Code Ursula : de Big Brother à Big Mother

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Le coup d’État bruxellois s’est donc passé de façon cool, sans fioritures. Tout le monde l’a accepté, le fameux rebelle Orban y compris. Meyssan s’est encore trompé et on n’aura pas Draghi. On aura Ursula la hyène, avec ses vaccins, ses moustiques-Gates, ses insectes-petits-plats, sa guerre, son budget militaire à 500 milliards remixé à mille (et dire qu’on se croyait ruinés !), on aura la guerre à mort contre la Russie tôt ou tard, car tout super-État se bâtit sur la guerre comme l’explique Donald Sutherland à Costner dans JFK, et avant lui Tocqueville ou Jouvenel (voyez mes textes ici). 27 chefs d’État ont voté pour une impératrice-teutonique qu’on nous assurait dotée de casseroles. La femme avenir de l’homme donnera la guerre et les insectes dans l’assiette, une prochaine combine avec les monstres pharmaceutiques américains et de beaux confinements. Mais tout le monde est content.

C’est mon ami Le Vigan qui a évoqué Big Mother. En effet elle se substitue à l’Antéchrist tyrannique la bonne femme et elle n’a pas fini de nous faire suer sous la forme Thénardier ou la forme sorcière. On les a voulues au pouvoir (Nietzsche parlait de crétins mâles), on va être servis. Et pour une pauvre et sublime Zakharova, que de rombières.

Relisons-nous alors, car rien n’est nouveau sous le sommeil surtout en occident, ce côté de l’obscurité comme dit Guénon. Car il va falloir le juger lui et son bilan cet occident.

Il y a quelques années j’écrivais ici même inspiré par Chesterton :

« Autoritaire et humanitaire, Angela Merkel incarne le péril féministe ; voyez L’Express qui évoqua dans une manchette débile ces femmes qui sauvent le monde. En réalité si nous avions eu Hillary Clinton au pouvoir, nous aurions déjà la guerre mondiale. Merkel incarne l’esprit de la nursery décrit en 1921 par Chesterton lors de son voyage en Amérique. Pour Chesterton la féministe (la fasciste ou la bolchéviste au féminin) considère le citoyen comme un enfant, pas comme un citoyen :

“And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery”
(Et comme il ne peut y avoir de lois ou de libertés dans une crèche, l’extension du féminisme signifie qu’il n’y aura pas plus de lois ou de libertés dans un État qu’il n’y en a dans une crèche)

Le monde comme nursery. La trique dans une main, les rares sucreries dans l’autre. Les peuples en Europe sont en effet toujours traités comme des enfants, et menacés s’ils se montrent récalcitrants. Les arguments des élites reproduisent en continu cet autoritaire schéma matriarcal.

Lagarde est là pour financer l’Ukraine, Ivanka pour inspirer la guerre, Merkel la soumission et le TTIP, Theresa May les retrouvailles avec les USA. Le fascisme à la sauce mondiale prend un visage féministe. Car le féminisme est une métastase du totalitarisme postmoderne. On retrouve comme toujours Tocqueville et son pouvoir prévoyant, tutélaire et doux, qui cherche à nous fixer dans l’enfance.

Ces froides fonctionnaires sans enfant remplissent nûment leur tâche ingrate, oubliant au passage que l’homme a été créé égal à la femme, l’électeur à son élu. »

Plus récemment je citais l’ignoré Orwell (un sacré misogyne…) :

« Le Parti essayait de tuer l’instinct sexuel ou, s’il ne pouvait le tuer, de le dénaturer et de le salir. Winston ne savait pas pourquoi il en était ainsi, mais il semblait naturel qu’il en fût ainsi et, en ce qui concernait les femmes, les efforts du Parti étaient largement couronnés de succès. »

On va voir pourquoi ; dès le début du livre, ce maître martyr et étrange écrit :

« C’était une fille d’aspect hardi, d’environ vingt-sept ans, aux épais cheveux noirs, au visage couvert de taches de rousseur (NDLR 1984 abonde en rouquines) à l’allure vive et sportive. Une étroite ceinture rouge, emblème de la Ligue Anti-Sexe des Juniors, plusieurs fois enroulée à sa taille, par-dessus sa combinaison, était juste assez serrée pour faire ressortir la forme agile et dure de ses hanches. Winston l’avait détestée dès le premier coup d’œil. Il savait pourquoi. »

C’est ce mot de détester qui me frappe. On n’en a pas fini :

« C’était à cause de l’atmosphère de terrain de hockey, de bains froids, de randonnées en commun, de rigoureuse propreté morale qu’elle s’arrangeait pour transporter avec elle. Il détestait presque toutes les femmes, surtout celles qui étaient jeunes et jolies. C’étaient toujours les femmes, et spécialement les jeunes, qui étaient les bigotes du Parti : avaleuses de slogans, espionnes amateurs, dépisteuses d’hérésies. »

C’est Jean Raspail qui en m’évoquant tristement son Camp des Saints la dernière fois que je le vis chez lui (il était le dernier français de son immeuble parisien dans le dix-septième, ceci expliquant cela) m’en parla longuement, de ce Big Other qui est aussi une afro-religion féminine-féministe-léniniste-humanitaire-génocidaire et androphobe (on ne naît pas femme, on le devient, et c’est ta faute, ô nazi masculin !). Là on a une Big Mother qui avec les monnaies numériques de l’Autre Gastonne Lagarde ne va pas nous rater. Parfaite mère poule radine (elle s’augmente tout le temps) et catho avec ses cinq gosses à caser dans les boîtes milliardaires (on pense à Clara Gaymard), la hyène incarne à la perfection ce centrisme fasciste et catho-bourgeois, elle l’héritière de nazis, d’industriels et d’esclavagistes planteurs.

Tiens, un peu de Wikipédia :

« L’arrière-grand-père d’Ursula von der Leyen était le négociant en coton Carl Albrecht(en) (1875-1952), qui épousa Mary Ladson Robertson (1883-1960), Américaine issue de la famille Ladson, qui appartenait à l’aristocratie sudiste de Charleston en Caroline du Sud. Ses ancêtres américains ont joué un rôle notable dans la colonisation britannique de l’Amérique du Nord et dans la traite transatlantique.

Parmi les ancêtres de von der Leyen figurent également les gouverneurs John Yeamans, James Moore, Robert Gibbes, Thomas Smith et Joseph Blake, mais aussi Joseph Wragg et Benjamin Smith, qui se rangent parmi les plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique. Au moment où l’esclavage fut aboli aux États-Unis, son ancêtre James H. Ladson (1795–1868) détenait environ deux cents esclaves6. »

Et comme on commence à comprendre les enjeux de cette Europe écolo-nazie et totalitaire-guerrière allons à la case Hallstein :

« Son père Ernst Albrecht était l’un des premiers fonctionnaires européens, travaillant à ce titre dès la création de la Commission européenne en 1958, d’abord au sein de la commission Hallstein, comme chef de cabinet auprès du commissaire européen à la Concurrence Hans von der Groeben, puis de 1967 à 1970 comme directeur de la direction générale de la Concurrence24. »

On n’insiste pas. L’Europe unie c’est l’esclavage numérique ou sanitaire pour tous, l’invasion migratoire et la guerre enragée et russophobe. Le tout béni par Bergoglio et par cette mère abbesse. Parce que ce bon vieux projet soi-disant judéo-maçonnique est avant tout un projet papiste et social, un projet mondial, chrétien-social et chrétien-démocrate inspiré par le feint Empire romain germanique qui en a tant fait fantasmer dans la famille politique de la ma jeunesse.  L’empire ? Ach ! Une bière pour mon embyrrhe !

On verra pour rire cette vidéo de Luc Ferry (pourtant…) dénonçant la hyène comme la plus grande catastrophe qui soit arrivée à l’Europe… C’est à 2’30’’…

Je sais, ils exagèrent, on va se révolter, etc. Mais le ou la folle-sic qui remplacera Biden sera encore pire que lui. On en revient à la bonne dame du tyran de Syracuse. Tiens, citons-la :

« Étonné d’entendre une vieille femme prier les dieux de conserver les jours de Denys, il voulut connaître le motif d’une prière si extraordinaire, tant il connaissait la haine qu’on lui portait. “Je prie les dieux, lui dit cette femme, de te donner une longue vie, parce que je crains que celui qui te succédera” ne soit plus méchant que toi, puisque tu es pire que tous ceux qui t’ont précédé. »

Sources

Nietzsche et la guerre des sexes, Nicolas Bonnal

https://www.dedefensa.org/article/merkel-et-notre-destruction-sur-commande

https://www.dedefensa.org/article/chesterton-et-la-menace-feministe-en-occident

https://www.dedefensa.org/article/george-orwell-et-le-feminisme-autoritaire

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen

https://www.dedefensa.org/article/quand-ciceron-explique-macron

https://www.dedefensa.org/article/jouvenel-du-totalitarisme-en-democratie

https://www.dedefensa.org/article/lue-veut-sa-guerre-pour-verrouiller-sa-dictature




« Je vous l’ai dit : c’est un échec programmé »

[Source : mileswmathis.com]

Par Miles Mathis — 30 juin 2030

Depuis la mise en scène du débat présidentiel, il y a eu une montagne de commentaires, mais tous sont inutiles et font diversion, puisque personne n’ouvre les yeux.

Oui, Biden souffre de démence, mais nous le savons depuis des années. Et Trump a également été horrible, dément d’une manière différente. Mais rien de tout cela n’était naturel ou accidentel. Comme je le dis depuis des années, le bureau du président est mis en scène depuis des décennies, depuis l’époque de Gérald Ford. Après le Watergate, la CIA a pris le contrôle total de l’exécutif, ne l’utilisant que comme façade. En 1980, ils ont installé un acteur hollywoodien. Vous auriez donc dû vous en rendre compte à ce moment-là, mais presque personne ne l’a fait.

Voilà ce qu’était le Watergate : un coup d’État réussi de la CIA. Il est difficile de croire que la plupart des gens ne le savent pas, 50 ans plus tard. Ils l’ignorent parce que la CIA contrôle désormais les médias, les universités, les écoles publiques, la Cour suprême et le Congrès. Vous obtenez toutes vos « informations » de la CIA, alors sans fournir beaucoup d’efforts, vous n’allez pas voir clair dans tout cela. Vous ne réaliserez pas que vous vivez dans la Matrice jusqu’à ce que, par accident ou par chance, vous réussissiez à en sortir un instant, comme Néo.

C’est ce que j’ai fait, et c’est moi qui rédige les rapports. Je n’y suis pas parvenu par chance ou par accident, mais par un énorme effort de volonté et beaucoup de temps de cogitation. J’admets que le fait que la CIA ait commis tant de bévues évidentes depuis le 11 septembre m’a également aidé. Elle a permis la création du DHS1, qui a depuis mal géré tant d’événements que l’outil de la CIA est définitivement endommagé. Le vieux Wurlitzer ne jouera plus les vieux airs, il ne fera que hurler, blessant les oreilles de tout le monde.

Dans le récent vaudeville, ce que nous avons vu, c’est la CIA poursuivre le vieux plan — qui remonte à Reagan — de faire pencher le pays à droite par une grande tromperie. Tous les présidents depuis lors l’ont fait, y compris Clinton et Obama. L’idée de base était de faire croire aux classes moyennes et inférieures qu’elles étaient conservatrices, en qualifiant les valeurs familiales de conservatrices, puis en confiant ce scénario aux Républicains. Les Républicains ont toujours été les moins soucieux des classes inférieures, comme devrait le savoir toute personne ayant lu l’histoire, mais le travail de la CIA consistait à vous faire oublier cela. Des républicains comme Reagan faisaient semblant de se soucier de l’Amérique moyenne : les fermes, les familles et l’église, et des commentateurs comme Rush Limbaugh s’en accommodaient pendant des décennies en multipliant les platitudes et les poses fabriquées de toutes pièces. Alex Jones a repris le flambeau là où Rush l’avait laissé, en se cachant derrière le drapeau et le clocher. [Sachez que The Babylon Bee2, bien qu’amusant, le fait aussi]. Mais en réalité, les Républicains n’en ont rien à faire de tout cela : s’ils s’en préoccupaient, les choses ne seraient pas ce qu’elles sont aujourd’hui. Les classes moyennes et inférieures ont été violées pendant chaque décennie depuis 1970, et la situation s’est aggravée chaque décennie sous les deux partis, la disparité des revenus étant en forte hausse. Les riches ont continué à s’enrichir sous Bush, Obama, Trump et Biden, et les pauvres se sont appauvris.

La classe moyenne est vouée à l’extinction, car après la Seconde Guerre mondiale, elle est devenue beaucoup trop prospère. Les riches ont vu toute cette richesse et l’ont voulue pour eux-mêmes. Ils en possèdent aujourd’hui la plus grande partie et veulent tout avoir.

C’est pourquoi ils doivent vous distraire avec de fausses guerres, des crises constantes, du sport, des stars de cinéma, une météo exagérée, de faux meurtriers et un million de chaînes de télévision de mensonges et d’ordures. Si vous cessiez de boire une demi-seconde, vous commenceriez à voir clair dans leur jeu.

Alors pourquoi ont-ils voulu vous faire basculer à droite ? Parce qu’ils sont à droite. Les riches prétendent être des deux côtés, soutenant à la fois les démocrates et les républicains, mais en fin de compte, les riches sont de droite. Ils sont conservateurs parce qu’ils préservent leur richesse, leur hégémonie et leur pouvoir. C’est ce que les termes signifiaient à l’origine, avant qu’ils ne s’occupent de les remuer et de les retourner. Vous voyez donc à quel point il serait avantageux pour eux que vous soyez également de droite. Si vous pensez être du même côté que les riches, il vous sera difficile d’être un révolutionnaire. C’est un excellent moyen d’anéantir toute possibilité de révolution : faire croire à tous les membres des classes moyennes et inférieures qu’ils sont conservateurs.

La CIA est tellement douée pour cela qu’elle peut encore vous faire voter pour son candidat républicain milliardaire et vous faire croire que vous êtes révolutionnaire en le faisant ! Même après le 11 septembre, Sandy Hook et tous leurs autres échecs, à une époque où de nombreuses personnes posent enfin de vraies questions et où la confiance dans le gouvernement est proche de zéro, la CIA peut encore vous faire croire que vous êtes conservateur et que vous devez voter républicain pour sauver le pays.

Comment la CIA a-t-elle réussi cet exploit ? Elle l’a fait en détruisant la gauche à dessein. Bien qu’Obama ait été leur marionnette et qu’il n’ait pratiquement rien fait pour l’homme de la rue, noir ou blanc, le fait même qu’il ait été considéré comme « de gauche » était un problème pour la CIA. Après huit ans d’Obama et de nombreux faux événements ratés par le DHS, le pays était en train de dériver vers la gauche. Bien qu’Obama n’ait pas tenu toutes ses promesses envers la classe moyenne, les promesses avaient été faites et les gens avaient des exigences. Trump a donc été introduit pour vous faire croire que le pays revenait vers la droite, dans l’espoir que vous suivriez votre voisin. Mais cela n’a pas vraiment fonctionné, car une fois de plus, Trump n’a rien fait pour les classes moyennes ou inférieures. C’était encore une fois la rapine par les riches.

Dans le même temps, les choses continuaient à empirer pour la CIA, puisque pendant cette période, elle et le DHS ont continué à bâcler de plus en plus de faux événements. Elle perdait le contrôle de la société dans son ensemble, en raison d’Internet et de la montée de l’opposition dans tous les domaines. Les gens se réveillaient et voyaient clair derrière toute cette façade. Quelqu’un a donc eu l’idée géniale de détruire volontairement le parti démocrate. Cela ferait sûrement avancer le pays, n’est-ce pas ? L’idée était de forcer les gens à passer au parti républicain en rendant les démocrates si peu attrayants qu’aucune personne saine d’esprit ne les soutiendrait. Je n’ai pas besoin de vous expliquer comment ils ont procédé, car vous avez vécu ces quatre dernières années. Vous savez comment ils ont procédé, avec une série de leaders et d’élus démocrates répugnants que personne n’aurait cru il y a quelques années.

Nous n’avons pas vu une telle brochette d’orcs et de trolls depuis la bataille des Champs du Pelennor dans le Seigneur des Anneaux.

Et il n’y a pas que ces visages, il y a aussi les échecs programmés à la frontière, en Afghanistan, l’échec du Fentanyl, la montée des émeutes et des pillages, les guerres raciales, la destruction de villes entières comme San Francisco et Portland, les logements inabordables, la tyrannie de la Covid, et mille autres choses.

À ce propos, les sites alternatifs republient Bill Maher assez régulièrement maintenant, car il se moque souvent de la gauche (ce qui prouve une fois de plus mon point de vue). Mais après la débâcle du débat, il a dit que les choses ne vont pas si mal aux États-Unis et que « les gens ne meurent pas dans les rues ». Oui, il a vraiment dit cela et n’a pas été précipité sur la scène par la foule et déchiré membre par membre. On peut se demander où vit Maher pour que selon lui les gens ne meurent pas dans la rue. Parce que dans tous les lieux auxquels je peux penser, c’est le cas ! Principalement à cause du Fentanyl, mais aussi de la pauvreté, des sans-abri, des dégâts des vaccins et des maladies mentales causées par le fait de vivre dans ce pays où les classes supérieures se livrent à un pillage sauvage et à la manipulation. Nous devons envoyer Maher (en bus) à San Francisco, pour une petite visite des rues du centre-ville. Ou pourquoi pas à Baltimore ou à Détroit. La seule chose que je peux imaginer, c’est que Maher doit diffuser son émission depuis l’île privée de Bezos, Lanai, à Hawaï.

Pour vous remonter le moral, je vous recommande cette récente mise à l’index de Maher par Bill Burr. Vous y verrez à quel point Maher est un poseur visqueux. Je vous rappelle que c’est également lui qui a déclaré qu’Israël avait la haute main sur la morale au Moyen-Orient. C’est vrai. Un peu comme Custer avait la haute main sur la morale à Washita3.

Mais revenons à la mise en scène du débat. Comme vous le voyez, cela s’est déroulé exactement comme la CIA le souhaitait. Dans un monde rationnel, elle n’aurait jamais laissé Biden débattre avec qui que ce soit, puisqu’il était certain que ce serait un désastre. Au lieu de cela, ce vieil homme mourant a été suspendu à dessein pour sécher [sur le fil à linge] pour que vous le détestiez et que vous vous en moquiez. Certes, Biden a toujours été un sale type, une autre façade des Familles, et il mérite probablement cela et bien pire, mais tout de même. Cela montre comment ces gens prennent soin des leurs. Je suppose que la CIA a promis aux Biden qu’ils seraient réhabilités plus tard. Ces films de débat seront finalement perdus, tout comme les cassettes de l’alunissage et les négatifs de Kitty Hawk, et l’histoire présentera Biden comme un grand dirigeant et homme d’État, qui a combattu avec courage et abnégation la Faucheuse4 sur la scène mondiale pour le plus grand bien de l’Humanité, bla-bla-bla.

Biden tombe sur la tête depuis quatre ans, alors pourquoi ne l’ont-ils pas remplacé comme candidat il y a un an, avant les primaires ? Parce que c’est un échec programmé. Tout se déroule exactement comme prévu. C’est la même raison pour laquelle ils ont choisi Kamala Harris comme vice-présidente : pour vous effrayer au maximum. Vous feriez n’importe quoi pour éviter qu’elle soit présidente. Vous voteriez pour un sac de navets pourris pour ne pas avoir à la voir pendant quatre années supplémentaires. Vous êtes inexorablement poussés dans les bras du Parti républicain, qui vous réserve une nouvelle série de mensonges et d’indignités en 2025. Et que pouvez-vous dire contre cela ? Vous êtes un conservateur, n’est-ce pas ? Votre chapeau MAGA ne peut jamais se ternir, n’est-ce pas ?





Sortir de la Caverne

[Source : Reaction19WebTV via PG]

Table Ronde avec Astrid Stuckelberger et Chloé Frammery.




Les nourrissons qui reçoivent plusieurs vaccins en même temps courent un risque « exponentiellement » plus élevé de maladie et de retard de développement

[Source : childrenshealthdefense.org]

« Si les signaux de sécurité sonnaient l’alarme, les résultats seraient assourdissants », a déclaré Karl Jablonowski, docteur en sciences, chercheur principal à Children’s Health Defense (CHD), coauteur avec Brian Hooker, directeur scientifique de CHD, d’une étude publiée mercredi dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (Journal international de la théorie, de la pratique et de la recherche sur les vaccins).

Selon une étude évaluée par des pairs et publiée mercredi dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, plus un nourrisson reçoit de vaccins à la fois, plus il risque de développer une infection, une maladie respiratoire ou des retards de développement à la suite de ces injections.

« Si les signaux de sécurité sonnaient l’alarme, les résultats seraient assourdissants », a déclaré à The Defender l’auteur principal Karl Jablonowski, docteur en sciences, chercheur principal à Children’s Health Defense (CHD). « Le nombre de maladies augmente de façon exponentielle avec chaque vaccin supplémentaire. »

Jablonowski et Brian Hooker, directeur scientifique de CHD, ont analysé 20 ans de données concernant 1 542 076 combinaisons de vaccins administrés à des enfants de moins d’un an.

Les données, collectées entre le 1er juillet 1991 et le 31 mai 2011, proviennent de la base de données Medicaid de Floride, accessible au public, qui contient plus de 460 millions de demandes de remboursement pour plus de 10 millions de personnes.

Les chercheurs ont examiné les diagnostics médicaux donnés aux nourrissons vaccinés dans les 30 jours suivant la vaccination. Ils ont exclu les diagnostics posés le jour où les bébés ont été vaccinés, afin d’éliminer toute condition préexistante éventuelle.

L’étude a comparé des bébés ayant reçu trois « vaccins de base » à des bébés ayant reçu ces mêmes vaccins et d’autres lors d’une seule visite chez le pédiatre.

Le groupe de contrôle était constitué de 227 231 cas de nourrissons qui, lors d’une visite, n’avaient reçu que le DTC, l’Haemophilus influenzae de type b (Hib) et le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI).

Ils ont comparé les résultats médicaux de ce groupe à ceux de cohortes de nourrissons ayant également reçu le vaccin contre l’hépatite B (HepB), le vaccin antipneumococcique (PCV) ou le vaccin antirotavirus, ou encore différentes combinaisons de deux ou trois de ces vaccins administrés ensemble.

Les chercheurs ont trouvé dans la base de données sept cohortes de nourrissons ayant reçu différentes combinaisons de vaccins — allant, par exemple, des vaccins de base plus HepB aux vaccins de base plus HepB, PCV et rotavirus — et les ont comparées au groupe de contrôle.

Ils ont utilisé le modèle statistique du test exact de Fisher pour comparer la fréquence d’une maladie particulière après les piqûres dans une cohorte avec la fréquence de la même maladie dans une autre cohorte.

Ils ont également utilisé la correction de Bonferroni, un outil statistique puissant, pour éliminer tout résultat aléatoire et ont mis en place une barre haute pour identifier la signification statistique.

« Avec n’importe quel test statistique, vous ne pouvez jamais être sûr à 100 % de vos résultats », a déclaré M. Jablonowski. « Cependant, nous plaçons la barre si haut que nous sommes sûrs à 99,99 % que les maladies que nous signalons sont associées à des combinaisons de vaccins ».

Ils ont identifié 45 diagnostics statistiquement significatifs de maladies respiratoires, de maladies du développement et de maladies infectieuses présumées à la suite des différentes combinaisons de vaccins.

Ils ont résumé les maladies et leur risque relatif, c’est-à-dire la probabilité qu’elles surviennent dans le groupe exposé à un excès de vaccins, pour les différentes cohortes.

Dans l’ensemble, ils ont constaté que plus le nombre de vaccins administrés aux nourrissons lors d’une seule visite médicale augmentait, plus le nombre de diagnostics de maladies respiratoires ou infectieuses dans les 30 jours suivant les vaccins augmentait de manière exponentielle.

Chaque injection supplémentaire a plus que doublé le nombre de ces différentes maladies diagnostiquées.

Par exemple, un vaccin supplémentaire a entraîné en moyenne sept maladies supplémentaires à des taux statistiquement significatifs dans une cohorte donnée de bébés.

Deux vaccins supplémentaires ont entraîné une moyenne de 15 maladies, et trois vaccins administrés ont entraîné 35 maladies supplémentaires.

Les maladies respiratoires (toux, asthme, bronchite obstructive et bien d’autres) étaient les affections récurrentes les plus fréquentes après les différentes combinaisons de vaccins.

Jablonowski et Hooker ont déclaré que les maladies respiratoires étaient probablement dues à une « réponse immunitaire inadaptée et à une mauvaise adaptation aux facteurs environnementaux » induites par les vaccins.

Des troubles du développement tels que le « défaut de croissance » — où le développement physique, mental ou social d’un enfant est retardé, anormal ou interrompu — ont été observés dans quatre cohortes. Les chercheurs ont suggéré que cela était dû au fait que les vaccins provoquaient un dérèglement des systèmes respiratoire et immunitaire.

L’une des infections les plus courantes était la leucocytose, un nombre élevé de globules blancs qui peut indiquer une série d’infections, d’inflammations ou de troubles du système immunitaire. Un autre exemple grave est celui de la septicémie, survenue dans la cohorte ayant reçu le plus grand nombre de vaccins à la fois — les vaccins de base plus l’HepB, le PCV et le rotavirus.

Le fait que des études sur les effets des vaccins multiples n’aient pas été réalisées jusqu’à présent est « scandaleusement imprudent ».

Le calendrier de vaccination des enfants 2024 des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) comprend 77 doses de vaccin pour les enfants âgés de 0 à 18 ans.

Le calendrier 2024 a été élargi pour inclure les vaccins antipneumococciques et COVID-19 ainsi que l’anticorps monoclonal nirsevimab, qui ne sont pas techniquement des vaccins mais qui sont inclus dans le calendrier.

À titre de comparaison, le CDC recommandait en 1986 11 doses de 7 vaccins avant l’âge de 16 ans, dont les vaccins ROR (rougeole, oreillons, rubéole), DTP et polio.

À l’exception du vaccin HepB, recommandé pour les nourrissons dans les 24 premières heures de vie, les nourrissons reçoivent rarement un seul vaccin à la fois.

De nombreux vaccins, comme le DTP, combinent différents vaccins contre plusieurs maladies en une seule injection. En outre, pour respecter le calendrier des CDC, les pédiatres administrent généralement cinq ou six vaccins et combinaisons de vaccins aux bébés à chaque visite à 2 mois, 4 mois et 6 mois.

Pourtant, selon les auteurs, aucune étude appropriée n’a été menée pour évaluer les effets de la combinaison des vaccins.

« Malheureusement, peu de recherches ont été menées sur l’administration de vaccins multiples comme le recommande le calendrier du CDC », a déclaré M. Hooker au Defender. Les vaccins sont « magiques » et personne ne se pose la question d’en ajouter d’autres au calendrier.

Il en résulte que, même si les agences de sécurité sanitaire peuvent affirmer que les vaccins individuels sont sûrs, toute affirmation concernant la sécurité des combinaisons de vaccins est infondée, écrivent les auteurs.

« En l’espace de quelques secondes, un nourrisson de deux mois examiné par un pédiatre conforme aux CDC peut s’attendre à recevoir des injections de vaccins contre l’hépatite B, le rotavirus, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, le HIB, 15 ou 20 variantes différentes de pneumocoques, la polio et peut-être le VRS », a déclaré M. Jablonowski.

« Il est choquant de constater que les effets néfastes des combinaisons n’ont pas été étudiés », a-t-il ajouté.

Selon M. Hooker, il est remarquable que ni la Food and Drug Administration (FDA) ni le CDC, qui émet les recommandations en matière de calendrier, n’aient jamais réalisé ces études.

« Nous prévoyons de continuer à mener ce type de recherche, compte tenu de l’absence de données scientifiques précises et pertinentes sur l’innocuité des vaccins », a-t-il déclaré.




G7 : Les acteurs politiques clés vers un gouvernement mondial unique

[Source : Kla.tv]

Par ag./mw.

Transcription

Les élections européennes sont de l’histoire ancienne, d’autres élections sont en cours. Imaginez que parmi les bulletins de vote figure un parti appelé « Complexe financier numérique-industriel des super-riches ».
Sur le programme électoral, on peut lire :
– « Concentration exclusive du pouvoir entre les mains des géants de la technologie » : Super.
– « Énorme destruction de l’environnement par des mégacorporations » : peu importe.
– « Abolition de la démocratie » : passons l’éponge !
– « Guerres sanglantes » : en font partie.
En tête de liste : un Rockefeller ou un de ses amis.
Est-ce que vous le mettriez dans votre enveloppe ? Probablement pas. L’émission suivante vous révèle pourquoi c’est pourtant exactement ce que vous obtenez, presque quel que soit votre choix.

Dans ce contexte, il vaut la peine de se pencher sur le rôle décisif du Groupe des 7 — en abrégé G7. Les pays du G7 sont les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Italie et le Japon. On connaît le G7 plutôt par les reportages mainstream superficiels autour du sommet du G7 qui vient de se dérouler du 13 au 15 juin en Italie. Des chefs d’État souriants des pays les plus importants en bonne compagnie.

Mais le G7 est loin d’être ce qu’il semble être au premier abord. Car c’est précisément le G7 qui veille à ce qu’on vous serve le programme électoral non déclaré des « Rockefeller de ce monde ». C’est ce qui se passe, même si vous votez par exemple pour de « gentils partis » qui promettent exactement le contraire avant les élections. Pourquoi cela ? David Rockefeller répond lui-même à la question :

« Certains [extrémistes idéologiques] pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui travaille contre les meilleurs intérêts des États-Unis. Ils nous accusent, ma famille et moi, d’être des “internationalistes” et de conspirer avec d’autres à travers le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus unie — UN SEUL ET UNIQUE monde (One World), si vous préférez. Si c’est l’accusation, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller se présente-t-il ici comme un « conspirationniste » ? Non, plutôt comme un conspirateur. Découvrez dans ce documentaire le rapport entre Rockefeller et le G7. De quoi discute-t-on à huis clos ? Quels sont les véritables objectifs du G7 ? Reconnaître le jeu réel auquel joue G7. Pour ce faire, nous jetons d’abord un coup d’œil sur les racines du G7.

1. Les racines du G7

La version officielle de la naissance du G7 est la suivante : En 1975, le président français Valéry Giscard d’Estaing et le chancelier allemand Helmut Schmidt ont appelé au premier Sommet économique mondial. Les chefs de gouvernement de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon, de la Grande-Bretagne et des États-Unis — le Groupe des Six — se sont réunis au château de Rambouillet en France. Elle a toutefois été précédée en 1971 dans la bibliothèque de la Maison-Blanche, d’une première réunion entre cinq ministres des finances et le secrétaire au Trésor américain de l’époque, George Shultz. Des réunions régulières à huis clos ont suivi. Ce groupe, appelé « Library Group » ou encore G5 à partir de 1973, était composé de ministres des Finances et de représentants des banques centrales. La présence de banques centrales n’était certainement pas un hasard. L’étalon-or a été dissous à peu près en même temps que les premières réunions du G7. À partir de là, les banques centrales ont pu imprimer de l’argent quasiment à volonté. En prêtant de l’argent créé à partir de rien, les banques centrales américaines ont acquis une grande influence sur l’économie mondiale. Une spirale d’endettement presque sans frein des pays envers les banques américaines a commencé. La richesse réelle a été redistribuée entre les mains de quelques grandes banques privilégiées. C’est ainsi qu’il leur a été possible d’étendre massivement leur influence par le biais des pays.

2. Le réseau derrière le G7

Revenons aux pères fondateurs officiels du G7, Helmut Schmidt et Valéry Giscard d’Estaing. Le ministre américain des Finances et homme de banque George Shultz les a intégrés dans un petit réseau élitiste au début des années 70. Ainsi, avant le premier sommet du G7 en 1975, il y avait déjà eu une rencontre entre Giscard d’Estaing et Henry Kissinger le 5 juillet 1974. Quant à Helmut Schmidt, une rencontre avec David Rockefeller le 12 juin 1974 est documentée. Que représentent Kissinger et Rockefeller ?

Henry Kissinger était un stratège global extrêmement influent qui a marqué la politique mondiale de manière très décisive pendant des décennies. Il a été conseiller de presque tous les présidents américains, comme Richard Nixon, Gérald Ford, Jimmy Carter, Ronald Reagan, George Bush, Barak Obama, Donald Trump et Joe Biden. David Rockefeller et Henry Kissinger ont fondé ensemble de nombreux forums extraparlementaires influents tels que le FEM, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, la Conférence de Munich sur la sécurité, etc. Ils tirent les ficelles entre une pieuvre financière mondiale et la politique. [www.kla.tv/26153 à propos de la mort d’Henry Kissinger : stratège mondial et criminel de guerre ?, www.kla.tv/27892 FEM, www.kla.tv/28218 Conférence de Munich sur la sécurité] Leurs nombreuses créations, comme le FEM, le groupe Bilderberg ou le G7, servent toutes un objectif que David Rockefeller a formulé ainsi en 1991 lors de la conférence Bilderberg à Baden-Baden : « Le monde est sur une voie complexe et préparée vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est certainement préférable à la souveraineté nationale des siècles passés. »

Il est important de mentionner le passé maçonnique de Kissinger et Rockefeller. Ils ont fondé en 1968, avec Zbigniew Brzeziński, la super-loge maçonnique appelée « Three Eyes ». La franc-maçonnerie de haut grade, qui agit en secret, est connue pour construire le gouvernement mondial unique sur de longues périodes. [www.kla.tv/28344 Le monde sur la toile des francs-maçons]

3. Transformation de l’Europe

L’objectif déclaré de Rockefeller, qui était d’effacer la souveraineté nationale des États au profit d’une « souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle autoproclamée et des banquiers mondiaux », a été mis en avant par Schmidt et Giscard d’Estaing.

Helmut Schmidt (1918 – 2015)

Toute sa vie, Helmut Schmidt a été étroitement lié aux personnages clés que sont George Shultz et Henry Kissinger. Schmidt se souvient : « Avec mon exercice d’aller une fois par an en Californie, à Stanford, à l’université locale, chez mon ami George Schultz. Et je dois mentionner ici qu’il s’agit en fait d’une amitié à quatre. Shultz et Kissinger et Lee et moi. »

[Lee Kuan Yew a été pendant de nombreuses années Premier ministre de la cité-État de haute technologie de Singapour]

Une affaire purement privée ? Non, car Helmut Schmidt a été chancelier fédéral d’Allemagne. Il a été invité pour la première fois à une conférence Bilderberg en 1973, juste avant la création du G7. D’autres visites ont suivi en 1980, 1983 et 1986. Schmidt a continué à faire partie de la très influente Commission trilatérale — mise en place par Rockefeller et Kissinger. Cette commission représente une extension du groupe Bilderberg vers l’Asie de l’Est.

Caractéristique de ses liens avec ces tireurs de ficelles : Schmidt a reçu le premier prix Henry Kissinger en 2007. Le 26 janvier 2015, l’ancien chancelier allemand Helmut Schmidt a reçu le prix Gustav Stresemann, fondé par la Grande Loge des « Anciens Maçons Libres et Acceptés d’Allemagne », à Hambourg. Le Grand Maître Stephan Roth-Kleyer a remercié Schmidt pour sa « contribution particulière au cours de sa vie ».

En quoi consistait-elle ? Schmidt a suivi fidèlement la voie tracée par Kissinger. Schmidt et Giscard d’Estaing ont tous deux posé des jalons décisifs en Europe pour le nouveau système monétaire européen : l’unité monétaire européenne (ECU) au 1er janvier 1979, qui devait donner naissance plus tard à l’Union économique et monétaire européenne et à l’euro. D’un point de vue objectif, l’UE constitue une étape préliminaire à un gouvernement mondial potentiel, car elle est la création d’un pouvoir central international.

Valéry Giscard d’Estaing (1926 -2020)

Valéry Giscard d’Estaing est devenu président de la France juste après la première réunion du G7 en 1974. Il est lui aussi resté toute sa vie en étroite relation avec Kissinger et Rockefeller. Giscard d’Estaing a eu très tôt des contacts étroits avec la dynastie Rockefeller. Dans les années 1970, il a été invité à plusieurs reprises à Pocantico, l’immense propriété de la famille Rockefeller dans l’Hudson Valley. Quelques rencontres avec des membres de la famille Rockefeller sont documentées ci-dessous :
– Rencontre Nelson Rockefeller et Giscard d’Estaing du 23 mars 1976 à l’Élysée ;
– Giscard d’Estaing, Henry Kissinger et David Rockefeller 18 janvier 1989 à Moscou ;
– Henry Kissinger et Giscard d’Estaing lors de l’ouverture de la 50e conférence sur la sécurité de Munich en 2014.

Giscard d’Estaing s’est également beaucoup investi dans la construction de l’UE. Il a ainsi largement contribué à l’élaboration du traité de Lisbonne, qui a été ratifié en 2007. Ce traité a fixé les règles actuellement en vigueur dans l’Union européenne, remplaçant ainsi progressivement la souveraineté des États nationaux.

Conclusion intermédiaire : il apparaît que derrière les fondateurs connus du G7, il existe un réseau peu connu. Le réseau est bien plus complexe que ce qui est présenté dans ce documentaire. Vous trouverez des informations de fond intéressantes à ce sujet sur Kla.TV sous le hashtag #Krake. Ce qui est clair, c’est que ces chefs de file mondiaux parlent ouvertement de leurs projets de gouvernement mondial.

4. Le G7 comme groupe de pilotage du Nouvel Ordre Mondial

Les projets d’établissement d’un gouvernement mondial se retrouvent comme un fil rouge dans l’action du groupe G7. Déjà en 2009, lors du sommet de Rome, l’objectif prioritaire était de promouvoir une « Global Governance » — c’est-à-dire une « gouvernance globale ». La coopération avec le FMI, la Banque mondiale, l’OMC [World Trade Organization = Organisation Mondiale du Commerce] et les Nations unies devrait être développée. Le sommet exercerait ainsi à l’avenir un « modèle stratégique de soutien à la gouvernance globale ».

Le conseiller de la chancellerie Jörg Kukies adopte la même position à l’approche du sommet du G7 en 2022 : « Le premier thème qui est central pour nous est celui du climat. Comment réussir, en créant un club climatique mondial, à faire en sorte que les normes que nous poursuivons […] soient effectivement introduites dans le monde entier ? Le deuxième thème est celui de la santé. Comment parvenons-nous, d’une part, à assurer des taux de vaccination plus élevés en fournissant des vaccins dans tous les États du monde ? »

Dans un article sur le rôle du G7, Stewart M. Patrick, ancien membre du CFR, s’exprime ainsi : « C’est une sorte de groupe de pilotage à taille humaine de l’Occident. Ils sont un point de ralliement, une incarnation de valeurs communes et d’une approche similaire basée sur des règles pour l’ordre mondial ».

5. G7 : les leaders mondiaux

Comment travaille le G7 ? La présidence du G7 est assumée par un pays pour une durée d’un an. Officiellement, les participants au G7 représentent leur pays — donc leur population. Mais qu’en est-il dans la pratique ? Qui servent-ils vraiment ? Pour ce faire, nous allons voir « l’enfance politique » des participants les plus connus.

Les dirigeants du G7 sont listés par pays, en date de mai 2024 :

France

Emmanuel Macron, président de la République française, fait partie du groupe Bilderberg et a participé à la conférence Bilderberg de 2014.

Allemagne

Olaf Scholz, chancelier allemand, fait partie du groupe Bilderberg et a participé à la conférence Bilderberg de 2010. Jörg Kukies, négociateur en chef pour l’Allemagne lors du sommet du G7, est considéré comme l’un des principaux conseillers du chancelier Olaf Scholz. Il est secrétaire d’État à la Chancellerie fédérale. Kukies fait partie du groupe Bilderberg et a participé pour la première fois à la conférence Bilderberg de 2022 à Washington, DC.

Italie

Giorgia Meloni, Premier ministre italien, a rejoint en février 2021 l’Aspen Institute, un groupe de réflexion transatlantique dont le siège est à Washington, DC. Cet institut est cofinancé par la famille Rockefeller.

Royaume-Uni

Rishi Sunak est Premier ministre du Royaume-Uni depuis 2022. Charles III — roi du Royaume-Uni — a nommé Sunak Premier ministre le 25 octobre 2022. Charles fait partie du groupe Bilderberg depuis 1986.

Canada

Justin Trudeau — Premier ministre du Canada. Il a participé au Young Global Leader de Klaus Schwab — un programme du FEM destiné aux futurs dirigeants. Klaus Schwab a longtemps fait partie du comité directeur du groupe Bilderberg. Le ministre et membre du parti de Trudeau, François-Philippe Champagne, a participé à la conférence Bilderberg 2018 et 2019. La vice-première ministre du Canada, Chrystia Freeland, a participé à la conférence Bilderberg 2022 et 2023.

USA

Joe Biden est président des États-Unis depuis 2021. [www.kla.tv/27426#t=2084] Il est franc-maçon de haut grade et très proche du très puissant think tank mondial le « Conseil des Relations Étrangères » [CFR] Pas moins de dix-sept membres du cabinet Biden et de son équipe dirigeante, soit plus de la moitié, sont membres du CFR ou sont liés au CFR par des liens familiaux étroits.

L’Union européenne

En tant qu’organisation supranationale, l’Union européenne est membre du G7 depuis 1981 et participe depuis lors à des réunions de haut niveau. Lors du sommet du G7 en 2024, l’UE a été représentée par Ursula von der Leyen et Charles Michel. Ursula von der Leyen est présidente de la Commission européenne depuis 2019. Elle fait également partie du groupe Bilderberg et a participé à la conférence Bilderberg en 2015, 2016, 2018 et 2019. Charles Michel est président du Conseil européen depuis 2019. Il fait également partie du groupe Bilderberg et a participé à la conférence Bilderberg en 2015, 2016 et 2018.

Japon

Fumio Kishida et Shunichi Suzuki représentent actuellement le Japon. Ce n’est pas un hasard si le Japon est un représentant du G7. Le Japon a participé aux réunions du G5 à la Maison-Blanche à partir de septembre 1973. Il est intéressant de noter que c’est exactement la même année que la Commission trilatérale a été créée par David Rockefeller et Henry Kissinger. Celle-ci a pour objectif de lier des personnes clés du Japon, des États-Unis et de l’Europe au gouvernement de l’ombre. Le Japon est connu pour ses innovations technologiques rapides. La technologie avancée est la base de l’installation de la surveillance mondiale, de l’IA et d’une technocratie mondiale unique.

À noter : tous les dirigeants politiques du G7 sont issus des relais extraparlementaires de Rockefeller et Kissinger. Le peuple est sollicité dans la mesure où il peut payer la facture de ces rencontres luxueuses. Un exemple : l’organisation du sommet du G7 en 2022 au château d’Elmau en Allemagne a été estimée au préalable à environ 180 millions d’euros. Environ 18 000 forces de sécurité ont été déployées autour du sommet et le lieu de la manifestation a été en grande partie bouclé. Financeur : le contribuable.

6. G7 : la fabrique de la politique

Celui qui pense que G7 est un événement unique dans l’année se trompe lourdement. Le G7, c’est tout le temps ! Rien que depuis le 8 février de cette année et jusqu’au sommet de juin, il y a eu officiellement 27 réunions du G7 dans les configurations les plus diverses ! En voici une petite sélection :
– 30 avril : La réunion ministérielle sur le climat, l’énergie et l’environnement s’est terminée par l’adoption d’un communiqué commun.
– 6 mai : réunion des ministres de la Justice du G7
– 24 mai : réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G7,
etc.

Tous les organes du G7 agissent comme les rouages d’une grande usine politique. Par le biais de programmes de soutien et de fonds d’aide, par exemple de la Banque mondiale ou de la Banque européenne d’investissement, les pays passent sous la domination de la haute finance. Les prêts d’argent, les aides au développement et les programmes dédiés servent d’aiguillage vers l’un des objectifs du complexe numérique-financier : Mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Leurs élèves politiques — comme les leaders du G7 — transforment les stratégies en règlements et en lois. C’est ainsi que les tireurs de ficelles internationaux dirigent le monde.

Ce qui les relie tous, ce sont toujours les mêmes tireurs de ficelles derrière le groupe Bilderberg, le FEM, l’UE, le G7, la Banque mondiale, l’ONU et bien d’autres organisations. Ainsi, Klaus Schwab, à la tête du FEM depuis de nombreuses années, et le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, ont signé le 13 juin 2019 un partenariat entre leurs deux organisations. But : accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en abrégé : « Agenda 2030 ».

Derrière les beaux mots de l’agenda du développement durable, on assiste dans la pratique à la construction d’un monde numériquement interconnecté et contrôlable.

Deux brefs exemples laissent entendre qu’en pratique, il ne s’agit effectivement pas de durabilité :

1. Ghana : sous la bannière de l’« agriculture durable », la Banque mondiale investit 200 millions de dollars au Ghana pour la résilience climatique des plantations de cacao et autres. Les investissements ne portent pas sur des installations d’irrigation ou autres, mais sur les technologies numériques.

2. Guinée : dans le cadre de l’objectif de durabilité relatif à la lutte contre les changements climatiques, la Banque européenne d’investissement (BEI) aide l’opérateur de téléphonie mobile Orange à étendre la couverture de son réseau en Guinée — avec des panneaux solaires, bien entendu. Elle n’explique pas en quoi l’extension de la téléphonie mobile a un rapport avec la protection du climat. Notons au passage que la téléphonie mobile fait partie des bases stratégiques les plus importantes du Nouvel Ordre Mondial. Ce n’est que par le biais de cette technologie que la surveillance totale sans argent liquide peut être menée à son terme.

On rencontre de nombreux exemples de ce type. La durabilité et la protection du climat semblent justifier l’expansion rapide d’un réseau numérique mondial. Mais dans quel but ?

7. la grande transformation

Klaus Schwab, fondateur du FEM et membre de longue date du comité directeur du groupe Bilderberg, le révèle dans son livre de 2016 intitulé « La quatrième révolution industrielle ». Son message fondamental est que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique crée des possibilités entièrement nouvelles. […] Schwab se déclare réclame ouvertement au du transhumanisme et qualifie la fusion des corps humains avec la sphère numérique de « progrès évolutif ».

Et le G7 ? Une note sur cet objectif élevé du transhumanisme — ou pour le dire autrement : le contrôle total des personnes — révèle une pièce de monnaie.

Et le G7 ? Une pièce de monnaie révèle un indice sur ce but ultime du transhumanisme — ou, en d’autres termes, du contrôle total de l’être humain. Celle-ci a été créée frappée à l’occasion de la septième présidence italienne du G7. La pièce d’argent représente une tête humaine sous la couronne de l’intelligence artificielle. Comme boucle d’oreille, on voit un pentagramme. Depuis l’occultiste français Eliphas Levi, au milieu du XIXe siècle, le pentagramme est associé à l’occultisme et au satanisme. L’inscription sur la pièce est intitulée « Vers l’avenir ».

Conclusion : le G7 se révèle être une sorte d’usine à politiques aux mains des banquiers mondiaux et de leurs stratèges mondiaux. David Rockefeller lui-même cite comme objectif un gouvernement mondial sous la régence d’une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux. Le G7 pose les jalons par le biais des fonds de soutien des banquiers, des programmes et des lois. Le G7 est le relais infiltré pour faire passer l’agenda de cette élite non élue dans les parlements et la politique quotidienne des États.

Chers spectateurs, il est évident que l’élite a besoin de ce travail dissimulé et de ces manœuvres de tromperie pour pouvoir rester au pouvoir. Il est évident que ce gouvernement de l’ombre ne craint rien de plus que sa divulgation. Les lois hystériquement proclamées pour « lutter contre la désinformation » en témoignent. C’est pourquoi vous contribuez à informer vos concitoyens et les politiciens qui font des efforts honnêtes. Tout comme les ombres disparaissent à la lumière, le gouvernement de l’ombre disparaît lorsque la lumière tombe sur lui.

Sources/Liens :




Quelques éléments sur les stratégies de contrôle mental des masses

[Source : arcaluinoe.info]

Par Calistrat Marvin Atudorei

Ce n’est plus un secret pour personne que derrière les gouvernements du monde se cache depuis au moins 100 ans un gouvernement invisible qui cherche par tous les moyens à prendre le contrôle total de l’Humanité. Je rappelle ici les paroles du président américain Théodore Roosevelt qui, en 1912, a déclaré publiquement :

« Derrière le gouvernement ostensible trône un gouvernement invisible qui ne doit aucune allégeance et ne reconnaît aucune responsabilité à l’égard du peuple ».1

De nombreux idéologues de l’obscure « élite » ont cherché au fil des ans à endormir la conscience des masses avec des théories délirantes destinées à faire accepter aux peuples du monde la « nécessité » d’établir une forme de gouvernance mondiale. Antonio Gramsci, par exemple, théoricien clé de l’école de Francfort, soutenait que la société devait être infusée par la classe dirigeante par le biais d’une certaine forme de persuasion politique et culturelle afin que les classes du bas de la société ne se révoltent plus, mais acceptent d’être dominées et se soumettent même volontiers, comme une sorte d’« esclaves heureux ».2

Dès 1927, l’idéologie du consentement vicié, développée en collaboration directe avec les principaux penseurs de l’École de Francfort, est officiellement inoculée au sein de la « démocratie » américaine grâce à des contributions telles que celle d’Edward Bernays, petit-fils du célèbre psychanalyste Sigmund Freud. Dans son ouvrage intitulé Propaganda, Bernays affirme :

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont modelés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler. Ce sont eux qui tirent les fils qui contrôlent l’esprit public, qui maîtrisent les forces sociales et qui créent de nouveaux moyens de soumettre et de guider le monde ».3

Ce n’est pas une coïncidence si Bernays a ensuite été nommé responsable du réseau CBS (Columbia Broadcast System) à ses débuts. C’est également à cette époque que la Fondation Rockefeller a commencé à financer massivement des études et des expériences susceptibles d’avoir un impact social. L’une des expériences les plus célèbres (apparemment coordonnée par la CIA), qui a fait date dans le développement des techniques de manipulation mentale, a été la diffusion par CBS, le 31 octobre 1928, de la pièce radiophonique « La guerre des mondes », basée sur un roman de H. G. Wells. C’était exactement la nuit d’Halloween, au cours de laquelle les esprits démoniaques étaient déjà largement évoqués aux États-Unis. L’émission a suivi une stratégie spéciale pour influencer le public, qui a eu un effet stupéfiant. Je mentionnerai brièvement quelques détails pour offrir un exemple plus suggestif. Sur fond d’une atmosphère radiophonique qui semblait tout à fait ordinaire, avec une musique relaxante et des nouvelles banales, le rythme a été soudainement rompu par des « informations » selon lesquelles l’Amérique était attaquée par des êtres extrêmement agressifs, possédant des vaisseaux volants et causant de grandes destructions à l’aide d’une sorte de rayon laser, qui seraient venus de Mars. La terreur instillée dans le public à travers les États-Unis était si grande que des milliers de personnes sont descendues dans les rues en courant désespérément pour sauver leur vie. La police a reçu un grand nombre d’appels téléphoniques et plusieurs décès ont été enregistrés en raison des troubles provoqués par la panique.

Compte tenu du fort impact de l’expérience, les émissions médiatiques ont commencé — surtout après les années 1940, sous la coordination attentive de l’Institut Tavistock — à devenir un facteur majeur dans l’orientation de l’esprit collectif. En ce qui concerne les recherches entreprises par l’Institut Tavistock, il est significatif que l’un de ses experts, le Dr William Sargeant, ait déclaré en 1957 dans son livre Battle for the Mind — A Physiology of Coversion and Brain-Washing (La bataille de l’esprit — Une physiologie de la dissimulation et du lavage de cerveau) :

« Les personnes dont le fonctionnement du cerveau a été suffisamment perturbé par l’induction intentionnelle ou accidentelle de la peur, de la colère ou de l’excitation peuvent se voir inoculer de nombreuses idées. Le résultat le plus fréquent d’une telle perturbation est l’altération temporaire du discernement et l’augmentation de la suggestibilité. Les événements qui se produisent au sein des groupes sont parfois caractérisés par le terme “instinct de troupeau”, et se produisent le plus souvent pendant les guerres, les épidémies graves, et en général dans les périodes de grand danger, qui augmentent l’anxiété et donc la suggestibilité individuelle et de masse ».4

Voici donc l’objectif poursuivi par les experts du Système : faire vivre les gens dans la peur pour qu’ils se comportent comme un troupeau !

Pour en revenir à la radio et surtout à la télévision, leur influence est devenue de plus en plus déterminante dans la société. CBS est rapidement devenue une chaîne de télévision très promue, bientôt rejointe par d’autres, toutes détenues par des sociétés de plus en plus riches du gouvernement de l’ombre.

Nous sommes maintenant bien conscients qu’à travers ces réseaux de télévision d’entreprise, divers récits souhaités par l’« élite » de l’ombre sont imprimés avec une persuasion professionnelle (et perverse) dans la conscience des masses, des récits qui n’ont rien à voir avec la vérité, l’éthique journalistique ou la moralité. C’est ainsi, par exemple, que les armées de pseudo-journalistes, avec les politiciens serviles et les « spécialistes » de façade du Système, ont joué le théâtre génocidaire de la « pandémie de Covid-19 », qui a tué des dizaines ou des centaines de millions de personnes dans le monde. Partout dans le monde, les mêmes phrases mensongères ont été infusées, les mêmes mesures restrictives et les mêmes protocoles criminels ont été imposés. Tout avis éclairé émanant de vrais experts a été banni (et même puni), de sorte que nous avons assisté à l’instillation d’une étrange forme d’hypnose maléfique à l’échelle planétaire.

Pour mettre les choses en perspective, nous pouvons voir qu’au cours des dernières décennies, la manipulation et la propagande ont justifié de la même manière d’innombrables guerres, renversements de régime, coups d’État, révolutions mises en scène ou « interventions humanitaires » (telles que celles de l’OTAN en Yougoslavie ou en Libye). C’est également par la manipulation des récits que l’interprétation publique des grands attentats sous faux drapeau, comme celui du 11 septembre 2001, a été manipulée, le plus souvent sur la base de la triade stratégique « problème-réaction-solution ». De même, en créant des récits dans l’esprit collectif, d’étranges déviations de la norme, telles que l’idéologie du genre, la rhétorique de la culpabilité des gens pour le « changement climatique » ou l’incitation à manger… toutes sortes d’insectes ont été progressivement mis en place dans la société. L’introduction d’idées et de symboles démoniaques dans la culture dominante (dans les émissions musicales et les films, même dans les dessins animés pour enfants), ou l’introduction de modes bizarres (vêtements déchirés, déformés, aberrants) ont également joué un rôle très important dans cette stratégie. Tout cela a été mis en place progressivement, en utilisant pas à pas la stratégie connue sous le nom de « La fenêtre d’Overtone » (la méthode qui consiste à changer la perception en avançant par petites étapes).

Un aspect fondamental de la base idéologique de l’imposition d’un récit à la conscience de masse est celui de la physique quantique. Sans surprise, les instituts de manipulation de masse s’appuient sur des études scientifiques complexes dans tous les domaines. Des études que les « élites » de l’ombre financent depuis de nombreuses décennies. Ainsi, selon la recherche quantique, le monde extérieur n’est pas une donnée objective, mais est/devient ce que nous croyons fermement qu’il est. L’idée a également été reprise par la philosophie post-moderniste et se reflète dans des articles de philosophie politique désormais célèbres, tels que Anarchy is what states make of it (L’anarchie est ce que les États en font) d’Alexander Wendt, dans lequel l’auteur affirme que la guerre froide s’est terminée à l’amiable grâce au président de l’URSS de l’époque, Mikhaïl Gorbatchev, qui a créé un paradigme pacifiste. C’est pour cette même raison que Gorbatchev, très apprécié des marionnettistes occidentaux, a reçu le prix Nobel de la paix en 1990.

Le fait que l’esprit (la conscience) influence la matière est réellement authentique et attesté. Les processus psychophysiologiques internes appelés Placebo (guérison par la pensée positive) et Nocebo (maladie par la pensée négative) en sont une application connue. Ce qui est moins connu, c’est que l’environnement extérieur (phénomènes naturels, environnement social, etc.) peut être (et est) également façonné de manière inhérente par les pensées et les émotions collectives. L’explication scientifique est celle du substrat et du champ de l’énergie, qui sont facilement influencés par la conscience. Pour plus de détails, je recommande d’examiner les conclusions de l’expérience élémentaire de physique quantique sur l’émission d’un électron vers un mur à deux fentes ou la conclusion des scientifiques selon laquelle un expérimentateur n’est jamais neutre, mais devient automatiquement un « participant ».

[NDLR L’auteur évoque ici la différence de comportement d’un faisceau d’électrons selon que celui-ci croise deux ouvertures dans un obstacle matériel ou une seule. Dans le premier cas, les électrons apparaissent comme une onde et engendrent des interférences. Dans le second cas, ils apparaissent comme des particules. C’est ainsi que le modèle (ou théorie interprétative) de l’électron a été désigné comme une dualité onde-particule. Cependant, l’observateur ne change pas le résultat simplement du fait d’observer, mais en changeant les conditions de l’observation ou de l’expérience. L’électron ne change pas de nature, ni même de comportement sous la volonté directe de l’observateur. Il ne fait que se projeter différemment dans notre espace physique selon la condition d’observation choisie par l’observateur expérimentateur.

Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Dualit%C3%A9_onde-corpuscule.
Extrait :

Métaphore du cylindre

Métaphore du cylindre :
objet ayant à la fois les propriétés
d’un disque et d’un rectangle.

La métaphore du cylindre est l’exemple d’un objet ayant des propriétés apparemment inconciliables. Il serait à première vue déroutant d’affirmer qu’un objet ait à la fois les propriétés d’un disque et d’un rectangle : sur un plan, un objet est soit un disque, soit un rectangle.

Mais si l’on considère un cylindre : une projection suivant l’axe du cylindre donne un disque, et une projection perpendiculairement à cet axe donne un rectangle.

De la même manière, « onde » et « corpuscule » sont des manières de voir les choses et non les choses en elles-mêmes. Le terme de dualité est alors assez « contradictoire », signifiant qu’il existe deux choses différentes alors qu’il s’agit bien de l’unification de deux domaines de la physique : les ondes et l’aspect corpusculaire.

Notons par ailleurs que dans la description mathématique de la physique quantique, le résultat de la mesure est similaire à une projection géométrique (notion d’observable : l’état de l’objet est décrit par des nombres que l’on peut voir comme des coordonnées dans une base vectorielle, et en géométrie euclidienne, les coordonnées sont la projection de l’objet sur les axes de référence).

C’est l’absence d’équivalent macroscopique sur quoi nous pourrions nous référer qui nous force à penser les objets quantiques comme possédant des attributs contradictoires. Il serait inexact de dire que la lumière (comme tout autre système quantique d’ailleurs) est à la fois une onde et un corpuscule, elle n’est ni l’un, ni l’autre. Le manque d’un vocabulaire adéquat et l’impossibilité de se faire une représentation mentale intuitive des phénomènes à petite échelle nous font voir ces objets comme ayant une nature, par elle-même, antinomique.

Pour lever cet apparent paradoxe et insister sur l’imperfection de nos concepts classiques d’onde et de corpuscule, les physiciens Jean-Marc Lévy-Leblond et Françoise Balibar ont proposé d’utiliser le terme de « quanton » pour parler d’un objet quantique. Un quanton n’est ni une onde, ni un corpuscule, mais peut présenter les deux aspects selon le principe de complémentarité de Bohr.

Ce sont les physiciens quantiques dits de l’école de Copenhague qui ont supposé l’idée que l’observateur modifiait le résultat de l’expérience par le simple fait d’observer, alors qu’en réalité ils mesurent ou testent et donc interviennent avec divers appareils sur l’objet quantique observé (électron, photon, ou autre).

Par contre, les influences émotionnelles, mentales ou psychiques collectives évoquées par l’auteur peuvent s’expliquer dans leur dimension physique par l’existence d’autres phénomènes, comme l’induction électromagnétique et la résonance, sachant notamment que le corps humain n’est pas seulement de nature chimique, mais aussi électrique.]

Dans les traditions spirituelles, ces informations sont connues intuitivement depuis très longtemps et ont été utilisées à des fins d’harmonisation, de protection et d’élévation des communautés humaines, notamment par le biais de prières collectives. Cependant, l’« élite » mondialiste utilise ces informations pour induire des processus de résonance avec des énergies négatives, qui perturbent, limitent et bloquent le potentiel créatif des masses humaines. Cela se fait principalement par le biais de la télévision, qui n’émet presque que des suggestions, des émotions et des vibrations négatives. Des installations psychotroniques (comme HAARP, mais aussi des installations beaucoup plus petites) sont également utilisées, qui génèrent divers états négatifs dans la population, tels que la tension, le stress ou la passivité, selon la fréquence spécifique de la transmission utilisée.

Pour comprendre le profil psychologique des membres de l’élite, il est particulièrement important de savoir qu’ils font pratiquement tous partie d’organisations occultes, secrètes et démoniaques. Qu’il s’agisse de la secte des Illuminati, des Jésuites, de la franc-maçonnerie, des Skull&Bones, etc., la caractéristique fondamentale commune à tous ces groupes est qu’ils cherchent à recevoir un pouvoir subtil de la part de certaines entités obscures. Cela devient évident lorsque nous suivons leurs horribles rituels, dans lesquels ils vénèrent une divinité arrogante, au nom de laquelle ils procèdent même à des sacrifices humains et boivent souvent le sang de la victime (en particulier des enfants). Ne nous faisons pas d’illusions : ces rituels fonctionnent réellement, et c’est pourquoi les membres de la cabale les pratiquent avec une telle constance ! L’objectif principal que poursuivent les psychopathes de l’élite mondialiste au sommet de la pyramide satanique n’est pas l’argent (qu’ils possèdent déjà) ni même le pouvoir social en soi (qu’ils possèdent également), mais un certain état de puissance occulte maléfique, qu’ils s’imaginent pouvoir obtenir grâce à ces entités obscures d’un autre monde dont ils exigent la récompense. Pour les membres de ces cabales, les masses humaines sont comparables en importance à des animaux, et ils cherchent donc à réduire la population à un petit nombre. Ceux qui restent en vie ne peuvent avoir d’autre but, selon eux, que d’être des esclaves totalement contrôlés mentalement par l’« élite ».

Les satanistes au sommet de la pyramide des organisations secrètes offrent toutes sortes de « cadeaux » rituels aux entités qu’ils évoquent dans leurs cérémonies et s’attendent à recevoir en retour succès et pouvoir. Ces rituels, qui sont en fait des rituels de magie noire, impliquent souvent des masses inconscientes, qui ne savent même pas à quoi elles participent et avec quels effets. De telles pratiques ont été incluses dans les cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques de Londres en 20125, dans les cérémonies d’ouverture du Centre européen pour la recherche nucléaire (CERN)6 près de Genève (Suisse) en 2016 ou lors de l’ouverture du tunnel ferroviaire du Saint-Gothard7 près du CERN, également en 2016. Il est significatif que ces rituels aient été suivis, entre autres, par les principaux dirigeants de diverses organisations mondialistes, un fait qui indique quels sont leurs goûts et leurs inclinations. Les cérémonies ont été retransmises en direct sur la télévision centrale, ce qui a permis à la force occulte générée de croître énormément en engageant l’esprit collectif et les émotions au niveau des masses, créant ainsi un énorme champ psychique. Un autre exemple, très récent, est la mise en scène d’une « chanson » dans le concours de l’Eurovision 2024 qui était manifestement une incantation satanique horrible et persuasive.8

Ces spectacles rituels sataniques ont donc un double rôle : d’une part, ils accumulent l’énergie psychique des foules de spectateurs pour donner de la force au rituel, et d’autre part, ils inoculent des graines démoniaques dans l’esprit collectif. En générant systématiquement ces résonances, il devient très probable, surtout pour certaines catégories de personnes, de voir se développer de graves effets maléfiques. Elles finissent aussi, par défaut, par pervertir la société dans son ensemble et par abaisser dramatiquement le niveau général de conscience. Les masses de personnes ayant un faible niveau de conscience peuvent ainsi être plus facilement contrôlées et soumises. En revanche, les collectivités spirituelles, animées par des idéaux élevés et des valeurs morales immuables, ne peuvent pas et ne pourront jamais être contrôlées par des forces obscures par le biais de tels stratagèmes. C’est pourquoi l’objectif premier de tous les groupes sataniques est de démanteler et de détruire les groupes spirituels authentiques et surtout leurs dirigeants.

Enfin, les dirigeants satanistes sont initiés à de nombreux mystères occultes qui leur permettent d’exercer une forte emprise sur les masses. Ils connaissent, par exemple, l’importance des conjonctions astrologiques pour potentialiser une action. Un exemple éloquent, documenté par l’historien Juri Lina, est l’attaque bolchevique contre le Palais impérial d’hiver (où se trouvait alors le gouvernement provisoire de Kerensky) à une heure précise de la nuit en octobre 1917.9 C’était l’heure de l’influence astrologique négative maximale du signe du Scorpion. D’où le nom du livre (1998) écrit par Juri Lina : Sous le signe du Scorpion. Les occultistes sataniques sont également obsédés par les nombres et les symboles. Les couvertures du magazine The Economist (financé par la Fondation Rockefeller), qui transmettent des messages codés sur l’avenir à ceux qui sont au courant, en sont des exemples notables. Dans la même lignée de magie noire, aucun attentat sous fausse bannière ni aucune étape des agendas mondialistes ne sont exécutés au hasard.10 Par ailleurs, il est désormais évident qu’à travers les films, les articles des médias grand public et les journaux télévisés, des suggestions et des symboles sont systématiquement insérés dans l’esprit des gens pour servir l’objectif précis de leur programmation mentale prédictive. Une certaine version de l’avenir est répétée de manière hypnotique pour les masses, de sorte que lorsque les événements sont orientés dans cette direction, l’impression générale de la population est que « nous nous y attendions ».

Il existe de nombreuses autres méthodes et techniques de contrôle mental des grands groupes.

Sur le plan social, on pourrait parler du maintien de l’insécurité et de la pauvreté, des plans visant à mélanger les races en déversant des millions d’immigrants, de la culture des déviations sexuelles ou de l’encouragement irresponsable du transhumanisme et de l’intelligence artificielle. Le dénominateur commun de ces méthodes est de maintenir les gens dans la confusion, l’ignorance, la peur et la tension.

Au niveau physiologique, on peut également citer, comme adjuvants des méthodes de contrôle mental, l’injection de sérums criminels (dits « vaccins »), l’introduction délibérée d’additifs toxiques dans la nourriture et l’eau, la mise en œuvre (désastreuse pour la santé) des technologies 5G ou le déversement systématique et criminel de chemtrails toxiques dans le ciel de la planète.

Presque tous ces moyens sont, d’une manière ou d’une autre, intégrés et encouragés par l’Agenda 2030 des Nations unies et d’autres organisations qui prétendent au leadership mondial (y compris le Forum économique mondial de Davos).

Conclusion : nous sommes au cœur d’une guerre des psychopathes mondialistes contre la population mondiale. C’est une guerre informelle et invisible, menée par tous les moyens et surtout par des opérations psychologiques, ce qui lui vaut d’être qualifiée de « guerre de cinquième génération ». Il s’agit essentiellement d’une guerre spirituelle, car l’enjeu est la conscience des gens. La raison spirituelle pour laquelle les psychopathes sataniques font tout ce qui est en leur pouvoir pour bloquer ou altérer notre conscience est que, précisément, notre conscience est notre arme et notre force les plus puissantes. Pourquoi ? Parce qu’à travers la conscience, nous pouvons nous connecter au Pouvoir et à l’Amour infinis de Dieu, devenant ainsi, à notre tour, au niveau de l’esprit, invincibles comme des prolongements/rayons de la Lumière Divine.

Calistrat Marvin Atudorei

Calistrat Marvin Atudorei, docteur en philosophie politique et auteur de « America’s Plans for World Hegemony », Roumanie





Serge Halimi et la catastrophe de la presse française

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

La presse française est une catastrophe. Elle pousse à la guerre (pardon, à la fermeté) nucléaire contre la Russie, au Reset, à l’aberration écologique, à la censure et à la fin des libertés, comme elle poussait au si oublié virus, au si oublié vaccin et à la chasse aux vaccinés. Serge Halimi, dont je vais reparler, a dénoncé récemment le rôle honteux et toxique de cette usine à torchons subventionnée dans les massacres de Gaza, rôle qui va déboucher sur la venue au pouvoir de Le Pen dont on verra si elle est aussi bien tenue en laisse que Meloni en Italie (l’extrême-droite aura fait tous les trottoirs depuis vingt ans).

Mais on aurait tort de croire que cela vient du seul Macron et des milliardaires possesseurs de journaux. Son mal vient de plus loin à cette presse, dirait Jean Racine — auquel on adjoindra Augustin Cochin qui parle de « Terreur sèche » intellectuelle au siècle des Lumières. 

Car la France est depuis toujours un pays conditionné. On le voit bien en relisant sans les œillères scolaires Molière ou La Bruyère. Le bourgeois, le dévot, le malade imaginaire, la femme savante, le sot savant, l’escroc médecin, le pédant-expert, l’hypocrite, la précieuse, sont des mines pour qui sait voir ; et la crise du Covid marquée par la dictature et la tartuferie sanitaire revêt un caractère très français. Taine ou Tocqueville avaient tout dit. Centralisation, pouvoir royal, révolution, empire, radical-socialisme ont pavé la voie de la soumission jacobine de la masse (voyez mes textes sur le sujet) et l’esprit libre souvent ne comprend pas sa solitude.

La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards… de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de l’histoire vaccinale : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé.

Malheureusement il n’y a rien de nouveau sous le sommeil : depuis les années Mitterrand (voir le livre de mon éditeur — chez Albin Michel — Thierry Pfister) et le passage du col Mao au Rotary (Guy Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Sophie Coignard), d’abjection et de désinformation sous contrôle de la mafia d’État (Vincent Jauvert). Ils sont là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français. Les cent Français les plus riches tiennent 40 % du PNB aujourd’hui. 

La presse et la télé sont vilipendées parfois pour leur rôle. Mais elles sont toujours comme ça. Rappelons donc la belle étude de Serge Halimi sur les nouveaux chiens de garde qui est un livre méritant de traverser les siècles ou tout au moins les décennies.

C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels rottweilers ! Relisons ce maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste qu’on n’a besoin ni d’acheter ni de programmer :

« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de “l’information”. Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre “chirurgicale” et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la “société de l’information”, avec ses hiérarchies “en réseau”, ses blogs et ses nouveaux seigneurs. »

La presse rappelait Halimi était chargée d’encenser Davos :

« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des “global leaders” soucieux de “créer de la valeur” pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens. »

Depuis, le conclave ploutocrate veut comme on sait éliminer le mangeur inutile. 

Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin (qui ne nous fait pas regretter July, le totalitarisme soixante-huitard ne cessant de muter et s’empirer comme un… virus) :

« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission “Vive la crise !” fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux. »

La géographie, ça sert d’abord à faire la guerre, disait le grand géographe marxiste Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :

« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes. »

Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :

« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les “dérives” observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (“l’Europe”) alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa “xénophobie” et ses “peurs” ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes “populiste” et “nationaliste” ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen. »

Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle :

« Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour découvrir que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne… Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »

La guerre contre la Russie, le massacre à Gaza, la liquidation des classes populaires, l’Europe techno-tyrannique, elle en raffole cette presse, aussi folle que l’élite qu’elle sert. Mais comme le remarquent Tolstoï ou Dostoïevski, le bourgeois croit toujours ce que dit sa presse…

Sources

https://www.monde-diplomatique.fr/2024/02/HALIMI/66560

https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/uploads/decidim/attachment/file/200/Halimi-Les-nouveaux-chiens-de-garde.pdf

https://www.dedefensa.org/article/leon-tolstoi-et-les-joyeux-debuts-du-bobo




L’eau potable est l’arme de destruction massive du choléra

Par Dr Gérard Delépine

Le président E. Macron, ceux de nombreux états africains et les médias subventionnés ignorent-ils que le choléra est stoppé par l’eau potable ?

Lors du forum mondial sur la vaccination1 du 20 juin 2024 coorganisé avec l’Union africaine (UA) et l’Alliance du vaccin (GAVI)2, le président Macron à appeler3 à « renvoyer le choléra au passé » grâce à la vaccination « Protéger les autres c’est nous protéger nous-mêmes », appelant « à bâtir un marché africain du vaccin » sans rappeler que l’eau potable constitue l’arme de destruction massive contre cette maladie.

Pour éradiquer le choléra, les populations n’ont pas besoin de vaccin, mais d’eau potable !

Le choléra est une toxi-infection digestive due à un bacille (le vibrion cholérique) qui se transmet uniquement par voie féco-orale (par l’ingestion d’eau ou de fruits ou légumes souillés). Un malade excrète la bactérie dans ses selles pendant habituellement une dizaine de jours après sa contamination, mais certains d’entre eux peuvent se transformer en porteur sain pendant des mois et constituer ainsi une menace pour la population si le traitement des eaux usées n’est pas efficace.

Le choléra provoque des diarrhées et des vomissements dont l’intensité peut entraîner une déshydratation sévère pouvant causer la mort en quelques heures, en particulier chez les jeunes enfants. La réhydratation est la base du traitement curatif du choléra. Les antibiotiques (principalement les macrolides) diminuent la durée de la maladie, limitent le risque de complications pour le patient, et réduisent la durée d’excrétion du vibrion cholérique et ainsi la contamination des eaux et le risque de transmission du choléra à d’autres individus.

Dans les pays où l’eau potable est partout disponible, il n’y a pas d’épidémie.

L’exemple de la France le démontre. Les mesures d’assainissement et d’hygiène collective et individuelle ont fait disparaître le choléra de France métropolitaine.

Le choléra fait l’objet d’une déclaration obligatoire, et le recensement des cas par Santé Publique France montre qu’il s’agit aujourd’hui en métropole d’une pathologie importée rare. Les cas symptomatiques de choléra observés sont toujours liés à l’absorption de boissons ou d’aliments contaminés à l’étranger.

Le signalement précoce des cas suspects et confirmés permet la gestion des cas de choléra d’importation dans les meilleurs délais. Entre 0 et 2 cas de choléra sont déclarés chaque année en France depuis 2000, ils concernent toujours des voyageurs de retour de zone d’endémie. C’est un chiffre faible et en diminution.

Au niveau mondial, il en va de même : dans tous les pays qui assurent l’eau potable et le traitement efficace des eaux usées, on n’observe que de rares cas de choléra d’importation, sans jamais de transmission.

Le choléra persiste uniquement dans les pays où l’hygiène et l’eau potable sont insuffisantes

Malheureusement plus de deux milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable dans le monde, dont près de 320 millions se trouvent en Afrique subsaharienne. 4,5 milliards autres ne disposent pas de services d’assainissement fiables, selon un nouveau rapport commun de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l’Unicef.4

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime que chaque année, 3 millions de personnes seraient touchées par le choléra à travers le monde avec environ 100 000 morts.. L’OMS regrette la sous-notification des cas. Aujourd’hui, l’Afrique et l’Asie sont les deux zones les plus touchées par le choléra.

La maladie y est en expansion dans toutes les régions en manque d’eau potable en particulier à l’occasion des guerres. C’est le cas en Éthiopie, au Zimbabwe… Dans ces pays, l’absence d’entretien et la destruction des réseaux de distribution lors des combats obligent les populations à boire l’eau des rivières ou des puits, dont le taux de contamination est très élevé.

L’épidémie apparue au Yémen en 2016 après la destruction des infrastructures d’eau potable est la plus sévère de l’Histoire moderne, avec plus de 2,5 millions de cas et au moins 4 000 décès. Lors de cette épidémie est apparue une nouvelle souche de vibrion cholérique avec des éléments génétiques permettant une multirésistance aux antibiotiques habituellement utilisés. Le Pr F-X Weill et le Dr Marie-Laure Quilici de l’Institut Pasteur, à Paris, se sont alarmés5 :

« Cette souche de vibrion cholérique, qui a également été repérée en Afrique de l’Est et en Afrique du Sud, est capable d’acquérir des plasmides porteurs d’une multirésistance aux antibiotiques. Ce comportement inattendu constitue une nouvelle menace pour la lutte contre le choléra, et nous devons comprendre ce phénomène pour pouvoir élaborer des stratégies efficaces de contrôle. En attendant, une surveillance régulière et standardisée de la sensibilité aux antibiotiques des souches de vibrion cholérique est primordiale pour pouvoir adapter rapidement l’antibiothérapie en cas d’émergence d’une souche résistante. ».

Les larges distributions de vaccins anticholériques se sont révélées incapables d’arrêter l’épidémie illustrant une fois de plus les limites de cette vaccination.

Les vaccins contre le choléra sont peu efficaces surtout chez les jeunes enfants

L’exemple d’un vaccin efficace est celui du vaccin contre la fièvre jaune : une injection unique protège tous les vaccinés à vie. Mais de très nombreux vaccins sont peu efficaces, comme ceux contre la grippe et les pseudo vaccins covid, et ne protègent qu’une fraction des vaccinés durant une courte période obligeant à des rappels répétés fréquemment.

Les premiers vaccins contre le choléra ont protégé troupes alliées en 1915-1918 lors de la guerre des tranchées et ont contribué à la victoire contre les Allemands qui n’en possédaient pas et dont les soldats malades étaient incapables de combattre.

Depuis lors, plusieurs vaccins ont été développés notamment le Dukoral, le Shanchol/mORCVAX et plus récemment l’Euvichol-S produits en Corée du Sud par EuBiologicals Co. Ltd.

Tous sont des vaccins oraux réalisés à partir de bactéries inactivées. Entre 4 et 6 mois, l’efficacité de ces vaccins ne dépasse pas 66 % à 86 % et diminue de 58 % à 77 % à deux ans. Cette faible efficacité est attestée, en pays endémiques, par la nécessité de rappels tous les six mois en dessous de 6 ans et tous les 2 ans au-delà. De plus, des variations génétiques de la bactérie lui permettent régulièrement de résister aux vaccins.

La revue récente de la fondation Cochrane6 portant sur 25 études incluant 2,6 millions d’adultes et d’enfants traités par des vaccins estime leur efficacité modérée (51 %) et trop courte. Chez les enfants de moins 5 ans, groupe le plus à risque de complications mortelles, la protection ne dépasse pas 1 an, tandis qu’elle atteint 3 ans pour les sujets plus âgés.

Ces conclusions de faible efficacité rejoignent celles du Oral Cholera Vaccine Working Group de la Global Task Force on Cholera Control7.

Au Yémen, les centaines de milliers de doses de vaccins distribuées par l’OMS et la fondation Gates n’empêchent d’ailleurs pas l’épidémie de proliférer.

Dans son témoignage récent sur Nexus8, le pasteur Franklin Yebga dénonce le coût astronomique (155 millions de dollars) du programme de vaccination en Afrique organisé par l’OMS, les fondations Gates et la banque mondiale.

Compte tenu du coût moyen d’un forage pour 10 000 à 15 000 personnes (5000 euros), cette somme aurait permis de créer 30 000 points d’approvisionnement d’eau potable et « aurait sans doute pu résoudre tous les problèmes d’eau en Afrique ».

Mais distribuer l’eau potable aux populations ne rapporte rien aux laboratoires pharmaceutiques et tarirait la source de profits considérables que procurent les vaccins…

Contre le choléra, consacrer un milliard de dollars à l’eau potable serait infiniment plus efficace que des vaccins.

La distribution généralisée d’eau potable et le traitement des eaux usées assurent avec certitude la disparition du choléra.

Elles permettent aussi d’éradiquer de nombreuses autres maladies, qu’elles soient bactériennes (typhoïde, gastroentérites à entérobactéries Campylobacter et E. coli, shigelloses), virales (l’hépatite A et E, poliomyélite, rotavirus responsables de diarrhées, entérovirus…) ou parasitaires (dracunculose, amibiases, giardase et autres flagellés intestinaux).

L’eau potable constitue donc un enjeu totalement prioritaire de santé publique, bien avant des vaccins insuffisamment efficaces. C’est d’ailleurs ce que proclamait le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus en 20179 :

« Avoir accès à l’eau salubre, à l’assainissement et à l’hygiène à domicile ne devrait pas être un privilège exclusivement réservé aux riches vivant en milieu urbainTous les pays au monde devraient garantir les “services fondamentaux pour la santé humaine. »

Il précisait aussi en 2019 10 :

« La solution à long terme pour mettre fin au problème du choléra consiste à améliorer l’accès à l’eau potable et à offrir des moyens d’assainissement et d’hygiène adéquats. »

Mais apparemment le président Macron et les participants au forum l’ignorent, ou feignent de l’ignorer comme si leur seule ambition était de bâtir un « marché africain du vaccin » et de financer les laboratoires fabricants. « Nous avons déjà 5 000 morts du choléra, nous devons avoir un vaccin », a déclaré Emmanuel Macron qui a aussi choisi de citer le choléra comme cible prioritaire du nouvel accélérateur africain de fabrication de vaccins11.

Et aucun des journalistes qui glorifient ce forum 12 13 14 15 16 17 n’a souligné que le choléra se transmet uniquement par l’eau souillée et qu’assurer l’hygiène partout et l’eau potable aux populations qui en sont dépourvues éradiquerait définitivement le choléra (et la poliomyélite qui obsède tant Bill Gates). Ignorance ? Mensonge par omission ? Censure ?





Comment (et pourquoi) la grippe aviaire est sur le point d’entrer dans la phase des tests de masse

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Bonjour à tous et bienvenue dans la dernière édition de Bird Flu Digest (Dossier grippe aviaire), anciennement connu sous le nom de OffGuardian.

La couverture de la grippe aviaire est de plus en plus abondante au fil des semaines, à tel point qu’il est presque difficile de suivre les vagues de prises de position et d’idées qui font froid dans le dos. Mais si vous voulez essayer, le meilleur endroit pour le faire est ici, où je passe une bonne partie de mon temps à lire des articles très similaires dans des journaux très similaires, tous sur le danger d’une pandémie qu’ils sont sur le point de prétendre être en train de se produire.

Je n’en rêvais pas en grandissant, mais la vie est ainsi faite.

Quoi qu’il en soit… la grippe aviaire.

Dans notre dernière mise à jour sur la grippe aviaire, nous avons souligné que le « décès dû à la grippe aviaire » survenu au Mexique n’avait très probablement rien à voir avec la réalité, et que le fait de l’annoncer comme tel était tout droit sorti du livre de jeu de la Covid.

Depuis, le directeur du ministère mexicain de la Santé a critiqué l’OMS pour avoir parlé d’un décès dû à la grippe aviaire.

Mais la grande nouvelle concernant la grippe aviaire est que l’ancien directeur du CDC américain, Robert Redfield, est devenu hystérique, déclarant à NewsNation :

« Je pense vraiment qu’il est très probable que nous aurons, à un moment donné, une pandémie de grippe aviaire, la question n’est pas de savoir si, mais plutôt quand. »

Cette histoire a naturellement été reprise et diffusée partout, mais Redfield n’est pas le seul à alimenter cette panique hystérique.

La semaine dernière, The Conversation titrait :

« Une once de prévention : Il est temps d’agir contre la grippe aviaire H5N1, car les enjeux sont énormes. »

USA Today reprend le même ton :

« L’inquiétude grandit alors qu’une “gigantesque” épidémie de grippe aviaire sévit dans les troupeaux de vaches laitières aux États-Unis. »

Apparemment, une nouvelle étude a révélé quelque chose d’effrayant : les Américains « n’ont que peu ou pas d’immunité préexistante contre la grippe aviaire H5N1 ». C’est effrayant.

Il y a quelques heures à peine, le Daily Mail rapportait les propos d’un autre médecin qui lançait une nouvelle mise en garde. Il s’agit du Dr Rick Bright, qui a déclaré à la chaîne PBS :

« Nous avons les yeux bandés dans cette bataille et je crains vraiment que le virus ne gagne la partie et ne prenne de l’avance sur nous. »

Nous volons à l’aveuglette et la maladie nous devance ! Elle sévit et les enjeux sont énormes !

Même certaines chaînes, censées être mieux informées, répandent la peur.

CNN s’inquiète frénétiquement : « Nous n’en faisons pas assez contre le risque de grippe aviaire, mais nous pouvons le faire ». Popular Science est relativement calme et pose la question suivante : « Pouvons-nous prévenir une pandémie de grippe aviaire chez l’homme ? », avant de nous rassurer en nous disant que c’est possible… à condition que nous fassions tous ce que l’on nous dit de faire.

Tous ces articles parlent de « collecte de données », de « vol à l’aveugle » et de la nécessité de la « prévention ». Et tout cela n’est en fait qu’un code pour les « tests ». Presque tous les articles évoquent la nécessité de multiplier les tests, tant sur les humains que sur les animaux.

Mais quiconque a été attentif depuis 2020 sait que les tests PCR ne recueillent pas de données, ils en créent. Ce sont des machines à générer des « cas ». Loin de prévenir une pandémie, ils peuvent être utilisés pour en fabriquer une.

Il existe même des signes avant-coureurs d’une obligation d’effectuer des tests à l’avenir, comme en témoigne cet article de Politico déplorant le manque d’agriculteurs qui s’inscrivent volontairement aux programmes de surveillance gouvernementaux :

« La réponse fédérale se concentre en grande partie sur les efforts volontaires des agriculteurs pour aider à suivre et à contenir l’épidémie. Mais de nombreuses exploitations ne se sont toujours pas inscrites aux programmes de l’USDA visant à renforcer la surveillance et les tests de dépistage du virus. »

Et la solution, c’est plus d’argent :

« Bien que des fonds fédéraux aient été alloués, aucune exploitation ne s’est inscrite aux tests volontaires sur le lait, selon l’USDA. Moins d’une douzaine d’exploitations ont demandé une aide financière distincte en échange d’un renforcement des mesures de biosécurité pour aider à contenir le virus. »

Payer les éleveurs pour qu’ils testent leurs animaux est une autre stratégie recyclée de la Covid. Il en résultera des cas, qui entraîneront des abattages, ce qui nous renvoie à l’autre aspect de la « grippe aviaire » : non pas « la prochaine pandémie », mais « la guerre contre l’alimentation ».

La maladie se propageant prétendument d’un élevage de volailles à un élevage laitier, de plus en plus de poulets sont abattus, de même que les vaches. La situation va encore s’aggraver prochainement, lorsque les gouvernements commenceront à payer les éleveurs pour qu’ils détruisent leur bétail.

Encore une fois, Politico :

.« … l’élaboration de règles fédérales retarde la mise en place d’une indemnisation pour les éleveurs qui ont perdu ou dû abattre des vaches à cause de la maladie. »

Traduction : Les autorités veulent payer les agriculteurs pour qu’ils testent leurs vaches, puis les « dédommager financièrement » lorsqu’elles doivent être détruites. C’est exactement comme les programmes britanniques de « gestion environnementale des terres » ou le « Programme de protection de la nature » américain, qui paient les agriculteurs pour qu’ils n’exploitent pas leurs terres. L’objectif est de faire en sorte qu’il soit plus rentable pour les agriculteurs de tuer leurs vaches que de les traire.

Encourager les tests, récompenser les résultats positifs. C’est ainsi que l’on crée une pandémie à partir de rien et que l’on sabote le système alimentaire.

Mais il y a de bonnes nouvelles : l’Union européenne a déjà acheté 40 millions de doses de vaccins, juste au cas où. Et le cours de l’action Moderna ne cesse d’augmenter. Il y a donc de quoi se réjouir.

Honnêtement, c’est comme regarder un film dont la fin « surprise » est annoncée dans les cinq premières minutes, et qui vous oblige ensuite à passer deux heures interminables à écouter ce que les scénaristes considèrent manifestement comme un subtil présage.

J’en arrive au point où je voudrais qu’ils fassent une pandémie sanglante et qu’ils en finissent.




Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie

La virologie sous contrôle
Exposer la méthodologie pseudo-scientifique

[Source : mikestone.substack.com]

Par Mike Stone

Au début de cette année, j’ai été informé de certains développements très intéressants dans la lutte contre la pseudoscience connue sous le nom de virologie. Dans les coulisses, des personnes très intelligentes et ingénieuses ont entrepris de mettre à l’épreuve les méthodes de la virologie. Ces personnes se sont inspirées des travaux du Dr Stefan Lanka et de ses expériences de contrôle réalisées en 20201, qui ont ouvert les yeux de nombreuses personnes sur la fraude en matière de culture cellulaire. Pour ceux qui ne le sauraient pas, les expériences de contrôle dans les expériences scientifiques sont conçues pour s’assurer que la cause présumée, appelée variable indépendante, ou le supposé « virus » dans ce cas, est la seule chose qui pourrait causer l’effet observé, appelé variable dépendante, qui devrait être les symptômes de la maladie associée au « virus ».

« Une étude avec contrôle(s) est conçue pour garantir que les effets sont dus aux variables indépendantes de l’expérience. L’utilisation de contrôles permet d’étudier une variable ou un facteur à la fois. Il est toutefois important que le groupe de contrôle et l’autre groupe (expérimental) soient exposés aux mêmes conditions, à l’exception de la variable étudiée. Cela permettra de tirer des conclusions plus précises et plus fiables ».

https://www.biologyonline.com/dictionary/control

Ce qu’il faut comprendre en matière de virologie, c’est que les expériences de culture cellulaire utilisées pour confirmer l’existence d’un « virus » ne reflètent pas une hypothèse basée sur un phénomène naturel observé (une exigence de la méthode scientifique) et ne commencent jamais par une variable indépendante valable sous la forme de particules « virales » purifiées et isolées identifiées avant que l’expérience n’ait lieu. Le « virus » est supposé être présent dans les fluides non purifiés prélevés sur un hôte malade. La variable dépendante, ou l’effet recherché par les chercheurs, n’est pas le phénomène naturel observé des symptômes de la maladie comme il devrait l’être, mais plutôt ce que l’on appelle l’effet cytopathogène (ECP), un effet non spécifique créé en laboratoire associé à la mort de la cellule et dont on sait qu’il est causé par de nombreux facteurs tels que :

  1. Bactéries
  2. Amibe
  3. Parasites
  4. Antibiotiques
  5. Antifongiques
  6. Contaminants chimiques
  7. L’âge et la détérioration des cellules
  8. Stress environnemental

Un « virus » imaginaire qui n’est jamais observé avant le début de l’expérience et qui n’est pas disponible pour être modifié et manipulé pendant l’expérience n’est pas nécessaire pour expliquer pourquoi les chercheurs assistent à la mort de la cellule. Les conditions mêmes de l’expérience suffisent à créer l’effet observé dans la boîte de Petri. C’est ce qu’ont montré les contrôles effectués par le Dr Lanka lorsqu’il a pris l’initiative de mettre en évidence les failles de la méthodologie de la virologie.

Les travaux du Dr Lanka ont porté préjudice à la pseudoscience qu’est la virologie. Toutefois, les critiques formulées à l’encontre de ses résultats ont permis aux défenseurs de la fraude de les balayer du revers de la main. Si les résultats du Dr Lanka portent un coup incontestable à la virologie, ils présentent néanmoins des faiblesses, comme l’absence d’images au microscope électronique montrant que les mêmes particules « virales » existent sans qu’aucun échantillon « viral » n’ait été ajouté à la culture. Les résultats des expériences du Dr Lanka, réalisées en trois phases, ont également été difficiles à trouver, à reconstituer et à partager avec d’autres dans leur intégralité. Heureusement, une équipe de biochimistes et de généticiens expérimentés, dirigée par Jamie Andrewes, a pris ces critiques à cœur et s’est efforcée d’y répondre tout en élargissant la portée des travaux du Dr Lanka. Non seulement ils ont répété les expériences de culture cellulaire conformément aux directives de l’ATCC, mais ils ont également réalisé des micrographies électroniques pour déterminer si les mêmes particules « virales » peuvent être trouvées dans des échantillons ne contenant aucun matériel « viral ». Il s’agit d’un projet de grande envergure qui, jusqu’à présent, a été autofinancé par des chercheurs de vérité dévoués qui, contrairement aux virologues, comprennent la méthode scientifique. Ce qu’ils ont trouvé devrait porter le coup de grâce à la pseudoscience connue sous le nom de virologie. C’est avec enthousiasme que je vous présente ci-dessous la description du projet par Jamie, ce qu’ils ont découvert à ce jour, comment vous pouvez les aider et participer, ainsi que la direction qu’ils souhaitent donner à leurs recherches à l’avenir.

[Voir aussi :
Aveuglés par la pseudoscience
et UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)]


La virologie a prouvé à maintes reprises qu’elle n’utilisait pas les contrôles appropriés.

Au cours des huit derniers mois, une équipe composée de biochimistes et de généticiens ayant 30 ans d’expérience a mené les études de contrôle les plus complètes jamais réalisées sur la méthodologie virologique.

Nous inspirant des expériences de contrôle menées par le Dr Stefan Lanka, nous avons cherché non seulement à reproduire ses résultats, mais aussi à les développer, en examinant minutieusement CHAQUE point de référence que les virologues citent comme preuve de l’existence des « virus ».

Nous menons des expériences de contrôle dans ces domaines :

  • Isolement des cultures cellulaires
  • Microscopie électronique à transmission
  • Anticorps
  • PCR
  • Protéomique
  • Séquençage complet du génome.

À ce jour, nous avons réalisé plus de 90 études de contrôle de cultures cellulaires. Ces cultures ne contenaient AUCUN ÉCHANTILLON, seulement la lignée cellulaire, des antibiotiques et du sérum bovin fœtal (FBS), et nous avons constaté l’effet cytopathogène (ECP — mort cellulaire censée indiquer la présence d’un virus) dans TOUTES les cultures.

Nous avons repris certains des problèmes rencontrés par les contrôles de cultures cellulaires du Dr Lanka, tels que les lignées cellulaires « en surnombre », et nous avons cherché à couvrir tous les aspects de la méthodologie, en recoupant le protocole standard de manipulation des cultures cellulaires fourni par l’ATCC.

Nous avons utilisé les lignées cellulaires les plus robustes (HEK293T) et les antibiotiques les moins agressifs, à savoir la pénicilline et la streptomycine (Pen/Strep), afin de renforcer le poids de nos conclusions.

Nous avons également cherché à vérifier objectivement l’existence d’un ECP dans ces cultures. En utilisant la spectrométrie laser et une machine spécifique de viabilité cellulaire appelée COUNTESS, nous avons obtenu une vérification objective en pourcentage de l’ECP dans toutes les cultures.

Culture cellulaire sans échantillon d’expectoration humaine.

Ci-dessus, un exemple d’une culture dans le cadre de l’expérience. Notez la mort évidente et l’apoptose des cellules au quatrième jour seulement après l’élimination des nutriments FBS.

Le COUNTESS a enregistré jusqu’à 44 % de décès cellulaires, ce qui est facilement compatible avec les attributions croisées de l’ECP pour dénoter un « virus » sans qu’il soit possible qu’un « virus » soit présent dans la culture.

Notez également l’augmentation de l’ECP de gauche à droite avec l’ajout d’antibiotiques (Pen/Strep) conformément aux protocoles de l’ATCC.

Culture cellulaire avec un échantillon d’expectoration humaine.

Pour servir de « contrôle positif », nous avons ajouté des expectorations humaines à plusieurs de nos cultures pour voir si cela affectait radicalement la quantité d’ECP.

Comme vous pouvez le constater, la quantité de FPC enregistrée par COUNTESS était presque identique, voire légèrement inférieure, à celle enregistrée avec NO SAMPLE.

C’est une preuve supplémentaire que l’ECP dans ces cultures est UNIQUEMENT causé par l’élimination des nutriments FBS et l’ajout d’antibiotiques dans les dosages recommandés par l’industrie.

Nous avons les résultats et voulons vous montrer une première mondiale.

Nous avons envoyé ces cultures à un organisme de recherche sous contrat (ORC) indépendant et accrédité pour effectuer une microscopie électronique à transmission (MET) sur les cultures de contrôle et avons identifié avec certitude le « SARS-COV-2 », le « VIH » et la « rougeole ». !!!!!!!!!

Image d’une vésicule extracellulaire.

Nous leur avons demandé de rechercher des vésicules extracellulaires qu’ils ont identifiées avec certitude ci-dessus. Notez qu’elles sont vides, difformes et beaucoup plus grandes que la plupart des « virus » (2000 nm).

Image CDC d’Omicron « SARS-COV-2 ».
Image de la particule « SARS-COV-2 » trouvée dans le contrôle « sans virus ».

En croisant la taille, la forme et les inclusions avec la version CDC du « SARS-COV-2 » (dans le carré rouge), nous avons identifié avec certitude le « SARS-COV-2 » dans notre culture. Notez la forme ronde, les mêmes inclusions à l’intérieur et exactement la même taille de 120 nm.

Image du CDC du « VIH ».
Image de la particule de « VIH » trouvée dans le contrôle « sans virus ».

En croisant la taille, la forme et les inclusions avec la version CDC du VIH (avec l’écriture rouge), nous avons identifié avec certitude le « VIH » dans notre culture. Notez la même forme ronde, la même inclusion de type « noyau » et exactement la même taille (80 nm).

Image du CDC du « virus » de la rougeole.
Image de la particule du « virus » de la rougeole trouvée dans le contrôle « sans virus ».

En croisant la taille, la forme et les inclusions avec la version CDC de la rougeole, nous avons identifié avec certitude la « rougeole » dans notre culture. Notez la même forme ovale, le même type d’inclusion sous forme de protéines en pointillés, les phosphoprotéines, et exactement la même taille à 250 nm.

Tous ces éléments ont été trouvés dans seulement 9 images de notre culture. Notre budget ne nous a pas permis de souscrire un forfait qui nous aurait permis d’avoir une session en direct sous le microscope avec le CRO. Nous ne doutons pas que si nous pouvions acheter un forfait qui nous donne plus d’images avec un contrôle sur l’endroit où regarder, nous pourrions trouver tous les « virus » connus de l’homme dans des détails impeccables.

C’est ici que nous avons besoin de votre AIDE !

Jusqu’à présent, nous avons gardé ces expériences privées et les avons financées nous-mêmes.

L’étape suivante de ces expériences de contrôle, à laquelle toutes les voies mènent, est la génétique, la PCR et le séquençage complet du génome.

Pour bien comprendre ce qui se passe avec la PCR, sinon pour la « génétique virale », nous devons acheter une machine qPCR et quelques autres équipements. Nous devons envoyer des échantillons à des ORC pour le séquençage complet du génome et nous aimerions effectuer un TEM plus complet.

Pour ce faire, nous nous ouvrons au pouvoir des citoyens. Nous serions extrêmement reconnaissants de toute aide permettant de poursuivre ces expériences vitales.

En retour, nous voulons vous donner quelque chose pour vos dons.

Lorsque nous aurons obtenu tous les résultats possibles, nous ferons un compte-rendu complet de CHAQUE méthodologie, liste d’équipement et de matériel et toutes les directives que nous avons suivies pour faire un paquet que nous voulons VOUS donner. Avec ce dossier, nous publierons une vidéo expliquant ces résultats, comment ils peuvent être reproduits et, plus important encore, comment ils peuvent être utilisés.

Nous avons consulté nos avocats qui confirment que, si nous mettons ces résultats expérimentaux en libre accès, n’importe qui peut se les approprier et les utiliser à son propre titre.

Une grande partie de la raison pour laquelle nous faisons ces expériences est de nous protéger et de protéger nos proches s’ils essaient un jour de répéter l’expérience de 2020. Ce document scientifique peut être remis aux employeurs, aux écoles, aux frontières internationales, etc., etc., qui veulent essayer d’imposer des vaccins ou des politiques de dépistage/masquage pour prouver que la science sur laquelle se fondent leurs machinations politiques est frauduleuse.

Lanka, Martin Haberland et d’autres ont créé de nombreux précédents juridiques en remportant des victoires devant les tribunaux sur la base de la vérité de l’absence de virus2. Nous espérons être juridiquement et scientifiquement prêts pour la prochaine fois.

Nous avons besoin de votre aide pour contribuer à la découverte de la vérité sur la virologie ! Il y a un lien pour faire un don pour ce projet et tous les dons sont massivement appréciés. Si vous laissez votre email, nous mettons en open source TOUTES ces expériences pour que vous puissiez les utiliser selon votre propre capacité.

https://thewayfwrd.com/donate

Bien cordialement,

Jamie Andrews.


BOOM !!!

Nous vivons une époque passionnante où les personnes intéressées par la vérité n’ont pas besoin de compter sur les « experts » pour leur dire ce qui est scientifiquement valable et ce qui ne l’est pas. Comme l’ont montré Jamie et ses collègues, nous n’avons pas besoin de nous asseoir et d’attendre que de soi-disant scientifiques fassent les expériences de contrôle qui auraient dû être réalisées depuis le début. Nous avons la capacité de prendre les choses en main et de découvrir la vérité par nous-mêmes. Nous pouvons faire ce que les virologues ont peur de faire et réaliser nous-mêmes les expériences nécessaires. Plutôt que de continuer à décortiquer les sections de la littérature virologique consacrées aux méthodes, nous pouvons démontrer que la méthodologie est frauduleuse en réalisant nos propres expériences de contrôle. Il incombera alors à la virologie de démontrer que ses méthodes ne sont pas la fraude pseudo-scientifique que nous avons découverte depuis le début. Les hypothèses et les méthodes de la virologie ont été réfutées, et c’est à eux de démontrer le contraire. Jamie et ses collègues méritent un énorme merci pour le travail et les efforts qu’ils ont déployés dans cette entreprise. Aidez-nous à les soutenir afin que nous puissions mener ce projet novateur jusqu’à sa conclusion logique et nécessaire !

Pour une excellente discussion générale dans laquelle Jamie analyse les preuves obtenues jusqu’à présent (à partir d’environ 49 minutes), consultez l’épisode 99 de The Way Forward avec Alec Zeck – « The Most Important Project of the Century: The End of Virology with Jamie Andrews + Jacob Diaz  » (Le projet le plus important du siècle : La fin de la virologie avec Jamie Andrews + Jacob Diaz) :





Chine et Russie : les nouveaux chevaux du char mondialiste

[Source : The Predators versus The People]

Par Mees Baaijen

Première partie : La Russie, de l’empire souverain à l’État mandataire mondialiste

Articles à venir :

Deuxième partie : La Chine : Du Tao à Mao, puis au faux Tao

Troisième partie : Les autres pays oligarchiques des BRICS et le piège multipolaire

Quatrième partie : Le changement de paradigme Ouest-Est assombrit l’avenir d’Israël.

Résumé

Au nom du syndicat du crime Glafia, vieux de 500 ans, qui cherche à dominer le monde, la Russie et la Chine sont depuis longtemps prêtes à prendre le relais des États-Unis en tant que leaders hégémoniques de la prochaine version d’un ordre mondial unipolaire.

Ce dernier — et quatrième — changement de cycle dans le projet mondial de la Glafia est promu sous la marque brillante mais fausse d’un ordre mondial multipolaire bienveillant qui respecte la souveraineté des pays — qui sont cependant tous gouvernés par les mandataires de la Glafia.

Cet effort de propagande comprend également la fausse fin du projet mondialiste, en raison des actions bientôt attendues des courageux nouveaux héros « traditionalistes » sur la scène mondiale : la Chine « taoïste » et la Russie « orthodoxe ».

[Voir aussi, du même auteur et également sur la Glafia :
Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui]

Introduction

Cette série d’articles fait suite à mon livre The Predators versus The People (Les prédateurs contre le peuple)et à mon récent article The United States of America : from fake dream to real nightmare (Les États-Unis d’Amérique : du faux rêve au vrai cauchemar). Vous y découvrirez comment les États-Unis ont été capturés, et probablement créés, pour devenir la quatrième puissance hégémonique contrôlant les États-nations du monde au nom du projet secret de domination mondiale de 500 ans mené par les Prédateurs, ou Glafia.

Il s’agit d’un syndicat du crime composé de quelques centaines de familles dynastiques, extrêmement riches (jusqu’à des milliers de milliards de dollars) et étroitement liées, sans lien avec un pays, une religion ou une ethnie. Les premiers cycles hégémoniques ont été menés par l’Espagne (15e/16e siècle), la Hollande (17e siècle) et l’Angleterre (18e/19e siècle).

Avec les mandataires britanniques et sionistes de la Glafia, les États-Unis ont préparé et instigué le grand massacre de l’Eurasie au XXe siècle, qui a fait plus de 200 millions de morts : les guerres mondiales, y compris le nazisme et Hitler, les révolutions communistes en Russie, en Chine et ailleurs, la guerre froide, ainsi que leurs guerres culturelles, éducatives, scientifiques, financières et spirituelles secrètes contre l’Humanité.

Les États-Unis ont également installé des régimes fantoches dans toutes les anciennes colonies européennes « nouvellement indépendantes » d’Afrique et d’Asie, créées après la Seconde Guerre mondiale par le faux programme de décolonisation planifié par la Glafia. Les pays d’Amérique latine, colonisés bien plus tôt par l’Espagne et le Portugal, avaient déjà été « libérés » au début du XIXe siècle, pour devenir des États vassaux permanents de l’hégémon britannique, puis américain, de la Glafia.

Outre le contrôle de TOUTES LES TERRES, une tâche importante des États-Unis était d’être les pionniers du développement d’une technologie avancée pour la surveillance permanente de TOUS LES GENS, comme l’a annoncé Zbigniew Brezinski en 1970, dans son livre Entre les deux âges : ce projet est maintenant souvent appelé la Prison numérique mondiale (avec les CBDC, le revenu de base universel, la 5G, les crédits de carbone, etc.). Ce projet est actuellement mis en œuvre à l’échelle mondiale, sur le modèle de ce qui a été mis en place en Chine communiste.

Avec l’accomplissement de ces tâches, l’État mandataire américain n’est plus nécessaire en tant que leader hégémonique de la Glafia, et il est en train de devenir un bouc émissaire et d’être démoli, en même temps que le reste de l’Occident. Pendant ce temps, la Chine, assistée de la Russie — dont la population et le potentiel économique et industriel sont bien plus importants que ceux des États-Unis — prend le relais.

Préparation de la Russie par la Glafia

Après la défaite de Napoléon, pion de la Glafia, en 1815, la Russie était la nation la plus puissante du continent européen. La Russie était parfaitement consciente du plan des Rothschild visant à placer l’Europe sous le contrôle de la Glafia — sous le couvert du Concert des nations — par l’installation de banques centrales usuraires et de fausses démocraties, dirigées secrètement par des « élites » nationales subordonnées, soudoyées et corrompues. Elle a tenté de contrer cette première tentative de contrôle du monde par la Sainte-Alliance qu’elle a conclue avec les monarchies d’Autriche et de Prusse et qui a été renouvelée sous Bismarck en 1871.

Pourtant, les Rothschild ont réussi à devenir les principaux bailleurs de fonds de cette alliance. Ils se sont également fortement impliqués dans les chemins de fer et l’industrie pétrolière russes. Niall Ferguson écrit : « De toutes les grandes puissances, c’est la Russie qui a eu le plus recours aux prêts étrangers dans la période précédant 1914 ». La Russie se modernise rapidement et améliore les conditions de vie de sa population, et la possibilité d’une révolution populaire s’éloigne de plus en plus.

La confiance du tsar Nicolas II dans les Rothschild était telle qu’il a déposé une grande partie de son énorme fortune dans leurs banques. Après le meurtre rituel de toute la famille Romanov en 1917, aucun héritier n’a survécu pour la réclamer. Ce crime a été perpétré sous le couvert de la révolution bolchevique. Tout comme la Révolution française, il ne s’agissait pas d’un mouvement populaire, mais de l’instrument secret et richement financé de la Glafia pour prendre le contrôle total de la Russie (Antony C. Sutton ; Docherty et MacGregor), au cours duquel des dizaines de millions de personnes allaient trouver une mort atroce.

L’horrible et sanglante expérience communiste qui a suivi — l’Union soviétique — construite grâce à la technologie militaire et civile américaine (Antony C. Sutton) a bien servi le plan de la Glafia pour la conquête de l’Eurasie au 20e siècle :

  • La Russie était une puissance importante pour aider à la destruction planifiée de l’Allemagne. Pourtant, depuis le traité russo-allemand de Rapallo de 1922 jusqu’à la veille de l’opération Barbarossa menée par Hitler contre l’URSS en 1941, l’Union soviétique — comme les États-Unis — a contribué à la construction de son futur ennemi (G. Preparata). Dommage que Poutine ait oublié de le dire à Tucker Carlson !
  • Ce fut également un précurseur, avec de nombreuses leçons apprises, de la prise de pouvoir communiste sous Mao en Chine, rendue possible par l’hégémonie américaine de la Glafia — et maintenant du monde entier, comme le promeut le FEM (« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »).
  • L’Union soviétique était la source parfaite pour une stratégie de la peur dans les rackets de protection de la Glafia : Le communisme comme épouvantail dans la guerre froide, dans le faux processus de décolonisation et dans la construction de l’Union européenne (basée sur le modèle soviétique, V. Bukovsky1).
  • Avec la Russie dans le « frigo communiste », et plus tard la Chine également, ces deux pays ont été neutralisés en tant que concurrents économiques, ouvrant ainsi la voie à la carrière mondiale fulgurante de l’hégémon américain de la Glafia, les États-Unis « libres et démocratiques ».
  • Le communisme, le système de contrôle de la population préféré de la Glafia, a également été utilisé comme force subversive pour saper l’Occident (Y. Bezmenov2).

Cependant, leur projet initial de fusion entre l’Union soviétique et les États-Unis (Norman Dodd, Comité Rice) a échoué. Pourtant, en 1959, le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a frappé de sa chaussure le pupitre des Nations unies et s’est écrié :

« Les enfants de vos enfants vivront sous le communisme. Vous, les Américains, êtes si crédules. Nous n’aurons pas à vous combattre ; nous affaiblirons votre économie, jusqu’à ce que vous tombiez entre nos mains comme un fruit trop mûr. »

L’Occident, aujourd’hui affaibli et victime d’un lavage de cerveau, semble accepter la toute nouvelle proposition des « parties prenantes communistes », la Grande Réinitialisation du FEM, où vous ne posséderez rien, n’aurez aucune liberté et aucun avenir humain (Schwab & Harari3).

L’échec apparent du plan de fusion communiste/capitaliste, la décision de la Glafia d’aller à l’Est pour son cinquième cycle et la naissance du plan de prison numérique mondiale ont rendu l’expérience soviétique obsolète : la Glafia a vu son pion Gorbatsjev l’achever en 1991.

Peu après, Fidel Castro, l’agent de la CIA de la Glafia, a déclaré :

« La prochaine guerre en Europe sera entre la Russie et le fascisme, sauf que le fascisme s’appellera Démocratie ».

Pas de prophétie, juste des informations d’initiés, sur une guerre sans but (pour l’Humanité, pas pour les profiteurs de guerre) qui est aujourd’hui une bien triste réalité en Ukraine.

Après 1991, la Russie a d’abord été ouverte au capitalisme par une thérapie de choc, qui s’est soldée par un désastre et un pillage planifiés — par l’« équipe Harvard » en tant que destructrice, avec en vedette le gauchiste Jeffrey Sachs, qui s’efforce aujourd’hui de restaurer sa réputation ternie. Cette opération a été planifiée des années avant la chute du mur de Berlin : les banques occidentales et israéliennes de la Glafia ont accordé d’importants crédits à de futurs oligarques sélectionnés (M. Wolski : 75 % d’entre eux sont juifs et liés à Chabad, un mandataire de confiance de la Glafia), afin que les propriétaires des banques internationales — les familles les plus riches du monde — puissent acheter à bas prix l’énorme richesse de la nation russe, tout en laissant sa population dans la ruine. Environ 30 000 Russes ont été assassinés au cours de cette opération par la mafia russe (un autre mandataire de la Glafia), et l’espérance de vie des hommes à la naissance a chuté de six ans.

Au plus profond de la crise russe, l’ancien agent du KGB Vladimir Poutine — qui avait été sélectionné et encadré très tôt par Henry Kissinger, agent de la Glafia, et avait ensuite été formé comme Young Global Leader par le FEM (par la bouche de Klaus Schwab, voir références) — est devenu l’homme de paille des oligarques russes et des banquiers mondialistes subordonnés à la Glafia. Avec son maître à penser Chabad, le rabbin Berel Lazar (en Russie depuis 1990), il a ensuite « sauvé la Russie ». Cela et sa réaction aux attentats à la bombe sous faux drapeau ont rendu le gangster Poutine très populaire auprès des Russes (Putin’s False Flag, Iain Davis).

Le mentor Kissinger a certainement dit à Poutine, il y a longtemps, qu’une Russie forte était nécessaire pour le changement Ouest-Est de la Glafia, et que la guerre prédite par Castro serait le prix à payer pour sa carrière fulgurante et celle de la Russie. Tout comme Bleichröder, un banquier associé à Rothschild, avait dit à Bismarck que la guerre serait le prix à payer par l’Allemagne pour son projet d’unification financé par la Glafia au 19e siècle (Nicolai Starikov).

Lorsque le Covid a été lancé en 2020, la Russie « autonome » de Poutine a obéi au scénario mondialiste de l’OMS et a vacciné une grande partie de sa population avec les vaccins toxiques d’AstraZeneca, aujourd’hui retirés. Idem, sa banque centrale est entièrement alignée sur la banque BRI de la Glafia à Bâle (y compris le projet CBDC4), tandis que les politiques de la Russie sont également totalement de mèche avec l’alliance traîtresse ONU/FEM et leur agenda 2030 de « durabilité », l’escroquerie climatique, la nourriture à base d’insectes, la Grande Réinitialisation et la Quatrième Révolution Industrielle.

La guerre en Ukraine

Hannah Arendt, profondément impressionnée par les nombreuses révélations (y compris les atrocités sionistes) lors du procès Eichmann (1961) à Jérusalem, a parlé de la banalité du mal. La guerre actuelle en Ukraine en est un exemple. Vous me traiterez peut-être de cynique, mais c’est ce que j’ai conclu il y a deux ans, et je pense que c’est toujours valable :

« Les “élites” occidentales savent que l’Est va irrémédiablement prendre le relais (voir les propos de Macron en 2019 sur la fin de l’hégémonie occidentale). Mais avant cela, les deux parties (les deux proxys de la Glafia !) se sont mises d’accord sur une guerre de théâtre sanglante pour se débarrasser de leur vieux matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et remplir leurs poches et leurs coffres-forts à ras bord ».

La récente génération de missiles hypersoniques russes joue un rôle clé dans ce conflit : selon Scott Ritter, les États-Unis — qui auraient maintenant des années de retard en matière de technologie militaire, une situation très étrange — sont déjà en échec et mat, de même qu’Israël : L’Occident ne peut tout simplement pas se défendre contre les missiles hypersoniques de l’Est. Et alors que la Russie partage apparemment cette technologie avec la Chine et l’Iran, les États-Unis semblent incapables de combler le fossé.

L’Église orthodoxe russe corrompue collabore pleinement avec les oligarques russes de la Glafia et leur homme de paille, Poutine. Depuis la guerre en Ukraine, elle mène un « djihad orthodoxe » (terme de Derk Sauer) au cours duquel ses prêtres bénissent les soldats qui partent au front en Ukraine. Au lieu de réclamer une solution pacifique, l’Église soutient la guerre et trahit ces pauvres garçons, leur promettant un passage au ciel lorsqu’ils mourront pour les « nobles objectifs de la patrie ».

Un autre rôle important dans le récit officiel du Kremlin est joué par le « cerveau » de Poutine, le « philosophe traditionaliste » Alexandre Douguine, un admirateur de Lénine et de Staline qui, en 2014, a appelé les Russes à « tuer, tuer, tuer » les Ukrainiens. Sa réaction face au Covid a été révélatrice : il s’est tu et a commencé à porter un masque (Iurie Rosca). Il a été démasqué dans le récent article de Paul Cudenec, qui conclut qu’il est un pion mondialiste.

Le fort soutien populaire à Poutine repose exactement sur la même tromperie généralisée des médias officiels qu’en Occident : dans les deux cas, la majorité salue encore les hommes politiques responsables des politiques désastreuses de Covid. Comme l’écrivait Oswald Spengler il y a un siècle : « Les médias sont le moyen par lequel l’argent opère la démocratie ».

L’étrange position de nombreux altermondialistes à l’égard de Poutine et de la Russie

Comme la plupart des pays (y compris tous les États occidentaux), la Russie d’aujourd’hui n’est qu’une démocratie nominale : le véritable pouvoir derrière la façade officielle est secrètement et fermement entre les mains de la Glafia, par l’intermédiaire de ses mandataires russes et juifs. Toute opposition mettant en danger leurs intérêts est impitoyablement traitée en réduisant au silence, en interdisant, en emprisonnant ou en tuant les dissidents (Iurie Rosca).

En Russie, la fusion entre l’État et le capital, le vieux modèle de la Glafia décrit il y a des décennies par le célèbre historien français Fernand Braudel (qui a également été le premier à utiliser le terme « prédateurs »), est aujourd’hui évidente, comme elle l’était à l’époque du communisme. « Le monde entier est une scène », comme l’a écrit Shakespeare. Et depuis plus d’un siècle, la Russie est l’un des nombreux États-nations sur l’échiquier de Lord Curzon, « où se joue le grand jeu pour la domination du monde », par le seul joueur qui en est à l’origine : la Glafia.

Il est surprenant de constater que la plupart des dirigeants antimondialistes occidentaux, tout en perçant à jour et en critiquant la propagande de leurs propres gouvernements, prennent la propagande incessante de Poutine et du Kremlin entièrement au pied de la lettre. Les raisons de cet étrange phénomène pourraient être les suivantes :

  • Des vœux pieux ou un faux espoir (« la Russie, dernier rempart contre les mondialistes »).
  • Influencer et corrompre les services secrets russes (très fréquent à l’époque soviétique et certainement encore aujourd’hui).
  • Il s’agit d’une tentative honnête de corriger le noircissage bruyant de la Russie par les politiciens occidentaux et la presse grand public (qui fait bien sûr partie du banal et génocidaire « accord de lutte professionnelle » en Ukraine conclu par les gangsters occidentaux et russes).

Enfin, la cause première est l’ignorance généralisée de l’histoire réelle de la Russie, qui, espérons-le, sera atténuée par le présent article.

Références




31 octobre 2023 — Avec ce livre vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas

[Source : amazon.fr via PG]

Par Patrick Jaulent et Nacima Mdhafar-Bouzeroura

Lorsque nous avons trouvé, par le plus grand des « hasards »… ce que vous allez lire dans ce livre, nous n’en croyions pas nos yeux.

Comment des êtres humains pouvaient-ils harceler électromagnétiquement d’autres humains (« Voice to Skull avec pour acronyme V2k) ?

Mais en ouvrant d’autres tiroirs, nous avons découvert qu’il y avait encore plus grave pour l’humanité tout entière, avec la publication le 31 octobre 2023, d’un document qui nous ramenait aux heures les plus sombres de notre histoire contemporaine.

Nous ne voulions pas y croire !

C’était impossible !

Après de multiples recherches croisées, nous nous sommes rendus à l’évidence, ce document validé par une entité gouvernementale était bien réel.

Depuis ce jour, notre vie a changé.

Nous avons décidé, quoi qu’il en coûte, de publier ce livre pour dénoncer l’inimaginable et défendre nos libertés.

Patrick Jaulent, docteur en électronique et expert en cybersécurité.
Nacima Mdhafar-Bouzeroura, médecin à Marseille, angiologue, échographiste vasculaire, diplômée en lasers médicaux et formée à la magnétothérapie et oligothérapie.

Extraits :

Note de Joseph Stroberg

Cela fait plusieurs années que sur le site Nouveau Monde nous avertissons au travers de quelques dossiers de plusieurs grands problèmes auxquels l’Humanité est confrontée :

5G et ondes pulsées présente les dangers des ondes électromagnétiques artificielles et des champs électriques pour la santé des êtres humains, des animaux (et même des plantes).

Implants numériques et contrôle mental ajoute des informations relatives aux techniques existantes qui permettent le contrôle mental à distance des êtres humains et leur harcèlement diffus ou ciblé.

Climat propose un échantillon d’informations diverses, dont certaines très pointues, contre l’hypothèse du réchauffement climatique qui serait essentiellement dû aux êtres humains par leur production de gaz dits abusivement à « effet de serre » (dont le CO2). La mise en avant de l’hypothèse anthropique permet aux mondialistes de renforcer leur contrôle sur l’Humanité par la peur engendrée et par les mesures coercitives imposées au nom de la « décarbonation ».

Vaccins et virus dont plusieurs articles (certains pour spécialistes) réfutent scientifiquement et logiquement les hypothèses des germes (bactéries, etc.) et des « virus » pathogènes comme cause de la plupart des maladies.

Ces dossiers se trouvent liés dans les faits, comme les lecteurs attentifs pourront s’en rendre compte.

Nous avons évoqué que la grippe et la supposée « Covid » (essentiellement la grippe rebaptisée pour l’occasion) étaient principalement dues, pour les personnes présentant réellement des symptômes (pas pour celles victimes simplement de l’illusion des tests PCR et autres), aux champs électriques et aux ondes électromagnétiques artificielles telles que le Wi-Fi, le Bluetooth, la 4 G et la 5 G, chaque nouvelle technologie aggravant le potentiel néfaste des ondes participant déjà à l’« électro-smog » engendré en permanence presque partout sur la planète, au moins dans les zones habitées. Pour la 5G, voir notamment l’article Rappel — La Chine, la 5 G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur. Certains ont préféré tenter de ridiculiser l’hypothèse et rétorquer que la grippe existait avant l’apparition de l’électricité et des ondes radio. C’est oublier qu’elle était alors bien plus rare et survenait lors de phases d’activité solaire plus forte que de coutume ou lors du passage de comètes ou de météores par l’activité électrique inhabituelle engendrée et les particules plus ou moins nocives dispersées alors dans l’atmosphère terrestre (voir par exemple Nouvelle lumière sur la Peste Noire : la connexion cosmique).

Nous avons mentionné en plusieurs occasions l’inversion très probable de la causalité entre maladies et germes, à savoir que ces derniers ne sont pas la cause première des maladies, mais que celles-ci peuvent produire ou s’accompagner de la présence de germes, notamment dans leur activité de nettoyage du corps. Nous avons également proposé des articles qui tendent à démontrer qu’il n’existe pas de phénomène de contagion virale ou bactérienne, contrairement aux croyances largement entretenues par l’industrie pharmaceutique depuis plus d’un siècle en raison de son contrôle notamment sur la formation des personnels soignants et des chercheurs en médecine.

Nous avons suggéré de chercher la cause des apparentes « contagions » ailleurs que dans de supposés « virus pathogènes » (qui se révéleront n’être que des déchets cellulaires ou génétiques produits par des cellules plus ou moins gravement assaillies par des ondes électromagnétiques ou des toxines chimiques). Dans la plupart des cas, il s’agit de l’exposition commune et pratiquement simultanée à une cause environnementale telle qu’un nouveau phénomène électromagnétique (comme la 5G), électrique (comme l’installation d’un transformateur dans un quartier ou d’une ligne électrique), chimique (nuage de pollution atmosphérique, chemtrails, fuite de toxines chimiques d’une usine, incendies produisant des substances toxiques, notamment lorsqu’il y a combustion de matières plastiques…) ou nucléaire… L’eau et la nourriture peuvent également être contaminées chimiquement de multiples façons.

Dans de rares cas, comme pour les maladies infantiles telles que la rougeole, la cause est très probablement aussi à rechercher ailleurs que dans des virus pathogènes jamais scientifiquement isolés. En raison notamment de la nature électrique des êtres humains et de leur propension également à se laisser envahir par les émotions diverses en provenance des uns et des autres, des phénomènes de résonance ou de mise au diapason peuvent intervenir entre plusieurs d’entre eux. Les symptômes se propagent alors par effet psychosomatique ou par simple compatibilité psychique momentanée, les individus receveurs vibrant émotionnellement ou psychiquement à peu près à la même fréquence que l’émetteur malade. Et dans un tel cas, il n’est pas du tout nécessaire qu’il y ait contact ou rapprochement physique des individus. La simple télépathie vibratoire peut suffire. Voir aussi la réalité des biophotons qui peuvent participer à de telles transmissions ou même en être le support matériel.

Lors de l’exposition d’êtres vivants à une nouvelle technologie électrique ou électromagnétique, on ajoute une nouvelle couche d’effets nocifs à ceux déjà existants et les mondialistes peuvent en profiter pour faire passer la multiplication des symptômes, parfois nouveaux (lors d’un saut technologique radical), pour une nouvelle pandémie virale. La grippe aviaire est ainsi par exemple essentiellement le produit de l’expansion de la 4G, puis de la plus récente 5G et ne fera que s’aggraver, mais on fera croire que le « virus » a muté pour imposer ensuite de nouveaux vaccins et de nouvelles mesures sanitaires.

Les vaccins au graphène (ou à prétendu ARNm) comportent leur lot de nouvelles nanotechnologies électriques à effets électromagnétiques et peuvent alors bien évidemment aggraver les symptômes des personnes déjà électro-hypersensibles ou rendre telles celles qui ne l’étaient pas encore. Ils tendent à multiplier les effets néfastes des ondes telles que la 5G et ainsi aller plus facilement jusqu’à la production de crises cardiaques et autres fatalités.

Le livre 31 octobre 2023 apportera son lot de preuves à l’appui de certaines des assertions évoquées ici.




Sur la théorie de la « fuite du laboratoire » : illogique, immatérielle et dangereuse

[Source : off-guardian.org]

[Illustration : New Yorker]

Par Kit Knightly

La théorie de la « fuite du laboratoire » est à nouveau d’actualité. Elle s’est essentiellement révélée être une position dominante. Comme nous l’avions toujours prédit.

Il y a deux semaines, le New York Times a publié un long article d’opinion en faveur de cette théorie (nous en avons parlé dans This Week).
La semaine dernière, l’économiste Jeffrey Sachs l’a approuvée dans son interview de deux heures avec Tucker Carlson,
et hier, RFK Jr l’a soutenu dans le cadre de sa campagne présidentielle :

N’est-il pas étonnant de constater la rapidité avec laquelle elle est passée du statut de « théorie du complot raciste » à celui de théorie de prédilection de la fausse alternative ?

Et d’une manière ou d’une autre, malgré sa publication dans le New York Times, le Wall Street Journal, le New York Post, la BBC, le Guardian et à peu près partout ailleurs, la « théorie de la fuite du laboratoire » est toujours vendue comme une sorte d’alternative.

Ce n’est pas le cas. Pas du tout. Il s’agit de la théorie dominante dans un papier d’emballage différent.

Comme nous vous l’avons toujours dit.

Nous l’avons déjà réfutée des milliers de fois. Cette théorie est illogique au vu de ce que l’on sait déjà, sans importance puisque la « maladie pandémique » n’a jamais été exceptionnellement mortelle, mais dangereuse parce qu’elle soutient les futures mesures de confinement, les vaccinations et Dieu sait quoi d’autre.

Nous avons vérifié la logique de cette théorie en 2021 :

Quel est exactement l’intérêt d’une arme biologique qui n’est pas plus mortelle que les virus grippaux courants ? Pourquoi se donner la peine de créer un virus à peu près inoffensif en laboratoire ?

Supposons que vous souhaitiez créer une pandémie, serait-ce un bon moyen d’y parvenir ? Cela vaudrait-il la peine de dépenser de l’argent ? Ne serait-il pas plus simple de faire croire à l’existence d’un fléau en recourant à la peur et à des tours de passe-passe statistiques ?

Après tout, une pandémie imaginaire peut infecter qui vous voulez, épargner qui vous voulez, commencer et s’arrêter à votre convenance, obéir à toutes les règles que vous voulez inventer et être guérie instantanément tant que tout le monde vous paie votre « vaccin ».

[…]

La théorie de la fuite de laboratoire sert l’agenda de l’État profond d’une certaine manière : elle renforce l’idée que le virus est un problème réel qui doit être résolu, plutôt qu’un récit de contrôle basé sur la peur.

La peur est la peur, et qu’il s’agisse d’un virus zoonotique ou d’une arme biologique, elle peut être utilisée pour faire plier une population à sa volonté.

Nous avons montré comment elle sert un faux récit binaire de guerre froide en 2022 :

… deux camps apparemment opposés se forment — l’Occident prépare le terrain pour accuser la Chine d’être responsable de la pandémie, tandis que la Chine (et probablement la Russie, dans un deuxième temps) accuse les États-Unis.

Il s’agit d’un faux binaire classique.

Ce que vous devez remarquer, c’est que ces deux camps prétendument opposés sont d’accord sur l’aspect le plus important du mensonge de la pandémie — à savoir que la Covid est une nouvelle maladie unique et dangereuse qui doit être traitée avec des masques, des confinements et des vaccins — et ne s’opposent violemment que sur l’origine de cette « nouvelle maladie réelle et mortelle ».

Vous êtes censés vous inspirer d’eux.

Ils veulent que vous oubliiez que la « Covid » n’est qu’un nouveau nom vide de sens pour un vieux groupe familier de symptômes « saisonniers ». Ils veulent que vous oubliiez qu’il s’agit d’une escroquerie et que vous preniez parti dans un débat scénarisé, bruyant et totalement bidon sur les origines de la maladie.

Dès que vous signez, ils vous tiennent, car en acceptant de débattre de l’origine de la maladie, vous acceptez qu’elle existe — c’est-à-dire un nouvel agent pathogène mortel — et qu’il faille s’en occuper.

Et c’est tout ce qu’ils attendent de vous.

Et nous avons résumé cela en 2023 :

D’une certaine manière, il s’agit d’un symptôme de l’échec du récit de la Covid. La plus grande campagne de propagande de tous les temps s’est essoufflée après seulement deux ans d’existence, et elle se bat soudain sur la défensive, simplement pour se maintenir. Car le débat sur la « fuite du laboratoire » est en grande partie une position de repli. Une retraite en bon ordre, protégeant à tout prix le mensonge fondamental de la « Covid », à savoir qu’il avait [supposément] une nouvelle maladie.

Il y avait les anciens symptômes de la grippe, un nouveau nom et un test de merde.
Et c’est tout.
C’est le seul aveu que l’establishment ne fera jamais, parce qu’il rompt totalement avec son récit.
Il le tue à petit feu.

Tous les autres « aveux », débats ou idées — « fuite de laboratoire », traitement précoce, panique du gouvernement, « nous avons sous-estimé l’immunité naturelle », « les essais de vaccins étaient trompeurs » — peuvent finalement être ramenés à la justification des fermetures et autres « mesures de santé publique » autoritaires.

Si ce n’est pas pour la Covid, ce sera pour la prochaine « pandémie ».

C’est notre dernier mot sur la fuite du laboratoire : elle n’a jamais eu lieu. Et plus ils essaient de nous la faire avaler comme le visage acceptable du scepticisme à l’égard de la Covid, plus cela devient évident.

Pour en savoir plus sur la « fuite de laboratoire », consultez nos archives :

https://off-guardian.org/2021/06/07/the-wuhan-lab-leak-story-is-just-more-fear-porn/ (L’histoire de la fuite du laboratoire de Wuhan : encore plus de porno de peur)

https://off-guardian.org/2023/03/01/cattes-corner-lab-leaks-brick-walls/ (« Fuites de laboratoire » et murs de briques)

https://off-guardian.org/2023/04/06/why-i-dont-believe-there-ever-was-a-covid-virus/ (Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait jamais eu de virus Covid)

https://off-guardian.org/2023/03/09/russia-the-lab-leak-theory/ (La Russie et la théorie de la fuite du laboratoire)

[Voir aussi :
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid
La « théorie de la fuite du laboratoire » ou le piège du faux débat binaire
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
La pierre angulaire de Big Pharma




Libertés sous surveillance

[Source : editionsmarcopietteur.com]

À l’heure du « Traité pandémies » et de la révision du Règlement sanitaire international, l’agenda de contrôle de la population par la santé continue de se déployer tous azimuts sous l’égide de l’OMS et de ses partenaires — organisations onusiennes et entreprises pharmaco-philanthropiques — utilisant la vaccination comme un pilier de cette nouvelle tyrannie, avec le soutien actif de l’industrie.

Né à l’occasion du 70e anniversaire de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), l’ouvrage « Libertés sous surveillance » illustre le rôle essentiel des associations citoyennes et l’importance de leur vigilance active, plus pertinente que jamais.

Ce recueil d’éditoriaux, couvrant la période critique de 2019 à 2022, révèle au grand public l’anticipation remarquable de la Ligue, fruit d’une longue expérience et d’une connaissance approfondie des politiques vaccinales.

Au-delà du témoignage historique, « Libertés sous surveillance » nous avertit de l’inquiétante transformation de la santé en instrument de contrôle global, orchestrée à travers des partenariats public-privé qui promeuvent la biosurveillance, transformant les crises sanitaires en outils de gouvernance mondiale.

Qu’il s’agisse d’accords internationaux formels ou de politiques nationales menées dans le cadre des objectifs 2030, le combat pour défendre nos libertés civiques est loin d’être terminé. Des victoires récentes, comme celle obtenue par les citoyens allemands qui ont accédé aux données de l’Institut Albert Koch, montrent que la résistance peut porter ses fruits.

La Ligue reste une partenaire précieuse et incontournable pour soutenir les initiatives à venir. Puissent ces écrits inspirer l’action citoyenne et nourrir une réflexion profonde sur des enjeux qui nous concernent tous !




Cour d’appel de Californie (9e district) : « le vaccin Covid n’est pas un VACCIN… s’il ne protège pas de la transmission »

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay France-Soir]

D’après un jugement de la cour d’appel de Californie (9e circuit), le « vaccin Covid » n’est PAS UN VACCIN. En effet, la Cour a déclaré dans son ordonnance « qu’il ne s’agissait pas d’un vaccin s’il ne résistait pas à l’allégation qu’il ne visait pas à prévenir la transmission ». Les vaccins étaient censés « réduire les symptômes » et prévenir l’hospitalisation. Ils devraient donc être considérés comme un TRAITEMENT.

La cour d’appel a jugé que « l’obligation vaccinale contre la Covid-19 au risque de perdre leur emploi interférait avec leur droit fondamental de refuser un traitement médical. » Cette décision contribuerait à priver les injections d’ARNm de toute protection en matière de responsabilité juridique.

Les requérants pourront désormais utiliser cette décision au fur et à mesure que les dossiers avancent tel que l’on peut le lire dans un tweet sur X :

Aux États-Unis, l’affaire opposant l’association Health Freedom Defense Fund du Wyoming, des personnes physiques et éducateurs californiens pour la liberté médicale au Chef du district scolaire, à la directrice des ressources humaines ainsi qu’aux membres du conseil d’administration du district scolaire de Los Angeles (LAUSD) tourne à l’avantage des requérants dans le cadre de l’obligation vaccinale imposée comme règle.

La cour d’appel a donc annulé l’ordonnance du tribunal de district. Elle a ainsi jugé que l’obligation vaccinale contre la Covid-19, au risque de perdre son emploi, interférait avec le droit fondamental d’une personne de refuser un traitement médical.

Les requérants avaient comme avocats John Howard de San Diego et George Wentz de Louisiane devant les juges Nelson, Collins et Hawkins. Un observateur averti note que Nelson et Collins sont des « Trumpiste » alors que le juge Hawkins du camp Clinton désapprouvait la décision.

De manière inhabituelle, un résumé a été préparé par le tribunal pour faciliter la compréhension du lecteur.

Le tribunal a conclu que l’exception de cessation du caractère de motivation s’appliquait.

Le fait que le LAUSD a retiré puis a rétabli sa politique de vaccination a suffi à laisser un questionnement juridique dans cette procédure. En effet, la procédure a permis de conclure que le LAUSD a attendu de voir comment se déroulait la plaidoirie avant de décider s’il fallait maintenir la politique vaccinale ou procéder à l’abrogation préparée par anticipation. LAUSD s’était expressément réservé la possibilité d’envisager d’imposer de nouveau un mandat de vaccination.

En conséquence, le LAUSD n’a pas apporté la preuve critique qui lui incombait de démontrer qu’il n’y a aucune possibilité raisonnable qu’il revienne à imposer une telle politique.

Examinant le fond, la Cour d’appel a conclu que le tribunal de district avait mal appliqué une décision de la Cour suprême (jurisprudence Jacobson v. Massachusetts, 197 U.S. 11 [1905], en concluant que la décision n’avait pas satisfait à l’examen du fondement rationnel. La jurisprudence Jacobson montrait que l’obligation vaccinale contre la variole avait un lien causal avec la prévention de la propagation de la maladie.

Dans le cas présent, les requérants ont plaidé avec succès que le vaccin n’empêche pas efficacement la propagation [de la Covid-19], mais qu’il atténue seulement les symptômes de la personne injectée ; et qu’en conséquence, il s’apparente donc à un traitement médical, et non à un vaccin « traditionnel ».

En considérant que les éléments apportés sur le vaccin Covid-19 étaient corrects, les requérants ont allégué de manière plausible que le vaccin Covid-19 n’empêche pas efficacement la propagation de la Covid-19. Ainsi, la cour a estimé que la jurisprudence Jacobson ne s’applique pas.

En suivant le même raisonnement, le juge R. Nelson a évalué que la décision du tribunal de district selon laquelle le LAUSD avait droit à l’immunité souveraine devrait être réexaminée en renvoi à la cour de district. (Affaire Kohn v. State Bar of California, 87 F.4th 1021 (9th Cir. 2023).

Le juge Collins, un des trois magistrats de la Cour Supreme a séparément abordé un point crucial que le tribunal de district avait négligé. Conformément à la jurisprudence plus récente de la Cour suprême,

« le traitement obligatoire pour le bien de la santé de la personne traitée — par opposition au traitement obligatoire pour le bien de la santé d’autrui — englobe le droit fondamental de refuser un traitement médical. »

Les éléments présentés des requérants sont suffisants pour invoquer ce droit fondamental. La partie défenderesse, pour LAUSD, a fait valoir que l’obligation vaccinale a été imposée simplement comme une « condition d’emploi », mais cela ne suffit pas à justifier l’application par le tribunal de district d’un examen rationnel.

En opposition, le juge Hawkins a écrit que, parce qu’il n’y a plus de politiques vaccinales (en place) que ce tribunal puisse interdire, il soutiendrait, comme ce tribunal l’a toujours fait dans les actions contestant les politiques annulées au début de la pandémie, que cette action est donc sans objet, révoquant ainsi la décision du tribunal de district et qu’il renverrait l’affaire au tribunal de district avec instruction de rejeter l’action sans préjudice.

Une des limites à l’opinion délivrée est qu’il s’agit d’une motion de rejet où le tribunal a considéré comme vraies les allégations faites par les requérants que les injections sont des traitements et pas des vaccins. La question épineuse est de savoir si oui ou non et dans quelle mesure les injections préviennent de l’infection et surtout pendant combien de temps. Jusqu’à présent, les politiques sanitaires se sont basées sur des études des fabricants qui ne confirmaient pas ces hypothèses. Il faudra aussi et surtout savoir comment balancer tout cela avec les libertés fondamentales, dont le consentement libre et éclairé et le droit d’aller et venir.

Lire la décision complète traduite en français.




L’hypothèse des germes — partie 2

[Source : mikestone.substack.com]

Par Mike Stone

Dans la première partie de cette enquête sur l’hypothèse des germes, nous avons établi ce qu’est exactement une hypothèse en matière de sciences naturelles, c’est-à-dire une proposition d’explication d’un phénomène naturel observé. Nous avons brièvement évoqué ce qui a conduit Louis Pasteur à élaborer son explication de la maladie par les germes en plagiant les travaux sur la fermentation qu’il avait empruntés à Antoine Béchamp. Nous avons également examiné les preuves expérimentales qu’il a produites pour le choléra des poules et la rage afin de voir si son hypothèse sur les germes a jamais été scientifiquement prouvée et validée. Il est apparu clairement que les expériences de Pasteur ne reflétaient pas ses hypothèses sur la manière dont les germes étaient censés envahir un hôte pour provoquer une maladie, telle qu’elle était « observée » dans la nature, ce qui invalidait ses résultats. En outre, Pasteur a également mal interprété ce avec quoi il travaillait en ce qui concerne le choléra des poules, et il n’a pas réussi à isoler un microbe comme agent causal de la rage, ce qui a encore invalidé ces expériences puisqu’il n’avait pas de variable indépendante valable (agent causal supposé) avec laquelle il travaillait. Les vaccins produits par Pasteur ont également posé des problèmes : son vaccin contre le choléra des poules a été jugé inefficace, tandis que son vaccin contre la rage a été associé à la maladie même qu’il était censé prévenir.

Quoi qu’il en soit, Pasteur est régulièrement considéré comme un véritable héros et un savant scientifique, avec des titres tels que « le père de la microbiologie », « le père de l’immunologie », « le père de la bactériologie », etc. Il est considéré comme un sauveur pour avoir repris de vieilles idées, les avoir dépoussiérées et les avoir revendues au public comme étant les siennes. Cependant, si Pasteur est reconnu pour avoir développé et popularisé l’hypothèse des germes, il n’a pas « prouvé » que les germes étaient à l’origine des maladies. Selon le livre Science, Medicine, and Animals publié par le National Research Council et la National Academy of Sciences, cette gloire revient au médecin et microbiologiste allemand Robert Koch. Il est indiqué que les découvertes de Robert Koch ont conduit Louis Pasteur à décrire comment de petits organismes appelés germes pouvaient envahir le corps et provoquer des maladies. Le livre poursuit en disant que c’est Koch qui a établi de manière concluante que des germes particuliers pouvaient causer des maladies spécifiques, et qu’il l’a fait en commençant par ses expériences sur le charbon (anthrax). Cette affirmation est confirmée par la Curiosity Collection de l’université de Hardvard, qui affirme que Koch est « reconnu pour avoir prouvé que des germes spécifiques étaient à l’origine de l’anthrax, du choléra et de la tuberculose ». Elle souligne que les postulats de Koch, les quatre critères destinés à établir une relation de cause à effet entre un microbe et une maladie, « sont fondamentaux pour la théorie des germes » et qu’ils « prouvent à la fois que des germes spécifiques provoquent des maladies spécifiques et que des germes pathogènes transmettent la maladie d’un corps à l’autre ».

Bien que Pasteur ait également cru à cette idée, c’est à Robert Koch que l’on attribue le développement du concept « un agent pathogène pour une maladie ». Sans surprise, l’Institut Robert Koch affirme également que c’est Koch, et non Pasteur, qui a été « le premier à prouver qu’un micro-organisme était la cause d’une maladie infectieuse ».

Ainsi, alors que l’on pourrait affirmer que Louis Pasteur a falsifié son hypothèse sur les germes, on peut facilement dire que son travail, en lui-même, était insuffisant pour prouver son hypothèse sur les germes. Pour « prouver » l’hypothèse des germes, les travaux de Robert Koch sont considérés comme essentiels en raison de ses techniques novatrices impliquant de nouvelles pratiques de coloration permettant une meilleure visualisation, et de son utilisation de milieux « appropriés » pour cultiver les bactéries sous une forme pure. Les quatre postulats logiques développés au cours de ses travaux, connus sous le nom de Postulats de Koch, constituent depuis deux siècles « l’étalon-or » pour établir l’étiologie microbiologique des maladies « infectieuses ». Les postulats sont considérés comme tellement essentiels que, selon un article publié en 2015 par Ross et Woodyard, ils sont « mentionnés dans presque tous les manuels de microbiologie débutants » et « continuent d’être considérés comme une norme importante pour établir des relations de cause à effet en biomédecine ». Lester S. King, médecin formé à Harvard et auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire et la philosophie de la médecine, a écrit dans son article de 1952 intitulé Dr Koch’s Postulates que la contribution de Koch a consisté à « forger une chaîne de preuves reliant une bactérie spécifique à une maladie donnée ». King a déclaré que cette chaîne était si solide et si convaincante « que ses principes ont été exaltés en tant que “postulats” et considérés comme un modèle pour tous les travaux futurs ».

Étant donné que la contribution de Koch à la « démonstration » de l’hypothèse des germes semble encore plus importante que celle de Louis Pasteur, nous examinerons les trois principales contributions qu’il a apportées à cet effort, en nous concentrant tout d’abord sur ses travaux sur le charbon, puis sur la tuberculose et le choléra. Nous examinerons son approche expérimentale afin de voir si elle reflète quelque chose qui se produit naturellement dans le monde physique. Nous verrons si les preuves expérimentales de Koch répondent réellement à ses propres postulats logiques pour prouver que les microbes sont la cause de la maladie. Au terme de cette enquête, il apparaîtra clairement que les efforts combinés de Louis Pasteur et de Robert Koch n’ont pas suffi à confirmer l’hypothèse des germes et que, contrairement à la croyance populaire, ils ont en fait conduit à la réfutation de l’ensemble de la doctrine.

Anthrax

« Finalement, en 1876, Koch a prouvé que la maladie du charbon est déclenchée par un seul agent pathogène. Il a découvert le stade dormant de l’agent pathogène, les spores du charbon, et a ainsi élucidé la chaîne d’infection jusqu’alors inexpliquée et la forte résistance de la bactérie aux facteurs environnementaux. Robert Koch a ainsi été le premier à prouver qu’un micro-organisme était à l’origine d’une maladie infectieuse. »

https://www.rki.de/EN/Content/Institute/History/rk_node_en.html

Robert Koch a commencé ses recherches sur le charbon en 1876, alors qu’il était médecin de district et dirigeait un cabinet médical à Wöllstein. À l’époque, on attribuait à la maladie la mort de 528 personnes et de 56 000 têtes de bétail sur une période de quatre ans. L’hypothèse la plus répandue était qu’il s’agissait d’une maladie d’origine tellurique, car certains pâturages étaient réputés « dangereux » pour le bétail qui y paissait et pouvaient le rester pendant des années. D’autres chercheurs, dont le biologiste français Casimir Davaine qui, selon Koch, a fait des déclarations « décisives », avaient signalé que certaines bactéries en forme de bâtonnets étaient présentes dans le sang des animaux malades et que la maladie pouvait être transmise en inoculant du sang d’animaux malades à des animaux sains. Davaine a proposé que la maladie du charbon, qui s’est développée sans transmission directe démontrable chez les humains et les animaux, était due à la propagation d’une bactérie dont il avait découvert qu’elle restait viable pendant longtemps à l’état sec, par les courants d’air, les insectes et autres. Toutefois, comme l’a noté Koch dans son célèbre article de 1876 intitulé Die Ätiologie der Milzbrand-Krankheit, begründet auf die Entwicklungsgeschichte des Bacillus Anthracis (L’étiologie de la maladie du charbon, fondée sur l’histoire du développement de Bacillus Anthracis), ces rapports ont été réfutés par d’autres chercheurs qui ont obtenu des résultats contradictoires : la bactérie en forme de bâtonnet n’a pas été retrouvée dans le sang après des injections mortelles de la bactérie, et des injections de sang sans la bactérie ont également pu provoquer la maladie.

« Cependant, ces propositions de Davaine ont été contredites de diverses manières. Certains chercheurs ont affirmé avoir obtenu un charbon mortel après inoculation de sang bactérien sans qu’aucune bactérie ne soit retrouvée dans le sang par la suite, et à l’inverse, la vaccination avec ce sang sans bactérie a pu induire un charbon dans lequel des bactéries étaient présentes dans le sang. »

Koch note qu’il a été souligné que le charbon ne dépend pas uniquement d’un contage1 qui se propage en surface, mais que la maladie est indubitablement liée aux conditions du sol, précisant qu’elle est « plus importante dans les années humides et se concentre principalement dans les mois d’août et de septembre, lorsque la courbe de chaleur du sol atteint son apogée ». Il a ajouté que « ces conditions ne peuvent être expliquées par l’hypothèse de Davaine, et leur inadéquation a conduit de nombreuses personnes à nier l’importance des bactéries pour l’anthrax ». Cela a conduit Koch à déclarer que Davaine n’avait « que partiellement raison » dans son hypothèse selon laquelle la bactérie était résistante à la chaleur et à d’autres conditions, et que ses propres expériences montreraient que la bactérie modifiait son état en fonction des conditions environnementales. Il s’agissait de la forme sporulée de la bactérie que Koch avait découverte au cours de ses recherches et qui, selon lui, était dormante et beaucoup plus résistante aux facteurs environnementaux que la forme « végétale » active. Selon Koch, c’est cette forme sporulée de la bactérie que le bétail ingère en broutant et qui, privée d’oxygène à l’intérieur du corps, devient pathogène. C’était donc les conditions de l’environnement dans lequel se trouve la bactérie qui déterminaient si elle est pathogène ou non. Koch pensait que l’anthrax était très certainement une « maladie infectieuse dépendant du sol » et, en tant que telle, il serait logique de supposer que ses expériences reflétaient cette observation et impliquaient de nourrir le bétail affecté avec la bactérie dans son état pathogène supposé. Les expériences de Koch ont-elles reflété son hypothèse et reproduit la maladie telle qu’elle est censée se manifester dans la nature ? C’est ce que nous allons découvrir.

Tout d’abord, Koch a déclaré que, selon le professeur F. Cohns, « dans le sang et les fluides tissulaires de l’animal vivant, les bacilles se multiplient extraordinairement rapidement de la même manière que ce qui est observé chez diverses autres espèces de bactéries ». Cependant, Koch a admis qu’il n’avait pas observé directement ce phénomène lui-même, mais qu’il estimait qu’il pouvait être déduit de ses expériences.

« Cependant, je n’ai pas réussi à voir ce processus directement, mais il peut être déduit des expériences d’inoculation que j’ai souvent réalisées et répétées de la manière suivante. »

Pour comprendre comment cette « maladie du sol » affectait le bétail, notamment les moutons, Koch a eu recours à des expériences sur des souris. Il a commencé par prélever la rate des carcasses « infectées » et en a extrait le sang. Il injectait le sang à des souris saines en utilisant des éclats de bois comme seringue. Au début, il a tenté d’inoculer les souris par les oreilles ou le milieu de la queue, mais il a jugé cette méthode « dangereuse », car la bactérie pouvait être éliminée par frottement et léchage. En d’autres termes, les souris peuvent consommer la bactérie, ce qui est la voie naturelle proposée pour l’« infection ». La raison pour laquelle cette méthode a été jugée « dangereuse » pour les souris alors que l’objectif était de les « infecter » et de les tuer est laissée à l’imagination, à moins que Koch n’ait jugé dangereux pour lui-même de répandre la bactérie dans son laboratoire. Quoi qu’il en soit, il a fini par créer des plaies à l’arrière de la queue des souris et y a fait tomber la bactérie.

« Comme objet d’inoculation très pratique et facile à avoir, j’ai surtout utilisé des souris. Au début, je les vaccinais par les oreilles ou au milieu de la queue, mais j’ai trouvé cette méthode peu sûre, car les animaux peuvent enlever le matériel vaccinal en se frottant et en se léchant. Plus tard, j’ai choisi l’arrière de la queue, où la peau est déjà mobile et couverte de longs poils. À cette fin, la souris placée dans un grand bocal couvert est inoculée par la queue à l’aide d’une longue pince à épiler et cette dernière est retirée d’un espace étroit entre le couvercle et le bord du bocal, de sorte qu’une incision transversale peu profonde est pratiquée dans la peau de l’arrière de la racine de la queue et que la plus petite goutte possible du liquide contenant le bacille peut être introduite dans la petite blessure. »

Après avoir tué une souris, on procédait à une série consécutive de plusieurs injections au cours desquelles on inoculait à de nouvelles souris la substance de la rate qui avait été incubée dans le sérum de bœuf des souris qui venaient d’être tuées.

« …les souris ont été inoculées plusieurs fois de suite de manière à ce que, sans interruption, la souris suivante soit toujours inoculée avec la substance de la rate de la souris récemment décédée de l’anthrax. »

Bien que Koch ait affirmé avoir réussi à tuer les souris, la question de savoir ce qui les a réellement tuées, à savoir l’acide carbonique présent dans le sang ou les produits de clivage toxiques des protéines, est restée sans réponse. Koch préférait cette dernière explication.

« Il serait également excessif d’aborder la question de la cause réelle de la mort des animaux mourant du charbon, à savoir si elle a été provoquée par l’acide carbonique développé lors de la croissance intensive des bacilles dans le sang ou, ce qui est plus probable, par les produits de clivage toxiques des protéines consommées par les parasites pour leur alimentation. »

Il est intéressant de noter que c’est peut-être un autre acide qui aurait pu nuire aux animaux sur lesquels Koch a fait des expériences, car il a admis avoir utilisé de l’acide carbolique (alias phénol) comme désinfectant au cours de ses expériences. L’acide carbolique est un dérivé du goudron de houille, un composé toxique qui peut affecter divers systèmes biologiques, même à faible concentration. Bien qu’il ait été popularisé par Lord Joseph Lister dans les années 1860 et utilisé comme antiseptique pendant des décennies, le phénol n’est plus couramment utilisé comme antiseptique en raison de ses propriétés irritantes et corrosives ainsi que de sa toxicité systémique potentielle. Même Lord Lister a regretté d’avoir recommandé son utilisation et abandonné le spray d’acide carbolique en déclarant dans les années 1890 : « J’ai honte d’avoir recommandé ce spray pour détruire les microbes dans l’air ». Koch était connu pour avoir testé l’acide carbolique en ce qui concerne son pouvoir de destruction des spores. Les traces d’acide carbolique qu’il savait rester sur son matériel après l’avoir désinfecté pouvaient-elles contribuer à l’apparition de maladies chez les animaux observés lors de ses expériences ?

« Les petits détails qui peuvent être importants ici sont visibles dans le fait qu’au début, certaines cultures ont échoué parce que j’ai immergé toutes les lamelles couvre-objet dans une solution d’acide carbolique après utilisation et, malgré un nettoyage soigneux, des traces d’acide carbolique reconnaissables à l’odeur sont parfois restées sur les bocaux. »

Dans son article de 1879 intitulé Investigations into the Etiology of Traumatic Infectious Diseases, (Recherches sur l’étiologie des maladies infectieuses traumatiques), Koch a déclaré que le matériel de la rate devait être utilisé car le sang contenait peu de bacilles, ce qui est plutôt étrange puisque le CDC déclare que le sang est utilisé pour la culture bactérienne et le diagnostic de la maladie du charbon (anthrax).

« Pour obtenir des résultats constants, le matériel d’inoculation doit être prélevé sur la rate, car le sang des souris atteintes de la maladie du charbon contient souvent très peu de bacilles. »

Il semblerait donc que, selon Koch, le matériel de la rate soit la source principale des spores pathogènes du charbon nécessaires pour tuer les animaux expérimentalement. Toutefois, l’injection de matériel de rate à des souris ne reflète pas l’hypothèse selon laquelle une « infection » naturelle par la bactérie se produirait dans la nature parmi le bétail en pâture. Sachant cela, Koch a tenté de démontrer la pathogénicité de la bactérie du charbon d’une manière qui refléterait plus fidèlement son hypothèse sur la façon dont les moutons contracteraient la maladie… en utilisant à nouveau des souris. Pour refléter la voie d’exposition qu’il avait supposée, Koch a décidé de nourrir les souris avec la bactérie. Néanmoins, cette exposition « naturelle » consistait à nourrir les souris avec des rates de lapins et de moutons morts de la maladie, ce qui n’est évidemment pas un élément naturel du régime alimentaire d’une souris. Il a déclaré que les souris avaient mangé plus que leur poids en anthrax, car elles sont des mangeurs « extrêmement voraces ». Malgré l’alimentation non naturelle et la grande quantité de bactéries ingérées, aucune des souris n’est tombée malade. Cette tentative ayant échoué, il a essayé d’ajouter un liquide contenant des spores à leur nourriture, et les souris ont à nouveau consommé plus que leur poids corporel, sans aucun effet néfaste. Des lapins ont également été nourris avec des masses contenant des spores et sont restés en bonne santé. Par conséquent, dans ces expériences, Koch a réfuté son hypothèse selon laquelle la bactérie de l’anthrax pouvait provoquer la maladie en cas d’ingestion par une voie d’« infection » naturelle plus étroitement simulée (sans l’utilisation de rates malades provenant d’autres animaux) sur la base du phénomène naturel observé.

« Pour vérifier si le bacille du charbon peut pénétrer dans l’organisme par le canal alimentaire, j’ai d’abord nourri des souris pendant plusieurs jours avec de la rate fraîche de lapins et de moutons morts du charbon. Les souris sont extrêmement voraces et mangent en peu de temps plus que leur poids en charbon, de sorte que des quantités considérables de bacilles ont traversé l’estomac et les intestins des animaux testés. Mais je n’ai pas réussi à les infecter de cette manière. J’ai ensuite mélangé un liquide contenant des spores à la nourriture des animaux. Ils l’ont également consommé sans inconvénient ; l’ingestion de plus grandes quantités de sang contenant des spores, séché peu de temps auparavant ou des années auparavant, n’a pas non plus provoqué l’anthrax chez eux. Les lapins qui ont été nourris à différents moments avec des masses contenant des spores sont également restés en bonne santé. Pour ces deux espèces animales, une infection par le tractus intestinal ne semble pas possible. »

Koch semblait se rendre compte que ses preuves n’étaient pas concluantes, au mieux, et qu’il manquait encore beaucoup de choses pour comprendre l’étiologie complète de la maladie, mais il essayait toujours de faire bonne figure tout en admettant quelques fautes flagrantes. Tout d’abord, il a reconnu que ses expériences avaient toutes été menées sur de petits rongeurs et non sur les gros bovins atteints par la maladie. Cependant, Koch a tenté de rassurer le lecteur en affirmant que les différences entre les animaux étaient peu probables. Ironiquement, il s’est ensuite contredit lorsqu’il a tenté d’expliquer les résultats négatifs des expériences sur l’alimentation des souris et des lapins en affirmant qu’ils n’étaient pas pertinents pour les bovins, beaucoup plus gros, en raison des différences entre les systèmes digestifs des animaux. Il a également admis que les preuves d’une « infection » par inhalation faisaient toujours défaut.

« Reprenons maintenant les faits que nous avons obtenus jusqu’à présent et essayons, à l’aide de ceux-ci, de déterminer l’étiologie de l’anthrax. Il ne faut pas se cacher que pour construire une étiologie complète, il manque encore beaucoup de choses. Il ne faut surtout pas oublier que toutes les expérimentations animales ont été réalisées sur de petits rongeurs. Or, il est peu probable que les ruminants, qui sont les véritables hôtes du parasite qui nous intéresse, se comportent très différemment des rongeurs. »

« En outre, les expériences d’alimentation avec des bacilles et des spores chez les rongeurs, qui ont donné des résultats négatifs, ne sont pas du tout pertinentes pour les ruminants, dont l’ensemble du processus digestif est considérablement différent. Les tests d’inhalation avec des masses contenant des spores font encore défaut. »

L’article initial de Koch sur le charbon montre que non seulement il n’a pas prouvé son hypothèse selon laquelle la bactérie du charbon, lorsqu’elle est ingérée, provoque une maladie, mais qu’il a en fait réfuté son hypothèse par ses expériences sur les souris et les lapins, car il n’a pas pu montrer que l’ingestion de spores de charbon pouvait provoquer une maladie. La seule façon pour Koch de provoquer une maladie était de procéder à des injections artificielles et non naturelles de diverses manières dans des petits animaux et des rongeurs en utilisant différentes substances qui ne correspondaient pas à son hypothèse basée sur le phénomène naturel observé. La seule réussite que l’on peut attribuer à son article est la description du cycle pléomorphe d’une bactérie qui peut être modifié sous l’influence de l’environnement.

Quoi qu’il en soit, Koch et ses partisans ont annoncé qu’il avait réussi à prouver la cause de la maladie du charbon. Pourtant, malgré l’enthousiasme et les louanges dont son travail a fait l’objet, de nombreuses objections et critiques ont été formulées à l’encontre de son article sur l’anthrax et de l’idée selon laquelle les bactéries sont à l’origine des maladies. En fait, selon le professeur de philosophie K. Codell Carter, qui a traduit pour la première fois de nombreux articles de Koch en anglais, il est clair que Koch n’a pas prouvé de manière convaincante la causalité dans son article.

« De plus, en dépit de ce que Koch lui-même a affirmé plus tard et de ce qui est aujourd’hui largement admis, si on lit attentivement l’article de Koch, on trouve remarquablement peu de preuves directes de causalité, et les preuves que l’on trouve ne sont pas d’un type qui aurait persuadé ses contemporains. »

Carter a ajouté que Koch n’avait pas démontré que l’inoculation de bacilles isolés provoquait la maladie et qu’il n’avait pas établi que ses cultures de la bactérie étaient des cultures pures. Les travaux ont été réalisés avant que Koch ne mette au point sa technique d’ensemencement pour la croissance des colonies et ont donc été effectués sans que des cultures pures aient été isolées. Koch a simplement supposé, par un examen microscopique, que s’il ne voyait pas de contamination, ses cultures étaient pures. Carter a noté que les contemporains de Koch n’auraient certainement pas trouvé cet argument convaincant. À l’époque, tout le monde considérait qu’il était essentiel d’avoir des cultures pures, et cette exigence est devenue le principe central des postulats de Koch dans les années qui ont suivi. En fait, en 1881, Koch a déclaré : « La culture pure est le fondement de toute recherche sur les maladies infectieuses ». Cependant, lorsqu’il a publié son article sur le charbon, Koch a répondu à ses détracteurs en déclarant que « l’exigence selon laquelle les bacilles inoculés doivent être totalement retirés de toute substance associée susceptible de contenir des éléments dissous de la maladie » était « impossible… Personne ne peut prendre au sérieux une telle entreprise ». Ainsi, son travail de 1876 sur la maladie du charbon était dépourvu de cet élément essentiel. Comme il semblait plus intéressé par la description du cycle de vie du bacille que par la démonstration de la causalité à l’aide d’une culture pure, les critiques n’étaient toujours pas convaincus que Koch avait prouvé que les bacilles étaient la cause de l’anthrax.

Joli dessin de Koch.

Carter a fourni encore plus d’éléments contre les travaux de Koch de 1876 sur l’anthrax en tant que preuve de causalité dans un document séparé qu’il a écrit pour explorer la création des postulats de Koch. Il y affirme que Koch n’a fourni aucune preuve originale significative que les bacilles étaient nécessaires ou suffisants pour l’anthrax naturel, et que son travail était centré sur l’anthrax induit artificiellement.

« Koch n’a fourni aucune preuve originale significative que les bacilles étaient nécessaires ou suffisants2 pour la maladie du charbon naturelle. Sa discussion repose presque exclusivement sur l’anthrax induit artificiellement chez les animaux de laboratoire. Koch a mentionné qu’il avait souvent examiné des animaux morts de la maladie du charbon naturelle. Toutefois, parmi ces examens, il a seulement indiqué avoir trouvé des bacilles dans la rate d’un cheval atteint de la maladie du charbon — le seul cheval qu’il ait examiné. Koch a cité des chercheurs antérieurs qui avaient identifié des bacilles dans des cas naturels, mais il a également mentionné d’autres chercheurs qui ne les avaient pas trouvés. »

Carter a souligné que Koch savait que la présence d’anthrax chez un animal ne signifiait pas que l’animal tomberait malade, que l’ingestion d’anthrax ne produisait pas la maladie, que certaines procédures d’inoculation ne fonctionnaient pas et que divers facteurs étaient importants pour déterminer si un animal exposé tomberait malade ou non. Koch a ensuite mis au point des procédures d’inoculation qui tuaient toujours les animaux testés, montrant ainsi que les procédures d’inoculation étaient le facteur le plus important dans l’apparition de la maladie. Toutefois, il n’a pas affirmé qu’il s’agissait d’une preuve directe que la bactérie du charbon était à l’origine de la maladie.

« Tout d’abord, il savait que la simple présence de bacilles du charbon dans un animal ne garantissait pas qu’il deviendrait malade ; l’ingestion de bacilles du charbon n’induisait pas invariablement le charbon, certaines procédures d’inoculation n’étaient pas fiables et, même parmi les animaux sensibles exposés, la vulnérabilité dépendait de divers facteurs. Koch ne pouvait donc pas affirmer que les bacilles suffisaient à eux seuls à provoquer l’anthrax. Comme nous le verrons, dans des documents ultérieurs, Koch a adopté divers critères de causalité similaires à la stricte suffisance, mais plus faibles. Cependant, dans les premiers articles sur l’anthrax, on ne trouve aucun critère de ce type. Après quelques échecs, Koch a mis au point des procédures d’inoculation qui induisaient invariablement un anthrax mortel chez certains animaux de laboratoire. Mais en décrivant sa procédure, il s’est contenté d’observer qu’elle était importante parce qu’elle permettait de tester la viabilité des cultures de bacilles. Nulle part dans l’article de 1876, il n’a suggéré que ces inoculations, qui tuaient de manière fiable les animaux testés, apportaient la preuve directe que les bacilles étaient la cause de l’anthrax. »

Ainsi, Carter a déterminé que tout ce que Koch avait accompli dans son article de 1876 était de montrer que les bacilles ou les spores étaient nécessaires pour les cas artificiels de maladie. Son travail ne prouvait pas que la bactérie du charbon causait la maladie telle qu’elle était observée dans la nature. D’après le témoignage de Carter, il est clair que les premiers travaux de Koch sur l’anthrax n’ont pas résisté aux fameux postulats qu’il a établis quelques années plus tard et qui sont considérés comme nécessaires pour prouver qu’un microbe est à l’origine d’une maladie spécifique.

Ironiquement, la première tentative de Koch de prouver l’hypothèse des germes avec l’anthrax a conduit à une rivalité amère avec Louis Pasteur, la personne même à qui l’on attribue l’établissement de la version moderne de l’hypothèse. Selon Carter, Pasteur considérait les travaux de Koch comme non concluants, et il soulignera plus tard dans une réponse à Koch que plusieurs autres observateurs étaient, comme lui, parvenus à la même conclusion au sujet des premières preuves de Koch concernant la maladie du charbon. Pasteur estime également avoir été le premier à démontrer la causalité dans un article qu’il a publié en 1877.

« Quelques mois plus tard, au printemps 1877, Pasteur publie le premier d’une longue série d’articles sur le charbon. Après avoir insisté sur le fait que Davaine avait précédé Pollender dans l’observation des bactéries du charbon, Pasteur affirme que lui-même, en étudiant les maladies des vers à soie, a été le premier à identifier les spores et à reconnaître qu’elles restaient viables pendant de longues périodes. Pasteur mentionne favorablement l’article de Koch et reconnaît que ce dernier a été le premier à retracer le cycle de vie de l’organisme et à identifier ses spores. Il fait remarquer que les travaux de Koch n’ont pas persuadé les détracteurs que les bacilles sont la cause de la maladie du charbon, et déclare que son propre objectif est de fournir une démonstration concluante. »

Peut-être Pasteur a-t-il fait de l’ombre aux travaux de Koch après avoir pris connaissance de l’article de ce dernier sur la bactérie du charbon, et s’est-il senti poussé à participer à la course à la découverte et à la lutte contre de nouveaux microbes afin de revendiquer la priorité dans le processus de découverte. Quoi qu’il en soit, la première rencontre entre Robert Koch et Louis Pasteur fut apparemment cordiale lorsqu’ils se rencontrèrent à Londres à la demande de Lord Joseph Lister, qui avait invité Koch à assister au septième congrès médical international qui s’est tenu pendant l’été 1881.

« Pasteur assiste également au congrès médical de Londres, où il présente une communication sur ses résultats concernant l’atténuation de la maladie du charbon et la vaccination réussie des moutons, réalisée au début du printemps. Koch a présenté une démonstration en laboratoire de sa technique des plaques et de ses méthodes de coloration des bactéries. Pasteur assiste à cette séance de démonstration et déclare avec admiration : “C’est un grand progrès, Monsieur. Cet éloge était un grand triomphe pour Koch, qui avait 20 ans de moins que Pasteur. »

L’histoire raconte qu’au cours d’un discours de Pasteur, le traducteur de Koch a mal traduit une phrase du discours de Pasteur portant sur les travaux de Koch, transformant une phrase signifiant « une collection de travaux allemands » en une phrase signifiant « l’arrogance allemande ».

« Mais cette fois, c’est un problème de traduction qui aurait provoqué la réponse agressive et inattendue de Koch, selon un document conservé au musée de l’Institut Pasteur à Paris. Le problème est que les deux hommes ne parlent ni ne comprennent la langue de l’autre. Pasteur qualifie les travaux publiés par Koch de recueil allemand, ce qui signifie collection ou compilation d’ouvrages allemands. Le professeur Lichtheim, qui était assis à côté de Koch et convertissait rapidement le français de Pasteur en allemand, traduisit incorrectement “recueil allemand” par “orgueil allemand”, ce qui signifie “arrogance allemande”. Il n’est donc pas surprenant que Koch proteste avec colère contre cette insulte involontaire, tandis que Pasteur, ignorant que sa phrase inoffensive avait été transformée par erreur en une insulte cinglante, reste d’un calme extraordinaire. »

http://www.antimicrobe.org/h04c.files/history/Microbe%202007%20Pasteur-Koch.pdf

Cette erreur de traduction a poussé un Koch enflammé à attaquer les travaux de Pasteur sur le charbon, critiquant son « atténuation » de la bactérie du charbon pour la vaccination, tout en accusant Pasteur d’utiliser des cultures impures et de mener des études d’inoculation erronées. En fait, selon Carter, au cours de son argumentation, Koch a insinué que Pasteur falsifiait les résultats de ses expériences d’inoculation. Koch et le microbiologiste germano-suisse Edwin Klebs reprochent à Pasteur de ne pas apporter de nouvelles preuves, puisqu’il n’a fait que répéter les expériences menées par le botaniste Ernst Tiegel seize ans plus tôt. Dans sa réponse de 1882, Ueber die Milzbrandimfung (À propos de la vaccination contre l’anthrax), Koch a eu des mots très durs à l’égard des méthodes de Pasteur, affirmant que ses recherches n’avaient rien apporté à l’étiologie de la maladie : « Seules quelques-unes des croyances de Pasteur sur le charbon sont nouvelles, et elles sont fausses ». Selon Carter, Koch estimait que les expériences de Pasteur étaient « sans valeur et naïves » et il refusa de répéter une expérience de Pasteur qu’il qualifiait d’« expérience inutile ». Koch a accusé Pasteur de confondre les bacilles du charbon avec d’autres organismes similaires, et il a souligné que, contrairement à la revendication de priorité de Pasteur (chose pour laquelle Pasteur était tristement célèbre), ses propres travaux sur le charbon avaient précédé ceux de Pasteur d’un an.

« Pasteur pense avoir découvert l’étiologie du charbon. Cette étiologie ne pouvait être établie qu’en identifiant les formes durables des bacilles du charbon, les conditions de leur origine, leurs caractéristiques, leur relation avec le sol et l’eau. Bien que je ne sois pas intéressé par les querelles de priorité, ces questions sont tellement évidentes que je ne peux pas les ignorer. Je ne peux répondre aux affirmations de Pasteur qu’en me référant à ma publication de 1876 qui décrit la génération des spores du charbon et leur relation avec l’étiologie du charbon. Le premier travail de Pasteur sur le charbon a été publié un an plus tard, en 1877. Cela n’appelle pas d’autres commentaires. »

Tout en contestant les travaux de Pasteur sur la rage, Koch a critiqué les méthodes défectueuses utilisées par Pasteur pour l’étude de la rage et du charbon, ce qui, ironiquement, peut lui être reproché, car Koch n’a pas non plus utilisé de cultures pures ni d’animaux de laboratoire appropriés.

« Ainsi, en raison de l’absence d’examen microscopique, de l’utilisation de substances impures et de l’emploi d’animaux d’expérience inadaptés, la méthode de Pasteur doit être rejetée comme défectueuse. Elle ne peut aboutir à des résultats concluants. On ne peut pas reprocher à Pasteur lui-même l’interprétation qu’il a faite de ses résultats. Ses préjugés l’ont emporté et il a raconté des choses merveilleuses sur les maladies trouvées chez ses animaux d’expérience et sur les restes de leurs cadavres. Après tout, Pasteur n’est pas médecin et on ne peut pas attendre de lui qu’il porte des jugements solides sur les processus pathologiques et les symptômes des maladies. »

Koch a également critiqué Pasteur pour le secret de ses méthodes expérimentales, notant que Pasteur les a gardées cachées, s’assurant ainsi que son travail ne pouvait pas être reproduit et vérifié de manière indépendante par d’autres chercheurs.

« Pasteur mérite d’être critiqué non seulement pour ses méthodes défectueuses, mais aussi pour la manière dont il a rendu publiques ses recherches. Dans l’industrie, il peut être permis, voire nécessaire, de garder secrètes les procédures qui conduisent à une découverte. En revanche, dans le domaine scientifique, les usages sont différents. Quiconque veut être accepté dans la communauté scientifique doit publier ses méthodes, afin que chacun puisse vérifier l’exactitude de ses affirmations. Pasteur n’a pas respecté cette obligation. Même dans ses publications sur le choléra des poules, il a tenté de garder secrète sa méthode de réduction de la virulence. Seule la pression de [Gabriel Constant] Colin l’a incité à révéler ses méthodes. Il en est de même pour l’atténuation du virus du charbon. À ce jour, les publications de Pasteur sur la préparation des deux matières à inoculer sont si imparfaites qu’il est impossible de répéter ses expériences et de tester ses résultats. Ayant adopté une telle procédure, Pasteur ne peut se plaindre de la méfiance et des vives critiques qu’il rencontre dans les milieux scientifiques. La science rend publiques ses méthodes sans réserve. À cet égard, Toussaint et [Augusta] Chauveau, qui travaillent dans le même domaine, contrastent agréablement avec Pasteur. »

Koch s’en est pris au vaccin contre l’anthrax de Pasteur, déclarant que « tout ce que nous avons entendu, ce sont des données complètement inutiles » et que le simple fait d’indiquer le nombre d’animaux ayant résisté à l’inoculation par rapport au nombre d’animaux morts ne prouvait pas que les animaux survivants étaient par conséquent « immunisés ». Pasteur n’avait pas réussi à démontrer l’« immunité », et les rapports s’accumulaient sur le fait que son vaccin n’avait pas atteint l’objectif souhaité, alors que Pasteur « ignorait complètement les nombreux échecs qui lui étaient connus ».

« Selon Pasteur, en France, au début du mois de septembre, 400 000 ovins et 40 000 bovins avaient été inoculés. Pasteur estime les pertes à environ trois moutons pour mille et à environ 0,5 bovin pour mille. Bien sûr, je ne contesterai pas ces chiffres, mais il est nécessaire qu’ils soient accompagnés d’un commentaire. De ces chiffres, on sait seulement qu’un nombre relativement important d’animaux a résisté à l’inoculation. Mais Pasteur ne dit rien de notre préoccupation principale, à savoir si les inoculations ont rempli leur rôle et immunisé les animaux. La valeur des inoculations préventives est déterminée par le nombre d’animaux immunisés. Qu’aurait-on dit de Jenner s’il n’avait pu revendiquer aucun avantage pour l’inoculation, si ce n’est que sur des milliers d’enfants inoculés, seul tel ou tel pourcentage est mort ? Il est certain que rien ne ferait mieux accepter les inoculations contre le charbon que de savoir que des milliers d’animaux ont été protégés contre le charbon. Jusqu’à présent, Pasteur n’a pas été en mesure de le démontrer. Au contraire, les plaintes sur les échecs de l’inoculation s’accumulent et ses faiblesses deviennent de plus en plus évidentes. »

« D’autre part, il est très surprenant que Pasteur, qui a consciencieusement inclus les animaux inoculés avec un vaccin faible afin d’arriver au plus grand nombre d’inoculations avec le plus petit nombre de pertes, ait complètement ignoré les nombreux échecs qui lui étaient connus. »

Koch reproche à Pasteur d’ignorer les résultats défavorables à ses expériences et de ne retenir que ceux qui lui permettent de vanter ses « succès ».

« Ainsi, Pasteur suit la tactique de ne communiquer que les aspects favorables de ses expériences, et d’ignorer les résultats défavorables, même décisifs. Un tel comportement peut être approprié pour la publicité commerciale, mais en science, il doit être totalement rejeté. »

C’est comme Donkey Kong !!!

Il est intéressant de noter que dans son attaque contre les méthodes et les résultats défectueux obtenus par Pasteur, Koch a déclaré que, contrairement à son article de 1876, il avait essayé de reproduire la maladie de manière naturelle en donnant aux moutons des matériaux contenant du charbon. Cependant, il a fait part de certains problèmes liés à ses méthodes. Tout d’abord, les moutons ont reçu des morceaux de pommes de terre, qui ne font pas partie du régime alimentaire naturel des moutons, et les pommes de terre sont connues pour être toxiques pour les moutons, car elles contiennent de la solanine et de la chaconine, qui peuvent être toxiques lorsqu’elles sont consommées. La raison la plus probable pour laquelle Koch a utilisé des pommes de terre est qu’à l’époque, il s’en servait pour cultiver sa bactérie, mais cela posait des problèmes car les tranches étaient souvent envahies par des moisissures. Quoi qu’il en soit, il nourrissait un groupe de moutons avec la rate fraîche d’un cochon d’Inde récemment décédé, enveloppée dans des pommes de terre, et l’autre groupe de moutons était nourri avec des tranches cultivées avec les spores de la bactérie. Alors que les moutons nourris avec les rates ont survécu, les autres moutons nourris avec les pommes de terre cultivées ont succombé à la maladie. Mais c’est là que se pose le deuxième problème. C’est dans la rate que, selon Koch, se trouve la matière de l’anthrax. Dans un autre article datant de 1884, il affirmait que « les spores ne se forment jamais dans le corps » et qu’en prélevant une partie des organes, « on savait que c’étaient les bacilles seuls qui étaient introduits ». En d’autres termes, Koch supposait que la rate ne contenait pas de spores, mais uniquement des bacilles. Or, le bactériologiste italien Giuseppe Sanarelli a démontré que les spores de la maladie du charbon peuvent rester dormantes dans les tissus de l’hôte. Koch ne peut donc pas prétendre que les rates données aux moutons qui ont survécu étaient exemptes de spores dormantes. Ils auraient très bien pu être nourris de spores du charbon dans les matériaux de la rate et survivre, réfutant ainsi une fois de plus son hypothèse.

« J’ai donné à plusieurs moutons du fourrage contenant des bacilles du charbon, mais pas de spores. Quelques autres moutons ont été nourris avec des masses d’anthrax contenant des spores. J’ai nourri les moutons en plaçant soigneusement des morceaux de pommes de terre dans leur bouche. Ces morceaux étaient remplis de matière infectieuse. Ils ont été introduits de manière à ce qu’il n’y ait aucune possibilité de blesser la muqueuse. Un morceau de pomme de terre ne peut certainement pas être considéré comme un aliment piquant. Par ailleurs, les moutons n’étaient nourris que de foin tendre. Les conditions d’infection définies par Pasteur étaient donc totalement exclues. Comme substance exempte de spores, nous avons utilisé la rate fraîche d’un cobaye qui venait de mourir de la maladie du charbon. Comme substance contenant des spores, nous avons utilisé une culture de bacilles du charbon sur pomme de terre qui produisait des spores. Les moutons nourris avec des rates sans spores sont restés en bonne santé. En l’espace de quelques jours, les moutons nourris avec des cultures de bacilles contenant des spores sont tous morts de la maladie du charbon. »

Dans une autre expérience, Koch a tenté de montrer que les moutons qui mangeaient une petite quantité de spores succombaient à la maladie. Dans ce cas, dix moutons ont reçu des pommes de terre auxquelles étaient attachés des fils de soie contenant des spores d’anthrax. Deux moutons témoins n’ont reçu que des pommes de terre. Au cours de l’expérience, quatre des dix moutons nourris avec les fils de soie sont morts. Les deux témoins sont restés en bonne santé. Cependant, une fois de plus, certains problèmes se posent au-delà de l’utilisation de pommes de terre potentiellement toxiques. Tout d’abord, la taille de l’échantillon est extrêmement réduite, avec seulement dix moutons expérimentaux et deux témoins. Il aurait fallu au moins utiliser 10 moutons de contrôle. Deuxièmement, les moutons de contrôle n’ont pas été nourris avec des fils de soie. Pour que la situation soit exactement la même dans les deux groupes, il aurait fallu utiliser des fils de soie dépourvus de spores. Troisièmement, seuls quatre moutons sont morts, tandis que les six autres sont restés en bonne santé. Comment expliquer que 60 % des moutons nourris avec des spores d’anthrax soient restés indemnes de la maladie ?

« Il était donc nécessaire de déterminer si une infection naturelle pouvait également se produire en mangeant une petite quantité de spores de charbon mélangées à du fourrage sous forme de poussière ou de boue provenant d’un marécage ou d’un cours d’eau en crue. C’est pourquoi nous avons entrepris l’expérience suivante : chaque jour, dix moutons ont reçu des morceaux de pommes de terre auxquels étaient attachés des fils de soie contenant des spores de la maladie du charbon. Chaque fil mesurait à peine un centimètre de long. Un an auparavant, chaque fil avait été imprégné d’une petite quantité de spores d’anthrax et séché. Deux moutons, qui ont servi de témoins, ont été gardés dans la même stalle que les autres moutons et ont été soignés de la même manière. Ils n’ontcependant reçu aucun filcontenant des spores. Quatre des dix moutons sont morts. Ces décès sont survenus aux cinquième, sixième, onzième et dix-neuvième jours du test. Les tests d’alimentation ont alors été interrompus. Les deux animaux témoins sont restés en bonne santé. Dans ce test, les cas d’anthrax qui se sont produits sur plusieurs jours et les résultats de la dissection étaient parfaitement conformes à l’anthrax naturel. L’infection naturelle se produit généralement — par temps froid peut-être toujours — lorsque du fourrage contenant des spores d’anthrax pénètre dans l’intestin. Si les moutons mangent du fourrage contenant beaucoup de spores, ils meurent après quelques jours ; s’ils mangent moins de spores, ils meurent plus lentement. »

Bien que Koch ait pu penser que ses expériences reflétaient une voie d’exposition naturelle prouvant que l’ingestion de spores d’anthrax entraînait la maladie, d’autres chercheurs n’ont pas confirmé cette hypothèse. En fait, il est bien connu que « les bacilles du charbon ou les spores en grand nombre peuvent être donnés à des animaux de laboratoire sans produire le charbon, alors qu’ils sont très sensibles à l’inoculation cutanée ». En d’autres termes, les voies d’exposition naturelles aux spores n’entraînent pas de maladie, alors que les injections artificielles non naturelles en entraînent. Ce fait a été confirmé par Sanarelli en 1925, qui a déclaré que de grandes quantités de bacilles ou de spores du charbon peuvent être ingérées sans provoquer de maladie, et que même les injections de sang ne sont pas nocives. En 1922, Holman a essayé de donner des capsules de gélatine contenant des spores « virulentes » à des souris et à des cobayes, ce qui n’a pas eu d’effet nocif, bien que des spores « virulentes » aient été retrouvées dans les excréments :

« Sanarelli (1925) a constaté qu’un grand nombre de bacilles du charbon ou de spores peuvent être administrés par la bouche à des animaux de laboratoire sans les infecter, et que le sang d’un animal infecté peut être injecté par l’anus sans dommage. Des spores virulentes de charbon enfermées dans de petites capsules de gélatine peuvent être avalées par des souris et des cobayes sans dommage, bien que des spores virulentes puissent être retrouvées dans les fèces pendant une semaine (Holman, 1922). »

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK310481

Dans son article de 1925 intitulé The Pathogenesis of « Internal » or « Spontaneous » Anthrax (Pathogenèse de l’anthrax « interne » ou « spontané »), Sanarelli est allé jusqu’à dire que, même si les opinions de Koch sur le charbon avaient été généralement acceptées, d’autres études sur l’ingestion de spores de charbon contredisaient ses résultats et que personne ne pouvait reproduire la « mycose intestinale du charbon » de l’école de Koch.

« Les vues de Koch ont été très généralement acceptées, mais d’autres observations sur les effets de l’ingestion de bacilles ou de spores du charbon ont donné des résultats contradictoires, et l’auteur considère qu’aucun travailleur n’a réussi à reproduire expérimentalement la “mycose intestinale du charbon” de l’école de Koch.

On constate donc que l’hypothèse selon laquelle les animaux nourris avec des spores d’anthrax tomberaient malades et mourraient de la maladie a été réfutée à plusieurs reprises, non seulement par Koch, mais aussi par divers chercheurs indépendants. En fait, la manière dont un animal contracte l’anthrax dans la nature est toujours considérée comme une inconnue. Elle est considérée comme une théorie, c’est-à-dire une supposition non prouvée, plutôt qu’une théorie scientifique étayée par une hypothèse prouvée. Il existe différentes explications, mais elles varient toutes et sont purement spéculatives.

Si les éléments ci-dessus montrent que Koch n’a pas pu prouver son hypothèse sur les germes par des méthodes naturelles, nous pouvons encore démontrer les failles de ses preuves sur l’anthrax en appliquant ses propres postulats à son travail.

Dans son article de 1882 critiquant Pasteur, Koch a comparé et opposé ses propres méthodes à celles de Pasteur. Il affirme que, dès le départ, il faut examiner “toutes les parties du corps qui sont altérées par la maladie pour établir la présence des parasites, leur répartition dans les organes malades et leur relation avec les tissus du corps”. Ensuite, on peut “commencer à démontrer que les organismes sont pathogènes et qu’ils sont la cause de la maladie. À cette fin, il faut les cultiver purs et, après les avoir entièrement libérés de toutes les parties du corps malade, les inoculer à nouveau à des animaux, de préférence de la même espèce que ceux chez lesquels la maladie a été observée à l’origine”. En guise d’exemple, Koch a cité la tuberculose comme la maladie pour laquelle il avait pleinement satisfait à ses critères. Pourtant, comme le note Carter, il n’a pas suivi ces étapes pour identifier la cause de l’anthrax, et ses articles de 1876 et 1881 révèlent qu’il a suivi une stratégie sensiblement différente. La stratégie utilisée par Koch pour étudier l’anthrax n’a pas seulement réfuté son hypothèse, elle a également échoué à prouver que le microbe était la cause de la maladie, conformément aux critères qu’il s’était fixés.

Tuberculose

« Tous ceux qui côtoient des tuberculeux sont infectés, mais restent en bonne santé tant qu’ils se soignent et maintiennent le sol dans des conditions défavorables à la croissance de la graine. »

Sir William Osler

S’il est clair que Robert Koch n’a pas prouvé son hypothèse concernant l’anthrax et que les preuves qu’il a produites n’ont pas été à la hauteur de ses propres postulats, ce sont ses travaux sur la tuberculose, quelques années plus tard, qui ont finalement valu à Koch d’être considéré comme le “grand chasseur de microbes”. Selon Carter, c’est la découverte par Koch de la bactérie de la tuberculose qui “a probablement fait plus que toute autre réalisation pour établir la domination de la théorie des germes”. En fait, ses travaux sur la tuberculose ont valu à Koch le très convoité prix Nobel en 1905 pour “ses recherches et ses découvertes sur la tuberculose”. C’est dans le cadre de ces travaux que Koch a formulé ses célèbres postulats, qui constituent depuis lors l’étalon-or pour prouver que les microbes sont à l’origine des maladies. Comme j’ai déjà écrit sur les preuves de la tuberculose de Koch, je ne vais pas tout reprendre ici. Cependant, je souhaite examiner son travail pour voir si les expériences reflètent une hypothèse basée sur un phénomène naturel observé et s’il a pu satisfaire ses propres postulats.

Pour “découvrir” la bactérie de la tuberculose au début des années 1880, Robert Koch a inventé des procédures de coloration spéciales afin de pouvoir facilement visualiser la bactérie dans les organes des hôtes malades. Au début de son article de 1882 intitulé “L’étiologie de la tuberculose, Koch a déclaré que le but de son étude était de “démontrer l’existence d’une structure parasitaire étrangère dans l’organisme, qui peut éventuellement être désignée comme l’agent causal”. Cependant, Koch savait que la corrélation n’est pas synonyme de causalité et que, par conséquent, la “corrélation entre la présence d’affections tuberculeuses et de bacilles” ne signifiait pas nécessairement que ces phénomènes étaient liés par un lien de causalité. Cependant, Koch estimait qu’ » un haut degré de probabilité de cette relation causale peut être déduit de l’observation que les bacilles sont généralement plus fréquents lorsque le processus de la tuberculose se développe ou progresse, et qu’ils disparaissent lorsque la maladie devient silencieuse ». Contrairement à l’opinion de Koch, il s’avère, comme l’a noté le Dr Herbert Snow, que la bactérie est régulièrement absente lorsque la maladie se développe, et qu’elle n’est pas rarement absente chez les personnes à un stade très avancé de la maladie.

« Le germe ne fait pas son apparition dans les expectorations des malades avant que la maladie n’ait duré plusieurs mois. Le Dr H. J. Loomis (Medical Record, 29 juillet 1905) donne la date moyenne de sa détection à trois mois et un tiers après le début de la maladie, tel que déterminé par les signes physiques. La longue expérience du Dr Muthu au Mendip Sanatorium lui permet d’affirmer qu’il n’est pas rare qu’elle soit absente de l’expectoration des patients à un stade très avancé de la maladie et présentant des “lésions pulmonaires étendues”. » (Tuberculose pulmonaire et traitement au sanatorium, 1910.)

« Le professeur Middendorp nie l’existence du bacille dans les nodules tuberculeux de formation récente, avant l’apparition des processus dégénératifs. Spina, Charrin et Kuskow n’ont absolument pas réussi à le détecter dans la tuberculose miliaire aiguë, où, si la théorie causale de Koch était vraie, il devrait être particulièrement abondant. »

Curieusement, Koch a même noté qu’il avait lui-même trouvé des cas de tuberculose où la bactérie n’était pas présente, ce qui semble contredire son affirmation d’un « haut degré de probabilité de la relation de cause à effet ».

« Afin de me faire une opinion sur la présence de bacilles tuberculeux dans les expectorations de phtisie3, j’ai examiné à plusieurs reprises les expectorations d’une grande série de malades et j’ai constaté que, dans certains cas, il n’y avait pas de bacilles et que, cependant, dans environ la moitié des cas, il y avait des bacilles extraordinairement nombreux, dont certains étaient sporogènes. »

Selon Koch, pour prouver que le bacille de la tuberculose est la véritable cause de la maladie, il faudrait l’isoler, le débarrasser de tous les contaminants et le cultiver dans un état de pureté. Cette culture pure devrait ensuite être introduite dans un animal sain et provoquer exactement la même maladie.

« Pour prouver que la tuberculose est provoquée par la pénétration des bacilles et qu’il s’agit d’une maladie parasitaire définie provoquée par la croissance et la reproduction de ces mêmes bacilles, les bacilles doivent être isolés du corps et cultivés si longtemps en culture pure qu’ils soient débarrassés de toute production malade de l’organisme animal qui pourrait encore adhérer aux bacilles. Ensuite, les bacilles isolés doivent transmettre la maladie à d’autres animaux et provoquer le même tableau pathologique que celui qui peut être obtenu par l’inoculation à des animaux sains de matières tuberculeuses se développant naturellement. »

Koch pensait que la source « la plus essentielle » d’« infection » était « l’expectoration des malades » et qu’il s’agissait de la principale source de transmission de la maladie, affirmant que les patients atteints de tuberculose laryngée ou pulmonaire qui expectoraient de grandes quantités de bacilles étaient particulièrement « infectieux ». Ainsi, si la voie hypothétique de l’« infection » naturelle est l’expulsion de grandes quantités de bacilles par la toux, il serait logique d’essayer d’« infecter » des hôtes sains de la même manière par la voie de l’aérosolisation. Cependant, afin de démontrer que les bacilles sont à l’origine de la maladie, Koch s’est tourné vers les cochons d’Inde, un animal dont il a admis qu’il n’avait jamais vu de cas de tuberculose naturelle après avoir examiné des centaines de cochons d’Inde achetés. Il n’a constaté la maladie qu’après avoir gardé les cobayes en captivité pendant des mois, et la maladie observée ne ressemblait qu’occasionnellement à celle observée chez l’Homme.

« Sur des centaines de cochons d’Inde achetés et parfois disséqués et examinés, je n’ai jamais trouvé un seul cas de tuberculose. La tuberculose spontanée ne se développe qu’occasionnellement et jamais avant un délai de trois ou quatre mois après que les autres animaux de la pièce ont été infectés par la tuberculose. Chez les animaux qui sont tombés malades à la suite d’une tuberculose spontanée, les glandes bronchiques deviennent très enflées et pleines de pus et, dans la plupart des cas, les poumons présentent une grande masse chique avec une décomposition étendue au centre, de sorte qu’elle ressemble parfois aux processus similaires dans le poumon humain… »

Pour « infecter » les cobayes, plutôt que de tenter une exposition naturelle par aérosolisation de la bactérie, Koch leur a injecté la bactérie cultivée dans l’abdomen, près de la glande inguinale. Il est évident que l’injection d’une bactérie cultivée dans l’abdomen d’un animal n’est pas la voie d’exposition naturelle supposée. Il est intéressant de noter que Koch a constaté que les animaux auxquels il avait inoculé la bactérie de manière expérimentale ont développé une maladie complètement différente. Les animaux injectés expérimentalement ont succombé à la maladie beaucoup plus rapidement et présentaient un tableau pathologique différent, ce qui, selon Koch, permettait de faire plus facilement la différence entre les cas de tuberculose induits artificiellement et les cas de tuberculose spontanée observés chez les animaux.

« Les animaux auxquels on a inoculé la tuberculose présentent une image complètement différente. L’inoculation des animaux a lieu dans l’abdomen, près de la glande inguinale. Celle-ci commence par gonfler et donne une indication précoce et indubitable du succès de l’inoculation. Étant donné qu’une plus grande quantité de matériel infectieux est présente au début, l’infection progresse beaucoup plus rapidement que l’infection spontanée, et dans les coupes de tissus de ces animaux, la rate et le foie présentent des changements plus importants dus à la tuberculose que les poumons. Il n’est donc pas du tout difficile de différencier la tuberculose induite artificiellement de la tuberculose spontanée chez les animaux de laboratoire. »

Koch a indiqué qu’il avait injecté les animaux de différentes manières : sous la peau, dans la cavité péritonéale, dans la chambre antérieure de l’œil ou directement dans la circulation sanguine.

« Les résultats d’un certain nombre d’expériences d’inoculation de cultures de bacilles à un grand nombre d’animaux, inoculés de différentes manières, ont tous abouti aux mêmes résultats. De simples injections sous-cutanées, ou dans la cavité péritonéale, ou dans la chambre antérieure de l’œil, ou directement dans le flux sanguin, ont toutes produit la tuberculose, à une seule exception près. »

Il a mentionné que, pour que la maladie se déclare avec le plus de succès possible, les animaux doivent recevoir des injections qui pénètrent le tissu sous-cutané, la cavité péritonéale et la chambre oculaire de l’œil. Si la blessure n’est que superficielle, elle n’entraîne pas régulièrement la maladie.

« Si l’on veut rendre un animal tuberculeux avec certitude, le matériel infectieux doit être introduit dans le tissu sous-cutané, dans la cavité péritonéale, dans la chambre oculaire, bref, dans un endroit où les bacilles ont la possibilité de se propager dans une position protégée et où ils peuvent se focaliser. Les infections provenant de plaies cutanées superficielles ne pénétrant pas dans le tissu sous-cutané, ou de la cornée, ne réussissent qu’exceptionnellement. »

La nécessité d’une pénétration profonde pour réussir à « infecter » et à provoquer une maladie est la façon dont Koch a rationalisé la raison pour laquelle les gens pouvaient régulièrement se couper les mains avec des matériaux « infectieux » et rester absolument exempts de maladie. Il estimait qu’« il serait difficilement compréhensible que la tuberculose ne soit pas beaucoup plus fréquente qu’elle ne l’est en réalité, étant donné que pratiquement tout le monde, en particulier dans les endroits densément peuplés, est plus ou moins en contact avec la tuberculose ». Koch a noté que, contrairement à l’anthrax, la bactérie de la tuberculose « ne trouve les conditions de son existence que dans le corps de l’animal » et non « à l’extérieur de celui-ci dans les conditions habituelles et naturelles ». On peut donc dire que la bactérie de la tuberculose n’est pas un envahisseur pathogène extérieur, mais plutôt un microbe qui n’existe qu’à l’intérieur de l’organisme vivant.

Il est clair, à la lecture de l’article de Koch sur la tuberculose, qu’il n’a jamais tenté de recréer les conditions supposées, à partir du phénomène naturel observé, pour qu’un hôte sain devienne « infecté ». Comme Pasteur avant lui, Koch s’est plutôt attaché à créer une maladie artificielle ressemblant à ce que l’on appelait la tuberculose, en procédant à diverses injections non naturelles de bactéries cultivées, d’une manière que les animaux n’auraient jamais connue dans la nature. La création d’une maladie artificielle par injection ne dit rien sur ce qui se passe dans la nature et ne prouve absolument pas que ce qui est injecté est à l’origine de la maladie par rapport à la procédure invasive et au traumatisme infligé aux animaux.

Si certains considèrent les travaux de Koch sur la tuberculose comme « l’une des déclarations les plus définitives de l’histoire de la médecine », ceux-ci ne sont pas acceptés par tous. En fait, comme beaucoup critiquaient ses découvertes, Koch a décidé en 1883 de répondre à ses détracteurs dans un document intitulé Kritische Besprechung der gegen die Bedeutung der Tuberkelbazillen gerichteten Publikationen (Analyse critique des publications sur le rôle de la tuberculose). Koch commence par déplorer que son travail n’ait pas été reconnu par les « représentants renommés de l’anatomie pathologique ». Il supposait qu’ils liraient son travail, mais admettait que « cette supposition, cependant, était erronée. Jusqu’à présent, du moins, rien n’a été annoncé et il faut s’attendre à de telles annonces dans un avenir proche ». Koch estimait que ses détracteurs s’accrochaient à de vieilles traditions et « s’agrippaient à des pailles pour se sauver des flots entrants » de son travail. Il était irrité par la satisfaction qu’ils éprouvaient à trouver des cas où les bacilles étaient observés chez des personnes en bonne santé ou apparaissaient dans d’autres maladies, contredisant ainsi son premier postulat.

« Avec quelle joie a-t-on appris que des bacilles tuberculeux avaient également été trouvés dans le contenu intestinal de personnes saines ou dans un seul cas de bronchectasie. »

Dans un cas, Koch a tenté d’affirmer que la découverte par Cramer de la bactérie de la tuberculose chez 20 personnes en bonne santé était un cas d’erreur d’identité, tout en soulignant à nouveau que cette découverte avait été saluée par de nombreuses personnes.

« Il est facile de voir à quel point les prétendues découvertes de Crämer étaient loin d’ébranler la nouvelle doctrine de la tuberculose, et pourtant la nouvelle que le bacille tuberculeux avait été trouvé chez 20 personnes en bonne santé a été accueillie de toutes parts comme une parole rédemptrice. »

Koch reconnaît que le Dr Rollin Gregg lui a envoyé un article exprimant sa conviction « que la phtisie n’a pour cause qu’une perte d’albumine dans le sang », Koch déclarant que le Dr Gregg lui a dit que « des fils de fibrine sont censés apparaître dans chaque tubercule et j’ai manifestement pris ces fils pour des bactéries ». Faisant référence aux conclusions de Max Schottelius selon lesquelles le tableau clinique de la tuberculose varie d’une espèce animale à l’autre, Koch a fait remarquer qu’il en allait de même pour l’anthrax, le tableau clinique étant très différent chez l’Homme et chez l’animal, ce qui empêche d’appliquer à l’Homme les résultats de l’expérimentation animale, car ils ne reflètent pas la maladie telle qu’elle est observée chez l’Homme.

« Je voudrais également rappeler la même situation en ce qui concerne l’anthrax. L’évolution clinique et anatomique de l’anthrax est tellement différente chez l’Homme que, sans tenir compte de la même cause, à savoir le bacille du charbon, il faudrait en faire des tableaux cliniques complètement différents, et qu’en outre, les formes d’anthrax chez l’Homme diffèrent considérablement de celles des animaux et les unes des autres. »

Tout en essayant de défendre le fait que les gens pouvaient manger de la viande contaminée par la bactérie de la tuberculose sans effets néfastes, Koch a jeté une ombre supplémentaire sur ses propres découvertes concernant l’anthrax, en notant : « Car je connais, par ma propre expérience, de nombreux cas dans lesquels de la viande contaminée par l’anthrax a été consommée sans aucun dommage ». Koch s’est ensuite opposé au médecin allemand Peter Dettweiler, qui considérait les bacilles comme un effet secondaire de la maladie plutôt que comme la cause de celle-ci. Dettweiler estimait que les expériences d’injection de Koch ne prouvaient rien puisque les animaux n’avaient jamais contracté la maladie typique de la tuberculose. Koch a déclaré qu’il pensait que si l’on cherchait, on pourrait trouver un animal qui, en inhalant la bactérie, contracterait la même maladie que celle observée chez l’Homme. Cependant, Koch ne l’a jamais démontré lui-même.

« Il considère également les bacilles tuberculeux comme un effet secondaire de la tuberculose et non comme sa cause, bien qu’il ait trouvé des bacilles chez 87 phtisiques presque sans exception. Selon lui, les résultats de la vaccination obtenus avec les bacilles ne peuvent rien prouver, car chez les animaux, on n’obtient qu’une tuberculose miliaire et jamais le tableau typique de la phtisie. »

« Je ne doute pas que si l’on voulait le rechercher, on finirait par trouver des espèces animales qui, après avoir inhalé de si petites quantités de substance tuberculeuse qu’elles ne présentent qu’un ou quelques foyers d’infection dans les poumons, présenteraient également le tableau typique de la phtisie humaine. »

Au lieu de cela, Koch a commencé à injecter de diverses manières sa bactérie cultivée à des animaux afin de prétendre que c’était la bactérie qui était à l’origine de la maladie. Or, Koch savait pertinemment que l’injection d’autres substances à des animaux, comme le verre, le métal, le bois, etc., entraînerait également la tuberculose. En d’autres termes, les bacilles ne sont pas nécessaires à l’apparition de la maladie. Il insiste également sur la différence entre « tuberculose vaccinale et tuberculose spontanée », soulignant une fois de plus que la maladie artificielle n’est pas le reflet de la maladie « naturelle ».

« Lors des essais d’infection, destinés à vérifier l’efficacité des cultures, je n’ai jamais laissé les animaux en vie pendant 86 jours, mais je les ai tués au plus tard à la fin de la quatrième semaine. Car, comme on le sait, les lapins, qu’ils soient vaccinés avec du verre, du bois, du métal, etc. ou pas du tout, s’ils sont laissés suffisamment longtemps dans des clapiers infectés, peuvent finir par devenir tuberculeux. J’insiste sur cette distinction entre la tuberculose vaccinale et la tuberculose spontanée. »

Le fait que l’injection de matériaux autres que la bactérie de la tuberculose dans les animaux puisse provoquer la même maladie a été noté par le Dr Rollin Gregg dans son livre de 1889 intitulé Consumption : Its Cause and Nature (La tuberculose pulmonaire : sa cause et sa nature). Il y présente des extraits du travail du professeur Henry Formad sur des centaines d’animaux qu’il divise en deux classes : les scrofuleux4 et les non-scrofuleux. Le lapin et le cochon d’Inde, couramment utilisés par Koch, appartiennent à la classe des animaux scrofuleux. Chez ces animaux, toute substance injectée sous la peau provoque la tuberculose. L’injection de la bactérie sous la peau chez des animaux non scrofuleux (tels que les chats, les chiens et d’autres animaux plus grands) n’entraînera pas la maladie, mais si les injections sont faites dans la chambre antérieure de l’œil, les animaux non scrofuleux développeront la maladie. Cependant, si d’autres types de matières sont introduits dans les mêmes parties de l’œil, même du sable ordinaire, la même maladie se produira. Comme l’a souligné le Dr Gregg, ces faits annihilent l’affirmation selon laquelle le bacille de la tuberculose est la cause spécifique de la maladie, car toute substance injectée de la bonne manière dans l’animal concerné entraînera la tuberculose.

« Le 18 octobre 1882, le professeur H. F. Formad, de l’université de Pennsylvanie, a lu une communication, sur invitation, devant la Philadelphia County Medical Society, sur “Le bacille de la tuberculose et certains points anatomiques qui suggèrent la réfutation de sa relation étiologique avec la tuberculose”, publiée dans le Philadelphia Medical Times du 18 novembre 1882. Après avoir indiqué qu’il avait examiné “au microscope les tissus d’environ cinq cents animaux” pour le National Board of Health, “ainsi que ceux d’un nombre similaire ou encore plus important d’animaux divers utilisés par les membres” de ses “classes de pathologie expérimentale dans le laboratoire de l’université au cours des cinq dernières années”, il divise tous les animaux en deux classes, les scrofuleux et les non-scrofuleux, de la manière suivante :

La classe des scrofuleux comprend incontestablement le lapin et le cochon d’Inde apprivoisés, ainsi que tous les animaux enfermés, tandis que la classe des non-scrofuleux comprend le chat, le chien et les animaux en liberté.

Il dit ensuite que si les animaux scrofuleux sont inoculés, ou si on leur introduit sous la peau une matière quelconque, qu’elle soit tuberculeuse, diphtérique ou autre, même du “verre en poudre chimiquement propre”, et qu’ils survivent aux premiers résultats de l’expérience, un grand nombre d’entre eux meurent de la tuberculose. Mais l’inoculation d’animaux non scrofuleux de la même manière, c’est-à-dire sous la peau, même avec du pus tuberculeux pur, ne produira pas de tuberculose. Cette classe exige l’introduction de la matière inoculante dans le péritoine ou dans la chambre antérieure de l’œil, qu’il s’agisse de pus tuberculeux ou de ce qu’on appelle les bacilles de la tuberculose, afin de produire des tubercules chez ces animaux. Et là encore, si l’on introduit d’autres types de matières dans les mêmes parties, même du sable ordinaire, les résultats sont les mêmes que si l’on utilisait de la matière tuberculeuse. Comme on le verra, cela annihile toute prétention à une cause spécifique des tubercules. Ses affirmations sont si positives et sans équivoque qu’elles sont abondamment citées, et même l’ensemble de la conférence pourrait être cité avec avantage, tant elle est importante et directement applicable à notre sujet. »

Le Dr Gregg a souligné les failles des méthodes de Koch, notant qu’il n’a jamais eu besoin d’utiliser de cultures de sa bactérie pour produire la maladie chez les animaux. Koch savait qu’il lui suffisait d’injecter les animaux non scrofuleux dans l’œil et les animaux scrofuleux où il le souhaitait pour créer la maladie.

« Koch a incontestablement produit la tuberculose dans le péritoine de ses chats et de ses chiens ». Et il « aurait tout aussi bien pu utiliser du sable pour l’inoculation et conserver ses précieuses cultures du bacille de la tuberculose pour les inoculer dans d’autres parties du corps des chiens, des chats, des rats, etc. qui ne sont pas atteints de la maladie de Crohn. »

« Pourquoi le Dr Koch a-t-il inoculé ces derniers animaux uniquement dans le péritoine et la chambre antérieure de l’œil, alors qu’il a inoculé les animaux scrofuleux (lapins et cochons d’Inde) dans n’importe quelle partie du corps ? C’est un mystère. Essayons de le résoudre. »

Le Dr Gregg a poursuivi en citant d’autres déclarations accablantes du professeur Formad concernant ses travaux sur la diphtérie. Le professeur Formad a souligné, comme l’a également fait Koch, que l’inoculation à des lapins de matières étrangères non tuberculeuses et parfaitement inoffensives, telles que des morceaux de verre, de métal, de bois, etc. entraînait la mort par tuberculose. Le professeur Formad a déclaré que le Dr Wood et lui-même avaient vu plus de 100 lapins mourir de la tuberculose sans que la bactérie leur ait été injectée et sans qu’ils aient eu l’intention de provoquer la maladie. Leurs résultats ont été confirmés par les travaux du Dr O. C. Robinson.

« Les expériences sur la diphtérie menées par le professeur H. C. Wood et moi-même ont montré que les lapins qui ne succombaient pas à la maladie au bout de quelques jours mouraient presque tous de la tuberculose au bout de quatre à six semaines ou plus. Afin de voir si la matière diphtérique agissait spécifiquement dans la production de la tuberculose ou si cette dernière était simplement le résultat d’un processus inflammatoire, nous avons expérimenté en inoculant aux lapins des matières étrangères non tuberculeuses et parfaitement inoffensives, telles que des morceaux de verre, de métal, de bois, etc. Le résultat a été, dans la majorité des cas, des masses chiques et suppurantes au point d’inoculation, suivies dans le courant d’un mois ou plus par la mort due à la tuberculose. »

« Aujourd’hui, je peux témoigner avec certitude que le Dr Wood et moi-même avons vu mourir de la maladie tuberculeuse plus de cent lapins sur cinq ou six cents opérés, sans qu’un seul de ces animaux ait été sciemment inoculé avec une matière tuberculeuse quelconque, et sans que nous ayons eu l’intention d’étudier la tuberculose chez eux. Tous les lapins et cobayes soumis à des blessures sur une partie quelconque du corps au cours des diverses expériences et survivant aux effets immédiats ou aigus de celles-ci, n’ont eu, à quelques exceptions près, qu’un seul destin, celui de mourir de tuberculose, à condition qu’ils aient vécu assez longtemps après une interférence traumatique pour développer la lésion en question. »

« Ces faits ont également été particulièrement bien mis en évidence par les résultats d’une série soigneusement menée de cent expériences spéciales sur la tuberculose, exécutées par le Dr O. C. Robinson, dans le laboratoire de pathologie de l’université de Pennsylvanie. »

« Chez les animaux non scrofuleux, c’est-à-dire autres que les lapins et les cobayes, ni Robinson, ni Wood, ni moi-même, ni aucun autre expérimentateur n’avons jamais réussi à produire la tuberculose par inoculation, sauf dans le péritoine ou la chambre antérieure de l’œil. »

Le professeur Formad a fait remarquer que personne, y compris Koch, n’avait jamais produit la tuberculose chez des animaux qui n’étaient pas prédisposés à la maladie par le biais d’injections dans la peau. Koch changeait sa méthode d’injection en sachant comment obtenir le résultat qu’il souhaitait en fonction de l’animal sur lequel il expérimentait.

« Personne, y compris Koch, n’a jamais produit la tuberculose chez des animaux qui n’y étaient pas prédisposés, par inoculation dans la peau, par exemple. Les comptes rendus des expériences de Koch le prouvent et montrent que lorsqu’il voulait produire la tuberculose chez le lapin ou le cobaye au moyen de son bacille, il inoculait indistinctement dans n’importe quelle partie du corps ; mais s’il voulait démontrer les effets de son parasite chez des animaux non scrofuleux, il inoculait promptement dans la chambre antérieure de l’œil ou, de préférence, dans le péritoine. Après ce qui a été expliqué à propos de l’inflammation des membranes séreuses, il est évident que ces expériences ne prouvent pas que le bacille soit la cause de la tuberculose. »

Le Dr Gregg a résumé les points soulevés par le professeur Formad, en déclarant que la capacité de produire la tuberculose avec des injections de substances non tuberculeuses prouvait que le bacille n’était pas la cause de la maladie, et que les médecins devaient cesser de perdre leur temps à poursuivre la tuberculose en tant que maladie contagieuse.

« Et pourtant, l’insertion de “morceaux de verre, de métal, de bois, etc.” dans les mêmes parties produirait la tuberculose tout aussi facilement que le pus tuberculeux ou le bacille de la tuberculose ; tandis que la simple insertion des mêmes matériaux non tuberculeux sous la peau des animaux scrofuleux produisait identiquement les mêmes résultats que la matière tuberculeuse sur cette classe. Peut-on prouver plus positivement et plus absolument le caractère non spécifique de la matière tuberculeuse ou du bacille de la tuberculose en tant qu’agent infectieux ? Si le bois, le verre, etc., produisent exactement les mêmes résultats que le soi-disant parasite des tubercules, lorsqu’ils sont utilisés de la même manière, les médecins feraient mieux de consacrer leur temps à d’autres choses que de le gaspiller à essayer de prouver que la tuberculose est une maladie contagieuse spécifique. »

Ironiquement, Koch lui-même a confirmé la nature non contagieuse de la tuberculose, déclarant en 1884 que des tentatives « ont été faites à plusieurs reprises pour prouver la nature contagieuse de la phtisie, mais elles doivent être considérées comme des échecs, car de telles opinions n’ont jamais été acceptées par les scientifiques ». Il admet que « dans l’ensemble, les médecins considèrent la phtisie comme une maladie non contagieuse, résultant d’anomalies constitutionnelles ».

Dans son article de 1884 intitulé The Bacillus Tuberculosis and the Etiology of Tuberculosis-Is Consumption Contagious (Le bacille de la tuberculose et l’étiologie de la tuberculose — la tuberculose pulmonaire est-elle contagieuse ?), le professeur Formad énumère les nombreux chercheurs qui ont obtenu les mêmes résultats en produisant la tuberculose avec d’autres substances que la bactérie de la tuberculose :

Les observateurs suivants font tous référence à des expériences plus ou moins nombreuses, dans lesquelles la tuberculose a résulté de l’inoculation de substances inoffensives ou de matières spécifiques autres que tuberculeuses :

Comme le montrent clairement les déclarations du Dr Gregg et du professeur Formad, les travaux de Koch sur la bactérie de la tuberculose étaient essentiellement un écran de fumée destiné à étayer la « théorie » des germes. Peu importe que Koch ait utilisé une culture pure de son bacille de la tuberculose ou des débris de verre, de métal, de sable, etc. puisque c’est le fait même d’injecter des substances étrangères de la bonne manière dans les animaux qui a provoqué la maladie. S’il avait concentré ses travaux sur la sciure de bois, Koch aurait pu démontrer de manière convaincante qu’elle était à l’origine de la tuberculose grâce à ses injections expérimentales. Comme ses expériences ne reflétaient pas la voie naturelle d’« infection » qu’il supposait, Robert Koch a été induit en erreur par les résultats pseudo-scientifiques qu’il a obtenus grâce à ses méthodes non naturelles qui ont créé des maladies artificielles chez les animaux.

Comme Koch n’a pas tenté d’étayer son hypothèse par des preuves scientifiques valables reflétant un phénomène naturel observé, on peut dire que son hypothèse, au mieux, n’a pas été prouvée. Toutefois, lorsque nous examinons si les preuves qu’il a apportées concernant la tuberculose satisfont aux postulats mêmes qu’il a établis, nous pouvons fermer la porte à l’hypothèse selon laquelle le bacille de la tuberculose est la cause de la maladie, car elle n’a pas satisfait aux critères de Koch dès le départ. Le bacille a été trouvé chez des hôtes sains (même par Koch lui-même), absent chez des hôtes malades et trouvé dans des cas d’autres maladies, échouant ainsi au tout premier postulat. Nous savons aujourd’hui que la bactérie est présente chez environ un quart de la population mondiale et que le « risque » de tomber malade au cours de la vie n’est que de 5 à 10 %. La bactérie se trouve donc le plus souvent chez des personnes en bonne santé. Bien que Koch ait réussi à obtenir une culture pure, les résultats obtenus par l’injection non naturelle du bacille dans des animaux, recréant la maladie et montrant qu’il en était la cause principale, ont été réfutés à plusieurs reprises par de nombreux autres chercheurs qui ont obtenu les mêmes résultats sans utiliser le bacille. Ces résultats réduisent à néant les preuves utilisées par Koch pour étayer les troisième et quatrième postulats. En fin de compte, le travail « monumental » de Koch sur la tuberculose, qui lui a valu le prix Nobel, n’était pas si monumental que cela et, comme il l’a admis dans les commentaires de la réimpression de son article de 1882, son travail sur les cobayes n’a pas prouvé de manière concluante que la bactérie était à l’origine de la maladie chez l’Homme.

« Koch a également eu la chance que la souche du bacille tuberculeux pathogène pour l’Homme puisse être transférée aussi facilement à des cobayes. Sans un animal de laboratoire présentant des symptômes caractéristiques lors de l’inoculation de matériel tuberculeux, son travail aurait été beaucoup plus difficile. Il aurait pu cultiver l’organisme avec succès, mais il aurait été beaucoup plus difficile de prouver que cet organisme était l’agent causal de la tuberculose. Il convient de noter que, dans cet article, il n’apporte pas la preuve définitive que l’organisme qu’il a isolé en culture pure est réellement la cause de la tuberculose humaine. Cette preuve ne pourrait être apportée que par des inoculations chez l’Homme. Comme cela n’est pas possible, nous ne pouvons que déduire que l’organisme isolé est à l’origine de la maladie humaine. Un tel dilemme se pose toujours à l’investigateur des maladies humaines. Il doit apprendre à vivre avec. »

Choléra

« La seule possibilité d’apporter une preuve directe que les bacilles virgules causent le choléra est l’expérimentation animale. Il faut montrer que le choléra peut être généré expérimentalement par des bacilles virgules. »

Robert Koch
Koch, R. (1987f). Conférence sur le choléra [1884]. Dans Essais de Robert Koch. Praeger.

Lorsque Robert Koch s’est mis à la recherche du microbe qu’il pourrait présenter comme la cause des symptômes de la maladie connue sous le nom de choléra, il a déclaré que la seule possibilité de fournir une preuve directe était de procéder à des expériences sur des animaux qui recréaient la maladie. John Snow avait déjà émis l’hypothèse que l’eau contaminée par les eaux usées et les matières en décomposition était à l’origine des épidémies de choléra. Il serait donc logique de conclure que la consommation d’eau contenant des cultures pures de l’agent supposé responsable serait, au minimum, le moyen de prouver qu’il est la cause de la maladie à laquelle il est associé. Il est intéressant de noter que, dans le cas du choléra, Koch a presque réussi à faire quelque chose de similaire dans ses expériences sur les animaux. Il a en effet tenté d’« infecter » divers animaux en leur donnant des substances cholériques pures et impures. Il a également eu recours à des injections sous-cutanées et intraveineuses, ainsi qu’à des injections dans le duodénum de selles à l’eau de riz et de cultures pures de bacilles virgules. Il a détaillé un grand nombre des méthodes qu’il a utilisées pour tenter de rendre les animaux malades dans son article Erste Konferenz zur Erörterung der Cholerafrage am 26. Juli 1884 in Berlin (Première conférence pour discuter de la question du choléra, le 26 juillet 1884 à Berlin).

Dans cet article, Koch a noté que la seule façon de fournir des preuves directes de l’effet cholérique du bacille virgule était de procéder à des expériences sur les animaux, ce qui, selon lui, « si l’on suit les informations données par les auteurs, est simple et devrait également pouvoir être réalisé sans difficulté ». Cependant, les preuves qu’il a apportées ont en fait montré qu’il y avait pas mal de difficultés. Pour commencer, M. Koch a admis qu’il n’existait « aucun exemple fiable d’animaux contractant spontanément le choléra en période de choléra ». Par conséquent, la recherche d’un animal de laboratoire capable de contracter la maladie relevait essentiellement de la conjecture. Koch a donc décidé de commencer à tenter de recréer expérimentalement la maladie à l’aide de 50 souris, en essayant de les « infecter » de toutes les manières possibles. Il a nourri les souris avec les excréments de victimes du choléra ainsi qu’avec le contenu des intestins de cadavres. Il leur a donné aussi bien des matières « fraîches » que des matières en décomposition. Cependant, malgré les tentatives répétées de rendre les souris malades en leur donnant le contenu des victimes du choléra, elles sont restées en bonne santé. Koch a essayé d’« infecter » des singes, des chats, des poulets, des chiens et divers autres animaux, sans succès, même en leur donnant des cultures pures du bacille virgule.

« J’ai emmené 50 souris de Berlin et j’ai effectué toutes les expériences possibles sur les infections. Tout d’abord, elles ont été nourries avec les matières fécales de patients atteints de choléra et le contenu intestinal de cadavres de cholériques. Nous avons respecté au plus près les procédures expérimentales et les avons nourris non seulement avec du matériel frais, mais aussi après la décomposition des fluides. Bien que les expériences aient été répétées à plusieurs reprises avec du matériel provenant de nouveaux cas de choléra, nos souris sont restées en bonne santé. Des expériences ont ensuite été menées sur des singes, des chats, des poulets, des chiens et divers autres animaux que nous pouvions nous procurer, mais nous n’avons jamais réussi à obtenir quelque chose de semblable au processus du choléra chez les animaux. Nous avons également réalisé des expériences avec des cultures de bacilles virgules. Nous les avons également nourris à tous les stades de développement possibles. »

Les expériences d’alimentation n’ayant rien donné de semblable au processus du choléra chez les animaux, Koch a décidé d’essayer des méthodes plus invasives qui consistaient à ouvrir l’abdomen des animaux et à injecter les liquides directement dans les intestins grêles. Il a même essayé d’utiliser un long cathéter pour injecter des cultures pures à des singes aussi haut que possible dans l’intestin. Cependant, même en utilisant ces voies d’exposition invasives et non naturelles, aucun des animaux n’est tombé malade.

« Il a fallu en conclure que l’échec des expériences d’alimentation pouvait être dû à ce comportement des bacilles virgules. C’est pourquoi l’expérience a été modifiée de manière à ce que les substances soient administrées directement dans l’intestin des animaux. L’abdomen a été ouvert et le liquide injecté directement dans l’intestin grêle à l’aide d’une seringue Pravaz. Les animaux ont très bien supporté cette procédure, mais ils ne sont pas tombés malades. »

« Nous avons également essayé d’injecter le choléra aux singes le plus haut possible dans l’intestin à l’aide d’un long cathéter. Cela a également très bien fonctionné, mais les animaux sont restés en bonne santé. »

Une seule expérience avait donné à Koch l’espoir de produire la maladie chez les animaux, et elle consistait à injecter le bacille virgule directement dans la circulation sanguine des lapins et dans la cavité abdominale des souris. Les lapins sont tombés malades, mais ils ont fini par guérir. Les souris sont mortes dans les 24 à 48 heures. Cependant, pour obtenir cet effet « pathogène », Koch a admis qu’ils avaient dû utiliser des quantités assez importantes, ce qui ne correspondait pas aux observations faites lors d’expériences antérieures sur d’autres maladies, où les quantités les plus faibles étaient appliquées pour obtenir un effet. Voulant savoir si l’effet qu’il produisait était observé dans la nature, les indigènes ont assuré à Koch qu’il n’avait jamais été observé dans les populations animales résidant dans les régions où la maladie se déclarait chez l’Homme. Ainsi, malgré sa capacité à créer une maladie artificielle chez les lapins et les souris dans ce cas particulier, Koch a finalement conclu qu’un véritable processus de choléra ne pouvait pas être induit artificiellement chez les animaux et que cette preuve devait être écartée.

« La seule expérience dans laquelle les bacilles virgules ont eu un effet pathogène, et qui m’a donc donné au départ l’espoir d’un résultat, a consisté à injecter des cultures pures directement dans le sang de lapins ou dans la cavité abdominale de souris. »

« Les lapins sont apparus très malades après l’injection, mais se sont rétablis après quelques jours. Les souris, en revanche, sont mortes 24 à 48 heures après l’injection et les bacilles virgules ont pu être détectés dans leur sang. Cependant, il faut administrer aux animaux des quantités assez importantes ; ce n’est pas comme dans d’autres expériences d’infection, où l’on applique les plus petites quantités et où l’on obtient tout de même un effet. Afin d’obtenir la certitude qu’il est possible d’infecter des animaux avec le choléra, je me suis renseigné partout en Inde pour savoir si des maladies similaires avaient déjà été observées chez les animaux. Au Bengale, on m’a assuré que rien de tel ne s’était jamais produit. Dans cette province, la population est extrêmement dense et de nombreux animaux cohabitent avec les habitants. On pourrait s’attendre à ce que dans ce pays, où le choléra est partout et constamment présent, les animaux transportent assez souvent l’agent infectieux du choléra sous une forme aussi efficace que celle de l’Homme dans leur tube digestif, mais on n’a jamais observé que les animaux avaient des accidents semblables à ceux du choléra. Je pense donc également que tous les animaux dont nous disposons pour de telles expériences, ainsi que ceux qui sont habituellement en contact avec l’Homme, sont tous immunisés contre le choléra et qu’il est impossible d’induire artificiellement chez eux un véritable processus cholérique. Nous devons donc nous passer de cette preuve. »

Avec son incapacité à reproduire le choléra chez les animaux, ce qui, selon Koch dans une dépêche du 2 février 1884, aurait été souhaitable mais s’est avéré impossible, il a abandonné le critère essentiel qu’il considérait quatre mois auparavant comme le seul moyen de prouver directement que le bacille virgule était la véritable cause du choléra.

« Dans sa cinquième dépêche du 7 janvier 1884, Koch annonce qu’il a réussi à isoler le bacille en culture pure. Les résultats de l’autopsie étaient les mêmes qu’en Égypte, et s’il était possible de confirmer que le bacille se trouvait exclusivement chez les patients atteints de choléra, il ne serait guère possible de douter de sa relation de cause à effet avec la maladie, même s’il n’était pas possible de reproduire une maladie similaire chez les animaux. Koch renonce ici à l’un des éléments de preuve qu’il avait lui-même stipulés près de quatre mois plus tôt dans sa première dépêche. »

Par conséquent, la seule façon pour Koch d’affirmer que le bacille de la virgule était la cause du choléra était de trouver le bacille chez les patients atteints de choléra. En d’autres termes, Koch s’est appuyé sur une corrélation équivalente à une causalité, ce qu’il avait déjà souligné par le passé comme n’étant pas suffisant pour conclure à une causalité, car il est bien connu qu’une corrélation n’équivaut pas à une causalité. Des découvertes ultérieures ont prouvé qu’il s’agissait d’une corrélation très faible, comme l’a noté Henry Raymond Rogers, M.D., en 1895. Non seulement le bacille virgule a été trouvé régulièrement chez des personnes en bonne santé, mais il a également été trouvé dans des cas d’autres maladies diarrhéiques. Koch lui-même en était conscient, puisqu’il a déclaré en 1893 que « l’absence ou plutôt la non-détection de bactéries cholériques dans un cas suspect de choléra » était due au manque de compétence des enquêteurs et que ce n’était pas parce qu’on avait trouvé des bactéries cholériques dans les dépôts solides de personnes apparemment en bonne santé qu’il ne s’agissait pas de « véritables cas de choléra ». Ainsi, le bacille n’a pas répondu au premier postulat de Koch, puisqu’il a été trouvé dans d’autres maladies et également chez des personnes non malades.

Robert Koch et sa théorie germinale du choléra

Dunkerque, N. Y., juin 1895.

Robert Koch a cherché à expliquer la cause de certaines maladies en partant de l’hypothèse de l’action de germes pathogènes, invisibles à l’œil humain. Lors de l’examen microscopique des selles des malades atteints de choléra, il a trouvé différentes formes et sortes de germes, dont un en forme de virgule, qu’il a cru être la cause de cette maladie. Grâce au processus de « culture » et d’« expérimentation » sur les animaux inférieurs, il affirme avoir démontré que ce germe est la cause réelle de la maladie. Il était tellement convaincu que cet objet en forme de virgule nouvellement découvert était la cause du choléra que, pendant plusieurs années, il a continué à affirmer avec la plus grande assurance que la présence de ces bacilles en forme de virgule dans les déjections d’une personne soupçonnée d’être atteinte de cette maladie constituait une preuve positive qu’il s’agissait d’un cas de choléra asiatique pur.

Mais cette théorie du bacille en forme de virgule du choléra s’est avérée un échec. Ces germes invisibles en forme de virgule se révèlent aujourd’hui universels et inoffensifs. On les trouve dans les sécrétions de la bouche et de la gorge des personnes en bonne santé, ainsi que dans les diarrhées courantes de l’été partout dans le monde ; ils pullulent dans les intestins des personnes en bonne santé et on les observe également dans les écoulements fécaux durcis. Le Dr Koch affirme aujourd’hui que ces bacilles sont universellement présents. Il nous dit même que : « L’eau, quelle que soit sa provenance, contient fréquemment, pour ne pas dire invariablement, des organismes en forme de virgule. »

Les docteurs Pettenkofer de Munich et Emmerich de Berlin, médecins de grande renommée et experts de cette maladie, ont bu chacun un centimètre cube de « bouillon de culture » contenant ces bacilles, sans éprouver un seul symptôme caractéristique du choléra, bien que la consommation ait été suivie dans chaque cas de selles liquides grouillantes de ces germes.

Le Dr Koch s’est tenu au courant des faits susmentionnés, ainsi que d’autres tout aussi significatifs, et s’il avait accepté les preuves qui, année après année, lui ont été imposées, sa théorie pernicieuse du germe du choléra, avec ses conséquences les plus désastreuses pour l’humanité, aurait été inconnue à ce jour.

Henry Raymond Rogers, M.D.
https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/453342

Koch ne pouvait pas prouver son hypothèse par l’expérimentation et il l’avait en fait réfutée à plusieurs reprises en étant incapable de reproduire la maladie par des voies d’exposition naturelles. Lors de la « Conférence pour la discussion de la question du choléra » qui s’est tenue en juillet 1884 à Berlin et au cours de laquelle Koch a présenté ses preuves, Rudolf Virchow, considéré comme le père de la pathologie moderne, a conseillé la prudence en soulignant l’absence de preuves absolues de l’hypothèse de Koch. Or, non seulement les preuves manquaient, mais elles étaient complètement réfutées. Comme le souligne le Dr Rogers, Koch n’a pas été le seul à réfuter son hypothèse. D’autres chercheurs, tels que Max von Pettenkofer, le Dr Rudolph Emmerich, le Dr Emmanuel Edward Klein et Ilya Metchnikoff, ont tous fait des expériences sur eux-mêmes avec des cultures pures de bacilles virgules et ont obtenu des résultats négatifs, réfutant ainsi davantage l’hypothèse. Ferrau et Haffkine ont inoculé à plus d’un demi-million d’Hommes des cultures vivantes du vibrion cholérique sans provoquer un seul cas, ce qui a apparemment conduit à l’adage « on peut manger le choléra, on peut boire le choléra, mais on ne peut pas l’attraper ». Un article sur l’histoire du choléra affirme même que Koch a fait une expérience sur lui-même en buvant une culture pure, avec des résultats négatifs. Je n’ai toutefois pas pu vérifier cette affirmation, et l’auteur a peut-être confondu Koch et Pettenkofer. Quoi qu’il en soit, il est clair que Robert Koch a échoué de manière spectaculaire à prouver son hypothèse, et qu’il n’a pu satisfaire qu’un seul de ses quatre postulats logiques (produire une culture pure) qui sont considérés comme nécessaires pour prouver qu’un microbe est à l’origine d’une maladie. Comme l’a admis le professeur Dr Albert Johne en 1885, « le lien étiologique entre la virgule de Koch et le choléra asiatique reste encore à prouver par une expérience directe ». Il est facile de constater que, de toutes les manières possibles, Koch n’a pas réussi à prouver son hypothèse.

Qu’il s’agisse de l’anthrax, de la tuberculose ou du choléra, Robert Koch a involontairement réfuté toute hypothèse pouvant être établie à partir d’un phénomène naturel observé sur la manière dont ces maladies étaient censées se propager dans la nature. Comme Koch n’était pas en mesure de recréer la maladie par des voies d’exposition naturelles, il s’est contenté de créer une maladie artificielle chez les animaux par le biais de diverses procédures grotesques et invasives qui impliquaient de torturer et d’injecter des substances à des animaux de laboratoire de différentes manières. Bien qu’il n’ait pas réussi à fournir de preuves scientifiques valables à l’appui de son hypothèse, Koch a été salué comme le « grand chasseur de microbes » et récompensé généreusement pour ses efforts. Il a été célébré pour les techniques pionnières qu’il a introduites, permettant la culture et l’identification pures des bactéries, et ses postulats logiques ont été adoptés comme essentiels pour prouver que n’importe quel microbe était la cause d’une maladie particulière.

Malgré la logique pure qu’exigeaient ses postulats pour identifier un agent causal, Koch a fini par les abandonner lorsqu’il est apparu clairement qu’il était incapable de prouver ses hypothèses en s’en tenant à ses propres critères logiques. Koch devait admettre qu’il s’était trompé et risquait de perdre la célébrité, la fortune et le prestige qui accompagnaient son nouveau statut de chasseur de microbes. Robert Koch a donc tourné le dos à la méthode scientifique et abandonné ses propres règles logiques, jetant les bases nécessaires à l’essor de la pseudoscience avec la création de scénarios irréfutables5 qui ont été utilisés comme moyens de sauvetage pour sauver l’hypothèse réfutée des germes. Les personnes en bonne santé pouvaient être considérées comme malades. Les « agents pathogènes » n’avaient pas besoin d’être obtenus à partir d’une culture pure. Il n’était pas nécessaire de recréer expérimentalement la même maladie. Suivant l’exemple de Koch, des preuves défiant la logique ont pu être présentées comme des « preuves » valables qu’un agent pathogène supposé était la véritable cause d’une maladie donnée, alors que les preuves montraient le contraire. Cela a permis d’élever frauduleusement l’hypothèse réfutée des germes au rang de « théorie », afin qu’elle puisse s’imposer comme le paradigme dominant.

Quoi qu’il en soit, cette enquête en deux parties sur les preuves utilisées pour affirmer que l’hypothèse des germes a été prouvée par Pasteur et Koch devrait montrer clairement que rien n’est plus éloigné de la vérité. L’hypothèse des germes, telle qu’elle a été élaborée sur la base d’un phénomène naturel observé, n’a pas pu être prouvée par des expériences reflétant la voie hypothétique de l’exposition naturelle. Pasteur et Koch ont dû recourir à des méthodes contre nature et grotesques pour tenter de rendre les animaux malades. Ils ont tous deux été incapables de satisfaire aux quatre postulats logiques essentiels attribués à Robert Koch, qui sont censés prouver que tout microbe peut réellement causer une maladie. Ils ont dû contourner et enfreindre les règles afin de faire concorder leurs preuves. Pourtant, dans de nombreux cas, des chercheurs indépendants ont présenté des preuves qui contredisaient complètement ce que les deux hommes avaient avancé. Ainsi, l’hypothèse des germes n’a jamais été prouvée par des preuves issues de la méthode scientifique et conformes à la logique des postulats de Koch. L’hypothèse des germes a été réfutée involontairement par Pasteur et Koch, ainsi que par les divers chercheurs indépendants qui l’ont mise à l’épreuve. Elle n’aurait jamais dû être élevée au rang de théorie scientifique. Au contraire, elle devrait être reléguée dans la corbeille à papier avec toutes les autres hypothèses réfutées.


1 Support matériel de la contagion — NDT.

2 NDT Pour les conditions nécessaires et suffisantes permettant de démontrer un lien de causalité entre deux phénomènes, voir :
https://nouveau-monde.ca/lenterrement-de-la-theorie-virale/#causalite

3 Tuberculose pulmonaire — NDT.

4 Susceptibles de subir des lésions torpides (c.-à-d. non évolutives) de la peau, des ganglions lymphatiques ou des os — NDT.

5 Et donc non scientifiques, puisque toute théorie scientifique doit être par essence réfutable — NDT.




Rebondissement dans l’affaire de la gestion de la crise Covid : une sénatrice dévoile tout !




Les « Fact-Checkers » de Facebook sur les vaccins Covid sont financés par les fabricants de vaccins !




Dans l’univers des soins

[Source : apocalypseenapproche.wordpress.com]

Par Amal

Les futurs dentistes

Georgette et Olivette sont étudiantes à l’hôpital universitaire bucco-dentaire. Elles ont vingt-deux ans. Elles ont un visage angélique. Elles ont une voix douce et elles sont charmantes quand on les voit la première fois. Les deux jeunes filles se ressemblent : les mêmes charlottes colorées, les mêmes perles autour du cou, les mêmes boucles d’oreilles en or, les mêmes crocs colorés, les mêmes masques roses et les mêmes tenues. Elles ne sont pas sœurs, mais c’est tout comme. Il y a chez elles une attitude détendue, décomplexée et je dirai un peu trop cool. Elles veulent sympathiser avec le patient. Elles se racontent des anecdotes en riant. Elles parlent de leurs examens. Elles parlent de leurs parents. Elles parlent de leurs professeurs. Elles travaillent lentement, sans organisation et sans méthode. Elles enfilent les gants, touchent la poubelle et reviennent vous mettre ça dans votre bouche sans tilter. Elles font tomber des objets qu’elles réutilisent sans désinfecter.
Georgette et Olivette n’aiment en faire qu’à leur tête, si une consigne d’un professeur ne leur convient pas, elles ne la suivent pas. Si un professeur leur fait une critique, elles se vexent et râlent. Elles sont de mauvaise foi aussi. Elles se comportent comme des petites garces gâtées à qui on a tout cédé.
Un jour, elles ont décidé de jouer à un petit jeu de pute. Elles ont donné un rendez-vous. La veille du rendez-vous, elles l’annulent. Elles redonnent un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante, qu’elles annulent encore la veille du rendez-vous et le remplacent à nouveau, et cela, pendant deux bons mois.
Elles ont été signalées au chef de service et changées par un nouveau binôme.

Voilà une génération d’incompétents et de capricieux qui arrivera dans deux ans sur le marché du travail. La catastrophe arrive.

Le kiné

Dylan est kiné, c’est un jeune homme de trente ans. Blond, grassouillet et grand. Porte des jeans slim clairs qui lui tombent sur les fesses. Of course, on voit l’élastique de son boxer, car monsieur n’a pas pensé à l’accessoire indispensable qu’est la ceinture. Son haut est une tunique en col V et à manches courtes, portée sans maillot, ce qui permet de découvrir la toison généreuse de son torse. Il lui arrive de mettre un bermuda style jogging avec un t-shirt Mickey Mouse. Je répète, il a trente ans.
Dylan est maniéré comme Gérard dans Les filles d’à côté. Au début, j’ai cru que c’était une « Tata », mais à la deuxième ou troisième séance, il m’a confié qu’il était en couple avec une jeune femme et qu’il avait un enfant.
Bref, c’est Dylan, la pipelette, le moulin à parole très haut débit. Il ne peut pas rester une minute sans sortir un mot de sa bouche. Il en est conscient et s’en fout.
Il parle de tout et de rien avec une légèreté inquiétante. Il accepte mes points de vue, mais n’est pas affecté.
Il entend ce que je dis, mais ne percute pas. Il est de glace quand je lui fais observer les défaillances de notre monde. Il constate les changements, mais ne s’en inquiète pas.
J’ai parlé avec lui de politique, de l’actualité nationale et internationale et du wokisme. Sans surprise, il est indifférent.

Je lui demande si ça ne le gêne pas que dans notre petite ville de campagne, on croise un mec en robe et talons hauts. Il me répond : « Ah, je crois bien que je sais de qui vous parlez. » Oui et ? Il s’en fout. Il ne percute pas du danger qui s’approche et du poison qui se dilue petit à petit. Pour Dylan, l’essentiel, c’est les potins et de raconter sa life [sa vie].
Fin du massage, il m’accompagne en chantonnant, tout joyeux et heureux. Il a déjà oublié notre conversation.
Au revoir et bon week-end !

Le spécialiste

Le docteur Ahmed est un homme grand, imposant et très calme. Il parle mal français et l’écrit comme il peut. D’ailleurs, dans son dernier rapport, il m’a recommandé « la mère » au lieu de « la mer » ; ou il a de l’humour noir.
Le docteur Ahmed a un immense bureau, avec des meubles des années soixante-dix. Il y a des fauteuils, des objets médicaux çà et là, des posters… Il a une grande bibliothèque. On a l’impression d’être avec « El maestro » de la spécialité.

Le docteur Ahmed a hélas vite montré ses limites, à vrai dire. Il n’est pas si perspicace. Il est vague dans ses explications. Il faut insister pour avoir des réponses. Il passe son temps à noter sur son ordinateur. Il est sûr qu’il y a un problème, mais ne s’en inquiète pas. Il faut juste continuer le traitement qui ne marche pas pour être sûr qu’il ne marche pas.
En somme, c’est la même depuis le départ. J’ai un problème, on ne sait pas d’où ça vient ni ce que c’est. Je crois que le mystère va rester tel quel.
Au revoir, prochain rendez-vous dans six mois.
Bon, je crois que le concept de guérison n’est pas dans la philosophie de nos spécialistes.
Je suis déçue du docteur Ahmed. Il est comme les autres.

Conclusion

Afin d’éviter d’avoir affaire aux susnommés, je vais essayer de suivre le conseil pertinent, mais irréalisable de Jean Castex, celui d’éviter de tomber malade.

[Note de Joseph : C’est visiblement la plus sage des résolutions ; et la probablement meilleure prévention consiste à maintenir son homéostasie interne et son équilibre sur les divers autres plans, ceci par :
– une alimentation saine (pas d’aliments ultra-transformés ou empoisonnés, mais bio…), variée et modérée ;
– l’absence d’injection de vaccins et de pseudo vaccins ;
– l’absence d’absorption de drogues allopathiques (privilégier les plantes médicinales [tisanes, décoctions, onguents, huiles essentielles…], les médecines douces et naturelles, en cas de besoin) ;
– un environnement sain (sans Wi-Fi à la maison, sans smartphone, sans Bluetooth, pour limiter — tant que faire se peut — l’exposition aux ondes électromagnétiques pulsées, etc. Voir le dossier 5G et ondes pulsées) ;
– une activité physique modérée ;
– suffisamment de sommeil ;
– la gestion du stress (notamment par une philosophie de vie appropriée, par des exercices respiratoires, et/ou par la pratique d’un art martial tel que le Qi Gong) ;
– le domptage des émotions (sans les réprimer, mais en les canalisant et les orientant par le mental et la volonté) ;
– la gestion des pensées (par la méditation, la contemplation…) ;
– le lien à l’essence des choses, de soi-même et de l’Univers (dimension spirituelle).]




Covid-19 : les « complotistes » avaient vu juste

Par Me NONOBSTANT

[NDLR L’Histoire récente nous a cependant largement montré que s’élever contre la vaccination pasteurienne ou la fausse vaccination à supposé ARNm n’empêche nullement les entreprises pharmaceutiques de continuer de sévir et de contrôler l’enseignement médical, ni les Bill Gates et autres milliardaires de poursuivre leur agenda eugéniste.
Par contre, si suffisamment de monde en général et de personnels soignants en particulier poussent plus avant leur démarche « complotiste » de remise en question des croyances modernes et creusent plus profond, ils réaliseront probablement et en nombre suffisant la vacuité et l’ineptie scientifique de l’hypothèse virale (abusivement nommée, désormais, « théorie virale »)1, et il n’existera plus mondialement aucun justificatif aux vaccins et autres cocktails thérapeutiques prétendument « antiviraux » ni aux diverses mesures « sanitaires ». Les maladies dites virales ont bien d’autres causes que les virus pathogènes fantomatiques, et les diverses substances utilisées en allopathies pour soi-disant soigner ne contribuent le plus souvent qu’à soulager des symptômes, ceci en produisant de surcroît des effets secondaires plus ou moins nocifs. Consulter le dossier Vaccins et virus permettrait au lecteur d’approfondir le sujet.]





Thierry Meyssan et le super-État européen

Par Nicolas Bonnal

Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes.

Dans un excellent et récent texte, Thierry Meyssan rappelle froidement :

« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le “Nouvel ordre européen” que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le “Nouvel ordre européen”, une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »

On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur unification européenne et leur croisade antirusse.

Meyssan ajoute que cette Europe atlantiste-totalitaire est politiquement composée de la gauche et du centre-droit (souvenez-vous de la liste Weil et de la liste socialiste en 1979…) :

« Alors que l’Union européenne s’apprête à se transformer en un État unique, son évolution politique prend un pas autoritaire. »

On rassure Meyssan cette fois : l’Europe est depuis longtemps fasciste et techno-totalitaire sous sa verbosité démocratique. C’est une bureaucratie…

Il y aura un débat. Certains partis seront plus égaux que d’autres :

« Cinq d’entre eux débattront en eurovision de leur projet pour présider la Commission européenne. Il s’agit de :
• Walter Baier, Gauche européenne ;
• Sandro Gozi, Renouveler l’Europe maintenant ;
• Ursula von der Leyen, Parti populaire européen ;
• Terry Reintke, Verts européens ;
• Nicolas Schmit, Parti socialiste européen. »

Malgré son avilissement et sa soumission, la droite identitaire n’aura pas voix au chapitre :

« Le groupe “Identité et démocratie” n’a pas été invité à ce show. Car les cinq groupes précédents ont une conception particulière de la démocratie. Ils considèrent qu’Identité et démocratie ne jouent pas le même jeu qu’eux et donc, refusent de débattre avec lui. »

Il y aura un débat, mais en anglais ! Or :

« Mais aucun État n’a demandé que l’anglais soit une des langues de l’Union. Malte, par exemple, qui a fait de l’anglais l’une de ses deux langues officielles, a préféré que ce soit le maltais qui soit utilisé à Bruxelles. Pourtant, l’anglais est devenu, de facto, la 24e langue de l’Union et la seule commune à tous. Cela n’a évidemment aucun rapport avec le fait que l’UE soit, non pas un projet européen, mais un projet anglo-saxon. »

De toute manière les jeux sont faits : ce sera le banquier d’affaires Goldman Sachs, le plus dangereux de tous, qui sera imposé pour mener le naïf troupeau à l’abattoir :

« Au demeurant, cet étrange débat importe peu puisque chacun sait que le président de la Commission sera probablement choisi en dehors de ce cénacle : ce devrait être le banquier Mario Draghi. Ce n’est pas impossible puisqu’en 2019, Ursula von der Leyen n’a pas participé à ce débat et est pourtant devenue présidente de la Commission. »

Meyssan insiste :

« Comprenez bien : certes Mario Draghi a 76 ans, mais c’est l’ancien gouverneur de la Banque centrale européenne. Dans cette fonction, il a tout fait pour que l’euro devienne irréversible. Il est parvenu, “Whatever it takes” (en anglais dans le texte), à le sauver de la crise de la dette souveraine des années 2010. Il n’a résolu aucun problème et a aggravé le gouffre qui sépare les économies des États-membres. D’un point de vue des États-membres, c’est donc un incapable, mais pas de celui des banquiers d’affaire ; une caste qui a toujours été la sienne (il fut le numéro 2 de Goldman Sachs pour l’Europe). »

On a bien avancé sur le libre-échange (dont l’unique mot d’ordre est depuis toujours : tout doit disparaître) :

« Au cours des dernières semaines, l’UE n’a pas avancé d’un iota face aux accords de libre-échange qu’elle a signé en violation de ses règles internes. À ses yeux, il suffit d’attendre pour que le problème disparaisse : d’ici quelques années, les secteurs agricoles touchés auront disparu. »

La Commission est toute-puissante dans tous les domaines (elle va créer son armée, et gare aux Russes et aux contestataires) :

« La Commission n’a pas eu de difficulté à s’emparer des questions d’armement. Elle l’avait déjà fait pour les médicaments durant l’épidémie de Covid. Notez bien que la généralisation de ces médicaments n’a pas fait la preuve de son utilité face à la Covid-19. Là n’est pas le problème. Il ne s’agissait pas d’une épidémie dévastatrice, mais d’un prétexte à un exercice de mobilisation dans lequel chaque puissance a montré ce qu’elle pouvait obtenir. De ce point de vue, la Commission a prouvé qu’elle pouvait s’emparer d’un thème qui n’était pas de son ressort et qu’elle pouvait même conclure des contrats gigantesques au nom de ses membres sans leur dévoiler le secret de ses négociations. »

Tout devra disparaître, même nos ambassades :

« Lorsque l’UE sera devenue un État unique, la Commission devrait faire preuve de la même habileté et plus encore, puisque son action ne sera plus entravée par les 27 États-membres. Ils auront disparu. Après cette fusion, le banquier Mario Draghi devrait réaliser des “économies d’échelle”. Par exemple : il est inutile de gaspiller en ambassades pour chaque État-membre, un seul réseau suffit pour l’État-unique. Tant qu’à faire, les privilèges des uns seront mis au service de tous. Par exemple, le siège permanent des Français au Conseil de sécurité des Nations unies reviendra à l’Union. Ou encore, la Bombe atomique française sera remise à la Défense de l’Union. Les États neutres, tels que l’Autriche, auront de toute manière disparu. »

On a mis au pas le seul contestataire, le petit président slovaque (et on a revendiqué l’attentat) :

« Le véritable obstacle à la création d’un État-unique ne peut venir que des États-membres refusant de disparaître. Il réside dans le Conseil des chefs d’États et de gouvernements… Il y a quelques jours, le problème a été réglé : le 15 mai 2024, un individu a tiré cinq coups de feu à bout portant sur lui. Robert Fico a immédiatement été évacué (photo). Il a déjà été opéré deux fois et ses jours ne sont plus en danger. Le débat qu’il animait au sein du Conseil est interrompu. Il ne devrait pas reprendre. »

Meyssan conclut glacialement :

« L’Histoire de l’UE est déjà écrite. Ce qui est merveilleux avec ce projet, c’est qu’au fur et à mesure qu’il s’accomplit, on découvre pourquoi Bruxelles a imposé des règles et des faits qui n’avaient aucun sens lorsqu’ils ont été arrêtés, mais en prennent un désormais. »

Meyssan omet incidemment l’horreur numérique (euro, contrôle social, vaccins constants et obligatoires sinon…) qui nous attend : voyez l’arrogance insensée du fils Barrot (oh, ces centristes cathos giscardiens…) pour vous faire une idée.

Je rappelle un texte de Trotski que j’avais étudié il y a quelques années. Il se passe de commentaires :

« L’histoire favorise le capital américain : pour chaque brigandage, elle lui sert un mot d’ordre d’émancipation. En Europe, les États-Unis demandent l’application de la politique des “portes ouvertes”… Mais, par suite des conditions spéciales où se trouvent les États-Unis, leur politique revêt une apparence de pacifisme, parfois même de facteur d’émancipation. »

Et on était en 1924… Regardez ce que Trotski ajoute :

« Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme ; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. »

On parlait de gauche ? De social-démocratie ? De banques américaines (Davos, c’est elles…) ?

« En d’autres termes, la social-démocratie européenne devient actuellement l’agence politique du capital américain. Est-ce là un fait inattendu ? Non, car la social-démocratie, qui était l’agence de la bourgeoisie, devait fatalement, dans sa dégénérescence politique, devenir l’agence de la bourgeoisie la plus forte, la plus puissante, de la bourgeoisie de toutes les bourgeoisies, c’est-à-dire de la bourgeoisie américaine. »

Et Trotski enfonce le clou :

« Le capital américain commande maintenant aux diplomates. Il se prépare à commander également aux banques et aux trusts européens, à toute la bourgeoisie européenne. »

Et l’interminable guerre euro-américaine contre la Russie permettra de renforcer l’État totalitaire européen.

Je laisserai Tolkien tempêter (lettre du 9 décembre 1943) :

May the curse of Babel strike all their tongues!
[Que la malédiction de Babel frappe toutes leurs langues !]

Sources principales :

https://www.voltairenet.org/article220791.html

https://www.voltairenet.org/article220899.html

Des perspectives du développement mondial (Rapport fait par Trotsky, le 28 juillet 1924, à l’assemblée des vétérinaires de Moscou)

https://www.dedefensa.org/article/de-gaulle-face-a-la-doctrine-hallstein

https://www.dedefensa.org/article/trotskiet-la-balkanisation-de-leurope

https://www.dedefensa.org/article/lue-veut-sa-guerre-pour-verrouiller-sa-dictature




Et la grippe aviaire continue de sévir…

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly — 28 mai 2024 (mise à jour le 29 mai pour inclure les nouvelles concernant l’abattage des poulets dans l’Iowa)

L’histoire de la grippe aviaire évolue sans cesse, alors je me suis dit qu’il était temps de faire une mise à jour.
Vous savez… pour vous tenir au courant de la situation des poulets.



En avril dernier, on parlait de la grippe aviaire qui passait des oiseaux au bétail, puis du bétail à l’homme, et de la nécessité d’arrêter de manger de la viande rouge.

[Voir « La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »]

Les choses ont évolué depuis. Le mois de mai a été très chargé pour les observateurs de la grippe aviaire.

Le 9 mai, on apprenait que 70 personnes au Colorado étaient « surveillées » pour la maladie à la suite d’une « exposition potentielle », mais aucun détail sur la nature exacte ou la méthode d’exposition n’a été divulgué.

Le 21 mai, un autre travailleur du secteur de la volaille, cette fois dans le Michigan, est devenu le deuxième cas officiel aux États-Unis.

Une ferme d’élevage d’œufs de l’Iowa va abattre plus de 4 millions de volailles après la détection d’un seul cas. Près de 100 millions d’oiseaux ont été abattus depuis le début de l’épidémie en 2022.

On craint à présent que la grippe aviaire ne se soit propagée à l’approvisionnement alimentaire, après qu’elle a été détectée chez une « vache laitière condamnée ».

Il y a quatre jours, Forbes a fait état d’une « nouvelle étude » affirmant que « boire du lait infecté pourrait propager la maladie ». De son côté NPR avertit que « les tests limités laissent des questions de sécurité sans réponse » en ce qui concerne le lait cru non pasteurisé.

Mais il n’y a pas que les poulets et les vaches qui doivent nous inquiéter.

The Atlantic s’inquiète des porcs, Katherine Wu les qualifiant d’« hôtes de la grippe aviaire dont nous devrions nous préoccuper ».

Aujourd’hui même, le Telegraph a rapporté qu’une « légère évolution » de la souche de grippe H5N1 lui a permis de « s’adapter aux hôtes mammifères ».

Un écologiste a déclaré à phys.org que les infections chez les vaches laitières n’étaient que « la partie émergée de l’iceberg » et que des mammifères étaient infectés dans le monde entier.

La maladie se propage également en dehors de l’Amérique. Le troisième cas humain dans le monde serait celui d’un enfant australien récemment rentré d’un voyage en Inde, tandis que deux fermes de l’État de Victoria ont signalé des cas d’une souche différente.

Naturellement, la Chine suit le mouvement en signalant aujourd’hui son propre décès dû à une troisième souche de grippe aviaire.

Voilà donc le problème qui progresse à un rythme raisonnable. Où en est la solution ?

Un article paru dans MedicalXPress examine les « considérations éthiques » relatives à diverses interventions contre la grippe aviaire.

De nouveaux vaccins — pour les poulets et les humains — sont en cours de développement avec une efficacité comparable à celle de la Covid. Le vaccin pour l’Homme est bien sûr basé sur l’ARNm.

Reuters rapporte que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne et le Canada « prennent des mesures pour acquérir ou fabriquer des vaccins contre la grippe aviaire H5N1 ». Certains pays envisagent déjà d’obliger tous les travailleurs des élevages de volailles à se faire vacciner dès que le vaccin sera disponible.

Comme vous pouvez le constater, les choses évoluent très rapidement — presque toutes ces informations datent des trois ou quatre derniers jours.

Dans mon récent article, j’avais prédit que la grippe aviaire serait la principale candidate à la « prochaine pandémie », et il semble bien que ce soit ce vers quoi nous nous dirigeons.

[Voir Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie]

La bonne nouvelle, c’est que les cas humains ont fait grimper en flèche la valeur des actions de Moderna et de BioTech.

N’est-ce pas sympathique ?

Bien sûr, ce n’est rien comparé aux richesses qui commenceront à affluer [chez Big Pharma] lorsque les nouveaux vaccins contre la grippe aviaire seront approuvés d’urgence.

[Note de Joseph : tant que l’hypothèse virale n’est pas suffisamment reconnue comme relevant de pseudoscience, les mondialistes pourront nous refaire des « plandémies » à volonté, et la prochaine, voulue par Bill Gates pour 2025, risque en effet d’être prétendument due à la grippe aviaire.]




Les aliments ultra-transformés, arme ultime de destruction douce

[Source : armageddonprose.substack.com via santeglobale.world]

Par Ben Bartee

Nous, les serfs du techno-fief qu’est le monde moderne, pouvons — du moins en théorie, du moins pour l’instant — renoncer aux injections d’ARNm, même sous la menace de la perte de nos moyens de subsistance (bien que, en rapport avec le thème de cet article, l’ARNm modifié [ou plus probablement le graphène ? — NDLR] soit de plus en plus souvent ajouté à l’approvisionnement alimentaire, éliminant ainsi le consentement éclairé).

Voir aussi : La FDA criminelle déclare le consentement éclairé nul et non avenu

Nous pouvons jeter les prescriptions pharmaceutiques toxiques à la poubelle aussi vite que les médecins de l’industrie peuvent les rédiger.

Nous pouvons éviter les radiations de la 5G grâce à une relocalisation stratégique.

À ce jour, la plupart des armes biologiques de la technocratie déguisées en thérapies médicales ou en commodités technologiques peuvent être évitées, même si c’est souvent au prix de dépenses et de risques personnels importants.

Mais tout le monde doit manger de la nourriture et tout le monde doit boire de l’eau.

Et, à moins de draguer l’eau de son propre puits et de cultiver sa propre nourriture de manière totalement indépendante (et même dans ce cas, il n’y a aucune protection contre l’épuisement des sols ou l’introduction sur votre propriété d’un ADN OGM provenant d’une exploitation voisine), l’approvisionnement en nourriture et en eau est un environnement riche en cibles que les technocrates dépopulateurs — et les entreprises, les ONG et les gouvernements qui sont dans leurs poches — peuvent exploiter.

Voir aussi : Une action en justice est intentée pour interdire la fluoration de l’eau publique sans consentement éclairé

Il y a quelques années, j’ai pris l’habitude de lire la liste des ingrédients des produits que j’envisageais d’acheter au supermarché ou ailleurs — on pourrait dire (haletant !), de faire mes propres recherches en tant que paysan non diplômé, ce que les « experts » déconseillent sévèrement.

Une règle empirique, un peu de sagesse transmise depuis je ne sais plus où, est que si vous ne pouvez pas prononcer chacun des ingrédients, ou si la liste est plus longue que cinq articles, c’est probablement une bonne idée de passer son chemin.

Via U.S. Right to Know (caractères gras ajoutés) :

« Les “aliments ultra-transformés” sont des produits alimentaires qui ont été créés ou modifiés par rapport à leur état naturel par l’ajout de sucres ou d’édulcorants artificiels, de sel, d’additifs, de conservateurs ou d’autres produits chimiques. Les édulcorants ajoutés en particulier, y compris le sirop de maïs à haute teneur en fructose, le sucralose et l’aspartame, sont courants dans les aliments ultra-transformés.

Ils contiennent aussi souvent des additifs et des conservateurs, tels que des colorants alimentaires (notamment le rouge 40, le jaune 5 et le dioxyde de titane), du benzoate de sodium, du nitrate de sodium et du nitrite de sodium, de l’huile végétale bromée (BVO), du bromate de potassium, de l’hydroxyanisole butylé (BHA) et de l’hydroxytoluène butylé (BHT) ».

Presque tous les produits alimentaires transformés que vous achetez au supermarché sont susceptibles d’être remplis non pas d’un, mais de dizaines de ces ingrédients, un ensemble toxique d’absurdités synthétiques.

La suite via U.S. Right to Know :

« Les produits d’épicerie ultra-transformés les plus courants sont les biscuits, les sodas et les boissons énergisantes, les yaourts aromatisés aux fruits, la margarine, les pâtisseries emballées, les viandes et laits végétaux, les soupes en conserve, les repas surgelés, les céréales sucrées pour le petit-déjeuner, les barres granola et énergétiques, les hot-dogs, les charcuteries et les chips.

Des marques comme Nestlé, PepsiCo, Coca-Cola, Unilever, Frito-Lay, Kraft Heinz et Kellogg’s comptent parmi les plus grands fabricants mondiaux d’aliments ultra-transformés ».

Avec le temps — et ce n’est pas une surprise dans un monde ultra-impatient qui exige la commodité à tout prix, saturé de publicités de l’agro-industrie — la consommation d’aliments ultra-transformés augmente. À terme, il ne restera plus que Soylent Green au menu.

Voir aussi : Le PDG de Kellogg’s encourage les paysans à court d’argent à manger des céréales pour le dîner

Via l’American Journal of Clinical Nutrition (AJCN):

« En ajustant les changements dans les caractéristiques de la population, la consommation d’aliments ultra-transformés a augmenté chez tous les adultes américains de 2001-2002 à 2017-2018 (de 53,5 à 57,0 % kcal ; P-tendance < 0,001). La tendance était cohérente dans tous les sous-groupes sociodémographiques, à l’exception des Hispaniques, dans les analyses stratifiées. En revanche, la consommation d’aliments peu transformés a diminué de manière significative au cours de la période d’étude (de 32,7 à 27,4 % kcal ; P-tendance < 0,001) et dans toutes les strates sociodémographiques. La consommation d’ingrédients culinaires transformés a augmenté de 3,9 à 5,4 % kcal (P-tendance < 0,001), tandis que la consommation d’aliments transformés est restée stable à ∼10 % kcal tout au long de la période d’étude (P-tendance = 0,052). »

Nous arrivons ici à l’intersection de l’obésité morbide — une véritable épidémie en Occident s’il en est — et de l’un des pires délinquants de la liste des aliments ultra-transformés, le sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS).

Via PLOS One :

« L’obésité a augmenté de façon spectaculaire au cours des dernières décennies, un phénomène largement associé à ce que l’on appelle le “régime occidental” : des aliments à forte densité énergétique, très appétissants et à forte teneur en graisses et en sucres. Plus récemment, on s’est intéressé à la contribution possible du sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS) à l’augmentation de l’obésité. Largement utilisé dans presque tous les aliments commerciaux, du pain aux boissons, la consommation de HFCS a augmenté parallèlement à l’accroissement du poids corporel et des taux d’obésité. S’il est prouvé qu’il existe un lien entre l’augmentation de la consommation de sucre et l’augmentation de la prévalence de l’obésité et des troubles métaboliques, la contribution du HFCS en tant que tel, en raison de sa teneur plus élevée en fructose, a fait l’objet d’une controverse, avec des arguments pour et contre le HFCS, qui constitue une responsabilité spécifique au-delà de l’augmentation de la consommation de sucre en général.

Le HFCS-55, qui contient 55 % de fructose, 42 % de glucose et 3 % d’autres saccharides, est principalement utilisé dans les produits liquides. Le fructose, y compris le HFCS dont la teneur en fructose est plus élevée, est plus lipogène que les autres sucres et est métabolisé différemment. Alors que le glucose peut pénétrer dans les cellules par GLUT4 (divers tissus), GLUT3 (neurones), GLUT2 (homéostasie par absorption dans l’intestin) et GLUT1 (astrocytes et indépendant de l’insuline), le fructose utilise principalement GLUT5, que l’on ne trouve pas dans les cellules bêta du pancréas, qui est spécifique au fructose et ne répond pas à l’insuline. GLUT2 transporte également le fructose de manière non sélective, bien que ce transporteur à faible affinité soit impliqué dans le transport principalement dans le foie, l’intestin et les reins ».

Via Pharmacologie, biochimie et comportement :

« Les rats soumis à un régime riche en HFCS pendant 6 ou 7 mois présentent une prise de poids anormale, une augmentation des [triglycérides] circulants et une augmentation du dépôt de graisse. Tous ces facteurs indiquent une obésité. Ainsi, la surconsommation de HFCS pourrait bien être un facteur majeur de l’“épidémie d’obésité”, qui est en corrélation avec l’augmentation de l’utilisation du HFCS ».

Et nous ne faisons que gratter la partie émergée de l’iceberg avec le HFCS.

Qu’en est-il du Red 40, de l’aspartame, de l’huile végétale bromée ou de tout autre produit ?

Ce sont là, garçons et filles, des histoires pour un autre jour à Armageddon Prose.

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok et doté de pouces opposables.




Morts subitement — La Guerre de cinquième Génération

[Voir aussi le dossier
Vaccins et virus]




Mgr Viganò : le « plan d’extermination » mondialiste sert l’objectif de Satan de tuer le corps et l’âme

[Source : profidecatholica.com via profession-gendarme.com]

Vous trouverez ci-dessous le texte intégral d’un discours prononcé par l’archevêque Carlo Maria Viganò le 10 mai à l’Auditorium Gavirate de Varèse, en Italie.

REGARDER AU-DELÀ

Une approche « médico-légale » du crime psychopandémique
Prise de position pour le congrès « La mort niée »
Auditorium de Gavirate (Varese, Italie), 10 mai 2024

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Vous avez le diable pour père,
et vous voulez réaliser les désirs de votre père.
Dès le début, il était un meurtrier
et n’a pas persévéré dans la vérité,
car il n’y a pas de vérité en lui.
Quand il dit la fausseté, il parle de lui-même,
car il est un menteur et le père du mensonge.

Jn 8:44

L’un des effets les plus immédiats de l’opération psychopandémique diabolique et manipulatrice est le refus des masses d’admettre qu’elles sont victimes d’une fraude colossale. Sous prétexte d’empêcher la propagation d’un virus présenté comme mortel et incurable — et dont on sait aujourd’hui qu’il n’a jamais pu être isolé conformément aux postulats de Koch1 —, des milliards de personnes ont été contraintes de se faire vacciner avec un médicament expérimental dont on savait qu’il était inefficace pour son objectif déclaré. Et pour y parvenir, les autorités responsables n’ont pas hésité à discréditer les méthodes de traitement existantes, qui auraient rendu impossible l’autorisation de la vente de ce sérum génétique.

La raison de ce refus instinctif des masses de se reconnaître comme victimes d’un véritable et authentique crime contre l’Humanité n’élimine cependant pas les preuves des intentions des auteurs de ce crime. Ces intentions, proclamées pendant des décennies sur la base d’une falsification grotesque de la réalité, se traduisent par une action systématique visant à favoriser le dépeuplement de la planète par le biais de pandémies, de famines, de guerres, d’affrontements entre différents groupes de population, de l’appauvrissement des couches les plus faibles de la population et de la réduction drastique des services publics — y compris la Santé et la Sécurité Sociale — que l’État devrait garantir à ses citoyens. Le Bill & Melinda Gates Institute for Population and Reproductive Health (ici et ici) est l’un des principaux architectes d’un plan de réduction de la population qui part de l’hypothèse néomalthusienne selon laquelle la population de la Terre doit être drastiquement réduite et que les ressources alimentaires et énergétiques doivent faire l’objet d’interventions favorisant cette réduction. Les déclarations qui confirment ce plan d’éradication ne sont même plus dissimulées ; au contraire, elles sont explicitement affirmées dans les conférences et les études organisées par le réseau d’organisations et d’instituts financés par des philanthropes autoproclamés.

Mais si un lobby de gens très riches déclare vouloir réduire la population mondiale par des vaccinations de masse qui provoquent la stérilité, la maladie et la mort, et si ces vaccinations provoquent effectivement la stérilité, la maladie et la mort chez des millions de personnes vaccinées, alors nous devrions tous élargir notre horizon — et j’adresse mon appel à des juristes et des intellectuels respectés ainsi qu’à des médecins et des scientifiques — et ne pas nous limiter à une enquête dont le seul objet serait les effets nocifs et mortels du sérum expérimental. Si nous ne replaçons pas l’organisation de la psychopandémie dans le contexte plus large du plan criminel qui l’a imaginé et conçu, nous nous priverons de la possibilité non seulement de comprendre qu’il s’agit d’un crime prémédité, mais aussi d’identifier les autres fronts sur lesquels nous sommes ou serons l’objet de nouvelles attaques — qui ont toutes le même objectif final, à savoir la destruction physique de milliards d’êtres humains.

Compte tenu du fait que ces sérums ne font pas ce qu’ils ont promis lors de leur homologation par les différentes autorités sanitaires, mais qu’ils se révèlent au contraire très efficaces pour déclencher les maladies les plus graves, provoquer des décès et stériliser les vaccinés, il est nécessaire de passer à l’étape suivante — celle que le système, qui l’a imposée — et de dénoncer la malveillance et la préméditation — la mens rea, comme diraient les juristes — de ceux qui ont délibérément utilisé une fausse pandémie pour éradiquer la population, en accord avec une vision folle et antihumaniste qui considère l’humanité comme un cancer de la planète.

Je vous invite donc à faire le prochain pas dans cette louable opération de vérité et de dénonciation dans laquelle vous vous engagez courageusement.

Ne posez pas les mauvaises questions, car vous obtiendrez les mauvaises réponses. Si vous partez du principe que les autorités sanitaires ont agi dans une intention légitime et que les erreurs commises sont dues à l’inexpérience ou à la pression de l’urgence ; si vous partez du principe que les fabricants de sérum génétique ont pour objectif la guérison des maladies et non le profit le plus cynique et la création de malades chroniques, vous déformerez la réalité et les conclusions auxquelles vous arriverez seront nécessairement trompeuses. Procédez plutôt de manière médico-légale, si l’on peut dire, de sorte qu’une parfaite cohérence apparaisse entre les moyens mis en œuvre et les résultats obtenus, indépendamment des objectifs déclarés ; sachant que les véritables motivations ont dû être cachées et niées précisément en raison de leur désir inhérent de nuire. Qui admettrait jamais, avant d’imposer frauduleusement un traitement génétique de masse, que l’objectif visé est de rendre une très grande partie de la population mondiale soit malade, soit stérile, soit morte ?

Mais si tel est l’objectif de l’idéologie néomalthusienne, s’il existe des preuves que les effets nocifs des sérums ont été malicieusement dissimulés ; si les différents lots contiennent des substances qui n’ont aucune justification prophylactique mais qui, au contraire, provoquent des pathologies et permettent une manipulation de l’ADN humain, alors les conclusions logiques ne peuvent que mettre en évidence la volonté criminelle derrière l’opération et donc la complicité coupable des institutions publiques, des institutions privées, voire des dirigeants de la hiérarchie catholique, des médias, de la justice, de la police, des forces armées et de l’ensemble du corps médical — sauf très rares exceptions — dans une opération de destruction massive.

Quis custodiet ipsos custodes ? (Qui gardera les gardiens eux-mêmes ?) demande Juvénal (Satires, VI, 48-49). Lorsqu’un système de gouvernement est structuré de telle sorte que ceux qui détiennent le pouvoir peuvent nuire à ceux qui doivent leur obéir, lorsque des forces qui ne sont légitimées par aucun mandat politique ou social parviennent à diriger des gouvernements entiers et des institutions supranationales avec l’intention de s’approprier le pouvoir et de concentrer entre leurs mains tous les instruments de contrôle et toutes les ressources — finances, santé, justice, transports, commerce, alimentation, éducation, information ; lorsqu’une entité subversive peut se targuer publiquement d’avoir des premiers ministres, des ministres et des fonctionnaires à son service2, nous devons ouvrir les yeux et dénoncer l’échec de ce pacte social qui est à la base de la coexistence civile et qui légitime la délégation de pouvoirs du peuple à ses représentants. Et cela doit nécessairement faire prendre conscience que la pandémie — tout comme l’état d’urgence climatique et toutes les autres pseudo-catastrophes orchestrées par le même lobby à des fins d’intimidation — est une pièce essentielle dans le cadre d’un coup d’État global plus vaste auquel il faut s’opposer, dont les auteurs — tant à la tête de ces organisations subversives que dans les gouvernements, les institutions publiques et au plus haut niveau de l’Église catholique — seront inévitablement poursuivis pour haute trahison et crimes contre l’humanité.

Mais pour cela — vous devrez le reconnaître après quatre ans — il est indispensable de comprendre que ce lobby criminel agit pour le mal, sert le mal et vise la mort non seulement du corps, mais aussi de l’âme de chacun d’entre nous3 ; que ses émissaires sont des serviteurs de Satan qui se sont voués à la destruction de tout ce qui ressemble de près ou de loin à l’œuvre parfaite de la création, de tout ce qui se rapporte à l’acte généreux et gratuit par lequel le Créateur donne la vie. Satan est un meurtrier depuis le début (Jn 8,44) et ceux qui le servent ne peuvent faire autrement que de souhaiter la mort, quel que soit le moyen utilisé pour la provoquer.

Faire comme si nous avions affaire à de vils marchands qui ne s’intéressent qu’à l’argent et refuser de voir la matrice satanique du plan mondialiste est une erreur impardonnable qu’aucun d’entre nous ne doit commettre si nous voulons vraiment arrêter la menace qui pèse sur l’humanité entière. Pour cela, je vous assure de mes prières et vous demande la bénédiction de Dieu et le patronage de la Sainte Vierge Salus Infirmorum.





Graphène : de micro à nanotechnologie

[Source : @Poussix81]

ℹ️ Le graphène, substance connue jusqu’à récemment seulement par un petit groupe d’initiés est aujourd’hui sur toutes les lèvres.

Entre ses détracteurs et ceux qui en sont devenus quasiment des adeptes, cet assemblage malléable d’atomes de carbone aux propriétés conductrices tant apprécié des neurones subit attaques et tentatives d’invisibilisation. Et de fait, le graphène n’a pas fini de susciter l’émoi.

C’est en 2021 que Guillaume Bousquières et Sébastien Iozzia se voient contraints de renoncer au métier qu’ils aiment et les passionne : le soin.

L’un est naturopathe, l’autre infirmier et laborantin. L’obligation vaccinale contre la Covid-19, à base de produits expérimentaux dont on ignore encore aujourd’hui la composition exacte, entre en vigueur, balayant les rêves des deux amis comme ceux de tant de soignants.

Seuls une insatiable curiosité et le besoin de comprendre vont permettre à ces courageux, plus connus maintenant sous le nom de Next dose, de ne pas sombrer.

Un camping-car et un microscope optique plus tard, leurs constatations sont sans appel : ces injections contiennent bien d’autres choses que les vaccins classiques.

À force de persévérance, leur technique s’améliore, leur compréhension des phénomènes aussi ; leur notoriété s’accroît. Ce ne sont plus seulement des flacons de produits qu’ils peuvent observer ou leur sang y mélangé, mais bien celui des personnes qui, contraintes ou convaincues par la ruse et les mensonges d’état, sont à présent victimes de graves soucis de santé et cherchent des réponses.

De nombreux patients souffrant d’effets indésirables parfois très étranges, vont donc les contacter. Mais pas seulement…

Les travaux et publications des Next dose, qui corroborent les observations faites à l’international, attirent l’attention de quelques personnes à l’équipement bien plus performant. C’est avec un microscope électronique cette fois que de nouvelles découvertes sont faites. Micro, puis nanotechnologies apparaissent sur les écrans, confirmant les pires craintes que l’équipe pouvait avoir en lisant brevets officiels et publications délirantes sur la 6 G ou l’internet des corps et le contrôle des masses.

Pour sa seconde édition, le Conseil Opérationnel et Scientifique, ou COS, animé par le docteur Laurence Kayser, accueille Guillaume et Sébastien pour une émission hors normes (et en français, ce qui est chose rare) où les images et vidéos les plus frappantes des Next dose tentent de soulever un coin du voile sur les injections anti-covid tout en appelant les savants du monde entier à mettre leurs compétences, moyens et carnets d’adresses au service de la science véritable pour le plus grand bien de l’humanité.

Les questions posées ici sont d’une particulière gravité.

  • 00:00 : Introduction et présentation
  • 12:58 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 1
  • 13:32 : Après la 5 G en 2020, arrivée de la 6G en 2030
  • 17:17 : Des Microsystèmes aux Nanosystèmes
  • 24:34 : Le graphène
  • 28:18 : Un brevet et des études scientifiques qui interpellent
  • 31:40 : Les rapports de l’OTAN
  • 35:10 : Les masques au graphène
  • 40:50 : L’origine du graphène dans les injections, le rapport Pablo Campra
  • 42:07 : Présence de graphène dans le sang ?
  • 57:02 : Mécanisme de croissance des nanotubes de carbone (graphène)
  • 1:01:29 : Témoignage d’une personne injectée
  • 1:11:45 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 2
  • Réactions de l’organisme face à ce corps étranger
  • 1:11:55 : L’oxyde de graphène est dégradé par les neutrophiles
  • 1:15:20 : Les injections peuvent engendrer des fusions de neutrophiles
  • 1:20:58 : Les injections peuvent engendrer des Nétoses (mort des neutrophiles), l’oxyde de graphène peut induire la Nétose
  • 1:29:28 : Les injections peuvent engendrer des agglutinations de plaquettes, la Nétose induit la thrombogenèse
  • 1:32:26 : Le principe de fonctionnement des puces interrogeables à distance (présentation par un ingénieur spécialiste en microtechnologie)
  • 1:52:35 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 3
  • 1:53:32 Les valeurs limites d’exposition
  • 1:57:00 : Détection de champs électriques chez des personnes injectées
  • 2:00:55 : Détection d’adresses MAC in vitro et chez des personnes injectées
  • 2:09:41 : Solutions éventuelles
  • 2:15:27 : Quelques citations…
  • 2:18:25 : Conclusion






L’hypothèse des germes — Partie 1

Les problèmes de Pasteur

[Source : mikestone.substack.com]

Par Mike Stone
17 MAI 2024

Selon l’Encyclopaedia Britannica, la « théorie » des germes, qui affirme que certaines maladies sont causées par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes trop petits pour être visibles, a « longtemps été considérée comme prouvée ». Selon l’université de Harvard, cette « théorie » a été « développée, prouvée et popularisée en Europe et en Amérique du Nord entre 1850 et 1920 environ ». Wikipédia affirme que la « théorie » des germes est « la théorie scientifique actuellement acceptée pour de nombreuses maladies ». Des articles publiés dans des revues scientifiques affirment que Louis Pasteur et Robert Koch « ont fermement établi la théorie des germes de la maladie » et qu’ils « ont prouvé pour la première fois la théorie des germes de la maladie dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle ». Ainsi, si nous devions écouter ce que déclarent les sources dominantes, il semblerait que la « théorie » des germes ait été scientifiquement prouvée sur la base des preuves établies par Louis Pasteur et Robert Koch. Il faut croire que les travaux de ces deux hommes ont permis de « prouver » l’hypothèse initiale des germes et de l’élever au rang de théorie scientifique. Mais est-ce vraiment le cas ? Pasteur et Koch ont-ils apporté les preuves scientifiques nécessaires à la confirmation de l’hypothèse des germes ? Que faut-il pour accepter ou rejeter une hypothèse ? Comment une hypothèse devient-elle une théorie scientifique ? Dans la première partie d’un examen en deux parties de l’hypothèse des germes portant sur les travaux des deux hommes, nous commencerons par examiner deux des premières tentatives de Pasteur pour prouver son hypothèse : dans les cas du choléra des poules et de la rage. Nous étudierons comment il est parvenu à son hypothèse sur les germes, puis nous chercherons à savoir si ses preuves expérimentales reflètent ce que l’on peut observer dans la nature. Ce faisant, nous découvrirons si Louis Pasteur a pu ou non valider et confirmer son hypothèse sur les germes.

Qu’est-ce qu’une hypothèse ?

Pour commencer cette enquête, nous devons comprendre ce qu’est exactement une hypothèse. Pour en revenir à Brittanica, une hypothèse scientifique est définie comme « une idée qui propose une explication provisoire d’un phénomène ou d’un ensemble restreint de phénomènes observés dans le monde naturel ». En d’autres termes, une hypothèse est une explication basée sur un phénomène naturel observé. Mais qu’est-ce qu’un phénomène naturel dans le cadre des sciences naturelles ? Selon les normes scientifiques de la prochaine génération (NSPG), un phénomène naturel est défini comme « un événement observable qui se produit dans l’univers et que nous pouvons expliquer ou prédire grâce à nos connaissances scientifiques ». Cette définition des NSPG est le fruit d’un effort de 26 États qui ont élaboré de nouvelles normes d’enseignement des sciences en collaboration avec la National Science Teachers Association (NSTA [Association nationale des professeurs de sciences]), l’American Association for the Advancement of Science (AAAS [Association américaine pour l’avancement des sciences]), le National Research Council (NRC [Conseil national de la recherche]) et l’organisation à but non lucratif Achieve. Plusieurs philosophes des sciences, comme Ian Hacking, considéré comme le premier à définir les phénomènes du point de vue des scientifiques, soutiennent la définition de la NSPG selon laquelle un phénomène est « généralement un événement ou un processus d’un certain type qui se produit régulièrement dans des circonstances définies. Le mot peut également désigner un événement unique que nous considérons comme particulièrement important ». Michela Massimi, une autre philosophe des sciences, est d’accord avec Hacking dans son livre Perspectival Realism, affirmant que « les phénomènes sont des événements : ce ne sont pas des choses, des entités, des structures, des faits ou des états de choses ». Ainsi, à partir de ces définitions, nous pouvons réduire les phénomènes naturels à des événements (ou processus) observables. Néanmoins, n’importe quel événement n’est pas suffisant. Pour qu’un phénomène soit naturel, ces événements doivent se produire dans la nature sans influence ni interférence humaine. En d’autres termes, les événements ne doivent pas être créés par l’homme. Si ces conditions sont remplies et qu’un phénomène naturel est observé, une proposition d’explication peut être formulée pour tenter de décrire ce qui peut se produire.

La Britannica poursuit en indiquant que deux caractéristiques très importantes et primordiales d’une hypothèse scientifique sont la réfutabilité et la testabilité. La réfutabilité signifie que l’hypothèse est formulée de telle sorte qu’il est possible de prouver qu’elle est fausse par l’expérimentation. Cette idée a été introduite par le philosophe scientifique Karl Popper en 1935 dans son livre The Logic of Scientific Discovery (La logique de la découverte scientifique). Selon ce concept, quelqu’un devrait pouvoir concevoir une expérience susceptible de prouver que l’hypothèse est fausse. Si une hypothèse est susceptible d’être infirmée, mais qu’elle est étayée par des preuves expérimentales de sa véracité, elle peut être considérée comme une hypothèse scientifique. Une hypothèse réfutable doit être formulée sous la forme d’une déclaration « Si… alors » qui résume l’idée établie à partir du phénomène, et elle doit pouvoir être testée, ce qui signifie qu’elle peut être étayée ou réfutée par l’expérimentation.

L’observation d’un phénomène naturel et la création d’une hypothèse réfutable et testable constituent la première partie de la méthode scientifique, comme indiqué au chapitre 2 ~ La science comme moyen de comprendre le monde naturel de l’ouvrage Environmental Science.

« La méthode scientifique commence par l’identification d’une question concernant la structure ou la fonction du monde naturel, qui est généralement développée à l’aide de la logique inductive (figure 2.1). La question est interprétée en fonction de la théorie existante et des hypothèses spécifiques sont formulées pour expliquer le caractère et les causes du phénomène naturel ».

« En revanche, une hypothèse est une proposition d’explication de la survenue d’un phénomène. Les scientifiques formulent des hypothèses sous forme d’énoncés et les testent ensuite par le biais d’expériences et d’autres formes de recherche. Les hypothèses sont élaborées à l’aide de la logique, de la déduction et d’arguments mathématiques afin d’expliquer les phénomènes observés. »

Selon Elsevier, une société néerlandaise d’édition universitaire spécialisée dans les contenus scientifiques, techniques et médicaux, sans hypothèse, il ne peut y avoir de base pour une expérience scientifique. Nous pouvons donc conclure que l’hypothèse est cruciale pour obtenir des preuves scientifiques. Ils précisent que l’hypothèse est « une prédiction de la relation qui existe entre deux ou plusieurs variables ». Cela signifie qu’une hypothèse doit être conçue et rédigée de manière à « prouver » l’existence ou non d’une relation prédite, dérivée du phénomène naturel, entre deux variables : la variable indépendante (la cause présumée) et la variable dépendante1 (l’effet observé).

Cette hypothèse est généralement formulée comme l’hypothèse nulle, qui prédit qu’il n’y a pas de relation entre les variables, et comme l’hypothèse alternative, qui prédit qu’il y a une relation entre les variables.

Une fois l’hypothèse établie, une expérience appropriée peut être conçue afin de la tester. Selon le philosophe et historien des sciences américain Peter Machamer, dans son article Phénomènes, données et théories : un numéro spécial de Synthèse (2009), l’expérience doit nous montrer quelque chose d’important qui se produit dans le monde réel. L’objectif est de s’assurer que les aspects du phénomène naturel observé qui ont été à l’origine de l’hypothèse sont « pris en compte » dans la conception de l’expérience. Ainsi, l’expérience pourra nous apprendre quelque chose sur le monde et les phénomènes étudiés. Il est donc essentiel que l’hypothèse soit testée correctement à l’aide d’un plan d’expérience qui reflète fidèlement le phénomène naturel observé et ce que l’on voit dans la nature.

L’expérience nous montre-t-elle réellement quelque chose d’important sur ce qui se passe dans le monde réel, en dehors du cadre expérimental ? La distinction entre les phénomènes et les artefacts (voir Feest 2003, 2005, 2008) permet de répondre à cette question. Ce problème se pose lorsqu’il s’agit d’opérationnaliser un phénomène afin qu’il puisse faire l’objet d’une étude expérimentale en laboratoire ou dans un autre cadre non naturel. Fondamentalement, nous voulons nous assurer que lorsque nous créons un modèle expérimental, nous sommes raisonnablement sûrs de « capturer » les aspects du phénomène qui ont suscité notre intérêt à l’origine ou que nous cherchions à expliquer. Nous voulons que nos expériences nous apprennent quelque chose sur le monde, sur les phénomènes. Lorsque nous concevons des expériences, nous essayons de simplifier les situations afin de pouvoir contrôler les variables pertinentes, ce qui nous permettra ensuite d’intervenir et d’observer ce qui se passe à la suite de l’intervention. Nous concevons des expériences pour générer des données, qui peuvent ensuite être utilisées pour nous renseigner sur l’état ou le fonctionnement du monde. Mais souvent, nous savons quelque chose du phénomène qui nous intéresse avant de mettre en place l’expérience.

Si l’hypothèse est testée correctement par le biais d’une conception expérimentale adéquate selon la méthode scientifique, et que des tests répétés renforcent la corrélation entre deux ou plusieurs choses se produisant en association les unes avec les autres et aboutissant au phénomène naturel observé, la cause d’un phénomène naturel peut être prouvée. Il est alors possible de déterminer la probabilité que l’événement se reproduise. Si les résultats sont confirmés par la réplication et la reproductibilité par des chercheurs indépendants, cela confère à l’hypothèse un pouvoir prédictif. Une fois que les prédictions fournies par l’hypothèse sont confirmées de manière répétée par une vérification indépendante et une validation par la communauté scientifique, l’hypothèse peut alors être élevée au rang de théorie scientifique.

Cependant, pour devenir une théorie scientifique, l’hypothèse doit d’abord être confirmée par une expérimentation précise et ne doit pas être réfutée. Ce fait absolument essentiel semble avoir été oublié lorsque l’hypothèse des germes a été élevée au rang de théorie scientifique. Comme l’a déclaré Albert Einstein, « Aucune expérience ne peut me donner raison ; une seule expérience peut me donner tort ». Qu’en est-il des preuves à l’appui d’une hypothèse si les expériences conçues pour refléter l’hypothèse ont échoué et que les preuves obtenues pour la « soutenir » l’ont été par des expériences qui n’étaient pas conçues correctement et qui ne reflètent pas l’explication proposée ? Si les expériences ne reflètent pas l’hypothèse dérivée du phénomène naturel observé, les connaissances acquises peuvent-elles encore être considérées comme des connaissances scientifiques qui nous disent quelque chose de vrai sur ce qui se passe réellement dans la nature ? Avec ces questions à l’esprit, voyons si les hypothèses de Louis Pasteur résistent à l’examen.

Création de l’hypothèse des germes

Selon le microbiologiste franco-américain René Dubos, le « dogme central de la théorie des germes est que chaque type particulier de fermentation ou de maladie est causé par un type spécifique de microbe ». Si l’idée que les maladies peuvent être causées par des germes invisibles existe depuis que Girolamo Fracastoro a publié De Contagione et Contagiosis Morbis en 1546, le chimiste français Louis Pasteur a élaboré sa propre hypothèse sur les germes au début des années 1860, sur la base de ses travaux sur la fermentation. Il est vrai que Pasteur avait largement plagié les travaux du chimiste et médecin français Antoine Bechamp, qu’il a ensuite mal interprétés, car Bechamp considérait que les microbes, qu’il appelait microzymas, remplissaient une fonction nécessaire et vitale en décomposant les substances et les tissus afin d’évacuer les cellules mortes et les autres déchets. En d’autres termes, les microbes sont l’équipe de nettoyage de la nature et ne sont pas la cause de la maladie. Comme il l’indique dans Le sang et son troisième élément anatomique, Bechamp considère que ces processus naissent chez tous les êtres vivants en fonction de l’environnement interne de l’individu :

« Les bactéries n’étaient pas la cause de l’état maladif, mais un de ses effets ; partant des microzymas morbides, elles étaient capables d’induire cet état maladif chez l’animal dont les microzymas étaient en état de le recevoir. On voit donc que l’altération des matières naturelles animales est spontanée et justifie le vieil aphorisme si bien exprimé par Pidoux : “Les maladies naissent de nous et en nous”. »

« D’autre part, la méconnaissance de cette loi de la nature, dont l’établissement ferme est complété par le présent travail, a nécessairement conduit M. Pasteur à nier la vérité de l’aphorisme, et à imaginer une panspermie pathogène, comme il avait auparavant conçu, a priori, qu’il y avait une panspermie des fermentations. Que M. Pasteur, après avoir été spontanéiste2, en arrive à une telle conclusion, c’est assez naturel ; il n’était ni physiologiste, ni médecin, mais seulement chimiste, sans aucune connaissance des sciences comparées ».

Pasteur, quant à lui, considérait les germes, tels que les levures impliquées dans la fermentation du sucre pour produire de l’alcool, ainsi que d’autres microbes responsables de la putréfaction et de la décomposition des tissus, comme des envahisseurs extérieurs. Il affirmait que les microbes, isolés à partir de blessures et d’autres tissus dégénérés, étaient la cause de la destruction des tissus normaux, conduisant à la maladie. Son point de vue allait à l’encontre de la notion populaire de l’époque selon laquelle les microbes étaient le résultat et non la cause de la maladie. Pasteur, ainsi qu’une minorité d’autres scientifiques pensaient que les maladies provenaient de l’activité de ces micro-organismes, tandis que des opposants tels que Bechamp et le pathologiste allemand Rudolf Virchow pensaient que les maladies provenaient d’un déséquilibre de l’état interne de l’individu atteint. Comme le note Bechamp, de même que Pasteur avait supposé qu’il existait un microbe spécifique pour chaque ferment, il a fait de même en supposant que cela devait être vrai pour les maladies humaines et animales.

Cependant, l’hypothèse des germes pose un problème, car Pasteur n’a jamais pu observer un germe « infectant » quelqu’un pour provoquer une maladie. Le seul phénomène naturel qu’il a pu observer était les signes et les symptômes de la maladie, et il a tenté d’établir une corrélation entre les microbes et la maladie en trouvant des microbes dans les plaies et les tissus malades. Comme nous le savons, la corrélation n’est pas synonyme de causalité. Le fait que des microbes soient trouvés sur le corps d’un animal en décomposition ne signifie pas que les microbes ont causé la mort de l’animal3. Les microbes apparaissent après coup pour remplir une fonction nécessaire, en l’occurrence la décomposition. Plutôt que de conclure que les microbes étaient présents dans les blessures en raison de la nécessité de guérir la blessure Pasteur a supposé que les microbes, qui, selon lui, étaient présents tout autour de nous dans l’air, étaient attirés par les blessures, profitant de leur état de faiblesse. Avec cette hypothèse a priori en tête, Pasteur a entrepris de créer des preuves pour étayer son idée préconçue.

Test de l’hypothèse des germes

Choléra du poulet

Bien que Pasteur ait eu l’idée que les maladies étaient causées par des micro-organismes dès les années 1860, il n’a pas mis son hypothèse à l’épreuve avant la fin des années 1870. Dans une conférence donnée en 1878 La théorie des germes et ses applications à la médecine et à la chirurgie prononcée devant l’Académie des sciences le 29 avril 1878, Pasteur avait déjà émis l’hypothèse de la présence d’un « virus » (c’est-à-dire d’une forme de poison chimique, le mot ne désignant pas à l’époque obligatoirement un parasite intracellulaire) dans les solutions des cultures bactériennes sur lesquelles il travaillait. Il a ensuite affirmé que ce poison s’accumulait dans le corps de l’animal au fur et à mesure que la bactérie se développait. Il est intéressant de noter que son hypothèse présuppose la formation et l’existence nécessaire de la bactérie, admettant ainsi que son hypothèse n’est basée sur aucun phénomène naturel observé.

« Il n’y a qu’une seule hypothèse possible quant à l’existence d’un virus en solution, c’est que cette substance, qui était présente dans notre expérience en quantités non mortelles, soit continuellement fournie par le vibrion lui-même, au cours de sa croissance dans le corps de l’animal vivant. Mais cela n’a guère d’importance puisque l’hypothèse suppose la formation et l’existence nécessaire du vibrion ».

Quoi qu’il en soit, les tentatives de Pasteur pour prouver son hypothèse sur les germes ont commencé plus tard la même année avec son étude de la maladie des volailles connue sous le nom de choléra des poules. Selon The Private Science of Louis Pasteur de Gerald Geison, en décembre 1878, Henri Toussaint, un vétérinaire français qui prétendait avoir cultivé la bactérie responsable, a fourni à Pasteur du sang provenant d’un poulet malade. Selon une autre version, Toussaint aurait envoyé à Pasteur le cœur d’un cochon d’Inde inoculé avec le germe présumé du choléra des poules. Quoi qu’il en soit, Pasteur tente immédiatement d’isoler le microbe dans un état de « pureté » afin de démontrer qu’il est le seul responsable du choléra des poules. Il s’aperçoit alors que le microbe se développe plus facilement dans un bouillon de poulet neutre que dans l’urine neutre utilisée par Toussaint comme milieu de culture. Pasteur remercie Toussaint, mais Geison note qu’il « laisse peu de doute sur le fait qu’il considère les travaux et les techniques de Toussaint comme nettement inférieurs aux siens ». Pasteur finit par affirmer qu’il pouvait faire des cultures successives de ce qu’il appelait le « virus » (c’est-à-dire le poison) toujours dans un état de « pureté » dans un milieu de bouillon de poule provenant de poulets malades. Il l’utilisait ensuite pour inoculer des poulets sains et provoquer des maladies.

Dans son article de 1880 intitulé Sur les maladies virulentes et en particulier sur la maladie appelée vulgairement 4, Pasteur expose son hypothèse sur la manière dont il pense que la maladie se propage. Après avoir tenté en vain de rendre des cobayes malades à l’aide de l’« organisme » cultivé, il a supposé que les cobayes pouvaient être « infectés », mais qu’ils étaient essentiellement « immunisés » en dehors de la formation d’abcès. Il a supposé que le pus des abcès laissés après l’injection contenait le microbe responsable de la maladie à l’état pur. Pasteur a ensuite émis l’hypothèse que ces pustules éclateraient et déverseraient le contenu bactérien sur la nourriture des poulets et des lapins, les contaminant et provoquant la maladie.

« L’inoculation de cet organisme aux cobayes est loin d’entraîner la mort aussi sûrement que chez les poules. Chez les cobayes, surtout d’un certain âge, on n’observe qu’une lésion locale au point d’inoculation, qui se termine par un abcès plus ou moins gros. Après s’être ouvert spontanément, l’abcès se referme et guérit sans que l’animal ait cessé de s’alimenter et d’avoir toutes les apparences de la santé. »

« Les poulets ou les lapins qui vivraient en compagnie de cochons d’Inde ayant de tels abcès pourraient tomber subitement malades et périr sans que la santé des cochons d’Inde ne paraisse le moins du monde altérée. Pour cela, il suffirait que les abcès des cobayes, à peine ouverts, déversent un peu de leur contenu sur la nourriture des poulets et des lapins. Un observateur, témoin de ces faits et ignorant la filiation dont je parle, s’étonnerait de voir poulets et lapins décimés, sans causes apparentes, et croirait à la spontanéité du mal, car il serait loin de supposer qu’il ait pris naissance chez des cochons d’Inde, tous sains, surtout s’il savait que les cochons d’Inde sont également sujets à la même affection. »

Il est clair que l’hypothèse de Pasteur concernant l’exposition à des aliments contaminés couverts de pustules de cobaye ne repose sur aucun phénomène naturel observé. Il s’agit d’une idée qu’il a évoquée après ses tentatives infructueuses de rendre des cobayes malades. Il n’y a aucune tentative de recréer ce scénario hypothétique dans l’article de Pasteur de 1880 intitulé L’atténuation de l’agent causal du choléra aviaire. Il ne mentionne pas non plus les détails exacts de ses méthodes de culture ni la manière dont les poulets ont été inoculés afin de recréer la voie d’exposition présumée. Certaines sources affirment qu’il a nourri les poulets avec la bactérie, tandis que d’autres affirment que les poulets ont reçu une injection. La seule mention de l’alimentation des poulets que j’ai pu trouver provient d’un article publié par Pasteur en 1881 et intitulé Le choléra des poulets : étude des conditions de non-récidive et de quelques autres caractères de cette maladie. Dans cet article, Pasteur affirme avoir imité la façon dont la maladie se produit naturellement dans les poulaillers en nourrissant les poulets avec les muscles de poulets malades, afin de démontrer l’efficacité de la vaccination.

« Quant à l’introduction du parasite dans les organes digestifs, j’ai imité les épidémies qui dépeuplent les poulaillers, en introduisant le parasite dans la nourriture des poulets. »

« Chaque jour, je donnais à ces vingt-quatre poulets un repas composé de muscles malades de poulets morts du choléra des poules. »

Cependant, lorsqu’il a expliqué comment il avait étudié la maladie en vue de la vaccination, Pasteur a déclaré qu’il injectait son poison de culture dans les muscles pectoraux et les cuisses des poulets.

« Je les inocule dans les muscles pectoraux ou, mieux encore, dans le muscle de la cuisse, afin d’observer plus facilement l’effet de l’inoculation. »

Le recours aux injections pour « prouver » que le microbe est l’agent causal a été admis par Pasteur dans son discours de 1881 intitulé Discours sur la vaccination relative au choléra des poules et à la fièvre splénique, dans lequel il affirme avoir injecté le sang et le bouillon de culture de poulets « infectés » dans la peau de poulets sains.

« Prenons une de nos séries de préparations de culture, la centième ou la millième, par exemple, et comparons-la, sous le rapport de la virulence, avec le sang d’une volaille morte du choléra ; en d’autres termes, inoculons sous la peau dix volailles, par exemple, chacune séparément avec une petite goutte de sang infectieux et dix autres avec une quantité semblable du liquide dans lequel le dépôt a d’abord été agité. Curieusement, ces dix dernières volailles mourront aussi rapidement et avec les mêmes symptômes que les dix premières : le sang de toutes ces volailles contiendra, après leur mort, les mêmes minuscules organismes infectieux ».

Je crois que Pasteur déteste vraiment les poulets…

Il est évident que le fait de nourrir des poulets avec des muscles malades provenant d’autres poulets morts et d’injecter du bouillon de culture et du sang dans les pectoraux, les cuisses et la peau de poulets sains ne sont pas des voies d’exposition naturelles et, par conséquent, cette recréation de la maladie expérimentale ne refléterait rien de ce qui pourrait être observé dans la nature. Ces expériences ne correspondaient pas à la voie d’exposition naturelle supposée par Pasteur, à savoir la contamination des aliments par le pus des cobayes. L’hypothèse proposée n’a donc jamais été testée d’une manière qui aurait pu logiquement la confirmer ou l’infirmer. Au lieu de cela, Pasteur a utilisé des méthodes non naturelles où des poulets cannibalisaient d’autres poulets ou recevaient des injections de substances auxquelles ils n’auraient pas été soumis dans la nature, invalidant ainsi les preuves présentées.

Mais ce n’est pas la révélation la plus accablante. Dans l’article de 1882 intitulé « Pasteur’s Experiments » (Les expériences de Pasteur) de Rollin Gregg, M.D., une faille fatale a été mise en évidence concernant les hypothèses formulées par Pasteur et d’autres chercheurs étudiant le choléra des poules et des maladies apparentées. Ils confondaient la fibrine coagulée avec des micro-organismes vivants.

« Cela nous amène donc à l’une des questions les plus importantes pour une compréhension meilleure et plus scientifique de ce sujet, à savoir : Que sont ces microbes ? Pasteur dit que ce sont des organismes vivants, des bactéries ou des parasites végétaux, et tous les chercheurs et écrivains, non seulement sur ces maladies, mais aussi sur la diphtérie, affirment la même chose. Mais tous ces observateurs n’ont-ils pas négligé un fait omniprésent et très important dans tous ces cas et dans d’autres cas similaires, à savoir que dans tous les cas où le sang se congestionne à la suite de l’inoculation, la fibrine du sang de l’animal inoculé commence immédiatement ou bientôt à se coaguler, d’abord localement, puis plus ou moins dans tout le système, en minuscules granules à la suite de l’introduction du poison, et que ces minuscules granules de fibrine ont été pris par eux pour des organismes vivants ou des parasites végétaux ? »

Le Dr Gregg a ajouté que ces particules de fibrine ne se distinguent pas des formes de bactéries découvertes à l’époque et que l’injection de fibrine coagulée à des poulets sains provoque la même coagulation en leur sein, ce qui entraîne la maladie.

« Il faut également garder à l’esprit que les granules moléculaires, les fibrilles et les spirales de fibrine coagulante sont, dans leur apparence même et en toutes circonstances, exactement comme les trois formes classées* de bactéries, sphériques, en forme de bâtonnets et spiralées (le microscope n’a jamais fait la moindre distinction entre elles), et qu’elles occupent les mêmes positions et se comportent exactement de la même manière où qu’elles se trouvent.

Par conséquent, si le Prof. Pasteur répète ses expériences très importantes, récemment rapportées à Londres, et qu’il garde bien à l’esprit les faits précédents, il sera sans doute amené à réviser ses conclusions, en voyant que ses microbes, ou bactéries, du choléra des poules et de la fièvre splénique, sont simplement des particules coagulées de fibrine dans le sang des animaux malades, et que ceux qui sont provoqués chez les animaux sains par l’inoculation de ce sang ne sont rien d’autre que des particules coagulantes de la fibrine de leur sang, la coagulation étant simplement induite chez l’animal sain par une matière similaire, la fibrine coagulée, dans le sang de l’animal malade, introduite par l’inoculation. »

Le Dr Gregg a ensuite reproché à Pasteur de supposer et d’affirmer sans preuve la présence d’éléments non naturels dans le sang tout en ignorant un élément naturel dans la fibrine qui peut être prouvé facilement. Il a ensuite mis Pasteur au défi de prouver sa charge d’un élément non naturel, ou l’explication naturelle devrait prendre sa place.

« Il suppose et affirme la présence d’un élément étranger et non naturel, d’un organisme végétal, dans le sang, etc., sans en apporter la preuve évidente, alors que nous pouvons positivement affirmer et prouver la présence réelle d’un élément normal, la fibrine, dans le sang, mais morbidement modifiée, c’est-à-dire coagulée en minuscules particules, par le poison inoculant, ou par l’inflammation qu’il excite. Par conséquent, je le répète, c’est à lui qu’incombe la charge de la preuve et il doit prouver ses affirmations contre nature, faute de quoi le fait naturel doit et devrait prendre sa place. »

Sur la base du récit du Dr Gregg, nous pouvons voir que c’est une mauvaise interprétation de ce que Pasteur a observé dans le sang, ainsi que le mode d’injection expérimental non naturel, qui ont conduit à la maladie. Cela n’a absolument rien à voir avec la façon dont un poulet aurait contracté la maladie dans la nature ou avec la voie d’exposition naturelle supposée par Pasteur. Les expériences de Pasteur n’ont donc pas permis d’expliquer la relation observée d’un phénomène naturel. Ironiquement, même Robert Koch a rejeté certaines des expériences de Pasteur en les jugeant inutiles et naïves, ridiculisant en particulier son travail sur le choléra des poules.

Quoi qu’il en soit, sur la base de ses expériences avec la bactérie, Pasteur a finalement été crédité de la création d’un vaccin atténué contre le choléra des poules en 1880, ce que certains considèrent comme la naissance de l’’immunologie ». Cependant, la manière dont cela s’est produit fait l’objet d’une controverse. Selon la légende racontée par Émile Duclaux, l’associé le plus fidèle de Pasteur et racontée dans sa semi-autobiographie écrite par son gendre René Vallery-Radot, une culture virulente de Pasteurella qui tuait les poules injectées a été oubliée par un assistant et laissée sur la paillasse pendant les vacances de Pasteur au cours de l’été 1879. À son retour, Pasteur utilise cette ancienne culture bactérienne pour injecter les poules et constate avec surprise qu’elle ne les tue pas. Il prépare alors une nouvelle culture virulente et l’injecte aux mêmes poules, ce qui n’entraîne pas la mort des poules comme prévu. À partir de cette observation, Pasteur a supposé que la bactérie, lorsqu’elle était exposée à l’air, perdait sa « virulence », ce qui permettait de l’utiliser comme vaccin. Il poursuit en déclarant : « Dans les domaines de l’observation, le hasard ne favorise que les esprits préparés ». En d’autres termes, la création du vaccin était une heureuse coïncidence. Il est intéressant de noter que Pasteur n’a révélé les méthodes utilisées pour mettre au point ce vaccin qu’à la fin du mois d’octobre 1880, soit neuf mois après avoir annoncé qu’il avait réussi à créer le vaccin. Selon Geison, à cette époque, Pasteur n’expliquait pas pourquoi l’oxygène affaiblissait les microbes, en particulier les microbes aérobies dont la vie dépendait de l’oxygène. Ce retard dans l’explication de son vaccin est peut-être dû au fait que, lorsqu’il l’a annoncé, il s’agissait encore d’un programme de recherche peu concluant et que les moyens n’avaient pas encore été pleinement établis par des expériences décisives. En d’autres termes, Pasteur n’avait tout simplement pas d’explication, et l’histoire concoctée ultérieurement n’était que pure fiction.

À l’appui de cette affirmation, en 1878, Pasteur a donné pour instruction à son gendre de ne jamais permettre que ses carnets de laboratoire soient divulgués au public. Cependant, près de 100 ans plus tard, en 1964, son petit-fils, le professeur Louis Pasteur Vallery-Radot, a fait don des 152 carnets à la Bibliothèque nationale de France. Cela a permis à des historiens, tels que Gerald Geison, de passer au peigne fin les travaux de Pasteur et, ce faisant, il a été révélé que, dans ses carnets, aucun texte entre juillet 1879 et novembre 1879 ne mentionnait cet « heureux » événement qui a entraîné l’atténuation de la culture. Cependant, le 14 janvier 1880, Pasteur écrit dans son cahier de laboratoire : « Les germes de la poule : quand faut-il prendre le microbe, pour qu’il puisse vacciner ? » Il annoncera ensuite la découverte du vaccin en février 1880. C’est un aveu clair que Pasteur ne comprenait rien au vaccin alors qu’il était censé avoir réalisé les expériences l’année précédente. Pasteur a menti sur les événements qui ont conduit à la création du vaccin. Bien qu’on lui reconnaisse toujours le mérite d’avoir prouvé l’agent causal et l’efficacité du vaccin, même Pasteur a noté dans son article de 1881 que, suite à de nombreuses expériences, « les effets de la vaccination sont très variables » et que les vaccins « agissent rarement comme un moyen de prévention complet ». Près de 100 ans plus tard, dans l’article de 1959 intitulé Studies on Control of Fowl Cholera (Études sur la lutte contre le choléra aviaire), nous découvrons que les effets n’étaient pas seulement variables, mais que la vaccination était inefficace contre la maladie et qu’elle n’apportait aucune protection au troupeau vacciné, ce qui en faisait une méthode peu fiable pour lutter contre la maladie.

« Bien que Pasteur ait démontré en 1880 une immunité chez les poulets inoculés avec des cultures atténuées de P. multocida, les chercheurs ont depuis obtenu des résultats irréguliers avec divers vaccins et bactérines. En général, les volailles vaccinées n’étaient pas protégées ou l’immunité obtenue était faible et de courte durée. L’immunisation n’a jamais été acceptée comme une mesure de contrôle fiable du choléra aviaire ».

Ainsi, dès la première tentative de Pasteur pour prouver son hypothèse sur les germes :

  • L’expérience ne correspond pas à son hypothèse sur le mode de propagation de la maladie.
  • L’agent utilisé n’était peut-être rien d’autre que de la fibrine coagulée normale.
  • La voie d’exposition consistant à nourrir les poulets avec des muscles malades et/ou à injecter du sang de poulets malades dans des poulets sains n’était pas une voie d’exposition naturelle.
  • L’injection de fibrine coagulée dans un animal sain peut provoquer une maladie.
  • Le vaccin, utilisé comme preuve de son succès dans l’identification de l’agent causal, s’est avéré inefficace et infructueux malgré les affirmations contraires.
  • Pasteur a fait le récit de la création du vaccin atténué.

Rage

Et les chiens… Pasteur déteste définitivement les chiens…

Si les premières tentatives de prouver son hypothèse sur les germes avec le choléra des poules étaient dénuées de validité scientifique, Louis Pasteur est surtout connu pour avoir « prouvé » son hypothèse avec ses expériences sur la rage, qui ont abouti à la création d’un vaccin antirabique. L’idée que les morsures d’animaux provoquent des maladies n’était pas nouvelle à l’époque où Pasteur a commencé ses recherches sur la rage, en 1880. Toutefois, cette idée s’était imprimée dans son esprit dès l’âge de huit ans, à la suite d’une attaque de loup survenue dans sa ville natale en 1831. Comme le raconte Geison, certaines des victimes de l’attaque s’étaient rendues à la forge de son quartier, et c’est là que le jeune Pasteur a entendu les cris des hommes alors que leurs blessures étaient cautérisées, ce qui était le « remède » contre la rage à l’époque. Plus tard dans sa vie, Pasteur demandera au maire de sa ville d’enquêter pour savoir si les huit victimes décédées avaient été mordues aux mains et au visage, alors que celles qui avaient survécu avaient été mordues à des endroits habillés. Le résultat de cette enquête sur l’événement survenu 50 ans plus tôt indique à Pasteur qu’il est sur la bonne voie avec son hypothèse selon laquelle l’agent causal se trouve dans la salive des animaux enragés. Geison a noté que cette hypothèse était soutenue par la plupart des étudiants en rage qui avaient depuis longtemps admis que la maladie était causée par un poison (ou « virus ») transmis par la salive de l’animal attaquant, même s’il était admis que ce prétendu « virus » échappait à la détection et que son action mortelle « est restée longtemps invisible et intangible ».

Si cet événement de son enfance a pu avoir un impact sur les idées de Pasteur concernant la cause de la maladie, ce n’est apparemment pas la raison pour laquelle il a commencé ses recherches. Geison note que, dans sa correspondance privée, Pasteur insiste sur le fait qu’il n’a commencé ses études sur la rage « que dans l’idée de forcer l’attention des médecins sur ces nouvelles doctrines », reconnaissant ainsi qu’à l’époque, sa « théorie » des germes de la maladie et la technique de la vaccination au moyen de cultures atténuées étaient encore très controversées. Selon Émile Roux, confident de Pasteur, « il pensait que la solution du problème de la rage serait un bienfait pour l’humanité et un triomphe éclatant pour ses doctrines ». Il est vrai qu’un autre facteur y a probablement contribué. Au début des années 1880, Pasteur recevait 10 % ou plus des dépenses annuelles du gouvernement pour l’ensemble de la recherche scientifique en France, et l’activité de vaccination devenait très lucrative pour lui. Au milieu de l’année 1880, Pasteur et son laboratoire réalisaient un bénéfice annuel net de 130 000 francs grâce à la vente de vaccins contre le charbon. Geison souligne que, dans d’autres correspondances inédites, il existe des preuves irréfutables de l’intérêt de Pasteur à tirer profit des vaccins. Comme il tirait déjà profit des vaccins qu’il avait créés pour les maladies animales, tenter de créer des vaccins pour les maladies humaines était la meilleure option.

La recherche sur la rage a commencé le 10 décembre 1880, lorsque Pasteur a utilisé un crayon de peintre pour obtenir le mucus de la bouche d’un garçon de 5 ans qui était censé être mort de la rage. Il mélange le mucus à de l’eau ordinaire et injecte ce mélange à deux lapins. En l’espace de trente-six heures, les deux lapins sont morts, et Pasteur utilisera le sang de ces deux lapins au cours des semaines suivantes pour produire des symptômes similaires chez des lapins et des chiens en bonne santé. Ce faisant, il associe son nouveau microbe à celui qu’il avait observé avec le choléra des poules, tout en affirmant que ce nouveau microbe a des propriétés physiologiques et des effets pathologiques différents. Cependant, si Pasteur désigne sa découverte dans ses carnets comme le « microbe de la rage », celui-ci produirait un tableau clinique étonnamment différent de celui de la « rage ordinaire », tant par les symptômes que par la rapidité avec laquelle les lapins et les chiens meurent. Il a ensuite trouvé le nouveau microbe dans la salive d’adultes en bonne santé ainsi que chez des victimes de maladies autres que la rage. Quoi qu’il en soit, en juin 1881, Pasteur annonce la création d’un vaccin contre ce « microbe salivaire » qu’il a jugé totalement inoffensif pour l’homme, même s’il est mortel lorsqu’il est injecté à des lapins ou à des chiens.

Robert Koch a été particulièrement sévère à l’égard des méthodes de Pasteur, reprochant au chimiste français de supposer que toutes les « maladies infectieuses » sont parasitaires et causées par des microbes, et l’attaquant pour avoir cherché le microbe responsable au mauvais endroit, c’est-à-dire dans la salive plutôt que dans les glandes sublinguales. Il note que la salive est pleine de bactéries et que même les personnes en bonne santé ont des bactéries « pathogènes » dans leur salive. Koch accuse Pasteur d’utiliser des matériaux impurs et lui reproche de commencer ses expériences avec le mauvais animal de laboratoire, le lapin, plutôt qu’avec le chien, lorsqu’il tente de prouver que son microbe salivaire est à l’origine de la maladie de la rage telle qu’elle est observée chez le chien.

« Tout d’abord, Pasteur suppose que toutes les maladies infectieuses sont parasitaires et causées par des microbes. Apparemment, il considère qu’il n’est pas nécessaire d’établir la présence et la distribution des micro-organismes dans le corps — la première des conditions que j’ai mentionnées. Ainsi, Pasteur ne prétend pas avoir découvert un microbe spécifique dans les organes, notamment dans les glandes sublinguales, de l’enfant mort de ce qu’il a appelé la nouvelle maladie de la rage. Ces glandes ont pourtant été le point de départ de ses expériences d’infection. Précisément dans ce cas, une telle investigation est absolument indispensable, car on sait que les glandes sublinguales contiennent du matériel infectieux pour la rage. De plus, comme ces tissus ne contiennent habituellement pas de bactéries, ils seraient l’endroit le plus propice pour découvrir les microbes supposés sous leur forme la plus pure. Mais dans sa tentative de transmission de la rage à partir du cadavre de l’enfant, Pasteur a utilisé la salive plutôt que les tissus de ces glandes. La salive est connue pour contenir de nombreuses bactéries différentes. [Edme-Felix-Albert] Vulpian et (George Miller] Sternberg ont montré que même la salive de personnes saines contient des bactéries pathogènes ».

« Pasteur a commencé avec du matériel impur, et on peut se demander si des inoculations avec un tel matériel peuvent provoquer la maladie en question. Mais Pasteur a rendu les résultats de son expérience encore plus douteux en inoculant, au lieu d’un animal connu pour être sensible à la maladie, la première espèce venue, le lapin. Pour déterminer si une substance contient du poison antirabique, il faut d’abord inoculer des chiens. Supposons que l’on étudie l’étiologie d’une nouvelle maladie du cheval. Même si l’on inocule de la bave de nez, qui est certainement contaminée par d’autres bactéries, plutôt que du sang ou du tissu de rate, il faut au moins utiliser des chevaux comme animaux de laboratoire. Personne ne sait si les lapins peuvent même contracter la fièvre typhoïde du cheval, ni quels symptômes ils présenteraient le cas échéant ».

Cet exemple des premiers essais de Pasteur sur la rage montre comment ses « méthodes défectueuses », comme l’a dit Koch sans ambages, l’ont amené à croire, en recréant la maladie par l’injection de certains produits à des animaux sains, qu’il avait trouvé le « microbe de la rage ». Cependant, Pasteur a fini par conclure que ce n’était pas le bon microbe, mais il a tout de même créé un vaccin pour la maladie expérimentale qu’il avait lui-même créée grâce à ses propres méthodes douteuses. Quoi qu’il en soit, cette expérience et le fait qu’il n’ait pas réussi à produire les symptômes exacts de la maladie associée à la rage en utilisant la salive ou le sang des victimes de la rage, les liquides mêmes dont il avait supposé qu’ils contenaient le microbe de la rage, l’ont amené à se concentrer sur le tissu cérébral des victimes de la rage. Cela a été confirmé dans la semi-autobiographie de Pasteur, La vie de Pasteur, écrite par son gendre Jean Vallery-Radot :

« L’hydrophobie pourrait évidemment être développée par l’inoculation de salive, mais on ne peut pas affirmer avec certitude qu’elle le sera. »

« Mais la même incertitude suivait l’inoculation de la salive ; l’incubation était si lente que des semaines et des mois s’écoulaient souvent pendant que l’on attendait anxieusement le résultat d’une expérience. De toute évidence, la salive n’était pas un agent sûr pour les expériences, et si l’on voulait obtenir davantage de connaissances, il fallait trouver d’autres moyens de les obtenir. »

« Magendie et Kenault avaient tous deux tenté des expériences avec du sang rabique, mais sans résultat, et Paul Bert avait également échoué. Pasteur essaie à son tour, mais en vain. “Il faut essayer d’autres expériences, dit-il avec son infatigable persévérance habituelle.” »

Dans ses études futures, Pasteur utilisera le cerveau et les tissus nerveux d’animaux malades et les injectera dans le cerveau d’animaux sains afin d’essayer de recréer la maladie, en particulier les troubles du système nerveux et l’hydrophobie, dans le but de tuer les animaux plus rapidement.

« L’inoculation de salive s’est avérée être une méthode qui ne produisait pas toujours la rage et les symptômes ne se déclaraient pas avant des mois. La théorie selon laquelle le virus de la maladie s’attaque aux centres nerveux avait déjà été exposée par le Dr Dubous de Paris. Pasteur inocule donc à un certain nombre d’animaux, par voie sous-cutanée, un peu de substance cérébrale provenant d’autres animaux morts de la rage. La plupart des animaux inoculés ont développé la rage, mais pas tous.

Pasteur eut alors l’idée d’introduire dans le cerveau d’animaux de laboratoire du tissu nerveux provenant d’un animal mort de la rage. Cette expérience repose sur le principe de fournir aux organismes responsables le milieu nutritif le mieux adapté à leurs besoins. Pasteur, obligé de sacrifier tant d’animaux, avait une véritable aversion pour la vivisection ; si l’animal criait un peu, il était plein de pitié. L’idée de perforer le crâne du chien lui répugnait, il voulait le faire mais redoutait de le voir faire. C’est donc ce qui a été fait un jour où il était absent. Le lendemain, lorsqu’on lui a parlé de l’inoculation intracrânienne, il a été pris de pitié pour le pauvre chien. »

https://www.jstor.org/stable/3410286?origin=crossref

Pasteur raconte à Jean Vallery-Radot son procédé dans les moindres détails :

C’est alors que Pasteur eut l’idée d’inoculer le virus rabique directement à la surface du cerveau d’un chien. Il pensait qu’en plaçant d’emblée le virus dans son véritable milieu, l’hydrophobie se manifesterait plus sûrement et que l’incubation pourrait être plus courte. L’expérience a été tentée : un chien sous chloroforme a été fixé sur la table d’opération et une petite partie ronde du crâne a été enlevée au moyen d’une tréphine (un instrument chirurgical semblable à une scie à découper) ; la membrane fibreuse dure appelée dure-mère, étant ainsi exposée, a été injectée avec une petite quantité du virus préparé, qui se trouvait dans une seringue de Pravaz. La plaie a été lavée avec du carbolique et la peau a été recousue, l’opération n’ayant duré que quelques minutes. Le chien, lorsqu’il reprenait conscience, semblait tout à fait le même qu’à l’accoutumée. Mais, au bout de quatorze jours, l’hydrophobie est apparue : fureur enragée, hurlements caractéristiques, déchirure et dévoration de son lit, hallucination délirante, et enfin, paralysie et mort.

Selon Geison, la procédure de base de Pasteur consistait « simplement à injecter à divers animaux d’expérience — mais surtout à des lapins — un large éventail de cultures ou de substances, puis à observer ce qui se passait ». Bien qu’il ait pu recréer expérimentalement une maladie en injectant le cerveau et le système nerveux d’animaux malades dans le cerveau d’animaux sains, cette méthode ne reflétait en rien la façon dont un animal aurait contracté la maladie dans la nature. Cela ne correspondait pas non plus au mode d’exposition qu’il avait supposé, à savoir la salive et/ou le sang d’un animal enragé pénétrant dans les plaies de ses victimes.

Outre son incapacité à recréer la maladie telle qu’elle est observée dans la nature par le biais de son mode d’« infection » hypothétique, Pasteur n’a jamais pu isoler un microbe qu’il aurait pu attribuer à la maladie, comme l’a raconté Vallery-Radot.

Pasteur ne peut appliquer la méthode qu’il a utilisée jusqu’alors, c’est-à-dire isoler, puis cultiver en milieu artificiel, le microbe de l’hydrophobie, car il ne parvient pas à détecter ce microbe. Pourtant, son existence ne faisait aucun doute ; peut-être était-il au-delà des limites de la vue humaine.

Geison note que Pasteur a toujours supposé qu’un microbe de la rage devait exister, et il a essayé à plusieurs reprises de l’isoler. Dans ses notes de laboratoire, on trouve des récits où il pensait avoir atteint son objectif, mais il a finalement dû admettre qu’il n’avait pas réussi à isoler le « vrai microbe de la rage ». On voit donc que les expériences de Pasteur n’ont jamais disposé d’une variable indépendante valable, c’est-à-dire d’un microbe réel à faire varier et à manipuler au cours de ses études. Il a supposé qu’il en existait un dans les matériaux qu’il a utilisés, ce qui, en plus de ne pas répondre à son hypothèse d’un microbe de la rage dans la salive, la disqualifie en tant qu’expérience scientifique. La variable indépendante, la cause proposée, doit exister avant que l’expérience n’ait lieu. Tout ce que Pasteur pouvait affirmer, c’est que son procédé d’injection grotesque de tissus du cerveau et du système nerveux prélevés sur des animaux malades dans le cerveau d’animaux sains créait une maladie. Il ne pouvait pas prétendre qu’un microbe spécifique était la cause de ses procédures expérimentales invasives avec des matériaux non purifiés.

Pasteur et le garçon qu’il a abusé avec des injections expérimentales contraires à l’éthique.

Malgré son incapacité à prouver son hypothèse, Pasteur a continué à créer un vaccin contre la maladie, dont la première application connue a été administrée à un garçon de 9 ans, Joseph Meister, le 6 juillet 1885. Selon le CDC, ce vaccin a été administré par une série de 14 injections quotidiennes de suspensions de moelle épinière de lapin contenant « le virus de la rage progressivement inactivé » à l’enfant de 9 ans, qui avait été gravement mordu par un chien enragé deux jours auparavant. Bien que Meister ait survécu aux injections, Geison a souligné que Pasteur avait été très trompeur dans les affirmations qu’il avait faites au sujet de ses tests préalables du vaccin sur les animaux, destinés à établir la sécurité et l’efficacité du vaccin avant de l’utiliser sur les humains. En fait, il n’avait aucune preuve de l’innocuité ou de l’efficacité de son vaccin.

Meister survécut et, trois mois plus tard, Pasteur publia un article indiquant que son vaccin contre la rage avait été testé sur 50 chiens sans le moindre échec avant qu’il ne l’utilise pour traiter le garçon. Mais Geison a découvert, grâce aux carnets, qu’il s’agissait là, « pour le dire charitablement, d’un compte rendu très trompeur ».

En fait, Pasteur avait largement testé un vaccin sur des chiens qui utilisait une approche exactement inverse de celle utilisée sur Meister. La méthode qu’il a utilisée sur le garçon consistait à injecter des doses de plus en plus fortes du virus de la rage. Cette approche était testée sur des chiens de laboratoire à l’époque où l’expérience humaine a été tentée, mais Pasteur ne disposait d’aucun résultat animal concluant démontrant que la technique fonctionnait.

« Il n’existe aucune preuve expérimentale de ses affirmations publiées sur l’étendue de la sécurité et de l’efficacité du vaccin chez les animaux avant l’essai sur l’homme », a déclaré M. Geison.

https://www.washingtonpost.com/archive/lifestyle/wellness/1993/02/23/louis-pasteur-and-questions-of-fraud/196b2287-f63f-4bac-874e-c33b122d6f61

Le CDC a admis que le « traitement Pasteur » de base, qui reposait sur un vaccin à base de tissu cérébral auquel on avait ajouté du formaldéhyde, impliquait toujours des vaccinations quotidiennes pendant 14 à 21 jours et comportait toujours le même risque de séquelles neurologiques (c’est-à-dire de lésions du système nerveux central) que celui observé à l’époque de Pasteur. Il était bien connu que le vaccin de Pasteur pouvait créer exactement la même maladie que celle contre laquelle il était censé protéger. Comme le note Geison, les critiques de son époque prétendaient que le vaccin antirabique de Pasteur non seulement ne protégeait pas toujours ceux qui s’y soumettaient, mais qu’il était lui-même la cause de la mort par rage, et ils essayaient de rendre Pasteur responsable de la mort de tous ceux qui présentaient des symptômes de maladie nerveuse. À l’appui de cette thèse, Geison rappelle que la rage est rare chez l’homme et qu’il ne s’agit pas d’une maladie « infectieuse ». Les symptômes peuvent mettre des années, dans certains cas jusqu’à 25 ans, à se développer, ce qui n’est le cas d’aucune autre maladie. Geison a déclaré que « la corrélation entre les morsures d’animaux et l’apparition ultérieure de la rage est très incertaine, même lorsque l’animal mordeur est certifié enragé ». Il a souligné que la plupart des victimes de morsures par des animaux « enragés » pouvaient renoncer à tout traitement et survivre sans aucune complication à l’avenir. En vaccinant une personne avant l’apparition de la maladie, on ne peut jamais savoir avec certitude si c’est le « virus » ou le vaccin qui a provoqué la maladie et la mort. Les critiques ont fait remarquer que les personnes vaccinées contre la rage étaient désormais confrontées à une nouvelle maladie, créée par Pasteur lui-même : la rage artificielle ou de laboratoire. Ils soulignent également que la forme « paralytique » de la rage, considérée comme rare dans les conditions naturelles, est apparue après les traitements de Pasteur, et que l’utilisation d’un vaccin neurotrope a compliqué le diagnostic chez toute personne vaccinée qui a développé des symptômes nerveux par la suite.

Afin de se défendre contre les allégations selon lesquelles son vaccin aurait entraîné des décès dus à la rage, Pasteur a souligné les incertitudes entourant le diagnostic de la rage et a noté qu’il existait des cas de « fausse rage ». Selon Geison, Pasteur s’appuie sur l’autorité d’un certain Dr Trousseau et cite deux cas où les symptômes de la maladie ont été induits uniquement par la peur.

« Dans un cas, un homme a soudainement présenté plusieurs des caractéristiques classiques de la rage, notamment des spasmes de la gorge, des douleurs thoraciques, une anxiété extrême et d’autres symptômes nerveux, simplement parce que la maladie était devenue le sujet d’une conversation à l’heure du déjeuner. Et cet homme n’avait jamais été confronté à un animal enragé. Le second cas, probablement plus courant, est celui d’un magistrat dont la main avait été léchée longtemps auparavant par un chien suspecté de rage. Apprenant que plusieurs animaux mordus par ce chien étaient morts de la rage, le magistrat devint extrêmement agité, voire délirant, et manifesta une horreur de l’eau. Ses symptômes disparurent dix jours plus tard, lorsque son médecin le persuada qu’il serait déjà mort s’il avait été atteint de la vraie rage ».

Pasteur relate également le cas d’un alcoolique qui, après avoir vu une sorte de dépôt dans son verre pendant le déjeuner, « fut saisi d’un sentiment d’horreur à l’égard du liquide et d’une constriction de la gorge, suivie d’un mal de tête, d’une claudication et d’une fatigue de tous les membres ». Pasteur précise que cet homme, qui a succombé quelques jours après l’apparition des symptômes, « présentait tous les caractères de la rage furieuse », mais qu’il n’est pas mort de la rage puisqu’il n’a jamais été mordu. Ainsi, comme le montre ironiquement Pasteur, aucun microbe n’est nécessaire pour expliquer les symptômes associés à la rage.

Quoi qu’il en soit, Geison affirme que, grâce à son vaccin, Pasteur et son laboratoire ont reçu un grand nombre de dons de la part de particuliers et d’organisations du monde entier. Cela a conduit à l’organisation d’une souscription officielle où les contributions ont facilement dépassé les deux millions de francs en novembre 1888, au moment même où son nouvel Institut Pasteur était officiellement inauguré. Dire que la création d’un vaccin contre la rage a été lucrative pour Pasteur est un euphémisme. Dire qu’il a prouvé son hypothèse selon laquelle un microbe spécifique pouvait causer la maladie de la rage et que son vaccin a empêché la maladie de se produire n’est rien d’autre qu’une fiction pseudo-scientifique. Pasteur n’a pas réussi à cultiver et à identifier le microbe responsable de la rage à partir de la salive, du sang et des tissus du système nerveux des animaux malades. Cependant, il pensait que, malgré l’absence d’un agent pathogène isolé, la création d’un vaccin efficace prouverait que sa « théorie » des germes était vraie. En raison du secret qui entoure ses travaux, Geison note que le débat fait rage sur la question de savoir « si ses travaux sur la rage répondent ou non aux normes d’une recherche véritablement scientifique ».

Ainsi, dans son étude sur la rage, nous constatons que Pasteur a clairement échoué à prouver son hypothèse d’un microbe spécifique comme agent causal :

  • Il n’a pu isoler aucun microbe responsable de la maladie expérimentale qu’il a produite.
  • Il a montré que ses méthodes permettaient de créer des maladies artificielles sans rapport avec la nature en injectant des cultures de microbes, qui pouvaient ensuite être utilisées pour fabriquer des vaccins contre la maladie artificielle qu’il venait de créer.
  • Il a procédé à des injections grotesques et non naturelles de tissus nerveux dans le cerveau d’animaux afin de recréer des maladies du système nerveux qui ne correspondaient pas à la voie d’exposition qu’il avait supposée.
  • Il a conçu un vaccin contre la rage qui produit les mêmes signes et symptômes de la maladie contre laquelle il est censé protéger, et même ceux qui ne sont pas observés dans la nature et qui peuvent conduire à la mort.
  • Il a admis que la maladie de la rage pouvait survenir sans morsure d’animal ni « microbe pathogène » en raison de la peur et de l’abus de drogues.

Manque de soutien

[Réfuté]

Comme nous l’avons vu, l’objectif de l’hypothèse est de proposer une explication pour un phénomène naturel observé qui peut être testé et confirmé par l’expérimentation afin d’acquérir des connaissances sur les événements naturels ou les processus qui se produisent dans la nature. Les expériences et les preuves produites pour étayer cette hypothèse doivent refléter le phénomène naturel observé. Louis Pasteur n’a en aucun cas fourni de preuves qui pourraient être considérées comme proches de cet objectif. Pour « prouver » ses hypothèses, Pasteur a nourri des poulets avec des restes de poulets malades, a injecté à des animaux des substances coagulées dans les muscles et la peau et a percé des trous dans la tête de chiens pour leur injecter de la matière cérébrale et du système nerveux malades. Aucune de ces méthodes d’exposition ne reflète un événement ou un processus observé dans la nature. Pourquoi Pasteur a-t-il dû recourir à des méthodes aussi grotesques pour créer une maladie expérimentale si son hypothèse était correcte, à savoir que l’exposition naturelle aux microbes était la cause de la maladie ? C’est parce que l’exposition aux microbes par voie naturelle, soit par aérosol, soit par l’application de cultures pures à leur nourriture habituelle, n’a pas produit de maladie. Il a donc fallu substituer des méthodes non naturelles et invasives qui ne reflétaient pas la nature jusqu’à ce que les résultats souhaités soient obtenus. Par conséquent, les hypothèses proposées pour expliquer comment les maladies étaient censées se produire dans la nature ont été réfutées par les échecs répétés à recréer la maladie naturellement de cette manière. Sur la base des travaux de Louis Pasteur, l’hypothèse des germes a été réfutée dès le départ et n’aurait jamais dû être élevée au rang de théorie scientifique.

Quoi qu’il en soit, les travaux du contemporain et rival acharné de Pasteur, le bactériologiste allemand Robert Koch, ont finalement apporté une bouffée d’oxygène à l’hypothèse des germes réfutée par Pasteur. Les travaux de Koch ayant contribué à élever l’hypothèse réfutée au rang de théorie scientifique, nous examinerons ses contributions dans la partie 2. Nous verrons si les résultats expérimentaux de Koch, combinés à ses méthodes révolutionnaires et à ses postulats logiques, ont suffi à combler les lacunes fatales de Pasteur.

[Suite :
L’hypothèse des germes — partie 2]


1 NDT Elle est « dépendante » de la variable cause (indépendante) : l’effet (par exemple la lumière d’une ampoule) dépend de la cause (le courant électrique traversant le filament conducteur de l’ampoule).

2 NDT Partisan de l’hypothèse de la génération spontanée des germes.

3 NDT De même que trouver des mouches ou des vers sur les cadavres ne signifie pas qu’ils soient la cause de la mort.

4 NDT En français dans le texte.




Les 6 moments les plus dérangés de la réunion de Davos 2024 du FEM

[Source : vigilantcitizen.com]

Par Vigilant Citizen

Si vous vous demandez pourquoi la tête du diable figure sur l’image de tête de cet article, c’est parce qu’elle faisait littéralement partie du décor de Davos 2024. J’aurais aimé plaisanter. En fait, j’aimerais plaisanter à propos de tout ce qui est dit dans cet article. Voici les 6 moments les plus dérangés de Davos 2024.

Contrairement à la plupart des médias traditionnels, je ne vais pas vous faire perdre votre temps en tournant autour du pot : le Forum économique mondial (FEM) est une organisation parasitaire et illégitime dirigée par des individus non élus qui tentent de remodeler le monde… de la pire façon qui soit. Il est difficile d’exagérer les objectifs néfastes de cette organisation qui se targue de « pénétrer les gouvernements » comme une sorte de cancer tout en promouvant des slogans insensés tels que « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (mon article The Top 10 Creepiest and Most Dystopian Things Pushed by the FEM [Les 10 choses les plus effrayantes et les plus dystopiques prônées par le FEM] donne un bon aperçu des objectifs à long terme de cette organisation).

Ignorer ces monstres serait bénéfique pour la santé mentale, mais c’est tout simplement impossible. En effet, les réunions annuelles de Davos parviennent toujours à convoquer des personnes capables de réaliser les rêves du FEM, comme des chefs d’État, des PDG de méga-entreprises et des représentants d’ONG mondiales telles que l’Organisation mondiale de la santé.

Et aussi : Un sorcier qui souffle sur le visage des gens.

Lorsque ces invités participent à des panels et prêchent leur évangile mondialiste, deux questions viennent à l’esprit : pourquoi ont-ils tous l’air si suffisants et si admiratifs de leur propre intelligence ? Leur air de supériorité en dit long sur leur état d’esprit par rapport aux masses. Mais surtout, pourquoi leurs sujets conduisent-ils inévitablement à moins de liberté, moins de qualité de vie et plus de contrôle orwellien ?

La réponse est très simple : leur but ultime est un gouvernement mondial dystopique où les masses sont réduites à une sous-espèce qui n’a droit qu’à une quantité limitée de liberté et de ressources, tout en étant soumise à une surveillance constante et à des interventions pharmaceutiques. En d’autres termes, ils essaient de nous transformer en bétail.

Pour concrétiser cette vision cauchemardesque, le FEM procède par étapes. Année après année, l’organisation tente constamment de normaliser de nouvelles idées farfelues. Ensuite, il utilise des crises telles que le COVID-19 pour les concrétiser. Leur devise secrète : ne jamais gaspiller une bonne crise.

Davos 2024 a présenté, une fois de plus, une foule d’idées effrayantes et radicales qui ont toutes un point commun : elles mènent directement à un nouvel ordre mondial dystopique. Et non, je ne suis pas un « conspirationniste », les mots « Nouvel Ordre Mondial » ont été littéralement prononcés à Davos. Plusieurs fois.

Voici les 6 faits les plus marquants de Davos 2024. Pourquoi le top 6 ? Parce que le logo du FEM contient trois 6.

Tout est dans votre visage.

No6 Tapisserie dérangée

Avant même de parler de ce qui s’est dit à Davos, nous devons nous pencher sur le symbolisme. Le slogan de ce site est « Les symboles gouvernent le monde » et, une fois de plus, l’état d’esprit véritable et non filtré du FEM a été mieux exprimé par un seul élément de « décoration » que par des milliers de mots.

Voici une capture d’écran d’une discussion à Davos à laquelle participait l’ancien Premier ministre britannique Theresa May :

Pourquoi y a-t-il une représentation du diable sur le mur de gauche ?

Theresa May et ses amis discutaient dans une pièce décorée de la Tapisserie de Walthamstow, une grande peinture murale créée en 2009 par l’artiste contemporain travesti Grayson Perry.

La tapisserie de Walthamstow.
L’artiste : Grayson Perry. Il semble être un individu bien équilibré.

Il se passe beaucoup de choses insensées dans cette tapisserie mais, pour résumer, elle représente une femme donnant naissance à un bébé dont la traînée de sang mène directement… dans la bouche du diable.

Face au diable, des personnages ressemblant aux Rois mages.
De même : Est-ce la Vierge Marie qui s’agenouille et offre l’Enfant Jésus au diable ?
Nos dirigeants discutent de l’avenir du monde dans des salles décorées de cette merde.

La tapisserie est remplie de noms de sociétés réelles telles que Nestlé, Vodaphone, Nike, Microsoft et Glaxo Smith Kline. On peut dire que l’œuvre d’art évoque les entreprises et le matérialisme qui affectent tous les aspects de notre vie et nous conduisent à une existence impie.

Cependant, comme la plupart de ces entreprises sont représentées au FEM, cette tapisserie prend un sens très littéral. Il ne s’agit plus d’un commentaire social, mais d’un plan d’action. Et elles en sont fières.

Ceci étant dit, voyons ce qui a été discuté à Davos.

No5 La maladie X et le traité sur les pandémies

Le panel sur la maladie X à Davos.
Le titre alternatif de la session :
« Faire peur aux gens pour qu’ils acceptent le traité de l’OMS sur les pandémies ».

Lorsque ces gens du FEM se remémorent les années COVID, leurs yeux se transforment en cœur. Les fermetures drastiques, les masques obligatoires, l’orgie de vaccins… de si bons souvenirs. À Davos 2024, le FEM a organisé une discussion sur la maladie X, une maladie hypothétique qui pourrait entraîner une nouvelle pandémie mondiale.

Parmi les panélistes figuraient Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’Organisation mondiale de la santé), Roy Jakobs (PDG de Phillips Healthcare) et Michel Demaré (président du conseil d’administration d’AstraZeneca). En d’autres termes, les invités étaient des personnes qui profiteraient grandement d’une nouvelle pandémie.

Le FEM savait ce qu’il faisait lorsqu’il a imaginé la maladie X. Les panélistes eux-mêmes ont admis qu’elle était « accrocheuse » et qu’ils espéraient qu’elle attirerait l’attention des médias sociaux. Et c’est ce qui s’est passé. Elle a agacé et terrifié les gens qui sont maintenant convaincus que le FEM est déjà en train de planifier une autre pandémie.

L’ancienne secrétaire adjointe au Trésor des États-Unis pour les affaires publiques, Monica Crowley, a posté sur X :

« Juste à temps pour les élections, une nouvelle contagion pour leur permettre de mettre en œuvre un nouveau traité de l’OMS, de verrouiller à nouveau, de restreindre la liberté d’expression et de détruire davantage de libertés ».

Dans sa déclaration d’ouverture, Tedros Ghebreyesus a souligné que le terme « maladie X » a été inventé en 2018 et qu’il était censé être un nom provisoire pour une maladie inconnue. Il a également ajouté que le COVID était la première maladie X.

Bien que la maladie X soit considérée comme inconnue, l’OMS a bizarrement déclaré qu’elle pourrait être 20 fois plus mortelle que le COVID. D’où vient ce chiffre étrangement spécifique ?

L’objectif de ce panel est très simple : Normaliser l’idée que les gouvernements démocratiquement élus ne devraient pas avoir leur mot à dire en cas de pandémie. Au lieu de cela, ce sont des entités mondiales composées de mondialistes non élus, comme l’OMS, ainsi que des sociétés pharmaceutiques privées, qui devraient prendre les décisions et court-circuiter les gouvernements.

Pour ce faire, M. Ghebreyesus a exhorté les pays à signer le traité de l’OMS sur les pandémies avant la date limite de mai 2024. M. Ghebreyesus a déclaré :

« Il s’agit d’un intérêt mondial commun, et des intérêts nationaux très étroits ne devraient pas entrer en ligne de compte. »

Relisez attentivement la citation ci-dessus. Ces mots exacts seront utilisés encore et encore pour justifier un gouvernement mondial. N’importe quelle excuse sera suffisante pour utiliser ces mots (par exemple, le changement climatique).

Au cours des derniers mois, des critiques ont mis en garde contre le fait que le traité juridiquement contraignant de l’OMS céderait la souveraineté nationale à cette organisation mondiale et qu’il ne s’agissait de rien de moins qu’une prise de pouvoir. Une lettre publiée par le groupe de pression Advancing American Freedom (AAF) a déclaré :

« La proposition de l’OMS de consolider le pouvoir et d’éroder la souveraineté des États-Unis d’Amérique par le biais du traité de préparation à la pandémie de l’OMS est insoutenable et soulève des questions sérieuses et importantes concernant l’indépendance d’action des États-Unis et leur capacité à répondre aux pandémies mondiales ».

En réponse aux critiques, M. Tedros a déclaré :

« Certains prétendent que l’accord sur la pandémie et le RSI céderont leur souveraineté à l’OMS et donneront au secrétariat de l’OMS le pouvoir d’imposer des restrictions ou des mandats de vaccination aux pays. Vous savez que ce sont des fake news, des mensonges et des théories du complot ».

Je ne sais pas, Tedros. D’habitude, quand vous dites « fake news » et « théories du complot », c’est parce que vous essayez d’écarter les vérités qui dérangent… comme le fait que vous essayez d’instaurer un Nouvel Ordre Mondial.

À ce propos :

No4 Nouvel Ordre Mondial

Ceux qui affirment qu’une élite mondiale cherche à créer un nouvel ordre mondial sont généralement taxés de « théoriciens du complot ». Mais que se passe-t-il lorsque l’élite mondiale discute en toute décontraction d’un Nouvel Ordre Mondial littéral au vu et au su de tous ? Que se passe-t-il alors ? Quand la théorie du complot devient-elle un fait confirmé ?

Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, a participé à l’une des discussions de Davos 2024. Il ne s’agit pas d’un inconnu. Il a été directeur de la politique du président Barack Obama, conseiller à la sécurité nationale du vice-président Biden et chef de cabinet adjoint de la secrétaire d’État Hillary Clinton au département d’État des États-Unis. M. Sullivan a également été conseiller principal du gouvernement fédéral américain lors des négociations sur le nucléaire iranien et conseiller politique principal de la campagne présidentielle de Mme Clinton en 2016.

En d’autres termes, il a travaillé avec les mondialistes les plus puissants du monde. Voici un extrait de leur discussion sur le Nouvel Ordre Mondial.

En réponse à la question du modérateur demandant si nous entrons dans un nouvel ordre mondial, M. Sullivan a déclaré : « L’ère de l’après-guerre froide est terminée :

« L’ère de l’après-guerre froide s’est achevée et nous sommes au début de quelque chose de nouveau. Nous avons la capacité de façonner ce nouvel ordre et, au cœur de celui-ci, se trouveront de nombreux principes et institutions fondamentaux de l’ordre existant, adaptés aux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ».

Le FEM adore nous dire que nous sommes le « début de quelque chose de nouveau ». Bien sûr, tout cela n’est que de la propagande. S’il n’y avait pas de « défis » générés par les médias, tels que le COVID et le réchauffement climatique, le FEM ne saurait pas comment promouvoir sa nouvelle ère. La devise de l’élite est « L’ordre à partir du chaos ». Elle génère le chaos pour instaurer un nouvel ordre.

Pour l’élite, un nouvel ordre mondial serait sans nations ni élections démocratiques. Si vous pensez que j’exagère, voici une vidéo de Klaus Schwab fantasmant sur des implants cérébraux rendant les élections inutiles à Davos 2017. Cela ne s’invente pas.

À quoi ressemblerait donc un nouvel ordre mondial dirigé par le FEM ? La Chine communiste est un laboratoire pour les politiques totalitaires mondialistes et son système de crédit social y est actuellement testé. Sans surprise, plusieurs invités à Davos ont appelé à la mise en place d’une technologie qui rendrait une telle chose possible au niveau mondial.

No3 Le contrôle numérique

Vous souvenez-vous des passeports vaccinaux lors du COVID ? Vous savez, cette époque où des millions de personnes sont soudain devenues des citoyens de seconde zone et ont été interdites de voyage et d’accès aux espaces publics parce qu’elles refusaient de se faire injecter un produit pharmaceutique ? C’était une erreur malsaine et odieuse, n’est-ce pas ?

Pas selon Davos. Pour eux, COVID était un test et ils veulent le rendre permanent. Lors de la session de Davos intitulée « Fixing Healthcare, Digitally » (« La réforme des soins de santé passe par le numérique »), la commissaire européenne chargée de la santé et de la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, a fait l’éloge des passeports vaccinaux en les présentant comme un exemple de ce qu’il faudrait faire à l’avenir.

Kyriakides a souligné avec désinvolture que tout ce projet a été repris par l’OMS, qui est, une fois de plus, une organisation mondialiste qui opère en dehors des gouvernements nationaux. Est-ce normal ?

Comme pour s’assurer que nous comprenions bien que Davos, c’est l’élite qui parle aux masses, le FEM a fait venir la Reine des Pays-Bas pour chanter les louanges de l’identité numérique. Pourquoi elle en particulier ? Je n’en sais rien. Autant faire venir la Reine des cœurs d’Alice au pays des merveilles tant qu’on y est.

Mais écoutons ce que Son Altesse a à dire sur les cartes d’identité numériques.

La reine Maxima a déclaré qu’une carte d’identité numérique biométrique devrait être nécessaire pour obtenir des services financiers, pour s’inscrire à l’école, « pour savoir qui s’est fait vacciner ou non » et pour obtenir des subventions gouvernementales.

Il n’est pas nécessaire d’être Nostradamus pour comprendre qu’une telle technologie pourrait facilement transformer la société en dystopie. Avec un tel système en place, une personne non vaccinée pourrait facilement être « débancarisée » et se voir refuser des subventions gouvernementales. En Chine, les personnes qui critiquent le système voient leur score de crédit social pénalisé. Cela pourrait-il se produire avec une carte d’identité numérique ?

Ces situations hypothétiques pourraient sembler paranoïaques… si le FEM ne passait pas autant de temps à se plaindre de la liberté d’expression.

No2 Censurer les critiques

Un thème récurrent des discussions du FEM est, ironiquement, la restriction de la liberté d’expression. Tout ce qui va à l’encontre de leur agenda est considéré comme de la « désinformation » et doit être éradiqué. À Davos 2024, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déclaré que la lutte contre la « désinformation » était la principale préoccupation du FEM.

Bien sûr, la désinformation est un mot de code pour tout fait ou opinion qui va à l’encontre de leur discours. Plus loin dans la vidéo, elle fait l’éloge de la loi sur les services numériques (Digital Services Act) qui contrôle et surveille les « discours de haine » — un terme qui ne cesse de s’élargir pour englober, une fois de plus, tout ce qui va à l’encontre de leur discours.

Dans une autre vidéo étonnante, une rédactrice en chef du Wall Street Journal déclare littéralement qu’ils avaient l’habitude de « posséder les informations »… jusqu’à ce que ces sources alternatives ennuyeuses arrivent.

De la manière la plus ironique qui soit, ce qu’elle a dit n’est rien d’autre que de la « fake news » (fausse nouvelle). Les sources d’information grand public sont plus que jamais opaques, malhonnêtes et axées sur des objectifs précis. Plusieurs d’entre elles se sont transformées en véritables machines de propagande où l’« information » n’est jugée bonne que si elle sert un programme. Avez-vous regardé NBC News récemment ? Je veux dire, sérieusement.

No1 Inventer des mots

Dans ce dernier épisode de la folie du FEM, une panéliste souhaite que l’« écocide » soit considéré comme un crime grave. OK. Cela semble fou. Mais qu’est-ce qui pourrait être considéré comme un « écocide » ? La femme mentionne… la pêche et l’agriculture. OK. C’est VRAIMENT fou.

Oui, vous avez bien entendu. Jojo a comparé l’agriculture et la pêche à un génocide et elle veut que ces personnes soient punies sur le plan pénal. Comme nous l’avons vu plus haut, le FEM est spécialisé dans la création de pentes extrêmement glissantes. Et c’est encore le cas ici.

Jojo n’a pas été invitée au hasard. Ses opinions extrêmes représentent les objectifs à long terme du FEM. Si vous avez suivi l’actualité ces dernières années, vous avez probablement remarqué que l’élite mène une guerre totale contre les agriculteurs, en particulier en Europe. Tout cela n’est pas le fruit du hasard. Le FEM se sert de « l’environnement » pour vilipender la pêche, l’agriculture et l’élevage, tout en élaborant des politiques visant à détruire leurs moyens de subsistance.

Ces politiques sont suivies d’un accaparement massif des terres par les mégacorporations et les larbins mondialistes tels que Bill Gates. Le but ultime : faire en sorte que les humains se nourrissent d’insectes et de « produits alimentaires » hautement transformés et à peine digestibles.

Ce sont eux qui mangeront de délicieux steaks. Pas nous.

En conclusion

Cette année encore, le FEM a mis en évidence les objectifs à long terme de l’élite mondiale. Alors qu’ils aiment truffer leurs discours de mots tels que « liberté », « démocratie » et « prospérité », leurs politiques conduisent à l’exact opposé. Dans les exemples ci-dessus, nous avons vu des discussions sur la prise en charge par l’OMS de la réponse aux pandémies au niveau mondial, la mise en œuvre d’une carte d’identité numérique mondiale qui contrôlerait tous les aspects de la vie, la censure des opinions divergentes sur Internet, les implants cérébraux qui rendent les élections inutiles et, enfin, la transformation de l’agriculture en un crime grave comparable à un génocide. Cela ressemble-t-il à « la liberté, la démocratie et la prospérité » ? Ou à la folie totale ?

Regardez la tapisserie satanique décrite plus haut. C’est la vie qu’ils veulent pour vous.




L’Europe qui s’est perdue et celle que l’on veut nous imposer

[Pour modérer ou annuler la peur virale P4 évoquée dans la vidéo :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !;
Armes biologiques ?;
Des souris et des fous;
La virologie : pseudoscience au service de la domination;
Aveuglés par la pseudo-science]




Le lait cru de nouveau à la croisée des chemins

[Source : Dr Mercola]

Analyse de Sally Fallon Morell

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • La campagne contre le lait cru a commencé par un article fabriqué de toutes pièces paru en 1945 dans le magazine Coronet, faisant état d’une épidémie mortelle de brucellose dans une ville inexistante, ce qui a conduit à l’adoption de lois restrictives contre le lait cru dans le Michigan à partir de 1948.
  • Une présentation PowerPoint réalisée en 2007 par un fonctionnaire de la FDA a faussement dénigré le lait cru en utilisant des rapports erronés ; aucun de ces rapports n’a prouvé que la pasteurisation aurait permis d’éviter les prétendues épidémies.
  • L’annonce faite en 2024 par l’USDA attribue les symptômes observés chez les vaches laitières à la grippe aviaire sans que la présence du virus dans le lait ait été confirmée, en s’appuyant sur des méthodes de test PCR douteuses.
  • Malgré les affirmations, il n’existe aucune preuve, évaluée par des pairs, de la transmission à l’homme de la grippe aviaire hautement pathogène à partir du lait cru.
  • Alors que la pasteurisation est présentée comme rendant le lait sûr, le détournement ou la destruction de lait provenant d’animaux infectés suggère que la pasteurisation ne garantit peut-être pas la sécurité.

Peu d’entre nous étaient nés lorsque les partisans de la pasteurisation du lait ont lancé la première grande attaque contre l’aliment parfait de la nature. En 1945, un magazine appelé « Coronet » a publié un article intitulé « Raw Milk Can Kill You » (Le lait cru peut vous tuer), accusant le lait cru d’être à l’origine d’une épidémie de brucellose dans une ville appelée Crossroads, aux États-Unis, qui a tué un tiers des habitants. Le « Reader’s Digest » a repris l’article et l’a publié un an plus tard.

Un seul problème avec ce « reportage ». Il n’y a pas eu de ville appelée Crossroads ni d’épidémie de brucellose. Toute l’histoire était une fabrication, autrement dit un mensonge. Et les mensonges sur le lait cru n’ont jamais cessé depuis.

Malheureusement, l’histoire fictive de Crossroads a ouvert la voie à l’adoption de lois interdisant la vente de lait cru, en commençant par le Michigan en 1948.

Voici un autre exemple de mensonges contre le lait cru (que j’ai mentionné dans un article précédent1, mais qui mérite d’être répété). En 2007, John F. Sheehan, BSc (Dy), JD, US Food and Drug Administration (FDA), Center for Food Safety and Applied Nutrition (USFDA/CFSAN — Centre pour la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée), Division of Dairy and Egg Safety (Division de la sécurité des produits laitiers et des œufs), a préparé un Powerpoint dénigrant le lait cru ; il a été présenté à la National Conference on Interstate Milk Shipments (NCIMS — Conférence nationale sur les transports interétatiques de lait) de 2005 par Cindy Leonard, MS.2

Comme le montre le tableau ci-dessous, l’ensemble des quinze rapports associant des épidémies de maladies d’origine alimentaire au lait cru cités par Sheehan présentent de sérieuses lacunes. Par exemple, dans deux de ces quinze rapports, les auteurs de l’étude n’ont présenté aucune preuve que quelqu’un ait consommé des produits à base de lait cru et, dans l’un d’entre eux, l’épidémie n’a même pas existé. Aucune des études ne montre que la pasteurisation aurait permis d’éviter l’épidémie.

Pas d’échantillon de lait positif valable 12/15 (80 %)
Pas d’association statistique valable avec le lait cru 10/15 (67 %)
Résultats déformés par la FDA 7/15 (47 %)
Des explications alternatives ont été découvertes mais n’ont pas été poursuivies 5/15 (33 %)
Aucune preuve que quelqu’un ait consommé des produits à base de lait cru 2/15 (13 %)
L’épidémie n’a même pas existé 1/15 (7 %)
Il n’a pas été démontré que la pasteurisation aurait permis d’éviter l’apparition de l’épidémie. 15/15 (100 %)

Avançons rapidement au présent et à l’agitation autour de la grippe aviaire chez les vaches laitières : encore des mensonges, des mensonges très intelligents, mais des mensonges quand même.

Dans un communiqué de presse daté du 25 mars 20243, le ministère américain de l’Agriculture (USDA), la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), ainsi que les autorités vétérinaires et de santé publique des États, ont annoncé une enquête sur « une maladie touchant principalement des vaches laitières âgées au Texas, au Kansas et au Nouveau-Mexique et provoquant une baisse de la lactation, un manque d’appétit et d’autres symptômes ».

Les agences affirment que des échantillons de lait non pasteurisé provenant de bovins malades au Kansas et au Texas ont été testés positifs à la « grippe aviaire hautement pathogène (GAHP) ». Les autorités attribuent l’apparition de ce foyer à un contact avec des « oiseaux migrateurs sauvages » et, éventuellement, à une transmission entre bovins. Le communiqué de presse met spécifiquement en garde contre la consommation de lait cru, un avertissement répété dans de nombreuses publications et sur Internet.

[Voir aussi :
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
et
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie]

Selon le communiqué de presse, les laboratoires nationaux ont confirmé la présence de l’IAHP (Influenza aviaire hautement pathogène) par des tests, mais il ne révèle pas le type de test utilisé pour détecter cette soi-disant maladie virale.

Mensonge n° 1 : les chercheurs ont trouvé le virus IAHP dans le lait des vaches malades

Les autorités n’ont PAS trouvé de virus dans le lait ou les autres sécrétions des vaches malades. Le CDC n’a toujours pas répondu aux demandes répétées de preuve de la présence du virus isolé de la grippe aviaire hautement pathogène dans les fluides d’un poulet ou d’un autre animal malade.4 Les agences sanitaires et agricoles du Canada,5 du Japon,6 du Royaume-Uni7 et de l’Europe8 n’ont pas non plus fourni de preuve de la présence d’un virus isolé de la grippe aviaire.

Quant à toutes les études que vous pouvez trouver dans une recherche PubMed prétendant à l’« isolement » d’un virus, aucune d’entre elles ne montre l’isolement réel d’un virus, n’importe quel virus, à partir des fluides (flegme, sang, urine, fluides pulmonaires, etc.) de n’importe quel animal, oiseau ou humain.9

La vérité est que les « virus » servent de souffre-douleur pour les toxines environnementales, et dans le système d’élevage en claustration, il y en a beaucoup — sulfure d’hydrogène, dioxyde de carbone, méthane et ammoniac provenant des excréments, par exemple.10 Il y a ensuite les toxines dans l’alimentation, comme l’arsenic ajouté à l’alimentation des poulets, et les mycotoxines, le tropane et les alcaloïdes de la β-carboline dans le tourteau de soja.11

[NDLR On peut aussi fortement suspecter les ondes électromagnétiques artificielles (telles que la récente 5G) et leurs effets nocifs sur la santé des êtres vivants.
Voir le dossier 5G et ondes pulsées.]

En accusant des virus inexistants, les responsables de l’agriculture évitent de marcher sur les plates-bandes des grandes industries et n’ajoutent rien au dégoût croissant du public à l’égard du système d’élevage en claustration.

En 2006, les chercheurs Crowe et Englebrecht ont publié un article intitulé « Virus de la grippe aviaire H5N1 : aucune preuve de son existence, de sa pathogénicité ou de son potentiel pandémique ; omission de la causalité non “H5N1” ».12 Rien n’a changé depuis.

Voici votre devoir : Contactez l’USDA à l’adresse Aphispress@usda.gov et demandez-lui de fournir la preuve de l’isolement du virus de l’IAHP ou de tout autre virus présent dans le lait des bovins malades.

Mensonge n° 2 : les laboratoires nationaux ont confirmé la présence de l’IAHP par des tests

Ils ne précisent pas le type de test qu’ils ont utilisé, mais il s’agit très certainement d’un test PCR (réaction en chaîne par polymérase). Le test PCR détecte le matériel génétique d’un agent pathogène ou d’un échantillon de cellules anormales et permet aux chercheurs de faire de nombreuses copies d’une petite section d’ADN ou d’ARN. Le test n’a pas été conçu pour déterminer ou diagnostiquer une maladie, mais pour amplifier ou augmenter une certaine partie du matériel génétique.

Chaque « amplification » est un doublement du matériel. Si vous amplifiez trente fois, vous obtiendrez un résultat négatif ; si vous amplifiez 36 fois ou plus, vous obtiendrez un résultat positif. À 60 amplifications, tout le monde sera « testé positif » pour n’importe quel morceau de matériel génétique que vous pensez pouvoir causer une maladie.13 Si vous voulez montrer qu’une pandémie se prépare, il suffit d’amplifier, d’amplifier, d’amplifier. Il ne s’agit pas d’un test valable ni d’une bonne science, loin s’en faut, d’autant plus qu’il n’y avait pas de virus au départ.

Combien de fois nos autorités sanitaires ont-elles amplifié les échantillons prélevés sur le lait des vaches malades ? Ne manquez pas de leur poser la question lorsque vous enverrez un courriel à Aphispress@usda.gov pour obtenir la preuve de l’existence du virus.

Mensonge n° 3 : le « virus » est hautement pathogène

Selon le « Wall Street Journal », une personne — une seule — travaillant dans les laiteries est tombée malade et a été testée positive à la grippe aviaire après avoir été exposée à des vaches laitières présumées infectées par le virus H5N1 de la grippe aviaire.14

Cette personne a déclaré comme seul symptôme une rougeur des yeux, ou conjonctivite, symptôme qui peut s’expliquer par une exposition à l’une des nombreuses toxines présentes dans l’air des laiteries de confinement. (Comment traite-t-on la maladie ? Avec de la vitamine A et des gouttes oculaires à base de plantes ? Non, le pauvre bougre est traité avec un médicament antiviral toxique).

Selon le CDC, la maladie chez l’homme va d’infections légères, qui comprennent des symptômes liés aux voies respiratoires supérieures et aux yeux, à des pneumonies graves. Si le « virus » est si hautement pathogène, on pourrait s’attendre à ce que de nombreux travailleurs travaillant autour de ces vaches malades se retrouvent à l’hôpital… mais nous n’avons entendu parler d’aucun cas jusqu’à présent.

Mensonge n° 4 : on peut attraper la grippe aviaire en buvant du lait cru, mais le lait pasteurisé est sans danger

Selon Peg Coleman, biologiste médical15 :

« Les récentes communications sur les risques du CDC, de la FDA et de l’USDA concernant la transmission du virus de la grippe aviaire hautement pathogène ou IAHP (sous-type H5N1) à l’homme par le lait cru ne contiennent aucune preuve de la transmission virale du lait cru à l’homme dans la littérature évaluée par les pairs.

Un grand nombre de preuves scientifiques tirées de la littérature évaluée par des pairs […] n’étayent pas l’hypothèse de ces agences gouvernementales américaines selon laquelle l’IAHP [inexistante] se transmet à l’homme par les voies du lait ou de l’alimentation et provoque des maladies. Les preuves scientifiques ne soutiennent pas non plus la recommandation selon laquelle les consommateurs devraient éviter le lait cru et les produits à base de lait cru ».16

[souligné dans l’original]

Coleman souligne la série de composants bioactifs présents dans le lait cru, y compris le lait bovin, qui détruisent les agents pathogènes et renforcent la paroi intestinale.

« Bon nombre de ces composants bioactifs du lait cru sont sensibles à la chaleur et peuvent être absents, inactifs ou présents en plus faibles concentrations dans les laits pasteurisés.

Des preuves interdisciplinaires démontrent que le lait cru provenant de vaches saines n’est pas intrinsèquement dangereux, conformément aux preuves des tendances du CDC pour 2005-2020 et aux preuves des avantages et des risques. Il n’existe aucune preuve scientifique que l’influenza aviaire hautement pathogène présente dans le lait cru soit à l’origine de maladies humaines ».

Alors que l’USDA, la FDA et les CDC assurent au public que la pasteurisation rendra le lait sûr, ils notent que « le lait provenant d’animaux infectés est retiré ou détruit », ce qui implique que la pasteurisation à elle seule ne garantit pas la sécurité. Quoi qu’il en soit, les ventes de lait industriel pasteurisé continuent de décliner inexorablement.

Heureusement, les buveurs de lait cru sont déjà sceptiques à l’égard des déclarations des gouvernements et savent démasquer les mensonges. Les exploitations laitières au lait cru, grandes et petites, font état de ventes florissantes. La crise actuelle de la grippe aviaire n’est qu’un nouveau carrefour aux États-Unis, un ramassis de mensonges entretenus par une industrie laitière malhonnête qui s’en prend à la concurrence.

À propos de l’auteur

Sally Fallon Morell est l’auteur du livre de cuisine à succès « Nourishing Traditions » et de nombreux autres ouvrages sur l’alimentation et la santé. Elle est la présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation (westonaprice.org) et l’une des fondatrices de A Campaign for Real Milk (realmilk.com). Visitez son blog à l’adresse nourishingtraditions.com.

Sources et références




Mike Stone — Les Américains sont possédés par des démons

[Source : henrymakow.com]

14 mai 2024

Pour les Israéliens, ce ne sont pas des enfants. Ce sont de futurs « terroristes » ou des mères de futurs terroristes. C’est ainsi que fonctionne le génocide.

L’Occident est complice du génocide.
Son compte en banque moral est vide.

« En mai 2024, des millions d’Américains salivent de soif de sang devant les massacres d’enfants palestiniens perpétrés par Israël. Ces mêmes personnes applaudissent la police en tenue antiémeute qui bat et arrête brutalement des étudiants, non pas pour avoir commis des crimes, mais pour avoir protesté pacifiquement contre l’assassinat de ces enfants ».

Par Mike Stone

Cela fait deux ans que je vous dis que Donald Trump va gagner largement en novembre. Une telle idée était considérée comme impensable lorsque je l’ai évoquée pour la première fois, mais chaque jour qui passe, de plus en plus de gens se rallient à l’idée d’un retour de Trump à la Maison-Blanche.

À moins que Trump ne meure — et il y a eu une tentative par un agent des services secrets d’assassiner Trump avec une arme à feu pour crise cardiaque lors de son récent rassemblement dans le New Jersey, dont vous n’avez probablement pas entendu parler — il n’y a rien sur terre qui puisse empêcher Trump de gagner cet automne avec la plus grande marge de victoire jamais vue lors d’une élection présidentielle américaine.

Rien ne changera

Mais si Trump va gagner en 2024 et si c’est une bonne chose — certainement une amélioration par rapport à l’imposteur qui prétend être Joe Biden — un autre mandat de Trump en tant que président ne va rien changer à long terme.

L’économie va s’améliorer et les Américains, qui sont parmi les personnes les plus égoïstes de la planète, ne verront pas plus loin. Tant qu’ils obtiennent ce qu’ils veulent, ils ne se soucient pas des autres. Cependant, la société américaine continuera à glisser vers l’abîme. Le pays a rejeté le christianisme (le catholicisme traditionnel) à un point tel qu’un rétablissement complet est impossible.

Et pourquoi devrions-nous nous attendre à un rétablissement de toute façon ? En mai 2024, des millions d’Américains salivent de soif de sang devant les massacres d’enfants palestiniens perpétrés par Israël. Ces mêmes personnes applaudissent la police en tenue antiémeute qui bat et arrête brutalement des étudiants, non pas pour avoir commis des crimes, mais pour avoir protesté pacifiquement contre l’assassinat de ces enfants.

C’est l’essence même du dérangement mental. C’est un exemple aussi clair que d’appeler le mal « bien » et le bien « mal ».

« Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal. »

Isaïe 5:20

Que feront ces paysans au cerveau lavé quand Dieu leur rappellera ses paroles :

« Il vaudrait mieux pour lui qu’on lui pende au cou une meule de moulin et qu’on le jette dans la mer, que d’offenser un seul de ces petits. »

Luc 17:2

Pensent-ils que Dieu va dire : « Ces enfants qui ont été torturés et tués étaient des Palestiniens, alors nous laisserons passer » ?

S’attendent-ils à ce qu’Il dise : « Ces manifestants étaient pacifiques, mais leurs tentes étaient une horreur, alors leur frapper la tête ne compte pas. »

Que peuvent-ils penser d’autre ? Soit ils se font des illusions au point de croire que Dieu leur pardonnera de soutenir le meurtre de masse d’enfants innocents, soit ils ne réfléchissent pas du tout. Dans ce dernier cas, ils ne prennent pas la peine de réfléchir, parce qu’ils sont trop occupés à se branler avec de la pornographie, à écouter la radio et à se faire raconter des mensonges par Fox News.

Nous assistons à un grave dérèglement mental, voire à une possession démoniaque. Après tout, qui soutiendrait ouvertement l’assassinat massif d’enfants si ce n’est une personne diaboliquement possédée ? Qui soutiendrait que des policiers de type bolchevique frappent et arrêtent des étudiants innocents si ce n’est quelqu’un qui a totalement basculé du côté obscur ?

Le meurtre délibéré d’enfants en Palestine est une chose si extrême, si éloignée de la sainteté et de Dieu, que la possession démoniaque et le dérèglement mental qui en résulte semblent être la seule explication qui tienne la route.

C’est un niveau de mal qui s’apparente au massacre des Innocents par Hérode. Seulement, alors qu’Hérode était un individu isolé, ce que nous voyons aujourd’hui, ce sont littéralement des millions de personnes consumées par la haine et appelant au meurtre (au sacrifice) d’enfants.

Comment un pays dont les citoyens soutiennent le massacre d’enfants peut-il survivre à long terme ? À quoi sert un pays dont les citoyens s’obstinent à cracher au visage de Dieu et à condamner leurs propres âmes à l’enfer ?

Les conservateurs sont aussi mauvais que les libéraux

Ce qui est amusant, d’une manière un peu malsaine, c’est que les libtards1 ont été les plus dupes du canular du virus, alors que le génocide en Palestine est soutenu presque entièrement par les cuckservatives2, les dupes qui regardent Fox News, écoutent la radio et pensent qu’ils savent tout.

Leur niveau de pensée est en fait plus dangereux que celui des libtards. Les libtards pensaient que le canular du virus était réel et leurs actions, bien que malavisées, étaient basées sur la conviction qu’ils sauvaient des vies. Les « cuckservatives », en revanche, n’ont aucun intérêt à sauver des vies. Ils se font les champions de la famine et du massacre d’enfants.

Ce sont vraiment des individus dérangés. Imaginez le niveau de noirceur auquel une personne devrait descendre pour soutenir et défendre le meurtre de masse d’enfants.

Sur les 100 000 personnes qui ont assisté au rassemblement de Trump dans le New Jersey, je doute que plus de dix d’entre elles se soient réellement battues contre le canular du virus et aient boycotté les auteurs du canular. Ils sont tous prêts à remettre Trump à la Maison-Blanche, malgré sa responsabilité dans la pandémie et les « vaccins » toxiques. Ils ne sont pas prêts à faire le moindre sacrifice pour défendre leur pays.

Ils votent pour des gens comme Lindsey Graham, qui dit maintenant qu’il veut bombarder la Palestine, tout en suivant aveuglément tout ce que leurs manipulateurs à la télévision leur disent de faire. Un pays peuplé de gens comme ça ne mérite pas de continuer.

Oui, Trump gagnera en novembre. Oui, l’économie s’améliorera — pour quatre ans seulement. Mais un pays comme le nôtre ne peut pas survivre au-delà. Oubliez le pays. Il est mort. Votre travail consiste à sauver votre propre âme.


1 Libtard est une insulte généralement utilisée par les conservateurs pour qualifier les libéraux de stupides. NdT

2 Conservateur politique considéré comme faible, inefficace ou trop modéré. Terme utilisé surtout par l’extrême droite pour décrire les conservateurs traditionnels. NdT




BHL et le terrorisme intellectuel en France

Par Nicolas Bonnal

On devrait décompter comme pour les candidats aux européennes le nombre d’heures qu’il a été imposé à la télé pour promouvoir toutes ses insanités, notre increvable clerc obscur : quelques milliers ? Quelques millions peut-être ?

Cela fait cinquante ans qu’il dure (grâce à Pivot entre autres) et ce n’est pas ce papier qui fera mettre à la retraite le BHL qui réclame tout le temps avec notre presse mobilisée et subventionnée sa guerre contre la Russie après la Libye — en attendant la Chine et les prochains non-acheteurs du futur vaccin Bourla. BHL synthétise à lui seul le mal français plus ou moins défini par le ministre gaulliste Alain Peyrefitte. Mais Tocqueville parle déjà dans son Ancien Régime de cette « nation abstraite et littéraire » et Paul Hazard de cette (toujours) « nation implacable quand il s’agit d’idées »… Faute à Voltaire ? Faute à Rousseau ?

BHL incarne la chasse aux sorcières à la française, le fanatisme à la française, la superficialité à la française, le manque de professionnalisme à la française, le style pompeux à la française ; le goût enfin pour la lutte contre les tyrans qui s’est exprimé au-delà du ridicule ces dernières années avec ces présidents héritiers de Guy Mollet et de la Convention — sans oublier le gouvernement de 1849 qui voulait faire la guerre pour rien à la Russie (voyez la fin des Souvenirs de Tocqueville).

Mais j’ai parlé de terrorisme intellectuel. Rappelons l’expert absolu Augustin Cochin alors :

« La Terreur régnait sur la France en 1793, mais elle régnait déjà sur les lettres, au temps où le philosophisme jetait Fréron à Vincennes, Gilbert à l’hôpital et Rousseau hors de ses sens et fermait l’Académie aux “hérétiques”. Avant la Terreur sanglante de 1793, il y eut, de 1765 à 1780 dans la république des lettres une Terreur sèche dont l’Encyclopédie fut le Comité de Salut public et d’Alembert le Robespierre. Elle faucha les réputations comme l’autre les têtes ; sa guillotine, c’est la diffamation, “l’infamie”, comme on disait alors… Et les têtes tombent en grand nombre : Fréron, Pompignan, Palissot, Gilbert, Linguet, l’abbé de Voisenon, l’abbé Barthélemy, Chabanon, Dorat, Sedaine, le président de Brosses, Rousseau lui-même pour ne parler que des gens de lettres, car le massacre fut bien plus grand dans le monde politique. »

Le grand esprit ajoute toujours dans son opus sur les sociétés de pensée :

« M. Roustan, dans son livre sur Les philosophes et la Société française au dix-huitième siècle, a fort justement insisté sur la formation de la “secte” philosophique vers 1760, et ce qu’il appelle le “clergé laïc”. Elle règne à l’Académie sous d’Alembert, dispose de la censure par Malesherbes, fait interdire les livres de ses adversaires, et jeter les auteurs à Vincennes et à la Bastille, répand sur l’opinion et sur le monde des lettres une sorte de terreur sèche. Les lettres de lord Chesterfield, les mésaventures du président de Brosses, de Palissot, de Gilbert, de Rousseau, de Fréron, de Linguet, pour ne citer que les plus célèbres, montrent ce que risquaient les indépendants et les héroïques. »

Bref BHL est (horresco referens) français et incarne ce typique terrorisme intellectuel.

Ce n’est pas un hasard si les derniers intellectuels juifs libéraux comme Raymond Aron et Simon Nora l’avaient remis à sa place, après la publication de son idéologie antifrançaise. Car BHL incarne — et sans le vouloir — la stupidité du cuistre à la française, certainement pas le complot juif pour attardés des Alpes. Il n’est certainement pas le grand Marx ou le Trotski que je référence ici ; il est le pédant de salon plastifié que nous avons connu depuis des lustres, le Trissotin salonard dont se moque Molière, ou tel jésuite défroqué qui lançait jadis ses croisades roboratives contre le monde entier (Albion à midi, l’Autriche l’après-midi, la lointaine Russie le soir — en attendant la raclée contre la Prusse le lendemain). 

Aude Lancelin a eu maille à partir avec lui et elle en parle bien ici — à propos de je ne sais plus quel scandale à la française :

« Qu’une telle affaire fût simplement possible constituait décidément un terrible symptôme. Ce Bernard-Henri Lévy, en soi, était un hapax, une bizarrerie à tous égards, mais la situation qui lui était faite, l’état d’exception permanent dont il jouissait, disait tout de la dégradation à peine concevable dans laquelle la société culturelle et médiatique française était tombée. »

La faute à Pivot qui en effet lança les ludions néo-cons ridiculisés alors par Sartre ou Deleuze — Pivot qui médiatisa et liquida la vie culturelle française — ou ce qu’il en restait après le tiers-mondisme et le nouveau roman.

Aude Lancelin excusait l’homme de la rue, moi pas. L’homme de la rue soutient l’euro, l’OTAN, les guerres socialistes et il bouge encore moins que ses ancêtres. Et elle nous dénonce aussi la presse à ses ordres.

Or il y a erreur encore. La presse française n’est pas à ses ordres. Subventionnée, non commerciale, nulle, elle pense simplement comme lui sur tous les sujets : c’est ce qu’a justement rappelé Serge Halimi. Les journalistes n’écrivent plus pour obéir ou pour manger. Ils ne sont pas aux ordres, ils sont volontaires, encore et toujours « parfaitement enthousiastes » (Céline, encore et toujours, dans les Beaux Draps). Ils veulent guerre, reset, génocides, QR codes, vaccins…

Les médias officiels ne le lâchent jamais tout à fait cependant. Plutôt que de pousser de nouveaux noms, ils préfèrent crever avec cet « intellectuel institutionnel (elpais.com) ». C’est facile quand on est financé à hauteur de 600 millions.

Notre BHL n’est que le président, le chef de la cabale du Don Juan de Molière — de la minable accablante république des lettres sous l’éteignoir de laquelle nous vivons depuis des siècles ; il incarne la nullité impétueuse du cuistre à la française. Il n’est même que cela, au-delà de son indécente incompétence et de ses prédictions ridicules. Cette nullité est caractéristique de la presse mainstream que certains s’échinent encore à lire, fût-ce pour la critiquer.

Voilà pourquoi on ne s’intéressera qu’à la littérature de la trop rare Restauration, celle de Tocqueville, Chateaubriand, Balzac, Gautier, romantiques amis de la Russie, de l’esprit libre et aristocratique — dont de Gaulle fut le dernier héritier, littéraire et politique…




Le harcèlement électromagnétique : l’impact des ondes sur notre santé !

[Site : Nicolas BOUVIER]

Pour témoigner de ce sujet à la fois méconnu et sensible, cinq invités :

[NDRL Les liaisons sonores présentent occasionnellement quelques problèmes.]

[En rapport avec les sujets abordés dans la vidéo :
Les centres de fusion, les citoyens-espions et l’affaiblissement du caractère américain
La mort de la liberté, de A à Z (qui évoque aussi les centres de fusion)
Le Docteur Yves Couvreur dénonce le harcèlement électromagnétique et en réseau
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Victimes d’attaques électromagnétiques
Révélations sur le harcèlement criminel d’État
Le cerveaux et le corps des gens ne sont pas protégés contre les attaques des ondes électromagnétiques et les neurotechnologies
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Existe-t-il un programme secret de répression, de torture et d’élimination contre les dissidents ?
La guerre cognitive contre les peuples
Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité
Oxyde de graphène et nanotechnologies dans les injections : marquage de l’humanité ?
Des lasers en orbite ont-ils pu déclencher les incendies à Hawaï ?
Voir aussi les dossiers 5G et ondes pulsées (notamment pour les nombreux effets et symptômes des ondes électromagnétiques),
Vaccins et virus (pour des articles sur le graphène en liaison avec les vaccins)
et Implants numériques et contrôle mental]




ALERTE ROUGE : le « traité » de l’OMS sur les pandémies est désormais un « accord »

Cela fait toute la différence ! Nous avons été dupés

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport
13 mai 2024

Je vais vous donner les grandes lignes. Un TRAITÉ doit être signé par le président des États-Unis et approuvé par les deux tiers du Sénat.

Un ACCORD n’a besoin que de la signature du président, et l’Amérique s’engage à respecter le document.

J’ai communiqué avec un représentant des médias de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Plusieurs échanges ont été nécessaires pour clarifier ce qui se passe ici.

Ce que l’on nous a dit, c’est que le traité de l’OMS sur les pandémies est en fait qualifié d’accord.

C’est grave.

Lorsque M. Biden le signe, la souveraineté américaine est soudainement placée sous l’autorité de l’OMS.

L’OMS peut déclarer une urgence sanitaire mondiale quand elle le souhaite, pour n’importe quelle raison, et toutes les règles et restrictions qu’elle établit peuvent être invoquées. Ici, en Amérique.

Par exemple, les fermetures d’usines, les vaccins obligatoires.

L’Amérique est soudain devenue une colonie de l’Organisation mondiale de la santé.

Aucune date n’a été fixée pour la soumission par l’OMS de l’accord aux États-Unis et à d’autres pays, mais cela ne saurait tarder.

Une épée est suspendue au-dessus de nos têtes.

Nous avons besoin d’un refus massif, malgré la signature imminente de notre souveraineté par Biden.

Il faut que les sénateurs se rebellent en grand nombre.

Il faut que les gouverneurs des États s’engagent à ignorer tous les diktats de l’OMS.

Il faut que le peuple américain refuse de suivre l’OMS.

Voici le document que l’attaché de presse de l’OMS m’a envoyé, montrant que ce soi-disant traité est en fait un accord :

Voici l’article que j’ai publié récemment et qui approfondit la question du traité et de l’accord. Il explique que ces accords internationaux sont illégitimes et ne devraient jamais être respectés. Ils sont inconstitutionnels et ont toujours été une escroquerie destinée à gonfler le pouvoir du président et du pouvoir exécutif.

Faites passer le message, loin à la ronde.

On nous mène en bateau.

Un mauvais tour cauchemardesque.

Jon Rappoport

P.S. Après avoir lu le document de l’OMS dont le lien figure ci-dessus, mon impression est la suivante : l’accord de l’OMS est conçu pour « l’unité collective » entre les nations membres.

Cela ressemble aux débuts de l’Union européenne, dont le message était « Nous sommes tous dans le même bateau ». Mais peu à peu, l’approche consensuelle a disparu et l’UE est devenue un super-gouvernement.

Dans le cas présent, l’OMS souhaite que tous les États membres lui fassent part de leurs observations sur les mesures à prendre en cas de pandémie. L’OMS insiste même sur le fait que la souveraineté de chaque nation ne sera jamais perturbée ni entravée par l’accord sur la pandémie.

MAIS l’objectif est de faire de l’OMS le chef de file de la meute.

L’OMS dira qu’elle agit et dirige au nom de ses membres, mais cette façade disparaîtra en temps voulu.

L’OMS se transformera en un gouvernement mondial de la santé, donnant des ordres et instaurant la tyrannie…

De la même manière que les agences sanitaires américaines — la FDA, le CDC, l’EPA — conçoivent des ensembles de réglementations qui imposent des lois de facto sur lesquelles aucun législateur n’a jamais voté.

ATTENTION.

Nous sommes des grenouilles dans la marmite, et la chaleur est à son comble.