Professeur Joyeux : « Ne vous faites pas vacciner ! Attendez 84 jours et l’équipe au pouvoir sera à la porte ! »

[Source : michelledastier.com]






Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

[Source : RL]

Propos recueillis par Pierre Cassen

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

Riposte Laïque : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

Riposte Laïque : Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

Riposte Laïque : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

Riposte Laïque : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

Nicole Delépine : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

Riposte Laïque : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

Nicole Delépine : Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

Riposte Laïque : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

Riposte Laïque : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

Nicole Delépine : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram




Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Par Christine Anne Massey

Traduction : Jean Bitterlin

À l ’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
et tous les membres des Services de Police de l’Ontario

LETTRE OUVERTE ET COMMUNICATION D’URGENCE

Dossier de Preuves et Exposé de Faits :
ON N’A JAMAIS PROUVÉ L’EXISTENCE DU « VIRUS COVID-19 »
« LE COVID-19 » EST UN MENSONGE MONDIAL

Avis : Atteinte et Responsabilité

CESSEZ ET ABANDONNEZ TOUTE INGÉRENCE « COVID-19 »

Agissez selon vos serments solennels qui exigent de protéger et de servir
Nous le Peuple

Enquêtez, Portez plainte, Procédez à des Arrestations ou Démissionnez

Déposé au Service de Police de Peterborough
500 Water St, Peterborough, ON K9H 3M3
Le 18 décembre 2021

À l’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
Et à tous les membres des services de Police de l’Ontario
En service ou hors service, parmi lesquels mais pas seulement :

  • Sylvia Jones (a woman who sometimes ACTS as: Solicitor General of Ontario)
  • Gary Conn (a man who sometimes ACTS as: President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Chatham-Kent Police Service)
  • Antje McNeely (a man who sometimes ACTS as: Immediate Past President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Kingston Police)
  • Nishan Duraiappah (a man who sometimes ACTS as: First Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Peel Regional Police)
  • Daryl Longworth (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Woodstock Police Service)
  • Jim MacSween (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, York Regional Police)
  • Roger Wilkie (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Halton Regional Police Service)
  • Scott Tod (a man who sometimes ACTS as: Secretary-Treasurer, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, North Bay Police Service)
  • Jeff McGuire (a man who sometimes ACTS as: Executive Director, Ontario Association of Chiefs of Police)
  • Thomas Carrique (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • Jodie Boudreau (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Assistant Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • James Ramer (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Interim Chief, Toronto Police Service)
  • Jeff Skye (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Treaty Three Police Service)
  • Sylvie Hauth (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Thunder Bay Police Service)
  • Hugh Stevenson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Sault Ste. Marie Police Service)
  • Mark MacGillivray (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Smiths Falls Police Service)
  • Tim Farquharson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy, Peterborough Police Services)
  • Frank Bergen (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police, Chief, Hamilton Police Service)
  • Craig Ambrose (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Owen Sound Police Service)
  • Mark Campbell (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Strathroy-Caradoc Police Service)
  • Paul Pedersen (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Chief, Greater Sudbury Police Service)
  • Bob Hall (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Les Kariunas (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Diane Therrien (a woman who sometimes ACTS as: Member, Peterborough Police Services Board; Mayor, Corporation of the City of Peterborough)
  • Gary Baldwin (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Mary ten Doeschate (a woman who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Scott Gilbert (a man who sometimes ACTS as a Chief, Peterborough Police Services)

Avis : Atteinte à la personne, Responsabilité, Mise en Demeure

Chers Sylvia, Gary, Antje, Nishan, Daryl, Jim, Roger, Scott, Jeff, Thomas, Jodie, James, Jeff, Sylvie, Hugh, Mark, Tim, Frank, Craig, Mark, Paul, Bob, Les, Diane, Gary, Mary, Scott, etc… :

Moi, Christine Anne de la famille Massey, présente une procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough », ce samedi 18 décembre 2021.

Les mêmes preuves ont déjà été présentées à :

  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier OPP : 2545021-0051) le 13 septembre 2021 à la POLICE PROVINCIALE DE L’ONTARIO. (OPP signifie Ontario Provincial Police — NdT)
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SM 21028560) le 12 novembre 2021 à la commission des services de police de SAULT STE MARIE.
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SU 21084581) le 30 novembre 2021 à la commission des services de police de SUDBURY.

Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :

  1. Un présumé « virus » doit être purifié (c’est-à-dire isolé) avant de pouvoir être séquencé, caractérisé et doit être étudié à l’aide d’expériences de contrôle.
  2. Le séquençage et la caractérisation sont nécessaires pour l’identification d’un « virus » spécifique.
  3. Des expériences répétées de contrôle sont nécessaires pour la détermination de la cause, par un « virus », de la maladie.
  4. La purification d’un présumé « virus » prélevé sur de nombreux échantillons de malades, et ensuite la caractérisation, le séquençage et les expériences répétées de contrôle sont nécessaires avant de l’on puisse logiquement et scientifiquement conclure que ce « virus » circule dans les humains et est la cause d’une présumée nouvelle maladie.
  5. Il est impossible de valider un « test » sans référence absolue (en anglais « gold standard » — NdT)
  6. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » la présence d’un « virus » (ou une « infection virale ») avant qu’il n’ait été prouvé que le « virus » existe.
  7. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » une « maladie virale » avant qu’il n’ait été prouvé que le présumé virus 1) existe et 2) cause la maladie.
  8. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et « séquencé » le présumé « virus COVID-19’ (c’est-à-dire le “SARS-CoV-2’) (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’isolation/purification d’un présumé virus à partir d’échantillons de malades (ou de quoi que ce soit d’autre).
  9. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et séquencé le “présumé “SARS-CoV-2’ (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’extraction du matériel génétique à partir d’un échantillon purifié du ‘virus’ ou ne décrivent pas la découverte/détermination d’un ‘génome viral’.
  10. Les réponses d’accès à l’information (fondée sur le principe du droit à l’information, la FOI — Freedom of Information, liberté d’accès à l’information — oblige les agences fédérales américaines à transmettre leurs documents à quiconque en fait la demande, quelle que soit sa nationalité sous peine d’être condamnées — NdT) de 41 institutions (parmi lesquelles l’Agence de Santé Publique du Canada, Santé Canada et toutes les 5 institutions canadiennes qui ont affirmé avoir ‘isolé le virus’) et les réponses d’accès à l’information et les documents judiciaires de 100 autres institutions de plus de 25 autres pays montrent que les gouvernements et les institutions de santé/science du Monde entier ont de manière uniforme échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un rapport décrivant la purification du présumé ‘SARS-CoV-2’ (ou de tout autre présumé ‘variant’) provenant d’un échantillon de malade, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  11. Les réponses FOI provenant du Centre du Contrôle de Maladies et de la Prévention US (le ou les célèbres CDC — NdT) ou d’ailleurs n’ont produit aucun rapport décrivant la purification du présumé ‘virus SRAS’ de 2003 ou d’aucun ‘coronavirus’ du rhume, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  12. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver l’existence du présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé).
  13. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver que le présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé) est la cause de quelque maladie que ce soit, nouvelle ou ancienne.
  14. Toutes les réponses FOI mentionnées ci-dessus et documents du tribunal sont accessibles au public à l’adresse URL suivante :
    https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-aroundthe-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/
    et en compilation PDF dans des unités de stockage aux adresses URL suivantes :
    https://tinyurl.com/IsolationFOIs ;
    http://bit.ly/awcevidence.
  15. Tous les tests, diagnostics, statistiques, projections, modélisations et injections ‘COVID-19’ quelle que soit leur nature ne sont pas valides et en fin de compte basés sur des illusions, des idées fausses, de mauvaises interprétations, de l’ignorance, de l’incompétence, une information incomplète et/ou des fraudes intentionnelles.
  16. Toutes les ingérences dans les vies et corps d’hommes, de femmes ou d’enfants (y compris les enfants à naître) associées au ‘COVID-19 ont été des abus illégaux ; parmi celles-ci (mais non limitées à) tous les ordres, les intimidations, les menaces, les amendes, les contraventions, les arrestations, les incarcérations, les saisies, les fermetures, les restrictions publiques de toute sorte (parmi lesquelles les hôpitaux, les écoles, les tribunaux, les commissariats, les magasins, les parcs, les centres de loisirs, etc.), les refus de fournir des services et les refus de fournir des emplois rémunérés, imposés et/ou appliqués par des responsables politiques, les personnels médicaux, les employeurs et les directions et membres des corporations des services de police de l’Ontario, etc.
  17. Tout homme ou toute femme qui illégalement agit contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’ils causent.

J’appose mon sceau ci-dessous, et déclare que les ‘faits COVID-19’ ci-dessus sont vrais, sous peine de mort.

Christopher James de la famille Pritchard, Gabriel Gilles de la famille Proulx (OPP) (OPP pour Ontario Provincial Police — NdT), Liam James de la famille Brechin, et Timothy Miles de la famille Calhoun (Chef adjoint à la retraite/31 ans de service chez les pompiers) apposent également leurs sceaux et font la même déclaration.

D’autres preuves irréfutables vérifiables concernant la fraude et les transgressions COVID-19 sont disponibles sur un disque de stockage à l’adresse URL suivante : bit.ly/awcevidence

Cela inclut :

LA FRAUDE COVID-19 & LA GUERRE CONTRE L’HUMANITÉ
(preuve avérée à cette affirmation déposée)
par le Dr Mark Bailey et le Dr John Bevan-Smith :
https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/

[Voir aussi, en français :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité]

UN MEURTRE SE DÉROULE, SOUS VOTRE SURVEILLANCE :

Les dispositions éthiques d’une intervention médicale exigent la divulgation complète et un consentement réellement volontaire. Le Code de Nuremberg est reconnu dans le Monde entier, parce que l’expérimentation médicale sans consentement légal était censée ne PLUS JAMAIS se produire à l’encontre de l’Humanité. Toutes les personnes chargées de l’application de la loi sont tenues de faire respecter cela.

Notez également que dans le domaine juridique, à l’intérieur duquel opère habituellement la Police Canadienne, l’article 245 du Code Criminel du Canada déclare : ‘Quiconque administre ou fait administrer à toute personne ou fait en sorte qu’une personne prenne un poison ou toute autre chose destructrice ou nocive est coupable…’

Et pourtant, sans exagération aucune, les preuves telles que déposées factuellement prouvent sans doute possible que :

  • « Le COVID-19 » est un mensonge mondial,
  • On n’a jamais pu prouver l’existence du présumé virus et des présumés variants ou qu’ils soient la cause de quelque maladie que ce soit,
  • Il n’y a aucune raison d’introduire les tests « COVID-19″’, les injections ou les « mesures » de quelque nature que ce soit,
  • Il n’y a aucun fondement même pour les termes « 2019-nCoV », « SARS-CoV-2 » ou « COVID-19 »,
  • Les hommes, femmes, enfants et enfants à naître du Monde entier ont été terrorisés et soumis à un empoisonnement atroce et illégal, à une expérimentation médicale, et à des fautes professionnelles médicales ;

Abus : Terrorisme, méfait et crimes contre l’Humanité se produisent ici en Ontario. L’administration d’interventions médicales inutiles, toxiques et invasives qui sont ‘acceptées’ sans pleine divulgation et suite à des propos alarmistes sans fondement, des menaces, du harcèlement, de la coercition, de la manipulation et de la désinformation provenant d’hommes et de femmes se faisant passer pour des ‘experts en santé publique’ et des ‘fonctionnaires’ est infâme, ne sera pas tolérée et ne restera pas sans conséquences pour les coupables et les complices.

Un meurtre est un meurtre, que le décès soit instantané ou lent.

UN EXPOSE DES FAITS GÉNÉRAUX :

  1. Tout homme ou femme qui agit illégalement contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’il cause.
  2. À moins que vous ne puissiez établir avec des preuves vérifiables écrites un ou plusieurs des points suivants, alors aucun d’entre vous n’a de droit sur moi (nous le peuple) et il en va de même pour les autres hommes/femmes/personnes qui sont sous vos ordres ou de tout autre organisme de fonction publique qui tente de contrôler les gens :
  • Qui prétend que moi (nous le peuple) suis la propriété de tout homme ou femme qui agit en étant au service d’une corporation.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur de tout homme ou femme.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur des organismes de fonction publique que vous représentez.
  • Qui produit une preuve vérifiable que le Canada ne reconnaît pas la Loi de Dieu sur ce pays.

CESSEZ ET RENONCEZ

Nous exigeons de toutes les personnes qui agissent en tant que fonctionnaires de cesser et de renoncer à toute ingérence ‘COVID-19’, et à toutes les autres ingérences illégales de toute nature, parmi lesquelles le refus d’exercer votre mission auprès d’hommes, femmes et enfants qui n’ont pas eu l’injection COVID-19, et de renoncer, pour les agents de police de l’Ontario, d’avoir à choisir entre les exigences de port du masque et le refus d’un emploi rémunéré.

ENTRAVE À LA JUSTICE DANS NOS TRIBUNAUX PUBLICS

De plus, l’homme, Christopher James de la famille Pritchard, dont le sceau est apposé sur ce document et sur tous les trois dépôts antérieurs mentionnés ci-dessus, vous offre une aide immédiate à vous et à vos organismes afin de répondre à ces faits horribles qui demandent votre intervention immédiate. Cet homme et d’autres sont privés du droit d’accéder à nos tribunaux publics à Milton et Barrie par des fonctionnaires et des membres du barreau. Ceci exige votre intervention immédiate.

Il est prouvé, vérifié sur les registres publics que « les règles de procédure civile » ne s’appliquent PAS à nous le peuple.

Nous avons de nombreuses communications avec des élites agissant en tant que « hauts magistrats » dont AUCUN n’a réussi à produire les preuves requises disant que les règles s’appliquent à nous le peuple pour avoir accès à un tribunal public et de présenter nos demandes et saisir la justice. Ces personnes agissant aux dits tribunaux commettent une obstruction massive et cautionnent le terrorisme même qui est vérifié, ce qui nécessite que le tribunal des réclamations doit aller de l’avant à l’extérieur d’une société privée (BAR) qui n’a AUCUN droit, sur tout homme ou femme, de leur refuser de solliciter l’administration de la justice dans nos tribunaux PUBLICS. Ils BLOQUENT l’accès requis sans en avoir le droit.

Réglez cela immédiatement. Christopher James a toutes les preuves et communications prouvant cette affirmation.

POUR L’AVENIR

La fraude et la manipulation ont été commises à l’encontre de nous tous et de nos proches, et toutes les personnes citées dans cette communication (la liste des officiers de police destinataires de la lettre qui est au début — NdT) continuent à se dresser contre nous le peuple, à cause du manque de connaissances.

Il n’y a plus d’excuse maintenant. Le temps est venu pour être une lumière dans ce Monde. Vos serments de protéger et de servir doivent tous vous guider tel un phare lorsque nous arrêterons ensemble cette attaque menée par des entités nationales et étrangères, conçues pour détruire notre pays et pour détruire, en fin de compte, le Monde. C’est notre heure… protégez la population !!!

Choisir la recherche de la vérité et s’y tenir exige du courage. Nous demandons que vous trouviez ce courage, enquêtez sur cette affaire le plus vite possible et apportez des preuves qui vont à l’encontre de nos revendications, sinon accomplissez votre devoir envers la population qui est d’AGIR et de mettre un terme à la fraude COVID-19, au meurtre et au terrorisme qui se produit dans nos communautés. Si vous ne voulez pas remplir votre devoir envers vos semblables, démissionnez.

Une fois que l’un d’entre vous, à l’intérieur de l’un de vos organismes de la fonction publique, est prêt à prendre position… des millions d’honorables hommes et femmes attendent et sont prêts à passer à l’action afin d’être debout avec vous, épaule contre épaule, pour combattre ce mal.

Maintenant notre heure est venue de passer à l’action et d’affronter ensemble ce mal. Que Dieu soit avec nous tous. Que la grâce surabonde.

CONTACT — INFORMATION :

Christine Anne de la famille Massey 580 Fagan Avenue Peterborough, ON K9J 4J1
cmssyc@brigitteChristopher
James de la famille Pritchard awarriorcalls@outlook.co

Traduction Jean Bitterlin le 23 janvier 2022

[Voir aussi, en plus de l’article mentionné plus haut par l’auteure :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
L’interprétation erronée du virus — 2e partie]




Les enfants sacrifiés du Covid — Morceaux choisis

Par Joseph Stroberg

Afin de donner une idée assez fidèle du contenu du dernier livre des docteurs Nicole et Gérard Delépine, Les enfants sacrifiés du Covid, en voici quelques extraits significatifs :

Depuis bientôt deux ans, le monde est soumis à une tentative coordonnée et brutale de transformer la société humaine occidentale en une réplique de la société chinoise imposant un contrôle social fondé sur l’obéissance au sein d’un totalitarisme revendiqué.

La propagande Covid instillant la peur a permis de soumettre les masses populaires par le matraquage quotidien d’un message unique et omniprésent sur tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger ». L’unicité du message a engendré l’hypnose de la majorité des gens et conduit à la situation catastrophique d’aujourd’hui avec dislocation des rapports humains, y compris familiaux.

(Extrait du prologue)

Depuis près de 21 mois, de très nombreuses publications françaises et internationales1 démontrent que les enfants (non gravement malades par cancers, immunodépression, etc.) sont innocents du Covid, à risque zéro d’en mourir, et de surcroît ne transmettent pas le virus SARS-CoV-2, ni aux autres enfants, ni aux adultes.

(Extrait p. 9)

Mais il est bien vite apparu que l’objectif de la « plandémie » mise au point par quelques milliardaires au forum de Davos, annoncé et répété par l’évènement Event 201 et mis en œuvre par la majorité des 194 pays signataires du conseil mondial de l’OMS3, n’était pas médical, mais politique.

(Extrait p. 9-10)

Après le confinement, les mesures inutiles de distanciation à l’école, l’obligation de port de masques inefficaces et toxiques encore à l’heure actuelle.

(Extrait p. 10)

Les adolescents, poussés à l’injection sans le consentement de leurs parents dès 16 ans, et pour les plus jeunes avec seulement celui d’un parent, ont déjà cédé au chantage pour pouvoir continuer à sortir, danser ou boire une bière avec les copains sans entrave. On leur disait que ce pseudo vaccin était inoffensif et qu’il fallait « faire confiance à la science ». Laquelle ? À la véritable science qui cultive le doute et progresse grâce aux controverses, ou bien au scientisme des marchands du temple vaccinal qui interdit tout débat démocratique ? À la science des vrais docteurs au chevet des malades, diffamés, vilipendés, ou à celle des marchands de tapis qui s’expriment en permanence sur tous les médias, propriétés des milliardaires actionnaires des Big Pharmas producteurs des injections miracles ?

(Extrait p. 10-11)

Et comme les dégâts ne sont pas suffisants, on s’apprête à imposer quasiment de force l’injection des petits de 1 à 6 ans, en attendant celles des bébés qui suivra logiquement, si on n’arrête pas cette folie meurtrière.

(Extrait p. 11)

D’abord, y a-t-il eu maladie : quels sont les symptômes, l’évolution et les risques éventuels de l’infection par SARS-CoV-2 chez l’enfant ?
« Nous pensons fortement que les enfants sont les victimes du management du Covid et non de la maladie appelée Covid. »

(Extrait p. 13)

Toutes les études sur le sujet soulignent que la susceptibilité d’un enfant à la contamination est largement inférieure à celle des adultes, sans qu’on en ait formellement démontré les raisons.

(Extrait p. 14)

[La plupart du temps,] les enfants n’éprouvent aucun symptôme, ne sont pas malades, ce sont éventuellement des porteurs sains.
Lorsqu’ils sont cliniquement malades, les symptômes sont habituellement bénins (…)

(Extrait p. 14-15)

Le Covid-19 tue très exceptionnellement les enfants, environ trois fois moins que la grippe (…)

(Extrait p. 22)

Les parents doivent pouvoir prendre des décisions sur la vaccination en toute connaissance de cause, et tout particulièrement de cette absence de risque chez l’enfant sain.

(Extrait p. 22)

L’enfant ne participe qu’infiniment peu, ou pas, à la transmission du Covid.

(Extrait p. 23)

La contamination quasi exclusive des enfants par des contacts familiaux suggère que l’activité scolaire, diminuant le temps passé à domicile, est ainsi susceptible de diminuer le risque de contamination des enfants.

(Extrait p. 26)

Les enfants ne contaminent pas les autres, ni adultes ni enfants !

(Extrait p. 27)

Par rapport aux adultes, l’incidence et la gravité de la maladie Covid-19 sont très faibles chez les enfants, et leur rôle dans la propagation de la maladie est infime. Par conséquent, les pseudo vaccins géniques anti-Covid 19 devraient avoir une sécurité et une efficacité pleinement démontrées dans la prévention, non seulement des complications, mais de la transmission pour justifier l’injection des enfants. Ce qui est loin d’être le cas en décembre 2021.

(Extrait p. 32)

La fermeture inutile des écoles a gravement nui aux enfants.

(Extrait p. 33)

Les conclusions du Centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont claires : « Les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire. Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du Covid-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère Covid-19. »

(Extrait p. 41)

Une étude récente de l’UNESCO montre que plus de 100 millions d’enfants tomberont en dessous du niveau de compétence minimum en lecture en raison de l’impact des fermetures d’écoles.

(Extrait p. 44)

Avec la pandémie, les anxiétés, dépressions, troubles alimentaires ont augmenté chez les moins de 18 ans de 30 à 60 % selon les études.

(Extrait p. 47)

Selon une étude de l’Observatoire national de la Santé (Onaps), réalisée en 2019 et 2020,
« après le confinement, les enfants de CE2 ont perdu 20 % de leurs capacités physiques et 40 % de leurs fonctions cognitives ».

La catastrophe de l’enseignement atteint tous les enfants et adolescents de l’école des tout-petits à l’université.

« Pendant le confinement, enfants, ados, adultes, nous avons été comme en prison. Nous n’avons pas eu le droit de voir nos amis… » Témoignages de tant d’ados…

(Extrait p. 48)

Bien pratique ce sujet unique télévisé sur le nombre de morts ou de lits d’hôpitaux disponibles, et ces messages falsifiés. Qu’importe si on sacrifie nos enfants sur tous les plans !

(Extrait p. 52)

Le port du masque chez les enfants sains à risque zéro de formes graves (et qui ne contaminent ni les adultes ni les autres enfants) est une ineptie démontrée par toutes les études scientifiques qui ont analysé le sujet. Mais les nombreux articles parus dans des revues internationales et cités par des auteurs sérieux n’ont pas été entendus ni même probablement lus par nos dirigeants.

(Extrait p. 56)

Mesure politique de conditionnement des masses physiquement et psychologiquement bloquante, la muselière est de plus extrêmement toxique sur le plan anatomique, infectieux, et scolaire. Elle saborde l’apprentissage et les rapports humains en désignant l’autre comme le danger.

(Extrait p. 56-57)

« L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

(Extrait p. 58)

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience. Comme les symptômes apparaissent plus rapidement avec l’effort physique, le port du masque est fortement déconseillé en courant, à vélo, ou toute autre activité sportive. »

(Extrait p. 59)

Le dentiste de Vendée insiste : « Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses. »

(Extrait p. 60)

La liste des inconvénients du port du masque est longue, très longue.

(Extrait p. 62)

Les bébés recueillis par des loups parlent le langage du loup. Que parlera le bébé d’une femme sans visage ?

(Extrait p. 69)

Qu’est-ce que le pass sanitaire ?
Un rappel nauséabond de l’Occupation [pendant la Seconde Guerre mondiale]. Pour ceux qui y auraient échappé, se terrant dans leurs pénates et sortant le moins possible, évitant les lieux exigeant ce document honteux, quelques indices.

(Extrait p. 73)

Les preuves innombrables, reconnues par tous, dé-montrent qu’un « vacciné », quel que soit le nombre de doses reçues, peut contaminer autrui (injecté ou non injecté).

(Extrait p. 75)

« Les parents boivent, les enfants trinquent. »
L’avocat D. Guyon souligne fort justement les implications particulièrement graves pour les enfants des décisions parentales, quant au pass sanitaire.

(Extrait p. 78)

L’incitation à l’injection mise en œuvre à travers un martelage systématique, comme « sésame pour retrouver la liberté », ajouté à la pression sociale d’être une personne non vaccinée, conduira les enfants sacrifiés à accepter l’inacceptable, de la mise en condition par le port du masque puis du pass enfin à la vaccination et ensuite à la banalisation de toutes les mesures coercitives, élargissant la notion de pass à de nombreuses situations non sanitaires, comme la surveillance de leur respect de mesures dites environnementales, ou du paiement de vos amendes. Le projet en cours de réalisation est maintenant clair. Aux peuples de choisir s’ils se soumettent ou non.

(Extrait p. 82)

La santé mentale des enfants est fortement perturbée par la crise sanitaire à court terme et le sera à long terme.

(Extrait p. 83)

Depuis le début de la pandémie, les hospitalisations en psychiatrie d’enfants de moins de 15 ans ont augmenté de 80 % et le nombre de tentatives de suicide a doublé en France (…)

(Extrait p. 86)

La crise sanitaire a agi, de plus, comme un amplificateur des inégalités sociales et frappé plus durement les familles les moins privilégiées, plus vulnérables (jeunes, femmes, familles monoparentales, précaires, etc.) davantage exposés au risque de dégradation de leur situation financière, voire de basculement dans la précarité, et en conséquence à l’augmentation des troubles psychiques.

(Extrait p. 87)

Priver les enfants de câlins entre eux et avec les adultes, imposer des distances relèvent de la psychiatrie lourde du prescripteur, mais aussi de complices soumis à ces ordres ineptes, privés de bon sens et de sensibilité, réduits à l’état végétatif de robot obéissant et de capos dignes d’une autre époque.
Ce vécu relationnel perturbé va engendrer des drames à long terme.

(Extrait p. 92)

Le réseau neuronal se construit dans les cinq premières années de vie. Être élevé en crèche par des éducateurs et des auxiliaires de puériculture masqués et qui évitent tous les contacts physiques (car terrorisés comme le reste de la société) risque d’avoir des effets très négatifs.

(Extrait p. 93)

Il ne s’agit pourtant pas de vrais vaccins comme ceux de Pasteur. (…) Ce sont en réalité des thérapies géniques (d’ailleurs définies ainsi dans le contrat avec la FDA). Elles sont toujours expérimentales : les résultats définitifs des essais phase 3 ne seront pas connus avant 2023.

(Extrait p. 96)

La fable de l’épidémie de Covid chez l’enfant résulte seulement de la multiplication des tests PCR fallacieux153 imposée par le pouvoir. Il s’agit d’une épidémie de cas créée par la multiplication de tests (inutiles du point de vue sanitaire), mais pas de malades.

(Extrait p. 107-108)

Les atteintes cardiaques ont été les plus rapidement identifiées même aux yeux des pro- vaccins, car les chutes inopinées parfois mortelles de sportifs de haut niveau jeunes en pleine forme physique, ou de politiciens, artistes en train d’être filmés sont difficiles à cacher. Évidemment, les médias ont tenté de faire passer pour coïncidences ces drames, mais jamais une telle « série de coïncidences » n’avait été observée spontanément ou après un vrai vaccin.

Une nouvelle fois, les médias diffusent d’énormes mensonges. Non, les crises cardiaques ne sont pas habituelles chez les jeunes non vaccinés qui jouent au foot dans la cour. Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits enfants. Combien de fois avant les pseudos vaccins avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus et/ou rendus fous via la coronafolie.

(Extrait p. 111)

Les effets secondaires neurologiques associés aux injections anti-SARS-CoV-2 sont nombreux, divers, et parfois très invalidants. Parmi eux, le plus fréquent et le plus bénin est le mal de tête, suivi du syndrome de Guillain-Barré, de la thrombose des sinus veineux et de la myélite transverse et plus récemment on a observé en France des maladies proches de la maladie à prions appelée Creutzfeld-Jakob (maladie de la vache folle).

(Extrait p. 122)

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe.

(Extrait p. 123)

L’argument le plus fréquemment utilisé pour justifier la politique sanitaire qui, sans nous protéger, nous empêche de vivre libre est :
« Tous les pays pratiquent la même politique d’interdiction des traitements précoces en attendant les vaccins. »
Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces permettant des comparaisons avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire.

(Extrait p. 133-134)

Depuis le début du coronacircus, nous avons subi des mensonges gouvernementaux permanents pour justifier des décisions médicalement illogiques, disproportionnées, brutales et contre-productives. Leur caractère tyrannique nous a convaincus qu’il ne s’agissait pas d’une crise médicale, mais bien d’une guerre contre la démocratie utilisant un prétexte sanitaire.

(Extrait p. 145)

Il faudra étudier le comportement manipulateur et destructeur des mondialistes, pour mieux comprendre ce qui nous est arrivé. Mais c’est un autre sujet, scénario de manipulation destructrice appliqué à la société.

(Extrait p. 151)

L’OMS a transformé une épidémie de grippe sévère en une pandémie virale, par un simple changement de définition orchestrée depuis de nombreuses années après une tentative ratée en 2009 avec le H1N1.

(Extrait p. 152)

L’ouvrage comporte de nombreuses références et des exemples en provenance de divers pays dont la Grande-Bretagne, les États-Unis, Israël et la France.

Table des matières

Prologue
Les enfants sacrifiés de la mascarade Covid 7
Introduction
Le massacre des innocents 9
1. L’histoire de la maladie liée au coronavirus SARS-CoV-2 chez l’enfant, et ses particularités 13
2. Les enfants sont innocents du Covid 23
3. Les enfants et les adolescents n’ont rien gagné de la fermeture des écoles 33
4. La torture prolongée des enfants par le port du masque pour leur apprendre la soumission 56
5. Le drame du pass sanitaire chez l’enfant et ses conséquences psychologiques et humaines à long terme 73
6. Les conséquences psychiques des mesures liberticides imposées sous prétexte de Covid 83
7. L’échec des pseudos vaccins, injections géniques expérimentales 95
8. Les dangers géniques chez l’enfant 106
9. On pouvait faire autrement, en d’autres termes : traiter précocement 133
Conclusion
Refusons le totalitarisme et protégeons l’avenir de nos enfants 145

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine sur telegram




La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :

    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.

  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020




Instrumentalisation des enfants, de Mao à la Covid, mêmes méthodes

[Source : François Cotardbis]

https://youtu.be/k36woXApwQE



Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




Reiner Fuellmich à la Minute de Ricardo

[Source : laminutedericardo.com]






Décision du Conseil Constitutionnel : la fin des illusions ?

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas sûr que soit évaluée dans son importance gravissime pour les libertés cette avalisation absolument inique, celle d’une telle loi scélérate, en l’occurrence le fait de rendre « comme » obligatoire ce qui ne l’est pas déjà légalement à savoir l’injonction d’une injection censée éviter « des formes graves », alors qu’il suffisait de laisser les médecins prescrire les traitements précoces qui marchent. Rappelons d’ailleurs qu’interdire ces derniers est criminel et sera sans aucun doute durement châtié lorsque la Raison retrouvera ses droits ; mais quand ? Car il n’est cependant pas sûr, répétons-le, que soit encore saisi à sa juste mesure le piétinement faramineux actuel de nos libertés, et ce au moment même où la Grande-Bretagne et l’Espagne décident de classer cette pandémie (une syndémie en réalité) comme « endémique » ce qui implique de plutôt soigner les personnes fragiles et laisser vivre normalement la grande majorité de la population en particulier les enfants qui ne sont ni à risque ni dangereux.

Mais pour les fanatiques de la secte hygiéniste, la Grande-Bretagne ne compte pas, parce qu’elle a quitté l’UE, un crime de lèse-majesté pour les jusqu’au-boutistes de la solution injectable. Ceux-ci se sont « enkystés » dans un « long tunnel » de déni (pour paraphraser leurs propres dires lorsqu’ils parlent et montrent du doigt les non-injectés comme source du mal, car autrement tout aurait été bien sûr accompli), alors que — et ce comme prévu par les spécialistes (et non les charlatans de la lumpen intelligentsia, qu’ils soient médecins, politiques, journalistes, ou pseudo-philosophes) — l’accélération des contaminations (avec bien moins de létalité) est objectivement liée au fait que ces injections initialement structurées pour répondre (provisoirement) à la souche initiale ont un spectre bien trop spécifique (à la différence de l’immunité naturelle et acquise) et donc laissent passer les nouvelles variations.

À quoi bon de toute façon s’entacher ainsi puisque de tels arguments sont inécoutables pour des sectaires ? Rappelons-nous ce ministre de la santé qui dès qu’il entend le mot « hydroxychloroquine » sort son revolver clownesque en répondant à Martine Wonner que cela ne se « fume » pas, lui qui à sa troisième injection s’en est trouvé alité.

Sans doute [à cause de] un de ses enfants, peut-être à l’instar du Premier Ministre qui a accusé sa fille de 11 ans et dont la célérité à définir le terme de « dangereux » devrait être citée comme exemple type et symbole monstre d’une narration absurde frisant non pas la démence (dépassée depuis longtemps), mais la monstruosité.

Car nous en sommes là. Ce sont des monstres (comme il a été déjà dit dans plusieurs textes), au sens de recombinés synthétiques qui associent des bribes d’un peu de toutes les idéologies et que j’ai proposé de nommer soit Secte Scientiste hygiéniste affairiste (la SSHA), soit la Secte néonazie plus synthétiquement parlant, car il s’agit d’un projet à la fois racialiste et génétique. Il est racialiste au sens de créer une nouvelle « race » tout en dénonçant le racisme. Et pour ce faire il emploie les manipulations génétiques géniques génitales multiformes, le tout dans une ambiance idéologique de manipulation mentale à haute dose en injectant des séries comportementalistes via les réseaux fictionnels que des « influenceurs » patentés ou « miroirs mimétiques » doivent à la fois initier et entretenir (entertainment [ce terme anglais signifie « divertissement »]).

La tératologie politique dont j’essaye d’esquisser les contours dans plusieurs ouvrages et articles tente alors déjà de comprendre la genèse de ce processus idéologique qui a produit de tels mutants (ou « variants ») tout en sachant bien sûr qu’il est sans doute très inconfortable déjà de penser que des (prétendus) partisans de l’antifascisme et de la démocratie se soient ainsi transformés, et ce peu à peu, en leur contraire, comme l’engendrement (et non l’enfantement) d’Aliens  à l’instar du film bien connu ou encore du Portrait de Dorian Gray.

Mais c’est ainsi : l’incrédulité entoure toujours la force prégnante d’une nouvelle argumentation comme le prophétisait déjà Marshall Mac Luhan lorsque dans son livre » La galaxie Gutenberg » (précédant le suivant — « Medium is the message » — qui a tant influencé la pensée de Jean Baudrillard cité aujourd’hui de plus en plus par… Didier Raoult dans ses vidéos) Mac Luhan indiquait que lorsque la nouveauté conceptuelle dépassait les 20 %, le public moyen des influenceurs était perdu ou rebuté parce qu’ils ont été formés dans l’ancienne blockchain conceptuelle ce qui fait qu’ils ne peuvent adouber une pensée qui les remet en cause même indirectement ; aussi préfèrent-ils l’ignorer, voire l’effacer, et ainsi croient-ils, pensent-ils « protéger » le « grand » public de pensées « complotistes », un peu comme autrefois où la lecture des Écritures ne pouvait se faire que par l’intermédiaire des Clercs.

Mais quand ceux-ci « trahissent » (transition aisée, mais opportune…), faut-il attendre que de 20 nous passions à 30, 40, puis 50, enfin 80 % d’une argumentation recevable alors qu’il n’est pas sûr que cedit « grand » public que l’on prétend préserver ne soit pas à même d’appréhender lui-même la nouveauté ? La mode fonctionne ainsi : une nouvelle forme apparaît et se répand partout parce qu’elle rend visible ce qui se tramait comme esprit du temps.

[Note de Joseph : une certaine vision des choses, d’ordre métaphysique, ésotérique ou religieux, considère que les nouvelles idées proviennent d’un ensemencement du plan mental commun à l’Humanité et tout individu suffisamment sensible à ce plan peut alors les capter. Les plus réceptifs sont souvent des penseurs, des inventeurs ou des artistes. Ils s’en emparent puis les transmettent alors sous une forme ou une autre : textes, paroles, inventions, expressions artistiques… les rendant alors plus accessibles à ceux qui ne sont pas autant réceptifs ou mentalement outillés. Cependant, il peut exister une fraction des penseurs et autres capteurs d’idées qui préfèrent conserver pour eux-mêmes les nouveautés de peur de perdre leurs privilèges. Et dans le même temps, ceux parmi les privilégiés qui ne sont pas eux-mêmes des récepteurs d’idées nouvelles tendent à lutter contre ces dernières pour le même motif ou pour éviter de chambouler ce qui justifiait jusqu’à présent leur vie. Ils peuvent entraîner derrière eux tous ceux qui ont peur de perdre leurs repères, leurs habitudes ou leur confort physique, moral ou psychique…]

Espérons qu’il en soit bientôt ainsi : que l’illusion d’un « État de droit » inamovible se dissolve, que les « civilisations sont des êtres mortels » et que sans un Appel, un Sursaut, une Révélation enfin (ou le travail séculaire des Prophètes, aujourd’hui des Précurseurs) il soit enfin possible de prévenir la fin si l’on ne fait rien.

Mais, à l’inverse, et après tout, la Terre en a vu d’autres sur quatre milliards et quelques années de son émergence, les dinosaures ont bien disparu, l’espèce humaine serait donc en train de se détruire, à une vitesse sans doute plus lente que celle des premiers, du moins en apparence…

Et puis comme nous sommes encore dans une période interglaciaire, celle-ci touche peut-être à sa fin ou le retour vers le grand froid (« Anéantir » clame justement le Prophète à la mode) : spirituellement c’est fait, politiquement aussi, économiquement en cours.




Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

[Source : Sott.net]

[Illustration : « Covid, je suis rentré à la maison ! »]

Par Kit Knightly — Off Guardian

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans – NdT] ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie,a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vaccinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News :

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vacciné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vaccins COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédéesavecle Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vaccinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vaccins », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publiétrois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Voxa publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloombergannonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Posttitrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Todayposait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid »sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vaccins et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vaccination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net




Qui est Bill Gates ?

[Source : @JeanneTraduction via lezarceleurs]

Bill Gates ou la domestication du monde – The Corbett Report

PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ? de 00:00 à 23:28
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde de 23:28 à 50:45
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population de 50:45 à 1:27:02
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin



[Voir aussi :
Gates blâme la « liberté » occidentale
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins
Les données : l’« or noir » du XXIe siècle
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN
Bill Gates et le hold-up vaccinal
Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
La martingale de Bill Gates dévoilée
Bill Gates et la fin de l’Amérique
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Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
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Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates
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Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist

sur Sott.net :

La page Instagram de Bill Gates est inondée de messages demandant son arrestation pour « crimes contre l’humanité »
L’obsession de Bill Gates pour les vaccins
Bill Gates franchit le Rubicon digital, en disant que les « rassemblements de masse » ne reviendront peut-être pas sans un vaccin mondial
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Bill Gates : L’incroyable arnaque derrière sa fondation
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Bill Gates a « prédit » le coronavirus chinois il y a un an avec une simulation disant que 33 Millions de personnes pourraient mourir dans les six premiers mois
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La Fondation Gates finance un système de surveillance des contestataires des vaccins
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Londres, Bill Gates, promettent des millions pour la vaccination
Une base de données en vue de vacciner tous les enfants doit être créée, selon Bill Gates
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Marcel s’occupe de Bill Gates et de l’OMS
La FDA met fin au programme d’essais Covid-19 soutenu par Bill Gates
Corbett Report : Bill Gates et la grille de contrôle de la population
Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive]




Nouvelle plandémie en vue ?

[Source : profession-gendarme.com]

ALERTE ❗ Marburg Arnaque Totale



[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagion
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]




Refusons les tests chez les enfants innocents du covid

Par Nicole Delépine

LES MILLIONS DE TESTS IMPOSÉS AUX ENFANTS EN L’ABSENCE DE GRAVITÉ ET DE MORTALITÉ DU VARIANT OMICRON SONT UNE ARME POUR ALIMENTER LA PEUR ET CONDUIRE LES PARENTS À L INJECTION GÉNIQUE DANGEREUSE ET INUTILE

Refusons les tests PCR et le pseudovax inutiles et dangereux




Révélations de la DARPA sur Fauci : le troublant mutisme de la presse

[Source : h16free.com]

Il y a une semaine, le projet Veritas publiait différents documents dont le contenu, s’il était vérifié, pourrait largement remettre en question nombre d’affirmations colportées par les médias, les experts et les politiciens sur la pandémie, son origine et son déroulement, et éclairerait l’histoire de ce virus d’une lumière nouvelle, particulièrement incriminante pour une partie de l’administration américaine…

Si vous vous en tenez à la presse et aux médias grand public français, il est assez peu probable que vous ayez entendu parler du Projet Veritas, ni de ses dernières révélations.

Les rares articles évoquant cette association remontent à plusieurs mois, lorsqu’elle avait publié différentes vidéos montrant, en caméra cachée, ce que pensaient vraiment différents scientifiques et personnages haut placés dans différents groupes pharmaceutiques comme Pfizer : les allégations obtenues dans ces vidéos, jamais démenties ni par ces sociétés, ni par les personnes enregistrées, sont relatées dans une ou deux notules dans les médias français qui, bons soldats, ont fait le minimum syndical afin de bien faire comprendre à leurs (moins en moins nombreux) lecteurs que Project Veritas est avant tout une organisation ultra-conservatrice (lire « ultra-beurk ») et que peu importent les informations qu’elle a pu récolter, étant dans le Camp du Mal, elle ne peut être crédité d’absolument rien.

Au-delà de ces éléments, rien n’a donc transpiré depuis dans la presse française des allégations rassemblées et publiées lundi dernier. De rares journaux américains s’y sont intéressés, mais on constate essentiellement une distance gênée face aux révélations accumulées qui méritent cependant un peu plus d’intérêt.

En effet, selon Project Veritas, un responsable militaire, le Major du Corps des Marines Joseph Murphy, aurait affirmé dans un rapport adressé à l’Inspecteur Général de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) – une agence américaine chargée de recherches et développements militaires – que le virus SARS-CoV2 serait le résultat d’une manipulation génétique humaine dirigée par les Américains, cherchant essentiellement à combiner la viralité d’un coronavirus commun à la létalité de précédents virus SARS-CoV1 et MERS.

Mieux encore : ces documents incriminent directement Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis, Institut qui aurait ainsi subventionné l’ONG EcoHealth Alliance dans ces dangereuses recherches alors que la DARPA les aurait refusées précisément en raison de la nature même de ces expériences et de l’interdiction qui frappait alors (et continuent de courir) sur de telles manipulations (dites « gain de fonction« ), et ce alors même que Fauci a déposé plusieurs fois sous serment, devant des commissions d’enquêtes du Sénat américain, qu’il n’en avait rien été.

À ces éléments déjà sulfureux qui viennent s’ajouter aux nombreuses et insistantes rumeurs sur l’évasion du virus du laboratoire de Wuhan ainsi qu’aux précédentes révélations provenant de la publication des emails détaillés de Fauci montrant des comportements étonnants (et très peu éthiques) de sa part, sans même évoquer les expériences de torture sur des chiens menées par le NIH et révélées en octobre dernier, on comprend que l’actuel conseiller de Joe Biden pour la gestion de l’actuelle pandémie soit mis sur la sellette…

Ce qui pose évidemment quelques soucis à l’ensemble des médias américains et européens qui n’ont eu de cesse de suivre assez scrupuleusement (et encenser un peu trop ouvertement) les orientations et diktats plus ou moins grotesques qu’il a empilés depuis le début de la crise.

Et pendant que les rumeurs et allégations s’empilent sur Fauci, la DARPA n’a pas confirmé mais pas plus infirmé l’exactitude des documents fuités. Cependant, s’ils sont confirmés exacts, ils sont particulièrement lourds de conséquences puisqu’ils indiqueraient notamment que les actuels vaccins sont d’assez mauvaise qualité et de sûreté douteuse et que des traitements curatifs auraient été identifiés très tôt, ce qui, là encore, jetterait une lumière crue sur les agissements de certains afin de cacher cette information.

Rassurez-vous, tous ces éléments ne vous seront pas fournis par les canaux habituels tant est grand l’écart avec le discours officiel. Vous pourrez cependant vous faire votre propre opinion en allant voir les éléments publiés et les vidéos qui les accompagnent :

https://twitter.com/VigilantFox/status/1480740626161414145

Avant une possible disparition inopinée, la vidéo complète est ici :

À la suite de cette publication, certains élus américains ont cependant décidé d’agir : six députés (membres de la Chambre des représentants), à savoir Madison Cawthorn, Bill Posey, Diana Harshbarger, Lisa McClain, Randy Weber et Matt Gaetz, ont ainsi envoyé une lettre (consultable ici) au secrétaire à la Défense, au secrétaire à la Santé, aux Services sociaux ainsi qu’au directeur du CDC, Rochelle Walensky, avec une liste de questions auxquelles ils aimeraient obtenir des réponses.

De la même façon, le sénateur Ron Johnson (un Républicain du Wisconsin) exige également des réponses. Il a lui aussi envoyé une lettre au Secrétaire à la Défense Lloyd Austin avec une liste de questions et quelques demandes, notamment celle de connaître ce qui fut fait du rapport une fois celui-ci remis…

Même si l’on ne peut guère être optimiste quant à ces demandes – dont l’aspect politique n’est évidemment pas à écarter – gageons cependant que certains citoyens (américains et européens, en réalité) attendent ces réponses avec obstination, ne serait-ce que pour déterminer à quel point ces allégations sont exactes ou non. Si elles sont fausses, on s’étonnera du mutisme des institutions concernées. Si elles sont vraies, les conséquences devraient, dans un monde normal, être particulièrement dévastatrices.

Pourtant et jusqu’à présent, malgré l’enjeu évident, aucun journal grand public, aucune chaîne de télévision, aucune Elise Glucet sur la brèche toujours dans les bons coups fumants, ne semblent vouloir enquêter sérieusement. Du côté des GAFAM, on note même le déploiement des techniques habituelles lorsqu’une information gênante sort, puisque sur Twitter, différents membres du projet Veritas ont déjà été bannis, et que Google rivalise d’inventivité dans ses algorithmes pour camoufler ces informations (des recherches à ce sujet sur Google puis sur DuckDuckGo mettent bien en lumière le décalage qui existe entre les deux moteurs de recherche).

Si le passé est un indicateur en matière de comportement de ces firmes et de ces médias, on peut raisonnablement imaginer que ces allégations pour le moment sulfureuses seront admises du bout des lèvres dans six mois, le temps moyen qui sépare le complotisme de la froide réalité…




Le vote est devenu une escroquerie en bande organisée

[Source : profession-gendarme.com]

Le vote au suffrage universel est devenu une escroquerie politique en bande organisée. Il n’y a pas eu d’élections sincères en 2017, à cause des serveurs DOMINION et SCYTL, qui ont truqué le résultat du premier tour : Macron était à peine crédité de 11 % par les Français. Pourtant, il a été adoubé candidat du second tour contre M. Le Pen, en siphonnant les autres listes de candidats, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA.

1°) Excellent article rédigé par notre ami Dominique Kern !

Il n’y a pas eu d’élections en 2017 en France, mais une manipulation de l’opinion, avec la complicité du FN, pour faire accepter Macron

Ils ont tous accepté de « faire barrage », pour pimenter le jeu, avec des cartes (électorales) truquées.

Et Macron est sorti vainqueur, alors que le Peuple le détestait dès le départ.

C’est cette impasse imposée d’en haut, à la va-vite, que nous subissons aujourd’hui sous cette forme pandémiesque (pandémie et grotesque). C’est cette impasse qui est en train d’être démontrée, démontée, au grand jour en ce moment…

On ne peut pas dissocier Macron de toutes les tragédies qui ce sont abattues sur notre pays depuis son élection…

Incendie de Notre-Dame de Paris, volontaire ou pas.

Lubrizol, à Rouen, dont les conséquences ne sont même plus discutées.

La pandémie cache toutes les autres tragédies : c’est le cache-sexe idéal de toutes les saloperies qu’ils nous a imposées..

Pour favoriser ceux qui l’ont fait élire…

Le vote est devenu en France, comme aux USA, une escroquerie ouvertement en bande organisée.

Mr Donald Trump, quoi qu’on pense, a une assise dans le pays : les blancs victimes de la mondialisation, ce que les démocrates, souvent haïs, n’ont pas. Les démocrates ont cru à leur opération « assises minorités » : mais les minorités sont parties vers Trump.

Le pari Biden ne pouvait pas marcher. Ils le savait : pourquoi l’ont-ils essayé… ? Ils sont maintenant dans une énorme impasse.

En France, l’escroquerie dure depuis un moment, depuis l’élection de Jacques Chirac quand il fut opposé à Le Pen en 2002.

Depuis ils ont essayé de parfaire le scénario, qu’ils nous imposent à chaque fois.

Mais pour que ça marche, il faut qu’on y croie, sinon c’est la crise de confiance qui est en train d’avoir lieu.

2°) Brigitte Bouzonnie : Oui, il n’y a pas eu d’élections sincères en 2017.

À cause des serveurs DOMINION et SCYTL installés à Nice par la CIA, qui ont truqué le résultat au premier tour

Macron était à peine crédité de 11 % par le Peuple français. Mais pourtant, il a été adoubé candidat du second tour contre M. Le Pen, en siphonnant les autres listes de candidats, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA.

Je suis tout à fait d’accord pour dire que le Peuple français détestait Macron depuis le projet de loi Khomri ; qui devait s’appeler au départ : loi Macron 2. On rappelle que le refus de la loi Khomri a donné lieu à 14 journées nationales, un million de personnes dans la rue, rien que pour la journée du 31 mars 2016. Une forte ébullition sur les réseaux sociaux. Un pouvoir hollandiste en roue libre. Et, si nous n’avions pas eu de dirigeants syndicaux et politiques corrompus (coucou Martinez, coucou Mélenchon !), on aurait pu imaginer un renversement de pouvoir.

Ensuite, nous faire croire que Macron, avec son chapeau haut de forme de la Restauration de Juillet, avait rassemblé sincèrement 24 % le soir du premier tour, c’était vraiment nous prendre pour des billes !

Nous avons compris le mode opératoire précis utilisé par Macron et Hollande, grâce à l’article rédigé par Éric Montana sur MEDIAZONE du 24 novembre 2020 : « SCYTL, le logiciel qui rend nos votes inutiles » (voir article ci-dessous). Et quand Alexis Cossette a raconté le raid de Francfort, la mort de 5 GI, afin de récupérer les serveurs DOMINION, ayant truqué l’élection 2020 américaine entre Donald Trump et Biden.

Le rôle de la désorientation idéologique majeure, active à la tête de l’État

Outre les serveurs truqués, l’élection présidentielle est devenue une procédure irrationnelle et mensongère. Alain Badiou dénonce avec lucidité « la désorientation idéologique majeure, active à la tête de l’État, et dont souffre par ruissellement le Peuple français : l’amenant à voter pour des Chirac, Sarkosy, Hollande, Macron.

« Le rôle des affects collectifs ne peut être apprécié indépendamment des appareils idéologiques d’État chers à Althusser (partis, médias). Et qui sont des puissances de déraison et d’ignorance tout à fait spectaculaires. Leur fonction est justement de propager des affects dominants. Ils n’ont pas été pour rien en 2002, pour la “psychose Le Pen” : qui, après que le vieux pétainiste, quoique vieux cheval sur le retour fourbu, tiré d’écuries en ruine, a passé le premier tour, — M Le Pen second le 21 avril 2002, Jospin éliminé —, jeta la masse de jeunes lycéens épouvantés et de raisonnables intellectuels dans les bras d’un Chirac, qui, n’étant pas lui-même, en ce qui concerne la vigueur politique, de toute première fraîcheur » (sic) (« De quoi Sarkosy est-il le nom ? », édition Lignes, 2009).

De même, l’injonction au vote utile 2017, afin d’élire le candidat Macron, mauvais sur le plan intellectuel. Et faire de l’électorat français un Peuple apeuré, terrorisé devant le supposé danger Le Pen, imperméable à toute rationalité élémentaire.

Mais ce n’est pas tout : des mécanismes grossiers de tromperie majeure du Peuple français ont pétaradé à plein régime dans les télés officielles. La télévision a atteint des niveaux de déraison extraordinaires. Un exemple entre mille : .ainsi, plus de dix millions de Français ont assisté au premier débat entre les candidats de la présidentielle 2017. Avec un Mélenchon dominant largement le débat. Sortant des blagues : « il faut laisser les PS parler entre eux » (sic), à propos d’une algarade Hamon/Macron. Inversement, un Macron plus mauvais qu’un mauvais élève pris en faute. Pourtant, un quart d’heure avant la fin du débat, on nous a sorti un sondage proclamant Macron vainqueur, pour 29 % des sondés, tandis que JLM était loin derrière à 20 %. Pire encore, tout au long de la journée suivante, les médias inéquitables réussirent le tour de force de « commenter » le débat sans jamais citer Mélenchon.

Le vote au suffrage universel est devenu une escroquerie politique en bande organisée, permettant de faire élire la personne la plus détestée des Français. Désormais, nous n’irons plus voter. Ou voter sans aucune certitude de voir notre bulletin de vote pris en compte. La confiance populaire ayant disparu, cela va générer un taux d’abstention abyssal.

La démocratie parlementaire se meurt, la démocratie parlementaire est morte !

Elle ne se relèvera jamais de ces énormes triches à répétition, qui ont commencé aux Philippines, Cambodge, Taïwan, Hong Kong, puis en Allemagne, France, États-Unis. Elle ne se relèvera pas de tout le mensonge médiatique, qui l’entoure, réduisant notre intellect au degré zéro de l’entendement.

Il faut inventer un autre système de désignation honnête de nos dirigeants !

3°) « Scytl, le logiciel qui rend nos votes inutiles », article rédigé par Éric Montana le 24 novembre 2020 pour MEDIAZONE

Le logiciel qui permet de faire élire un inconnu, Président…

Il y a des événements qui servent parfois de déclic dans une vie. La fraude massive du candidat Biden dans les élections américaines en est un.

Nous découvrons avec effarement que l’on peut truquer des élections dans le pays qui se revendique « leader du monde libre » et lumière de la démocratie. Nous apprenons grâce à Internet et l’affaire Jeffrey Epstein, la corruption massive qui ronge la politique américaine, vendue à tous les lobbys. La dépravation maladive de dirigeants mondialement connus comme Bill Clinton et même Bill Gates, deux habitués des voyages sur le Lolita Express, l’avion qui servait à transporter ces bienfaiteurs de l’humanité sur l’île aux orgies appartenant à l’agent du Mossad, découvert si opportunément suicidé dans sa cellule new-yorkaise. Un État américain noyauté par des personnages soupçonnés ou accusés de pédophilie, de trafic et de crimes sexuels…

Nous apprenons l’existence d’un Deep State qui gouverne ce pays dans l’ombre. Nous réalisons avec effroi que la CIA, cet État dans l’État qui ne rend compte à personne, agit à sa guise avec la complicité de son frère jumeau le Mossad, dans le trafic d’armes, le trafic de drogues, le trafic d’êtres humains, les coups d’État, les révolutions colorées, les assassinats ciblés.

Nous découvrons que Soros finance les Black Lives Matter en payant les manifestants 15 dollars de l’heure pour semer le chaos et la violence, qu’il organise les caravanes de milliers de sud américains se dirigeant vers les États-Unis pour tenter de faire passer Trump qui s’oppose à ces arrivées massives de faux migrants, pour un président sans cœur et sans compassion et salir son image aux yeux des Américains et du reste du monde…

Et bien évidemment, on finit par s’interroger sur notre propre pays. Et en découvrant chaque jour que Dieu fait, la corruption de nos politiciens, leur soumission aux lobbys, leurs lois iniques votées contre le peuple, l’enrichissement rapide de certains d’entre eux, les privilèges indécents qu’ils s’accordent à eux-mêmes, l’impunité qu’ils se votent pour mieux se protéger de la justice, leurs vices cachés, on se dit que nous sommes exactement dans la même situation qu’aux États-Unis.

De plus, quand on découvre que la France possède aussi le logiciel Scytl qui a servi à truquer les élections américaines, les doutes légitimes que nous avions sur les élections présidentielles de 2017, qui ont vu la victoire d’un candidat sorti de nulle part, mais sélectionné par le groupe Bilderberg pour être le nouveau président de la République française, ne peuvent que revenir à la surface.

Personne n’a oublié comment Macron a été outrageusement avantagé dans les médias, dans la presse. L’inégalité du temps de parole appliqué scandaleusement aux autres candidats qui ont été marginalisés, maltraités, et qui malgré leurs légitimes revendications à bénéficier d’un temps de parole égal et d’une égalité de traitement, n’ont pas été entendus. Cette première et grave anomalie laissait déjà entrevoir le reste… Macron semblait être le candidat que le Système avait choisi pour la fonction suprême. Les sondages lui étaient systématiquement favorables alors qu’il était inconnu des Français et que la seule chose que l’on savait de lui, c’est qu’il a permis à la finance apatride de mettre la main sur les fleurons de notre industrie nationale.

Ses meetings électoraux avec des figurants, des salles à moitié vides alors que les médias parlaient d’enthousiasme et d’engouement « populaire » pour ce jeune candidat, ont été une autre anomalie qui aurait du mettre la puce à l’oreille de ceux qui prétendent faire de l’information. La campagne électorale de Macron avait tout d’une mise en scène et réunissait tous les ingrédients de la manipulation de masse. Puis l’utilisation de machines à voter informatisées, aussi peu fiables que les résultats finaux, a été une autre source de questionnement.

Ne parlons pas des résultats du premier tour où dans les grandes villes tenues par ses amis politiques, les bulletins blancs étaient inexistants, où les premiers comptages lui attribuaient de 6 à 9 % et parfois beaucoup moins… et qu’après une étrange panne informatique d’une demie-heure, on l’a donné en tête avec 22, 23 ou 24 %… Les miracles de l’informatique et du logiciel Scytl ?

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Puis « last but not least » [enfin, mais pas des moindres], le soir de son élection, le discours prononcé devant la symbolique pyramide du Louvre avec cette lumière rouge au-dessus de sa tête, comme l’œil d’Horus observant les événements, saluant la foule au signe du compas et de l’équerre devant des spectateurs et des figurants apparemment nombreux, mais télévisés à coups d’images rapides pour éviter le détail qui tue..

Tout cela faisait penser à la théâtralisation d’une cérémonie maçonnique. Les derniers détails qui confirmaient des doutes légitimes et l’idée que nous étions bien dans une élection étrange ne correspondant à rien de ce que nous avions vécu auparavant. Et puis cette sale impression que le groupe Bilderberg et la Franc-Maçonnerie l’avaient largement organisée et planifiée, et que grâce à l’ignorance et la naïveté des Français, la Cabale l’avait largement emportée.

Le vrai gagnant de ces élections ce n’était pas le peuple français, mais Rothschild et ses complices de l’État profond.

Depuis, la France est vendue à la découpe à la haute finance et les riches se sont enrichis et multipliés comme jamais auparavant. Ce pouvoir gouverne par la force et la violence. Du jamais vu en France ! La corruption explose faisant de notre pays l’un des pays le plus corrompu du monde. Les lois liberticides se succèdent les unes après les autres. Les droits sociaux sont démolis à coups de votes nocturnes à l’Assemblée et au Sénat et même la réforme des retraites contre laquelle des millions de Français ont protesté, a été votée en pleine nuit, en catimini grâce à une nouvelle traîtrise du groupe Les Républicains qui en ont pris l’initiative.

Et puis cerise sur le gâteau, l’État d’urgence sanitaire décrété grâce à un virus de laboratoire breveté et utilisé de manière criminelle, pour imposer aux Français un régime digne des pires dictatures.

La destruction de l’économie pour favoriser le Grand Reset à base de monnaie digitale, permettant de surveiller tous nos faits et gestes, les tests bidons pour continuer à gouverner par la peur, les chiffres truqués pour favoriser la psychose de la mort, la vaccination avec l’ajout de nanoparticules et d’ingrédients qui nous rendront encore plus malades, et bientôt la pénurie alimentaire, un nouveau Covid-21 et les camps d’internement pour faire plier les récalcitrants qui refusent en bloc le confinement, le masque obligatoire, l’interdiction de voyager, l’interdiction d’un retour à une vie normale et la folie criminelle de ce gouvernement d’imposteurs, d’assassins et de corrompus.

Et si les médias s’inquiètent de constater que 91 % des Français et 80 % d’entre nous, ne faisons plus confiance ni au gouvernement ni aux médias complices au sujet de cette gigantesque opération criminelle, c’est que nous sommes à la veille d’une révolte qui se transformera sans aucun doute, en insurrection violente.

Le peuple de France est victime d’une Cabale monstrueuse tout comme le peuple américain et d’autres peuples européens. Cette Cabale veut nous imposer le Nouvel Ordre Mondial totalitaire et génocidaire de gré ou de force, et pour l’instant c’est surtout la force et la violence qui sont employées. Nous sommes donc en situation de victimes.

Mais nous ne devons pas oublier que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Et si le réveil du peuple français semble lent et poussif, il est indéniable qu’il est massif.

Un autre monde est possible et cela ne dépend que de nous. Seuls nous ne sommes rien, ensemble soyons tout.

Comment un inconnu peut-il devenir Président ?

Source : Médiazone







Planet Lockdown – Documentaire complet version française

[Sources : cv19.fr et LHK]

« La rencontre avec l’équipe de Planet lockdown fut pour moi un moment incroyable tant la relation avec l’équipe du film a été intense. Imaginez des jeunes gens qui décident de faire quelque chose pour l’humanité. Ils voyaient bien que quelque chose ne tournait pas rond dans le monde des virus et du partenariat sanitaire issu de l’amalgame indigeste des secteurs publics-privés.
Ils ont donc pris le matériel nécessaire et sont partis à a découverte d’un Occident brisé dont la population semble prise en otage quand elle n’a pas tout simplement pas succombé à un virus dont les traitements ont été confisqués.
Le sort qui a été réservé aux personnes âgées isolées est un élément marquant de ce méprisable épisode de l’histoire humaine.
L’autre élément scandaleux étant la vaccination d’enfants et mineurs qui n’ont pas donné leur consentement à leur participation à l’immense expérimentation.
La bonne nouvelle est que l’édifice officiel commence à prendre l’eau de tous les côtés (cf. article ci-dessous). Je suppose que les gestionnaires de la crise covidienne commencent à s’inquiéter…
Bref, après plus d’une année de travail, le film Planet Lockdown a été mis à disposition du public hier soir. »

Liliane Held-Khawam (LHK)

Planet Lockdown est un documentaire sur la situation dans laquelle se trouve le monde. Les réalisateurs se sont entretenus avec certains des esprits les plus brillants et les plus courageux de ce monde, notamment des épidémiologistes, des scientifiques, des médecins, des avocats, des manifestants, un homme d’État et un prince. Ces âmes courageuses ont eu le courage de dire la vérité et nous inspirent à faire de même. Nous devons avoir le courage de surmonter nos peurs. Et une fois que nous l’avons fait, tout devient plus facile.

Vous y retrouverez entre autres Louis Fouché, Alexandra Henrion-Caude, Catherine Austin Fitts, Astrid Stuckelberger, Liliane Held-Khawam, Michael Yeadon, Carrie Madej, Václav Klaus et Reiner Fuellmich dans l’une des plus belles et peut-être plus importante réalisation depuis le début de cette crise.



Merci à Liliane Held-Khawam pour la version française.

Retrouvez toutes les interviews complètes sur le site https://planetlockdownfilm.com/

Vous pouvez soutenir le documentaire ici : https://planetlockdownfilm.com/support-the-movie/




Enfants vaccinés : la scélératesse des parents est sans limite

[Source : RL]

Par Anne Schubert

Aux pauvres enfants innocents de parents inconscients qui eux, se sont laissés piquer pour 50% de réduction sur une pizza, on propose un PIÈGE répugnant ! Quel enfant résisterait au plaisir de monter dans un VRAI avion ?

À 12 ans, et même longtemps après, je rêvais de devenir hôtesse de l’air, j’ai littéralement dévoré une série pour petites filles (Sylvie hôtesse de l‘air- Editions Marabout Junio) qui m’a bouleversée… Quelques années plus tard, j’allais en bus à l’aéroport, juste pour sentir l’odeur des voyages, et restais à boire un café pendant des heures…M’emmener petit fille dans un vrai avion m’aurait fait chavirer de bonheur. Je crois que j’aurais accepté sans broncher qu’on me retire un rein sans anesthésie…

J’ai visionné 20 secondes de la vidéo et ai été prise d’une nausée incontrôlable.

Il faut enregistrer ce film et ensuite, le montrer aux parents lâches, immondes, qui entrainent leurs pauvres petits ! Copier le document sur lequel ils ont apposé leur immonde signature de sale traitre ! Ils auront probablement, dans leur lâcheté, parcouru en vitesse, question de proposer un loisir gratuit à leur gamin tout en se sentant supérieurs, altruistes. Quel superbe sujet de conversation avec les collègues du bureau demain… quant aux petits, quand la maitresse leur demandera ce qu’ils ont fait avec papa et maman dimanche, ils seront les héros de la classe ! Le Captain America du quartier… et ils feront quoi, les autres parents de la rue ? Ils se précipiteront sur leur PC pour réserver la session suivante.

MINABLES !

(Attention, une réservation était indispensable, ils ne pourront même pas dire qu’ils ont été entrainés sans vraiment savoir-…)

L’action, qui était organisée par la ville de Bonn en coopération avec l’aéroport de la région, se déroulait dans un Airbus A300 Zero G. Depuis août 2015, l’appareil est stationné à l’aéroport de Cologne/Bonn et accueille du public pour des visites. (et pour des pièges !)

Les enfants ont eu le droit de jeter un coup d’oeil au poste de pilotage après l’injection.

ILS VONT LEUR DIRE QUOI à leurs enfants, quand ceux-ci seront devenus stériles, malades, auront eux-mêmes des enfants malformés ? Quand leur petite fille, influencable aujourd’hui ,sera devenue grande et aura un bébé sans bras ou atteint de sclérose en plaques ? D’AVC hémorragiues ? De dégénérescence cervicale? Ils diront ma chérie, c’était pour que tu puisses voir un avion à l’intérieur ? Si on avait su…

J’invente ? J’exagère ? Qu’est-ce que vous en savez ?? Vous êtes au courant, vous avez consulté les fiches pharmaceutiques, vous êtes peut- medium ? Immunologue, virologue ?

Alors que les enfants ne développent quasi jamais un covid grave ! Et que les enfants injectés peuvent parfaitement contaminer les autres… Mais cela, on ne le dit pas à la télé. Et la télé, c’est votre pitance quotidienne.

Cologne, la ville maudite, celle où les habitants sont forcés d’entendre l’appel à la prière tous les vendredis. De gré ou de force !

Un médecin de Cologne a même eu une idée de génie pour circonvenir les patients avec éventuelle réticence : celui qui se fait piquer offre automatiquement 3 Euro pour les SDF. (Remarque toute personnelle : 80% des SDF de Cologne sont des koranikes, le don fait donc double effet !)

Köln: Praxis spendet drei Euro pro Impfung an Obdachlose | Express

Je suis sous le choc, bouleversée, décomposée, d’autant plus que je ne peux même pas en parler autour de moi sans me faire traiter de malade.

Anne Schubert




LETTRE OUVERTE sur les vaccins contre la Covid-19, à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet

[Source : ctiapchcholet.blogspot.com]

[photo : Pierre Vollot, directeur du centre hospitalier de Cholet. | ARCHIVES CO – ÉTIENNE LIZAMBARD]

il est vain et illusoire de vouloir tenter de supprimer les preuves susceptibles d’être utiles pour les juges

Par Docteur Amine UMLIL

Cholet, le 15 janvier 2022

Monsieur Pierre VOLLOT,
Directeur
Centre hospitalier de Cholet

Copie adressée à notamment :

  • Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;
  • Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;
  • Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN ;
  • l’Assemblée nationale ;
  • [au] Sénat ;
  • la haute autorité de santé (HAS) ;
  • l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ;
  • [au] Réseau français des 31 centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ;
  • [au] Collège national des [médecins] Généralistes enseignants (CNGE) ;
  • l’Ordre national des pharmaciens ;
  • l’Ordre des médecins ;
  • l’Agence régionale de santé (ARS) des pays-de-la-Loire ;
  • la Présidente de la Région des Pays-de-la-Loire, Madame Christelle MORANÇAIS ;
  • [au] Groupement hospitalier de territoire de Maine-et-Loire (GHT49) ;
  • [au] Président du Conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX ;
  • la Presse.

Par la présente, j’accuse réception de votre nouvelle (nième) lettre recommandée avec avis de réception (LRAR) en date du 11 janvier 2022 par laquelle vous me mettez, à nouveau, « en demeure, immédiatement, de : Mettre hors ligne » le présent site (blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet « pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet ». À nouveau, vous me demandez aussi de vous transmettre « les codes d’accès et d’administration » de ce site afin que vous puissiez supprimer les articles qui informent les professionnels de santé et le public sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ; les articles qui vous gênent en somme.

Votre prétention est particulièrement osée eu égard d’une part à vos déclarations publiques, ainsi qu’auprès du centre national de gestion (CNG), qualifiant ce site de « blog personnel » (cliquer ici) ; et d’autre part au contenu de votre plainte (et celle de votre directeur adjoint, Monsieur Eric MOREAU) pour « Injure publique ».

Dans vos accusations figurant dans votre nouvelle prose du 11 janvier 2022, je suis ʺsurprisʺ de ne pas vous voir aussi imputer au CTIAP ce qui est arrivé à la Présidente de la commission médicale d’établissement (CME) qui a, selon la presse, « porté plainte (…) pour faux, usage de faux et séquestration » (cliquer ici et ici); les démissions soudaines et groupées des membres de cette CME ; les conditions de travail en psychiatrie notamment révélées dans la presse depuis plusieurs semaines ; ce que des articles de presse viennent de révéler ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR) : « Cholet. Un employé de l’hypermarché E. Leclerc poignardé par un patient ayant fui l’hôpital » ; ce que la presse a aussi révélé sur la « garde à vue » du Maire de Cholet ce même 11 janvier 2022 ; etc.

À nouveau, votre lettre appelle de ma part les rectifications et observations, non exhaustives, qui suivent.

En effet, vous écrivez :

« Docteur,

À ce jour, vous n’avez toujours pas tenu compte des précédents courriers (2021-071 / 2021-084) adressés par le Centre hospitalier de Cholet vous mettant en demeure de cesser la publication de vos articles sur le Blog du CTIAP du Centre hospitalier.

Cela est inacceptable. »

Ma réponse : Or, en réalité, ces deux précédents courriers, datés du mois de septembre 2021, m’ont été adressés par vous-même (et vous n’êtes pas le Centre hospitalier de Cholet) durant ma suspension de mes fonctions (dans le cadre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19) que vous avez prononcée à mon encontre avec interruption immédiate de ma rémunération et interdiction de toute autre activité rémunérée ; et sans même répondre à mes questions formulées à votre demande. Et comme je ne suis pas votre vassal, je n’ai vu en plus aucun argument objectif, sérieux et vérifiable qui justifie votre demande. D’ailleurs, vous n’avez pas donné suite à vos deux précédentes mises en demeure.

Vous soutenez : 

« Outre vos propos particulièrement irrespectueux à l’encontre de la direction de l’établissement et de la politique du gouvernement, vous publiez désormais des articles critiques à l’encontre de l’établissement qui ne correspondent pas davantage à de la pharmacovigilance. Il ne s’agit plus que d’articles où vous avancez votre avis personnel, sans références scientifiques ou appareils critiques adaptés.

Le Centre hospitalier de Cholet vous rappelle à nouveau que le CTIAP de l’établissement n’a aucune visée politique, journalistique ou polémique.

Manifestement, les articles du blog du CTIAP de Cholet ne correspondent absolument pas à la communication définie pour le CTIAP et ont un contenu désobligeant, polémique et très défavorable pour l’image du Centre hospitalier.

Spécialement, il n’est pas acceptable de relater votre différend avec le Centre hospitalier ni le critiquer, sur un blog censé traiter de pharmacovigilance. »

Ma réponse : Or, en réalité, le site du CTIAP n’est pas censé traiter uniquement de pharmacovigilance. Il suffit de relire la mission affichée du CTIAP et de relire les articles publiés depuis 2015.

Vos accusations ne mentionnent aucun fait précis et votre prose se contente de livrer vos sentiments dans le but de nourrir une appréciation d’ordre général.

Je vous rappelle que c’est vous qui avez en premier attaqué, publiquement, le CTIAP via les réseaux sociaux et par voie de presse ; dès que le CTIAP a commencé à rendre visible au public les données publiées par les autorités ad hoc concernant les incertitudes sur la composition et le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19.

Mes domaines de compétence, dans lesquels vous vous êtes introduit de façon brutale, autorisent la critique des données et des pratiques. Une telle critique relève du débat public, contradictoire et utile.

Ce sont les pratiques déviantes, révélées notamment par différents rapports établis par les corps d’inspection et dont certains sont repris par la presse, qui portent atteinte à l’image du centre hospitalier de Cholet. Tout comme le turn-over incessant des praticiens.

D’ailleurs dans votre plainte, vous soutenez : « Il est possible de critiquer la politique sanitaire du gouvernement ». Mais, vous n’êtes plus à une contradiction près.

Le CTIAP ne fait pas de la « communication ». Il propose des analyses concernant le domaine complexe du médicament et de son environnement.

Je note que mes « propos » ne seraient plus « injurieux »… Ils deviendraient « désobligeants »… Et le respect commence par l’expression d’un parler vrai.

Vous affirmez : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    De faire état d’un « mésusage d’un médicament » sans preuves scientifiques à l’appui de votre opinion » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP, en date du 30 décembre 2021, qui s’intéresse à la troisième dose du vaccin contre la Covid-19.

Ma réponse : Or, en réalité, cet article confronte les recommandations des autorités officielles et leurs médias aux données de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des vaccins contre la Covid-19 et notamment du vaccin des laboratoires BioNTech/Pfizer. L’on déduit donc que, selon vous, l’AMM serait « mon opinion » et ne ferait pas partie desdites « preuves scientifiques ». Mais, vous êtes juste un directeur administratif qui s’aventure, de façon imprudente, dans le domaine scientifique.

Les lecteurs sont invités à relire l’article, que vous contestez, publié sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : l’année 2021 s’achève par un nouveau « mésusage » promu par les autorités officielles et leurs médias ».

Vous affirmez : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    D’accuser le Centre hospitalier de Cholet d’un prétendu « comportement déviant », de mal interpréter un rapport de la Chambre régionale des comptes (et non de la Cour des comptes), ce qui ne rentre pas dans vos fonctions, ne concerne aucunement le sujet de la pharmacovigilance, et porte atteinte à l’image de l’établissement et de son personnel » 

en joutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 23 décembre 2021.

Ma réponse : Or, en réalité, la Chambre régionale des comptes (dont le site indique également Cour des comptes) publie elle-même ceci : « l’établissement offre un environnement favorable aux comportements déviants ». Elle a relayé son rapport sur notamment le réseau social Twitter. Ce rapport a été repris par la presse. Et le CTIAP a précisé notamment ceci : « Ces comportements défectueux de quelques individus ne peuvent que porter atteinte à l’image du centre hospitalier de Cholet ». Et lorsque la presse indique « L’hôpital droit dans ses bottes », le CTIAP précise de façon générale que « l’hôpital n’est pas responsable des pratiques déviantes d’un directeur administratif notamment ». Il n’y a pas lieu de confondre une personne, auteur de faits fautifs et répréhensibles, avec la fonction et/ou avec la structure qui accueille cette personne.

Par ailleurs, vous vous autorisez à dénigrer publiquement, de façon injustifiée et à plusieurs reprises, les travaux du CTIAP qui sont pourtant inaccessibles à vos compétences et à votre fonction ; et vous seriez ensuite surpris de voir le CTIAP s’intéresser à vos propres pratiques déjà révélées par la Cour des comptes et de la presse ?

Selon vous, les Magistrats de la Chambre régionale des comptes raconteraient n’importe quoi (cf. les déclarations que la presse a mises dans votre propre bouche) et le CTIAP interprèterait mal le rapport de la Cour alors qu’il n’a fait que recopier ce que ces Magistrats ont retenu de façon définitive.

Les lecteurs sont invités à relire l’article, que vous contestez, publié sous le titre « Hôpital public de Cholet : « l’établissement offre un environnement favorable aux comportements déviants » (Cour des comptes, 13 décembre 2021) ».

Et vous semblez venir au secours des « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » qui ont réagi, par voie de presse, à l’étude sur les effets indésirables initiée par d’autres médecins et à laquelle le CTIAP apporte son aide. En effet, vous affirmez :

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    De présenter, prétendument au nom du Centre hospitalier de Cholet, une réponse polémique à une tribune dans la presse par des médecins et pharmaciens en faveur du vaccin contre la covid19 » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 20 décembre 2021.

Ma réponse : Or là encore, en réalité, cette réponse circonstanciée du CTIAP est fondée sur les données de ladite AMM notamment. Elle précise : « Il sera ainsi répondu point par point à ces affirmations en se référant à des documents officiels publiés par les autorités ad hoc tels que le RCP (résumé des caractéristiques du produit) constituant l’annexe I de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » ; et en convoquant des dispositions légales (loi au sens large) consacrant les caractères de l’information qui doit être dispensée à toute personne humaine pour permettre à celle-ci de donner son consentement de façon libre et éclairée. Des extraits de rapports établis par l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) seront rappelés. (…) ».

Selon vous, ces références indépendantes et réglementaires en tout premier lieu ainsi que l’AMM relèveraient de la « polémique ».

On dirait que ces « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » seraient venus à votre secours suite à votre attaque, par voie de presse, ciblant ladite étude sur les effets indésirables (pharmacovigilance donc) ; et maintenant, à votre tour, vous semblez venir à leur secours… eu égard à cette réponse circonstanciée du CTIAP qui semble les avoir mis en difficulté d’autant plus que leurs noms sont désormais gravés dans leur propre tribune.

Les lecteurs sont invités à relire cette réponse du CTIAP publiée sous le titre « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 : Réponse circonstanciée du CTIAP du centre hospitalier de Cholet aux « 119 médecins [et quelques pharmaciens] choletais » ».

Dans une tribune publiée le 8 janvier 2022 dans Le Figaro, il est possible de lire ce que constate un médecin en santé publique et épidémiologiste, Madame Alice DESBIOLLES : « Vaccins : « Une partie du corps médical a quitté la déontologie et l’éthique pour sombrer dans la morale » ».

Vous poursuivez en affirmant : 

« Il n’est spécialement pas acceptable dans vos publications :

–    D’interpeller vivement un médecin choletais extérieur à l’établissement et de lui proposer un « débat télévisé en direct » 

en ajoutant le lien vers l’article du CTIAP en date du 14 décembre 2021.

Ma réponse : Or là encore, en réalité, c’est ce médecin qui a interpelé, par voie de presse, le CTIAP. Il est aussi à l’origine de ladite tribune des 119 médecins (et quelques pharmaciens) choletais susmentionnée. Il a déjà exercé à l’hôpital de Cholet. Il est aussi un homme politique de dimension locale (choletaise). Et la proposition dudit débat public en direct date du mois de mars 2021 suite aux propos imputés, par la presse, à ce médecin ; des propos me ciblant directement (cliquer ici).

L’on voit bien que vous prenez toujours la défense des détracteurs du CTIAP ; y compris ceux anonymes qui attaquent le CTIAP via les réseaux sociaux. Vous semblez avoir saisi la mauvaise branche.

Vous continuez vos accusations en affirmant : 

« Ces articles, en plus de ne rien avoir à faire sur un blog du Centre hospitalier de Cholet consacré à la pharmacovigilance nuisent gravement à l’image et à la réputation de l’établissement et à ses relations avec les professionnels de santé choletais. Ils génèrent une ambiance délétère au sein de l’établissement et sont susceptibles de nuire à vos collègues du Centre hospitalier mais également aux patients qui pourraient penser que le Centre hospitalier soutient, sans réserve, vos propos désobligeant et partiaux, relatés sur le blog du CTIAP ».

Ma réponse : Or, en réalité, ces articles révèlent au public lesdits comportements déviants observés depuis le début de la vaccination contre la Covid-19, et notamment au sein du centre hospitalier de Cholet. Ce sont vos propres pratiques qui nuisent gravement à l’image et à la réputation de l’hôpital public de Cholet. Ce sont vos méthodes brutales qui génèrent une ambiance délétère au sein de l’établissement et sont de nature à porter atteinte à l’efficience des soins (qualité, sécurité, coût) dispensés aux patients.

Dans vos accusations figurant dans votre nouvelle prose, et comme je vous le disais plus haut, je suis ʺsurprisʺ de ne pas vous voir aussi imputer au CTIAP ce qui est arrivé à la Présidente de la commission médicale d’établissement (CME) qui a, selon la presse, « porté plainte (…) pour faux, usage de faux et séquestration » (cliquer ici et ici) ; les démissions soudaines et groupées des membres de cette CME ; les conditions de travail en psychiatrie notamment révélées dans la presse depuis plusieurs semaines ; ce que des articles de presse viennent de révéler ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR) : « Cholet. Un employé de l’hypermarché E. Leclerc poignardé par un patient ayant fui l’hôpital » ; ce que la presse a aussi révélé sur la « garde à vue » du Maire de Cholet ce même 11 janvier 2022 ; etc.

C’est sur la base de cette nouvelle argumentation paralogique, qu’un psychiatre pourrait qualifier de « Projection », que vous me demandez : 

« Ainsi, je vous rappelle que vous n’avez pas respecté la décision du Centre Hospitalier de Cholet [en réalité la vôtre, votre désir], de mettre le blog hors ligne et surtout le rendre inaccessible immédiatement.

En conséquence, je vous mets en demeure, immédiatement, de :

–    Mettre hors ligne le blog (…) [cliquer ici] pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet,
–    Remettre à la direction de la communication est [et] au service informatique les codes d’accès et d’administration du blog (…) [cliquer ici] et les informations techniques utiles pour son administration au nom du Centre hospitalier,
–    Remettre à la direction de la communication et au service informatique la liste et le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament répondant à la mission du CTIAP.

Je vous remercie des suites favorables que vous donnerez à cette décision.

A toutes fins utiles, je vous rappelle que conformément à la réglementation applicable, vous disposez d’un délai de deux mois à compter de la réception de la présente décision valant mise en demeure pour porter le contentieux devant la juridiction compétente.

Je vous prie de croire, Docteur, en l’expression de mes salutations distinguées.

Le directeur,

Pierre VOLLOT »

Ma réponse : Or, en réalité, votre démarche semble suivre un seul but : tenter de supprimer des preuves vérifiables qui sont susceptibles d’être utiles pour les juges notamment lors des nombreux procès qui semblent se profiler à l’horizon et notamment devant les juridictions pénales.

D’ailleurs, je vous rappelle que vous, ainsi que votre directeur adjoint (Monsieur Eric MOREAU), m’avez délivré une « CITATION DIRECTE DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL » au mois de novembre 2021.

N.B. : Tribunal judiciaire (correctionnel) ; audience du 6 décembre 2021, 14h : votre absence, celle de votre directeur adjoint, ainsi que celle de vos avocats désignés, remarquées par le Tribunal

Le 6 décembre 2021, je me suis rendu au tribunal conformément à votre citation pour « Injure publique ». Or, le tribunal a relevé votre absence, celle de votre directeur adjoint (Monsieur Eric MOREAU) ainsi que celles de vos deux avocats désignés dans votre citation. Pourtant, vous étiez les principaux concernés par cette première audience. La situation a été telle que le tribunal pensait que j’étais l’auteur de cette procédure… Mais, rassurez-vous, j’ai rectifié en précisant que j’étais le « prévenu »

Ma plainte pénale contre X, elle, est entre les mains du Procureur de la République bien avant votre citation directe. Son contenu est d’une toute autre dimension.

Il est surprenant de vous voir me demander la suppression du blog du CTIAP alors qu’il est le sujet de votre propre plainte.

Plusieurs juristes ainsi que des personnes touchées par des effets indésirables graves et des familles de personnes décédées suite à l’administration de ces vaccins contre la Covid-19 (et sans présumer de la certitude du lien de causalité), notamment, se sont appropriés le contenu du CTIAP.

Il est donc vain et illusoire de continuer de m’envoyer, notamment à mon domicile, vos lettres recommandées avec avis de réception (LRAR) qui ne font, encore une fois, que gaspiller les deniers publics.

Vous ne tenez même pas compte des très nombreuses lettres de satisfaction envers le CTIAP que vous avez vous-mêmes reçues de la part de plusieurs personnes. Vous méprisez aussi les interrogations des représentants des usagers (cliquer ici).

En réalité, ce même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR), je vous ai adressé un e-mail important. Comme vous le savez, la liste des destinataires de cet e-mail comprend également d’autres personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet : les médecins, les pharmaciens, les sage-femmes, les internes, votre secrétariat, l’équipe de direction, les cadres, les infirmiers, les syndicats.

Mon e-mail du même 11 janvier 2022 (date de votre LRAR)

Cet e-mail vous aurait sans doute dessiné le chemin qui semble se profiler vers la manifestation de la vérité. Il vous aurait peut-être fait sentir la fragilité de la branche que vous avez décidé de saisir, à plusieurs… Je vous écrivais ceci :

« Bonjour,

Pour information :

1)  « [Covid-19] Les mesures qui n’ont aucune base scientifique ni efficacité prouvée et qui sont, de plus, attentatoires aux libertés et pénalisantes pour la vie économique, sociale et familiale ne doivent plus être proposées… » (Jean LEONETTI, le 9 janvier 2022) ;

2)  « Pr Éric CAUMES : ʺClairement, ce n’est pas un très bon vaccin [contre la Covid-19]. Surtout il est éphémère, ce n’est pas une durée de protection qui est en année ni en mois.ʺ (LCI, le 8 janvier 2022) ;

 3)  N.B. : J’éviterais de vous relayer la qualification utilisée par le professeur Jean-Michel CLAVERIE sur CNEWS concernant les vaccins contre la Covid-19, ainsi que les tribunes publiées par plusieurs juristes notamment dans Le Figaro.

 4)  Rappel : Note d’Alerte du Conseil scientifique du 20 août 2021 (cf. article du CTIAP du 11 septembre 2021) : cliquer ici

 5)  Etc. (cf. notamment les analyses du CTIAP).

Bien cordialement,

 Docteur Amine UMLIL

(…) »

Ledit Professeur Jean-Michel CLAVERIE qualifie publiquement ce vaccin ainsi : « Ce vaccin est une escroquerie ».

Depuis mon e-mail du 11 janvier 2022, la vérité semble encore davantage en marche.

Ce 11 janvier 2022, la presse française notamment publie la nouvelle position de l’OMS (organisation mondiale de la santé) et de l’EMA (agence européenne du médicament) sur la vaccination contre la Covid-19. Par exemple, Franceinfo avec AFP (agence France presse) publie un article intitulé « Covid-19 : combattre la pandémie à coups de doses de rappel n’est pas une stratégie viable, estime l’OMS ». Cet article précise : 

« L’agence de l’ONU juge qu’il faut désormais développer des vaccins ayant un impact sur la transmission et la prévention de l’infection ».

Le 12 janvier 2022, au sein du Parlement du Luxembourg, le prix Nobel français, Monsieur le Professeur Luc MONTAGNIER, soutient publiquement : « Ces vaccins sont des poisons ».

Suite à mon e-mail du 11 janvier 2022, vous auriez sans doute réalisé votre contribution très active, et infondée, visant à saboter le travail du CTIAP ; et donc à empêcher l’information des professionnels de santé et du public sur la réalité du rapport bénéfice/risque des vaccins expérimentaux contre la Covid-19 (essais cliniques toujours en cours). Vous avez utilisé le dol et la violence pour tenter d’atteindre votre but : relayer le discours officiel et rien que ce discours malgré ses incohérences et incertitudes. Vous ne supportez pas le débat public, contradictoire et utile. Vous croyez disposer des compétences nécessaires pour contester mes travaux. Pourtant, il vous suffit de mettre votre Curriculum vitae (C.V.), que je ne connais pas, face au mien pour pouvoir, peut-être, voir jaillir votre incompétence et votre mauvaise foi. Et surtout, vos méthodes surannées pourraient être qualifiées de dangereuses pour les patients et nocives pour le centre hospitalier de Cholet ainsi que pour ses praticiens.

Il y aurait comme un décalage, et c’est peu dire, entre les prérogatives de votre respectable fonction et votre comportement. Et l’on a pu voir ce qui est arrivé à ladite Présidente de la CME qui aurait osé vous opposer une résistance (cliquer ici et ici)…

Vos pratiques personnelles, votre rapport au pouvoir, interrogent. Ils offriraient un vrai laboratoire de tout ce qu’il ne faudrait pas faire dans un hôpital public.

À l’avenir, je vous demande donc de bien vouloir cesser de m’adresser ce type de lettre dont le contenu me contraint à la classer, comme certains de vos précédents courriers, dans la rubrique « petites frappes » : sans intérêt.

À l’inverse, je vous invite à vous souvenir de comment les différents corps d’inspection qualifient mes travaux (inspection régionale de la pharmacie, service régional de la police judiciaire (SRPJ), inspection générale des affaires sociales (IGAS) lors d’une enquête pénale diligentée suite au décès d’un enfant, médecin inspecteur régional du travail, Ordre national des pharmaciens, agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (ANAES), haute autorité de santé (HAS), etc.). L’exemple suivant pourrait aider à rafraîchir votre mémoire ainsi que celle de la petite bande locale :

« Conflit avec la hiérarchie et l’institution portant sur des valeurs éthiques. » ;

« (…) Du côté travail, alors même qu’il est certain que son caractère rigoureuxles valeurs d’honnêteté et de droiture sur lesquelles Monsieur UMLIL est construit, l’ont amené à se trouver en décalage au niveau des exigences dans le travail par rapport à l’institution et le chef de service (…). ».

Le 8 janvier 2022, lors de son audition, le Professeur Michaël PEYROMAURE déclare « On est arrivé à un stade où nous ne sommes non seulement plus considérés par notre hiérarchie administrative, mais même plus écoutés. C’est-à-dire que les directives tombent, parfois un simple mail, parfois par un courrier, de temps à autre à l’occasion d’une réunion collective on n’a pas forcément été prévenus. Et lorsqu’on tente d’opposer une résistance à ce que l’on considère comme étant un projet néfaste pour les patients, et bien l’administration sait comment s’y prendre parce qu’elle s’entoure très souvent de collègues malheureusement et là je voudrais mettre le doigt aussi sur une faille du système qu’on a créée de collègues qui hélas prennent le parti de l’administration pour vous acculer et vous forcer à l’obéissance. Notre système est totalement déshumanisé. Il est caporalisé. Il est soviétisé. Et je dirais même que la fuite de personnels qu’on a aujourd’hui, la démission des médecins est liée davantage encore à ce problème qualitatif de perte de sens qu’au problème quantitatif de perte des moyens. Nous avons l’habitude de travailler avec peu de moyens mais en revanche nous ne pouvons plus supporter d’être traités de cette manière. » Ce qui rappelle ma réflexion qui a été publiée, le 22 mai 2020, dans le journal Le Point sous le titre « TRIBUNE. L’hôpital public a besoin d’un choc structurel ».

Vous persistez à vouloir violer mon indépendance professionnelle dont le dispositif légal ainsi que les écritures de l’Ordre national des pharmaciens vous ont été pourtant rappelés à plusieurs reprises. Alors, je vous adresse une récente confirmation émanant de l’Ordre national des pharmaciens. Dans un document qui m’a été adressé en décembre 2021, je peux lire :

« DÉFENDRE L’HONNEUR ET L’INDÉPENDANCE DE LA PROFESSION

L’indépendance du pharmacien doit être pleine et entière, sans pression de la part de tiers. »

En l’espèce, ledit tiers c’est vous. Et vous n’avez aucune chance de me réduire à une position d’isotèle, d’esclave…

En réalité, la Covid-19 n’a fait que dévoiler au public ce qui se passe dans notamment l’hôpital public français, et en particulier celui de Cholet, depuis de nombreuses années ; depuis au moins 2005. Il suffit de vous souvenir de ma première alerte qui avait été adressée, en 2007, au Procureur Général concernant les dysfonctionnements évitables du circuit du médicament.

Vous auriez pu soutenir le CTIAP lors de la tempête. Vous avez fait un autre choix. Et surtout, vous persistez dans votre attitude. Les faits sont têtus. Les choses sont désormais écrites.

Les quelques soi-disant ʺjournalistesʺ, qui vous ont aidé dans votre entreprise de harcèlement notamment à l’encontre du CTIAP et de son pharmacien responsable, auront aussi à rendre des comptes le moment venu. Et surtout, parce qu’ils ont contribué à vicier le consentement libre et éclairé des gens : à tromper ces personnes humaines ; à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Par conséquent, il est donc vain et illusoire de vouloir tenter de supprimer les preuves contenues dans le site (blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet et concernant les vaccins contre la Covid-19.

D’ailleurs, le 13 janvier 2022, le CTIAP était parmi les intervenants lors d’une Conférence organisée à Niort.

« L’heure est grave. Faut-il expliquer ce qu’il advient d’une société où le droit n’est plus légitime ? ». C’est par cette question que se termine l’analyse d’un Professeur de droit à Paris I : Muriel FABRE-MAGNAN. Sa réflexion est publiée, le 21 décembre 2021, dans Le Figaro sous le titre « L’État de droit est-il malade du Covid-19 ? ». Ce Professeur alerte : « Notre démocratie n’est pas un acquis irréversible. Elle est faite du respect de règles ou, comme le dit Olivier JOUANJAN dans son magistral dernier livre (Justifier l’injustifiable. L’ordre du discours juridique nazi, PUF, 2017), d’un minimum de formes ». Ce Professeur de droit constate :

« Ce ʺdeux poids deux mesuresʺ se paye.
L’absurdité des mesures privatives de libertés et la manipulation des règles punitives et vexatoires se payent.
L’instauration d’une mise à l’index des non vaccinés et d’une division entre les citoyens se paye.
Les atteintes à la liberté, la démission de nos juridictions supérieures face aux abus de pouvoirs, la pérennisation de l’état d’exception se payent aussi.
Le prix de tout cela est même en réalité très cher : la délégitimation du droit et de nos institutions. »

Ce Professeur de droit ajoute : « Ceux qui nous gouvernent portent une très lourde responsabilité ». Elle poursuit : 

« Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés fondamentales des restrictions qui ne seraient pas tout à la fois justifiées et proportionnées par rapport au but recherché. Or, depuis le début de la pandémie, les atteintes aux libertés ont été au contraire marquées par la démesure et la disproportion. »

Concernant le projet de transformation du « passe sanitaire » en « passe vaccinal », ce Professeur de droit considère : « Les plus hautes juridictions de notre pays se déshonoreraient à ne pas s’opposer fermement à une atteinte aussi patente au principe de proportionnalité ». Elle ajoute que « les droits et libertés [ne] « doivent [pas] toujours céder devant les raisons de sécurité et de santé ». Elle rappelle le « danger de ces manipulations de la liberté et du consentement, et la pente totalitaire ». En rappelant des « affaires » historiques, elle affirme : « s’il y a une certitude pour les juristes, c’est que le mépris et l’abandon des règles éthiques finissent toujours devant les tribunaux par des procès en responsabilité ».

Ce Professeur de droit constate : « On ne comprend plus ce que Kant appelait la dignité de la personne humaine ».

Mais, les juges, eux aussi, semblent ʺse réveillerʺ… comme le laisseraient penser les très récentes décisions des tribunaux administratifs notamment…

Ainsi que le conseil national des barreaux (avocats) qui vient d’adopter une « Résolution » lors de l’Assemblée générale en date du 14 janvier 2022. On peut y lire :

« (…) CONSTATE que les mesures proposées portent toujours plus atteinte aux droits et libertés fondamentaux et notamment à la liberté d’aller et venir, au droit au secret médical, au droit au respect de la vie privée, à la liberté d’accès au droit et à l’exercice des droits de la défense et aux droits des enfants protégées par le CIDE ;

RAPPELLE que, si la situation de crise exceptionnelle liée à la pandémie de Covid-19 suppose des mesures exceptionnelles, ces dernières doivent se conformer au principe de légalité et être strictement nécessaires, proportionnées et adaptées aux risques sanitaires encourus, que ces mesures doivent, en outre, être entourées de garanties pour assurer une protection contre les risques d’abus, d’arbitraire et de discrimination et qu’elles doivent nécessairement être strictement limitées et encadrées dans le temps et strictement répondre aux nécessités de la lutte contre l’épidémie ;

(…)

S’ALARME du caractère attentatoire au droit au secret médical et au respect de la vie privée (…). »

Enfin, je vous propose de lire la « Tribune libre d’Akhenaton » publiée, le 12 janvier 2022, sous le titre :

« Le maître et ses perroquets »

La société civile semble ʺse réveillerʺ. Et La Vérité est déjà en Marche.

Etc. (liste des faits non exhaustive).

En me réservant le droit de parfaire la présente réponse circonstanciée rédigée et publiée suite à votre nouvelle agression injustifiée et matérialisée dans votre LRAR en date du 11 janvier 2022 ci-dessus mentionnée,

En espérant vous voir « immédiatement » revenir à la raison, au bon sens, à la cohérence, à l’objectivité et au courage d’admettre l’échec de la politique sanitaire contre la Covid-19 notamment (en particulier de l’obligation vaccinale), je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le directeur, l’expression de mes salutations distinguées.

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (droit de la santé)

Centre hospitalier de Cholet

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)




La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon SmithLe 30 décembre 2021 − Source Alt-Market

Si l’année écoulée a confirmé une chose, c’est que les médias grand public sont totalement malhonnêtes. Oui, la plupart des gens s’en doutaient déjà, mais les 12 derniers mois ont apporté plus de confirmation que les dernières années réunies. L’année 2021 a clairement montré que les médias grand public sont le bras armé de la propagande des élites politiques et des entreprises, des grands gouvernements aux grandes entreprises pharmaceutiques.

Bien qu’il y ait eu quelques exemples brillants de journalisme indépendant et généralement impartial dans les MSM [Ndlr : Main Stream Media = médias dominants], ces moments sont aussi rares que les observations du monstre du Loch Ness et presque aussi incroyables. On a menti au public de façon si constante que nous ignorons parfois le journalisme légitime lorsqu’il apparaît, car il est plus sûr de supposer que les médias sont toujours malhonnêtes.

J’ai personnellement remarqué une avalanche de publicités récemment payées par les grandes plateformes médiatiques traditionnelles comme le New York Times, qui tentent désespérément de convaincre le public qu’elles sont toujours pertinentes. Le message est qu’ils sont la seule « vraie source » d’informations, tandis qu’ils supplient les gens de s’abonner et de lire à nouveau leur vomi tout chaud. Les médias de gauche s’effondrent, les colporteurs de propagande en ligne et les prostituées du click-bait comme Buzzfeed et Vox implosent. Le manque de profits est évident et les licenciements ont été agressifs.

Ces plateformes ont survécu ces dernières années grâce au battage médiatique et au capital-risque des start-ups, mais l’argent gratuit s’est épuisé et elles ne savent plus quoi faire. Le plan de Buzzfeed était d’entrer en bourse et de vendre des actions, mais ce plan a échoué si complètement et l’action de la société a plongé si fort que l’événement a exposé tous les autres médias technologiques naissants à un examen plus approfondi. En d’autres termes, personne ne fait confiance à ces médias, du moins pas assez pour y investir, et maintenant le voile de leur supposé « succès » a été levé. Buzzfeed prétendait valoir 1,5 milliard de dollars ; la réalité a révélé qu’ils ne valent presque rien.

Les médias traditionnels ont également vu leur audience s’effondrer au cours des dix dernières années, mais l’année dernière en particulier n’a pas été tendre avec eux. TOUTES les grandes chaînes d’information ont vu leurs taux d’audience baisser, CNN ayant enregistré la plus forte baisse. CNN est confrontée à une réduction épique de 68 % de ses chiffres en prime time en 2021, tandis que MSNBC a maintenant la plus petite audience en prime time qu’elle ait connue depuis 2016. Fox a également fait face à des baisses d’audience cette année, mais continue de rester le média d’information par câble le plus regardé jusqu’à présent, probablement en raison de la popularité continue de commentateurs comme Tucker Carlson.

Certains pourraient blâmer la perte de la couverture des élections, mais ce n’est pas comme s’il n’y avait pas eu assez de nouvelles pour faire le buzz en 2021. Avec des millions de personnes travaillant toujours à domicile et faisant face à des restrictions Covid intermittentes cette année (dans les États bleus), on pourrait penser que cela représente un public captif pour la machine à peur. Bon sang, même YouTube et d’autres plateformes de médias sociaux nous imposent quotidiennement le contenu du MSM tout en enterrant toute alternative. Pourtant, leurs chiffres continuent de chuter et le public se moque.

YouTube a même supprimé le bouton « J’aime pas », juste pour protéger les médias d’entreprise et la Maison Blanche du bombardement hilarant de pouces en bas qu’ils reçoivent sur chaque vidéo. Il est inacceptable que nous, les paysans, ayons la possibilité d’exprimer notre mécontentement.

Alors, où les gens se tournent-ils pour leurs informations si ce n’est vers les « médias dominants » ? Bien que les statistiques ne soient pas aussi bien suivies pour les sources indépendantes, il est évident, au vu des chiffres d’audience et d’abonnement, que les médias alternatifs deviennent rapidement la force dominante en matière d’information. Mes propres chiffres d’audience ont augmenté d’au moins 30 % rien qu’au cours des deux dernières années et cela semble être la tendance générale pour les médias conservateurs et libertariens. Des sites web comme Social Blade, qui suit les statistiques des chaînes YouTube, confirment la conclusion selon laquelle les médias alternatifs sont en train de devenir les médias de référence.

Pourquoi cela se produit-il ? C’est un phénomène qui s’est produit depuis longtemps. Les chiffres des médias traditionnels sont en baisse depuis de nombreuses années et les tranches d’âge de leur audience ont augmenté de façon spectaculaire. Cela s’est accéléré après 2016, lorsque le masque des médias grand public est complètement tombé et que s’est révélé ce que nous connaissons désormais comme la « guerre des cultures ».

La migration des audiences est indéniable dans les médias de divertissement et de culture pop. Les plateformes grand public financées par un flux de trésorerie constant provenant des coffres des entreprises de Disney, Time Warner, Comcast, Viacom, etc, régnaient autrefois en maître dans les publications de divertissement. Les médias technologiques de taille moyenne s’efforçaient de rester dans les bonnes grâces de ces sociétés en échange de faveurs et d’un accès privilégié. Aujourd’hui, des entreprises qui ont des milliards de dollars à leur actif sont contrecarrées par des chaînes YouTube à bas prix comme Geeks And Gamers, The Quartering, Nerdrotic, Clownfish TV, etc.

L’effusion de sang a été si horrible que les sociétés de médias sociaux (avec leur agenda partagé) se sont associées aux majors pour supprimer ces types de chaînes, les démonétiser ou les effacer de la vue du public avec leurs algorithmes. Les chaînes alternatives attirent l’attention parce qu’elles offrent quelque chose que les gens veulent – une opinion et une analyse honnêtes au lieu d’une opinion achetée et payée par les corporations.

Dans la sphère politique et sociale, de nombreuses réussites ont été enregistrées, notamment le podcast de Joe Rogan, Steven Crowder, Ben Shapiro, l’émission « You Are Here » de Blaze TV, Tim Pool, et la liste est encore longue. Dans le domaine des médias économiques, des sites comme Zero Hedge continuent d’attirer des millions de lecteurs que la plupart des autres institutions grand public souhaiteraient avoir.

Bien sûr, certaines de ces sources d’information sont encore en train de rattraper ceux d’entre nous qui étaient considérés comme des « théoriciens du complot » il y a quelques années. Mais ce n’est pas grave. Je ne dis pas qu’il n’y a pas plus rien à faire. Ce que je dis, c’est qu’une révolution est en train de se produire dans la façon dont les gens consomment les médias et qu’au moins certaines vérités parviennent aux gens normaux.

Je travaille et publie dans les médias alternatifs depuis 16 ans et je ne pense pas que les nouveaux venus dans ce domaine réalisent à quel point les Américains se sont affranchis du discours dominant au cours de cette période. Lorsque j’ai commencé, le simple fait de rêver à l’audience que nous avons aujourd’hui était considéré comme un fantasme naïf. Aujourd’hui, je continue à trouver un grand espoir dans la croissance du journalisme indépendant.

Le fait est que, pendant des décennies, les institutions corporatives ont trompé les masses en leur faisant croire qu’elles seules étaient qualifiées pour agir en tant que gardiennes et gardiens du goulot d’étranglement de l’information. Elles seules étaient les véritables « journalistes ». Elles ont maintenant perdu le respect du public et leur rôle de gardiennes est terminé. Sur cette note, examinons quelques-unes des raisons pour lesquelles la confiance dans les médias dominants a implosé. Examinons quelques-uns des plus gros mensonges perpétués par les MSM en 2021…

L’« insurrection » du 6 janvier

Probablement l’une des plus grandes infox de la décennie. Les médias grand public ont sans cesse répété la propagande selon laquelle la manifestation conservatrice au Capitole le 6 janvier était une sorte de tentative planifiée de prise de contrôle national et de coup d’État violent ayant entraîné plusieurs morts. La réalité était beaucoup moins sexy.

Tout d’abord, le FBI a été forcé d’admettre qu’il n’y avait aucune preuve à l’appui de l’affirmation selon laquelle la manifestation était un coup d’État organisé. Et quand une institution extrêmement hostile aux patriotes admet cela, vous savez que le gouvernement n’a RIEN.

Pas un seul mort attribué à l’origine aux manifestants du 6 janvier n’a été causée par eux, de sorte que cette fable a été jetée dans le trou de mémoire. Bien qu’il y ait eu de la violence et qu’une manifestante non armée ait été abattue par la police (Ashli Babbitt), le résultat de l’événement n’avait rien à voir avec une insurrection. Les manifestants sont entrés, ont tourné en rond pendant un petit moment, certains ont volé quelques souvenirs, puis tout le monde est parti. Cela peut à peine être considéré comme une « émeute ». Comparez cela aux émeutes de BLM à travers le pays, qui ont entraîné de multiples meurtres réels par des personnes y participant directement, sans parler des milliards de dollars de dégâts matériels. Les médias ont qualifié ces émeutes de « protestations pacifiques » tout en condamnant les participants du 6 janvier comme des monstres.

Lorsque les conservateurs protestent contre quelque chose, au moins nous allons à la source au lieu de brûler les maisons et les entreprises de personnes innocentes. Et je veux expliquer quelque chose d’autre aux gauchistes parce que je ne pense pas qu’ils comprennent – Quand vous verrez une « insurrection » conservatrice (rébellion contre la tyrannie centralisée), ils ne seront pas désarmés comme ils l’étaient le 6 janvier et ils ne s’arrêteront pas tant que tous les éléments corrompus de l’establishment ne seront pas écartés du pouvoir. Si vous vous êtes cachés sous votre lit après les événements du 6 janvier, vous n’en avez vraiment aucune idée.

La défaillance du réseau électrique du Texas

Wow, quel gâchis politique la couverture de cet événement a été. Plusieurs personnes meurent à la suite d’une tempête hivernale qui frappe le Texas et met hors service une partie de son réseau électrique indépendant. La première chose que font les médias grand public est d’écrire des articles sur la façon dont cela « prouve qu’ils ne pourront jamais faire sécession de l’Union ». Ces gens sont obsédés par la centralisation au point qu’ils perdent la tête si vous produisez votre propre électricité.

Paul Krugman, un expert en communication notoire de l’establishment, s’est lancé dans une tirade dans le New York Times, rejetant toute preuve que les défaillances des éoliennes financées par le gouvernement fédéral ont conduit à la crise du réseau électrique du Texas. Les faits sur ce sujet sont enterrés à ce jour.

Les chiffres prouvent que Paul Krugman et le MSM ont complètement tort. Le Mises Institute a publié un article complet sur ce sujet, basé sur une analyse de l’Institute For Energy Research, mais je vais résumer :

Les médias et Paul Krugman ont affirmé que l’incident avait été causé par le réseau de gaz naturel mal préparé du Texas et que les éoliennes n’y étaient pour rien. Par extension, les médias ont affirmé que cela rendait « risible » toute idée qu’un État comme le Texas puisse devenir indépendant d’une gouvernance centralisée et d’un réseau centralisé. Il est important de noter que Krugman ne propose aucune statistique réelle pour étayer ses arguments. Un « économiste » devrait être mieux informé.

La vérité est que les éoliennes défaillantes ont effectivement été la principale source du déclin du réseau électrique. Avant la tempête hivernale de février, les éoliennes produisaient environ 28 % (près d’un tiers) de l’électricité du Texas, tandis que le gaz naturel en fournissait 43 %. À la fin du gel, l’énergie éolienne n’était plus que de 6 %, tandis que le gaz naturel a pris le relais pour atteindre 65 % du réseau. En d’autres termes, soit Krugman a menti, soit il n’a pas tenu compte des statistiques réelles. Bien qu’il y ait eu des défaillances dans certaines centrales au gaz naturel, la faute en revient en grande partie à l’énergie éolienne financée par le gouvernement fédéral. Pendant la crise du réseau, le gaz naturel a perdu 7 % de sa production globale, tandis que les éoliennes financées par le gouvernement fédéral ont perdu 47 % de leur production. C’EST UN FAIT.

Gardez également à l’esprit que la demande d’électricité dans l’État est montée en flèche à cette époque, battant tous les records précédents, peut-être parce que la population de l’État est passée de 29 à 30 millions d’habitants entre la fin de 2019 et le début de 2021. Des millions de personnes venaient de déménager au Texas en quelques mois pour échapper aux politiques des États bleus, comme les impôts élevés et les obligations oppressives autour de la crise Covid. Et c’est ici que nous trouvons ce qui est probablement le motif central derrière les mensonges des médias sur le Texas – L’establishment ne veut pas que les Américains migrent et se rassemblent pour lutter contre les obligations. Mentir sur le Texas à chaque occasion, même pendant une tragédie, révèle leurs craintes sous-jacentes.

La recherche sur le gain de fonction de Fauci

Anthony Fauci est peut-être le menteur le mieux payé de l’histoire récente, mais ses mensonges vont au-delà du simple rôle de propagandiste pour le gouvernement. La pandémie de Covid s’est heureusement traduite par un taux moyen de mortalité par infection très bas (seulement 0,27 % officiellement), ce qui signifie que plus de 99,7 % de la population n’a pas à s’inquiéter du virus à un moment donné. Avec le variant léger Omicron maintenant en circulation, le nombre de décès est encore plus bas. Cependant, il y a eu des décès qui n’auraient pas dû se produire et Fauci en est en partie responsable.

Bien que le plus grand laboratoire de virologie de niveau 4 d’Asie se trouve à Wuhan, en Chine, juste à côté de l’épicentre de l’épidémie de Covid-19, les médias grand public, sur ordre du gouvernement et de l’establishment médical, se sont battus bec et ongles pour nier tout lien. S’il s’agissait d’une enquête sur un meurtre, ce serait comme si un détective entrait dans une pièce pour trouver un cadavre et un voisin debout au-dessus avec un couteau ensanglanté, puis achetait une glace au suspect et l’envoyait promener. Si vous n’avez pas été témoin de l’agression au couteau, pourquoi enquêter davantage ?

Pourquoi les médias étaient-ils si catégoriques pour ignorer l’évidence ? Peut-être parce que des agences gouvernementales comme le NIAD et le NIH, sous la direction d’Anthony Fauci, ont participé au financement de recherches clandestines sur le « gain de fonction » des coronavirus dans ce même laboratoire de Wuhan. Cela expliquerait pourquoi la souche initiale de Covid qui s’est répandue dans le monde au début de 2020 correspondait à 96 % aux échantillons conservés dans ce laboratoire depuis 2013. Les 4 % restants pourraient être attribués à une manipulation génétique par gain de fonction.

Fauci a nié toute implication dans la recherche sur le gain de fonction, qui est principalement utilisée pour la militarisation d’un virus ou d’autres micro-organismes. Les médias l’ont violemment défendu et ont accusé toute personne critiquant Fauci d’être des théoriciens de la conspiration cinglés. Il s’avère qu’il mentait à nouveau. La publication de plus de 900 documents relatifs à la recherche sur les coronavirus financée par Fauci et le gouvernement américain à Wuhan prouve que les médias ont soit défendu aveuglément Fauci sans examiner les preuves, soit qu’ils partagent le même agenda.

La pandémie des non-vaccinés

Le terme « Breakout case » est aujourd’hui couramment utilisé dans les médias pour décrire les personnes entièrement vaccinées qui tombent tout de même malades et meurent d’une infection Covid. Mais il n’y a pas si longtemps, on disait que tous ceux qui tombaient malades à cause du virus n’étaient pas vaccinés. Les médias et le gouvernement continuent d’insister sur l’idée que les personnes non vaccinées remplissent les hôpitaux et les lits de soins intensifs, mais il n’existe AUCUNE preuve pour étayer ces affirmations. Pendant ce temps, les pays les plus vaccinés de la planète sont également confrontés à des taux d’infection parmi les plus élevés de la planète et à des décès incessants.

En Irlande, par exemple, plus de 63% des décès récents du fait de la Covid-19 étaient des personnes entièrement vaccinées. En Israël, près de 60 % des personnes hospitalisées pour la Covid sont entièrement vaccinées. L’Uruguay, le Bahreïn, les Maldives et le Chili ont tous des taux de vaccination très majoritaires et tous ont connu des pics de décès et d’infections dus à la Covid-19.

Si les vaccins fonctionnent réellement, comment cela est-il possible ?

Conclusion : Les vaccins ne fonctionnent pas, du moins pas de la manière dont les entreprises pharmaceutiques l’ont initialement prétendu. Ajoutez à cela le fait que les personnes ayant une immunité naturelle sont 13 à 27 fois plus protégées contre la Covid-19 que les personnes qui se soumettent au vaccin. On peut se demander quel est l’intérêt de ces vaccins expérimentaux à ARNm, dont l’innocuité n’est pas prouvée par des données à long terme.

« Stagflation » transitoire

Le déni de l’inflation américaine par les médias grand public est monnaie courante depuis un certain temps. Aujourd’hui, ils ne peuvent plus le cacher. Avec une inflation des prix qui atteint des sommets inégalés depuis 40 ans (selon les chiffres officiels), le portefeuille de l’Américain moyen en prend un coup, et cela ne peut qu’empirer à partir de maintenant.

Les médias semblent être spécifiquement investis dans la dissimulation des données économiques réelles au public et dans la protection de la Réserve fédérale et des pratiques bancaires centrales en général. Je n’entrerai pas dans mes théories sur la raison pour laquelle c’est le cas (j’ai déjà beaucoup écrit sur ce sujet dans mon dernier article), je dirai seulement qu’une population non préparée est une population facile à contrôler quand un crash économique se produit.

La Covid-19 empêche-t-elle le public de fréquenter les salles de cinéma ?

L’industrie du cinéma était sur le déclin bien avant l’arrivée de la pandémie de Covid-19, et il est indéniable que cela était largement dû à la propagande d’extrême gauche implantée dans les films hollywoodiens depuis 2016. Oui, Hollywood était « Woke » avant cela, mais loin d’être aussi mauvais que ce que l’industrie est devenue au cours des cinq dernières années. Hollywood appelle cette politisation des films « inclusivité », mais avoir plus de personnes noires et brunes dans les films n’est pas le problème. Il s’agit plutôt de l’injection de l’idéologie gauchiste « Woke » et du cultisme dans tout, des films aux séries télévisées en passant par les publicités.

La guerre culturelle est TRÈS réelle, et malheureusement, la plus grande erreur des conservateurs a été d’ignorer le combat dans le divertissement populaire jusqu’à récemment. Il y a cependant de l’espoir, et il se trouve dans le mantra « Get Woke Go Broke ! / Être Éveillé vous brise ! « . Les spectateurs votent avec leur porte-monnaie et le consensus est qu’ils ne veulent pas que la politique de gauche empoisonne leur divertissement. Ces deux dernières années, les gauchistes dans les médias ont dit que l’effondrement des profits des théâtres était dû à la peur du public vis-à-vis de la Covid-19. Cette excuse a récemment été détruite par le dernier film Spiderman, qui n’a pas de politique « Woke » et qui a attiré des millions de spectateurs dans les salles. Le film a rapporté plus d’un milliard de dollars en 5 jours, battant les records précédents.

Il est clair que la Covid-19 n’est pas du tout un facteur, mais si vous regardez presque tous les films ratés de l’année dernière, il y a un fil conducteur qui les relie : la propagande « Woke ». Personne n’en veut, personne n’aime ça. Les médias n’ont plus d’autre moyen de la nier.

Il y a beaucoup d’autres mensonges que je n’ai pas eu l’occasion de couvrir ici, mais je pense que vous avez saisi l’image. Qui sait ce que l’année prochaine nous réserve en termes de propagande de la part de nos gardiens d’entreprise ? Au moins, pour l’instant, les médias alternatifs ont pris le relais pour combler le vide et apporter des faits là où il n’y avait que tromperie. Pour se débarrasser de la vérité, ils devront se débarrasser de nous. Sinon, le marché libre a parlé.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Audition du Pr Christian Perronne au Parlement du Luxembourg : toute la manipulation autour du covid révélée en 8 minutes

[Source : soleilverseau.com via RI]

Le Très Honorable, Vénérable et Courageux Professeur Christian PERRONNE né le 19 mars 1955 à Angers, est un médecin et Professeur des universités-praticien hospitalier français. Il est spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes. Il a été Président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique en FrancePrésident des Comités Techniques des vaccinations pendant de nombreuses années, Vice-Président à l’O.M.S du groupe d’experts pour les vaccins pour toute la zone EURO de l’OMS incluant l’Europe, la Russie et l’Asie Centrale.

Il était l’invité du Parlement luxembourgeois, ce jeudi 13 Janvier 2022. Il a commencé son audition par une présentation rapide de son parcours professionnel dans le domaine de la santé, des épidémies et des vaccins. Il a ensuite expliqué de façon claire toute la manipulation et la supercherie autour du COVID-19 et des vaccins, en 8 minutes.






Le député néerlandais Thierry Baudet évoque le rapport prophétique de la Fondation Rockefeller de 2010 qui déroule dans le détail le scénario de la pandémie actuelle

[Source : Le Libre Penseur]



[Voir aussi :
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]




Appel à la mobilisation des philosophes et sociologues

Par Karen Brandin

Cette tribune est issue d’un courrier initialement destiné à la philosophe Barbara Stiegler et au sociologue, Laurent Mucchielli. Qu’ils soient très sincèrement remerciés pour leur écoute et leur attention.

En cette période troublée où il s’agit plus que jamais de faire société, je n’ai pas de mots, seulement des maux, pour décrire la déception immense qu’engendre l’inertie d’une majorité du corps enseignant et/ou universitaire et plus particulièrement du sous-corps des mathématiciens, garants pourtant du bon sens, de la rigueur, de la pondération ; de la logique aussi.

En d’autres temps, plus sombres encore, nous avons pourtant connu et admiré des mathématiciens engagés, combatifs (Poincaré, Grothendieck, Audin, Cartier…) qui ont su faire preuve de courage et défendre leurs convictions en dehors d’un cercle strictement confraternel. On pense notamment à l’intervention d’Henri Poincaré dans l’affaire Dreyfus à titre d’exemple.

Lavoisier avait tort finalement : tout se perd, rien ne se crée vraiment, mais tout au plus se transforme. Ou plutôt, se pervertit.

Nous avons décidément fait trop souvent et trop longtemps le choix confortable, mais pleutre, lâche, de briller par notre absence. Un silence qu’il est trop facile d’associer à de la sagesse ou de la prudence. Car c’est bel et bien l’indifférence qui nous guette.

Où étiez-vous Monsieur Villani, député de l’Essonne, médaille Fields 2010, lorsqu’il s’agissait de défendre nos droits fondamentaux en vous positionnant contre ce projet inique de passe vaccinal ? Vos concitoyens ont-ils moins de valeur à vos yeux que le destin, certes tragique, des poules en batterie ou l’avenir de la chasse à courre contre laquelle vous vous êtes fermement engagé ?

En tant qu’intellectuels, en tant que scientifiques, spécialistes des sciences dures et pourtant si humaines, on se devait de jouer un rôle majeur en dénonçant les manipulations honteuses dont nous sommes victimes depuis deux ans.

Celles, grossières, voire grotesques, des chiffres bien entendu, mais pas seulement.

Celles aussi, « rhétoriques » ou « sémantiques », à visée d’abrutissement des masses pour cause de sidération. On pense notamment au mot « pédagogie » alors que le peuple français n’est pas un peuple d’enfants ; à la confusion entre « cas » et « malades » et à la notion de « vaccin » pour qualifier une injection non immunisante (on commence d’ailleurs à amorcer prudemment une conversion : le vaccin ne serait plus un vaccin, mais plutôt un traitement pour essayer de rendre légitime son efficacité si éphémère).

Presque plus grave selon moi, nous entendons chaque jour différents ministres se relayer comme un seul homme, dont Jean-Michel Blanquer pour ne citer que lui, pour se féliciter d’avoir incité les jeunes (ou les moins jeunes) à se faire vacciner au travers de phrases « choc » : « Les élèves non vaccinés seront évincés », ou encore « Si vous aimez la liberté, vous aimez le vaccin ».

Comment ne pas penser à cette citation de Chomsky :

« La propagande est à la société démocratique ce que la matraque est à l’État totalitaire. »

Car il n’a jamais s’agit d’une quelconque incitation, mais bel et bien d’une extorsion de consentement dont il est indécent de se réjouir dans un état de droit.

Autant d’impropriétés qui sèment la confusion et font le lit de l’outrance. En 2022, on fait décidément l’éloge funèbre de la nuance et de la pondération.

Puisque l’indifférence des mathématiciens tout au long de cette crise hystérique, mais qui menace de devenir historique, m’accable, je me tourne bien volontiers vers vous, les philosophes, garants de la Cité, suite notamment à la dernière intervention d’Emmanuel Macron.

Parce que vous formez (je pense à Barbara Stiegler, Harold Bernat, René Chiche, Nathan Devers, François-Xavier Bellamy et certains sociologues comme Laurent Mucchielli), un noyau dur de vigilance, mettez, si vous le pouvez, si vous le souhaitez, votre talent d’écriture, votre notoriété aussi au service d’une population moins armée que vous, notamment pour atteindre les médias conventionnels, officiels.

Démasquez par les mots, une arme à la fois légitime, légale et pourtant redoutable, au travers d’une tribune commune par exemple, ce président prétendu philosophe, adepte du « qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse » cher à Musset. Il est désormais urgent de mettre fin à cette imposture.

Nous, citoyens lambda, sommes soûlés justement, ivres jusqu’à la nausée de ces sorties permanentes d’une violence inouïe, qu’il n’est plus possible de mettre sur le compte de la maladresse, ni même d’une arrogance mal contenue dont on finit par se demander si elle ne relève pas de la psychiatrie. Quant aux soi-disant références historiques (Pompidou), elles ne sauraient tout justifier. Avec cette phrase terrible : « un irresponsable n’est plus un citoyen », E. Macron a franchi une ligne devenue écarlate à force d’être rouge.

Il s’agit de le rappeler au sens de mots qu’il comprend décidément mal.

Pour que ce terrible quinquennat n’ait pas eu lieu en vain et pour donner du sens, de la texture à ce que nous avons dû endurer, ayez cette générosité dont il est incapable et donnez-lui s’il vous plaît, le premier cours de philosophie politique et morale de sa vie. Il en a grand besoin.

J’appelle de mes vœux que ce projet d’écriture commune fasse son chemin. Ce serait une réelle chance pour nous tous que nous soyons « quelque chose » ou « rien » ; citoyens responsables ou pas !

Il faut sauver les « gens » et pas seulement nos élèves et étudiants de cette addiction aux phrases brutales, aux slogans, aux raccourcis, aux interjections et leur donner à lire (et donc à penser) un texte construit et argumenté pour les convaincre que l’esprit critique, menacé d’extinction, est une chance. C’est un droit et un devoir.

Pourtant, cette réaction saine, consubstantielle à la démocratie, est désormais assimilée à du complotisme.

Il faut rappeler, défendre que la démarche de réflexion, fût-elle exigeante, est indispensable pour conserver une autonomie de pensée. Que l’on ne peut pas, que l’on ne doit pas se contenter d’un : « Macron, nous aussi on t’emmerde », car c’est ce qu’il attendait bien sûr. À savoir que les gueux prennent la parole dans le seul registre de langage qu’ils comprennent ou maîtrisent : la vulgarité, la trivialité.

À vous, et nous avec vous, de lui donner une vraie leçon de vie, qui soit tout sauf anonyme, car cet enfant capricieux a son talon d’Achille : un ego démesuré.

Je ne reviens pas sur les propos de Gabriel Attal qui ont suivi ceux du chef de l’État et dont l’ignominie m’a durablement choquée ; ce jeune homme de 33 ans est terrifiant d’indécence, d’arrogance. On dit que la valeur n’attend pas le nombre des années ; la brutalité, non plus.

Enfin, qu’Emmanuel Macron ait utilisé vendredi dernier les soignants comme bouclier, comme caution finalement pour justifier ses propos inqualifiables aurait dû créer une réaction forte dans ce corps de métier agonisant et depuis si longtemps malmené, maltraité « en même temps »😉 que constamment instrumentalisé. Je l’appelle donc lui aussi à réagir d’une seule voix, celle du serment d’Hippocrate.

On retrouve là encore les stigmates un chef d’État immature, qui se cache à l’envi derrière les jupes des commerçants ou les blouses des infirmières. Il répète souvent aux Français : « Je ne peux rien contre vos complexes. »

Et bien, il se trompe. Il peut faire quelque chose : « partir », car c’est bien de lui et de son gouvernement dont nous avons légitimement honte.

« Sachons être suspect. C’est le signe aujourd’hui d’un esprit libre et indépendant, surtout en milieu intellectuel » disait Julien Freund.

Comme des millions de personnes, je compte donc sur vous et sur le poids des idées et des mots… Et si certains sénateurs ou députés devaient croiser la route de cette tribune, j’espère qu’elle les convaincra, au moins en partie, que nous sommes un peu plus qu’une frange capricieuse et illettrée de la population.

D’avance, merci.

Karen Brandin
Enseignante
Docteur en théorie algébrique des nombres

« Le peuple a perdu la confiance du gouvernement. Ne serait-il pas plus simple alors de dissoudre le peuple et d’en élire un autre. »

B. Brecht

ps : Je remercie chaleureusement Benoît Brandin, agrégé de philosophie, pour sa relecture attentive.




JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

À monsieur le fallacieux Président de la France

J’apprends avec stupeur, par votre bouche, que je ne suis pas une citoyenne française. Ah bon ? On a pourtant toutes les traces de ma lignée française depuis des siècles (ça remonte à l’époque de Jeanne d’Arc, mon ancêtre s’étant illustré à la guerre par son courage et ayant reçu le titre de chevalier lors du combat des Trente). Bien plus récemment un de mes oncles était conseiller de J. Chirac et député européen. Il y a eu bien d’autres serviteurs de l’État dans cette lignée illustre.

– Là, je parle de ma lignée de Silguy, qui a donné beaucoup de ses enfants pour la France …

Et la vôtre, E. Macron ?

En sus, vous injuriez 5 millions de Français en employant un langage de charretier, avec la grossièreté d’un gamin élevé dans le ruisseau ou celui d’un malfrat de banlieue !

Vous qui vous arrogez le titre de chef des armées sans avoir même fait votre service militaire, pourtant encore obligatoire quand vous auriez dû être incorporé… À peine élu par magouille, vous avez osé parler avec mépris au général de Villiers, mille fois supérieur à vous, à tous niveaux, et surtout au niveau de l’intégrité morale et de l’honneur. Vous auriez pu pourtant, des années auparavant, être condamné comme déserteur. C’eût été juste, puisque vous l’êtes toujours: traître et déserteur de vos responsabilités vis-à-vis de la France et des Français.

L’irresponsable, on a compris depuis longtemps qui l’était vraiment*.

* Lire mon commentaire du 8/1/21


– Je parle aussi en tant que Michelle d’Astier de la Vigerie, nom que je porte depuis 57 ans.  J’ai fait partie de cabinets ministériels, de Conseils régionaux, j’ai travaillé pour A. Chalandon, j’étais une gaulliste de la première heure durant l’élection du Général comme Président de la France (j’ai 80 ans) mais la famille d’Astier à laquelle je suis alliée a fait hautement partie de la Résistance, avec trois Compagnons de la Libération et bien d’autres héros qui ont lutté pour la libération du pays, dont mon ex-mari, ma belle sœur, leurs cousins et cousines… et j’ai passé une bonne partie de ma vie au milieu de ces Résistants. C’est communicatif, l’héroïsme, quand on a les bonnes dispositions de cœur et l’héritage d’hommes valeureux.

Mais me voici désormais même plus digne de la citoyenneté française, selon vos propos. Est-ce cela, le nouveau négationnisme du macronisme, et celui de la lie politique qui l’entoure ?

Vous n’avez même plus peur du ridicule…


Comme j’ai des tripes pour MON PAYS que j’aime, pour MA France, je milite jusqu’à épuisement depuis le début de la « plandémie » – presque deux ans – car j’ai immédiatement détecté vos MENSONGES ET MANIPULATIONS, surtout avec vos contradictions successives, la trahison de vos promesses, et surtout votre soumission coupable à ce qui était dicté, mois par mois, et même avec un long temps d’avance*, par un groupuscule de décideurs mondiaux – décideurs en se faisant des fortunes sur le dos des populations -. Un groupuscule d’où émergent quelques noms, bien sûr: Bigpharma, Pfizer, Moderna, Schwab, Attali, Soros, Bill Gates, GAFAM… le micromacron n’étant au final qu’un outil formaté par ces requins qui vous dévoreront quand vous ne leur servirez plus à rien.

* (j’ai pu voir plusieurs des documents distribués aux responsables des pays occidentaux, et je sais que vous aviez des rencontres secrètes à Bruxelles, notamment avec A. Merkel, à 2 h ou 3 h du matin, pour y recevoir votre feuille de route)

Je ne parle même pas de vos pieds nickelés successifs, E. Philippe, Castex, Véran, Buzyn, Attal, et quelques autres sinistres, sans compter tous les parlementaires corrompus – à moins qu’ils soient idiots – qui se font les chantres de votre objectif : DÉTRUIRE LA FRANCE ET LES FRANÇAIS sous prétexte – Pouah ! – de vouloir leur bien.

Mais non, ils ne sont pas idiots, ces députés, puisqu’ils ont voté pour eux-mêmes la non obligation d’un pass sanitaire. Tout le monde sait que les coronavirus s’arrêtent net quand ils voient la carte de visite des députés ! Nul doute qu’ils vont aussi voter pour eux-mêmes l’abstention de devoir présenter un pass vaccinal pour aller festoyer ensemble dans les chics restaurants de leur choix ou se pavaner dans leurs meetings électoraux.

J’oubliais, il paraît que les virus sont allergiques aux meetings électoraux. Selon la rumeur, ils préfèrent les petits restos tranquilles, surtout les comptoirs de bistrots où les braves Français aimaient venir se détendre après une dure journée de boulot. Évidemment, je vous parle d’un monde qui doit être situé, pour vous, sur la planète Mars…

Au fait, accepteriez-vous que l’on vous fasse des tests, dans un laboratoire indépendant assermenté, pour voir si vos « vaxxins » expérimentaux, ceux qu’on vous a soi-disant injectés, étaient bien composés d’oxyde de graphène, de protéine Spike, de nano particules, d’ARN messager, de RMC5…, ou étaient simplement une injection de vitamines ? Et vos ministres ? Et les membres de votre « Conseil scientifique » ? Du Conseil d’État ? Du Conseil Constitutionnel ? Et tous les parlementaires se prétendant vaxxinés ?

CHICHE, Mr le fallacieux président de la France et des Français ! Allez, chiche ! Parce que vos « fuites » de QR code, quelle mascarade ! Et votre chère et tendre Brigitte – Jean-Michel pour les intimes -, s’y prêterait-elle par amour pour la vérité, elle qui sait toujours paraître si sincère ?

CHICHE, Emmanuel, chiche !

Selon vos propres critères, vous êtes un ennemi de la France vous qui voulez éliminer le maximum de Français grâce à une injection qui va provoquer une hécatombe grandissante, selon les spécialistes qui savent ce dont ils parlent et que vous faites taire part tous les moyens ; vous qui faites stériliser par le vax les jeunes femmes, les ados, et même les gamins  pour qu’ils ne se reproduisent pas ; vous qui divisez familles, villages, communautés, via une propagande perverse ; vous qui jetez à la vindicte publique sa portion la plus lucide, courageuse et patriote… C’est vous qui devez être déchu de la citoyenneté française.

Même chose pour vos sbires. Tous vous devriez être traduits devant un tribunal militaire pour haute trahison, crime contre l’humanité et intelligence avec l’ennemi, dont vos copains Attali et Schwab, parmi bien d’autres. Et puisque vous avez trahi et fait trahir par nos Institutions, soigneusement et méthodiquement corrompues, quantités de conventions internationales, après avoir tordu et piétiné notre Constitution, un Tribunal style Nuremberg serait bien adapté, puisque vous avez programmé le GÉNOCIDE de MON pays :  les effets à terme du vaxx ont été annoncés par des sommités scientifiques, sans compter l’ex vice-président, et l’ex directeur de Pfizer, tous deux, et pour cause, démissionnaires. Et ces effets que vous tentez encore et encore de camoufler – malgré des preuves internationales criantes – se font déjà sentir dramatiquement partout.

VOUS ÊTES UN ASSASSIN, FROID, CALCULATEUR, PRÊT À ANÉANTIR LA FRANCE ET LES FRANÇAIS, CONTRE DE PITOYABLES SIÈGES D’HONNEUR ET CONTRE DES PARACHUTES DORÉS.


LA FRANCE, C’EST MON PAYS. PAS LE VÔTRE ! CAR C’EST BIEN VOUS QUI EN ÊTES INDIGNE. C’EST VOUS, LE TOUT PREMIER, QUI DEVEZ ÊTRE DÉCHU DE LA CITOYENNETÉ FRANÇAISE, ET NON PAS MOI, NI  AUCUN DES RÉSISTANTS COURAGEUX QUE VOUS VOULEZ FAIRE ÉCHARPER PAR CEUX QUE VOUS AVEZ FORCÉS, PAR LA RUSE, LE MENSONGE OU LA MENACE, À SE FAIRE EMPOISONNER.

Je milite, pour avertir mes amis les Français, avec mes moyens. J’ai repris à 79 ans mon travail de journaliste. Les nouvelles arrivent du monde entier, comme un tourbillon, évidemment des informations soigneusement zappées par nos médias subventionnés (donc payés par nous !) et corrompus par la pieuvre Vingard et ses succursales pharmaceutiques et chimiques, pour débiter le mensonge, les fake news (distillés par votre staff de bénis-oui-oui pourris) et la désinformation systématique… Vous crachez le mot de « complotistes » pour désigner les RÉSISTANTS. Vous n’étiez pas né quand j’étais entourée de RÉSISTANTS, les vieux de la veille, ceux qui donnaient leur vie par amour pour leur pays, et qui eux, ne détruisaient pas la vie de leurs compatriotes par avidité du pouvoir et de l’argent.

Vous croyez pouvoir vous servir de mots stigmatisants, en les rendant méprisants. Mais quand quelqu’un voit un complot là où il n’y en a pas, le mot juste est : « paranoïaque », pas « complotiste ». Ce dernier est quasiment toujours un observateur lucide, un chercheur de vérité, un vrai journaliste… et un vrai Français sachant parler le français. Ce que vous n’êtes pas…

Donc j’écris, je relaye les infos venant de gens qui connaissent et aiment la vérité, qui la trouvent, et qui mettent parfois leur liberté et leur vie en danger pour la diffuser et sauver le plus possible de ceux qui les écouteront et qui discerneront qui dit la VÉRITÉ !

Cela, c’est juste mon travail de citoyenne française, française depuis une cinquantaine de générations…

Venez me faire chercher par vos sbires, E.Macron, pour me faire déchoir de la citoyenneté française, puisque je refuse vos manipulations et vos mensonges et que j’ai le tort (à vos yeux) d’aimer mon pays et d’avoir une sainte colère contre vos menées pour le détruire et détruire ses enfants, son génie, son Histoire, sa Culture, sa langue, son esprit, sa brillance reconnue mondialement.

Moi, je suis fière d’être française. Vous pourriez me déchoir de la nationalité que j’ai reçue – par droit millénaire – à ma naissance, je me sentirai encore mille fois plus française.

À moins que vous ne vouliez me faire vacciner de force alors que JE SAIS, vu mes pathologies, que j’en mourrais très vite car je sais ce que contient vraiment l’injection. Mais j’oubliais, même pas besoin de l’injection pour m’éliminer : vous haïssez tant les « vieux » que vous les faites assassiner au Rivotril sur ordonnance de votre ministre « de la mortalité programmée », en interdisant qu’on les soigne, comme vous avez fait interdire, avant même que la « plandémie » soit déclarée, un précieux médicament peu cher et délivré sans ordonnance en pharmacie depuis des décennies, mais qui avait pour grave défaut de pouvoir guérir les malades avant qu’ils soient expédiés – trop tard – en réanimation après l’ »ordre » gouvernemental de rester chez soi avec du paracétamol. Car il fallait remplir par tous moyens les hôpitaux, pour entretenir la panique, tout en supprimant – poursuivant ainsi le planning de vos prédécesseurs -, des milliers de lits, et ensuite, par coercition, des centaines de milliers de soignants, et ce pour parachever votre objectif de mettre les Français sous terreur pour qu’ils obéissent comme des moutons, sans même se poser de question – comme planifié dans toutes les nations du monde, et ce en même temps – .

Ah, la Terreur ! Le plus vieux truc du monde pour instaurer une dictature. Il suffisait juste de fabriquer le virus adéquat et de le répandre par tous les moyens possibles. C’était préparé de longue date, cela, comme l’avouait déjà votre copain Attali il y a quarante ans. Et là, je ne parle que de la France. 70 ans aux USA, avec les précieux conseils du docteur Mengele ?

À ce stade, je pourrais déjà vous dire que vous avez manqué votre but ! Et vos comparses avec. Vous avez sous-estimé l’intelligence des populations, la lucidité de beaucoup, la persévérance sans faille des RÉSISTANTS, car quand on touche à leur pays, ils sortent les griffes, même s’ils doivent y laisser leur vie ! C’est leur force et ça les rend indomptables et invincibles. Quand on  en élimine un, il s’en lève mille…

Vous êtes allé trop vite, vous et vos comparses. Car je sais des choses que vous ignorez, faute que vous ayez un esprit réveillé par l’Esprit de VÉRITÉ. Je ne vais pas tout vous expliquer, car vous avez ‘l’intelligence obscurcie », comme disait l’apôtre Paul face aux mécréants et autres adorateurs de faux dieux, type Baphomet ou la déesse Gaïa… Sans oublier bien sûr Mammon, alias Satan, le prince de ce monde, grand distributeur d’un fric qui n’appartient pourtant qu’à Dieu :

C’est à moi qu’appartient tout l’argent et tout l’or. Voilà ce que déclare le Seigneur des armées célestes.

Aggée 2:8

Quand Il le voudra, Dieu vous enlèvera TOUT, ABSOLUMENT TOUT !——-

Je le sais, car j’ai une toute autre mission en parallèle, une mission qui me conduit à savoir écouter et entendre mon Dieu. Dieu ne fait rien sans avoir averti ses serviteurs, les prophètes. C’est écrit.

J’ai une révélation pour vous, monsieur l’ignorant : mon Dieu est PROPRIÉTAIRE DE LA FRANCE.

C’est moi qui ai fait la terre, les hommes et les animaux qui sont sur la terre, par ma grande puissance et par mon bras étendu, et je donne la terre à qui cela me plaît.

Jérémie 27:5

Arrêtez, et sachez que je suis Dieu : Je domine sur les nations, je domine sur la terre.

Psaumes 46:11

Car à l’Eternel appartient le règne : Il domine sur les nations.

Psaumes 22:29

Je sais qu’il vous est arrivé de vous poser des questions : des amis à moi ont été envoyés en esprit pour vous interpeler.  Mais votre orgueil était bien trop colossal pour entendre.

Ma Mission parallèle est de lever une armée d’intercesseurs, ce que je fais depuis deux ans. Oh oui, Dieu semble mettre du temps à répondre à nos prières, bien que nous ayons reçu de Sa part beaucoup de promesses. Mais voilà, Dieu a en vue une stratégie bien supérieure à celle de nous ramener à notre « vie d’avant ». Il veut que la France crie à Lui, revienne à SA loi, ce qui annulera immédiatement toutes vos lois immondes, porteuses des malédictions qui déferlent maintenant sur le pays, et c’est bien pour cela qu’Il vous laisse vous enfoncer dans la méchanceté, dans la cruauté, dans la manipulation et dans le mensonge et promulguer des restrictions et obligations de plus en plus écœurantes, destructrices et aberrantes.

Car Il veut que les yeux s’ouvrent !

Et vous, durant ce temps, qui jouissez de votre pouvoir en vous croyant invulnérable ! C’est visible, et pour moi, tristement risible et dérisoire. J’en ai connu tant, des comme vous, vides tout autant qu’avides, médiocres parmi les médiocres, qui se sentent gonfler comme Jupiter (la planète gazeuse) dès qu’on leur donne une once de pouvoir. Cela se voit dans toutes les strates de la société. Mais en haut de l’échelle, le gaz devient explosif…

Vous ne le savez pas, mais vous êtes un instrument de Dieu POUR QUE LA FRANCE PLIE LE GENOU DEVANT SON ROI. Dans votre dictature génocidaire, de plus en plus de Français, par millions, commencent à crier à Dieu, À SE RÉVEILLER, et cela comprend bien sûr des chrétiens attiédis que Dieu vomissait de Sa bouche, tout comme Il vous vomit, mais beaucoup vont entendre, enfin, la voix du Roi des rois, Jésus-Christ, Roi de France. Car, depuis Clovis, la France appartient à Jésus-Christ, alliance qui a été renouvelée par Charles VII puis par Louis XVI. CETTE ALLIANCE EST IRRÉVOCABLE.

[Voir aussi :
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Quelles actions résistantes mener en 2022 ?
France, relève-toi !
Sortir de la crise
La France revivra-t-elle ?
La clef de la libération
France — Une croix pour faire tomber le régime]

Tous ceux qui ne sont pas serviteurs du Dieu très Haut pour NOTRE BIEN dans les sièges de Pouvoir qu’ils occupent en France, ainsi que cela nous est rappelé en Roms 13, sont donc des USURPATEURS.

Dieu est lent à la colère, mais quand sa colère se déverse, les montages et les océans tremblent. C’est cette colère qui monte en moi, et je la ressens comme venant d’En Haut.

J’ai l’honneur, monsieur le fallacieux Pdt, l’usurpateur, de vous annoncer que, selon les Écritures, votre chute est désormais toute proche et quand on tombe de haut, la chute est dure. D’autant que tous vos faux amis d’hier se feront une joie de vous piétiner en espérant se refaire une virginité politique. Idem pour tous les magistrats ou les médecins qui ont saccagé leur éthique pour garder leurs privilèges… Ô combien ils s’empresseront de vous enfoncer en changeant brusquement de camp ! Ils croiront peut-être ainsi se racheter !

Ils auront tort, car Dieu ne laisse rien passer, sauf profonde repentance. Il voit tout. Il y a l’éternité, il y a la terre, et Dieu n’attend pas forcément l’éternité pour exercer sa vengeance.

Voici, le juste reçoit sur la terre une rétribution; Combien plus le méchant et le pécheur !

Proverbes 11:31

Eh bien, j’ai beau être chrétienne, moi, personnellement, et avec quelques milliers d’amis, je me réjouirai ! Je ne verserai aucune larme. Je sauterai de joie.

… [Je dirai] : Eh quoi! le tyran n’est plus ! L’oppression a cessé ! 5 
L’Eternel a brisé le bâton des méchants, La verge des dominateurs. 6 
Celui qui dans sa fureur frappait les peuples, Par des coups sans relâche, Celui qui dans sa colère subjuguait les nations, Est poursuivi sans ménagement. 7 
Toute la terre jouit du repos et de la paix; On éclate en chants d’allégresse,

Es 14:4

ALLÉLUIA !




Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés

[Source : Ciel Voilé]

Par Henri

Évidemment, c’est quelque chose d’énorme et qui devrait véritablement interpeller les gens, vaccinés ou pas. Mais il n’en n’est rien, les gens, dans leur majorité, même beaucoup de scientifiques, FUIENT ou se défaussent lorsque vous leur parlez de ça, alors qu’ils pourraient souvent le vérifier eux-mêmes. C’est donc bien une question de morale et non de capacité intellectuelle.

Attention ! Ça ne « marche pas » avec tous les vaccinés, seulement environ un sur deux selon mes observations personnelles. Ni avec tous les téléphones. L’un de ceux avec lesquels ça marche le mieux est le Xiaomi Redmi note 8 (150€) à condition d’activer l’affichage des périphériques BT sans nom. D’autres précisions sont données sur le site « de la dent bleue » indiqué plus bas.

De plus, comme l’expose plus ou moins clairement Me Brusa, les codes reçus changent tous les quarts d’heure environ. Ces codes ne sont PAS les adresses MAC des « périphériques-injectés », mais des adresses fictives qui masquent la véritable adresse du sujet, qui, elle, est fixe bien-sûr. Elle se déduit des adresses apparentes au moyen d’un décryptage dont la clé serait à demander à Big Brother. Ce système est classique et exposé dans une norme IEEE.

L’affaire a été relancée plusieurs fois ici-même et sur Profession Gendarme, mais ça ne « mord pas ». Il ne faut pas s’en étonner lorsque l’on pense que le simple constat visuel de la réalité des chemtrails donne lieu au même négationnisme, alors qu’il y a en plus ici une manipulation technique à effectuer.

Donnons une fois de plus les URL des sites clés sur le sujet, mais sans se faire d’illusions. Il est vrai que la rapidité de succession des thèmes abordés sur les blogs a pour effet de tout déclasser et d’enraciner les gens dans la culture de l’éphémère, plus encore lorsqu’ils regardent les sites sur un téléphone, instrument de l’éphémère par excellence puisqu’ils ne peuvent pas prendre de notes ni véritablement travailler sur les pages regardées (et non étudiées). Encore heureux s’ils ne font pas autre chose en même temps.

Le site de base est :

https://lmdb.ouvaton.org/doku.php?id=accueil

Il faut tout lire attentivement et ouvrir les liens. Les expériences relatées (et qui passent rapidement dans Hold On) ont été conduites par un pro, un expert en sécurité des réseaux, pas par un dilettante.

Le compte-rendu des expériences conduites tout-à-fait rigoureusement se trouve ici :

https://lmdb.ouvaton.org/lib/exe/fetch.php?media=2021_11_-_projet-bluetooth-experience-fr.pdf

Toutefois, on ne peut être véritablement convaincu que si l’on comprend ou du moins commence à comprendre comment, physiquement, ce phénomène inouï et inédit est possible. Disons tout de suite que les ingénieurs ayant fait leurs études il y a plus d’une quinzaine d’années et qui n’ont été en contact depuis leur sortie de l’école ni avec les nanoparticules ni avec le graphène, lesquels possèdent des propriétés totalement différentes des macro-matéraiux classiques, vont tomber de haut. Et pourtant …

Donc, pour savoir, au moins un peu, comment ça marche, c’est ici :

https://corona2inspect.blogspot.com/

Là encore, bien-entendu, il faut ouvrir les liens. On peut en général utiliser la traduction Google intégrée au site, mais elle se met en grève pour traduire les articles les plus explosifs (mais pas DeepL, procéder par copier-coller partiels successifs compte-tenu de la limitation de la version gratuite). Un minimum de connaissances en physique / électronique sont nécessaires pour suivre.

N.B. Depuis ce site espagnol, apparaissent des liens vers la Quinta Columna. Ils ne concernent pas directement le sujet abordé ici. Je le signale car si cette équipe de valeur a mené des recherches très fructueuses sur les éléments de graphène bizarres contenus dans les vaccins, à mon avis, elle est sorti de son domaine et s’est fourvoyée en affirmant l’inexistence d’un virus du covid. Je m’en désolidarise sur ce point mais c’est sans incidence sur le reste de leurs travaux (les « nageurs », etc.).

Voilà l’essentiel est dit. Celles et ceux qui veulent mordre peuvent partir des renseignements qui précèdent. Dans l’espoir que ça serve au moins à une personne !


[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants]




Un système d’esclavage à tous les étages

[Source : @quantumleaptraduction]



[Voir aussi :
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]




La régression morale, politique et intellectuelle s’accentue

Par Lucien Oulahbib

Au fur et à mesure que la campagne hygiéniste échoue, elle dévoile, peut-être sans le vouloir et sous les coups de boutoir des variants fabriqués par l’injection, qu’il s’agit à la fois d’une mascarade affairiste (avec quatre shoots annuels et bientôt six…). Mais aussi, et surtout, un voile sans doute se déchire, celui d’une stratégie cynique (monstrueuse) de manipulation plastique des chairs humaines singulières pour en faire de la chair à canon expérimentale afin de calibrer la fabrication meccano de corps industriels standards : interchangeables, sans (cent) identité, nationalité, âme ni conscience.

Alors, le fait que la cohorte des non injectés devienne un groupe témoin gênant et doive donc être éliminée « quoiqu’il en coûte », comme l’analyse le Courrier des Stratèges, n’est pas à prendre à la légère. De même que cette volonté affichée par l’OMS de vouloir injecter la planète entière, puisque selon la même antienne portée par les éléments « français » VS (Vigilance Sécuritaire) ce serait aussi « à cause » des nations non injectées, en particulier les moins « développées », que « LE » virus prospérerait, se rechargerait, avant de foncer sur les contrées pourtant hyper injectées.

Ainsi, de même que les belles âmes léninistes excusaient la faillite du « socialisme réel » parce qu’il n’avait pas pu s’étendre sur la planète entière (Deleuze racontait cette curiosité théorique), de même les seconds couteaux de la Vulgate scientiste hygiéniste avalent — surtout lorsqu’ils sont de « gauche » — leur aversion originelle pour l’affairisme affiché afin de participer (tout en se pinçant le nez pour certains) à l’effacement feutré, ici brutal, là du réel antinomique. Le tout est réalisé au profit d’un trompe-l’œil digne des miniatures moyenâgeuses qui mettent minutieusement en scène la place de Grève sur laquelle divers instruments de torture étaient instruits au vu de tous qui les admiraient (sous injonction paradoxale) : mise au pilori, roue, écartèlement, chaux, décapitation, pendaison. Ceci se fait dans leurs versions « modernes », bien sûr, que sont le passage à tabac médiatique et la mort sociale, en amorce du stade supérieur déjà là en nuées de moins en moins lointaines : amendes, incarcérations (mentales, fiscales, sanitaires), en attendant pis…

Tout s’accélère. Et de plus en plus, alors que les chiffres montrent bien plus les dégâts des injections que le contraire, en particulier pour les plus jeunes, tandis que pour les anciens nombre d’exemples montrent que les traitements précoces et préventifs marchent de mieux en mieux.

Ce qui fait que les prothèses chargées de la propagande restent « sans voix » lors de « débats » ou tentent des plaisanteries de corps de garde ou de piliers de comptoir (« j’ai envie d’emmerder jusqu’au bout »), des propos de « tapettes » qui autrefois se faisait écrabouiller à la récré ou dans les guinguettes tant ils suintent le vice des tordus façon scorpion piquant tout de même la grenouille qui avait pourtant accepté de le sauver de la noyade, car telle est sa « nature ». Une tapette est cet entre-deux mauvais qui, petit, massacrait les fourmis ou arrachait les fleurs (mets un kleenex ou un chewing-gum dans les pissotières) et qui aujourd’hui veut piquer tout vivant afin de lui montrer « la Voie »…

Il s’agit de la plus grande expérimentation de manipulation génétique, mentale, morale, politique, économique qui n’ait jamais existé puisqu’il n’y a même plus un monde « libre » pour s’y opposer.

D’où la nécessité non seulement de se hisser à hauteur de jeu, mais d’être en avance de plusieurs coups façon échec et go réunis face à cette régression morale, politique, et intellectuelle inédite…




Stop aux atteintes aux droits et aux libertés des Français !

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir

TRIBUNE — Alors que le projet de loi sur le pass vaccinal est en cours d’examen à l’Assemblée, 81 avocats appartenant à 27 barreaux en France lancent un cri d’alarme dans une tribune commune à destination de l’ensemble des Français qu’ils enjoignent à réagir contre la liquidation de leurs droits les plus fondamentaux. Ils dénoncent un processus de destruction de l’État de droit et des libertés publiques à l’œuvre depuis maintenant deux ans, qui trouve son expression emblématique dans les derniers propos prononcés par le président de la République lui-même : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, on va continuer de le faire (…) Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »


Nous, avocats, appelons à un sursaut de conscience des Français face au piétinement, depuis bientôt deux ans, de leurs droits et de leurs libertés.

Nous alertons sur le projet de loi du gouvernement du 27 décembre dernier, qui fait à nouveau peser de lourdes menaces sur les droits et libertés des Français.

Nous, avocats, avons juré d’exercer nos fonctions avec « dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ».

Aujourd’hui, c’est au nom de la conscience et de l’humanité attachées à notre ministère que nous lançons cet appel.

Les dernières décisions du gouvernement, toujours aussi liberticides, nous ont révoltés, indignés, mais elles ne nous ont pas surpris.

C’est désormais devenu une habitude de la part de ce gouvernement, au prétexte de préserver la santé des Français, de les maltraiter, de leur manquer de respect, de les infantiliser, de les rudoyer, de les menacer, de leur faire du chantage.

La simple comptabilité de l’épidémie soulève déjà des interrogations. Depuis toujours, la gravité d’une pandémie se mesure au nombre de malades, c’est-à-dire de symptômes médicalement constatés, et au nombre de morts qu’elle provoque.

Il semblerait que désormais, seul le nombre de tests positifs suffit. Mais, comment comprendre que la gravité d’une épidémie se mesure avec comme seul critère le nombre de « cas », c’est-à-dire de simples tests, alors qu’il s’agit de personnes en bonne santé, qui, pour la plupart, ne seront jamais malades ? Ainsi, l’outil de communication choisi par le gouvernement, l’incidence de « cas », ne correspond pas à un nombre de malades, comme l’explique Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’IRSAN. Ceci, d’autant que le nombre de cas est établi au moyen de tests dont la fiabilité ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.

De même, l’expérience a montré que le Covid s’attaque, pour l’essentiel, aux personnes âgées et/ou fragiles. Ainsi, la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et le taux de létalité de la maladie n’est que de 0,04%.

Dès lors, les mesures prises pour lutter contre ce virus apparaissent comme totalement disproportionnées et, ce, dès l’origine. Ainsi, immédiatement après le confinement, dont il est acquis qu’il n’a eu aucun effet en termes sanitaires, les mesures les plus absurdes se sont succédé : port du masque partout, tout le temps, notamment par les enfants, auto-autorisation de sortie, plages dynamiques, fermeture des rayons dits non-essentiels des magasins d’alimentation, ouvertures des stations de ski, mais fermeture des remontées mécaniques ou, désormais, obligation de consommer assis dans les bars et les restaurants, sans parler de la menace de devoir se munir d’un passe vaccinal, d’un masque et d’un test négatif pour entrer dans les lieux publics choisis à la discrétion du gouvernement.

Il serait vain de tenter d’établir une liste complète de ces mesures farfelues et sans aucun intérêt sanitaire, tant elle serait longue et tant elle semble vouloir s’allonger encore.

Une situation inédite et profondément intolérable qui ne semble, pourtant, pas avoir porté ses fruits en termes sanitaires puisque, s’il on en croit le gouvernement lui-même, la situation serait catastrophique.

Pourtant, les chiffres officiels aujourd’hui disponibles permettent un recul qui incite à relativiser les discours alarmistes et les mesures disproportionnées dont ils font le lit. Ainsi, pour ne prendre qu’un seul exemple, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation estime, elle-même, dans son rapport pour l’activité hospitalière de l’année 2020, à 2% les hospitalisations pour Covid sur le total des hospitalisations pendant l’année 2020.

À quoi bon tout cela, alors ?

Il n’empêche, obtus aux faits, le gouvernement poursuit son œuvre destructrice des droits et des libertés des Français à un point extrême.

Le chantage au vaccin s’intensifie, y compris sur les enfants de plus de douze ans que le projet de loi entend soumettre au passe vaccinal pour les activités autres que scolaires, ou encore nos données de santé qui seront accessibles au préfet, lequel voit ses pouvoirs de placement en psychiatrie élargis.

Pourtant, les dernières données de la science montrent, sans que le doute soit plus permis, une efficacité des « vaccins » qui diminue avec le temps, une transmissibilité du virus en dépit de la vaccination et d’aucuns préviennent que les rappels pourraient être inefficaces contre les variants qui circulent actuellement !

De prime abord, la cohorte de mesures absurdes et dommageables prises depuis bientôt deux ans semble avoir été acceptée avec une étonnante docilité par l’ensemble des citoyens. Mais, ce serait faire fi de la pression à la peur et au chantage qui s’exerce sur eux depuis des mois. Or, comme chacun sait, la peur a, de tout temps, été un excellent levier pour s’assurer de l’obéissance de la population. Elle l’est aujourd’hui encore.

Les Français, comme la plupart des citoyens européens, ont été domestiqués, au point d’accepter sans broncher les consignes les plus absurdes, convaincus par des médias « mainstream » ayant abandonné toute intégrité journalistique en se faisant l’écho de la seule voix du gouvernement, que leur survie dépend de leur obéissance.

Il est vrai que l’État a usé sans vergogne de tous les subterfuges : culpabilisation, menaces, chantages, mesures de rétorsion, mensonges, dénonciations, manipulation des chiffres et d’autres encore.

On ne peut que constater avec effroi que l’État a été aidé dans son entreprise par une justice qui, faisant preuve d’une fidélité sans faille, a purement et simplement avalisé les décisions les plus contraires aux principes de droit qui nous régissaient jusque-là. Une justice dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas fait la preuve de l’indépendance que les justiciables sont en droit d’attendre d’elle.

Le Conseil d’État a ainsi approuvé et validé la quasi-totalité des décisions prises par l’exécutif, même les plus insensées, même les plus illégitimes, n’hésitant pas à se dédire à quelques semaines d’intervalle, revenant sans coup férir sur ses propres appréciations !

Du jamais vu !

On rappellera que, dans la mesure où le principe reste encore la liberté et l’interdiction, l’exception, il appartient à l’autorité qui pose une interdiction d’en démontrer, non seulement le bien-fondé, mais également la nécessité et le caractère indispensable.

Or, depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, ces principes, essentiels dans un État de droit, ont été balayés. Non seulement, l’État ne se donne pas la peine de fournir la moindre justification des restrictions inédites des libertés qu’il impose, mais, interrogé par la Commission nationale informatique et libertés, la CNIL, sur l’efficacité des mesures imposées, il reste étonnamment silencieux.

Pour autant, le Conseil d’État ne semble pas s’en offusquer…

Il ne fait aucun doute qu’une fois cette crise passée, certains auront des comptes à rendre, que ce soient les décideurs de ces mesures ou que ce soient ceux qui, par peur, par lâcheté, par indifférence, pour asseoir leur autorité ou par simple esprit moutonnier les auront publiquement défendues, appliquées ou fait appliquer. Ceci, sans aucune remise en cause, aucune distance, sans jamais s’interroger sur leur utilité ou sur leur légitimité. Il en ira de même de ceux qui auront stigmatisé, mis à l’écart, bannis leurs concitoyens pour avoir fait appel à la raison et au discernement ou pour avoir émis des critiques. N’hésitant pas à les faire passer, au mieux, pour des capricieux, au pire, pour des « complotistes », un terme bien vague, ou pour des malades mentaux.

Oui, au moment de faire le bilan, nous aurons la lourde obligation de nous interroger sur ce qui est arrivé et sur ce que nous n’avons pas su, pas pu ou pas voulu empêcher.

Aurait-on jamais pu imaginer que, dans un État démocratique comme le nôtre, de telles dérives puissent être admises ?

Pourtant, force est de constater que tel est le cas.

La majorité de nos concitoyens, tétanisée par la peur soigneusement entretenue par les canaux officiels, s’est laissé dépouiller, impuissante, de tous ses droits et ses libertés fondamentaux.

Il aurait été vain de compter sur la diligence du gouvernement pour ne jamais en arriver là. Bien au contraire. Peu importe le respect des libertés fondamentales, s’il s’agit de préserver la santé, a-t-il tenté de se justifier. Toute autre considération est nulle et non avenue. La détresse d’une part grandissante de la population, la fragilisation du tissu économique, l’abandon de la jeunesse et des personnes vulnérables n’entrent pas dans les savants calculs de ce gouvernement.

Pendant ce temps, au terme de l’adoption d’un nombre inouï de textes, les plus grands principes du droit et les règles qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, ont été invalidés et écartés.

Qu’il s’agisse du libre consentement, de la liberté de disposer de son corps, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de l’autorité parentale, des libertés publiques, de la police administrative, des libertés individuelles et des droits fondamentaux, du droit du travail et de la fonction publique, du droit de la santé, du service public ou encore de la réparation des dommages causés aux victimes d’accidents médicaux.

Et la liste est loin d’être exhaustive.

Ces nouvelles règles infligent une violence sociale inouïe que traduit une multiplication sans précédent des actions en justice relatives à la crise. Et, nous assistons, depuis, dans nos cabinets et dans les prétoires, comme dans le reste de la société à une détresse économique, sociale et psychologique d’une profondeur insondable.

Aujourd’hui, des Français toujours plus nombreux réalisent que ces mesures ubuesques, où le ridicule le dispute à l’absurde, n’ont qu’un très lointain rapport avec la préservation de leur santé.

Ils comprennent enfin que l’on s’est joué d’eux, qu’on leur a menti, qu’on les a manipulés. L’intolérable chantage exercé sur eux leur apparaît maintenant pour ce qu’il est : odieux et illégitime. Et, il est d’autant plus illégitime que les Français ont perdu leurs libertés de citoyen et leurs droits parmi les plus fondamentaux.

Ainsi, la soumission à l’injonction est devenue la condition pour exercer ses libertés, la stigmatisation d’une partie de la population, la règle (aujourd’hui, ce sont les personnes non-vaccinées, mais qui seront les prochains ?). Peut-on l’accepter ?

Liberté, égalité, fraternité ? En est-on toujours aussi certain ?

Comme le dit Bellamy : « Le spectacle des reniements gouvernementaux donne le vertige ».

Ce à quoi les rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, une boussole précieuse en ces temps troublés, auraient pu répondre que

« l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements ».

Il faut à présent que les Français réagissent.

Il est temps !

SIGNATAIRES :

Me Martine BAHEUX, Avocat au Barreau de Nice
Me Laurent CHAVAL, Avocat au Barreau de Grenoble
Me Anne-Claire RIMET, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Anaïs LE FALHER, Avocat au barreau de Paris
Me Stéphanie POUSSARD, Avocat au Barreau de Toulon
Me Olivia MONTEIL, Avocat au Barreau de Paris
Me Viviane SOUET, Avocat au Barreau de Paris
Me Matthieu CORDELIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Paul-Antoine DEMANGE, Avocat au Barreau de Paris
Me Aurélie DUPUY-BOCAGE, Avocat au Barreau de
Me Lorène BOURDIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Shirley DEROO, Barreau de Paris
Me Sabah RAHMANI, Avocate au Barreau de Lyon
Me Amanda N’DOUBA, Avocate au Barreau de Paris
Me M.J Emilie IRIGOIN, Avocat au Barreau de Pau
Me Elisabeth SUISSA-DESSENNE, Avocat au Barreau de Lille
Me Chloé SCHMIDT-SARELS, Avocat au Barreau de Lille
Me François PALLIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Grégory DEL REGNO, Avocat au Barreau de Pau
Me Christine CLAUDE-MAYSONNADE, Avocat au Barreau de Tarbes
Me Maïalen TROTTA, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina SETTEMBRE, Avocat au Barreau de Marseille
Me Delphine Ravon, Avocat au Barreau de Paris
Me Antoine LOUBIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Maïa MONTLUÇON, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Bernard RINEAU, Avocat au Barreau de Nantes
Me Marc GOUDARZIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Stéphane VACCA, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Thibault MERCIER, Avocat au Barreau de Paris
Me François SOUCHON, Avocat au Barreau de Chartres
Me Raoudah M’HAMDI, Avocat au Barreau de Marseille
Me MH MORTON HAMILL, Avocat au barreau de Nice
Me Thibaut ADELINE-DELVOLVE, Avocat au Barreau de Versailles
Me Laure LAYDEVANT, Avocate au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Olivier ARNAUBEC, Avocat au Barreau de Nice
Me Sandrine REBOUL, Avocat au Barreau de Nice
Me Jean-Pierre JOSEPH, Avocat au barreau de Grenoble
Me Laetitia RIGAULT, Avocat au Barreau de Saint-Denis – LA REUNION
Me Dominique GANTELME, Avocat au Barreau de Paris
Me Jean-François REYNAUD, Avocat au Barreau de Montpellier
Me Anne-Victoria FARGEPALLET, Avocat au Barreau d’Avignon
Me Alexandra MANCHES, Avocat au Barreau de Paris
Me Maxellende de la Bouillerie, Avocate au Barreau de Paris
Me Nathalie NOEL, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Hakima SLIMANE, Avocat au Barreau de Paris
Me SPINELLA Marie-Noëlle, Avocate au Barreau de Paris
Me Valérie LEPAGE ROUSSEL, Avocate au Barreau de Paris
Me Marine GRINSZTAJN, Avocat au Barreau de Hauts-de-Seine
Me Camille DIRE, Avocat au Barreau de Nice
Me Romain GUERINOT – Avocat au Barreau de Nice
Me Hélène SEGURA, Avocate au Barreau de l’Eure
Me Karine SHEBABO, Avocat au Barreau de Paris
Me Christophe GUILLAND, Avocat au Barreau de CHAMBERY
Me Lou GODARD, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Philippe BERTHET, Avocat au Barreau de Toulon
Me Fabrice HONGRE-BOYELDIEU, Avocat au Barreau de Versailles
Me Nancy RISACHER, Avocat au Barreau d’Epinal
Me Virginie DE ARAUJO – RECCHIA, Avocat au Barreau de Paris
Me Claire GONIN, Avocat au Barreau de Lyon
Me Arthur de DIEULEVEULT, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina BOUAOU, Avocat au Barreau de l’Essonne
Me Christine CHEVAL, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine LOISEAU, Avocat au Barreau de Paris
Me Samia BOURAHLI, Avocat au Barreau de Marseille
Me Asif ARIF, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine GUENIER, Avocat au barreau de Marseille
Me Hermine MKHITARIAN – SORRENTINO, Avocate au Barreau de Nice
Me Maud MARIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Marie BOISSEAUX, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Lauriane BUONOMANO, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Florian BECAM, Avocat au Barreau de Libourne
Me Blandine RUSSO, Avocat au barreau de Paris
Me Ludivine BOISSEAU, Avocate au Barreau de Lyon
Me Sihem LAOUBI, Avocat au Barreau de Paris
Me Nathalie BEURGAUD BONADA, Avocat au Barreau de Nice
Me Agnès TEISSEDRE, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Me David Libeskind, Avocat au barreau de Paris
Me Vanessa HINDER, Avocat au Barreau de Lyon
Me Pauline RIVIERE, Avocat au Barreau de Chambéry
Me Joëlle Verbrugge, Avocat au Barreau de Bayonne

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir




Comment l’État Profond cache les vaccinés morts du COVID

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Le Deep State, nous en avons tous la conviction intime, cache le véritable nombre de décès dus au COVID chez les vaccinés. Intuitivement, nous comprenons pourquoi : pour faire vivre le « narratif » génocidaire du « tout, c’est la faute des non-vaccinés », que des hiérarques paresseux répètent à l’envi, il faut des chiffres établissent sans conteste que le COVID tuent beaucoup plus les non-vaccinés que les vaccinés. Au fil des jours, les comparaisons rétrécissent. Un informateur proche du pouvoir a bien voulu nous fournir son analyse statistique sur la façon dont les services du gouvernement donnent une vision « favorable » des chiffres.

Selon un document interne, également transmis à France-Soir, les analyses de la DREES sont délibérément truquées ou “orientées” pour diminuer intentionnellement les chiffres sur la mortalité du COVID parmi les vaccinés, et pour les gonfler parmi les non-vaccinés. 

Augmenter la mortalité des non-vaccinés, un enjeu essentiel

Nous comprenons tous les raisons pour lesquelles les statistiques tentent de prouver qu’il y a beaucoup plus de non-vaccinés morts, ou malades, que de vaccinés. Tout le “narratif”, comme on dit désormais, sur l’efficacité du vaccin en dépend. 

Il n’en demeure pas moins que les vrais chiffres, c’est-à-dire les chiffres bruts en dehors des proportions et des taux, donnent une vision beaucoup plus nuancée de la réalité que les discours officiels. 

Selon les porte-voix de la caste, en effet, les services de réanimation sont à 80 ou 90% peuplés de non-vaccinés. 

C’est malheureusement (ou heureusement, tout dépend du point de vue) très faux. 

Des réanimations avec 90% de non-vaccinés ?

Dans la pratique, pour le seul mois de septembre/octobre, les vaccinés représentaient un très très gros tiers des lits en réanimation, et la même proportions de décès. 

À cette date, le schéma vaccinal était “tout frais” et les pertes de protection ne se faisaient pas encore sentir. 

Il faudrait reprendre les mêmes chiffres aujourd’hui. 

Toujours est-il que la présentation officielle, qui pondère ces chiffres en rapport avec la population estimée de personnes vaccinés ou non permet des biais “marketing” très différents. Il est en effet possible d’inférer que les vaccinés prennent douze fois moins de risques que les non-vaccinés, sans retenir les éléments extérieurs comme l’âge des personnes. 

Bref, “les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut”. 

Démonstration est faite dans ce document. 

Il n’en reste pas moins que, à la mi-octobre, il n’y avait sans doute pas 90% de non-vaccinés en réanimation, mais beaucoup moins, à un moment où la protection du vaccin était [prétendue, sur la base d’une théorie frauduleuse et d’une autre probable manipulation] la plus forte. 

On comprend mieux pourquoi l’équipe Castex s’efforce de citer des chiffres sans jamais permettre leur vérification. 




La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde

[Source : Sott.net]

Entretien avec Richard Strohman

Par Celia Farber — Substack

Je savais que cette interview était importante, j’en ai régulièrement parlé au fil des années. Aujourd’hui, je considère Richard Strohman comme le George Orwell de la tyrannie génomique naissante.

[Photo : © Robert Holgren
Richard Strohman]

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité. Mon inquiétude à ce sujet correspond à celle exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Richard Strohman, Professeur émérite — Source

Pour ceux qui ont lu ce [précédent – NdT] article, dans lequel j’ai assimilé le Covid à la biologie luciférienne — vous vous souvenez peut-être que j’ai cité une interview du regretté professeur Richard Strohman, dont je n’avais à l’époque pas donné le lien. Eh bien, je l’ai retrouvée. En la lisant aujourd’hui, les mots et les mises en garde de Strohman sont bien plus saisissants que ce que j’ai été capable de comprendre à l’époque, il y a plus de vingt ans.

C’est toujours l’une des interviews que je chéris le plus.

En préambule à cette interview, je dois dire que j’avais compris, à l’époque, le quoi mais pas le pourquoi. Je savais que les choses étaient très bizarres, et malfaisantes, mais je ne comprenais pas de quelle dimension idéologique tout cela émergeait — à savoir quelle en était l’origine. J’ai fait une mise au point post-facto et ajouté quelques liens et mises à jour. J’espère que vous prendrez le temps de lire les avertissements prophétiques du Dr Strohman sur la génomique technocratique.

Il existe d’ailleurs des personnes qui revendiquent de grands domaines de pensée et qui ont le sens des relations publiques — trop pour citer les géants qui ont tracé les chemins permettant à leurs idées d’exister. C’est la raison pour laquelle je ressens un besoin impérieux de pénétrer dans ma forêt d’anciens géants — tous méconnus — et de leur donner la parole. J’ai été témoin du fait que Kary Mullis [inventeur du test PCR et dissident du VIH] et Peter Duesberg [formulateur de la théorie du cancer de l’aneuploïdie, père de la dissidence du VIH] sont devenus des noms familiers, en dépit de l’existence depuis trente ans d’un dispositif mondial consacré à immoler leur « crédibilité ». Je pense que Richard Strohman devrait être le prochain, tout comme le seront particulièrement des héros scientifiques plus connus tels que Barbara McClintock et Lynn Margulis — dont les travaux ont joué un rôle déterminant dans l’opposition au déterminisme génétique, au réductionnisme biologique et, in fine, au génocide qui ne dit pas son nom.

Une brève note, comme une luciole dans ma mémoire — authentique, mais me croirez-vous ?

En 1988, après avoir réalisé ma première interview avec Peter Duesberg, il m’a demandé de téléphoner à Barbara McClintock. J’avais peut-être 22 ans. Je ne savais pas qui elle était, mais je savais qu’elle était lauréate du prix Nobel. Tout ce dont je me souviens est ceci : une voix très faible au téléphone a dit : « Oui, Peter a raison ».

L’histoire exige des fouilles, du temps, de la patience et, dans certains cas, des miracles.

Je viens de découvrir que Richard Strohman était né le même jour que mon père Barry — le 5 mai — alors je me réjouis que ce soit la fête des pères aujourd’hui.

Bonne fête des pères, Pères, que vous soyez les pères de vos propres enfants, des enfants d’autres hommes ou, d’ailleurs, de formes de pensée, d’animaux, de champs, de tout ce qui exige un dévouement sacrificiel à la protection de la vie biologique [texte récupéré écrit par Celia Farber, 2009, The Truth Barrier, les parties du texte en gras sont de moi, pour l’emphase].

Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Californie à Berkeley, est décédé le 4 juillet 2009, à l’âge de 82 ans.

Je me suis sentie profondément reconnaissante du privilège qui m’a été donné d’avoir, à deux reprises, pu m’entretenir avec lui au cours de la dernière décennie de sa vie. Il incarnait l’une des anciennes voix scientifiques les plus poignantes que j’aie jamais rencontrées, dans ce que j’ai fini par nommer la tradition « éplorée » de la science, laquelle contraste avec celle plus révolutionnaire, zélée et lucrative.

Strohman, 2003, sur l’échec et le danger du déterminisme génétique.

De 1973 à 1976, Strohman avait été président du département de zoologie de Berkeley à l’université de Californie, et de 1976 à 1979, directeur du programme de santé et des sciences médicales, toujours à Berkeley. Il étudiait « […] la régulation de la croissance des cellules et des tissus et la différenciation cellulaire en utilisant des approches moléculaires et cellulaires ». Il fut l’un des premiers signataires du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse du VIH/Sida, et avait qualifié le paradigme du VIH/Sida de « désastreux ».

Après avoir pris sa retraite de Berkeley, il a parcouru le monde pour donner des conférences sur les dangers du déterminisme génétique et du réductionnisme biologique.

En 2000, dans le cadre d’une mission pour le TALK Magazine, j’ai pour la première fois interviewé le professeur Strohman. Le professeur Strohman m’avait été recommandé par Harvey Bialy, alors rédacteur en chef de Nature Bio/Technology, après avoir confié à ce dernier que j’avais été chargé d’une mission étrange, qui semblait exiger un article positif, voire euphorique, sur la « thérapie génique ». J’avais en effet été contacté par un rédacteur en chef pour m’informer du souhait de Tina Brown que j’écrive un article sur le sujet pour le magazine. J’ai décliné l’invitation, parce qu’il existait très peu sinon aucune chance que je puisse le présenter comme étant « de bon augure », mais le rédacteur en chef a insisté.

Pour vous donner une idée de l’engouement de l’époque, lisez cette présentation informative, qui date de 1999 :

Imaginez un monde où une personne pourrait modifier sa structure génétique et réorienter le cours futur de l’évolution chez son enfant et chez elle-même. Grâce à la thérapie génique, c’est une possibilité très réelle. À l’avenir, il pourrait être aussi facile de modifier sa santé physique ou mentale que de se faire vacciner contre la grippe aujourd’hui. Mais les effets de la thérapie génique sont durables et pourraient affecter votre future progéniture ainsi que votre propre santé.

Découverte au milieu des années 1970, la thérapie génique a permis aux chercheurs d’isoler certains gènes de l’ADN. Dans les années 1980, le terme thérapie génique a fait son entrée sur la scène scientifique et a fait avancer la recherche.

La définition de la thérapie génique est la suivante :

« technique dans laquelle les gènes responsables d’un défaut sont eux-mêmes remplacés par des gènes corrects chez le patient afin de guérir une maladie (Macer, 1990). »

[!]

Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

En raison de mon déni du VIH (définition de la maladie ici – Hyperlien en français – NdT]), je ne voulais rien avoir à faire avec la « thérapie génique », et ce, même avant d’avoir entendu parler de Jesse Gelsinger.

Qui était Jesse Gelsinger ?

Jesse GelsingerJesse Gelsinger avait 18 ans lorsqu’il s’est porté volontaire pour un essai clinique à Penn State [université en Pennsylvanie – NdT] afin de tester l’effet de la thérapie génique sur un trouble métabolique rare appelé déficience en OTC [le déficit en ornithine transcarbamylase est une maladie héréditaire qui entraîne une accumulation d’ammoniac dans le sang – NdT]. Quelques heures après avoir été perfusé avec des « gènes correcteurs » contenus dans un adénovirus affaibli, Jesse a souffert d’une défaillance de plusieurs organes, et quelques jours plus tard, son sang était presque totalement coagulé, il était boursouflé au point d’être méconnaissable et en état de mort cérébrale — avant d’être débranché.

Sa mort a provoqué un silencieux arrêt brutal des recherches alors en plein essor en thérapie génique. Quand je suis allé à Penn, première étape de ma tournée d’interviews pour l’article du TALK, le responsable des relations publiques m’a confié :

« Je ne sais pas trop quoi vous dire. Nous avons tué un jeune de 18 ans. »

Permettez-moi de souligner :

« Ces mots ont été prononcés par le responsable des relations publiques du centre médical où le meurtre a eu lieu. J’ai également interviewé de manière exhaustive le père endeuillé de Jesse, Paul. Il m’aura fallu attendre 20 ans pour apprendre que non, la thérapie génique ne s’est pas arrêté net, comme le veut le mythe. Au contraire, en 2000, le scientifique qui était chargé de l’essai clinique et qui a, dans son zèle inconsidéré, causé la mort de Jesse, a été discrètement et secrètement financé par une subvention de 29,4 millions de dollars versée par GlaxoSmithKline, pour continuer à travailler sur la thérapie génique — juste après le drame. Vous pouvez lire l’histoire de la « rédemption » du Dr James Wilson et l’histoire de GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres histoires de gros sous ici. »

Note du traducteur : Jesse Gelsinger est décédé le 17 septembre 1999. Voir ce lien pour comprendre ce qu’est et ce qu’implique un déficit en ornithine transcarbamylase.

Au fait, quand des gens sont tués dans leurs « essais cliniques », ils ont une expression très précise pour ça : « Leçons apprises ».

La troublante actualité d’alors concernant la thérapie génique auraient pu devenir le nouveau sujet de mon article pour TALK — mais non, ils n’en voulaient pas. Après de nombreuses réécritures et tentatives linguistiques pour ne pas faire de ce drame une chose sans importance, l’article a été enterré.

Lors de la conférence « Repenser le sida » qui s’est tenue à Oakland en 2009, j’ai rencontré le petit-fils de Richard Strohman, Josh Nicholson, et je lui ai dit que j’avais cette interview quelque part, que je la retrouverai, la transcrirai et la publierai. Je lui ai dit que son grand-père était un grand homme.

Je suis également redevable à Harvey Bialy pour m’avoir remis dans le droit chemin, alors que mes éditeurs m’envoyaient dans un abîme abject. Merci encore à Harvey. [La nouvelle m’est parvenue que Harvey Bialy est mort en 2020, mais personne dans mon entourage ne me l’a dit, je ne suis donc pas sûr que cela soit vrai].
© InconnuL’interview avec Richard Strohman, professeur émérite

[Entretien réalisé en 2000 ; l’original a été précédemment publié sur Truth Barrier, 2009].

Q :Je crois savoir que la thérapie génique, en tant que domaine, a connu une crise après la mort de Jesse Gelsinger, mais qu’elle reprend de l’élan…

R : Oui. Le drame a vite été oublié. Notre mémoire de ces choses est si vite dépassée par le battage médiatique suivant sur le tout nouveau gène et le tout nouveau traitement potentiel. Le monde est plein de remèdes potentiels qui n’arrivent jamais.

Q :Vous donnez des conférences sur les interprétations erronées de la médecine génétique, c’est bien cela ?

R : Ma perspective sur ce sujet est un peu plus large. C’est ma nouvelle vocation, examiner les limites du déterminisme génétique, examiner les lacunes de la science que j’ai moi-même pratiquée pendant 30 ans.

J’ai beaucoup travaillé sur la sclérose en plaques, qui est une véritable maladie génétique. Mon point de vue est qu’il existe des maladies génétiques. La thérapie génique est en théorie quelque chose à examiner, mais en même temps nous devons dire qu‘il n’existe pas un seul cas de thérapie génétique qui ait jamais fonctionné avec succès. Pas un seul.

Q :Mais l’autre camp revendique des succès en France, etc.

R : Je ne sais pas où se trouvent les données. Dans les journaux ? Tous ces gens à Penn se sont totalement laissés emportés par leur propre battage médiatique. Il y a toujours, dans ces centres médicaux, un bio-éthicien attitré qui n’est rien d’autre qu’un manipulateur, et dont le rôle est de reconnaître les difficultés et de les expliquer.

Mais ces personnes supposent que la génétique moléculaire peut réellement faire ce qu’elle dit pouvoir faire. Ils nous préparent à ce qu’ils pensent être inévitable. Puis ils affutent leurs patins pour que tout cela avance plus vite.

J’ai été interviewé par la télévision suédoise au sujet de Gelsinger.

La critique qui en est habituellement faite est que si l’on prend un cas simple, l’introduction de gènes dans des plantes, des plantes génétiquement modifiées, où les tests peuvent être effectués sur un grand nombre de personnes sans avoir à se soucier de l’éthique, ce que l’on voit c’est la chose suivante : si on introduit le gène à l’aide d’un vecteur viral et que le vecteur est là parce qu’il — et nous revenons ici à notre vieil ami Peter Duesberg — constitue un puissant facteur, le gène sélectionné sera exprimé à des niveaux qu’il n’atteint jamais dans la Nature, donc… ce robinet d’expression génétique qui est ouvert en permanence pour exprimer la protéine en question est en lui-même un phénomène totalement anormal. Il y a un autre problème. En laboratoire, on constate que le gène est activé [pour rendre la] plante résistante au pesticide. Dans le cadre de cette étroite analyse du succès attendu, on constate que le transfert de gène a réussi, qu’il a été incorporé dans le génome de l’hôte, qu’il est stable, qu’il peut être hérité, et enfin que la protéine pour laquelle le gène code est bien présente, qu’elle est exprimée. Le caractère non naturel tend à disparaître. Les questions qui ne sont pas posées sont les suivantes : Quels sont les autres effets secondaires de ce transfert de gènes ? C’est comme si l’on entrait dans une pièce remplie de gens et que l’on y insérait une opinion qu’ils n’ont jamais entendue auparavant, et que l’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse comme si elle n’avait jamais été prononcée. À New York, par exemple. Cela n’arrive jamais. Et ça n’arrive jamais dans ces cellules non plus.

Monsanto sait que tout cela est bien réel. Toutes ces entreprises de technologies agricoles sont conscientes du processus, mais elles choisissent délibérément — et c’est là le profond problème éthique que la science devrait examiner et [qu’elle ignore] — elle choisit en toute connaissance de cause les limites les plus étroites pour estimer qu’il s’agit d’un succès. Il s’agit d’un acte criminel. Et je pense que la FDA y adhère.

Lorsque l’on doit utiliser ces méthodes en laboratoire, et appliquer vos critères de réussite, puis prendre ces mêmes critères de réussite et les appliquer aux biens et services qui sortent du laboratoire et qui se retrouvent sur des milliers d’hectares de terres cultivées ou dans les organismes des jeunes hommes hospitalisés à Philadelphie, ces critères étroits sont dépassés par les réalités du monde réelCe qui se produit ici est un acte criminel entièrement imputable à l’impudence de ces scientifiques et à leur ignorance de la complexité biologique. Pour eux, rien de mieux ne peut en être dit, en raison du fait que la majorité d’entre eux sont conscients des mesures qui pourraient être effectuées pour vérifier tout cela, mais qui sont trop coûteuses à réaliser.

Ces personnes ne veulent pas que la FDA approuve un quelconque inventaire de ces produits. Nous avons beaucoup à apprendre des aliments génétiquement modifiés que nous pouvons transposer dans les cas très rares de modifications génétiques chez l’homme.

La biologie de l’ADN comporte toute une palette de nouvelles connaissances dont ces personnes ne sont pas conscientes. C’est en cela que dans le processus de transfert de gènes, la moindre perturbation environnementale des caractères liquide et fluide du génome lui-même change tout.

C’est la métaphore de la machine appliquée à la biologie. La biologie est dominée par un point de vue mécaniste. Et c’est l’une des plus grandes erreurs. Les êtres vivants [rires] ne sont pas des machines. Ils peuvent agir comme des machines, mais ils n’en sont pas.

La science, à laquelle nous devons attribuer une certaine qualité, a complètement capitulé devant les intérêts des entreprises, et comment s’en sortir ? Il s’agit d’un sujet très difficile.

Q :Comment pouvons-nous retracer le fil de cette histoire ? Où cela commence-t-il ?

R : Tout a commencé lorsque Barbara McClintock [dans les années 1940 et 1950] a montré que les gènes pouvaient être transférés de manière transversale entre les organismes, et même entre les espèces, mais lorsque la technologie s’est améliorée, il est devenu évident que l’on pouvait manipuler les gènes en laboratoire et transférer des gènes normaux. Nous participions à ces recherches dans le cadre de la sclérose en plaques ; nous avions des modèles animaux et nous pouvions réaliser des expériences très simples et transférer des gènes normaux dans des cellules qui contenaient la mutation. C’est ce qui a alimenté ce battage médiatique selon lequel on pouvait guérir des êtres humains ou des organismes entiers, et que l’on pouvait faire des choses très intéressantes avec des cellules individuelles, mais c’était en culture et donc dans des conditions limitées.

Donc, oui, il y avait beaucoup d’excitation autour de tout cela, mais ce n’était pas très élaboré. Nous ne savions pas grand-chose de ce que nous saurions cinq ans plus tard sur la complexité du génome et sa capacité à être déstabilisé lorsque ce genre de choses était réalisé. On pouvait obtenir un effet positif en introduisant un bon gène, mais on n’était pas capable de mesurer le revers de la médaille. Quelle était la réponse de la cellule, que se passerait-il si cela concernait le corps entier, et quelle serait les interactions avec cet énorme éventail de possibilités computationnels.

C’est la raison pour laquelle les entreprises ne veulent pas s’y intéresser, car c’est trop complexe. La quantité d’argent et d’efforts qu’il faudrait investir dans cette technologie revient à la rendre impossible. Vous ne pouvez pas vous le permettre ; vous devez prendre ces raccourcis.

[Ces choses sont] transcalculatives [au-delà de la capacité humaine à configurer un ordinateur pour le calculer – NdT].

Tout le concept relatif à la capacité de l’organisme vivant le plus simple qui soit à résister à notre interprétation scientifique de manière complète est, je pense, bien acceptée.

Ce sont des interactions qui atteignent ce que l’on appelle une catastrophe de calcul. Les informaticiens disent qu’il n’y a pas d’ordinateur qui pourrait faire le calcul et qu’il n’y en aura jamais.

Q :Mais la thérapie génique repose sur le fait que ce n’est pas le cas, n’est-ce pas ?

R : Oui, il y a deux choses. Premièrement, il ne faut pas s’attendre à ce que nous puissions déterminer ce qu’est l’organisme à partir du génome, parce que l’organisme lui-même ne le fait pas.

L’organisme se détermine lui-même à partir d’une vaste gamme de données, y compris les données génétiques. L’idée du succès de la thérapie génique est qu’en plaçant un seul gène, il sera exprimé et que l’insertion et l’adaptation à l’insertion seront normales à tous les autres égards. Il s’agit d’une hypothèse et c’est une énorme supposition.

Q :Mais c’est pourtant ce sur quoi tout repose.

R : C’est en effet là-dessus que tout repose ! Et ils évitent tous les autres [aspects].

La seule avancée que j’ai vue, c’était le comité AAA sur la thérapie de la lignée germinale qui a publié un rapport la semaine dernière dans lequel ils déclarent que c’est trop dangereux, que cela ne devrait pas être fait avec des œufs et des cellules. Il y a trop de choses que nous ignorons et que nous ne pouvons probablement pas savoir.

Le transfert de gènes d’une manière telle qu’ils ne peuvent être hérités.

Le transfert de gènes ne devrait pas se faire dans les cellules de la lignée germinale, dans les œufs et les spermatozoïdes. C’est la première fois que le comité a donné des signes de contrainte aux intérêts des entreprises en leur disant qu’elles doivent ralentir. Que les chercheurs doivent ralentir.

Q :Pourquoi leur alarmisme s’est-il limité à la thérapie génique de la lignée germinale ?

R : C’est une bonne question. Je n’en sais rien.

Si l’on comprend l’hypothèse qui est faite, il n’existe pas pour autant de réponse scientifique qui soit appropriée. Il n’existe aucun moyen pour eux de dire « Ne vous inquiétez pas, nous allons arranger ça ».

Et s’ils le disent, on peut alors leur poser cette question : « Voulez-vous dire que vous ne savez vraiment pas ce que vous faites ? ».

Ils ne savent pas ce qu’ils font.

Ils se sont mis à penser que ce que nous devons savoir, c’est qu’il existe des programmes génétiques responsables des traits les plus complexes des êtres humains et d’autres organismes, et que si nous pouvions vraiment comprendre le génome humain dans sa totalité, si nous pouvions savoir ce qu’est le génome humain juste en l’imprimant sur papier, alors tout à coup, d’une manière ou d’une autre nous aurions, grâce à cette version imprimée, une sorte d’illumination. C’était presque comme si on en attendait une sorte d’expérience religieuse.Une certaine épiphanie viendrait une fois que cette image d’ensemble serait publiée. Il y a dix ans, nous en étions tous béats, ou du moins la plupart d’entre nous l’étaient, mais pas dans les classes d’étude, pas dans la formation des étudiants, ces laboratoires moléculaires sont allés de l’avant avec toute cette notion que d’une manière ou d’une autre, tout serait compris et qu’il fallait attendre et voir, et ne pas sous-estimer la science et toute l’importance de la patience, et bla bla bla et c’était ça, et c’est toujours ça, et ces gars sont là avec leurs gros ordinateurs et ils ne comprennent pas les limites comme le font les physiciens. Et les physiciens semblent rester silencieux sur tout cela, vous l’avez remarqué. C’est ainsi que le Projet génome humain cherche maintenant désespérément un moyen d’expliquer ce qu’il va faire avec les données qu’il a collectées et l’humiliation qui s’annonce est presque du même ordre que le phénomène du VIH/SIDA. Ces gens-là ne savent pas comment passer du génome à l’organisme, point final. Ils ne peuvent rien faire et la raison pour laquelle ils ne peuvent rien faire est la raison que Tom Kuhn a expliquée : Si vous avez un paradigme qui s’essouffle, vous ne pouvez pas le remplacer par un nouveau tant que ce dernier n’est pas opérationnel. Nous n’avons pas de nouveau paradigme opérationnel, et nous sommes donc coincés et il est très difficile de s’en sortir.

Étant donné le pouvoir et l’argent des multinationales intéressées, cette affaire se réglera d’elle-même. Tout se joue autour des applications. Le Projet génome humain est financé — et il l’a été dès le début — afin de guérir les maladies humaines et de fournir les moyens d’augmenter l’espérance de vie.

Les Japonais vont bientôt vivre jusqu’à 90 ans, les gènes ne sont même pas mentionnés.

C’est un autre problème : l’espérance de vie n’a rien à voir avec la génétique.

Toute l’excitation est venue du fait qu’il y a quinze ans, certains parmi les biologistes s’accrochaient à l’idée qu’il existait quelque chose appelé « programmes génétiques ».

La seule chose qui leur restait à découvrir était cette thérapie génique, en utilisant les résultats du Projet génome humain et les outils moléculaires pour alimenter ce battage médiatique et tenter de devenir une industrie majeure. Il s’agit là de servir la recherche fondamentale.

Ils n’ont tout simplement pas anticipé cette réalité. En fait, ils l’ont fait mais… ils ont décidé d’ignorer les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir. Il y avait d’autres patients qui montraient des signes de sensibilité. Il y avait des signaux d’alarme qui clignotaient. Ce qui a tué Jesse Gelsinger, c’est cette insistance du laboratoire à vouloir se concentrer sur la computation.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé !

Il existe beaucoup de rapports sur toutes les différentes choses qui peuvent se produire lorsque l’on introduit de l’ADN étranger dans une cellule, mais ils sont tous ignorés. Il existe des articles qui montrent que quand on prend des cellules en culture et qu’on y introduit de l’ADN pour les mettre dans l’organisme d’un animal, des choses bizarres se produisent.

Q :Quelles genres de choses ?

A :Les cellules deviennent sensibles, elles présentent une réponse d’hypersensibilité, toute séquence d’ADN aussi petite que 25 paires de bases environ va générer des réactions vraiment imprévisibles de la part des cellules. Le simple fait de mettre des cellules en culture afin de procéder à cette manipulation crée des instabilités génétiques, qui sont héritées. On le voit très clairement dans les cellules végétales. Le fait que l’expérience ne génère rien et que c’est dû à l’énorme quantité de variabilité dont vous ne savez rien est… tout cela est négligé au grand péril de tout le monde.

Q :Une industrie naît grâce à un quelconque moment d’eurêka, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q :Comment expliquer les raisons pour lesquelles ils ont pensé que cela fonctionnerait ?

R : C’est tellement simple, c’est comme pour le VIH, on ne peut pas à y croire.

Ils ont fait toutes leurs expériences dans des conditions contrôlées en laboratoire, ce qui les a fait fonctionner, les résultats étaient visibles. Tout a changé d’une manière prévisible. Bien sûr, ce qu’ils n’ont pas montré, ce sont les choses qui se sont produites et qui n’était pas prévisibles. Mais toutes ces données sont justement celles qu’ils ont jetées à la poubelle. Et on continue à faire les expériences de différentes manières jusqu’à trouver la méthode qui donne la réponse souhaitée.

Q :Puis le filon a commencé à être exploité ?

R : Oui. Autrefois, la science aurait pu trouver une solution, mais elle a tellement été accaparée par les relations avec les entreprises et la hâte de transposer au marché les résultats obtenus en laboratoire qu’elle a créé tout cela. Donc la [vraie] méthode de la science est ancienne.

[Par le passé], nous n’avons jamais eu cette pression incessante pour produire quelque chose d’utile — utile dans le sens rentable. Et dans ces circonstances, tout le monde est pris dans l’engrenage. Tout le monde s’y laisse prendre, et les subventions et les millions de dollars affluent dans les laboratoires, et des carrières se créent.

Q :Le battage médiatique autour de la thérapie génique n’est-il pas venu du sida et du cancer ?

R : Oh oui, tout est dû aux gènes, que ce soit un gène humain, un gène normal ou un gène viral. Toute causalité commence par le gène.

Q :Et d’où vient cette croyance ?

R : Cela vient, ma chère, de Gregor Mendel. Une ligne droite et une ligne droite simple, c’est absurdement, grotesquement simple. Passer de Mendel aux centres médicaux est la chose la plus absurde du monde.

Note du traducteur : Gregor Johann Mendel était un météorologue, mathématicien, biologiste, frère augustin et abbé de l’abbaye Saint-Thomas de Brno, dans le Margraviat de Moravie. Né dans une famille germanophone de la partie silésienne de l’Empire autrichien (l’actuelle République tchèque), il a été reconnu à titre posthume comme le fondateur de la science moderne de la génétique.

Q :Pourquoi ?

R : Parce que Mendel a décrit des caractéristiques très simples chez les plantes.

C’est ce que j’ai publié il y a un an, les données sont qu’il y a ces maladies chez les humains auxquelles on peut attribuer une causalité à un seul gène, et on peut avoir un certain espoir de faire quelque chose contre ces maladies. Mais si l’on cherche dans l’almanach mondial dans quelle mesure l’une de ces maladies génétiques ou toutes ces maladies génétiques combinées entrent en jeu dans l’espérance de vie ou les taux de mortalité, on ne trouverez rien. Il existe des milliers de maladies génétiques, mais elles ne représentent que moins de 2 pour cent de notre charge de morbidité. Maintenant, on prend cette même logique infructueuse et on l’applique aux maladies complexes, on parle maintenant des maladies cardiaques et du cancer, et c’est totalement étrange — c’est une science bizarre et terrible. Quiconque dit que ça ne fonctionnera pas est un Luddite, un anti-intellectuel et un anti-scientifique.

Note du traducteur : Un Luddite était, à l’époque de la révolution industrielle, un membre d’une des bandes d’ouvriers du textile anglais, menés par Ned Ludd, qui, de 1811 à 1813 et en 1816, s’organisèrent dans un mouvement clandestin pour détruire les machines, accusées de provoquer le chômage.

Ils pensent qu’ils font de la science pour le plaisir de la science. Ils pensent que si leurs travaux nous mènent dans un tunnel obscur, ils trouveront la sortie et la lumière, etc. La question est de savoir ce que nous faisons dans le monde réel en attendant que tout le monde découvre où se trouve la lumière. Il s’agit d’une autre question éthique à laquelle la science n’a pas de réponse et nous devons envisager la question du point de vue de l’élaboration de lignes directrices pour la science, ce qui suscite également une forte résistance. C’est comme un déni du premier amendement ou quelque chose comme ça. J’appelle cette technologie une invitation au diable. Un des phénomènes les plus destructeurs de l’histoire du monde.

Q :Le paradigme dans lequel nous nous trouvons actuellement s’appelle comment ?

R :Le modèle machine de la biologie. La vie est une machine, les éléments de la machine sont les gènes et les protéines, et nous pouvons réduire la machine à ses parties. C’est l’idée que nous pouvons contrôler la vie.

Q :Et quel est le paradigme qui a été remplacé par ce modèle ?

R : C’est une question intéressante. Il n’y a jamais eu de paradigme monolithique autre que l’évolution, qui fait ces temps-ci l’objet de nombreuses critiques. Je pense que nous sommes en pleine révolution. Lilly Kay, du MIT, a écrit un livre à ce sujet il y a quelques années.

Il y a 50 ou 60 ans, il existait un pluralisme dans les sciences de la vie, nous pouvions avoir un paradigme évolutionniste ou un paradigme holistique… mais les pouvoirs en place, même avant la Seconde Guerre mondiale, ont décidé que la direction que nous allions prendre serait la biologie moléculaire et une voie déterministe. Que la vie était contrôlée par ces structures que nous pouvions maîtriser et donc que nous pouvions de cette façon contrôler la vie.

Je ne sais pas s’ils étaient assez machiavéliques pour se dire « voilà comment nous pourrions tous nous enrichir ». Mais [dans le passé], il existait un pluralisme au sein de la science, et de nombreuses directions différentes, [cela a disparu]. Aujourd’hui, rien n’est scientifique en biologie à moins qu’il ne s’agisse de génétique. C’est ce qui s’est produit. On le voit dans l’évolution structurelle de l’université. Il y a 50 ans, nous avions des départements dédiés aux organismes, zoologie et botanique. Dans la plupart des grandes universités, ces départements ont été supprimés. J’étais le président du département de zoologie ; maintenant, il a disparu. J’appelle cela le programme de rénovation urbaine intellectuelle, ils ont démoli les quartiers et construit tous ces gratte-ciel et personne ne se parle.

Toutes ces directions de recherche sont peut-être encore là, mais elles suivent néanmoins la même musique. Les anciennes idées métaphysiques, selon lesquelles la vie n’était que partiellement matérialiste et qu’il fallait quelque chose appelé force vitale pour expliquer complètement la vie… C’était obscur à bien des égards, et la biologie tentait depuis longtemps de s’en libérer lorsque Mendel est arrivé avec les particules héréditaires. Au début du XXe siècle, nous avons commencé à associer les particules conceptuelles de Mendel à des éléments appelés chromosomes, puis aux gènes, d’une manière qui a permis à l’ensemble de la structure de la biologie de se rapporter à la grande question cosmologique de l’évolution. C’était la fin de toute forme d’étroitesse d’esprit. Un passage en force vers le matérialisme et le déterminisme.

Dick Rowan a déclaré dans un de ses articles publiés dans la New York Review of Books :

« Vous devez comprendre que la biologie moderne est matérialiste. Nous sommes acquis au matérialisme. Et nous n’allons pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie. »

Au nom de ne pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie, nous ne faisons pas face à la réalité. Ce que l’on pourrait considérer comme mystique est simplement quelque chose que d’autres personnes appellent complexité et la complexité est scientifique, elle ne coïncide tout simplement pas avec cette pensée linéaire qui caractérise la majeure partie de la génétique.

L’épigenèse est tout ce qui concerne le génome et qui n’est pas le gène. C’est un vieux mot. La forme moderne de l’épigenèse est la découverte scientifique dont ne parlent pas ces sociétés… si vous perturbez une cellule en culture, le génome répondra à ce changement de façon très spécifique, une partie de la réponse d’une cellule aux stimuli, beaucoup de choses changeront dans la façon dont les gènes sont exprimés. Les gènes qui étaient silencieux avant que vous ne leur donniez un stimulus sont maintenant amenés à s’exprimer selon un schéma différent de celui que vous veniez d’utiliser. Et ce n’est pas tout, les gènes seront marqués par des voies chimiques que désormais nous connaissons mais dont nous ne comprenons pas le schéma.

On change les structures organisationnelles des gènes sans changer les gènes eux-mêmes, car l’idée que l’on puisse changer les gènes autrement que par mutation aléatoire serait hérétique [en référence au néo-darwinisme – NdT].

Tous ces changements compliqués [se produisent] lors de l’exposition du génome de la cellule à un certain nombre de stimuli, et particulièrement par l’intervention d’un ADN étranger.Les gènes fabriquent des protéines, les protéines interagissent les unes avec les autres. Ils forment des réseaux et ces réseaux acquièrent une vie qui leur est propre. Ils ont une logique qui fait défaut au génome. Ils n’existent que dans le monde réel de l’expression. [C’est le] phénomène épigénétique, et l'[immense] complexité n’apparaît nulle part dans cette impulsion des entreprises qui veulent tout soigner par le biais de l’interventionnisme.

Q :Quels sont vos motifs d’inquiétude ? Quel est le scénario le plus dangereux qui peut découler de tout cela ?

R :Je crains que nous ne contaminions la planète entière avec des plantes génétiquement modifiées. Et que cela soit irréversible. Et nous n’avons même pas la moindre idée de ce qui pourrait s’en suivre.

Le PDG de Sun Microsystems, Bill Joy, a publié un article important dans Wired, en mars de cette année. Bill Joy appelle à un ralentissement de la technologie. Le co-fondateur de Sun Microsystems. Vous savez de quoi il a peur ? Il a peur que ce que nous allons faire… ça fait déjà partie de toute cette affaire de manipulation génétique des humains, des embryons… Joy a peur que nous commencions à créer des hybrides, entre les êtres humains et les circuits nanotechnologiques fabriqués dans des endroits comme Sun Microsystems, et que ces hybrides prennent le dessus. C’est le dirigeant, il parle sérieusement. C’est un gars sérieux. Et nous, les biologistes… Je crains qu’avant de fabriquer les robots, nous ayons déjà créé les conditions qui exigeront les robots, car il n’y aura plus rien d’appelé agriculture.

[Mention d’un bulletin d’information sur l’eugénisme technocratique.]

Q : Est-ce la perte potentielle de la vie organique sur notre planète Terre ?

R :Oui.

Q : Qu’est-ce qui vous inquiète le plus quand vous pensez à la soi-disant thérapie génique ?

R : Ce qui m’inquiète, c’est l’inquiétude exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 juin 2021 : celiafarber.substack.com
Traduction et emphases : Sott.net




Pétition pour la destitution du président Macron

[Source : leslignesbougent.org]

Pétition pour la destitution du président Macron

Nous,
citoyens français, demandons une motion de censure à l’Assemblée nationale en vue de la destitution du président Macron et de son gouvernement pour manquement grave à sa fonction présidentielle, maintient d’une population dans un état d’urgence sanitaire abusif, mensonge d’état, corruption, mauvaise gestion de crise, détournement d’argent public à des fins personnelles de campagne électorale, prise d’intérêt, mise en danger de la vie d’autrui, abus de pouvoir, népotisme, cloisonnement et discrimination d’une partie éclairée de la population, décohésion sociale, gouvernement par la peur et la répression, désorganisation de l’appareil constitutif et administratif de la France, accusations calomnieuses à l’égard des services sanitaires du pays, pillage en règle et en bande organisée des richesses de la nation, détournement des médias à des fins de propagande coercitive et nuisible au bien être physique et psychique de ses administrés, empoisonnement par abus et usure d’ustensiles non appropriés au bien-être de tous (masques inutiles et polluants), incitation à l’ostracisme et à la violence, tentative de génocide par obligation d’utilisation de produit non réglementés et dont la dangerosité est avérée (thérapie génique), mensonge par omission et manipulation de masse par des personnes détenant autorité, élitisme, bafouement de la constitution de la 5e république, promulgation par décrets de lois iniques en vue d’asservissement des citoyens, décrédibilisation et destruction du système de santé, utilisation des pouvoirs publics et des forces de l’ordre à des fins de répression, privation des citoyens de leurs libertés fondamentales d’expression, de pensée, de mouvement et d’épanouissement.

Nous demandons également la mise sous tutelle populaire du Sénat, du Conseil Constitutionnel et de l’Assemblée nationale pour prise d’intérêts ainsi que le Conseil de l’ordre médical, la faculté de médecine, la magistrature et les différentes académies qui se sont portés caution de ces agissements.

Nous demandons que ce président restitue les pouvoirs que le peuple lui a confiés au début de son mandant.

Qu’il soit saisi de tous ses biens et avoirs pour rembourser tout ou partie du préjudice susnommé.

De même une interdiction électorale et également une interdiction de pratiquer sur le territoire.

Qu’il soit également dessaisi de ses appointements de retraité de la haute fonction publique après son mandat.

L’abrogation et l’annulation pure et simple de tout son mandat y compris l’annulation des ventes des fleurons technologiques du pays à des puissances étrangères et soit poursuivit pour haute trahison.

Auteur : Luqy

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Lettre ouverte aux députés et sénateurs à propos du projet de loi sur le pass vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Cette présente lettre ouverte constitue notre cinquième lettre ouverte, après celles :

Certains d’entre vous ont pris des positions fermes contre l’obligation vaccinale ainsi que contre le pass sanitaire, et nous tenons à vous en remercier de tout cœur. Vous avez su discerner le projet de société liberticide et totalitaire qui se met en place sous prétexte de crise sanitaire.

D’autres n’ont simplement pas pris en compte les faits que nous avons rapportés et qui sont vérifiables par tout un chacun à condition de faire l’effort d’examiner les sources d’information – la plupart du temps censurées par nos grands médias –, notamment la littérature scientifique, les données officielles de pharmacovigilance et les nombreuses voix de lanceurs d’alerte courageux qui appellent à l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et dénoncent le climat délétère qui s’installe par la propagande d’État, la désinformation massive, la censure sur les réseaux sociaux, la suppression de la liberté d’expression, du débat scientifique contradictoire, et la promotion de la pensée unique.

D’autres encore continuent de balayer d’un revers de main rapide les arguments scientifiques développés et les craintes d’un totalitarisme sanitaire que nous avons exprimées, sans jamais interagir de manière sérieuse et scientifique aux faits que nous présentons, mais en se cramponnant à leur idéologie. Cette attitude dénote un mépris pour le peuple et une confiscation de la représentativité populaire que les parlementaires sont censés assurer.

Nous tenons, une fois de plus, à vous alerter sur le projet de loi mortifère et scandaleux de pass vaccinal sur lequel vous serez appelés à voter aujourd’hui, ce lundi 3 janvier 2022, et qui n’était en fin de compte que le véritable objectif du gouvernement.

En effet, mettant à profit les fêtes de fin d’année, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le pass sanitaire en passe vaccinal dans les prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le pass sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français étaient occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité, crédibilité qui était déjà anéantie par le flot incroyable de mensonges et de contre-vérités, tous plus graves les uns que les autres, que le gouvernement n’a cessé de proférer, en toute impunité.

Comme des millions de concitoyens, nous estimons que l’adoption de ce pass vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques. La pétition lancée par Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal juste après l’annonce du projet a été déjà signée par 1 174 779 citoyens au 3 janvier 2022 à 10h05, ce qui montre une mobilisation massive de l’opinion publique contre ce dispositif. Permettez-nous de vous rappeler quelques faits importants dont certains sont mis en avant dans le texte de cette pétition :

1Le pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs.

Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges. 

  • Emmanuel Macron, il y a un an, annonçait ainsi que la vaccination ne deviendrait pas obligatoire :
  • L’on nous avait ensuite promis que le pass sanitaire serait provisoire :
  • Puis qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal :



Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis un an, avec une inflexion accélérée depuis six mois seulement) :

27 décembre 2020 : Emmanuel Macron réaffirme sur Twitter que le vaccin ne serait pas obligatoire ;

25 février 2021 : en marge d’un Conseil européen, le Chef de l’État garantissait qu’il «ne conditionnerait pas l’accès à certains lieux à la vaccination»,

31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire uniquement pour les «grands rassemblements» de plus de 1000 personnes ;

5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre 2021, date limite de son application, nous assurait Olivier Véran ;

15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ;

10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 ;

25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ;

17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal.

Ces manipulations accumulées permettent au gouvernement d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement !

Tous ces mensonges répétés à l’envie par l’exécutif destinés à faire accepter progressivement, par palier, des mesures dont l’objectif inavoué était de parvenir à instaurer un pass vaccinal généralisé sont l’expression et la preuve d’une manipulation de masse à visage découvert.

Nos dirigeants sont ainsi passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d’une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d’être acceptée si elle a été précédée de l’acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d’engagement.

Voilà comment : l’on a commencé par nous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps.

2Le pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentement, en complète violation de l’éthique médicale la plus élémentaire et des traités et conventions internationaux.

Maintenant que tous les verrous législatifs ont été levés, que l’opinion a été formatée pour accepter un narratif mensonger soutenu par la peur, le ministre de la santé, M. Olivier Véran, déclare, avoue sans la moindre honte et dans la plus complète impunité, que le « pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale ».

Ainsi, l’exécutif a fait désormais tomber le masque et a reconnu à de nombreuses reprises que le pass sanitaire n’était ni plus, ni moins qu’une extorsion de consentement pour contraindre à la vaccination. Il entend même aujourd’hui aller plus loin dans la violation de notre Constitution et souhaite imposer un pass vaccinal, qui n’a plus rien de sanitaire puisqu’un test négatif est plus efficace que le vaccin pour prévenir les contaminations.

Ces comportements vont à l’encontre de tous les textes internationaux sur le respect de la dignité humaine, le consentement éclairé et l’expérimentation médicale sur les êtres humains.

De tels propos montrent combien M. Véran sait tirer profit de sa position de ministre pour extorquer un consentement par la contrainte et la ruse. De tels propos et de tels actes, dans une véritable démocratie où la justice et les institutions fonctionneraient normalement et de manière impartiale auraient suscité une vague d’indignation appelant à sa démission et auraient déjà mené leurs auteurs devant les tribunaux, servant de pièces à conviction. Mais pourquoi n’en est-il rien ?

La France a ratifié le 13 décembre 2011 la convention d’Oviedo qui contient les principes du code de Nuremberg et qui est opposable à la France depuis le 1er avril 2012. Le décret n° 2012-855 correspondant a été publié le 5 juillet 2012.

Que dit cette convention ?

Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

Il énonce une série de principes et d’interdictions concernant la génétique, la recherche médicale, le consentement de la personne concernée, le droit au respect de la vie privée et le droit à l’information, la transplantation d’organes, l’organisation du débat public sur ces questions, etc.

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre V

Chapitre VIII

La France est liée par la signature de cette convention et ne peut pas faire ce qu’elle veut.

Le gouvernement le sait et fait tout pour nous extorquer notre consentement sans passer par l’obligation effective avec un produit expérimental non caractérisé correctement.

Le pass sanitaire ou vaccinal est un moyen de chantage, d’intimidation et d’extorsion du consentement. Cet outil porte une atteinte gravissime à nos droits fondamentaux humains inaliénables qui ne peuvent pas être subordonnés à des injections répétées imposées par le gouvernement.

Ces droits sont la liberté d’aller et venir, le droit à la vie privée, le droit au travail, le droit à l’éducation.

La discrimination et la haine érigées en mode de gouvernance par le Président Macron sont des atteintes graves à nos droits fondamentaux et relèvent du Code pénal.

3. Le pass vaccinal n’a aucun fondement scientifique et s’oppose à toute rationalité : la vaccination de masse, bien au contraire, conduira inéluctablement à un drame sanitaire.

La littérature scientifique révèle clairement que la vaccination n’est certainement pas la panacée qui nous est vantée à coups de slogans publicitaires simplistes qui s’apparentent aux envolées commerciales des marchands de tapis. Rappelons-ici quelques faits scientifiques indiscutables tels que les présente le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, qui dément dans un article récent du Lancet, chiffres à l’appui, cette affirmation selon laquelle l’on assisterait à une pandémie de non-vaccinés :

  • Les vaccinés ont un poids dans la transmission du virus non négligeable et qui ne cesse d’augmenter.
  • Les charges virales sont identiques chez les vaccinés et les non–vaccinés.
  • En Allemagne, 54 % des cas de Covid-19 frappent des personnes vaccinées.
  • Les vaccinés peuvent développer des formes graves de la Covid-19 et en mourir.
  • Les vaccinés peuvent transmettre la Covid-19 même à des individus vaccinés.

Face à ces faits vérifiables, en réalité, des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée à celle du discours ambiant officiel martelé à longueur de journée, qualifiant l’utilisation de ces injections expérimentales Covid-19 d’« inutiles, inefficaces et de dangereuses » ; alors que plus de 59 000 scientifiques et praticiens médicaux ont affirmé qu’en raison du danger relativement faible de la Covid-19 pour la grande majorité de la population, « ceux qui courent un risque minimal » devraient être autorisés « à vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus » en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d’autres ont qualifié d’ « irresponsable » le fait d’exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi faible. En effet, dans « la grande majorité des cas (~ 99,8 % dans le monde), le SRAS-CoV-2 n’est pas mortel. Il s’agit généralement d’une maladie dont la gravité va du léger au modérément grave. Par conséquent, l’écrasante majorité des personnes ne sont pas à risque face à la Covid-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinées » (source). La Covid-19 a un âge moyen de décès qui est plus élevé que celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, et le taux de survie global est de 99,74 %.  Les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans sont de 99,998 %, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95 %, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4 %, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94 %, ce qui équivaut à des personnes de moins de 70 ans ayant une meilleure chance de mourir de la grippe que de la Covid-19 qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957. Il est nécessaire ici de préciser que même ces chiffres  constituent des statistiques de décès  considérablement gonflées, causées par des méthodes de comptage très défectueuses utilisées et promues par des agences de santé du gouvernement fédéral aux intérêts conflictuels. Des centaines de professionnels de la santé affirment qu’ « environ 99 % des gens sont déjà protégés contre la Covid-19 par des réponses anticorps de type mémoire » et que « la plupart des gens seront désormais immunisés en raison de leur exposition au SRAS-CoV-2 », de sorte que cette population ne « bénéficiera pas du tout de la vaccination ».

Au sujet du variant Omicron qui a servi à justifier le pass vaccinal, David Pujadas, sur LCI, a martelé le 31 décembre 2021 :

« Non, l’Apocalypse Omicron n’a pas lieu »,

et toute la panique générée par les médias tourne court, une fois les données scientifiques examinées calmement et consciencieusement.

La séquence de 1 mn 13 s extraite de la vidéo ci-dessus et dans laquelle le présentateur de télévision déconstruit le narratif apocalyptique peut également être visionnée ci-dessous :



Le Pr Jean-Michel Claverie, pour sa part, n’hésite pas à dénoncer le narratif covidien officiel comme une escroquerie profitant à quelques firmes pharmaceutiques, mais dénué de tout fondement scientifique.

https://www.youtube.com/embed/qELr4EplWGA

C’est également ce que clame l’épidémiologiste Laurent Toubiana de l’INSERM qui fait valoir que la Covid-19 est « l’un des plus gros mensonges de tous les temps », et est une « épidémie très banale » tant les chiffres réels sont anecdotiques :

  • 33-40 malades/100000 habitants/semaine,
  • très peu d’hospitalisés.

Il ne faut pas compter les « cas » dépistés, mais les personnes qui tombent vraiment malade.

https://www.youtube.com/embed/C3zJrBJkXmY

La généticienne Alexandra Henrion Caude, anciennement directrice de recherche à l’INSERM et spécialiste de l’ARN, nous explique, dans un langage simple et clair, pourquoi il ne faut pas prendre une troisième dose, puis une quatrième dose, etc. alors que le vaccin ne fonctionne pas. Il suffit d’avoir un peu de bon sens pour comprendre ce qui est expliqué dans la vidéo ci-dessous :



Ces faits réunis ont conduit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste de l’Université de Yale, entre autres scientifiques compétents et de renommée mondiale, à qualifier la présente pandémie de « pandémie de peur » artificiellement créée.

Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique dans un entretien ses réticences sur la vaccination de masse pendant la pandémie. Dans une autre vidéo en anglais, de durée 15 mn 15 s, le vaccinologue adresse un appel solennel à l’OMS en suppliant l’organisation d’abandonner la vaccination de masse, notamment des enfants, avertissant du désastre sans précédent qu’elle provoquerait (et dont nous voyons déjà les tragiques prémices).

4. Le pass vaccinal exposerait nos concitoyens à des effets délétères ou mortels de thérapies géniques expérimentales, ce qui relève d’un acte criminel aggravé par son caractère intentionnel et prémédité.

Plus grave, le pass vaccinal contraindrait beaucoup de nos concitoyens à une vaccination génique expérimentale, qui a déjà tué l’équivalent d’une petite ville de plus de 35 000 habitants dans l’Union européenne d’après les statistiques officielles de l’organisme européen Eudravigilence, sans parler des effets graves non rémissibles qui se chiffrent en centaines de milliers (https://www.adrreports.eu/en/covid19_message.html). Ce « massacre » est inédit dans l’histoire de la vaccination. Notre prix Nobel de Médecine, le Professeur Luc Montagnier, et d’autres virologistes, épidémiologistes, spécialistes de biologie moléculaire de renommée internationale, dont l’un des inventeurs du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, nous alertent régulièrement sur des effets délétères que nous ne faisons qu’entrevoir (maladies neuro-dégénératives, AVC, thromboses, myocardites…)  Comme le Pr Luc Montagnier, nous appelons à l’arrêt immédiat de cette folie vaccinale sous la contrainte.

Nous présentons ci-dessous les statistiques extraites de la base de données Eudravigilance pour les effets secondaires graves ou mortels des vaccins Moderna / Pfizer / Janssen / Astrazeneca dans l’Union européenne, qui est la partie émergée de l’iceberg vaccinal vers lequel fonce le Titanic occidental avec à son bord des passagers crédules, conditionnés par une propagandastaffel bien huilée ou bercés d’illusions scientistes : le Titanic ne peut pas couler ! Nous avons également tabulé ces statistiques dans ce fichier Excel.

Le nombre de doses administrées et de personnes vaccinées peut se trouver sur :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

Pfizer – Biontech (Tozinameran) Fatal
26/06/21
Sans rémission
26/06/21
Fatal
25/12/21
Sans rémission
25/12/21
Troubles du système sanguin et lymphatique 88 229 14976
Troubles cardiaques 1078 2338 2338 14061
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 9 30 43 157
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 5 2512 11 8996
Troubles endocriniens 2 104 5 697
Troubles oculaires 18 2352 36 8025
Troubles gastro-intestinaux 377 9922 745 29753
Troubles généraux et conditions du site d’injection 2412 32856 4537 95992
Troubles hépatobiliaires 31 114 83 399
Troubles du système immunitaire 36 577 85 2452
Infections et infestations 804 4115 1688 13865
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 116 771 290 2318
Enquêtes 292 2587 481 8524
Troubles du métabolisme et de la nutrition 152 917 266 2689
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 99 18641 200 53423
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 24 103 130 482
Troubles du système nerveux 843 23001 1719 71591
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 15 56 65 307
Problèmes liés aux produits 0 13 3 36
Troubles psychiatriques 113 2191 191 8055
Troubles rénaux et urinaires 126 418 252 1541
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 1263 5 27477
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 928 5431 1774 18800
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 70 6461 134 21407
Circonstances sociales 12 232 21 1125
Procédures chirurgicales et médicales 20 61 136 405
Troubles vasculaires 305 3212 705 10111
Total 7977 120278 16172 417664
Nombre de doses 177694000 177694000 525596153 525596153
% / nombre de dose 0,0044892 0,0676883 0,0030769 0,0794648
Moderna (spikevax)        
Troubles du système sanguin et lymphatique 31 958 109 3604
Troubles cardiaques 474 883 1028 4464
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 4 18 9 64
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 866 6 2836
Troubles endocriniens 1 42 6 202
Troubles oculaires 8 834 35 2590
Troubles gastro-intestinaux 148 2539 368 8988
Troubles généraux et conditions du site d’injection 1849 10969 3313 36579
Troubles hépatobiliaires 14 83 47 222
Troubles du système immunitaire 5 202 18 828
Infections et infestations 245 1305 937 4630
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 82 512 185 1418
Enquêtes 93 704 295 2817
Troubles du métabolisme et de la nutrition 87 385 239 1231
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 80 4791 202 16752
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 17 51 77 229
Troubles du système nerveux 438 6474 944 22464
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 2 48 6 138
Problèmes liés aux produits 0 1 4 9
Troubles psychiatriques 70 750 166 2593
Troubles rénaux et urinaires 60 223 192 729
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 241 8 4701
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 416 1736 1056 6373
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 30 2120 88 8035
Circonstances sociales 13 275 40 913
Procédures chirurgicales et médicales 41 90 164 467
Troubles vasculaires 146 1028 372 3252
Total 4356 38128 9914 137128
Nombre de doses 22057000 22057000 140715073 140715073
% / nombre de doses 0,0197488 0,1728612 0,0070454 0,0974508
Astrazeneca        
Troubles du système sanguin et lymphatique 150 3719 257 4946
Troubles cardiaques 431 2580 768 4599
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 3 37 6 75
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 3780 6 5678
Troubles endocriniens 3 116 4 278
Troubles oculaires 14 4784 30 6703
Troubles gastro-intestinaux 169 18037 385 22473
Troubles généraux et conditions du site d’injection 952 56700 1664 72315
Troubles hépatobiliaires 29 163 64 289
Troubles du système immunitaire 13 564 33 936
Infections et infestations 236 4819 492 7486
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 86 1840 186 2790
Enquêtes 85 3531 185 5221
Troubles du métabolisme et de la nutrition 51 2824 106 3436
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 47 37151 136 47802
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 8 95 32 216
Troubles du système nerveux 573 46270 1075 60663
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 4 35 17 78
Problèmes liés aux produits 0 47 1 70
Troubles psychiatriques 29 3986 64 5568
Troubles rénaux et urinaires 34 786 68 1153
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 2912 3 7987
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 414 8264 931 11609
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 23 10994 57 15114
Circonstances sociales 5 210 6 513
Procédures chirurgicales et médicales 16 196 28 328
Troubles vasculaires 258 4817 487 7484
Total 3633 219257 7091 295810
Nombre de doses 43198000 43198000 138153102 138153102
% / nombre de doses 0,0084101 0,5075628 0,0051327 0,2141175
Janssen        
Troubles du système sanguin et lymphatique 17 145 44 421
Troubles cardiaques 62 167 181 623
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 0 8 1 20
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 90 2 629
Troubles endocriniens 1 2 1 49
Troubles oculaires 3 195 8 686
Troubles gastro-intestinaux 24 829 85 2284
Troubles généraux et conditions du site d’injection 144 3847 586 9538
Troubles hépatobiliaires 4 15 13 46
Troubles du système immunitaire 0 23 10 130
Infections et infestations 14 166 171 791
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 8 120 22 289
Enquêtes 119 1938
Troubles du métabolisme et de la nutrition 11 70 52 224
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 17 2263 49 5539
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 0 10 8 31
Troubles du système nerveux 73 2574 228 6977
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 1 2 1 11
Problèmes liés aux produits 0 2 0 1
Troubles psychiatriques 5 124 20 524
Troubles rénaux et urinaires 8 50 28 164
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 57 6 1367
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 44 538 275 1554
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 2 344 10 1271
Circonstances sociales 3 34 4 186
Procédures chirurgicales et médicales 26 170 65 354
Troubles vasculaires 63 605 160 1317
Total 530 12450 2149 36964
Nombre de doses 3124000 3124000 48531244 48531244
% / nombre de doses 0,0169654 0,3985275 0,0044281 0,0761654
Total 16496 390113 35326 887566
Nombre de personnes complètement vaccinées dans l’UE     307391000 307391000
Nombre total de doses administrées 246073000 246073000 852995572 852995572
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre de personnes complètement vaccinées     0,0001149 0,0028874
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre total doses 6,7037E-05 1,5854E-3 4,1414E-05 0,00104053
Source: https://qap.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#distribution-tab
Eudravigilance: https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
Nombre de morts (toutes classes d’âge confondues) / nombre cas déclarés en France 0,019547325 0,012904174
Nombre morts 0-59 ans / nombre cas déclarés en France 0,001954733 0,001290417
Sources :
https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Pourtant, une première brèche avait été ouverte dès le printemps dernier, elle continue à s’élargir, mais les officiers supérieurs, sans doute grisés par les appâts de quelque princesse vénéneuse de la pharmacie, n’osent pas entendre son grondement lugubre :

1) Sur 308 millions de vaccinés, il y a eu 35 000 morts et 900 000 affections graves sans rémission. Ceci est du jamais vu pour une campagne de vaccination. Le Pr Luc Montagnier parle, avec raison, de « folie vaccinatoire ».  Le Pr Christian Perronne, ancien vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation », qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, a la même analyse.

2) Le taux de mortalité de la Covid pour la classe d’âge 0-60 ans, qui représente environ 10 % des cas mortels en France, et de l’ordre de 1 mort pour 1000 malades déclarés, est trois fois inférieur à la probabilité de développer un effet secondaire grave non rémissible (toutes classes d’âge confondues) suite à l’administration des vaccins géniques mentionnés plus hauts. Où est le bénéfice ?

Il est encore possible d’affiner cette analyse de la nocivité des vaccins en examinant précisément la répartition des événements indésirables et létaux sur les différents lots. En réalité, tous les lots des vaccins anti-Covid19 ne se valent pas ! Il s’agit en fait d’une gigantesque loterie.

Le site http://howbad.info regroupe des tableaux sur les différents effets des vaccins Covid répartis par lots. Il s’agit d’une mise en forme des données officielles présentes sur le site gouvernement des Etats-Unis VAERS.

Les données au 23 décembre 2021 ont été compilées dans le tableau Excel ci-joint. Il ressort de ces données qu’un faible pourcentage de lots (5 % pour les Etats-Unis, 30 % en dehors des Etats-Unis) sont associés à 90 % des effets indésirables et à un nombre de décès jusqu’à 200 fois supérieur à celui associé au pourcentage des lots moins nocifs.

Toujours dans le registre des effets délétères des vaccins anti-Covid, il convient de noter qu’il y a eu une multiplication par 5 des morts subites d’origine cardiaque chez les joueurs de la FIFA en 2021.

Il ne s’agit pas de 24 athlètes, ni de 30, ni de 75 – non, depuis décembre 2021, ce sont 183 athlètes et entraîneurs professionnels qui se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! Selon la littérature, le phénomène d’effondrement d’un athlète pour des raisons non liées à une blessure est rare. Alors, quelle est donc la cause de cette soudaine épidémie ?

Stephen Connolly et le Dr Yaffa Shir-Raz présentent leur analyse :

Dans plus de 80 des cas, comme les stars du football Sergio Aguero et Christian Eriksen, les athlètes se sont effondrés pendant le jeu, la course ou l’entraînement, ou immédiatement après. Dans la plupart des cas, il a été rapporté que la cause de l’effondrement est liée au cœur, notamment une myocardite, une péricardite, une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque. La deuxième cause signalée est la coagulation.

Nous soulignons que la liste dont nous disposons est encore plus longue, mais par souci de prudence, des dizaines de cas ont été retirés de celle-ci, dont nous ne disposions pas de tous les détails, de sorte que seuls les cas rapportés en détail ont été inclus. En outre, nous avons supprimé les cas dans lesquels des facteurs de risque antérieurs étaient mentionnés, tels qu’une maladie cardiaque ou un diabète.

Pour obtenir une meilleure image des données par rapport aux années précédentes, nous n’avons examiné que les données relatives aux décès d’athlètes enregistrés auprès de la FIFA et avons comparé les données concernant le nombre de MCS (morts cardiaques subites)/DSI (morts subites inexpliquées) chez ces athlètes au cours des années précédentes au nombre de cas en 2021.

Pour savoir combien de décès se sont effectivement produits au cours des deux dernières décennies parmi les joueurs de la FIFA (2001-2020), nous avons utilisé Wikipedia – « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant ». Pour savoir combien de cas se sont produits en 2021, nous avons utilisé la liste collectée par nos soins dans « Real-Time News » (qui inclut les cas notés dans Wikipedia pour 2021).

Le Dr Josh Guetzkow, maître de conférences au département de sociologie et d’anthropologie et à l’Institut de criminologie de l’Université hébraïque, a analysé les données. « Un article publié dans le British Medical Journal montre que le risque de MCS est de un sur 50 000 (avec une fourchette de un sur 30 000 à un sur 80 000) », explique-t-il. « Selon les données de la FIFA, en 2000, il y avait 242 000 athlètes enregistrés dans l’association, et en 2006, 265 000 athlètes enregistrés. En supposant que la FIFA n’a pas changé de manière significative en vingt ans, l’on peut s’attendre à environ 5 décès par an ».

Selon Wikipédia, sous la rubrique « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant », entre 2001 et 2020, il y a eu en moyenne 4,2 décès par an attribués à des MCS ou à des DSI, la grande majorité étant des MCS. En revanche, en 2021, selon notre liste, il y a eu 21 cas de MCS/DSI parmi les joueurs de la FIFA. En d’autres termes, au lieu de 4 décès par an dus aux MCS/DSI (selon les données de Wikipédia), ou de 5 cas par an (calculés selon le BMJ) pendant la période 2001-2020, 21 joueurs sont décédés jusqu’à présent cette année.

C’est-à-dire environ 5 fois plus que la moyenne annuelle !

Ce chiffre s’avère statistiquement significatif. En fait, il n’y a pas eu d’autre année depuis 2001 où la différence entre le nombre de cas observés de MCS/DSI et le nombre attendu soit statistiquement significative. En 2021, elle est hautement significative sur le plan statistique et ne peut se produire par hasard qu’environ 2 fois sur 1 000.

Stephen Connolly et Dr Yaffa Shir-Raz, « 5-fold increase in sudden cardiac deaths of FIFA players in 2021« .

Face à tous ces chiffres accablants et effrayants que vous pourrez aisément vérifier, Mesdames et Messieurs les élus, notre ministre de la santé Olivier Véran ose affirmer, de manière effrontée, dans une fourberie qui le caractérise désormais, que les « rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination ».

Il semble assez évident que seule l’administration de ces substances à la protéine spicule aux personnes âgées ou « à risque » aurait encore un sens. Mais encore faut-il bien évaluer le bénéfice-risque de la potion. Notez que les sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ont été condamnées à plusieurs reprises pour malversations :

  • depuis l’année 2000, Pfizer a été inculpé 74 fois d’infractions pénales et civiles et a payé plus de 4 milliards de dollars d’amendes, les principales infractions ayant été la commercialisation non approuvée de produits, la corruption, les fausses déclarations, les violations de sécurité ;
  • la société Johnson & Johnson a dû payer une amende de 8 milliards de dollars suite à la mise sur le marché de produits pharmaceutiques dangereux qui ont occasionné des milliers de morts et de séquelles ;
  • les mêmes sociétés pharmaceutiques sont sous le coup d’une amende de 25 milliards de dollars pour la commercialisation d’opioïdes qui ont occasionné 48 000 morts par an (commercialisation rendue possible par des malversations auprès de services de vérification et de personnels peu scrupuleux du corps médical),

et que dernièrement le scandale « PfizerGate » a encore ébranlé le narratif covidien officiel, sans que les médias en tirent les conclusions qui s’imposent. Le problème de fraude sur les données des essais cliniques du vaccin Pfizer avait été soulevé par le journal scientifique réputé The British Medical Journal (BJM) qui a été l’objet d’un « fact-checking » orienté de Facebook, ce qui montre à quel point les géants des réseaux sociaux et les GAFAM se livrent à une guerre de désinformation contre la science et les scientifiques intègres.

Le Dr Robert A. Malone, le Pr Luc Montagnier, le Dr Alexandra Henrion Caude, le Dr Geert Vanden Bossche, entre autres, ont alerté sur les effets à long-terme (cancers, destruction des défenses immunitaires, maladies neuro-dégénératives, etc.) des vaccins anti-Covid-19 qui se manifesteront au fil des mois prochains et au fil des « boosters ». La surmortalité anormale constatée pour les 15-44 ans pendant l’année 2021 est rapportée sur le site https://www.euromomo.eu/ et peut donc être suivie.

Concernant les femmes enceintes, en octobre 2021, le New England Journal of Medicine a finalement admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre 2021 par Shimabukuro et. al – ayant servi de caution à la campagne de vaccination Covid-19 du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue. L’étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.

Le Dr Joseph Mercola, sur son site aux Etats-Unis, récemment, a expliqué comment les auteurs de l’étude originelle avait intégralement truqué leurs conclusions.

L’étude portait sur 827 femmes enceintes et l’objectif en était d’évaluer le taux de fausses couches pour toutes les femmes vaccinées contre la Covid-19 durant les 20 premières semaines de la grossesse. C’est alors que deux médecins de Nouvelle-Zélande – les Dr Aleisha Brock et Simon Thornley – reprirent les données de cette étude, afin de mettre en exergue qu’il s’agissait en fait d’une catastrophe intégrale avec une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114).

« Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude.»

En fait, selon ces deux médecins néo-zélandais : 

«une évaluation des 827 femmes dans le dénominateur de ce calcul révèle qu’entre 700 et 713 femmes enceintes furent exposées au vaccin après que le cadre temporel, pour l’analyse, a été dépassé – à savoir les 20 premières semaines de grossesse.»

Ainsi, Shimabukuro et. al avaient inclus, dans leurs analyses de ce groupe de 827 femmes, des femmes enceintes alors qu’elles n’avaient pas été vaccinées durant les 20 premières semaines (mais plus tard) et que, donc, elles ne pouvaient pas être à risque de fausse couche post-vaccinale suite à une injection reçue durant le premier trimestre. 

Parmi les 104 bébés perdus durant les 20 premières semaines, 96 moururent avant la fin des 13 premières semaines de grossesse, ce qui signifie que la vaccination Covid-19, durant cette première partie de la grossesse, signe, quasiment, l’arrêt de mort du fœtus. 

Entre autres effets collatéraux primaires, il faut, également, signaler 9,4 % de bébés prématurés.

Quant à la vaccination des enfants, là encore les mesures prises sont complètement absurdes. En effet, des médecins et scientifiques allemands ont rapporté récemment que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort de la Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie. Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des pathologies préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs. Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour une infection par la Covid était d’environ 1 sur 50 000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8 000. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

Résultats : Le taux global d’hospitalisation associé à l’infection par le SARS-CoV-2 était de 35,9 pour 10 000 enfants, le taux d’admission en soins intensifs était de 1,7 pour 10 000 et le taux de létalité de 0,09 pour 10 000. On a constaté que les enfants sans comorbidités étaient nettement moins susceptibles de souffrir d’une évolution grave ou fatale de la maladie. Le risque le plus faible a été observé chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sans comorbidité. Dans ce groupe, le taux d’admission en soins intensifs était de 0,2 pour 10 000 et la létalité n’a pas pu être calculée en raison de l’absence de cas. Le taux global du PIMS-TS était de 1 pour 4 000 infections par le SRAS-CoV-2, la majorité étant des enfants sans comorbidités.

Sorg, A. L. et al., « Risk of Hospitalization, severe disease, and mortality due to COVID-19 and PIMS-TS in children with
SARS-CoV-2 infection in Germany
« . Prépublication medRxiv, 30 novembre 2021.

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 17 pages publié sur le serveur de prépublication medrxiv récemment (cet article est également téléchargeable ici).

5. Le pass vaccinal signe l’enterrement définitif et irrémédiable de l’État de droit et l’entrée dans un totalitarisme sanitaire, une société orwellienne.

Cinq observations des plus pertinentes sur le projet de loi sur le pass vaccinal déposé par le gouvernement devant l’Assemblée Nationale ont été faites par le collectif de juristes DéjàVu :

  1. Le pouvoir exceptionnel réclamé par le gouvernement n’aurait plus pour objectif de “lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19”, mais de “lutter contre l’épidémie de Covid-19”. Pourquoi cet élargissement fait-il l’objet de la première disposition de ce projet de loi ? La nuance est subtile, mais interroge sur le but poursuivi et sur sa circonscription dans le temps, qui reste pourtant, en droit, la condition d’un régime d’exception.
     
  2. La large possibilité de prendre un transport longue distance sans pass sanitaire en cas d’urgence serait supprimée et remplacée par un très restreint “motif impérieux d’ordre familial ou de santé » lorsque le voyageur ne dispose pas de certificat d’injection, sous réserve d’avoir en plus un test négatif (sauf en cas d’urgence, en plus de l’impériosité du motif, ainsi que de son caractère familial ou sanitaire). Ce glissement sémantique trahit-il un glissement de régime ?
     
  3. L’interdiction de contrôler une identité par les personnes chargées de vérifier le pass (par exemple, un serveur dans un restaurant) est à nouveau remise en question par le gouvernement en ces termes : “Il [pourrait] être exigé, en cas de doute sur ces documents, la présentation d’un document officiel d’identité.
     
  4. Comme si le régime déjà en vigueur n’était pas déjà assez répressif, une peine d’amende de 1 500 € maximum serait distribuée aux personnes utilisant le pass d’un tiers ainsi qu’aux exploitants qui ne contrôleraient pas le pass à l’entrée de leur établissement.
     
  5. À l’article 2 du projet de loi, vous constaterez que le gouvernement tente encore d’aggraver les mesures d’isolement et de quarantaine et donne aux préfets la possibilité de “recevoir les données strictement nécessaires à l’exercice de leurs missions de suivi et de contrôle du placement en quarantaine ou à l’isolement”.

Et ce collectif de conclure :

Après avoir prétendu il y a un an que “la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire” (source), le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre de la santé démontrent leur capacité à gouverner par fausses promesses successives pour instaurer un régime répressif durable basé sur des motifs sanitaires.

En simple, comme l’a résumé le Ministre de la santé, ce projet de loi est pire qu’une obligation vaccinale sous peine d’amende : “Le pass vaccinal est une façon d’arriver à l’obligation vaccinale, mais moi, je pense que c’est plus efficace que de mettre une amende” (source).

C’est le député européen Les Républicains François-Xavier Ballamy qui, avec raison, exprime ses préoccupations de voir l’État de droit se déliter devant nos yeux :

Mais tout cela est en fait très logique ; car ce que révèle ce nouveau revirement, c’est que le passe vaccinal comme le passe sanitaire depuis le début ne sont pas des mesures sanitaires. Ce que nous disions dès juillet est aujourd’hui rendu incontestable par le fait que le gouvernement refuse désormais de prendre en compte un test négatif pour établir ce passe. Si l’objectif était de limiter la circulation du virus dans des lieux précis, un test négatif est pourtant bien plus efficace pour cela qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux ni trois doses – ni même quatre ou cinq demain… – n’empêchent d’être contaminé et contagieux. Il est donc totalement irrationnel que le premier ministre ose accuser les Français non vaccinés de «non-assistance à personne en danger », comme si eux seuls diffusaient le virus… De fait, en réduisant le passe sanitaire au vaccin, le gouvernement ne réduit en rien le risque de contamination là où il est exigé ; il ne fait que contraindre les Français à une vaccination que la loi n’a pourtant jamais rendue obligatoire. Sur ce point, une mention spéciale doit d’ailleurs être réservée au Conseil d’État, qui a sombré dans l’indignité en se reniant lui-même avec une servilité littéralement pitoyable. En juillet, il avait admis le principe du passe sanitaire à la condition expresse qu’un test négatif permettrait son obtention – sans quoi, écrivait-il, il ne s’agirait plus d’une mesure de protection, mais d’une incitation vaccinale dissimulée. Ne pas délivrer ce passe à des personnes prouvant pourtant qu’elles sont indemnes du Covid constituerait, écrivaient les magistrats, «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale ». Quelques mois plus tard, les mêmes magistrats viennent d’approuver la mesure précise qu’ils interdisaient, et de bénir ainsi l’enterrement de ces principes fondamentaux…

Ce qui disparaît, c’est une règle essentielle pour l’État de droit, résumée ainsi par notre Constitution : «Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. » Avec le passe vaccinal, le gouvernement tombe dans une contradiction désastreuse pour les libertés publiques, l’égalité en droit et l’amitié civique. Il s’agit en effet de dire que la vaccination n’est pas obligatoire, mais que ceux qui ne s’y plient pas sont quand même coupables, et qu’il devient par conséquent légitime d’accuser, de blâmer, de brimer, de punir, de priver même de droits absolument fondamentaux des concitoyens qui ne se sont pourtant soustraits à aucune obligation légale. Le gouvernement pense-t-il pouvoir arrêter l’épidémie par la vaccination généralisée, en dépit des préconisations de l’OMS, des expériences acquises ailleurs dans le monde, et de la survenue de cette cinquième vague dans un pays déjà massivement vacciné ? S’il le pensait, il assumerait de rendre cette vaccination obligatoire par la loi. S’il ne le fait pas, c’est qu’il se contente de désigner des boucs émissaires pour justifier une crise hospitalière dont il est, en réalité, l’un des premiers responsables, avec ses prédécesseurs. La situation ne serait pas si dramatique pour les soignants héroïques qui affrontent cette épidémie si ce gouvernement n’avait pas fermé des lits et laissé l’hôpital perdre encore de nombreux personnels formés, au milieu même de la crise.

En attendant, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal trahit la folie de la logique dans laquelle nous entrons, qui se vérifie à ses conséquences déjà manifestes sur notre droit : alors que le scrupule du droit à la vie privée justifiait jusque-là d’interdire aux policiers municipaux tout contrôle d’identité, le serveur d’un bistro demandera maintenant votre passeport pour vous servir une limonade… Le Parlement peut bien se plier, les autorités judiciaires se renier, l’opinion elle-même s’endormir, il faut maintenir ce principe, jusqu’à ce qu’ait lieu une prise de conscience désormais vitale. En démocratie, la souveraineté du peuple s’exprime par la loi qui oblige, non par la contrainte déguisée. Elle garantit que la liberté est la règle, non l’exception ; et elle reconnaît que les droits fondamentaux ne sont pas une concession de l’État attribuée pour bonne conduite. Vaccinés ou non, nous avons aujourd’hui tous le devoir de rappeler quelques évidences en danger.

François-Xavier Bellamy, «Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit». Le Figaro, 28 décembre 2021.

Jusqu’où ira le gouvernement ? Étant donné la virulence des mesures « sanitaires » qui sont imposées à une cadence effrénée suivant une logique liberticide préméditée et habilement conçue, et la turpitude de l’exécutif qui excelle dans les revirements, vérités en demi-teinte et mensonges les plus ahurissants et scandaleux, la question mérite d’être posée de la manière la plus grave.

https://www.youtube.com/embed/pVodZHnnvTQ

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, pouvez-vous, voulez-vous en toute conscience être complices de tels mensonges, de tels agissements frauduleux, de telles manipulations sournoises, d’une telle trahison de la démocratie, de telles violations de l’État de droit, d’un tel anéantissement de la dignité humaine ?

Même le Conseil constitutionnel, qui est la plus haute juridiction de notre démocratie et le dernier rempart contre l’arbitraire du pouvoir et qui est censé protéger les Français des abus de pouvoir de l’exécutif ou des parlementaires, des dispositions législatives qui vont à l’encontre de notre Constitution, ne respecte pas ses propres statuts, s’empêtre dans ses contradictions dans sa volonté manifeste d’entériner l’extension du pass sanitaire, trahit sa haute fonction de gardien de la Constitution et devient le chien de garde d’un pouvoir dévoyé dont les dérives éclatent en plein jour. C’est pourquoi nous réclamons la démission des membres du Conseil constitutionnel et vous demandons de vous associer à cette démarche.

Nous vous demandons de vous opposer par tous les moyens à l’adoption législative du pass vaccinal, qui est d’autant plus injustifié que la virulence de la Covid-19 semble s’atténuer, le virus Omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Le professeur Mattias Desmet, psychologue et statisticien belge, explique le comportement absurde et irrationnel que nous observons actuellement dans le monde entier en ce qui concerne la pandémie de Covid et ses contre-mesures. Il appelle ce phénomène « psychose de formation des masses ». Il s’agit une sorte d’hypnose des foules qui aboutit à faire tomber littéralement une grande partie de la population dans un état de psychose. La psychose de formation des masses explique comment les Allemands ont accepté les atrocités commises par le parti nazi dans les années 1930, et elle explique pourquoi tant de personnes dans le monde entier soutiennent aujourd’hui l’apartheid médical et la destruction des personnes non vaccinées. C’est tellement irrationnel et inhumain que beaucoup se sont demandés comment nous en sommes arrivés là. Il s’avère que la psychologie du totalitarisme a été étudiée depuis des décennies et que tout ceci peut être expliqué comme un phénomène psychiatrique qui apparaît lorsque certaines conditions existent dans une société. Ne pensez pas que cette crainte du fascisme soit révolue. Lorsqu’un Président de la République cherche à stigmatiser une partie de la population (les non-vaccinés), leur menant la vie dure, en ne leur permettant pas de vivre et allant jusqu’à les déposséder de leurs libertés et droits fondamentaux garantis par la Constitution et la Déclaration des droits de l’homme, il faut clairement sonner l’alerte. Toutes ces décisions seront suivies de décisions beaucoup plus graves, violentes, sanguinaires, si la spirale du mécanisme totalitaire n’est pas interrompue dès maintenant.

La normalienne Ariane Bilheran (docteur en psychopathologie, spécialiste de la psychologie du pouvoir, pouvoir déviant et abusif) a bien analysé l’idéologie sanitaire nazie et a largement cité un article universitaire qui effectue une reconstitution historique des faits qui ont conduit les Nazis à l’apogée de leur délire paranoïaque collectif, à savoir l’extermination de masse : l’idéologie nazie était, exactement comme aujourd’hui, de type sanitaire. Cette idéologie a orchestré le délire collectif et partant, a organisé le totalitarisme dans ses pulsions liberticides et mortifères.

Et le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, dans un article du Lancet, que nous mentionnions plus haut, lance également le même avertissement :

Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont tous deux engendré dans l’histoire récente des expériences négatives, en stigmatisant une partie de la population pour leur couleur de peau ou leur religion.

Pr Gunter Kampf.

Stigmatiser les non-vaccinés comme le fait et y encourage le gouvernement n’est pas justifié et est le prélude certain à un fascisme rampant. Nous ne sommes déjà plus en démocratie.

Face à l’entêtement des autorités dans le monde entier, des plaintes pénales ont été déposées :

  • Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme ont déposé une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.
  • Une plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer a été déposée par Me Virginie de Araujo Recchia devant la Cour de Justice de la République, accusés des chefs suivants :
    • abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
    • extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
    • empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
    • tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
    • escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
    • génocide (article 211-1 du Code pénal).
  • Une plainte pénale a été déposée aux États-Unis contre Alex Azar (secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis), le Dr Anthony Fauci (conseiller médical en chef du président des États-Unis), le Dr Peter Daszark (président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance), la FDA (Food and Drug Administration, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments), les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses), Moderna et Pfizer sur la base des huit chefs d’accusation suivants :
    • 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
    • 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
    • 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale criminelle.
    • 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
    • 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
    • 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
    • 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
    • 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Au vu de tous les éléments graves qui viennent d’être exposés et de la menace réelle et imminente de totalitarisme qui guette notre démocratie battue en brèche, considérant que plus de 2 300 professionnels de la santé et universitaires en France ont récemment élevé leur voix contre les mesures sanitaires Covid-19 du gouvernement et la nouvelle religion covidienne qui a pris le contrôle de la nation, et considérant, enfin, que plus de 5 000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle et revendiquent le respect du Serment d’Hippocrate, nous vous demandons instamment de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les deux assemblées, et la censure rejetée, nous vous demandons de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si nous constations que vous aviez participé à son adoption, nous serions obligés de conclure que le parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement de décisions prises dans les cénacles internationaux promouvant la « Grande Réinitialisation » si chère au Forum de Davos, associant « Big Pharma » et « Big Media » qui censure toute information contraire à la doxa d’une société orwellienne en gestation ; et nous vous assurons que vos noms ne seront pas oubliés de l’Histoire. Avec d’autres juristes compétents, nous mènerons un combat sans merci et sans relâche pour que la vérité éclate et que les responsables d’un crime contre l’humanité sans précédent soient jugés par une justice impartiale.

En espérant que vous comprendrez à quel point ce projet de loi marquerait l’avènement d’une société totalitaire qui n’est pas celle que nous voulons et qu’aucun être humain de bon sens ne désirerait pour lui-même, les siens et sa progéniture, nous vous prions, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, d’agréer l’expression de nos sentiments distingués.

Aussi la loi n’a point de vie, la justice n’a point de force ; car le méchant triomphe du juste, et l’on rend des jugements iniques.

Habacuc 1:4.

Vigilance Pandémie, le 3 janvier 2022.




La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins

[Source : Recherches Covid-19]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Dans cette vidéo Stefan Lanka présente l’avancée de ses travaux sur les expériences témoins qui permettront de réfuter les affirmations des virologues qui affirment avoir découvert le génome du SARS-CoV-2 chez un patient à Wuhan, en démontrant que les méthodes utilisées sont à l’origine des résultats obtenus et qu’il est possible d’obtenir exactement les mêmes résultats à partir de prélèvements humains sains en reproduisant les mêmes méthodes et techniques.

[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et ses liens annexes.]

Il explique également les mécanismes qui conduisent les scientifiques à rechercher la cause d’une maladie sous la forme d’un élément matériel, dans ce cas d’un virus contagieux, avant même de se questionner sur les autres causes possibles, et la raison pour laquelle ce concept est majoritairement accepté sans être remis en cause.

Il évoque aussi les bases de la virologie avec la découverte du virus de la mosaïque du tabac et de la rage, et avertit sur les dangers potentiels des nanoparticules lipidiques présentes dans les vaccins, sujet occultés par l’engouement autour des innovations en biotechnologie et des craintes concernant le graphène dans les vaccins Covid.

Vidéo disponible intégralement ou en extraits courts :

Stefan Lanka – La vérité sur le graphène
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la mosaïque du tabac
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la rage
Stefan Lanka – 2e phase des expériences témoins (génétique)



Rapport de l’Institut Max Planck d’histoire des sciences de 1999 dont il est fait mention (traduction automatique en français)

Transcription interview complète

Vidéo originale sans sous-titres




L’État « régalien » se régale du Lien devenu Rien

Par Lucien Samir Oulahbib(([1] Dernier recueil paru))


Cette algèbre (ou grammaire de la mathésis symbolique) n’est pas fortuite : l’État dit « régalien » en France, mais aussi dans le Monde dit « civilisé » n’est plus. Conseil d’État, Conseil Constitutionnel… tout s’effondre du moins derrière les façades Potemkine de « démocratie, État de droit » toujours présentes en trompe-l’œil. À la place émerge le Rien qui se régale du Lien (sociopolitique et socioculturel) ou le nihilisme antirationnel dont « iel » (se) régale : la junte sectaire globale qui à l’instar des totalitarismes précédents s’approprie l’État, le Bien Commun, celui des droits naturels, et l’Intérêt Général (ou la Volonté Générale), leur actualisation concrète, en vue de pirater/hacker l’héritage biologique de l’Humanité (son immunité naturelle) après l’avoir fait via une imposition forcenée et un lavage de cerveau permanent au niveau social et culturel.

La nouvelle loi en gestation visant à durcir l’idée même de « passe » cherche par exemple (comme l’indique bien Enzo L.) à empêcher les personnes déjà naturellement guéries d’échapper à l’injection alors qu’auparavant elles le pouvaient — ce qui était d’ailleurs une anomalie et l’on pouvait se demander quand ils allaient l’éliminer (c’est donc chose faite) — puisqu’il s’agit bien de remplacer l’immunité naturelle par l’immunité artificielle. Ainsi, ils rendent alors les humains « immunodépendants » comme peuvent l’être les paysans dépossédés de leurs semences naturelles et donc tributaires de Big-Agro aux côtés de Big Pharma et Big Tech, le tout régenté par Big Secte qui fonctionne de plus en plus en Junte racialiste (au sens métaphysique) puisqu’agrémentant ses membres par une cooptation basée sur une couleur idéologique très stricte : le Vert lgbtisé(+).

Celui-ci peut être cependant blanc à l’extérieur (pour l’instant du moins), mais uniquement arc-en-ciel à l’intérieur, par contre, avec donc à la clé les manipulations génétiques, génitales, hormonales et aussi humorales (prise assidue de pilules contrôlant les humeurs par exemple lors de ruptures affectives, pour « remonter » le moral, la libido, l’estime de soi), enfin culturelles, le tout formant ainsi le néonazisme qui cependant efface le passé par étouffement symbolique au lieu de le brûler brutalement comme au temps du nazisme, du léninisme, de l’absolutisme « classique »…

C’est en effet une euthanasie douce, ou la neutralisation/éviscération de l’Histoire des Nations (corps, esprits, tissu social indépendant de la bourgeoisie réelle : habitant les bourgs). Toute cette population est émiettée, injectée de produits immunodépendants et également financiers via des « prêts » abstraitement remboursables, le tout à coup d’injections multiformes ; ni vu ni connu, à bas bruit, comme l’on dégonfle une baudruche ou sculpture contemporaine, le tout secrètement.

Comme aussi lorsque l’on débranche les affiliations historiques culturelles sentimentales (effacement récent — 1er janvier 2022 — du drapeau français sous l’Arc de Triomphe au profit du seul drapeau européen alors que la présidence tournante de l’UE donnée pour six mois à la France ne le justifiait pas). Ce qui montre bien, à nouveau, la supériorité tactique du technicisme affairiste néonazi sur le nazisme classique en ce sens où cela se voit moins. Tout est très feutré, aseptisé, cela glisse comme sur la moquette ouatée des grands hôtels dépersonnalisés ou celle de la pornographie au sens baudrillardien des grandes rencontres mondiales pour lesquelles les drapeaux nationaux claquent certes, mais inutilement, rétrécis seulement à leur étoffe matérielle, la magie symbolique (cette mathésis…) s’étant évaporée.

Et ce néonazisme, issu de la fusion entre la technostructure et l’affairisme du nihilisme global (les individus sont des cibles, des particules aux fréquences modulables selon qu’on les chauffe à coup de com et de séries) a bien appris des erreurs passées en passant par cette chloroformisation du Monde ambiant que lui a apporté clefs en main le néo-léninisme avide de biens réels (une Fourest, un Plenel, un Patrick Cohen, un Mélenchon, par exemple comme échantillons chimiquement purs du Mal manifeste).

Cette chimie politique de ce qui s’appelait autrefois « la gauche » avait déjà acquis cette supériorité de dissolution négative des chairs dans l’acide symbolique de l’effacement culturel et désormais génétique (les Nettoyeurs ou Cleaners dans les séries policières hard core) sous la version « classique » de Lénine-Trotski puis Staline, puisqu’officiellement le Parti (de l’Émancipation elle-même) luttait au nom de l’Humanité alors que le nazisme classique luttait seulement au nom d’une Race Supérieure. Ceci était en plus tactiquement bien trop brutalement énoncé (d’où les coalitions victorieuses à son encontre), alors que ces choses là, visant à l’ivresse divine (dantesque) de la domination pure, doivent être soigneusement cachées, avouées seulement dans le secret, ou le « retour des masques » (cher à Foucault) minaudant en haut de la société pyramidale (pour la paix et l’égalité) alors que le Sommet devient si éloigné qu’il en devient invisible pour le commun des mortels, numérisés eux et de plus en plus jusqu’à la moelle.

Dans ces conditions, celui de la mort de l’État, ce cœur de la Nation dont le Peuple est la Chair (cerveau compris : d’où le fameux Conflit des Organes — cœur et raison — plutôt que celui des seules « facultés » comme le pensait Kant…) il convient de bien se préparer : non plus se dire que l’on va vers la Guerre Civile, mais que l’on y est ; d’un type nouveau cependant puisqu’il ne s’agit plus d’une division fratricide, mais séparatiste : l’élite autoproclamée s’est transformée en secte (pas seulement en caste), car ce n’est pas seulement l’argent ni la puissance qui l’intéresse dans la notion de Pouvoir, mais aussi, et surtout, le Prestige : ainsi donner une légion d’honneur à Agnès Buzin EST l’exemple type de cette transformation du Régalien en régaler les Rien ; non pas les « sans dents », mais les « encore plus » de Vide.

Aussi, comme nous sommes dans une guerre civile, celle de cette Secte néonazie contre la Nation, l’appel du Collectif des Maires résistants n’en prend que plus de relief, ce qui peut déboucher vers une nouvelle Convention visant non pas à détruire les acquis (comme le veut le passéiste Mélenchon), mais à les renforcer déjà au niveau parlementaire par la proportionnelle majoritaire à un tour qui sera contrebalancée grâce au maintien du pouvoir présidentiel de la dissoudre, mais avec obligation d’avoir recours systématiquement au référendum lorsque des principes fondamentaux sont touchés, comme par exemple modifier le code de la Santé publique sans passer par un vote organique du Parlement (Assemblée et Sénat) ce qui reste une hérésie constitutionnelle et qui pourtant va être débattu tout le long de ce mois de janvier 2022 en France.

Certes, l’on sait que la crise sanitaire n’est qu’un prétexte pour instaurer le PaSS bio-numérique visant à fabriquer de l’humanité nouvelle matière première, en réalité traditionnelle : « il n’y a de richesses que d’hommes » disait Jean Bodin. Il ne croyait pas si bien dire… Mais sans doute pas dans le sens de ce techno-scientisme autocentré qui au nom de l’hygiénisme généralisé veut nous imposer sa férule putride, semblable à celle de la Force Obscure aujourd’hui incarnée par ces nouveaux Frères Karamazov sans autre foi ni loi que la démesure et la déraison.





Quelles actions résistantes mener en 2022 ?

Par Joseph Stroberg

2021 a pratiquement démontré que divers types d’actions entreprises pour tenter de se libérer de la tyrannie covidienne, voire de certains gouvernements, n’ont pour l’instant pas donné grand-chose et se sont même révélées dans certains cas relativement futiles ou stériles. Plusieurs raisons peuvent expliquer ces échecs (notamment des manifestations) ou ces retards dans l’obtention de résultats lorsque ceux-ci sont encore possibles (comme dans le cas de certaines procédures judiciaires). Pour espérer mieux en 2022, nous gagnons à commencer par reconsidérer le tableau des forces en présence dans cette nouvelle forme de guerre, un conflit dont la véritable cible n’est pas un virus, mais l’Humanité.

Comme pour toute action sur le plan physique, tout l’art de la guerre se ramène en définitive à trouver, puis à mettre en œuvre les moyens qui permettent d’obtenir le résultat optimal avec la dépense minimale d’énergie. En d’autres termes, l’art le plus fin respecte le principe physique de « moindre action » et l’on découvrira peut-être un jour que l’art sublime est celui qui se trouve en plein accord des lois physiques et métaphysiques de l’univers (ceci incluant alors les dimensions psychologiques, psychiques et spirituelles). Cela vaut donc notamment pour la guerre et l’art de la mener avec le minimum de pertes, mais le maximum de résultats dans le temps minimal possible.

L’idée de cet article est venue de la suggestion d’un lecteur, Bernard, qui propose le type d’action suivante pour 2022 :

« Il ne s’agirait pas de manifester lors des déplacements des dirigeants, mais lors de leurs déclarations à la télévision. En effet, à chaque fois qu’ils font une déclaration, c’est pour nous annoncer des contraintes supplémentaires. Une manifestation sur les balcons serait une façon concrète de réagir pour leur dire NON tout de suite, les désapprouver et leur faire savoir immédiatement.

À la réflexion, je me demande même si ça ne serait pas plus efficace de renouveler cette manifestation tous les soirs à 20 h (l’heure du début des journaux télévisés en France). On l’a bien fait pendant le confinement pour applaudir les soignants tous les soirs à 20 h, et même dans une petite ville de 4300 habitants passifs comme la mienne, on entendait la clameur des manifestants.

Je pense qu’une manifestation facile à mettre en œuvre par chacun individuellement pourrait devenir massive. Dans ces conditions, elle permettrait aux indécis et aux endormis de prendre conscience de la force que nous représentons en étant solidaires dans la contestation.

De plus, je crois que cela constituerait une manifestation non violente, mais très forte si elle prend de l’ampleur. Beaucoup d’activistes insistent sur la nécessité d’actions non violentes pour éviter de tomber dans un piège qui conduirait aussitôt le gouvernement à décréter la loi martiale. Et ils ont raison, le pouvoir n’attend que ça ! »

Nous examinerons donc ici si ce mode d’action ou d’autres sont susceptibles de respecter ou non un minimum le principe de moindre action et par conséquent s’ils font ou non honneur à l’art de la guerre et auront des chances faibles ou fortes de faire tomber l’arnaque plandémique ou même le Nouvel Ordre Mondial.

En physique, il existe des phénomènes qui permettent d’obtenir de grands effets avec une faible dépense d’énergie, ceci parce que les efforts sont soit diffusés dans le temps (cas de la résonance), soit démultipliés par le jeu de la mécanique (comme pour l’effet de levier) ou d’autres lois. Ainsi, lorsque des soldats marchent sur un pont à sa fréquence propre exacte, ils le font entrer en vibration, en « résonance » de manière de plus en plus forte et peuvent finir par dépasser la limite de résistance de ses matériaux, puis donc le briser. En économie, ils parlent d’effet de levier lorsque certaines formes d’action ou d’investissement relativement faibles permettent d’obtenir de grands rendements et donc un bon retour sur investissement. De nouveau en mécanique, un moteur électrique bien huilé engendre peu de frottements et tourne donc plus rapidement, avec moins de pertes d’énergie sous forme de chaleur. Par analogie, on peut chercher sur le plan sociétal, les types d’actions qui sont susceptibles de respecter au mieux ces grands principes physiques extrapolables sur d’autres plans.

Les actions les plus efficaces pour faire tomber le Nouvel Ordre Mondial, doivent tenir compte à la fois de tels principes et lois universelles, mais aussi bien sûr de la nature même de ce Système (voir Vie et mort des systèmes). Le Nouvel Ordre Mondial est un système organisé autour de concepts et d’idéologies matérialistes qui découlent ultimement de la peur de la mort physique. C’est pour cette raison essentielle que notamment ses promoteurs et ses valets cherchent l’immortalité par le biais des machines, de l’IA (Intelligence Artificielle) et du transhumanisme, après l’avoir illusoirement et vainement cherchée via l’alchimie incomprise et ne l’avoir toujours pas trouvée par le biais des manipulations génétiques. Leur présente quête est pareillement vouée à l’échec, car la matière elle-même n’est pas immortelle, mais périssable, limitée dans le temps et dans l’espace.

Pour espérer faire durer leur vie sur Terre, les mondialistes cherchent à se ménager un paradis confortable en réduisant la population terrestre à cinq cents millions d’individus (voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial), en contrôlant le climat (au moins selon leurs croyances par la diminution de la production de CO2 — dioxyde de carbone, voire par l’utilisation d’installations telles que HAARP), en parquant le commun des mortels dans les villes pendant qu’ils se réserveront les vastes territoires sauvages et la campagne, selon les vœux du Forum Économique Mondial et de l’Agenda 2030 de l’ONU. (Voir par exemple Le « Great Reset » n’est pas du complotisme, « L’Agenda 2030 » [vert] de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !, et But des Agendas 21 et 2030)

Pour mener à bien leur programme qui date de plusieurs décennies et même possiblement d’au moins quelques siècles (se le transmettant alors de génération en génération), ils disposent maintenant des ressources suivantes :

  • au moins 90 % de la finance mondiale ;
  • la mainmise sur les multinationales ;
  • le contrôle des médias « mainstream » (dominants) ;
  • les organismes internationaux qu’ils ont créés de manière non démocratique (ONU, OMS, OMC…) ;
  • l’appui des grandes institutions religieuses (le faux pape actuel étant par exemple un fervent promoteur du N.O.M., de la vaccination, de la réduction du CO2, etc.) ;
  • le contrôle de la médecine via les entreprises pharmaceutiques, l’OMS, la GAVI et les ordres professionnels des personnels de la Santé (médecins, infirmiers…) ;
  • le contrôle de la plupart des ressources minérales, pétrolières et énergétiques exploitées, au moins dans les pays sous leur influence directe, éventuellement par la corruption des hommes politiques lorsque ces ressources sont étatiques ;
  • même chose pour les ressources agroalimentaires, de plus en plus d’agriculteurs et de petits producteurs étant réduits à la faillite ou au suicide ;
  • le contrôle des juges les plus influents (par le chantage, les menaces de mort ou la corruption), spécialement au niveau des plus hautes juridictions nationales et internationales ;
  • etc. ?

Connaissant les caractéristiques fondamentales et les forces du Nouvel Ordre Mondial, quelles stratégies, méthodes et actions ont des chances d’aboutir ? Si le point de vue exposé plus haut est réaliste, alors ce seront celles qui respectent le mieux le principe de moindre action et l’art de la guerre qui en découle en ce qui concerne la gestion victorieuse des conflits (dans le cas, comme ici, où il n’existe pour l’instant aucune conciliation possible, tant et aussi longtemps qu’il n’apparaîtrait pas un conciliateur d’envergure et d’impartialité suffisantes pour être reconnu par les deux parties en conflit).

Et elles devront bien sûr pouvoir être menées réellement par les résistants, c’est-à-dire qu’elles devront d’abord compter sur leurs propres ressources qui sont dérisoires sur le plan matériel par rapport à celles de l’adversaire. Chercher à l’affamer, comme il avait été notamment proposé dans Ne plus nourrir la Bête, demanderait beaucoup trop de temps et de cohésion internationale pour être réaliste à ce stade de la situation. Le gros monstre plein de graisse tiendrait bien plus longtemps que les petites bestioles malingres à un tel jeu. Ces dernières ne peuvent guère non plus espérer pouvoir voler la nourriture du premier, car elles auraient bien plus de chances de se faire écraser face à la puissance de feu de l’assaillant lors de toute tentative d’un tel ordre. Alors quoi d’autre, lorsque l’on dispose de peu de ressources face à un puissant adversaire ?

Pour le Nouvel Ordre Mondial, la lutte est apparemment très facile, au point que ses promoteurs et ses agents ne se cachent même plus (voir Nos bourreaux ne se cachent même plus ! et Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus). En cas de tentative de rébellion de la populace, ils n’ont qu’à viser les têtes et les décapiter. Sans leader, la résistance devient aussi forte et opérante qu’un poulet sans tête. Cependant, il existe diverses stratégies en cas de conflit asymétrique, comme c’est le cas de la présente guerre menée par l’élite contre l’Humanité. L’une d’elles est la guérilla, mais encore une fois, c’est une approche longue et nous n’avons plus le temps pour ce genre de chose. De plus, habituellement la guérilla n’a des chances de succès que si elle s’appuie sur une aide étrangère ou à la rigueur sur l’ensemble de la population opprimée. Ici, l’équivalent du support étranger serait une aide extraterrestre ou surnaturelle. Aucune de ces deux sortes n’est pour l’instant visible à l’horizon. Quant au soutien du peuple, avec les deux tiers en état hypnotique pro N.O.M., il est plutôt vain de le chercher.

Oublions la guérilla et la tentative d’affamer ! Ne comptons pas trop non plus sur les approches juridiques alors même que la justice est probablement aussi corrompue que le monde politique et les médias, et qu’en plus l’adversaire peut s’ingénier à faire durer les procédures et à jouer sur les myriades de lois pour aboutir au final à un non-lieu. Quoi d’autre ? Eh bien il existe aussi la stratégie de certains arts martiaux, comme le Judo, qui consiste à retourner la force de l’adversaire contre lui. La technique est voisine de l’effet de levier et fait purement appel aux lois physiques de la mécanique. On utilise par exemple l’élan de l’adversaire pour le déséquilibrer ou pour dévier ses coups et les rendre inopérants, voire retournés contre lui-même. Les deux forces principales de l’adversaire dans la phase actuelle du conflit sont les médias qui sont utilisés par l’« hypnotiseur », contrôleur mental des foules, et la théorie virale qui donne le crédit à l’hypnose par sa justification des pseudo vaccins. (Voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin)

Retourner les médias contre l’adversaire nécessite de parvenir à d’abord retourner certains journalistes mainstream, ceci grâce à une relativement grande puissance démonstrative déjà présente dans de nombreux médias alternatifs. Cela ne peut bien sûr fonctionner que sur des journalistes, assez rares, qui ne soient pas déjà hypnotisés et qui ne soient pas non plus corrompus. Et il faut sans doute aussi qu’ils soient prêts à perdre leur emploi. Ce n’est pas gagné. Et ça peut aussi prendre du temps pour atteindre un pouvoir d’influence suffisant dans ces médias dominants. Quant à convaincre du caractère possiblement ou probablement frauduleux et fallacieux de la théorie virale, ceci relève pour l’instant de « Mission impossible », au moins tant et aussi longtemps qu’un nombre significatif de médecins et/ou de chercheurs en médecine ne se penchent pas sérieusement et sans a priori sur la question.

Si l’on peut difficilement actuellement attaquer l’idée germe utilisée pour engendrer la psychose de masse Covid (à savoir l’existence d’un méchant virus qui leur donne une explication de leur angoisse existentielle), est-il possible de renverser cette sorte d’hypnose collective d’une autre manière ?

Annuler une hypnose se fait plus simplement par l’hypnotiseur lui-même. Cependant, comme ici ce dernier est l’assaillant, il n’a aucun intérêt à détruire son arme. Par contre, un autre hypnotiseur peut éventuellement produire une contre hypnose, c’est-à-dire implanter de nouvelles instructions ou croyances dans l’esprit de l’hypnotisé, mais dans ce cas il ne vaut pas mieux que son adversaire qui a perdu tout sens moral. Toute hypnose ou intervention similaire devrait se faire, comme pour tout acte médical, avec un consentement libre et éclairé du patient. Donc, oublions aussi cette possibilité ! Néanmoins, le réveil d’une hypnose peut aussi être produit par un choc salutaire du genre d’une douche froide ou par un bruit soudain qui fait sortir l’individu de sa torpeur. Une conséquence probable est alors malheureusement un état de déséquilibre psychologique plus ou moins marqué, l’individu perdant son centrage ou son alignement intérieur entre ses différentes composantes de personnalité (physiques, émotionnelles et mentales). Le « charme » est rompu, mais rien n’est venu le remplacer. Ce n’est guère mieux.

Revenons maintenant à la proposition de Bernard. Elle revient à utiliser les médias contre le Système, en permettant à ce type de démonstration d’être largement connu, un peu comme au temps initial des Gilets Jaunes. Elle coûte peu d’énergie et se trouve reliée au phénomène de résonance évoqué plus haut, par son côté cyclique (la répétition de l’action chaque jour à heure fixe). Cependant, pour être efficace et agir dans un sens de réveil de l’hypnose, le « bruit » provoqué, la parole prononcée, le discours proposé… doit être porteur d’un message fort, capable d’offrir une meilleure réponse que le virus à l’angoisse existentielle, au vide intérieur ressenti par les individus… Les participants doivent eux-mêmes éviter tout signe reliant au mensonge colporté par l’hypnotiseur et doivent dont refuser masque, distanciation et confinement, au moins à l’heure de leur démonstration. Sortir alors dehors et s’y réunir à plusieurs qui se serrent les coudes ou se tiennent par la main et non masqués pendant qu’une partie d’entre eux tape sur des casseroles ou joue du tambour en rythme aurait sans doute plus de poids qu’isolés sur des balcons. Reprendre en chœur la chanson des partisans (par exemple, ou un chant équivalant qui puisse être porteur d’au moins une partie du message à passer) serait sans doute mieux que des casseroles et des tambours ou pourrait accompagner ces derniers. (Voir aussi Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !). Bien sûr l’efficacité potentielle de cette approche sera au moins proportionnelle au nombre de participants.

L’approche qui vient d’être succinctement présentée réunit plusieurs éléments compatibles avec l’art de la guerre, particulièrement contre un adversaire à la puissance disproportionnée. Si elle implique un nombre suffisant de Français (ou d’autres nations), elle pourrait à un moment donné aussi être suivie d’une autre démonstration de grande ampleur qui elle serait la preuve d’une cohésion suffisante de la Résistance, comme proposé dans l’article France — Une croix pour faire tomber le régime. Les personnes qui trouvent l’idée intéressante et faisable gagneront à rapidement se contacter pour organiser concrètement les premières démonstrations et si possible simultanément dans plusieurs villes de France. Il n’est probablement pas nécessaire que chaque jour cela dure plus de 30 minutes, voire même plus de 10.


Note : par ailleurs, ce n’est pas parce que certaines actions semblent bien moins efficaces que d’autres et ont peu de chances a priori d’aboutir à des résultats concrets qu’il faut pour autant y renoncer si l’on sent devoir les mener à bien. Il est déjà arrivé de nombreuses fois dans l’Histoire humaine où une réussite est intervenue (dans un projet donné ou lors de la tentative de relever un défi particulier), ceci même contre toute attente.