Il est inutile d’isoler les asymptomatiques PCR positifs ! FAITS AVÉRÉS

Par Dr Gérard Delépine

Depuis plus de 30 mois, le gouvernement confond volontairement personnes testées PCR positifs et malades et prétend, contre toute logique scientifique, qu’il faudrait qu’elles s’isolent. Une nouvelle affirmation officielle toute récente de cette aberration médicale1 justifie le rappel des faits scientifiques avérés concernant les tests.

Les tests PCR n’ont pas été conçus pour porter un diagnostic de maladie

La Polymerase Chain Reaction consiste à reconnaître un fragment d’ARN d’un virus par la multiplication du matériel génétique recueilli. Kary Mullis, couronné en 1993 par l’académie Nobel inventeur de cette technique d’amplification l’a conçue pour préciser un diagnostic de maladie porté cliniquement et non pas pour permettre à lui seul d’affirmer qu’une personne est malade.

Lors du Corporate Greed & Aids qui a eu lieu le 12 juillet 1997 à Santa Monica Kary Mullis précisa :

« Le PCR est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Pour que ce test conserve une spécificité réelle, il faut qu’il porte sur un fragment d’ARN spécifique et que sa réalisation se limite à un nombre raisonnable de cycles d’amplification. Malheureusement les tests PCR pratiqués en France comme dans de nombreux autres pays pour soi-disant surveiller l’épidémie n’ont pas respecté ces limites.

Un nombre trop élevé de cycles d’amplifications crée des faux positifs

On entend par faux positif un test positif chez une personne qui n’est pas malade (et ne le sera pas à court terme) et qui ne peut contaminer personne, car elle n’est pas porteuse de virus.

La puissance des amplifications est telle qu’un nombre trop élevé de cycles permet de détecter des quantités infimes de matériel, aboutissant à des faux positifs. Les tests standard comportent un nombre de séquences d’amplification supérieur à 30 et déclarent comme positives un grand nombre de personnes incapables de contaminer quiconque.

Le professeur d’épidémiologie Michael Mina (Harvard) a ainsi déclaré au New York Times le 29 aout 2021 que :

« 85 % à 90 % des tests qui se sont révélés positifs en juillet dans le Massachusetts ne l’auraient pas été si le nombre de cycles avait été abaissé de 40 à 30. »

Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat (AP-HP) et membre du Conseil scientifique a d’ailleurs reconnu lors d’un entretien au Monde :

« Il est presque acquis actuellement qu’au-dessous d’une valeur CT de 24, “on est contagieux” et que le risque diminue progressivement au-delà. On pourrait donc considérer que les personnes testées positives avec une valeur CT supérieure à 30 sont très peu, voire pas contagieuses. »

Ce qu’ont confirmé de nombreux spécialistes américains au New York Times qui ne font que rappeler l’article princeps de Rita Jaafar :

« On observe qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients restent positifs en culture et qu’à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. À Ct = 35, la valeur que nous avons utilisée pour rapporter un résultat positif pour la PCR, <3 % des cultures sont positives »2

L’OMS a mis en garde contre les erreurs des tests PCR lorsque le nombre de séquence d’amplification dépasse les 30 et rappelé que la positivité d’un test ne permet pas à elle seule d’affirmer qu’une personne est malade ou contagieuse. Elle a précisé que les asymptomatiques sont rarement contaminants et conseille de n’utiliser les tests que pour confirmer un diagnostic suspecté sur des signes cliniques (chez des malades), car les tests sont inadaptés au dépistage de masse.

Malheureusement, en France, les dépistages sont conseillés, voire imposés (passe sanitaire) chez les asymptomatiques, et réalisés, selon le conseil scientifique, avec entre 40 et 45 cycles d’amplification. Ainsi la quasi-totalité des asymptomatiques dépistés positifs ne sont pas susceptibles d’être contagieux. Leur identification et la recherche de leurs contacts mobilisent inutilement les efforts publics retardant ainsi la mise en quarantaine des malades réellement contagieux3.

Pour connaître le statut contaminant d’une personne, il faudrait effectuer des cultures virales, analyse plus complexe et plus coûteuse qui ne se pratique absolument pas en examen de routine.

Les tests actuels ne portent pas sur un fragment d’ARN spécifique du SARS-CoV-2

Un document publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume.

Dans ce document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR :

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »[11]

Un asymptomatique PCR positif n’est pas un malade ni ne le deviendra : il ne porte pas le virus et n’est pas contagieux !

Un dépistage gigantesque réalisé à l’échelle de la Chine et publié déjà en novembre 2020 confirme définitivement ces données4. Ce dépistage, portant sur près de 10 millions d’habitants de Wuhan a permis de repérer 430 asymptomatiques positifs dont seulement 60 % d’entre eux présentaient aussi des anticorps contre le Covid19 et aucun d’entre eux n’excrétaient de virus entier (tous les positifs ont subi des cultures de virus et aucune n’a poussé). Tous les asymptomatiques positifs et leurs contacts ont été mis en quarantaine ; aucun n’est devenu malade. Si ce dépistage a permis de faire progresser les connaissances scientifiques, il n’a servi à rien pour limiter l’épidémie.

Les dépistages systématiques des asymptomatiques par le test PCR n’ont donc aucun intérêt médical.

Ils sont en réalité conseillés ou imposés pour entretenir la fiction de la poursuite d’une épidémie et terroriser la population afin de la pousser à se faire injecter les faux vaccins expérimentaux.

Un asymptomatique PCR positif n’a aucune raison d’être isolé5

Cela a été jugé officiellement par le tribunal d’appel de Lisbonne6 7 8 9.

À leur arrivée au Portugal quatre touristes allemands avaient été isolés sous contrainte dans un hôtel sous le prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’atterrissage de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été jugée fondée par un premier tribunal, mais les autorités sanitaires, voulant maintenir l’isolement, ont fait appel.

Les principales conclusions juridiques du tribunal d’appel de Lisbonne sont sans ambiguïté :

  • – le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.
  • – le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.
  • – le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens (dont la France). Elle n’est pas respectée, car il n’y a pas eu de consentement éclairé des personnes.

La justice a donc jugé illégal l’enfermement des plaignants, et ordonné leur libération.

Comment notre ministre de la Santé peut-il ignorer les attendus et les conclusions de ce tribunal, largement publiées, et prétendre publiquement le contraire ?

Les traitements précoces permettent de limiter les contaminations

Plutôt que de tester inutilement les asymptomatiques et de les isoler, il est beaucoup plus efficace, pour limiter les contaminations, de conseiller les traitements précoces aux malades et à leurs contacts.

Pour le démontrer, il suffit de comparer le nombre global de contaminations recensées en France à celui des pays qui ont utilisé systématiquement les traitements précoces tels que l’Algérie, la Cote d’Ivoire, Madagascar ou l’Inde :

Les pays adeptes des traitements précoces ont drastiquement limité les contaminations (18 à 200 fois moins que la France) et aussi la mortalité :

Les pays adeptes des traitements précoces bénéficient d’une mortalité 7 à 80 plus faible qu’en France !

Au total

Isoler les asymptomatiques positifs est scientifiquement infondé, médicalement inutile et jugé illégal au Portugal. Il est incompréhensible que le ministre de la Santé prétende le contraire ! Est-il mal renseigné ? Ignorance ? Mensonge d’état ?

La poursuite d’une telle propagande mensongère sape profondément la confiance de la population en ses dirigeants.





Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques

[Source : L’Échelle de Jacob via reseauinternational.net]

Par Professeur Marc Henry.

De multiples études scientifiques le prouvent, les champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, Bluetooth, téléphone portable, ordinateur, compteur Linky, etc.) perturbent notre biologie interne (impacts sur l’activité du cerveau, modifications neurologiques/neuropsychiatriques, augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique apparente, etc.).

Dans ce webinaire présenté par Mathilde Dufourcq, le Professeur Marc Henry nous explique de manière très concrète et très détaillée comment toutes ces belles technologies (dont nous apprécions pourtant pour beaucoup les avantages qu’elles nous procurent au quotidien) produisent des dégâts sur notre santé.

[Voir aussi :
Communication entre organismes vivants par biophotons,
Les trois émotions qui guérissent
et Dossier 5G et ondes pulsées]

Par bonheur, le Pr Marc Henry nous livre des préconisations avisées des meilleures solutions de protection contre les ondes électromagnétiques extérieures… validées par la science !

https://www.youtube.com/embed/HRKtwI49HiI

Toutes les informations utiles pour trouver le ou les produits [CMO] qui correspondent à vos besoins (et à votre budget) sont sur cette page :

https://www.cem-vivant.com/page-vivovojo,190.html




Certains scientistes veulent vacciner le monde contre la famine

[Source : FranceSoir]

De la gestion de la faim dans le monde par la vaccination de masse

Par Marilis Valo, pour FranceSoir

[Illustration :

« S’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie ».

Pixabay

]

TRIBUNE — Lorsque j’étais enfant, la recherche scientifique, telle qu’on me la présentait, avait pour objectif majeur de trouver des solutions à des problèmes humains cruciaux, en s’attaquant à leur cause.

Aujourd’hui, il semblerait que l’élite scientifique, dans sa vaste majorité, ne s’intéresse plus vraiment aux causes. Pour preuve, cet étonnant article publié le 10 septembre dernier par le Dr Peter J. Hotez dans le magazine Trends in Pharmacological Sciences, intitulé « Malnutrition vaccines for an imminent global food catastrophe » (Face à une catastrophe alimentaire mondiale imminente : des vaccins contre la malnutrition).

Des vaccins contre la malnutrition, donc. Des vaccins pour lutter contre ce que l’auteur considère comme une pandémie de famine quasi inéluctable. L’article commence ainsi :

« Outre le changement climatique, les événements géopolitiques en Ukraine et les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement dues à la pandémie de COVID-19 pourraient provoquer des pénuries alimentaires mondiales, voire des famines de masse. Parmi les nouvelles interventions prometteuses, citons les vaccins destinés à prévenir les causes infectieuses de la malnutrition ou les infections causant de manière disproportionnée la mort des personnes mal nourries. »

Le Dr Hotez développe son argumentaire en précisant que :

« Certaines infections humaines, notamment les infections chroniques, [qui] peuvent provoquer une carence en micronutriments, une dénutrition ou, dans certains cas, les deux formes de malnutrition. »

Et le chercheur d’énumérer les pathogènes et maladies coupables de tant de malheurs, puis de proposer sa vision d’un monde meilleur : des populations entièrement vaccinées et revaccinées contre des infections qu’il semble considérer comme la cause première de leurs carences alimentaires. En tête de peloton : l’ankylostomose, objet favori de ses recherches depuis le tout début de sa carrière ; puis la schistosomiase, la malaria, les shigelles et enfin, la tuberculose.

Pour le Dr Hotez :

« Ces vaccins pourraient être priorisés, tout comme les décideurs mondiaux ont accéléré les vaccins COVID-19 à partir de 2020. Ces actions seraient en accord avec les engagements de la Décennie d’action des Nations unies pour la nutrition lancée en 2016 (et qui s’étend jusqu’en 2025) pour renforcer les systèmes sanitaires et alimentaires nationaux autour des besoins et des urgences nutritionnels. »

Comme nombre de ses collègues adeptes de ce que j’appellerai la « science unique », celle qui ne supporte pas la réflexion critique et s’établit en seule détentrice d’une vérité indiscutable, le Dr Hotez raisonne potentiellement juste, mais sur des bases assurément fausses. Le hiatus proviendrait-il d’une représentation trop simpliste du cycle des causes et des effets ?

Le site de VOICE (the Value Of Immunization Compendium Evidence), ardent avocat de la cause de la vaccination de masse perpétuelle, présente le cycle de la sous-nutrition d’une façon intéressante. Voici ma traduction du diagramme que propose VOICE pour expliquer pourquoi il faut vacciner les personnes sous-alimentées :

Comme vous le voyez, ce diagramme représente un cercle vicieux sans début ni fin, qui ne présente en aucun cas la malnutrition comme étant la cause majeure de la sous-nutrition, de laquelle découlent toutes les autres conséquences.

Mais un article du journal Frontiers in Immunology nous propose un diagramme tout différent pour expliquer le lien entre malnutrition et maladies infectieuses, que je résume ici très succinctement (voir le diagramme complet en anglais) :

La phrase d’introduction de cet article (Mechanisms of Kwashiorkor-Associated Immune Suppression: Insights From Human, Mouse, and Pig Studies) montre que pour ses auteurs, la malnutrition est bel et bien la cause première, la prémisse fondamentale, dont découle le cercle vicieux évolutif décrit par VOICE :

« La malnutrition désigne un apport insuffisant en énergie et/ou en nutriments. La malnutrition présente une relation bidirectionnelle avec les infections, par laquelle la malnutrition augmente le risque d’infections qui aggravent encore la malnutrition. »

[Note de Joseph :
Dans le domaine médical, les assez rares médecins et chercheurs qui appliquent réellement une démarche scientifique en sont venus à démontrer que la théorie virale et même celle des germes ne fonctionnent tout simplement pas, voire relèvent de fraude (comme on peut le voir au travers d’articles du dossier Vaccins et virus). Les maladies prétendument causées par des virus (confondus avec des exosomes et autres composants cellulaires naturels) ou par des bactéries n’apparaissent alors que comme des conséquences de différents facteurs (comme la pollution, les ondes électromagnétiques pulsées, les champs électriques, les pesticides, les émotions négatives telles que la peur et la colère, etc.) dont l’effet premier est soit la malnutrition cellulaire, soit une forme ou une autre d’empoisonnement. Et les apparentes contagions sont alors dues :
► à une exposition commune aux causes de malnutrition et/ou d’empoisonnement ;
► et/ou à une communication biophotonique entre cellules ou ADN des uns et des autres. (voir Communication entre organismes vivants par biophotons).
Avec un tel nouveau paradigme d’essence non plus scientiste, mais scientifique, logique et intuitive, les vaccins se révèlent simplement pour ce qu’ils sont très probablement : des cocktails de différentes substances nocives ou toxiques qui ont bien plus de chances de nuire à la santé des individus que de protéger de quelque maladie que ce soit.]

Nous sommes donc en présence de deux courants distincts parmi les chercheurs : une minorité d’entre eux utilise son sens commun et tente de considérer l’ensemble des causes d’un problème pour en déterminer l’origine véritable, tandis que certains membres de l’élite scientifique choisissent le facteur qui leur convient et le présente comme étant la cause première du problème en question, facilitant ainsi l’acceptation par leurs pairs des solutions technologiques qu’ils proposent.

Et, lorsqu’on néglige de s’intéresser à la cause première d’une situation dramatique, il devient facile de s’attacher à rechercher des solutions purement cosmétiques, qui permettent de masquer la dimension réelle du problème sans avoir à tenter de le résoudre.

L’exemple du Dr Hotez à cet égard me paraît frappant : il fait tout simplement abstraction du fait que la sous-nutrition est causée par la misère des populations (misère elle-même causée par des facteurs économiques, politiques et moraux sur lesquels nous ne nous appesantirons pas), et se concentre sur la recherche d’une technologie permettant de gérer quelques-uns des effets de ladite misère, la rendant ainsi plus présentable. Il s’agit pour moi d’une magnifique illustration de ce qu’est la perversion de la pensée rationnelle, qui est l’apanage de la science unique.

À la lecture de l’article du Dr Hotez, ma première réaction (épidermique, je l’avoue) a été de penser qu’il devait avoir un intérêt financier personnel à poursuivre de telles recherches : imaginez la rentabilité du marché d’un vaccin qui pourrait gérer certains effets de la misère à l’échelle planétaire ! Un marché qui ne pourrait que croître et embellir, puisqu’en masquant partiellement l’horreur de la famine, on pourrait plus facilement se dispenser de s’attaquer aux causes de cette dernière, la faisant ainsi perdurer ad vitam æternam sans le plus petit remords de conscience.

Forte de l’image négative que j’avais initialement formée au sujet du Dr Hotez, image renforcée par son omniprésence médiatique ultra-pro-vaccination tous azimuts aux États-Unis, le fait que son laboratoire ait développé le vaccin anti-Covid Corbevax (voir : extrait de la notice d’utilisation du Corbevax, répertoriant les effets secondaires possibles reconnus par le fabricant indien Biological E. Limited) distribué en Inde, et ses propos extrêmes sur ceux qui souhaitent avoir le choix d’être vaccinés ou non (il qualifie cette prise de position d’« agression anti-science »), j’ai décidé de confirmer mes soupçons au sujet de son éthique professionnelle et ai entrepris quelques recherches. Quelle n’a pas été ma surprise de constater que le patrimoine total estimé du Dr Hotez ne se montait qu’à quatre malheureux millions de dollars, somme raisonnable pour les États-Unis, surtout si l’on tient compte du fait qu’il a trente ans de carrière derrière lui, de multiples casquettes, et qu’il s’est vu décerner de nombreuses récompenses (dont la prestigieuse Scientific Achievement Award de l’AMA, reçu début 2022) qui n’ont pu qu’influencer favorablement sa rémunération. Mais, le plus étonnant, c’est que le docteur Hotez ne cesse de clamer que les chercheurs doivent cesser de breveter les vaccins pour en tirer bénéfice, afin que ces produits soient reproductibles librement et gratuitement dans les pays les plus pauvres. Et, il met scrupuleusement en pratique ce qu’il dit, puisque les vaccins élaborés par son laboratoire sont brevetés de telle sorte qu’ils ne peuvent générer aucun revenu.

Si mes informations sont justes, il semble donc que nous ayons affaire à un homme qui a foi en ce qu’il fait, et pense vraiment aider l’humanité par son travail. Du reste, il est tout à fait possible que ses travaux permettent à un certain nombre de personnes de vivre plus longtemps. Dans la même misère et souffrant toujours de la faim, certes, mais plus longtemps. Car si bien intentionné qu’il puisse être, le Dr Hotez contribue activement à la pérennisation d’un système qui préfère maquiller joliment les problèmes plutôt qu’essayer de les résoudre.

Prenons, par exemple, le cas de ces gouvernements qui, minés par la corruption, ne peuvent empêcher que certains de leurs membres rentabilisent quotidiennement la famine et la maladie qui rongent leurs populations, en détournant les aides financières généreusement octroyées par les organisations mondiales, et en trayant à l’envi les vaches à lait que sont devenues les ONG. Les campagnes vaccinales sont une manne inépuisable pour ces hommes et femmes de pouvoir corrompus, qui ont tout intérêt à ce que la situation ne change pas. Les recherches du Dr Hotez, entre autres, représentent pour eux la perspective d’une source de juteux revenus additionnels.

Et, ceci n’est qu’une illustration parmi d’autres des effets pervers de ce que j’appelle la cosmétisation des actions humanitaires, un agréable fardage de la réalité, facilité par l’influence de cette science unique qui ne souffre pas la controverse.

Les inquiétudes qu’exprimait Rabelais au sujet de la science paraissent aujourd’hui bien désuètes, largement dépassées par la réalité du 21e siècle. Car s’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie.




Les trois émotions qui guérissent

[Source : thierrysouccar.com]

Saviez-vous que les personnes qui expriment leur gratitude sont plus heureuses et vivent plus longtemps que les autres ? D’après des études récentes, en témoignant sa reconnaissance, on améliore non seulement son bien-être physique et émotionnel mais aussi sa santé !

La gratitude, tout comme l’amour et la foi, sont des émotions reines. Emmanuel Duquoc nous invite à les cultiver comme on cultiverait son jardin, à les faire grandir jusqu’à ce qu’elles occupent la place principale – voire toute la place – dans notre corps et notre esprit.

Il nous initie pour cela une pratique respiratoire simple, basée sur des traditions millénaires et scientifiquement prouvée : une nouvelle forme de cohérence cardiaque d’une puissance phénoménale.

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  • Vos relations avec les autres seront facilitées
  • Vous résisterez mieux aux infections et aux maladies

Fréquentez ce livre comme un ami de bon conseil. Suivez simplement son écriture lumineuse et votre vie deviendra plus heureuse, sereine, votre santé plus solide pour plus longtemps.

« Ce livre rare, simple et beau est une leçon d’embellissement émotionnel. »

Dr David O’Hare, spécialiste international de la cohérence cardiaque

Extraits




Politiquement correct et endoctrinement : l’hypnose commence dès l’enfance

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Ulrike Reisner

Changement climatique, guerre en Ukraine, crise énergétique : la pensée critique autonome des enfants doit être empêchée, avant même qu’elle ne puisse se former. Elle est remplacée par des idées endoctrinées. Les plus petits apprennent déjà que celui qui ne se soumet pas à ce diktat ne fait pas partie du groupe !

Outre de nombreuses ONG et organisations internationales, la conférence des Nations unies sur le climat suscite également l’intérêt de l’UNICEF. Dans un article récent(([1] https://www.unicef.de/informieren/aktuelles/blog/-/mit-kindern-ueber-den-klimawandel-sprechen/315994)), les parents sont instamment priés d’agir avec leurs enfants, car

« presque chaque enfant dans le monde est menacé par au moins une des menaces liées au climat ou à l’environnement en ce qui concerne la santé, l’alimentation, l’éducation et le développement, ainsi que sa propre survie. »

Une fois ce scénario de menace posé, il est facile de poursuivre l’argumentation :

« Il est urgent que nous agissions tous activement pour que le monde reste vivable pour nos enfants. Après tout, la crise climatique est une crise provoquée par l’homme. Plus la catastrophe climatique progresse, plus le danger pour les enfants augmente. Comparés à la plupart des adultes, ils sont beaucoup plus vulnérables aux variations de température ou aux maladies et moins capables de survivre à des événements climatiques extrêmes. »

Regarder la télévision au lieu de prendre une douche

Il y a quelque temps, j’ai écrit ici(([2] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/20/les-vaccinations-comment-attraper-les-plus-jeunes/)) sur la manière dont les médias, surtout ceux dirigés par l’État, influencent les enfants et les jeunes pour qu’ils se fassent vacciner contre la maladie de Corona. Ce n’est pourtant que le début. Les agressions de la technostructure et des appareils d’État sur les plus jeunes augmentent massivement — je peux l’affirmer avec certitude pour l’espace germanophone. Un tour d’horizon des offres médiatiques des ministères publics, des institutions éducatives, des ONG et des portails de communication montre que l’éducation au politiquement correct commence dès l’école maternelle. Là où les mots seuls ne suffisent pas, on crée des faits.

Dans la ville allemande de Fribourg, le conseil municipal a récemment décidé à la majorité que les enfants des écoles maternelles et primaires de la ville ne recevraient à l’avenir que des repas végétariens.(([3] https://www.tagesspiegel.de/gesellschaft/fleischlos-trotz-elternkritik-freiburg-beschliesst-vegetarisches-essen-in-kitas-und-grundschulen-8770189.html)) Le débat houleux à ce sujet s’est toutefois davantage concentré sur le fait que les menus seront plus chers à l’avenir que sur la question de savoir comment nourrir de manière équilibrée les enfants en phase de croissance et d’apprentissage.

Outre le changement climatique, la crise énergétique est actuellement très en vogue lorsqu’il s’agit d’endoctrinement précoce. La section enfant de la Radio Télévision Suisse (RTS) explique que la Suisse pourrait connaître un hiver difficile, car

« la majeure partie de l’électricité que la Suisse doit acheter provient normalement de France et d’Allemagne. Mais il n’est plus aussi sûr que ces deux pays puissent fournir cette électricité. En effet : en France, la majeure partie de l’électricité est produite dans des centrales nucléaires. Mais en ce moment, seule la moitié de ces centrales nucléaires fonctionne. L’autre moitié est arrêtée parce qu’elle doit être contrôlée ou réparée. (…) En Allemagne, le problème est qu’une grande partie de l’électricité est produite à partir de gaz naturel. L’Allemagne reçoit normalement la plupart de son gaz de la Russie. Depuis l’attaque de la Russie contre l’Ukraine, cela a changé : L’Allemagne, comme beaucoup d’autres pays, se range du côté de l’Ukraine et demande, comme beaucoup d’autres pays, que la Russie mette immédiatement fin à la guerre. Le gouvernement russe ne voit pas cela d’un bon œil. C’est pourquoi la Russie livre actuellement beaucoup moins de gaz à l’Europe. Il se peut même qu’elle ne livre plus de gaz du tout. »(([4] https://www.youtube.com/watch?v=uDZYxuQ-Y-w))

L’animateur propose également aux enfants une solution à ce scénario de menace en leur faisant résoudre une question de quiz : Qu’est-ce qui nécessite le plus d’électricité ? Dix heures de télévision ou dix minutes de douche ? C’est perfide, non ? Qui a besoin de soins corporels, l’essentiel est de rester en ligne ! Je connais peu d’enfants qui ne donneraient pas un « pouce levé ».

Atteinte à l’intégrité physique

Des études montrent que le temps d’écran chez les enfants augmente rapidement. Selon une méta-étude récente, cela représente 84 minutes de plus par jour et par enfant dans le monde depuis le début de la pandémie. Cela correspond à une augmentation de 52 %.(([5] https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2798256?guestAccessKey=2bb83659-b469-4a2f-b60e-9480451e3616&utm_source=For_The_Media&utm_medium=referral&utm_campaign=ftm_links&utm_content=tfl&utm_term=110722))

Mais comment l’endoctrinement dès le plus jeune âge pourrait-il mieux fonctionner que par le biais des téléphones portables, des tablettes, des ordinateurs, de la télévision ou des jeux vidéo ? Comment mieux influencer les consciences et les comportements le plus tôt possible ? L’éducation à un comportement politiquement correct s’immisce ici impitoyablement dans les domaines les plus intimes des enfants et de leurs familles. Les rôles de genre et les structures familiales sont détruits avant même que l’adolescent ne puisse s’en rendre compte.

Le « Regenbogenportal » (Portail Arc-en-ciel) est un site Internet du ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, des femmes et de la jeunesse en Allemagne. On y explique aux enfants avant la maturité sexuelle qu’ils doivent prendre leur temps et essayer de voir s’ils se sentent plus à l’aise en tant que fille ou garçon. En cas d’incertitude, il est en outre conseillé de discuter des traitements hormonaux avec le médecin :

« Ces médicaments font en sorte que tu n’atteignes pas la puberté. Cela signifie que ton corps ne se développe pas. Ni en direction de la femme. Ni en direction de l’homme. Tu as ainsi plus de temps pour réfléchir. Et tu peux réfléchir tranquillement : Quel corps me convient le mieux ? »(([6] https://www.regenbogenportal.de/leichte-sprache/jung-und-trans-geschlechtlich))

Toute critique de cette manière de procéder est immédiatement étouffée dans l’œuf. Récemment, des biologistes et des médecins se sont exprimés publiquement de manière critique dans le journal « Die Welt » sur l’idéologie transgenre des émissions pour enfants de la radiodiffusion publique allemande.(([7] https://www.welt.de/debatte/kommentare/plus239113451/Oeffentlich-rechtlicher-Rundfunk-Wie-ARD-und-ZDF-unsere-Kinder-indoktrinieren.html)) Les enfants seraient ainsi « sexualisés trop tôt et de manière insistante » et endoctrinés de manière contraire aux faits. Il s’en est suivi un énorme remue-ménage sur les réseaux sociaux et une querelle au sein de la maison d’édition Springer.(([8] https://www.youtube.com/watch?v=UBUcfiUQDu0))

Qu’il s’agisse du changement climatique, de la guerre en Ukraine ou de la crise énergétique, les quelques exemples cités montrent que l’on veut empêcher les enfants de penser de manière critique et autonome avant même qu’ils ne puissent se former. La pensée autonome est remplacée par des idées endoctrinées. Les plus petits apprennent déjà que celui qui ne se soumet pas à ce diktat n’a pas sa place !

Les atteintes à l’intégrité physique des enfants et des adolescents sont particulièrement dramatiques, que ce soit dans le cadre des mesures Corona (ou de la vaccination correspondante) ou en ce qui concerne la maturation sexuelle des jeunes.

Les enfants ont — comme le veut la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant(([9] https://treaties.un.org/pages/ShowMTDSGDetails.aspx?src=UNTSONLINE&tabid=2&mtdsg_no=IV-11&chapter=4&lang=en#Participants)) — un droit à la liberté d’expression, un droit à la santé et un droit à la protection parentale. Ces droits sont bafoués par les organisations gouvernementales et internationales. Elles utilisent — sans aucune légitimité — les moyens du secteur privé de la société civile pour exercer une pression et une contrainte étatiques.

Les plateformes médiatiques et les entreprises de la technostructure encouragent cette politique d’endoctrinement et de division, car c’est le seul moyen de détruire les structures sociales et de diriger la société de manière capitaliste. Les enfants doivent apprendre cela dès leur plus jeune âge, car ils sont l’avenir !





Il est temps de s’unir pour sauver la liberté d’expression, enseignants, soignants, médecins, avocats, journalistes, citoyens !

Par N Delépine https://t.me/DrDelepine

Et regardons cette affiche gouvernementale parue en août 2014

Qu’est-ce qui a mal tourné ?

Soutenons de toutes nos forces le professeur de philosophie René Chiche, comme nous soutenons les médecins poursuivis, des plus célèbres Perronne, Wonner ou Raoult, aux inconnus seulement vénérés par leurs patients qu’ils ont sauvé malgré l’interdiction de les soigner du gouvernement et du ministre Véran. Ils sont poursuivis par l’Ordre, convoqués discrètement parfois au commissariat par dénonciation de l’assurance maladie de leurs ordonnances d’antibiotiques, zinc ou hydroxychloroquine.12 Écoutez le récit du cardiologue Julien Devilleger.

Sinon, j’aimais beaucoup l’humour grinçant de Rene Chiche :

@rene_chiche

« En soutenant Israël, j’ai perdu cinquante abonnés ici. En soutenant Raoult, j’en ai encore perdu cent cinquante. En soutenant Platon, je vais probablement en perdre dix mille. Peu importe, je continuerai à dire ce qui me semble juste et à répondre aux objections significatives. 6:06 PM · 22 mai 2021·Twitter »

@rene_chiche En réponse à @jchribuisson

« Déconfinement » est laid.
Comme vacances apprenantes.
Comme distanciation sociale.
Comme gestes barrières.
Comme impacter.
Comme cellezéceux. 2:48 PM · 12 mai 2020

Mon amie, agrégée de mathématiques pures et enseignante par l’amour des jeunes et des mathématiques qu’elle tente de réconcilier, Melle Karen Brandin a attiré notre attention sur l’attaque indigne dont est victime le professeur agrégé de philosophie Mr René Chiche dans son bel article La parole en danger — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca).

Elle a régulièrement publié des tribunes sur France soir3 ou nouveau-monde.ca et tenté d’éveiller les parents sur le danger de la destruction de l’enseignement des mathématiques qui s’est aggravé encore récemment, sur l’indifférence des jeunes à la perte de la langue si importante tant en littérature qu’en mathématiques et dans la vie courante, pour savoir exprimer ses émotions, son absence conduisant inéluctablement à la sauvagerie et à la violence montante dont nous sommes tous témoins.4 Ici elle attire notre attention sur l’infâme attaque d’un enseignant de philosophie pour « opinions » différentes des autorités, semble-t-il.

« Par Karen Brandin

Ils sont médecins, parlementaires, avocats ou bien encore enseignants, et s’ils ne meurent pas tous, tous sont frappés, visés depuis quelques mois au sein d’un régime malheureusement plus vraiment d’exception, un régime pudiquement qualifié de démocratie dégradée, par des procédures-bâillons et autres mesures vexatoires destinées à sanctionner à grand renfort de blâmes iniques, leurs voix simplement engagées et courageuses, mais décrétées dans le “monde d’après”, indésirables, car discordantes. Des voix douces ou fortes, que l’on tente tour à tour de nous les présenter comme irresponsables puis comme carrément “menaçantes” pour notre sécurité, car fleurant bon la dérive sectaire. Bref, voici quelques mois que ces femmes et ces hommes, du simple fait d’une parole libre, se retrouvent marqués du sceau de la lettre écarlate de l’indignité. Et pendant que la libre expression brûle, on regarde ailleurs. 

C’est parce que l’on a attiré mon attention sur la toute récente procédure disciplinaire visant un prof agrégé de philosophie, R. Chiche et certaines réactions de satisfaction qu’ont manifesté sur les réseaux sociaux de courageux… anonymes, que j’ai décidé d’écrire ce simple billet de (mauvaise) humeur. Puissent ces quelques lignes faire office de modeste tremplin et inspirer dans un élan de solidarité nécessaire des collègues aguerris, prompts à produire une tribune de soutien bien plus aboutie à destination de l’ensemble de ces professionnels, héros ordinaires et de ce fait, extraordinaires. »

Je fus effondrée à la lecture de cet article, puis de quelques tweets du professeur 5 et de ses détracteurs. Me permettra-t-on de faire écho à Karen ou bien me dira-t-on comme au professeur Chiche pour la médecine, que la philosophie ne me concerne pas ? Triste époque dans laquelle des éditorialistes incultes, au moins dans certains domaines qu’ils commentent, successivement virologues de pointe puis géopoliticiens ou spécialistes du climat, ont tous les droits, mais où le citoyen choqué de la « désinstruction nationale »6 n’aurait pas le droit de tenter de défendre les enfants !

Espérons que d’écho en écho, des universitaires, des professeurs, des chercheurs arrivent à attirer les regards du peuple, des élus, de l’Assemblée nationale et du Sénat, pour que cessent ces chasses aux sorcières.

René Chiche attira d’abord mon attention par sa défense de la classe de philosophie tellement importante dans la scolarité de TOUS les lycéens. Mais il échoua, isolé probablement soit sur le fond, soit par le sinistre « pas de vagues » tout puissant à l’éducation nationale.

On a déjà dû lui en vouloir beaucoup avec son livre terrible paru en 2019 :

« Professeur, j’hérite en Terminale d’élèves qui ne maîtrisent pas l’accord du participe passé, peinent à déchiffrer une phrase complexe et manient leur propre langue comme s’il s’agissait d’une langue étrangère, usant du “donc” et du “parce que” à la façon d’un joueur cherchant à deviner les numéros gagnants d’une loterie. En lisant leurs copies, j’ai trop souvent l’impression de me trouver devant des enfants malnutris, voire dénutris, à qui il faut d’abord donner une bouillie protéinée parce qu’ils ne sont pas en état d’avaler une nourriture plus consistante. Combien sont-ils en ce cas ? Beaucoup trop. (….) »

MAIS LA CATASTROPHE ALLAIT S’AGGRAVER avec le confinement, les cours en distanciel, en visio, les jeux vidéo remplaçant les discussions entre profs et élèves, l’arrêt de la vie avec ce confinement aveugle et criminel.7

Les enfants furent sacrifiés par la casse de l’Éducation Nationale et de l’Université, progressivement, en douceur, discrètement depuis les années post soixante-huitardes, comme le démontra René chiche ou avant lui Jean-claude Michéa et quelques autres8. Ce dernier nous avait prévenu, dans L’enseignement de l’ignorance : “ce ne serait plus cette vigilance que l’on attendrait du corps enseignant à l’avenir, mais une soumission résignée, faute d’une soumission heureuse“.

Au nom d’une pseudo égalité, la civilisation woke nous envahit de plein fouet et détruit trois mille ans d’histoire. Les lecteurs de Voltaire, Molière, Racine, Hugo, Stendhal et tous les autres disparaissent bientôt dans les caves des résistants devenus antisémites, extrême droite, homophobes et toutes sortes de phobes… Il est temps de réagir avec force.

Les enfants furent en plus dramatiquement sacrifiés par la pseudo-crise covid et le sont encore par les menaces d’injections géniques mortelles, malgré les aveux de Pfizer sur l’efficacité zéro pour éviter la transmission ! Ce qui n’empêche pas une collaboratrice du ministre de la Santé de proclamer sur sud radio il y a quelques jours que le vax protégerait des formes graves et qu’en conséquence les non-vax ne devraient pas être réintégrés… Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… comme aurait dit Goebbels…

Et certains doyens n’hésitent pas à prévoir de saboter encore cet hiver l’enseignement normal en présence des étudiants au savoureux et délirant prétexte d’économiser le chauffage en raison de la guerre en Ukraine..

ALORS QUELLE FUT LA FAUTE DE NOTRE PHILOSOPHE ? En parcourant twitter (seulement visible, mais encore interdit de commentaires pour moi) je découvrais quelques remarques :

Ce doit être très vilain de vouloir défendre un lycée d’exception qui permettait à de jeunes sportifs ou artistes de mener parallèlement leurs doubles études par des horaires aménagés. Mais cela doit choquer le wokisme parisien ambiant qui consacre des millions à des associations douteuses, mais laisse détruire ou fait détruire ce haut lieu de l’enseignement public. Un jeune violoniste ne serait pas à égalité avec un voyou qui traîne dans ce même quartier ? Quelle honte ? Qui va-t-on aider ? Profitons-en pour signer et faire connaître cette pétition. 9

@rene_chiche

L’éducation nationale engage une procédure disciplinaire contre moi pour des « propos inappropriés tenus sur Twitter envers des personnalités publiques, sur la politique sanitaire du gouvernement et sur la guerre de la Russie contre l’Ukraine » ! ‬

Le délit d’opinion est-il rétabli ? 05/11/2022

@rene_chiche‬

Je suis allé consulter mon dossier au rectorat pour prendre connaissance des éléments sur la base desquels l’administration engageait une procédure disciplinaire à mon encontre. Comme j’ai trouvé qu’il était vide, j’y ai déposé mon livre sur la désinstruction nationale. À suivre. 08/11/2022

@rene_chiche‬

Je suis sidéré par la sanction injuste qui vise en la personne d’@alainhoupert‬ un parlementaire dans l’exercice de sa fonction, fonction qu’il incarne qui plus est avec honneur et droiture. Tout mon respect et mon soutien ferme à vous, cher Monsieur. 08/11/2022

@rene_chiche‬

Je n’ose même plus dire que j’aime le pied de cochon de peur d’enfreindre mon devoir de réserve et de loyauté. Oh, et puis tant pis ! Voilà qui est fait ! 09/11/2022 00:15

René Chiche

Je ne suis pas surpris qu’un régime politique qui a supprimé la classe de philosophie diligente des poursuites contre un professeur de philosophie qui fait son travail. Non, je ne suis pas surpris, mais cela m’inquiète. Et cela devrait nous inquiéter tous, à vrai dire. 10/11/2022 22:25

@rene_chiche‬‬

Si défendre la transmission, c’est être conservateur, je suis conservateur. Si défendre l’égalité, c’est être de gauche, je suis de gauche. Si prendre au sérieux les dégâts causés par l’homme sur le vivant, c’est être écologiste, je suis écologiste. Etc. Vive l’intelligence ! 11/11/2022 14:21

Voici quelques exemples dont on pourrait écrire un livre, comme de nombreuses autres réflexions intelligentes de twittos récoltées sur twitter ou ailleurs, tant il est vrai que le réveil de l’importance cruciale de la liberté, de la liberté d’expression, de la liberté de chanter, de publier, de rêver, de critiquer commence à réapparaître aux yeux de beaucoup de nos concitoyens. Ces libertés sont inscrites depuis plus de deux siècles dans nos constitutions que nous avons tous cru qu’elles étaient gravées dans le marbre, indestructibles et que les signes de maladie de notre liberté n’étaient que ceux d’une virose passagère…. Mais non la liberté n’est pas une pile Wonder et elle s’use très vite si on ne la protège pas de toutes nos forces

Nous avons comme d’autres rappelé ces notions fondamentales qui semblent oubliées aujourd’hui et tenté de les défendre y compris en justice10

La liberté d’expression11

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.



Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0 on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

« La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la “libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre “droit de savoir.” De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix.

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. “Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception,” a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova. »

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socio-religieuses de son environnement. »

C’est bien ce que tente de faire René Chiche et que tant d’autres ont oublié. Défendons-le comme tous les citoyens libres de leurs opinions et prêts à les défendre.


1 Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son ITW récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker

2 l est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

3 Profs, parents, élèves, unissez-vous ! | FranceSoir juin 2021

4 19/06/2022 Karen Brandin

L’objectif de cette tribune est triple. Il s’agit tout d’abord d’une bouteille à la mer comme un encouragement solidaire à l’attention, puisqu’ils existent même s’ils semblent en voie d’extinction, de la poignée d’enseignants de l’éducation nationale que l’on pourrait qualifier de « résistants ». Ces profs exigeants, rigoureux et sincères qui aspirent simplement à pouvoir dispenser un enseignement digne, de qualité, celui dont ils ont parfois eu la chance de bénéficier ou tout simplement, celui dont ils rêvaient. Que mon statut d’indépendante, sa précarité sans doute, mais aussi la liberté de parole qu’il autorise comme celle de transmettre suivant mes convictions, permette de traduire tout haut ces souffrances qui s’expriment tout bas, trop bas.

Je veux parler « de » et « à » ces profs ordinaires, jeunes ou vieux, mais devenus extraordinaires par la force des choses, car ils ont su conserver chevillés au corps, le devoir, la passion et le désir de transmettre « à leur tour » ou » en retour ».

Ces mêmes profs qui, ces dernières années (décennies), ont été consciencieusement empêchés dans leur mission, voire dissuadés tant ils ont été stigmatisés, parfois même accusés d’être élitistes ou bien encore réactionnaires. (…) Mathématiques au lycée  : un sauvetage en trompe-l’œil — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

5 Que je ne suis plus depuis longtemps ayant été éjectée de twitter… j’espère que l’ère Elon Musk me permettra de retrouver les échanges utiles d’autrefois… c’est ainsi que j’avais découvert René Chiche et sa défense de la classe sacrifiée de philosophie.

6 Voir l’excellent livre de René Chiche

7 Autopsie d’un confinement aveugle n et g Delépine, Fauves éditions, sept 2020

8 Citons par exemple dès 2005 La fabrique du crétin : La mort programmée de l’école Broché — 22 août 2005

de Jean-Paul Brighelli (Auteur), Bernard Lecherbonnier (Préface)

présentation d’Amazon Nos enfants ne savent plus lire, ni compter, ni penser. Le constat est terrible, et ses causes moins obscures qu’on ne veut bien le dire. Un enchaînement de bonnes intentions mal maîtrisées et de calculs intéressés a délité en une trentaine d’années ce qui fut l’un des meilleurs systèmes éducatifs au monde. Faut-il incriminer les politiques, les profs, les parents, les syndicats, les programmes ? En tout cas, la Nouvelle Pédagogie a fait ses « preuves » : l’école a cessé d’être le moteur d’un ascenseur social défaillant. Ceux qui sont nés dans la rue, désormais, y restent. Dès lors, que faire ?

9 Jaumelina SALARIS  Petition à M Pap Ndiaye (ministre de l’Éducation nationale)  NON à la fermeture du Lycée général Brassens, Paris XIXe par la Région Île-de-France. Mme Pécresse, Mr Pap Ndiaye, M Kerrerro, Mme Hidalgo

Nous avons appris que le lycée Brassens serait fermé brutalement dès la rentrée scolaire de septembre 2023 sans aucune concertation préalable. 

Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France, nous nous opposons à cette décision.

Le lycée Brassens doit continuer à accueillir les élèves à horaires aménagés se destinant à des carrières artistiques et culturelles en musique, danse et chant. Leurs projets en dépendent, les efforts qu’ils fournissent depuis longtemps pour mener de front leur scolarité et une pratique artistique de haut niveau le justifie. 

Les classes à horaires aménagés des lycées parisiens permettent aux élèves sélectionnés au niveau régional, national, voire international de suivre une carrière artistique rigoureuse et déjà professionnalisée grâce à un aménagement du temps scolaire en demi-journées. Ce sont des élèves motivés et travailleurs. Le lycée Brassens jouit d’une excellente réputation. Il brille par sa mixité scolaire, sa capacité à faire cohabiter des élèves d’origines et de milieux divers, par les projets qu’il porte. 

La fermeture du Lycée Brassens aurait pour conséquences :

– La remise en cause, pour les élèves, de leur premier vœu d’affectation et leur choix de lycée validés par le Rectorat.

– La remise en cause de leur scolarité en horaires aménagés dans un autre lycée parisien.

– Une année scolaire marquée par l’incertitude quant à la poursuite de leur activité artistique intensive, quant à la possibilité de poursuivre leurs spécialités pour le baccalauréat.

– Une augmentation du nombre d’élèves dans les classes des établissements où ils seront affectés.

– La perte d’un septième lycée parisien en septembre 2023 puisqu’il est prévu que 6 autres lycées de la capitale fermeront leurs portes à la rentrée prochaine.

– La réaffectation dans différents établissements parisiens des personnels qui y travaillent.

Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France vous demandons de revenir sur votre décision prise sans concertation de fermer le lycée Brassens dès la prochaine rentrée scolaire. Les élèves du Lycée Brassens ont le droit d’étudier en toute sérénité et de travailler à l’obtention de leur diplôme du Baccalauréat. La communauté éducative doit pouvoir assurer le suivi des élèves jusqu’à la fin du cycle terminal. Les élèves affectés par le Rectorat au Lycée Brassens après avoir réussi leurs examens d’entrée au CRR, au CMA 12, au CNSM et à La Maîtrise populaire de l’Opéra-Comique doivent pouvoir poursuivre leur scolarité en horaires aménagés dans leur établissement d’affectation.

10 [VIDEO] Debriefing Me Ludot : Dr Delepine, son référé sur la liberté d’expression des médecins | FranceSoir

11 Liberté d’expression et d’opinion et censures internationales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




Communication entre organismes vivants par biophotons

Par François Germain

https://www.biotron.fr/communication-entre-organismes-vivants-par-biophotons-p306230.html

Voici l’histoire de la découverte des rayonnements électromagnétiques cohérents dans les organismes vivants…

https://www.biotron.fr/l-adn-electromagnetique-et-la-communication-entre-cellules-p297884.html

Le biophoton est un photon (corpuscule d’énergie électromagnétique) d’origine biologique n’étant pas issu de produits d’une réaction enzymatique spécifique. Autrement dit, c’est l’émission spontanée de lumière d’intensité ultra faible émanant de tous les systèmes vivants1.

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton

Biophotons = Photons émis par la matière biologique

https://luc-bodin.fr/evolution/nos-cellules-emettrices-de-lumiere-des-biophotons-pour-communiquer/

Dr Luc Bodin. Oct 27, 2020.

Les cellules du corps humain captent l’énergie lumineuse du soleil constituée de photons, produisant comme chacun sait, un effet bronzant sur notre peau.

Mais ce qui est moins connu est que ces mêmes cellules émettent une énergie lumineuse par leur ADN. Le rayonnement émis présente des doses 1.018 fois plus faibles que ceux des rayons solaires, mais il est tout de même observable. C’est ce que le biochimiste allemand Fritz Albert Popp, dans les années 1970, qui l’a mis en évidence, appelant les photons émis par le corps des « biophotons » (photons émis par la matière biologique).

Les expériences de Kaznacheev

L’incroyable découverte du Pr Luc Montagnier

http://www.orbs.fr/wp-content/uploads/2014/07/Luc-Montagnier-les-ondes-et-la-me%CC%81decine-Extrait-de-Orbs0-www.orbs_.fr-.pdf

Le Prix Nobel de physiologie ou de médecine 2008 affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques ! Il nous explique que sa découverte pourrait bien être un moyen révolutionnaire de détection et de traitement des maladies chroniques.

Depuis les années 2000, il s’intéresse aussi aux ondes. Et pas à n’importe quelles ondes. Celles émises par des bactéries, des virus, des fragments d’ADN… Car ces parcelles du vivant rayonnent. Elles sont capables d’émettre des signaux électromagnétiques.

Derrière cette découverte, une autre découverte. Celle de la capacité de l’eau à conserver cette information électromagnétique et à la restituer sous certaines conditions de dilution et de résonance électromagnétique. Le Pr Luc Montagnier poursuit les travaux initiés par l’équipe de Jacques Benveniste, en 1988, sur la mémoire de l’eau.

Méditation et phytothérapie ont un impact sur l’émission de biophotons

https://www.epochtimes.fr/les-biophotons-12797.html

The Epoch Times, le 10 mai 2016.

Le corps humain émet des biophotons d’une visibilité 1000 fois plus faible que la sensibilité de notre œil nu. Les biophotons émis par le corps humain peuvent être libérés par l’intention mentale et moduler les processus au sein de la communication cellule-cellule et ADN.

La recherche a trouvé une différence de stress oxydatif entre les personnes méditant régulièrement et ceux qui ne méditent pas.

Biophoton — État des connaissances en 2019

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton#Etat_des_connaissances_en_2019

Biophotons, méditation et guérison

https://triompherducancer.wordpress.com/2018/06/30/biophotons-meditation-et-guerison/

Triomphe du cancer, le 30 juin 2018.

Pour les personnes atteintes du cancer ou d’une maladie dégénérative, il convient de savoir que «les cellules endommagées émettent beaucoup plus de biophotons que des cellules saines» ce qui fait dire à certains chercheurs que cela pourrait être interprété comme un signalde détresse. Il est commun en effet chez les gens atteints du cancer d’avoir un faible taux de globules blancs. Ce phénomène d’instabilité qui pousse l’organisme à produire plus de biophotons est appelé stress oxydatif.

En sachant cela, on peut se demander si l’on peut arrêter la déperdition des biophotons par le seul pouvoir de l’esprit ou de la méditation.

C’est ce que confirment les travaux du biophysicien néerlandais Roeland Van Wijk(([1] Effect of meditation on ultraweak photon emission from hands and forehead. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16086532/
2005 Apr; 12. Eduard PA Van Wijk 1, John Ackermann , Roeland Van Wijk.)) qui ont démontré que les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. Les travaux effectués en ce sens par M. Van Wijk ont révélé que « les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. 35 % de moins en moyenne que dans le groupe témoin ». Pour les malades, la méditation permet donc deréduire la surproduction de biophotons associée au stress oxydatif.

Santé : quand la méditation booste l’immunité

https://www.lesechos.fr/weekend/perso/sante-quand-la-meditation-booste-limmunite-1380794

Les Échos, le 21 janvier 2022.

Une récente étude expérimentale menée à l’université de Floride (PNAS, décembre 2021) : Quelque 106 femmes et hommes, de 40 ans en moyenne, ont été soumis à une retraite de méditation intensive. Résultat, à partir d’analyses sanguines pré et post « cure », pas moins de 220 gènes directement associés à la réponse immunitaire ont été positivement stimulés, remarquent les chercheurs : la quasi-totalité (68) de ceux liés à la production d’interféron, protéine clé impliquée dans la défense de l’organisme (cancers, sclérose en plaques, Covid).

D’où l’intérêt de s’intéresser au petit ouvrage Méditer avec le Dr Steven Laureys, (Odile Jacob, janvier 2022). Ce neurologue de réputation mondiale qui ne se veut « ni maître zen ni donneur de leçons » propose un remarquable carnet de méditation, fruit de sa pratique.

Méditer avec le Dr Steven Laureys

https://www.odilejacob.fr/catalogue/sante-vie-pratique/forme-et-sante/mediter-avec-le-dr-steven-laureys_9782738157713.php
https://www.odilejacob.fr/feuilleter.php?ean=9782738157737

Éditions Odile Jacob. Date de parution : 12 janvier 2022.

MÉDITATION & SANTÉ : 3 BIENFAITS DE LA MÉDITATION SUR LE CORPS

https://facmedecine.umontpellier.fr/2020/communication/meditation-sante-3-bienfaits-de-la-meditation/

Faculté de Médecine. Montpellier – Nîmes, le 11 mai 2020.





Message pour les covidistes, climato-apocalistes et autres adorateurs de Macron

Soyez égoïstes, rendez-vous votre liberté d’expression !

Par Alain Tortosa

1

Vous les terrorisés du Covid, de Poutine ou du changement climatique êtes de toute évidence terrorisés par nous les complotistes, climato-sceptiques, pro Trump ou pro-Poutine.

Si il y a bien un truc dont je ne doute pas, c’est de vos certitudes.

Vous êtes dans la Vérité dans tellement de domaines !

  • Le Covid est ou était largement plus mortel que les infections hivernales habituelles.
  • Il n’y avait pas et il n’y a toujours pas de traitements.
  • Les confinements sont efficaces.
  • Les masques protègent et sont inoffensifs y compris pour les enfants.
  • Il existe un vaccin efficace inoffensif.
  • Il y a un réchauffement climatique dramatique causé par l’homme.
  • Le Coupable (va savoir pourquoi) est le CO2.
  • L’avenir n’est qu’aux énergies (que vous appelez) renouvelables comme l’éolien ou le photovoltaïque.
  • Il faut mettre définitivement fin au pétrole et utiliser des voitures électriques, pardon, des vélos électriques.
  • Il est possible de remplacer le parc automobile par des électriques sans refaire tout le réseau de distribution ni construire des dizaines de centrales nucléaires.
  • Poutine est le Méchant alors que l’acteur Zelensky, Biden, l’Otan ou Van Der machine sont les Gentils.
  • Les sanctions contre les russes sont efficaces et Poutine est foutu.
  • Le prix à payer pour sauver la démocratie est une inflation délirante ou se chauffer à 19°c
  • Etc.
  • Mais surtout :

Vous savez qu’il n’y a pas d’alternatives aux solutions proposées imposées !

Vous avez la chance de ne pas être comme moi, vous ne voyez que Vérité et bon sens dans les domaines cités précédemment.

Hélas, il existe des fous, des mauvais Français (comme moi) qui pensent (qui croient « penser ») exactement le contraire.

J’imagine, l’ayant vécu, que vous êtes totalement désorientés par notre bêtise, notre égoïsme et bien entendu notre extrémisme et antisémitisme2.

Vous pourriez vous en foutre, nous parquer comme lors de la mise en œuvre du passe vaccinal, mais vous savez parce que vous ne doutez pas que :

Nous sommes DANGEREUX pour votre santé, votre sécurité, et même votre survie concernant le réchauffement climatique !

J’ai regardé hier le clip de Marjorie Greene3, candidate républicaine aux USA, une vision apocalyptique pour vous.

Je ne prétends pas être totalement en accord avec elle, mais le seul fait que vous soyez terrorisés et haineux ne peut que la rendre sympathique à mes yeux.

Elle est pour :

  • La liberté de posséder une arme.
  • Contre les mandats de masque ou de vaccin.
  • Contre les mesures pour lutter contre le réchauffement climatique.
  • Contre l’aide à l’Ukraine.

Je pourrais aussi vous parler de Kari Lake :

  • Contre le vote électronique.
  • Pour obliger les journalistes à redevenir journalistes.
  • Et contre toutes ces mesures de bon sens, à vos yeux, et dictatoriales, aux miens.

Rien qu’en lisant ces lignes vous ne pouvez que paniquer.

Et c’est bien ce qui arrive dans le camp démocrate qui fait tout pour que Kari Lake ne soit pas élue en Arizona.

Il n’y a rien d’anormal que le dépouillement ne soit par encore terminé plusieurs jours après les votes alors qu’il a fallu moins de 24 heures en Floride, qui est largement plus peuplée…

Pour ce qui est de Marjorie, c’est raté, elle vient d’être réélue à la chambre des représentants pour un deuxième mandat !

Mais je m’égare mes amis, terme que j’use à escient, car vous ne me voyez certainement pas comme tel.

Je, nous, sommes des dangers.

Vous nous le prouvez depuis des années, mais c’est tellement plus vrai depuis la crise Covid.

Les complotistes sont passés du stade d’illuminés au stade de criminels.

Pour vous le terme « criminel » n’est pas une façon de parler mais une réalité factuelle.

À se demander comment vous pouvez être encore vivants avec des tels débiles autour de vous.

Nous avons essayé de vous tuer, telle est votre vérité (et nous essayons encore toujours selon la même vérité) :

  • En ne mettant jamais de masque !
  • En continuant à voir des amis, les serrer dans nos bras, les embrasser en pleine épidémie.
  • En participant à des manifestations monstres dont vous n’avez pas entendu parler, les médias préférant vous protéger en les cachant sous silence ou en minimisant l’horreur.
  • En ne faisant pas de tests PCR, en ne nous isolant pas et en continuant à vivre, même malades.
  • En prenant les médicaments interdits.
  • En refusant de nous injecter.
  • Etc.

Malgré vos doubles masques qui vous protègent, malgré vos distanciations qui vous protègent, vos passes qui vous protègent, vos cinq injections efficaces qui vous protègent (du premier vaccin au monde qu’il faut refaire tous les 3 mois).

Malgré tout ceci, nous aurions pu réussir à vous tuer et vous n’êtes pas encore totalement sortis d’affaire !

Sans compter Poutine.

Si les décisions étaient prises par référendum il est probable qu’il n’y eu plus la moindre sanction contre lui et que l’acteur ukrainien mis en place par les USA ne reçoive plus un centime de notre part…

Et je ne vous parle pas de la fin du monde climatique :

Alors même que les émissions de CO2 de la France ne représentent que 0,9% des émissions mondiales4.

Alors même que vous faites tout pour qu’elles augmentent en voulant fermer les centrales nucléaires.

Vous risquez de mourir, ou nous allons peut être tuer vos enfants, du fait de notre irresponsabilité qui provoque et amplifie le changement climatique.

Je suis à moi seul un vrai cauchemar en roulant avec une voiture au pétrole de plus de 30 ans dont la consommation vous ferait vomir vos céréales bio équitables importées en avion du Chili !

Ne m’en tenez pas rigueur, je suis inconsciemment jaloux de votre voiture électrique neuve, de votre vélo électrique tout aussi neuf et de vos voyages tous les 6 mois en Martinique dont vous compensez le CO2 en achetant des arbres en Indonésie.

Mais il y a un point encore plus grave !

Vous savez que l’intelligence est rare et que la connerie est contagieuse.

Le monde étant juste par nature, qui pourrait en douter, il est légitime que vous ayez hérité de l’intelligence et mes amis ou moi-même de la bêtise.

Il n’y a donc qu’une solution pour survivre, intelligente comme il se doit :

Censurer au maximum la liberté de parole !

Pour ce faire vous excellez de plus en plus :

  • Contrôle des médias mainstream.
  • Censure à tout va sur les réseaux sociaux.
  • Fermeture de médias criminels comme RT.
  • Campagnes de dénigrement.
  • Mise au ban de la société avec interdiction d’exercer pour servir d’exemple.
  • Faire bien peur à ceux qui auraient l’idée de vouloir l’ouvrir (journalistes, médecins, avocats, politiciens, scientifiques et j’en passe).

Et le petit dernier qui est fort prometteur :

Faire de toute controverse une dérive sectaire qui (vous l’espérez) débouchera sur la psychiatrisation de la parole.

Ceci n’est que logique, car seul un fou pourrait raisonner (j’avais écrit « résonner » dans un premier temps) autrement que vous.

Erreur stratégique s’il en est !

Sur le papier votre méthode peut sembler parfaite, intelligence oblige, mais présente quelques failles majeures.

Le fait est que le contrôle de l’information et de sa diffusion a ses limites.

Plus les médias censurent, plus les réseaux sociaux font de même et plus il y a de solutions alternatives qui s’offrent aux déviants que nous sommes.

Et comme internet est un formidable outil de diffusion de votre vérité mais aussi de contrôle des populations, il va être difficile de le couper purement et simplement.

N’importe qui peut installer un VPN sur son téléphone ou son ordinateur en 5 minutes et regarder RT France si bon lui semble.

Empêcher les candidats complotistes de parvenir au pouvoir a aussi ses limites et même truquer les élections a ses limites.

Peut-être que les amis de Trump vont récupérer la Chambre et le Sénat malgré les efforts démesurés pour les empêcher et le rouleau compresseur médiatique.

Alors à moins de basculer dans une vraie dictature « officielle » et non masquée comme aujourd’hui, vous n’êtes pas à l’abri de mauvaises surprises en vous réveillant un beau matin.

Il n’est pas délirant de penser que les idiots que nous sommes parvenions à accéder au pouvoir.

Saleté de démocratie !

Que deviendriez-vous, vous les intelligents qui comprenez tout ?

Si d’aventure nous vous faisions subir ce que VOUS nous faites subir depuis des années.

Rappelez vous du message de cette candidate républicaine au poste de gouverneur Kari Lake5 qui a déclaré aux journalistes « je vais être votre pire cauchemar ! ».

Cela vous tente-t-il vraiment que nous vous fassions vivre la même censure que vous nous imposez ?

Êtes-vous réjouis à l’idée d’être privés de médias qui pourraient encore débiter vos « vérités » ?

Aimeriez-vous être diffamés, placardisés, privés de votre emploi ?

Si vous êtes bien les intelligents que vous prétendez être, ne voyez-vous pas qu’il serait raisonnable d’envisager la défaite avec peur d’un retour de bâton d’une ampleur comparable à celui que vous nous imposez jours après jours ?

Et bien, vous voulez que je vous dise ?

Je crains que vous ne confondiez narcissisme et intelligence !

Car si vous aviez cette intelligence que vous prétendez avoir, vous prendriez en compte ce facteur risque.

J’ai écrit il y a plusieurs mois un texte affirmant vous aviez tué la vaccination6 pour des dizaines d’années si ce n’est pour toujours.

Pensez-vous que l’on puisse qualifier « d’intelligent » le chantage que vous avez fait subir à chaque français et ce au regard de l’affirmation mensongère d’efficacité du produit ?

Méthode d’autant plus stupide si vous croyez aux vaccins classiques.

Ici encore vous pouvez demeurer dans le déni et dans l’orgueil en affirmant que j’écris n’importe quoi, ce qui serait logique étant donné mon appartenance à la race des crétins.

Mais regardez comment vos vaccins contre le Covid ne font plus recette alors même que vous continuez à essayer de les fourguer !

Je connais de nombreuses personnes qui regrettent leur injection et qui ne feront jamais de rappel !

Êtes-vous en capacité de trouver ne serait-ce qu’un seul individu qui a refusé de se faire injecter la substance expérimentale et qui aujourd’hui regretterait de ne pas l’avoir fait ?

Si vous êtes suffisamment malhonnête, vous pourrez me trouver un menteur, un corrompu ou un acteur prêt à l’affirmer face caméra mais une vraie personne qui était convaincue que c’était prendre un risque inutile ? Jamais !

Le fait est que le nombre de personnes qui gobent votre narratif ne fait que diminuer preuve en est que votre « Vérité » recule et que nos « Mensonges » se répandent !

Ah pas suffisamment à mon goût, je veux bien le concéder.

Mais que ce soit sur le Covid, Poutine ou le réchauffement climatique et demain l’attaque des zombies, vous avez fait le plein de celles et ceux prêt à gober votre Vérité.

Jours après jours vous perdez des troupes et nous en gagnons, c’est inexorable.

Alors je sais que vous ne le ferez pas parce que vous êtes intelligent et que je ne le suis pas…

Mais si vous voulez sauver VOTRE liberté de parole, si vous voulez échapper à la suppression de vos ordres (avocats, médecins, …), si vous voulez échapper au chômage ou la prison, je vous invite à mettre fin à la censure et nous autoriser à NOUS exprimer comme nous vous autoriserons demain à continuer à vous exprimer.

Rendez-nous les droits de l’homme maintenant et cessez de vouloir vous suicider !

Merci

Alain Tortosa7, limité intellectuellement mais borné.

11 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221111-liberez-la-liberte-expression-pour-vous.pdf





La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort1

Par Nicole Delépine

Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali, 1981.

Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles »

Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !

« Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (Cese), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain. » 2

Ne nous laissons pas instrumentaliser une nième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux — comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires. »3

Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste..

Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir..

ET MENSONGE INDIGNE DES SONDAGES AU SERVICE DU POUVOIR

Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13 % du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanasie…

Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable,5 l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

CULTE DE LA MORT D’UNE SOCIÉTÉ DÉCADENTE ET AGONISANTE

Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de CO2, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies.6 7

AIDER UN PATIENT À MOURIR A TOUJOURS ÉTÉ VRAI, MAIS DANS LE SECRET DE LA CHAMBRE DU MALADE

Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

Nous écrivions en mai 2022 8 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 2000.10

L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente 11

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’Ined. »12

Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants, dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

« La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid. 13

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

« L’EUTHANASIE PREND SA PLACE DANS LES OUTILS DE GESTION DU GRAND ÂGE ! » 14

L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

« L’euthanasie devient une “proposition sociale” »

« Une liste de “choses concrètes” qui débute par “l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique”, ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale» « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15

CONDITIONNEMENT ET CULPABILISATION DES PERSONNES ÂGÉES ET/OU HANDICAPÉES

Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

« Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que “l’on meurt mal en France”. Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

« UN CONTEXTE JURIDIQUE NOUVEAU » ET ILS REVIENNENT ENCORE ET ENCORE SUR CE SUJET MORBIDE ET MALSAIN, ET POURTANT LES FRANÇAIS N’EN VEULENT PAS 16

Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie »

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE — « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art ».18

« IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS »

Alors « comment notre société et les “progressistes” ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre. »19 de nos préoccupations

Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

MAIS LÉGIFÉRER EST UNE ABERRATION QUI PERMET TOUTES LES DÉRIVES

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

NE JAMAIS LÉGIFÉRER

Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

UNE PRUDENCE COMPLÉMENTAIRE DISCUTABLE, MISE EN CAUSE DE FAIT PAR L’AVIS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, LES DIRECTIVES ANTICIPÉES

Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

« Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D. A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D. A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la “passion de l’égalité” et plus elles produiront des “volontés” qui seront soumises à l’opinion dominante. »

MAIS FINALEMENT LE MÉDECIN A LE DROIT DE NE PAS RESPECTER CES DIRECTIVES ! AVIS DU 10 NOV 2022

Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

« Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge “manifestement inappropriées ou non conformes” à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre. »22





Le manque majeur de soignants et la bureaucratie responsable de la mort d’une malade en CHU

Par Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste
https://t.me/DrDelepine
gerard.delepine@bbox.fr

Tous les chirurgiens orthopédistes considèrent les fractures du fémur comme des urgences vitales. Ce type de fracture entraîne en effet des douleurs intenses, empêche les mouvements et, malgré les antalgiques, gêne le sommeil rendant la vie extrêmement pénible. Retarder l’intervention indispensable accroît le disque de phlébite et d’embolie pulmonaire. Durant mes 45 ans d’expérience chirurgicale, je me suis toujours organisé pour les opérer dans les 48 heures de l’hospitalisation (dès le bilan anesthésique réalisé). Aussi je suis scandalisé par le drame de cette femme de 77 ans, admise dans un CHU pour une fracture du fémur et morte dans des conditions inhumaines après une semaine d’attente d’une opération sans cesse reportée1 2.

Un tel drame témoigne de l’état catastrophique du système hospitalier français

En 2019, la gravité de la crise hospitalière était déjà soulignée par des grèves quasi permanents des personnels des urgences, mouvements qui ont été méprisés, parfois violemment réprimés (aux lanceurs de balles de défense) puis suivis du simulacre de concertation du Ségur de la santé3 n’octroyant que 19 milliards au système hospitalier et 8 aux personnels tout en instaurant un plafonnement de la rémunération des médecins intérimaires entraînant de nombreuses démissions4. La disproportion entre ces aumônes accordées aux hôpitaux et le seul coût des tests PCR inutiles (près de 15 milliards) et non fiables5 ou celui des confinements (plus de 400 milliards) pour « éviter la surcharge du système hospitalier » mesure les conséquences financières désastreuses d’une politique comptable à court terme abandonnant l’hôpital, les soignants et les malades.

Considéré comme le meilleur du monde au début du siècle 6 notre système sanitaire a ainsi été relégué à la 16place lors du classement 2020 de l’institut Legatum7.

Cette chute a été depuis lors aggravée par la politique sanitaire Veran-Macron qui a fermé 5 800 lits en France, en 2020 tandis que la gestion tyrannique des ARS — arcboutées sur leurs certitudes comptables excluants soignants et malades a culminé par l’obligation vaccinale des soignants totalement injustifiée. En plus des soignants et administratifs hospitaliers, exclus sans indemnités ni droit au chômage, cette obligation infondée a entraîné des prises de retraite anticipées et des réorientations professionnelles aggravant lourdement le manque de soignants dans les hôpitaux et multipliant les déserts médicaux.

Actuellement 20 % des lits sont fermés faute de personnel, plus de cent services d’urgence ferment la nuit8 9 10 11 et d’innombrables services de chirurgie opèrent au ralenti faute de personnel.

Mais le pouvoir maintient l’obligation vaccinale totalement injustifiée puisqu’il est maintenant définitivement établi que les faux vaccins n’empêchent pas les contaminations.

C’est le manque de personnel de bloc opératoire qui a entraîné le report dramatique de la malade qui en est décédée.

Le manque de soignants en salle est certainement la cause du défaut d’alimentation de la malade durant une semaine.

La fille de la malade, Murielle accuse l’établissement de ne pas avoir nourri sa mère durant plusieurs jours.

« Elle a eu un bouillon de légumes le 24 au soir et c’est la dernière fois qu’elle s’est nourrie. Quand elle réclamait à manger, ils lui ont dit “non, vous devez être à jeun, vous allez être opérée demain.” Et ça pendant plusieurs jours (…) Sur la porte de sa chambre, il y avait le tableau “à jeun”, continuellement »12.

Le chef de service dans un langage bureaucratique caricatural se défend :

« Je peux vous assurer qu’après chaque report successif, des repas ont été distribués, attribués et ces faits ont été tracés dans le dossier ».

Et on peut lui faire confiance : le protocole a certainement été rigoureusement respecté et surtout tracé. Mais la malade a-t-elle mangé ?

Personne ne peut témoigner qu’un soignant ait fait manger à la malade les repas « distribués, attribués ».Le manque chronique d’infirmières et les « protocoles infirmiers » limitant le temps qu’elles sont autorisées à consacrer à chaque malade les empêchent le plus souvent de nourrir à la cuillère les vieillards qui en ont besoin et qui le plus souvent n’ont pas la force de le réclamer et les malades entravés par des pansements ou autres.

En Italie, les familles savent depuis longtemps que pour être certains que leurs parents âgés mangent elles doivent leur apporter des repas et le leur servir. Le drame de Dijon montre que les familles françaises devraient peut-être aussi adopter cette pratique.

Comment rétablir notre système de santé d’il y a 20 ans ?13

La France dispose encore d’une des meilleures réserves de professionnels de santé au monde. Mais ces soignants ont été éloignés de l’administration du système, privés de leur libre choix de prescription, persécutés par l’ordre des médecins pour l’expression de leur opinion si elle divergeait du crédo gouvernemental et exclus de leur sacerdoce s’ils n’acceptaient pas des injections expérimentales qu’ils savaient inefficaces et potentiellement dangereuses.

Insuffisamment considérés et rémunérés14, souffrant de la déshumanisation technocratique de leur exercice, ils traversent une crise sociale grave15 qui explique les 60 % de burn-out, 30 % de dépression, 25 % d’idées suicidaires et 3 passages à l’acte tous les deux jours16 17 18 et les très nombreuses démissions, retraites précoces ou reconversions responsables des fermetures de service et des déserts médicaux.

Ce constat est partagé par la grande majorité (76 %) des personnes qui considèrent la place accordée au patient dans le système de santé français comme insuffisante19.

Pour redonner au système son lustre d’antan, il faut prendre des mesures très fortes20 :

Libérer les soignants du mammouth administratif dans les hôpitaux21 22 comme en ville.

Supprimer bon nombre de strates administratives, en particulier les agences régionales de santé23, mais aussi une bonne partie des conseils d’administration et de surveillance et plus de la moitié des agences sanitaires qui ne sont plus indépendantes, mais sont devenues des agents trop coûteux de la propagande gouvernementale24.

Limiter la judiciarisation de la médecine qui a entraîné une augmentation forte des primes d’assurance de certaines spécialités,25 mais aussi la prescription de trop d’examens inutiles destinés seulement à protéger la responsabilité du médecin et amène parfois certains collègues à récuser des interventions salvatrices, mais trop risquées pour leur assurance.

Redonner aux médecins la liberté de parler et de soigner selon leur conscience et leurs compétences en supprimant le tribunal d’exception du conseil de l’ordre qui s’attaque maintenant à la liberté d’expression26, fondement de la démocratie

Il ne faut plus que ce soient des énarques qui décident de la manière dont les médecins doivent soigner leurs malades. Les contraintes administratives sont devenues telles qu’elles découragent de devenir médecin.

Il faut supprimer tout numerus clausus institué sous le mauvais prétexte purement financier.

Il faut que les étudiants accèdent beaucoup plus précocement à l’internat27 ce qui leur permettrait d’avoir un réel contact avec des patients et d’acquérir expérience et sens de leurs responsabilités.

Cette liste de mesures indispensables est incomplète, mais sa mise en œuvre permettrait de limiter les dégâts infligés à notre système de santé depuis plus de 30 ans par les politiques de gestion financière à court terme des gouvernements successifs et les derniers coups de boutoir assénés par l’actuel gouvernement, avec une brutalité sans faille.





Débarrasser le corps du graphène

[Source : anna-bellas.com]

[NDLR Les liens renvoient à des pages en anglais.]

Un guide sur la façon d’éliminer de votre corps le graphène, la substance transmise par les vaccinés du COVID aux non-vaccinés…

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

La mauvaise nouvelle pour ceux qui ont jusqu’à présent refusé de recevoir une seule dose de l’injection de Covid-19 est que certains médecins pensent que le graphène est transmis des vaccinés au Covid-19 aux non-vaccinés.

Mais la bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de votre corps et de rétablir votre santé.

Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser plusieurs méthodes différentes simultanément pour obtenir le meilleur effet. Notamment, des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps, et le contrôle des CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique. Il est produit naturellement par le foie et participe à de nombreux processus de l’organisme, notamment la construction et la réparation des tissus, la fabrication des substances chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme, et le système immunitaire. Nous disposons d’une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous permet d’avoir un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans l’organisme, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans l’organisme dépasse la quantité de glutathion, elle provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut se développer rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. Autrement dit, les CEM bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent radicalement dans l’organisme. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes présentant des conditions préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas affecté ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences CEM spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie. En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes ses « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Des patients Covid intubés en soins intensifs ont guéri en quelques heures lorsqu’ils ont été traités avec du glutathion et de la NAC, exemple de Ricardo Delgado

« Nous avons assisté à des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et des radiations 5G ultérieures dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette tache diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisqu’elle serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection pneumococcique, n’est-ce pas ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique. Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe – ou même par voie orale – ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les gens commencent en quelques heures à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un complément qui amène l’organisme à produire du glutathion, elle est connue comme le précurseur du glutathion et amène l’organisme à sécréter du glutathion de manière endogène, comme c’est le cas lorsque vous faites du sport de manière intense. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par l’organisme pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages. Vous pouvez obtenir la NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.

Le zinc, associé à la NAC, est un antioxydant essentiel utilisé pour dégrader l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado affirme qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après inoculation. Il s’agit de personnes ayant reçu deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et qui, après avoir pris ces suppléments, ne présentent plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

[Voir aussi :
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre]

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, veuillez consulter ce LIEN.

Comprendre le lien entre les CEM, la 5G, l’oxyde de graphène, les hydrogels et Covid

L’oxyde de graphène est activé par les CEM, en particulier les fréquences qui font partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce que l’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences envoyées aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui présente des qualités et des applications substantielles. Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreux domaines, dans notre alimentation, dans notre eau, et injectés dans nos corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui s’accrochent à votre ADN et peuvent être contrôlés par des capteurs 5G. Ils permettent de collecter et de manipuler l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent de suivre et de tracer les êtres humains. Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par les pairs qui traitent des hydrogels conducteurs. Nous avons rassemblé une courte liste d’études relatives comme documentation de secours.

Résumé des caractéristiques des hydrogels et de la nanotechnologie des points quantiques – Cliquez pour télécharger

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.

Caractéristiques des hydrogels conducteurs : auto-récupérabilité, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, auto-guérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’ils font certaines choses lorsqu’ils sont touchés par la 5G (ou d’autres fréquences, d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnements CEM provenant des téléphones cellulaires (ou téléphones mobiles), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses régions se mettent également à la 5G et des enquêtes ont été menées pour montrer la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une région. Pour se protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions pour y parvenir : ne vivez pas dans une ville où il y a beaucoup de tours si vous pouvez l’éviter, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection contre les CEM, tels que les appareils à énergie orgonique, qui aident à transformer les rayonnements CEM pour en atténuer les effets nocifs.

Énergie Orgone, protection contre les CEM et oxyde de graphène

Puisque l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous voulez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’ils n’activent pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les CEM. Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des récipients constitués de couches alternées d’acier et de matériau organique non conducteur étaient capables de capter une « énergie cosmique » saine provenant de l’environnement. Il a appelé cette énergie « orgone ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de conserver des échantillons de sang plus longtemps, de faire germer des semis de plantes plus saines et de soulager la douleur des patients qui s’y asseyaient.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite fait d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal, le tout enrobé de résine époxy. Le résultat final est un harmonisateur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, des routeurs Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux domestiques. Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études réalisées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents prélèvements sanguins d’oxyde de graphène EMF

L’étude la plus frappante à la lumière des récentes découvertes sur l’oxyde de graphène se trouve dans le  « test sanguin de Reich  » réalisé par le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgone sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie orgonale. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une période plus longue (c’était comme la fontaine de jouvence du sang).

Lorsqu’un globule rouge est défectueux et commence à mourir, il peut développer ce que l’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections en forme de pics de différentes longueurs dépassent de la cellule. Les images ci-dessous montrent à quoi ressemble la mort d’un globule rouge.

http://wilhelmreich.gr/en/research/microscopic-research/reich-blood-test-blood-disintegration/

Les diapositives ci-dessus montrent la désintégration bionique de la matière vivante et non vivante. La cellule saine possède une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich appelait l’énergie « orgone ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des protubérances pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections de Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations membranaires. Selon l’ouvrage A Laboratory Guide to Clinical Haematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes est le résultat de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui entraînent un déséquilibre entre le contenu en cholestérol et en lipides de la membrane affectent la capacité des GR à se déformer, ce qui se traduit par une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises lors d’une récente analyse de sang [mise à jour le 1er octobre 2021] effectuée par le Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement par les radiations CEM, l’empoisonnement par l’oxyde de graphène. Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines « l’effet corona » et « l’effet protéine de pointe ».

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

Ce comportement est identique à celui des cellules sanguines mourantes dans l’expérience du test sanguin de Reich. Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Le test sanguin de Reich a permis de faire une découverte frappante : les dispositifs d’énergie orgoniques ralentissent et arrêtent la dégradation des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs d’énergie orgoniques protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin de Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de dégradation des cellules est de 5 %. L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de décomposition est de 50 %. Il est clair que l’énergie d’orgone contribue à préserver la force vitale et la santé du sang.

[Article source en anglais :]



La parole en danger

Par Karen Brandin

Ils sont médecins, parlementaires, avocats ou bien encore enseignants, et s’ils ne meurent pas tous, tous sont frappés, visés depuis quelques mois au sein d’un régime malheureusement plus vraiment d’exception, un régime pudiquement qualifié de démocratie dégradée, par des procédures-bâillons et autres mesures vexatoires destinées à sanctionner à grand renfort de blâmes iniques, leurs voix simplement engagées et courageuses, mais décrétées dans le « monde d’après », indésirables, car discordantes. Des voix douces ou fortes, que l’on tente tour à tour de nous les présenter comme irresponsables puis comme carrément « menaçantes » pour notre sécurité, car fleurant bon la dérive sectaire. Bref, voici quelques mois que ces femmes et ces hommes, du simple fait d’une parole libre, se retrouvent marqués du sceau de la lettre écarlate de l’indignité. Et pendant que la libre expression brûle, on regarde ailleurs. 

C’est parce que l’on a attiré mon attention sur la toute récente procédure disciplinaire visant un prof agrégé de philosophie, R. Chiche et certaines réactions de satisfaction qu’ont manifesté sur les réseaux sociaux de courageux… anonymes, que j’ai décidé d’écrire ce simple billet de (mauvaise) humeur. Puissent ces quelques lignes faire office de modeste tremplin et inspirer dans un élan de solidarité nécessaire des collègues aguerris, prompts à produire une tribune de soutien bien plus aboutie à destination de l’ensemble de ces professionnels, héros ordinaires et de ce fait, extraordinaires. 

Ainsi, à toutes ces personnes, souvent parents, j’imagine, qui semblent se réjouir la bave aux lèvres qu’un enseignant, certes non-médecin (c’est ce qui semble être une source d’indignation), mais non moins citoyen éclairé, soit inquiété, car il a fait preuve d’un esprit critique, d’un esprit d’analyse concernant la gestion de la crise sanitaire, j’encourage la lecture du Meilleur des Mondes. En effet, cette société aussi uniforme qu’inhumaine dont vous semblez rêver, Huxley l’a décrite. Une chance pour vous que votre fantasme ait été à l’origine d’un livre ; ce n’est pas toujours le cas après tout ! Pour rappel et vous permettre de ronronner de plaisir, voici un extrait :

« En outre, nous prédestinons et conditionnons. Nous décantons nos bébés sous forme d’êtres vivants socialisés, sous forme d’Alphas ou d’Epsilons, de futurs vendangeurs ou de futurs Directeurs de l’incubation… »

(p37)

Bref, deviens ce que tu es… ; et seulement cela. Il est sans doute utile de rappeler que dans ce roman presque d’anticipation finalement, les êtres non soumis au conditionnement sont qualifiés de « Sauvages. » 

Parce que si l’on comprend bien, ce qui vous semble indécent et qu’il vous paraîtrait tout à fait légitime de sanctionner, c’est qu’un citoyen (un acteur de la cité donc ; Liberté, égalité, fraternité : vous vous souvenez ? Ou vous vous rappelez uniquement de : « Je baisse, j’éteins, je décale » après le : « Tous vaccinés, tous protégés » ?), qui plus est professeur, c’est-à-dire quelqu’un dont le métier est d’instruire, de continuer à s’instruire aussi bien sûr et de participer à la construction des esprits en les stimulant, ait osé rappeler les difficultés immenses qu’avait généré le port du masque en classe et l’obstruction majeure que cela a pu représenter quant à la dispense d’un enseignement de qualité ainsi que la perte de concentration qui en a résulté alors que dans le même temps, aucune étude scientifique n’a pu à ce jour démontrer un quelconque bénéfice sanitaire de cette mesure d’enfermement des visages.

Il vous a aussi semblé indécent qu’il se soit ensuite insurgé comme d’autres, même nous avons été trop peu nombreux, lorsqu’il a été question notamment à la fin de l’été 2021 de discriminer, d’évincer, les élèves non vaccinés alors même que le statut vaccinal relève du secret médical et ne saurait être dévoilé aux chefs d’établissement. Oserais-je ajouter qu’en outre cette injection, parce qu’elle est non immunisant, ne répond pas à la définition d’un vaccin. Sans compter bien sûr qu’en ne faisant pas partie des « vaccinations » obligatoires (Dieu nous en garde), elle ne saurait être exigée et encore moins conditionner à la participation d’une quelconque activité dans le milieu scolaire en particulier. 

Quant à légitimement s’arrêter sur le récit de la multiplication des effets secondaires suite à cette injection au mieux inutile (la population jeune n’étant pas à risque de formes graves sauf cas exceptionnels), effets secondaires notamment d’origine cardiaque, pour le coup largement documentés et décrits par des médecins dont l’expérience et l’expertise scientifiques forcent le respect, c’est une réaction saine en tant qu’homme.

Heureusement que « même un enseignant » a le droit de s’alarmer tout haut et de dire qu’il craint que cette « surmédication » hypothèque lourdement le capital santé de ces jeunes gens et qu’il convient par conséquent de redoubler de prudence. 

Cette propension à se documenter, à interroger le réel comme les spécialistes, devrait pourtant vous rassurer, vous réconforter au contraire, vous parents. Mais Jean-Claude Michéa, dans « L’enseignement de l’ignorance, » nous avait prévenus que ce ne serait plus cette vigilance que l’on attendrait du corps enseignant à l’avenir, mais une soumission résignée, faute d’une soumission heureuse :

« L’enseignement de l’ignorance impliquera donc nécessairement qu’on rééduque les enseignants, c’est-à-dire qu’on les oblige à travailler autrement, sous le despotisme éclairé d’une armée puissante et bien organisée d’experts en sciences de l’éducation. La tâche fondamentale de ces experts sera, bien entendu, de définir et d’imposer les conditions pédagogiques et matérielles de ce que Debord appelait la dissolution de la logique. »

(p 47)

Après 16 années d’enseignement, je suis la première à exhorter les parents à m’inquiéter, croyez bien, mais pour de toutes autres raisons et dieu sait qu’elles sont nombreuses.

Inquiétez-vous que vos enfants en terminale ne puissent plus rédiger un texte de 20 lignes sans une dizaine de fautes de grammaire et qu’il en résulte pour eux de terribles complexes.

Inquiétez-vous que le milieu scolaire soit en passe de devenir un terreau idéologique où le concept de « genre » est évoqué dès le plus jeune âge, cet âge de l’innocence que l’on qualifie pourtant de « tendre. »

Inquiétez-vous de la réforme Blanquer, entérinée par Mr Pap Ndiaye, qui a détruit le lycée et a convaincu les élèves que ces trois années n’avaient finalement plus aucune valeur éducative sinon celle de se soumettre au diktat de ParcourSup.

Inquiétez-vous que les maths aient été reléguées au rang d’option et que nous soyons à la traîne dans l’ensemble des classements internationaux.

Inquiétez-vous que vos enfants abordent la notion de primitives avant celle de continuité d’une fonction parce que le temps manque et qu’il faut parer au plus pressé ; aller à l’essentiel. Inquiétez-vous que le chapitre sur le logarithme népérien soit traité en seulement 6 h quand les mathématiques sont une discipline du temps long.

Inquiétez-vous que les épreuves de spécialité aient été décrétées en mars ce qui laisse craindre une désaffection et un désengagement majeur des lycéens à compter du mois d’avril.

Inquiétez-vous de l’imposture du Grand Oral et que l’on vous vende comme « maths expertes », le chapitre des nombres complexes enseigné pourtant en obligatoire jusqu’en 2020.

Inquiétez-vous si vous envisagez pour vos jeunes une prépa intégrée alors que les chapitres naturellement associés aux maths appliquées — calcul intégral, équations différentielles et fonctions trigonométriques — ne seront évalués qu’en contrôle continu puisque ne faisant pas partie de l’épreuve finale.

Inquiétez-vous si l’on évalue vos enfants via des exercices préenregistrés sur Kwyk où seule compte la réponse numérique et où les élèves passent seulement quelques secondes à raisonner, mais en revanche de longues minutes à repérer les touches sur le clavier pour entrer, dans la syntaxe attendue par le logiciel, les réponses qu’on leur a presque toujours soufflées.

Inquiétez-vous de ces notes automatiques, désincarnées, ces notes à moindre coût simplement destinées à étoffer les dossiers scolaires.

Inquiétez-vous de toutes ces notions apprises tellement rapidement qu’elles sont de fait, condamnées à une obsolescence programmée. Inquiétez-vous pour ces citoyens démunis, hagards que nous sommes en train de former. 

Inquiétez-vous de cette maltraitance intellectuelle, de cette « sobriété et de cette précarité subies » en matière de connaissances, mais désormais trop souvent consentie par des élèves rendus intolérants à l’exigence, à la rigueur, et allergiques à la frustration.  

Inquiétez-vous lorsqu’un président d’université à Strasbourg envisage de rallonger les vacances de Noël et de priver les étudiants de cours en présence pendant toute une semaine en février pour des raisons de restriction énergétique et va même jusqu’à déclarer que la recherche est « énergivore ».

Inquiétez-vous aussi d’une société qui a été capable de soumettre ses adolescents au pass sanitaire.

Inquiétez-vous enfin d’une société qui laisse depuis un an et deux mois des personnes « suspendues » sans salaire après avoir été désintégrées sans aucune justification médicale avérée. 

Bref, inquiétez-vous devant la multiplication des dérives autoritaires et une administration toujours plus tyrannique. 

Vous voyez qu’il y a de quoi être inquiet en effet.

L’historien Christophe Pébarthe et la philosophe Barbara Stiegler sont les créateurs d’une toute jeune pièce de théâtre d’un nouveau genre intitulée :

« Démocratie ! Un spectacle dont vous pourriez être le héros. » 

Alors, inquiétons-nous suffisamment de ce hold-up de notre humanité pour qu’ils n’aient pas à changer le titre d’ici peu en :

« Démocratie ! Un spectacle dont vous auriez pu être le héros. »

Karen Brandin

« Derrière la fausse humanité des modernes se dissimule une barbarie ignorée de leurs prédécesseurs. » 

Engels.

Pour rappel, ce garde-fou extrait d’un film mythique des années 90 : « Le cercle des poètes disparus » pour que les poètes ne disparaissent pas justement…




Un mythe contagieux

[Source : miriaf.co.uk via RI]

[Traduction : Marie Claire Tellier]

Par Miri

[Note de Joseph : une argumentation profane pleine de bon sens et que l’on peut étayer par des articles sourcés et plus spécialisés présents dans le dossier Vaccins et virus, comme :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Go Virus Go !
et concernant la 5G par des articles du dossier 5G et ondes pulsées comme :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »

Antoine Bechamp

Chaque fois que j’opine sur le sujet de la prétendue pandémie — que tout a été mis en scène, que les tests sont faux, les chiffres truqués —, sans faute, j’obtiens toujours le refrain d’un certain nombre d’individus : « Je suis d’accord que la menace était exagérée et que les restrictions étaient absurdes, mais il y avait bien un virus. J’étais vraiment malade ».

Nous devons donc examiner ces affirmations un peu plus en détail, car si vous êtes conscient de la nature frauduleuse des tests, des chiffres et du vaccin, mais que vous n’avez pas encore vu la fraude épique et la fabrication derrière l’idée du « virus » (et, en fait, des virus en général), vous manquez une partie cruciale du tableau. Peut-être la partie la plus importante, en fait, car si vous continuez à croire qu’« il y avait un virus » et qu’il était responsable de la mauvaise santé des gens, alors vous êtes, en fin de compte, vulnérable pour tomber dans ce genre de canulars à nouveau.

Je vais donc faire un certain nombre d’affirmations plutôt audacieuses, et je vais les étayer.

  1. Il n’y avait, et il n’y a, aucun nouveau virus respiratoire appelé « Covid ».
  2. Comme il n’y avait pas de Covid, il ne causait pas de maladie, non seulement parce que ce virus particulier n’existe pas, mais parce que :
  3. Les virus ne causent pas de maladie.

Ces affirmations sont toutes vraies et relativement faciles à prouver, mais la raison pour laquelle les gens réagissent avec tant de force contre elles n’est pas parce qu’ils ont des preuves solides, crédibles et reproductibles du contraire (ils n’en ont pas, car il n’y en a pas), mais parce que l’idée que les virus causent des maladies est un principe fondamental de la société moderne et quelque chose qui nous est inculqué pratiquement dès la naissance, étant donné que l’une des toutes premières choses que l’on dit aux nouveaux parents est de vacciner leur bébé pour le protéger contre les virus.

Il convient de noter que le système immunitaire d’un nourrisson est généralement trop immature pour produire la réponse en anticorps que les vaccins sont censés produire et, traditionnellement, les nourrissons n’étaient pas vaccinés avant l’âge de deux ans pour cette raison. La raison pour laquelle on les injecte aujourd’hui dès la naissance est, de l’aveu des tsars de la vaccination, de « former les parents » — par exemple, si votre bébé a parfaitement survécu jusqu’à l’âge de deux ans sans aucun vaccin, vous pourriez très bien en conclure qu’il est très bien sans eux. On ne peut pas accepter cela, alors le régime d’injections commence tout de suite, pour faire croire aux parents que leur enfant n’a survécu à la petite enfance que grâce à toutes les injections.

Cette propagande — selon laquelle les virus sont dangereux et nous devons nous en protéger — est ensuite répétée tout au long de notre enfance, lorsqu’on nous dit d’éviter les amis malades au cas où nous « attraperions » quelque chose d’eux, qu’on nous demande de rester à la maison lorsque nous sommes malades afin de ne pas « répandre nos microbes », etc., et qu’on nous endoctrine encore davantage à l’école, non seulement par le biais des cours de biologie et d’histoire où l’on nous apprend à vénérer Edward Jenner, mais aussi par la vaccination qui a désormais lieu dans les locaux scolaires.

Les écoles ne sont pas des environnements cliniques et sont donc des lieux totalement inadaptés à l’application de puissantes interventions médicales, mais elles procèdent quand même à la vaccination : de manière rituelle et dans le cadre du programme contraignant de modification du comportement et de la pensée — en nous convainquant que nous ne parvenons à survivre jusqu’à l’âge adulte que grâce à toutes ces injections.

Inutile de dire que si on vous fait de la propagande, littéralement du jour de votre naissance jusqu’à l’âge adulte, avec l’idée que les virus sont contagieux et causent des maladies, vous allez y croire. C’est aussi mon cas. Pourtant, je peux vous assurer que ce n’est pas vrai et que, comme la plupart de ce qui est enseigné dans les écoles publiques (y compris les écoles de médecine), c’est une propagande sournoise conçue par les classes dirigeantes pour maintenir la plèbe à sa place.

La peur des virus contagieux est une arme tellement épique pour les classes dirigeantes qu’il s’agit vraiment de l’un de leurs plus grands et plus diaboliques coups de maître, qui leur permet de tout faire, de la stérilisation des jeunes (voir les vaccins contre le VPH) à l’euthanasie des personnes âgées (voir les vaccins contre la grippe), en passant par l’imposition d’une tyrannie anti-humaine à la population quand bon leur semble, simplement en déclenchant la peur de la population qu’ils ont créée à propos des « virus mortels ». Rappelez-vous qu’une interprétation du mot PEUR est une fausse preuve qui semble réelle.

Ainsi, pour démonter le canular des « virus mortels » (et c’est un canular), nous devons d’abord examiner comment la théorie conventionnelle des modèles de maladie caractérise les virus. Ils sont dépeints presque comme des méchants de dessins animés, des mercenaires microscopiques capables de sauter dans l’air d’une personne à l’autre, de prendre d’assaut la myriade de défenses complexes de votre corps, puis de commencer à faire des choses ignobles à l’intérieur de vous qui provoquent des maladies redoutables.

Pourtant, un virus n’est pas un être vivant comme l’est, par exemple, un parasite. Un parasite peut en effet vous être transmis par une personne infectée et provoquer toutes sortes de symptômes désagréables, car les parasites sont vivants et ont donc la capacité de se nourrir — d’absorber de l’énergie — ce qui leur donne la possibilité de faire des ravages sur leurs hôtes. La clé pour se débarrasser d’un parasite est donc de l’affamer (les parasites, comme la plupart des entités pathogènes, y compris le cancer, aiment le sucre).

Un virus, en revanche, n’a pas la capacité de se nourrir. Il ne peut pas respirer. Il n’a pas de cerveau ou de système nerveux. Il n’est pas « vivant », quelle que soit la définition raisonnable que l’on donne à ce terme. Dans ce cas, un défenseur de la contagion virale peut-il expliquer comment une entité non vivante, qui ne peut absorber d’énergie pour se nourrir, est néanmoins capable de parcourir d’énormes distances, de vaincre les membranes puissamment protectrices de notre peau, de nos yeux, de notre nez et de notre bouche, de notre système digestif, puis d’avoir ENCORE l’énergie (qu’elle n’avait pas au départ) pour commencer à provoquer de graves symptômes de maladie ?

Pas étonnant qu’ils doivent commencer à nous faire de la propagande avec ce genre de choses à l’âge de cinq ans, sinon personne n’y croirait jamais.

Quelque chose qui n’est pas vivant et qui n’a pas d’alimentation en énergie ne peut pas se comporter de la manière dont la théorie de la « contagion virale » dit que les virus le font. J’ai déjà écrit que l’ensemble du domaine de la vaccinologie est essentiellement une escroquerie, fondée sur une pseudo-science et un charlatanisme dépassés depuis longtemps — tout comme le domaine de la virologie conventionnelle. C’est de la science-fiction, pas un fait fondé sur des preuves. Personne n’a pu prouver — jamais — que les virus volent dans l’air, s’insèrent dans les gens et commencent à causer des maladies.

Tout ce que l’on a pu prouver, c’est que lorsque les gens sont malades, ils sont testés positifs pour certains virus. Si le test est fiable (et c’est un grand « si » — il ne l’est certainement pas s’il s’agit de la PCR), alors tout ce que cela prouve, c’est qu’un virus est présent dans le corps d’une personne au moment où elle est malade. Cela ne prouve pas que le virus est responsable de la maladie ni que la personne a attrapé le virus d’une autre personne.

Donc, revenons aux personnes qui disent « il y avait définitivement un virus. J’étais vraiment malade. »

Le fait que vous étiez malade ne prouve pas qu’il y avait un virus. Cela prouve seulement que vous étiez malade. Même si vous avez été testé positif au test Covid — et même si ce test était fiable (ce qui n’est pas le cas) — cela ne prouve pas qu’un virus est responsable de vos symptômes. Cela montre simplement qu’il est présent lorsque vous êtes malade. C’est un peu comme si vous disiez : « Des déchets ont été jetés dans mon jardin, puis des rats sont apparus. Il est donc clair que les rats sont la cause des ordures dans les jardins. »

La principale raison pour laquelle les gens semblent avoir du mal avec cela — avec l’idée qu’il n’y a pas de Covid et que les virus en général ne causent pas de maladie — est qu’ils sont catégoriques : la maladie qu’ils ont connue en 2020 était « différente de toutes celles que j’ai eues auparavant ».

Écoutez : je n’essaie pas de dévaloriser l’expérience de quiconque en disant cela, mais, sérieusement — j’entends cela CHAQUE année. Chaque année, sans exception, les gens disent qu’ils ont été très malades et qu’ils n’ont jamais été aussi malades de leur vie. Dans certains cas, bien sûr, ils ont raison — à un moment donné, nous sommes plus malades que nous ne l’avons jamais été — mais souvent, les gens oublient à quel point les maladies « normales » peuvent vous faire sentir mal. Un « simple » rhume peut vous faire rester au lit pendant des jours, vous sentir absolument mal et ne pas être en mesure d’accomplir les tâches quotidiennes les plus élémentaires. Nous disons que les rhumes ne sont pas graves, non pas parce qu’ils ne vous font pas sentir sérieusement mal, mais parce qu’ils ne durent pas longtemps et n’ont pas d’effets secondaires graves.

La grippe, quant à elle, n’est certainement pas anodine et peut vous donner l’impression d’être aux portes de la mort — et elle peut entraîner des hospitalisations, en particulier pour les personnes présentant des comorbidités. Il est donc faux de dire « ce n’était pas un rhume ou une grippe normale parce que je me suis sentie très mal ». Les rhumes normaux, et surtout les grippes, peuvent vous rendre très malade.

Il est cependant théoriquement possible que vous ayez vécu quelque chose de différent en 2020, car il est théoriquement possible que les classes dirigeantes aient manipulé l’environnement d’une manière ou d’une autre pour augmenter les symptômes de mauvaise santé, par exemple en augmentant les champs électromagnétiques (lorsque nous sommes allés dans une zone 5G fortement saturée, mon mari a rapidement saigné du nez, le premier et le dernier qu’il ait jamais eu depuis que je le connais), ou en mettant plus de poisons que d’habitude dans l’eau du robinet, comme ils l’ont fait dans le célèbre scandale de l’empoisonnement à l’aluminium de Camelford.

Il est possible qu’ils aient fait cela. Mais — et c’est là le point essentiel, alors pardonnez-moi si je le répète plusieurs fois — il n’est pas possible qu’ils aient libéré un virus qui ait causé des problèmes de santé, car ce n’est pas quelque chose que les virus sont capables de faire.

Si, comme le veut la théorie du complot soutenue par l’establishment, « Covid a été produit dans un laboratoire et libéré », savez-vous ce qui se passerait ? Rien. Si un virus était fabriqué dans un laboratoire et pulvérisé partout, il tomberait par terre et ne ferait rien, et l’histoire s’arrêterait là.

Donc, aucun virus n’a rendu qui que ce soit malade, et personnellement, je doute même qu’il y ait eu une tentative coordonnée ou nationale d’augmenter la maladie par d’autres moyens, parce que ce n’était tout simplement pas nécessaire. La télévision a créé toute la peur, l’hystérie et la conformité nécessaires, chez des personnes en parfaite santé. Ils n’avaient pas besoin d’être rendus malades pour croire à la pandémie et se conformer à la tyrannie.

Cependant, je vais le répéter encore une fois parce que c’est tellement vrai — le pouvoir de l’esprit est exceptionnellement fort. Si vous croyez qu’il existe un virus dangereux et que vous pouvez l’« attraper », vous êtes beaucoup plus susceptible de développer les symptômes de ce prétendu virus que les personnes qui ne croient pas en son existence.

Nous savons tous à quel point l’esprit peut être rusé dans ce domaine. Par exemple, si vous tapez « mal de tête » sur Google, en cinq minutes, vous vous serez convaincu que votre mal de tête bénin dû à la déshydratation est en fait une tumeur cérébrale, car vous avez certainement tous les autres symptômes d’une tumeur cérébrale… C’est tout simplement la vérité que lorsque nous avons certaines croyances sur notre santé, notre corps commence à manifester ces symptômes. Si vous avez cru à l’existence de Covid — même si vous avez vu à travers d’autres parties de la pandémie — que vous étiez simplement plus susceptibles de développer les symptômes que l’on nous a indiqués Covid.

Il est également crucial de noter que rien ne prouve qu’il y ait eu plus de maladies graves en 2020 qu’au cours des autres années. Lorsque je dis « il n’y a pas de Covid », cela est souvent interprété à tort comme si je disais « il n’y a pas de maladies graves et de décès ». Bien sûr qu’il y en a, et bien sûr qu’il y en a toujours eu – des millions de personnes ont été malades en 2020, dont certaines gravement, comme toutes les autres années. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes, comme chaque année. Mais, lorsque vous retirez de l’équation les décès institutionnels induits par les médicaments et les ventilateurs (par exemple, les maisons de soins et les hôpitaux qui tuent des patients qui, avec les traitements appropriés, auraient pu guérir), vous pouvez constater que les taux de maladie et de décès en 2020 n’étaient en rien exceptionnels ou inhabituels.

Pour être clair, il n’y a pas eu plus de patients souffrant de maladies respiratoires graves en 2020 que les années précédentes, c’est juste que les années précédentes, ces patients étaient diagnostiqués avec la grippe et la pneumonie et en 2020, ils étaient diagnostiqués avec le Covid. Alors bien sûr, vous avez pu être malade en 2020, voire très malade. Mais rien ne prouve que vous étiez plus susceptible d’être malade en 2020 qu’en 2019, 2018 ou 2017.

De plus, et c’est un point crucial que l’establishment voulait absolument supprimer au plus fort de la fausse peste, en étant très sévère avec ceux qui l’exposaient, les hôpitaux étaient plus vides qu’ils ne l’avaient jamais été dans l’histoire. Si toutes ces personnes étaient frappées par une nouvelle maladie mystérieuse et grave, où étaient-elles ? Pourquoi les hôpitaux n’étaient-ils pas « débordés », comme on nous l’avait dit ? Pourquoi les débordements d’urgence de Nightingale n’ont-ils jamais été utilisés ?

C’est parce que la grande majorité des personnes malades n’avaient que des maladies saisonnières ordinaires et n’étaient pas assez malades pour aller à l’hôpital — comme chaque année. C’est pourquoi, et c’est un fait incontestable, s’il y avait eu une nouvelle maladie grave, les hôpitaux auraient été pleins à craquer. Ils ne l’étaient pas.

En outre, rappelez-vous tous les ministres « hypocrites » qui enfreignaient toutes les règles, organisaient des fêtes et avaient des liaisons, etc. Demandez-vous si ces célèbres politiciens égoïstes auraient agi de la sorte s’ils avaient cru qu’il y avait le moindre risque qu’ils attrapent « un virus dangereux ».

Boris Johnson lui-même a fait la fête avec les meilleurs d’entre eux, bien qu’il soit censé être « un survivant du Covid » avec un nouveau bébé vulnérable à la maison ! Pensez-vous qu’il s’exposerait, lui et sa famille, à des risques sérieux en se rendant à des événements « super-propagateurs » comme les fêtes s’il existait réellement un virus qu’il pourrait attraper et propager ? Bien sûr que non. Il n’a jamais eu de « Covid », c’était encore une fois du théâtre politique mal joué. Boris et ses coéquipiers savaient tous qu’ils ne couraient aucun risque pour leur santé en faisant la fête et en s’adonnant à la drague, car ils savaient qu’il n’y avait pas de virus. Rien ne se « propageait ». Rien n’avait été « libéré d’un laboratoire ». Tout cela n’était que de la propagande sans fondement destinée à effrayer les gens pour qu’ils se conforment à la loi, car, si c’était vrai, les ministres se seraient recroquevillés dans des combinaisons de protection à l’intérieur de leurs demeures, en pulvérisant du désinfectant sur le facteur — et non en faisant la fête.

Ces députés ont été cloués au pilori dans la presse et par le public pour leur « hypocrisie », mais ils n’étaient pas hypocrites — ils étaient menteurs. Ils ont fait de la propagande en utilisant des techniques de modification du comportement basées sur la peur, pour faire croire à une menace mortelle qu’ils savaient eux-mêmes ne pas exister.

Et c’est parce que c’est tout ce dont l’élite avait besoin. De la peur. Ils n’avaient pas besoin d’un véritable virus, car ils savaient que le simple fait de dire aux gens qu’il y en avait un suffirait : c’est ainsi que fonctionne la psychologie humaine et c’est le message précis de la fable Les nouveaux habits de l’empereur. Les conspiraquats fous comme moi sont l’équivalent du petit garçon impudent qui saute en l’air sur les lignes de touche en criant « mais l’Empereur est nu ! ». Si vous regardez ce qui est réellement là, plutôt que ce que l’État vous dit de voir, il est évident qu’il l’est. Toutes les preuves réelles montrent qu’il l’est. Mais vous n’avez pas le droit de le dire.

Je sais qu’il est très difficile de se faire à l’idée que les classes dirigeantes puissent nous tromper à une échelle aussi colossale, laissant plus d’une personne perplexe demander, mais POURQUOI, je ne comprends pas POURQUOI ils feraient cela.

Pour répondre à cette question, il faut comprendre que nos classes dirigeantes ont un complexe de Dieu pathologique et croient qu’elles peuvent plier la réalité à leur volonté en remplaçant la réalité objective par leurs mirages, leurs illusions et leurs mensonges. Si je disais à un membre de l’élite dirigeante « les virus ne causent pas de maladies », il me répondrait « c’est vrai, mais parce que maintenant le monde entier croit qu’ils le font et se comporte comme s’ils le faisaient, c’est maintenant la réalité. Nous avons créé cette réalité par le pouvoir même de notre propre volonté ».

On peut penser que les élites dirigeantes sont comme le personnage « Christoff » du film The Truman Show — des obsédés du contrôle impitoyables qui croient avoir le pouvoir et le droit de créer des mondes entiers fabriqués autour des gens, de leur mentir sans relâche et de faire des efforts extraordinaires pour obscurcir la vérité — car lorsque vous pouvez persuader les gens d’investir si profondément dans un mensonge, vous avez un contrôle total sur eux. « Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités. » – Voltaire. Quelqu’un aurait-il imposé une partie de la tyrannie de Covid, y compris administrer et recevoir des injections mortelles, s’il ne croyait pas aux « virus mortels » ? De toute évidence, non, et c’est donc le pouvoir que les classes dirigeantes exercent aujourd’hui en ayant inventé ce canular vieux de plusieurs siècles.

Si vous réfléchissez à la théorie des virus en termes simples, vous pouvez commencer à voir qu’elle ne résiste à aucun examen, car il y a 7 milliards de personnes dans le monde, dont beaucoup sont très mobiles, et qui contiennent toutes sortes de virus (on estime que la personne moyenne en contient au moins cinq). Alors pourquoi tout le monde n’est-il pas constamment malade ? Pourquoi ne sommes-nous pas constamment infectés et réinfectés à chaque fois que nous interagissons avec d’autres personnes ? Pourquoi la personne moyenne n’est-elle malade qu’une ou deux fois par an, même les personnes qui ont une vie très mobile et centrée sur les gens, comme celles qui travaillent dans des pubs et entrent en contact avec des centaines d’inconnus potentiellement « porteurs de maladies » chaque semaine ? Plus précisément, pourquoi les infirmières et les médecins ne sont-ils pas constamment atteints de maladies virales, étant donné qu’ils sont constamment en contact avec des personnes malades qui en sont atteintes ?

C’est parce que l’on n’attrape pas les maladies. Comme Antoine Bechamp nous l’a dit, on les construit.

Vous tombez malade lorsque la toxicité de votre corps (due aux toxines présentes dans la nourriture et les boissons, dans l’air, aux CEM, au stress émotionnel, etc.) atteint un point critique et que votre corps a besoin de l’évacuer. C’est ce qu’est un rhume ou une grippe. Une désintoxication de tout le corps qui expulse toutes les toxines (par la toux, les éternuements, la fièvre, etc.). À ce stade, vos cellules produisent des virus pour faciliter la désintoxication et le nettoyage interne. Vous pouvez considérer les virus comme une sorte de savon, et la terrible ironie est qu’ils ne sont pas des ennemis dangereux et malveillants qui essaient de contrecarrer votre bonne santé, bien au contraire. Ils essaient de vous aider, car (et toute l’industrie pharmaceutique est absolument terrifiée par le jour où les gens réaliseront ce fait ineffable) votre corps n’essaie pas réellement de vous tuer. Au contraire, chaque cellule de votre corps se consacre à vous maintenir en vie, et votre corps possède un large éventail de capacités magistrales exclusivement consacrées à vous protéger et à vous préserver.

Les gens tombent souvent malades au même moment parce que a) les personnes qui vivent ou travaillent ensemble sont exposées aux mêmes toxines, et b) nos corps sont synchronisés et communiquent — voir la synchronisation menstruelle — et un corps qui fait une cure de désintoxication peut envoyer des signaux puissants aux corps voisins pour leur dire que cet environnement est un peu toxique et qu’une cure de désintoxication ne serait pas de refus.

Cela ne signifie pas que quelqu’un a « attrapé » quelque chose d’un autre (je le demande à nouveau : pourquoi les médecins et les infirmières ne sont-ils pas constamment malades ? Après tout, ils sont constamment entourés de personnes malades et, à moins qu’ils ne travaillent en combinaison de protection, ils ne peuvent éviter les contacts étroits).

Si la théorie virale et les modèles de contagion étaient un tant soit peu vrais, alors tout le monde, à part les ermites, serait constamment malade, y compris et surtout les personnes qui ont beaucoup de contacts avec les autres. Et pourtant, il n’existe aucune preuve scientifique montrant que quelqu’un qui travaille dans un pub – rencontrant des centaines de nouvelles personnes par semaine — est plus susceptible de tomber malade que quelqu’un qui travaille dans un bureau — voyant la même petite sélection de personnes chaque jour. Si la théorie virale était vraie, non seulement les emplois en contact avec le public seraient trop dangereux et il serait impossible de retenir les employés (parce qu’ils seraient constamment en arrêt maladie), mais la race humaine n’existerait pas, ayant été éliminée par des contagions virales il y a des lustres. En effet, si la théorie virale était vraie, il n’y aurait plus personne en vie pour y croire.

Soyons clairs, il existe divers poisons dans l’environnement et notre monde est plus toxique qu’il ne l’a jamais été. Alors, bien sûr, les gens tombent malades. Si vous empoisonnez un organisme vivant suffisamment souvent, même avec une faible dose de poison, il finit par tomber malade. Mais cela ne signifie pas qu’il y a, qu’il y a eu ou qu’il pourrait y avoir une épidémie virale. Ce n’est pas une chose qui peut arriver, et la raison pour laquelle l’establishment a investi tant d’argent dans les films de « peste » au cours des dernières décennies (Contagion, Outbreak, World War Z, etc.) est de manucurer l’esprit des gens pour qu’ils y croient. Mais l’idée d’une peste virale contagieuse est tout aussi fictive que n’importe lequel des films susmentionnés, et l’établissement vous le dit assez explicitement.

Lorsque j’ai regardé Contagion en 2019, environ un an avant que Covid ne fasse ses débuts, j’ai immédiatement su ce qu’ils nous disaient et j’ai fait un post prédisant une fausse peste, mise en scène pour contraindre les gens à prendre un vaccin dangereux. Non seulement les réalisateurs de Contagion nous ont dit que cela allait arriver (dans les suppléments du DVD, ils déclarent « Contagion n’est pas une œuvre de fiction, cela va se produire pour de vrai, c’est une question de quand, pas de si »), mais Matt Hancock lui-même a confirmé que le Royaume-Uni a basé sa réponse à la pandémie sur le film.

Les scénaristes de la fausse peste ont ensuite donné le premier vaccin à « William Shakespeare », dont la citation la plus célèbre est « all the world’s a stage » — et en rapportant cette sombre petite blague, Matt Hancock n’a littéralement pas pu garder son sérieux.

Donc, vous l’avez. Les producteurs et réalisateurs derrière « Covid ! The Plague Blockbuster » vous ont dit très clairement et dès le début que ce n’est pas réel, que c’est une mise en scène, un scénario et que cela ressemble à un film — et je ne fais donc que répéter leur révélation (parce qu’ils nous disent toujours ce qu’ils font, un phénomène connu sous le nom de « révélation de la méthode », si vous apprenez simplement à interpréter ce qu’ils disent. Par exemple, ils déclarent que le vaccin est « sûr et efficace ». Mais ils ne disent pas pour qui et de quelle manière. Est-il « sûr » parce qu’ils sont immunisés contre les poursuites judiciaires, et « efficace » parce qu’il fait exactement ce qu’ils voulaient qu’il fasse) ?

Pour reprendre notre véritable pouvoir à ces sorciers sombres et maléfiques (remarque : Hollywood porte le nom du bois de l’arbre Holly, traditionnellement utilisé par les sorciers pour fabriquer des baguettes), il est essentiel que nous voyions à travers leurs illusions et que nous n’investissions en aucune façon dans leurs envoûtements et leur magie noire.

L’idée de « virus mortels contagieux » est un canular. Personne n’a jamais pu prouver que les virus sont directement transmissibles ni qu’ils sont à l’origine des symptômes des maladies, et ils ne pourront jamais le prouver, car ce n’est pas vrai.

Il s’agit d’une introduction relativement brève sur le sujet, et il existe une multitude d’informations complémentaires étonnantes, comme le livre Virus Mania et la série documentaire The Viral Delusion (parce que je sais que les gens répondront à ce commentaire par « mais qu’en est-il d’Ebola ? Et la polio ? » — vous trouverez toutes les réponses que vous cherchez dans ces documents, et bien d’autres encore).

Pour conclure, je voudrais simplement répéter ce qu’Antoine Bechamp nous a dit, il y a des centaines d’années, sur la véritable nature de la maladie — parce qu’en fait, cela aurait pu remplacer tout l’essai — « nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »




Climat, santé, énergies, guerre anti-russe : la dérive sectaire est déjà au pouvoir

Par Lucien SA Oulahbib

Comble de l’absurde, mais déjà vu en Russie ou en Allemagne en 1917 et 1933 : les sectes arrivées au pouvoir décident que toute opposition à leur emprise relève du complot et du sabotage (judéo-maçonnique et bolchevique pour les uns, Blanc et impérialiste pour les autres). Idem aujourd’hui, et comparaison vaut parfois raison, déjà sur ce point, lorsque les situations se ressemblent jusqu’à l’hyperinflation et la crise morale, à l’instar d’une expérience qui se répète avec des résultats sinon identiques du moins similaires et qui la valident : l’idéalisme au pouvoir se transforme en réalisme matérialiste des plus sordides ; n’oublions pas que la pleine puissance anti-complotiste ne se déchaîne pas dès 1933 ou dès 1917, mais peu à peu jusqu’à atteindre son paroxysme plusieurs années après.

Aujourd’hui la campagne sectaire contre les médecines dites douces s’accélère. Dernière en date l’anathème envers la kinesthésie contre la bronchiolite au même moment ou comme par hasard Sanofi (et Pfizer) annoncent un « vaccin » à ce sujet alors que des « liens » d’intérêts entre certains centres et l’industrie pharmaceutique (comme Sanofi…) s’avèrent avérés également là….

Ce qui n’est pas sans rappeler la « diabolisation » brutale de l’hydroxychloroquine classée subitement (en décembre 2019 soit deux mois après la « répétition » générale d’octobre 2019) médicament « vénéneux », au moment même, hasard là encore, où la fabrication d’une injection à ARN (déconseillée pourtant par les spécialistes comme Malone et Henrion-Caude — bien sûr décriés par les chiens de garde de la Secte — puisque réservée plutôt pour le cancer par exemple) était en vue…

Idem pour le « climat » ou l’alarmisme, infondé, et surtout inconsidéré pousse non seulement des jeunes à des actions anti-citoyennes, proches de l’autodafé, de sinistre mémoire, et dangereuses en plus, mais met gravement en danger les populations en les forçant non pas à réguler sagement et qualitativement leur « consommation » mais en les culpabilisant d’en avoir tout bonnement une, de telle sorte que désormais la voiture thermique jusqu’à la vache et a fortiori le paysan lui-même apparaissent comme des « nuisibles » qu’il faut éliminer (deux paysans se suicidant par jour en France depuis déjà plusieurs années).

Le tout fait l’affaire des industries agroalimentaires, pharmaceutiques et du divertissement avides de nous vendre des pilules capables d’être des trois en un : nourrir, calmer, rêvasser…

Enfin, la destruction du nucléaire civil et la volonté d’aller de moins en moins indirectement à la guerre contre la Russie résultent également d’une « dérive sectaire » — les démocrates US faisant par ailleurs subitement et hypocritement marche arrière en appelant aux négociations pour séduire quelques indécis dans leur camp alors qu’ils ont poussé Kiev à refuser les « avancées significatives » à Istanbul en mars 2022 ; tandis que les sectaires français au pouvoir ont sacrifié le nucléaire pour que les beaux yeux germains regardent ailleurs question déficit budgétaire et planches à billet du moment que la France achète de… l’électricité, des éoliennes et des belles voitures…

Tout cela mis bout à bout montre bien où se trouve « la dérive sectaire », certainement pas chez « les » naturopathes (il y a des brebis galeuses partout) et bien plus parmi la gentry au Pouvoir qui se prétend supérieure plutôt par double effet narcissique (se voir sans cesse dans le miroir médiatique couplé à la coco rend irascible…) et intelligence dite « long-termiste » qui revient en fait à imposer une vision millénariste qui va jusqu’à envisager de voiler le soleil pour « refroidir le climat ».

N’en jetez plus, entre les docteurs Knock, Folamour, néo-Mengele (méthode Ropa, etc.) et tous ces redresseurs de torses qui font d’un côté mine de s’apitoyer sur le sort de l’Humanité et de l’autre qui soutiennent ceux qui précisément lui jettent un « sort », il y a, là, tout un paquet de dangereux spécimens qui pourraient être, eux, l’objet d’une réelle commission analysant les « dérives sectaires », sauf qu’ils se trouvent précisément à la tête de celle-ci…

Ou l’Absurdie puissance mille.




L’indispensable censure pour sauver la démocratie

L’indispensable censure pour sauver la démocratie1
Sauvons les Français d’eux-mêmes

[NDLR Voir la note 1]

Par Alain Tortosa

La démocratie est à ce point fragile et précieuse qu’elle ne peut survivre sans la censure qui, de fait, devient garante de celle-ci.

Il est ainsi vital de faire taire les extrémistes et les complotistes.

  • Si l’ennemi de la démocratie était hier celui qui voulait établir une dictature (toujours pour le « bien » du peuple) qu’elle soit d’extrême droite, communiste ou religieuse…
  • Si l’ennemi de la démocratie était hier celui qui appelait à la haine et à vouloir éliminer toutes celles et tous ceux qui n’étaient pas de son avis…

Aujourd’hui le profil de l’ennemi est fort différent et largement plus sournois :

Celui qui est en désaccord avec la pensée unique constitue un danger pour la nation !

Comme j’aime à le répéter, la démocratie d’hier était quand même plus légère.

Elle nous berçait d’illusions, de rêves de liberté, de droits de l’homme, d’ascenseur social ou de grands desseins comme rêver d’aller un jour sur la Lune, etc.

Tout ceci appartient au passé !

L’heure est gravissime et l’avenir se résume à une tentative désespérée de survie de l’espèce.

Les dirigeants de notre belle démocratie sont unanimes, il nous faut désormais nous réjouir de retourner au Moyen-âge.

Vivre en démocratie implique désormais des devoirs qui dépassent de beaucoup les droits.

Le droit étant un espace de plus en plus exigu dont nous devons jouir et ne surtout pas nous plaindre.

Serez-vous obligé de jeter votre voiture en parfait état de fonctionnement parce qu’elle est affublée d’une vignette2 crit’air 4 ?

« Réjouissez-vous, vous pourrez prétendre à une prime de 200 euros pour acheter un vélo électrique si pratique et écologique pour faire ses courses en été sous la canicule, comme en hiver sous la neige ! »

Rappelez-vous, en tant qu’écolo : l’être humain est un nuisible !

Sainte Greta nous a rappelé il y a quelques jours :

« Il est temps de transformer le système capitaliste oppressif et raciste de l’Occident3 »

Elle aurait dû ajouter « hétérosexuel blanc » quand bien même la précision demeure triviale.

Bref ! nous avons basculé dans une ère où l’être humain, le progrès ne sont plus en mesure de proposer un avenir radieux. Nous avons trop martyrisé la Terre.

Le bateau coule et nous pouvons peut-être retarder l’échéance, mais certainement pas l’inéluctable.

Et les sujets ne manquent pas !

Pour survivre à un virus inconnu il nous faut :

  • Nous confiner.
  • Porter un masque.
  • Interdire les interactions humaines.
  • S’injecter un produit expérimental.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant ?

Pour retrouver ensuite nos libertés ?

Non, uniquement pour survivre et tenter de sauver un maximum de personnes !

Le virus va-t-il disparaître ?

Non, jamais !

Son nom va peut-être changer, mais le danger sera toujours présent.

Il y aura toujours une nouvelle menace plus perfide et mortelle que la précédente.

L’humanité est condamnée à avoir systématiquement un train de retard pour tenter de survivre.

Pour survivre à l’attaque-surprise4 de l’odieux Poutine qui veut envahir la France et nous réduire en esclavage, il nous faut :

  • Renoncer à nous chauffer.
  • Rendre hors de prix l’accès à l’énergie (électricité, pétrole, gaz, etc.).
  • Rendre hors de prix l’accès à la nourriture.
  • Détruire ce qu’il reste de notre industrie polluante devenue non rentable.
  • Alimenter une guerre et empêcher toute négociation avec le monstre.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant et faire chuter Poutine ?

(Les dernières décennies devraient nous ouvrir les yeux. Nous avons fait tomber les tyrans en Afghanistan, en Irak, en Libye et j’en passe. Pour quels résultats ?
Oublions aussi que la Russie serait la 2e force nucléaire et imaginons qu’ils aient le désir de perdre un conflit.)

Les Russes vont-ils se réveiller un matin en se disant « j’aimerais bien que nous ayons un Biden, un Macron ou une Van Der Layen à la tête de notre pays » ?

On peut rêver, tout le monde n’a pas notre chance !

Le danger de nouveaux méchants va-t-il disparaître ?

Le nom de l’ennemi changera peut-être, mais nous serons en permanence à lutter contre la prochaine menace que nous n’aurions pas pu circonscrire dans l’œuf.

Pour survivre à l’apocalypse climatique il nous faut :

  • Renoncer à nos libertés.
  • Renoncer à nos moyens de transport (surtout individuels).
  • Renoncer à une énergie abondante et peu onéreuse (dans le présent) comme le pétrole.
  • Renoncer à l’habitat individuel.
  • Renoncer au confort moderne.
  • Renoncer à l’abondance.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant ?

Pour retrouver ensuite nos libertés ?

Non, uniquement pour survivre et tenter de sauver ce qu’il est encore possible de l’humanité.

Il nous est répété jour après jour que c’est irrémédiable et que les mesures les plus contraignantes ne seront pas en mesure de nous sauver, mais uniquement de ralentir l’inéluctable.

Bref nous sommes foutus, nous devons nous y résoudre et nous résigner à aller vers le déclin.

Pour survivre à l’attaque zombie ?

Et oui !

Qu’en est-il de la future attaque de zombies ?

Je ne dispose pas encore des éléments, mais tout ce que je sais c’est qu’il va falloir réduire nos libertés et notre confort pour y faire face !

Attention les mesures mises en œuvre pour lutter contre les zombies seront, bien sûr, toutes aussi indispensables qu’inefficaces et assorties d’une absence totale d’alternatives.

L’indispensable menace permanente

Pour que le peuple accepte toutes ces pertes de libertés, tous ces interdits, toutes ces pertes de confort et de sécurité, il est indispensable :

  • Qu’il soit convaincu de la réalité et de l’amplitude de la menace.
  • Qu’il soit convaincu de l’absence d’alternatives aux mesures proposées.

Il est bien entendu que le plan se déroulera sans accroc si vous êtes convaincu que les mesures ne sont ni des pertes de libertés, ni des interdits, mais uniquement du bon sens pour sauver votre peau.

En revanche :

  • Si vous pensez que le Sars-cov2 existe et qu’il est un gentil virus pas plus grave qu’un virus grippal.
  • Si vous pensez que Poutine n’est en rien une menace pour nous et que le conflit est largement de la responsabilité des USA, de l’OTAN et de notre politique.
  • Si vous pensez que le changement climatique est naturel (hormis le danger de chercher volontairement à modifier le climat) et que c’est plutôt une bonne chose pour la vie sur Terre et pour l’humanité.
  • Si vous pensez que l’attaque zombie est un foutage de gueule.

Alors, croyez bien qu’il va être difficile de vous imposer une « démocrature » ou une « dictatocratie » dans laquelle les complotistes pensent que nous évoluons.

Et quand bien même vous penseriez que ces menaces sont des réalités et non des ennemis inventés de toutes pièces pour nous réduire en esclavage, mais :

  • Si vous pensez que ce virus n’est pas dangereux pour les personnes en bonne santé et qu’il existe des traitements efficaces et non onéreux.
  • Si vous pensez qu’il suffit de transformer l’Ukraine en pays neutre et donner le droit aux peuples de l’est de l’Ukraine à l’autodétermination.
  • Si vous pensez qu’il faut s’attaquer aux vrais polluants chimiques et non au gentil CO2 et qu’il n’y a qu’à nous adapter aux modifications climatiques. (Par exemple en récupérant l’eau des inondations dans des retenues artificielles pour ne pas manquer d’eau en été et éviter des drames à la saison des crues.)
  • Si vous pensez qu’il suffit d’arrêter la TV pour mettre fin à l’attaque des zombies.

Alors, croyez bien qu’il va être difficile d’imposer des mesures liberticides s’il existe des solutions alternatives douces.

La censure est par définition la peur de la contagion

Dans ces conditions, il est totalement indispensable de faire taire celles et ceux qui remettent en question la réalité ou la gravité de ces phénomènes cataclysmiques.

Mais aussi ceux qui remettent en cause la légitimité, l’efficacité et l’absence d’alternatives aux solutions imposées pour notre bien commun.

Il faut raison garder.

J’entends que le peuple est par définition totalement stupide et nul ne peut en douter sérieusement.

Il adore les théories du complot du fait de son déficit neuronal flagrant et de son esprit simpliste, mais force est de constater qu’il a été un mouton plus que docile pour la crise du Covid, non ?

Pour autant c’est bien la peur de la contagion qui motive la censure.

« Faire en sorte qu’un minimum de personnes soient corrompues
par des théories ou des solutions alternatives aussi loufoques que dangereuses. »

Concernant nos dirigeants :

  • S’ils étaient certains de la vérité de leurs affirmations apocalyptiques.
  • S’ils étaient certains de l’efficacité de leurs solutions liberticides et surtout de l’absence d’alternatives.
  • S’ils disposaient des preuves crédibles et de bon sens pour leurs affirmations.

Alors, pourquoi vouloir faire taire les voix discordantes ?

Les complotistes savent que nos dirigeants mentent, manipulent, trichent pour parvenir à leur fin.

Les complotistes savent qu’ils n’agissent pas pour le bien du peuple.

Et si les complotistes se trompaient, si nos dirigeants étaient honnêtes, si leurs intentions étaient bonnes et qu’ils étaient compétents ?

Alors ces derniers n’auraient pas à avoir peur de la controverse et peur que des opinions contraires s’expriment largement et publiquement.

Ils ne seraient pas terrorisés par une contagion qui sonnerait le glas de l’adhésion aux mesures de bon sens mises en œuvre par le gouvernement depuis tant d’années.

Le gueux est-il débile par nature (génétiquement) ?

Si nos maîtres ont si peur des complotistes, si peur de la liberté d’expression c’est qu’ils sont intimement convaincus de notre incapacité à avoir les bonnes réflexions pour faire les bons choix (ce qui les oblige ainsi à censurer pour le bien de tous).

Ils savent que nous ne pensons pas « bien ».

Mais alors, pourquoi ne pas rendre les gueux, sinon intelligents, tout du moins moins idiots ?!

Force est de constater que tout est mis en œuvre pour formater les esprits dès le plus jeune âge, lorsque le cerveau est encore bien malléable.

Il faut les sociabiliser à partir de deux ans dans des crèches.

Sans compter les médias qui sont dans la pensée unique pour ne pas perturber nos esprits.

Comment expliquer le fait que toutes ces personnes éduquées, instruites, nourries de vérités absolues par notre grande démocratie soient à ce point faibles et stupides au point de croire les délires de complotistes et autres gourous pervers ?

Ceci est d’autant plus étrange au regard de l’Histoire, des enfants soldats, de braves gens devenus des tortionnaires et plus récemment de l’adhésion aux mesures Covid plus liberticides protectrices les unes que les autres.

Les complotistes pourraient imaginer, à tort, que l’éducation n’arrive pas suffisamment à les décérébrer et que l’homme de la rue disposerait encore de quelques neurones lui permettant de voir que l’on se fout de sa gueule.

Bien entendu, cette hypothèse n’est pas recevable et son relais souligne mon manque d’intelligence.

Qu’à cela ne tienne, je vais donc laisser la parole à des personnes largement plus brillantes que moi et qui seront plus à même de vous éclairer (si vous êtes moins bête que moi).

Voici donc ce que des demi-dieux5 écrivent sur le complotisme :

« L’adhésion à ce type d’explication ne résulte pas d’une rationalité pathologique, mais plutôt d’une série de raisonnements relativement ordinaires, opérés sur la base des données disponibles et du contexte social6. »

Vous voyez, je suis tellement crétin que je ne comprends même pas la phrase.

Attendez voici d’autres explications plus à ma (notre) portée :

« Les personnes qui adhèrent à des récits conspirationnistes y trouvent une “grille interprétative du monde qui confère un sens à leur situation et désigne une cause unique aux injustices dont ils pensent — à tort ou à raison — être victimes”

« En effet, ces formes d’interprétation du monde offrent des réponses, bien que simplistes et souvent fallacieuses7, à de véritables problèmes de société, en donnant l’illusion de pouvoir agir pour parer au danger.

De plus, elles aident à donner du sens, à expliquer un monde de plus en plus complexe, chaotique et incertain : les “récits conspirationnistes consistent toujours en une simplification à outrance des logiques régissant le fonctionnement de nos sociétés et l’enchaînement des faits historiques”, offrant une sorte de réponse manichéenne et mono-causale à ce qui nous affecte négativement »…

« Un monde binaire, avec des gentils et des méchants, c’est reposant cognitivement. »

La vérité est que les gueux et les complotistes sont simplement stupides par nature (et aussi pauvres ce qui n’est que justice) !

Merci d’avoir a minima l’honnêteté de noter que la vision officielle du monde (Covid, Poutine, climat, zombies,…) rapportée par les médias et nos dirigeants n’a strictement rien de simpliste, fallacieuse, mono-causale, manichéenne ou binaire avec des gentils et des méchants.

Nous tous qui regardons les chaînes d’information ou les journaux voyons bien que nous sommes nourris au quotidien par la complexité et par le « ce n’est pas si simple que ça ».

Le slogan de Franceinfo est « Franceinfo ; et tout est plus clair ».

Bref, à y regarder de plus près, le monde est juste !

Les intelligents, les gens bien, les élites sont riches et au pouvoir parce que cela répond à l’ordre naturel.

Cette réalité se suffit à elle-même pour justifier pleinement la nécessité absolue de couper court à la liberté de parole.

Le gueux est con, il faut donc le protéger de lui-même et l’alimenter avec une nourriture intellectuelle bonne pour lui.

Une des raisons pour lesquelles on leur fait croire qu’ils peuvent décider de choisir leurs représentants ainsi que la politique choisie lors des élections.

Ceci prouvant leur nature débile, car il faut vraiment être con pour croire que nos gentilles élites vont être irresponsables au point de laisser les gueux décérébrés décider de l’avenir de la nation.

Pourquoi supprimer la liberté de parole ?

Au stade de l’écriture, la question n’a plus de sens.

Nous avons bien compris qu’ils n’ont pas le choix pour protéger la démocratie en évitant la contagion :

  • Ils ont obligation de censure sur les médias mainstream.
  • Ils ont obligation de fermer des médias mensongers comme RT France ou Rumble.
  • Ils ont obligation de censure sur les réseaux sociaux.
  • Ils ont obligation de discréditer et marginaliser les auteurs déviants.
  • Ils ont notamment obligation de faire taire les médecins, spécialistes, politiciens, scientifiques, etc. qui oseraient remettre en cause la Vérité.

Ils sont à ce point paniqués qu’ils promulguent de plus en plus de lois pour restreindre la liberté de parole ce qui ne peut que nous rassurer et nous réjouir.

Dérive sectaire et complotisme

Il n’est pas possible de parler complotisme sans citer Rudy Reichstadt, acteur incontournable des droits de l’homme :

« Par une lettre de mission du 29 octobre 2019, l’administrateur général du Cnam8, Olivier Faron, a ainsi confié à Rudy Reichstadt, créateur du site Conspiracywatch.info, une mission consacrée au développement d’une offre de formation sur la lutte contre le complotisme et l’antisémitisme9. »

Dissocier le complotisme de l’antisémitisme n’a évidemment pas de sens, les deux se nourrissent du même terreau nauséabond.

Nos autorités prennent le taureau par les cornes et font appel à la Miviludes10 (organisme de lutte contre les dérives sectaires) pour dénoncer et répertorier les déviants, et ce pour notre sécurité et la leur.

« Enfin, presque 4 % des saisines concernent le complotisme et le mouvement antivax (soit 148 dossiers). Ces saisines ont déjà donné lieu à une vingtaine de signalements au Procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure pénale. »

C’est peu, mais c’est un début, 148 bons français auraient donc dénoncé un ami, un voisin ou un membre de leur famille pour dérives complotistes ou antivax.

Une source d’espoir, mais globalement insuffisante.

Et de préciser :

« Le rapport dresse un lien clair entre les phénomènes sectaires et les thèses complotistes. La porosité entre les deux phénomènes et leur interdépendance tend à s’accroître, les théories du complot nourrissant largement les mouvements sectaires. »

« Face à ces constats, Mme Sonia Backès, Secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté, tiendra au début de l’année 2023, les premières assises des dérives sectaires et du complotisme. »

Nous voilà un peu rassurés, le phénomène est enfin pris au sérieux !

11

Encore un petit effort et nous rouvrirons les hôpitaux psychiatriques pour les malades qui n’approuvent pas la doxa.

Le phénomène est suffisamment grave pour s’en préoccuper et le docteur Michael Larrar12 nous éclaire :

« Les complotistes, en réalité, sont gagnés par des mécanismes paranoïaques classiques, et bien connus par les psychanalystes et les historiens…

Dans les complots, il faut toujours un méchant, un génie du mal, tirant les ficelles par cynisme, vice et gourmandise. Gourmandise pour toutes nos pulsions humaines (cupidité, sexualité, agressivité), mais que l’on préfère nier en nous et attribuer, outré, à un autre écœurant.

Une bonne théorie complotiste doit être vicieuse, ingénieuse, mais compréhensible par le plus grand nombre, et ne pas rompre avec les fantasmes communs, afin de rallier la masse et de lui permettre d’y défouler son désarroi…

Depuis longtemps le juif remplit ce rôle de rat dégoûtant, odorant, voleur et salisseur, complotant pour sa meute cachée, tantôt dans la pénombre d’un égout pour l’extrême droite, tantôt au soleil d’un château luxueux pour l’extrême gauche, tantôt armé jusqu’aux dents sur une terre volée pour l’antisémit… pardon antisioniste de toute obédience.

Et bien rassurons-nous, dans ce monde futuriste, certaines choses ne changent pas, car la quasi-totalité des théories complotistes autour du Covid 19 gardent le juif en premier rôle13. »

Il est du rôle de la société et de la médecine de sauver tous ces pauvres malades.
J’espère que je pourrais voir de mon vivant la généralisation des internements d’office en psychiatrie.
Nous pouvons nous en réjouir, car c’est le juste prix à payer pour protéger les libertés et la démocratie.
La censure est le maillon fort pour nous protéger des extrémistes !

Merci

Alain Tortosa14.

7 novembre 2022 https://7milliards.fr/tortosa20221107-censure-sauver-democratie.pdf





Les dits « démocrates » progressistes veulent limiter encore plus drastiquement la liberté d’expression

Par Gérard Delépine

L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté1. Sauvons-la

Depuis deux ans, nous avons été abreuvés de mensonges d’état permanents tandis que s’instaurait une censure de plus en plus sévère empêchant tout débat « démocratique » et une persécution des opposants, digne des régimes totalitaires.

Mais cela ne suffit pas à ces prétendus « démocrates ( ??) » qui veulent imposer une censure mondiale plus stricte que jamais et osent même la proposer devant l’ONU !

Quelques exemples des mensonges que l’état nous a assénés

Souvenez-vous de l’épisode tragi-comique du masque d’abord inutile2 3 et impossible à utiliser correctement4 avant de devenir obligatoire pour tous. Pourtant il n’existe aucune étude scientifique qui démontre que le port généralisé du masque par les personnes asymptomatiques diminue les contaminations. La seule étude prospective randomisée publiée sur le sujet (Danmasq19) n’a d’ailleurs pas montré d’avantage significatif au port du masque 5 6.

Nous souffrons encore des séquelles des confinements présentés comme « notre seule option face à l’épidémie de coronavirus Covid-19 ». Depuis tous les experts mondiaux indépendants ont démontré qu’ils n’ont pas ralenti l’épidémie7 8 9 10 et qu’ils ont été la source d’une surmortalité collatérale importante11 et de dégâts sociétaux et économiques considérables. Même Delfraissy l’a reconnu dans un article du Lancet12 censuré par les médias en France.

Un des pires mensonges a été « Les fermetures d’école ont été efficaces ». Cette affirmation était fondée sur de simulations biaisées selon lesquelles les fermetures protégeraient les enfants, les enseignants et la collectivité en général. On savait dès le début de l’été 2020 que c’était faux.

La Suède qui a été le seul grand pays occidental à garder les écoles ouvertes tout au long du printemps 2020 sans masque, sans distanciation sociale, ni test de dépistage a démontré la totale inutilité de cette mesure13. Parmi les 1,8 million d’enfants suédois de 1 à 15 ans, il n’y a eu aucun décès lié à la COVID-19, seulement quelques hospitalisations, et les enseignants ne couraient pas un risque plus élevé de contracter la COVID-19 que la moyenne des autres professions.

Cependant les dégâts psychologiques et sur l’enseignement entraînés par les fermetures d’école ont été considérables14 15avec des retards d’apprentissage importants, de très nombreux décrochages scolaires et des problèmes psychologiques majeurs.

L’affirmation permanente que le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs seraient efficaces pour réduire la propagation de la maladie n’est corroborée par aucune étude scientifique. Au contraire plusieurs études montrent que les tests effectués chez les asymptomatiques se révèlent être des faux positifs dans 97% des cas16 et que les dépistages massifs comme ceux de Wuhan17 sont inutiles, car aucun des asymptomatiques dépistés n’est tombé malade ni n’a contaminé quiconque. Effectuer des tests sur toute la population pour identifier des personnes asymptomatiques par un test biologique qui n’a pas été conçu pour cela est sans précédent dans l’histoire de l’humanité et coûte des sommes considérables18 qui auraient mieux utilisées pour renforcer les hôpitaux. Cette stratégie et a été source d’un absentéisme important à une période ou l’économie essayait de redémarrer.

Rappelez-vous les affirmations officielles que les vaccins seraient«  efficaces à 95%19 20 » et du slogan « tous vaccinés, tous protégés » démenties dès avril 2021 par le ministère lui-même lors de sa défense contre la plainte d’un vacciné qui se plaignait des restrictions21, puis par Jean-François Delfraissy22 « les vaccins protègent assez peu ou mal contre l’infection et la transmission » et surtout par les données officielles de l’OMS sur l’évolution de l’épidémie qui montrent que depuis la généralisation des injections le nombre moyen de contaminations mensuelles a été multiplié par 3.

Autre mensonge d’état auquel les pro-injections se cramponnent encore, la prétendue efficacité contre les formes graves pourtant totalement démentie par l’analyse de la mortalité covid, telle qu’elle est rapportée par les statistiques de l’OMS qui montrent que les pays les plus injectés (80%) d’Europe et d’Amérique souffrent d’une mortalité 25 fois plus élevée (5 millions vs 250000) que celle des Africains très peu vaccinés(<15%).

Et que penser du passe sanitaire présenté comme l’outil de la liberté sans risques, « une nouvelle chance pour la liberté », « une éthique de la liberté » que les membres du Conseil constitutionnel avaient validé « dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 » avant que son pitoyable échec sanitaire ne fasse abandonner ce moyen de chantage et de discrimination par tous les états qui l’avaient imposé.

Comme le professait Goebbels un mensonge énoncé une fois est un mensonge ; répété mille fois, il devient la vérité. Grâce à l’expérience nazie, les gouvernants se sont rendu compte que les populations étaient capables de croire en n’importe quel message si celui-ci est suffisamment répété sans aucune contradiction sur les médias et toutes les institutions qui transmettent une idéologie, telles que l’école et l’université. Notre gouvernement sur les conseils de McKinsey a appliqué la recette de la propagande nazie et pour la rendre crédible a instauré une censure d’une intensité sans précédent récent.

Censure, diffamation et persécution des opposants dignes d’un état totalitaire

Dans les médias officiels, aucun débat contradictoire n’a été tenu sur le bien-fondé des mesures prétendument sanitaires même les plus idiotes comme l’interdiction de se promener seul en montagne en forêt ou sur les plages, ou l’interdiction de consommer debout…

Le gouvernement qui se sert des médias subventionnés et des agences prétendument indépendantes comme organes de propagande a créé un ministère de la vérité cher à Orwell appelé commission

Les opposants ont été systématiquement traités de complotistes, d’extrême droite et persécutés dans leur profession et parfois leur vie personnelle. Le professeur Perronne a été déchu de sa chefferie de service, l’avocate Virginie de Araujo-Recchia, a été arrêtée et mise en garde à vue23, un professeur interné en hôpital psychiatrique et de nombreux médecins exclus de leur profession pour avoir seulement parlé.

Même les représentants élus de la nation devraient se taire et ne pas dénoncer les mensonges d’état ! Le sénateur Houpert a été sanctionné d’une interdiction d’exercice de 9 mois24 par l’ordre des médecins pour avoir critiqué des aspects de la stratégie gouvernementale25. Martine Wonner ancienne député LREM peut craindre une condamnation ordinale, pour avoir affirmé des faits tels que le masque « ne sert strictement à rien », que les vaccins contre le Covid peuvent déclencher des « fausses couches », « de multiples cancers » et avoir participé au documentaire Hold Up.26

Tous faits pourtant avérés, mais on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, ni demander d’analyser les données scientifiques à des conseillers de l’Ordre auto promus inquisiteurs du dogme officiel. Après la pensée unique, on veut nous imposer la parole unique !

Un état qui réprime autant la liberté de parole est-il encore démocratique ?

La liberté d’expression fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

« L’article 11 de la Déclaration de 1789 va même encore plus loin en formulant  un  mode  d’emploi  concret de cette liberté, rappelant que :

« La libre  communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette  liberté  dans  les  cas  déterminés par la Loi ». 

La  formulation  n’est  pas  seulement  belle  et  solennelle. Elle est  puissante, car elle pose le  principe que la liberté d’expression est l’expression même de la liberté humaine ».27

Reprise depuis par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques ».

Même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie : Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains

Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’ONU ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.

« Tout en reconnaissant la gravité de la crise sanitaire actuelle et en admettant que l’utilisation des pouvoirs d’urgence est autorisée par le droit international en réponse à des menaces importantes, nous rappelons aux États que toute réponse d’urgence au coronavirus doit être proportionnée, nécessaire et non discriminatoire », « certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence, car elle offre des raccourcis . Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ». 

Mais aux yeux des covidistes, la censure actuelle est insuffisante !

Nous avions déjà évoqué la censure croissante en juillet 202228 et depuis elle tend à s’aggraver. Lors de son discours du 23 septembre 2022 devant l’Assemblée générale des Nations unies, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a appelé à une alliance internationale pour censurer les discours.

Après avoir reconnu la liberté d’expression (qui fait partie intégrante de la charte de l’ONU), elle a présenté un plan pour sa suppression par le biais d’une réglementation gouvernementale29 . Elle a défendu la nécessité d’une telle censure mondiale pour lutter contre ceux qui remettent en question le changement climatique et la nécessité d’arrêter « les rhétoriques et idéologies haineuses et dangereuses ». Pour elle, comme pour de trop nombreux dirigeants de pays qui se prétendent démocratiques toute contestation de leurs religions covidiste ou climatique serait haineuse et dangereuse !

Battons-nous contre les nouveaux tyrans qui avancent masqués

Ne soyons pas dupes des étiquettes ou des discours vantant la démocratie tenus par des dirigeants qui imposent des mesures restrictives des libertés. Ils se comportent en apprentis tyrans comme Hitler en 1936, Mussolini en 1922 ou Staline en 1922. À leur début tous ces dictateurs se présentaient aussi comme socialistes et prétendaient libérer le peuple.

Toute mesure restrictive de liberté est un acte de tyrannie. Aucune censure n’est légitime. Si nos gouvernants croient détenir la vérité, ils doivent pouvoir nous en convaincre et donc favoriser les débats démocratiques qui leur donneraient raison.

Nous gagnerons, car s’ils sont extrêmement puissants, ils ne sont que des milliers et nous sommes des milliards.

Il est encore temps d’empêcher la bête immonde de renaître. Battons-nous pour les libertés que nous ont léguées nos pères et que nous devons transmettre à nos enfants.





L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, pas la Démocratie ou le Gouvernement International

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

(Source de l’image : iStock)

Traduction du texte original: The Antidote to Tyranny is Liberty, Not Democracy or International Government

Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat.

Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident.

Très fréquemment, les politiciens européens et américains opposent les nations « démocratiques » à celles qui sont « autoritaires » : les premières sont la bonté même tandis que les secondes menaceraient l’existence même de la planète. Pourtant, après plus de deux ans de masques et de vaccins obligatoires après des mois de limitation des déplacements en raison du COVID-19, toutes mesures imposées aux populations occidentales par un exécutif ou un appareil administratif unilatéral – sans recours au législatif ou à un référendum public – il est difficile d’affirmer que les nations dites démocratiques sont débarrassées de leurs impulsions autoritaires.

Lorsque les présidents et les premiers ministres invoquent « l’état d’urgence » pour élaborer et appliquer leurs propres lois, les citoyens ne doivent pas se montrer surpris de la réserve inépuisable d' »urgences » dont ces dirigeants disposent en vue d’autres actions unilatérales. En cas de doute, il suffit de se reporter à la répression musclée des « Convois de la Liberté » (Freedom Convoy) au Canada : le Premier ministre canadien Justin Trudeau a confisqué les comptes bancaires de tous les camionneurs qui manifestaient pacifiquement contre l’obligation vaccinale. Certains ont même été arrêtés sans égard pour le respect des procédures légales ou le droit à la liberté d’expression. L’« état d’urgence » proclamée par Trudeau a primé sur les droits personnels des citoyens canadiens.

La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. Si un membre de la minorité se retrouve esclave de l’État ou condamné à mort simplement parce que la majorité en a décidé ainsi, il ne chantera pas les louanges de la démocratie alors que son cou est serré dans un nœud coulant.

Les principes du fédéralisme (les pouvoirs du gouvernement souverain sont divisés entre une autorité centrale et ses parties constituantes locales) et de la séparation des pouvoirs (les fonctions judiciaires, législatives et exécutives du gouvernement sont réparties entre des branches distinctes et indépendantes) constituent des freins solides à la concentration de pouvoir et aux abus qui en découlent.

Cependant, dans les pays occidentaux, ce sont les droits naturels qui existent indépendamment et au-dessus de l’autorité constitutionnelle qui protègent le mieux contre l’injustice d’un gouvernement (démocratique ou non). Ces droits naturels – inviolables si l’on en croit la Déclaration d’Indépendance des États-Unis – protègent la liberté d’expression. Nul gouvernement ne peut censurer tel discours qui lui déplait. Si la propriété privée avait été considérée comme un droit inhérent à chaque individu, Trudeau n’aurait pu s’en prendre si facilement aux comptes bancaires des manifestants au nom d’une situation qu’il avait lui-même déclarée « urgente ». Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun.

Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». Si les chefs de gouvernement convainquent les citoyens que les droits personnels n’existent pas, ou qu’ils ne devraient pas exister, alors des gouvernements autoritaires représentant diverses nuances de communisme ou de fascisme ne manqueront pas de toquer à la porte.

L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique. Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ».

Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux.

La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens.

N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ?

« Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de  » menaces  » pour la démocratie.

Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Lorsque la République romaine est devenue l’Empire romain, ses institutions internationales sont-elles devenues intrinsèquement plus fiables ? Lorsque le Saint Empire romain a uni une grande partie de l’Europe, ses empereurs ont-ils semblé moins autoritaires ? Et si le parti nazi d’Hitler avait réussi à conquérir toute l’Europe, son « Union européenne » aurait-elle été plus légitime que les gouvernements nationaux de Pologne, de Belgique ou de France ?

Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme.

Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu.

JB Shurk écrit sur la politique et la société.




Jordan Bardella et le redressement de la France ou la quadrature du cercle…

Par Lucien SA Oulahbib

Sa jeunesse et sa verve sur un ton clair et un bel aloi propulsent certainement toute une dynamique de fraîcheur à un parti qui aurait pu être au pouvoir depuis longtemps s’il n’y avait pas (eu) tant d’atermoiements stratégiques et de nuits des longs couteaux (élimination de Mégret et de Marion) l’un voulant arrondir les angles rhétoriques tout en élargissant le spectre idéologique, mais ce sur des bases plus ethno-différentialistes que républicaines et bonapartistes (Le Pen père et Mégret se sont d’ailleurs rencontrés dernièrement, ou la paix des braves ?…), la seconde cherchant à maintenir, semble-t-il, l’idée d’État plutôt garant des libertés que formateur exclusif de celles-ci, tout en renouant avec les thèmes de la campagne de 2002 quant à la protection démographique par exemple…

Le premier, Mégret, défendant au fond le legs du De Gaulle maurassien refusant de faire à terme de Colombey la ville des « deux mosquées » d’où son malheureux « je vous ai compris » de 58 (car il n’est pas dit que les « masses » dites « algériennes » voulaient du joug FLN nassériste, relire Jacques Soustelle partisan d’un Empire fédéral, ici p. 136 et suivantes) la seconde, Marion désormais Maréchal, défendant plutôt celui d’Ordre Nouveau de Madelin, Longuet, Devedjian, ou cette intransigeance anticommuniste qui n’a rien à voir avec le fascisme et l’anarchisme antisémite (ni Drumont ni Proudhon exit La vieille Taupe) ni non plus avec le nazisme ou national-socialisme reprochant « seulement » au bolchevisme sa direction juive tout en s’inventant des racines « aryennes » puisque celles des anciens germains et des dieux vikings ne semblaient pas les satisfaire ; Jean-Marie Le Pen oscillait, semble-t-il, entre germanité franque et celtitude royaliste (Maurras étant anti-germain cependant d’où la présence de nombre de royalistes à Londres alors que les communistes faisaient allégeance au Reich jusqu’en 41) tant il semblait avoir été bercé par un germanisme culturel et sa musique militaire cherchant d’hypothétiques racines communes entre Celtes et Francs qui sont certes des germains, mais christianisés et romanisés depuis Clovis, et un anticommunisme anti-tiers-mondiste mondialisant (pointant à l’horizon) rompant cependant à la fois avec l’atlantisme et l’antisémitisme de la Vieille Taupe,… Le Pen acceptant cependant la greffe avec Ordre Nouveau plus anticommuniste et surtout anti-gauchiste qu’anti-atlantiste, Assas faisant (mal) contrepoids à Nanterre Jussieu et Censier….

Bardella, dans son discours d’intronisation, en a effleuré l’historique en ergotant rapidement sur les « éclaireurs » et les « bâtisseurs » semblant les opposer alors que les uns ne vont pas sans les autres, les corps d’armée en branle avançant sur la route éclairée précisément par l’avant-garde ; sans oublier cependant l’arrière-garde, c’est-à-dire autrefois Roland de Roncevaux (hélas trahi) et l’on entend encore le son de son cor (songeant à Angélique aussi sans doute, mais elle préféra le Sarrasin/Amazigh Médor…) tout autant que s’entendent, pour ceux qui ont la fibre, les sons de la voix revancharde de l’évêque Cauchon condamnant la Jeanne et qui, aujourd’hui, aurait condamné Raoult ou Perronne (ses clones pullulant partout en censeurs « anti-complotistes ») ; il n’empêche, et Bardella ne devrait pas l’oublier, que le premier « parti » de France restent sans coup férir les « abstentionnistes », la majorité en réalité, et les « bâtisseurs » auraient pourtant bien besoin d’elle….

Sauf que… l’on chercherait, en vain, et hors des généralités sur le « souverainisme », ce qui permettrait dans ce discours du trône de séduire ces déçus du suffrage dit « universel ». Le maire de Perpignan voulait d’ailleurs aller encore plus loin dans le gnangnan ronflant du « parti de gouvernement », il n’a pas été écouté, mais le contenu programmatique de son vainqueur n’est pas probant pour autant s’il s’agit de « rassembler » réellement « le peuple de France » (rien sur les soignants suspendus, si peu sur la destruction du nucléaire et de l’agriculture alors que la France était autrefois exportatrice d’électricité et de denrées…).

Prenons un seul point qui pourrait faire bouger cette « majorité silencieuse » d’abstentionnistes, qui fut à l’origine du « gaucho-lepénisme » et qui aura précisément émergé dans sa lancinante acuité avec ce vrai-faux clash parlementaire du « qu’ils retournent en Afrique » d’il y a quelques jours, avidement lu évidemment (faute de mieux) par l’alliance anti-France (Nupes-Renaissance-LR) comme propos « raciste », confondant oral et écrit, le « il » de l’orateur (noir de la Nupes) et le « ils » du bateau ivre d’espoir voguant sur la mer de larmes d’abandonnés ballottés entre la mère patrie qui ne peut les nourrir et les aimer (tant l’argent est détourné par leur mafia au pouvoir) et une « communauté internationale » introuvable cachant son inexistence par la surenchère hyper-communiste de la lumpen-intelligentsia gauchiste devenue aujourd’hui dans le vide spirituel ambiant ce nouvel étendard de l’affairisme scientiste, hygiéniste, apatride. Or, ce point nodal, crucial, civilisationnel, etc., etc. est là et bien là depuis des lustres, mais personne ne veut vraiment s’y atteler dans toute sa cruelle réalité…

Cette faille fractale en effet au lieu d’être faussement colmatée par le « ni-ni » du surplace oscillant entre immobilisme et pourrissement à l’instar de ces points de fixation aux portes de Paris et sous les ponts bidonvilles des grandes villes devrait être élargie afin d’y enfoncer avec force le fer rouge de la colère en gilet jaune au lieu de la laisser errer dans les mains moites des révolutionnaires en peau de lapin, qu’ils s’appellent « insoumis », « black blocs » ou « ethno-identitaires » (soutenant, tous, « la » cause palestinienne contre le peuple « déicide » ou « cupide ») bondissant de démagogie en misérabilisme du « clochard » global alors qu’un Mélenchon soutient une UE ouverte à tous les vents trahissant de fait la trame ontologique de la nation française dépassant depuis son émergence la seule notion de « race » comme l’indiquait Bainville à la suite de Renan et aussi de Barrès (ayant vu dans les tranchées de 14 couler le sang juif — Hitler l’avait vu aussi, mais n’en eut cure se contentant cependant d’admettre quelques exceptions dans les dénaturalisations, du moins jusqu’en 38) ; d’où le fait, pour en revenir à la France, et dans une optique nationale républicaine (au sens grec) en prise avec les défis d’aujourd’hui de se demander s’il ne faudrait pas maintenir malgré tout le droit du sol, issu du XVIe siècle, et ce parce qu’il nous faut au vu, déjà, de l’implosion démographique une France de cent millions d’habitants.

Mais on peut aussi refuser ce chantage démographique à la Merkel (voir en infra le point 2). On peut en effet plaider que l’on n’a pas besoin d’une immigration pour retrouver une puissance de feu retrouvée au sein bien sûr d’une école d’une industrie une agriculture forte (nucléaire, agriculture, jeux vidéo…) pour contrebalancer une Allemagne faisant le pari contraire, car désireuse à nouveau de prendre le grand large avec ses pays satellites ; ce qui implique cependant pour elle un élagage sérieux de ce point empoisonnant (et connu depuis les Grecs entre Citoyens et Métèques) qui pourrait être possible entre une immigration désireuse réellement d’intégrer le giron allemand puis de s’y assimiler et ceux qui le refusent nécessitant alors leur départ, sauf qu’en Allemagne les forces écolo-défaitistes pro globaliste ne veulent pas trancher, tout comme en France.

Ce qui implique en fait deux possibilités à la fois contradictoires et dialectiques (au sens de pouvoir être dépassées au sens d’un aufhebung) qu’un Bardella devrait sérieusement étudier s’il veut devenir le leader d’un parti national de « gouvernement » et non plus seulement « d’opposition » (à sa majesté c’est-à-dire mollassonne).

  • 1) dans le camp du « oui », du moins dans celui de l’immigration dite « choisie » et non pas sans-frontiéristes (ce qui exclue la Nupes et Renaissance), les obtentions de droits de séjour pourraient être même accélérées au lieu de traîner sur des années (sans attendre la démagogie d’un Darmanin) si et seulement si les demandeurs réguliers étaient en mesure de travailler sur le champ dans les métiers dits « en tension » (aides ménagères, nettoyage, agriculture saisonnière, logistique — routiers… —, restauration, gardiennage, mais aussi informatique enseignement et santé), ou dans ceux qu’ils maîtrisent déjà ; tout en sachant cependant que si au bout de cinq ans la nationalité française n’est pas demandée le retour aux frontières serait exigé. Car on ne peut plus se permettre de rester en France dans la mentalité du « bled » propulsant des « codes » antinomiques avec ceux forgés en France, en Europe ou acquis civilisationnels synthétisés en « art de vivre », par des décennies de luttes culturelles et d’affinements spirituels.

    Cela permettrait d’ailleurs de répondre à deux objections :

    • a) vu l’état actuel du marché du travail (inadéquation entre offre et demande non pourvues en permanence. Un exemple : l’Occitanie) et sa protection sociale très coûteuse (voir plus loin) autant permettre à ceux qui acceptent ce « compromis historique » d’avoir des papiers rapidement ;
    • b) aucune condamnation ne doit être cependant comptabilisée lors de ce laps de temps.

  • 2) À l’opposé, dans le camp du « non » qui envisage donc une immigration zéro, il lui faut dans ce cas penser à la manière de répondre aux demandes des métiers dits « sous tension », et ce déjà en sachant qu’ils devraient être bien mieux rémunérés afin d’éviter justement d’avoir recours à une telle immigration. Sauf que cela impliquerait au préalable que l’on revoit la question, non seulement des impôts de production, mais aussi — en particulier pour les artisans — du poids des cotisations sociales afin que la réduction des coûts d’un côté puisse permettre d’augmenter le salaire net de l’autre et donc de rendre plus attrayant le métier couplé à une formation afin que l’ascenseur social puisse permettre une élévation statutaire permanente au lieu de rester smicards à vie comme le désirent au fond la Nupes et Renaissance. Un fonds commun de solidarité des professions concernées pourrait par ailleurs voir le jour afin de prendre en charge le différentiel de cotisations sociales entre petites moyennes et grandes entreprises, mais ceci cependant ne peut être que partiel, car quand bien même il y aurait un tel « bouclier », ces cotisations devraient être assises de façon durable sur une assiette financière bien plus large que les seules cotisations par répartition ou sur l’impôt hyper progressif généralisé (une CSG en hausse permanente, même mieux répartie comme le propose Piketty de la Nupes) du moins si l’on veut comprimer le poids des cotisations pour augmenter le salaire net, sans pour autant augmenter les impôts ni le prix de vente ni diminuer la qualité des services sociaux….

Comment faire ?… Car penser taxer les « super profits » et ratiboiser les « riches » (ou les exterminer) ne serait qu’un fusil à deux coups comme on l’a vu naguère en Russie, aujourd’hui au Venezuela, Mozambique (avec l’explosion des mafias), et ce surtout si l’implosion de la structure économique liée à une globalisation affairiste, et la transformation bureaucratique des racines politiques et sociales (empilement des strates décisionnels, surplace étatique) ne permettent pas à la base de rendre les conditions préalables du redressement plus pérennes…

C’est d’ailleurs là le malheur de la Cotisation sociale à la française qui s’avère être bien plus chère que la moyenne, car entre payer par exemple trois cents à sept cents euros par mois selon la ventilation moyenne des salaires, ce qui est le système actuel, et allouer à l’opposé une somme bien moindre à la même couverture sociale, mais « nourrie » quotidiennement par des intérêts actionnariaux, et ce sans dégradation de la qualité de prestation, il y a bien là une nette différence effective. Et celle-ci, contrairement aux légendes urbaines, n’implique pas que l’on soit moins bien « couvert » en Suisse, voire aux USA, même si l’on travaille plus longtemps, car les fameuses « franchises » que l’on critique afin d’expliquer à l’opposé que cela ne coûte « rien » lorsque l’on va à l’hôpital en France, cette comparaison oublie que ce « rien » coûte des centaines d’euros par mois sans parler de l’impôt pris à la « source ». De plus ces « franchises » si décriées (hors mutuelles d’entreprise) sont en réalité bien plus soutenables lorsque l’on a moins de soixante ans puisque les passages à l’hôpital sont plus rares (sauf aujourd’hui avec l’augmentation de la mort subite de l’adulte).

En fait, et toujours dans le cadre de cette hypothèse qui suppose une immigration zéro impliquant que l’on paye bien mieux les métiers à « tension », mais que, dans ce cas, l’on ventilerait autrement les coûts de revient en matière de cotisations sociales, il s’avère que la réponse pauvrement comptable des faux libéraux au Pouvoir ne va même pas dans cette direction d’une « privatisation » participative en fait via des fonds de pension à la française (intégrant un fonds commun de garantie pour les soins lourds par exemple). En effet, l’équipe au Pouvoir ne fait que réduire les dépenses d’investissement de santé du quotidien, tout en dépensant dans des achats affairistes comme ceux liés à la vraie-fausse injection anti-Covid19, ou alors en privatisant, mais de façon restreinte au bénéfice de quelques groupes étrangers « amis » (puisque les fonds de pension français n’existent pas). On fait par exemple des gorges chaudes sur le méchant BlackRock tout en refusant d’asseoir les cotisations sociales sur une capitalisation à large échelle, alors que la gestion de fonds de pension à la française — qu’un Charles Gave et un Olivier Delamarche se feraient forts de faire fonctionner à merveille — permettrait d’élargir l’assiette et donc de réduire les coûts d’un côté tout en augmentant le salaire net de l’autre, du moins s’il n’y avait pas à gauche comme à droite (extrêmes compris) une incompréhension totale du rôle positif de la capitalisation pour l’actionnariat populaire comme d’ailleurs pour celui du salaire complet (avec un filet de sécurité pour les plus démunis).

Certes, s’il n’y avait pas autant de gabegie au sein d’une situation internationale de plus en plus délétère scandée par la stagflation et la guerre d’usure contre « l’autre monde » composé de tous ceux, aussi disparates et ennemis soient-ils, qui refusent le diktat de l’Empire du faux (universel dévoyé, science manipulée, solidarité confisquée), la France pourrait avoir plus de marge de manœuvre, quitte même à combiner les deux opposés au sens de promouvoir d’abord un moratoire sur l’immigration, validé par référendum, le temps de remettre les compteurs de la nation à zéro, de mettre à niveau tous les secteurs défaillants pour ensuite opérer à une immigration « choisie » s’il y a lieu…

En fait, si l’on n’opère ni l’un ni l’autre, ni complète ouverture, les sans papiers le restant des années sans être reconduits, ou l’immobilisme délétère, sans pour autant s’attaquer aux racines du mal, à savoir le coût trop important des cotisations sociales qui grève le salaire net, décourageant l’emploi (en particulier dans les métiers difficiles), cela veut dire qu’il existe en sourdine la volonté de faire rentrer massivement une immigration non contrôlée, mais proviendrait bien moins d’une demande économique que politique. Car l’on peut fort bien réformer l’assiette des cotisations, voire opérer une politique « gaullienne » de la chaise vide dans l’UE (au-delà de savoir s’il faut la quitter ou pas, un « Frexit » prendrait plusieurs années de toute façon), voire au sein de l’OMC (de l’OMS aussi, de l’ONU enfin…) afin de peser sur les dumpings sociaux, hors de l’UE, mais aussi en son sein (jeu inégal de l’Allemagne avec la Pologne et les pays baltes, refus des deux premiers pays d’acheter français en matière d’armements et de nucléaire, la Hongrie préférant s’équiper en Russie…)

Au fond, l’on voit bien que vis-à-vis de l’immigration s’opère plutôt une politique à la fois politicienne électoraliste et idéologique en se servant d’elle non plus comme armée de réserve économique, puisque la législation empêche d’employer des personnes sans papiers, mais plutôt force de frappe idéologique et culturelle pour pousser à la fragmentation accélérée des acquis civilisationnels, quitte à ce que cette armée de réserve soit elle-même plus tard démantelée à moins qu’elle ne se révolte, manipulée par d’autres forces hostiles à ce que désire la Secte au pouvoir…

En tout cas, si Bardella veut redresser le pays il faudra qu’il séduise ces abstentionnistes qui ne sont à l’évidence guère enthousiasmés par les solutions pour l’instant sur la table… Le débat sur l’immigration révéle l’état délétère de tout le système politique, économique, intellectuel, spirituel du pays plutôt qu’être sa cause première…




Le Tétralogue — Roman — Chapitre 12

[Voir :
Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 7
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 8
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 9
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 10
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 11]

Par Joseph Stroberg

​12 — Casse-tête

Dès que les trois compères eurent fini de se ravitailler, Tulvarn s’adressa aux deux autres :

— Bien, êtes-vous prêts pour la suite ?

— Tout dépend de ce qu’est la suite, répondit Gnomil sur un ton légèrement espiègle ? S’il s’agit de faire de cet endroit notre nouvelle demeure, je suis d’accord. Regardez, il y a tout ce qu’il faut : du bois, des matériaux divers, des rochers — il n’y a qu’à creuser un peu — et tous les outils nécessaires !

— Il serait au moins difficile de nous y laisser surprendre, tellement elle serait peu aisée d’accès, ajouta Reevirn en souriant.

— Oui, enfin, étant donnée la taille plutôt réduite de la surface disponible, notre maison serait tout juste assez grande pour un petit dortoir de trois personnes, rétorqua Tulvarn un peu plus sérieusement. Et je vous préviens, il paraît que je fais pas mal de bruit en dormant.

— Ah, vous faites partie des « bruiseux » de nuit, demanda le voleur dont le sommeil était quelque peu délicat ?

— Il semble bien, oui.

— Bon, mettons que je n’ai pas parlé de construction. Voyons donc ce que nous pouvons faire maintenant pour passer sur un prochain pilier !

— Eh bien, il va peut-être falloir que nous parlions quand même de construction, intervint le chasseur, même s’il ne s’agit pas d’une habitation. Je ne sais pas si vous avez vu, mais les rondins ne sont pas assez longs pour nous permettre d’atteindre le plus proche des piliers.

— Ouais, j’ai remarqué aussi, reconnut Gnomil. Il faudrait mettre deux longs rondins bout à bout pour avoir une longueur suffisante. Et il en faudrait au moins un troisième pour le lier, ceci en utilisant la seule corde disponible. Je ne vois rien d’autre ici qui permettrait de les attacher ensemble. Peut-être y aurait-il un moyen avec ces poudres de fabriquer une colle très résistante, mais je ne suis pas alchimiste et nous n’avons pas d’eau ici. Ce serait sans doute nécessaire d’en avoir.

— Il y a peut-être de l’eau sur le plateau des plantes, car il faut sans doute leur en fournir de temps en temps, intervint Tulvarn. Elles ont l’air en bonne santé. Cela signifie que quelqu’un ou quelque chose passe au moins occasionnellement pour les arroser. Mais pour les rejoindre, il nous faut d’abord construire un pont ou découvrir un autre moyen.

— C’est le serpent qui se mange la queue ! Nous aurions besoin d’eau pour faire la colle permettant de fabriquer le pont de bois, mais l’eau est à un autre endroit, accessible seulement après avoir fabriqué celui-ci ! Heureusement que nous avons de la corde et pouvons tenter de lier les rondins par ce moyen ! D’un autre côté, nous allons devoir la sacrifier pour la couper en plusieurs morceaux. Nous pourrons ainsi lier solidement plusieurs rondins et fabriquer un pont capable de supporter un lourd moine et ses quatre sacs.

— Comment ça, un lourd moine ? Je ne suis pas plus gros qu’un Vélien moyen ! Bien sûr, en comparaison de ton squelette de natchinn [un insecte local buveur de sang vélien]…

— Si je puis me permettre, interrompit Reevirn, le pont n’aurait pas besoin de supporter tout ce poids. Tulvarn pourrait marcher dessus à vide. Puis nous pourrions lui lancer les sacs un à un.

— Très juste, confirma le moine ! Eh bien, nous ferions bien de nous mettre au travail, conclut-il avant de s’approcher des rondins.

Les trois Véliens passèrent le quartier suivant à confectionner un assemblage de bois qui en d’autres lieux aurait presque pu servir de radeau, un de forme cependant particulièrement allongée. La largeur du pont de fortune équivalait en effet à moins de la moitié de la hauteur d’un Vélien, tandis que la longueur dépassait six fois leur taille. Pour l’instant, il était posé sur le sol, dans la partie du plateau dégagée à cet effet. Tous les rondins et les morceaux de corde avaient été utilisés. Pas un de plus, et pas un de moins ! Ça leur parut plutôt étonnant. Ils poursuivirent néanmoins leur travail en déplaçant péniblement l’enclume près du bord, du côté du pilier aux végétaux. Celui-ci se trouvait sur la droite et plus loin de la berge. Leur étonnement s’accrut lorsqu’après de gros efforts, ils parvinrent à lever verticalement l’ouvrage de bois avant de le faire basculer entre son appui contre l’enclume et le plateau visé. Ce qu’il y avait de remarquable était qu’ainsi posé de manière inclinée, le pont avait exactement la bonne dimension ! L’enclume, suffisamment lourde, permettait de caler l’ouvrage pour lui éviter de glisser. Et la longueur leur permettait tout juste de monter un à la fois sur le nouveau pilier ! Par contre, ils n’avaient pour l’instant utilisé aucun des tas de poudres.

Alors que le chasseur montait lentement sur l’assemblage pentu, suivi ensuite du voleur, plusieurs questions taraudaient l’esprit des trois compères. Est-ce que les poudres devraient être utilisées plus tard ? Ou bien représentaient-elles un leurre ? Comment se faisait-il que ceux qui avaient installé tout ce matériel sur les piliers rocheux n’avaient pas laissé sur place ce qui leur avait permis de le faire, surtout s’ils devaient régulièrement apporter de l’eau aux plantes ? Pourquoi avaient-ils réalisé cela ? Était-ce une forme de test ? À qui était-il dans ce cas destiné ? Il leur aurait été plus simple de construire quelque chose de plus définitif et de l’y conserver que de s’amuser à ce genre d’entreprise.

Lorsque Reevirn et Gnomil se retrouvèrent tous les deux sur le nouveau pilier, Tulvarn leur lança un par un tous les sacs, à charge pour eux de les récupérer intacts sans les laisser tomber, puis de les déposer sur le sol. L’opération ne dura que quelques instants et se déroula sans incident. Le moine put alors reprendre son souffle avant de rejoindre ses collègues.

Le pilier sur lequel ils se trouvaient maintenant ne contenait que des plantes en pot, mais aucune trace d’eau. Les végétaux n’en manquaient pourtant pas, car ils se portaient bien et plusieurs étaient dotés de fruits arrivés à maturité. Apparemment la seule fonction de l’endroit était de servir de ressource alimentaire végétale. Peut-être une partie au moins devrait-elle être utilisée pour les besoins des animaux en cage présents sur le pilier voisin. Ils apercevaient mieux celui-ci maintenant, d’autant mieux qu’il se trouvait très près d’eux, séparé de seulement deux pas. Par contre, il était plus élevé d’une hauteur de Vélien et demi. Pour autant, ce ne serait pas un gros problème d’y sauter, au moins pour deux d’entre eux. Tulvarn pouvait les propulser de ses mains. Avant de tenter l’exercice, ils décidèrent de manger quelques-uns des fruits qu’ils savaient comestibles et d’en ramasser d’autres pour combler ce qu’ils avaient pris dans leur sac lors de leurs repas précédents.

Lorsque le trio fut suffisamment ravitaillé, Tulvarn aida comme envisagé ses deux comparses à atteindre le plateau des cages animalières. Celui-ci se trouvait en direction de la berge opposée et les en rapprocherait de manière notable, puisqu’il se trouvait approximativement au milieu de la rivière. Il leur resterait ensuite deux ou trois piliers à atteindre. Ils ne savaient pas encore lesquels seraient les plus faciles d’accès. Les autres colonnes rocheuses étaient trop éloignées à leurs yeux pour leur paraître utilisables.

C’était maintenant le tour du moine. Mais lui ne disposait pas d’aide. Cependant, étant donnée la relative proximité du pilier, il n’eut aucun mal à sauter pour en atteindre le bord avec ses mains, puis s’y hisser. Par contre, s’il avait manqué son coup, il serait tombé d’une bonne hauteur, équivalente à trois ou quatre fois la taille d’un Vélien. Il se serait alors enfoncé assez profondément dans l’eau. Il n’aurait ensuite pas manqué d’être entraîné bien loin de ses camarades et aurait risqué de se noyer à cause de la force du courant et des nombreux tourbillons.

Les oiseaux, rongeurs et autres petits animaux divers maintenus en cage semblaient en très bonne santé, ce qui tendait à démontrer qu’ils devaient avoir été nourris régulièrement. Néanmoins, les trois compères passèrent les deux heures suivantes à faire la navette entre le plateau des plantes et celui des animaux afin d’apporter suffisamment de nourriture à ces derniers pour qu’ils puissent survivre deux jours de plus. Cela les retardait d’autant dans leur recherche de la Vélienne survivante, mais ils se seraient sentis mal de laisser les animaux mourir de faim. Ils ne s’autorisèrent cependant pas à les libérer, car ils ignoraient s’ils étaient nés ou non en captivité et dans ce dernier cas, les libérer pouvait signifier pour eux une mort certaine au cours des prochaines journées. Il était très rare sur Veguil de voir des animaux en cage, ce qui rendait l’endroit encore plus étonnant. Ceci ne faisait qu’ajouter à leurs nombreuses interrogations.

Le pilier suivant le plus proche était totalement hors de portée et le trio cogitait durement pour trouver une solution. C’est à ce moment-là que Tulvarn se réveilla et réalisa qu’il ne s’agissait que d’un rêve ! Il s’était assoupi puis profondément endormi à côté de ses compagnons lors d’une halte sous un grand arbre. Ceux-ci continuaient visiblement à dormir. Il en profita pour s’interroger sur la signification de ce rêve. Celui-ci était tellement réaliste qu’il s’en remémorait les moindres détails. Avait-il un rapport avec celui qui l’avait lancé dans cette aventure ? Ce qui y dominait était cette notion de besoins et de ressources, comme s’il devait en comprendre la nécessité de trouver des ressources adaptées à ses besoins, ou comme si son groupe d’aventuriers devait toujours trouver et mettre en commun ses ressources pour combler ses différents besoins. Ils avaient jusqu’à maintenant fonctionné de cette manière. Le message devait donc avoir une portée plus vaste. En y réfléchissant davantage, il réalisa que sans ressources suffisantes, notamment alimentaires, un Vélien pouvait aussi sûrement mourir qu’une plante en pot ou qu’un animal en cage. Mais ceci pouvait s’étendre à un groupe, et même à une civilisation entière ! Veguil avait la chance de disposer de suffisamment de ressources minérales, végétales et animales, compte tenu d’une relativement faible population humanoïde. Sa civilisation artisanale avait ainsi survécu même à la disparition de l’Empire zénovien. Alors que ce dernier s’était lui-même effondré ! Qu’est-ce qui avait pu causer cet effondrement ? Un manque d’une ou plusieurs ressources ? Si oui, de quelle nature ? Existait-il des besoins autres que minéraux, végétaux, animaux, et même humanoïdes ? À y bien réfléchir, oui ! Il existait au moins des besoins énergétiques, notamment pour les vaisseaux et machines qu’avait utilisés l’Empire. D’autres encore ? Des besoins intellectuels ou mentaux, probablement, pour assurer notamment la maintenance, la réparation et la création de ces mêmes vaisseaux et machines. Était-ce tout ?…

En creusant davantage, il découvrit qu’un individu ou une civilisation pouvait aussi avoir des besoins créateurs, mais bien sûr aussi des besoins procréateurs, pour se perpétuer. Les deux pouvaient aussi avoir des besoins de nature psychologique, comme le besoin de se regrouper, par exemple pour se sentir plus forts, plus rassurés, plus protégés… Sur Veguil un tel besoin était pratiquement absent. Les ressources de base ayant toujours été suffisantes, aucune nécessité de cet ordre ne s’était inscrite à la longue dans les gènes de la race vélienne. Aussi, si les Véliens avaient des besoins d’ordre psychologique, ils étaient autres. Il lui restait à déterminer plus précisément lesquels. En attendant, il lui paraissait finalement plus évident que les Véliens avaient aussi des besoins d’ordre spirituel et que les moines représentaient des ressources permettant de les combler. Les mages semblaient eux plus propices à remplir les besoins d’ordres psychique et parapsychique. Il existait peut-être ou sans doute d’autres types de besoins, mais pour l’instant Tulvarn ne les connaissait pas.

Tulvarn ignorait également les détails de l’histoire zénovienne et ne pouvait connaître les causes de l’effondrement de l’Empire. Il aurait alors su que celui-ci s’était effondré par une conjugaison de déséquilibres prononcés entre ses besoins et les ressources dont il disposait. Le principal besoin pour cet empire avait été le maintien de sa cohésion, de son homogénéité, de son ordre. Plus il avait absorbé de systèmes solaires et de planètes, et plus l’exercice d’un tel maintien était devenu difficile en raison même de la disparité des mondes et des civilisations absorbés. Plus un empire cherchait à contrôler son domaine et ses ressources par la centralisation hiérarchique, à uniformiser et normaliser ses lois, règlements, modes de fonctionnement…, et plus, du même coup, il devait faire face à une pression croissante opposée de la part de ses diverses civilisations composantes. En effet, un des besoins fondamentaux des individus et des groupes de tailles diverses était souvent celui d’autonomie, de souveraineté, de liberté…, même si certains pouvaient avoir au moins momentanément des besoins contraires, comme celui de s’en remettre à d’autres par manque de confiance ou de force, ou par recherche excessive de sécurité, au détriment de leur liberté. Donc, un Empire coercitif devait faire face à la pression croissante, à la montée de température de ses atomes constitutifs épris de liberté. Celle-ci ne se bornait d’ailleurs pas seulement à la liberté d’action et de décision, mais aussi à celle de s’exprimer et de penser. Or, l’Empire zénovien avait tant voulu tout diriger et tout contrôler qu’il avait fini par étouffer la créativité, l’originalité, les ressources mentales, psychologiques, psychiques et spirituelles… Toutes ces ressources, pour survivre et pour répondre à leurs propres besoins civilisationnels, n’eurent d’autre choix que de se tourner contre l’Empire. Ainsi l’on vit progressivement une montée des tensions, des troubles et des révoltes se répandre sur toute la vaste étendue des possessions impériales, sur des millions de systèmes solaires, sur des milliards de planètes, de planétoïdes, de satellites naturels et artificiels, de concessions minières… Les ressources dont pouvait jouir l’Empire finirent par se retourner contre lui et par le désintégrer, celui-ci revenant à un état de poudre éparpillée, constituée par ses myriades de civilisations constitutives. L’Empire avait tenté d’être un cube solide. Il s’était retrouvé ramené à un tas de poussière irisée. Nul système cohérent, nulle république, nulle synarchie, nul gouvernement central n’avaient remplacé le mort. En mourant, il avait simplement redonné sa pleine vitalité à ce qu’il avait bien trop étouffé. Des centaines de millions de planètes avaient ainsi retrouvé leur liberté.

S’il ignorait les causes réelles de la mort de l’Empire zénovien, Tulvarn se mit néanmoins à comparer celui-ci au corps d’un Vélien. Il imagina l’état de l’empire zénovien juste avant son effondrement comme ce qui risquait de se passer si la conscience d’un individu cherchait à contrôler directement la circulation sanguine, les échanges cellulaires, les influx nerveux, l’apport nutritionnel à chaque organe… sans réellement tenir compte des besoins de chacune des composantes d’un tel organisme complexe. Lorsqu’il n’y avait pas adéquation entre ressources et besoins, le corps mourait. Un manque d’eau, et la mort intervenait au bout de quelques cycles seulement. Un manque de nourriture, et elle intervenait après quelques dizaines de cycles. Un manque d’un nutriment particulier essentiel pouvait éventuellement demander plus longtemps, après de probables souffrances croissantes. Inversement, fournir des ressources en trop grande quantité ou de manière inappropriée représentait une forme d’empoisonnement. Le corps vélien pouvait même mourir s’il absorbait trop d’eau ! Celui-ci fonctionnait par contre très bien par lui-même s’il recevait régulièrement et modérément les ressources adéquates. Les seules décisions vitales à prendre par la conscience centrale étaient celle d’absorber adéquatement les ressources, celle d’éliminer les déchets, celle d’un repos régulier suffisant, et celle de rechercher un environnement compatible avec sa biologie. En général, la conscience n’avait même pas besoin de s’occuper de la respiration. Ceci était accompli automatiquement par l’organisme, au même titre que la circulation sanguine et de nombreuses autres fonctions biologiques. Par analogie, l’immense corps galactique que pouvait représenter la zone occupée anciennement par l’empire zénovien n’avait pas besoin de l’existence d’un pouvoir coercitif central pour vivre et échanger de manière harmonieuse.

Tulvarn commençait à entrevoir la clef de la vitalité, et donc de la survie, autant des individus que des civilisations. Il s’agissait d’un équilibre délicat entre les besoins et les ressources qui pouvaient les combler. Supprimer l’une des ressources et l’effondrement s’en suivait à plus ou moins brève échéance. En absorber une empoisonnée ou en trop grande quantité pouvait aussi conduire à la mort. En dehors de ces faits, il n’y avait aucune règle particulière, aucun ordre précis dans la déchéance, la dégradation, la décomposition d’un corps ou d’une civilisation. Un composant ou un organe pouvait être touché en premier plutôt qu’un autre, simplement en fonction de sa nature et des ressources nécessaires à sa survie. Et la mort d’un composant vital entraînait celle du corps tout entier.

S’il voulait mener à bien sa quête, il faudrait donc que Tulvarn garde cette découverte présente dans son esprit et dans son être. Il ne devrait notamment pas adopter d’attitude dirigiste envers ses compagnons de route, mais leur laisser toujours le choix. Leur groupe serait d’autant plus efficace qu’il saurait fonctionner en synergie, tirant ainsi mieux parti du potentiel de chacun de ses membres. S’il représentait ici la conscience centrale, du fait d’avoir initié cette quête particulière et d’en être par conséquent l’âme, il pensait devoir néanmoins laisser chaque organe libre d’accomplir son propre rôle, d’une manière si possible aussi automatique que celle qui avait cours pour ceux de son corps. Aurait-il l’intelligence et la sagesse d’y parvenir ? Il l’ignorait, mais l’espérait.

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 13)




La virologie : pseudoscience au service de la domination

[Source : unpeudairfrais.org]

Par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.

La société du spectacle, Guy Debord, 1967

Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : 

fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.

Commentaires sur la société du spectacle, Guy Debord, 1988

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium(([1] « Des composés métalliques toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins contre la COVID analysés par des scientifiques allemands », 25/08/2022, The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/des-composes-metalliques-toxiques-ont-ete-trouves-dans-tous-les-echantillons-de-vaccins-contre-la-covid-analyses-par-des-scientifiques-allemands/?lang=fr)) ).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction) sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycles d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport(([2] « Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020 », 27/11/2020, https://cormandrostenreview.com/report/)) démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentées par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »(([3] « Le test PCR actuel a-t-il une utilité ? », décembre 2020, https://reinfocovid.fr/science/utilite-test-pcr-actuel/))

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés(([4] « Y a-t-il eu un déferlement de malades ? », 3e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-un-d%C3%A9ferlement-de-malades:e)).

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA(([5] https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/)). Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.



Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publique au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement/la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elles n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient(([6] https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/, lire également cet interview https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/)).

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du ”SARS-COV-2” ? Alors, empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 million d’euros »(([7] https://samueleckert.net/isolate-truth-fund/ site censuré par Google mais pas par duckduckgo.com, idem pour les sites des docteurs en médecine Andrew Kaufman et Tom Cowan)).

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréennes, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres(([8] https://unpeudairfrais.org/declaration-sur-lisolement-des-virus-par-morell-cowan-et-kaufman/https://unpeudairfrais.org/ressources-sur-linexistence-des-virus/)).

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020(([9] https://cv19.fr/2021/10/15/candidat-italien-au-prix-nobel-il-nest-pas-sur-que-ce-virus-existe/)) :

« La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus » ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultracentrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire. »(([10] Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/)).

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boîte de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus SRAS-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir(([11] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916#animatedModal)).

Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman(([12] Andrew Kaufman — Red Pill Expo — June 2021, https://odysee.com/@Scamdemic:7/Andrew-Kaufman-Red-Pill-Expo-2021)) qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature(([13] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3)).

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture(([14] Stefan Lanka: « Virus, It’s Time To Go. », https://odysee.com/@Hmanpro:e/Time_To_Go:b, L’enterrement de la théorie virale par Joseph Stroberg, https://cv19.fr/2022/02/03/lenterrement-de-la-theorie-virale/)).

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faite par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022(([15] https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate/)). Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant(([16] Le mythe de la contamination épidémique, 5e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/le-mythe-de-la-contamination:e. Voir également sur la contagion interhumaine : Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine, https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)).

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus(([17] Jaafar et al. 2021, Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates, https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603)). Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dits « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne disent rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des » variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2 » récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus]

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de l’histoire de France(([18] « Y a-t-il eu une hécatombe quelque part ? », 1er épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-une-h%C3%A9catombe-quelque-part:5)). Il n’y a pas eu de saturation hospitalière(([19] « Y a t il eu la saturation hospitalière annoncée ? », 2e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-la-saturation-hospitali%C3%A8re:0)), mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre(([20] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude, 4e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/la-bureaucratie-sanitaire-au-centre-de:e)).

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril(([21] « Morts sous protection sanitaire », 6e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/morts-sous-protection-sanitaire:e)).

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au « virus » qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques, dont la 5G(([22] Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)). D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G(([23] voir le livre de Tom Cowan à partir de la page 21, https://unpeudairfrais.org/wp-content/uploads/2022/06/Le-mythe-de-la-contagion-Tom-Cowan.pdf)).

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Paquet d’ondes radio
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5Ghttps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? La recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un » virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres » virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité(([24] Gain-of-Function Research: Ethical Analysis, Selgelid 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996883/.)).

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan(([25] https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php)).

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont faits l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction »(([26] https://thehighwire.com/videos/the-investigation-into-covid-19s-origin-takes-new-twist/https://thehighwire.com/videos/shocking-gain-of-function-admission-by-faucis-nih/)).

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense(([27] https://childrenshealthdefense.org/defender/documents-reveal-disturbing-details-gain-of-function-experiments/)), et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous nous ne prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre(([28] https://viroliegy.com/2022/10/24/its-gain-of-fiction-story-time-with-rfk-jr-and-friends/)). Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne — 1604-1605 — Le Dominiquin.

Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.





FAUT-IL PASSER L’ÉPONGE ?

[Source : partipopulaireducanada.ca]

Par Maxime Bernier

On entend de plus en plus de gens demander une « amnistie pandémique ».

Ils veulent se faire pardonner pour les actions malencontreuses des gouvernements et des autorités de santé publique pendant la pandémie.

Ils veulent être pardonnés pour avoir gardé nos écoles fermées trop longtemps…

… pour avoir exigé des masques ou des passeports covid qui ne font rien pour empêcher la propagation du virus.

… pour avoir censuré quiconque avait une opinion différente.

… pour avoir fait perdre à des gens leur emploi et leur petite entreprise.

… pour avoir diabolisé les dissidents.

… pour nous avoir obligés à recevoir des injections dont ils savent maintenant qu’elles ne sont pas efficaces.

… pour avoir provoqué des divisions entre les familles et les amis.

… pour avoir provoqué une explosion de la dette publique et de l’inflation.

Après tout ce qu’ils nous ont fait, ils réalisent maintenant qu’ils ont tout gâché et veulent balayer tout ça sous le tapis et passer à autre chose!

Ils prétendent qu’ils ne pouvaient pas savoir !

Vous et moi savons pourtant depuis longtemps que ces mesures autoritaires généralisées étaient inutiles.

Qu’elles faisaient plus de mal que de bien.

J’ai commencé à dénoncer ces absurdités dès le printemps 2020.

J’ai été étiqueté comme fou. Anti-science. Complotiste.

Tout ça parce que je préconisais des solutions qui sont maintenant acceptées!

Oubliez tout ça ! Passez à autre chose ! Nous faisons tous des erreurs !

Je ne suis pas prêt à pardonner et à oublier.

Non, je vais continuer à me battre chaque jour pour que le gouvernement, les médias et les responsables de la santé publique soient tenus responsables de ce qu’ils nous ont fait subir.


[Note de Joseph :
l’oubli est une chose que la raison évite lorsqu’elle veut tirer les leçons de l’Histoire ;
cependant, le pardon est un choix qui permet de soigner plus rapidement les blessures — le cœur en est l’émetteur.]




Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Attention aux accusations de dérives sectaires contre les éveillés : la menace de la Miviludes

Par Nicole Delépine

De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2

J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !

Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.

Il est urgent d’informer tout le monde de cette nouvelle dérive du pouvoir, jeunes y compris qui doivent sortir de leur isolement transitoirement protecteur, et de s’opposer de toutes nos forces au système de délation digne des régimes de Vichy, de l’Union soviétique ou le nazi. Relisons Orwell et battons-nous.

Si nous alertons suffisamment contre cette nouvelle attaque de la liberté d’expression, ils reculeront d’autant plus que la Miviludes s’est souvent fait critiquer, a été parfois condamnée en justice et ne jouit pas d’une bonne réputation.



RETOUR SUR SCÈNE DE LA MIVILUDES

La MIVILUDES est la « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ? En clair c’est donc une arme du pouvoir exécutif pour imposer ses choix contre ses opposants.

L’argument d’urgence serait l’augmentation des signalements :

« les confinements répétés et l’angoisse du décompte des morts ont perturbé de nombreux Français. Pour le plus grand bonheur de personnes malintentionnées. En 2021, les saisines de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) ont atteint des sommets. Elles se dénombrent à 4 020 ».3

Notons que vu le nombre de personnes affectées profondément par ces confinements absurdes et injustifiés4, le sommet n’est pas l’Everest dans un pays de 67 millions d’habitants et l’explosion fait pschitt…

Le journal 20 MN ose écrire :

« La pandémie a charrié dans son sillage son lot de complotistes et d’antivax. Un terreau fertile pour le développement de solutions alternatives » qui n’ont aucun fondement scientifique ».

Nous espérons pour eux qu’ils sont bien payés pour tous répéter le même crédo. N’ont-ils pas appris à lire les publications des agences officielles de la FDA, de la MHRA ou de l’EMA qui additionnent plus de 70 000 morts reconnus liés aux injections expérimentales pour une pseudo grippe qui tue en 32 mois a tué moins de 0,000 825 de la population mondiale et essentiellement les personnes âgées dans les pays les plus vaccinés.

Combien de ces donneurs d’alerte sont-ils traités d’« antivax », alors qu’ils sont seulement dubitatifs envers ces injections expérimentales qui ne sont pas des vaccins, et même parfois très provax (comme le Pr Perronne) ont-ils sauvé de vies en les faisant échapper à ces toxiques ? Évidemment le projet des sept milliards d’injectés en a pris un coup et les fidèles de Schwab tentent d’y remédier. Trop tard ! Et comme disait notre avant-dernier prix Nobel de médecine (2008) le Pr Montagnier, les non injectés sauveront l’Humanité.

« Sonia Backès, secrétaire d’État en charge de la citoyenneté, annonce que le gouvernement va organiser des “assises des dérives sectaires et du complotisme”. Objectif : améliorer les signalements à la Miviludes du voisin, du collègue de travail, etc. qui sombrerait dans ces dérives sectaires ou le complotisme…

Nous voilà dans l’ordre moral et politique, dans le contrôle de tous par tous, dans le retour de l’inquisition, dans un fascisme qui ne dit pas son nom »5.

Orwell était visionnaire et les évadés des régimes des pays de l’Est tremblent…

Mme Backès essaie-t-elle de régler ses problèmes personnels, puisqu’elle rappelle candidement que sa mère était membre de la scientologie.6 Trop proche des présumés coupables du futur de la dénonciation, elle devrait comme dans tout bon policier être éloignée de l’enquête pour absence d’objectivité liée à ses antécédents. Les dires de la secrétaire d’État sont particulièrement inquiétants, choquants :

« Dérives sectaires : les saisines de la Miviludes atteignent un nouveau record ! »

Au lendemain de la publication du rapport de la Miviludes, qui fait état de 4 020 signalements en 2021 (+33,6 % par rapport à 2020), S. Backès regrette que « tout ne soit pas signalé ». « Beaucoup de choses passent sous les radars, et on ne sait pas exactement combien de personnes sont réellement concernées » par les dérives sectaires, poursuit-elle. Le dernier chiffre connu date désormais de « quelques années » et fait état de « 500 000 personnes touchées », selon la secrétaire d’État.

« S. Backès s’est dite particulièrement inquiète des “dérives liées à la santé”. “On parle de gens qui se décrètent naturopathes et qui vendent des soins alternatifs aux soins traditionnels et vérifiés”.

Nous aussi sommes inquiets de la disparition de la médecine traditionnelle, individuelle et de la dictature des protocoles qui suppriment tout recours aux traitements éprouvés pour imposer des molécules chères, inefficaces et souvent toxiques. » 7

Il est bien triste que Mme Backès ne souligne pas le sectarisme des médias et du pouvoir qui ont vendu pour vérité révélée les mensonges du Lancet sur la chloroquine de mai 2020 dont l’auteur principal était une actrice porno reconvertie8 9 10. La démonstration du mensonge organisé sur lequel le ministre Véran s’était appuyé pour interdire la chloroquine n’a pas conduit ce dernier à supprimer son ukase mortifère.

Donc où sont les données « vérifiées » de la médecine traditionnelle devenue menteuse, trompeuse, manipulatrice et a de fait perdu la confiance des patients ? Justement les données officielles répandues sur les médias à longueur de journée sans avis contradictoire ne furent jamais vérifiées, telle la soi-disant contamination des grands-parents par les enfants, la soi-disant efficacité des pseudovax, etc. Les résultats affluent (y compris de Pfizer), qui démentent ce que le discours quotidien a martelé dans les têtes des téléspectateurs…

« “La difficulté survient lorsqu’il y a emprise mentale et mise en danger”, poursuit-elle, déplorant par ailleurs les conséquences financières liées à ces dérives. “Derrière, il y a incitation à acheter l’appareil qui fait des jus de légumes, puis la vidéo de ces gourous 2.0 finit par devenir payante”, précise S. Backès, dont la mère a appartenu à la secte de l’Église de la scientologie. “Je sais comment ça se passe, je sais comment on y rentre, je sais comment ils maintiennent les gens sous emprise et je sais toute la difficulté d’en sortir”, explique-t-elle… »

Oui, mais qui a eu emprise de fait sur des milliards de personnes dans le monde, manipulées par les gouvernements qui appliquent les recommandations de l’OMS ? 11 Oui, il y a eu manipulation, emprise, mais à grande échelle et avec des conséquences monstrueuses, au regard desquelles les appareils de jus de légumes sont peanuts. Au 2 novembre 2022, d’après l’OMS, 12 861 382 558 doses de vaccin ont été administrées pour un coût d’environ 250 milliards de dollars, sans effet bénéfique prouvé sur l’épidémie et associés à de très nombreux effets secondaires dont des décès et des handicaps durables, selon les données publiées par les agences officielles (VAERS pour la FDA, EudraVigilance pour l’EMA, MHRA pour les Anglais, etc..)

Qui regarde la lune et qui regarde le doigt qui la montre ?

Des Assises organisées début 2023

Dans ce contexte, des « Assises des dérives sectaires et du complotisme » seront organisées « début 2023 » autour des acteurs de la lutte contre ces phénomènes. Le but, précise Sonia Backès, c’est de réaliser « un état des lieux » et d’aboutir « à un plan d’action très clair ». Parmi les pistes envisagées, la secrétaire d’État dit vouloir simplifier les procédures de signalement, qui consistent actuellement à « remplir un formulaire sur le site de la Miviludes ». Si elle fait parallèlement l’état des lieux des résultats de la politique sanitaire, cela ne sera pas triste…

« Est-ce que c’est suffisant ? Je ne crois pas », ajoute-t-elle. « On a besoin d’une plus grande proximité, de sensibiliser les gens qui sont autour de nous, les gendarmes, les services de proximité pour signaler plus facilement », indique Sonia Backès, qui n’exclut pas de faire évoluer l’arsenal législatif autour des dérives sectaires.

C’est grave, car qui déciderait le cas échéant de définir un « avis » comme dérive sectaire ? Tous ceux qui ont dit que le confinement était inutile se sont révélés avoir eu raison, comme pour l’inefficacité des pseudovax et leurs dangers.12

De fait, nous sommes des milliers, voire des millions à pouvoir signaler à cette dame les énormes dérives sectaires des journaux, des médias et des politiques qui nous ont si bien manipulés que des milliards d’entre nous ont accepté la piqûre infernale, dont on ne connaît pas encore aujourd’hui la totalité des composants, ni la réelle finalité des piquouseurs. On pourrait l’informer déjà par plein de mails ou de lettres avant qu’elle ne coure le danger de séances publiques qui démontreront ces manipulations perverses que peut-être elle ignore.

Alors pourquoi cette réapparition brutale d’une instance contestée et quasiment disparue en octobre 2022 ?



La Miviludes, le complotisme et les dérives sectaires (référence à son rapport annuel 2021)

La Miviludes est-elle réellement indépendante ?

https://www.association-sante-naturelle.info/revelation-pourquoi-la-miviludes-sacharne-contre-la-sante-naturelle/

« LA MIVILUDES EST-ELLE INFORMÉE DE NOTRE PLAINTE QUI VISE LES DÉRIVES SECTAIRES “D’EN HAUT” ?

Est-ce que cela ne vaut que pour les “complotistes” (terme soudainement devenu à la mode, sur toutes les lèvres pour pouvoir discréditer ceux qui osent réfléchir) et non pas pour les comploteurs ? La pensée complexe est-elle désormais interdite ?

Puis ce serait bien entendu à cause des “complotistes” que la population présente un niveau de troubles dépressifs extrêmement élevé depuis le début de la crise, notamment de graves poussées suicidaires chez les jeunes.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont déclaré des confinements forcés pour toute la population. Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont forcé les enfants et les adultes à porter des masques, que même le COVARS a du mal à justifier aujourd’hui.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont refusé le soin et interdit les traitements efficaces.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont utilisé une politique de stigmatisation des non injectés pour forcer à se soumettre à une expérience médicale. Tout cela serait bien entendu l’œuvre des “complotistes”. »

L’inversion accusatoire est parfaitement pratiquée :

Putsch média se penche aussi sur cet inquiétant projet de la lutte contre « les dérives sectaires et le complotisme et ce plan d’action. Comment on agit ? »13 selon la secrétaire d’État

« Sonia Backes fait référence à deux choses qui semblent très distinctes. D’une part, l’emprise sectaire qui représente aujourd’hui, d’après la Secrétaire d’État, un enjeu majeur de santé publique et de lutte contre le séparatisme”.

D’autre part, il semble beaucoup plus difficile d’appréhender avec objectivité la notion de complotisme, arme fatale du gouvernement, et de certains grands médias et de sachants pour dénigrer de nombreux acteurs de la santé, de la société civile ainsi que certains médias indépendants, jugés complotistes pendant la crise sanitaire ».

Sonia Backes s’appuie sur ce rapport de la Miviludes 14pour lancer cette idée des « Assises des dérives sectaires et du complotisme ».

Pour le président de la Miviludes, Christian Gravel, le « complotisme » ressemble à cette novlangue qui veut sans l’avouer clairement accuser ceux qui ont dénoncé le caractère véritablement « sectaire » des décisions de l’OMS et le forum de Schwab, appliquées aveuglément par la France.

RESTER LIBRE EST UN CHOIX ET UN COMBAT DE TOUS LES INSTANTS

Notons que contrairement à ce qu’ont raconté tous les médias et trop de citoyens soumis, nous aurions pu, comme la Suède, garder notre liberté de penser et donc de choix et de résistance aux mesures délirantes, tels le confinement, la fermeture des écoles et le masque, et l’injection quasi forcée, et avec des résultats sanitaires meilleurs que les nôtres.

Le rapport de la Miviludes analyse donc la crise en ces termes :

« La crise sanitaire a constitué un catalyseur à travers une prolifération de nouveaux acteurs, plus discrets, maîtrisant le web et ses codes, sachant contrôler les esprits, en exploitant les peurs, la perte de repères, la recherche de solutions simples face à des questionnements existentiels, par définition complexes. Les délinquants experts en manipulation savent, pertinemment, instrumentaliser les vicissitudes de nos concitoyens. »

« la crise engendrée par la COVID-19 a déstabilisé de nombreuses personnes en perte de repères dans une société complexe, interconnectée où l’information côtoie la désinformation. La MIVILUDES s’est retrouvée confrontée à des saisines, reflet d’une véritable crise sociale teintée d’isolement, de questionnements, de colères et de craintes ».

L’opposition entre information et désinformation précise l’objectif de ce rapport15 : le complotisme, « notion voisine » du sectarisme. Ce rapport pointe les réseaux sociaux comme principaux accélérateurs de ces « dérives sectaires ».

LE COMPLOTISME VU PAR LA MIVILUDES

« Le complotisme est un mode de pensée antisystème qui s’appuie sur des arguments non falsifiables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent être ni prouvés ni récusés, ou sur une vérité partielle, soumise à une interprétation rationnelle, mais erronée (…) »

La revanche contre les élites comme argument de base !

« Les théories complotistes constituent un discours de revanche contre les élites et contre le système socio-économique dans lequel l’individu vit. Plus celui-ci est indigné de sa situation, plus il trouvera un écho à sa colère dans le complotisme. Si le système est perçu comme injuste, la théorie venant le discréditer sera accueillie positivement. Plus généralement, le manque de confiance dans les élites dirigeantes et le sentiment d’une prétendue opacité de la vie publique ébranlent fortement la confiance de l’individu envers les institutions. Celles-ci sont alors considérées comme immorales et illégitimes ».

Ainsi sans trembler semble-t-il, les rédacteurs de ce rapport nient tout simplement l’opacité de la vie publique, qualifiée de « prétendue » à l’heure où la confiance en les médias en France a chuté derrière des pays supposés dictatoriaux et que la censure est non seulement effective, mais revendiquée par les médias et les grands réseaux comme Facebook, twitter et YouTube.

Ce déni de réalité, caractéristique de la coupure entre pseudoélites au pouvoir, et le peuple est la base de la césure actuelle et de l’aveuglement des dirigeants, coupure illustrée par l’énorme taux d’abstention aux élections.

EN FAIT POUR LA MIVILUDES, LE COMPLOTISME C’EST REFUSER LES UKASES ET LES AFFIRMATIONS SANS PREUVE DU POUVOIR ET DE SES RELAIS.

Ce rapport ne trace aucune frontière bien définie entre la liberté de pensée et les dérives sectaires. Il fait bien le parallèle avec les reproches faits aux médecins poursuivis devant les conseils de l’ordre régionaux. Et les condamnations tombent comme celles du Dr Gayet radié16, et aussi celles des enseignants-chercheurs comme Vincent Pavan, auteur du livre passionnant et instructif, « le débat interdit »17, privé de salaire pendant un an par son université (entre autres nombreuses victimes).18

LA LIBERTÉ DE PENSER ET DE PARLER, D’INFORMER AU CŒUR DU DÉBAT19

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, l’article 9 de la convention européenne des droits de l’homme assurent de ces droits de base constitutionnels bafoués sans vergogne depuis bientôt trois ans. La liberté d’expression

fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelles découvertes scientifiques. Pour ces raisons la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

LA MILIVUDES A DE LOURDS ANTÉCÉDENTS

Rappelons quelques exemples :

UNE VICTOIRE DES KINÉSITHÉRAPEUTES EN 2017

« Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance (ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF) et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du guide “Santé et dérives sectaires” publié en 2012 par la MIVILUDES, la cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017 l’arrêt suivant : “Les informations concernant la fasciathérapie ne doivent plus figurer dans le guide ‘Santé et dérives sectaires’ publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (MIVILUDES) en avril 2012.”20 (…)

« La justice reconnaît ainsi clairement que la MIVILUDES a commis une erreur d’appréciation et de jugement concernant la fasciathérapie et qu’elle a ainsi porté atteinte aux praticiens exerçant cette approche. FasciaFrance se réjouit donc de cette décision qui rétablit l’honneur des centaines de professionnels de santé qui exercent quotidiennement la fasciathérapie dans le respect de leur métier et de la confiance des patients. »

UNE NOUVELLE CONDAMNATION DE LA MIVILUDES EN 2018 POUR SA PROPAGANDE CONTRE LA SANTÉ NATURELLE 21

Le 13 juillet 2018,La Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français, pour sa propagande contre la santé naturelle.

« En 2017, la Justice l’avait déjà condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie — une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes. Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la “médecine anthroposophique”… et mal lui en a pris ! Car cette médecine naturelle n’a rien de clandestine. Pratiquée par des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.

Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique. Contrairement à la médecine officielle, elle n’est pas purement “biomédicale”. Elle prend en compte toutes les dimensions de l’être humain : biologique, bien sûr, mais aussi psychologique et même spirituelle. Pour la Milivudes, cela suffit à la rendre suspecte… et à la classer dans sa liste officielle des thérapies “à risque de dérive sectaire”.

Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques “spirituelles” comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !

Car il est très important de connaître ses ennemis. Dans ma dernière lettre, je vous ai parlé des Big Business, ces multinationales qui contribuent à ruiner notre santé : Big Pharma, Big Agra, Big Food et Big Chemical. Mais ces Big Business ne pourraient rien sans de solides complicités chez les décideurs politiques et administratifs.

La Miviludes en est un cas d’école… tout simplement ahurissant. Le “naturel”, voilà l’ennemi de la Miviludes

Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier 2018 !

Tout ce qui est naturel peut cacher des dérives sectaires”. Voilà, mot pour mot, ce qu’a dit sur Europe 1 le précédent président de la Miviludes, George Fenech22. Au moins, les choses sont claires.

Voilà pourquoi la Miviludes qualifie de “méthode à risque de dérive sectaire” des pratiques comme :

L’EMDR, une technique psychologique validée scientifiquement par l’INSERM et recommandée par des grands médecins comme le regretté David Servan-Schreiber ;

La gemmothérapie, un remède traditionnel issu des “plantes médicinales” ;

La sophrologie, une simple méthode de relaxation ;

Et même la médecine ayurvédique, pratiquée en Inde depuis des millénaires et reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé pour ses bienfaits !

Et le plus révoltant, c’est l’aveuglement de la Miviludes face aux vraies menaces.

Les “salons zen” et les cours de yoga, voilà l’ennemi de la Miviludes

Voici le gros titre du journal Le Monde, le jour où la Miviludes a rendu son rapport :

La santé et le bien-être, des domaines particulièrement sujets au risque de dérives sectaires”. Dès l’introduction du rapport, le président Serge Blisko insiste sur “la nécessaire défense de la pensée rationnelle”, notamment face aux “dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs”.

J’ai lu le rapport en intégralité, et il contient un nombre de bêtises invraisemblable :

Ainsi, en lien avec la question de l’exploitation animale et du véganisme se développe une forme d’extrémisme, comme dans le domaine de l’écologie le mouvement de deep ecology, qui peuvent mettre en danger les adeptes et particulièrement les enfants.”

Attention donc, aux “écolo” et aux végans »… et attention aussi aux très dangereux « Salons ZEN » :

« La promotion des nouvelles pratiques alimentaires se fait largement par Internet et les réseaux sociaux, mais aussi dans les salons bio-zen. (…) Ces salons ouvrent aussi leur espace à de véritables charlatans et à des méthodes dangereuses pour la santé dès lors qu’elles sont mises en œuvre par des personnes qui n’ont pas de connaissances médicales sérieuses ».

Autre menace dans le viseur de la Miviludes, les psychothérapeutes (…).

Alors bien sûr, les charlatans et les gens sans scrupule, cela existe, dans la médecine naturelle comme ailleurs… mais cela n’en fait pas des dérives sectaires pour autant !

Pour la Miviludes, pourtant, même le yoga et de méditation sont terriblement suspects !

« Aujourd’hui, la mode pour la méditation et le yoga et la demande qu’elle crée s’élargit à de nouvelles catégories de personnes, ouvrant des opportunités à des individus sans formation et sans scrupule. » Et des énormités comme celle-là, il y en a sur des pages et des pages.

(…) Guillaume Chopin, Association Santé Naturelle »

Même Libération en 2019 évoque la disparition de la Milivudes :

Sectes : la Miviludes va-t-elle disparaître ?

DES TENSIONS

Depuis le printemps 2020, la Mission est intégrée au Comité interministériel de Prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) au sein du ministère de l’intérieur.

« Matignon confirme que la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires sera rattachée début 2020 au ministère de l’Intérieur. Pour les acteurs du secteur, cela revient à faire disparaître la Miviludes. »

DU VENT DANS LES VOILES

France Inter citait un acteur associatif : « Depuis quelques semaines presque plus personne ne répond. C’est l’omerta, mais les choses sont déjà pratiquement faites. La Miviludes va être purement et simplement dissoute au sein du ministère de l’Intérieur ». Une information confirmée à la radio par un membre de cabinet ministériel. La Miviludes devrait être fusionnée avec le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), selon la radio.

Recommandations de la Cour des comptes

Contacté par Check News, le ministère de l’Intérieur confirme que la Miviludes sera bien rattachée, début 2020, au ministère de l’Intérieur. Mais refuse de parler de « disparition ».

En plus de son rattachement à l’Intérieur, la Miviludes sera bien fusionnée avec le secrétariat général du comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (SG CIPDR) : « les champs d’intervention de ces deux organismes ne se recouvrent pas totalement, mais ils ont pour important point commun la lutte contre les nouvelles formes de radicalité et certains phénomènes d’emprise et d’enfermement », selon Matignon.

C’est donc sans surprise que les conseillers de la Miviludes ont appris leur « fusion » avec le SG-CIPDR lundi 30 septembre ».

Mais en 2021 la ministre Schiappa nomme une présidente et renforce les moyens, le confinement ayant aggravé les dérives selon elle.23 06/04/2021

Elle déplore que « de nouveaux gourous » se servent du Covid pour accroître leur influence.

« Vous avez de nouveaux gourous qui se servent de la pandémie pour prêcher des mesures soi-disant de bien-être, mais qui sont des mesures de sujétion psychologique, voire de captation d’argent ou de biens », a dénoncé Marlène Schiappa sur Franceinfo. Elle estime que « plus de 500 nouveaux petits groupes sectaires ont proliféré à la faveur du confinement ». Les dérives sectaires touchent 140 000 personnes, dont 90 000 enfants.

Je multiplie par dix les moyens de la Miviludes : ils sont maintenant d’un montant de 1 million d’euros pour accompagner notamment les associations ». Une magistrate, Hanène Romdhane, a été nommée à la tête de la Miviludes. « Sa nomination a notamment pour but de donner une suite judiciaire à l’ensemble des signalements effectués auprès de la Miviludes : 3 000 rien que sur l’année 2020 dont 40 % dans le domaine de la santé », selon le communiqué.

MAIS EN JUIN 2022

Miviludes : la lutte contre les dérives sectaires a disparu de l’organigramme du gouvernement

Déjà menacée de disparition fin 2019, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires n’est mentionnée nulle part dans les attributions des différents ministères publiées aujourd’hui au journal officiel 24 :

« C’est une suppression de fait. »

OCTOBRE 2022 — Le syndrome Renaissance ?

La MIVILUDES disparaît quasiment, absorbée dans un ministère non précisé et en octobre, branle-bas de combat la secrétaire d’État anciennement liée via sa famille à la scientologie annonce des grandes décisions. Que s’est-il passé à OK Coral ?

Et vous qu’en pensez-vous ? Comme Annette ?

@Annette_LEXA

« je sais pas vous, mais moi, j’ai le sentiment d’être contrainte de vivre dans une secte géante depuis 2 ans 1/2. Si on prend les critères de la #MIVILUDES, le gouvernement actuel coche toutes les cases ».

En tous cas ? les internautes ont rapidement réagi avec une longue liste de #balancetoncomplotiste dont je vous livre quelques exemples :

PLUS NOUS INFORMERONS DE CE PROJET TOTALITAIRE, MOINS ILS POURRONT LE METTRE EN PLACE

D’autant que bien des Français se demandent ce que deviendront les délateurs des soi-disant complotistes qui finalement auront eu raison : le pseudovax ne protège pas de la contamination, a des effets secondaires importants, etc.

INFORMONS !





Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Par Nicole Delépine (son site)
lundi 6 avril 2020

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [1][2][3][4]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore :

« Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

[1] Avis 106 de 2009 sur “Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[2] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[3] Contribution du 13 mars 2020 sur les Enjeux éthiques face à une pandémie 

[4] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

Décret Rivotril : compassion, euthanasie[1] ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Le traitement du Pr Raoult potentiellement efficace, serait dangereux pour ceux qui sont trop vieux pour bénéficier de soins actifs en cas de Covid ! Mais pas le Rivotril qui les endormira à jamais ! Sortez vos ainés des EHPAD et hôpitaux en urgence.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 :

« C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

Un nouveau procès de Nuremberg se profile

Les médecins français et soignants de 2020 sauront-ils mieux résister aux injonctions du pouvoir totalitaire qui se met en place que leurs confrères allemands des années 30, qui appliquèrent la loi hitlérienne visant à euthanasier les handicapés, les fous, etc. ?

Comment un soignant peut-il accepter de condamner à une mort rapide un patient avec lequel il converse avec empathie apparente, sous l’ordre de deux médecins différents joints par téléphone qui n’ont pas examiné le malade de chair, d’os et d’âme ?[2] C’est à ces extrêmes qu’on voudrait conduire médecins et infirmiers qui, à coup sûr, contraints dans le feu de l’action et la pression du groupe, accepteront pour certains, mais ne s’en remettront jamais à long terme… [3]

Nos aïeux en EHPAD semblent avoir été sournoisement condamnés à mort par une série convergente de circulaires gouvernementales

Une épidémie volontairement non contrôlée : pourvu que ça dure…

Pas de fermeture des frontières, pas de masques ni gels, ni respirateurs en nombre suffisant, pas d’ouvertures de lits ni embauche de personnel, plan blanc bloquant l’activité des cliniques privées depuis près de trois semaines, mais dont les lits restent vides !

« En même temps » une mise en scène théâtrale permet au président de jouer au chef de guerre salvateur (transfert en hélicoptère coûtant plusieurs centaines de milliers € alors que le transport d’un respirateur ne revient qu’à 300 €)… Le plus révélateur de la duplicité gouvernementale pour les Français naïfs et/ou bienveillants sont les refus réitérés des propositions d’entreprises pour fabriquer des masques, des respirateurs et d’empêcher les médecins de prescrire l’hydroxy chloroquine aux malades qui en ont besoin alors que ce médicament était en vente libre sans ordonnance jusqu’en janvier 2020 et le décret scélérat d’Agnès Buzyn. Les ARS, les Normes, les contrôles et l’exigence d’un essai randomisé, tout l’arsenal des bureaucrates a été utilisé pour retarder l’arrivée des moyens de lutte contre l’épidémie, comme durant la drôle de guerre où ils ont retardé la livraison des armes modernes qui ont tant manqué en 40 [4]

La peur au royaume de Machiavel et le confinement généralisé brutal

Au bout de trois mois de mensonges et de décisions inefficaces, l’excuse d’incompétence n’est plus crédible, ni celle de révision de stratégie. À Wuhan, les Chinois ont bâti un hôpital en 15 jours. En Angleterre, et en Espagne, des milliers de lits ont été montés en quelques jours. Quand l’Allemagne s’est sentie menacée, A. Merkel a immédiatement réquisitionné des hôtels pour les transformer en hôpitaux, et fait tourner les usines jour et nuit pour fabriquer des respirateurs…

En France, l’épidémie a été favorisée par les décisions gouvernementales inadaptées et incohérentes, telles l’incroyable histoire des masques. Port de masques déclaré inutile[5] pour les forces de l’ordre et la population ordinaire jusqu’au 3 avril 2020 où brutalement le directeur général de la santé demande que tout le monde en porte (« on réévalue la doctrine »), il fallait oser ! La peur créée et entretenue 24 h/24 par les médias[6], et en particulier leurs médecins préférés comme Karine Lacombe[7], Yazdan Yazdanpanah [8] ou Jean-François Timsit[9], est responsable d’une hystérie collective qui permet au gouvernement d’imposer un confinement généralisé inutile et inefficace sur le plan sanitaire[10] [11], mais qui a le mérite de museler toutes formes d’opposition et de disposer des pleins pouvoirs[12].

Le peuple crédule, quotidiennement lobotomisé par les émissions pseudo-débiles qui véhiculent la propagande gouvernementale ACCEPTE SANS BRONCHER. (Apparemment — l’eau qui bout ?). Les citoyens se croient protégés, alors qu’en même temps, on les laisse se contaminer (ou on favorise la diffusion du virus ?) lors de leurs courses dans les supermarchés en air conditionné (alors que les marchés de plein air sans risque sont fermés !) et dans le RER, pour ceux qui doivent travailler (haut lieu de contamination, les voyageurs serrés comme des sardines, non protégés). Comble de la perversité, soignants libéraux et policiers au contact de la population travaillent sans protection. Si on voulait que l’épidémie puisse prospérer, c’était la meilleure recette. Nos résultats sanitaires du 2 avril 2020 qui nous placent dans le trio des plus mauvais du monde[13] (Italie 12430 morts, Espagne 8189, France 3514 versus Allemagne 732 et Japon 57) le démontrent amplement.

 Ainsi, tandis que le Premier ministre ferme les cafés, restaurants, et la plupart des commerces en 4 h (quid des provisions des commerçants ?) le samedi 12 mars, le premier tour des élections a lieu le dimanche. Il annonce le lundi un confinement généralisé pour le mardi midi. Bloqués sur place, sidérés, désireux de donner à leur famille un peu d’espace en campagne, les récalcitrants qui le peuvent seront culpabilisés d’emblée. Mais lorsque quelques semaines plus tard, le président et sa ministre des armées exhiberont leurs joujoux pour transférer à prix d’or des patients Covid19 partout en France, personne ne les accusera de diffusion du virus et d’incohérence, alors que de nombreux lits de cliniques privées, équipées en matériel et personnel restent vacants tout près des hôpitaux saturés.

Confinement politique !

Victoire ! les Gilets jaunes sont bloqués ! Le 49 3 anti-retraites du 29 février n’a pas le temps d’entraîner de manifestations, CGT FO, etc. tous sont neutralisés et terrorisés comme tous, par les annonces mille fois répétées sur les ondes. Les médias oublient totalement la guerre des frontières en Grèce, l’ouverture au marché commun avec le Vietnam par l’UE (en même temps, décidément, qu’E. M. fait semblant de plaider pour la souveraineté nationale) et l’intégration de nouveaux pays dans l’OTAN. N’oublions pas, la Commission européenne planche sur un sujet éminemment urgent, la crêpe bretonne.

Les soignants en grève depuis un an, gazés et tabassés dans les manifestations multiples ne peuvent plus témoigner de la misère de l’hôpital. On les traite de héros chaque soir à 20 h en leur promettant des médailles et encore plus d’applaudissements, alors qu’ils ne voudraient que surblouses et embauches immédiates et que des voisins ne leur demandent pas de déménager. Mais l’ARS Grand Est, région martyrisée par le Covid19 et l’insuffisance de moyens confirme en ce début avril la suppression de 598 postes et de 174 lits. Incroyable !

Dos au mur, pourquoi changer une politique qui tue, surtout les riens (les autres sauf exception, ont accès aux respirateurs et surtout à la chloroquine, comme en témoigne Patrick Pelloux). Les avocats qui se battaient depuis plusieurs mois pour tenter de sauver la Justice et le droit sont également muselés, ainsi que d’autres professions libérales.

Ce confinement prétendument sanitaire est politique et pervers

Veut-on limiter la diffusion du virus ? Mais pourquoi alors laisse-t-on ouverts les transports bondés, de telle façon que les agents RATP sont particulièrement touchés. Par contre, une femme âgée seule au soleil sur la plage serait dangereuse ! Comme un surfeur, un pêcheur sur un bateau, un joggeur en forêt plutôt que tournant en rond dans une rue pavée ? Une mère qui sort sur autorisation spéciale son enfant autiste, qui reçoit une amende, car elle a osé emmener ses autres petits (auraient-ils dû rester seuls ? [14]).

D’innombrables exemples montrent que ce « confinement » est volontairement punitif, humiliant, et vise en réalité à nous conditionner à la soumission à la Stanley Milgram. [15]

Quelle merveille pour le gouvernement que ce vilain virus ? Arrêtons d’être dupes, bisounours, de nous contenter de dessins et de bougies pour honorer les victimes, sans dénoncer les complices du bourreau. Ne sous-estimons pas l’adversaire. L’incompétence affichée, digne des regrettés guignols de l’info dans le jeu de rôle de Sibeth, les décisions contradictoires d’un jour à l’autre avec leurs injonctions paradoxales permanentes constituent une stratégie perverse bien connue « la stratégie du choc ». [16]

État d’urgence voté en catimini en 48 H avec quelques députés présents

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ». Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.

PROCESSUS PROGRESSIF D’ÉLIMINATION DES AÎNÉS ET DES PLUS FRAGILES

À cet effet le gouvernement a édicté une série convergente de lois, circulaires et de décrets qui prévoient et organisent la disparition de nos aïeux hébergés en EHPAD ou même égarés aux urgences des hôpitaux[17]. Rappelons-les par ordre chronologique :

1°) CONFINEMENT IMPOSÉ À TOUS sauf dérogation le 16 mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.).

Immédiatement applicable, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient). Rien, un comportement de sauvages comme ceux qui, il n’y a pas si longtemps, faisaient une descente à 4 h du matin pour emmener un communiste, un résistant, un juif. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid19 a bon dos[18].

Ce décret instaure le confinement strict, y compris pour des personnes âgées dépendantes des soins physiques, mais aussi psychologiques, soi-disant pour les protéger du virus.

Cet isolement brutal les sépare de leurs familles et les rend ainsi plus vulnérables, les entraîne dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. 

Des drames multiples ont déjà été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse « on applique les ordres ; « on n’y peut rien ». Ça ne vous rappelle rien ? Vous êtes trop jeunes, peut-être[19]. De plus, on fait signer à ces personnes en état de faiblesse des « directives anticipées » permettant toute intervention, se croyant couvert juridiquement. Soyez prudents, chers collègues, la responsabilité personnelle juridique reste entière, et le parapluie des injonctions Véran sera transitoire, comme son ministère. Le temps de la justice, lui, est long, très long.

Mise au point réconfortante du Conseil national d’éthique en ce début avril 2020

Le Conseil national d’éthique[20] a parfaitement rappelé :

 « L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Et oui le fameux syndrome de glissement…

Et l’on découvre jour après jour un peu plus la perversité tant pour le futur défunt lui-même que pour ses proches de cette mesure qui interdit au mourant de voir sa famille pour ses derniers instants. Pourtant un mourant ne risque plus rien et sa famille peut se protéger par des masques ! Le confinement de nos parents n’est pas une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les met en prison en leur supprimant les parloirs !

Comble de la perversité des mesures de confinement (qui les a conçus et rédigés ?), les familles ont interdiction de voir le corps de leur défunt et pire encore, de l’enterrer en se soutenant les uns les autres au cimetière. Les premières contraventions de familles dans ces circonstances ont scandalisé les internautes et actuellement seules quatre personnes seraient autorisées. Insupportable détournement d’une mesure soi-disant sanitaire. Humiliation d’un peuple qui a osé résister depuis trop d’années au goût des gouvernants en place depuis 2012 (E. M. secrétaire général adjoint de l’Élysée sous Hollande, puis ministre de l’Économie puis président et O. Véran et J. Salomon conseillers de M Touraine ministre de la santé responsable de l’épouvantable Loi de Santé 2016). Revanche contre les Gilets Jaunes !

2°) Absence de fourniture de matériel barrières (masques, gants, blouses à usage unique), de tests aux soignants, policiers, conducteurs de métro, etc. facilite leur contamination et les transforme (à leur insu et à leur péril) en agents de diffusion du Covid19 parmi leurs pensionnaires lors des soins ou après des contrevenants et voyageurs. Non testés même s’ils présentent des signes très évocateurs, donc non confinés et contaminants.

Est-ce un hasard si les promesses de fournir des masques aux EHPAD n’ont presque jamais été tenues et ne le sont toujours pas ? Ce sont les bonnes volontés qui tentent de les aider. À quoi servent nos impôts ? Sans honte, Darmanin, ministre de l’Économie, et Hirsch, directeur de l’APHP font des quêtes, comme malheureusement Bern pour notre patrimoine aussi mal en point que notre système sanitaire.

Les mesures contre les personnes âgées se durcissent avec les consignes, la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé, est absent[21] de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse.

De la compassion pour les malades en grande détresse respiratoire ?

Certes, certains partisans de l’euthanasie, et les responsables de ce décret plaideront la compassion pour des malades en grand danger, en détresse respiratoire. Bien, mais pourquoi inclure parmi les “bénéficiaires éventuels de ce décret, les patients encore en bon état, mais exclus des soins hospitaliers et/ou de réanimation, sur simple décision de médecins au téléphone qui n’auront ni vu ni examiné le malade et le condamneront en raison de son âge et de ses antécédents médicaux. Sauf si c’est Michet Drucker comme le disent fort justement les twittos. Aux soignants de faire le sale boulot, injecter la seringue prête dans la chambre. Comme souvent diront-ils, et ne s’en remettront pas toujours.

Compassion, oui, mais pour les malades qui souffrent le martyre, pas pour ceux qui pourraient un jour, peut-être, souffrir ce martyre comme nous tous et qui actuellement perdent des chances de survie en leur refusant une chance avec le schéma de l’équipe Raoult.

Même les militants de l’euthanasie sont choqués

Mais comme le font remarquer de nombreux pro-euthanasie, celle-ci doit être la décision du patient et non de l’entourage soignant. L’état d’abus de faiblesse des personnes âgées, isolées, déprimées par l’absence d’environnement familial et amical, laisse largement douter d’un consentement véritablement éclairé lors des directives anticipées qu’on leur demande de remplir ces jours-ci à toute vitesse. Pourquoi ?

Mise en danger juridique des soignants et médecins. Valeur très relative des directives anticipées signées dans ces conditions de confinement

En tous cas, ces directives sans délai de réflexion réel, sans accompagnement véritable ne seraient que fausse protection des soignants en cas de plainte juridique des proches. Collègues, infirmiers, soyez prudents et protégez-vous aussi, ce décret qui semble pour certains juristes, illégal, car contraire à la loi Leonetti, pourrait bien être abrogé par les recours au Conseil d’État qui vont se multiplier.

3°) Refus d’admettre en réanimation les plus de 70-75 ans, quel que soit leur état physiologique, peut-être en partie pour camoufler l’insuffisance majeure de lits et de respirateurs qui résulte des politiques sanitaires désastreuses des dernières années. Argument douteux quand on connaît le nombre de lits vides en établissements privés dotés du nécessaire pour prise en charge de malades lourds et réservés par les ARS en fonction de leur bon vouloir. Directive d’inspiration bureaucratique plus que médicale, car les médecins ne raisonnent jamais en âge absolu, mais bien « physiologique » en fonction de plusieurs caractéristiques de la personne.

4°) Interdiction d’adresser en consulter et d’admettre à l’hôpital public les malades des EHPAD suspects de Covid19 ou des personnes à domicile âgées. Tentez votre chance pour vos proches (en les sortant préalablement pour leurs « derniers jours » chez vous) en consultant directement aux urgences des hôpitaux privés, pour ceux auxquels l’ARS n’a pas supprimé cette compétence. Et n’appelez ni SAMU ni pompiers auxquels l’état impose d’emmener le patient directement en public et seulement en public (même si vous êtes suivi depuis des années par un médecin ou chirurgien) dans un de ces hôpitaux privés. Si besoin, demandez une ambulance privée.

Tel est l’état du système de santé français complètement déséquilibré et entièrement sabordé par l’État via les ARS, les libéraux étant complètement sous la coupe de la technocratie. Il n’y a pas à proprement parler de système privé en France. [22] [23] [24]

5°) Décret du 26 mars empêchant la prescription de chloroquine dans ces établissements et interdiction aux médecins généralistes de ces établissements de les traiter par l’association Chloroquine-Azithromycine (sous prétexte de leur éviter des traitements dangereux !), alors que cette association est donnée depuis longtemps, sans complications notables aux femmes enceintes en zone d’endémie palustre pour prévenir paludisme et infections.

Quel risque chez des patients abandonnés que l’on estime condamnés ? La chloroquine, potentiellement efficace, serait-elle plus dangereuse pour eux que le Rivotril injectable à visée de sédation profonde définitive, puis mort ? De fait, les médecins résistants peuvent tout de même les mettre sous azithromycine en vente encore libre sur ordonnance (pour combien de temps) et/ou sous ciflox qui semble avoir les mêmes effets que l’azithromycine et peut-être pas en rupture de stock. Collègues, battez— vous, battons-nous ensemble à travers des pétitions bien reçues comme celle du Dr Éric Menat [25].

https://www.petition-chloroquine.fr/ signez, diffusez.

Merci pour les patients dont certains certes auraient guéri spontanément, mais les autres ? Ne pas vouloir traiter sous ce prétexte nous semble remettre en question toute la médecine « préventive » ou précoce, et singulièrement les vaccinations qui ne sont pas données à des malades, mais à des bien portants pour leur éviter une possible maladie, comme d’ailleurs la chloroquine est donnée pour éviter le paludisme…

6°) Ordre de maintenir les pensionnaires infectés dans l’établissement (afin qu’ils contaminent un maximum de leurs compagnons d’infortune ?).

Le 30 mars, devant le scandale difficile à étouffer, le ministre demande à isoler préventivement chaque patient dans sa chambre. Plus de visites, plus de bénévoles déjà depuis deux semaines et maintenant plus de contacts avec les autres pensionnaires, temps soignant très court.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

À peine besoin du Covid19 et/ou du Rivotril pour les achever. Cette prison de fin de vie pour personnes handicapées qui, souvent, ne peuvent se lever est une aberration majeure, une maltraitance monstrueuse. Qui a pu donner des consignes pareilles ? Quels médecins peuvent assumer cette mort à petit feu dans un lit d’une chambre fermée dont on ne peut sortir même pour les toilettes ?… Finalement quand on lit cet arrêté, on peut se demander si Édouard Philippe n’a pas voulu donner une « mort miséricordieuse » à la Hitler avec son Rivotril, pour les mettre rapidement dans un coma irréversible ?

7°) Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !).

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS.

Une internaute : « on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure ». Nous pourrions vous en transcrire des centaines.

Ce décret scélérat autorise la prescription de Rivotril [26] sous forme injectable dans ces établissements, aux malades infectés[27] ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contre-indiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair !

Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription hors AMM dans le cadre du covid-19 »”.

Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

8°) Fourniture du mode d’emploi complet du médicament létal :

« le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs »[28].

Un « protocole » imposé aux cliniciens désemparés devant tant de violation du serment d’Hippocrate

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid [29]. Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique[30]. Pour un malade souffrant d’une légère dyspnée :

ÉTAPE 1 Anticiper une aggravation éventuelle avec le soignant

  1. préparer le matériel —Oxygène prêt à l’emploi si possible (HAD, prestataires privés) — Disponibilité des médicaments (et des soignants en cas de prise en charge à domicile) —Matériel de protection des soignants 
  2. rédiger des prescriptions anticipées qui autorisent l’infirmière à débuter l’administration si aggravation.
  3. préparer les traitements médicamenteux nécessaires à la réalisation de la sédation, dans le poste de soin. En cas de nécessité, préparer les seringues à l’avance et les conserver dans la chambre du patient. Il faut alors étiqueter la seringue avec le nom du patient + le contenu de la seringue + la date et l’heure de préparation + le nom du préparateur.

DANS TOUS LES CAS : Se renseigner sur les organisations et ressources en soins palliatifs mises à disposition sur son territoire de santé :

Patient pour lequel il a été statué qu’une prise en charge en USI ou réanimation ne serait pas entreprise [31]

Patient présentant des facteurs de risque de forme sévère (cancer, pathologie chronique sous-jacente, insuffisance cardiaque ou rénale…)

REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE[32] (…)”

ÉTAPE 1 : ANTICIPER L’AGGRAVATION ÉVENTUELLE DE L’ÉTAT RESPIRATOIRE AVEC LE PATIENT

  1. ÉVALUER LES SYMPTÔMES : dyspnée, encombrement, angoisse, douleur.
  2. INFORMER LE PATIENT s’il est communiquant et de façon adaptée sur la possibilité du recours à une sédation en cas de détresse respiratoire asphyxique. Rechercher son consentement si possible et informer la personne de confiance ou les proches. 
  3. RECHERCHER D’ÉVENTUELLES DIRECTIVES ANTICIPÉES
  4. TRACER LES INFORMATIONS dans le dossier médical et noter la prescription anticipée dans l’observation médicale et dans les transmissions soignantes ».

Telles sont les consignes de la fiche médicale portant sur le premier stade, dont des patients « bien portants ». Les fiches suivantes portent sur les patients en détresse respiratoire avérée.

ÉTAPE 2 : Face à une détresse respiratoire, endormir rapidement le patient pour lui éviter une sensation d’étouffement

PRINCIPES DE TRAITEMENT [33]

  • REPÉRER LA DÉTRESSE RESPIRATOIRE ASPHYXIQUE : 

    • PATIENT COMMUNIQUANT : sensation d’étouffement avec angoisse massive/agitation et sensation de mort imminente
    • PATIENT NON COMMUNIQUANT : FR> 30/min, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d’expiration, faciès de peur.

  • REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE : (Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) [34]

Des consignes pour les soignants, outre le protocole technique que nous ne détaillerons pas ici, sont rédigées dans cette fiche[35].

Faire le tri du stock de malades, selon l’expression du Président

Comme l’a simplement résumé Corso di saluti[36] :

« s’il n’y a plus de place pour prendre les patients en détresse respiratoire, on demandera aux médecins de ville de “faire le tri” en amont, en administrant directement des traitements palliatifs à ces patients ».

Le plus choquant dans ces fiches détaillées pour les médecins et infirmiers est le détail des indications initiales alors que le patient respire normalement ET qu’on lui demande de fait d’accepter l’euthanasie en cas d’aggravation. Préventivement. Froidement.

Les fiches se poursuivent avec les protocoles techniques pour malades en détresse respiratoire graves qui ne sont plus admis en réanimation depuis quelques jours alors que des lits sont disponibles dans des cliniques privées qui ont signifié leur accord pour les accueillir.

ASSASSINAT AVEC PRÉMÉDICATION SUR INJONCTION DE L’ÉTAT

Il s’agit donc bien de la préparation de la mise à mort préméditée, programmée, de vieillard qui aurait le malheur d’être dans un EHPAD, à l’hôpital, ou même à domicile et qui aurait l’imprudence d’appeler chez lui pour n’importe laquelle pathologie pulmonaire un médecin complice de ce programme criminel.

Nous parlons de crime parce qu’il ne s’agit pas là d’un arrêt de traitement inutile (on ne les traite pas), ni de mettre fin à des souffrances (qui n’existent pas encore) puisque cet empoisonnement est anticipé. Et en cas de résistance imprévue du sujet au premier cocktail, la fiche conseille de doubler les doses et/ou de recourir aux autres drogues connues dans les euthanasies souhaitées ou subies depuis 20 ans.

Nous nous garderons de vous donner la recette de ce cocktail rappelé aux médecins de garde dans la fiche de la société de soins palliatifs et accompagnement.

9°) Ce même décret autorise l’extension des morgues dans ces établissements sans demande de permis de construction préalablepudiquement appelés « locaux destinés à l’entreposage » afin d’accroître la capacité des morgues existantes des établissements auxquels les ARS soi-disant incapables de fournir des masques de protection ont déjà fourni des housses mortuaires. Pourquoi tant de prévisions pour cadavres si comme LCI tente de le faire croire ce jour dimanche 5 avril, ce décret ne visait pas la disparition de nombreux vieillards, pas toujours si vieux… puisque bons à travailler selon le dernier projet de retraites.

10°) Réquisition d’entrepôts réfrigérés à Rungis pour entreposer les corps. Avec l’idée fameuse de rejoindre le plus gros marché alimentaire de France. Ils ont toujours des idées…

DES ANTÉCÉDENTS PEU GLORIEUX AU DÉCRET RIVOTRIL SIGNÉ PHILIPPE-VERAN

« N’est-ce pas l’exigence de la charité : délivre ceux que tu ne peux guérir ! » LA MORT MISÉRICORDIEUSE selon Hitler…

 Afin que chacun discerne clairement la société dans laquelle nous nous dirigeons à grands pas, si une réaction majeure à ce décret n’apparaît pas très rapidement, nous rappellerons quelques épisodes de l’ascension d’Hitler et de sa marche vers l’horreur à l’aide de quelques moments cruciaux (lire le développement de Wikipédia sur le sujet). Il s’agit ici de rappeler le génocide des malades par Hitler, en parallèle au génocide possible des vieux malades engagé par le décret #RIVOTRIL du 26 mars 2020 en France.

Le drame global de la Shoah ne sera pas détaillé ici, mais chacun doit bien penser que mettre le doigt dans l’engrenage est un risque réel…

Petit rappel :

« Euthanasie des enfants sous le Troisième Reich : meurtre d’enfants et d’adolescents handicapés organisé par le régime nazi, sous le Troisième Reich de 1939 à 1945.

Ce programme, initié et dirigé depuis la Chancellerie du Führer et sur ordre d’Hitler, précède chronologiquement celui de l’Aktion T4, et implique un grand nombre d’“établissements pédiatriques spécialisés” sur le territoire du Reich. Plus de 5 000 enfants ont été victimes de ce programme, et peu de ses responsables sont poursuivis pénalement après-guerre ». [37] [38]

Le mythe du soulagement de la souffrance des enfants, utilisé déjà par les nazis 

 « Les demandes de malades incurables ou de personnes sévèrement blessées, qui priaient d’être délivrées de souffrances trop dures à porter pour eux, arrivaient de plus en plus souvent, et ce environ six mois avant que la guerre n’éclate.

Ces demandes étaient particulièrement tragiques, car les médecins ne pouvaient les satisfaire en raison des lois existantes. Comme notre office était justement là, comme on nous le répétait souvent, pour traiter sur ordre d’Hitler les cas qui ne pouvaient être résolus légalement, le docteur Hefelmann et moi-même nous sommes sentis obligés de transmettre au docteur Brandt un certain nombre de ces cas, en le priant de solliciter d’Hitler ce qu’il convenait de faire. Le docteur Brandt répondit bientôt qu’il était possible d’accéder à de telles demandes, si l’on pouvait s’assurer que le médecin traitant du patient ainsi qu’une commission médicale, qui restait à créer, s’entendaient sur le caractère incurable de la souffrance »[39] 

Lecture difficile à supporter.

DÉROULEMENT DU PROGRAMME D’EUTHANASIE DES MALADES SOUS HITLER

« Euthanasie » des enfants de 1939 à 1945,

« L’euthanasie » des adultes de 1940 à 1945 :

« L’Aktion T4 » programme centralisé d’assassinat par le gaz, de janvier 1940 à août 1941,

« L’euthanasie » par les médicaments, ou par une sous-nutrition contrainte, pratiquée de façon plus décentralisée de septembre 1941 jusqu’en 1945,

« L’euthanasie » des invalides et des détenus, connue sous le nom « Aktion 14f »[40] d’avril 1941 à décembre 1944

L’Aktion Brandt prend place de juin 1943 à 1945[41]. Le nombre des victimes de ce programme de « guerre contre les malades » est estimé à 260 000 personnes[42].

« Aktion T4 [43] nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941 (70 000 à 80 000 victimes) ».

Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880

L’extermination ne tombe pas du ciel, elle est précédée par une mise en condition de la population et des politiques pour un eugénisme actif qui fleurit aux USA et en Europe dès les années 1880. Dès 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le Droit à la mort, plaide en faveur de « mises à mort médicales ». En Allemagne Alfred Ploetz, fondateur en 1905 de la Société pour l’hygiène de la race, estime qu’il faut arrêter les soins aux malades alcooliques, vénériens ou issus d’unions consanguines, car ils sont « contre-sélectifs », en leur permettant de se reproduire et de maintenir ainsi des tares héréditaires dans le corps social15 ; il conseille aux médecins de tuer les nouveau-nés chétifs et malformés ».

« En 1920, l’ouvrage Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens (L’autorisation de l’annihilation de la vie dénuée de valeur) de Karl Binding et Alfred Hoche propage en Allemagne les concepts de “semi-humains”, “esprits morts”, “avariés” et “existences superflues”. Parmi les raisons évoquées, et par la suite reprises par les nazis, figurait la nécessité d’éviter de dépenser un argent qui pourrait servir autrement à des fins “productives[44]. Dans cet ouvrage crucial selon Lifton19, les auteurs estiment que l’euthanasie forcée est une action compassionnelle et conforme à l’éthique médicale. 

Lors de la publication de l’ouvrage, l’écrasante majorité des médecins allemands rejette l’euthanasie, mais l’idée de mettre à mort des malades se propage dans l’opinion : en 1922, une revue de droit pénal publie un projet de loi sur la suppression des malades mentaux, et en 1925, une enquête menée auprès de théologiens fait apparaître que certains d’entre eux estiment inutile d’aider médicalement les enfants attardés ».

1933 :

« La Conférence internationale d’hygiène mentale, tenue à Paris, se déclare unanimement favorable à toutes mesures empêchant la naissance “des anormaux et des tarés”. En juin 1933, Hitler assiste à une séance du Congrès annuel de la Société internationale de biologie criminelle, tenue à Hambourg, où sont présentés les bons résultats des lois de stérilisation au Danemark. Cette séance convainc Hitler d’appliquer de telles lois, mais renforcées et contraignantes, en Allemagne (loi du 14 juillet 1933) ». [45]

Les antécédents de l’histoire actuelle en France

Comme en Allemagne lors de l’ascension d’Hitler, le décret d’E Phillipe ne tombe pas du ciel malheureusement. Nous écrivions déjà en 2013 [46] : « L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé. »

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined. (…)

Si on “aide“ quelqu’un à mourir, ce ne peut être qu’un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre. Il ne faut pas banaliser le fait de “tuer” dans notre société et achever un mourant est bien ‘tuer’. Si on passe la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont en jeu. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces ‘sous hommes’ déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, voir à l’extermination de catégories gênantes, bref ! au fascisme qui rode toujours” car ‘le ventre est toujours fécond d’où naît la bête immonde[47]’. »

Déjà trop d’euthanasies en France, la mort précipitée dans un cas sur deux ! Ce nombre important de fins de vie “accélérées” dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle.

Les gouvernements, les soignants, voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : “cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue” (et la leur ?). Ou bien “pourquoi réanimer cette enfant handicapée ?” (Faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ?”

N’est-ce pas cette dérive devenue banale qu’on voit se formaliser dans ce décret et cette fois-ci à grande échelle ?

Sur les causes de cette dérive mise sur le compte de la compassion, nous évoquions des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivant peut-être certains de ses promoteurs.

Les soins palliatifs sont encore trop coûteux. Les hôpitaux sont « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher.

Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaire, inavouable dans ses raisons réelles à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion apparente.
 

UNE NOTE D’ESPOIR

Parmi les journaux, l’Obs[48] et Corse matin se sont jusqu’ici saisi du problème. Les grands médias n’ont guère réagi ni informé sur les raisons réelles et les conséquences pratiques de ce décret. Les réseaux sociaux sont heureusement plus actifs et de nombreux médecins hurlent à la honte de ce viol du serment d’Hippocrate et quelques radios [49].

Ce 5 avril 2020, devant la stupeur et l’indignation suscitées par le décodage des finalités de ce décret, le gouvernement a mobilisé tous ses moyens de désinformation dont LCI vient de donner un bel exemple en prétendant que ce décret aurait « pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise. »

Ce qui confirme en fait exactement ce que nous dénonçons : ils sont victimes d’une décision de non-admission en réanimation (parce que la réanimation manque de lits obligeant les réanimateurs à faire un tri inhumain).

Cette pseudo mise au point essaie de cacher qu’il s’agit d’une euthanasie active et non pas d’une limitation des traitements actifs. En effet, l’interdiction d’usage d’emploi de la chloroquine dans les stades précoces par le gouvernement fait qu’il n’existe pas en France [50] de traitement actif du Covid19. Le Rivotril injectable n’est pas un traitement du Covid19, mais un puissant dépresseur respiratoire d’ailleurs officiellement contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires ce qui est exactement le cas des infections à Covid19 qui se compliquent. Il vise à la sédation profonde et définitive, et donc de décès.

Et le Dr Gavazzi prétend justifier l’euthanasie active (injection de Rivotril) par le risque de complication lors des soins de réanimation : « Aujourd’hui, on sait que la durée d’intubation pour les malades du Covid-19 est d’environ 21 jours. C’est une technique très invasive pour le patient, avec de nombreuses prises de sang et de nombreuses autres procédures de soins invasives potentiellement douloureuses. Cela peut entraîner d’importantes complications et des conséquences lourdes, explique encore le Dr Gavazzi. Oui, des personnes ne peuvent pas supporter ce protocole de soin », mais la mort par Rivotril n’est-il pas pire que des complications éventuelles ?

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [51][52][53][54]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : “Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

Relisez ces avis ; méditez-les ; et si vous le pouvez, sauvez vos êtres chers, en les sortant des établissements que le gouvernement transforme petit à petit en abattoirs, et en attendant que raison ne revienne sous la pression populaire.


[1] Source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS/WHO) Rapport 804 du comité d’experts

— Il est éthiquement justifiable de ne pas mettre en œuvre ou d’arrêter des mesures destinées à prolonger la vie qui ne sont pas en accord avec les désirs du malade, quand de telles mesures ne peuvent inverser l’évolution de la maladie, mais seulement prolonger l’agonie.

— Il est également justifiable, sur le plan éthique, pour des médecins, après consultation avec des membres de la famille, des tuteurs ou des mandataires préalablement désignés par un malade, de prendre de telles décisions au nom de patients inconscients ou incapables.

— Des médicaments à des doses requises pour supprimer la douleur et d’autres symptômes ne peuvent pas être refusés seulement parce qu’ils pourraient abréger la vie d’un malade.

— L’euthanasie (hâter la mort de façon active par des médicaments) ne doit pas être légalisée.

[2] Cf témoignage poignant sur twitter du 3 04 2020 @princedelamour, petite vidéo vue des milliers de fois.

[3] Nous avons vécu cela avec les enfants cancéreux de Garches, brutalement extirpés de leur milieu soignant aimant par la fermeture brutale, accompagnée de CRS (déjà en 2014), le personnel soignant contraint au silence sous peine de sanctions par le petit chef issu d’un ministère et reconverti à l’APHP. Les séquelles chez ces personnels furent lourdes, en termes de dégoût, désinvestissement et abandon de la carrière. Cf Neuf petits lits sur le trottoir, N Delepine éditions Fauves 2014, récit d’un drame collectif abominable.

[4] Comme les chasseurs Dewoitine 520 qui n’avaient pas été munis de leurs mitrailleuses en mai 40 ! Ce chasseur a montré sa supériorité sur le Messerschmitt 109, avion allemand gloire de la Luftwaffe. Malheureusement seulement 37 exemplaires avec mitrailleuses furent livrés avant la débâcle, alors que mille auraient pu l’être dont beaucoup saisis par les Allemands ont été distribués aux alliés de l’Axe.

[5] Interrogée le 4 mars 2020 sur France Inter la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu fermement : « non, on ne doit pas acheter de masques, et d’ailleurs on ne peut pas en acheter puisque nous avons donné des instructions ».

[6] Dont les propriétaires milliardaires possèdent aussi des actions de Gilead, Abbvie ou Sanofi

[7] Aucune des chaînes qui la programment ne précise que la collaboration avec ces labos lui a apporté plus de 150 000 $ en 5 ans. Écoutez Sud radio émission André Bercoff : Gérard Delepine du 27 mars 2020, et ce dans la violation de la loi de 2011.

[8] Très lié à AbbVie, Bristol-Myers Squibb, Gilead, MSD, Pfizer, Johnson & Johnson, and ViVi Healthcare

[9]Lié à Maat Pharma, Merck, Bayer Pharma, Medimune, Gilead, VenatoRx, Nabriva, Paratek

[10] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478

[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[12] Et vote d’une loi d’urgence sensée être sanitaire et qui casse ce qui reste du Code du travail, sans manifestation possible, car confinement. Jusqu’à quand ?

[13] Italie, Espagne, France pays qui les premiers ont confiné leur population saine

[14] Contestation pénale prévue et remboursement possible ? cf. PlainteCovid.fr diffusée par Bruno Gaccio, collective et déjà des milliers de plaintes

[15] “Soumission à l’autorité Stanley Milgram et le film la Vague.

[16] La stratégie du choc — Naomi Klein, octobre 2013 Essai (Poche)

[17] Que beaucoup d’entre eux évitent depuis plusieurs années, vu la tendance qui devient plus visible actuellement.

[18] Partout dans le monde en particulier USA et Italie, les morts seraient tous attribués au Covid19, alors que décédés avec le Covid19, ou même sans, en vue d’alimentation de la peur, et de subventions possibles (USA : tous les frais liés au virus seront pris en charge par l’État, promesse de Trump).

Dans le sud de l’Italie ce ne serait que 12 % liés directement au virus, sous réserve de ces chiffres. À suivre.

[19] “Je n’ai fait qu’obéir aux ordres” était l’argument le plus fréquemment avancé par les gardiens de camps de concentration nazis pour fuir leurs responsabilités lors des procès de Nuremberg. Deux médecins furent pendus.

[20] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

[21] Il ne s’agit donc pas d’une euthanasie au sens juridique, mais bien d’un meurtre. Définition juridique de l’euthanasie : se définit comme un suicide aidé par un tiers, tiers qui est le plus souvent un médecin. Elle traduit un désir de contrôle de la phase terminale de sa vie. Ses partisans estiment que le patient a le droit de mettre fin à sa vie si celle-ci est devenue intolérable. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-2-page-69.htm

[22] Quant aux suppléments d’honoraires que certains vont mettre en exergue, les plus élevés et excessifs se voient dans les hôpitaux publics et la médaille d’or à quelques médecins de l’aphp, souvent les mêmes que ceux qui ont de puissants liens d’intérêt. Ceci est une autre histoire.

[23] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-205363

[24] Soigner ou obéir N et G Delépine ; éditions Fauves 2016

[25] “Je sais bien que les gouvernements ne tiennent jamais compte des pétitions.

Mais sait-on jamais. Certains d’entre vous peuvent être intéressés à faire connaître leur point de vue.

Personnellement, je l’ai fait. Écoutez la vidéo, et prenez votre décision en votre âme et conscience.

À l’heure où nos structures médicales sont saturées, pourquoi interdit-on aux médecins de terrain de traiter, comme ils l’ont toujours fait, au cas par cas, leurs patients qu’ils connaissent bien, avec des médicaments dont ils connaissent parfaitement les contre-indications éventuelles et les dosages ?

195 000 en 24 heures, je n’ai personnellement jamais vu ça…” Dominique Delawarde

[26] Puissant calmant et dépresseur respiratoire totalement déconseillé aux personnes qui ont du mal à respirer

[27] Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

[28] ‘Fiche-conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs.

[29] ‘Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID19’. Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.

[30] ‘Prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD’

[31] C’est là que le bât blesse le plus ! Qui décide ?

[32] Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale simple (gêne respiratoire absente/légère/modérée/sévère/très sévère) Patient non communiquant : FR>24/min ou utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration) ou respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration)

Autres signes de gravité clinique (troubles de la vigilance, fièvre très élevée…)

[33] Détaillés dans la fiche

[34] Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale

[35] ‘RECOMMANDATIONS PERSONNEL SOIGNANT

Faire appel à un autre soignant si possible. Si le soignant est seul (n’entre pas dans la chambre en l’absence de nécessité, mais peut aller chercher les traitements et matériel nécessaire). Rester calme ou arriver calme (y penser avant d’entrer dans la chambre). Avertir le médecin si possible Expliquer simplement la situation au patient, ce que l’on fait, ce que l’on va faire. Injecter le protocole de sédation prévu, etc.

Après l’épisode, prendre un temps avec la famille et les soignants.’ Toujours la langue de bois selon Orwell : n’est-ce pas de mort, de décès qu’il s’agit ? Non un épisode de la vie, pas de Plus belle la vie, c’est certain. 

[36] Isabelle Luccioni L’Associu corsu di a salute refuse ‘un tri barbare et arbitraire » corse Matin 02 avril 2020

[37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Euthanasie_des_enfants_sous_le_Troisi&egrave ; me_Reich

[38] ‘Les enfants sont tués par ingestions échelonnées et surdosées de barbituriques comme le phénobarbital ou le véronal, voire de morphine, mélangés à la nourriture des patients ou vaporisés au prétexte d’une protection contre le typhus. Ces overdoses conduisent à des paralysies respiratoires, et à l’arrêt du fonctionnement du système digestif et rénal. Il est ainsi toujours possible d’invoquer une cause apparemment naturelle de décès. Le procédé est développé début 1940 par Hermann Paul Nitsche, qui devient ensuite le directeur médical de l’Aktion T4. La sous-nutrition et le séjour en chambres très peu chauffées accroissent les effets des ingestions médicamenteuses tout en préservant l’apparence d’un décès naturel et contingent.

Hermann Pfannmüller (de), directeur d’une clinique infantile à Munich, teste des ‘régimes alimentaires spéciaux’ consistant à diminuer progressivement la quantité de nourriture administrée aux enfants, et à ne pas leur donner du tout d’élément gras dans les portions38. Les enfants meurent de dénutrition à plus ou moins longue échéance, sous couvert d’expérimentation de régimes alimentaires’ IBID.37

[39] Ulf Schmidt, « Euthanasie » und die aktuelle Sterbehilfe-Debatte : Die historischen Hintergründe medizinischer Ethik, Gœttingue, 2000, « Kriegsausbruch und « Euthanasie » : Neue Forschungsergebnisse zum « Knauer Kind » im Jahre 1939

[40] Udo Benzenhöfer, Der Fall Leipzig (alias Fall “Kind Knauer”) und die Planung der NS-„Kindereuthanasie “, Münster, Klemm & Oelschläger, 2008, 151 p. (ISBN 978-3-932577-98-7), p. 51 IBID.37

[41] Peter Sandner, Verwaltung des Krankenmordes. Der Bezirksverband Nassau im Nationalsozialismus, Gießen, Psychosozial-Verlag, 2003, 788 p. 587 IBID.37

[42] Angelika Ebbinghaus et Klaus Dörner, Vernichten und Heilen. Der Nürnberger Ärzteprozeß und seine Folgen, Berlin, 2002 p. 297 IBID.37

[43] Michael Tregenza, Aktion T4, 2011 IBID.37

[44] Argument favori d’Attali dans sa guerre contre ‘les vieux’ qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même

[45] A. Laffont et J. Audit, ‘Eugénique’, Encyclopédie médico-chirurgicale, Masson,‎ 1934, p. 12-15

Fascicule 5122. IBID.37

[46] http://www.economiematin.fr/news-debat-euthanasie-economies-securite-sociale

[47] Bertold Brecht la résistible ascension d’Arturo Ui

[48] Mathieu Aron l’obs 1 4 2020 https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200401.OBS26931/le-cri-d-alarme-du-comite-consultatif-national-d-ethique-pour-la-protection-des-personnes-agees.html

[49] Sud radio https://www.sudradio.fr/societe/dr-nicole-delepine-la-chloroquine-cest-le-meilleur-de-ce-quon-peut-proposer/ 3 avril 2020

[50] Contrairement à de très nombreux pays

[51] Avis 106 de 2009 sur ‘Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[52] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[53] Contribution du 13 mars 2020 sur ‘Enjeux éthiques face à une pandémie 

[54] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 


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Les soignants non vaccinés doivent être réintégrés sans délai. Après New York, l’Italie le fait

Par le Dr Gérard Delépine

Après la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Alberta et New York, l’Italie vient de décider de réintégrer les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection anti-covid. Combien de temps notre gouvernement continuera-t-il de s’obstiner à maintenir cette discrimination sans aucune justification médicale ?

L’exclusion des soignants vaccino prudents est une mesure médicalement infondée et inutile

Nous avons déjà souligné qu’il n’existait aune étude scientifique apportant le moindre début de soupçon de preuve que la pseudo vaccination des soignants était susceptible de diminuer le risque de contamination de leurs contacts. Ce gouvernement, qui a interdit la prescription de la chloroquine en prétextant qu’il n’existait pas de preuve de son efficacité contre le Covid, a pourtant imposé cette mesure en violation de sa prétention affichée de « suivre la science ». Le caractère infondé de la mesure vient d’être trois fois confirmé durant les trois derniers jours par la Cour suprême de l’état de New York, par le gouverneur de l’Alberta et par le chef du gouvernement italien.

La Belgique n’a jamais imposé d’obligation d’injection covid aux soignants1

L’obligation a été votée malgré l’opposition au projet de loi : « Ce n’est pas un projet de loi vaccination, mais un projet de loi de licenciement des soignants. Votre discours est celui de la brutalité », a dénoncé Catherine Fonck, tandis que Sophie Rohonyi parlait « d’une gifle aux héros de la crise. »

Mais elle n’a pas été appliquée, car jugée « non conforme au principe de proportionnalité », selon la Taskforce Covid, après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG), dans un avis diffusé le 2 mai 2022.

La Grande-Bretagne non plus

Le gouvernement britannique avait annoncé en novembre 2021 que la vaccination anti-Covid deviendrait obligatoire en avril 2022 pour les soignants. Mais elle a annoncé le 1er mars 2022 qu’elle renonçait à imposer le vaccin contre le Covid-19 à tous les soignants du public2.

L’Alberta a mis fin à l’obligation vaccinale des soignants depuis 6 mois3

Depuis le 10 mars 2022, l’obligation pour les employés de Services de santé Alberta d’être vaccinés a été supprimée. Les employés n’ont plus à présenter une preuve de vaccination ou un résultat négatif à un test rapide pour travailler. Les employés non vaccinés en congé forcé ont repris le travail.

Et depuis la reprise de travail des soignants non vaccinés, aucune poussée d’infection n’a suivi confirmant l’inutilité de l’obligation vaccinale a priori évidente puisqu’aucun des pseudo vaccins injectés n’est capable d’éviter les transmissions.

À New York, la réintégration dans l’emploi des personnels d’assainissement de la ville exclus pour refus des injections anti-covid expérimentales a été ordonnée par le juge Ralph J. Forzio de la Cour suprême de l’État.

New York City a licencié environ 1 700 employés après que le décret d’obligation de vaccination pour tous ses employés, de l’ancien maire Bill de Blasio. La plupart des personnes licenciées étaient des policiers et des pompiers. Le tribunal a estimé le 28/10/2022 que « le fait d’être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID » et précisé :

« rien ne justifie de conserver une obligation vaccinale pour les employés et en même temps d’en exclure certaines professions telles que les athlètes et artistes ; cela est clairement arbitraire et capricieux ». 

Pour ces raisons, le tribunal a ordonné la réintégration des employés non vaccinés avec paiement des arriérés de salaires4 5. Les responsables de la ville ont déposé un recours, de sorte que la réintégration en attente pour le moment. Mais les attendus du jugement sont clairs.

En Italie, Meloni réintègre les soignants vaccino prudents

Le gouvernement de l’ancien Premier ministre Mario Draghi avait rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé en 2021 et l’avait étendue à toutes les personnes de plus de 50 ans en janvier de cette année. Les refus ont été sanctionnés par une exclusion du travail sans solde pour les fonctionnaires, tandis que les Italiens âgés de plus de 50 ans qui refusaient les pseudo vaccins expérimentaux ont été condamnés à des amendes de 100 euros.

Quelques actions en justice contre ces sanctions médicalement infondées avaient obtenu justice. Un médecin avait été réintégré en juillet 2022 en Sardaigne par la juge Eleonora Carsana du tribunal de Tempio Pausania qui avait de plus ordonné qu’elle reçoive les salaires accumulés depuis le jour de sa suspension jusqu’au jour de sa réintégration effective6.

Mais devant l’incapacité démontrée des faux vaccins à empêcher les contaminations et les transmissions et le manque dramatique de soignants, le Premier ministre Melloni vient d’annoncer qu’elle allait réintégrer tous les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection avec récupération des salaires. Et allant plus loin dans la dénonciation de la tyrannie sanitaire imposée par le gouvernement précédent, elle a déclaré qu’elle ferait rembourser les amendes dont ont été victimes les personnes âgées qui ont refusé les pseudo vaccins.

Il est troublant de constater que des mesures antidémocratiques majeures décrétées par un gouvernement qui se prétendait démocratique sont abrogées par une Première ministre que les médias français qualifient volontiers de fasciste. La volonté de défendre les libertés aurait-elle changé de camp ?

https://twitter.com/yanof68/status/1587111149216169985?s=43

À ce jour, la France est le seul grand pays européen qui maintient cette exclusion des soignants qui refusent l’injection expérimentale. Contre toute logique puisque l’épidémie n’est plus guère mortifère et que seuls les fabricants de vaccins, leurs mercenaires et les organismes trop liés au pouvoir (haute autorité de santé et académie) osent encore prétendre qu’ils seraient susceptibles d’empêcher les transmissions.

Voir aussi :
Réintégration – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

Dans ce contexte mondial où l’échec complet des injections est maintenant patent pour les populations, les pseudo vaccins ne font plus recette, en France comme dans le reste du monde.

Actuellement, malgré une propagande permanente pour faire peur, moins d’un français sur 10 000 se laisse encore injecter quotidiennement.

Alors, pourquoi discriminer les soignants et pompiers qui ont toujours été conscients des enjeux médicaux et ont toujours accepté les vrais vaccins ?

Messieurs et Mesdames les députés, suivez l’exemple du reste du monde, votez une loi qui mette fin au scandale de la suspension des soignants et pompiers qui refusent l’injection expérimentale inefficace.

Leur réintégration est urgente pour tenter de renforcer les personnels hospitaliers, remonter le moral des troupes et stopper la désertification médicale. Ces personnels sont attendus avec impatience par leurs collègues, comme le prouve le dernier communiqué du syndicat National des Médecins Hospitaliers Force Ouvrière :

« IMPERITIE MINISTERIELLE ET COERCITION… Les patients ont besoin de médecins… Le maintien des suspensions, au titre de la loi du 5 août, prend un sens nouveau aujourd’hui : celui d’un acharnement déraisonnable. »





« Corrélation n’est pas causalité », quand cela arrange…

[Source : qg.media]

Alors que la « campagne vaccinale automnale » décidée par le gouvernement a démarré en octobre 2022, on voit fleurir les articles de presse affirmant que le covid-19 est toujours aussi mortel mais qu’heureusement les vaccins sont là pour « sauver des vies ». Lorsque des chercheurs indépendants mettent en évidence des effets indésirables graves suite à la vaccination, ils reçoivent une fin de non-recevoir sur le mode « corrélation n’est pas causalité ». En revanche, lorsqu’il s’agit de « prouver » que les vaccins anti-covid « sauvent des vies », alors là on peut y aller tranquillement. Démonstration à partir des d’articles emphatiques du Figaro et du Monde relayant une étude parue dans Nature Human Behaviour et qui, en réalité, ne prouve rien du tout.

Par Pierre CHAILLOT (statisticien) & Laurent MUCCHIELLI (directeur de recherche au CNRS)

Voici venir l’hiver et son lot de malades. Comme chaque année désormais, la période est propice pour faire peur à la population, et lui vendre des vaccins anti-Covid à ARN messager. Car il s’agit bien d’une vente. Les Français n’en sont pas conscients puisqu’ils ne sortent pas leur carte bancaire au moment de recevoir l’injection. Mais il s’agit d’une (énorme) dépense de l’État, qu’ils payent avec leurs impôts. Ce commerce a ses représentants, les « experts » qui écument les plateaux de télévision pour répandre la peur et promouvoir « la » solution, unique et miraculeuse. Des « scientifiques » publient des « études » dans des revues anglophones pour « prouver mathématiquement » l’efficacité du produit. Les médias, enfin, consacrent cette parodie de science médicale par des « articles » qui ressemblent hélas souvent à des encarts publicitaires.

En l’espèce, voilà ce qu’annonçait en grande pompe Le Figaro le mercredi 19 octobre 2022 :

« Malgré de nombreuses preuves scientifiques, certains doutent encore de la gravité du Covid-19, ou minimisent l’efficacité des vaccins. Ces deux points sont très clairement prouvés par une large étude sur l’espérance de vie moyenne dans 29 pays, entre 2019 et fin 2021, notamment en Europe et aux États-Unis, publiée lundi dans la revue Nature Human Behaviour ».

Et le journal Le Monde, dont le crédo covidiste ne se dément pas, lui emboitait le pas quelques jours plus tard, avec un titre particulièrement catastrophiste :

« En Europe, le Covid-19 a entraîné une baisse de l’espérance de vie sans précédent depuis soixante-dix ans ».

Rien que cela ! Enfin, le 2 novembre, le même quotidien du soir, qui soutient très activement le pouvoir exécutif depuis le début de la crise sanitaire, publiait un éditorial estimant que cette étude démontrait que « la corrélation entre la vaccination et une perte d’espérance de vie moins importante est clairement établie » et que cela « relativise la virulence des critiques portées, pendant la pandémie, contre l’organisation de la santé publique ».

Sans présumer des intentions de leurs auteurs (ni, bien entendu, de celles des chefs de rédactions qui les chapeautent), constatons toutefois que ces articles tombent à pic pour le gouvernement (et les industriels qui leur vendent ces produits), ce dernier venant en effet de lancer officiellement sa « campagne de vaccination automnale contre le covid-19 ». Mais corrélation n’est pas causalité, et il s’agit peut-être d’un simple hasard…

Pour revenir à l’analyse scientifique, nous allons voir que cette étude ne « prouve » ni la gravité du Covid-19, ni l’efficacité des vaccins. Nous allons montrer que les auteurs se servent des statistiques disponibles non pas pour questionner la réalité mais pour chercher à conforter leur théorie préconstruite que l’on peut résumer ainsi : « le Covid-19 c’est très très grave, mais heureusement les vaccins sûrs et efficaces vont nous sauver ».

« C’est le Covid-19 qui tue »

Le Figaro propose cet article de propagande sur la base d’une étude publiée par Nature Human Behaviour. Cette dernière affirme que « la pandémie a fait reculer l’espérance de vie » et que « la vaccination a permis de la remonter ». Une fois n’est pas coutume, cette étude est basée sur les statistiques de décès toutes causes confondues, comme il convient de le faire pour analyser les évènements impactant la mortalité. Du point de vue de la méthodologie scientifique, on regrette toutefois que l’indicateur choisi soit celui de l’espérance de vie, dont nous avons déjà discuté des désavantages. Il convient plutôt d’utiliser un taux de mortalité standardisé (age-standardized mortality rate ou standardized death rate), comme préconisé à la fois par l’OMS comme par Eurostat.

Lorsque l’on respecte cette règle méthodologique on constate que, en réalité, la hausse de mortalité de 2020 a finalement été faible. A condition donc de faire l’effort de standardiser les décès et non de comparer brutalement le nombre de morts d’une année sur l’autre. En effet, les Européens sont de plus en plus nombreux et de plus en plus vieux. Le record du nombre de décès est donc battu presque chaque année. Une fois que l’on standardise les décès pour prendre en compte l’augmentation de la population et son vieillissement, on constate que la hausse de 2020 n’a concerné que quelques pays, et seulement sur les tranches d’âge les plus élevées. En France, par exemple, l’année 2020 est la 6ème année la moins mortelle de toute l’histoire. Pour la totalité des pays d’Europe, 2020 est une année dans la norme de la décennie. C’est, au pire (comme pour la Belgique ou l’Italie), la 10ème année la moins mortelle de toute leur histoire.

Pour certains pays (ceux qui n’ont pas paniqué, comme l’Allemagne et tous les pays scandinaves), 2020 aura même été une année record de sous-mortalité. Arrive alors logiquement cette question : est-ce le virus qui a tué ou bien est-ce la peur du virus, donc les mesures politico-sanitaires ?

« Les faits n’expliquent pas les causes » ou « corrélation n’est pas causalité » signifie qu’on ne peut pas se baser sur la baisse de l’espérance de vie, ou sur l’augmentation du nombre de décès standardisés par âge, pour affirmer que « c’est le virus qui tue ». L’année 2020 n’est pas uniquement marquée par l’arrivée d’un nouveau virus mais aussi, et même surtout, par une incroyable série de dites « mesures sanitaires » ayant complètement désorganisé la chaîne du soin dans certains pays. A contrario, on devrait s’étonner du fait que la pandémie mondiale se soit arrêtée aux frontières de l’Allemagne, qui n’a justement pas mis en place de mesures coercitives en mars 2020, ou encore que la Suède soit proche de battre un record de sous-mortalité. En effet, les données relatives aux « cas de Covid-19 » et aux « décès dus au Covid-19 » montrent que l’Allemagne ou la Suède en ont comptabilisé comme ailleurs. Mais s’ils ont autant de morts « Covid-19 » que les autres, pourquoi n’ont-ils pas plus de morts que les autres années, même plutôt moins ? Si c’était vraiment le virus qui tuait tandis que les mesures protégeaient, on devrait avoir moins de morts dans les pays qui mettent en place des mesures sanitaires coercitives et davantage dans les autres. Or on observe exactement l’inverse.

En fait, l’étude publiée par Nature Human Behaviour avoue que les données estampillées « Covid-19 » sont inexploitables et montrent des incohérences massives : « The inconsistent registration of deaths due to COVID-19 across countries complicates any cause-of-death attribution analysis, including ours. We found lower-than-expected mortality due to non-COVID-19 causes in 2021 in Belgium, England and Wales, France, and Slovenia. Whether these results are an artefact of an overly broad definition of COVID-19-related deaths or point towards a genuine decline in non-COVID mortality (due to, for example, mortality displacement or the lack of flu deaths) is unclear at this point. For France, overcounting COVID-19 deaths seems unlikely, as the underlying data on COVID-19 death counts used here originate from Santé Publique France, which uses a very strict definition of “death due to COVID-19” ». Traduction :

« L’enregistrement incohérent des décès dus au COVID-19 dans les pays complique toute analyse d’attribution des causes de décès, y compris la nôtre. Nous avons trouvé une mortalité plus faible que prévu due à des causes autres que la COVID-19 en 2021 en Belgique, en Angleterre et au Pays de Galles, en France et en Slovénie. On ne sait pas si ces résultats sont le résultat d’une définition trop large des décès liés au COVID-19 ou indiquent une véritable baisse de la mortalité non liée au COVID (en raison, par exemple, d’un déplacement de la mortalité ou de l’absence de décès dus à la grippe). Pour la France, un sur-comptage des décès dus au COVID-19 semble peu probable, car les données sous-jacentes sur le nombre de décès dus au COVID-19 utilisées ici proviennent de Santé Publique France, qui utilise une définition très stricte du décès dû au COVID-19 ».

Nous pouvons facilement répondre aux auteurs que tout le comptage des décès « dus au Covid-19 » est le fruit de règles administratives arbitraires sans lien avec une maladie identifiable (voir nos explications ici). En réalité, ces données sont inexploitables dans tous les pays suivant la nomenclature imposée par l’OMS, dont la France. La disparition statistique de la « grippe » ne signifie qu’une seule chose : on attribue désormais toute la mortalité due aux « infections respiratoires aiguës » au Covid-19, alors qu’on l’attribuait avant à la grippe. Par ailleurs, le « nombre de vies sauvées par restrictions de déplacements » est ridiculement faible par rapport au nombre de soi-disant décès « dus au Covid-19 ». D’un côté on aurait 60 000 morts « du Covid-19 » contre 500 « vies sauvées par restrictions de déplacements ». Au final, nous avons donc montré que les statistiques de décès toutes causes confondues ne permettent pas d’attribuer la cause du décès et que les statistiques « décès Covid-19 » portent des incohérences massives. La Suède, la Norvège ou l’Allemagne nous montrent qu’un pays peut déclarer de nombreux « décès Covid-19 » sans enregistrer la moindre hausse de mortalité générale à la fin de l’année.

En revanche, du côté des mesures, nous disposons de sources fiables et officielles nous permettant d’évaluer les pertes de vies humaines qu’elles ont engendré, ainsi que nous l’avons expliqué dans une interview récente au journal Kairos. Pour résumer l’argumentation :

1) il est normal d’enregistrer une augmentation du nombre de décès à domicile lorsque l’on isole les gens chez eux et qu’on leur déconseille de se rendre à l’hôpital. Le nombre d’interventions pour urgences cardiaques et urgences AVC s’est effondré pendant les confinements. Le nombre de vies qu’on peut estimer perdues à cause de cette décision en mars-avril 2020 est quasiment égal à la surmortalité constatée à domicile sur cette période.

2) il est normal d’enregistrer une hausse de décès à l’hôpital lorsqu’on demande aux gens, en cas de maladie respiratoire, de ne pas consulter de médecin et de laisser la situation s’aggraver. Le nombre de décès « pour Covid-19 » le jour même de l’arrivée à l’hôpital est dramatiquement élevé. La surmortalité hospitalière de mars-avril 2020 est quasiment égale au nombre de personnes décédées dans les 3 jours de leur arrivée à l’hôpital « pour Covid-19 ». C’est qu’elles y sont arrivées trop tard.

3) il est normal d’enregistrer une hausse des décès dans les Ehpad lorsque, en lieu et place des soins habituels, on met en place un « protocole palliatif Covid » en considérant les plus âgés comme « insauvables » et en les accompagnant vers le décès en cas de « soupçon de Covid-19 ». La surmortalité dans les Ehpad sur la période mars-avril 2020 correspond au nombre de « bénéficiaires » du « protocole palliatif Covid » (Rivotril, Valium…).

En additionnant ces trois seules causes de décès, on explique la quasi-totalité de la hausse de mortalité de 2020 en France. Nous ne pouvons donc pas écarter l’hypothèse que, si le gouvernement n’avait pas mis en place ces mesures délétères, nous aurions nous aussi vécu une année de faible mortalité, comme l’Allemagne ou les pays scandinaves.

Donc non, cette étude ne « prouve » en aucun cas que « c’est le Covid-19 qui tue », elle constate simplement que 2020 est une année de hausse de la mortalité dans un certain nombre de pays. Les auteurs font ensuite « l’hypothèse » que cette hausse serait uniquement due au Covid-19, pour faire semblant de conclure que tel serait bien le cas. C’est ce que l’on appelle un raisonnement tautologique et non une démonstration. En réalité, dans certains pays comme la France, la corrélation entre hausse de mortalité et pandémie s’explique surtout par le fait que la panique politico-médiatique a entraîné le plus gigantesque abandon de soin jamais observé.

« C’est le vaccin qui sauve »

À la lumière de ce que nous venons de voir, il est normal que l’année 2021 enregistre une amélioration, puisque la mise en place de la vaccination est concomitante de l’allègement de la plupart des mesures politico-sanitaires les plus coercitives et les plus délétères (un seul confinement en 2021, d’une durée de 28 jours, contre deux confinements en 2020, d’une durée cumulée de 102 jours). La vaccination est corrélée à une « hausse de l’espérance de vie » dans les pays limitant les mesures délétères. En clair, si l’on arrête de nuire aux gens, ils vivent un peu plus longtemps… Encore une fois, la baisse de la mortalité ne signifie en aucun cas que « c’est l’injection qui sauve des vies » car, justement, corrélation n’est pas causalité. Au demeurant, les pays qui ne remontent pas la pente en 2021 ne sont pas « ceux qui vaccinent moins », mais ceux pour lesquels la mise à l’arrêt de l’économie et d’une grande partie de la vie sociale en 2020 a été la plus préjudiciable, notamment les pays d’Europe de l’Est.

Pour s’en rendre compte, regardons le PIB par habitant des pays d’Europe. Les pays où on meurt le plus en 2021 sont en réalité les pays les plus pauvres, donc ceux qui proposent le moins de mécanismes d’amortissement social à leurs populations. Vivement le vaccin anti-pauvreté pour prolonger l’espérance de vie !

Pour conclure

N’en déplaise aux journalistes qui tentent encore de sauver le récit officiel (la doxa) de la « crise du Covid », l’étude publiée par Nature Human Behaviour ne prouve en aucun cas que l’amélioration de l’espérance de vie en 2021 par rapport à 2020 est due au vaccin. En 2021, les mesures politico-sanitaires étaient en revanche moins délétères qu’en 2020 et telle est bien plus probablement la clef d’interprétation. En toute rigueur, les auteurs de l’étude sur laquelle les journalistes se sont jetés ne font aucune démonstration, ils ne font qu’un raisonnement tautologique. D’abord ils présupposent que « le vaccin sauve des vies ». Ensuite, ils attribuent la baisse de mortalité au vaccin. Et ils concluent que « la science confirme que le vaccin sauve des vies ». CQFD… En réalité, cette étude est une pseudo-démonstration statistique, basée sur un « modèle » qui se trouve être biaisé dans ses prémisses mêmes. On en a désormais (hélas) l’habitude.

Au passage, constatons que, lorsque des chercheurs indépendants mettent en évidence des effets indésirables graves suite à la vaccination, ils reçoivent une fin de non-recevoir sur le mode « corrélation n’est pas causalité ». En revanche, lorsqu’il s’agissait hier de « prouver » que les protocoles thérapeutiques proposés par des médecins généralistes ou par ceux de l’IHU de Marseille étaient inefficaces voire dangereux, comme lorsqu’il s’agit aujourd’hui de vendre les vaccins anti-covid, alors là on peut tranquillement déduire la causalité de la corrélation. L’hypocrisie et la malhonnêteté intellectuelle ne sont-elles pas évidentes ?




Homo Collabo, pacsé avec Hommo Economicus ?

  • À tous les apprentis collabos.
  • Commençons par ceux qui n’ont rien dans le ciboulot
  • Auxquels on ne peut vraiment pas en vouloir
  • De se complaire dans la sphère des ignares
  • Il y a ceux qui en ont sous le calot
  • Prétextant fièrement leur QI, ils se comportent en fieffés idiots
  • Il y a ceux que l’on mène à l’abattoir comme des moutons de panurge
  • Qui ne réalisent pas que pour leur sauvetage cela urge
  • Il y a ceux qui y croient
  • Qu’importe pour eux le résultat
  • Il y a ceux qui font croire qu’ils croient
  • Et qui leurs arrières imaginent pouvoir protéger en toute mauvaise foi
  • Il y a les élites mondialistes démoniaquement criminelles
  • Qui agissent car déjà sur Terre ils exigent, pour eux seuls, la félicité du ciel
  • Il y a ceux bloqués à des degrés d’irréflexion intermédiaires
  • Restos et supermarchés ouverts donc aucun mouron à se faire
  • Il y a ceux qui se contentent de téter à la télé
  • Et qui ne veulent se frotter à d’autres vérités
  • Ils y a ceux qui sont inféodés à la blouse blanche
  • À laquelle, pour mal vivre et trop tôt mourir ils donnent carte blanche
  • Il y a ceux qui ne peuvent imaginer l’abject de la gouvernementale déraison
  • Même si mille fois les évènements confirment leur déplorable soumission
  • Il y a ceux qui paniquent parce qu’ils sont ainsi fait
  • Qu’il y ait une cause ou parce que tout les effraie
  • Ils y a ceux qui obéissent aux instances supérieures sans se poser de questions
  • Au procès de Nuremberg tous les nazis l’ont confessé, sans exception
  • Il y a ceux qui disent s’en foutre mais qui n’en pensent pas moins
  • D’autant qu’au fond d’eux ils pressentent que l’avenir est plus qu’incertain
  • Il y a ceux, beaucoup trop nombreux, qui profitent de la situation
  • Pour se comporter en petits couillons sadiques en mal de considération
  • Il y a ceux qui ont oublié humanisme, probité et gratitude
  • En écartant de leur route tout ce qui ne répond pas à leurs certitudes
  • Il y a ceux qui ne jurent que par la supercherie des élections
  • Fonctionnant uniquement avec les neurones sur la couture du pantalon
  • Il y a ceux, dupés par des vrais faux positifs qui ont cru sacrifier à la bonne cause
  • Se faisant injecter des poisons innommables jusqu’à l’overdose
  • Il y a ceux qui toutes ces agressions organiques ont très mal digéré
  • Victimes des effets secondaires qui tuent ou amochent salement du gugusse la santé
  • Et il y a les autres, la petite minorité d’autres, qui fait face à l’énormité de l’irrationnel
  • Ceux qui sentent au fond de leurs tripes que l’humanité est en péril mortel
  • Essayant de tendre la main à tous ces collabos dont beaucoup s’ignorent
  • Avec eux le sursaut indispensable pour la vie de chacun serait bien plus fort
  • Cette petite frange de la société que l’on traite de complotistes fêlés
  • Qui se bat seule pour un monde beaucoup plus altruiste engendrer
  • Contre l’infinie bêtise humaine et des monceaux indécents de fric
  • Amoncelés par quelques rebuts humains à l’esprit satanique
  • Nous sommes au milieu du gué et pour certains bien désemparés
  • Comme l’histoire n’est jamais totalement écrite, évitons de désespérer.
  • Dans l’épreuve les âmes fortes se fortifient
  • Avec tous ceux qui ne sont pas ou plus aveugles restons combattifs et unis !
  • Apprentis collabos, il n’est pas trop tard pour nous rejoindre
  • Reconnaître avoir été trompé est une vertu, et non des moindres.

Brounahans l’Alsaco 10/2022




Médecine du Sens

[Source : conversationpapillon.com via Nathalie Brochard
Fondatrice de Acméditions et partenaire de Conversation Papillon.]

Donnez du sens aux maladies et aux événements de votre vie

Microformation gratuite avec le Dr Olivier Soulier

Médecin, acupuncteur, homéopathe et créateur de la Médecine du Sens

[NDLR Le contenu de l’article est légèrement adapté pour être présenté ici.]

Découvrez la Médecine du Sens…

La microformation gratuite présentée par le Dr Olivier Soulier est disponible !

Si la santé et la compréhension du sens de la maladie vous intéressent…
Si vous souhaitez donner un sens à différents événements de votre vie…
Cette série de 4 vidéos exceptionnelles vous intéressera au plus haut point!

[Voir ici pour s’inscrire gratuitement]

Cette microformation gratuite comprenant 4 vidéos transformatrices est pour vous! 


Le contenu présenté ne constitue pas un enseignement médical, il parle de philosophie, de psychologie et de courant de pensées de la santé. Il est partagé à titre informatif et ne peut se substituer à un diagnostic effectué par un médecin ou un professionnel de santé. Soignez-vous toujours en accord avec votre médecin et les données acquises de la science.

Vidéo 1

Comprendre la maladie pour aider à guérir

La maladie est l’occasion de rentrer dans le sens des choses. Elle survient dans notre vie pour nous dire «Là, il y a quelque chose qui ne vas pas !» Elle survient pour nous informer que nous sommes en perte de cohérence.

Il est important dans la médecine de faire le lien entre la somatisation et le psychique.

La maladie ne survient pas par hasard. Faites l’exercice du fil imaginaire (PDF à télécharger) et vous verrez comment certaines situations sont survenues dans votre vie pour vous parler de «vous», pour vous aider à conscientiser un aspect de vous que vous ignorez.

Vidéo 2

Relier le corps à l’esprit par la conscience

Pourquoi je suis malade? Que dois-je faire pour rester en bonne santé? Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la somatisation n’est pas forcément une mauvaise chose. 

Notre corps exerce une veille permanente. Il est le témoin de la manière dont nous nous accomplissons dans la vie. Avant que la maladie survienne, il nous alerte par de nombreux messages. C’est le signal que quelque chose ne va pas. Que nous sommes en perte de sens. Avant que la masse des incohérences ne s’accumule, il est temps de réagir. Mais comment comprendre et interpréter ce message?

Toute maladie a une fonction d’apprentissage. Elle nous invite aussi à se poser cette question:  sommes-nous la prolongation de l’histoire de nos parents ou plutôt l’auteur de notre propre vie? C’est la porte du transgénérationnel.

Vidéo 3

Le rôle de la psychologie dans le processus de guérison

Le Docteur Soulier évoque ici de nombreux exemples de pathologies, des cas concrets qui nous permettront de faire des liens avec nos propres maladies.

On remarquera qu’il y a trois types de maladies qui ont chacune différentes fonctions. Les maladies aiguës chez les enfants par exemple sont nécessaires pour favoriser son immunité et lui apprendre le monde. Vous découvrirez aussi comment certaines médecines, comme l’homéopathie, la médecine traditionnelle chinoise ou ayurvédique sont d’un apport considérable dans les maladies chroniques et dégénératives.

La santé, c’est la joie d’avancer dans la fluidité et l’acceptation des choses, nous expliquait Spinoza. C’est lorsque nous comprenons, lorsque le sens arrive à notre conscience, que nous pourrons transformer notre vie.

Vidéo 4 | Jeudi 3 novembre  

Vivre en santé et s’accomplir !

Dans cette quatrième et dernière vidéo, le Docteur Olivier Soulier résume ce qu’est la Médecine du Sens et jusqu’où sa découverte peut nous mener. On parlera d’inhibition, d’amour tout autant que de neurosciences. On fera le lien entre émotions et pensées. D’imaginaire et d’intuition… Du lien entre le corps et l’esprit…

Il prendra aussi un moment pour présenter la grande formation en Médecine du Sens pour les personnes qui désirent aller encore plus loin et poursuivre en sa compagnie au cours des mois à venir.

Pratiquer la «Médecine du Sens» c’est bien plus que comprendre le sens des maladies, c’est arriver à donner un sens aux événements dans l’ouverture de la conscience, c’est avancer sur le chemin de la transformation et l’accomplissement de soi.

À propos du Dr Olivier Soulier…

Olivier Soulier est à l’origine en France, depuis plus de 35 ans, du mouvement sur la compréhension du sens des maladies et des événements de notre existence. Depuis, il ne cesse de développer cette analyse dans une vision symbolique plus large, qu’ il applique à des domaines variés comme les microbes, les hormones, l’embryologie, les dents, les désirs alimentaires, les maladies et de tout ce qui fait le quotidien de notre vie.

Il enseigne et donne sa première conférence « A quoi servent les maladies » dès 1988. Son travail, son intuition, ses compétences lui permettent de découvrir de nombreux nouveaux codes.

La spécificité d’Olivier Soulier est d’aller dans l’infiniment petit, de déchiffrer l’embryologie comme un livre nous révélant l’essence de l’infiniment grand. Cette lecture originale permet d’accéder aux clés de compréhension des codes biologiques et symboliques. Enseignée avec le cœur, cette connaissance donne accès aux bases physiques et psychiques de l’être humain, pour approcher le sens de la maladie, le sens de la vie. Elle peut devenir source de guérison.

Les notions médicales que propose Olivier Soulier s’inscrivent à la fois dans une réalité scientifique et symbolique. Sa vision reste très concrète et s’est enrichie d’une pratique régulière en cabinet. Il utilise une vision ouverte de la médecine et s’appuie en même temps sur de solides bases psychologiques et scientifiques. Il sait rendre ces aspects facilement abordables pour tous, par l’utilisation d’exemples et de formes imagées simples.

Ses étudiants témoignent…

Le Dr Olivier Soulier a offert plusieurs conférences, ateliers et  formations sur les ondes de Conversation Papillon. Voici ce que les participants nous ont partagé à la suite à leur expérience…

« Le Docteur Soulier est un être extraordinaire, je lis tout ce qu’il écrit, je l’écoute chaque fois que cela m’est possible, quelle intelligence et quelle intelligence du cœur… merci Docteur. »

Josiane Girardin 

« Je rêve que votre discours puisse être porté et entendu par le « grand » public »

Muriel 

« Conférence très enrichissante et présentée avec grande clarté et gentillesse. Grand merci Dr Soulier et à toute l’équipe. »

Gayatri 

« Merci pour la pertinence de cette conférence, tellement aidante à plus d’un titre. Chacun peut trouver un mot, une citation, une sensation qui résonne en son fort intérieur. Merci infiniment pour ces cadeaux, véritable manifestation d’AMOUR. »

Patricia

« La médecine du bon sens même ! J’adore tout ce que dit Olivier Soulier, c’est tellement logiquevivant, la Vie est intelligence pure, la décoder comme il le fait est pure jouissance! »

Enora

« Merci pour ce beau moment de partage qui donne un éclairage nouveau sur la vie. »

Patricia R

« Excellent ! Tellement juste et sage ! Le titre de sa conférence dit tout. Il s’agit d’une belle invitation au retour à SOI, à l’écoute de soi et à la connexion à notre unité, notre harmonie et en deça de tout, à la Source. TOUT est en nous. En écoutant Olivier, on revient à la vision juste de ce que veut dire « être en santé ». Merci !!! »

Georges

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Avec le Dr Olivier Soulier, médecin, acupuncteur, homéopathe et créateur de la Médecine du Sens

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Business de l’avortement (la face cachée de l’iceberg)

[Source : CitoiCitoyen]

Les fœtus humains pour exhausteurs de goût, pour les aliments et les boissons…!?
Les fœtus humains pour des vaccins !?




[Source : iatranshumanisme.com]

Le Figaro — États-Unis : le planning familial accusé de trafic d’organes de fœtus

Une responsable du Planning familial américain reconnaît en caméra cachée revendre des morceaux de fœtus (sous-titrage anglais).

Au bout de trois ans d’enquête, le Center for Medical Progress dévoile les pratiques réelles de la Planned Parenthood Federation (PPF), équivalent américain du planning familial.

Cette vidéo, filmée en caméra cachée lors d’un repas d’affaires, est hélas éloquente : on y voit Deborah Nucatola, directrice des services médicaux, détailler la revente de « pièces » d’embryons humains, non pas incinérés tels des « déchets médicaux », mais bel et bien revendus comme des organes humains. Un trafic d’organes de fœtus issus d’avortements tardifs, ni plus ni moins. Dans cette vidéo, le Dr Deborah Nucatola décrit en détail comment le Planned Parenthood vend des parties du corps de fœtus avortés et reconnaît avoir recours à l’avortement par naissance partielle, pour mieux récupérer des organes et des corps intacts, et ainsi être en mesure de répondre à la demande. Sa description de ses actes médicaux glace le sang : « Nous sommes très bons pour récupérer le cœur, les poumons, les reins intacts », explique-t-elle. La procédure décrite, de guidage par ultra-son pour manipuler le fœtus, est par ailleurs considérée comme illégale aux États-Unis.

LIRE AUSSI ��  La dépendance à Internet crée un déséquilibre dans le cerveau

«Beaucoup de gens veulent des cœurs. Hier, on m’a demandé des poumons. Certains d’entre eux veulent des extrémités. Ça, c’est facile. Je ne sais pas ce qu’ils en font, je suppose qu’ils veulent du muscle.»

Le médecin donne également des précisions sur le prix de vente de ces organes qui s’écouleraient de « 30 à 100 dollars le spécimen ». Aux États-Unis, le commerce de tissus fœtaux humains constitue un crime fédéral punissable de 10 ans de prison et de 500 000 dollars d’amende. S’ajoute également l’homicide, car le fait de tuer des bébés « intacts » ayant survécu aux avortements par naissance partielle est placé au même niveau que le meurtre.

Les réactions des autorités ont été immédiates, notamment de la part du gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal qui demande l’ouverture d’une enquête conjointe du FBI et du département de la santé et des hôpitaux sur les pratiques du planning familial.

[Voir la suite sur :] Le Figaro

Le Dr Gatter est montrée, dans cette nouvelle vidéo, en pleine négociation sur le prix des organes vendus…




COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE

[Source : businessbourse.com]

Pourquoi les chercheurs et les journalistes ont-ils autant traîné pour poser les bonnes questions ? Vous aurez bientôt tous les détails, c’est affligeant !!!

« À une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

George Orwell

Alors que nous approchons de la troisième année de la « crise de Covid », l’histoire de Covid autrefois inattaquable — rapportée et répétée par les politiciens, les mandarins de la santé publique et tous les médias grand public — a été remplacée par des contradictions et des incohérences.

L’histoire originale de Covid, racontée par des « experts » de la santé et des représentants du gouvernement, a parlé d’un agent pathogène particulièrement virulent qui a assiégé la planète en 2020 et s’est propagé très rapidement, terrorisant, infectant et tuant des gens en masse.

C’était l’histoire d’un « événement de niveau pandémique » au cours duquel les gens ont été invités à rester chez eux, des secteurs entiers de la société ont été contraints de fermer et les humains ont été invités à faire tout leur possible pour éviter tout contact les uns avec les autres.

C’était une histoire d’écoles fermées, d’entreprises fermées, d’églises fermées et d’hôpitaux complètement débordés.

Dans les chapitres suivants, l’histoire de Covid est passée de vérités à toute épreuve, « Suivez la science », à des définitions en constante évolution, « La science évolue ». D’innombrables aspects du récit « officiel » ont changé du jour au lendemain. Peu à peu, l’histoire est devenue pleine de pages de statistiques douteuses et d’intrigues toujours changeantes.
Que penser de toutes ces contradictions et mutations ministérielles ?

Bientôt, la seule certitude dans le récit de Covid est devenue son incertitude.

Tenter de donner un sens à l’énigme Covid a rapidement nécessité de naviguer dans un labyrinthe complexe de tromperies, de manipulations, d’obscurcissements et de dissimulations. Séparer les faits de la fiction devenait chaque jour plus difficile.

Alors que la plupart ont persisté avec le scénario médiatique et les décrets gouvernementaux, certains ont commencé à remarquer les nombreuses anomalies et ont commencé à poser des questions.

La question la plus criante était simplement : « Pourquoi personne n’a-t-il été autorisé à poser des questions ? » Une fois cette boîte de Pandore a été ouverte, un flot de questions a fusé.

Pourquoi les médias ne posaient-ils aucune question ? Pourquoi tous les pays riches fonctionnent-ils tous de manière très coordonnée ?

Avons-nous été alertés de cet « événement de niveau pandémique » par nos observations et expériences directes ?

Étions-nous entourés de personnes malades, dans nos maisons, nos quartiers et nos lieux de travail, qui succombaient à un virus à propagation rapide et dangereux ?

Si nous étions vraiment dans une pandémie aux proportions bibliques, y aurait-il autant de discussions sur les détails épidémiologiques ?

« Si vous devez être persuadé, rappelé à l’ordre, mis sous pression, incité, contraint, intimidé, abusé socialement, culpabilisé, menacé, puni et criminalisé. Si tout cela est considéré comme nécessaire pour obtenir votre conformité, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt ».

Ian Watson

Pour vendre la « Covid Story », une campagne de marketing de masse dotée de sa propre nomenclature a été lancée. Le battement de tambour constant du cri de bataille de Covid est devenu incontournable, ressemblant à de la propagande de qualité militaire plutôt qu’à des messages de santé publique.

  • Ces mots d’ordre et cris de ralliement Covid étaient-ils destinés à servir la santé publique ou étaient-ils simplement conçus pour être obéis ? D’où viennent ces idées et ces phrases ?
  • Pourquoi les médias et le gouvernement ont-ils attisé sans relâche la peur et l’anxiété du public ?
  • Pourquoi des millions ont-ils été dépensés pour des équipes de gestion comportementale ?
  • Comment l’expression « la nouvelle normalité » est-elle apparue dans les premières semaines de la pandémie ?
  • Une manipulation psychologique soutenue a-t-elle été utilisée pour créer la peur et contraindre le public ?
  • Les symptômes de Covid étaient-ils vraiment uniques ou étions-nous conditionnés à croire qu’il y avait une nouvelle maladie ?
  • Les statistiques sur les décès de Covid ont-elles été manipulées pour créer la perception d’une crise ?
  • Les confinements étaient-ils une question de protection ou de contrôle social ?
  • Les confinements ont-ils réduit les décès ou provoqué une augmentation de la mortalité ?
  • Y a-t-il jamais eu des preuves de « propagation asymptomatique » ou cela a-t-il été exagéré pour effrayer le public ?
  • Comment est-on passé de « deux semaines pour aplatir la courbe » à des « lois d’urgence permanentes » ?

« Les hôpitaux et les médecins s’enrichissent d’une population de masse malade. »

L’une des premières méthodes de la campagne Covid utilisée pour alerter le public de la prochaine tempête de maladies graves était centrée sur la conviction que les hôpitaux allaient être submergés par une cascade de personnes infectées par le Covid.

« Deux semaines pour aplatir la courbe » est devenu un cri de ralliement national.

Le public a été inondé d’histoires de couloirs d’hôpitaux débordés et d’unités de soins intensifs submergées. Des hôpitaux de fortune ont été rapidement construits pour accueillir les infectés excédentaires. Les médias inconditionnels ont amplifié ces histoires créant un climat de panique et d’hystérie généralisé.

Était-ce vrai ?

  • Les hôpitaux américains étaient-ils vraiment débordés ? Que disent les données ?
  • Les hôpitaux de NYC ont-ils été débordés au printemps 2020 ?
  • L’hôpital d’Elmhurst, « l’épicentre de l’épicentre », débordait-il au printemps 2020 ?
  • Les unités de soins intensifs étaient-elles submergées de patients ?
  • Les hôpitaux américains étaient-ils plus occupés en 2020 qu’ils ne l’étaient en 2019 ?
  • Les hôpitaux sont-ils régulièrement débordés pendant la saison du rhume et de la grippe ?

« La peur est un marché. Instiller la peur chez les gens a aussi des avantages. Pas seulement en termes de consommation de drogue. Les personnes anxieuses sont plus faciles à gouverner. »

Au fur et à mesure que la pandémie s’accélérait, le « bilan des morts de Covid » est devenu un marqueur quotidien martelé par les mégaphones des médias corrompus et les tableaux de bord de la mortalité.

Des récits horribles de la « première vague » de décès de Covid ont été diffusés sur tous les canaux médiatiques au même rythme. Des histoires poignantes de morgues débordantes et de camions réfrigérés remplis de cadavres de Covid ont saturé les nouvelles du soir. Alors qu’une explication plus simple pour ces camions était facilement disponible, un média docile et complice s’est bouché les oreilles et a continué à fabriquer l’hystérie de masse.

Là encore, toutes les questions susceptibles de semer le scepticisme ont été tenues à l’écart du débat public.

Mais cette marche de la mort annoncée était-elle vérifiable ou était-ce encore une autre caractéristique de la campagne sur la peur du Covid ?

  • Le nombre de décès et les certificats de décès de Covid étaient-ils exacts ou les décès de Covid ont-ils été artificiellement gonflés ?
  • Quel était l’âge moyen des décès de Covid et comment cela se compare-t-il à l’espérance de vie normale ?
  • Quel pourcentage de décès de Covid provenaient de personnes qui avaient déjà plusieurs comorbidités ?
  • Les photos de cercueils de Bergame, en Italie, en mars 2020, utilisées pour terrifier le monde, étaient-elles authentiques ?
  • Pourquoi CNN a-t-elle rapporté qu’un garçon géorgien de 7 ans est mort de Covid lorsqu’il s’est noyé dans une baignoire après une crise ?
  • Combien de décès de Covid dus à des « blessures intentionnelles et non intentionnelles, empoisonnements et autres événements indésirables » ont été placés dans le décompte des décès du CDC COVID ?
  • Pourquoi 14 369 décès par blessures, 1 265 décès dus à des chutes, des décès par noyade et des suicides ont-ils été répertoriés dans le décompte des décès de Covid-19 ?
  • Pourquoi le CDC a-t-il changé les méthodes d’enregistrement exclusivement pour les décès de Covid et cela a-t-il gonflé le nombre de décès de Covid ?

« L’une des leçons les plus tristes de l’histoire est la suivante : si nous avons été dupés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de la tromperie. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. »

Alors que le prétendu naufrage de la « première vague » s’est calmé et que le nombre de corps n’a pas atteint les totaux prévus, le récit a brusquement changé.

« The Covid Death » a été remplacé par « The Covid Case » comme principal vecteur de peur. Ce qui définissait un « cas Covid » semblait généralement à gagner. Les définitions de « cas » allaient de toute personne « suspectée d’avoir Covid » à celles qui étaient « positives », comme établi par les tests PCR.

Nulle part dans les médias, on ne pouvait trouver un journaliste curieux qui remettrait en question ce que cela signifiait d’être un « cas probable ». Même lorsque la PCR est devenue une caractéristique courante de la vie quotidienne, la validité de son utilisation en tant qu’outil de diagnostic n’a jamais été examinée par aucune source grand public.
Ces comptages de cas et les méthodes utilisées étaient-ils fondés sur une base scientifique solide ?

  • Le Covid-19 était-il un nouveau virus ?
  • Comment le processus d’examen par les pairs de la publication critique sur les tests PCR Covid n’a-t-il duré qu’une journée ?
  • Les résultats du test PCR Covid étaient-ils exacts ?
  • Le nombre de cas et les diagnostics de Covid étaient-ils exacts ?
  • Les tests PCR ont-ils été utilisés de manière trompeuse pour inventer des « cas » Covid ?
  • Pourquoi la définition d’un « cas » Covid a-t-elle été modifiée ?

« La grande industrie pharmaceutique a besoin de personnes malades pour prospérer. Les patients, et non les personnes en bonne santé, sont leurs clients. Si tout le monde était guéri d’une maladie ou d’une maladie particulière, les sociétés pharmaceutiques perdraient 100 % de leurs bénéfices sur les produits qu’elles vendent pour cette maladie. Cela signifie que c’est parce que la médecine moderne est si étroitement liée à la culture des profits financiers, c’est une industrie de la maladie plus qu’une industrie de la santé. »

Une fois qu’il a été fermement établi dans l’esprit du public qu’une menace pathogène se cachait juste devant leur porte, un barrage incessant de messages, d’éclairage au gaz et de coercition a éclaté sous tous les angles.

Le monde entier a été informé à plusieurs reprises que le seul salut pour l’espèce humaine était un produit médical expérimental génétiquement modifié, concocté à « Warp Speed » par des sociétés pharmaceutiques géantes. Ceci, seulement ce médicament pourrait sauver l’humanité de la catastrophe.

Comme de nombreuses autres facettes de l’histoire de Covid, l’histoire de Big Pharma et de leurs potions magiques s’est révélée après un examen plus approfondi. Plusieurs questions se sont posées :

  • Si Big Pharma est vraiment dans le domaine de la santé publique, quel est son bilan historique en matière de protection de la santé publique ?
  • Quels sont les antécédents de Pfizer en matière de fraude et de corruption ?
  • Est-ce que Big Pharma a recueilli tous les processus de la FDA et a vérifié s’ils étaient réglementaires ou orientés politiquement ?
  • Big Pharma contrôle-t-il le CDC ?
  • Big Pharma influence-t-il les essais cliniques ?
  • Les essais cliniques de Pfizer pour les vaccins Covid ont-ils été correctement menés ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle tenté de dissimuler les données des essais du vaccin Covid pendant 75 ans ? Qu’ont révélé les données de l’essai ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle refusé de rendre publique sa surveillance de la sécurité des vaccins ?
  • Comment le CDC a-t-il décidé que les essais cliniques de Pfizer s’avéraient un vaccin « sûr et efficace » ?

« Je suis pour la vérité, peu importe qui la dit. Je suis pour la justice, peu importe qui est pour ou contre. Je suis un être humain, avant tout, et en tant que tel, je suis pour qui et quoi que ce soit qui profite à l’humanité dans son ensemble. »

Malcolm X

Lorsque le déploiement à très grande échelle des vaccins expérimentaux contre le Covid a été lancé, une campagne obligatoire faisant taire toutes les voix qui osaient remettre en cause l’impératif vaccinal a été mise en place. Même ainsi, certaines voix d’appréhension se sont glissées entre les mailles du filet. Beaucoup de ces voix étaient parmi les praticiens médicaux les plus renommés dans leur domaine.

Pourquoi leurs voix n’ont-elles pas été autorisées dans les conversations grand public ?

  • Pourquoi des milliers de médecins dissidents ont-ils été censurés et réduits au silence ?
  • Pourquoi les médecins qui ont parlé du traitement précoce ont-ils été vilipendés et censurés ?
  • Les vaccins Covid étaient-ils nécessaires, efficaces ou sûrs ?
  • Les vaccins Covid arrêteraient-ils les hospitalisations ou les décès ?
  • Les preuves de préjudices et d’événements indésirables graves des essais cliniques ont-elles été dissimulées ?
  • Pourquoi les médias ont-ils gardé le silence sur les dangers potentiels du vaccin Covid ?
  • Les gens ont-ils reçu un consentement éclairé approprié pour les vaccins Covid ?
  • Que disaient plusieurs études dès 2020 sur les vaccins Covid et les lésions microvasculaires ?
  • Pourquoi des scientifiques indépendants n’ont-ils pas été autorisés à examiner les flacons de vaccin à ARNm ?
  • Y avait-il un lien entre l’inflammation cardiaque et les vaccins Covid ?
  • Pourquoi les enfants ont-ils été ciblés pour la vaccination alors qu’on savait qu’ils étaient à risque zéro de la maladie en question ?
  • Y avait-il des médecins qui appelaient à l’arrêt du programme de vaccination contre le Covid ?

Alors que les employés des hôpitaux étaient idolâtrés comme des héros, des rapports ont commencé à fuir laissant entendre que ce qui s’était réellement passé à l’intérieur de ces établissements médicaux était contraire au récit soutenu des médias. Au fur et à mesure que de plus en plus d’histoires faisaient surface, les soupçons se sont intensifiés selon lesquels cela faisait également partie de la mythologie de Covid.

Des questions concernant les traitements dans les hôpitaux et les maisons de retraite ont émergé et des allégations d’intérêts financiers se sont matérialisées.

  • Les hôpitaux ont-ils été incités à fabriquer des patients Covid ?
  • Quels étaient les protocoles de traitement de l’hôpital Covid ?
  • Les hôpitaux ont-ils été incités à mettre les patients Covid sous ventilateurs et à utiliser le Remdesivir ?
  • Ces incitations et protocoles ont-ils mis les gens en danger ?

« Le silence face au mal est en soi un mal. »

Dietrich Bonhoeffer

Dans les premiers chapitres de l’histoire de Covid, peut-être qu’aucun autre scénario n’a piégé notre imagination et tiré sur nos cordes sensibles comme le schibboleth « Sauver grand-mère ». On nous a dit que « Covid-19 » ciblait les personnes âgées et les malades et de multiples rapports du monde entier ont révélé un schéma cohérent de la façon dont les situations horribles se sont déroulées dans les établissements de soins de longue durée.

Au fur et à mesure que de plus amples informations sur cette pièce du puzzle sordide de Covid faisaient surface, de plus en plus de questions se sont posées.

Des milliers de personnes âgées sont-elles décédées à cause du Covid ou à cause de la gestion de leur traitement de fin de vie a-t-elle été retirée les mettant activement dans une situation qui a assuré leur mort ?

  • Qu’est-ce qu’ils voulaient dire quand ils ont dit « prendre soin des personnes âgées ? »
  • Comment ont-ils « pris soin des personnes âgées au Canada ? » Au Royaume-Uni ? En France ? Dans le Maryland ? Dans le Massachusetts ? À Washington DC ? Au Mississippi ? À New York ? Dans le New Jersey ? Au Minnesota ? Dans l’Indiana ? En Louisiane ? Au Michigan ? À Rhode Island ?
  • Les conditions pour des taux de mortalité élevés dans les foyers de soins ont-elles été créées exprès ?

« Je vis à l’ère de la gestion, dans un monde d’“administrateurs”. Le plus grand mal ne se fait plus maintenant dans ces sordides “tanières du crime” que Dickens aimait à peindre. Il ne se fait même pas dans les camps de concentration et de travail. Dans ceux-ci nous voyons son résultat final. Mais il est conçu et ordonné (ému, secondés, portés et minutés) dans des bureaux propres, tapissés, chauffés et bien éclairés, par des hommes tranquilles au col blanc, aux ongles coupés et aux joues bien rasées, qui n’ont pas besoin d’élever la voix. »

CS Lewis

Toutes les histoires complexes nécessitent un casting de personnages et la Chronique de Covid n’était pas différente. Neil Ferguson et Christian Drosten ont joué des rôles de soutien importants dans les coulisses tandis que d’autres, comme Anthony Fauci et Bill Gates, ont occupé le devant de la scène. Au fur et à mesure que nous avancions dans le récit de Covid, nous avons « appris à connaître » ces personnalités à travers les portraits peints par des médias uniformément déférents.

Ces images de notre casting de personnages de Covid étaient-elles des représentations exactes ? Que savions-nous vraiment d’eux ?

  • Que prédisaient les modèles informatiques originaux de Neil Ferguson sur les décès de Covid et quel était son bilan bien documenté ?
  • Comment ses prédictions calamiteuses et inexactes ont-elles joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Qui est Christian Drosten et comment a-t-il développé le désormais célèbre test Covid PCR ?
  • Qui est le vrai Anthony Fauci ?
  • Quel rôle Anthony Fauci a-t-il joué dans la crise du VIH/sida ?
  • Étant donné que Bill Gates n’a aucune formation médicale, pourquoi a-t-il joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Comment Bill Gates a-t-il su en 2019 que les vaccins seraient « l’un des meilleurs achats » en 2020 ?
  • Comment Bill Gates a-t-il utilisé les investissements médicaux pour transformer 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars ?
  • Pourquoi la Fondation Bill et Melinda Gates a -t-elle investi 55 millions de dollars dans les actions de BioNTech en août 2019 ?

« Ils n’ont pas vu que la mondialisation n’était qu’une tactique pour arracher le pouvoir des États-nations aux conglomérats internationaux. Une fois que le pouvoir a été siphonné au peuple et que le contrôle démocratique a été contourné, la capacité d’affirmer la gouvernance mondiale sans aucune retenue démocratique était disponible. »

James Tunney

Enfin, pour comprendre la totalité de l’histoire de Covid, il est nécessaire de comprendre comment l’industrie de la santé publique est inextricablement liée aux marchés financiers mondiaux et fonctionne en fonction des exigences de ces conglomérats financiers. Les pandémies fabriquées sont désormais considérées comme l’une des plus grandes opportunités d’investissement pour accroître la richesse des milliardaires et consolider leur pouvoir.

L’industrie médicale n’est plus un système dont l’objectif principal est de servir la santé et le bien-être du public. C’est un système dont la fonction principale est d’être un instrument financier pour les investisseurs. Les politiques actuelles qui définissent l’industrie médicale sont conçues pour servir des agendas socio-économiques et politiques qui profitent à ces mêmes élites financières.

L’ensemble de la « crise de Covid » était-il une véritable urgence sanitaire ou était-ce un programme ancré dans la peur d’enrichir les poches de Big Pharma et de leurs investisseurs riches ?
Là encore, les médias grand public restent consciencieusement silencieux, refusant de poser les questions les plus élémentaires :

  • À qui appartient Big Pharma ?
  • Est-ce une coïncidence si l’urgence de santé publique de Covid a créé plus de 500 nouveaux milliardaires et coïncidé avec l’un des plus grands transferts de richesse vers le haut de l’histoire de l’humanité ?
  • Pourquoi les grandes banques ont-elles été renflouées à l’époque de Covid alors que les petites entreprises ont été laminées ?
  • Comment les travailleurs du monde entier ont-ils perdu 3,7 billions de dollars pendant la pandémie tandis que les milliardaires du monde entier ont gagné 3,9 billions de dollars pendant la pandémie ?
  • Est-il possible de « suivre la science » si la science est contrôlée par l’argent ?
  • Qu’a dit le chef du FMI sur le sort de l’économie mondiale et des vaccins ?
  • Qu’est-ce que la Grande Réinitialisation ?
  • Que sont les monnaies numériques des banques centrales ?

Après une plongée plus profonde dans l’histoire du Covid, on se demande si même un seul volet de l’histoire résiste à l’examen. Trois ans plus tard et les débris de la fusillade des politiques de Covid continuent de s’accumuler. Chaque jour qui passe, de plus en plus de trous apparaissent dans le récit officiel et de plus en plus d’admissions sont révélées alors que les responsables se précipitent pour éviter de rendre des comptes.

Alors que la poussière retombe à la suite du carnage de Covid, nous nous posons une dernière question :

« Est-ce que l’intégralité de l’histoire du Covid était un mensonge ? »

Source : zerohede




Dernier acte, dernière scène

[Source : regischamagne.fr]

Par Régis Chamagne

Après plus de huit mois d’Opération Militaire Spéciale (OMS), tout le monde évoque une guerre existentielle, pour les uns et les autres. Enfin ! La stratégie de Vladimir Poutine est donc payante. Et les résultats d’une stratégie se jugent à l’aune de ses objectifs.

Les objectifs

Il suffisait d’écouter les discours successifs de Vladimir Poutine depuis le début, ainsi que les interventions de Sergueï Lavrov et de Dmitri Medvedev, pour savoir que l’OMS [NDLR à ne pas confondre ici avec l’Organisation Mondiale de la Santé] n’avait pas pour objectif de simplement ramener les territoires du Donbass au sein de la Fédération de Russie, mais bien de promouvoir un nouveau paradigme géopolitique, un Nouvel Ordre Mondial si vous voulez.

[Voir :
Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple
Vladimir Poutine officialise l’annexion de quatre territoires ukrainiens
Selon Vladimir Poutine, la domination sans partage de l’occident sur les affaires mondiales touche à sa fin
Discours de Vladimir Poutine lors du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) 2022
Discours du Président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, du 21 septembre 2022]

Aujourd’hui, tout le monde finit par s’y accorder et surtout par le dire ouvertement, tel, récemment, le général Mark A. Milley, chef d’état-major des armées US. Il n’y a plus d’ambiguïté pour personne. Cette guerre est bel et bien une guerre existentielle.

La stratégie

Si la Russie avait opéré une guerre éclair, et elle en a les moyens, cela n’aurait rien changé fondamentalement aux règles du jeu des relations internationales, de la même façon qu’après le retour de la Crimée dans la Fédération de Russie. La classe médiatico-politicienne occidentale aurait poussé des hurlements d’orfraie pour dénoncer une vile agression du méchant ours russe contre un gentil pays souverain. On en serait resté là, pour un certain temps encore.

En choisissant une guerre d’usure, la Russie a décidé d’user les pays du Bloc Altantico-Occidental (BAO), sur les plans militaire, économique, et bientôt culturel.

Sur le plan militaire, à force de livrer des armes au régime de Zélenski, dont une bonne partie s’en vont directement dans des réseaux mafieux, les pays du BAO se sont épuisés. Ils n’ont plus suffisamment de ressources. Le virage vers une stratégie du faible au fort centrée sur des opérations de terrorisme, que j’évoque dans mon précédent article, en est un indicateur consistant. Aujourd’hui, l’évocation répétée d’une possible montée au nucléaire par les dirigeants et les médias occidentaux en dit long. Ils ne leur reste plus que cela, le nucléaire ; ils arrivent au bout du bout. Mais sur cette question, les classes dirigeantes occidentales n’ont pas encore saisi que la Russie dispose d’une forme de dissuasion intermédiaire, non nucléaire, contre laquelle ils ne peuvent rien : les missiles hypersoniques. Il suffirait d’une bordée de missiles hypersoniques pour pulvériser le pentagone et le centre de commandement de l’OTAN, même sans charge militaire, c’est-à-dire sans explosif à l’intérieur. La simple énergie cinétique de ces missiles serait suffisante [l’énergie cinétique est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse. Ainsi un missile Kinzhal qui est trois fois plus lourd et douze fois plus rapide qu’un Tomawak possède une énergie cinétique 432 fois supérieure]. Espérons toutefois que les militaires du pentagone, qui eux, savent de quoi il s’agit, tempéreront les ardeurs bellicistes et suicidaires des fous-furieux de Washington.

Sur le plan économique, l’effet boomerang des sanctions étasuniennes et européennes se met à produire des résultats au détriment des populations occidentales. Cette fois-ci, on ne peut pas dire que c’est la faute du méchant Poutine, mais plutôt à cause de la sublime intelligence autoproclamée et dévastatrice de nos propres dirigeants et experts en tout genre. Et cela ne fait que commencer. L’hiver sera rude !

Sur le plan culturel, il va s’agir du retour à la réalité pour nos propagandistes de plateau qui vivent dans un monde virtuel et idéologique fait de fantasmes et d’injonctions et qui formatent l’opinion, quoique de moins en moins. Avec la fin de cette Sainte Inquisition médiatico-politicienne qui a tenté d’imposer son nouvel ordre moral appelé « politiquement correct » en vouant aux gémonies tous les sceptiques, tous les curieux [Les mêmes ont jadis brûlé les sorcières], le nouvel obscurantisme qui s’est mis en place depuis trois décennies au moins va laisser la place à un nouveau réalisme en attendant le moment du GRAND DEBRIEFING. Je n’entrerai pas dans le détail de tout ce que contient le « politiquement correct », chacun y trouvera ce qu’il cherche.

Dernier acte, dernière scène

Le général Hiver arrive, et ce général est russe. Napoléon et Hitler l’on appris à leurs dépends, mais un peu tard. Ainsi, pour mettre l’OTAN à genoux et reconquérir la Novorussia, la Russie s’apprête à lancer l’offensive décisive, avec le soutien du général Hiver. Rappelons que la Novorussia inclut toute la côte de la mer noire et qu’elle va jusqu’à la frontière de la Transnistrie. Elle avait été conquise sous Catherine-II au cours des guerres contre l’empire ottoman, entre 1768 et 1774. Elle fut donnée à l’Ukraine par Lénine en 1920, mais restait au sein de l’URSS… jusqu’à l’éclatement de celle-ci.

Les manœuvres préparatoires à l’offensive décisive ont lieu : mobilisation, entraînement et déploiement de 300 000 réservistes, bombardements stratégiques sur les arrières (système électrique, centres opérationnels et logistiques militaires, nœuds de communication…), nomination d’un nouveau commandant de théâtre, le général Sergueï Sourovikine qui a fait ses preuves en Syrie.

On peut même inclure dans ces manœuvres préparatoires la destruction du meilleur de l’armée de Kiev au cours des huit mois de guerre, mais il est vrai que cela a été grandement facilité par la stupidité et le cynisme des chefs militaires de l’OTAN à la manœuvre et de Zélenski lui-même.

Cette offensive aura lieu sur tous les fronts, avec probablement une manœuvre de déception et un emploi ad’hoc de la guerre électronique. Dans ce domaine on en sait peu, sinon que la Russie a atteint un très haut niveau en la matière, probablement le plus haut. Mais en matière de guerre électronique, il faut être prudent. Quand on a utilisé une certaine forme de brouillage, si l’adversaire en a les moyens, et l’OTAN les a, il peut écouter, enregistrer et analyser les signaux afin de développer des contre-mesures. Ainsi, l’usage de la guerre électronique doit être adapté (ce qui est nécessaire mais pas plus), ciblé et intelligent. Il est fort probable que pour l’offensive décisive, la Russie va employer des moyens qu’elle n’a pas encore utilisé.

Un monde s’effondre, un autre naît

Nous assistons peut-être à la fin d’un cycle de quatre siècles. Dans son ouvrage « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » Carroll Quigley, s’appuyant sur d’importantes archives et grâce à un travail de bénédictin, explique comment les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Elle a émergé dans un monde déjà préparé par un système financier et bancaire qui s’était développé depuis la fin du XIVe siècle afin, au départ, de financer les expéditions vers les Amériques. Ce long processus est très bien expliqué par Paul Grignon dans un film d’animation de 52 minutes « L’argent dette ». C’est ce monde là qui est en train de disparaître, et avec lui la toute puissance du dollar et la fin de la domination anglo-américaine sur le monde, en particulier dans le domaine monétaire. La mission des portes-avions américains était d’imposer le dollar au reste du monde. C’est fini !

On peut même se poser des questions sur l’avenir de la monarchie britannique.

En parallèle, depuis 2017 véritablement, se construit à l’Est une volonté de développer de nouvelles relations internationales fondées sur la souveraineté des nations, et donc sur la garantie de sécurité pour toutes les nations.

Les chemins que prennent l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) et les BRICS illustrent l’attrait de plus en plus grand des pays autres que ceux du BAO, c’est-à-dire plus de 80 % de l’humanité, pour ces organisations et ce qu’elles proposent. La dernière réunion de Samarcande en est une illustration magistrale. Les exemples de cet attrait sont nombreux et plus ou moins furtifs. Du reste, moins ils deviennent furtifs, mieux ils illustrent la bascule en train de se produire. Pour ne citer qu’un exemple, l’attitude du roi d’Arabie Saoudite envers le président des États-Unis en dit long ; cela n’aurait jamais pu avoir lieu il y a dix ans. En Afrique, en Amérique latine, au proche et moyen Orient, en Asie du sud-est, tous les peuples attendent leur libération. Il y a moult signaux faibles partout dans le monde, et depuis longtemps déjà. Si on les perçoit, on n’est alors pas surpris quand ils deviennent des signaux fort puis des actes. La fin est inéluctable, quelque soit le chemin suivi.

L’hiver sera rude pour nous, mais possiblement, l’été prochain sera lumineux.

Régis Chamagne

NB : j’écris peu sur mon blog. Certains me le reprochent. Mais j’ai choisi d’écrire sous l’angle du changement de paradigme géopolitique. Cela demande du temps de réflexion afin de présenter mes analyses de la façon la plus intelligible possible, et surtout, j’écris quand c’est utile, pour ne pas trop me répéter. Ainsi je ne commente pas les opérations militaires au niveau tactique ni même opératif ; certains le font excellemment bien et c’est tant mieux.




Les enfants, innocents du covid19, ne doivent jamais être injectés

[Première publication sur docteur.nicoledelepine.fr]

Saintes V3 28 10 22

[Transféré de Bon Sens]
NOUS SOMMES ENTRAIN DE CHANGER DE MONDE………. MAIS CHUT ! C’EST UN SECRET.

3 ans après, quel bilan ? (https://t.me/vivrecorrectement/3954) Pour les plus téméraires, voici la conférence sur la crise sanitaire qui a eu lieu à Saintes, 3 h 35 d’interventions.

Au programme de cette 1re partie :

  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, membre fondateur de Réinfocovid : « Agonie, effondrement et renouveau du système de santé » ;
  • Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste oncologue : « Bilan catastrophique de la stratégie française anti-covid : rappel des faits » ;
  • Vincent Pavan, maître de conférences et chercheur en mathématiques : « Quelles sont les nouvelles théories évolutionnistes qui sous-tendent le retour du totalitarisme ? » ;
  • Nicole Delépine, pédiatre oncologue : « Le Covid et l’enfant : bilan sur les faits et résultats » ;
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique en Suisse : « L’évolution de notre société à travers la Covid » ;
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique : « Transhumanisme : révélations d’une dégénérescence programmée » ;
  • Mehdi Belhaj-Kacem, philosophe : « Qu’est-ce que le Concept de santé ? » ;
  • Olivier Soulier, médecin homéopathe : « Dans quel contexte général s’inscrit la crise sanitaire actuelle au niveau médical, économique et politique. Quelles sont les solutions ? »

« Longue est encore la route, nombreux seront les obstacles, mais j’ai la certitude que rien n’est au-dessus des forces de ceux qui ne renoncent pas »

Jacques Eberhard




Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins aux médecins ?

Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins 1 2 aux médecins ?

Par Gérard Delépine

Les lapins sont devenus le fléau numéro un des cabinets médicaux, si l’on en croit certains médecins. Les lapins, ces rendez-vous médicaux auxquels les patients ne se présentent pas sans prévenir, se seraient multipliés ces dernières années.

Désorganisation du cabinet, perte de chance pour les patients… les conséquences sont majeures sur l’organisation des soins, estime l’URPS Médecins libéraux Île-de-France qui pointe du doigt le comportement des usagers, accusés de multiplier les rendez-vous sur les plateformes en ligne.

Une thèse (« Rendez-vous manqués en médecine générale par les patients précaires : quels sont les motifs ? »), soutenue par le Dr Francis Gatier, donne un autre son de cloche. Le point de départ de cette analyse : une grande majorité des rendez-vous manqués le seraient par des patients en tiers-payant social, bénéficiaires de la couverture maladie universelle.

« Les patients en situation de précarité sont susceptibles de manquer plus de rendez-vous que la population générale avec leur médecin généraliste » (…)

Conséquence, ces rendez-vous manqués devraient être pris « comme signaux d’alerte et, au minimum, être explorés à la consultation suivante », estime le généraliste qui suggère d’intégrer la situation sociale des patients précaires dans les dossiers médicaux. ()

Près de 5 % de rendez-vous non honorés (…)

Pourquoi les lapins se multiplient-ils ?

Sans surprise, la raison principale du rendez-vous manqué par le patient est l’oubli, non pas par désinvolture, mais parce qu’il est souvent « le dernier maillon d’une chaîne d’événement, les causes d’absences étant multifactorielles ». Les difficultés de la vie courante, principalement la précarité du travail (horaires imposés, heures supplémentaires au dernier moment), sont une cause d’absence fréquente, relève l’auteur. (..°

Autre explication invoquée : la charge mentale. « Les patients sont souvent isolés, avec peu de moyens et peu d’aide extérieure. Ils doivent gérer de multiples rendez-vous nécessaires à leur qualité de vie ».

Le moral et les troubles de l’humeur, la dépression, un sentiment de lassitude, jouent également un rôle important dans les absences, sans qu’il puisse être établi un lien de causalité avec la précarité des patients…

Si l’auteur de cette enquête reconnaît que les médecins ont peu de moyens d’agir, il invite ses confrères à ne pas stigmatiser ces patients, mais à s’interroger sur les motifs d’une absence, qu’elle peut être parfois perçue comme « un signal d’alarme pouvant cacher une aggravation de la situation sociale et de la santé du patient ». Les sanctionner « serait vécu comme une double peine et une forme d’abandon », par des médecins pourtant considérés souvent comme protecteurs. »

Le colloque singulier médecin-patient si fondamental, si estimé, respecté des patients a disparu au fil des nombreuses réformes destructrices depuis des décennies, transformant l’acte médical en acte marchand banal avec conclu le plus souvent avec un anonyme, comme on achète une salade au commerçant du coin, ou un coca au distributeur.

Avec la disparition de la nature si singulière de l’acte médical auquel était accroché le secret médical absolu, inviolable, permettant de tout dire, l’estime, le respect, la considération du médecin ont disparu. Comment s’étonner que le niveau des lapins ne fasse qu’augmenter ? Les mondialistes tentent de faire croire qu’on peut remplacer un médecin formé sur de longues années par l’étude, le compagnonnage et l’expérience, par des cabines téléphoniques reliées à des robots parfois aidés d’un praticien anonyme qui par définition ne connaît pas vos spécificités.

Si on adhère à ce scénario qui vise à faire disparaître les vrais médecins, 3 y compris les psychiatres par une virtuelle intelligence artificielle, il ne faut pas s’étonner que les malades oublient ce qu’est un « docteur », un médecin de famille qui vous connaît sur plusieurs générations et dont on n’aurait jamais pu oublier la visite tant attendue. Il vous avait fait naître et parfois accoucher de votre enfant, et fermer les yeux de votre grand-mère dans un accompagnement respectueux, sans seringue de Rivotril. Le passé, c’est notre histoire et il faut la connaître pour défendre notre avenir.

L’abandon des patients par une partie du corps médical sur ordre de Veran et de Salomon

Obéissant petit doigt sur la couture du pantalon. Ces deux dernières années de lâcheté, de soumission, d’abandon des principes hippocratiques de notre métier, foulant au pied ce serment qui place le patient avant toute autre considération font perdurer ce phénomène. Où sont passés les « docteurs » au sens où votre voisine vous parlait de son docteur et de ses « petits soins » ?

Ils se sont cachés, ont accepté d’être dévalorisés pendant la crise du covid et n’ont pas réagi collectivement contre l’ordre aberrant du gouvernement de ne pas consulter son médecin traitant en cas de troubles respiratoires, ou SOS médecin, mais d’appeler le 15 et de rester chez soi jusqu’à aggravation. INIMAGINABLE. Comment les patients pourraient oublier cette désertion ?

Certes, certains médecins ont été héroïques4 et ont tenté de soigner leurs patients, encourant multiples sanctions qui tombent actuellement.5 Quelques milliers ou centaines, ils sont en tous cas très minoritaires. Trop de médecins sont restés silencieux, acceptant cette désertion sur ordre, et n’ont pas dénoncé les persécutions des collègues courageux. Les milliers de soignants suspendus, sans droit au chômage ou RSA sont largement oubliés par leurs propres collègues et leurs patients. Pas de grève des soignants envisagée pour exiger que cesse ce scandale médical et politique ; une grève qui, si elle était effective, résoudrait le problème en quelques jours. Et le soutien des patients aux soignants suspendus est tout aussi timide. Le déni continue et cela arrange bien le pouvoir.

Collectivement les dizaines de milliers de médecins français sur les plus de 200 000 inscrits au conseil de l’ordre auraient pu réagir sur la disparition de fait de leur métier, dès mars 2020. Les Guadeloupéens n’ont pas cédé. Ils ont partiellement gagné. Que ne nous les avons pas imité en métropole ?

En 2022, 99 941 médecins généralistes exercent en France.6

Le nombre de médecins en activité s’élevait à 218 296 au 1er janvier 2013. Ce chiffre inclut les médecins militaires et les fonctionnaires, lesquels ne sont pas tous inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. l’article L 412-6 du Code de la santé publique stipule en effet que « L’inscription à un tableau de l’ordre ne s’applique pas aux médecins, chirurgiens-dentistes et sages-femmes appartenant aux cadres actifs du service de santé des armées. Elle ne s’applique pas non plus à ceux des médecins, chirurgiens-dentistes ou sages-femmes qui ayant la qualité de fonctionnaire de l’État ou d’agent titulaire d’une collectivité locale ne sont pas appelés, dans l’exercice de leurs fonctions, à exercer la médecine ou l’art dentaire ou à pratiquer les actes entrant dans la définition de la profession de sage-femme. »

Un âge moyen de 51,3 ans. L’âge moyen des praticiens, qui comptent 41,9 % de femmes, est de 51,3 ans. Les médecins en activité sont ceux qui sont en exercice et ont au moins une activité en France.

On compte ainsi 333 médecins pour 100 000 habitants (199 libéraux pour 100 000 habitants), mais cette densité cache d’importantes disparités géographiques. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Île-de-France sont sans surprise mieux dotées.

Dans le détail, on compte 101 803 généralistes, les autres étant des spécialistes (14 619 psychiatres, 10 841 anesthésistes, 8 392 radiologues, etc.). Par ailleurs, 130 106 médecins ont une activité libérale ou mixte et près d’un médecin sur cinq exerce plus d’une activité.7

LES MÉDECINS SILENCIEUX SE SONT-ILS DÉSHONORÉS AUX YEUX DES CITOYENS ?

Combien de personnes autour de vous ont-elles accepté l’injection sur le conseil de leur médecin, les yeux fermés ? Nous aimions ce rapport de confiance au début de nos études dans les années 70, mais il fallait en être dignes comme les médecins de famille que j’évoquais plus haut, comme les médecins qui ne comptaient pas leurs heures à l’hôpital enchaînant gardes (non payées) travail du jour, consultations. Et de surcroît nous en étions heureux.

La société des loisirs, du commerce, de l’abrutissement voulue par l’ordre mondial qui avançait masqué, advint au début des années 80 en même temps que de l’arrivée du Président Mitterand et de Mme Thatcher, tentant de nous transformer en esclaves avec des jeux et du pain… Et les médecins sont tombés dans le panneau des 35 heures, des RTT, des réunions multiples et variées censées améliorer la qualité (en même temps qu’elles vous détournaient de votre métier), etc. L’hôpital devint une entreprise dont la finalité n’était plus le soin des malades, mais la rentabilité et le médecin libéral de plus en plus un commercial.

Ils ont perdu leur âme en acceptant le flicage des secrétaires par le badge, puis celui des soignants dévoués et finalement le leur. Ceux qui restaient facilement si besoin une heure ou deux de plus (quitte à partir plutôt un autre jour) se sont mis à compter des heures durant les minutes à récupérer.

D’humains auprès des patients, beaucoup sont devenus des robots, acceptant l’idée que la machine avec les algorithmes, les logiciels, les recommandations devenues injonctions imposées, bref la pseudo-intelligence, vraiment artificielle (l’IA) allait les soulager, comme l’avènement des cabines machines tentent de le faire dans les supermarchés en attendant de les remplacer. Et comme le symbole met trente ans à se modifier, aujourd’hui les plus jeunes n’y voient pas malice…

ILS ONT FERMÉ LES YEUX

Ils n’ont pas hurlé collectivement au décret Rivotril 8de fin mars 2020 donnant l’injonction de prescrire une injection létale disponible dans la chambre du résident d’EHPAD et de malades en hospitalisation à domicile, et même aux jeunes handicapés. Injection à appliquer en cas de symptômes compatibles avec le covid19. ILS N’ONT PAS HURLE, pire ils ont appliqué. Comme en leur temps les médecins allemands de l’Aktion T49 10

On sait maintenant qu’environ dix mille personnes ont été ainsi euthanasiées, pour la grande majorité d’entre eux sans leur consentement, ni celui de leur famille entre fin mars et avril 2020. Quels furent les prescripteurs initiaux, sinon des médecins, laissant trop souvent au soignant présent — infirmier ou aide-soignant — la terrible tâche de l’injection après accord téléphonique ? Beaucoup racontent ne pas s’en remettre11.

Ils ont accepté que le pouvoir interdise aux familles d’entourer leur patient dans ces moments terribles de la peur de la mort, de leur tenir la main, de leur parler. Et ils les ont laissé mettre nus dans de grands sacs plastiques sans que leurs proches ne puissent les revoir avant leur incinération. Ils ont laissé priver les familles d’obsèques libres avec nombre de personnes limité au cimetière. L’inhumanité a émaillé ces deux ans et demi et plane encore violemment.

Il me semble que peu de médecins ont réagi collectivement pour tenter de protester contre l’aberration de l’obligation du masque et ses dangers chez les enfants, du dépistage fallacieux par des tests PCR répétés chez des personnes saines et le pire, les injections à ARNm, sans essais thérapeutiques terminés et analysés, et faisant écho aux allégations mensongères gouvernementales sur la protection conférée par le pseudo vax.

En cet automne 2022, trop d’entre eux ont masqué et masquent encore la responsabilité de l’injection dans les complications dont souffrent les patients qui les consultent… Coïncidence, coïncidence. Tant de familles ont compris le lien, surtout quand les coïncidences s’accumulent, mais le médecin traitant continue souvent à nier le lien de causalité, quand il ne prend pas de haut la question du patient, ou ne le vire pas manu militari pour « insulte à la science !

Les témoignages s’accumulent par téléphone, par mail sans besoin de réseaux sociaux, d’où ce papier. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance, que l’on continue à les respecter, comme avant, à l’époque où la parole du médecin de famille était sacrée, à juste raison car celui-ci faisait le maximum pour son malade qui le savait.

On ne peut pas impunément trahir les patients et s’étonner des “lapins” irrespectueux…

Certes cela ne date pas du covid, mais le changement de comportement de certains médecins non plus. Il reste heureusement encore beaucoup de docteurs formidables et humains, et on les traite de héros, alors qu’ils ne font qu’exercer leur métier et en tirent plus de bonheurs que leurs collègues devenus marchands.

Certains médecins semblent tomber des nues sur le comportement de trop de patients envers eux. La multiplication des “lapins” comme ils disent si bien que l’illustre Dr Marty bien connu des téléspectateurs accros aux émissions TV voudraient leur faire payer les rendez-vous manqués…

LA CULPABILISATION DES CITOYENS NON INJECTÉS A CREUSÉ LE TROU ET AUGMENTÉ LA PERTE DE CONFIANCE

Les horreurs entendues ou lues sur les non-vaccinés par des représentants du milieu médical sont légion et ont sali la profession entière, de même que les calomnies et les insultes de certains d’entre eux contre nos collègues célèbres comme le Pr Raoult ou le Pr Perronne.

Une tribune signée d’une quinzaine de médecins est parue fin décembre dans Le Monde posait déjà la question honteuse12 de “la prise en compte du statut vaccinal dans la priorisation des patients Covid-19 en réanimation”.

un post sur Telegram résumait ce qu’iI serait souhaitable de rappeler à tous ces propagandistes aux ordres du gouvernement : “ils peuvent être poursuivis pour :

✓ “discrimination en raison de l’état de santé” et qu’ils ne peuvent pas bénéficier du fait justificatif “d’état de nécessité” : 13

✓ Non-assistance à personne en danger : Article 223-6, alinéa 2 du Code pénal

quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours”14

Et aux vues des propos tenus par les membres du gouvernement, notamment Véran et Castex, quant au fait de “rendre la vie impossible pour les non -vaccinés”

✓ Article 211-1 du Code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle….. d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

— atteinte volontaire à la vie ;

— atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

— soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité”

✓ Article 211-2 du Code pénal : “La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet. Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende”. 15

LES TÉMOIGNAGES MULTIPLES DÉMONTRENT LA PERTE DE CONFIANCE EN LA CONFRÉRIE MÉDICALE

Malheureusement les vrais médecins sont souvent aussi victimes de la méfiance, car il est difficile pour un patient de les reconnaître.

Le corps médical a perdu son prestige par sa Soumission aux ordres du gouvernement et à la peur des sanctions ordinales.

Beaucoup trop de médecins qui n’ont pas pris le temps d’étudier les articles scientifiques et ont conseillé l’injection à leur patient.

Ce Renoncement est ancien et progressif depuis les Références médicales opposables de 1993, les recommandations, puis des protocoles obligatoires.

Ils ont bafoué le serment d’Hippocrate et la corruption par l’argent, les honneurs ou le désir de rester dans le groupe a achevé le tableau.

Le Courrier du Soir 16avait déjà fait cette révélation en mars dernier. Cependant, en raison du contexte actuel et à la suite de ce grand cirque auquel nous avons eu droit au Parlement européen lors de l’audition de la représentante de Pfizer, notre rédaction a jugé bon de republier cet article afin que les citoyens français et du monde sachent que la plupart des ‘experts sanitaires’ qui défilent sur les plateaux de télé ne sont rien d’autre que des crétins grassement payés par Big Pharma pour manipuler l’opinion publique et faire taire les vrais scientifiques qui, eux, n’agissent qu’au nom de la Science et dont le seul tort est d’avoir l’âme trop pure pour troquer leur dignité contre milliers d’euros (idem au Canada et aux USA »).

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour tromper les médecins et se remplir les proches 17

D’après une étude relayée par Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits.

Les montants débloqués sont faramineux., entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature.

D’après le même journal médical, 548 médecins influenceurs sont en France :

« Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent que 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré. »

Les chiffres dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 million d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros. Et rien qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3700 euros de cadeau par an pour chaque médecin influenceur.

Comment à ce jour un malade peut — il penser que son médecin a raison quand il lui refuse un antibiotique pour un mal de gorge traînant ou de la vitamine D dont chacun connaît les multiples bienfaits. Et quand encore maintenant le médecin et le pharmacien refusent ivermectine, hydroxychloroquine sous prétexte d’ukases politiques, quand ils ne poussent pas encore à injecter leurs enfants avec un produit génique toxique ou à vacciner même les garçons contre le HPV dont ils ne risquent quasiment rien.

En cancérologie l’application quasi aveugle des protocoles imposés par la HAS et l’INCa via les contrôles des ARS désespère les patients qui ne sont plus dupes après les scandales de la crise covid19. Les refus de soins probablement illégaux en l’absence d’injections morbides ont conduit au fond de l’horreur. La perte de confiance est généralisée sans solution de rechange néanmoins. Le désespoir, pas la meilleure chance d’aider à guérir leur cancer !

En conclusion, il faudra du temps avant que les médecins retrouvent leur virginité, dans un monde qui devra globalement revenir à de vraies valeurs humaines.

UNE PARTIE DE LA SOLUTION : LE RETOUR DES MÉDECINS SUSPENDUS ET DES SOIGNANTS SUSPENDUS

Une solution sera bien sûr le retour des médecins suspendus qui l’ont été parce qu’ils étaient particulièrement intègres, qu’ils savaient les injections dangereuses et inutiles et qu’ils refusaient d’utiliser de faux certificats de vaccination qu’ils pouvaient pourtant facilement se délivrer.

Les patients les attendent avec impatience. Les citoyens éveillés pourront alors trouver en cas de besoin un médecin éveillé et retrouver alors la confiance si indispensable au dialogue singulier.

Espérons que la relaxe du PR Perronne pourra faire jurisprudence et limiter les sanctions des médecins qui n’ont fait que leur devoir en traitant leurs malades ou en les avertissant de l’absence de recul sur les injections covid19.





France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé

[Voir aussi :
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
Le scandale du Rivotril
https://docteur.nicoledelepine.fr/decret-rivotril-compassion-euthanasie-ou-meurtre-sur-ordonnance-versus-traitement-prometteur-par-chloroquine-interdite/]