de divination qui s’est concrétisée exactement comme ils avaient prédit, jusqu’aux vaccins à ARNm dont ils parlaient déjà il y a dix ans – et dont c’est la finalité. C’est très, très alarmant quand on le lit.

    Newman : Pourriez-vous s’il vous plaît, nous dire en quelques mots ce que vous pensez que nous devrions faire à ce sujet. Quelle serait la solution ? Est-ce une question partisane ? Doit-on avoir peur ?

    Kennedy : Je pense que la meilleure chose pour les oligarques et pour ce cartel regroupant les sociétés de médias sociaux qui s’enrichissent en se nourrissant des cadavres de la classe moyenne anéantie, les sociétés de médias, les agences de renseignement et les technocrates médicaux, leur intention stratégique est de garder les républicains en lutte contre les démocrates et les Noirs contre les Blancs, de semer la division et d’orchestrer la peur. Nous allons gagner une personne à la fois, en parlant à nos voisins, en convainquant les gens. Le taux d’évolution joue en notre faveur. Une fois que les gens comprennent la vérité, ils ne retourneront jamais de l’autre côté. Nous constatons maintenant ce formidable taux d’évolution croissant. Lorsque nous aurons atteint une masse critique, nous pourrons reprendre notre démocratie, mais nous devons littéralement faire cela avec une personne à la fois, c’est-à-dire en parlant constamment, en diffusant le message. Je dirais que l’une des façons de le faire est d’acheter mon livre, de le donner à vos amis pour Noël. Soit dit en passant, je ne gagne pas d’argent sur le livre. Tous mes bénéfices reviennent à Children’s Health Defence, pour nos procès, etc., pour notre travail de défense juridique.

    de avr./ug.

    Sources / Liens :

    Robert F. Kennedy Jr.: Die dunkle Geschichte von Fauci aus dem Buch von RFK

    Aus der website von „New American Magazine“ von Alex Newmann: die dunkle Geschichte muss aufgedeckt werden.




    REVUE DE PRESSE DU 13 JUIN 2022

    Par MF

    ÉDITO
    Le mur de mensonges se lézarde, mais le discours ne change pas

    Les témoignages et les articles concernant les effets indésirables se multiplient et des citoyens de par le monde en prennent conscience et diffusent l’information, tandis qu’en France on est encore à « vacciner tout CE qui peut l’être » (selon le discours chosifiant de Cherbourg) qu’on commence à oser parler de fuite de laboratoire, que la politique du « zéro Covid » est un échec, que 12 millions de doses attendent les petits Français qui ne risquent rien du Covid, et que le lien est établi entre la nouvelle forme de MCJ et l’injection anti-covid.

    POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

    Restrictions Covid, nouveau projet de loi le 22 juin !

    https://lemediaen442.fr/restrictions-covid-19-nouveau-projet-de-loi-le-22-juin-2022-juste-apres-les-legislatives/

    Et derrière, un but mondial « Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

    Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés

    Il est temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique.

    Seule la liberté des soignants peut sauver la médecine, pour les patients

    https://la-verite-vous-rendra-libres.org/seule-la-liberte-des-medecins-et-soignants-peut-sauver-la-medecine-pour-les-malades/

    La liberté est nécessaire pour une médecine qualitative.

    Sans soignants ni médecins, pas de soins

    Il est plus qu’urgent d’exiger la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse.

    Vacciner peut rapporter gros !

    https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html

    Des trop perçus, jusqu’à 10 000 euros par mois.

    ÉTRANGER

    La politique du zéro Covid est un échec, en Australie (et ailleurs)

    et les dégâts sur l’ensemble de la santé publique sont considérables.

    Espagne, suppression du passeport sanitaire pour les pays européens

    https://www.expansion.com/economia/2022/06/02/62986b41e5fdeac23b8b4648.html

    UE, la commission européenne prolonge le passe sanitaire sans débat parlementaire

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/07/la-commission-europeenne-prolonge-le-passe-sanitaire-sans-debat-parlementaire/

    « la Commission a commis l’erreur d’écrire noir sur blanc que le passe sanitaire vise à inciter à la vaccination, et non à prévenir la propagation de l’épidémie ».

    OMS, le traité sur les pandémies, liberticide et anti-démocratique

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-traite-de-l-oms-sur-les-pandemies-un-projet-liberticide-et-anti-democratique

    Objet de concertations entre les états membres, aux mois de juin et suivants.

    USA. Missouri, une loi pour protéger les médecins prescrivant HCQ et IVM

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-missouri-loi-protection-prescription-medecin-ivermectine-chloroquine

    « Certains pharmaciens voulaient endosser le rôle de médecins et refusaient de délivrer ces ordonnances. Cela rétablit l’équilibre professionnel entre médecins et pharmaciens ».

    USA. Louisiane, les écoles qui exigeront un certificat de vaccination Covid pourraient bientôt faire face à des poursuites judiciaires

    https://lailluminator.com/briefs/louisiana-schools-that-require-covid-vaccine-could-soon-face-lawsuits/

    « Ce projet de loi est vraiment conçu pour permettre le libre choix et aussi (protéger) contre la discrimination à l’égard de ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner », a déclaré le sénateur Barry Milligan, R-Shreveport, qui a présenté le projet de loi au Sénat. 

    JUSTICE

    Les témoignages interdits au Sénat

    Trois enseignants-chercheurs écartés, auditions non publiques 

    « Durant ces auditions, nous avons alerté sur l’augmentation historique et inédite de certaines pathologies durant 2021, notamment : de 1788 % sur les troubles du cycle menstruel ; de 732 % des AVC ; Autant de cécité durant 8 mois que durant 30 ans tous vaccins confondus ».

    Me MARIAN demande au gouvernement d’abroger l’obligation vaccinale des soignants

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/11/lavocate-marian-demande-officiellement-au-gouvernement-dabroger-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/

    En cas de rejet l’avocate prépare un contentieux dit de l’erreur manifeste d’appréciation devant le juge administratif.

    Recours devant la Cour européenne des Droits de l’Homme, par Bon Sens et l’AIMSIB

    À lasuite de la décision de rejet (non susceptible de recours interne) rendue par la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République, qui concernait une plainte déposée contre le Premier ministre, le Ministre des solidarités et de la santé et le Ministre de l’éducation de la jeunesse et des sports, en vue de contester l’ensemble des mesures sanitaires auxquelles sont confrontés les citoyens français depuis mars 2020 et notamment les membres des associations requérantes, qui comptent bon nombre de soignants et d’experts censurés.

    COVID

    Fuite d’un laboratoire, ou quand TF1 vire au « complotisme »

    https://www.tf1info.fr/sante/le-covid-une-fuite-de-laboratoire-ce-que-l-on-sait-vraiment-apres-plus-de-deux-ans-de-speculations-2187224.html

    Certes l’article ne tranche pas, mais la question n’est plus tabou !

    TRAITEMENTS et autres STRATÉGIES

    Détoxifier son corps des protéines Spike

    https://www.epochtimes.fr/detoxifier-son-corps-des-proteines-spike-les-6-principaux-medicaments-et-composes-naturels-2034836.html

    La gravité de la maladie tient plus au terrain qu’au virus, et il existe des moyens de renforcer les capacités de guérison du corps (médicaments, compléments alimentaires et plantes).

    Quand les masques tuent

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-masques-sont-responsables-d-un-plus-grand-nombre-de-deces-covid-selon-une-etude

    Effet inverse de celui recherché en raison de « l’effet Foegen », « les virions du Covid-19 se propagent plus profondément dans les voies respiratoires en raison de leur petite taille ».

    INJECTIONS

    L’ADN fœtal avorté dans les vaccins (en général)

    Entretien de Robert F. Kennedy Jr avec le Dr Theresa Deisher sur l’utilisation de l’ADN fœtal avorté dans les vaccins —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

    Même en mettant de côté la morale (ce qui est difficile quand on sait comment sont extraits les tissus de ces fœtus vivants), l’aspect scientifique n’est pas rassurant avec un risque de maladies auto-immunes ou d’autisme.

    EFFETS INDÉSIRABLES

    Vu à Houston, Texas. « Arrêtez les “vaccins” contre le COVID qui ont tué et blessé des milliers de personnes aux États-Unis. Sauvez nos enfants ».

    Un nouveau syndrome, le PIDS (mortalité post-injection)

    https://pgibertie.com/2022/06/11/une-nouvelle-maladie-le-syndrome-de-la-mortalite-post-injection-pids/

    Augmentation de la mortalité toutes causes après les injections.

    Liens établis entre vaccin et maladie de la vache folle (Creutzfeld-Jacob)

    https://la-verite-vous-rendra-libres.org/des-etudes-scientifiques-mettent-en-evidence-une-nouvelle-forme-de-maladie-de-la-vache-folle-post-vaccinale/

    Bien que la variante Omicron de COVID-19 ne porte pas de région de prion dans sa protéine de pointela première variante de Wuhan COVID-19 a une région de prion sur sa protéine de pointe. Les injections sont construites sur le variant Wuhan… et cette zone prion est capable d’interagir avec les cellules humaines. Il s’agit d’une nouvelle forme de MCJ, d’apparition et d’évolution très rapide.

    Plus de problèmes cardiaques avec Pfizer qu’avec le Covid

    https://pgibertie.com/2022/06/04/le-pfizer-cause-plus-de-problemes-cardiaques-que-la-covid/

    Novavax ne fait pas mieux que les autres, 5 cas de myocardites chez les vaccinés

    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/covid-19-aux-etats-unis-inquietudes-sur-un-risque-potentiel-de-myocardite-avec-le-vaccin-de-novavax-11176480.amp.html

    et comme toujours pas de lien de causalité reconnu par le laboratoire !

    Les enfants en danger

    https://nouveau-monde.ca/enfants-en-danger-stop-a-lindifference/

    Risque à court terme de myocardite et hépatite, pour le long terme, on ne sait RIEN !

    303 fois plus de risque de mourir du Covid chez les enfants injectés que non injectés

    https://expose-news.com/2022/05/23/children-303x-likely-to-die-following-covid-vaccination/

    Source : statistiques officielles du gouvernement anglais

    Documents secrets de Pfizer : deux fois plus de décès chez les injectés que les non injectés

    https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

    Le mur de mensonges se lézarde.

    Chaque jour de nouvelles victimes rejoignent Verity France

    https://la-verite-vous-rendra-libres.org/chaque-jour-des-nouvelles-victimes-des-vaccins-rejoignent-verity-france/

    Familles de victimes décédées, ou personnes injectées vivant un calvaire depuis leur vaccin.

    APRÈS COVID

    Variole du singe, un virus fabriqué en laboratoire et peut-être libéré intentionnellement

    https://resistance-mondiale.com/une-etude-revele-que-la-derniere-epidemie-de-variole-du-singe-est-le-resultat-dun-virus-manipule-par-un-laboratoire-biologique-et-probablement-libere-intentionnellement

    Le houleux mariage à trois autour du Monkeypox

    https://www.aimsib.org/2022/06/05/houleux-mariage-a-trois-autour-de-monkeypox/

    ou comment les instances de santé se contredisent au détriment des citoyens.

    RÉSISTANCES

    CSI n° 58



    Pr Jean-Paul BOURDINEAU, Jean-Paul Bourdineaud : Professeur de biochimie et toxicologie environnementales. Exposé très clair du rôle de la protéine S et de ses effets délétères.

    Réinfocovid, la revue de presse du 6 juin

    https://reinfocovid.ca/revue-de-presse-de-la-semaine-du-6-juin/

    Une actualité très riche !




    Le combat pour l’humanité

    [Source : Kla.tv]

    « Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

    La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

    [Voir aussi :
    Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
    Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
    Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
    Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
    L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
    Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
    Tous surhumains demain?
    Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
    Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
    Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
    Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
    Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
    Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
    Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
    DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
    Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
    Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
    La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
    Great reset : c’est pour bientôt !
    Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
    Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
    Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
    La nanotechnologie dans les vaccins
    Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
    Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
    Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
    L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
    Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
    Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
    Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
    Graphène et 5G
    Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



    Transcription

    David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

    Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

    Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

    Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

    La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

    Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

    Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

    Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

    Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

    Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

    Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

    Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

    David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

    J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

    Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

    David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

    Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

    Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

    Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

    Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

    David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

    Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

    Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

    Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

    Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

    David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

    Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

    Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

    Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

    David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

    Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

    Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

    Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

    Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

    • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
    • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
    • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

    Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

    (Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

    Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

    Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

    Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

    Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

    Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

    Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

    Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

    Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

    Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

    Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

    Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

    David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

    Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

    Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

    C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

    Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

    Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

    Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

    David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

    Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

    David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

    Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

    Extraits (citations) :

    « … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

    « De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

    « Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

    « Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

    David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

    Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

    Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

    Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

    David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

    Revenons à vous, Carrie.

    Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

    Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

    Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

    Citation de Bill Gates :

    « Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

    Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

    The Frontline Doctors des États-Unis :

    « Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

    « Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

    « Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

    « Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

    « La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

    « Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

    David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

    Premièrement, ils disent :

    « Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

    Et deuxièmement :

    « Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

    Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

    Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

    Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

    48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

    Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

    Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

    Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

    David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

    Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

    Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

    Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

    Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

    Dr Richard Bradley : Budésonide

    Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

    Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

    David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

    Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

    La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

    Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

    Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

    Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

    Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

    Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

    Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

    Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

    Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




    Livres sur la vaccination

    [Transmis par Alain Go]

    • À l’ombre de Pasteur. Souvenirs personnels. Dr. Adrien Loir (neveu de Pasteur). Ed le mouvement sanitaire. 1938. Paris
    • Analyse scientifique de la toxicité des vaccins. Livre 2. Dr Michel de Lorgeryl. 2019
    • Au cœur du vivant. Jacqueline Bousquet. Ed. Saint Michel. 1992
    • Autisme et vaccination : Responsable mais non coupable, Sylvie Simon. Ed Trédaniel 2007
    • Autiste depuis le vaccin : des parents témoignent. Martin Walker. Ed. Ambre 2017
    • Béchamp contre Pasteur. Julio Ximenes. 1960. Livre publié au Brésil puis traduit en Français.
    • Béchamp ou Pasteur. Un chapitre perdu de l’histoire de la biologie. Ethel Douglas Hume 1948 pour la version française (première édition en Anglais : 1923)
    • Big pharma démasqué ! Xavier Bazin. Guy Trédaniel Editions. 2021
    • Ce qu’on nous cache sur les vaccins, Sylvie Simon. Editions Delville. 2006
    • Comme la boutonnière et le bouton. Sylvie Renault. www.unlivreouvert.fr
    • Comment échapper aux épidémies ? Michel Dogna Editions Infos Michel Dogna
    • Considérations sur l’origine des maladies infectieuses. Pr Rappin. 1933
    • Conditions de création et de conservation de la vie. Louis-Claude Vincent. Nature et Progrès. 1979
    • Danse avec le diable. G. Schwab, Ed. Courrier du livre 2010
    • Des enfants sains même sans médecin. Dr R. Mendelshon, Ed. Soleil 1987
    • Des lobbies contre la santé. Roger Lenglet/Bernard Topuz, Ed. Syros 1998
    • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr. A. Banos-Sylvie Simon. Ed Déjà. 2003
    • Dossier noir des médicaments de synthèse. Dr Louis de Brouwer . Ed. Arys. 1996
    • Dossiers sur le gouvernement mondial. A. Meurois-Givaudan, Ed. Amrita
    • 12 balles pour un veto, Dr Quiquandon, Ed. Agriculture et Vie, tome1 : 1974 tome 2 :1978
    • Essai sur la guérison. Dr René Allendy. Editions Denoël. 1938
    • Exercice illégal de la guérison. Sylvie Simon. Ed. Marco Pietteur. 2002
    • Hépatites : les vaccins catastrophe. Françoise Joët et Claude Bernard. Ed. ALIS
    • Hystérie vaccinale- Vaccin Gardasil et cancer. Drs Nicole et Gérard Delépine. Ed. Fauves. 2018
    • Immunologie et vaccinations. Carnet immunitaire D. Jacques Kalmar. Ed. Les Bardes.
    • Industrie vaccinale. Dr Marc Vercoutère. Editions Morphéus. + E-book. 2018
    • Introduction générale à la médecine des vaccins. Livre 1. Dr Michel de Lorgeril
    • L’apport des vaccinations à la santé publique ? La réalité derrière le mythe. Michel Georget. Editions Dangles. 2014
    • L’aventure de la vaccination. Anne-Marie Moulin. Editions Fayard, 1996
    • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments. Dr Bruno Donatini, Ed. MIF. 2017
    • L’intoxication vaccinale. Fernand Delarue, Ed. Le Seuil, 1977
    • Introduction à la médecine des vaccins. Livre 1 Dr Michel de Lorgeril. Ed Chariot d’or. 2018
    • L’OMS, bateau ivre de la santé publique. Bertrand Deveaud-Bertrand Lemenicier. L’harmattan 2000
    • La bonne santé des enfants non vaccinés. Dr Françoise Berthoud. Jouvence. Extraits de l’étude de l’Institut Robert Koch (D), portant sur 18000 enfants.
    • La catastrophe des vaccins obligatoires. Pr. Jules Tissot, Ed. de l’Ouest, 1950
    • Le Complexe médico-industriel de ATTAC. JC Salomon. Ed. Mille et une nuits 2003
    • Les chemins de la souveraineté individuelle. René Bickel. 1979
    • Les dessous des vaccinations. Dr Alain Scohy. Ed. Des clefs pour vivre
    • La dictature des laboratoires chimiques et pharmaceutiques. Dr Louis Bon de Brouwer
    • La dictature médico-scientifique, Sylvie Simon, Ed. Filipacchi 1997
    • La faillite du BCG Dr Marcel Ferru, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps 1977
    • La guerre microbienne est commencée (L’imposture du BCG) Dr Paul Chavanon Ed. Dangles 1950
    • La guerre des virus. Léonard Horowitz, Ed. Félix 2000
    • La lumière médicale. Dr Norbert Bensaïd, Ed. le Seuil 1982 et Ebook en 2019
    • La mafia médicale. Dr Ghislaine Lanctot, Ed. Voici la clé. 2002
    • La médecine retrouvée. Dr Jean Elminger, Ed. Léa. 1985
    • Le nouveau dossier noir du vaccin Hépatite B. Lucienne Foucras. Ed. Résurgence. 2009
    • La nouvelle dictature médico-scientifique : L’emprise des lobbies sur notre santé. Sylvie Simon. Ed Dangles 2006
    • La peste de la corruption. Dr. Judy Mikovits. Le Jardin des livres. 2021
    • La piqûre de trop. Riva Catherine, Dr. JP Spinosa. Xenia Editions 2010
    • La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ? Dr Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde, 1997
    • La rançon des vaccinations. Simone DELARUE, Ed. LNPLV, 1988
    • La santé assassinée. Isabelle Robard. Ed. de l’ancre.
    • La santé confisquée. Mirko et Monique Beljansky, Ed. Compagnie
    • La santé hors la loi. Isabelle Robard. Ed. de l’ancre. 1994
    • La Santé Publique en otage. Eric Giacometti, Ed. Albin Michel. 2001
    • La théorie VIH du SIDA, incohérence scientifique. Rebecca Culshaw. Ed. Marco Pietteur. 2009
    • Le grand secret de l’industrie pharmaceutique. Philippe Pignarre. Ed. La Découverte. 2004
    • Le malade déchaîné. R. BICKEL, auto édité
    • La mort subite du nourrisson. Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
    • Le procès de la mafia médicale. Joachim Schafer. Ed. Voici la clef. 1997
    • Le racket des laboratoires pharmaceutiques. M.Rivasi, S.Rader, M.O. Berthella-Geffroy. Ed. Les petits matins. 2015
    • Le tabou des vaccinations. Danger vaccins, thérapies naturelles de prévention… M Schär Manzoli. Editions ATRA. 1999
    • Les 10 plus gros mensonges sur … les vaccins. Sylvie Simon. Ed. Dangles. 2005
    • Les chemins de la souveraineté individuelle. R. Bickel, auto édité
    • Les dégâts des métaux lourds. Dr Jean-Pierre Willem. Ed. trédaniel. 2014
    • Les dessous des vaccinations. Dr Alain Scohy, Ed. Cheminements. 2000
    • Les inventeurs de maladies : Manœuvres et manipulations de l’industrie pharm. Jörg Blech. Ed. Actes Sud 2005 et 2008
    • Les vaccins à l’ère de la Covid 19. Dr Michel de Lorgeril. Kiwi. 2021
    • Les vaccins contre la grippe. Livre 7. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
    • Les vaccins contre les cancers Livre 8. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
    • Les vaccinations dans la vie quotidienne. Simone Delarue. LNPLV. 1986
    • Les vaccinations, prévention ou agression ? Marie-Thérèse Quentin. Ed. Vivez soleil. 1995
    • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, Fernand et Simone Delarue, LNPLV. 1985
    • Les vaccins, racket et poison ? Dr Paul Emily
    • Les vaccins – Ce qu’on nous cache sur leurs effets indésirables Sylvie Simon. Ed. Grancher. 2014
    • Les vaccins du nourrisson Livre 3. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
    • Les vaccins du nourrisson Livre 4. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
    • Les vaccins du nourrisson Livre 5. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
    • Les vaccins du nourrisson Livre 6. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
    • Les vaccins en question. Pamela Acker. Ed. Le cep. 2021- 400 références scientifiques
    • Les vaccins sont-ils une illusion ? Tetyana Obukhanich Immunologiste. Macro Editions 2018
    • Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur. Dr Philippe Decourt, Ed. La Vieille Taupe, 1989
    • Lettre ouverte à Mr Pasteur Louis. Dr Yves Robin. France Europe Edition. 2002
    • Majeur et vacciné, ou … le droit de vivre ? Giorgio Tremante
    • Maladies auto-immunes. Dr. J. Elminger. Biosophie.
    • Mémento vaccins CHAT 10-A11. José Mulenda Zangela. Edilivre-Aparis. 2020
    • Mon enfant et les vaccins. Dr Françoise Berthoud, Ed. Soleil
    • Médecine, religions et peurs. Olivier Clerc. Ed. Jouvence. 1999
    • Mort subite du nourrisson. Dr Archie Kalokerinos. IFC. 1997
    • Nos droits face à la dictature vaccinale, Ed. Harmonie et Santé
    • Nous te protègerons ! La poliomyélite. Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt
    • On peut tuer ton enfant. Dr Paul Chavanon. Ed. Médicis. 1946
    • Pandora, livre 1. Philippe A Jandrok. 2016
    • Pandora, livre 2. Philippe A Jandrok Plusieurs autres livres à suivre, à compléter.
    • Parasitisme normal et microbisme. Dr V. Galippe. Masson et Cie. 1917
    • Pasteur, l’imposteur. Dr Auguste Lutaud : M. Pasteur et la rage. 1887. Talma Ed. Réédition 2020.
    • Patients, si vous saviez : Confessions d’un médecin généraliste. Christian Lehmann. Ed. Robert Laffont 2003
    • Phobie des microbes et Manie vaccinale. Dr Yves Couzigou. Vie et action. 1989
    • Piqûre de rappel. Bouchra Jaber. Edilivre. 2016
    • Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifiq. Dr Eric Ancelet, Ed. M Pietteur 1999
    • Pour en finir avec nos peurs. Dr Eric Ancelet. Ed. Medicatrix 2021
    • Pourquoi vacciner ? La fin de la vaccination. Pierre-Jean Arduin. Auto-édité. 2016
    • Prenez en main votre santé : Tomes 1, 2 et 3. Michel Dogna. Ed. Guy Trédaniel. 2017
    • Qui aime bien, vaccine peu ! Groupe Médical de réflexion Ed. Jouvence. 2018 + E-book
    • Raspail et Pasteur, 30 ans de critiques méd. et scientifiques, 1884-1914, Xavier Raspail. Ed. Vigot Frères, première édition 1916 réédité en 2021 Hachette
    • Santé, mensonges et propagande. Isabelle Robard-Thierry Souccar Ed. Seuil. 2004
    • Sarah ne veut pas être vaccinée. Dr Andreas Bachmair – Madlen Maker 2015
    • Tétanos, le mirage de la vaccination. Françoise Joët, Ed. Alis et Fiat Lux Ed. 2019
    • Toxic Story, Pr Romain Gherardi. Editions Actes Sud 2019
    • Un bon Pasteur ? Marc Aveyrous. Louise Courteau Editions. 2007
    • Vaccin, assassin ! Bouchra Jabber Editions Résurgence Ed.Marco Pietteur 2021
    • Vaccins, oui ou non ? Stefano Montanari, Antonietta M. Gatti, Serge Rader, Editions Talma. 2017
    • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale. S Simon – Dr M Vercoutère, Ed. Marco Pietteur 2001
    • Vaccination, la grande désillusion. Dr S. Humpries et R Bystrianyk. Résurgence. 2021
    • Vaccination : la grande illusion. René Bickel. Autoédité. 2008
    • Vaccination l’overdose – Désinformation, scandales financiers, imposture. S. SIMON Ed. Déjà 1999
    • Vaccinations : erreur médicale du siècle. Dr Louis de Brouwer, Ed. Louise Courteau, 1999
    • Vaccinations : je ne serai plus complice ! Dr. Jean Meric. Ed. Marco Pietteur 2004
    • Vaccinations : le droit de choisir. Dr François Choffat, Ed. Jouvence 2017 + E-book
    • Vaccinations : le marché de l’angoisse. Dr. Gerharg Buchwald.
    • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. Quentin, Ed. Vivez Soleil. 1995
    • Vaccinations, les vérités indésirables. Pr Michel Georget, Ed. Dangles, préface du Pr Cornillot. 2007. L’auteur s’appuie sur 800 références scientifiques.
    • Vaccinations, quelles alternatives ? Dr Zoltan Rona. Utovie. 2020
    • Vaccination/protection : mythe ou réalité ? Simone Delarue. LNPLV. 1992
    • Vacciner nos enfants : le point de vue de 3 médecins. Dr Françoise Berthoud. Ed. Vivez soleil. 1985
    • Vaccins, Abus de confiance. Dr Alain Perrier. Editions Marco Pietteur. 2011
    • Vaccins, comment s’y retrouver ? Pr Henri Joyeux. Editions du Rocher. 2015
    • Vaccins : l’avis d’un avocat : On nous aurait menti ? Me Jean-Pierre Joseph. Editions Testez. 1995
    • Vaccins : l’avis d’un médecin holistique. Dr Christian Tal Schaller. Editions Testez. 2006
    • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Schaller. Testez Editions. 2009
    • Vivre sans vaccins. Dr Andreas Bachmair. CISPP. 2013

    Ebooks :

    • Faut-il avoir peur des vaccinations ? Sylvie Simon avec 20 médecins. Ed. Déjà. 2016
    • La fabrique de malades. Dr Sauveur Boukris. Le cherche midi. 2013
    • Le pass sanitaire, c’est la liberté ? Stéphane Polsky. Ed. Yves Michel 2021
    • Le grand reset et la guerre du vaccin. Nicolas Bonnal. Autoédité. 2021 www.francelibs.com
    • Vaccins, bienfaiteurs ou assassins ? la faillite de l’empire vaccinal. Dr Tal Schaller. https://boutique.santeglobale.world/
    • Le mythe de la contagion Thomas Cowan 2020 :
      https://www.bonnes-habitudes.fr/2021/12/26/le-mythe-de-la-contagion/
    • Vaccinations et politiques vaccinables. Editions Morpheus

    Livres associés :

    • Création d’une épidémie ou comment on abuse l’opinion, Ed. Harmonie et Santé
    • Hépatite B et vaccination, Ed. Harmonie et Santé
    • Les 10 plus gros mensonges sur … les médicaments. Sylvie Simon
    • Les 10 plus gros mensonges sur…la sclérose en plaques. Dr J.P. Maschi
    • Les radis de la colère. J.-P. Joseph, Avocat à Grenoble, Ed. Louise Courteau. 1999
    • Dossiers sur le gouvernement mondial, A. Meurois-Givaudan, Ed. Amrita,
    • L’affaire Schaller : mon combat contre la rumeur : Encore un médecin victime des mafias pharma
    • Le mythe du « trou de la Sécu ». Julien Duval 2007
    • La guerre secrète contre les peuples. Claire Séverac. Ed. Kontre culture. 2015
    • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments. Dr. Bruno Donatini. Ed. MIF
    • Savants maudits, chercheurs exclus. Pierre Lance (4 volumes parus chez Guy Trédaniel Editeur)
    • Virus mania. 4 auteurs. Ed. Résurgence. 2021
    • Un monde de menteurs. Pat Jauland- Jacky Cassou. Auto-édité. 2021
    • Faux virus, fausse pandémie, vrais coupables. Pat Jauland- Jacky Cassou. Auto-édité. 2021
    • Enquête sur un virus Covid 19. Manipulations, vols, meurtres, influences et guerres médiatiques. Philippe Aimar. Le jardin des livres. 2021.
    • L’épidémie du mensonge. Jean Pernin. JMG Editions. 2021. Tomes 1 et 2
    • L’autisme n’est pas irréversible. Evelyne Claessens. Groupéditions. 2009

    Livres à vérifier ou à retrouver :

    • Regard malin sur les vaccins…
    • Pasteur, l’imposteur ? Dr Serge Rader
    • Tuberculose et vaccin B.C.G. Pr GRIGORAKI
    • Vacciner ou ne pas vacciner votre enfant, Ed. Harmonie et Santé
    • Vaccinez-vous, sans vaccin. Dr Pierre Bressy (non édité ?)

    Quelques livres en Anglais :

    • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines. Washington DC National Academy Press. 1991
    • A shot in the dark, Dr Harris and B Loe Fisher. Avery Publishing Group. 1991
    • Immunisation, theory versus reality. New Atlantic Press. 1996
    • Live viral vaccine, biological pollution Pr. R Delong. Cartlon Press Corp. New York. 1996
    • Pasteur, plagiarist, imposter by R. B. Pearson. 1942
    • Vaccination, social violence and criminality. Harris Coulter. North Atlantic Books. Berkley. 1990
    • Vaccination: 100 years of orthodox research shows that vaccines represent an assault on the immune system Viera Scheibner. 1993
    • Callous Disregard: Autism and Vaccines: The Truth Behind a Tragedy. Andrew Wakefield. Skyhorse Publishing. 2010

    DVD :

    Liens :

    Voir aussi :
    Dossier Vaccins et virus




    L’incroyable malhonnêteté des médias sur les questions de vaccination

    [Source : xavier-bazin.fr]

    Par Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain

    Février 2022. La scène se passe en direct, à la télévision, sur la chaîne info CNews.

    Cela fait plus d’un an déjà que les vaccins anti-Covid ont été massivement injectés aux populations, avec la bénédiction des grands médias.

    Mais ce matin-là, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche » et stupéfie ses interlocuteurs :[1]

    « Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.

    C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.

    Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. » 

    Conclusion du Pr Peyromaure : 

    « C’est quand même un drôle de vaccin ! »

    Un peu sidérée, la présentatrice de l’émission Sonia Mabrouk s’interroge : 

    « pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et au centre du débat ? » 

    Et en effet, c’est bien la question essentielle.

    Écoutez bien comment la journaliste Élisabeth Levy, présente sur le plateau, a réagi à la démonstration du Pr Peyromaure :

    « Cela pose quand même une question politique. On nous a tellement dit que ce vaccin allait être merveilleux, qu’on regardait tous ces gens qui ne voulaient pas se vacciner comme des sortes d’hurluberlus, on se demandait vraiment s’ils n’étaient pas un peu complotistes, moyenâgeux, etc. Je ne comprenais pas pourquoi des gens ne voulaient pas se vacciner ».

    Si Élisabeth Levy, pourtant rédactrice en chef d’un journal « non consensuel », a pu penser qu’il fallait être un « hurluberlu complotiste » pour ne pas se faire vacciner contre le Covid, c’est la preuve que les grands médias étaient unanimes.

    Même au début de l’année 2022, les discours critiques comme celui du Pr Peyromaure étaient encore rarissimes dans les médias (Sonia Mabrouk fait partie des très rares journalistes à apprécier les invités « non-conformistes »).

    Alors que se passe-t-il ? Pourquoi les médias sont-ils aussi biaisés en faveur de la vaccination ? Comment cela se manifeste-t-il ? Et avec quelles conséquences pour le débat public ?

    C’est ce que nous allons voir.

    Comment les médias construisent la réalité, avec les « bons » et les « mauvais » experts

    L’immense pouvoir des médias vient d’abord de l’effet loupe.

    L’actualité est remplie de milliers d’informations potentiellement intéressantes ou utiles. Mais les médias n’en sélectionnent qu’une infime proportion : quelques dizaines d’informations clés, rabâchées sur toutes les antennes. Voilà ce qui façonne la « réalité » des gens.

    Imaginez qu’à l’automne 2021, les journaux de « 20h » se soient ouverts sur la souffrance des soignants non vaccinés, suspendus sans salaire et plongés dans la misère sociale. Imaginez que les journalistes aient fait preuve de pédagogie, en expliquant que ces soignants étaient prêts à faire un test PCR tous les jours pour travailler, ce qui les aurait rendus moins susceptibles de contaminer leurs patients que leurs collègues vaccinés qui risquaient de transmettre le virus à leur insu.

    Si les médias avaient fait leur travail, le caractère absurde, discriminatoire et violent de cette mesure aurait créé une grande émotion dans les foyers français, et cela aurait certainement conduit le gouvernement à reculer et à réintégrer les soignants – surtout en pleine épidémie, alors que de nombreux lits d’hôpitaux étaient fermés faute de soignants[2].

    Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Même lorsque plusieurs soignants ont entamé une grève de la faim de plus de 40 jours à Périgueux, il n’y a eu aucune dépêche AFP, ni même un reportage de France 3 Régions[3].

    De façon générale, sur les vaccins anti-Covid, il n’y a eu globalement qu’un seul refrain, psalmodié dans les grands médias dès le début de l’année 2021 : ils étaient « salvateurs », sans risque, et allaient nous débarrasser de l’épidémie. 

    Vous me direz peut-être que les médias se sont contentés de refléter le « consensus des experts » de l’époque, mais ce n’est pas vrai !

    Un immense expert comme le Pr Raoult a prévenu dès le départ que ce vaccin ne serait pas une « baguette magique » contre l’épidémie. Le Pr Perronne, autre grand connaisseur des vaccins, jugeait dès l’été 2020 que ces vaccins contre le nouveau coronavirus étaient une « foutaise purement financière » sachant que l’on peut traiter les malades dès le début des symptômes.

    Mais la parole de ces experts-là a été marginalisée médiatiquement, ou tout bonnement étouffée.

    Le Pr Perronne a ainsi été banni de la plupart des antennes radio et télévision, comme l’a reconnu le journaliste Pascal Praud, en avril 2021 :

    «Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal pensant, etc. »[4]

    Voilà comment on « fabrique » un pseudo consensus : en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui sont dans la « ligne du parti ».

    Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la campagne vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé suisses, menés par le Dr Philippe Saegesser, ont demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec des arguments parfaitement raisonnables :

    « Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?

    Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème ?

    N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement »[5].

    Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Très probablement non, ou alors en termes péjoratifs.

    Car le journal suisse Le Temps a immédiatement allumé un contre-feu contre la tribune de ces 700 professionnels de santé, avec ce titre accusateur : 

    « En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau », et un intertitre qui parle de « tentative de désinformation».

    Ainsi, les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis-à-vis des vaccins ; ils s’efforcent également de les diaboliser !

    Quelques mois plus tard, en juin 2021, la diabolisation du Dr Philippe Saegesser est d’ailleurs montée d’un cran dans la presse suisse, avec notamment ce titre cinglant : «Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise»[6]. Vous le voyez : une critique raisonnable des vaccins est immédiatement assimilée à un « délire antivax »[7] !

    Donc, les médias ne se contentent pas de taire les opinions « minoritaires » : ils concourent activement à les censurer en les diabolisant !

    BFM TV : «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques »

    J’en ai moi-même fait les frais, en tant que journaliste indépendant.

    En janvier 2021, j’écrivais à mes lecteurs une lettre détaillant les « 6 bonnes raisons de se méfier des vaccins ARN ».

    C’était cette fameuse époque où la presse unanime criait au miracle et à la « baguette magique » contre l’épidémie (souvenez-vous des paroles d’Élisabeth Levy !). Mais de mon côté, après avoir évalué calmement la situation, j’en étais arrivé à la conclusion inverse :

    «Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ».

    La suite m’a donné raison, avec son cortège d’obligations « anormales » (masques), de restrictions des libertés fondamentales (pass sanitaires et vaccinaux, etc.), et bien sûr de contaminations et de décès Covid.

    C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

    Il n’était pas difficile de l’anticiper : à l’époque, le généticien Axel Kahn, pourtant un grand défenseur des vaccins anti-Covid, l’avait même avoué publiquement : « Ilest assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés »[8] – rendant ainsi le vaccin initial inefficace.

    Mais savez-vous comment j’ai été récompensé, pour avoir été plus lucide que ceux qui nous promettaient des miracles avec ces vaccins ?

    Par l’ostracisme médiatique ! Au printemps, non seulement je n’ai été invité à peu près nulle part pour parler de mon livre (Big Pharma démasqué), mais la chaîne BFM TV est allée jusqu’à s’insurger que cet ouvrage puisse être mis en avant dans un magasin Fnac (un seul parmi des centaines !) :

    «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques, ont trouvé une place de choix, mis en avant sur un présentoir dans un magasin Fnac»[9].

    Voilà la seule et unique mention de mon livre dans les grands médias français (si l’on excepte France Soir et Sud Radio) ! Alors qu’ils ont donné la parole, sur le Covid, à des dizaines de gens qui n’y connaissent rien et qui se sont trompés sur tout !

    Et hors de France, c’est pareil : la seule mention de Big Pharma Démasqué dans un média étranger, la chaîne de radio publique « Ici Radio-Canada », était dans un article qui s’indignait que l’on puisse trouver mon livre dans des bibliothèques publiques canadiennes («Des discours antivax bannis de YouTube, mais disponibles à la bibliothèque»)[10].

    Bref, les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts, ils contribuent activement à le façonner : en choisissant qui a le droit de s’exprimer, et qui au contraire doit être disqualifié comme « antivax ».

    Et cela a des conséquences majeures sur l’opinion publique et les politiques vaccinales.

    Comment les médias font l’opinion : l’exemple des 11 vaccins obligatoires

    Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les médias le « quatrième pouvoir ».

    Ils sont même souvent le « premier pouvoir », dans nos démocraties modernes, car ils façonnent l’opinion publique – et donc, in fine, les élections et ce qui est voté.

    Prenez le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France en 2017 : le texte est passé comme une lettre à la poste, grâce à la bienveillance des médias.

    Car les médias ont tout fait pour atténuer ou étouffer les sujets qui fâchent, et en particulier les risques sanitaires liés à la présence d’aluminium dans 8 de ces 11 vaccins.

    Prenez cet article très représentatif de France Info intitulé 

    «Onze vaccins obligatoires au 1er janvier 2018 : ‘’L’aluminium dans les vaccins représente une goutte d’eau’’».

    Cet argument de la « goutte d’eau » de l’aluminium vaccinal a été véhiculé à l’époque dans tous les médias. Ici, l’article donne la parole à une scientifique, membre de l’Académie de pharmacie, qui affirme sans rougir :

    « Avec tous les vaccins obligatoires, un bébé reçoit entre 4 et 5 milligrammes au total d’aluminium. Ce n’est rien »[11].

    Mais c’est de la désinformation pure et simple ! Car personne ne peut affirmer sérieusement que ce métal, même à faible dose, ne peut pas avoir de toxicité, sachant qu’aucun organisme vivant ne contient la moindre trace d’aluminium à l’état naturel.

    Au contraire, une étude publiée par des chercheurs français[12], et présentée quelques mois plus tôt devant l’Agence du médicament[13], avait démontré que de faibles doses d’aluminium étaient plus toxiques pour le cerveau des souris que des doses plus élevées !

    Toujours à propos de l’aluminium vaccinal, voici un autre exemple de désinformation véhiculée fréquemment par les médias à l’époque[14][15] – ici dans la bouche d’un médecin généraliste :

    «Mais les quantités d’aluminium apportées par les vaccins sont faibles (jamais plus de 0,85 mg) par rapport aux apports quotidiens d’aluminium dans l’organisme. Nous en mettons 3 à 5 mg dans notre corps chaque jour en mangeant et en buvant»[16].

    Cet argument est simplement ridicule, car on ne peut pas comparer l’aluminium ingéré et l’aluminium injecté, quand on sait que 99 % de l’aluminium alimentaire est éliminé dans les selles et les urines !

    Tout média ou journaliste sérieux et objectif devrait donc se garder de relayer une propagande « rassuriste » aussi grossière – sa mission devrait au contraire consister à « fact-checker » cette comparaison avec l’aluminium alimentaire pour en démontrer l’inanité !

    Mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les médias laissent courir, sans contradiction, la propagande pro vaccinale, et s’acharnent à contredire ceux qui émettent des critiques nuancées.

    Et c’est ainsi que l’opinion publique est faussée.

    De plus, à l’époque du passage aux 11 vaccins obligatoires, il y avait déjà une stratégie de diabolisation des « antivax ».

    C’est ainsi que le Parisien a publié en juillet 2017 un grand article sur «Les figures de proue du mouvement anti-vaccins en France», avec cet intertitre qui pointe un supposé « sectarisme » : « leur gourou, le professeur Henri Joyeux »[17].

    Autre exemple frappant : à l’automne 2017, deux grands scientifiques, le Pr Joyeux et le Pr Montagnier (Prix Nobel de Médecine) organisent une conférence de presse sur le thème : «Oui aux vaccins, non aux 11 vaccinations du nourrisson dès la 6e semaine ».

    Mais aucune radio ou télévision n’a retransmis cet événement, ce qui a empêché le grand public de se faire un avis sur la qualité des arguments de ce ceux qui s’opposaient aux vaccins obligatoires.

    Pire : dans la presse écrite, on a assisté à un déchaînement d’articles assassins sur cette conférence de presse, notamment parce que le Pr Montagnier avait osé évoquer le sujet tabou (mais hélas terriblement plausible) du lien entre vaccins infantiles et mort subite du nourrisson :

    « Du mauvais théâtre contre les vaccins » Libération, 7 novembre
    « L’hallucinante soirée anti-vaccin », France Inter, 8 novembre
    « Le lent naufrage scientifique du Professeur Luc Montagnier », Le Figaro, 17 novembre
    « De l’outrance à la modération, la nébuleuse des anti-vaccins »L’Express, 30 novembre

    Voilà comment les médias ont traité un sujet démocratique aussi fondamental que l’obligation vaccinale, qui touche à la fois à la santé de nos enfants et à nos libertés publiques !

    Et depuis 2018, ce sujet a totalement disparu des radars médiatiques, comme si l’aluminium vaccinal n’était plus controversé et que l’obligation de ces 11 vaccins ne se discutait plus.

    Voilà comment on façonne l’opinion publique.

    Big Pharma le sait – et va jusqu’à utiliser les médias complaisants pour faire pression sur les autorités sanitaires.

    Les campagnes médiatiques influencent aussi nos autorités de santé !

    Vous vous souvenez peut-être comment un laboratoire a créé une campagne médiatique en faveur de son nouveau médicament, un soi-disant « viagra féminin » – qui était en réalité un médiocre antidépresseur repositionné – en accusant les critiques de vouloir « réprimer le désir féminin » et combattre l’égalité entre hommes et femmes.

    Cette pression médiatique a bien fonctionné puisque la FDA, probablement pour ne pas être accusée d’être « machiste », a autorisé ce très mauvais médicament en 2015, sans motif scientifique sérieux[18].

    Pour les vaccins Covid, un stratagème de même nature – mais de beaucoup plus grande ampleur – a été déployé.

    Ce n’est pas un hasard si, à l’automne 2020, l’efficacité à 90-95 % des vaccins anti-Covid a été annoncée par communiqué de presse des labos pharmaceutiques, plutôt que par des publications scientifiques.

    L’objectif était de former une immense vague médiatique autour de vaccins supposés « miraculeux », afin de forcer les régulateurs à les autoriser aussi rapidement que possible.

    Ce n’est pas une théorie du complot.

    Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins[19].

    Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis-à-vis du vaccin de Pfizer :

    « Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

    L’Agence européenne était « préoccupée », car le vaccin Pfizer testé n’était pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché, avec des risques d’inefficacité et de dangerosité, notamment à cause de quantités d’ARN messager qui variaient selon les lots.

    Mais finalement, l’Agence européenne s’est couchée et a rapidement autorisé ces vaccins. Pourquoi ? Car la pression politique et médiatique était trop grande !

    Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé après coup, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile, vis-à-vis de l’opinion publique, de ne pas approuver ces vaccins :

    «Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste […], l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public)».

    Ici encore, plutôt que de favoriser le débat critique et nuancé sur la vaccination, les médias se sont contentés de relayer la propagande vaccinale des laboratoires.

    Mais pourquoi ? Pourquoi les médias ne favorisent-ils pas la confrontation d’idées et d’arguments d’experts ayant des positions différentes ?

    Pourquoi jouent-ils au contraire un rôle de « chien de garde pro-vax », en censurant toute critique et ne relayant que les arguments favorables ?

    C’est ce que l’on verra au prochain épisode – restez connecté !

    Sources

    [1] CNews, émission Midi News, 15 février 2022.
    https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

    [2] https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/

    [3] https://www.francebleu.fr/infos/societe/trois-personnes-en-greve-de-la-faim-a-perigueux-contre-le-pass-sanitaire-et-l-obligation-vaccinale-1633106501

    [4] https://planetes360.fr/le-pr-christian-perronne-seul-contre-tous-chez-pascal-praud-tire-les-choses-au-clair-au-sujet-des-traitements-et-de-la-vaccination/

    [5] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

    [6] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/son-association-sen-fiche-les-delires-antivax-dun-ponte-de-la-medecine-vaudoise-id16778677.html

    [7] Dans la foulée, les médias suisses nous informent que le Dr Saegesser passera devant une « commission de déontologie » et « risque une sanction de ses confrères » (alors que la liberté de parole des médecins en Suisse est infiniment plus respectée qu’en France).
    https://www.24heures.ch/le-docteur-philippe-saegesser-risque-des-sanctions-de-ses-confreres-858231714856

    [8] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

    [9] https://www.bfmtv.com/tech/fnac-une-selection-d-ouvrages-sur-le-covid-19-fait-polemique-sur-les-reseaux-sociaux_AN-202108180251.html

    [10] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1830295/discours-antivax-bibliotheques-youtube-liberte-expression-recherche

    [11] https://www.francetvinfo.fr/sante/vaccins/onze-vaccins-obligatoires-au-1erjanvier2018-l-aluminium-dans-les-vaccins-represente-une-goutte-d-eau_2539435.html

    [12] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X16303043?via%3Dihub

    [13] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/aluminium-dans-les-vaccins-des-effets-toxiques-caches-par-l-ansm_116650

    [14] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-aluminium-autisme-la-video-eclairante-d-un-medecin-contre-les-rumeurs_1927989.html

    [15] https://www.sudouest.fr/sante/vaccins-mais-que-leur-reproche-t-on-exactement-3351247.php

    [16] https://www.tf1info.fr/sante/aluminium-present-dans-les-vaccins-adjuvant-est-un-danger-pour-la-sante-2059587.html

    [17] https://www.leparisien.fr/societe/les-figures-de-proue-du-mouvement-antivaccins-en-france-24-07-2017-7152822.php

    [18] http://www.slate.fr/story/214536/viagra-femmes-sexualite-feminine-desir-libido-agence-americaine-etats-unis-etudes-industrie-pharmaceutique-marketing

    [19]https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html