La recherche scientifique du magnésium perdu

[Source : E&R]

Par Béa Bach

Dans un élan d’optimisme spontané, nous adhérons à l’idée que la science et les progrès technologiques qui en découlent profitent à l’ensemble de la population. Pourtant l’efficacité est loin d’être toujours au rendez-vous sur des sujets simples et pratiques. Ce que le grand public ne sait pas, c’est que la médecine de la preuve, qui s’appuie sur le prestige des essais en double aveugle, aboutit souvent à une impasse1. Beaucoup de ces essais coûteux se sont montrés incapables de servir la pratique médicale quotidienne. À tel point que l’on peut aujourd’hui légitimement se demander si, en définitive, nous n’aurions pas là une déclinaison de l’art d’enfoncer des portes ouvertes. Une récente étude publiée dans Nutrients2 servira à la fois de petite révision naturopathique sur les vertus du magnésium — toujours utile dans l’optique d’une prise en charge autonome de sa santé — et d’illustration de la déconnexion de la recherche médicale des besoins concrets des malades et des médecins.

Un carrefour de bonne santé

Le magnésium est un oligo-élément vraiment essentiel, puisqu’il ne régule pas moins de 80 % des fonctions métaboliques connues. Il participe à des centaines de réactions enzymatiques qui garantissent le bon huilage des différents rouages de nos fonctions corporelles. Ainsi, le magnésium joue un rôle majeur dans le transport du calcium et du potassium, et la signalisation cellulaire, c’est-à-dire la communication des cellules entre elles pour coordonner leur action. Le magnésium intervient aussi dans le métabolisme énergétique permettant au corps de produire son énergie à l’échelle de la cellule. Il participe encore à la stabilité du génome, ainsi qu’au processus de réparation et de réplication de l’ADN. Alors que plus d’une personne sur deux ne couvre pas ses besoins journaliers en magnésium, maîtriser l’apport et l’absorption du magnésium est donc essentiel en santé humaine. Il fallait bien que la science s’empare de la question.

De l’étude des causes de sa raréfaction

À l’échelle agricole, l’évolution des modes de cultures a considérablement appauvri les sols en minéraux naturels, et en particulier en magnésium. L’utilisation d’engrais à base de phosphate est connue pour générer la production de complexes de phosphate de magnésium, insolubles dans l’eau, qui prive le sol à la fois de phosphore et de magnésium. La recherche du rendement maximum a eu également un effet néfaste sur la teneur en magnésium des fruits et surtout des légumes, qui en ont ainsi perdu 80 à 90 % en un siècle. Déjà dans les années 1930, le74e Congrès des États-Unis avait tiré la sonnette d’alarme en alertant sur la pénurie de magnésium et d’autres minéraux dans certains produits3. Les sources alimentaires, qui sont pourtant nombreuses, ne suffisent donc pas. Les aliments les plus riches en magnésium sont les légumes verts à feuilles (78 mg/portion), les fruits à coque (80 mg/portion) et les céréales complètes (46 mg/portion), mais la recherche montre qu’aucun de ces aliments ne représente un pourcentage suffisamment élevé, ni n’est consommé de manière suffisamment régulière, pour assurer un apport adéquat en magnésium.

Cette teneur réduite dans les matières premières alimentaires se complique ensuite par leur transformation industrielle, par l’abandon du cuisiné maison et l’extension de la junk food [malbouffe]. En effet, la carence s’aggrave avec l’augmentation de consommation d’aliments « usinés ». Les céréales blanches, c’est-à-dire raffinées, ainsi que la cuisson des légumes, pourraient entraîner jusqu’à 80 % de perte en magnésium. Les sodas, riches en acide phosphorique, ainsi que des taux élevés de phytates, de polyphénols et d’acide oxalique dans certains aliments contribuent au problème, en raison de leur pouvoir chélateur. La réduction des protéines dans la ration alimentaire aggrave encore le problème. L’eau du robinet contient une bonne dose de magnésium, mais le fluor gêne son absorption par production de complexes insolubles. Le recours à des systèmes de filtration — pour d’excellentes raisons — concourt malheureusement au même phénomène. La consommation de café et d’alcool augmente de son côté l’excrétion rénale du magnésium, tout comme les diurétiques4. Pour finir, certains médicaments ont un effet délétère sur l’absorption du magnésium, en particulier les antiacides en raison de l’augmentation du pH du tractus gastro-intestinal5, les antibiotiques6, ou les contraceptifs7.

Considérations anatomiques

Pourtant, à la différence d’autres minéraux, le gros intestin dans son intégralité assure l’absorption du magnésium, dans des proportions différentes toutefois. Mais le mécanisme d’absorption est si complexe que l’article explique qu’« une grande confusion règne dans la littérature ».

Deux types de transports, actif et passif en assurent la fonction. La science sait particulièrement bien les décrire :

« Lorsque les concentrations intestinales de magnésium sont plus faibles, un mécanisme de transport transcellulaire et saturable prédomine et repose sur un transporteur actif, les TRPM6 et TRPM7 […] Les TRPM6 et TRPM7 sont très sensibles aux niveaux de magnésium intracellulaire, ce qui entraîne l’inhibition et la saturation du transport transcellulaire à des concentrations de magnésium plus élevées, l’absorption du magnésium étant alors dominée par le transport paracellulaire. »8

Absorption et stockage d’une grande complexité

À cela s’ajoutent des problèmes d’absorption et de solubilité, liés à la forme de magnésium utilisée (sel inorganique, sel organique, etc.). Une fois absorbé, le magnésium est distribué dans tout l’organisme pour être utilisé. La zone la plus importante de magnésium stocké reste les os. D’autres facteurs jouent un rôle dans l’homéostasie du magnésium, comme la fonction rénale, puisque 5 à 70 % du magnésium filtré peut être excrété dans les urines, en fonction de variables en constante évolution (alimentation, régulation hormonale, mobilisation à partir des os et des muscles, prises médicamenteuses). Il faut rajouter à cela la variable du sexe, puisque les œstrogènes améliorent l’utilisation du magnésium, en favorisant son absorption par les tissus mous et durs. C’est ce qui fait que les femmes jeunes retiennent mieux le magnésium que les hommes, surtout en période ovulatoire, ou quand elles prennent la pilule. L’indice de masse corporelle (IMC) peut également affecter le statut en magnésium, en particulier chez les femmes et les enfants. L’article nous apprend qu’il a été démontré que les patients considérés comme obèses (IMC ≥ 30) consomment moins de magnésium et ont un statut en magnésium réduit par rapport à des témoins non obèses du même âge.

Le verdict de la science

La science admet que tous ces paramètres sont trop difficiles à maîtriser, et qu’ils sont susceptibles par conséquent de fausser les études sur le magnésium humain. Bien que beaucoup d’études aient été menées, il n’a pas non plus été possible pour la recherche de trancher sur le compartiment du sang qui serait le mieux à même d’évaluer le déficit en magnésium : sang, urine, matières fécales, épithélium, ou salive. Ainsi, aucun biomarqueur de la carence en magnésium, commercialement viable et sans ambiguïté, n’a pu être identifié ni validé. La recherche scientifique de la maîtrise des taux de magnésium dans le corps a fait chou blanc.

L’article conclut que les études cliniques sur la supplémentation en magnésium chez l’homme sont difficiles à extrapoler et à interpréter. Selon une tournure souvent utilisée dans les publications scientifiques, la recherche sur le magnésium est décrite comme « loin d’être complète » et « les conclusions qui ont été tirées sont loin d’être claires ».

Que faire en pratique ?

Le déficit en magnésium est associé à de nombreuses maladies, notamment l’hypertension, les maladies coronariennes, le diabète, l’ostéoporose ou les troubles neurologiques. Si aucun test de laboratoire standardisé n’est capable de décrire avec précision l’état du magnésium, alors nous ferons sans ! C’est-à-dire que nous ferons comme nous avons toujours fait. Un patient qui s’alimente mal, en consommant par exemple trop de sodas, de café ou d’aliments transformés, qui utilise des médicaments néfastes pour le magnésium (diurétiques, antiacides, contraceptifs oraux, etc.), qui de surcroît est malade (cardiopathie ischémique, diabète ou ostéoporose), et qui se plaint de crampes dans les jambes, de troubles du sommeil ou fatigue chronique, est un bon candidat. Il doit tout à la fois changer son mode de vie, et prendre du magnésium.

Loin des essais randomisés coûteux, l’importance de se supplémenter avait été démontrée par le docteur André Gernez à la fin du siècle dernier. Le docteur Gernez — dont Wikipédia nous dit dès la première phrase qu’il est un charlatan9 — avait pourtant étudié la relation entre la carence alimentaire en magnésium en raison de l’appauvrissement des sols, et les records de cancérisation dans les pays où elle sévissait, comme la Belgique par exemple. On peut remarquer que l’article de Nutriens a fait l’impasse sur un autre facteur important corrélé au magnésium : l’alcoolisme. Notre charlatan français, sans études en double aveugle, avait mis en évidence le lien entre le manque de magnésium, l’alcoolisme et la pathologie cancéreuse.

« En France, les régions détenant le record de mortalité cancéreuse sont aussi celles qui détiennent le record de mortalité par cirrhose alcoolique. Le lien procède du fait que l’alcoolisme engendre deux facteurs favorisant essentiellement les cellules cancéreuses : l’hypomagnésinémie — c’est-à-dire la perte de fixation de magnésium — et l’alcalose. On comprend la relation qui lie les mortalités alcoolique et cancéreuse. » (Jean-Claude Meuriot & Jacques Lacaze10)

Conclusion

Alors que la référence à la science est devenue aux yeux de tous une sorte de label de qualité, la réalité est moins reluisante. Les essais se perdent souvent dans un labyrinthe de questions de détails et de réponses inutiles, non pas à la connaissance en général, mais à celui en particulier qui cherche seulement à améliorer la santé de ses patients. L’appréciation d’une chose aussi complexe que la vie, au sein de laquelle l’équilibre de toutes les fonctions du corps humain reste fragile, n’est pas — il faut sans cesse le rappeler — réductible à une équation mathématique. La conclusion de cette longue étude sur le magnésium se termine par le conseil d’« augmenter les fourchettes » et de tenir compte des paramètres individuels. Soit, en d’autres termes, faire son travail de clinicien par l’interrogatoire et le suivi. Puisqu’on pouvait offrir cette sage conclusion pour beaucoup moins cher, la recherche scientifique du magnésium perdu revient, en somme, à tuer une mouche avec un canon…


Notes

1 « The comparison of observational studies and randomized, controlled studies » New England Journal of Medicine, 2000

2 « Challenges in the Diagnosis of Magnesium Status », Nutrients sept 2018

3 Senate Document 264, 74th Congress, 2nd Session, 5 June 1936

4 Dørup I. Magnesium and potassium deficiency. Its diagnosis, occurrence and treatment in diuretic therapy and its consequences for growth, protein synthesis and growth factors. Acta Physiol. Scand. Suppl. 1994 ; 618:1–55.

5 William J. H., Danziger J. Magnesium Deficiency and Proton-Pump Inhibitor Use: A Clinical Review. J. Clin. Pharmacol. 2016; 56:660–668. doi: 10.1002/jcph.672

6 Polk R. E. Drug-drug interactions with ciprofloxacin and other fluoroquinolones. Am. J. Med. 1989; 87:S76–S81. doi : 10.1016/0002-9343(89)90028-4

7 Dante G., Vaiarelli A., Facchinetti F. Vitamin and mineral needs during the oral contraceptive therapy: A systematic review. Int. J. Reprod. Contracept. Obstet. Gynecol. 2016; 3:1–10. doi: 10.5455/2320-1770.ijrcog20140301

8 « Challenges in the Diagnosis of Magnesium Status», Nutrients sept 2018

9 https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Gernez

10 Pour une politique publique de prévention active des cancers, les propositions du docteur André Gernez, Jean-Claude Meuriot & Jacques Lacaze, Éditions de la Renaissance, 2012.




La biochimie ésotérique démystifie la varicelle et d’autres maladies à boutons rouges

[Sources : Objets Perdus (VF) et Spacebusters]

Nous examinons en profondeur les causes biologiques, mentales et environnementales des maladies dites à boutons rouges comme la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la diphtérie, la scarlatine et les soi-disant MST, dont on prétend à tort qu’elles sont causées par des bactéries contagieuses et nocives ou par des virus théoriques.

Nous montrons également la biochimie du corps qui est à l’origine de ces maladies tissulaires et comment elles peuvent être guéries en toute sécurité, rapidement et facilement ou évitées grâce aux sels de tissus cellulaires.

Nous vous révélons également l’un des plus grands secrets du monde… les anciens connaissaient le fonctionnement interne et les subtilités de notre corps mieux que la science moderne et ont encodé cette science PHYSIQUE dans une série d’allégories et de paraboles que nous appelons astrologie, religion, franc-maçonnerie, mythologie et qu’ils appelaient les écoles du mystère et la biochimie ésotérique ou l’alchimie.

Ce ne sera plus un mystère pour vous, cher téléspectateur, et seuls leurs membres les plus haut placés sont informés de ce que vous êtes sur le point de voir. Attachez vos ceintures, cela va choquer beaucoup de gens, c’est compréhensible, et sautez les 40 dernières minutes si vous ne voulez que les remèdes et pas les connaissances ésotériques.

[Voir aussi :
La Nouvelle Biologie (évoquée en début de vidéo, vers 0:04:00)
Les Mythes de la Rougeole
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Épidémies et contagions
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
et les autres articles du dossier Vaccins et virus.
NDLR La partie relative à l’astrologie resterait probablement à démontrer (ou à réfuter) scientifiquement de manière suffisamment rigoureuse. Elle apparaît autrement comme purement spéculative.]



Certaines des références




Les Mythes de la Rougeole

[Source : @ObjetsPerdus]

[Voir aussi :
Go Virus Go ! pour les détails de l’affaire évoquée dans la vidéo suivante.
Commentaires sur le VIH de Montagnier par le groupe de Perth évoqué en fin de vidéo.]






Septembre 2001 aux États-Unis : analyse physique des évènements

Par Christian DARLOT

Résumé :

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François ROBY, enseignant-chercheur en Physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due, mais qui n’a pas souhaité s’associer à cette nouvelle publication.

Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

Table des matières

  • 1 Pas d’avion

    • 1.1 Pas d’avion à Manhattan

      • 1.1.1 Absence de preuve matérielle
      • 1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias
      • 1.1.3 Illusion de la mémoire
      • 1.1.4 Impossibilité mécanique
      • 1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

    • 1.2 Pas d’avion au Pentagone

  • 2 Destruction de trois gratte-ciel

    • 2.1 Structure des immeubles
    • 2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?
    • 2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7
    • 2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

      • 2.4.1 Incendies de bureau
      • 2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel
      • 2.4.3 Explosions et effondrement
      • 2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur
      • 2.4.5 Déblaiement des ruines

    • 2.5 Fausseté de l’explication officielle

  • 3 Explosions nucléaires souterraines

    • 3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires
    • 3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction
    • 3.3 Destruction des tours de Manhattan

  • 4 Conclusions

Les attentats du 11 septembre 2001, à Manhattan et au Pentagone, ont déclenché plus de 20 années de guerre au Proche-Orient, la mort violente ou l’exil de millions de personnes, et la ruine de plusieurs États. Ce désastre se prolonge par la guerre en Ukraine et le génocide en Palestine. Identifier l’origine de ces attentats est donc capital pour comprendre et anticiper l’évolution des relations internationales. Mais le rapport officiel des pouvoirs publics étasuniens présente tant de lacunes et d’impossibilités physiques qu’il n’explique rien. Pourtant le choc d’un avion contre un immeuble et l’effondrement d’une tour sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux 1 une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des évènements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’attentat du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie. 2

Selon un principe fondamental de tout débat, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des évènements.

1 Pas d’avion

1.1 Pas d’avion à Manhattan

Le premier souvenir gravé dans les mémoires est celui d’évènements qui n’eurent pas lieu : les frappes de deux avions contre les plus hautes tours de Manhattan.

Nul avion ne frappa ces tours.

Apparemment surprenante, cette affirmation est prouvée par les faits : l’absence de preuve matérielle, le trucage des vidéos, et l’impossibilité physique pour un avion de voler vite à basse altitude, de percer un immeuble et d’y disparaître entièrement.

1.1.1 Absence de preuve matérielle

Un des rares débris trouvés à Manhattan fut un moteur… mais il n’était pas d’un modèle équipant les avions prétendument entrés dans les tours. 3 Des quatre « boîtes noires » (deux par avion) enregistrant les informations sur le vol, pas une ne fut retrouvée. 4 La seule pièce à conviction trouvée dans la poussière d’acier et de béton couvrant les rues fut un passeport miraculeusement intact. 5 Ignifugé ? Jeté par la fenêtre de l’avion, en souvenir, avant le choc ? 

Le rapport officiel conclut donc logiquement que nul indice matériel ne prouve l’identité des avions supposés avoir frappé les tours.

1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias

Les vidéos diffusées, et encore disponibles sur Internet, se classent en deux catégories :

1/ Celles diffusées au moment même montrent, sur des images de mauvaise qualité, des silhouettes d’avions à contre-jour, entrant en entier dans les tours sans ralentir. Sur plusieurs vidéos, une silhouette disparaît derrière la tour sud puis pointe le bout de son nez de l’autre côté (ce que les analystes de ces images ont nommé « le nez de Pinocchio »), comme si l’avion l’avait traversée toute entière sans se déformer : un carreau d’arbalète. Montage bâclé, par incrustation d’images en quasi-direct grâce à un tampon de quelques dizaines de secondes rendant le trucage possible, mais hâtif. Aussitôt après cette séquence bizarre, l’image est interrompue pendant une fraction de seconde (un « écran noir »), comme si un technicien, conscient de la bévue, avait voulu la minimiser en interrompant la retransmission. 6

Le jour même, les chaînes de télévision dégagèrent leur responsabilité en plaçant dans les images un encart « By courtesy of… », signalant que ces vidéos n’avaient pas été faites par leur personnel, mais par des personnes extérieures. 7 Cette précaution disparut ensuite.

La vitesse mesurée de l’avion censé avoir frappé la tour sud est proche de 900 km/h8, la vitesse de croisière normale à 10 000 mètres d’altitude, où l’air est trois fois moins dense qu’à la basse altitude où ces avions sont censés avoir volé pour échapper aux radars. Quoique les coefficients de sécurité mécanique en Aéronautique soient d’au moins 3, à une telle vitesse, au niveau de la mer, la structure d’un avion ne pourrait encaisser longtemps les contraintes aérodynamiques et se disloquerait, comme l’association « Pilots for 9/11 Truth » l’a montré. 9

2/ Les vidéos diffusées au cours des jours et semaines suivants, « filmées par des amateurs » tous en lien avec les métiers de l’audiovisuel, sont de meilleure qualité grâce à un temps de calcul plus grand, mais la trajectoire d’un même avion et sa vitesse varient d’une séquence à l’autre. Les avions paraissent encore absorbés par les tours, sans bris d’ailes ni chute de débris.

Traitement des images par incrustation

Ces images sont des montages par incrustation vidéo. Cette technique, désormais à la portée des amateurs (les téléphones portables permettent des effets très divers, même au cours de simples conversations vidéo), était récente en 2001 pour du quasi-direct, et peu connue du grand public. Ces silhouettes d’avions passe-murailles sont impossibles dans le monde réel, mais familières aux connaisseurs de dessins animés.

1.1.3 Illusion de la mémoire

Les silhouettes des avions furent incrustées, mais des explosions eurent bien lieu. 10 Les rues de Manhattan sont larges, ce ne sont pas des ruelles, mais les tours sont hautes par rapport à la largeur des rues. Les passants ne virent donc que des flammes et de la fumée, et pour comprendre ce qui se passait regardèrent les chaînes de télévision diffusant les films truqués. 11 Témoins des explosions, ils crurent de bonne foi avoir vu la frappe des avions. 12

Illusion psychologique classique.

1.1.4 Impossibilité mécanique

Afin qu’il soit léger, un avion est un tube creux en tôle d’alliage d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur, rivetée sur une armature aussi en alliage d’aluminium. Un avion ne peut pénétrer sans déformation visible dans une tour pour une raison simple : le principe des actions réciproques, ou d’égalité de l’action et de la réaction, ou « troisième loi de Newton », valide en statique et en dynamique.

En statique : le haut d’un immeuble pèse sur le bas, et en retour le bas exerce vers le haut une force de soutien égale au poids du haut. La somme est nulle, et l’immeuble reste en équilibre.

En dynamique : lorsque deux objets se heurtent — par exemple deux billes, ou une balle contre un mur —, chacun exerce une force sur l’autre, et ces forces sont égales, mais de sens opposés. Lors du choc d’un avion contre une tour, la partie de l’avion heurtant la façade exerce une force, et la façade exerce sur cette partie de l’avion une force opposée et égale.

Ce principe détermine les lois de résistance des matériaux. Tout outil de découpe doit être plus dur que le matériau qu’il entame. Ainsi, une fraise en acier peut découper du duralumin (un alliage d’aluminium et de cuivre employé en construction aéronautique) parce que l’acier est plus dur que le duralumin. 13 L’effet du choc de deux objets dépend des duretés relatives des matériaux, et celle des aciers de construction est plus grande que celle des alliages aéronautiques. 14 L’analyse détaillée du choc de deux objets non pleins, comme la structure tubulaire d’un avion de ligne et le treillis de poutres d’un gratte-ciel, nécessite des notions précises de Mécanique15, mais dans le cadre de ce principe général.

En Physique comme en tout domaine, les principes généraux déterminent les lois particulières.

Selon le principe fondamental de la dynamique, ou « deuxième loi de Newton », le changement de vitesse d’un objet en mouvement est proportionnel à la force exercée sur lui. 16 L’observation des images vidéo permet d’estimer la décélération de l’avion au moment de la collision supposée. Or la silhouette d’avion ne ralentit pas, ni ne se déforme, pendant qu’elle traverse la façade. La décélération serait ainsi très faible, et donc la force aussi. Puisque les forces exercées par l’avion sur la façade, et par la façade sur l’avion, sont opposées et d’égales intensités, une force très faible aurait causé à la façade les dégâts spectaculaires que le monde entier a vus ! Un avion, un tube en aluminium, aurait pu briser un réseau de poutres en acier sans se déformer, ni même ralentir, sans que les ailes ne se brisent ni même se plient !

Cette impossibilité pour un avion de briser un réseau de poutres en acier sans se déformer est indépendante de l’énergie cinétique (égale au produit de la masse par le carré de la vitesse). Certes, plus l’énergie cinétique est grande, plus graves sont les dégâts, mais, quelle que soit la vitesse, l’objet le moins dur est plus déformé que l’objet le plus dur. 17 Si une canette de soda vide est lancée, même très vite, contre la grille de la Préfecture, la grille sera-t-elle brisée ? Une balle de ping-pong troue-t-elle une raquette sans se déformer ? 18

1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

Le réseau de poutres en acier constituant la structure extérieure des tours avait été conçu pour résister aux tempêtes et au choc d’un avion de ligne. 19 Cette contrainte réglementaire fut dictée par l’expérience : par un jour de brume, le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 heurta l’Empire State Building. La force subie par l’avion dépassa le seuil de résistance d’un tube en aluminium ; il s’écrasa contre la façade, les ailes et la carlingue tombèrent dans la rue, et seules des parties dures des moteurs et du train d’atterrissage trouèrent la façade. Les trois hommes de l’équipage, et onze personnes travaillant dans l’immeuble furent tués. L’incendie fut maîtrisé en trois quarts d’heure. Cette fois, un avion réel frappa un immeuble à une vitesse conforme aux lois de l’Aéronautique, et l’accident respecta les lois de la Physique et du bon sens. 20 Quant à l’Empire State, tel le Veau d’Or, il est toujours debout ; merci d’avoir pris des nouvelles de sa santé.

En résumé :

– Des explosions se produisirent.

– Nulle preuve matérielle de la présence d’avions à Manhattan ne fut jamais trouvée.

– Selon les lois de la Mécanique, un avion ne peut pas frapper un immeuble sans ralentir ni se déformer, ne peut pas entrer dans l’immeuble, et encore moins le traverser de part en part.

– L’expérience prouve qu’un avion s’écrase contre une tour, mais ne la transperce pas, et que la plupart des débris tombent au sol.

– Les vidéos montrant la disparition complète d’un avion dans une tour sont des montages.

Conclusions : nul avion ne frappa les tours de Manhattan ; les explosions furent déclenchées de l’intérieur des immeubles ; les auteurs des vidéos étaient connus des chaînes de télévision.

1.2 Pas d’avion au Pentagone

Nul avion ne frappa non plus le Pentagone. 21 Les photographies ne montrent, sur la pelouse devant la façade, qu’un seul débris métallique, inidentifiable, mais ni bagages éparpillés, ni kérosène en flammes. La fumée noire résulte de la combustion d’un camion.

Un avion de ligne ne peut faire de virage serré comme un chasseur et ne peut rester en rase-mottes sur 600 mètres. 22 Il lui est plus difficile encore de replier les ailes comme une chauve-souris qui se suicide. Le Pentagone n’est pas plus haut qu’un immeuble haussmannien, 23 mètres, et un Boeing 757-200 n’est pas un tapis volant. Faire entrer entièrement un avion de 12 mètres de haut, 47 mètres de long et 38,50 m d’envergure dans un trou de 6 mètres de diamètre, au rez-de-chaussée d’un bâtiment, c’est un exploit technique révolutionnaire. Puisqu’aucun débris ne fut trouvé, les ailes et le train d’atterrissage se seraient évaporés, l’alliage d’aluminium se serait vaporisé (température nécessaire : 3000 °C) et l’alliage très résistant des moteurs se serait sublimé, mais le nez en fibre de carbone aurait percé six épaisseurs de murs. 23 Physique innovante !

Les environs du bâtiment étaient dans le champ de 85 caméras de surveillance, mais seulement quelques images peu nettes ont été publiées. 24 Une tache blanche, oblongue, fugace, peut suggérer un missile tiré d’un avion et des témoins affirmèrent avoir entendu un sifflement strident. 25 Pour échapper aux batteries antiaériennes automatiques, un missile doit être détecté comme « ami ». Autre possibilité, des explosifs auraient été placés dans le bâtiment lors des travaux de rénovation récemment achevés. 26 Des photos prises avant l’écroulement de la façade montrent en effet des débris tombés hors du bâtiment, indiquant une explosion à l’intérieur. Dans les deux cas, des complicités au Pentagone auraient été nécessaires.

L’incendie au Pentagone fut vite éteint par les pompiers. Les Tours Jumelles et le Pentagone étaient certes des bâtiments très différents, mais les mêmes projectiles supposés — des avions de ligne contenant du kérosène — auraient-ils déclenché un feu infernal dans des tours très robustes et un petit incendie dans un bâtiment, certes solide, mais classique ?

En résumé :

– Nulle trace matérielle ne prouve la présence d’un avion.

– Un avion de ligne ne peut effectuer la manœuvre supposée.

– Un avion ne peut entrer (ailes comprises !) dans un trou de 6 m de diamètre.

– Un missile aurait été nécessairement « ami ».

– Les travaux récemment terminés pourraient avoir permis d’installer des explosifs.

Conclusion : nul avion ne frappa le Pentagone.

2 Destruction de trois gratte-ciel

2.1 Structure des immeubles 

La majeure partie de la masse des tours WTC1, WTC2 et WTC7 était constituée d’acier de construction et de béton léger utilisé dans les planchers, et n’était donc pas combustible. Selon le NIST, chacune des tours jumelles contenait 87 090 tonnes d’acier de construction. 27 La masse en service du WTC1 était d’environ 290 000 tonnes (2,9 × 10kg), en accord à la masse par unité de surface de plancher de bâtiments similaires. 28

Dans la plupart des gratte-ciel, tous les étages ont les mêmes dimensions, mais ceux du bas supportent ceux du haut. Cette évidence implique que la structure porteuse est plus robuste en bas qu’en haut. La contrainte de stabilité que la forme de la Tour Eiffel rend bien visible est cachée par l’apparence parallélépipédique des immeubles-tours. 29

Schématiquement, les tours de Manhattan étaient constituées de deux structures emboîtées, et solidarisées au sommet tour par un « chapeau » très résistant :

1/ La structure intérieure, de plan rectangulaire, contenant les cages d’escaliers et les ascenseurs, mesurait 26,5 mètres sur 41 mètres et était constituée, de la base jusqu’au sommet de la tour, de 47 colonnes reliées entre elles par des entretoises, et entourées de panneaux en gypse. Ces colonnes étaient des tubes en acier, de section carrée, typiquement de 35 cm de côté, et dont l’épaisseur des parois décroissait de bas en haut : 5 pouces (12,7 cm) pour les 5 étages les plus bas, 2,5 pouces (6,35 cm) pour les étages au-dessus, et décroissant progressivement jusqu’à ¼ de pouce (6,35 mm) pour les étages 102 à 110. Cette structure supportait 60 % de la charge verticale.

2/ La structure extérieure, de plan carré, supportait 40 % de la charge statique totale. Elle était constituée de 236 colonnes en acier, 59 sur chaque façade, du 6e au 107étage, espacées d’un mètre, encadrant des fenêtres de 60 cm de largeur. Les colonnes des cinq étages du bas étaient plus robustes, et plus espacées afin de permettre l’entrée dans les tours. Cette façade porteuse avait été construite par assemblage décalé de modules préfabriqués, constitués de 3 colonnes sur 3 étages, dont l’épaisseur des parois diminuait de bas en haut, comme dans la structure centrale. Dans la tour sud, au 81étage, niveau de l’explosion (de « l’impact de l’avion »), l’épaisseur était de 0,875 pouce (2,22 cm). Quand souffle un vent fort, la répartition des charges d’une tour varie, la charge dynamique étant alors asymétrique entre les façades. La façade au vent peut même être en tension, d’où l’usage de l’acier pour la structure, car les autres matériaux de construction (pierre, béton…) résistent bien en compression, mais mal en traction. Cette grille solide, en acier, ne peut avoir été traversée par un avion en alliage d’aluminium. 

Pour la sécurité, les colonnes centrales pouvaient supporter trois fois plus que le poids qu’elles ne supportaient réellement, et les colonnes périphériques cinq fois plus.

2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?

Quelques heures à peine après ces effondrements, l’ingénieur en génie civil Zdeněk Bažant les interpréta comme une propagation de la chute de quelques étages, interprétation illustrée par l’image de la « pile d’assiettes » : les étages des Tours Jumelles auraient été comparables à des assiettes accrochées aux structures porteuses — les colonnes du noyau central et de la façade. 30 Les attaches auraient pu supporter le poids d’un étage, mais pas celui de tous les étages situés au-dessus. Si une cause, telle qu’un incendie localisé au niveau des « impacts d’avions », faisait rompre les attaches de quelques étages, ces « assiettes » tomberaient sur celle du dessous, dont les attaches ne résisteraient pas au poids et à l’énergie cinétique des assiettes tombant, et se briseraient à leur tour. Les assiettes déjà décrochées tomberaient alors sur celle encore en dessous. De proche en proche, les assiettes se décrocheraient l’une après l’autre, et toutes dégringoleraient en cascade jusqu’en bas. Raisonnement juste, fondé sur une prémisse fausse : l’attachement d’étages rigides à quelques colonnes par des attaches fragiles.

En fait les étages des gratte-ciel sont solidaires de toutes les colonnes. Même en admettant l’image simpliste de plateaux accrochés à des structures porteuses, chaque plateau aurait été attaché aux 283 colonnes, et toutes les attaches n’auraient pu se rompre au même instant. 31 Une rupture soudaine est possible pour le béton et la maçonnerie, mais l’acier est un matériau déformable à haute température. Améliorés par des décennies de recherche scientifique et technique, les calculs de résistance au feu de l’acier permettent de prévoir le comportement des structures. 32 En regardant si les poutres se déforment, les pompiers peuvent anticiper un risque d’écroulement. Le résultat final de ces chutes en cascade eût d’ailleurs été un tas de « débris d’assiettes », tandis que les structures interne et externe seraient restées debout, tout au plus vacillant par manque d’entretoises. En réalité, une grande part de l’acier et du béton des tours fut réduite en poussière, et les décombres n’étaient pas des entassements de fragments de dalles. La théorie de la pile d’assiettes n’explique pas ces faits, et est incompatible avec les lois de la Physique. Pourtant de vaillants journalistes et de téméraires « experts » médiatiques tentèrent de faire admettre l’impossible. 33

À supposer que des colonnes de soutien aient été cisaillées et que des pans de plancher soient tombés, la résistance de la partie basse de l’immeuble aurait arrêté leur chute, selon le principe de conservation de la quantité de mouvement, car cette partie était plus grande et beaucoup plus massive que la partie haute, et soutenue par les fondations ancrées dans le sol. Tant que le bas resta solide, la force résistante exercée du bas vers le haut resta égale à la force exercée du haut vers le bas. Le haut de l’immeuble ne peut avoir écrasé le bas.

Le haut de l’immeuble n’écrasa pas le bas ; il est tombé parce que le bas ne le soutint plus.

La Physique n’est pas la magie, elle décrit la réalité sur laquelle elle est fondée. Il ne suffit pas, comme dans Harry Potter, d’émettre un vœu pour qu’il se réalise (même de travers). Certes l’Amérique est le continent de tous les possibles, mais les lois de la Mécanique ne s’appliquent-elles pas à Manhattan ?

2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7

Plusieurs heures après les attentats, des incendies s’allumèrent dans une troisième tour, n° 7, située à 150 mètres des tours jumelles, dont elle était séparée par un autre immeuble, et que nul avion n’était censé avoir frappée. Haute de 173 m (47 étages), elle était comparable à la Tour Montparnasse haute de 209 mètres (56 étages). Sa chute fut annoncée plusieurs heures d’avance, même par la télévision BBC, alors qu’elle était encore debout, son image bien visible sur l’écran derrière la présentatrice. Soudain, à 17 h 20, elle s’effondra tout entière en 12 secondes, sur sa base. Par solidarité avec ses grandes sœurs ? Pendant les premières secondes, elle tomba de trente mètres à la vitesse de la chute libre ; après l’avoir d’abord nié, même le NIST dut le reconnaître et admettre que la cause est inconnue. Mais le rapport officiel se contredit en affirmant d’abord « l’effondrement du WTC7 fut un effondrement progressif produit par des incendies » puis (sur la même page !) en mentionnant « une chute libre de la hauteur d’environ 8 étages, selon l’accélération de la pesanteur pendant environ 2,25 s ».

Comment une chute libre pourrait-elle être progressive ?

2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

2.4.1 Incendies de bureau

Le kérosène n’explose pas ; c’est pourquoi il est utilisé en aviation. À supposer même que des avions eussent frappé les tours, le kérosène aurait brûlé en un quart d’heure. Les réservoirs d’un Boeing 757 contiennent au plus 42 680 litres de kérosène, et selon le rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency Agence fédérale des situations d’urgence), chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène. Ce volume est celui d’un cube de 3,35 mètres d’arête, tandis que les deux tours mesuraient 63,4 x 63,4 x 415 mètres. Cinq tours Montparnasse chacune ! 34

Des incendies de bureau durèrent une heure dans la tour sud et une heure et demie dans la tour nord. La plus grande part de l’énergie dégagée par un feu chauffe l’air, d’où la faible efficacité d’un feu dans un âtre, dont la chaleur part surtout par le conduit de cheminée. La quantité d’énergie nécessaire pour atteindre une température donnée dépend de la nature et de la quantité de matériau à chauffer. 35 La température d’un incendie de bureau est 800-900 degrés Celsius. La température de fusion d’un alliage d’acier dépend de la composition chimique, mais reste proche de 1427 °C (1700 K). L’acier commence à mollir vers 600 °C, mais, en une heure, l’air chaud ne peut transmettre au cœur de poutres en acier, épaisses et ignifugées, une quantité d’énergie suffisante pour les ramollir. 36

En outre, une charpente métallique en réseau répartit la chaleur comme un radiateur, donc abaisse la température des poutres. Et comme la chaleur ne diffuse pas instantanément, les structures fléchissent asymétriquement et penchent d’un côté. Les effondrements dus à des incendies ne sont jamais symétriques.

2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel

En 1975, un incendie dans la tour nord ravagea pendant plusieurs heures la moitié du onzième étage (en bas de la tour), puis se propagea à d’autres étages où il fut bientôt éteint. La structure de la tour ne fut néanmoins pas endommagée. En 1991, un incendie au One Meridian Plaza de Philadelphie dura 18 heures et détruisit 8 des 38 étages. Selon le rapport de la FEMA « Des poutres et des poutrelles se sont tordues ou affaissées… suite à l’exposition au feu, mais les colonnes ont continué à supporter leur charge sans dégât apparent. » 37 En 2004, à Caracas, 20 étages d’une tour de 50 étages brûlèrent pendant 17 heures, mais le gratte-ciel ne s’effondra pas. 38 L’énergie d’un incendie ne peut suffire à détruire un gratte-ciel.

Une relation de cause à effet entre incendie et effondrement est donc exclue.

2.4.3 Explosions et effondrement

Des pompiers et d’autres témoins présents dans les tours entendirent une série d’explosions, au sous-sol, au rez-de-chaussée et dans les étages proches de l’incendie. Des poutres furent éjectées jusqu’à 500 mètres ou s’encastrèrent dans les façades d’immeubles voisins. 39 Les vitesses estimées par analyse des films, image par image, atteignent jusqu’à 110 km/h. Pendant les 7 minutes précédant l’effondrement, une coulée de métal fondu fut filmée tombant du 80e étage d’une façade de la tour Sud, WTC2. L’analyse chimique des décombres identifia des produits de réaction d’un explosif utilisé en démolition, la thermite. Des cordons de thermite auraient causé les coupures obliques nettes, visibles sur des poutres non pulvérisées. Mais des explosifs chimiques ne dégagent pas assez d’énergie pour réduire des bâtiments en poussière, et leur emploi laisse de grands pans de bâtiment d’un seul tenant. 40

Les tours s’effondrèrent en dix à quinze secondes, l’incertitude étant due à la poussière masquant la fin de la chute. 41 Des milliers de tonnes d’acier et de béton furent réduits en grains de quelques millimètres à quelques dixièmes de millimètre, s’élevant en volutes semblables à celles d’explosions volcaniques pyroclastiques, puis se déposèrent en recouvrant les rues d’une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Or la quantité d’énergie nécessaire pour broyer un solide est une fonction croissante de la finesse des grains. D’où provint l’énergie ?

Non seulement la pulvérisation des matériaux nécessita beaucoup d’énergie, mais sa rapidité indique une source d’énergie dégageant une grande puissance, concept physique important.

La puissance est le rapport de la quantité d’énergie au temps pendant laquelle elle est émise.Pour démarrer une voiture ou faire décoller un avion, les moteurs doivent fournir beaucoup plus de puissance que pendant un mouvement à vitesse constante, sur route ou en vol.

2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur

La puissance nécessaire pour pulvériser presque instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton est difficile à évaluer, mais une valeur minimale de l’énergie dégagée peut être estimée en considérant l’évolution de la température du site.

Des blocs de béton et d’acier mêlés furent trouvés, dont l’apparence est celle de la lave refroidie. Des températures d’environ 2000 °C furent mesurées. Des photographies célèbres montrent de l’acier rougeoyant retiré de la pile de débris. Quelques citations de témoins font ressentir la réalité du dégagement de chaleur :

– Au dire des pompiers, les semelles de leurs bottes fondaient. Sous les débris, la température était « si intense qu’ils ont rencontré des rivières d’acier en fusion », « comme dans une aciérie ». 42 Ils s’exposaient à des périls comme « la secousse d’un effondrement profondément en dessous, […] ou, dans les premiers temps, les coulées de métal en fusion s’échappant des noyaux chauds et s’écoulant le long des murs brisés à l’intérieur des fondations. » 43

– « 21 jours après l’attaque, l’acier en fusion coulait toujours ».44 « Sous terre, c’était encore si chaud que du métal en fusion a coulé sur les côtés du mur du bâtiment 6. » 45

– « Des éléments en acier, dans la pile de débris, semblent avoir été partiellement évaporés à des températures extraordinairement élevées ». 46

La température de sublimation du fer, principal composant de l’acier, est de 2861 °C (3134 K).

Des relevés de température par thermographie infrarouge aérienne montrèrent, le 16 septembre, des points chauds jusqu’à une température de 747 °C (1020 K). 47 Le 7 octobre 2001, une image thermique montra des températures semblables aux emplacements des trois bâtiments (WTC1, WTC2 et WTC7), quoiqu’ils aient été architecturalement très différents et aient subi des dommages différents. 48 Le refroidissement fut progressif au cours des mois suivants : « Le feu souterrain brûla pendant exactement 100 jours et a finalement été déclaré “éteint” le 19 décembre 2001 ». Quels matériaux combustibles auraient alimenté un « feu souterrain » ? Comment l’air nécessaire à la combustion serait-il parvenu dans le sous-sol ?

Le 12 février 2002, cinq mois après l’effondrement des tours, des mesures par la même méthode révélèrent encore une émission de chaleur. 49 Le sous-sol n’avait donc pas atteint l’équilibre thermique et continuait à se refroidir. Les matériaux sont ainsi restés pendant trois mois à des températures bien plus élevées que celles d’un incendie de bâtiment. Puisque, selon le deuxième principe de la Thermodynamique, l’énergie ne se concentre pas spontanément, ces températures ne peuvent avoir été causées par un « feu souterrain », mais résultaient de l’existence d’une source de chaleur très importante dans la profondeur du sous-sol. 

Les lois du transfert de la chaleur sont couramment employées par les architectes pour dimensionner les circuits de chauffage des bâtiments, et par les ingénieurs pour assurer le refroidissement, en électronique comme en automobile. En estimant la surface d’émission et l’évolution au cours du temps de la différence de température avec l’air ambiant, ces mesures permettent d’estimer la quantité de chaleur totale émise par le site. 50 Elle est énorme, de l’ordre de 1 pétajoule (1015 joules ou 1 000 000 000 000 000 joules), soit la chaleur émise par la combustion de 24 000 tonnes de pétrole, pouvant remplir plus de 10 piscines olympiques. 

2.4.5 Déblaiement des ruines

Élimination des preuves matérielles

Le déblaiement commença aussitôt après la catastrophe, avant toute enquête, et l’acier des décombres fut envoyé en Chine, en Inde et d’autres pays d’Asie. Procédé inhabituel en cas de désastre sans précédent. La soustraction et la dissimulation de preuve sont des délits. 51

Cancers des sauveteurs et des déblayeurs

Des équipes de détection furent envoyées sur place le jour même, habillées de tenues NBC. Les déblayeurs ne restaient que quelques jours avant d’être remplacés, et regrettaient de quitter le chantier à peine devenaient-ils efficaces. Parmi les 80 000 personnes affiliées au programme sanitaire WTC Health Program, à la fin de mars 2021, près de 14 000 souffraient d’un cancer et 1015 en étaient morts. 52 Les cancers des voies respiratoires et digestives furent causés vraisemblablement par des débris d’amiante et des poussières radioactives inhalées ou ingérées. Des cancers de la peau et des lymphomes sont nombreux aussi. Les malades ont constitué des associations de défense et prononcé maintes conférences aux États-Unis. 

2.5 Fausseté de l’explication officielle

En résumé, l’explication officielle enfreint des principes physiques fondamentaux :

– Le principe de conservation de l’énergie : de l’énergie ne peut être créée. Ce principe est fondamental pour toute la Physique (« premier principe de la Thermodynamique »).

– Le principe de dispersion de l’énergie : la chaleur ne peut pas s’être concentrée dans les poutres ni dans le sous-sol (« deuxième principe de la Thermodynamique »).

– Le principe fondamental de la dynamique (« deuxième loi de Newton ») : un projectile ne peut percer une cible sans ralentir.

– Le principe des actions réciproques (« troisième loi de Newton ») : un tube creux en alliage d’aluminium ne peut percer un treillis en acier sans se déformer.

– Le principe de conservation de la quantité de mouvement.

L’explication officielle enfreint encore le principe fondamental de la dynamique, le principe des actions réciproques et le principe de conservation de la quantité de mouvement en affirmant que le bas de chaque tour fut écrasé par le haut. L’effondrement ne peut être dû qu’à la perte de résistance du bas.

D’autres lois, non détaillées dans ce bref article, sont enfreintes par l’explication officielle :

– La loi de diffusion de la chaleur de Fourier : la température du réseau de poutres ne peut être devenue uniforme dans tout l’immeuble.

– La loi de changement d’état des matériaux : la température d’un incendie de bureau ne peut faire fondre de l’acier ni le fragmenter finement. 

– La loi de rayonnement des matériaux selon la température (corps noir) : avant l’effondrement, la couleur des coulées de métal fondu sur une façade, jaune ou blanche, seule information disponible, indique une température de 1200 °C au moins, soit une température supérieure à celle d’un incendie. Ces coulées furent sans doute dues à des réactifs placés localement. 53

L’explication officielle enfreint les principes les mieux établis de la Physique.

Mais la Physique permet aussi de comprendre le mode opératoire.

3 Explosions nucléaires souterraines

Les tours de Manhattan furent détruites par des explosions nucléaires souterraines. Cette « interprétation complotiste délirante » est la seule compatible avec les lois de la Physique. 54

À l’apogée de l’engouement pour l’énergie nucléaire, pendant les années 1950 et 1960, des essais d’emploi d’explosifs nucléaires pour de gros travaux de génie civil, comme creuser des canaux, furent faits en URSS 55 et aux USA56. Mais la pollution résultante les fit abandonner. Toutefois ces essais rendirent réalisable ce procédé de démolition de gratte-ciel. 

3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires

Les explosifs chimiques couramment utilisés en démolition ne pulvérisent pas les bâtiments, quoique l’effondrement dégage de la poussière, et les décombres sont des amas de pans de murs et de planchers. Pour fragmenter des milliers de tonnes d’acier et de béton en grains millimétriques, il faudrait une très grande masse d’explosifs, en proportion notable de la masse de l’immeuble, répartie dans toutes les parties de la tour par des dizaines de techniciens pendant des milliers d’heures. Impraticable.

L’énergie chimique libérée par unité de masse d’un explosif classique est déterminée par l’énergie de liaison entre électrons et noyaux, mais celle d’un explosif nucléaire l’est par l’énergie de liaison des nucléons — protons et neutrons — dans les noyaux des atomes. Or l’énergie de liaison entre les nucléons des noyaux est un million de fois plus grande que l’énergie de liaison entre les électrons et les noyaux. En pratique, les matériaux nucléaires opérationnels comportent beaucoup de masse inerte, mais leur densité énergétique reste cependant 10 000 fois plus grande que celle des matériaux chimiques. C’est pourquoi une centrale électrique nucléaire n’est rechargée en combustible que tous les 3 ans, tandis qu’une centrale à charbon est alimentée quasiment en continu, par trains entiers.

Les bombes nucléaires émettent de l’énergie en quelques microsecondes, produisant une puissance inimaginable par l’esprit humain, et causant une onde de choc dont la pression maximale, de l’ordre du milliard d’atmosphères, est beaucoup plus destructrice que celle produite par tout explosif chimique.

Seule une bombe nucléaire émet la puissance suffisante pour réduire quasi instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton en poussière millimétrique, et contient assez d’énergie pour produire la très grande quantité de chaleur lentement dégagée du sous-sol de Manhattan.

En quelques microsecondes, les réactions nucléaires dégagent une énergie énorme, décomposant les roches du sous-sol jusqu’à l’état de plasma, particules sans liaisons à très haute température. 57 L’onde de choc fragmente les roches environnantes. En quelques dixièmes de seconde, une cavité se forme et s’agrandit. Si l’explosion est assez profonde, l’onde atteint la surface du sol, mais ne la soulève pas ; les roches situées entre le haut de la cavité et la surface du sol forment le « toit de la cavité ». L’onde atteignant la surface ne se diffuse pas dans l’air, d’où l’absence de bruit, mais se diffuse dans les objets solides placés sur le sol.

La chaleur de la cavité diffuse dans les roches les fait fondre, et ces deux effets absorbent de la chaleur et font baisser la température du plasma et des gaz, et donc la pression dans la cavité. 58 Lorsque la pression ne suffit plus à soutenir le toit de la cavité, il s’effondre, tombe dans la cavité, et le sol s’affaisse. Qu’une pression souterraine très grande produise une dépression à la surface du sol est un effet contre-intuitif, mais bien étudié. 59

Si l’explosif nucléaire est placé sous un bâtiment à une profondeur convenable, l’onde de choc et l’affaissement du sol peuvent faire écrouler même des gratte-ciel à structure métallique.

La quantité de chaleur restant dans la cavité est une fraction de l’énergie explosive, et son dégagement est retardé par son transfert à travers les roches du toit, tombées dans la cavité. Des éléments radioactifs s’échappent, mais d’autant moins que la profondeur est grande. Au cours de nombreux essais, les physiciens ont mesuré le rayonnement, la température, la dépression du sol, etc., et dès les années 60 ils ont su calculer la forme et les dimensions de la cavité et de la cheminée, selon la nature de la roche encaissante, la profondeur et l’énergie de l’explosion. En France, ces analyses furent faites par le Commissariat à l’Énergie Atomique. 60

Depuis 1963 les essais militaires d’explosions aériennes ont été réduits, puis interdits, et depuis 1974, un traité international a limité la charge des explosions souterraines à 150 kT, soit 0,63 pétajoule. Ces explosions émettent beaucoup moins de particules radioactives dans l’atmosphère que les explosions aériennes ou que l’accident de Tchernobyl. Des mesures sismographiques, hydroacoustiques et infrasoniques, ainsi que le dosage des particules de radionucléides dans l’air, permettent de les détecter et de connaître leurs caractéristiques, même à de grandes distances. Les États peuvent ainsi se surveiller les uns les autres. 61

3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction

La pulvérisation instantanée des tours fut l’effet d’une puissance que seules des bombes nucléaires peuvent dégager. Mais où ces bombes avaient-elles été placées ?

Démolir des gratte-ciel est une entreprise difficile, et les règlements d’urbanisme imposent aux maîtres d’œuvre de proposer, dès la construction, une solution technique de démolition. 62 Un procédé de démolition d’urgence peut avoir été prévu pour les Tours Jumelles, bâtiments exceptionnels, construits selon les meilleures techniques des années 60. Une loge peut avoir été creusée sous le niveau du sous-sol le plus profond de chacune. Cette hypothèse est corroborée par la cotation des hauteurs, sur les plans des immeubles, à partir d’une altitude de référence très en dessous des fondations : 246 pieds, soit 75 m, dans le socle rocheux. 63

3.3 Destruction des tours de Manhattan

Chaque tour fut détruite par l’explosion souterraine d’une bombe nucléaire placée dans la roche, sous les fondations. 64 Plusieurs petites bombes « mini-nuke » n’auraient pas suffi, et n’auraient pas produit l’énorme quantité de chaleur dégagée du sous-sol pendant des mois. L’onde de choc atteignit aussitôt les fondations et se propagea dans l’immeuble. Jusqu’aux trois quarts de la hauteur environ, l’énergie de l’onde brisa des liaisons chimiques et fragilisa les matériaux. 65 La pression maximale de l’onde varie approximativement comme l’inverse du carré de la distance au point de l’explosion ; la quantité d’énergie transmise fut donc moindre dans les étages supérieurs, où l’onde ne causa plus qu’une déformation élastique et diminua moins la résistance mécanique que dans la partie inférieure. 

Sur plusieurs vidéos prises par des caméras placées sur support fixe, l’image tremble 12 s avant la chute des tours, durée pouvant être interprétée comme le délai entre l’explosion et l’effondrement du toit de la cavité. Lorsque cet effondrement ôta à l’immeuble le support des fondations, la partie basse de l’immeuble tomba en se désagrégeant. N’étant plus soutenue, la partie haute tomba en se désagrégeant à son tour, à une accélération d’environ 2/3 de la chute libre, à peine freinée par la cohésion résiduelle de la partie basse et la résistance de l’air. 66

Des explosions déclenchées juste avant la chute prouvent la présence de charges explosives chimiques, dont la mise à feu paraît avoir été synchronisée à celle de la bombe souterraine. 67 Placées en des points choisis de la structure, ces charges ont peut-être désolidarisé le haut et le bas de l’immeuble et coupé une part du train d’ondes, et elles servirent aussi de leurre pour dérouter les enquêteurs. S’il pouvait être consulté, le plan de démolition serait instructif.

Une grande part des matériaux se dissipa en volutes de poussière. D’une hauteur d’environ 20 m, les tas de décombres étaient remarquablement petits par rapport aux immeubles de 420 m. Des relevés aériens par la technique LIDAR montrent que chaque tas était au centre d’une dépression peu profonde. 68

Les débris des tours recevaient de la chaleur issue de la cavité, diffusant à travers les roches comblant la cheminée. L’énergie accumulée maintint le sous-sol à température très haute pendant plus de trois mois. L’émission de radioactivité au cours des semaines suivantes, mais le peu de pollution résiduelle indiquent une fusion plutôt qu’une fission, la fission n’étant nécessaire que pour amorcer la fusion. Les autorités ne furent pas disertes sur la présence de tritium, isotope radioactif de l’hydrogène produit par fusion. Après déblaiement des décombres, la cheminée sous l’emplacement de chaque tour fut couverte par une chape en béton, surmontée d’un grand bassin d’eau. Le béton et l’eau absorbent le rayonnement résiduel des éléments radioactifs présents dans la cavité, de sorte que le site est désormais sans danger.

Quant à l’expression « ground zero », elle désigne depuis huit décennies, en vocabulaire militaire le point de la surface du sol à l’aplomb d’une explosion nucléaire.

Voilà les grandes lignes de l’affaire, faciles à vérifier. Les documents officiels, les études techniques publiées sur Internet, quelques connaissances de base en Physique et un zeste de bon sens suffisent.

Toute interprétation rationnelle des évènements doit expliquer :

1/ L’entrée d’avions de ligne dans des immeubles à structure en acier S’ils ne peuvent pas percer la façade, force est de déduire qu’ils n’étaient pas là.

2/ L’effondrement des trois tours de Manhattan : Tours Jumelles et WTC7.

3/ L’origine de la puissance nécessaire pour pulvériser les tours, et de l’énergie dégagée du sous-sol pendant des mois.

Or la version officielle n’explique rien et est incompatible avec les lois de la Physique. 69

4 Conclusions

Donc les conclusions s’imposent :

1/ Les principes et lois physiques ne s’appliquent pas à Manhattan. Exceptionnalisme.

Dans une stratégie de réindustrialisation des États-Unis, cette particularité serait précieuse pour fabriquer des produits à haute valeur ajoutée.

2/ De l’énergie a été créée, et comme les États-Unis sont un pays très religieux « under God », c’est que Dieu a fait un miracle ; les enquêteurs devraient donc se tourner humblement vers les théologiens pour leur demander d’en expliquer le sens.

3/ À moins qu’une explication plus rationnelle ne soit possible…

Que chacun réfléchisse et conclue !


1 http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm Les faits n’ont pas été étudiés par plusieurs équipes d’experts indépendantes qui eussent ensuite confronté leurs avis, et le rapport n’a pas été débattu publiquement. Philip Zelikow, qui dirigea la commission d’enquête, était lié aux gouvernements des États-Unis et d’Israël.

2 Des associations de professionnels, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou Pilots for 9/11 Truth, ont analysé ces évènements. http://ae911truth.org/ Parmi d’autres auteurs : Thierry Meyssan 11 Septembre 2001. L’effroyable imposture. Carnot, 2002. Laurent Guyénot : JFK — 11-Septembre, 50 ans de manipulations.

3 Même consciencieux, un accessoiriste n’a pas toujours le matériel nécessaire. Mise en scène bâclée plutôt que restes de catastrophe aérienne. Les autres débris trouvés furent une roue incrustée dans une poutre et un morceau d’aile découvert en avril 2013 entre deux immeubles et entouré d’une corde… Les décombres avaient été pourtant déjà dûment fouillés par des agents du Service National de Sécurité des Transports (National Transportation Safety Board, NTSB) agissant à la requête du Bureau Fédéral d’Enquêtes (Federal Bureau of Investigations, FBI).
https://aitia.fr/erd/esprit-critique-es-tu-la/
http://govinfo.library.unt.edu/911/report/911Report_Notes.htm
http://www.aldeilis.net/fake/1083.pdf http://pacer.psc.uscourts.gov    

4 Les spécifications sont pourtant sévères : enregistrement de 300 paramètres pendant 25 heures ; résistance à l’impact de 3400 G ; résistance à la température de 1100 °C pendant 30 minutes ; résistance à la pression de 7000 mètres d’eau ; émission à 37,5 kHz pour le repérage ; batterie d’une durée de vie de 6 ans. Le numéro des boîtes permet d’identifier l’avion, et leur contenu de connaître les circonstances précédant un accident.

5 http://www.guardian.co.uk/september11/story/0,11209,669961,00.html Depuis, tant de documents d’identité de tant de terroristes ont été trouvés sur des pare-brise après un attentat, que c’en est devenu une coutume.

6 Un citoyen des États-Unis, Alexander Collin Baker, musicien et vidéaste connu sous le nom de « Ace Baker », réalisa une série de 8 vidéos sur le 11 — Septembre 2001, intitulée « The Great American Psy-Opera ». Cette capacité d’analyse critique lui serait venue à la suite d’un accident médical qui modifia son psychisme : https://aitia.fr/erd/eloge-du-handicap/ Dans l’épisode 7 de la série, il interrogea l’auteur de la séquence vidéo, Kai Simonsen, qui s’empêtra pour trouver une explication plausible à ce « fondu au noir », ainsi qu’au zoom « prémonitoire » qu’il effectua juste avant : la caméra transmettait un plan très large sans avion visible, puis zooma très fortement juste avant l’instant fatidique de la collision. À partir de 19 min 20 s, Kai Simonsen affirme que le noir est provoqué par la mise en place d’un doubleur de focale sur l’objectif afin d’obtenir un plan plus serré… mais le plan est exactement le même avant et après la coupure ! Ces huit épisodes, totalisant plus de 4 heures, sont encore visibles en partie en version originale, et en totalité en version sous-titrée en allemand : https://www.youtube.com/user/CollinAlexander

Une version des épisodes 6 à 8, sous-titrée en français par Laurent Guyénot, est visible sur dailymotion :
https://www.dailymotion.com/video/x2546ic
https://www.dailymotion.com/video/x25ff9k
https://www.dailymotion.com/video/x254kr6

7 La rapidité de diffusion prouve que les auteurs des vidéos avaient accès ouvert aux chaînes de télévision. Seuls les frères Naudet présentèrent une vidéo de la frappe du premier avion : des virtuoses du suivi de cible et de l’ajustement de focale. Pourraient-ils être incités à révéler les noms de leurs commanditaires ?

8 Selon le NIST, 542 ± 24 mph soit 872 ± 39 km/h pour l’avion de la tour sud (WTC2).

9 https://web.archive.org/web/20210112064317/pilotsfor911truth.org/WTC2.html et web.archive.org

10 Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines avant par des « artistes » du groupe Gelatin qui firent pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de l’immeuble. Les étages 93 à 100 étaient occupés par la compagnie Marsh & McLennan, dont le PDG était Jeffrey Greenberg, liés aux assureurs et contre-assureurs des tours. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages.

11 Après la première explosion, les regards étaient rivés sur la face nord de la tour nord. La seconde explosion s’est produite sur la face sud de la tour sud, soit à l’opposé, là où l’attention générale n’était pas fixée.

12 Les journalistes ne mirent pas en avant les propos mesurés des gens prudents. Des témoins affirmèrent n’avoir pas vu d’avions, mais seulement des explosions : https://www.youtube.com/watch?v=qH8SN_RnGEQ

Dans des reportages sur place, diffusés le jour même, quelques personnes interrogées paraissent réciter une leçon apprise, dont le fameux « Harley guy », un homme portant casquette et T-Shirt Harley Davidson, très calme en plein tumulte, et capable, au moment même, de résumer les conclusions des rapports d’enquête futurs et officiels :

13 Les liaisons entre les atomes déterminent la dureté propre des matériaux, comme les alliages métalliques. À forces subies égales, un plus grand nombre de liaisons sont rompues et plus d’atomes sont déplacés dans un alliage d’aluminium que dans un alliage d’acier. L’alliage d’aluminium est donc moins dur que l’acier. Un projectile, comme une balle d’arme à feu, doit être plus dur que la cible pour la percer. De même un couteau coupe du pain parce que les faibles liaisons électrostatiques entre les molécules constituant la croûte et la mie du pain sont brisées, tandis que celles entre les atomes de métal ne le sont pas.

14 La structure extérieure des tours était un réseau de poutrelles en acier, décrit plus bas dans cet article. L’expression « mur rideau » désigne les parois externes des immeubles, où prédomine le verre qu’un choc peut briser ; elle est toutefois impropre, car des colonnes verticales renforcent aussi la façade, surtout dans les hautes tours. Cette fragilité apparente des parois a pu faire croire que des avions pouvaient entrer dans des tours.

15 Comme le moment quadratique d’une poutre.

16 Le principe de conservation de la quantité de mouvement d’un système, principe d’inertie, fonde la Mécanique. De ce principe est déduite la deuxième loi de Newton : « Les changements qui arrivent dans le mouvement sont proportionnels à la force motrice, et se font dans la ligne droite dans laquelle cette force a été imprimée. » L’accélération est égale au rapport de la force à la masse :  ou . Si la force F est nulle, l’accélération est nulle et donc la vitesse du mouvement constante. Le concept d’inertie, l’un des mieux établis de la Physique, fut progressivement précisé par Galilée, Baliani, Torricelli, Descartes, Huygens, puis énoncé explicitement par Hooke, formulé mathématiquement par Newton, et généralisé par Poincaré et Noether.

17 Lors d’un choc d’un objet mobile contre un objet immobile et ne pouvant être mis en mouvement, comme une voiture contre un arbre, l’énergie cinétique se dissipe en déformation des matériaux, puis en chaleur.

18 Attention, un tel cas comporte des pièges. Voir ici : https://aitia.fr/erd/balle-tueuse-de-raquette-info-ou-intox/

19 Selon les architectes, les coefficients de sécurité étaient si grands que les tours jumelles résisteraient à l’impact d’un Boeing 707 ou d’un Douglas DC-8 en pleine charge, volant à 965 km/h : « […] une telle collision causerait seulement des dégâts locaux ne pouvant provoquer l’effondrement ni des dommages conséquents à l’immeuble, et ne mettrait en danger ni la vie ni la sécurité des occupants, hors de la proximité immédiate de l’impact » Henry Hold and company, City in the sky, Times Books, 2003. La documentation de l’étude était conservée dans les bureaux de l’Autorité portuaire, détruits par l’effondrement du bâtiment n° 7 du World Trade Center. Fahim Sadek, Baseline Structural Performance and Aircraft Impact Damage Analysis of the World Trade Center Towers, NIST, 2005, « NCSTAR 1-2 appendix A », p. 305-307

20 https://en.wikipedia.org/wiki/1945_Empire_State_Building_B-25_crash

La plus grande décélération longitudinale que peut subir une carlingue d’avion de ligne sans se froisser est d’environ 10 G, dix fois l’accélération de la pesanteur, le plus que peut encaisser un pilote de chasse. Cette accélération est bien moindre que celle subie par des objets durs lors des chocs les plus anodins ; ainsi deux billes de billard, lors de leur bref contact durant quelques millisecondes, subissent des accélérations de 100 G ou plus.

21 Le journaliste Thierry Meyssan l’affirma dès mars 2002, et fut aussitôt étiqueté « complotiste délirant ». Thierry Meyssan, 11 Septembre 2001 : L’effroyable imposture. Carnot, 2002.

22 À la demande insistante de l’association de « Pilots for 9/11 Truth », les enregistrements de la boîte noire du vol AA77 (prétendument retrouvée) furent déclassifiés par le National Transportation Safety Board (Bureau National de Sécurité des Transports), mais ne furent pas communiqués : le document présenté fut une trajectoire reconstituée en images de synthèse à partir de ces enregistrements supposés. Or elle montre une manœuvre impossible pour un avion de ligne (à 850 km/h !) et aboutissant au-dessus du Pentagone !

23 Avant l’effondrement de la façade, le trou d’entrée était rond. De chaque côté, la façade présentait des dégâts dans un rectangle horizontal, tracé au cordeau, vraisemblablement censé suggérer l’impact des ailes. Le trou de sortie persista et était rond aussi. Or entre l’entrée et la sortie, il y avait une vingtaine de colonnes.

24 Quel crédit accorder à de telles photographies ?

25 Un jeune officier prévint Cheney plusieurs fois de l’approche d’un avion vers Washington, et reçut comme réponse que « les ordres étaient maintenus ». Leurre, avion de ligne ou avion militaire porteur d’un missile ?

26 https://www.youtube.com/watch?v=0SL2PzzOiF8

27 Stephen W. Banovic. Steel inventory and identification. Technical report, NIST, September 2005: p. 55. http://fire.nist.gov/bfrlpubs/build05/PDF/b05030.pdf. Les planchers étaient 110 dalles de béton, de soixante-trois mètres de côté et d’une quinzaine de centimètres d’épaisseur.

28 Gregory H. Urich. Analysis of the mass and potential energy of world trade center tower 1. Journal of 911 Studies, 2007. http://www.journalof911studies.com/volume/200703/GUrich/MassAndPeWtc.pdf.

29 La forme proche d’un arc de parabole des arches de la tour Eiffel participe à leur stabilité, mais la forme parallélépipédique des gratte-ciel impose une grande résistance, surtout en bas, et donc un réseau serré de poutres robustes. Pour éviter le basculement de ces pieux fichés au bord de l’océan, offrant prise aux vents de tempêtes, les fondations étaient profondément implantées dans le granit, sous la couche sédimentaire.

30 Les assiettes ne sont pas supposées empilées, mais suspendues à des poteaux verticaux par de frêles attaches, théorie nommée aux É-U pancake theory « théorie de la crêpe », soutenue par la FEMA (Chapitre 2, 2002).
https://aitia.fr/erd/travaux-diriges-version-serieuse.

31 Un bélier ne fait que transmettre l’énergie cinétique que les servants lui impriment. Pas d’énergie, pas de choc. Sans élan, un bélier ne peut enfoncer une porte. Si des assiégeants placent la tête du bélier contre la porte d’une forteresse sans faire bouger l’engin, les défenseurs peuvent dormir tranquilles.

32 Après une étude expérimentale des effets, sur des structures en acier, de hautes températures pendant plusieurs heures. La FEMA a conclu : « Bien que la température des poutres en acier ait atteint 800-900 °C (1.500-1.700 °F) dans trois des tests, nul effondrement n’a été observé pour les six expériences. » FEMA, World Trade Center Building Performance Study, mai 2002, A-9 Appendix A : Overview of Fire Protection in Buildings.

33 https://www.youtube.com/watch?v=DR1qnvMDh4w Vidéo esclaffatoire, esbaudissante et rigolisible.

34 Les dimensions de la Tour Montparnasse sont 50 x 32 x 209 mètres.

35 L’énergie est une variable extensive et la température une variable intensive.

36 La température d’un feu de kérosène dépend de l’apport d’oxygène ; à l’air libre elle ne dépasse pas 1100 °C et ne peut atteindre 1700 °C que par apport d’air sous pression dans un réacteur dont les matériaux supportent cette température ; or, près des colonnes centrales des tours, à 25 mètres du dehors, l’apport d’air était faible. Selon le NIST, la température de l’air ne dépassa pas 1000 °C pendant 15 à 20 minutes (NIST, Rapport 1-5, 2005). Ce n’est qu’à la fin du XIXsiècle que les sidérurgistes réussirent à construire des fours supportant des températures assez élevées pour faire fondre l’acier, et nécessitant une alimentation en air.

Des photos disponibles sur Internet montrent une femme, identifiée par sa famille, agitant les bras en signe de détresse, debout dans la brèche prétendument faite dans la façade en acier par les ailes en aluminium d’un avion, là où la température était censée être infernale selon la version officielle des évènements.

37 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_7

38 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_9 Pour les amateurs de catastrophes :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_des_grands_incendies Autres incendies de gratte-ciel : 24 février 1972, tour Andraus à Sao Paulo, 30 étages brûlés ; 1er février 1974, tour Joelma à Sao Paulo, 25 étages, embrasement du 12e au 25e étage ; 15 novembre 2010, à Shanghai, un immeuble 28 étages. Certes les tours de Manhattan étaient beaucoup plus hautes, mais ce furent les seules à s’effondrer et être pulvérisées.
https://www.profession-gendarme.com/une-saine-curiosite-amene-souvent-a-la-verite/

39 Jones, Steven, Korol, Robert, Szamboti, Anthony, and Walter, Ted. 15 years later: on the physics of high-rise building collapses. Europhysics News, 47(4):21–26, 2016. Fig. 6. Doi:10.1051/epn/2016402.

40 N. Harrit, J. Farrer, S. Jones, K. Ryan, F. Legge, D. Farnsworth, G. Roberts, J. Gourley, B. Larsen. Active thermitic material discovered in dust from the 9/11 World Trade Center catastrophe. (2009) The Open Chemical Physics Journal, 2 :7-31

41 Estimation: 12,6 secondes pour la tour 1 et 11,5 secondes pour la tour 2. Les tours étaient deux fois plus hautes (415 et 417 m) que la tour Montparnasse (209 m). Le calcul de la durée de la chute libre dans le vide est du niveau d’un baccalauréat scientifique. La formule est en effet :. La hauteur H des immeubles étant de 400 mètres et l’accélération de la gravité G de 9,81 m/s², la durée est d’environ 9 secondes. C’est une borne inférieure : la chute ne peut pas durer moins (et encore la résistance de l’air est-elle négligée). Or la conservation de la quantité de mouvement rend impossible un effondrement accidentel à la vitesse de la chute libre.

42 Lou Lumenick. Unflinching look among the ruins. New York Post, 3 Mars 2004.

43 William Langewiesche. American Ground: Unbuilding the World Trade Center. North Point Press, 2002.

44 James M. Williams, WTC a structural success. The Newsletter of the Structural Engineers Association of Utah, 6:3, 2001.

45 Ken Holden, Département de la conception et de la construction de New York ; Audition publique de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis, le 1er avril 2003, National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States ; Public hearing, Avril 2003.
http://www.9-11commission.gov/archive/hearing1/9-11Commission_Hearing_2003-04-01.htm [cited2016-06-10].

46 Dr Barnett, professeur d’ingénierie de la protection contre les incendies à l’Institut polytechnique de Worcester ; cité par James Glanz. A nation challenged: The site; engineers have a culprit in the strange collapse of 7 World Trade Center: Diesel fuel. New York Times, 29 novembre 2001.

47 Images of the World Trade Center sites how thermal hot spots on September 16 and 23, 2001.
https://pubs.usgs.gov/of/2001/ofr-01-0429/thermal.r09.html [cited 2017-06-22].

48 Charles K. Huyck and Beverley J. Adams. Emergency response in the wake of the World Trade Center attack:
The remote sensing perspective. Technical report, Multidisciplinary Center for Earthquake Engineering Research, Juin 2002. http://mceer.buffalo.edu/publications/wtc/02-SP05-screen.pdf. Fig. 3.6, p. 22. Images acquises par EarthData au moyen d’un capteur aéroporté Raytheon.

49 EarthData International New York State, Office for Technology. Aerial views and maps of the WTC thermal imagery, 2001. http://www.loc.gov/exhibits/911/911-maps.html.

50 Les détails du calcul peuvent être consultés dans l’article « What is Basic Physics Worth? » de l’un des auteurs, disponible en ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02004696

51 Le métal envoyé en Chine fut traité par la société Shanghai Baosteel Group Corp.
Des traces ont été effacées : https://www.bollyn.com/#article_16266

52 https://www.cdc.gov/wtc/ataglance.html#member1OrMore

53 Des alliages de métaux à plus basse température de fusion sont employés en soudure.

54 Cette interprétation fut exposée par un personnage atypique prétendant être un ancien officier soviétique spécialisé dans l’armement nucléaire, et disant vivre à présent en Thaïlande, Dimitri Khalezov. Il présenta sa version des événements dans de longs entretiens en anglais, faciles à trouver sur YouTube en effectuant une recherche sur son nom. Il publia aussi un document de plus de 1000 pages intitulé « 911thology » (« onze-septembrologie ») téléchargeable à partir de son site : http://www.911thology.com/
Le magazine Nexus, dans son édition allemande d’octobre-novembre 2010, publia un article dans lequel Khalezov résume sa version de la destruction des tours de Manhattan, téléchargeable sous forme de PDF :
https://www.nexus-magazin.de/files/gratis/artikel/Nex31_Khalezov_DritteWahrheit911.pdf. Une traduction en anglais est disponible : http://www.911thology.com/nexus1.html C’est en tentant de prouver, par un calcul de coin de table, que ses affirmations étaient insensées, que l’un des auteurs de cet article aboutit à la conclusion que l’hypothèse d’une explosion nucléaire souterraine était nécessaire pour expliquer l’énorme énergie dégagée sous forme de chaleur par les décombres de Ground Zero,au cours des mois suivant les attentats.

55 Le lac Chagan, au Kazakhstan, fut ainsi creusé : Explosions nucléaires pour l’économie nationale (Мирные ядерные взрывы в СССР). https://fr.rbth.com/tech/85161-urss-explosions-nucleaires
https://fr.wikipedia.org/wiki/Explosions_nucl%C3%A9aires_pour_l%27%C3%A9conomie_nationale

56 Programme « Plowshare ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Plowshare

57 Un spécialiste en Physique nucléaire pourrait expliquer la recombinaison du plasma en éléments chimiques. 

58 La pression est une densité d’énergie, quantité d’énergie par unité de volume.

59 Des essais d’explosions nucléaires souterraines furent faits dans le désert du Nevada. Des loges étaient creusées à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, et des photos du site montrent un grand nombre de dépressions causées par ces explosions : https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY Underground nuclear subsidence crater. https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY

60 https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/03/031/3031840.pdf
https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/35/095/35095014.pdf

61 Les dirigeants des grandes puissances furent certainement alertés par leurs services de renseignement.

62 Dès la construction de tels immeubles, les lignes de rupture des dalles et des poutres et les places des charges explosives sont prévues pour qu’ils s’effondrent dans l’aire de leur base, sans risquer de tomber sur les voisins. Les explosifs chimiques, instables à long terme, ne sont évidemment pas placés lors de la construction.

63 Voir ici la dernière image : http://www.911research.wtc7.net/wtc/evidence/masterplan/index.html
Ces loges sous les immeubles étaient bien sûr vides. Des bombes peuvent avoir été entreposées au sous-sol du bâtiment n° 7 au cours de l’été, lorsque des services de renseignement soupçonnèrent des préparatifs d’attentats. Incidemment la cote de 246 pieds, obtenue par conversion de 75 m, montre que cette partie du plan avait été tracée par des architectes et ingénieurs employant le système métrique.

64 La tour Sud s’effondra à 9 h 59 minutes 4 secondes, et la tour Nord à 10 h 28 minutes et 31 secondes. Les sismographes du laboratoire de Géophysique Lamont–Doherty de l’Université Columbia, à Palisades situé à 37 kilomètres — l’un des laboratoires qui établirent la théorie de la tectonique des plaques — enregistrèrent, juste avant les effondrements, des signaux de magnitude 2,1 dont les décours et les intensités signent des explosions dans le sol. Des signaux géophysiques durant aussi longtemps qu’une dizaine de secondes résultent de trains d’ondes d’assez forte intensité pour diffuser par divers chemins en se réfractant sur les interfaces de terrains de natures différentes. Des explosions calibrées sont utilisées en Géophysique pour l’étude des sols.
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808

65 Quoique ces immeubles aient contenu des milliers de chaises, de bouilloires électriques, d’ordinateurs, de téléphones, etc., très peu furent retrouvés dans les décombres. Il n’y a pas de marché des reliques, comme il y en eut lors de la démolition du mur de Berlin. Les vingt personnes retirées vivantes des décombres et les 293 corps trouvés étaient hors du parcours de l’onde de choc, que leur localisation permettrait d’étudier. Des 2 800 victimes environ disparues, 1 643 ont été identifiées. En admettant que quelques personnes aient été comptées à tort parmi les disparues, environ un millier de corps manque. Plusieurs mois plus tard, plus de 700 restes humains furent découverts sur le toit de l’immeuble de la Deutsche Bank. Des spécialistes de l’analyse de l’ADN identifièrent des personnes qui travaillaient dans les tours, et des pompiers qui n’étaient pas présents lors des explosions mimant le choc des avions. L’explosion thermonucléaire fut très brève, et par conséquent l’onde de choc contint des fréquences si hautes qu’à cette échelle de temps même la chair se comporte comme une matière rigide et est brisée.

66 Une vidéo https://www.youtube.com/watch?v=3HbD_Q6kmh8 (vers 2 h 5) montre une poutre se dissipant en poussière devant la caméra : ayant perdu sa cohésion, une faible brise suffit à la désagréger. Cette poutre est pourtant une partie du cœur de la tour nord, haute comme un immeuble ordinaire ! 

67 Les tours furent inaccessibles pendant le dimanche précédant l’attentat, officiellement pour des travaux de maintenance ; des charges ont pu être placées alors.

68 https://www.gettyimages.co.uk/detail/news-photo/this-lidar-light-detection-and-ranging-image-of-the-world-news-photo/1164180

69 Quel crédit accorder à une interprétation qui ferait se retourner dans leur tombe Galilée, Newton, Fourier, Lagrange, Carnot, Boltzmann, Kelvin, Poincaré, Planck, Eiffel, mais qui intéresserait Nobel et le dériderait peut-être, en le distrayant des déboires subis par son prix pour la Paix ?




Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

[Source: conservativewoman.co.uk]

Par le Dr Mike Yeadon — 22 mars 2023

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions.

Cela soulève la question de savoir pourquoi on accorde une telle importance à la tempête médiatique autour de Fauci, de Wuhan et d’une éventuelle évasion du laboratoire. Après tout, les « coupables » exercent un contrôle important sur les médias. Il n’y a pas de journalisme indépendant à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme s’ils avaient besoin d’embarrasser l’establishment. Je fais remarquer aux lecteurs qu’ils ont choisi de le faire.

De qui s’agit-il quand je dis « ils » et « les auteurs » ? Il y a un certain nombre de candidats en lice pour ce poste, avec leurs complices des laboratoires pharmaceutiques, dont plusieurs sont nommés dans l’excellente série en cinq parties de Paula Jardine pour TCW, Anatomie du sinistre projet Covid. En haut de la liste, on trouve le Forum Économique Mondial et ses nombreux acolytes politiques, parmi lesquels Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Mais cela ne répond pas à la question de savoir pourquoi ils se concentrent sur la genèse du virus. À mon avis, ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que vous considérez cet événement exactement comme ils le souhaitent. Plus précisément, qu’il y a eu un nouveau virus.

Je ne suis pas le seul à l’avoir cru au début de la « pandémie », mais au fil du temps, j’ai vu suffisamment de preuves pour mettre cette idée en doute. En outre, dans le cadre d’un coup d’État mondial, je me suis mis à la place des auteurs les plus hauts placés et les plus cachés. Lors d’une séance de questions-réponses, ils apprendraient que l’effet d’un nouvel agent pathogène mis sur le marché ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel qu’ils ne l’avaient prévu et détruire des civilisations avancées. Ces décideurs de haut niveau concluraient, à mon avis, que ce risque naturel leur est intolérable. Ils aspirent à un contrôle total, et le large éventail de résultats possibles d’une dissémination délibérée milite contre ce plan d’action : « Non, nous n’allons pas faire cela. Revenez avec un plan où l’incertitude sur les résultats est très réduite ».

Je pense qu’ils ont choisi d’ajouter un mensonge supplémentaire à l’énorme pile de mensonges qui a entouré toute cette affaire. Ce mensonge consiste à dire qu’il y a déjà eu en circulation un nouveau virus respiratoire qui, de manière cruciale, a provoqué des maladies et des décès à grande échelle. En fait, ce n’est pas le cas.

Au lieu de cela, on nous a dit qu’il y avait un nouvel agent pathogène effrayant et on a fait monter le porno de la peur jusqu’à l’échelle 11, et on l’a maintenu à ce niveau. Cela va de pair avec les tricheries sur les séquences génétiques, les protocoles de test PCR (sondes, amorces, conditions d’amplification et de recuit, cycles), ignorant le matériel génétique contaminant provenant non seulement de prétendues sources virales humaines, mais aussi les sources bactériennes et fongiques. Pourquoi, par exemple, ont-ils dû insérer les bâtonnets de prélèvement directement dans nos sinus ? Était-ce pour maximiser les séquences génétiques non humaines ? (NdT : Le recuit est le processus d’assemblage de l’ADN ou de l’ARN simple brin par des liaisons hydrogène pour former un polynucléotide double brin).

Il est évident que nos dirigeants politiques et culturels, y compris la défunte reine, étaient heureux de se rencontrer et de se saluer sans se tester, sans se masquer et sans prendre de distance sociale. Ils n’avaient pas peur. Dans le scénario ci-dessus, quelques personnes auraient su qu’il n’y avait pas de nouveau danger dans leur environnement. S’il y avait vraiment un agent pathogène mortel dans le pays, je ne crois pas qu’ils auraient eu le courage ou le besoin d’agir avec nonchalance et de risquer d’être exposés au virus.

Ce qui me convainc le plus, ce sont les données américaines sur la mortalité toutes causes confondues (NdT : en anglais ACM pour All Cause Mortality) par État, sexe, âge et date d’apparition, telles qu’elles ont été analysées par Denis Rancourt et ses collègues. La tendance à l’augmentation de l’ACM n’est pas compatible avec la présence d’un nouveau virus respiratoire comme cause principale.

Si j’ai raison de dire qu’il n’y a pas eu de nouveau virus, quelle idée de génie que de prétendre qu’il y en a eu un ! Maintenant, ils veulent seulement que vous vous demandiez comment ce « virus tueur » s’est retrouvé dans la population humaine. S’agit-il d’une émergence naturelle (une chauve-souris sauvage a mordu un pangolin qui a fini par être vendu sur un marché de poissons de Wuhan) ou d’une création prétentieuse d’un chercheur chinois, aidé en cours de route par un chercheur de l’université de Caroline du Nord financé par Fauci, qui ont ainsi contourné une pause présidentielle sur ce type de travaux ? La question se pose ensuite de savoir si l’arrivée du virus dans le grand public est due à une négligence et à une fuite de laboratoire, ou si quelqu’un l’a délibérément propagé ?

Je dois également souligner que les auteurs de ces actes contrôlent hermétiquement les médias de masse par le biais d’une mainmise des grandes entreprises technologiques et du gouvernement, documentée en partie ici, ici et ici. C’est pourquoi ils ont trouvé si facile de censurer des gens comme moi. Si une histoire apparaît sur plusieurs réseaux de télévision, c’est qu’ils sont d’accord avec elle ou qu’elle a été activement mise en place. Elle ne sera pas authentique. Ils ne disent jamais la vérité. Je ne pense pas qu’ils aient dit la vérité depuis le début de ce coup d’État, et probablement bien avant. La plupart des soi-disant journalistes ont perdu de vue ce qu’était la vérité.

Je pense que les auteurs (qui pourraient être tout ou partie de Gates, Fauci, Farrar, Vallance, CEPI, EcoHealth Alliance, DARPA et de nombreux autres) ont semé la controverse sur les origines du SRAS-CoV-2 parce qu’un peu d’embarras pour l’establishment était un petit prix à payer pour persuader la plupart d’entre nous qu’il devait certainement y avoir un nouveau virus alors qu’il n’y en a pas. (Et ils s’en sont tirés jusqu’à présent).

Certains de mes collègues ne croient pas que ce que l’on nous a dit (à savoir qu’un virus a été construit expérimentalement) soit même possible sur le plan technologique. Je n’ai pas les connaissances nécessaires pour évaluer cette idée. Mais pour moi, le reste tient la route d’une manière qu’aucune autre explication ne permet.

À cet égard, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, Sasha Latypova, s’adressant à Robert F Kennedy Jr dans son podcast du jeudi 16 mars dernier, décrit les nombreuses preuves des contrats et des relations qui étaient en place avant l’ère Covid. Des contrats ont été signés pour des milliards de dollars en février 2020. Non seulement la production requise n’aurait jamais lieu (il est ridicule de signer un engagement d’une telle ampleur), mais elle ne peut pas être réalisée. Elle a estimé qu’il fallait environ un kilogramme d’ADN. Il n’y a pas autant d’ADN de qualité médicale sur la planète à un moment donné. Cela s’explique par le fait qu’il est difficile à fabriquer, très coûteux, entièrement sur mesure et difficile à stocker pendant de longues périodes. En outre, les quantités d’une séquence d’ADN spécifique requises et stockées par les fournisseurs commerciaux sont de l’ordre du milligramme, voire du gramme. Il a donc toujours été impossible, quelle que soit la somme d’argent dépensée, d’accomplir ce qu’ils prétendent avoir fait en peu de temps.

Par conséquent, les faits ne permettent pas d’autre conclusion que celle d’un crime de grande ampleur, largement planifié. En soi, cela exclut l’émergence naturelle d’un agent pathogène, à moins d’une providence divine. Logiquement, il ne reste plus qu’une fuite ou, comme je l’affirme, un mensonge et une opération psychologique. La première hypothèse est possible ou non, mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’une telle opération pourrait être réalisée, et se déroulerait probablement sans problème, avec un véritable agent pathogène. Si un agent pathogène est libéré, on peut s’attendre à presque tous les résultats, sauf celui que l’on souhaite vraisemblablement. Je ne peux arriver à aucune autre conclusion que celle d’un faux.

Pour conclure, je ne dis pas que les gens n’étaient pas malades ou qu’ils ne mouraient pas en grand nombre. Je ne discute que des causes des maladies et des décès. Les gens ont été rendus malades et certains ont été tués par toutes les causes préexistantes, amplifiées par la peur, ce qui a entraîné une immunosuppression et une série d’actions révoltantes. Notez même le chevauchement officiel des signes et symptômes de la « Covid-19 » et des maladies existantes. Ils ont notamment réduit de 50 % les prescriptions d’antibiotiques aux États-Unis en 2020. Ils ont veillé à ce qu’un grand nombre de personnes âgées fragiles soient ventilées mécaniquement (NdT : l’intubation qui est tellement douloureuse qu’il faut anesthésier les personnes — l’État de New York en avait commandé 20 000 à General Motors pour n’en utiliser que quelques-uns, car ils se sont rendu compte qu’ils tuaient les gens), une procédure qui, chez ces sujets, est presque contre-indiquée. Certaines se sont vu administrer du remdésivir, un poison pour les reins. Dans les maisons de soins, elles ont reçu du midazolam et de la morphine, des dépresseurs respiratoires dont l’association est quasiment contre-indiquée chez les patients souffrant de difficultés respiratoires. S’ils sont utilisés, ils doivent faire l’objet d’une surveillance étroite, le plus souvent au moyen de systèmes d’alarme automatisés reliés à une surveillance cardiorespiratoire vitale, y compris une surveillance des gaz sanguins au bout du doigt. Cela ne s’est pas produit dans les maisons de soins.

Je pense que la principale raison des mensonges sur le nouveau virus est un désir de prévisibilité et de contrôle total, avec l’intention clairement exprimée de transformer la société, en commençant par démanteler le système financier par des fermetures et des congés, tandis que l’objectif pratique immédiat de la fermeture était de fournir le casus belli pour injecter au plus grand nombre de personnes possible des substances conçues non pas pour induire une immunité, mais pour exiger une inoculation répétée, pour causer des blessures et la mort, et pour contrôler la liberté de mouvement. Je suis sûr qu’ils sont satisfaits d’avoir injecté au moins 6 000 000 000 de personnes.

Notez que, bien que l’on estime que 10 à 15 millions de personnes ont été tuées par des « vaccins » toxiques, il ne s’agit là que de la première des nombreuses injections d’ARNm à venir. Tout porte à croire que les moyens de vous forcer à en accepter dix autres ont été anticipés, car c’est le nombre de doses que votre gouvernement a accepté d’acheter. Acheter quoi ? Eh bien, il a déjà été question que tous les vaccins existants soient reformatés sous forme d’ARNm. Si c’est le cas, je ne pense pas qu’une personne à qui l’on aura injecté dix doses supplémentaires échappera à la mort ou à des maladies graves limitant l’espérance de vie. Inciter votre corps à fabriquer des protéines qui ne sont pas les siennes induira axiomatiquement une attaque auto-immune de la part de votre propre corps. Votre maladie sera liée à la destination de la dose injectée et, bien sûr, à la consistance du produit injecté. Jusqu’à présent, ils ont été terriblement irréguliers. Il n’est pas certain qu’ils auraient pu être fabriqués et lancés s’ils avaient été soumis aux exigences de qualité habituelles et s’ils n’avaient pas bénéficié d’autorisations « d’utilisation d’urgence ». Bien sûr, comme nous le savons maintenant, les régulateurs (NdT : les autorités de régulation du genre FDA ou CDC) ont joué un rôle important en plus de mentir à l’armée américaine, l’organisation qui a passé les premières commandes de « vaccins » et qui a fixé toutes les conditions contractuelles pour des sociétés telles que Moderna et Pfizer.

[Note de Joseph : s’il n’y a pas assez d’ADN médical sur la planète pour les contrats vaccinaux, pourquoi y aurait-il suffisamment d’ARNm pour produire des milliards de doses de vaccins ?
Plusieurs équipes de recherche indépendantes n’ont pas trouvé de traces organiques dans les vaccins (contrairement à celles qui prétendent que des doses étaient infectées par de l’ADN animal), mais ont trouvé de la nanotechnologie à base de graphène. L’idée de l’ARNm et de la supposée protéine Spike relève visiblement de la même arnaque globale, un écran de fumée de plus pour cacher le véritable contenu (le graphène) et la réelle finalité des vaccins anticovid et les nouvelles versions graphénisées des anciens vaccins (le transhumanisme). Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]

Les poulets rentrent à la maison pour se percher maintenant dans le système bancaire.

Comme je le dis toujours, je n’ai pas beaucoup de certitudes. Je n’ai pas de copie du scénario de ce qui est le plus grand crime de l’histoire. Mais, quelle que soit la nature du Covid, je ne crois pas que ce que l’on appelait la grippe ait disparu comme par hasard au début de l’année 2020. C’est un autre mensonge. C’est ce qu’ils font. C’est tout ce qu’ils font.

À ceux qui sentent que tout ne va pas bien, mais qui ne veulent pas faire le saut psychologique vers le monde diabolique dans lequel je pense que nous vivons actuellement, je signale l’asymétrie des risques. Si vous suivez le récit officiel et que j’ai raison, vous et vos enfants perdrez toutes vos libertés et probablement vos vies. Si vous croyez ce que je dis et que j’ai tort, on se moquera de vous. Ces options sont loin d’être équilibrées. Un acteur rationnel devrait cesser de croire ce qu’on lui dit. Ce n’est pas une position sûre que de garder votre conseiller et de baisser la tête. C’est la chose la plus dangereuse que vous puissiez faire.

Traduction Jean Bitterlin, 13 mars 2024




DARPA, une Agence MILITAIRE qui travaille sur nos CERVEAUX

[Source : Oz Réinfo]

Dans ce court documentaire de 2021, plusieurs scientifiques américains dévoilent les technologies d’interfaces cerveau-ordinateur étudiées par le DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense US) et les travaux sur le contrôle mental.

Nous y voyons les premières utilisations d’appareils et de puces implantables pour le couplage avec ces interfaces. Le projet Pandora de la CIA de contrôle mental par ondes électromagnétiques y est déclassifié après des décennies de ridiculisation en théorie du complot.

Source et Traduction :
Nico Cible https://odysee.com/@nicocible:4/DARPA-Agence-MILITAIRE-CERVEAU-2021:e

Vidéo d’origine : America’s Book Of Secrets: DARPA’s Secret Mind Control Technology (Season 4) | History
https://www.youtube.com/watch?v=wZRkfBsTTt8

[Note de Joseph :
Je prends pour ma part avec un gros grain de sel la mention de l’utilisation de la technologie CRISPR dans l’idée de modifier l’ADN afin de rendre l’Homme plus contrôlable mentalement. D’une part il existe déjà des brevets divers en but du contrôle mental, certains par des ultrasons et d’autres par ondes électromagnétiques, avec ou sans implants cérébraux (voir le dossier Implants numériques et contrôle mental). Et d’autre part, une telle mention, comme dans le cas de la supposée protéine Spike des vaxins dits à ARNm, a de fortes chances de constituer un bon écran de fumée pour empêcher le public de prendre conscience de la nanotechnologie à base de graphène détectée par plusieurs équipes de chercheurs dans lesdits vaccins, nanotechnologie capable de franchir la barrière hématoencéphalique et de se greffer sur les neurones pour transformer l’Homme en transhumain partie intégrante de l’Internet des corps (lorsque la 6G sera établie. La 5G réalise l’étape préalable de l’Internet des objets et permet de tester cette nanotechnologie. Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ? ).]






France — Vers la fin des médecines alternatives ?

[Source : drschmitz.com via santeglobale. world]

Par Dr Schmitz (29 février)

Définitivement balayée. La santé alternative va l’être d’ici quelques semaines.

Chère lectrice, cher lecteur, je suis désolé de vous l’annoncer.

C’est exactement ce qui va se produire si nous ne faisons rien.

L’article 4 de la loi contre les dérives sectaires, récemment votée à l’Assemblée nationale, de façon fort peu démocratique, nous met en face de cette situation tragique.

En effet, il s’agit d’empêcher toute possibilité d’expression contre la médecine officielle — celle des labos soutenus par l’État.

Les répercussions de cette loi sonnent la fin de la médecine alternative, et représentent la pire des menaces pour VOTRE santé.

Voici pourquoi.

Ils sonnent le glas de la santé alternative

Bientôt, cet article de loi va nous interdire de critiquer les traitements médicaux potentiellement nocifs pour les patients.

Cela veut dire que la médecine médicamenteuse, celle des laboratoires pharmaceutiques, sera considérée comme infaillible. Si elle est infaillible, il n’y a aucune raison de parler d’autres traitements.

Car prévenir plutôt que guérir, ou vous soigner par d’autres moyens que ceux privilégiés par l’État, c’est déjà supposer que la médecine officielle ne suffit pas.

C’est un comportement déviant que cette loi entend réduire au silence.

Il en sera ainsi de cette lettre d’information que vous lisez. Non seulement elle critique des injections expérimentales, mais en plus elle vous informe de médecines moins violentes que la médecine d’État…

Donc notre lettre, vous commencerez à ne la recevoir qu’une fois sur deux, puis sur trois, puis plus du tout. Et ainsi des autres lettres…

Mais cela ne s’arrête pas là. Aujourd’hui, tout ce qui existe, n’existe que parce qu’on en parle publiquement. Donc si ça s’arrête, ça n’existe plus.

À tomber dans le silence, la médecine alternative va tomber rapidement dans l’oubli.

Les magasins de remèdes naturels commenceront à disparaître, les sites internet, les salons, les herboristeries… et aussi les techniques de santé de pointe, les moins invasives.

Il ne s’agit donc pas seulement de nous faire disparaître, nous. Mais d’empêcher l’existence même d’une médecine qui ne traite pas ses patients comme des cobayes.

Cette loi que les labos attendent depuis si longtemps

Le mardi 13 février, à l’Assemblée nationale française, avait été refusé l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires — avant qu’il ne soit adopté de force.

Cet article 4 est proprement liberticide. C’est une condamnation de la médecine alternative. C’est aussi la porte ouverte à la tous les traitements expérimentaux à grande échelle.

En principe, cet article de loi condamne les gourous de secte qui font refuser des traitements à leurs « disciples ».

Mais il nous touche directement si l’État détermine que nos lettres vous dissuadent de prendre n’importe quel médicament (l’alinéa 4).

Et ce même si ce médicament est dangereux — puisqu’il ne pourra de toute façon pas être attaqué.

Ainsi, dans les faits, cet article de loi interdit toute remise en question — même scientifique — des laboratoires pharmaceutiques et de leurs relais dans l’opinion, notamment l’injection expérimentale anticovid.

Allez donc prouver ensuite que l’État a commis des crimes sous prétexte d’avoir obligé la population à prendre des traitements expérimentaux à grande échelle.

Ce sera impossible. Tout avis contraire à « l’état des connaissances médicales » (aux intérêts du lobby pharmaceutique) sera bâillonné d’avance.

C’est donc une loi pour étouffer toute critique de la médecine médicamenteuse et qui vise à détruire la médecine alternative.

Car, répétons-le, la médecine alternative n’existe que parce qu’elle a aujourd’hui des auteurs qui la font vivre dans l’opinion publique.

Ce climat de censure et de collusion dissimule donc quelque chose de beaucoup plus profond et même, de funeste.

Combien de morts a-t-il sur la conscience ?

Le débat sur l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires nous a valu une sortie de l’effroyable Olivier Véran à l’Assemblée nationale.

Or devant la représentation nationale, Olivier Véran, qui a fait injecter des produits expérimentaux aux 2/3 des Français a traité le professeur Didier Raoult de gourou !

Ce n’est pas la honte qui l’étouffe, mais la crainte.

Olivier Véran aurait-il du sang sur les mains suite à l’injection anticovid ?

Pour tous les jeunes qui ont fait des myocardites suspectes ? L’État en déclarait un petit millier début 2021, combien aujourd’hui ?1

Pour toutes les femmes qui se déclarent stériles ? Comme les 3 500 témoignages du collectif Où est mon cycle ?2

Pour tous les cancers qui se sont éveillés et réveillés, possiblement à la suite de la vaccination ?

Surtout après que les injections ARN fourmillent de traces d’ADN pouvant causer des cancers3, au point qu’en Floride, il est question d’interdire ces « vaccins » ?4

Par conséquent, on s’interroge sur la moralité de notre héros de la crise sanitaire, Olivier Véran. On se demande s’il peut encore se regarder dans un miroir. Il n’arriverait pas à le faire s’il y voyait ce que nous, nous y voyons.

Et puisque l’opinion publique réclame une enquête, et qu’il faudra un jour la faire, alors il intimide. Ce qui est tout à fait conforme à la belle idée que tant de Français se sont faits de lui.

L’autoritarisme glacial des vaccinateurs en masse

Nous savons que Mr Véran est l’ennemi des médias alternatifs, de la médecine alternative et de tous les médecins et chercheurs qui ont pris parti contre lui.

Et, non seulement il nous méprise, mais il nous persécute, il veut notre disparition.

L’avantage, c’est que nous n’avons plus grand-chose à perdre. Lui non plus apparemment, puisqu’au moment où nous écrivons, il a refait voter l’article 4 pour le faire passer en force, en prétextant un vice de forme…

Curieusement, beaucoup de députés se sont abstenus, ont été pris d’un soudain manque de courage. Ce qui a permis à l’article d’être adopté, et a créé un tollé… bien peu relayé dans les médias subventionnés.

Or les méthodes peu ragoûtantes du gouvernement sont connues : LFI a porté plainte en décembre dernier pour corruption contre Gérald Darmanin.5 (Ouest-France du 12 décembre dernier).

En effet, le ministre de l’Intérieur avait alors fait du chantage à un député pour faire basculer son vote. Sauf que son message a été envoyé à un homonyme du député en question ! Est-ce cela, une démocratie ?

Cela jette une lumière extrêmement suspecte sur le retrait de presque toute l’opposition concernant le « revote » de l’article 4…

C’est bien la fin qui nous menace

Ainsi, le soupçon que l’on ait tordu le bras des parlementaires sur le « revote » de cette loi, est plus fort que jamais. Surtout lorsqu’on sait combien l’industrie pharmaceutique a le bras long en politique.

Rappelons que jusqu’en 1995, de nombreux ministres de la Santé touchaient directement de l’argent des labos, c’est le Figaro qui nous l’apprend.6

Et d’autre part, nous savons combien Emmanuel Macron est proche de Pfizer, auquel il doit sa fortune personnelle.7

Il s’agit donc d’un pur déni démocratique. Une loi digne d’une république bananière.

Elle laisse augurer d’une destruction en règle de toute dissidence. Et il suffit que vous vouliez avoir la liberté de prendre soin de vous et de vous soigner comme vous l’entendez pour être dissident.

Un seul et dernier recours avant l’affrontement

Le problème, c’est qu’il ne s’agit pas, dans cet article 4, de regarder la composition des huiles essentielles et d’éviter que des écervelés ne les avalent par lampées entières.

Il ne s’agit pas non plus de se demander si les vidéos de Thierry Casasnovas alimentent le discrédit envers les traitements ultraviolents contre le cancer…

Surtout quand Michel Houellebecq critique ces mêmes traitements dans son dernier roman, Anéantir, où il ne se montre d’autre part guère sévère contre le gouvernement, loin de là.

Il s’agit seulement d’instaurer pour de bon une pharmacratie.

Cela signifie que vous avez le droit à veiller sur votre santé comme vous l’entendez… seulement si vous êtes très proche du gouvernement. Sinon, gare à vous…

Or pour notre part, nous croyons encore à la démocratie. Où nous avons tous droit au débat d’idées, droit de choisir nos traitements médicaux, droit de confronter des points de vue différents sur la médecine.

Et nous avons tous le droit d’exiger que nos gouvernements prennent le parti de notre santé, plutôt que de ceux qui s’engraissent sur la maladie…

En principe, le Conseil constitutionnel devrait rendre un avis sur cet article 4. L’avis qui sera rendu déterminera prochainement si la guerre contre une santé libre et honnête est déclarée.

En attendant, préparez-vous une belle armoire à pharmacie, achetez des livres et imprimez le savoir qui vous paraît essentiel sur la santé.

Il se pourrait que le moyen-âge revienne plus vite que prévu.

Dr. Thierry Schmitz

Sources




Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?

[Source : JSF – TV]

Une émission du Dr Éric Loridan

Invités : Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado de la Quinta Columna.

Sujet. Nanotechnologie dans les vaccins : guerre ouverte contre les peuples ?

Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger sont les voix principales de la Résistance et de la dissidence. Les plus crédibles, les plus intègres, les plus compétentes. Grâce à leurs expertises nous avons la confirmation que ces prétendus « vaccins » ne sont qu’un concentré de nanotechnologie et constitue de fait, un danger mortel pour la santé.

Ricardo et Astrid abordent le sujet tabou sur le graphène et démontrent que cette campagne d’injections n’est rien d’autre qu’une machination criminelle à l’échelle planétaire. Un crime contre l’humanité construit sur le plus grand mensonge de l’Histoire.

« Il faut frapper le Serpent à la tête… » dit Ricardo…

[Voir aussi notamment :
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Débarrasser le corps du graphène
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur]






La transhumanisation de l’Homme

Louis nous écrit du sérieux : « Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?! Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre. »

Nicolas Bonnal

Par Louis

Macron se plaignait récemment devant les caméras de la difficulté de « réinventer quand tout n’a pas été détruit », phrase anodine de prime abord, mais qui est un leitmotiv chez cet interlope en costume de gendre-idéal pour boomer soixante-huitard forcément attardé. Serge de Beketch disait qu’en raison du Libre Arbitre, le diable était obligé de se dévoiler d’une manière ou d’une autre : un sabot ou une queue fourchue qui dépasse, etc.

Tout est dans le détail, toujours.

Vous citez adéquatement Tocqueville sur la « nécessité » du recours à la guerre pour en finir avec la résistance et la liberté… Il reste une dernière chose eschatologique à nous ôter, définitivement, c’est bien la vie. La Vie dans toute sa dimension spirituelle et religieuse, chrétienne.

Quand il reste selon (https://covidtracker.fr/vaccintracker/) (le nom du site est édifiant ; nous sommes traqués) 18,9 pour cent des gens à traiter, à savoir de personnes dont le gêne-home ou le gène-homme (tiens, ça sonne plus biblique !) n’a pas été trafiqué par vous savez quoi ; le but non avoué de tout cela n’est pas que la liberté, pour quoi faire comme disait l’autre, mais bien la Vie humaine dans son rapport à la création à la vie et donc au salut. Quand on s’attaque à un tel point à la création dans le détail des détails : l’ADN, la génétique, la volonté de saboter est plus qu’évidente.

Ainsi, le monde moderne, malmené par des idées chrétiennes devenues folles avec des gens qui croient en n’importe quoi sauf à Dieu (merci Chesterton), est agité par une mystique du mal, ou plutôt du malin.

Baudelaire disait que la plus belle des ruses du diable était de nous faire croire qu’il n’existait pas, depuis il est passé à la vitesse supérieure celle de nous faire croire que Dieu lui-même n’existait pas.

Cela étant fait, il pourra apparaître le moment venu et tenter de rafler les brebis égarées devenues proies du loup.

Rien n’est gratuit dans cette Psychomachie dont le champ de bataille se trouve être l’âme de l’homme, et tout est bon pour nous détourner du Créateur, comme la farce et l’origine simiesque de l’homme, la science-fiction avec le big badaboum, le pain et les jeux avec le foot et les émissions de bagnoles le dimanche matin, etc., c’est un inventaire à la Prévert.

Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?!

Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre.

Il faut donc éteindre cette chandelle fébrile, étincelle divine dans le tréfonds de l’homme pour l’annihiler, le condamner et donc empêcher de saboter le plan divin.

Tout le reste est accessoire et ne concerne que la mise en scène, les décors, le script, les personnages… Deus absconditus avant le Deus ex machina.




Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

[Source : @FREEDOMUFOS via santeglobale.world]

Par Marc Gray

Je vous propose un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

J’aborde la fraude et les exactions de Louis Pasteur en matière d’immunisation, le coup d’état de la santé publique et privée par la dynastie Rockefeller à l’origine de Big Pharma, des protestations contre la vaccination obligatoire d’Alfred Russell jusqu’à l’ingérence actuelle dans la souveraineté des états de la part de l’OMS et du WEF, le détournement et l’inversion des valeurs pour pucer, hybrider, génocider et implanter l’humanité entière.

La fausse science payée par les milliardaires eugénistes du Nouvel Ordre Mondial, avec le traité Pandémie en attente d’application, l’article 4 chargé de censurer toute contestation et critique du totalitarisme, et la maladie X (le Spars 2025) promise par le WEF et l’OMS, sont autant d’ingrédients à l’œuvre pour nous pourrir la vie, en parfait accord avec l’histoire de cette secte injectologique sans aucune logique scientifique !

Voici la page consacrée à cette vidéo sur mon site :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/lecons-du-passif-de-la-secte-injectologique/

Vous pourrez retrouver les CoronaX-Files ici :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/coronax-files-limposture-planetaire/

Ma page des projets en cours :
https://freedomufos.com/projets-en-cours/

On peut aussi y accéder via ma page des Documents complémentaires :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/

[Voir aussi
Hervé Juvin, député UE, au sujet de l’oxyde de graphène, de la nourriture à base d’insectes et de la 5G,
+ les dossiers
Vaccins et virus,
5G et ondes pulsées
et
Implants numériques et contrôle mental]






Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






« UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité

Suite de Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara

Manifeste original de Unabomber, Theodore Kaczynski :

Voici le nœud gordien

celui qui explique et cause la détresse de dizaines de milliers de fermiers, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs en France et en Europe et donne l’explication en détail de leur ruine programmée (et de la nôtre) par L’AGENDA 2030/GREAT RESET des Globalistes.

Toujours présenté pour le « bien de tous », pour la planète et luttant contre le C02 et le « Changement climatique ».

FARM TO FORK — UE:

https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en

Document :

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52020DC0381
[Ci-dessous, la capture PDF de la page du document :]

« Farm to fork » [« de la ferme à la fourchette »] ou aussi Green Deal, approuvé par le gouvernement français, est ce programme européen (et mondial) au cœur de la colère et de la détresse de nos éleveurs, paysans, agriculteurs.

« Farm to fork » exige une BAISSE de la production agricole Européenne de FRANÇAISE de 20 % pour s’adapter à la COP 28, au « Changement climatique » Agenda 2030 visant à faire baisser drastiquement « les émissions de CO2 » d’ici 2050.

Bien sûr l’Agriculture et l’Élevage sont VISÉS avec les mêmes MENSONGES à l’appui que j’ai décryptés dans mon article : Partie 1 de Unabomber 2030 le Great Reset des pommes de terre et des vaches :

Agenda 2030 basé sur une fausse science « climatique » toute acharnée contre le CO2, qui est avant toute chose l’Élément de la VIE, un agenda canular asséné aux masses depuis 40 ans.

https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

Bien que de nombreux points semblent très positifs, dans « Farm to Fork » : réduction des pesticides, produits chimiques, de la pollution… Il faut bien tout lire, en détail…

Il faut décoder le double langage, car tout cela est promu au nom du « zéro net carbone » en 2050, pas juste de « la fin des plastiques dans les océans ! »

Or, « ZÉRO NET » est une fausse théorie très dangereuse, une ABSURDITÉ SCIENTIFIQUE conduisant à l’Extinction des ressources de la terre et de ses espèces et non à leur préservation.

LE BUT RÉEL

Brimer et faire disparaître des milliers d’élevages de fermes, d’exploitations ? Pourquoi ?

Pour le contrôle absolu sur la Nourriture pour l’humanité par quelques-uns, avec une main de fer face au petit humain qui doit bien se nourrir tous les jours

Le But est d’asseoir le Règne des grandes entreprises de bio technologie et génétique sur l’Agriculture et l’Alimentation en général et mettre l’IA au cœur d’un nouveau système alimentaire mondial Transnaturel.

Tout cela au nom de « la nature et de l’écologie », au nom d’un « système agricole et élevage durable » triple mensonge, au service de « cette nouvelle Humanité responsable et consentante pour sauver la Planète. »

Nos agriculteurs (hormis les très gros), éleveurs de vaches, moutons, chèvres, poulets fermiers ou de terroir, les pêcheurs, les laiteries de Normandie et fromagers de France sont les premiers à en souffrir et à aller vers leur expropriation, ou la vente de leurs terres, causées par la ruine, taxes, règlements draconiens, jachères, importation de produits toxiques à bas prix, venant d’autres pays par Traités de libre-échange UE, règles bureaucratiques « au nom du Climat » sans fin, menant à une production réduite par ces règles, pas achetée ou achetée à ZÉRO gain, que de la perte ! Et c’est pareil dans tous les pays européens et ailleurs aussi (INDE, CANADA, etc.. )

Seuls les très gros exploitants adhérents au Programme se développent ou font du profit, mais des milliers de petites et moyennes exploitations sont abandonnées, vendues, ou alors les exploitants se suicident !

De plus les cheptels, les volailles, les bêtes sont soumises à des contrôles sanitaires incessants sous prétexte de suspicion de « grippe aviaire » ou autre maladie des bovins par exemple, avec pour RÉSULTAT, en tant que « Prévention des épidémies » par l’OMS, qu’à la moindre suspicion réelle ou supposée d’un poulet ou une vache patraque, des MILLIONS de bêtes sont abattues en France et dans le monde et toutes les autres « vaccinées » dare-dare, avec les nouveaux vaccins vétérinaires à ARN ou ADN. (Qui contiennent aussi du GRAPHÈNE, des HYDROGELS ET de la BIOLOGIE SYNTHÉTIQUE).

SANS OUBLIER LES POISSONS

Ils « vaccinent » sur une chaîne automatisée le poisson norvégien sauce ADN :



« Chaque dose de 0,05 ml contient : Substance active : ADN plasmidique pUK-SPDV-poly2 # 1 codant pour les protéines du virus de la maladie du pancréas du saumon : 6,0 à 9,4 μg. »

LA DÉTESTATION DE LA VIANDE ET DE L’ÉLEVAGE
même traditionnel

est répétée tout au long des documents de Farm to Fork.

Alors que NOUS, demandons la FIN des monstrueux élevages industriels de torture avec millions de poulets ou vaches dans des conditions sanitaires et des conditions de non-vie INNOMMABLES et CRUELLES, en cages, nous demandons la préservation des élevages traditionnels à taille humaine respectant le bien être des animaux, leur accès à la terre, au mouvement en liberté, à l’herbe, aux pâturages, au soleil, à l’air libre, avec une nourriture SAINE et naturelle pour chaque espèce.

Dans Farm to Fork :

la Viande, même l’élevage fermier ou même l’élevage laitier et fromages, sont désignés comme Le problème, l’ENNEMI NUMÉRO UN, avec un record de « gaz à effet de serre » CO2 et de méthane émis et donc designés directement responsables à un haut degré du « Changement climatique » sur Terre.

( FURIEUX MENSONGE au niveau de la réalité et de la SCIENCE)

Or, les obèses, ne changeront rien à leur addiction, les addicts au fast food idem, les Hallal épris de mouton rôti ne changeront rien, les végans hystériques non plus ne changeront rien, les « bio plus que bio » ne changeront rien, les Français épris de bœuf bourguignon non plus, ou pas de sitôt.

COMMENT CONTRAINDRE LES CONSOMMATEURS ?

L’uniformisation industrielle et bio technologique de la nourriture et les « pass carbone » coercitifs feront accepter n’importe quoi, si :

  • 1 ) le prix est assez BAS
  • 2 ) les points carbone du mois sont épuisés en quelques jours par 1 vrai steak et 4 vrais œufs pour votre famille !
  • 3 ) ÇA RESSEMBLE à de la viande ou à des plats traditionnels.

VERS UNE NOURRITURE DE SYNTHÈSE et de LABOS

Sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (Farm fo Fork document).

3- 1 Recherche, innovation, technologie et investissements

La recherche et l’innovation (R&I) sont des facteurs essentiels pour accélérer la transition vers des systèmes alimentaires durables, sains et inclusifs de la production primaire à la consommation.

La R&I peut contribuer à mettre au point et tester des solutions, à surmonter les obstacles et à mettre au jour de nouvelles perspectives commerciales
Dans le cadre du programme Horizon 2020, la Commission prépare un appel à propositions supplémentaire concernant les priorités du pacte vert pour 2020 pour un montant total approximatif de 1 milliard d’euros.

Dans le cadre du programme Horizon Europe, elle propose de consacrer 10 milliards d’euros à la R&I dans les domaines de l’alimentation, de la bioéconomie, des ressources naturelles, de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de l’environnement,

Ainsi que d’utiliser des technologies numériques et des solutions naturelles dans le secteur agroalimentaire.
L’un des principaux domaines de recherche concernera le microbiome, les denrées alimentaires provenant des océans, les systèmes alimentaires urbains ainsi que l’augmentation de la disponibilité et des sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (de synthèse).

https://www.kla.tv/GenieGenetique/25436
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=C.

(D’où j’en déduis que la dernière marotte de BILL GATES sur le MICROBIOME n’est pas arrivée par hasard)
du PDF :
https://food.ec.europa.eu/document/download/472acca8-.
https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork.
[ou https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en?prefLang=fr&etrans=fr en traduction française]

Il est clair que la révolte agricole Française légitime a été rondement menée sous un contrôle de Syndicats alliés du gouvernement, qui eux adhèrent à l’UE, aux règles, à l’Agenda 2030 ONU et à FARM TO FORK UE, pour tenter de désamorcer la possible révolte incontrôlable de la base, des petits et moyens exploitants, qui eux, sont ruinés par cet agenda.

Le Salon de l’Agriculture survolté et en révolte depuis le 24 février 2024 à PARIS démontre que les agriculteurs et éleveurs n’ont pas été dupes des magouilles et des mensonges du gouvernement et certains comprennent progressivement l’énormité et l’insanité pour eux et pour toute l’HUMANITÉ des plans cachés dans les documents de l’UE et du WEF

UN « GREAT RESET » ANTI NATURE :

Extrait de la vidéo de Ernst Wolff Kla.TV :

« Nous vivons actuellement dans le monde entier un changement d’époque économique et social, l’entrée dans l’ère numérique. Une infime minorité nous y conduit toutefois. Et ce, sans que la majorité ait le moindre droit de regard. Cette minorité, un cartel de puissants groupes financiers et informatiques, poursuit plusieurs objectifs, désormais connus sous le nom de “Great Reset”. Elle veut nous enregistrer tous de manière biométrique, elle veut nous imposer une nouvelle monnaie, c’est-à-dire la monnaie numérique de la banque centrale, et elle veut transformer l’agriculture de fond en comble.

Et ce, grâce à ce qu’on appelle “le smart farming” [l’agriculture intelligente]. Cela comprend l’automatisation du travail des tracteurs et des outils, l’utilisation de drones ou de robots de travail et l’utilisation de l’intelligence artificielle, par exemple par l’application d’algorithmes à la production végétale. Mais ce n’est pas tout.

Le Great Reset dans le domaine de l’agriculture mise avant tout sur les découvertes de la biologie synthétique, c’est-à-dire sur les semences génétiquement modifiées et, depuis peu, sur la viande de laboratoire. Les protagonistes du Great Reset nous vendent tout cela comme des mesures prises dans notre intérêt pour lutter contre le changement climatique.

Les semences doivent soi-disant être manipulées pour rendre les plantes résistantes au changement climatique. Et la viande de laboratoire doit remplacer la viande normale. Puisque les bovins, les porcs et les moutons émettent trop de méthane. Tout cela n’est pas une satire, mais une amère réalité.

Derrière tout cela se cache un business de plusieurs milliards de dollars dans lequel de nombreux grands investisseurs se sont déjà lancés. Mais cela signifie également la soumission totale de l’agriculture à ces investisseurs. Car les licences et les brevets, aussi bien sur les semences résistantes au climat que sur la viande de laboratoire neutre pour le climat, ne reviennent évidemment pas aux agriculteurs, mais aux représentants du cartel.

Le smart farming, soyons clairs à ce sujet, ne contribuera pas plus à sauver le monde que tout le reste de l’agenda climatique.

Le smart farming n’est rien d’autre qu’un énorme business au profit d’une infime minorité et, en outre, la fin de l’agriculture telle que nous la connaissons. La politique joue un rôle particulièrement peu glorieux dans cette évolution fatale, car elle s’est presque entièrement soumise à l’agenda du Great Reset. »

https://www.kla.tv/28044

Viande de Laboratoire :

« Après Singapour, les États-Unis sont le deuxième pays au monde à autoriser la consommation humaine de viande produite artificiellement. Cela pourrait signifier la percée de cette nouvelle technologie. Le marché mondial de la “viande artificielle” est déjà estimé à 247 millions de dollars, avec un taux de croissance annuel de plus de 50 % d’ici 2030. »

Le FOND :

https://www.kla.tv/27996

LES COUPABLES : ONU, OMS et le FEM

Les trois ont déclaré conjointement la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » :

https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire »

de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’humanité.

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs bio technologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO2, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de Heiko Schöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” »

ARN ET ADN contaminant les Nourritures et les Vaccins proposes par ONE HEALTH

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté.

Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

Théara :

L’ÉLEVAGE AU NIVEAU MONDIAL doit être « VACCINÉ » AVEC DES NOUVEAUX « VACCINS à ARN et ADN »

PROGRAMME ONE HEALTH

Extrait :

« D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN »

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1

https://www.intvetvaccnet.co.uk/blog/taking-a-one-health-approach-to-tackling-infectious-diseases

Suite article L’Arme Alimentaire :

« Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. »

« Les “vaccins autodisséminés”, des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission. »

« De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [Tracking Devices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce “code-barres ADN”, comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — “généralement inoffensives” ! »

« Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! »

« Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la “régulation” de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. »

food.ec.europa.eu
Farm to Fork Strategy

SVP lire partie 1 :
https://wordpress.com/post/lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/4787
SUR NOUVEAU MONDE :
https://nouveau-monde.ca/unabomber-2030-le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches/

Article rédigé par Theara Truth News FRANCE
le 4 février 2024, mis à jour le 25/02/2024
avec de nombreux passages d’émissions de Kla.TV en vidéos et par écrit.




Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara TRUTH NEWS

Le dernier COMBAT de l’Humanité contre les Élites technocratiques et transhumanistes / SOUTENONS NOS AGRICULTEURS, ÉLEVEURS, PÊCHEURS !

Introduction

https://www.kla.tv/28044

Déjà deux grands pays agricoles qui, face à l’UE et aux gouvernements traîtres de leur pays, ont décidé de monter un parti politique INDÉPENDANT des Agriculteurs Eleveurs.

IRLANDE :

https://www.farmersalliance.ie/

PAYS-BAS

https://www.theguardian.com/environment/2022/nov/18/dutch-pro-farming-party-fires-up-the-anti-establishment-vote

https://www.lifesitenews.com/opinion/the-dutch-farmers-have-created-their-own-political-party-and-its-doing-well-in-the-polls/

ÉCOSSE : ras-le-bol des Agriculteurs éleveurs !

https://expose-news.com/2024/01/25/scottish-farmers-protest-weve-had-enough/

Les IRLANDAIS et NÉERLANDAIS ONT BIEN COMPRIS que le but n’est pas seulement pour leurs gouvernements via l’UE de promouvoir l’importation de produits dévalorisant les leurs, ou de les asphyxier de RÉGLEMENTATIONS et de TAXES et NORMES ou d’augmenter le prix du Gaz oil.

LES INDIENS SE REBIFFENT AUSSI ( Février 2024 ) :

https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/xqux0xq

En fait cela VA BIEN AU-DELÀ : sous prétexte d’« agenda VERT » et « préserver des espèces », sous prétexte d’arrêter le azote « des bouses de vaches », d’amoindrir « le méthane et le CO2 émis par le bétail », les Élites du WEF/ONU/OMS/UE/AGENDA 21 VEULENT SUPPRIMER L’AGRICULTURE et l’ÉLEVAGE TRADITIONNELS.

DOCUMENTAIRE :

https://www.theepochtimes.com/epochtv/nofarmersnofood-5390883

Le prétexte du CO2

Toutes ces absurdités de pollution CO2 ou méthane par ces pauvres bêtes ou par l’agriculture sont évidemment des faits manipulés et sans rapport aucun avec un « global warming » ou « des gaz à effets de serre » dont NI L’HOMME, NI LES ÉLEVAGES, NI LES CULTURES ne sont RESPONSABLES. Ni au Néolithique ni au 21e siècle.

Étant donné que le « méchant CO2 » de AL GORE EST UNE MONUMENTALE ARNAQUE (DOCUMENTÉE) inventée au CLUB DE ROME dès 1972 pour RÉDUIRE LA CROISSANCE, DÉPOPULER, BRIMER, CONTRÔLER l’AGRICULTURE, SAISIR LES TERRES ET PARQUER au final le bétail HUMAIN :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/ LIMIT TO GROWTH — CLUB DE ROME — 1972

Des variations de températures et du CO2 existent depuis des millénaires et sont dus à des influences de la planète Terre et du système solaire sur le climat de la Terre, pendant des milliers d’années et cela est documenté et prouvé.

https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui

Les causes de variation du climat « dues à l’activité humaine », même celle de L ’ère industrielle, sont négligeables, en tant que valeurs de CO2 en plus ou en moins.

De plus, le CO2 est BON POUR LES PLANTES ET LA PLANÈTE.

Seuls BILL GATES et ses adeptes disent le contraire. Sans preuve. Comme le GIEC.

Bill Gates qui rachète des milliers d’hectares de terres agricoles, de prairies, tandis que les exploitants conduits à la ruine ou au suicide s’en vont.

Pendant ce temps, la réalité agricole

Pendant ce temps les traités de Libre Échange avec l’autre bout du monde sont établis, prouvant l’hypocrisie de l UE et de son « Agenda Vert ».

Pendant ce temps des milliers de poulets ukrainiens ou de pays lointains gavés d’hormones et d’antibiotiques sont déversés sur le marché français, sans étiquette sur les conditions d’élevage, sans informations au Consommateur, ruinant la filière volaille française.

Pendant ce temps l’Agro-industrie ou la Grande Distribution achète un kilo de patates 40 cm et le revend 3, 90 euros ou plus en supermarché..

Idem pour le LAIT les ŒUFS la VIANDE les FRUITS, etc.

Pollution électromagnétique et électrique

Pendant ce temps et pendant cet enfumage « Green Agenda » des centaines d’éleveurs perdent leurs veaux, vaches, poulets, œufs à cause des ANTENNES RELAIS 4G/5G, des ÉOLIENNES et lignes haute tension, tout le VIVANT étant hypersensible à la pollution électromagnétique.

Tous les pollinisateurs et Oiseaux disparaissent à cause de cette pollution EMF intense de micro-ondes sur tout l’environnement, cela est prouvé par plus de 10 000 études scientifiques :

https://www.5gspaceappeal.org/

La seule pollution réelle du 21e siècle est : CHIMIQUE, NANOTECHNOLOGIQUE, ONDES EMF et PLASTIQUE, elle ne vient pas de « gaz à effet de serre »

IRLANDAIS ET NÉERLANDAIS sont en avance sur les « agriculteurs français »

Car ils ont BIEN COMPRIS que le VRAI BUT c’est de les CHASSER de leurs terres et REPRENDRE LES TERRES pour l’AGENDA 21 / 2030 du WEF ONU (dans l’AGENDA 21, c’est BUT des ÉLITES)

Que l’alimentation échappe à l’humanité, aux paysans, aux fermiers, et soit sous total contrôle de LOBBIES, DE SCIENTISTES comme BILL GATES et dirigeants auto proclamés de la planète comme SCHWAB et son WEF, comme l’OMS et L’ONU… Pour passer de l’alimentation traditionnelle à des aliments modifiés par la Biotechnologie, la génétique, l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels.

L’invasion numérique

L’agriculture doit selon eux être renouvelée en « SMART FARMING » par le Numérique, la robotisation avec des Algorythmes à la Production au moyen de l’Intelligence artificielle, des drones, du traçage numérique via 5G, des « bio-sensors » dans les animaux, des colliers 5G au cou des vaches, etc..

Évidemment les petits producteurs et éleveurs locaux ou traditionnels doivent être éliminés d’office et ce sont les grands ou les très grands qui vont avoir droit à ce « Smart Farming », à ce « Great Reset des pommes de terre et des vaches » (mon image).

Altération biologique par les vaccins et les OGM

En ce qui concerne les vaccins pour les élevages :

ONU ET OMS ont mis en place un programme récent et DANGEREUX pour les GÉNOMES NATURELS, nommé « ONE HEALTH » qui lie la santé humaine directement à la santé animale, avec un programme mondial de « vaxins » biotechnologiques ou à « ARNm » pour tout le monde (tous les animaux, poulets, humains, poissons, poussins, tomates, salades, etc.)

https://www.woah.org/fr/ce-que-nous-faisons/initiatives-mondiales/une-seule-sante/

« Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. » 

(Source)

Suppression du naturel pour imposer l’artificiel

L’OMS prévient et prétend que l’alimentation, les fermes, les cultures sont néfastes pour l’humanité et la planète !!

Et je vais vous dire ce qui est prévu pour vous et vos enfants, si nous laissons faire et si les agriculteurs et fermiers et pêcheurs disparaissent ou sont empêchés de produire de bonnes choses ou obligés pour les restants d’OBÉIR a des NORMES technocratiques sans fin qui leur feront rendre la Clef des Champs.

D’abord il y a aura une FAMINE MONDIALE OU en tout cas de très sévères RESTRICTIONS ET PÉNURIES pour que ces élites diaboliques puissent faire « le Great Reset des Pommes de terre et des vaches » (c’est une image) et que votre droit à s’alimenter soit sous contrôle d’un ID numérique polyvalent (Identité, Energie, transports, santé et vaccins, « compte bancaire » de monnaie numérique, Alimentation)

Bien sûr la « SOLUTION » « SOLEIL VERT » ARRIVERA DU WEF de l’UE, de TOUS LES GOUVERNEMENTS AUX ORDRES et de l’OMS :

  • Manger des insectes !
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/01/16/lunion-europeenne-veut-vous-faire-manger-des-vers-et-des-insectes-pour-sauver-la-planete/

  • De la viande de chanvre ou de compost
  • De la viande artificielle de BILL GATES poussée en labo ou imprimée en 3D
    Le marché en pleine expansion de la viande artificielle est également dominé par un très petit nombre de géants de l’agroalimentaire qui, eux aussi, sont détenus par BlackRock et Vanguard.
  • Des légumes OGM, aseptisés et VACCINÉS
    Oui vous avez bien lu, VACCINÉS et ainsi soi-disant résistant au « Climate change ».
  • Des FRUITS « VACCINÉS »
  • Du LAIT OGM
    Bien sûr de vaches « VACCINÉES » à ARNm
  • Du lait VÉGÉTAL aussi toxique que l’autre avec des plantes OGM à la base (soja OGM, Riz transgénique, etc.)

Rarement, très rarement, vous aurez droit à du poisson d’élevage ou du vrai poulet ou du bœuf VACCINÉS à VACCINS ARNm pour « votre sécurité », les achats étant décotés de vos points sur votre PASS CARBONE.

GRAPHÈNE, PEG et QUANTUM DOTS sont déjà présents dans toute l’alimentation industrielle : rien que cela produit une altération, une corruption évidente de la biologie (voire des ADN), celle des animaux, de L’HOMME et même des plantes, des poissons, des crevettes, des pommes, des salades, des légumes, etc.

Un quota de protéines animales à ne pas dépasser, sera attribué à chacun, associé à ton pass CARBONE.

Objectif : dépopulation et contrôle

Ainsi le « monde d’après » PSYCHOPATHIQUE du « WEF & CO » compte bien contrôler une population dépendante, sans accès a la nourriture à l’ancienne, une population pucée, vaccinée, hybridée, parquée dans des Smart Cities ou « villes 15 min » sous 5G/ 6G, avec un pass carbone, un ID Numérique et un réseau nano intracorporel graphène/quantum dots/ Luciferase et donc neuromodulable par les ondes, pour le lier au CLOUD et à l’IA à jamais où votre ID Numérique vous permettra ou pas d’acheter votre ration alimentaire.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/19/liran-lance-le-rationnement-alimentaire-couple-a-un-systeme-didentification-biometrique/

Un Transhumain robotisé et obéissant, ne « possédant rien, mais étant heureux », sous le SOMA multiforme du BRAVE NEW WORLD 2.0

« Qui contrôle l’ALIMENTATION
et les terres contrôle le MONDE »

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines.

MANIFESTO « UNABOMBER 2030 »

Chers Paysans, fermiers, éleveurs nous vous soutenons, mais allez vous enfin dire le FOND du PROBLÈME ? Qui est que le WEF veut VOS terres, qu’ils veulent contrôler tous les peuples en contrôlant l’alimentation et la propriété privée (et les annihiler pour leur « monde d’après »), parquer l’Humain dans des villes 15 min sous 5G, dans un monde tout numérique, une vie quasi virtuelle et sans âme, sans plus de contact entre l’Homme et la Nature…

Un de leurs buts premiers pour cela étant d’arriver à exproprier les paysans fermiers, éleveurs, en les poussant au désespoir par la coercition, les taxes, les normes, la misère financière puis les exproprier et récupérer les terres quasiment pour rien. Ce que fait BILL GATES de manière exponentielle. Cet agenda a commencé il y a des décades.

Ils font actuellement semblant de favoriser le BIO, mais ce n’est qu’un stade 1, pour « normer » plus et pourrir la vie et les revenus des non-bios et vice versa.

Mais sachez que favoriser le bio et l’autonomie alimentaire d’un pays d’une région ou d’une famille n’est PAS LEUR AGENDA.

A la place, ils souhaitent une alimentation sous contrôle, au mieux OGM et Production en agrochimique, mais ils veulent AUSSI et FONT déjà de nouveaux vaccins sur les élevages qui se retrouvent vaccinés avec QUOI ? Avec les nouveaux vaccins à ARN m de type vaxin covid (graphène, poisons, métaux, etc.. )

PROGRAMME ONE HEALTH ONU/OMS

Au stade suivant, ils veulent proposer une alimentation de plus en plus synthétique de LABO, viande, légumes et fruits OGM « vaccinés », tout cela soi-disant « antiCO2 », les aliments étant sous Patentes et Propriété des Industriels.

Bien sûr toutes semences naturelles et reproductives qui sont déjà attaquées de tous bords seraient interdites, hors la loi.

Pour cela une bonne « famine pandémique » qui bien sûr serait mise sur le dos du « climate Change » et non sur l’extermination systématique des exploitations par leurs politiques, offrirait le motif et c’est LEUR AGENDA

Quand on voit que ces ÉLITES osent dire que « produire ses propres légumes potagers, produit 5 fois plus de CO2 que l’industrie agricole », TOUT EST DIT !!

ILS MENTENT BIEN SÛR. Y en a-t-il qui sont assez stupides pour les croire ? OUI, des jeunes biberonnés au smartphone, addicts au smartphone et aux vidéos sans intérêt, avec un QI en constante baisse, ne connaissant plus rien de la vie, de la Nature, du monde réel et… C’ETAIT LE BUT.

Solution ?

Comment faire tomber un système aussi puissant ? Je ne sais pas.

Au moins dénoncer et faire savoir

Mais déjà il faut le dire haut et fort, en LE nommant précisément, pas juste parler des normes ou du fait que la vie est dure.

Elle est dure parce qu’une pieuvre au-dessus de tous les gouvernements et même de L’UE dicte un agenda génocidaire, transhumaniste et inhumain de dépopulation, ennemi de TOUT ce qui fait de nous des humains.

Ce même Agenda au final et contrairement à leurs dires de façades et aussi contre la Nature. La Nature originelle que nous aimons et qui nous soutient et nous nourrit, ils n’en veulent pas, car elle ne peut être ni patentée ni contrôlée, ni exportée sur Mars.. Ils la modifient donc de toutes les manières possibles.

Leur délire transhumaniste d’Homme augmenté par la technologie est réel, la Nature augmentée ou « Transnature » envahie de biologie synthétique et de nanobots est leur rêve absolu (voir AVATAR)

« Alors qu’une série d’incendies détruit soudainement des usines de transformation alimentaire, de viande et d’engrais, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir, un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. …

L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … »

La base d’action des Élites du Club de Rome et leurs successeurs transhumanistes :

La base trompeuse est AGENDA 21 ou AGENDA 2030 un vaste MENSONGE de longue date et très organisé déployé globalement et localement, avec des déclarations alarmistes sur le « global warming », le « climate change », Agenda qui prétend ne vouloir que du bien à la nature et à l’humanité, mais c’est tout l’opposé.

Qui ne parle pas bien sûr des Armes climatiques servant à perturber le climat, stations HAARP, profusion de chemtrails, armes à énergie dirigée ou DEW weapons, canons à micro-ondes, pulsage d’ondes ELF très basses fréquences dans l’atmosphère et l’Ionosphère, satellites 5G en basse orbite (Starlink, One web, One Earth, etc.) tours 5G décimatoires du vivant = ces armes sont si puissantes qu’elles servent à faire à la demande : Ouragans amplifiés, incendies, griller des forets ou des villes ciblées au choix (Californie, Australie, Maui, USA, Canada, monde) activer des tremblements de terre, des tsunamis, des inondations, des précipitations massives ou créer des sécheresses artificielles terribles, faire neiger au Sahara ou en Inde, créer de la neige artificielle, des tornades, etc.

L’Agenda 21 / 2030

L’Agenda 21 / 2030 for « sustainable development » [développement durable] est l’outil parfait de manipulation mentale pour faire faire à l’Humanité ce que l’on veut qu’elle fasse. En fait c’est le Great Reset promu par Schwab, ONU et FEM travaillant en partenariat.

C’est contre l’HUMANITÉ et contre les animaux d’élevage, voués au massacre vaccinal et à une drastique réduction du nombre de bêtes sous prétexte d’« azote, de méthane, de CO2 » produit par les vaches ou les poules !

Présentation EN FRANÇAIS de « Agenda 21 » par ROSA KOIRE.

VISIONNER :



AGENDA 21 AGENDA 2030 : LE BUT

Dans AGENDA 21/ 2030 les ZONES préservées de NATURE sans AUCUNE ACTIVITÉ HUMAINE sont prévues constituer 70, voire 80 % de la surface des terres de la Terre

Un pourcentage des terres serait autorise avec « activité humaine » sous contrôle TRÈS strict

Un autre petit pourcentage des terres serait ULTRA peuplé : ce sont les zones URBAINES CONCENTRÉES et en fait concentrationnaires ou 98 % de la population mondiale doit être poussée à vivre dans un environnement terrible de tout numérique, basé SUR UN ID NUMÉRIQUE avec passeport carbone, passeport vaccinal, alimentation, monnaie numérique, déplacements 15 MN maxi, avec 5G / 6G à tous les coins de rue et dans les domiciles.

Je précise que ce n’est pas que pour les USA, c’est global.

le CO2 et le « climate change » servant AUSSI DE PRÉTEXTE à cet agenda URBAIN de « VILLES INTELLIGENTES » [SMART CITIES] SOUS CONTRÔLE NUMÉRIQUE et ANTENNES 5G/6G + AI

L’addiction des gens des jeunes des enfants au smart phone, au WIFI et l’acceptation du tout numérique, de la monnaie numérique, d’un ID Numérique, de la 5G de la 6G est la BASE ET LE SEUL MOYEN POUR EUX D’INSTAURER CE « GREAT RESET » GLOBAL et LOCAL.
C’est ainsi que le smart phone a été mis dans les mains de la population mondiale, ce n’était pas pour vous libérer, même s’il est très utile au départ, ainsi que l’Internet (voué à être sous contrôle total), mais au final pour vous enfermer.

J’espère que les agriculteurs ont bien conscience qu’ils sont ou vont être manipulés par les syndicats, les gouvernements et certains meneurs, ne rien lâcher, dénoncer le WEF haut et fort, faire tomber Bruxelles

N’obéir à personne. C’est le dernier combat : la liberté, l’humanité et la Nature OU le Transhumanisme, la fin de l’humain et de l’animal naturel et de notre civilisation millénaire, quelque soit le pays et l’ethnie.

Par contre que ces paysans arrêtent de dire qu’ils veulent avoir droit a plus de pesticides à cause de la « concurrence » déloyale étrangère, car c’est contre eux, contre nous, contre les pollinisateurs et contre la terre et le Vivant au final.

Qu’ils COMMENCENT aussi par se rendre compte que les « vaccins » pour leurs bêtes deviennent à présent des armes biologiques destructrices de même TYPE que les vax covid, institués et imposés globalement par le programme ONE Health de OMS ONU qui est déjà en cours !

Qu’ils arrêtent de les « VACCINER » avant que tout déraille au niveau génétique.

Qu’ils vendent au peuple de la nourriture saine, produisant peut-être un peu moins, mais à UN prix PLUS élevé pour eux à la vente, qui les fera VIVRE et sera bien au-dessous de ceux de la grande distribution.

Comment ? Sans les gros intermédiaires Leclerc et compagnie, sans Nestlé, Danone, Lidle, Carrefour, Auchan et sans UE et sans syndicats. 

Sans intermédiaires, que le peuple leur achète leur production, dans les villages, les villes, sur les routes, partout.

Une révolution pacifique globale aussi majeure ne peut avoir lieu que par une conscience aiguë des buts réels du WEF dont l’UE n’est qu’un des petits exécutants, agenda qui avance par stades, masqués, sauf pour ceux qui étudient avec acuité leurs documents et plans.

Lire aussi : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/06/09/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/

extrait :

La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est en cours — s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.

L’histoire en un coup d’œil :

  • La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
  • Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine.
  • L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
  • Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
  • À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.

Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. »

AUTRE ARTICLE RELIÉ : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/11/maladie-guerre-et-famine-le-troisieme-cavalier-du-mondialisme-approche-au-galop/

Autre très bon article : https://nouveau-monde.ca/larme-alimentaire-cest-ce-qui-relie-les-protestations-paysannes-lagenda-2030-et-lattaque-contre-lalimentation/

Theara TRUTH NEWS, 27 janvier 2024

Manifesto « Unabomber 2030 » par Theara
FRANCE

Article de Theara, directement RELIÉ à celui-ci :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/

Plus de nombreux autres articles de Theara sur le Great Reset, L’Agriculture et l’Élevage et le Transhumanisme, sur Pro Fide Catholica :

https://profidecatholica.com/?s=Theara+

À suivre : partie 2. (https://lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/2024/02/04/le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches-partie-2/
ou « UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité)




Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?

[Source : JSF – TV]

Capsule d’Emilie Mugabo à propos de l’omerta sur l’oxyde de graphène et les nanopuces et autres nanocomposants électroniques dans les injections covid et au-delà.

[Voir aussi :
https://www.profession-gendarme.com/droit-de-reponse-demilie-mugabo/
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Le rôle de l’hydrogel et des points quantiques pour le projet transhumaniste
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)
Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
https://xochipelli.fr/2024/02/de-loxyde-de-graphene-des-nano-tubes-de-carbone-de-ladn-synthetique-dans-les-nano-fibres-des-viandes-cellulaires-cultivees-en-cuves-metalliques-et-dans-les-viandes-animal/
Se débarasser du graphène
et les nombreux articles complémentaires des dossiers :
5G et ondes pulsées,
Implants numériques et contrôle mental
et Vaccins et virus]






Astrid Stuckelberger aux rencontres citoyennes internationales de Vierzon

[Source : Dépêches_Citoyennes]

Par Dépêches Citoyennes

Nous avons échangé quelques mots avec le Dr Astrid Stuckelberger qui était présente à Vierzon aux rencontres citoyennes internationales des effets indésirables des covid long et vaccins.
Elle est la marraine de l’association Aresaj.org et considère comme uniques ces rencontres.
Elle considère que nous sommes dans une scène de crime avec ces injections alors que l’on sait qu’il y a une hausse de la mortalité. Depuis début 2021, des alertes sont données concernant le contenu des flacons de vaccins.
Elle déplore le mensonge et débat de la biologie synthétique avec des scientifiques du monde entier. BioNTech : bio nano techno !
Pour elle la cause de la mortalité est nanotechnologique.
Le tribunal d’Almeria a ordonné les analyses des flacons concernant l’oxyde de graphène.
Pourquoi l’OMS s’intéresse à l’édition du génome ?
Elle revient sur l’incident au congrès de Stockholm.
Enfin, elle nous parle de l’ONU et de l’OMS, institutions infiltrées, occupées et totalement sectaires aujourd’hui.






Qui va sauver nos enfants de leur exposition à la sexualisation précoce, hébergée par les… garderies et écoles ?

[Source : lilianeheldkhawam.com]
Par Liliane Held-Khawam

Rapport explosif de SOS Education

Qui est Alfred Kinsey, le prophète de la curieuse éducation sexuelle ?

Le prophète de ce qui ressemble à une violence (pour ne pas dire violation) mentale qui devrait aboutir tôt ou tard à une violence physique, venant par exemple des petits copains, eux-mêmes traumatisés, est le sinistre Alfred Kinsey. L’idéologie de cet homme a trouvé écho dans les antres de l’OMS, financée copieusement par la Fondation Gates. Or Bill Gates a été éclaboussé par le scandale du pédophile notoire Epstein.

« En 1947, il a fondé au sein de l’université de l’Indiana à Bloomington, un Institute for Sex Research (“Institut pour la recherche sur le sexe”), rebaptisé plus tard Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction (appelé couramment Kinsey Institute). L’Institute for Sex Research est à ce jour le seul institut de recherche spécialisé dans l’étude de la sexualité humaine dans le monde anglo-saxon et l’un des rares au monde parmi la quinzaine d’actives. Dans le milieu germanophone, c’est l’Institut pour la recherche sexuelle de Magnus Hirschfeld à l’université de Berlin qui sera le premier fondé en 1919. Dans le milieu francophone, c’est l’Université du Québec à Montréal qui fondera un département de sexologie indépendant en 1969, auquel sont greffés deux chaires de recherches actives. »

Ses travaux ont suscité maintes controverses tant scientifiques que non scientifiques. On lui a principalement reproché ses motivations personnelles à promouvoir son objet d’étude et la médiocre représentativité de l’échantillon de population étudié par son institut.

« Kinsey est accusé d’avoir obtenu les résultats de ses recherches en ayant eu recours aux services d’un nombre inconnu de pédophiles. L’Institut Kinsey s’est toujours refusé à révéler les sources de l’échantillonnage et le contenu de ses archives sensibles. Certains noms ont cependant été mentionnés, comme celui du pédocriminel notoire “Rex King” alias “Mister X” »

Wikipédia

Vincent Held a très tôt alerté sur ce sujet scabreux, intégré au programme scolaire. Et là la Suisse est aux avant-postes. Écoles catholiques incluses.

Sexualisation précoce des enfants : la Suisse aux avant-postes !

C’est un fait : le gouvernement suisse approuve ouvertement les standards de l’OMS en matière d’éducation sexuelle, qu’il considère comme « scientifiquement fondés ». En février 2018, le Conseil fédéral avait ainsi apporté son soutien officiel à la fondation lausannoise Santé Sexuelle Suisse (SSS), une organisation dédiée à la promotion de ces méthodes éducatives « basées sur les droits » :

« SANTÉ SEXUELLE SUISSE […] promeut en Suisse une éducation sexuelle holistique selon les standards OMS Europe. » [5]

Compte tenu de l’horreur absolue de la situation et de l’impératif de voir parents et forces de l’ordre intervenir pour faire cesser ce jeu de massacre toute affaire cessante, Vincent Held a mis en accès libre son livre Asservissement.

Asservissement en accès libre !

Table des matières de Asservissement
Téléchargement du livre, cliquer sur les liens :

vincent-held-asservissement
vincent-held-asservissement (compressé)

Nous saluons le travail de SOS Education et nous invitons tout adulte à s’impliquer dans ce sujet qui ne peut s’accommoder de compromis.

LHK




Nous avons déjà gagné dans le futur !

[Source : nice-provence.info]

Par Rédaction Nice Provence Info

Philippe Guillemant a réagi à notre article du 2 février 2024 intitulé Le pessimisme d’Onfray, ou l’optimisme de Guillemant ?, dans un premier temps sur son canal Télégram, puis directement auprès de notre rédaction. Voici son commentaire à notre article :

Je n’aime pas cette comparaison : Le pessimisme d’Onfray contre mon optimisme.
Je n’aime pas être comparé à un philosophe, ni à un politique, ni même à un scientifique, aussi illustre soit-il.
Je ne reproche rien à l’auteur de cette comparaison qui pourrait d’ailleurs être un ami, ni même à Onfray, toujours très intéressant même s’il a pris des positions largement discutables…
Tout cela m’invite à me positionner dans le « je », alors que je préférerais paraître dans le « jeu ».
Je n’aime pas me laisser piéger dans ce jeu de l’ego qui joue (sans le savoir) à être dans le « je ».
Je préfère un autre jeu : celui de l’émerveillé ! Quésaco ? Désolé, c’est peut-être juste dans mon ADN. Et alors ?
Je suis réellement émerveillé par la réalité de la chute évidente… de tout ce qui nous aliène : elle est en cours et elle est passionnante.
Je ne sais pas comment expliquer cette nouvelle réalité, si mal interprétée ou perçue, à mon sens, par les pessimistes. Ça me fait presque du mal par empathie de me sentir bien.

Pourquoi sont-ils pessimistes ? Je vais donc me risquer à des hypothèses…
• Croient-ils à la fin du monde ?
• Au fait que le carbone va nous détruire ?… Sérieusement ?
• Au fait que toutes les exponentielles sur la fin des ressources nous permettant de subsister ne font que croître ?
• Au fait que toutes les fausses guerres qu’aucun d’entre nous n’a désirées ont une autre origine que la monnaie ?
Réalités ou illusions ?
Autant de questionnements autour d’un avenir sombre.

Alors que pour rester ancrés, on peut aussi interpréter tout cela comme une bonne nouvelle, surtout lorsque tout est systématiquement raté au regard des volontés qui en sont à l’origine, volontairement ou non… Pardon ! Et pardon de m’en réjouir !

Pourquoi penser si négativement que tout va mal ? Ne serait-ce pas un aveu d’impuissance ? Pour quoi faire ? Pour expliquer qu’on a fait ce qu’on a pu, mais que là. On est désolé, parce qu’on ne voit pas comment on pourrait empêcher le monde d’aller vers sa ruine ?
N’est-ce pas fonctionner, comme on dit, dans l’ancien paradigme ?

Hum !!! Considérons que cette idée n’est pas encore comprise.
Donc, OK, considérons simplement l’idée que le pessimisme n’est pas une bonne façon de construire son propre avenir…
Dans ce cas, considérons l’hypothèse suivante : et si cette ruine était, au contraire, un passage obligé vers un nouveau monde ?
Mieux encore : et si ce nouveau monde était déjà là, parce qu’il a déjà poussé, par ici et par là ?
Évidemment, seuls ceux qui me comprennent savent que cela est vrai, car tout dépend d’où l’on regarde ?

Alors, que faire pour les autres ?
Que dire pour commencer ? Si vous saviez à quel point je me sens bien ! (Pardon, c’est interdit !)

Mon mot de la fin : Ayez confiance, ayez la foi en qui vous êtes, et tout ira bien !
Ça marche pour moi, alors pourquoi pas pour vous ?
J’entends : vous n’êtes pas libres ? Dans ce cas tout s’explique.
La solution : libérez-vous, cela reste toujours un choix, quelle qu’en soit la difficulté.
Nombre d’amis sont passés par là et je n’en connais aucun qui l’ait regretté.

À bon entendeur, salut !
Cela demande du courage, c’est clair.
J’ai le droit de vous le dire, car je ne vis que par ce courage, et je m’en réjouis !
Rassurez-vous, oserais-je dire : Nous avons déjà gagné dans le futur !
Je dis cela à ceux qui pourront « vibrer » cette conviction, mais d’un point de vue rationnel, cela ne veut rien dire.
N’empêche que, c’est ceux-là même qui sont du côté de la raison ! 😉

Philippe Guillemant




La légende du vaccin

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Le bilan

Le mythe des microbes pathogènes, comme responsables des maladies, va prochainement s’effondrer ; personne ne sait à quel moment, mais il est certain qu’on ne peut plus sérieusement continuer à répéter cette erreur et ce mensonge historique, compte tenu de la masse des données qui s’est accumulée sur la question, grâce notamment à la crise artificielle du coronavirus.

Quand la société occidentale va-t-elle comprendre l’imposture de Pasteur et réaliser que les virus ou les bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les « croyants » dans le monomorphisme, la « théorie du germe », réalisent l’archaïsme de cette conception des choses et leur ignorance devenue anachronique ?

Selon ce grand scientifique français encore largement méconnu en France, Antoine Béchamp, un bon équilibre du terrain biologique est à la base de la santé. Il put établir par ses travaux la loi du « polymorphisme bactérien », cette connaissance étant actuellement appliquée par les écoles de thérapeutique de pointe qui abandonnent clairement la loi du monomorphisme conçue par Pasteur. Les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles, le stress, le manque d’hygiène, les agressions environnementales sont les causes d’un déséquilibre du terrain biologique et c’est cela qui explique la maladie et non pas une attaque kamikaze de micro-organismes parasites se saisissant de cette opportunité pour s’attaquer depuis l’extérieur à une forteresse corporelle défendue par une armée de défenseurs immunitaires entraînés !

Cette vision des choses est dépassée par la réalité de la connaissance scientifique actuelle, mais cette croyance archaïque continue son chemin dans les cerveaux conditionnés par le narratif disant le dogme au service d’un système médical organisé en pouvoir. C’est l’ignorance qui explique l’adhésion conventionnelle à ce dogme désuet d’une médecine totalitaire et en cela obscurantiste, très en retard sur les acquis de la recherche…

Le Sars-CoV-2, que personne n’a encore pu isoler et identifier en tant que tel, et pour cause, a une particularité tout à fait remarquable et insolite : on a découvert qu’il était spécialisé en géopolitique !

En effet, le Coronavirus si dangereux s’est spécifiquement attaqué à l’OTAN !

Je viens de découvrir, sur Breizh-info.com, le rapport final du Général Dominique Delawarde :
son dernier « rapport final » sur le covid.

Le coronavirus travaille pour les Russes puisqu’il s’attaque quasi exclusivement aux pays membres de l’OTAN ! Les chiffres démontrent que les 31 pays de l’Alliance Atlantique-Nord totalisent les 2/3 des morts de la Covid-19 enregistrés en 2023.

Selon les chiffres analysés par le Général Delawarde, il y a eu, depuis le début de la « fausse pandémie », 2,8 millions de décès au sein de l’espace sous la domination OTAN. C’est 40,3 % de la mortalité planétaire.

L’Afrique n’est pas du tout concernée par ce coronavirus ! Le sud est globalement ignoré. Le virus ne semble pas connaître l’existence du monde qui s’étend de la Russie à l’Asie du Sud-Est !

Il serait temps de redevenir un peu sérieux ! La fausse pandémie n’a sévi que dans les pays qui ont été manipulés par une odieuse propagande basée sur la peur et qui se sont laissés injecter un produit expérimental truffé de nanotechnologie très largement inconnue des médecins… Les chiffres ont parlé, la thèse du monomorphisme pasteurien ne tient pas la route…

Aujourd’hui, nous savons (ceux qui veulent bien savoir) qu’aucune des mesures anti-covid-19 n’a fonctionné, tout simplement parce que ces injections n’avaient aucune finalité sanitaire, mais seulement totalitaire pour le dressage et le marquage du bétail humain…

Le Professeur Didier Raoult citait récemment une étude parue le 13 janvier 2024 dans le Journal of Clinical Medicine. Cette étude démontre que les décisions gouvernementales (confinements, distanciation sociale, masques, injections…) n’ont eu aucun effet sur la fausse pandémie et que seul le facteur saisonnier a joué son rôle habituel.

De nombreux travaux scientifiques se sont accumulés depuis 2020 et ont déjà démontré très largement que les stratégies organisées contre la « crise sanitaire » n’ont eu aucun effet sur son évolution ! Je renvoie mon lecteur à la série d’articles déjà publiés dans mondialisation.ca sur la question coronavirus…

Avec cette dernière étude, les médecins allopathes honnêtes pourront prendre conscience que ses conclusions mettent fin au mythe de la contagion !

Il n’y a pas d’organismes pathogènes dont il faudrait se protéger en se masquant, en se confinant ou en se faisant injecter un vaccin à ARNm.

L’erreur du monomorphisme pasteurien fait penser que des micro-organismes se baladent sur Terre à la recherche de victimes ! Nous savons qu’il n’en est rien : voilà pourquoi toutes ces stratégies ne pouvaient que se conclure par un échec cinglant ! Cela n’empêche pas, bien entendu, que nos dirigeants bornés s’acharnent dans cet obscurantisme et la croyance en la nouvelle religion covidiste, si pratique pour leurs projets liberticides !

Le Professeur Didier Raoult disait récemment qu’il n’avait jamais vu un virus manipulé dans un laboratoire en sortir avec un potentiel de nuisance augmenté ! Ce même professeur remet en cause le narratif relatif au « gain de fonction » et à la militarisation des virus.

Un virus ne peut pas être à la fois très contagieux et très dangereux. C’est la raison pour laquelle un virus est naturellement une arme inefficace. Il n’existe aucun agent bactérien ou viral qui pourrait être transformé en instrument de « destruction massive », pour la simple raison que les micro-organismes ne se manifestent qu’en vertu d’un terrain biologique additionnant les conditions indispensables à leur manifestation. Ce mythe pasteurien a assez duré et il est temps de revenir à la réalité.

Les micro-organismes sont inoffensifs sur un terrain sain, disait Antoine Béchamp, déjà à l’époque de Pasteur.

Le Professeur Raoult attire aujourd’hui l’attention sur le fait que le danger se trouve plutôt dans la manipulation génétique des plantes nourricières et dans le développement des vaccins à ARNm…

Le danger n’est donc pas du tout là où l’on veut à tout prix le situer… La tyrannie des 12 vaccins que le pouvoir inflige aux enfants en bas âge, apparaît à cette occasion, comme intolérable et qu’il faut contester massivement d’urgence…

La compréhension du vivant

C’est notre compréhension du vivant qui est en cause et il est étrange de voir à quel point cette compréhension est falsifiée par une croyance enfoncée à coups de propagande dans la tête des gens y compris dans celle de beaucoup de médecins qui n’ont toujours pas compris l’imposture pasteurienne après tant d’études venues démanteler ce mythe à l’existence tenace !

Dans cet article, je propose d’aller encore un peu plus loin pour étayer notre compréhension du vivant.

Bactéries et microzymas

Depuis l’imposture de la théorie des vaccins, présentée comme un succès de la recherche médicale, Pasteur qui avait été convaincu de maquiller ses résultats pour en faire une découverte majeure dans la stratégie des soins, avait cependant reconnu l’impasse de ses travaux et donné raison à Antoine Béchamp, qui attirait quant à lui l’attention des chercheurs sur la question du terrain.

[Voir aussi :
Mais qui est Antoine Béchamp ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le château de cartes de la théorie des germes
Les microzymas, ces particules à la source de la vie
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
Une approche globale du vivant
Un nouveau paradigme médical
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
La théorie des germes : Une erreur fatale
Dossier Vaccins et virus]

Mais, la vérité n’est jamais le souci des politiques…

Selon ce qui est devenu par force, la théorie pasteurienne, les micro-organismes proviennent tous de « parents semblables à eux » ; ils viennent de l’extérieur et prennent la forme de germes. Étant donné la taille microscopique de ces germes, ils doivent donc se retrouver dans les poussières transportées par l’air, tout comme les spores de moisissures.

C’est la raison pour laquelle cette priorité s’est appelée « panspermie atmosphérique », en se rappelant que Pasteur n’a pourtant jamais utilisé cette expression. La panspermie a été paradoxalement contredite par les expériences mêmes de Pasteur.

Les organismes vivants ne sont pas stériles et ce qu’on appelle les « microbes », théoriquement étrangers à ces organismes, ne sont pas du tout des parasites, mais en réalité, ce sont des ferments vitaux !

Selon les travaux d’Antoine Béchamp, pour une même spécificité, ce qu’il a appelé le microzyma original peut évoluer en différentes formes de micro-organismes qui ne sont donc pas des espèces déterminées par une forme, mais des stades d’évolution du microzyma d’origine lui-même.

Les microzymas végétaux et animaux sont à l’origine des bactéries qui naissent au sein de leurs tissus ou de leurs humeurs. Il n’y a ni génération spontanée ni panspermie atmosphérique.

Les microzymas sont des ferments, mais qui sont aptes à devenir bactéries. Cette aptitude, la même pour tous, ne se manifeste pas également pour tous dans les mêmes conditions. Dans chaque groupe naturel d’êtres et pour un même organisme dans chaque centre d’activité, les microzymas ont quelque chose de spécifique : la bactérie dérivée du microzyma est un ferment du même ordre que lui !

Microzymas et cellules

Les microzymas sont permanents alors que les cellules sont transitoires. Une cellule ne procède pas nécessairement d’une autre cellule, particulièrement les cellules embryonnaires, c’est-à-dire, les premières cellules du nouvel individu formées par les microzymas. Toutes les cellules sont le résultat de l’activité histogénique des microzymas vitellins, comme les composés chimiques qui n’existaient pas sont le fruit de leur activité chimique. La destruction d’une cellule fait apparaître ses microzymas d’origine.

Le milieu favorise l’évolution en cellules à l’exclusion des bactéries ou l’inverse, mais jamais les deux en même temps.

Selon Béchamp, les microzymas sont à la racine même de l’organisation : sans eux il n’y a pas d’organisation et donc pas de matière vivante !

Si l’on détruit mécaniquement la levure, on fait apparaître ses microzymas d’origine.

La mort physiologique d’une cellule donne naissance aux microzymas qui l’ont constituée.

Les microzymas sont présents au tout début d’un organisme vivant ; ils sont là en permanence tout au long de sa vie ; on les retrouve en fin de putréfaction de ce même organisme auquel ils survivent.

Tout organisme vivant est réductible au microzyma. Les microzymas que l’on retrouve dans l’air, les sols, les calcaires… les roches sédimentaires sont les restes des organismes vivants animaux et végétaux ayant retrouvé leur autonomie.

Monomorphisme et polymorphisme

Le monomorphisme attribue une espèce à un état stable de l’évolution des micro-organismes qui sont des ferments. Les « espèces » des différents micro-organismes sont en réalité des stades d’évolution des microzymas en fonction du milieu. C’est cela qui est appelé le polymorphisme microbien. Un déséquilibre survenu dans le terrain provoque une réaction des microzymas qui en s’associant peuvent évoluer en bactéries passant par plusieurs étapes. Voilà le polymorphisme microbien.

L’importance d’un terrain sain

Les microbes rencontrés dans nos maladies sont produits par le terrain déséquilibré du malade. Les bactéries sont donc une conséquence interne au terrain. La maladie, en tant que telle, est le résultat d’un déséquilibre qui a empêché les microzymas de remplir correctement leur fonction naturelle.

Les microzymas eux-mêmes ne sont pas des organismes étrangers venus coloniser l’organisme hôte du malade. Les bactéries ne viennent pas du dehors pour envahir le corps, ils viennent du dedans. Il a été démontré par les travaux d’Antoine Béchamp que la maladie est en nous et vient de nous ; c’est l’origine du déséquilibre qui est éventuellement externe ou psychologique. Une maladie n’est que la conséquence de la nouvelle manière d’être des microzymas normaux. Les microbes sont des ferments, pas des parasites : ils ne sont pas pathogènes. Ils peuvent simplement devenir morbides (malades).

En étudiant le cas de la gangrène, Antoine Béchamp a clairement identifié tous les symptômes de la gangrène dans un membre amputé suite à une lésion traumatique grave. Or, son examen microscopique ne montrait pas des bactéries, mais des microzymas associés, les bactéries n’ayant pas encore eu le temps de se former. Elles étaient seulement en voie de se former. La conclusion était limpide pour Béchamp, les bactéries ne sont donc pas la cause de la gangrène ! (cf., les microzymas… page 181)

À moins de les inoculer immédiatement après prélèvement chez un malade, les bactéries ne peuvent pas transmettre la maladie une fois libérées dans l’air, car elles perdent très vite leur morbidité. De plus, si le terrain de celui qu’on voudrait inoculer se trouvait dans un bon équilibre de santé, les bactéries seraient inopérantes… On sait que les intestins sont colonisés par de nombreuses bactéries sans que ces bactéries envahissent le corps entier !

Les bactéries qui se développent dans une infection urinaire, par exemple, proviennent d’un développement des microzymas de l’urine à cause d’un déséquilibre survenu en interne. Il n’y a pas d’invasion externe. Tant que nos barrières naturelles sont saines, aucun micro-organisme ne peut pénétrer en nous. Les microbes sont des ferments, pas des parasites. Ils ont un rôle à jouer lorsque déséquilibre il y a : une maladie, c’est un processus de réparation de ce qui a subi un déséquilibre. La maladie est un processus de guérison.

Les nanobes

Les nanobes ou nanobactéries ont été découvertes dans les années 1990, par plusieurs chercheurs (https://serc.carleton.edu/microbelife/topics/nanobes/index.html)

Cet article ci-dessus explique ces découvertes démontrant que les nanobes existent partout, dans les organismes comme dans les roches :

« Les études sur les nanobes remettent en question notre perception de la vie… Si les nanobes existent en tant que biote vivant, ils élargiront notre perspective sur l’échelle de la vie. »

(Cf, article ci-dessus)

Le Pr Valter Longo se posait une question dans son étude sur le jeûne : 

« Puisque le jeûne prolongé provoque la diminution des globules blancs dans le sang et que ces globules réapparaissent une fois le jeûne rompu, d’où viennent-ils donc ces globules blancs ? »

Antoine Béchamp avait déjà remarqué, dans la 5e Conférence :

« Contrairement à ce que l’on croyait, le sang ne contient pas seulement deux formes histologiques : les microzymas sont le troisième élément organisé du sang ! »

Dans la 9e Conférence, Antoine Béchamp expliquait la formation des leucocytes à partir des granulations moléculaires. Plus nos aliments sont toxiques, plus la leucocytose alimentaire est importante durant la digestion. Les microzymas maintiennent l’homéostasie afin de préserver le milieu pour jouer leur rôle. Rappelons-nous que Béchamp avait également démontré que la destruction d’une cellule laisse apparaître ses microzymas d’origine !

Un a priori qui déroute la recherche

Il est hors de question, dans le contexte scientifique traditionnel, de s’interroger sur le caractère éventuellement vivant des exosomes, pour la simple raison que la présence d’éléments vivants dans un milieu considéré « stérile » n’est pas cohérente…

Or, les virus sont précisément très semblables aux exosomes. Le virus est toujours considéré comme intrus, parasite, agresseur, alors que l’exosome est quant à lui considéré comme un constituant des cellules, par conséquent quelque chose qui appartient en propre à l’individu. En réalité cette distinction est arbitraire et ne tient qu’à des préjugés ou des certitudes qui relèvent de la croyance et non pas de la connaissance.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/

Les microzymas sont à l’origine des bactéries. Les microzymas vivants de nos aliments, qu’ils soient sous forme de bactéries ou pas, nourriront notre flore intestinale. Cette flore sera d’autant plus saine que nous nous serons nourris de végétaux vivants (ayant subi le moins possible de transformations). Puis, cette flore équilibrée va vivre naturellement. Beaucoup de chercheurs s’intéressent aujourd’hui au microbiote intestinal.

Ce qui est invraisemblable c’est qu’un bon nombre d’entre eux cherche à tuer ce qui est vivant dans nos aliments, par stérilisation, pasteurisation. D’autres, au contraire, cherchent les moyens de réparer les microbiotes intestinaux défaillants, en introduisant dans les intestins des excréments qui contiennent des microbiotes sains !

Peut-on relier les nanobes, nanobactéries, exosomes, virus, spores entre eux aux microzymas ? Les tailles des micro-organismes sont différentes, mais compatibles avec ce que Béchamp observait : ils sont inférieurs à 1 µm et parfois à 0,5 µm…

Le problème, c’est que les analyses ne sont jamais faites sous l’angle du polymorphisme microbien et donc la recherche reste souvent enfermée dans ses a priori qui ne sont pas scientifiques !

Les nanobes ont des formes évolutives et sont capables de se multiplier (Cf, travaux de Philippa Uwins)

Les spores des bactéries à l’état dormant évoluent également lorsqu’ils reforment des bactéries d’origine… Pour avancer sur cette question, il faudrait que les scientifiques s’intéressent aux découvertes d’Antoine Béchamp, et qu’ils connaissent les microzymas !

Une habitude de la pensée peut devenir une « normalité », un a priori non discutable et cela arrête les avancées de la science.

Il a été démontré qu’en l’absence de l’influence des germes de l’air, des bactéries se sont développées au sein de matières prélevées sur des organismes vivants, prouvant la vie en nous et non pas la stérilité ! Un micro-organisme, dans la science influencée par la théorie dite pasteurienne, ne peut absolument pas être du SOI, il appartient forcément au « non-soi »… Un microbe rencontré dans un organisme est étranger à cet organisme.

Les gènes appelés mitochondriaux dotés d’éléments vivants utiles à nos cellules sont considérés comme symbiotiques et leur présence ne peut venir que de la « fusion archéo-bactérienne », selon la recherche courante.

La découverte d’un microbiome interne aurait dû provoquer une interrogation chez les chercheurs : il n’en est rien. L’a priori de la recherche continue de se demander « Comment ce microbiome s’est-il introduit dans le corps ? Car, ce microbiome ne peut en aucun cas être un élément du SOI !

https://www.researchgate.net/publication/330453639_Multi-Method_Characterization_of_the_Human_Circulating_Microbiome

Le microbe est toujours la cause d’une maladie, la seule cause qui soit toujours recherchée avec acharnement ! Pourtant, des personnes malades n’en portent pas forcément le gène ; d’autres qui n’ont pas de symptômes en portent le gène ; les gènes sont tous différents d’un malade à l’autre alors même que dans une culture stable les gènes sont absolument identiques ! Toutes ces incohérences devraient attirer l’attention des chercheurs : mais la croyance d’un consensus dogmatique est plus forte que l’objectivité de la connaissance qui seule aurait le droit de se dire scientifique !

La notion de vivant avec son rapport obligatoire à la génétique a créé une habitude de penser, un consensus qui n’est plus discuté ni discutable !

Dans l’actualité, les technologies utilisées par la recherche dépendent des programmes informatiques qui eux-mêmes ont été conçus par des individus formatés au système de pensée dogmatique. Les critères utilisés dans ces programmes vont inévitablement fausser les recherches et induire en erreur les résultats obtenus par le moyen de ces technologies… Il faudra bien qu’un de ces jours, lorsque la recherche aura tourné en rond assez longtemps, quelques générations, et que les délires du style covidiste auront suffisamment épuisé les rangs de l’humanité, il faudra bien qu’on en arrive à changer de paradigme. Nous savons déjà où est l’erreur, et cela depuis au moins 1870 ! Il serait peut-être envisageable qu’en 2024, la science « médicale » puisse ouvrir les yeux de l’objectivité et regarder enfin la réalité en face !

L’autoassemblage de l’ADN

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0968432813001017?via%3Dihub

Cette publication ci-dessus, rend compte d’une démonstration qui a été faite sur l’autoassemblage de l’ADN à partir des « granules de Béchamp » dans le vitellus. Dans cet article, les preuves sont données, de l’autoassemblage de molécules d’ADN en structures de type cellulaire. Les résultats sont discutés en les comparant à ceux obtenus dans des travaux d’autres pionniers, notamment Antoine Béchamp, Olga Lepeshinskaya et Bong Han Kim qui tous ont insisté sur l’existence d’une voie alternative sans mitose pour la génération de nouvelles cellules ! Il existe également une possibilité de création des cellules par construction, comme Antoine Béchamp l’avait observé, et non pas obligatoirement par mitose !

Ainsi donc, les nanobactéries peuvent contenir des gènes, comme l’ont démontré les travaux de Philippa Uwins avec son équipe de chercheurs qui ont effectué des analyses moléculaires de nanobes en trouvant des preuves d’une présence d’ADN…

https://serc.carleton.edu/microbelife/topics/nanobes/index.html

Les microzymas contiennent bien des gènes. Du point de vue du polymorphisme microbien et de la capacité des microzymas à se transformer en divers micro-organismes, selon le milieu, on a là une classe non répertoriée du vivant !

Selon la publication ci-dessus, concernant les nanobes, les nanobactéries qui font 1/10 ème de la taille d’une bactérie, elle constate que cela pousse certains chercheurs à penser que des organismes de si petite taille ne peuvent pas abriter les composants cellulaires nécessaires, comme l’ADN et l’ARN, ou les plasmides. Le vivant se caractérise encore par la présence de gènes…

C’est la science qui a donné à l’ADN ce rôle central. Mais, ce dogme s’est déjà grandement fragilisé avec l’arrivée de l’épigénétique ! On dira prochainement que l’ADN n’est qu’une simple molécule, une sorte de carte mémoire mise en place et activée par nos ferments de vie !

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE]

Selon ce document que nous avons cité sur l’autoassemblage de l’ADN dans le vitellus, les microzymas sont des particules vivantes, ces petits ferments à la base de la matière vivante, à l’origine des enzymes comme des gènes. Ces organismes vivants transmettent de génération à génération, la mémoire des ascendants, possiblement sur un support différent et beaucoup moins volumineux encore que l’ADN ou l’ARN…

Brigitte Fau s’interroge (cf., La compréhension du vivant, éditions Medicatrix, 2023, page 88) :

« Leur taille varie-t-elle alors qu’ils construisent nos gènes, notre ADN, mais aussi les gènes dits “viraux” ou “bactériens”, ceux du microbiome interne, jugés à tort “étrangers”, sur la base de ce dogme de la stérilité, à partir duquel tous les raisonnements scientifiques s’appuient ? »

Antoine Béchamp avait démontré que l’enzyme est directement lié au ferment qui le produit. Puisque le vivant est nié dans ces organismes, comment les scientifiques ont-ils pu résoudre ce fait qui a été mis en évidence par Béchamp ?

De son côté, Eduard Büchner affirmait en 1897 que l’enzyme de la levure pouvait effectuer seul la fermentation alcoolique isolée, c’est-à-dire en l’absence de la levure, et pourtant, il ne réalisait cette fermentation qu’en ajoutant une roche sédimentaire.

À aucun moment, ce chercheur n’avait pensé que la roche ajoutée pouvait contenir le ferment indispensable à la réalisation des transformations chimiques profondes comme la fermentation !

Les nombreuses remises en question des dogmes pasteuriens obligent à remonter à la source des erreurs.

Le virus

La notion de virus par exemple est une espèce de remise de matériel génétique retrouvé dans les organismes, ce virus ayant été décrété étranger à ces organismes au sujet desquels il a fallu inventer l’histoire de leur invasion ! Certes, on reconnaît leur ancienneté et leur antériorité dans la chaîne de l’évolution dite pré-cellulaire. Mais, puisqu’ils sont considérés comme étrangers dans nos organismes, on est obligé d’inventer des scénarios pour expliquer leur rôle théorique de parasites, avec l’aide du fait que leurs gènes ne se retrouvent pas systématiquement dans le génome cellulaire, ceci étant bien entendu « fondé » sur le dogme du rôle central de l’ADN !

Non seulement il est évident que le rôle central de l’ADN soit un dogme à remettre en question, mais également celui de la stérilité, du monomorphisme et de la panspermie. Ces « virus » trouvés dans nos organismes sont les microzymas de Béchamp, des éléments vitaux à l’opposé de « poisons » et qui sont de plus probablement à l’origine de l’ADN cellulaire, y compris des autres gènes du microbiome interne !

Les exosomes qui s’échappent des cellules et qui ne présentent rien de particulier pour les distinguer des virus devraient permettre aux chercheurs de comprendre qu’il s’agit des microzymas de Béchamp…

Le rôle causal du virome dans les maladies associées n’est pas prouvé comme le souligne cet article de mars 2020 :
https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008318

Les scientifiques veulent à tout prix trouver des espèces en faisant un lien entre une espèce et une maladie. C’est peine perdue puisque le virome est en perpétuelle mutation du fait du polymorphisme et de son rôle vital dans les organismes ! D’ailleurs les spécialistes qui sont conditionnés par le dogme du monomorphisme sont sans cesse obligés de nous raconter l’échec de leur course indéfinie à la poursuite de virus qui ne cessent jamais de muter et que l’on ne peut donc jamais contrôler, en faisant des vaccins qui sont systématiquement obsolètes dès qu’on les fabrique !

Béchamp disait en parlant des virus : « on les prend pour des parasites dont on fait des genres et des espèces » !

Ce que l’on croit être une espèce (monomorphisme) n’est qu’un stade d’évolution des microzymas en fonction du milieu… Les microbes que l’on rencontre dans l’environnement ne sont que les restes des organismes vivants ayant retrouvé une vie de ferment autonome. Cela nous indique également que nous sommes autre chose qu’un simple corps.

Les ferments liés aux microzymas se retrouvent également toujours vivants en fin de la putréfaction qu’ils réalisent eux-mêmes !

Conclusion

Les microzymas sont la source de la matière vivante. Cette matière vivante nous est prêtée le temps d’une vie. Cette matière vivante continue sa vie terrienne après notre mort. Béchamp écrivait si justement :

« Rien n’est la proie de la mort. Tout est la proie de la vie ! »

On vit de mort et on meurt de vie, disait Démocrite… Béchamp ajoutait encore :

« On peut considérer l’organisation comme le lieu d’application et d’action de la force qui produit le mouvement que nous appelons vie. »

« La vie, c’est le mouvement vibratoire des particules primigènes de l’organisation dans ces microzymas. »

Les micro-organismes sont des ferments ! Appeler du nom de microbes, par méconnaissance, ces petites entités indispensables à la vie, c’est un terrible quiproquo, un dogme qui ne tient plus la route… Une grande partie de l’immunologie a passé son temps à essayer de comprendre les réactions de l’organisme face à des « invasions » imaginaires ! Des éléments du Soi ont été considérés comme antigène. Certes, des toxines font réagir l’organisme lorsqu’elles sont introduites par différentes voies. Mais, pour y comprendre quelque chose, il est indispensable de prendre en compte le polymorphisme interne également. Jules Tissot disait bien que les différents leucocytes ne sont que des stades d’évolution d’une même cellule, dont on distingue parfaitement les microzymas qui en sont à l’origine, dans l’étape granulocyte…

Parce que tout est une question de milieu, il faut donc prendre soin de nos microzymas, disait Antoine Béchamp, pour s’assurer une bonne santé ! Il parlait d’une hygiène de vie, du risque des excès alimentaires, alcool, drogue, du stress, de toutes les sortes de perturbations… Il recommandait de bien entretenir le terrain, favoriser au maximum la fonction des microzymas. Il va de soi qu’une alimentation polluée par les pesticides et autres substances toxiques sont les données actuelles diamétralement opposées à cette recommandation de Béchamp…

Jules Tissot avait remarqué de son côté qu’on devait remettre en cause nos idées sur les organites cellulaires et les mitochondries notamment, car celles-ci en particulier comme les autres organelles ne sont que des artéfacts, des restes d’un réseau cytoplasmique détruit par la technique de fixation. L’existence des mitochondries et leurs propriétés, ne sont donc que le résultat d’erreurs grossières d’observation ! De son côté, Louis Claude Vincent apportait un début de réponse pour détecter les dérives du terrain biologique par la bioélectronique.

Tissot disait en 1946 :

« L’étouffement des remarquables résultats des travaux de Béchamp a été le premier acte de cette lutte contre la vérité ! »

La peur archaïque des microbes, encouragée par l’obscurantisme médical, a conduit l’humanité à l’extermination du vivant. Cette méconnaissance crasse du vivant en nous-mêmes nous a conduits à nous détruire bêtement. Il est temps de comprendre que ce que Béchamp avait appelé microzymas, sont la base de la matière vivante. Ce sont eux qui maintiennent l’équilibre en nous et dans l’ensemble de la nature, grâce au mouvement circulaire de la matière sous des formes diverses.

Grâce à Béchamp, nous sommes capables aujourd’hui de distinguer la matière vivante de la matière inerte.

Ce qui distingue les microzymas de la matière inerte, dont ils sont également composés, c’est leur nature vivante, leur capacité à organiser, à construire des cellules, des micro-organismes divers et vivants ainsi que des organismes vivants complexes. Le microzyma est lui-même organisé !

La vie dans un microzyma est ce mouvement qu’il a reçu et qu’il conserve sans avoir besoin de remonter la machine comme on remonte une horloge ; il transmet ce mouvement depuis l’origine de ce qui est vivant, il le modifie au besoin sous diverses influences, jusqu’à devenir morbide si on le maltraite. Les microzymas sont des organismes dans lesquels l’esprit a laissé ce mouvement pour se transmettre et se modifier physiologiquement.

Tout cela nous permet également de comprendre que la vie n’est pas liée à une organisation biologique caractérisée : les formes changent, mais la vie est toujours là !

Louis Claude Vincent constatait que les maladies virales sont toujours associées à un sang excessivement oxydé. Les antioxydants se trouvent dans une alimentation saine biologique. Les ferments sont pour cela très utiles. Les vitamines naturelles sont indispensables. Les aliments lactofermentés, c’est-à-dire non « pasteurisés », sont tout à fait indiqués pour une bonne hygiène et l’équilibre du terrain. Un sang trop oxydé est dans une surcharge minérale. Or, la cristallisation des minéraux en excès a un lien avec l’aspect des virus. C’est pour cela que les chercheurs ont tellement de mal à identifier les virus qui sont largement insaisissables !

Ce qu’il faut vraiment comprendre aujourd’hui, c’est que le terrain a évolué avec l’hygiène et aussi l’industrialisation. Les maladies bactériennes étaient en relation avec un terrain plutôt alcalin. Or, cette évolution nous a fait passer à un terrain oxydé favorable aux maladies virales comme aux pathologies du cancer. Les changements de comportement ont fait disparaître les anciennes maladies. En aucun cas les vaccins [l’ont fait] ! Affirmer aujourd’hui que les « vaccins ont éradiqué les anciennes maladies », revient à dire que nous sommes retournés à la croyance d’un soleil tournant autour de la Terre et non l’inverse !

L’alternative aux vaccins serait donc cet outil de prévention qu’est la bioélectronique et non pas les injections à ARNm graphénisées…

C’est la notion de terrain qui est la clé de toute cette connaissance. L’alimentation toxique qui est habituellement la nôtre aujourd’hui, le stress, l’environnement électromagnétique avec les antennes 4G, 5G, 6G… etc. les vaccins truffés d’adjuvants comme les sels d’aluminium depuis des décennies, sont ensemble les causes principales des maladies modernes. Pour combattre les rayonnements électromagnétiques, il faut tout simplement se reconnecter à la Terre. Se connecter à la Terre permet de se décharger du survoltage négatif pour la santé, de récupérer les électrons de la Terre. La vie citadine éloigne les personnes de la nature. Elles ne sont plus que rarement en contact avec la Terre et donc elles sont coupées de ses électrons. Avec l’eau c’est aussi le même problème.

https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-bio%C3%A9lectronique-1/

L’association BEVINKER (Béchamp, Vincent, Kervran) transmet cette connaissance et la méthode de santé qui en découle à travers des stages de santé naturelle.

Jean-Yves Jézéquel

Sources :

Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines, est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, spiritualité, religion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2024




Où en est-on avec l’électrosensibilité ?

[Source : theovox.tv]

[Voir aussi :
Les rayonnements électromagnétiques, le Wi-Fi, les cellulaires et la 5G… selon le Dr Paul Héroux]






Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




« L’arme alimentaire » – C’est ce qui relie les protestations paysannes, l’Agenda 2030 et l’attaque contre l’alimentation…

[Source : kla.tv]

L’alimentation a déjà été utilisée comme une arme, un levier des dirigeants pour contrôler la population. C’est encore plus vrai aujourd’hui ! Si l’agriculture traditionnelle doit être supprimée, si les aliments sont contaminés par des ARNm, si les animaux de ferme sont vaccinés avec des ARNm, si les aliments naturels sont remplacés par des aliments synthétiques et si l’eau est liée au paiement numérique, alors c’est une déclaration de guerre de l’Agenda 2030 contre l’Humanité !

[NDLR Il semble que la question de l’ARNm soit un leurre destiné à éviter la prise de conscience de la nanotechnologie vaccinale à base de graphène et dont la finalité serait la transhumanisation de l’Homme.
Voir notamment :
La convergence bionumérique
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le contrôle humain grâce à la technologie vaccinale]

Transcription

Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens sont sur toutes les lèvres. L’émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [https://www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de l’oppression des paysans.

D’autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !

Le fait est que :

L’ONU, l’OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.

Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire », de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’Humanité :

En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.

« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C’est pourquoi l’aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.

Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l’influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.

Qu’il s’agisse d’un siège au Moyen-Âge ou de l’inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d’élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d’approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l’eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.

Exemples de l’histoire passée :

Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l’affamer.

En Irlande, près d’un million de personnes, soit douze pour cent de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n’était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l’époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d’intérêts.

La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d’Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.

C’est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d’un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.

Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d’Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L’Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n’était pas rare.

Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l’autre moitié puisse manger à sa faim. »

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO₂, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !

Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de HeikoSchöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » https://www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” — écoutez ! — Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » https://www.kla.tv/26139]

Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels.

Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.

De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — « généralement inoffensives » !

Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la « régulation » de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l’eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.

Une parenthèse de Kla.tv : l’objectif 6 de l’Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour tous. On constate que 90 % de l’eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.

Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l’Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le « Great Reset » prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s’attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d’une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel Ordre Mondial n’est rien d’autre que l’enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.

Au vu de ces développements, cette réduction de l’Humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l’essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]

Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l’écoute afin d’apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.

de wou./abu.

Sources/Liens :

Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

La lutte pour la survie des paysans :
https://www.kla.tv/27879

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux :
https://www.kla.tv/19023




L’acharnement contre le Pr Didier Raoult est antiscientifique et indécent

Par Dr Gérard Delépine

Dans une vidéo de ce jour, mise en avant sans modération par un journaliste qui ne donne que ses initiales (M.D.) et publiée par 20 minutes1, l’avocat Maxence Gallo, trompé par un article digne du Lancet Gate23, prétend :

«En tout état de cause, les familles des patients décédés qui ont été traitées à l’hydroxychloroquine peuvent engager un recours [civil] à l’encontre de Didier Raoult ». « Homicide involontaire », « mise en danger délibérée d’autrui ».

Mais pourquoi pas pour l’accuser du crime suprême d’hérésie ?

On ne peut pas reprocher à Maître Maxence Gallo de chercher des clients ni de défendre aussi des menteurs, c’est la base de son métier4. On ne peut pas non plus reprocher à un non-médecin de ne pas se rendre compte du caractère totalement fallacieux d’un article paru dans une revue française jadis prestigieuse, mais aujourd’hui dépendante des lobbys financiers qui le font vivre… Aussi pour lui éviter de perdre son temps en le laissant se fourvoyer dans des procédures vouées d’avance à l’échec, je lui communique des faits avérés qu’il pourra facilement consulter sur Pubmed (base bibliographique médicale du Sénat américain), sur les publications de l’OMS (omscoviddashboard) ou celles de l’université John Hopkins (ourworldindata covid), tous en en libre accès.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments les plus utilisés dans le monde. Depuis 1945 il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques et les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance, comme je l’ai fait personnellement fait lorsque je me rendais en pays d’endémie pour des congrès.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur. Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette. Revenons au monde réel, aux faits établis.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 : « On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

L’excellente tolérance de l’HCQ été confirmée par le comité scientifique algérien et bien détaillée dans la vidéo de canal Algérie consultable à https://www.youtube.com/watch?v=wz8cv2NlNZA

Cette bonne tolérance habituelle de l’HCQ chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par une revue Cochrane6 et par tous les autres pays qui l’ont utilisée et par les manuels de thérapeutiques.

L’article des auteurs lyonnais7 n’est pas une étude réalisée dans le monde réel, mais une simulation aux hypothèses fausses

Elle prétend que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. »

On ne peut pas reprocher à un avocat de croire de telles bêtises, mais il aurait pu se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée8 basée sur une sélection arbitraire d’articles qui n’utilisaient pas l’HCQ selon les modalités proposées par D. Raoult (doses trop fortes et/ou administrées trop tard) et sur des données en partie inventées, comme l’a très bien démontré Gibertie dans son excellente analyse9.

Pour instruire aussi maître Maxence Gallo sur le caractère salvateur du traitement Raoult, nous lui rappellerons quelques faits authentifiés par les données de l’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022 l’épidémie Covid est terminée en Algérie et, en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans10 11, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)12 13.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie commune. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne14 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 15 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)16

le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22 lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 17 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »18.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé avec succès le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont terriblement dépourvus de médecins, d’infirmières et de médicaments :

La pauvreté de ces pays africains a évité la corruption et la propagande pro vaccinales que nous avons subies et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations.

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais pour leur torchon pseudo scientifique qui les discrédite et aussi malheureusement la revue qui a accepté de le publier.

Mais peut-être que M.D., 20 minutes, Maxence Gallo, Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA et les membres du comité de lecture Biomedicine & Pharmacotherapy ignorent ce qui se passe en Afrique…

Pourquoi une telle haine contre D. Raoult ?

La démarche scientifique se caractérise par la remise en question permanente des vérités considérées comme établies. Dès qu’un fait ne cadre pas avec l’hypothèse dominante, celle-ci doit être discutée et être abandonnée au profit d’une hypothèse plus adaptée aux faits. En science être minoritaire et susciter les controverses permet souvent de faire progresser les connaissances.

La démarche religieuse se caractérise au contraire par des croyances qui ne peuvent pas être remises en cause sans être traité d’hérétique. La violence infondée qui s’exerce contre D. Raoult est caractéristique d’une démarche religieuse qui l’a soumis à l’inquisition du conseil de l’Ordre.

Cette religion à laquelle il s’oppose est celle de la finance et son crime d’avoir proposé des traitements dont les brevets sont tombés dans le domaine public et qui pour cela rapportent trop peu à l’industrie pharmaceutique et à ses complices.

Il a jadis critiqué le business des antibiotiques sur https://www.youtube.com/watch?v=hCImb7T_BJw

Le torrent de haine qui se déverse sur lui ne serait-il pas lié à son impardonnable récidive récente avec sa critique ferme des pseudo vaccins covid résumé dans un tweet récent :

« Nous sommes contents de voir que le surgeon général de Floride, équivalent de notre ministre de la santé, demande à la FDA d’interdire les vaccins contre le covid Pfizer et moderna. »19

« Ces vaccins, contrairement à leurs indications et à toutes les règles pharmaceutiques, contiennent des quantités considérables (100 000 copies par ml) d’ADN, alors qu’elles ne devaient en contenir que des traces. »Ces copies d’ADN associées au plasmide qui a permis de créer l’ARN ont été démontrées, à d’autres occasions, dans le passé, comme des agents de cancer, en particulier de lymphomes et de leucémies.20

Dans la prochaine étape, je vous détaillerai comment les ARN injectés ont produit des protéines inconnues qui expliquent, peut-être, la survenue imprévue d’encéphalopathie de type Creutzfeld-Jacob liées aux prions fabriqués à cette occasion, ce que prédisait le Pr Montagnier. Ne vous inquiétez pas, on continue à travailler au lieu de jaser, je ne quitte pas le champ de bataille.21

Conseil à maître Maxence Gallo

Il vous sera beaucoup plus facile de trouver des victimes des pseudo vaccins covid que de chercher en vain des victimes du traitement Raoult.

Vous pourriez certainement incriminer la responsabilité pénale de tous les journalistes, fonctionnaires et politiques qui ont poussé ces victimes à se vacciner en diffusant de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui.

Suivez l’exemple des avocats US et suivez les procès fédéraux en cours qui vous fourniront des informations juridiques profitables !

1 https://www.20minutes.fr/sante/4069015-20240105-covid-19-hydroxychloroquine-liee-mort-17-000-personnes-durant-premiere-vague

2 https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931

3 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

4 Cet avocat au vu de l’article sur les soi-disant 17 000 morts de l’hcq, pourtant démontré fallacieux, propose aux éventuels victimes de l’hcq de les défendre

5 https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

6 https://www.cochrane.org/fr/CD013587/INFECTN_la-chloroquine-ou-lhydroxychloroquine-est-elle-utile-pour-traiter-les-personnes-atteintes-de-la

7 Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: an estimate Biomedicine & Pharmacotherapy Volume 171, February 2024, 116,055

8 Des calculs basés sur des hypothèses fausses

9 https://pgibertie.com/2024/01/04/hydroxychloroquine-les-chiffres-sont-inventes-molibard-et-sa-bande-sont-en-passe-de-remplacer-la-call-girl-du-lancet-gate/

10 https://www.tsa-algerie.com/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/

11 https://www.senioractu.com/France-les-plus-de-60-ans-representent-22-6-de-la-population_a11937.html

12 https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/strategie-nationale-de-sante/priorite-prevention-rester-en-bonne-sante-tout-au-long-de-sa-vie-11031/priorite-prevention-les-mesures-phares-detaillees/article/obesite-prevention-et-prise-en-charge

13 https://www.reporters.dz/sante-medecine-pres-de-10-millions-dalgeriens-sont-obeses

14 Ibid 3 : https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

15 Analyse statistique permettant d’évaluer l’importance particulière des différents facteurs pronostiques

16 https://ourworldindata.org/covid-cases?country=~FRA

17 https://www.youtube.com/watch?v=QJuBIXJturA

18 rapporte Actualité CD
https://actualite.cd/2020/03/24/rdc-tshisekedi-insiste-sur-lurgence-de-produire-une-quantite-industrielle-de-la

19 https://floridahealth.gov/_documents/newsroom/press-releases/2024/01/20240103-halt-use-covid19-mrna-vaccines.pr.pdf

20 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14724672/

21 Tweet du 17/1/2024




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Bill Gates et Epstein : 30 ans de trafic, de chantage et d’espionnage avec les services secrets

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Et si le chantage lié à la prostitution de mineurs tenait tout le réseau du pouvoir global ? Cet article de Whitney Webb parcourt les liens de Jeffrey Epstein, un agent des services israéliens, avec le monde de la politique, de l’informatique et de la santé.

Whitney Webb est une journaliste américaine indépendante qui a un site nommé « Unlimited Hangout ». Elle a écrit 2 volumes majeurs intitulés « One Nation Under Blackmail ». Il y a près de 1000 pages décrivant le réseau de corruption et de criminalité qui gangrène la gouvernance américaine et mondiale par un système de chantage basé sur le trafic sexuel et l’espionnage informatique. Il s’agit d’un des plus longs articles publiés sur ma page, mais il est impératif de citer des détails et des sources dans ce genre de dossiers. Par ailleurs, on tombe à la renverse à chaque paragraphe.

Voici une photo de 2011 prise à l’appartement d’Epstein à Manhattan, publication du NY times :
À gauche c’est Larry Summers ancien secrétaire du Trésor et ancien Président l’université de Harvard (et non Leon Black, le directeur d’Apollo management, un fonds d’investissement de la CIA). Black a démissionné depuis la révélation de ses liens avec Epstein (à qui il a versé plus de 150 millions de $). Au milieu, Jeffrey Esptein, Bill Gates et à droite Boris Nicolic, un médecin qui a été conseiller scientifique de Gates qu’Epstein avait désigné comme exécuteur testamentaire.

Vous apprendrez dans cet article que :

  • Mélinda Gates a divorcé à temps par peur d’être impliquée dans le procès Epstein.
  • Bill Gates et Jeffrey Epstein se connaissaient depuis le début des années 1990, notamment par l’intermédiaire de Ghislaine et Isabelle Maxwell.
  • Jeffrey Epstein et toute la famille Maxwell sont au service du Mossad : Robert Maxwell, le magnat de la presse assassiné, Isabel et Christine, Ghislaine, leurs enfants.
  • Isabel Maxwell était propriétaire de Touchcomm, un logiciel d’espionnage qu’elle a vendu à Microsoft. Isabel Maxwell est aussi une « pionnière de la technologie », conseillère pour le Forum économique mondial.
  • Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990
  • Epstein et Bill Gates étaient « très liés » aux Clinton et ont beaucoup travaillé ou investi ensemble, avec leurs fondations.
  • Epstein s’est baladé avec le bras droit de Gates/Microsoft en Russie.
  • Epstein a été impliqué dans la recherche scientifique, la génétique et les neurosciences
  • Des clubs comme A Small World et Edge fund (financé par Epstein) ont réuni tout un petit monde que l’on cite beaucoup dans des dossiers pédophiles : Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Lynn de Rotschild, Nicole Junkerman, Paul Allen (Microsoft), Naomi Campbell, Andnan Kashogghi… enfin tous les noms déjà cités dans les dossiers de pédophilie.

ET beaucoup d’autres choses encore…

Melinda Gates divorce à cause de la relation de Bill avec Epstein

Une série de révélations concernant les liens entre Bill Gates et Jeffrey Epstein ont été faites après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, des preuves substantielles suggèrent que l’association Gates-Epstein a en fait commencé des décennies avant 2011 et qu’elle est toujours censurée par les médias grand public.

Non pas dans le but de protéger Bill Gates, mais plutôt dans le but de protéger Microsoft.

Au début du mois de mai 2021, l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, après vingt-sept ans de mariage, a choqué à la fois ceux qui louent et ceux qui détestent le couple de pouvoir « philanthropique ».

Moins d’une semaine après l’annonce initiale du divorce, le 7 mai, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » en apprenant la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein, responsable d’un trafic de mineurs et agent de renseignements. Le rapport suggère que Melinda a été l’une des principales raisons de la décision de son mari de prendre ses distances avec Epstein vers 2014, en raison de son malaise avec Epstein après qu’ils l’aient tous les deux rencontré en 2013. Cette rencontre, qui n’a jamais été rapportée, avait eu lieu dans le manoir d’Epstein dans l’Upper East Side de New York.

Le Daily Beast a également révélé que les détails du divorce des Gates avaient été décidés plusieurs semaines avant l’annonce officielle. Puis, le 9 mai, le Wall Street Journal a publié la nouvelle selon laquelle les plans de divorce remontaient encore plus loin, Melinda ayant consulté des avocats spécialisés en la matière depuis 2019. Cette consultation aurait eu lieu après que les détails de la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein eurent attiré l’attention des médias grand public, notamment du New York Times.

Si les grands médias s’accordent apparemment pour dire que Jeffrey Epstein a probablement joué un rôle dans la séparation des Gates, ces mêmes médias refusent de parler de l’étendue réelle de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. Selon la presse mainstream, les liens entre Bill Gates et Epstein remonteraient à 2011, alors que les preuves indiquent que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

Ce refus général de rendre compte honnêtement des liens entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prépondérant de Gates dans l’actualité, tant en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 qu’en tant que promoteur et bailleur de fonds majeur de « solutions » technocratiques controversées à un grand nombre de problèmes sociétaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui s’est passé par la suite, et qu’elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu’entreprise et pour certains de ses anciens cadres dirigeants.

Cette dissimulation particulière s’inscrit dans la volonté évidente des médias d’appareil à ignorer l’influence manifeste qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée et, sans doute, continuent d’exercer dans la Silicon Valley. En effet, les personnes qui ont fondé les géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont toutes des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroits que d’autres.

Le présent article synthétise un ensemble de propos qui sont développés dans les deux tomes One Nation Under Blackmail que j’ai consacré au réseau de chantage international et américain qui lie le monde de la finance, de la politique, de la criminalité et des renseignements.

Le mystère de l’Evening Standard

En 2001, l’article sans doute le plus important qui ait jamais été écrit sur Jeffrey Epstein est paru en janvier 2001. Il portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans l’Evening Standard de Londres. Cet article du journaliste Nigel Rosser n’a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d’Epstein et le début de sa notoriété publique. Il a néanmoins été retiré du site web de l’Evening Standard et ne peut plus être trouvé que sur les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j’ai mis à la disposition du public un PDF de cet article et de plusieurs autres articles relatifs à Epstein qui ont été supprimés.

On peut aussi le télécharger ici : Télécharger

Les principales déclarations faites dans l’article montrent clairement pourquoi il a été retiré d’Internet, apparemment à la suite de la première arrestation d’Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais immensément puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l’article, il note qu’Epstein « a un jour prétendu avoir travaillé pour la CIA, bien qu’il le nie aujourd’hui », l’une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l’article a été retiré d’Internet bien avant la deuxième arrestation d’Epstein en 2019.

Une grande partie de l’article souligne la proximité d’Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que les deux exerçaient une influence considérable sur le prince, en grande partie en raison du rôle de Maxwell en tant « qu’entremetteur ». L’article indique que Maxwell « manipulait » le prince et qu’elle agissait probablement pour le compte d’Epstein ».

Une ligne se démarque cependant en tant que le premier indice majeur permettant de démystifier la véritable origine de la relation entre Gates et Epstein. Peu après avoir présenté Epstein dans l’article, Rosser déclare qu’Epstein « a gagné de nombreux millions grâce à ses relations d’affaires avec des personnes telles que Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l’Ohio Leslie Wexner, dont il dirige le trust ».

Les relations de Wexner et de Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues et remontent respectivement à 1985 et 1987. Les médias grand public continuent toutefois de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et ont refusé de suivre les pistes fournies par Nigel Rosser. Je suis personnellement au courant de cette rétention d’informations dans une certaine mesure, puisqu’un journaliste de la BBC m’a contacté en 2019 pour obtenir des détails sur cet article de 2001 de l’Evening Standard, que j’ai fournis. À ce jour, la BBC n’a jamais fait état du contenu de cet article. Il convient de noter que la BBC a reçu pendant des années des millions de dollars de financement de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, ni Trump, ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, c’est-à-dire bien avant qu’Epstein ne devienne célèbre. En outre, le fait que Gates soit cité aux côtés de deux proches associés d’Epstein connus à l’époque — Donald Trump et Leslie Wexner — suggère que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

Outre l’article du Evening Standard, Maria Farmer, une victime d’Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996, a déclaré se souvenir avoir entendu Epstein mentionner Bill Gates d’une manière qui laissait entendre qu’ils étaient des amis proches et qui lui donnait l’impression que le cofondateur de Microsoft pourrait bientôt se rendre dans l’une des résidences d’Epstein.

Microsoft, McKinley, et Isabel Maxwell

Outre ces deux éléments de preuve essentiels, il y a également le fait qu’avant l’article du Evening Standard, Gates avait déjà un lien documenté avec une entreprise dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait une participation financière, ce qui peut donner un indice sur la nature des « liens commerciaux » auxquels Nigel Rosser a fait allusion. En outre, la nature étrange de la relation de Gates avec Isabel Maxwell, qui a des liens avec le scandale d’espionnage du logiciel PROMIS et avec les services de renseignement israéliens, est documentée dans un article publié en 2000 par le Guardian.

Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell, ainsi que leurs maris de l’époque, ont créé le groupe McKinley en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la société-écran Information on Demand, utilisée par leur père Robert Maxwell pour vendre au gouvernement américain le logiciel PROMIS, qui contenait une « backdoor » (ou logiciel d’espionnage). Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel « voulurent se diversifier et reconstruire » et voyaient en McKinley « une chance de recréer un peu de l’héritage de leur père ».

Le groupe McKinley n’était cependant pas seulement une entreprise d’Isabel, de Christine et de leurs maris, puisque Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt substantiel » dans la société, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Ce même article notait également que Ghislaine, tout au long des années 1990, avait « construit discrètement un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu’« elle est secrète au point d’en devenir paranoïaque et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Elle a choisi de se décrire « comme une “opératrice Internet” » pendant cette période, même si « son bureau à Manhattan refuse de confirmer le nom ou la nature de son activité ».

Ghislaine Maxwell et sa famille, ses sœurs Isabel et Christine en 2019 à Londres.

Un autre article, paru dans The Scotsman en 2001, note séparément que Ghislaine « est extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». Le degré d’implication de Ghislaine dans les affaires du groupe McKinley n’est pas clair. Toutefois, à cette époque, elle menait avec Jeffrey Epstein une opération de chantage sexuel liée aux services de renseignement, et leurs finances se chevauchaient considérablement, comme l’indiquent les rapports de presse de l’époque et ceux qui ont suivi.

McKinley a créé ce qui est devenu l’annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme du « premier site à publier de longues critiques et évaluations de sites web ». L’approche « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, ce qui a donné lieu à des « alliances majeures » avec AT&T, Time Warner, IBM, Netcom et le réseau Microsoft (MSN), qui ont toutes été négociées par Isabel Maxwell. L’alliance majeure de Microsoft avec McKinley s’est concrétisée à la fin de 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l’option de recherche du service MSN de l’entreprise.

Les efforts de McKinley pour devenir le premier moteur de recherche à entrer en bourse ont échoué, ce qui a déclenché un conflit entre Christine Maxwell et le mari d’Isabel, qui a également eu pour conséquence que l’entreprise s’est retrouvée derrière d’autres leaders du marché. En conséquence, McKinley n’a pas eu la possibilité de faire une deuxième tentative d’introduction en bourse. Excite, qui a ensuite été rachetée par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996. On dit que c’est Isabel Maxwell qui a rendu l’opération possible, le PDG d’Excite à l’époque, George Bell, affirmant que c’est elle seule qui a sauvé l’achat de McKinley.

Malgré l’échec de McKinley, les jumelles Maxwell et d’autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement obtenu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l’opération, mais ils ont également noué des liens étroits avec les flambeurs de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’opération de chantage sexuel qu’elle menait alors aux côtés de Jeffrey Epstein.

Après la vente de McKinley/Magellan, les liens manifestes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignements américains et israéliens se sont considérablement renforcés. Les liens d’Isabel avec Microsoft ont également perduré après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de l’entreprise technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. CommTouch, un « obscur développeur de logiciels » fondé en 1991 par d’anciens officiers de l’armée israélienne, s’est concentré sur « la vente, la maintenance et l’entretien de logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et personnels ». L’entreprise a spécifiquement courtisé Isabel parce qu’elle était la fille du « super-espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait des raisons similaires de rejoindre l’entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l’entreprise lui donnait « une chance de poursuivre l’engagement de son père en Israël ».

De toutes les alliances et de tous les partenariats qu’Isabel a négociés au cours de ses premières années à CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Les cofondateurs de Microsoft ont cependant fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de son introduction en bourse, un sort qui avait frappé la précédente entreprise d’Isabel Maxwell, le McKinley Group, peu de temps auparavant. En effet, CommTouch n’a cessé de repousser son introduction en bourse jusqu’à l’annonce, en juillet 1999, d’un investissement massif de la part d’entreprises liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen.

Selon un rapport de Bloomberg, les investissements de Vulcan et Go2Net d’Allen ont suscité un regain d’intérêt pour la vente d’actions et pour CommTouch, jusqu’à présent un obscur développeur de logiciels, et ont également gonflé le cours de leurs actions juste avant leur entrée en bourse. L’argent des sociétés liées à Allen a été spécifiquement utilisé « pour développer les ventes et le marketing et renforcer sa présence sur les marchés internationaux ». La décision d’Allen d’investir dans CommTouch semble étrange d’un point de vue financier, étant donné que l’entreprise n’avait jamais réalisé de bénéfices et qu’elle avait enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars l’année précédente. Pourtant, grâce à l’investissement opportun d’Allen et à sa coordination apparente avec les retards répétés de l’introduction en bourse de la société, CommTouch a été évaluée à plus de 230 millions de dollars lors de son introduction en bourse, contre 150 millions de dollars quelques semaines avant l’investissement d’Allen.

Paul Allen and Nicole Junkermann at Cinema Against AIDS
Cannes in Cannes, France. Source : Vocal Media

On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen s’est porté au secours de l’introduction en bourse de CommTouch et ce qu’il espérait tirer de son investissement. Il convient toutefois de souligner qu’Allen est devenu par la suite l’un des membres d’une communauté d’élite en ligne créée en 2004 et appelée A Small World, qui comptait également parmi ses membres Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein, telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d’Adnan Khashoggi, un ancien client d’Epstein. Le principal actionnaire d’A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd’hui en disgrâce, qui était un partenaire commercial d’Epstein et qui a depuis été condamné pour viol et abus sexuel. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, une associée d’Epstein, qui était elle-même une agente des services de renseignement.

Moins de trois mois après les investissements d’Allen dans CommTouch, en octobre 1999, la société a annoncé qu’elle avait conclu un accord majeur avec Microsoft. En décembre 1999, Microsoft a annoncé qu’elle avait investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % de ses actions. Cette annonce a fait passer le cours de l’action CommTouch de 11,63 dollars à 49,13 dollars en l’espace de quelques heures. Une partie de cette transaction avait été finalisée par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire suite à la vente de Zip2, la première entreprise d’Elon Musk dont il était le PDG.

Il semble en outre que Bill Gates, alors à la tête de Microsoft, ait personnellement investi dans CommTouch sur insistance d’Isabel Maxwell. Dans un article publié en octobre 2000 dans le Guardian, Isabel « plaisante sur le fait d’avoir persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel » dans CommTouch au cours de cette période.

L’article du Guardian note ensuite curieusement, à propos d’Isabel Maxwell et de Bill Gates :

« Dans un faux accent du sud [Isabel] ronronne : Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour continuer à échapper aux impôts, pourquoi ne pas m’autoriser à l’aider ? Elle éclate de rire ».

Étant donné que des personnes aussi riches que M. Gates ne peuvent bénéficier d’une « exonération fiscale » et que cet article a été publié peu après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d’Isabel suggèrent que c’est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust, qui gère les fonds de dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement considérable dans CommTouch.

En outre, il convient de souligner la manière étrange dont Isabel décrit ses relations avec M. Gates (« en ronronnant », avec un faux accent du Sud), décrivant ses interactions avec lui d’une manière que l’on ne retrouve dans aucune des nombreuses autres interviews qu’elle a accordées sur une grande variété de sujets. Ce comportement étrange peut être lié aux interactions antérieures d’Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein à cette époque.

Isabel Maxwell as CommTouch President

Après 2000, les activités et l’influence de CommTouch se sont rapidement développées, Isabel Maxwell attribuant par la suite aux investissements de Microsoft, dirigé par Gates, et de Paul Allen la bonne fortune de l’entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain. Maxwell, citée dans le livre Fastalliances publié en 2002, déclare que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » essentiel, ajoutant que « l’investissement de Microsoft nous a mis sur la carte. Il nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché ». À cette époque, les liens entre Microsoft et CommTouch s’étaient renforcés grâce à de nouveaux partenariats, notamment l’hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch.

Bien qu’Isabel Maxwell ait réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratives pour CommTouch et qu’elle ait vu ses produits intégrés dans des composants logiciels et matériels clés produits et vendus par Microsoft et d’autres géants de la technologie, elle n’a pas pu améliorer la situation financière désastreuse de l’entreprise. En 2006, l’entreprise était endettée de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste à CommTouch en 2001, mais a conservé pendant des années un nombre important d’actions CommTouch, évaluées à l’époque à environ 9,5 millions de dollars. Aujourd’hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière de la technologie » du Forum économique mondial.

Le directeur technique de Microsoft visite la Russie avec Epstein (Myhrvold, 1998)

Visites au centre nucléaire et à l’école de la ville.

Autre indice d’une relation entre Epstein et Gates avant 2001 : les liens étroits d’Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur de la technologie de l’entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des conseillers les plus proches de Gates, sinon le plus proche, et il a coécrit le livre de Gates de 1996, The Road Ahead, qui visait à expliquer comment les technologies émergentes allaient influencer la vie dans les années et les décennies à venir.

En décembre de la même année où il est devenu directeur technique de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l’avion d’Epstein du Kentucky au New Jersey, puis en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Parmi les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols figuraient Alan Dershowitz et « GM », vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il convient de garder à l’esprit que c’est à la même période que Gates a eu une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine.

En outre, dans les années 1990, Myhrvold a voyagé avec Epstein en Russie aux côtés d’Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de « femme la plus influente du monde de l’informatique ». Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google ainsi qu’avec la société de tests ADN 23andme et est membre du Forum économique mondial, auquel elle contribue également. Dyson a déclaré par la suite que la réunion avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. La rencontre semble avoir eu lieu en 1998, d’après les informations publiées sur les comptes de médias sociaux de Dyson. Une photo montre Dyson et Epstein, avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. Sur cette photo, ils se tiennent devant la maison de feu Andrei Sakharov, scientifique nucléaire et dissident soviétique, qui aurait eu des liens avec les services de renseignement américains. Sakharov et son épouse, Yelena Bonner, soutenaient les causes sionistes.

Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise, montrant Epstein dans une salle de classe remplie d’adolescents, apparemment également à Sarov, compte tenu de la date sur les photos.

Une autre image de Dyson, sans horodatage visible, mais avec une légende indiquant que la photo a été prise « chez Microsoft Russie à Moscou » en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson précise : « C’était le début d’un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et divers proches (y compris un garde du corps) ont exploré l’état de la science postsoviétique ». Epstein semble être l’un des « proches », compte tenu des photographies, des dates et de l’objectif décrit du voyage.

Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un intérêt pour les avancées scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu’il avait reçu Epstein dans les bureaux de l’entreprise, accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair, a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d’emprunter le jet d’Epstein et de séjourner chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également noté que Myhrvold a été accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs fournis par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et qui avait déjà voyagé avec Myhrvold dans l’avion privé d’Epstein. (note Alan Dershowitz a été l’avocat qui défendu Epstein lors de ses premiers procès)

Les liens entre Jeffrey Epstein, Gates et le laboratoire du MIT.

En outre, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a par la suite développé ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et a travaillé directement sous la direction de Myhrvold, est devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après la première arrestation d’Epstein. « Il a un passé douteux, mais Linda m’assure qu’il est génial », a déclaré plus tard Ito dans un courriel adressé à trois membres du personnel du MIT. Dans le célèbre petit livre noir d’Epstein, il y a plusieurs numéros de téléphone pour Stone, et son contact d’urgence est répertorié comme Kelly Bovino, un ancien mannequin et un co-conspirateur présumé d’Epstein. Après l’arrestation d’Epstein en 2019, il est apparu qu’Epstein avait « ordonné » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

La fondation Edge financée par Epstein « les dîners de milliardaires qui rassemblent l’élite » jusqu’au Pentagone

Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates étaient tous membres de la communauté de la fondation Edge (site web edge.org), aux côtés de plusieurs autres icônes de la Silicon Valley. Edge, qui est décrite comme une organisation exclusive d’intellectuels « redéfinissant qui nous sommes et ce que nous sommes », a été créée par John Brockman, qui se décrit lui-même comme un « impresario culturel » et un agent littéraire de renom. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l’art à la fin des années 1960, mais on connaît moins ses diverses missions de « conseil en gestion » pour le Pentagone et la Maison-Blanche au cours de la même période. Edge, que le Guardian a qualifié de « site web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif affilié à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir été impliqué dans les activités de Brockman dès 1995, lorsqu’il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté qui était géré par Brockman.

Edge, cependant, est plus qu’un simple site web. Pendant des décennies, il a également contribué à réunir des cadres du secteur technologique, des scientifiques qui étaient souvent des clients de Brockman, et des financiers de Wall Street dans le cadre de son dîner des millionnaires, qui a eu lieu pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé « dîner des milliardaires », et Epstein est devenu intimement impliqué dans ces événements et dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié en train d’assister à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, « assistante » principale de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice dans le trafic sexuel et le chantage mis en place par Epstein et Maxwell.

Nathan Myhrvold, Microsoft and Jeffrey Epstein at the 2000 Edge Billionaires’ Dinner
Source: https://www.edge.org/igd/1200

De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 dollars sur un total de 857 000 dollars collectés par Edge. Au cours de cette période, Epstein a été pendant plusieurs années le seul donateur d’Edge. Epstein a cessé de donner en 2015, année au cours de laquelle Edge a décidé de mettre fin à la tradition de son dîner annuel des milliardaires. En outre, le seul prix décerné par Edge, le prix Edge of Computation d’une valeur de 100 000 dollars, a été attribué en 2005 au pionnier de l’informatique quantique David Deutsch, et a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait créé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la science de pointe dans le monde entier ».

Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé dîner annuel Edge, ont qualifié l’événement d’« opération d’influence ». Si l’on suit l’argent, il apparaît qu’il s’agissait d’une opération d’influence bénéficiant largement à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Tout porte à croire que Myhrvold et Gates faisaient partie intégrante de ce réseau, même avant que l’implication d’Epstein dans Edge n’augmente de manière significative.

Epstein et les fondations Gates et Clinton « santé globale et safe sex »

Il convient d’examiner les liens entre les activités « philanthropiques » de Bill Gates et de Bill Clinton au début des années 2000, compte tenu notamment des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l’ancien agent de renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par le témoignage de la victime d’Epstein et par l’implication intime d’Epstein avec des personnes qui étaient proches de l’ancien président à l’époque.

Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000
Source : LA Times

Malgré les tensions nées de la lutte de l’administration Clinton contre le monopole de Microsoft à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton se sont dégelées en avril 2000, lorsque Gates a assisté à la « Conférence sur la nouvelle économie » organisée par la Maison-Blanche. Outre M. Gates, Lynn Forester (aujourd’hui Lady de Rothschild), proche collaboratrice d’Epstein, et Larry Summers, alors secrétaire d’État au Trésor, ont assisté à la conférence, eux aussi critiqués pour leurs liens avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison-Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial, Mark Middleton, a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison-Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait état de ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers qui avaient été versés à la campagne de réélection de Clinton en 1996. Janet Yellen, l’actuelle secrétaire au Trésor de M. Biden, a également participé à la conférence.

M. Gates a pris la parole lors d’une table ronde intitulée « Combler le fossé mondial : Santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain allait donner lieu à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité d’offrir un accès à l’Internet à tous afin de combler le fossé numérique et de permettre à la « nouvelle » économie basée sur l’Internet de prendre forme. À l’époque, Bill Gates soutenait, avec le milliardaire américain Craig McCaw, une société qui espérait établir un monopole mondial sur les fournisseurs d’accès à l’Internet grâce à un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme la source d’inspiration de Starlink d’Elon Musk.

Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment, avec le lancement de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000 et de la Fondation Clinton en 2001. Dans un article qui titre sur la santé global et le safe sex Wired a décrit les deux fondations comme étant « à l’avant-garde d’une nouvelle ère de la philanthropie, dans laquelle les décisions — souvent appelées investissements — sont prises avec la précision stratégique exigée des entreprises et des gouvernements, puis font l’objet d’un suivi minutieux afin d’évaluer leur succès ».

La clique des faux philanthropes

D’autres médias, comme le Huffington Post, ont toutefois contesté le fait que ces fondations pratiquent la « philanthropie » et ont affirmé que les qualifier ainsi entraînait « la déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a également noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et quelques organisations similaires « vont toutes dans le sens d’un effacement des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». Il note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et l’Institut Milken. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont été créés au moment même où cette nouvelle ère de la philanthropie commençait.

Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le célèbre « roi des obligations à haut risque » de Wall Street, qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude sur les valeurs mobilières en 1989. Il n’a fait que peu de prison et a été gracié par Donald Trump. Milken a commis ses crimes alors qu’il travaillait aux côtés de Leon Black et de Ron Perelman chez Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. Black était très lié à Epstein, dont il a même confié la gestion de sa fondation « philanthropique » personnelle à Epstein pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. Perelman était l’un des principaux donateurs de Clinton. En 1995, il a participé à une collecte de fonds pour le président de l’époque en présence d’Epstein et ses entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et à Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs au sein de l’administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’impitoyable dans le monde des affaires en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite aussi à Tony Blair, l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée.

Des années après avoir créé leurs fondations, Bill Gates et Hillary Clinton ont expliqué qu’ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » consistant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « cite les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu’il avait rencontré Clinton avant qu’il ne devienne président, déclarant : « Je l’ai connu avant qu’il ne soit président, je l’ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu’il n’est plus président. »

Toujours dans cette interview, M. Clinton a déclaré qu’après son départ de la Maison-Blanche, il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « où j’essaie de construire un réseau mondial de personnes qui font leur propre travail ».

La Clinton Health Access Initiative a reçu pour la première fois un don de 11 millions de dollars de la Fondation Gates en 2009. Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a versé plus de 497 millions de dollars à la CHAI. La CHAI a été fondée en 2002 avec pour mission de lutter contre le VIH/sida dans le monde entier en établissant des relations solides avec les gouvernements et en remédiant aux « inefficacités du marché ». Les dons importants de la Fondation Gates ont toutefois commencé peu de temps après l’expansion de la CHAI dans le domaine des diagnostics et des traitements contre le paludisme. Notamment, en 2011, Tachi Yamada, l’ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d’administration de la CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

Bill Gates and Bill Clinton at the annual Clinton Global Initiative in 2010

Epstein, concepteur de la Clinton Global Initiative

En ce qui concerne la Clinton Global Initiative, les avocats de la défense d’Epstein ont soutenu devant le tribunal en 2007 qu’Epstein avait fait « partie du groupe original qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d’Epstein ont décrit la CGI comme un projet « rassemblant une communauté de leaders mondiaux pour concevoir et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus pressants du monde ». La Fondation Gates a donné à la CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à la CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. Outre les dons de la Fondation Gates, Microsoft a été intimement impliqué dans d’autres projets « philanthropiques » soutenus par Clinton.

Outre ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l’initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à « rassembler et analyser des données sur le statut de la participation des femmes et des filles dans le monde » et impliquait que les deux fondations travaillent « avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter ces données et les compiler ». Selon le New York Times, plusieurs mois avant l’annonce du partenariat, M. Gates et M. Epstein se sont rencontrés lors d’un dîner et ont discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie. Lors de la candidature infructueuse d’Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient tous deux sur sa courte liste d’options potentielles pour la vice-présidence.

En outre, Epstein a tenté de s’impliquer directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour convaincre la Fondation Gates de s’associer à JP Morgan dans le cadre d’un « fonds caritatif pour la santé mondiale » de plusieurs milliards de dollars, qui aurait donné lieu à des honoraires considérables versés à Epstein, qui était très impliqué dans JP Morgan à l’époque. Bien que ce fonds ne se soit jamais concrétisé, Epstein et Gates ont discuté de l’implication d’Epstein dans les efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n’ont été rapportés par la presse qu’après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Pourtant, comme nous l’avons mentionné, il était connu qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation — 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

Epstein, le « ticket de Gates » pour gagner un prix Nobel

De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l’importance qu’Epstein semblait avoir dans le monde de la « philanthropie » des milliardaires, Gates ayant déclaré qu’Epstein était son « ticket » pour gagner un prix Nobel. Les médias norvégiens ont toutefois rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n’a pas fait grand bruit dans les médias internationaux à l’époque. Il convient de se demander si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d’autres personnes qui convoitaient également des prix Nobel et si l’une de ces personnes a reçu ces prix par la suite. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il ne les ait utilisées qu’une seule fois dans le cas de Bill Gates, étant donné l’étendue de son réseau, en particulier dans le monde de la technologie et de la science.

C’est également en 2013 que Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein à sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de prendre ses distances avec Epstein. Si la raison invoquée, dans le sillage de l’annonce du divorce des Gates, était que Melinda était rebutée par le passé et la personnalité d’Epstein, elle pourrait potentiellement être liée à d’autres préoccupations concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui partage son nom.

En effet, 2013 a également été l’année où l’ingénieur système du manoir Gates, Rick Allen Jones, a commencé à faire l’objet d’une enquête de la police de Seattle pour sa collection de matériel pédopornographique et de viols d’enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir des Gates un an plus tard, il n’a pas été incarcéré après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de « rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. Du point de vue de Melinda, ce scandale, combiné à l’association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, a pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates, bien avant l’arrestation d’Epstein en 2019.

Terramar : Ghislaine Maxwell, l’ONU et Clinton

2013 a également été l’année où les Maxwell ont été impliqués dans la Fondation Clinton. Cette année-là, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutenait officiellement les objectifs de développement durable des Nations unies relatifs aux océans, s’est engagé à verser 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative dans le cadre d’un effort visant à former une Alliance pour des océans durables. TerraMar a fermé ses portes peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle 2011
du Forum Économique Mondial

Notamment, le projet TerraMar de Ghislaine a succédé à bien des égards à la Blue World Alliance d’Isabel Maxwell, qui a échoué et qui était aussi ostensiblement axée sur les océans de la planète. Blue World Alliance a été créée par Isabel et son mari Al Seckel, aujourd’hui décédé, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l’île d’Epstein. L’Alliance Blue World s’est également fait connaître sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, a été désigné comme agent de liaison de Globalsolver avec la Fondation Clinton. Il avait auparavant été stagiaire à la Clinton Global Initiative.

Xavier Malina a ensuite travaillé dans l’administration Obama au Bureau du personnel de la Maison-Blanche. Il travaille aujourd’hui pour Google. Il convient également de noter qu’au cours de cette même période, le fils d’Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d’État dirigé par Hillary Clinton.

(Notes de S.D. :
1. Le projet Terramar de Ghislaine Maxwell lui aurait permis d’avoir un réseau de sous-marins permettant de transporter des enfants et des clients vers l’île d’Epstein. Ces informations n’ont pas fait l’objet de vérification.
2. Terramar aurait été reconnu par l’ONU comme une organisation bénéficiant d’une immunité juridique. James Biden, le frère du président actuel aurait un terrain sur une île voisine à seulement 20 minutes de trajet. Cette info-ci a été vérifiée par Newsweek).

La science de Gates et la science d’Epstein

Mélanie Walker, la « neurochirurgienne » au parcours parfait : « cadeau » d’Epstein au prince Andrew — conseillère à la fondation Bill Gates — YGL/conseillère au WEF Davos et conseillère spéciale du président de la banque mondiale (et la bourse Rockefeller aussi)

Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton s’entremêlent et que cette dernière a des liens avec Epstein et Maxwell, il apparaît également qu’Epstein a exercé une influence significative sur deux des plus éminents conseillers scientifiques de Bill Gates au cours des quinze dernières années, à savoir Melanie Walker et Boris Nikolic.

Capture d’écran d’une présentation de 2019 que Melanie Walker a faite
pour la Fondation Rockefeller, où elle est boursière. Source : YouTube

Melanie Walker, aujourd’hui célèbre neurochirurgienne, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu’il lui a proposé un emploi de mannequin chez Victoria’s Secret. De telles offres étaient souvent faites par Epstein et ses complices lorsqu’ils recrutaient des femmes pour son opération et il n’est pas certain que Walker ait jamais travaillé comme mannequin pour la société appartenant à Leslie Wexner. Elle a ensuite séjourné dans un immeuble new-yorkais associé aux activités de trafic d’Epstein lors de ses visites à New York, mais on ne sait pas combien de temps elle a séjourné dans cet immeuble ou dans d’autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue la conseillère scientifique d’Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle s’est tellement rapprochée du prince Andrew qu’elle a assisté à une fête d’anniversaire organisée par la reine au château de Windsor, en compagnie d’Epstein et de Ghislaine Maxwell. Pendant cette période, Melanie apparaît sur les carnets de vol d’Epstein sous son nom de naissance, Melanie Starnes, bien qu’il ressemble à « Starves » sur les carnets de vol.

La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a fait l’objet d’un examen minutieux après que l’ancienne gouvernante d’Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew s’était vu « offrir » une « jeune et belle neurochirurgienne » lors de son séjour dans la propriété d’Epstein au Nouveau-Mexique. Étant donné qu’un seul neurochirurgien était à la fois proche du prince Andrew et faisait partie de l’entourage d’Epstein à l’époque, il semble très probable que cette femme « offerte » à Andrew était Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew a « tenu compagnie » à cette femme pendant trois jours. L’arrangement a été mis en place par Epstein, qui ne se trouvait pas dans la propriété à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

Stratton a déclaré ce qui suit à propos du séjour :

« À l’époque, Jeffrey avait cette femme, soi-disant neurochirurgienne, assez jeune, belle, jeune et brillante, qui restait à la maison avec lui… À un moment donné, nous avions tous ces thés différents et vous pouviez choisir les thés que vous vouliez, et elle m’a demandé d’en trouver un qui rendrait Andrew plus excité.

Je suppose qu’elle a compris que son travail consistait à le divertir parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur serait qu’Andrew dise : “Non, je ne l’ai pas vraiment trouvée si attirante.”… Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors sur la corde raide.

Je suppose que, selon une autre théorie, Jeffrey l’a probablement engagée et elle savait que son travail serait, devrait être, de rendre ces gens heureux… Ils ne pensaient qu’au sexe. Je veux dire, je sais avec certitude que Jeffrey aimerait idéalement trois massages par jour ».

Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors cadre chez Microsoft, qui est aujourd’hui associé au conseil d’administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz. Andreesen Horowitz soutient notamment Carbyne911, la start-up de lutte contre la criminalité liée au renseignement israélien financée par Epstein et son proche associé, l’ancien premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu’une autre entreprise technologique liée au renseignement israélien dirigée par Barak, appelée Toka. Toka a récemment obtenu des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l’intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. On ignore quand, comment et dans quelles circonstances Melanie Walker a rencontré Sinofsky.

Après avoir déménagé à Seattle pour rejoindre Sinofsky et après un bref passage en tant que « praticienne dans le monde en développement » en Chine auprès de l’Organisation mondiale de la santé, Walker a été engagée en tant que responsable de programme senior par la Fondation Bill & Melinda Gates en 2006. Étant donné que la principale caractéristique du CV de Walker à l’époque était d’avoir été conseillère scientifique d’un autre « philanthrope » fortuné, Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce rôle essentiel souligne encore davantage comment Bill Gates, à tout le moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait suffisamment sur ses intérêts et ses investissements scientifiques pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller, dont elle est membre, Mme Walker a ensuite conseillé M. Gates sur des questions relatives à la neurotechnologie et à la science du cerveau pour la société secrète de M. Gates, bgC3, que M. Gates avait initialement enregistrée en tant que groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. Selon les documents fédéraux, les domaines d’activité de bgC3 étaient les suivants : « services scientifiques et technologiques », « analyse et recherche industrielles » et « conception et développement de matériel et de logiciels informatiques ».

Lorsqu’elle travaillait à la Fondation Gates, Melanie Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de M. Gates, à M. Epstein. Aujourd’hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée Young Global Leader par le Forum économique mondial. Elle conseille également l’Organisation mondiale de la santé, qui est étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

Au WEF, Mme Walker a écrit en 2016 un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les dispositifs portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avaleurs seront la norme d’ici 2030. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour changer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que si le scénario dystopique qu’elle dépeint « semble fou […] la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le prime time, soit en cours de développement ». Bien entendu, nombre de ces technologies ont pris forme grâce au mécénat de ses anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par l’intermédiaire de Walker, il a assisté à une réunion en 2011 avec Gates et Epstein où il a été photographié aux côtés de James Staley, alors cadre supérieur chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche associé d’Epstein. À l’époque, M. Nikolic était le principal conseiller de Bill Gates en matière de science et de technologie et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. Selon le discours dominant, il s’agirait de la première rencontre entre Gates et Epstein. En outre, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a présenté le « fonds caritatif pour la santé mondiale » commun à la Fondation Gates et à JP Morgan.

La réunion de 2011 dans l’hôtel particulier de Jeffrey Epstein à Manhattan, à laquelle ont participé James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

En 2014, Nikolic s’est montré « enthousiaste » à propos du penchant supposé d’Epstein pour les conseils financiers avant l’introduction en bourse d’une société d’édition de gènes dans laquelle Nikolic détenait une participation de 42 millions de dollars. Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, et Bloomberg a rapporté par la suite qu’Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics capital, qui investit dans des entreprises liées à la santé à « la convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement de thérapies, de diagnostics et de modèles de prestation supérieurs ». M. Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d’investissement stratégique de la Fondation Gates.

Au moins trois des entreprises soutenues par Biomatics — Qihan Biotech, eGenesis et Editas — ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard qui entretient des liens étroits avec Epstein et qui est également étroitement associé à la Fondation Edge. L’investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n’est plus mentionné sur le site web de Biomatics. Qihan Biotech, qui appartient à Church, cherche à produire des tissus et des organes humains à l’intérieur de porcs pour les transplanter chez l’homme, tandis qu’eGenesis cherche à modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez l’homme. Editas produit des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et bénéficie également du soutien de la Fondation Gates et de Google Ventures.

Church qui a créé une appli de rencontre basée sur la génétique a été accusée de promouvoir l’eugénisme ainsi que des expériences humaines contraires à l’éthique. (note SD : il aurait notamment voulu recruter une femme pour lui faire naître un Néandertal).

L’intérêt marqué d’Epstein pour l’eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates, ainsi que son père William H. Gates II, ont également été associés à des mouvements et des idées eugéniques.

Après la mort d’Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur testamentaire » de la succession d’Epstein, ce qui suggère des liens étroits avec Epstein, malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d’Epstein ont été rendus publics, Nikolic n’a pas signé un formulaire indiquant sa volonté d’être exécuteur et n’a finalement pas servi dans ce rôle.

Le silence médiatique continue

Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qu’il est acceptable de discuter de la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces mêmes médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d’enquête. C’est particulièrement vrai dans le cas de l’article de l’Evening Standard et de l’étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et CommTouch, la société qu’Isabel dirigeait auparavant.

La raison probable de la dissimulation de l’étendue réelle des liens entre Epstein et Gates est bien plus liée à la société Microsoft de Gates qu’à Bill Gates lui-même. S’il est désormais permis de faire état de liens qui discréditent la réputation personnelle de Bill Gates, les informations susceptibles de lier ses relations avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été omises.

Si, comme l’a rapporté l’Evening Standard, Epstein a effectivement gagné des millions grâce à ses relations d’affaires avec Gates avant 2001 et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société CommTouch, liée à l’espionnage israélien, étaient rendus publics, il pourrait facilement en résulter un scandale comparable à celui de l’affaire du logiciel PROMIS. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable à Microsoft et à son partenaire, le Forum économique mondial, car Microsoft est devenu un acteur clé des initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, qui vont de l’identité numérique et des passeports-vaccins aux efforts visant à remplacer les travailleurs humains par l’intelligence artificielle.

Il est clair que des acteurs puissants ont tout intérêt à ce que l’histoire Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années suivantes, non pas nécessairement pour protéger Gates, mais plus probablement pour protéger l’entreprise elle-même et d’autres cadres supérieurs de Microsoft qui semblent avoir été compromis par Epstein et d’autres personnes appartenant au même réseau lié aux services de renseignement.

Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou faire disparaître) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux dirigés par Jeff Bezos et Elon Musk. L’une des principales raisons en est que l’opération de chantage du réseau Epstein impliquait non seulement un chantage sexuel, mais aussi des formes électroniques de chantage, utilisées avec succès par Robert Maxwell pour le compte des services de renseignement israéliens dans le cadre de l’opération PROMIS. Compte tenu de leur nature, les formes électroniques de chantage par le biais de la surveillance illégale ou de logiciels piratés peuvent être utilisées pour compromettre les personnes au pouvoir qui ont quelque chose à cacher, mais qui n’étaient pas enclines à s’engager dans l’exploitation de mineurs, comme ceux qui ont été abusés par Epstein.

Le fait qu’Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société-écran qui a joué un rôle central dans l’espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement géré leurs sociétés ultérieures avec l’intention avouée de « reconstruire » le travail et l’héritage de leur père espion, indique fortement la probabilité qu’au moins certains produits Microsoft aient été compromis d’une manière ou d’une autre, probablement par le biais d’alliances avec des entreprises technologiques gérées par Maxwell. Le fait que les médias grand public ne se soient pas préoccupés des liens documentés entre le réseau Epstein et d’autres cadres supérieurs de Microsoft, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que, si la saison des relations entre Bill Gates et Epstein est ouverte, il n’en va pas de même pour Microsoft et Epstein.

Les liens d’Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d’une tentative plus large de dissimuler la forte composante d’intelligence dans l’origine des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. Beaucoup d’efforts ont été déployés pour donner au public l’impression que ces entreprises sont des entités strictement privées, en dépit de leurs liens profonds et anciens avec les agences de renseignement et les armées des États-Unis et d’Israël. La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais couverte par les médias traditionnels, car de nombreux organes d’information appartiennent à ces mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour l’engagement de leurs lecteurs en ligne.

La raison la plus importante pour laquelle les origines et les liens entre l’armée et le renseignement et l’oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne seront jamais honnêtement examinés est peut-être que ces mêmes entités travaillent actuellement à une vitesse fulgurante à l’avènement de la quatrième révolution industrielle, qui fera de l’intelligence artificielle, de l’automatisation, de la surveillance électronique de masse et du transhumanisme des éléments centraux de la société humaine.

L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré au début de l’année que le rétablissement et le maintien de la confiance avec le public étaient essentiels à ce projet. Toutefois, si la véritable nature de la Silicon Valley, notamment ses liens étroits avec le violeur d’enfants en série et trafiquant de sexe Jeffery Epstein et son réseau, venait à être révélée, la confiance du public serait considérablement érodée, menaçant ainsi ce que l’oligarchie mondiale considère comme un projet essentiel à sa survie.




Le Guide complet de la 5 G

[Source : profession-gendarme.com]

Par Éric Müller

Le fonctionnement, les risques, et comment vous en protéger

Sommaire

  • Oui, les ondes 5G sont IDENTIQUES à celles d’un four micro-ondes !
  • La 5G n’a plus rien à voir avec la 3G et la 4G !
  • Une invasion programmée de nouvelles antennes-relais, jusque sur votre table de nuit
  • Si les micro-ondes cuisent un œuf, rien ne les empêche de cuire notre cerveau
  • Nos enfants seront les premières victimes des ondes
  • 230 scientifiques et médecins alertent déjà des dangers de la 5G
  • Ne faites pas confiance aux seuils d’exposition en vigueur
  • Tumeurs au cerveau, chute de la fertilité, etc.
  • L’OMS panique déjà
  • Les ondes ont transformé des millions de vies en cauchemars
  • Il suffirait de quelques ondes en plus pour que des millions de personnes basculent dans l’électrosensibilité ! ? !
  • Ils ont déjà commencé avec le compteur LINKY
  • 24h/24h et 7 jours/7, à l’intérieur, ou à l’extérieur, nous allons être cernés par les antennes-relais 5G !
  • Nos enfants vont cuire à petit feu
  • La 5G – encore une affaire de gros sous !
  • Ne laissez pas la 5G devenir le nouveau « scandale Volkswagen » !
  • Les industriels des télécommunications sont en train de se frotter les mains
  • Résolution 1815 – Comment ont-ils réussi à faire taire le Conseil de l’Europe ?
  • Des seuils de sécurité déjà truqués
  • Pourquoi le gouvernement français assouplit le cadre pour les tests de la 5G ?
  • Première manière de lutter contre la 5G : demander aux autorités d’invoquer le Principe de Précaution et le Code de Nuremberg !
  • Les puissants auront toujours les moyens de se protéger
  • La 5G déjà utilisée par l’armée pour disperser les foules et rendre les animaux fous !
  • 5G, l’outil d’espionnage des Chinois (affaire Huawei)
  • Si la 5G tombait entre de mauvaises mains
  • Ce que vous pouvez faire aujourd’hui pour vous protéger

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]




Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne — Un rappel de monseigneur Gaume

Par Nicolas Bonnal

Monseigneur Gaume et le caractère technologique du démon moderne : « Il est appelé Démon. Sa science effrayante des choses naturelles, sa science non moins effrayante de l’homme et de chaque homme, de son caractère, de ses penchants, de ses habitudes, de son tempérament, en un mot de ses dispositions momies, lui ont fait donner ce nom, qui signifie : intelligent, savant, voyant. »
« Tuer le corps ne lui suffit pas. C’est par l’âme surtout que l’homme est l’image du Verbe incarné, et c’est à l’âme principalement qu’en veut le grand homicide. Son existence n’est qu’une chasse aux âmes : et quel carnage il en fait ! Des millions de chasseurs et des millions de bourreaux sont à ses ordres… Notre époque matérialiste s’est permis de nier les êtres spirituels et leurs propriétés. Pour la confondre, Dieu lui a réservé la découverte de l’électricité. »

Prélat rebelle, traditionnel de notre résistant et enfin catholique XIXe siècle, Mgr Gaume évoqua les caractères des démons dans son Traité du Saint-Esprit : intelligence, agilité, vitesse, puissance ; toutes qualités que nous développons à foison avec les techniques de transport et la technologie de communication ; ces forces magiques transforment les humains en agents ou cibles démoniaques ; de là ce goût pour la bêtise, la dictature, le contrôle, la manipulation, l’hypnose, la lubricité, la passivité (pigritia, ou paresse) que nous avons vu se développer chez tous les hommes et les femmes modernes, y compris en nous-mêmes. Le satanisme est devenu industriel, et l’ubiquitaire dictature anglo-saxonne est son couronnement. Un petit rappel pour comprendre comment nous avons créé un monde fourmillant de démons. Pensons aussi au visionnaire biblique John Milton et voyez en lien notre texte sur le caractère hypermoderne et industriel du lexique miltonien du Paradis perdu.

On a parlé des victimes du vaccin. En fait comme dit Bloy leur petit nombre tempère notre joie. La vraie cible du vaccin c’est l’âme soit par l’altération de l’ADN (Adonaï) remplacé par l’ARN (Aaron grand prêtre et magicien), soit par la création d’un réflexe d’obéissance, de passivité et de soumission qui prélude à la grande extermination voulue par les élites bureaucratiques et milliardaires mondialistes. On est entouré des âmes mortes de Gogol, mais au sens propre. C’est le monde moderne automatisé dont ont parlé tous les grands esprits depuis deux siècles. Voyez nos textes sur Poe, Baudelaire, Dostoïevski, Drumont, Bernanos, Céline et les autres.

Nous allons citer Gaume. Pas pour faire une leçon de catéchisme (il n’y a plus assez de bons chrétiens pour ça) mais pour établir une analogie éclairante. Monseigneur Gaume écrit donc à ce propos dans son Traité à propos du démon :

« Tuer le corps ne lui suffit pas. C’est par l’âme surtout que l’homme est l’image du Verbe incarné, et c’est à l’âme principalement qu’en veut le grand homicide. Son existence n’est qu’une chasse aux âmes : et quel carnage il en fait ! Des millions de chasseurs et des millions de bourreaux sont à ses ordres. »

Belle expression, la boucherie d’âmes :

« Qu’est-ce que l’idolâtrie qui a régné et qui règne encore sur la plus grande partie du globe, sinon une immense boucherie d’âmes ? Qui en est la cause consommante ? Le grand homicide, caché sous mille noms et sous mille formes différentes. »

Puis il définit le démon. Avant de ricaner, penser aux camps australiens, aux amendes autrichiennes, à votre code QR ou à votre condition de paria (et non de rebelle) ; pensez aussi à ce qui va suivre, à la famine — et au dépeuplement.

« Il est appelé Démon, Doemon. Pour désigner Lucifer, les oracles sacrés disent le Démon, c’est-à-dire le démon le plus redoutable, le Roi des démons. Sa science effrayante des choses naturelles, sa science non moins effrayante de l’homme et de chaque homme, de son caractère, de ses penchants, de ses habitudes, de son tempérament, en un mot de ses dispositions momies, lui ont fait donner ce nom, qui signifie : intelligent, savant, voyant. »

Plus que des boucs émissaires, les non-vaccinés et les insoumis sont des calomniés. Et Gaume de rappeler :

« Il est appelé Diable ou plutôt le Diable, Diabolus. Odieux entre tous, ce nom signifie calomniateur. Deux choses constituent la calomnie : le mensonge et l’outrage. À ce double point de vue, Lucifer est le calomniateur par excellence. »

J’avais évoqué dans un texte très lu le caractère maçonnique de ces masques, gestes-barrière, de ce lexique monstrueux et de la hiérarchie initiatique qui en découle. Gaume rappelle :

« Veut-on savoir ce qu’il y a de profonde philosophie dans les paroles de l’illustre disciple de saint Jean Chrysostome ? Qu’on se rappelle ce qu’était le monde païen à la naissance du christianisme. Par une foule de pratiques ténébreuses : consultations, évocations, oracles, initiations, sacrifices, le genre humain s’était mis en rapport habituel avec les dieux, c’est-à-dire avec les démons. »

Tout passe par les ondes et les vagues. Gaume :

Notre lutte est contre les puissances du mal qui habitent l’Air…

Rappelons le propos de notre ami Lucien Cerise : on ne saurait pas qu’il y a épidémie sans les médias. Les médias nous ont rendus esclaves des infos et promptes à tous les délires et toutes les dictatures. La vraie bête dont a parlé Macron c’est eux. J’en reviens au bon musulman de Candide ou à la cuisinière de Flaubert qui ne veulent rien savoir.

Enfin Gaume évoque les qualités des démons :

« Les prérogatives sont, entre autres : l’intelligence, l’agilité, la puissance d’agir sur les créatures matérielles et sur l’homme, par mille moyens divers et jusqu’à des limites inconnues : le tout mis au service d’une haine implacable. Un mot sur chacune de ces terribles réalités. »

Le caractère de l’intelligence moderne est éminemment démoniaque :

« L’intelligence. — Les démons étant de purs esprits, leur intelligence est déiforme. Dès qu’ils perçoivent un principe, ils en appréhendent toutes les conséquences spéculatives et pratiques. Ainsi, sur le monde matériel et ses lois, sur les éléments et leurs combinaisons, sur toutes les vérités de l’ordre purement moral ; en astronomie, en physique, en géographie, en histoire, en médecine, en aucune science ils ne peuvent se tromper : pour eux il n’y a d’erreur possible que dans les choses de l’ordre surnaturel. »

Grimés en experts les démons adorent lire l’avenir (cf. Attali et trois mille autres) :

« Quant à l’avenir, leur connaissance surpasse beaucoup la nôtre. S’agit-il des futurs nécessaires ? Les démons les connaissent dans leurs causes avec certitude. S’agit-il des futurs contingents qui se réalisent le plus souvent ? Ils les connaissent par conjecture : comme le médecin connaît la mort ou le rétablissement du malade. »

Ces qualités étranges (comme disait Tolkien) sont donc au nombre de trois. On a ensuite l’agilité :

« L’agilité des démons ne les rend pas moins redoutables que leur intelligence. Pour se transporter d’un lieu dans un autre, il faut à l’homme un temps relativement assez long : des minutes, des heures, des jours et des semaines. Souvent les moyens de transport lui manquent ; d’autres fois la maladie ou la vieillesse l’empêchent de se mouvoir. Pas plus que les bons anges, les démons ne connaissent aucun de ces obstacles. »

On retrouve la fameuse citation de Job sur Satan baladeur, qui sera reprise par Goethe dans son Faust (mythologie comme on sait liée aux imprimeurs) :

« En un clin d’œil, ils se trouvent, à volonté, présents aux points les plus opposés de l’espace. De là, cette réponse de Satan, rapportée dans le livre de Job : D’où viens-tu, lui demande le Seigneur ? Satan répond : je viens de faire le tour du monde : Circuivi terram. Comme il n’y a pas de distance pour les démons, ce qui se passe actuellement au fond de l’Asie, ils peuvent le dire au fond de l’Europe, et réciproquement. »

Il est étonnant que la Vulgate donne le mot de circuit. Et il est clair pour Gaume que l’électricité est liée aussi à ces étranges phénomènes :

« Notre époque matérialiste s’est permis de nier les êtres spirituels et leurs propriétés. Pour la confondre, Dieu lui a réservé la découverte de l’électricité. Grâce à ce mystérieux véhicule, l’homme peut se rendre présent, non seulement par la pensée, mais par la parole, à tous les points du globe, dans un temps imperceptible. À la vue d’un pareil résultat, comment nier l’agilité des Esprits ? »

Gaume évoque ensuite le venin de Lucifer :

« Essentiellement bienfaisante dans les bons anges, cette puissance est essentiellement malfaisante dans les démons. En s’assujettissant par le péché le roi de la création, Lucifer s’est assujetti la création tout entière. À l’homme et au monde il fait sentir sa tyrannie, inocule son venin, communique ses souillures, et, les détournant de leur fin, les change en instruments de guerre contre le Verbe incarné. »

Ce venin distille la bêtise. Sur cette affaire retrouvez mon texte sur Villiers de L’Isle-Adam et la crétinisation technologie (années 1880, toujours quand apparaît la grippe partout, et que se multiplient les cas de cancer) :

« De toutes ces grandes réalités, vous n’avez qu’une connaissance vague, confuse, sèche et stérile. Vous avez des yeux, et vous ne voyez pas ; des oreilles, et vous n’entendez pas ; une volonté, et vous ne voulez pas. Fruit du don d’entendement, le sens chrétien, ce sixième sens de l’homme baptisé, vous manque. »

Il manque à la plupart des hommes d’aujourd’hui et à un trop grand de nombre de femmes. Il manque aux familles, il manque à la société, il manque aux gouvernants et aux gouvernés, il manque au monde actuel.

La bêtise a aussi été vue par Flaubert (Bouvard et Pécuchet) et elle est venue avec le progrès, comme le racisme, l’impérialisme, l’humanitarisme, l’économisme — le crédit a remplacé le credo, comme dit Marx dans le capital (Livre sur l’accumulation primitive).

Monseigneur Gaume :

« Monde de prétendues lumières et de prétendu progrès, il ne reste pour toi qu’un dernier vœu à former, c’est que l’Esprit d’intelligence te soit donné de nouveau et te montre à nu l’abîme inévitable, vers lequel te conduit à grands pas l’Esprit de ténèbres, redevenu, en punition de ton orgueil, ton guide et ton maître. »

Et l’homme comme chez Tocqueville devient le troupeau :

« Politique des éleveurs de bestiaux ! qui ne comprend plus que l’homme ne vit pas seulement de pain, et qu’on ne régénère pas un peuple en l’engraissant. Politique des aveuglés ! qui conduit le monde à une répétition de Ninive avec Sardanapale, de Babylone avec Balthasar, de Rome avec Héliogabale. »

Citons un autre prophète chrétien pour la peine alors, un nommé Tocqueville :

« Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages, que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ? »

Trouble de penser, c’est fait. La peine de vivre, ça arrive.

Nicolas Bonnal sur Amazon.fr

Sources :

Monseigneur Gaume — Traité du Saint-Esprit, I, chapitre XIII et XIV.

Monseigneur Gaume — Traité du Saint-Esprit, II, chapitre XXXII

Tocqueville – Démocratie, tome II, p. 421.

https://www.dedefensa.org/article/le-pokemon-et-la-cretinisation-technologique-en-1880

https://reseauinternational.net/hollywood-donald-trump-et-lavocat-du-diable/

https://reseauinternational.net/je-crois-que-nous-sommes-confrontes-a-un-mal-qui-na-pas-degal-dans-lhistoire-de-lhumanite/

https://fr.sputniknews.com/20160920/edgar-poe-baudelaire-etats-unis-1027814070.html

http://www.revuemethode.org/m101828.html




Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

[Source : Why-is-so-called-virology-completely-unscientific.pdf (usercontent.one)]

Traduction Jean Bitterlin 27.12.2023

« En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

Par John Blaid

Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.

Les chercheurs ont également travaillé sur la base d’une hypothèse non confirmée selon laquelle il y avait un virus dans les échantillons qu’ils ont utilisés dans diverses expériences. Pourquoi dis-je qu’il s’agissait d’une hypothèse non confirmée ? Parce que la technologie permettant de voir des particules plus petites que des bactéries n’était pas disponible avant le début des années 1930, lorsque le microscope électronique a été inventé. Grâce à cette technologie, les scientifiques ont pu voir pour la première fois des particules beaucoup plus petites que les bactéries, telles que les bactériophages, que nous appelons aujourd’hui à tort « mauvaises bactéries » — mais c’est là un autre sujet. Parallèlement, l’idée que l’on se faisait d’un virus a également changé. D’un poison ou d’une substance nocive, il est devenu une protéine toxique qui se reproduit d’elle-même.

Cette idée a perduré jusqu’en 1952, selon Stefan Lanka, virologue et microbiologiste marin allemand.(([1] NdT : Stefan Lanka se considère aujourd’hui comme « ex-virologue »)). Selon Lanka, la médecine et la science ont abandonné cette idée parce qu’elles ne pouvaient pas trouver ces prétendus virus au microscope électronique. Ce qu’ils ont d’abord pris pour des virus était en fait des restes de cellules mortes après un processus normal de décomposition. Il convient également d’ajouter que, jusqu’à cette découverte, aucune expérience de contrôle n’avait été réalisée dans les règles de l’art, ce qui est de la plus haute importance lorsqu’il s’agit de recherche scientifique. Sans expériences de contrôle correctement réalisées, la recherche ne peut être considérée comme scientifique.

Après 1953 et la découverte de l’ADN, les virologues ont eu une nouvelle idée de ce que pouvait être un virus. Ils ont choisi un modèle basé sur la recherche sur les bactéries et les bactériophages, où l’idée d’un virus est devenue une séquence de gènes nocifs encapsulée dans une enveloppe protéique, modèle qu’ils utilisent encore aujourd’hui. Jusqu’en 1949, dans ce que l’on appelle l’ancienne virologie, les virologues cultivaient de prétendus virus en plaçant du matériel génétique prétendument infecté sur des tissus sains du même type. Cela augmentait la dégradation, qui se propageait aux tissus sains. Ce phénomène a été interprété à tort comme une augmentation et une propagation d’un virus. Après avoir effectué des expériences de contrôle appropriées en 1951, ils ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus de dégradation normaux qui n’étaient pas causés par un prétendu virus.

L’étude d’Ender a été détournée

En 1949, un bactériologiste nommé John Franklin Enders a accidentellement découvert que différents types de tissus commençaient à se décomposer lorsqu’un morceau de cerveau d’une personne décédée de la polio était placé sur ces tissus. Cette découverte a valu à Enders le prix Nobel de médecine en décembre 1954. Après 1949, Enders a accusé l’inventeur du vaccin contre la polio, Jonas Salk, d’être à l’origine d’un grand nombre de décès et de blessures avec son vaccin contre la polio. Enders prétendait que ce vaccin était contaminé par des virus humains inconnus parce que Salk avait utilisé des tissus fœtaux humains, raison pour laquelle Enders lui-même avait choisi de travailler avec des reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Le 1er juin 1954, Enders a réalisé sa première expérience sur la rougeole, en prélevant différents échantillons sur des personnes atteintes de la rougeole et en les combinant avec différents types de matériel génétique, ainsi qu’avec différents types d’antibiotiques, dans des cultures cellulaires fabriquées à partir de tissu rénal de singe. Ce qui est intéressant ici, c’est que l’expérience de contrôle d’Ender a montré que l’effet cytopathique, c’est-à-dire la mort cellulaire, ne pouvait pas être distingué avec certitude de l’expérience avec le virus supposé de la rougeole.

Si je mentionne Enders, c’est parce que c’est sa méthode qui a jeté les bases de la virologie moderne, sur laquelle les virologues travaillent depuis 1954. Et ce, bien qu’Enders lui-même ait montré que sa méthode ne pouvait être assimilée à une quelconque preuve de l’existence d’un virus. Lorsque Enders a reçu le prix Nobel quelques mois plus tard pour son travail dans l’ancienne virologie, ses pures spéculations sur un prétendu virus sont également devenues la base de la nouvelle virologie.

La question que nous devons maintenant nous poser est la suivante : comment les virologues peuvent-ils aujourd’hui travailler selon cette méthode alors qu’Enders a explicitement déclaré dans sa propre étude qu’elle ne prouvait rien ? Ce qu’il convient de souligner à nouveau, c’est l’hypothèse non prouvée que les virologues font depuis le début, à savoir que les échantillons qu’ils utilisent contiennent des virus avant que les expériences n’aient lieu. Il est important de souligner ici la méthode scientifique.

Les fondements de la méthode scientifique

La méthode scientifique consiste d’abord à observer un phénomène naturel, puis à formuler une hypothèse sur ce que l’on pense être la cause du phénomène. Ensuite, l’hypothèse doit être testée en essayant de trouver et d’isoler ce que nous pensons être la cause du phénomène, puis en réalisant des expériences scientifiques, qui doivent inclure des expériences de contrôle correctement menées. Si l’hypothèse s’avère correcte, une théorie scientifique peut être élaborée à partir de celle-ci.

Malheureusement, la virologie se heurte à plusieurs problèmes fondamentaux. Tout d’abord, personne n’a observé un virus directement dans la nature, c’est-à-dire dans un échantillon prélevé sur un individu malade, sans que cet échantillon n’ait été préalablement associé à d’autres matériels génétiques, comme une culture cellulaire. Dès lors, comment créer une hypothèse à partir de quelque chose que l’on n’a pas trouvé directement dans la nature ?

Deuxièmement, la méthode scientifique exige que nous isolions ce que nous croyons être la cause du phénomène, c’est-à-dire que nous le séparions de tout le reste. C’est la seule façon d’être absolument sûr que le résultat que nous observons dans une expérience est causé par ce que nous croyons. Mais s’ils n’y parviennent pas, comment peuvent-ils réaliser des expériences scientifiques ?

Des milliers d’études prétendent isoler divers prétendus virus, mais lorsque l’on examine leurs méthodes, on s’aperçoit rapidement que ce qu’ils font est tout le contraire de l’isolement. Les virologues utilisent un échantillon non purifié, tel que du liquide pulmonaire, et supposent qu’il contient un virus. Cet échantillon non purifié est ensuite mélangé à du matériel génétique et à divers types d’antibiotiques.

Il convient également d’ajouter que toutes les prétendues images de virus proviennent d’échantillons prélevés après ces expériences et non d’échantillons purifiés prélevés directement sur des personnes malades. Stefan Lanka souligne que ces particules pourraient être soit des fragments de cellules mortes ou mourantes, soit de purs artefacts créés par la procédure de photographie au microscope électronique.

Demandes officielles et récusations des virus

À partir de 2020, diverses personnes, dont votre serviteur, ont obtenu des réponses à des demandes officielles adressées à quelque 205 institutions dans plus de 35 pays concernant le prétendu virus du SARS-CoV-2, et toutes ont répondu qu’elles ne disposaient pas de documents attestant d’un isolement correctement effectué.

Une Canadienne du nom de Christine Massey a lancé un projet visant à recueillir toutes ces réponses à des demandes de renseignements, et elle a également recueilli des demandes similaires concernant la plupart des prétendus virus. Les réponses ont été les mêmes et, à un moment donné, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’Institut National Américain de la Santé, a répondu que ce qui était demandé était impossible à satisfaire en virologie, ce qui veut tout dire.

Mais les problèmes de la virologie ne s’arrêtent pas là. Un événement historique s’est produit en 2016 lorsque le virologue (Rappel : ex-virologue) Stefan Lanka a gagné un procès, après un appel, pour manque de preuves de l’existence du virus de la rougeole. Lanka avait offert une récompense de cent mille euros à quiconque pourrait présenter une étude prouvant l’existence du virus de la rougeole. Au cours de ce procès, Lanka a été confronté à David Bardens(([2] NdT : Bardens représentait le Robert Koch Institut ou RKI, l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur)), qui a présenté six études qui, selon Bardens, prouveraient l’existence du virus de la rougeole. Le tribunal a tranché en faveur de Lanka pour les six études.(([3] NdT : après un 1er jugement d’un tribunal de province — jugement rendu « sur le siège » c’est-à-dire que le juge n’a même pas écouté les arguments de Lanka — en faveur du RKI, Lanka a gagné devant la cour d’appel de Stuttgart puis, le RKI n’acceptant pas ce jugement en appel a à nouveau été débouté par la plus haute juridiction allemande, la cour fédérale de justice de Karlsruhe)).

Le procès est très intéressant, car l’une des six études présentées est l’étude de 1954 de John Franklin Enders.(([4] NdT : en fait sur les études présentées il y en avait 5 qui reprenaient les arguments de celle d’Enders)). Cette même étude, qui a jeté les bases de la virologie moderne malgré les avertissements d’Enders, a donc été déclarée non scientifique en raison d’un manque d’expériences de contrôle. Cette décision signifiait indirectement que l’ensemble de la virologie avait été déclarée non scientifique, puisque la base de la virologie avait été supprimée. En d’autres termes, Lanka a non seulement gagné et prouvé qu’il n’y avait aucune preuve scientifique de l’existence du virus de la rougeole, mais aussi que la virologie n’avait pas de base scientifique parce que la méthode établie par Ender en 1954 n’était pas scientifique.

L’expérience de contrôle révèle l’escroquerie

Ce que peu de gens savent, c’est qu’au cours de ce procès, Lanka a contacté deux laboratoires indépendants qui ont réalisé les expériences de contrôle que les virologues auraient dû effectuer depuis l’époque d’Enders. Le directeur de l’un de ces laboratoires a déclaré dans son rapport que les changements cellulaires observés lors de l’expérience de contrôle étaient identiques à ceux que les virologues attribuaient au virus de la rougeole.

Les virologues prétendent que le résultat de l’expérience serait propre au virus de la rougeole, mais il s’agit d’une interprétation erronée, car le résultat est dû à d’autres facteurs. Ces facteurs sont en fait la privation de nourriture des cellules combinée à l’utilisation d’antibiotiques. Ironiquement, l’antibiotique utilisé par les virologues est celui qui dégrade les reins, le tissu même qu’Enders privilégiait et ceci est aujourd’hui accepté en virologie.

Aujourd’hui, d’autres expériences de contrôle ont été menées par Lanka et d’autres. En 2021, il a de nouveau été prouvé que l’effet que les virologues ont interprété à tort comme étant induit par un virus est causé par la procédure elle-même ainsi que par l’utilisation d’antibiotiques en combinaison avec la privation de nourriture des cellules — et non par un prétendu virus. Cette fois, Lanka est allé plus loin. En utilisant la même méthode que les virologues, il a réussi à prouver, à l’aide d’une expérience de contrôle, que le prétendu génome du SARS-CoV-2 pouvait être construit à partir de l’ARN de la levure, sans aucun matériel prétendument infecté.

Le prétendu génome du virus

Toutefois, il convient ici de prendre du recul et de souligner les problèmes fondamentaux que posent les prétendus génomes de virus. Si nous voulons séquencer le génome d’un virus, nous devons d’abord trouver le virus dans la nature, c’est-à-dire directement à partir d’un échantillon prélevé sur un individu malade. Ensuite, nous devons isoler le virus, c’est-à-dire le séparer de tout le reste. Mais si les virologues et les institutions du monde entier admettent qu’il y a un manque de documentation sur l’isolement correct d’un virus, comment pouvons-nous séquencer son prétendu génome ? De toute façon, que sont tous ces prétendus génomes ?

Prenons l’exemple du SARS-CoV-2 pour illustrer la méthode non scientifique qui sous-tend le séquençage. Ce qu’ils ont fait en Chine, c’est qu’ils ont utilisé un seul échantillon prélevé sur un patient sur 44 souffrant d’une pneumonie atypique. À partir de cet échantillon non purifié contenant des séquences génétiques de toutes origines possibles, de courtes séquences de gènes d’environ 150 paires de bases ont été prélevées, supposées appartenir à un virus. Ces séquences ont ensuite été assemblées à l’aide des programmes informatiques Megahit et Trinity. Lors de l’assemblage de ces courtes séquences de gènes, les trous ont été bouchés et les chevauchements ont été lissés, le tout à l’aide de programmes informatiques (la procédure s’appelle l’alignement). Une fois ce processus terminé, la séquence la plus longue, de 30 474 paires de bases, a été sélectionnée dans Megahit parmi 384 096 génomes créés avec des longueurs allant de 200 paires de bases à 30 474 paires de bases. À Trinity, la longueur du génome allait de 201 paires de bases à 11 760 paires de bases. On peut se demander pourquoi ils ont choisi le génome le plus long de Megahit, car il n’y a pas d’explication à ce choix spécifique.

Cependant, ce génome SARS-CoV-2 créé ne peut pas être trouvé dans la nature dans son intégralité. Il ne peut être trouvé que dans des ordinateurs, d’où le terme de génome in silico, c’est-à-dire un génome créé dans un ordinateur. Les courtes séquences de gènes qui font partie du génome créé peuvent être trouvées dans la nature, mais le génome dans son ensemble ne l’est pas, car il ne s’agit que d’un génome fictif qui n’a aucun lien avec la réalité.

Pour faciliter ici la compréhension du problème, faisons une analogie. Imaginez que vous deviez séquencer le génome d’un être humain spécifique ! Vous commencez par prélever un échantillon dans un mélange de matériel génétique de toutes sortes de sources inconnues. Ensuite, vous supposez, sans le confirmer, que certaines des courtes séquences de ce mélange appartiennent à cet être humain et vous assemblez ces séquences à l’aide d’ordinateurs. Ensuite, vous choisissez le génome le plus long sans explication, même si vous n’avez aucune preuve directe de l’existence de cet être humain, ce qui signifie également que vous ne pouvez pas valider le génome créé.

La question qui se pose alors est la suivante : comment pouvez-vous savoir que les courtes séquences appartiennent à cet homme si vous n’avez pas été en mesure de prouver que l’homme existait avant que vous n’assembliez le génome ? Ne devriez-vous pas isoler cet être humain de tous les autres êtres humains, animaux et plantes et prélever un échantillon directement sur lui pour être sûr qu’il s’agit du bon génome ?

L’argument qui revient lorsque l’existence du virus est remise en question est le suivant : qu’est-ce qui rend les gens malades si ce n’est pas à cause du virus ? Mais il s’agit là d’un autre débat. Tout comme dans un procès pour meurtre où il n’y a pas de preuve permettant de relier l’auteur présumé au crime, le suspect est libéré, même s’il n’y a pas de nouveau suspect.

Expériences avec une infection présumée

Il existe également de nombreuses expériences différentes sur une prétendue contagion, qui montrent les problèmes qui se cachent derrière cette hypothèse. L’une des plus célèbres a été réalisée au cours de l’épidémie dite de grippe espagnole. Milton Joseph Rosenau a mené huit expériences différentes sur une centaine d’hommes volontaires sur une île de Boston. Dans ces expériences, ils ont pris différents brins de la bactérie bacille de Pfeiffer et ont créé un spray qu’ils ont utilisé dans leurs yeux et qu’ils ont tamponné dans leur gorge et leur nez. Le résultat c’est que personne n’est tombé malade. Des sujets ont également été inoculés avec du mucus prélevé dans la bouche, le nez, la gorge et les bronches de patients grippés, sans qu’aucun des volontaires ne tombe malade. Ensuite, on a injecté à certains volontaires du sang prélevé sur des patients grippés, sans qu’aucun d’entre eux ne tombe malade. Treize des volontaires ont également été admis dans le service de la grippe, où ils ont été exposés à dix patients grippés par personne. Il a été demandé à chaque volontaire de serrer la main des patients grippés, de s’approcher d’eux le plus possible, de leur parler pendant cinq minutes et de laisser les malades respirer et tousser directement sur leur visage. Ce processus a été répété cinq fois avec chaque patient grippé et aucun des sujets n’est tombé malade. À la fin de l’étude, Milton Joseph Rosenau a écrit :

« Nous pensions connaître la cause de l’épidémie et nous étions assez sûrs de la façon dont elle se propageait d’une personne à l’autre. S’il y a une chose que nous avons apprise, c’est que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie ».

La virologie examinée au microscope

La charge de la preuve de l’existence des virus incombe à ceux qui la revendiquent et non à ceux qui soulèvent ces problèmes fondamentaux, car il n’est pas possible de prouver scientifiquement que quelque chose n’existe pas.

Dans le cas des virus, il y a un manque de preuves scientifiques de leur existence en raison d’hypothèses non confirmées et d’un manque d’expériences de contrôle qui ont conduit à des interprétations erronées, où les virologues se sont involontairement trompés eux-mêmes et, à leur tour, ont trompé le reste de l’Humanité, malgré leurs bonnes intentions.

Nous ne pouvons pas prévenir les maladies et créer une population en meilleure santé si nous partons d’un postulat erroné. À mon avis, c’est la question la plus importante à laquelle il faut répondre aujourd’hui, car la réponse a d’énormes implications pour la médecine, la santé et la société dans son ensemble, en termes de politiques, de recommandations et de lois, par exemple. En raison de ces implications considérables, il est plus important que jamais de toujours remettre la science en question et de ne pas croire aveuglément ce que l’on prétend. En effet, la science d’aujourd’hui est tout sauf scientifique.




Pourquoi manger biologique ?

[Source : Malo Naturo]

Article de bromatologie

En médecine naturelle, ce que l’on ingère fait partie des 9 facteurs de la santé intégrale [voir l’encart vert ci-dessous]. Du fait de son importance pour la santé, le mot « biologique » revient dans presque tous les articles de ce blog, car il n’est pas possible de fonctionner de manière optimale si la toxémie est élevée.

Les 9 facteurs de la santé intégrale

La santé ou la maladie dépendent de 9 facteurs principaux :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

=> Toxémie ou santé

TOUTES les pathologies (99 %) => maladie UNIQUE : la « TOXÉMIE ».

En 5 points :

  1. Toxémie naturelle des déchets cellulaires (toxémie endogène).
  2. Toxémie intestinale, produits de décomposition dans les voies digestives.
  3. Toxémie organique : par exemple, le pus.
  4. Toxémie chimique (exogène) par les médicaments et les produits de synthèse, les solvants, les colorants, les pesticides, le tabac, l’alcool, les perturbateurs endocriniens…
  5. Toxémie des substances naturelles toxiques (végétaux, venins, sérums, etc.)

Comment se manifeste la toxémie (symptômes) ?

  1. Les maladies (symptômes) à « colles » déchets colloïdaux (mucus, glaires).
  2. Les maladies (symptômes) à « cristaux » déchets cristalloïdes (acidose).
  3. Les maladies (symptômes) de « carences ».
  4. Les maladies (symptômes) de « surcharge » (excès alimentaires, saturation émonctorielle).
  5. Les maladies (symptômes) de « toxiques ».

Rare : les maladies génétiques, organiques.

N.B. Notre environnement constitué par les 9 facteurs de la santé intégrale influence l’expression des gènes de notre ADN, c’est l’épigénétique…

[Voir aussi :
Génétique : Le génome en dissolution,
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
et Vos pensées contrôlent votre ADN !]

Ces mêmes facteurs sont également les 9 piliers de la longévité.

L’intoxication du milieu de vie de la cellule (humeurs)
constitue la TOXÉMIE.

Le respect des lois naturelles préserve de la toxémie et des différents symptômes qui en découlent.

Les microbes dits pathogènes ne peuvent se développer que sur un organisme dont le système immunitaire est affaibli par l’excès de toxines dû à des conditions de vie défavorables. Il en est de même pour les épidémies, signe d’une modification des paramètres bioélectroniques du terrain dû à une mauvaise hygiène de vie ou à des facteurs environnementaux, qui affectent l’ensemble de la population d’une région ou d’un pays tout entier.

[Note de Joseph : la théorie des germes pathogènes a été scientifiquement réfutée et si des bactéries (qui se comportent comme de minuscules usines chimiques se nourrissant de certaines substances pour en produire d’autres) se développent dans un milieu particulier (biologique ou non), c’est parce qu’elles y trouvent leur nourriture ou réagissent à une agression (par exemple de nature électromagnétique).
Dans un paradigme médical basé sur le terrain, la notion même de système immunitaire devient caduque et devrait être remplacée par exemple par celle de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage.]

Fondamentalement, la maladie n’a qu’une cause :
la dégradation [ou le déséquilibre]
du terrain [par des excès ou des déficiences].

Voir la suite

Le bio c’est le naturel, le vivant, c’est la nourriture originelle depuis toujours, c’est interdire les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Ensuite est venu le progrès, et l’homme a commencé à s’affaiblir, à dégénérer, à tomber malade et à prendre beaucoup de médicaments.

Le bio c’est de la saveur et de l’odeur, c’est moins d’eau, plus de nutriments et d’antioxydants qui permettent une meilleure nutrition et protection cellulaire.

Le bio c’est moins de pollution environnementale, c’est meilleur pour la biodiversité et notre santé.

Le bio c’est en moyenne 30 % plus cher.

Le non-bio, c’est ingérer des pesticides, des antibiotiques, des médicaments, des additifs, des engrais, des métaux lourds, des perturbateurs endocriniens. C’est détruire le microbiote, les systèmes nerveux et immunitaire avec les conséquences graves qui peuvent en découler à moyen ou à long terme…

À notre époque, ce qui est cultivé est certes plus ou moins contaminé par les conditions environnementales : pluies acides, pollution, résidus de pesticides dans l’air, l’eau ou la terre, etc., mais la quantité de pesticides contenue dans les produits de culture biologique est contrôlée strictement et des cahiers de charges sont établis du moins en Belgique. L’Europe vient malheureusement de renouveler l’autorisation pour l’utilisation du glyphosate pendant 10 ans (novembre 2023).

Les pesticides :

« Pesticides » est le terme générique pour désigner les substances chimiques élaborées pour lutter contre des « nuisibles » tels que : mauvaises herbes (herbicides), champignons (fongicides), insectes (insecticides), parasites (parasiticides), rats (raticides), bactéries (bactéricides), etc. Ce sont des produits de synthèse toxiques générateurs de maladies, de perturbations endocriniennes et de cancers.

Ils détruisent le microbiote intestinal et les cellules épithéliales, ce sont des agents mutagènes et carcinogènes qui causent la porosité intestinale. L’homme ingurgite en moyenne 4,8 kg de produits chimiques par an avec une alimentation conventionnelle. (Source : Nelly Grosjean.)

La consommation quotidienne d’une nourriture ainsi polluée par les pesticides entraîne une toxémie exogène permanente. Le microbiote représente près de 80 % de notre système immunitaire, il contribue à la décomposition des aliments et à notre bien-être mental. Le foie aura toujours une surcharge de travail avec ces molécules toxiques à éliminer, et quand le foie va mal, tout va mal.

On ne peut pas régler naturellement un problème de santé si on persiste à consommer des aliments de culture conventionnelle, puisqu’en hygiénisme la priorité est de baisser la charge toxémique et d’augmenter l’énergie vitale.

Actuellement, le foie des nouveau-nés est 50 % plus volumineux qu’il y a 30 ans, on trouve dans leur sang à la naissance près de 300 substances polluantes (CHU Montpellier, 2007), sans compter les nombreux résidus qui polluent le lait maternel. Ces observations constituent un signal d’alarme d’une extrême gravité…

« La recherche indique que l’exposition aux pesticides en général (de même que l’exposition à certains pesticides en particulier) est associée à plusieurs types de cancers comme le lymphome non hodgkinien, le myélome multiple de même que les cancers de la prostate, du rein et du poumon, entre autres. »

Société Canadienne du Cancer

Les fruits et légumes biologiques contiennent jusqu’à 69 % plus d’antioxydants et en moyenne 180 fois moins de résidus chimiques que ceux de l’agriculture conventionnelle. Les fruits ordinaires subissent de 40 à 70 traitements chimiques. Un citron cultivé biologiquement, sans engrais de synthèse, contient environ trois fois plus de vitamine C qu’un autre.

Selon un rapport français validé en 2015 basé sur un échantillon de 5 806 fruits et légumes biologiques, 86,3 % ne contenaient aucune trace de pesticide.

Les fruits et légumes bio sont donc contaminés à 1,4 %, contre 35 % pour les légumes et 64 % pour les fruits de culture conventionnelle, soit 25 fois moins pour les légumes et 45 fois moins pour les fruits.

Les fruits et légumes de culture bio sont donc plus chargés en éléments nutritionnels et apportent beaucoup moins d’éléments toxiques que la culture conventionnelle.

Citations :

« Il ne faut rien enlever à l’aliment, car non seulement les parties soustraites font défaut, mais les parties restantes perdent partiellement ou totalement leur activité biologique. »

Henri-Charles Geffroy

« Une autre nuisance insoupçonnée de ces fongicides, insecticides, nématicides, taupicides, etc. se situe au niveau de nos enzymes digestifs : l’expulsion du zinc, du nickel, du cobalt, du vanadium dans le site actif de l’enzyme et son remplacement par le mercure, le cadmium ou autres généreront des enzymes peut actives ou inactives, en particulier vis-à-vis de la digestion de la caséine et du gluten… »

Robert Masson

« Les engrais chimiques déséquilibrent les sols, et entretiennent une “escalade” inexorable : les traitements appauvrissent les sols qu’il faut de plus en plus traiter. Les fruits et légumes, subissant aussi ces agressions chimiques, voient leurs immunités faiblir : il faut donc les traiter aussi chaque année un peu plus. Tout l’équilibre de l’écosystème est alors rompu : les insectes parasites mutent pour s’adapter aux contraintes croissantes, à la manière des indésirables de nos intestins à la suite d’antibiothérapies répétées… »

Daniel Kieffer

« Une des raisons des carences en oligoéléments de plus en plus fréquentes chez les hommes et les animaux d’élevage est à chercher dans l’usage d’engrais chimiques qui en sont dépourvus. »

Dr Catherine Kousmine

« Le docteur Curl mesura ensuite dans les urines des enfants les produits de dégradation des pesticides organochlorés (les pesticides les plus courants). Elle trouva que le taux de pesticides dans l’urine des enfants “bio” était nettement en deçà des minima fixés par l’Agence gouvernementale de protection environnementale. Il était aussi 6 à 9 fois moindre que celui des enfants “conventionnels”. Pour ces derniers, la charge toxique dépassait au contraire de 4 fois les limites officielles tolérées… La nourriture bio faisait bel et bien une différence de taille quant au niveau d’intoxication de l’organisme. »

Dr David Servan-Schreiber

« Paul Stiit estimait dans son livre de 1982 que l’Américain moyen consommait chaque année presque 5 kilogrammes d’approximativement 2 000 additifs alimentaires. »

Dawn Lester & David Parker, Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ?

« Consommer des aliments de qualité, c’est-à-dire biologiques, pour éviter l’apport massif de produits chimiques — herbicides, fongicides… — qui encrassent l’organisme et sollicitent de manière importante le foie et nos mécanismes immunitaires, mais aussi nos filtres bio-émonctoriels. »

Christian Brun

« Les pesticides provoquent des déficits immunitaires ainsi que des infections à répétition. »

France-Hélène Rouvière, naturopathe




ADN dans les vaccins ? Les médecins allemands en colère

[Source : covidhub.ch]

En Allemagne, la révélation d’importantes quantités d’ADN dans les vaccins a créé la foire d’empoigne dans le monde médical. Début décembre, l’association des praticiens de la médecine (MBV) a adressé un courrier à tous les médecins généralistes pour les avertir de ce danger pour la santé et de ses conséquences légales. L’institut fédéral responsable du contrôle des vaccins a immédiatement démenti ces accusations, parlant de données inexactes et de « fake news ». Mais ses arguments ont aussitôt été démontés par un groupe de scientifiques, le MWGFD, qui a confirmé les dangers liés à l’ADN dans les vaccins Covid. L’affaire les a même poussés à porter de lourdes accusations contre l’Institut Paul Ehrlich, qui est responsable de la pharmacovigilance en Allemagne, et qui conseille l’Agence européenne des médicaments.

Le « Plasmidgate »

La tentative de l’Institut Paul Ehrlich (IPE) de faire passer les informations concernant la présence d’ADN dans les vaccins pour des « fake news » a suscité un véritable tollé et lancé le débat sur la place publique. C’est tout d’abord la chaîne de télévision allemande MDR qui a réalisé un reportage sur le sujet. Peu après, le magazine en ligne Focus a lui aussi publié un dossier sur ce que l’on appelle aujourd’hui « le Plasmidgate ». À présent, le scandale prend de l’ampleur, car il apparaît que l’Institut Paul Ehrlich n’a jamais effectué de véritables contrôles des vaccins Covid. Il s’est seulement limité à vérifier les documents fournis par les fabricants. Cet aveu est un véritable choc pour de nombreux médecins et pour le public. Comment imaginer que l’autorité responsable de la sécurité des médicaments donne de facto carte blanche aux fabricants, en se fiant à leurs propres affirmations sur la qualité du produit ?

[Note de Joseph :

Cette affaire de supposé ADN contaminant des vaccins est probablement du même ordre que celle du prétendu ARNm, à savoir un écran de fumée pour cacher le vrai problème : la nanotechnologie à base de graphène. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/next-dose-3-faut-il-encore-des-preuves/.

C’est quand même bizarre que des médias mainstream (allemands dans le présent cas) ébruitent cette affaire d’ADN et que d’autre part des laboratoires vraiment indépendants qui ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de sortes de vaxins anticovid n’aient pas trouvé trace de matériel biologique (pas de présence des éléments chimiques typiques du vivant, notamment azote et phosphore). Voir https://nouveau-monde.ca/dr-david-a-hughes-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-preuves-dun-crime-mondial-contre-lhumani/.

Si les analyses supposément génétiques reposent sur le même genre de cuisine que la virologie (notamment avec la PCR et l’usage de logiciels de séquençage qui ne font que mouliner dans le virtuel et inventer au final des séquences dont il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de leur existence dans la nature. Voir https://nouveau-monde.ca/un-adieu-a-la-virologie-edition-pour-expert/), alors il n’est pas étonnant que des labos officiels puissent trouver de l’ADN ou de l’ARNm là où des indépendants sans conflits d’intérêts n’ont rien trouvé de tel.

En réponse à la peur génétique (ADN, ARNm, Spyke), il existe maintenant suffisamment d’indications (d’après l’épigénétique) que le code génétique n’est naturellement pas fixe, mais se modifie selon l’environnement et selon le psychisme de l’individu (Voir Génétique : Le génome en dissolution, Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus et Vos pensées contrôlent votre ADN !). On pourrait répondre que l’affaire du graphène peut aussi engendrer la peur, mais on sait que celui-ci est naturellement éliminé du corps en quelques mois et que l’élimination peut être accélérée par des antioxydants, même si sous forme d’hydroxyde il est plus difficile à éliminer.

La raison pour laquelle ils poussent autant les rappels anticovid et de nouveaux vaccins, ce n’est pas pour booster l’immunité (dont le concept lui-même est probablement erroné si la théorie des germes et sa fille virale sont fausses. Il faudrait alors par exemple parler de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage), mais pour renouveler le stock de nanotechnologie graphénisée dans le corps des vaccinés. Le graphène lui-même pourrait être renouvelé notamment par l’ingestion alimentaire, infection médicale (sur les masques et les écouvillons de tests PCR [cela a été observé]), cosmétique, aqueuse (dans les boissons ou l’eau du robinet) ou aérienne (par les chemtrails) de cette substance.

On peut aussi se poser la question du pourquoi de la présence du graphène. Eh bien pour transformer l’Homme en transhumain, selon les vœux de sieur Schwab et de psychopathes milliardaires, afin de mieux l’asservir :

Nanotechnologie à base de graphène (contenant l’identifiant universel sous forme d’adresse MAC)
+ 5G/6G + CBDC + Crédit social
= Marque de la Bête

Voir Nanotechnologie et « vaccins »

]

L’association des praticiens de médecine pose aujourd’hui des questions fort embarrassantes :

Qu’est-ce qui pousse l’agence de contrôle à vouloir mettre fin à une action qui contribue à la sécurité des médicaments ? L’IPE part-il du principe que les connaissances sur les impuretés de l’ADN peuvent devenir un problème pour la sécurité des vaccins ? Plusieurs travaux d’analyse ont démontré que les vaccins à ARNm présentent d’importantes contaminations de l’ADN. L’IPE n’est-il pas au courant de ces publications scientifiques ? Des spécialistes avaient pourtant alerté l’agence dès les premières publications des chercheurs américains sur ce sujet. À présent, ils sont maintenant encore plus irrités et alarmés.

Collusion avec BioNTech

La MVB a aussi souligné que le professeur Cichutek, président de l’Institut Paul Ehrlich, est un des plus grands chercheurs allemands en matière de thérapie génique et qu’il avait lui-même décrit en détail les dangers des thérapies géniques, dans les années 90. Selon ses propres termes, la vaccination avec des vaccins contenant des acides nucléiques équivaut à « une forme particulière de transfert de gènes/thérapie génique ». Et,

une conséquence génétique indésirable des vaccinations avec des vaccins contenant des acides nucléiques pourrait être une mutagenèse par insertion de gènes cellulaires… entraînant un risque accru de cancer.

Au vu du contenu inquiétant de cette publication du professeur Cichutek datant de 1994, la MBV exige des explications publiques ! Quand, où et comment les risques qu’il a lui-même énumérés ont-ils été étudiés plus en détail ? Jusqu’à présent, l’IPE a refusé de fournir la moindre réponse à ces questions.

Selon un ancien directeur de la caisse des assurances-maladie (KVB), le Dr Krimmel, un spécialiste en médecine générale, l’attitude de l’Institut Paul Ehrlich a « aggravé la situation ». Elle est « de nature à ôter au public ses dernières illusions quant au bon fonctionnement de la surveillance de la production de vaccins à ARNm ».

Pourquoi l’Institut ne veut-il pas dissiper ce « terrible soupçon » de contamination massive par de l’ADN ? Que sait l’IPE sur ce sujet, étant donné qu’il avait lui-même conseillé la société productrice BioNtech d’obtenir l’autorisation du vaccin ?

En juin 2023, le ministre de la santé allemand a tweeté depuis la salle « de contrôle des vaccins » de l’Institut Paul Ehrlich que « grâce au Prof. Cichutek et à l’IPE les vaccins Covid ont été approuvés plus rapidement »

Trompés par les agences

La MBV a rappelé qu’il existe deux procédés de fabrication différents pour les vaccins à ARNm, comme l’Agence européenne des médicaments l’a bien mentionné dans son rapport d’évaluation du 19.02.2021 (concernant Comirnaty, EMA/707 383/2020, CHMP).

Le produit soumis à l’évaluation des agences sanitaires était un vaccin produit par qPCR. Mais pourla production de masse des vaccins Covid, on a ensuite utilisé un procédé nettement plus « rapide » en produisant de l’ARNm à partir de plasmides d’ADN.

Dans sa lettre initiale aux généralistes, la MBV a aussi accusé l’IPE d’avoir trompé les médecins et les pharmaciens en affirmant que les avantages des vaccins à ARNm Covid-19 l’emportaient nettement sur les risques éventuels. D’innombrables études l’ont prouvé, mais les autorités allemandes persistent dans leur politique de désinformation.

Il est très problématique que l’IPE ne soit pas encore intervenu en lançant ses propres enquêtes pour évaluer la qualité des produits. Mais le fait qu’il s’arroge le droit d’interdire, sans base juridique et de manière totalement inappropriée, une initiative privée visant à remédier à la situation, n’est en aucun cas compréhensible. En fin de compte, l’action de l’Institut de contrôle semble avoir pour seul objectif d’empêcher délibérément les initiatives visant à établir la sécurité des médicaments. L’Institut Paul Ehrlich agit donc manifestement à l’encontre de sa mission légale !

Chaos dans le génome

Le Plasmidgate pourrait bien être le coup de grâce à la politique du « tout-vaccin » menée par les autorités sanitaires de différents pays. Plusieurs équipes de chercheurs indépendants ont montré les différentes manières dont le génome est attaqué par les vaccins Covid. En premier lieu, la présence d’ADN contaminant les injections Covid dans des quantités qui dépassent de mille fois les résidus autorisés par l’Agence européenne des médicaments peut entraîner une modification du génome de la personne injectée.

Mais il y a encore d’autres raisons pour lesquelles les injections Covid peuvent avoir des conséquences gravissimes sur la génétique humaine. La protéine Spike codifiée dans les vaccins n’est pas la protéine Spike d’origine, mais une version ayant subi une modification génétique. Ce sont donc d’autres protéines qui sont produites par les vaccinés. Récemment, une étude italienne a d’ailleurs permis de différencier les protéines Spike naturelles des protéines Spike vaccinales dans le sang des sujets infectés.

Une découverte récente est le fait que cette « Spike modifiée » entraîne des erreurs de lecture du génome, avec comme conséquence la production de toute une série de protéines différentes, connues ou inconnues, dont on ignore l’action sur l’organisme.

Au stade actuel, « c’est un plongeon dans l’inconnu ». Il est pratiquement impossible d’en prédire les effets à court et à long terme et ceux-ci peuvent très bien varier d’une personne vaccinée à l’autre. Conscients du danger que cela représente, scientifiques et médecins sont de plus en plus nombreux à penser que poursuivre l’utilisation de technologies à base d’ARNm s’apparente à de la folie. Tous plaident pour un arrêt immédiat de ces expériences et pour le retrait immédiat des vaccins encore sur le marché.

(…)




UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

https://drsambailey.com/wp-content/uploads/2023/09/A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-English.pdf

[Traduction Jean Bitterlin]

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

Dr Mark Bailey

Publié le 15 septembre 2022

Sommaire

  • Résumé
  • 1re PARTIE

    • Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé
    • Le Dr Siouxsies Wiles – L’acolyte de « l’isolement » en virologie
    • Pourquoi l’isolement a de l’importance
    • C’est quoi la Virologie
    • L’absence de contrôle en Virologie signifie que ce n’est pas de la recherche scientifique
    • Maltraitance animale et étude d’anticorps
    • Le paradoxe de la quantité de virus

  • 2e PARTIE

    • Fan Wu et coll. Deus ex Machina
    • Des tortues jusqu’en bas
    • Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2
    • Les divulgations de Peng Zhou et coll.
    • Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?
    • L’amorçage par le Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

  • 3e PARTIE

    • « Petit Chien de Montagne » — Naïf ou s’éclairant au gaz ?
    • La diversion « Fuite du laboratoire »
    • Virologie et société close
    • Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?
    • Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre

  • POST-SCRIPTUM

    • Au sujet de l’Auteur
    • Index

Un Adieu à la virologie

(Édition pour expert)

Résumé

La virologie a inventé le modèle du virus, mais a toujours échoué à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains, et cependant les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots des dictionnaires afin de soutenir leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique des particules pour se voir attribuer le statut d’« isolat ».

Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »).

Cet essai contient trois parties.

La 1re partie décrit une partie de l’histoire de la virologie et les échecs des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des « preuves » indirectes en raison de l’absence d’expériences de contrôle. Les exemples fournis couvrent tous les aspects majeurs de la fraude virologique, y compris l’isolement présumé, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.

La 2partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de « virus » antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques provenait de l’intérieur d’une particule virale — les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les « cas » permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.

La 3partie fournit une analyse de la manière dont certains participants clés, les institutions de « santé » et les médias grand public maintiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et enterré. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure de la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’Humanité s’accroît, il est donc temps de faire nos adieux à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.

1re partie

Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé

La première preuve que la théorie des virus pathogènes est problématique est peut-être le fait qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels d’un homme ou d’un animal malade. Si l’on se réfère à la définition communément admise du terme « isolement », qui consiste à séparer une chose de toutes les autres, tout le monde s’accorde à dire que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie.

Dr Thomas Cowan et coll., The « Settling the Virus Debate » Statement (Déclaration sur « Trancher le Débat sur les Virus »), 20221.

À la date du 11 septembre 2022 et à la suite d’enquêtes approfondies menées dans le cadre de demandes de liberté d’information (en anglais FOI pour Freedom of Information) coordonnées par Christine Massey, aucune des 209 (([1] NdT : à ce jour plus de 300)) institutions scientifiques ou de santé importantes, réparties dans plus de 35 pays, n’a été en mesure de fournir des preuves directes de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.2 Il a été demandé aux institutions de produire tout document démontrant « la purification du “SARS-CoV-2” » qui aurait causé la maladie chez l’homme (par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelée parfois par certains « isolement »), directement à partir d’un être humain malade… ». À de nombreuses reprises, après avoir admis l’absence de telles preuves, des institutions telles que le ministère néo-zélandais de la Santé suggèrent ensuite qu’« il existe plusieurs exemples d’isolement et de culture du virus en laboratoire » 3.

Cependant, les exemples cités sont universellement des expériences de culture de tissus par procuration, dans lesquelles le mot « isolement » a perdu sa signification et il n’a pas été démontré qu’une particule, imagée (([2] NdT : une image)) ou imaginée, possède les propriétés d’un virus pathogène. En tout état de cause, il s’agit d’une diversion par rapport au problème plus large mis en lumière par les demandes de FOI (([3] NdT : dans les pays anglo-saxons existent des lois appelées Freedom of Information Act — loi sur la liberté de l’information — qui stipulent que le contribuable qui finance les instituts publics [ici de santé] a le droit de savoir ce qui est fait avec ses impôts. Ces instituts doivent donc répondre à toutes les demandes d’éclaircissements)), à savoir que les particules prétendument virales ne peuvent jamais être trouvées sur des sujets humains. La virologie a trouvé des excuses à cette absence de preuves, mais même en tenant compte de cette lacune embarrassante, elle n’a plus d’endroit où se cacher, car ses diverses méthodologies sont de plus en plus examinées par des personnes extérieures au domaine. Cet essai décrit les nombreux aspects de l’antiscience de la virologie qui ont été utilisés pour maintenir l’illusion de l’existence de virus pathogènes. La situation est devenue de plus en plus dangereuse et, depuis le début de l’année 2020, « la pandémie » COVID-19 a été utilisée comme cheval de Troie pour mettre l’Humanité à genoux.

Le Dr Siouxsie Wiles L’acolyte de l’« isolement » de la Virologie

La centrifugation à gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus. Bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la « technique d’isolement des virus », elle n’est jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes…

Dr Stefan Lanka, 2015. 4

La défense des méthodologies de la virologie est évidemment tentée par ses promoteurs, dont la microbiologiste préférée du gouvernement néo-zélandais et des médias financés par l’État, Siouxsie Wiles5. Son employeur, l’université d’Auckland, fait partie des institutions qui ont désormais confirmé qu’elles n’avaient « effectué aucun travail de purification du virus Covid-19 » 6 et que, par conséquent, elles n’avaient ni trouvé ni isolé chez un sujet humain le soi-disant virus appelé SARS-CoV-2. Cette professeure agrégée, qui a déclaré au pays que « le Monde est en feu » en mars 20207, a été nommée Néo-Zélandaise de l’année en 2021 pour avoir « aidé des millions de personnes dans le Monde à dépasser la peur et la complexité de la pandémie… et contribué à notre sécurité » 8. Dans son article de novembre 2020 intitulé « Koch’s postulates, COVID, and misinformation rabbit holes » (Postulats de Koch, COVID et trous de lapin de la désinformation) (([4] NdT : un trou de lapin est une expression utilisée pour désigner une situation bizarre, déroutante ou absurde dont il est généralement difficile de se sortir)), Wiles affirme que « les personnes qui demandent des preuves de l’existence du virus SARS-CoV-2 responsable de COVID-19 formulent spécifiquement leur demande de manière à exclure l’obtention de toute preuve de l’existence du virus » 9. Son article a rapidement pris la tangente sur le fait que les postulats de Koch n’étaient pas adaptés aux virus et elle les a donc déclarés invalides dans ce contexte. On ne sait pas exactement pourquoi elle n’a pas mentionné les postulats de Rivers10, qui ont été conçus spécifiquement pour inclure les virus, mais peut-être parce qu’elle devrait admettre que ces postulats n’ont jamais été satisfaits non plus. Et si les postulats de Koch concernent l’établissement de la cause de la maladie et de la contagion, plutôt que la question spécifique de savoir si des particules virales peuvent être trouvées dans ou à partir de sujets humains, elle aurait pu simplement expliquer que les virologues ont passé une grande partie du 20siècle à essayer, sans succès, d’identifier des virus directement à partir d’êtres humains malades. Wiles a ensuite introduit de manière fallacieuse les postulats moléculaires de Falkow11 dans son argumentation, sans expliquer comment ils pourraient être utilisés pour démontrer l’existence physique du prétendu SARS-CoV-2 chez l’homme ou ailleurs.

Fait gênant pour Wiles, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré en 2003 qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-1, « l’identification concluante d’un (agent) causal doit répondre à tous les critères du postulat de Koch (sic). Les expériences supplémentaires nécessaires pour remplir ces critères sont actuellement en cours dans un laboratoire aux Pays-Bas » 12. L’article de l’OMS a été retiré de son site Web sans explication en 2021, mais il est toujours possible d’y accéder par le biais d’Internet Archive13 (([5] NdT : organisme à but non lucratif consacré à l’archivage du Web qui agit aussi comme bibliothèque numérique)). L’affirmation fantaisiste selon laquelle les postulats de Koch ont été respectés en 2003 par Fouchier et coll. avec le SARS-CoV-1 a été réfutée ailleurs14. Leur expérience sur les singes n’a pas seulement été invalidée par l’absence d’expériences de contrôles et par une voie d’exposition non naturelle, mais, comme dans toutes les publications sur la virologie, ils n’ont pas réussi à mettre en évidence une particule répondant à la définition d’un virus. Wiles semblait également en désaccord avec Na Zhu et coll., l’une des premières équipes à avoir prétendu avoir découvert le SARS-CoV-2, car ils ont admis que « bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV (appelé plus tard “SARS-CoV-2”) dans l’épidémie de Wuhan. D’autres éléments confirment l’importance étiologique du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan, notamment… des expériences sur des animaux (singes) qui apportent la preuve de la pathogénicité » 15.

Cependant, que les virologues veuillent ou non considérer la validité des postulats de Koch, il s’agit simplement d’une autre diversion, car les postulats exigent l’isolement physique d’un microbe plutôt que l’affirmation qu’il existe par des moyens tels que les simulations informatiques, l’imagerie de vésicules dont la fonction biologique est inconnue, ou l’affirmation que les soupes biologiques non purifiées administrées à des animaux contiennent des « virus ».

Wiles a également décidé de défendre la mauvaise utilisation flagrante par la virologie du mot « isolement » en déclarant : « quant à l’utilisation de l’isolement dans le sens courant du terme, plutôt que la définition pertinente pour la question posée ? Eh bien, c’est tout simplement ridicule et c’est un signe clair que ces demandes de preuves ne sont pas faites de bonne foi » 16 Elle semblait incrédule que d’autres aient souligné que la définition d’un mot utilisé scientifiquement avait été unilatéralement changée par les virologues pour impliquer qu’une certaine preuve avait été obtenue. Cependant, si leur utilisation du terme « isolement » ne signifie pas ce que la plupart des gens pensent qu’il signifie, alors il est probable que la majorité du public soit mal informée. À ce titre, Wiles participe activement à la désinformation, qu’il s’agisse d’un acte d’aveuglement volontaire ou non. Wiles doit faire preuve d’expertise et expliquer au public ce que signifie la définition de l’isolement en virologie, en particulier lorsqu’il s’agit de démontrer l’existence supposée de virus. Elle pense peut-être l’avoir expliqué lorsqu’elle a écrit que « lorsque les virologues veulent isoler un virus à partir d’un échantillon, ils prennent l’échantillon ou une partie de celui-ci et l’ajoutent à des cellules — généralement des cellules qui sont relativement faciles à cultiver en laboratoire — et regardent ensuite si les cellules meurent et/ou si des particules virales sont libérées dans le bain nutritif liquide dans lequel les cellules se développent » 17 Il n’est pas clair si Wiles sous-entend que l’« isolat de virus » est établi par : (a) le prélèvement de l’échantillon, (b) la mort de certaines cellules in vitro, (c) la libération de « particules virales » revendiquées dans la culture de tissus, ou (d) tous ces éléments ou une combinaison de ceux-ci. Cependant, rien de ce qu’elle a décrit n’exige l’existence de virus — il s’agit d’un jeu de tromperie, qu’il soit délibéré ou non. Il s’agit simplement d’affirmer qu’un virus se trouve dans l’échantillon, d’imputer au virus imaginé l’effondrement des cellules soumises à un stress expérimental dans l’éprouvette, puis de déclarer que certaines vésicules (dont la composition et la fonction biologiques n’ont pas été établies) étaient des virus. Cet exercice présente une autre faille fatale. Comme cet essai le détaillera, les affirmations selon lesquelles l’existence du SARS-CoV-2 a été démontrée par cette méthodologie sont toutes scientifiquement invalides, car aucune des expériences n’a été réalisée avec des contrôles valables.

Ceci est exemplaire de la manière dont Wiles a agi dans son rôle d’influenceur clé de la campagne de désinformation du gouvernement néo-zélandais et de son programme de déploiement meurtrier d’un produit injectable appelé ComirnatyTM — affirmant que des expériences non spécifiques de culture de tissus vérifient l’existence du virus alors que rien de tel n’a été démontré. Le problème ne se limite pas au SARS-CoV-2 : tous les virus dont on affirme l’existence s’appuient sur une pseudoscience similaire. L’histoire de la virologie révèle que les types de cellules finalement sélectionnées pour ces expériences sont celles qui ont une propension à s’effondrer en raison des « effets cytopathiques » (ECP) induits par le virus, plutôt que celles qui sont « relativement faciles à cultiver en laboratoire », comme l’affirme Wiles dans son article. Par exemple, les cellules de singe Vero E618 sont depuis longtemps privilégiées par les virologues, soi-disant en raison de leur « aptitude » à héberger de nombreux virus, mais aussi, de manière suspecte, parce que la lignée rénale aneuploïde19 est plus sensible aux agressions toxiques provoquées par des ingrédients supplémentaires tels que les antibiotiques et antifongiques néphrotoxiques omniprésents qui sont ajoutés au mélange de culture. Lorsqu’un groupe a tenté de cultiver le SARS-CoV-2, il n’a pas obtenu les résultats escomptés avec des cellules d’adénocarcinome humain (A549), des cellules hépatiques humaines (HUH7.0), des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T) et une lignée de cellules rénales de grande chauve-souris brune (EFK3B), mais il a ensuite déclaré qu’il disposait d’un « isolat viral » après avoir observé des ECP dans des cellules Vero E620. Comme à l’accoutumée, ils n’ont pas ressenti l’ironie du fait que le prétendu virus respiratoire humain ne puisse pas « infecter » le type de cellule concerné, et encore moins l’espèce concernée. Et leurs expériences ont été une fois de plus invalidées par l’absence de cultures de contrôle appropriées.

Pourquoi l’isolement est-il important

Celui qui contrôle le langage contrôle les masses

Saul Alinsky21

Un autre embarras pour la virologie est que les particules virales présumées qui ont été purifiées avec succès ne se sont pas révélées capables, par elles-mêmes, de se répliquer ou de provoquer des maladies. En d’autres termes, ce qui a été physiquement isolé ne peut être considéré que comme des vésicules extracellulaires (VE). En mai 2020, une publication parue dans la revue Viruses affirmait que « de nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen des méthodes canoniques d’isolation des vésicules, telles que l’ultracentrifugation différentielle, parce qu’ils sont souvent coagulés en raison de leur dimension similaire » 22. « Aujourd’hui » signifie par opposition au passé et l’on ne voit pas comment un tel changement technique observé peut être concilié avec les lois biologiques. Il semble plus probable que les virologues se distancient de leurs propres techniques afin d’éviter la réfutation de leurs propres postulats. Ils devront peut-être accepter que la raison pour laquelle l’ultracentrifugation différentielle n’est pas capable de séparer les virus des autres vésicules est que leur affirmation selon laquelle les virus sont présents dans l’échantillon est mal fondée.

Les virologues détournent manifestement l’attention de la question fondamentale de l’isolement, car ils n’ont pas été en mesure d’agir sur ce front. Au lieu d’aborder le problème honnêtement et scientifiquement, ils ont brouillé les pistes. En 2017, le Groupe de Perth (([6] NdT : scientifiques australiens qui ont dès le début dénoncé le narratif du SIDA et en particulier les méthodes non scientifiques de Montagnier)) a souligné dans son opus magnum, « Le VIH — un virus à nul autre pareil », qu’« en virologie, alors que la purification conserve son sens dans le langage courant, l’“isolement” est un terme expéditif que les virologues attribuent à des données qui, selon eux, prouvent l’existence d’un virus particulier » 23. En d’autres termes, il est commode et pratique, mais en ce qui concerne les affirmations qui sont faites et les actions subséquentes qui sont menées contre l’Humanité, il devrait être considéré comme inapproprié et immoral. Dans le même essai, le Groupe de Perth a documenté les exemples suivants de virologues qui adaptent le langage scientifique, comme il convient, à leurs propres fins.

Jay Levy, spécialiste du VIH, définit l’isolement d’un virus comme un « échantillon d’un virus provenant d’une source définie », White et Fenner comme la capacité d’« identifier un virus totalement imprévu, voire de découvrir un agent entièrement nouveau ». Montagnier et Weiss comme la « propagation (des virus) dans des cellules en culture ». La sixième édition de 2013 de Fields Virology définit l’isolement comme suit : « Les virus peuvent être isolés d’un hôte infecté en prélevant des matières excrétées ou sécrétées, du sang ou des tissus et en recherchant l’induction des symptômes originaux chez l’hôte identique ou l’induction d’une pathologie anormale chez un hôte de substitution ou dans une culture cellulaire… Une fois que la présence d’un virus a été établie, il est souvent souhaitable de préparer un clone génétiquement pur ». Il va sans dire que si l’isolement d’un virus consiste à « prélever un échantillon d’un virus à partir d’une source définie » ou à « le propager dans des cellules en culture », il faut d’abord avoir la preuve que le virus existe dans « une source définie » ou « dans des cellules en culture ». L’isolement d’un virus ne consiste pas non plus à « induire une pathologie anormale » ou « une fois que la présence d’un virus a été établie ». 24

C’est une farce que cet état de fait existe et cette pratique grossièrement trompeuse rend les nombreuses affirmations d’isolement de la virologie non fondées. Mais les virologues eux-mêmes donnent-ils une explication à leur abus incessant de la langue anglaise ? En 2021, le professeur Vincent Racaniello, virologue chevronné, a expliqué, même en ce qui concerne la définition de termes fondamentaux tels que « isolat », que « ce qui se passe, c’est que vous êtes formé dans le laboratoire de quelqu’un et vous les entendez dire des choses, vous leur associez une signification et c’est ce que vous faites, et il se peut qu’ils aient raison ou non » 25. Dans la même présentation, Racaniello a expliqué qu’il n’y avait pas d’explication à cette pratique trompeuse. Dans la même présentation, Racaniello lui-même n’a pas semblé remarquer un problème avec sa propre définition de ce qui est censé être des termes scientifiques lorsqu’il a poursuivi en disant : « un isolat est un virus que nous avons isolé à partir d’un hôte infecté et que nous avons propagé en culture ». Ironiquement, dans un article de 2015 concernant la terminologie scientifique appropriée et le mot « transfection » 26, Racaniello a déclaré : « si vous considérez la langue anglaise comme un moyen de communication dynamique qui évolue continuellement et donne aux mots de nouvelles significations, alors cette utilisation incorrecte de transfection ne vous dérange probablement pas. Mais les scientifiques doivent être précis dans leur utilisation du langage, sinon leur capacité à communiquer sera compromise » 27. Une analyse de la présentation de Racaniello sur l’isolement viral et l’utilisation abusive du langage en science a été traitée précédemment par le Dr Samantha Bailey dans « The Truth About Virus Isolation » 28 (La vérité au sujet de l’isolement des virus). Elle illustre le problème où plusieurs générations de virologues semblent piégées dans un monde de raisonnement sémantique circulaire, bien qu’avec des degrés de perspicacité différents.

La virologie a inventé l’hypothèse des virus ; par conséquent, quelle que soit la méthode employée pour tenter de prouver leur existence, elle doit répondre à cette définition. Au cœur de la question se trouve un concept simple et nous avons besoin de voir la preuve que les particules supposées responsables de la maladie provoquent de nouvelles particules qui sont des clones des premières. Il n’est pas possible d’affirmer que les protéines et les acides nucléiques détectés sont d’origine virale spécifique à moins que les particules virales présumées n’aient été véritablement isolées par purification et qu’il n’ait été démontré qu’elles possédaient ces caractéristiques biologiques clés. Comme le souligne le Groupe de Perth dans « Le VIH, un virus à nul autre pareil », la purification est nécessaire pour prouver l’existence des virus pour plusieurs raisons, dont les suivantes :

  1. Les virus ne se répliquent que dans les cellules vivantes. Étant donné que les cellules et les virus sont composés des mêmes éléments biochimiques, la séparation des particules du matériel cellulaire est essentielle pour déterminer quels acides nucléiques et quelles protéines appartiennent aux particules virales.
  2. Afin de prouver que les particules sont infectieuses. En d’autres termes, ce sont les particules, et non d’autres facteurs, qui sont responsables de la production de nouvelles particules. Cela nécessite la purification des deux ensembles de particules.
  3. Afin de démontrer leurs effets biologiques et pathologiques.
  4. Afin d’obtenir des antigènes (protéines) et des acides nucléiques pour les utiliser respectivement dans les tests d’anticorps et de génomique29.

Bien que cela soit moins courant, les virologues obscurcissent aussi parfois le sens du terme « purification ». Le 23 mai 2022, le professeur belge de virologie Marc Van Ranst30 a affirmé qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-2, « dans un autre article (https://europepmc.org/article/pmc/pmc7122600), ils ont purifié davantage le virus par ultracentrifugation dans de la bêta-cyclodextrine » 31. Van Ranst faisait référence à un article de 2008 décrivant « la préparation à grande échelle de virions de coronavirus du SARS activés par les UV », qui concernait le prétendu virus du SARS-CoV-132. Toutefois, cet article décrit simplement un protocole prétendant purifier les virions et aucune partie de l’article ne démontre l’existence d’une particule capable de réplication — tout ce qui a été montré, ce sont des images de mauvaise qualité censées montrer des cellules Vero E6 « infectées ». (Voir la section suivante concernant les « effets cytopathiques »). En ce qui concerne le « contrôle des virions purifiés » après centrifugation, aucune image n’a été fournie, mais il a été affirmé que « la concentration des virions purifiés est déterminée par le test BCA (acide bicinchoninique) (([7] NdT : acide utilisé en chimie analytique pour quantifier la quantité de protéine en solution)), avec la BSA (albumine de sérum bovin) comme étalon ». Cette conclusion n’est pas fondée, car le dosage BCA mesure simplement la concentration totale de protéines dans une solution — la technique n’est pas en mesure de fournir la preuve de la présence de « virions » dans un échantillon.

La figure 1 ci-dessous est une image censée montrer des virions purifiés de « coronavirus de type SARS de chauve-souris » et publiée dans Nature en 2013 — la légende explique pourquoi une telle déclaration est ridicule. (La variation pratique de la taille des particules est apparemment due au fait que « [les coronavirus] ont généralement un diamètre, hors projections, compris entre 80 et 120 nm, bien que dans les cas extrêmes le diamètre puisse varier entre 60 et 220 nm » 33). De même, l’affirmation de l’article cité de Van Ranst selon laquelle « il est préférable de confirmer la quantité de virion par SDS-PAGE à 10 % » 34 est tout aussi erronée, car il s’agit simplement d’un processus d’électrophorèse sur gel permettant de séparer les protéines en fonction de leur masse moléculaire — cela ne peut pas fournir la preuve que les protéines appartiennent à un virus. Van Ranst a également déclaré : « Nous pouvons déjà détecter l’ARN viral dans les échantillons cliniques. Nous pouvons achever le déchiffrage du génome viral. Nous pouvons cultiver le virus dans des cellules, l’inoculer à des modèles animaux et induire la maladie » 35. On ne sait pas si Van Ranst a compris que les méthodologies non contrôlées employées dans toutes ces expériences ne fournissent pas la preuve requise de l’existence d’un quelconque « virus ». Ainsi, lorsque Van Ranst affirme qu’« aucun scientifique ne doute de l’existence du SRAS-CoV-2 » 36, on peut se demander si les virologues ne vont pas devoir modifier la définition du terme « scientifique » pour maintenir leurs pratiques illusoires ?

Figure 1. Cette image a été décrite comme « (une) micrographie électronique de virions purifiés », obtenue par « ultracentrifugation dans un coussin de saccharose à 20 % (5 ml) à 80 000 g pendant 90 minutes à l’aide d’un rotor Ty90 (Beckman) ». Outre le fait que les propriétés biologiques de ces vésicules imagées n’ont pas été établies, rien n’indique que quoi que ce soit dans la culture cellulaire Vero E6 ait été purifié et aucune autre image contextuelle n’a été fournie. En outre, aucune micrographie de culture témoin n’a été documentée. Source : Xing-Yi Ge, et coll. : Xing-Yi Ge, et coll., « Isolation and caractérisation d’un coronavirus de chauve-souris de type SARS qui utilise le récepteur ACE 2 », Nature, 30 octobre 2013 : https://doi.org/10.1038/nature12711 (Voir également la page 56 en ce qui concerne l’affirmation selon laquelle Ralph Baric et coll. ont utilisé ces « virus » pour en créer de nouveaux).

Van Ranst n’était cependant pas le seul virologue à prétendre avoir purifié des virus. En réponse à un courriel, le Dr Marica Grossegesse37 de l’Institut Robert Koch a répondu que « nous avons purifié des particules de SARS par gradient de densité. Cependant, seulement à partir du virus dérivé de la culture cellulaire, comme vous l’avez écrit. Le problème de la purification du SARS à partir d’échantillons de patients est que vous n’obtiendrez pas de bande visible » 38. Outre la terminologie imprécise consistant à substituer le nom d’un syndrome (« SARS » pour syndrome respiratoire aigu sévère) à un virus hypothétique, aucune autre preuve n’a été fournie quant à la manière dont ces affirmations ont été établies. On peut supposer que Grossegesse utilise également les définitions de « purification » et de « virus » telles qu’elles figurent dans la figure 1 ? Quoi qu’il en soit, lorsqu’on lui a demandé plus de détails sur la manière dont les expériences ont été contrôlées, elle a répondu : « Nous ne sommes pas autorisés à partager des protocoles avec une personne privée. Je ne peux que renvoyer à nos publications, où les expériences d’infection sont décrites en détail ». Il semble que le terme « détail » ait également pris un sens différent, puisque les publications n’ont pas divulgué les réponses directes concernant les contrôles recherchés.

Le domaine de l’isolement est l’un des domaines où la virologie est complètement déstabilisée et, comme cet essai le soulignera, le SARS-CoV-2 n’est rien d’autre qu’une construction informatique hypothétique, assemblée à partir de fragments génétiques dont la provenance n’a pas été prouvée. Il n’a jamais été démontré qu’une particule physiquement isolée (c’est-à-dire purifiée) était responsable de la production de particules identiques ou qu’une particule était à l’origine d’effets pathologiques chez l’homme ou dans un modèle animal expérimental. Ainsi, la déclaration de virologues tels que Van Ranst, ainsi que de l’OMS et de ses adhérents, selon laquelle une particule infectieuse appelée « SARS-CoV-2 » est à l’origine d’une pandémie, s’avère être une fraude scientifique et intellectuelle patente.

C’est quoi la virologie ?

Lorsqu’il est surpris, l’oiseau s’envole et vole en décrivant des cercles de plus en plus petits jusqu’à ce qu’il parvienne à voler sur son propre dos et à disparaître complètement, ce qui ajoute à sa rareté.

Le mythique « oiseau oozlum » 39 (([8] NdT : oiseau mythique des contes populaires australiens et anglais))

Il est difficile de savoir exactement comment appeler la virologie, mais ce n’est pas de la science. Les praticiens actuels se livrent à une forme de spéculation algorithmique ou statistique, à laquelle s’ajoutent le raisonnement circulaire et le biais de confirmation, avec une absence totale de ce qui devrait être le processus correspondant de réfutation qui se trouve au cœur de la méthode scientifique. Si l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur, il est presque certain qu’il existe des motivations conspiratrices aux niveaux supérieurs de la hiérarchie mondiale. Par exemple, l’OMS, les Centres de contrôle des maladies (CDC) et l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni sont tous impliqués dans les pratiques trompeuses de la virologie, comme nous le verrons dans cet essai. Toutefois, les pratiques anti-scientifiques sont reproduites dans la plupart des autres pays, qu’il s’agisse des allégations d’isolement de virus et de l’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) pour les diagnostics cliniques40, ou de l’absence de divulgation des détails de contrôle cruciaux impliqués dans la culture du virus et la création du génome, ce qui est l’objet d’une grande partie de cet essai.

Comment tester une théorie scientifique ? Karl Popper a exprimé la centralité de la réfutation d’une théorie ou d’une hypothèse de la manière suivante :

C’est donc, selon moi, la possibilité de la renverser, ou sa réfutabilité, qui constitue la possibilité de la tester, et donc le caractère scientifique d’une théorie ; et le fait que tous les tests d’une théorie soient des tentatives de réfutation des prédictions dérivées avec son aide, fournit l’indice de la méthode scientifique. Cette conception de la méthode scientifique est corroborée par l’histoire des sciences, qui montre que les théories scientifiques sont souvent infirmées par des expériences, et que l’infirmation des théories est en fait le vecteur du processus scientifique. L’affirmation selon laquelle la science est circulaire ne peut être soutenue41.

Historiquement, la virologie s’est caractérisée par un manque d’expériences de contrôle valables et aucune de ses affirmations fondamentales n’a été établie par l’application correcte de la méthode scientifique. Le premier virus présumé à avoir été découvert est le virus de la mosaïque du tabac, dont l’une des preuves serait contenue dans le traité de 1903 de Dmitri Ivanovsky intitulé « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze » (À propos de la maladie mosaïque du tabac) 42. Cependant, il est évident que les expériences décrites par Ivanovsky n’ont pas fait l’objet de comparaisons de contrôle valables et qu’elles étaient donc non scientifiques et non concluantes. Il a même déclaré que « cette maladie ne trouve des conditions d’existence favorables que dans les régions côtières ». Cette conclusion concorde parfaitement avec les observations ci-dessus concernant l’influence de l’humidité sur le développement de la maladie. La maladie mosaïque semble être propre aux climats humides et chauds43. Cependant, comme la théorie des germes était en train de devenir l’idéologie prédominante en matière de causes des maladies à cette époque, au lieu de conclure que la maladie mosaïque était causée par les conditions environnementales, Ivanovsky a conclu qu’il avait découvert un virus invisible.

Il est peut-être tentant de pardonner aux premiers pionniers que leurs méthodologies non contrôlées et non scientifiques étaient simplement des pratiques typiques de l’époque. Cependant, Claude Bernard, critique de la théorie des germes, a donné l’aperçu suivant de l’importance des contrôles dans l’adhésion à la méthode scientifique des décennies plus tôt, en 1865 : « Si nous caractérisons l’expérience par une variation ou une perturbation apportée à un phénomène, c’est seulement dans la mesure où nous impliquons que la perturbation doit être comparée à l’état normal. Comme les expériences ne sont en fait que des jugements, elles nécessitent nécessairement une comparaison entre deux choses ; et l’élément intentionnel ou actif d’une expérience est vraiment la comparaison que l’esprit a l’intention de faire44. Bernard soulignait la nécessité de disposer d’un contrôle valide ou d’une comparaison appropriée pour s’assurer que seul le nouvel élément expérimental était à l’origine d’un résultat. Ainsi, le plus charitable que nous puissions être serait de suggérer que certains des premiers chasseurs de virus n’étaient peut-être pas conscients de l’importance de la méthode scientifique dans leur poursuite enthousiaste et effrénée d’ennemis invisibles.

Continuons avec une autre découverte revendiquée, le manuel Rétrovirus nous informe qu’« en 1911, Peyton Rous, de l’Institut Rockefeller à New York, a signalé la transmission sans cellule d’un sarcome chez les poulets… Le virus isolé par Rous porte le nom de son découvreur » 45. Cependant, un examen de l’article de Rous, « A Sarcoma of the Fowl » 46 (le sarcome du poulet) révèle qu’il n’a pas prétendu isoler quoi que ce soit, et encore moins quelque chose qui corresponde à la définition d’un virus. Sa méthodologie consistait à broyer du matériel tumoral de poulet, à le filtrer et à l’injecter directement à d’autres poulets, en observant que certains d’entre eux développeraient également des tumeurs. Il a indiqué que les expériences « de contrôle » consistaient à injecter du matériel tumoral non filtré à des poulets, ce qui tendait à produire des tumeurs beaucoup plus importantes. Rous a postulé la présence d’un organisme ultramicroscopique causal, mais a admis qu’« un organisme d’une autre sorte n’est pas exclu ». En effet, l’expérience n’a pas permis de prouver l’existence d’une particule infectieuse et réplicative. Elle a simplement montré qu’un tissu malade introduit par une voie non naturelle et invasive dans un autre animal pouvait provoquer chez ce dernier un processus pathologique similaire.

L’affirmation selon laquelle, en 1925, le pathologiste William Gye a démontré que Rous avait trouvé un virus est également fausse. Il a simplement affirmé qu’un virus était à l’œuvre dans ces expériences et a déclaré ostensiblement : « Je souhaite particulièrement souligner un aspect de la recherche des virus invisibles, à savoir que l’expérimentation animale est la preuve finale de la présence de l’organisme dans un inoculum » 47. Une fois de plus, la « preuve finale » n’impliquait pas l’identification réelle d’un organisme infectieux dans l’inoculum — elle démontrait simplement la formation d’une tumeur à la suite de l’injection de tissus malades. En outre, il a été établi en 1927 que le sarcome de la volaille pouvait être induit par l’injection d’acide arsénieux dilué et de pulpe embryonnaire étrangère48. Les effets cancérigènes ont également été reproduits après la filtration bactériologique équivalente à celle effectuée par Rous et il a été démontré que la maladie provenait du tissu étranger et non des tissus de l’hôte. L’hypothèse virale aurait dû être abandonnée, mais un demi-siècle plus tard, l’establishment l’a maintenue en vie et a récompensé Rous par un prix Nobel en 1966 pour « sa découverte des virus inducteurs de tumeurs » 49.

En 1954, lorsque John Enders et Thomas Peebles ont affirmé avoir propagé le virus de la rougeole dans des cellules rénales humaines et de singe50, aucune tolérance supplémentaire n’aurait dû être accordée aux expériences non scientifiques de la virologie. Enders et Peebles ont ajouté des lavages de gorge et du sang à leurs cultures cellulaires et, après avoir observé des ECP (Rappel : Effet Cytopathique, changement structurel dans une cellule hôte résultat d’une infection virale — en anglais CPE pour Cytopatic Effect), c’est-à-dire des cellules mourantes et décomposées dans leurs tubes à essai, ils ont conclu que les manifestations in vitro « pouvaient être associées au virus de la rougeole ». Ils ont averti que « les effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant d’une infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par des facteurs inconnus », mais ils ont poursuivi en concluant de manière inappropriée que « ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole ». Enders et Peebles n’ont effectué aucune expérience de contrôle pour vérifier si la procédure de culture elle-même, c’est-à-dire le stress des cellules dans un tube à essai, produirait les mêmes ECP, invalidant ainsi les preuves de leur conclusion. Idéalement, plusieurs expériences de contrôle auraient dû être réalisées : certaines sans ajout d’échantillons d’origine humaine, d’autres avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en bonne santé et d’autres encore avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en mauvaise santé, mais dits ne souffrant pas cliniquement de la rougeole51 ou d’une autre affection « virale » présumée.

Les virologues ont cependant continué à répéter la méthodologie non contrôlée d’Enders et prétendent encore aujourd’hui que ces ECP sont des preuves incontestables de la présence de virus. Le Dr Stefan Lanka a documenté l’histoire de ces pratiques non scientifiques52 et, en 2021, a démontré que les ECP pouvaient être induits dans des cultures cellulaires par le processus de laboratoire lui-même53. Les résultats des expériences du Dr Lanka sont illustrés à la figure 2. Dans de nombreuses publications sur la virologie, il est fait mention d’une expérience de contrôle ou d’une « infection fictive », mais les détails de ces expériences brillent par leur absence. Une page Web de l’Université Northwestern (Illinois) indique qu’une infection factice est « un contrôle utilisé dans les expériences d’infection. Deux spécimens sont utilisés, l’un est infecté par le virus/vecteur en question et l’autre est traité de la même manière, mais sans le virus. »54 La définition est déjà problématique, car des termes tels que « virus » et « infecté » ont été introduits et sont donc présumés exister avant d’être établis. En tout état de cause, comme on le verra, les personnes impliquées dans l’isolement présumé du virus et la création du génome ne traitent certainement pas le spécimen faussement infecté de la même manière sans le « virus », et peuvent faire preuve de mauvaise foi ou d’obstruction flagrante lorsqu’on les presse d’admettre ce fait.

Figure 2. Expériences du Dr Stefan Lanka : Les ECP (flèches blanches) ont été induits en stressant les cellules épithéliales par des passages et des antibiotiques. L’ajout d’ARN de levure (4e colonne) a induit encore plus d’ECP. Aucun « virus » n’a été ajouté et les expériences ont été réalisées en trois exemplaires. Source : Stefan Lanka et coll., « Präliminäre Resultate der Kontrollversuche – Die Reaktion primärer humaner Epithelzellen auf stringente Virusamplifikations-Bedingungen widerlegen die Existenzbehauptungen aller Viren und von SARS-CoV-2 » (Résultats préliminaires des essais de contrôle — La réponse des cellules épithéliales humaines primaires à des conditions d’amplification virale strictes réfute les affirmations d’existence de tous les virus et du SRAS-CoV-2), 25 mars 2022 : https://coldwelliantimes.com/eilmeldung/kontrollexperiment

En juin 2022, en réponse à une demande formulée au titre de l’Official Information Act (OIA) (([9] NdT : l’équivalent néo-zélandais du FOIA des pays anglo-saxons)) concernant l’article intitulé « Characterization of the First SARS-CoV-2 Isolates from Aotearoa New Zealand as Part of a Rapid Response to the COVID-19 Pandemic » 55 [Caractérisation des premiers isolats de SARS-CoV-2 en Aotearoa (Nouvelle-Zélande) dans le cadre d’une réponse rapide à la pandémie de COVID-19], l’université d’Otago a déclaré que « l’article publié par le professeur Quiñones-Mateu et ses collègues était un article descriptif… Cela signifie qu’il n’y avait pas d’hypothèse à prouver ou à réfuter. »56 En bref, la réponse résume peut-être involontairement la situation générale en matière de virologie. En 2008, la revue Infection and Immunity a publié un commentaire intitulé « Descriptive Science » qui expliquait pourquoi « la recherche descriptive en elle-même est rarement concluante » et peut simplement servir de point de départ pour orienter les recherches ultérieures57. Les auteurs ont souligné que « la microbiologie et l’immunologie sont désormais des sciences expérimentales et que, par conséquent, les chercheurs peuvent aller au-delà de la simple description des observations et formuler des hypothèses, puis réaliser des expériences pour les valider ou les réfuter ». Comme le souligne cet essai, l’establishment de la virologie refuse de divulguer ou de réaliser les expériences requises, apparemment pour ne pas se réfuter lui-même. Il se limite intentionnellement à des expéditions de pêche opportunistes permanentes soutenues par un biais de confirmation, se disqualifiant ainsi lui-même de la méthode scientifique en raison de son incompatibilité avec l’approche basée sur les hypothèses et falsifiable décrite par Popper.

L’auteur a déjà écrit, dans un post-scriptum tiré du livre de A. F. Chalmers intitulé « What is this thing called Science » (Quelle est cette chose appelée Science), que l’un des principaux problèmes de la virologie est qu’elle s’est inventée elle-même en tant que domaine avant d’avoir établi si les virus existaient réellement. Elle a essayé de se justifier depuis ses débuts :

En l’occurrence, une particule virale n’a pas été observée en premier et par la suite la théorie et la pathologie virales se sont développées. Les scientifiques du milieu et de la fin du XIXe siècle étaient préoccupés par l’identification d’entités pathogènes contagieuses imaginaires. Les observations de l’inductionniste naïf n’ont pas permis d’identifier un virus a priori, puis d’étudier ses propriétés et ses caractéristiques. Le présupposé de l’époque était qu’il existait une très petite particule de germe susceptible d’expliquer la contagion. Ce qui est venu par la suite est apparu pour répondre à ce présupposé58.

Parce qu’une théorie scientifique exige des preuves qui ont été testées et corroborées à plusieurs reprises selon la méthode scientifique, il est clair que les « virus » n’ont jamais atteint le stade d’une théorie59. Selon la science, ils restent de simples spéculations.

L’absence de Contrôles en Virologie signifie qu’il ne s’agit pas d’une Activité Scientifique

Les requêtes OIA ont révélé que l’Institute of Environmental Science and Research (ESR) de Nouvelle-Zélande (Institut des Sciences de l’Environnement et de la Recherche de Nouvelle-Zélande), qui a revendiqué l’isolement et le séquençage génomique de la particule SARS-CoV-2 dans les Antipodes, est également coupable de ne pas avoir effectué de contrôles valables60. Dans la tradition d’Enders, ils n’ont pas pris le temps de vérifier si les ECP dont ils ont été témoins, ou les génomes qu’ils ont assemblés par le biais de simulations informatiques, pouvaient également être créés dans le cadre de comparaisons de contrôle valables. C’est-à-dire en réalisant des expériences avec d’autres spécimens d’origine humaine, provenant à la fois de sujets bien portants et de sujets malades qui ne seraient pas atteints de la prétendue maladie COVID-19. Au lieu de cela, ESR a décrit son « contrôle négatif » insuffisant dans lequel « le flacon est soumis aux mêmes conditions que les flacons utilisés pour la culture virale, mais nous n’utilisons que le milieu d’Infection ».

Le chef d’orchestre de ces poursuites anti-scientifiques est l’OMS. Il est très révélateur que dans son document de 94 pages intitulé « Genomic sequencing of SARS-CoV-2 » (Séquençage génomique du SARS-CoV-2, quatre phrases seulement traitent des « échantillons de contrôle » :

6.4.2. Échantillons de Contrôle

Les échantillons de contrôle négatif, tels que le tampon(([10] NdT : une solution tampon permet de maintenir le pH)) ou l’eau, doivent toujours être inclus dans tout cycle de séquençage contenant plusieurs échantillons. Ils doivent être inclus le plus tôt possible et accompagner les échantillons à toutes les étapes du séquençage. Cela est extrêmement important pour exclure toute contamination au cours d’un séquençage effectué en laboratoire ou au cours du traitement bio-informatique. Les échantillons de contrôle positif avec des séquences génétiques connues peuvent être utiles pour valider les pipelines bio-informatiques nouvellement adoptés ou adaptés pour l’appel de consensus, mais ne doivent pas nécessairement être inclus dans chaque cycle de séquençage61.

Cependant, aucun de ces contrôles n’est suffisant pour valider les « génomes » que les virologues produisent grâce à ces techniques, car ils ne peuvent servir qu’à calibrer le pipeline. Comme cela est devenu évident, l’OMS ne peut pas citer une seule expérience de contrôle positif valable, et pourtant, le 11 février 2020, elle a baptisé la nouvelle maladie qu’elle avait inventée « COVID-19 » en affirmant qu’elle était causée par un nouveau coronavirus62. Ils ont donné le feu vert à n’importe qui dans le monde pour « trouver » le SARS-CoV-2 dans son jardin sans qu’il soit nécessaire de procéder à des expériences de contrôle valables. Pourtant, il est manifestement nécessaire de procéder à des contrôles comparatifs dans lesquels des échantillons de patients similaires, mais sans le virus présumé, sont traités de la même manière, de sorte qu’une seule variable est testée. La comparaison des résultats d’un échantillon supposé contenir le virus avec l’un des contrôles négatifs décrits dans le document de l’OMS ci-dessus ne peut pas valider le processus, car ces derniers échantillons ne contiennent pas la soupe génétique qui fait partie du premier. En tout état de cause, même selon ses propres termes, le contrôle négatif mentionné par l’ESR en Nouvelle-Zélande n’est pas en mesure de fournir une validation de la méthodologie utilisée pour créer ces génomes de virus, car, comme l’indique l’OMS, il s’agit simplement d’un contrôle de précaution en cas de contamination.

Compte tenu de tous les échecs de culture des virus postulés, la virologie moderne privilégie désormais la métagénomique63 directe d’échantillons bruts, souvent avec un séquençage par injection64 et l’assemblage artificiel ultérieur de ces fragments génétiques pour créer de nouveaux « virus » in silico 65 (([11] NdT : in silico signifie à partir de programmes informatiques)) à partir de rien. Cette invention fournit ensuite à d’autres chasseurs de virus des panels d’amorces PCR prédéfinis66 afin qu’ils puissent également découvrir les mêmes séquences et prétendre qu’il s’agit du même virus. L’ESR a participé à une publication dans laquelle elle a proclamé la découverte du SARS-CoV-2 chez neuf sujets grâce à cette méthodologie67. Mon collègue leur a demandé de fournir « tous les détails du groupe de contrôle utilisé pour comparer les résultats du séquençage », mais au lieu de répondre à la question, l’ESR s’est excusé de ne pas être impliqué dans la « génération de nouvelles données » et a fourni des liens vers des protocoles de séquençage du SARS-CoV-268. Si l’ESR utilise de tels protocoles, tels qu’ils sont détaillés sur le site protocol.io, alors nous pouvons voir qu’ils approuvent des contrôles insuffisants qui sont décrits comme « (un) contrôle négatif d’eau exempte de nucléase », tandis qu’un « contrôle positif facultatif peut également être inclus, qui peut être une construction d’ARN synthétique ou un échantillon clinique à haut titre qui peut être dilué » 69. Une fois de plus, ces types de contrôles ne peuvent servir que de techniques d’étalonnage de pipeline, et non de validation ou de signification clinique de quelque « génome » que ce soit qu’ils assemblent.

Malgré les ressources dont elle dispose, l’ESR ne croit apparemment pas à la nécessité de vérifier par elle-même si l’existence du SARS-CoV-2 peut être démontrée. Le 19 juillet 2022, en réponse à une demande de l’OIA, l’ESR a déclaré : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement l’existence du virus SARS-COV-2 et ne peut donc vous fournir aucun document » 70. Le 17 août 2022, en réponse à une autre demande, l’ESR a admis : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement que le virus SARS-COV-2 cause le COVID-19 et ne peut donc vous fournir aucun document » 71. Personne d’autre n’a non plus effectué ces expériences scientifiques requises.

Maltraitance animale et études sur les « Anticorps »

Incapables de démontrer l’isolement physique d’une particule pathogène répondant à la définition d’un virus, les virologues se sont lancés dans l’expérimentation animale pour convaincre les non-initiés de l’existence de telles particules pathogènes. La caractéristique de ces publications est qu’elles manquent de contrôles valables, de sorte que même en partant du principe non établi qu’elles manipulent des « virus », elles révèlent un autre aspect de l’antiscience de la virologie. L’article intitulé « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS, and SARS in a nonhuman primate model » (Pathogenèse comparative du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain), publié en mai 2020 par une équipe comprenant Christian Drosten et Ron Fouchier72, en est un bon exemple. L’absurdité de ce qui a été publié dans Science peut être résumée comme suit :

  1. Les huit singes cynomolgus participant aux expériences ont été « inoculés avec le SRAS-CoV-2 sous anesthésie par une combinaison de voies intratrachéale (4,5 ml) et intranasale (0,25 ml par narine)… » 73 — Il ne s’agit pas d’une voie d’exposition naturelle et 4. 5 ml versés dans les poumons d’un petit singe (3,5 – 5,0 kg) équivalent à verser environ 80 ml (⅓ de tasse) de matériel biologique étranger dans les poumons d’un être humain endormi. Ce volume de matière suffit à lui seul à provoquer des lésions et des inflammations dans les tissus pulmonaires.
  2. L’inoculum versé dans leurs poumons était constitué de « SARS-CoV-2 (isolat BetaCoV/Munich/BavPat1/2020) obtenu à partir d’un cas clinique en Allemagne » et « le virus a été propagé jusqu’au troisième passage sur des cellules Vero E6 dans Opti-MEM I (1X) + GlutaMAX (Gibco), supplémenté en pénicilline (10 000 UI/mL) et en streptomycine (10 000 UI/mL) ». — Ils ont affirmé qu’ils avaient un « isolat » viral alors que ni eux ni leur fournisseur74 n’ont démontré l’existence d’un virus dans l’échantillon. Tout ce que l’on peut dire, c’est que l’échantillon contient du matériel biologique étranger provenant de l’échantillon clinique humain et de cellules rénales de singe, ainsi que des produits de dégradation cellulaire et deux antibiotiques.
  3. « Aucun signe clinique manifeste n’a été observé chez les animaux infectés, à l’exception d’un écoulement nasal séreux chez un animal âgé le 14e jour après l’inoculation. Aucune perte de poids significative n’a été observée chez les animaux au cours de l’étude ». — En d’autres termes, malgré l’entrée directe dans les poumons de ce qu’ils prétendent être le virus SARS-CoV-2, aucun des singes n’a été malade de manière significative.
  4. « Au 14jour après inoculation, tous les animaux restants ont séroconverti, comme le révèle la présence dans leur sérum d’anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 contre le domaine S1 du virus et les protéines de la nucléocapside ». — Il n’a pas été démontré que les protéines S1 et de la nucléocapside étaient d’origine virale, qu’elles induisent ou non la détection (par un test in vitro) d’autres protéines appelées « anticorps » chez un hôte. Les virologues recourent une fois de plus au raisonnement circulaire pour affirmer que la détection d’un anticorps prouve l’existence d’un virus parce que l’anticorps est déclaré spécifique du prétendu virus.
  5. « Pour mesurer l’excrétion du virus, des écouvillons nasaux, pharyngés et rectaux ont été analysés par transcription inverse — réaction en chaîne de la polymérase quantitative (RT-qPCR)… » — Il n’y a pas eu d’« excrétion du virus », mais simplement la détection des mêmes séquences qui avaient été récemment introduites dans les voies respiratoires des singes. Ces séquences d’acides nucléiques étrangers ont, sans surprise, disparu de l’organisme des singes au cours des quelques jours qui ont suivi, par le biais de mécanismes naturels d’élimination.
  6. « L’ARN du SARS-CoV-2 n’a été détecté que dans un écouvillon rectal d’un animal au 14jour après injection, et aucun ARN viral n’a été détecté dans le sang total à aucun moment de l’étude ». — Une fois de plus, cela indique qu’ils n’ont trouvé le matériel génétique introduit qu’aux endroits où il avait été introduit. (L’unique écouvillon rectal positif peut avoir été un faux positif ou le singe a avalé une partie du matériel biologique introduit). Dans aucun cas, ils n’ont pu démontrer que le « virus » supposé présentait des caractéristiques invasives.
  7. Quatre des singes ont été tués et autopsiés quatre jours après l’inoculation de la soupe biologique étrangère. Deux d’entre eux présentaient de petits foyers de consolidation dans les poumons et les auteurs ont déclaré que « la principale lésion histologique dans les tissus pulmonaires consolidés des animaux jeunes et âgés concernait les alvéoles et les bronchioles et consistait en des zones présentant des lésions alvéolaires diffuses (([12] NdT : en anglais DAD pour “diffuse alveolar damage”)) aiguës ou plus avancées ». Les caractéristiques histologiques ont été déclarées caractéristiques du « SARS-CoV-2 » — voir la figure 3 ci-dessous pour une explication de la raison pour laquelle ces affirmations sont totalement dénuées de fondement.
  8. L’expression de l’antigène SARS-CoV-2 a été détectée dans un nombre modéré de pneumocytes de type I et dans quelques pneumocytes de type II à l’intérieur des foyers de DAD. — Ce résultat a été obtenu grâce à une technique de coloration immunohistochimique (IHC) basée sur « un anticorps polyclonal de lapin contre la nucléoprotéine du SARS-CoV (40143-T62, Sino Biological, Chesterbrook, PA, USA) ». Malheureusement pour eux, le fournisseur de ce produit déclare que « les applications IHC, FCM, IF, IP et autres n’ont pas été validées. (Les applications de l’anticorps n’ont pas été validées avec des échantillons correspondants positifs au virus) » 75. Quoi qu’il en soit, cet exemple peut être utilisé pour exposer l’erreur plus générale concernant les anticorps en tant que « preuve » de la présence de virus. Sino Biological déclare que les anticorps résultent de l’injection de son produit « SARS-CoV Nucleocapsid Protein (son étiquette) » 76 à des lapins. Cette protéine de nucléocapside a été à son tour produite à partir d’une « séquence d’ADN codant pour la nucléoprotéine du SARS-CoV (isolat : Tor2) ». Nous verrons à la page 30 que la séquence « Tor2 » était l’un des deux modèles in silico utilisés par Fan Wu et coll. pour inventer le SARS-CoV-2, un autre modèle in silico. En résumé, il s’agit encore d’un raisonnement circulaire : il n’a pas été démontré qu’une protéine provenait d’un virus, y compris la protéine de la nucléocapside dans ce cas. Il a simplement été affirmé que des protéines « virales » avaient été injectées à des animaux et que ceux-ci avaient réagi en produisant d’autres protéines qui sont censées être des « anticorps ». Cependant, l’existence d’un virus n’a pas été démontrée, ni exigée pour ce genre d’exercice. (Autre exemple, la production d’« anticorps anti-VIH » chez 100 % des volontaires sains auxquels on a injecté un vaccin candidat COVID-19 de l’université du Queensland est une source d’embarras pour les promoteurs de l’industrie du VIH et des anticorps) 77.
Figure 3. Certaines des images présentées dans le document « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS(([13] NdT : MERS pour Middle East Respiratory Sybdrom — syndrome respiratoire du Moyen-Orient qui a donné le SARS-CoV-1.)), and SARS in a nonhuman primate model » (pathogenèse comparée du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain) et présentées comme des « changements pathologiques caractéristiques » du SRAS-CoV-2. Les modifications pulmonaires (A) à (C) correspondent à une pneumopathie, causée par l’introduction d’un liquide contenant du matériel biologique étranger directement dans la trachée du singe alors qu’il était anesthésié. Les changements histologiques (D) — (F) représentent simplement des cellules inflammatoires telles que des macrophages et des neutrophiles, comme on pourrait s’y attendre dans une pneumonie infligée de la sorte. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée.

Cependant, l’aspect le plus défectueux de l’expérience sur les animaux est qu’elle n’a pas suivi la méthode scientifique, car il n’y avait pas d’expériences de contrôle. En d’autres termes, un groupe comparable de singes n’a pas été soumis à une agression interne, avec la même composition et le même volume de soupe biologique, sans le prétendu « virus », ayant été versés directement dans leurs poumons. Pour être clair, l’auteur n’approuve pas une telle expérience, car il s’agit d’une procédure cruelle qui n’a rien à voir avec les voies d’exposition naturelles — il s’agit simplement de souligner le concept d’une expérience contrôlée de manière adéquate. Malheureusement, ces méthodologies non scientifiques sont reproduites dans toutes les études animales examinées. Aucune d’entre elles ne démontre : (a) une méthode naturelle d’exposition utilisant les échantillons censés contenir des virus, (b) des « infections fictives » valables (par exemple, l’utilisation fallacieuse d’une solution saline tamponnée au phosphate uniquement), ou (c) la transmission de maladie d’animal à animal. Cela s’ajoute bien sûr à la question fondamentale selon laquelle aucune des études ne démontre l’existence réelle d’une particule infectieuse qu’elles sont censées tester.

En outre, si les « virus » sont si infectieux, pourquoi ne pas simplement aérosoliser un échantillon dans les cages des animaux pour qu’ils l’inhalent ? Une fois de plus, ces expériences sont évitées afin que les virologues ne se réfutent pas eux-mêmes en ce qui concerne les allégations de contagion impliquant les particules imaginées.

Le paradoxe de la quantité de virus

On nous fait croire qu’à l’intérieur d’un hôte tel que l’homme, les particules virales sont produites en si grand nombre qu’elles peuvent briser les cellules mêmes qui les contiennent, alors qu’en même temps elles sont présentes en quantités si infimes que les virologues affirment qu’elles ne peuvent être observées dans aucun échantillon de patient. Apparemment, en ce qui concerne la prétendue particule SARS-CoV-2, il a été calculé qu’« un éternuement d’un patient atteint de COVID-19 contient 200 millions de virus ». 78 Cependant, si l’on prélève un échantillon (physiquement plus grand) directement dans le nez ou les poumons d’un sujet, on n’en trouve précisément aucun. Pour dissimuler ce problème gênant, les virologues ont eu recours à des « preuves » indirectes par le biais de cultures de tissus pour tenter de sortir le virus manquant du chapeau. Comme nous l’avons souligné dans The COVID-19 Fraud & War on Humanity (La Fraude Covid-19 et la guerre contre l’Humanité), cela implique la deuxième partie de la double tromperie de la virologie qui est « la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (ECP) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro (([14] NdT : dans une éprouvette)) à la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo afin d’établir la causalité entre le prétendu pathogène et la maladie »79. Nous sommes donc censés croire que les voies respiratoires humaines, qui sont tapissées de cellules hôtes prétendument parfaites, ne produisent pas suffisamment de virus pour qu’ils soient visibles, mais qu’une expérience en éprouvette impliquant des tissus d’une autre espèce et d’un autre type de cellules en produit suffisamment ?

Selon la définition de la virologie, les particules supposées sont passives et ne produisent aucun déchet, de sorte que la façon dont elles infligent une mauvaise santé à un hôte humain reste un mystère. Pfizer a suggéré au profane que « le système immunitaire réagit à la blessure de ces cellules corporelles en s’activant », mais n’a cité aucune preuve scientifique pour cette affirmation imaginative80. La 4e édition de Medical Microbiology s’est aventurée plus loin et a déclaré que :

Les dommages cellulaires directs et la mort dus à l’infection virale peuvent résulter (1) du détournement de l’énergie de la cellule, (2) de l’arrêt de la synthèse macromoléculaire de la cellule, (3) de la compétition de l’ARNm viral pour les ribosomes cellulaires, (4) de la compétition des promoteurs viraux et des activateurs de transcription pour les facteurs de transcription cellulaires tels que les ARN polymérases, et de l’inhibition des mécanismes de défense de l’interféron. Les dommages cellulaires indirects peuvent résulter de l’intégration du génome viral, de l’induction de mutations dans le génome de l’hôte, de l’inflammation et de la réponse immunitaire de l’hôte. 81 (c’est moi qui souligne)

En fait, les virologues ont proposé de multiples mécanismes pathogènes hypothétiques pour une particule supposée exister dans un organisme tel que l’homme. Encore une fois, même si ces mécanismes spéculatifs étaient en jeu, il faudrait qu’un nombre énorme de cellules soient affectées pour produire des symptômes. Or, un nombre énorme de cellules donnerait lieu à des quantités astronomiques de particules virales — alors pourquoi ne trouve-t-on jamais de particules virales ? La virologie a l’habitude de détourner l’attention des aspects qui soulèvent des doutes sur son modèle fantasmatique.

2e Partie

Fan Wu et al Deus Ex Machina

Ils étaient déterminés à trouver un virus comme cause(([15] NdT : de la maladie)) de ce gars. Ils ont donc recherché tous les ARN, des millions de petits brins d’ARN chez cette personne, à l’aide d’une technologie appelée méta-transcriptomique. Il s’agit de l’une de ces choses qui étudie les gènes… ils peuvent examiner tout l’ARN, tout l’ADN, le séquencer, l’amplifier… Ils ont obtenu une séquence et ont décidé qu’ils avaient découvert un « virus », bien qu’ils n’aient jamais touché à un virus, et ils ont dit que c’était la cause de la pneumonie de ce gars.
Dr David Rasnick, à propos de la « découverte » du SARS-CoV-2 par Fan Wu et coll.82

Dans La Fraude COVID & la Guerre contre l’Humanité83 nous avons documenté l’invention du SARS-CoV-2 par l’équipe de Fan Wu qui a assemblé un « génome » in silico à partir de fragments génétiques de provenance inconnue, trouvés dans les lavages pulmonaires bruts d’un seul « cas » (([16] NdT : à partir d’un seul malade supposé être infecté par un nouveau virus)) et documentés dans « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » 84 (Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine). Une analyse plus approfondie de cet article semble indiquée, car elle montre comment la pandémie frauduleuse COVID-19 a été créée au moyen d’un « génome » inventé par le biais d’un séquençage méta-transcriptomique profond, qui visait simplement à détecter tout l’ARN dans un échantillon brut, et comment il a été utilisé à mauvais escient pour inventer un agent pathogène inexistant. L’affirmation selon laquelle n’importe qui peut déclarer : « (ils) ont identifié une nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae, qui est désignée ici comme le coronavirus WH-Human 1 » 85, à partir d’un seul sujet humain chez qui une pneumonie a été diagnostiquée, est en soi grotesque. Les auteurs ont tenté de se justifier en déclarant que « bien que l’isolement du virus chez un seul patient ne soit pas suffisant pour conclure qu’il a causé ces symptômes respiratoires, nos résultats ont été corroborés de manière indépendante chez d’autres patients dans une étude séparée ». Premièrement, il n’y a pas eu d’isolement physique d’un quelconque virus, comme nous le verrons en détail dans un instant. Deuxièmement, leur affirmation selon laquelle cela a été « corroboré de manière indépendante » fait référence à l’article de février 2020 de Peng Zhou et coll., un article qui ne peut rien corroborer du tout et dont la fraude est discutée à la page 43. Tout ce que l’on peut dire, c’est que si l’on utilise un raisonnement circulaire, le fait de trouver des séquences génétiques similaires à plusieurs reprises est considéré comme une confirmation de l’existence d’un virus. La base de données GISAID est le coffre au trésor de ces absurdités virologiques et, au 29 août 2022, elle comptait plus de 12,8 millions de déclarations de « découverte » du SARS-CoV-286. Cependant, aucune d’entre elles ne peut indiquer un virus réel, elles appellent simplement « bingo » en assemblant des séquences similaires qu’elles ont alignées avec Fan Wu et coll. et d’autres assemblages antérieurs, sans qu’un virus réel soit nécessaire.

Il convient également de noter que si l’auteur ne se prononce pas sur la cause des cas de pneumonie ou de syndromes respiratoires fébriles aigus, la communauté médicale générale reconnaît qu’aucun « agent pathogène » n’est identifié dans près de la moitié des cas.87,88 Quelle raison Fan Wu et coll. avaient-ils donc de soupçonner que leur patient était porteur d’un tout nouveau virus ? Apparemment parce que « les enquêtes épidémiologiques menées par le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan ont révélé que le patient travaillait dans un marché couvert local de fruits de mer » 89. Cette raison semble bien faible étant donné que ces marchés couverts sont extrêmement courants en Chine et que, malgré les théories sur l’origine (du SARS-CoV-2) chez les chauves-souris, Fan Wu et coll. ont indiqué « qu’aucune chauve-souris n’était disponible à la vente ».

Quoi qu’il en soit, ils ont obtenu un peu de liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA) de leur patient et, avec ce spécimen brut, ont rapporté que « l’ARN total a été extrait de 200μl de LBA » (([17] NdT : 200 microlitres soit 0,2 cm3 ou 0,2 millilitre)). La partie sur les méthodes précise que cette extraction a été réalisée « à l’aide du kit RNeasy Plus Universal Mini (Qiagen) », c’est-à-dire par centrifugation sur colonne d’essorage. Ils ont affirmé que « l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué pendant la construction de la bibliothèque », mais la page 43 [correspondant dans l’article original à la partie « Plus de tromperie en provenance de Wuhan ? », NDLR] explique pourquoi cette affirmation est douteuse, car les séquences d’ARN humain connues correspondent toujours à un grand nombre d’entre elles. Ils ont ensuite procédé au séquençage par shotgun de l’infusion, en commençant par la fragmentation aléatoire du matériel génétique en courtes longueurs de 150 nucléotides en moyenne et la conversion de l’ARN en ADN à l’aide d’une enzyme transcriptase inverse90. (([18] NdT : l’ARN est un brin, comme une échelle coupée en deux dans le sens de la longueur, chaque barreau comporte un acide aminé. L’enzyme transcriptase inverse — en anglais reverse transcriptase ou RT — permet de reconstituer cette échelle en mettant en face de chaque acide aminé qui se trouve sur le demi barreau l’acide aminé correspondant, fabriquant ainsi l’ADN)). 56 565 928 lectures courtes (([19] NdT : les séquences)) ont été générées et ces informations ont été introduites dans Megahit et Trinity, des plates-formes logicielles pour l’assemblage de novo basé sur des algorithmes (([20] NdT : c’est l’ordinateur qui à partir de ces millions de séquences cherche maintenant — à l’aide de programmes fabriqués — à faire que ces séquences se suivent et produisent le génome du « virus » tel que les concepteurs du programme l’ont imaginé)). Megahit a permis de générer 384 096 contigs, ou séquences hypothétiques se chevauchant, dont la plus longue (30 474 nucléotides) a été déclarée comme ayant une « identité nucléotidique de 89,1 % » avec la chauve-souris SL-CoVZC45 (([21] NdT : ils auraient choisi le poulpe ils auraient eu le même résultat)), une autre construction fictive dont il sera question ultérieurement. (Trinity a généré plus de 1,3 million de contigs, mais le plus long n’était que de 11 760 nucléotides — en d’autres termes, ils n’auraient pas trouvé le « génome » s’ils s’étaient contentés d’utiliser cette plate-forme logicielle). Le mot « virus » apparaît soudain lorsqu’ils déclarent que « la séquence du génome de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR de transcription inverse ». Il s’agit d’un tour de passe-passe, car la PCR ne fait qu’amplifier des séquences présélectionnées et n’a pas la capacité de confirmer un génome précédemment inconnu.

Comme l’a expliqué l’expert en PCR Stephen Bustin, « la PCR exige que vous connaissiez la séquence de votre cible… donc une fois que vous savez qu’il y a quelque chose dans votre échantillon, vous essayez de l’isoler, oui. Une fois que vous l’avez isolée, vous la séquencez à nouveau, ou vous faites une PCR91. En d’autres termes, la PCR elle-même ne peut pas identifier les origines des séquences et la méthodologie de Fan Wu et coll. n’a pas permis d’établir l’origine des séquences qu’ils ont décrites. Cependant, dans la phrase suivante, ils annoncent au monde que « cette souche virale a été désignée comme le coronavirus WH-Human 1 (WHCV) ».

– Nous devons nous arrêter sur ce point, car c’est là que le virus frauduleux, bientôt rebaptisé SARS-CoV-2, a été inventé de toutes pièces. Un virus dont l’OMS affirme, sans la moindre preuve, qu’il est l’agent causal du COVID-19.

Car c’est ce « génome ») qui a été soumis à GenBank le 5 janvier 202092 qui a été saisi par Drosten et coll. pour produire leurs fausses séquences d’essai du protocole PCR93, lesquelles ont été publiées avec une hâte indécente par l’OMS à l’intention du Monde entier, faisant ainsi de WH Human 1 le génome de référence mondial d’un prétendu agent pathogène. C’est cette invention qui est à l’origine de toute la panoplie destructrice imposée au Monde à la suite de l’annonce de la pandémie par l’OMS le 11 mars 202094.

Cependant, toute personne attentive peut constater qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans l’article de Fan Wu et coll. Un virus est censé être un minuscule parasite intracellulaire obligatoirement capable de se répliquer, constitué d’un génome entouré d’une enveloppe protéique : il s’agit d’une particule infectieuse qui provoque une maladie chez un hôte. Fan Wu et coll. ne disposaient que d’un homme de 41 ans atteint de pneumonie et d’un modèle de « génome » assemblé par logiciel à partir de séquences d’origine non établie trouvées dans les lavages de poumons de l’homme. Pour faire croire que tout cela est légitime, ils ont déclaré que « l’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par alignement des séquences sur deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SARS-CoV Tor2, numéro d’accès GenBank AY274119) et un coronavirus associé aux chauves-souris (bat SL-CoVZC45, numéro d’accès GenBank MG772933) ». Ces prétendus génomes sont également de simples constructions in silico dont on n’a jamais prouvé qu’elles existaient dans leur intégralité dans la Nature, et encore moins qu’elles provenaient de l’intérieur d’un virus. Par exemple, le SL-CoVZC45 de chauve-souris a été inventé en 2018 par le processus de « 19 paires d’amorces PCR dégénérées […] conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du SL-CoV de chauve-souris déposées dans GenBank » 95.

Les génomes de virus sont devenus ce qui est peut-être la plus grande illusion de la virologie, une illusion qui propage la croyance que l’on est en train de démontrer l’existence des virus. Les virologues eux-mêmes ne semblent pas se rendre compte de la faille fatale de leur méthodologie, même lorsqu’ils l’affirment eux-mêmes :

Trois méthodes principales basées sur le HTS (en anglais high-throughput sequencing) (séquençage à haut débit) sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage amplicon PCR (([22] NdT : les virologues prétendent pouvoir analyser des variations génétiques dans des régions spécifiques du génome grâce à cette méthode)), chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et coll., 2017). Lors du séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte, mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. Il s’agit d’une approche simple et rentable, et c’est la seule qui ne nécessite pas de séquences de référence. En revanche, les deux autres approches HTS, l’enrichissement de la cible et le séquençage d’amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour la conception des appâts ou des amorces. La limite du séquençage métagénomique est qu’il nécessite une profondeur de séquençage très élevée pour obtenir suffisamment de matériel génomique viral96.

La limite la plus importante du séquençage « viral » est que le processus lui-même ne détermine pas la provenance des fragments génétiques, donc comment est-il possible de l’utiliser pour établir la séquence d’un génome inconnu jusqu’alors ? Pour être clair, nous ne parlons pas de situations où la provenance des séquences peut être vérifiée de manière indépendante, par exemple des cellules bactériennes isolées physiquement. En outre, il est absurde de déclarer arbitrairement que des séquences sont virales par un processus d’élimination, c’est-à-dire en se basant sur le fait qu’elles n’ont pas d’assignation précédemment conflictuelle dans les banques de données génétiques (([23] NdT : c’est-à-dire qu’elles n’ont pas été assignées à un autre corps précédemment)). Aucun virologue ne démontre que les séquences sont de nature virale lorsqu’il assemble le tout premier modèle et déclare avoir découvert un virus pathogène. À aucun moment, ils ne purifient de prétendues particules virales pour prouver leur relation avec les séquences. Et pourtant, le premier génome de novo inventé devient le critère sur lequel d’autres chasseurs de virus aligneront leurs propres génomes in silico ou concevront des protocoles PCR « de confirmation ».

Pour autant que l’auteur le sache, les virologues ne disposent d’aucune technique de laboratoire permettant de vérifier directement s’il existe un brin d’ARN complet de 30 kilobases dans l’un quelconque de leurs échantillons. La technologie actuelle d’électrophorèse sur gel en champ pulsé (([24] NdT : technique permettant de séparer des constituants en les faisant migrer — ils ne migrent pas tous à la même vitesse — dans un gel grâce à un champ électrique)) ne peut différencier de manière fiable que les brins d’ADN de cette taille97. Quoi qu’il en soit, ces simulations restent une diversion, car même dans l’éventualité où l’existence physique d’un génome SARS-CoV-2 in silico — une séquence complète d’ARN de 30 kilobases — pourrait être démontrée comme existant dans la Nature, les virologues auraient encore beaucoup de travail à faire. Avant tout, ils devraient démontrer que cette séquence appartient à une particule capable de se répliquer et de provoquer une maladie, et non pas simplement prétendre qu’elle le fait.

À cet égard, l’auteur a eu un échange de courriel avec un biologiste évolutionniste du Wellcome Sanger Institute qui a suggéré que le séquençage de l’ARN à lecture longue (par opposition au séquençage à lecture courte) fournissait la preuve nécessaire de l’existence du « SARS-CoV-2 » 98. Il a fait référence à une publication d’avril 2022 portant sur le séquençage de l’ARN à l’aide de séquences longues d’Oxford Nanopore Technologies (ONT) 99, affirmant qu’elle confirmait la validité des génomes du « virus » qui avaient été construits précédemment par séquençage à l’aide de la méthode « shotgun » (([25] NdT : voir ci-dessus)). L’étude présentée décrivait une expérience comparant les réponses de diverses lignées cellulaires « infectées par le SRAS-CoV-2 » et « infectées fictivement ». Les cellules expérimentales étaient prétendument “infectées par le virus SARS-CoV-2 Australia (Australia/VIC01/2020, NCBI : MT007544.1)” — que l’auteur Leon Caly et coll. qualifie d’« isolat » 100, alors que l’isolement d’un virus n’a jamais été démontré, comme l’explique la figure 4 ci-dessous et comme nous l’avons souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité101.

L’argument du biologiste évolutionniste repose donc sur la comparaison du produit frauduleux d’une expérience frauduleuse avec une « infection factice », alors que la première est invalidée par la déclaration trompeuse d’« isolement du virus » et que la seconde s’invalide elle-même puisque les virologues ont modifié sa définition pour permettre la modification d’autres variables. L’obtention de lectures plus longues ne change rien à ces questions fondamentales. Le biologiste évolutionniste affirmait que les variations dans les séquences et les protéines surveillées au fil du temps constituaient la preuve de l’évolution d’un virus102. Il est une autre victime de la tromperie de la virologie par l’attribution spécieuse du mot « viral » à ces entités. Lorsque toutes ces séquences et protéines ont été initialement détectées dans des expériences de culture de tissus, il n’a pas été démontré qu’elles appartenaient à des virus pathogènes, mais l’affirmation selon laquelle elles sont « virales » se poursuit encore aujourd’hui.

Dans le même ordre d’idées et quelques mois après cet échange, le pathologiste/virologue Dr Sin Hang Lee a affirmé que son article préimprimé103 fournissait “des preuves irréfutables par séquençage Sanger que le virus [SARS-CoV-2] existe et continue de muter”, en invitant ouvertement à contester son travail104. Une fois encore, le présent auteur a fourni une réponse détaillant l’utilisation abusive de la terminologie scientifique par la virologie ainsi que le problème sous-jacent de la provenance non établie des séquences génétiques analysées :

Pour exposer les problèmes de la virologie, il est essentiel d’examiner la section méthodologique de toute publication et, dans ce cas, ce n’est pas différent… Ceux d’entre nous qui contestent la théorie du virus soulignent qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune séquence d’ARN (ou d’ADN) provenait de l’intérieur d’une particule spécifique identifiable répondant à la définition d’un virus. Ainsi, tous les ARN ne peuvent être considérés que comme exprimés par un organisme connu, introduits artificiellement (par exemple par des injections d’ARNm synthétique) ou de provenance inconnue. Les « mutations » n’existent que dans des modèles in silico qui ne se sont pas révélés être des entités indépendantes dans la Nature. Il existe d’autres raisons pour lesquelles les séquences d’ARN peuvent varier et varient effectivement dans les systèmes biologiques dynamiques et je ne peux imaginer qu’un virologue puisse être en désaccord avec ce fait. La simple détection des ARN ne suffit pas pour tirer des conclusions sur leur provenance. D’autres expériences sont nécessaires pour faire cette détermination. 105

En effet, aucune technologie génomique ou protéomique ne peut échapper au fait qu’en ce qui concerne ces données supposées être des preuves de la présence de virus, il s’agit de tortues jusqu’en bas.

(([26] NdT : Cette expression provient d’une histoire — donc inventée — au sein de la communauté scientifique des années 1870 qui raconte ceci :

Une vieille dame s’approcha un jour d’un célèbre savant peu après la fin de sa conférence sur la cosmologie et la structure du système solaire et lui dit :

« Votre belle théorie sur la Terre qui est ronde et qui tourne autour du Soleil est très intéressante, jeune homme. Malheureusement, elle est aussi très fausse. J’ai une meilleure théorie », lui dit la femme.
« Et quelle est cette théorie, Madame ? », lui demanda le scientifique.
« Eh bien, ce que vous appelez la “planète Terre” n’est pas ronde du tout. En fait c’est une sorte de grand disque plat qui repose sur les épaules de quatre éléphants géants. »
« Et sur quoi reposent ces quatre éléphants ? », lui rétorqua-t-il.
« Ils sont sur le dos d’une tortue géante », répondit la vieille dame.
« Et sur quoi s’appuie cette tortue ? » demanda le scientifique avec un sourire interrogatif.
« Sur une autre tortue, plus grosse. »
« Et sur quoi s’appuie cette deuxième tortue ? »
« Eh bien, mon cher, » dit la vieille dame avec un sourire victorieux, « il y a des tortues jusqu’en bas ! »
[Citation tirée du livre « Des tortues jusqu’en bas » Ed. Résurgences]
NdT : Ce livre est complètement dans l’hypothèse virale. Il montre néanmoins de façon remarquable que les essais de sécurité des vaccins reposent sur ce principe « des tortues jusqu’en bas », car pour la plupart (tous ?) leur sécurité est comparée non avec un véritable placébo, mais avec un vaccin précédent prétendument « sûr et efficace » qui lui-même a été autorisé sur le marché car comparé à un autre vaccin prétendument sûr et efficace, etc.. Quant à leur « efficacité » elle ne peut donc être « démontrée » que de la même manière : des tortues jusqu’en bas et jamais en comparant un groupe « vacciné » avec un groupe « non vacciné ».))

Des tortues jusqu’en bas

Figure 4. Caly et coll. « isolement » du SARS-CoV-2. Les micrographies électroniques sont celles d’un surnageant de culture de cellules Vero/hSLAM : (A) a été déclaré « virion », alors qu’il s’agit simplement d’une particule de provenance inconnue. En outre, les « pointes » capsulaires ont été produites après que l’enzyme trypsine a digéré les protéines externes pour créer l’apparence souhaitée. (B) nous informe simplement de la taille des particules dans un mélange de tissus. Il n’y a pas eu d’expérience de contrôle valide réalisée avec un spécimen similaire d’origine humaine.

Comme on l’a vu, le « bat SL-CoVZC45 » était un génome in silico de 29 802 nucléotides, inventé en 2018106, qui a été utilisé par Fan Wu et coll. comme génome modèle pour l’invention du génome du SARS-CoV-2. Il était censé provenir du tissu intestinal d’une chauve-souris (([27] NdT : en anglais « bat » d’où le nom attribué au « génome »)) capturée dans la province de Zhejiang, en Chine. Dans cette étude, les auteurs ont indiqué que « toutes les chauves-souris semblaient en bonne santé et ne présentaient pas de signes cliniques évidents au moment de la capture », mais ont déclaré qu’un virus avait été détecté chez 89 des 334 chauves-souris sur la base d’un « test de transcription inverse (RT) — PCR pan-coronavirus ». La folie de prétendre « isoler » un virus en provoquant des ECP (([28] NdT : rappel ECP pour effet cytopathique)) a déjà été soulignée, mais dans ce cas, ils n’ont même pas observé ce phénomène dans les cultures de cellules Vero E6. Au lieu de cela, ils ont essayé une autre méthode pour « tester la pathogénicité de l’agent ZC45 ». Cela a consisté à prélever 20 μL de tissu intestinal de chauve-souris broyé et de l’injecter directement dans le cerveau de rats BALB/c âgés de 3 jours. (En poids, cela équivaudrait à injecter plusieurs centaines de millilitres de matière dans un cerveau humain107). L’absurdité de l’injection d’un tel tissu biologique directement dans le cerveau d’animaux néonataux consanguins et compromis ne devrait pas nécessiter d’explications supplémentaires. Comme c’est souvent le cas dans les expériences de virologie, il n’y avait pas de groupe de contrôle où du matériel biologique similaire, censé ne pas contenir le virus, avait été injecté directement dans le cerveau d’autres bébés rats. Les chercheurs ont indiqué que des « particules virales présumées » avaient été observées dans certains cerveaux de rats, mais ils n’ont à aucun moment démontré la composition ou la fonction biologique des « particules virales présumées » observées dans leurs diapositives. En outre, l’« infection » a été déclarée sur la base de tests RT-PCR positifs qui détectaient les mêmes séquences d’ARN chez les bébés rats au moment de leur sacrifice que celles qui leur avaient été injectées récemment — ce qui n’exige évidemment pas l’existence d’un virus.

Ainsi, sans isoler physiquement de prétendues particules virales, ils ont procédé à l’homogénéisation, à la centrifugation et à la filtration des échantillons intestinaux avant de déclarer que « l’ARN viral a été extrait à l’aide d’un mini kit d’ARN viral (Qiagen, Hilden, Allemagne) conformément aux recommandations du fabricant ». (Voir page 49 [dans le paragraphe contenant la note 157, NDLR] pour une explication de l’impossibilité pour ce type de kit d’extraire sélectivement l’ARN en fonction de sa provenance, indépendamment de l’existence ou non de virus). Une étape de transcription inverse a ensuite lieu avant l’amplification par PCR de leur brin. Ils ont prétendu séquencer le génome complet du [SL-CoVZC45] grâce à 19 paires d’amorces PCR dégénérées, « conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du bat SL-CoV déposées dans GenBank ». En d’autres termes, leur déclaration de découverte d’un génome viral n’était pas fondée sur la preuve directe de l’existence d’un virus, mais sur la détection de séquences de provenance non établie alignées sur d’autres modèles fictifs de « virus ». Le degré d’amplification de la PCR à cette étape n’a pas été divulgué, mais l’étape de « criblage par RT-PCR » comportait un premier cycle de 40 cycles, suivi d’un second cycle de 30 cycles. Une amplification aussi ridicule entraînerait des artefacts, c’est-à-dire que les séquences cibles sont « trouvées » simplement à la suite du processus lui-même et ne sont pas nécessairement présentes physiquement dans les échantillons.

(([29] NdT : La demi-échelle (l’ARN extrait des échantillons intestinaux) a été complétée par une autre demi-échelle où 19 demi-barreaux étaient composés d’amorces tirées elles-mêmes d’une banque de données (appelée GenBank) ; ces 19 demi-barreaux ont « matché » avec 19 demi-barreaux de l’ARN extrait. Le problème c’est que ces amorces sont « attribuées » au soi-disant virus SARS-CoV-1 et au virus SL-CoV sans que ces derniers n’aient jamais été isolés et donc sans que l’on puisse dire qu’elles sont spécifiques à ces « virus ». C’est le procédé « des tortues jusqu’en bas ».))

(([30] NdT : Les cellules Véro sont des cellules immortelles (cellules de rein de singe, de poumon de fœtus de bébé avorté…) qui lorsqu’elles sont nourries (du sérum de veau par exemple) se multiplient. Elles servent ensuite à être infectées par les soi-disant « virus ». Les virologues oublient de mentionner qu’avant d’être « infectées » on arrête de les nourrir, on les « noie » d’antibiotiques (pour tuer d’éventuelles bactéries) et de poisons divers. La mort des cellules qui s’en suit, et qui est assez évidente, est ensuite attribuée aux « virus ». Les expériences de contrôles ne sont jamais faites [voir ce qui se passe sans que l’on rajoute les soi-disant « virus »].))

Il convient de noter que l’histoire du virus de la chauve-souris est en cours depuis l’« épidémie » de SARS (([31] NdT : en français SRAS pour syndrome respiratoire aigu sévère)) de 2003 et qu’apparemment, après des milliers d’années, l’espèce humaine est maintenant sous la menace constante de virus percolant dans les grottes de chauves-souris chinoises. En 2005, le président de l’EcoHealth Alliance, le Dr Peter Daszak, a cosigné un article paru dans Science intitulé « Bats Are Natural Reservoirs of SARS-Like Coronaviruses » 108 (les chauves-souris sont des réservoirs naturels de coronavirus de type SARS). Dans cette étude, Daszak et ses collègues n’ont pu trouver aucun « coronavirus » dans leur sélection de chauves-souris grâce à la technique frauduleuse habituelle d’observation des ECP in vitro, déclarant qu’« aucun virus n’a été isolé à partir d’écouvillons fécaux d’échantillons positifs à la PCR en utilisant des cellules Vero E6 ».

Cependant, ils étaient heureux de déclarer qu’ils avaient la preuve de l’existence de ces virus grâce à leurs produits PCR à cycle absurdement élevé (35-45) obtenus à partir d’échantillons bruts de chauves-souris. Ils ont prétendu qu’il s’agissait de « séquences virales » parce que, dans le cadre du raisonnement circulaire de la virologie, ils ont « trouvé » les séquences « virales », celles-là mêmes que leur protocole PCR était censé détecter. Ils ont dûment averti le monde que « la diversité génétique existe parmi les virus zoonotiques chez les chauves-souris, ce qui augmente la possibilité que des variantes franchissent la barrière des espèces et provoquent des épidémies dans les populations humaines ». Malheureusement, ce folklore zoonotique est passé de la littérature virologique à l’imagination du public. Daszak est un fervent promoteur et bienfaiteur de l’histoire du virus de la chauve-souris et, en 2015, il a conseillé à ses collègues, afin de continuer à engranger des recettes, de « mieux faire comprendre au public la nécessité des MCM (contre-mesures médicales) telles qu’un vaccin antigrippe ou anti-coronavirus » 109.

Quoi qu’il en soit, une branche de l’une des pistes de modèles de coronavirus imaginaires nous ramène à l’une des premières affirmations concernant le génome du SARS-CoV, prétendument à l’origine de la première « épidémie » de SARS. En avril 2003, Yijun Ruan et coll. ont soumis à GenBank leur « génome complet de coronavirus SARS Sin2500 », qui est devenu le numéro d’accès AY283794.1.110 Cependant, ce génome a été inventé non pas en séquençant directement de prétendues particules virales, bien sûr, mais en séquençant l’ARN dans une expérience de culture de cellules Vero par « des approches d’amorçage spécifiques et par shot-gun », avec un alignement sur « la séquence du génome du virus de l’hépatite de la souris (NC_001846) en tant que colonne vertébrale » 111. Le génome NC_001846.1 a été inventé à son tour en 1997 et a été revendiqué comme dérivé d’un virus « obtenu à l’origine auprès du Dr Lawrence Sturman » et séquencé « en utilisant comme modèles l’ARN cytoplasmique extrait de monocouches de cellules L2 infectées par les virus MHV-A59, C12, C3, C5, C8, B11 ou B12 de type sauvage » 112. L’affirmation selon laquelle ils ont commencé avec un virus semble être basée sur l’assurance du Dr Sturman que l’échantillon qu’il a fourni contenait une telle chose.

Il devrait être clair à ce stade que chaque génome de coronavirus a été comparé à d’autres soi-disant génomes sans que les virologues ne démontrent qu’aucune des séquences ne provient d’un virus. Il est donc instructif de revenir au prétendu premier génome complet de coronavirus à être publié, qui était le « virus de la bronchite infectieuse aviaire » (en anglais IBV pour avian Infectious Bronchitis Virus) par Boursnell et coll. en 1987113, et qui a ensuite été utilisé par d’autres comme l’un des modèles d’origine. Ils n’ont pas séquencé directement les particules virales supposées, mais ont utilisé « dix-sept clones d’ADNc couvrant les 27 569 kb les plus importants du génome », en notant que les clones « ont été dérivés de l’ARN isolé à partir du virus purifié par gradient de la souche Beaudette » (Beaudette & Hudson, 1937 ; Brown & Boursnell, 1984). L’article cité de Brown et Boursnell indique que « la préparation des clones d’ADNc a été décrite précédemment (Brown et Boursnell, 1984) »114. Cette citation ultérieure correspond à leur publication intitulée « Avian infectious bronchitis virus genomic RNA contains sequence homologies at the intergenic boundaries » (L’ARN génomique du virus de la bronchite infectieuse aviaire contient des homologies de séquence aux frontières intergéniques).115 Dans cet article, ils affirment que « la souche IBV Beaudette a été cultivée dans des œufs embryonnés de 11 jours. Les virions ont été isolés du liquide allantoïdien et purifiés par centrifugation isopycnique116 sur des gradients de saccharose ». Cependant, aucun de ces articles ne fournit de preuve : (a) qu’ils avaient purifié quoi que ce soit, et encore moins des « virions », sous la forme de micrographies électroniques de confirmation, ou (b) qu’ils avaient réalisé des expériences de contrôle valables. Tout ce que nous pouvons voir, c’est qu’ils ont supposé que des virus étaient présents dans leur mélange de cultures et qu’après centrifugation, ils ont affirmé que les séquences d’ARN détectées provenaient de ces virus imaginaires.

Figure 5. L’arbre phylogénétique du SARS-CoV-2 sur GISAID – Fiocruz, au 15 juillet 2022. Il n’a jamais été démontré que le premier « génome » de décembre 2019 (Fan Wu et coll.) provenait d’un virus, mais grâce au raisonnement circulaire de la virologie, des séquences similaires trouvées à d’autres endroits sont présentées comme la preuve de l’évolution d’un « virus ». Cependant, les méthodologies non contrôlées utilisées en font un arbre généalogique fictif in silico. La détection, ou la prétendue détection, de séquences génétiques sélectionnées dans l’environnement ne confirme pas l’existence d’un virus, étant donné que la provenance des séquences n’a pas été établie ou a été mal attribuée. Il en va de même pour les protéines détectées.

L’affirmation initiale selon laquelle il s’agissait d’un virus (IBV) (rappel : Avian Infectious Bronchitis Virus — virus de la grippe aviaire) remonte aux années 1930 et reposait sur les mêmes conclusions erronées tirées de la méthodologie employée dans les expériences de 1911 sur le « virus » du sarcome de Rous (voir page 12). Dans le cas de l’IBV, du matériel a été prélevé sur des poulets malades, passé à travers des filtres bactériens de Berkefeld et ensuite introduit dans les voies respiratoires d’autres poulets117. En se basant sur le fait que cela pouvait également rendre les oiseaux receveurs malades, il a été déclaré que « ces résultats démontrent que la maladie est causée par un virus filtrable ». Cependant, aucune expérience n’a jamais démontré qu’une particule infectieuse était responsable des effets toxiques. En bref, les arbres phylogénétiques des « coronavirus » qui ont été créés depuis les années 1980 ne sont pas la preuve de « l’évolution des virus », mais d’un système de commercialisation à plusieurs niveaux qui n’a pas de produit physique établi.

Le danger pour l’Humanité réside dans le fait que les génomes putatifs des coronavirus issus des spéculations des virologues sont désormais utilisés comme modèles pour créer et injecter des produits à des destinataires malchanceux qui ont été trompés et incités à croire que la dernière invention de la virologie était réelle. En d’autres termes, les inventions génomiques fictives de la virologie ont été utilisées pour créer des interventions médicales et politiques totalement inutiles. La biotechnologie dangereuse et hautement expérimentale de l’ARNm et des nano lipides a tué plus de personnes que tous les autres vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et nous commençons à peine à en faire le compte118.

Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2

Avec une lenteur désormais familière, les CDC ont mis huit mois à répondre à une demande de liberté d’information concernant leur affirmation selon laquelle ils avaient « isolé le SRAS-CoV-2 » dans leur publication de juin 2020 sur les maladies infectieuses émergentes, « Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States » (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère Coronavirus 2 provenant d’un patient ayant la maladie Coronavirus), par Jennifer Harcourt et coll.119. Les questions posées aux CDC par ma collègue (([32] NdT : Il s’agit de la Canadienne Christine Massey)) étaient simples et comprenaient ce qui suit :

« Le scientifique qui a rédigé cet article a-t-il utilisé des groupes de contrôle ? Si oui, les groupes de contrôle ont-ils utilisé les mêmes formulations de mélanges de cultures cellulaires que les groupes expérimentaux sans l’échantillon contenant les virus présumés ? … En résumé, si des groupes de contrôle ont été utilisés, veuillez donner des détails sur les groupes de contrôle »120. Au lieu de demander à Jennifer Harcourt ou à l’un des membres de son équipe de répondre à cette simple demande, le CDC a répondu, le 29 mars 2022, qu’il avait « localisé 37 pages de documents pertinents et une feuille de calcul Excel », prétendument en rapport avec les documents demandés121. En résumé, les « documents pertinents » du CDC comprenaient les éléments suivants122

Figure 6. Dans leur réponse FOIA du 29 mars 2022 CDC-Harcourt-mock-infected-MS-PACKAGE-redacted.pdf (fluoridefreepeel.ca), les détails de la diapositive de l’expérience « fictive » n’ont pas été fournis par le CDC, bien qu’ils aient été spécifiquement demandés. Les autres diapositives sont censées prouver les effets cytopathiques (et donc l’existence implicite) du SARS-CoV-2.

  1. Des courriels internes du CDC ont partagé des images telles que la figure 6, censées montrer « des photos de la portée du N-CoV 2019 potentiel du premier cas américain ». Les microbiologistes chercheurs des CDC, Azaibi Tamin, espèrent que « certains de ces 7 lysats montrent que l’ECP (rappel : effet cytopathologique — effet sur les cellules de culture) est causé par le N-CoV 2019 », tandis que Stephen Lindstrom commente qu’il s’agit de « très belles cellules malheureuses ». Natalie Thornburg, chef de l’équipe d’immunologie des virus respiratoires, a ensuite demandé « s’ils pouvaient envoyer les fichiers JPEG ou TIFF originaux de leurs images d’ECP ? Je veux commencer à travailler sur une figure de qualité pour la publication. »
  2. Les numéros d’accès GenBank MT020880 et MT020881, qui figuraient dans la publication Harcourt et coll./CDC et étaient déjà accessibles au public.
  3. L’article de Na Zhu et coll. publié dans le New England Journal of Medicine, « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, »123 qui, selon la microscopiste électronique du CDC Cynthia Goldsmith, « présente deux très belles images ME (de microscopie électronique) dans la figure 3, l’une provenant d’un “épithélium des voies respiratoires humaines” ». Nous avons traité des folies de cet article dans La Fraude COVID-19 et la Guerre contre l’Humanité, Na Zhu et coll. étant également coupables d’expériences incontrôlées de décomposition de cultures de tissus au cours desquelles ils ont baptisé « 2019-nCoV » des micrographies électroniques de vésicules extracellulaires dont la composition et la fonction biologique n’ont pas été prouvées124 (L’un des coauteurs de l’article, Wenjie Tan, a déclaré à Torsten Engelbrecht le 18 mars 2020 qu’ils avaient « une image de particules virales sédimentées, pas de particules purifiées »125. Ainsi, l’affirmation selon laquelle il s’agit de « particules virales » n’est qu’une affirmation, car aucune partie de l’article ne démontre la composition ou la fonction biologique de ces vésicules imagées).
  4. Une feuille de calcul contenant les résultats non informatifs du seuil de cycle de la PCR pour « 4 virus » qui ont été soumis au laboratoire de diagnostic des virus respiratoires des CDC.
  5. Une page commençant par « pour des raisons de commodité administrative et pour répondre pleinement à votre demande, le personnel du programme a fourni les informations suivantes avec les liens Internet correspondants », qui ne fournit absolument aucune information sur la manière dont les expériences d’« isolement viral » du CDC ont été convenablement contrôlées.

Le 23 décembre 2021, Christine Massey a également soumis une demande au CDC afin d’obtenir tous les détails de l’expérience de Harcourt et coll. « simulant une infection », y compris « la quantité de matériel provenant d’échantillons d’écouvillons nasopharyngés et oropharyngés non infectés qui a été ajoutée au groupe de contrôle de la culture cellulaire » 126. Le CDC a finalement répondu à la demande de Massey le 10 mai 2022 avec 36 pages d’informations tout aussi inutiles et l’excuse suivante :

En ce qui concerne certaines parties de votre demande, une recherche dans nos archives n’a pas permis de trouver de documents relatifs à votre demande. Ces parties concernent votre demande concernant spécifiquement « … des cultures cellulaires — des détails du groupe expérimental : » et « des cultures cellulaires — des détails du groupe de contrôle infecté fictif » et « le séquençage du génome entier — détails de la pureté et du contrôle : » Votre demande a été envoyée au Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires (en anglais National Center for Immunization and Respiratory Diseases ou NCIRD) pour recherche. Ils ont répondu que certains détails de votre demande n’étaient pas disponibles en tant qu’enregistrements contrôlés ou conservés par le CDC127.

En d’autres termes, les CDC semblent ignorer totalement qu’ils ne suivent pas la méthode scientifique ou ils ont compris que la partie était perdue et s’engagent dans des réponses fallacieuses. Dans les deux cas, ils ne peuvent être pris au sérieux en tant que source d’information scientifique fiable s’ils promeuvent également des expériences non contrôlées comme preuve de l’existence de virus.

Les divulgations de Peng Zhou et coll.

Il est arrivé que des chercheurs fournissent des réponses concernant leurs méthodologies et que, intentionnellement ou non, ils soient étonnamment francs au sujet de leurs expériences non scientifiques. Le 3 février 2020, Peng Zhou et coll. ont publié dans Nature leur article intitulé « A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin » (Une épidémie de pneumonie associée à un nouveau coronavirus d’origine probable de chauve-souris), affirmant « l’identification et la caractérisation d’un nouveau coronavirus (2019-nCoV) » 128. Dans leur expérience d’« isolement », les auteurs ont produit des images montrant des ECP apparents dans les cellules Vero E6 prétendument « infectées par le 2019-nCoV » (([33] NdT : nom transformé par la suite en SARS-CoV-2)), mais aucun ECP dans les « cellules infectées de manière fictive » 129, ces dernières étant censées être (le groupe) « contrôle ». Mais quelle était la nature de cette apparente expérience de contrôle ? Les détails n’ayant pas été fournis dans l’article publié, ils ont été contactés par l’un de mes collègues en août 2021, qui a obtenu des aveux surprenants de l’un des coauteurs de l’article, Xing-Lou Yang. Tout d’abord, outre le fait qu’il n’y avait pas d’expériences de contrôle positif (c’est-à-dire avec des échantillons humains comparables sans le prétendu virus), Yang a déclaré qu’ils avaient doublé la dose de pénicilline et de streptomycine dans le groupe expérimental130. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi cette variable avait été modifiée, la réponse a été la suivante : « l’intention de l’Anti-Anti (les deux antibiotiques) est d’empêcher la contamination par des bactéries ou des champignons pendant l’isolement du virus, donc une concentration de 1 % ou 2 % n’a pas affecté la croissance cellulaire. La concentration de 2 % dans la première génération visait simplement à empêcher la contamination des échantillons »131.

Mon collègue a suggéré de refaire l’expérience de « contrôle » avec une dose plus élevée d’antibiotiques pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’un des facteurs induisant des ECP dans la lignée de cellules rénales. Yang a ensuite fourni une réponse évasive : « si vous pouvez vous assurer que vous pouvez empêcher la contamination par des bac (bactéries) ou des champignons, vous n’aurez pas besoin d’utiliser l’Anti-Anti » 132, semblant ignorer le point crucial selon lequel les antibiotiques supplémentaires eux-mêmes pourraient être toxiques pour les cellules (en particulier parce que la streptomycine est connue pour être néphrotoxique). À tout le moins, ils avaient modifié d’autres variables par rapport à leurs contrôles et avaient donc invalidé encore davantage leurs résultats.

Une autre révélation stupéfiante des auteurs est que dans leur groupe expérimental, seul un puits sur 24 contenant des cultures de cellules rénales Vero E6 présentait des signes d’ECP133. Ainsi, ce qui devrait être considéré comme une marge d’erreur expérimentale constitue la base de l’une des déclarations d’un nouvel agent pathogène prétendument mortel, décrit dans un article qui, en juillet 2022, a été consulté 1,34 million de fois et cité plus de 10 000 fois134. Les autres auteurs qui citent cet article se rendent-ils compte de l’étroitesse des « preuves » sur lesquelles est construit ce château de cartes appelé COVID-19 ? Peut-être ne seraient-ils pas perturbés par une telle révélation, étant donné que les expériences biologiques sont de plus en plus abandonnées tandis que les « génomes » in silico sont de manière absurde prétendus fournir des preuves adéquates de l’existence des virus. Dans le cas de Zhou et coll., leur simulation informatique a été fièrement proclamée « être identique à 96 % au niveau du génome entier à un coronavirus de chauve-souris ». Ils ont décidé de mettre en forme leur nouvelle invention virale par rapport à cette séquence, en se basant sur l’absurdité que « des études antérieures ont montré que certains SARS-CoV de chauve-souris ont le potentiel d’infecter les humains »135. Leur logiciel a assemblé ce qui est devenu les numéros d’accès GenBank MN996527-MN996532 et cette forme de fausse « preuve », qui manque également de contrôles valides, a été documentée dans le présent essai.

Figure 7. L’étude de Peng Zhou et coll. et sa méthodologie précédemment non divulguée : doubler les antibiotiques dans le groupe expérimental pour observer des ECP dans seulement un puits sur 24. Il est déclaré que cela constitue une preuve de l’existence d’un nouvel agent pathogène viral, le « 2019-nCoV », qui sera plus tard rebaptisé SARS-CoV-2.

Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?

Début 2022, un mathématicien travaillant avec le Dr Stefan Lanka a publié une analyse des données de séquences associées produites par Fan Wu et coll.136 La conclusion en est surprenante :

Une répétition de l’assemblage de novo avec Megahit (v.1.2.9) a montré que les résultats publiés ne pouvaient pas être reproduits. Nous avons peut-être détecté des acides ribonucléiques (ribosomiques) d’origine humaine, contrairement à ce qui a été rapporté (par Fan Wu et coll.)… Il n’est pas prouvé que seuls des acides nucléiques viraux ont été utilisés pour construire le génome viral revendiqué pour le SARS-CoV-2. En outre, en ce qui concerne la construction du brin de génome viral revendiqué, aucun résultat d’éventuelles expériences de contrôle n’a été publié. Ceci est également vrai pour toutes les autres séquences de référence prises en compte dans le présent travail. Dans le cas du SARS-CoV-2, un contrôle évident consisterait à s’assurer que le génome viral revendiqué ne peut pas être assemblé à partir de sources d’ARN insoupçonnées d’origine humaine ou même autre.

(([34] NdT : Megahit est un assembleur (programme informatique) de séquences génétiques qui permet — à partir de bribes attribuées au « virus » — de construire le génome complet du « virus » (!!!) en remplissant les vides entre les bribes. C’est un peu comme si à partir de 3 ou 4 mots on demandait à un ordinateur de « reconstruire » une œuvre d’un grand auteur. L’ordinateur à l’aide du programme cherchera à mettre un mot après l’autre de telle manière qu’il retombe sur un des 3 ou 4 mots choisis et continuera ainsi jusqu’au mot choisi suivant et pour enfin arriver à l’intégralité de l’œuvre. En fonction du choix de l’œuvre que l’on désire obtenir, les suites de mots seront donc différentes alors qu’au départ les 3 ou 4 mots (ou plus peu importe) sont les mêmes. Voilà ce que dit l’Université Claude Bernard de Lyon sur cette technique : https://www.dtamb.univ-lyon1.fr/ngs/sequencage-de-novo ))

Outre le fait que les méthodes actuelles de la virologie pour trouver des virus devraient être rejetées, le manque de reproductibilité de leur propre expérience soulève instantanément des questions sur les circonstances dans lesquelles les inventeurs originaux du SARS-CoV-2 ont annoncé leur nouveau virus au Monde. En effet, cette analyse indépendante n’a permis d’obtenir que 28 459 contigs, soit nettement moins que le nombre (384 096) décrit par Fan Wu et coll. En outre, le contig le plus long obtenu indépendamment était de 29 802 nucléotides, soit 672 nucléotides de moins que celui de Fan Wu, ce qui signifie que « les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures originales utilisées pour l’assemblage ». L’analyse du mathématicien a également conclu que :

L’alignement avec la base de données de nucléotides le 05/12/2021 a montré une correspondance élevée (98,85 %) avec “l’ARN de l’Homo sapiens, 45 S préribosomal N4 (RNA45SN4), ribosomal ARN” (GenBank : NR_146117.1, daté du 04/07/2020). Cette observation contredit l’affirmation de [1] selon laquelle l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué et les lectures de séquences humaines ont été filtrées à l’aide du génome humain de référence (human release 32, GRCh38.p13). Il convient tout particulièrement de noter que la séquence NR_146117.1 n’a été publiée qu’après la publication de la bibliothèque de séquences SRR10971381 examinée ici. Cette observation souligne la difficulté de déterminer a priori l’origine exacte des fragments d’acide nucléique individuels utilisés pour construire les séquences génomiques virales revendiquées.

Quoi qu’il en soit, les problèmes ne se sont pas arrêtés là. La distribution de la couverture de certains contigs était extrêmement inhomogène et, compte tenu du taux d’erreur élevé, on s’est demandé si certaines des séquences n’étaient pas simplement générées par les conditions d’amplification de la PCR elles-mêmes. Là encore, il s’agit d’une méthode anti-scientifique, car des expériences de contrôle appropriées (avec des échantillons similaires provenant de l’homme) ne sont pas réalisées pour examiner ces possibilités. L’analyse indépendante a révélé que Fan Wu et coll. auraient pu trouver de meilleures correspondances consensuelles in silico pour le « VIH » et le « virus de l’hépatite D » que pour un « nouveau coronavirus » chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de COVID-19. Si les virologues veulent trouver un virus, tout dépend de la manière dont ils conçoivent leurs protocoles et de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de rechercher — et comment ces diseurs de bonne aventure sauraient-ils ce qu’il faut rechercher ?

L’amorçage du Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

Les scientifiques ont tendance à supposer que tout ce qui n’est pas de leur ressort est vrai et qu’ils peuvent s’y fier.

David Crowe après son interview de Stephen Bustin en avril 2020. 137

(([35] NdT : David Crowe est décédé peu après cette interview (le 12 juillet 2020), emporté par un cancer dont la fulgurance a étonné le Dr David Raznik (cité également dans cet article, les deux faisant partie du groupe de réévaluation du SIDA « Rethinking AIDS »). Le traducteur a eu de multiples contacts (mails, téléphone) avec David Crowe dans l’année précédant son décès. Ce dernier lui a maintes fois répété qu’on ne pourrait éventuellement parler de pandémie qu’en 2023 ou 2024 et que pour lui il ne s’agissait, en 2020, que d’une épidémie de tests. Les faits lui ont donné raison (lire à ce sujet l’excellent livre de Pierre Chaillot « Covid-19 — ce que révèlent les chiffres officiels »))

Pour entretenir l’illusion de la « pandémie » de COVID-19, il fallait des cas. Ceux-ci ont été fournis par le plus vaste programme de « dépistage » humain jamais mis en œuvre, impliquant des milliards de kits PCR distribués dans le monde entier. Nous ne comprenons toujours pas pourquoi Stephen Bustin, qui est un « expert de renommée mondiale en matière de PCR quantitative et dont les recherches portent sur la transformation des techniques moléculaires en outils pratiques, robustes et fiables à usage clinique et diagnostique » 138, n’a pas souligné de manière décisive l’utilisation inappropriée du processus de PCR. Bustin était l’auteur principal de la publication de 2009, « The MIQE Guidelines: Minimum Information for Publication of Quantitative Real-Time PCR Experiments » 139 (Informations minimales pour la publication d’expériences de PCR quantitative en temps réel), dans laquelle les considérations conceptuelles clés pour les expériences de PCR en temps réel sont décrites comme suit :

  1. 2.1 La sensibilité analytique fait référence au nombre minimum de copies dans un échantillon qui peut être mesuré avec précision par un test, tandis que la sensibilité clinique est le pourcentage de personnes atteintes d’un trouble donné que le test identifie comme étant positives pour ce trouble…
  2. 2.2 La spécificité analytique fait référence au test qPCR qui détecte la séquence cible appropriée plutôt que d’autres cibles non spécifiques également présentes dans un échantillon. La spécificité diagnostique est le pourcentage de personnes ne souffrant pas d’une affection donnée et que le test identifie comme étant négatives pour cette affection.

Si Bustin était resté fidèle à la science, il aurait dû mettre un terme à la pandémie de PCR en janvier 2020, lorsque les protocoles PCR de Corman-Drosten ont été publiés140. Le mot « spécificité » n’apparaît qu’une seule fois dans l’article de Corman-Drosten et il n’avait rien à voir avec le diagnostic d’un état clinique, et encore moins d’une infection virale. Il n’y a pas eu de « détection du 2019-nCoV » comme le prétend l’article, tout ce qui a été établi est la spécificité analytique de leur test pour détecter des séquences cibles sélectionnées. Il s’agissait d’une expérience de réaction moléculaire in vitro avec une technologie d’acide nucléique synthétique qui ne nécessite pas l’existence d’un virus. En outre, il n’a pas été établi comment le résultat de la PCR était lié à un état clinique, c’est-à-dire qu’il n’a jamais été démontré que les kits PCR COVID-19 permettaient de diagnostiquer quoi que ce soit chez un sujet humain. Une maladie inventée basée sur un virus fictif.

(([36] NdT : Contrairement à ce qu’on peut lire si souvent dans les articles du mouvement de « résistance » au narratif Covid, les tests ne « crachent » pas des faux positifs (ce qui signifierait d’ailleurs qu’ils « crachent » aussi des vrais positifs), les tests n’ont ABSOLUMENT aucune signification. Quand on pense à toutes les conséquences (les décès, les pertes de liberté et d’emplois…) suite à la mise en œuvre de ces tests on est saisi d’effroi !))

Outre la question de la spécificité, le fait, qui n’a pas été très médiatisé, que l’expert mondial en PCR ait déclaré à David Crowe en avril 2020 que (même selon les propres termes de la virologie) qualifier un résultat de PCR de coronavirus de « positif » après 36-37 cycles, comme c’était le cas partout dans le Monde, était « un non-sens absolu. Cela n’a aucun sens » 141. Cependant, la fraude de la PCR est apparue encore plus clairement lorsque Eric Coppolino (([37] NdT : un autre membre du groupe « Rethinking AIDS », animateur d’une radio libre aux États-Unis)) a interviewé Bustin sur Planet Waves FM en février 2021142. L’intention de Coppolino était d’obtenir plus de détails sur l’étape problématique de la transcription inverse (RT) du processus de RT-PCR, mais il a été stupéfait, après l’interview, de réaliser que ce qu’il pensait être un test parfois inexact était complètement frauduleux143. Bustin a semblé mal à l’aise lorsque Coppolino a fait remarquer que tous les résultats positifs de la PCR étaient qualifiés de « cas d’infection confirmé », même s’ils ne présentaient aucun symptôme144. Au lieu d’admettre que la spécificité diagnostique des kits PCR n’avait jamais été établie, Bustin a proposé des explications périphériques telles que l’affirmation que « les unités de soins intensifs sont débordées en ce moment ».

Il a ensuite défendu les protocoles PCR utilisés en affirmant que « cette pneumonie était causée par ce virus. Ce virus a commencé à apparaître et de plus en plus de personnes présentaient les mêmes symptômes. Et ces amorces détectaient ce virus ». Lorsque Coppolino l’a interrogé sur l’absence d’isolement du virus pour pouvoir faire ces affirmations, Bustin a répondu que « la manière dont la séquence a été établie en prélevant des échantillons sur le patient original, en cultivant quelque chose et en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SARS. Malheureusement, M. Bustin a confirmé le mauvais usage que fait la virologie du mot « isolement » et la terminologie floue utilisée pour détecter un « virus ». La question cruciale est que la qualité de la conception des amorces importe peu — si la provenance ou l’importance des séquences génétiques amplifiées par la PCR sont inconnues, on ne peut tirer rien d’autre comme conclusion que leur simple présence. Bustin peut rassurer le monde sur les performances analytiques potentiellement très élevées d’un protocole PCR, mais c’est au niveau de l’établissement de ses performances diagnostiques que le bât blesse. Même si l’existence physique du SARS-CoV-2 avait été démontrée et que la PCR était acceptée comme un outil de diagnostic valable, Bustin devrait admettre qu’aucun des tests PCR n’a été développé comme le précisent ses lignes directrices MIQE (voir ci-dessus) et qu’aucun ne peut être considéré comme cliniquement validé.

Il est surprenant qu’au cours de cette même interview, il ait nié toute connaissance préalable de la fausse épidémie de coqueluche à Dartmouth-Hitchcock, dans le New Hampshire, en 2006, lorsque le kit PCR mis en place a donné lieu à un taux de faux positifs de 100 % 145. Bustin a déclaré en avoir pris connaissance juste quelques jours avant l’entretien, quelques 15 ans après les faits, en lisant sur le site Web de Coppolino un article qui lui avait été fourni pour les besoins de l’entretien. Pourtant, l’incident était bien connu et avait fait l’objet d’une couverture dans le New York Times, avec des commentaires de nombreux professionnels de la santé publique et des professionnels des tests de diagnostic146. En 2006, Bustin était professeur de biologie moléculaire et il n’est pas étonnant que le spécialiste de la PCR n’ait reçu aucune demande de renseignements de la part de collègues médicaux en 2006, lorsque l’incident s’est produit. En effet, à l’époque, il y avait très peu d’experts en PCR à contacter et c’était une première indication de la manière dont la PCR pouvait être utilisée de manière catastrophique comme outil de diagnostic clinique. Comme si cela ne suffisait pas, il s’agissait d’un incident où le microbe prétendument responsable (la bactérie Bordetella pertussis) peut être physiquement isolé et ses séquences génétiques confirmées pour que la PCR puisse être calibrée à son encontre. En revanche, les protocoles PCR SARS-CoV-2 sont simplement calibrés sur des fragments génétiques d’origine inconnue. Lorsque Coppolino a insisté sur ce point, Bustin a répondu : « Eh bien, vous savez, il s’agit d’une méthode standard, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, si ce n’est que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de procéder » 147.

Au moment où Bustin a été interrogé par Coppolino, il avait déjà coécrit et soumis un article intitulé « COVID-19 and Diagnostic Testing for SARS-CoV-2 by RT-qPCR-Facts and Fallacies » (Covid-19 et les tests de diagnostic pour le SARS-CoV-2 par RT-qPCR et erreurs) qui a été publié plus tard en février 2021148. Dans cet article, Bustin et ses collègues déclarent que “le test (de Corman-Drosten) a fonctionné et était spécifique, et a démontré la sagacité et l’altruisme stupéfiants des scientifiques impliqués, ainsi que la vitesse remarquable avec laquelle les tests basés sur la PCR peuvent être développés et mis en pratique”. Si l’on ne tient pas compte de l’éloge flatteur, la question évidente demeure, spécifique à propos de quoi ? Bustin et ses collègues veulent-ils dire que les tests PCR sont spécifiques (a) de courtes séquences d’ARN ciblées, (b) d’un coronavirus connu sous le nom de SARS-CoV-2, ou (c) de la maladie inventée par l’OMS et connue sous le nom de COVID-19 ? L’article de Corman-Drosten n’a fait qu’établir la spécificité analytique pour l’amplification de certaines séquences d’ARN sélectionnées, il n’avait rien à voir avec l’établissement d’un virus ou le diagnostic d’une maladie. Le concepteur des lignes directrices MIQE sait certainement que, sur les trois, seule la première a été scientifiquement établie et que rien n’était, ou n’a été, validé pour une application clinique. Et pourtant, son article poursuit avec un non sequitur ridicule que : « Le test PCR est parfaitement adapté aux tests à grande échelle, comme le démontrent chaque jour les millions de tests effectués à ce jour ». Bustin aurait-il oublié que les « tests » ne sont qu’un outil d’amplification moléculaire ? Comme l’inventeur de la PCR, le Dr Kary Mullis, l’a mis en garde en 1993 : « Je ne pense pas que l’on puisse utiliser la PCR à mauvais escient, non, les résultats, l’interprétation qu’on en fait (sont utilisés à mauvais escient) » 149.

La PCR amplifie simplement des séquences génétiques sélectionnées et la réaction moléculaire elle-même n’a pas la capacité de déterminer leur provenance ou la pertinence de leur présence. Si un protocole PCR particulier est exécuté correctement et que sa sensibilité et sa spécificité analytiques sont connues à 100 %, on peut dire qu’un résultat positif n’a rien fait d’autre que de confirmer la présence d’une séquence cible. Toutefois, si l’on prétend que la PCR est un outil de diagnostic, il devrait être évident que des études de validation clinique devraient être réalisées avant que le test ne soit introduit dans la pratique clinique. L’article de Corman-Drosten a sauté cette étape et l’OMS a accepté la fraude en plaçant des versions du protocole PCR sur son site Web le 13 puis le 17 janvier 2020, avant même la publication de l’article150. Après cela, la PCR a simplement été utilisée par le biais d’un raisonnement circulaire pour prétendre diagnostiquer des « infections » chez les personnes.

La phase suivante, aux premiers stades de la prétendue pandémie, a impliqué des « experts » tels que le professeur associé Sanjaya Senanayake, spécialiste australien des maladies infectieuses, qui a diffusé auprès du public des affirmations infondées sur l’exactitude des tests. Dans une interview accordée le 26 avril 2020, il a déclaré qu’en ce qui concerne le test COVID-19, « il n’y a pas de véritable étalon-or auquel le comparer… pour le COVID-19, nous n’avons pas de test étalon, donc les tests actuels que nous utilisons, les tests PCR… sont notre étalon-or, mais en essayant de contourner ce problème, nous pensons qu’ils détectent probablement environ 70 % des cas » 151. Senanayake a laissé entendre que si vous n’avez pas d’étalon-or, vous pouvez simplement supposer qu’un nouveau test PCR peut se valider de lui-même. Cependant, cela va à l’encontre de toutes les connaissances en matière de validation des tests. Cette entorse aux principes établis de la logique de validation ne permet pas de savoir comment il a calculé que le test fonctionnait « environ 70 % » du temps, sans parler de la gymnastique mentale qu’implique un « étalon-or » qui ne se détecte lui-même que 70 % du temps. On pourrait admettre, comme il l’a fait par inadvertance, qu’« il n’y a pas de véritable étalon-or » dans les tests COVID-19, car le véritable étalon-or est quelque chose qui n’existe pas, à savoir l’isolement physique et la preuve de la présence d’une particule virale.

L’OMS ne s’est pas préoccupée de l’absence d’étalon-or ou de preuve de l’existence d’un virus et a cimenté l’escroquerie de la PCR en déclarant qu’un cas de COVID-19 était « une personne dont le laboratoire (en 2020, typiquement la PCR) confirme l’infection par le COVID-19, indépendamment des signes et symptômes cliniques » 152. Dans cette seule phrase, elle proclame que les tests PCR non validés cliniquement ont une spécificité diagnostique de 100 % et déforme de façon absurde le sens du mot « infection » pour y inclure des personnes qui n’ont aucun signe ou symptôme. L’étymologie du mot « infection » provient du latin inficere, qui signifie « souiller ». Le Mosby’s Medical Dictionary 2009 définit l’infection comme « (1) l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes qui se reproduisent et se multiplient, provoquant une maladie par des lésions cellulaires locales, la sécrétion d’une toxine ou une réaction antigène-anticorps chez l’hôte, et (2) une maladie causée par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes »153. Bien que l’auteur ne se prononce pas sur le caractère pathogène ou non des microbes, le sens établi du terme « infection » se rapporte à un état pathologique — sinon, un terme tel que « commensalisme » 154 devrait être utilisé. L’OMS a inventé une nouvelle définition absurde de la « pandémie » 155 et subvertit à présent la définition de l’infection — qui la déconnecte du concept de maladie par la seule utilisation des résultats de la PCR. Kary Mullis n’aurait pas pu dire plus simplement que la PCR n’est « qu’un processus utilisé pour faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose » 156 Malheureusement, à plusieurs reprises au cours de l’ère COVID-19, des personnalités influentes telles que Bustin et Senanayake ont soutenu l’utilisation par les virologues d’un outil de fabrication moléculaire pour faire toutes sortes d’affirmations infondées, y compris la capacité non ratifiée de diagnostiquer une nouvelle infection et la détection d’un prétendu virus.

Il convient de noter qu’une interprétation erronée et biaisée de la PCR semble commencer avant même que le processus d’amplification n’ait commencé. Par exemple, le « High Pure Viral RNA Kit » (Kit d’acide nucléique viral de haute pureté) de Roche, utilisé pour préparer les échantillons pour la PCR, indique qu’il « isole rapidement l’ARN viral du plasma, du sérum, des fluides corporels et des surnageants de culture cellulaire des mammifères » 157. Les informations fournies sur le produit n’indiquent pas clairement comment le kit sépare l’ARN viral présumé des autres ARN présents dans l’échantillon158. Le processus comprend une étape additive de liaison de l’« ARN porteur poly (A) », mais les séquences polyadénylées ne sont pas spécifiques159, et les étapes suivantes de tamponnage et de centrifugation décrites ne permettraient pas non plus de différencier la provenance de l’ARN. Malgré cela, la section « protocoles » proclame que le produit final est un « ARN viral purifié » 160, de sorte que toute personne croyant cette affirmation infondée pense que son résultat RT-PCR positif ultérieur est la preuve de l’existence d’un virus. Il en va de même pour le « High Pure Viral Nucleic Acid Kit » de Roche, utilisé par des équipes telles que celles de Na Zhu et de Peng Zhou, qui affirment avoir découvert le SARS-CoV-2 dans des échantillons de patients et des expériences de culture cellulaire. Une fois de plus, Roche affirme de manière fallacieuse que les étapes décrites dans la section « protocoles » permettraient d’obtenir des « acides nucléiques viraux purifiés » 161.

Incidemment, Bustin a été interrogé spécifiquement sur les affirmations de Roche lorsque la question suivante lui a été posée : « Je suppose que le kit doit être capable de distinguer les AN (acides nucléiques) viraux de tous les autres. Les acides nucléiques viraux ont-ils une propriété chimique unique ? » Il a répondu : « Le processus d’extraction n’est pas spécifique à un acide nucléique particulier, mais il peut être spécifique à certains types d’acides nucléiques. Certains kits peuvent extraire l’ADN ou l’ARN de manière différentielle (sic), mais cela signifie que n’importe quel ADN et ARN sera présent dans l’échantillon extrait (je souligne)… Une petite quantité du matériel extrait est ensuite soumise à la réaction PCR. C’est ce qui assure la spécificité. »162 En d’autres termes, Bustin n’a pas tenté d’expliquer les allégations frauduleuses de Roche, mais a brouillé les pistes en remplaçant la spécificité de la provenance des acides nucléiques par la spécificité des séquences sélectionnées pour la PCR. Il s’agit là d’un tour de passe-passe linguistique qui a permis l’apparition d’un « virus » à partir de rien.

3e Partie

Petit Chien de Montagne — Naïf ou éclairant au gaz ?

Je ne l’aurais jamais vu si je n’y avais pas cru

Ashleigh Brilliant163

Nous connaissons l’allégation selon laquelle il serait impossible que la majorité de la communauté médicale et scientifique soit sciemment complice des méthodologies non scientifiques de la virologie dans la fraude COVID-19. L’auteur n’avance pas une telle hypothèse, bien que l’on se demande si et pendant combien de temps l’ignorance peut être utilisée comme moyen de défense ? En effet, c’est la raison pour laquelle il a été suggéré plus tôt dans cet essai (dans « Qu’est-ce que la virologie ? ») que « l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur ». Les virologues fraîchement émoulus sont formés pour suivre les méthodologies de leurs aînés et il est peu probable qu’ils aillent loin dans la carrière qu’ils ont choisie, et bien sûr dans leur financement, s’ils contestent la base du travail de leur laboratoire.

Le 29 janvier 2020, un scientifique chinois en virologie connu sous le nom de « Winjor Little Mountain Dog » (Winjor Petit Chien de Montagne) a posté un texte intitulé « Documentation de la première expérience de découverte d’un nouveau coronavirus » 164. Ce texte décrit l’histoire passionnée d’un initié déterminé à faire éclater la vérité sur ce qui s’est passé à Wuhan au cours du mois précédent et qui a réellement « découvert » WH-Human 1 alias « WH-01/2019 », plus tard rebaptisé « SARS-CoV-2 ». Pour ceux d’entre nous qui sont conscients de la tromperie qui a eu lieu dans le cadre de la charade COVID-19, le texte est certainement suspect de faire partie d’une opération d’éclairage au gaz. Par ailleurs, la relative facilité avec laquelle on peut déduire de quel laboratoire provient l’histoire fait apparaître l’auteur comme extrêmement naïf pour un habitant de l’État communiste chinois. Cependant, le document sera présenté tel qu’il est décrit, c’est-à-dire avec le narrateur croyant découvrir des virus dans les passages sélectionnés suivants.

Je viens de me mettre au travail le 26 décembre 2019. Comme d’habitude, je vais d’abord parcourir les résultats de l’interprétation automatique des micro-organismes pathogènes mNGS pour ce jour.

Ici, l’auteur a décrit son laboratoire effectuant des NGS métagénomiques sur des échantillons bruts de patients, comme indiqué dans les sections précédentes de cet essai. Il a défini le thème du texte de l’auteur, qui a décrit les « virus » en termes de séquences génétiques pouvant être détectées dans l’environnement et assemblées par un logiciel informatique.

De manière inattendue, il a été constaté qu’un échantillon présentait un agent pathogène sensible — le coronavirus du SARS, avec des dizaines de séquences, et que seul cet échantillon présentait un tel agent pathogène significatif.

Il s’agit là d’un saut incroyable : à partir de diverses séquences détectées dans un spécimen brut, on passe à la description d’un « agent pathogène », apparemment sur la base du fait qu’un programme informatique peut l’établir. Non seulement ça, mais l’ordinateur a trouvé un « coronavirus du SARS », dont on sait qu’il est associé à l’état clinique du « syndrome respiratoire aigu sévère ».

ce pathogène est le plus similaire au coronavirus Bat SARS (([38] NdT : celui de la chauve-souris)), avec une similarité globale d’environ 87 % et une similarité avec le SARS [SARS-CoV-1] d’environ 81 %. Le nombre de séquences dans l’alignement est passé de quelques dizaines à plus de 500. En outre, 5 contigs ont été assemblés, ce qui représente plus de 1 200 pb (([39] NdT : bp signifie base pairs ou paires de bases)). À l’heure actuelle, on peut essentiellement confirmer qu’il s’agit d’un coronavirus… Dans une situation aussi urgente, on n’a pas le temps de faire des recherches dans la littérature et on ne dispose pas de beaucoup de données… Nous avons ensuite analysé des milliers de génomes de coronavirus à la manière d’un tapis et les avons évalués en termes de similarité, de couverture et même de distribution des génomes, pour finalement trouver les deux génomes les plus similaires, bat-SL-CoVZC45 et bat-SL-CoVZXC21.

Et c’est ainsi qu’il est « confirmé » que le virus a existé sur la base de la comparaison de certains nouveaux assemblages in silico avec d’autres assemblages in silico précédemment soumis à des bases de données génétiques. L’auteur poursuit en décrivant l’activité suivante, à savoir l’analyse de l’arbre phylogénétique et la construction d’un chemin évolutif pour le dernier ajout à l’arbre généalogique fictif de la virologie. Il y a une absence totale de quelque appréciation que ce soit du fait qu’un virus doit avoir une existence physique réelle en tant que particule distincte avec des caractéristiques biologiques spécifiques, y compris la capacité d’infecter des hôtes et de provoquer des maladies. L’auteur se contente d’affirmer que « l’analyse a essentiellement confirmé la présence d’un virus dans l’échantillon de ce patient ». Plus loin dans le texte, ils font preuve d’une certaine prudence en ce qui concerne la pathogénicité clinique, mais restent convaincus de son existence en faisant le commentaire suivant : « si la pneumonie a été causée par ce virus, nous ne l’avons pas analysé ni ne pouvions pas l’analyser. La détection du virus ne signifie pas que la pneumonie a été causée par le virus ».

le 30 décembre, j’ai entendu dire qu’un certain nombre de patients présentaient des symptômes similaires… Ce qui m’a vraiment rendu nerveux, c’est qu’un ami et un homme d’affaires ont partagé la séquence pour que nous l’analysions. Je l’ai analysée et il s’agissait bien du même virus ! La première pensée du subconscient est « ce virus est contagieux » !

Il n’est pas certain que l’auteur savait que les « symptômes similaires » affligeant les patients décrits à Wuhan étaient tous des symptômes respiratoires non spécifiques. À ce jour, COVID-19 n’est pas une maladie clinique définie de manière officielle, les cas « confirmés » faisant simplement référence au résultat d’un processus de détection moléculaire165. En outre, nous avons déjà traité du raisonnement circulaire et du processus autoréférentiel consistant à inventer un « génome de virus » par le biais de la méthodologie de la virologie, puis à prétendre que la détection d’assemblages presque identiques dans d’autres endroits confirme que « le même virus » a été trouvé166.

La nervosité est due au fait que ce virus inconnu pourrait être aussi terrifiant que le SARS ; l’excitation est due au fait que nous avons détecté et confirmé cet agent pathogène à un stade précoce grâce à la technologie mNGS et que nous avons mis le patient en quarantaine ; il est peut-être possible de prévenir et de contrôler le virus avant qu’il ne se propage largement, étranglé dans le berceau ! … J’espère également qu’après ce nouvel incident lié au coronavirus, la capacité du pays à gérer des événements majeurs en matière de santé publique a fait de grands progrès… Pour autant que je sache, nous aurions dû être les premiers à découvrir ce virus, car c’est après que nous avons communiqué les résultats que le système de contrôle des maladies a commencé à intervenir.

Il appartient au lecteur de décider si l’auteur croit vraiment qu’il a été le premier à découvrir le SARS-CoV-2 et que les experts en santé publique ont ces capacités, ou si ce texte a été conçu et « divulgué » comme un autre élément de la propagande du COVID-19. Il n’y a jamais eu de virus à propager. La seule chose qui s’est répandue dans le monde, à part la peur, c’est le « génome » fictif de WH-Human 1 et les tests PCR qui ont été calibrés sur ses séquences. La « pandémie » aurait pu être stoppée net par le rejet de ces tests ; au lieu de cela, des « experts » en santé publique ignorants ont adhéré à l’antiscience de la virologie et participent depuis à la fraude COVID-19.

Petit Chien de Montagne aurait voulu que l’on sache que son laboratoire était « le premier à découvrir le virus », après la collecte de son échantillon de Wuhan le 24 décembre 2019 et la soumission ultérieure à la base de données GISAID le 11 janvier 2020 sous l’ID d’accès (([40] NdT : Chaîne de caractères alphanumériques unique utilisée pour identifier sans ambiguïté un enregistrement particulier dans une base de données)) « EPI_ISL_402123 ». Avec la séquence in silico de Fan Wu et coll., EPI_ISL_402123 a été utilisé dans la conception des protocoles PCR par l’équipe de Christian Drosten (voir la figure 8 ci-dessous). Cependant, comme l’a souligné David Rasnick, « ils n’ont jamais touché à un virus ». Cela confère un élément d’ironie à l’hypothèse de la « fuite du laboratoire », un récit qui est apparu dans les médias grand public dès début février 2020. 167 Le « virus » a certainement été inventé dans un laboratoire, mais il s’agissait d’un laboratoire informatique et la seule entité qui a été divulguée intentionnellement était une simulation informatique. Les résultats de la simulation ont été envoyés dans le monde entier sous forme de code numérique sur Internet et les amorces PCR qui en ont résulté, déployées en masse dans des kits, ont créé les « cas » de la fraude COVID-19.

Figure 8. Le dépôt GISAID « EPI_ISL_402123 » de Petit Chien de Montagne. Il est apparu aux côtés du dépôt « WH-Human_1|China|2019-Dec » de Fan Wu et coll. pour le protocole RT-PCR de Corman-Drosten, où il est indiqué que « l’alignement [WH-Human_1|China|2019 — Dec] a été complété par des séquences supplémentaires publiées indépendamment sur GISAID ». Source : « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

L’histoire de Petit Chien de Montagne s’est poursuivie avec un éditorial intitulé « Alors que la pandémie explosait, un chercheur a vu le danger. Les dirigeants chinois ont gardé le silence », paru dans le Washington Post le 22 avril 2022168. On y apprend que Petit Chien de Montagne travaillait dans un laboratoire commercial, « Vision Medicals », à Guangzhou, dans le sud de la Chine, et que « son histoire met en évidence une dissimulation aux conséquences tragiques d’une ampleur historique. Un grave danger a été dissimulé jusqu’à ce qu’il soit trop tard ». L’éditorial présente toutes les allégations virologiques comme valables et déclare ironiquement que « l’épisode sert à souligner une fois de plus pourquoi une enquête sérieuse est nécessaire pour faire toute la lumière sur la façon dont la pandémie a commencé ». Une enquête sérieuse sur ce sujet démontre qu’au fond de cette « pandémie », il n’y a rien d’autre que des absurdités, inventées par les virologues et publiées par des organes tels que le Washington Post.

La diversion « Fuite du laboratoire »

Vous supposez ici que la variole est une chose, une entité. Cette erreur est commise par presque tous les adeptes de la soi-disant « école régulière », et ce sera probablement une nouvelle idée pour vous que de vous dire que ni la variole ni aucune autre maladie n’est une entité, mais un état.

Dr Montague R. Leverson, 1909. 169

Le 19 mai 2022, Jeffrey Sachs, président de la Commission COVID-19 du Lancet, a rédigé avec Neil Harrison un article intitulé « A call for an independent inquiry into the origin of SARS-CoV-2 virus170 ». (Appel à une enquête indépendante sur l’origine du virus du SARS-CoV-2). La publication s’ouvre sur le cadrage suivant de la situation COVID-19 :

Depuis l’identification (sic) du SARS-CoV-2 à Wuhan, en Chine, en janvier 2020, l’origine du virus a fait l’objet d’un débat scientifique intense et de spéculations publiques. Les deux principales hypothèses sont que le virus est apparu à la suite d’une exposition humaine à un animal infecté (« zoonose ») ou qu’il est apparu lors d’un incident lié à la recherche.

Toutefois, l’affirmation selon laquelle il existe « deux hypothèses principales » repose sur l’acceptation du fait que « l’identification du SARS-CoV-2 » signifie que la particule a à la fois une existence physique et les propriétés biologiques spécifiques requises pour répondre à la définition d’un virus. C’est-à-dire un parasite intracellulaire transmissible, capable de se répliquer, qui provoque la prétendue nouvelle maladie « COVID-19 ». Comme cela a été souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité, il n’existe aucune preuve de l’existence de la particule ni de la nouvelle maladie proposée171. De plus, dans cet essai, il y a eu une analyse plus détaillée de l’article de Fan Wu et coll. et de leur fausse affirmation concernant « l’identification » d’un virus à Wuhan au début de l’année 2020. D’autre part, les partisans de la fuite des laboratoires, tels que Sachs et Harrison, commencent leur analyse en acceptant sans réserve les prémisses non établies de la virologie.

Dans leur article, ils citent des aspects tels que « la collecte de CoV de chauve-souris similaires au SARS sur le terrain… (et)… l’analyse et la manipulation de ces virus », se plaignant que « la nature précise des expériences qui ont été menées, y compris la gamme complète de virus collectés sur le terrain et le séquençage et la manipulation ultérieurs de ces virus, reste inconnue ». Ils ne se rendent manifestement pas compte que les « CoV de chauve-souris similaires au SARS » ne sont rien d’autre que des intestins de chauve-souris broyés, prétendument « pathogènes » par l’injection de la bouillie directement dans le cerveau de rats nouveau-nés. La manipulation de ces échantillons peut être un moyen d’obtenir des subventions et d’impressionner les non-initiés, mais elle ne change rien à la réalité biologique. De telles expériences ne permettent pas d’établir que leurs échantillons contiennent des virus ou qu’ils ont des propriétés pathogènes dans le monde naturel. S’ils ne peuvent même pas démontrer l’existence de virus dans leurs tentatives publiques, il n’y a pas lieu de s’inquiéter — ce qui se passe derrière des portes closes n’a pas d’importance puisqu’il n’y a pas de virus au départ.

En ce qui concerne le « génome du SARS-CoV-2 » proposé par les virologues, Sachs et Harrison déclarent qu’ils « ne savent pas si l’insertion du FCS (site de clivage de la furine172) est le résultat d’une évolution naturelle — peut-être par le biais d’un événement de recombinaison chez un mammifère intermédiaire ou un humain — ou si elle est le résultat d’une introduction délibérée du FCS dans un virus de type SARS dans le cadre d’une expérience de laboratoire ». Ils seraient mieux avisés d’examiner comment il a été établi que les séquences ou les protéines qu’ils analysent appartiennent à un virus pathogène. Le débat de ces dernières années sur les subtilités du FCS n’est qu’un microcosme dans le paradigme erroné plus large de la génomique et de la protéomique « virales ».

De même, leur mention de prétendues recherches sur les virus menées à l’Université de Caroline du Nord (UNC) ou de propositions de subventions ayant fait l’objet de « fuites », telles que « DEFUSE », adressées à la Defense Advanced Research Projects Agency des États-Unis (Agence des Projets de Recherche Avancée de Défense) ne constitue pas une preuve de l’existence de virus173. (([41] NdT : le soi-disant financement par la DARPA de programmes de recherches dans un laboratoire de Wuhan n’est pas la preuve de l’existence du virus)). Pour être clair, il n’est pas contesté que des institutions telles que l’UNC expérimentent depuis des décennies des entités telles que les protéines de pointe. Certaines de ces séquences ont été brevetées et utilisées dans le développement d’agents biologiques injectables, récemment imposés à de nombreuses personnes sous la forme de vaccins COVID-19174. Cependant, rien de tout cela n’exige l’existence de particules qualifiées de virus.

Malheureusement, le livre des revendications de la virologie est devenu si alambiqué que la plupart des lecteurs ne se rendent pas compte qu’il est en grande partie composé d’absurdités. Quelques jours après la publication de l’article de Sachs et Harrison, The Intercept a pensé qu’il était également sur une piste d’investigation concernant « la théorie intrigante de l’ingénierie virale » 175. Il a fait état d’une étude de 2016 de l’UNC Chapel Hill176 associé à Ralph Baric déclarant que « les scientifiques ont créé un nouveau virus en utilisant la pointe d’un coronavirus de chauve-souris qui avait été isolé et caractérisé par l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV — pour Wuhan Institute of Virology) ». On peut supposer que l’auteur ne comprend pas à quel point les virologues utilisent le mot « isolé » de manière trompeuse. En outre, la figure 1 de la page 10 met en évidence l’affirmation absurde selon laquelle le WIV aurait « purifié des virions » qui auraient ensuite été utilisés par Baric et coll. pour « créer un nouveau virus ». Rien ne prouve que l’un ou l’autre laboratoire disposait d’autre chose qu’une soupe anormale de culture de cellules rénales de singe.

L’hypothèse de la fuite de laboratoire n’est qu’un autre récit de l’ère COVID-19 qui entretient dans l’imagination du public l’illusion de l’existence matérielle du SARS-CoV-2, ainsi que des virus pathogènes et de la contagion liée aux microbes en général. Au cours des derniers mois, le récit fondé sur la peur s’est poursuivi avec des déclarations d’épidémies de variole du singe, la détection présumée de « virus » de la polio à Londres, et la théorie de la fuite du laboratoire COVID-19 a même reçu le soutien du directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en faveur de la maladie et de la pandémie fantômes qu’il a nommées177. Il semble probable qu’il y aura d’autres histoires de « fuites de laboratoire » à l’avenir si elles continuent à capter l’attention de manière aussi efficace.

Comme l’histoire de Petit Chien de Montagne », l’histoire de la fuite du laboratoire repose sur aucune démonstration scientifique de l’existence d’un virus, mais simplement sur la croyance en l’existence d’un virus, à l’aide de quelques preuves apparentes. Dans le même ordre d’idées, en novembre 2020, l’Institut Lowy, qui se décrit comme un « groupe de réflexion sur la politique internationale » australien, a publié un article contenant l’introduction suivante :

En avril 2020, le Dr Ai Fen, chef du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, a accordé une interview au magazine chinois Renwu. Elle a décrit avec force détails comment, fin décembre 2019, elle avait commencé à recevoir aux urgences de nombreux patients présentant des symptômes grippaux qui résistaient aux traitements habituels. Elle a raconté comment elle a « eu des sueurs froides » lorsque le premier rapport sur le virus de l’un de ces patients est revenu. Elle s’est empressée d’entourer les mots « coronavirus du SARS », a fait une capture d’écran du rapport et l’a envoyé à ses collègues. Très vite, son rapport a fait le tour des cercles médicaux de Wuhan. Mais au lieu de mobiliser l’hôpital et les autorités, le Dr Ai a été réprimandée par le comité disciplinaire de l’hôpital pour « propagation de rumeurs » et « atteinte à la stabilité ». Plutôt que d’avertir le personnel et le public, les autorités de l’hôpital ont demandé au personnel de ne pas porter d’équipement de protection individuelle et ont relayé les instructions du comité local de protection de la santé selon lesquelles, pour éviter de semer la panique, il était interdit aux médecins de partager des messages et des rapports relatifs au virus178.

Pour les crédules, cela peut ressembler à une tentative des autorités de dissimuler le début de la « pandémie virale », mais ceux qui sont familiers avec les absurdités de la virologie peuvent voir clair dans les faussetés — aucun de ces cadres ne nécessite un véritable virus. Entourer d’une mention « coronavirus du SARS » dans un « rapport sur les virus » ne repose sur rien d’autre que sur les simulations dans un bureau de Fan Wu et d’autres équipes.

Un autre médecin, Li Wenliang, salué par la BBC comme un « lanceur d’alerte » 179, aurait également été censuré par les autorités chinoises après avoir partagé le rapport du Dr Ai. Le Dr Li, âgé de 33 ans, serait mort du COVID-19 après avoir « contracté le virus alors qu’il travaillait à l’hôpital central de Wuhan ». La promotion somptueuse de cette « dissimulation » par les médias corporatistes et Wikipédia180 serait comique si elle ne faisait pas partie d’une guerre contre l’Humanité. Toutes ces histoires nous ramènent au même récit de peur impliquant un virus contagieux et « mortel ». Cela permet à cette fraude de se propager et ouvre la voie à d’autres fraudes similaires à l’avenir. L’auteur est stupéfait de constater qu’un si grand nombre de membres de la communauté des « défenseurs de la santé » ne font confiance à aucune des affirmations des médias institutionnels concernant le COVID-19, à l’exception de la déclaration selon laquelle un virus mortel est en liberté, ce qui constitue le plus grand mensonge de tous.

L’affirmation selon laquelle les dépôts de brevets relatifs aux « coronavirus » constituent une preuve de l’existence des virus peut être traitée rapidement. En 2021, le Dr David Martin de M-CAM® International a publié le « Dossier Fauci/COVID-19 » 181 dans le cadre des activités de la société :

surveiller les violations éventuelles du protocole de 1925 concernant la prohibition d’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (protocole de Genève) et de la convention de 1972 sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques ou à toxines et sur leur destruction (BTWC).

Malgré les nombreux brevets portant sur des « méthodes de production de coronavirus recombinants » et les subventions fédérales accordées à des spécialistes du gain de fonction comme le Dr Ralph Baric et son équipe de l’UNC Chapel Hill, aucun de ces documents ne contient de preuve scientifique de l’existence des virus. Le personnel des offices de brevets et ceux qui approuvent les subventions de recherche ne sont pas les arbitres de la plausibilité biologique et ne font que reprendre les affirmations des virologues. Le dossier n’était pas une preuve irréfutable de l’existence d’activités de « gain de fonction » impliquant des virus pathogènes. Peut-être que ceux qui pensaient qu’il l’était n’ont pas tenu compte de l’avertissement de Martin qui dit que « tout au long de ce document, l’utilisation de termes communément acceptés dans la littérature médicale et scientifique n’implique pas l’acceptation ou le rejet du dogme qu’ils représentent ».

Virologie et société close

Je ne suis pas un scientifique, mais c’est le droit et le devoir de chaque citoyen de regarder et de voir ce que les scientifiques ont dit, de l’analyser par lui-même et d’en tirer des conclusions sensées. Nous sommes tous parfaitement capables de le faire, et il n’y a aucune raison particulière pour que la nature scientifique du problème nous oblige à remettre notre liberté entre les mains des scientifiques.

Lord Sumption, 2020. 182

C’est l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA pour United Kingdom Health Security Agency) qui a fourni l’une des réponses les plus étranges jamais vues en ce qui concerne la dissimulation de la véritable nature des contrôles supposés dans leurs prétendues « expériences d’isolement et de séquençage du SRAS-CoV-2 ». Le 27 octobre 2021, en réponse à une demande de liberté d’information concernant l’isolement du virus, ils ont suggéré que l’image représentée dans la figure 9 ci-dessous constituait une « preuve » du virus SARS-CoV-2183. Mon collègue, qui avait fait la demande, n’a pas du tout été dupe d’une image générée par ordinateur qui n’était accompagnée d’aucune information sur la source de l’image ou sur la manière dont elle avait été produite. L’UKHSA a continué à tâtonner sur le plan scientifique, déclarant que les virus « ont besoin d’un substrat cellulaire hôte pour se répliquer. L’isolement d’un virus sans milieu n’est donc pas possible… Ces milieux et tous les produits ajoutés sont tous stériles et ne contiennent pas de matériel génétique supplémentaire » 184. Nous ne pouvons que spéculer sur ce que l’UKHSA pense que les cellules hôtes contiennent, si ce n’est du matériel génétique ! À l’instar des CDC, l’équipe d’intervention a également semblé laisser entendre que l’article de Na Zhu et coll. intitulé « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019 » (Un nouveau coronavirus provenant de patients atteints de pneumonie en Chine, 2019) permettait de confirmer que la particule de virus SARS-CoV-2 imaginée avait une existence physique.

Figure 9: The https//uksa.blog.gov.uk/2021/02/05/what do we know about the new COVID-19 variants/
L’affirmation farfelue de « preuve » du SARS-CoV-2 du 27 octobre 2021.

Mon collègue a fait remarquer à l’UKHSA qu’elle n’avait aucune preuve de l’existence d’un virus et que, de ce fait, elle s’impliquait elle-même en « blessant inutilement des personnes en leur inspirant de la peur, en leur retirant sommairement leurs droits et en les contraignant à suivre un traitement inutile et nuisible, ce qui est moralement répréhensible185 ». Sans se décourager, il a écrit à nouveau à l’UKHSA quelques mois plus tard pour demander la divulgation de la méthodologie complète des expériences de culture cellulaire et de tout contrôle comparatif dans le document de Public Health England, « Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020 » (Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020) 186. La lettre de réponse de l’UKHSA datée du 25 mars 2022 contenait un texte qui représentait soit une conspiration entre l’OMS et des États-nations souverains pour ne pas divulguer les détails de la tromperie de la « culture virale » qui est au cœur de la fraude du COVID-19, soit une profonde ignorance de la part de l’UKHSA en décrivant le SRAS-CoV-2 comme un « virus à haut risque » 187.

Conformément à la section 1 (1) (a) de la loi, l’UKHSA peut confirmer qu’elle détient les informations demandées concernant les questions ci-dessus. Toutefois, les informations demandées ne peuvent être divulguées en vertu de l’article 24 (1) — Exemption pour Sécurité Nationale. La section 24 (1) prévoit que les informations sont exemptées si l’exemption de la section 1 (1) (b) est nécessaire pour sauvegarder la sécurité nationale. Par « nécessaire », on entend que le recours à l’exception est raisonnablement nécessaire…

Les facteurs qui justifient le maintien de l’exemption sont les suivants :

La divulgation de ces informations constituerait une information technique très détaillée, un transfert de savoir-faire, qui irait directement à l’encontre d’une demande explicite de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Santé Publique Angleterre (Public Health England ou PHE, aujourd’hui UKHSA) en 2020 de ne pas divulguer ou diffuser largement les détails de l’amplification de la culture du SARS-CoV-2 ;

La divulgation de ces informations consisterait à détailler la méthodologie exacte utilisée dans l’amplification du virus pour un virus désigné à haut risque, nécessitant un confinement de niveau 3, et pourrait constituer une menace pour la biosécurité nationale et mondiale si elle était communiquée à un membre du public non identifié ou non vérifié ou à des agents mal intentionnés

La divulgation de ces informations permettrait d’acquérir un important savoir-faire qui pourrait, dans certaines circonstances, être considéré comme une menace pour la biosécurité188.

Un réexamen de cette décision a été demandé par mon collègue, mais la décision a été confirmée par l’UKHSA le 3 mai 2022, au motif que la communication des détails de l’expérience de culture cellulaire « a été compensée par la menace que la divulgation fait peser sur la sécurité nationale » 189. On ne voit pas très bien en quoi le fait de garder secrets les détails de leur méthodologie expérimentale est nécessaire aux efforts du Royaume-Uni pour « sauvegarder la sécurité nationale ». Il a été révélé que les virologues n’effectuent pas d’expériences de contrôle valables et que leurs affirmations concernant « l’isolement de virus » n’ont pas été établies dans la littérature scientifique. Les autorités craignent-elles que, si elles admettent cela officiellement, il y aura une révolte lorsque le grand public réalisera les crimes qui ont été commis sur la base d’affirmations provenant d’expériences virologiques frauduleuses ? Leur obstruction officielle à la divulgation de ces informations au public, invoquant la « biosécurité », est paradoxale étant donné que l’existence du prétendu « virus à haut risque » n’a pas été démontrée.

Maggie Throup, sous-secrétaire d’État parlementaire chargée des vaccins et de la santé publique, est peut-être la seule à avoir surpassé les réponses complètement folles de l’UKHSA. Dans un courriel adressé à sa collègue députée Rachael Maskell le 27 juin 2022, Mme Throup a déclaré que,

« L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) n’utilise pas les postulats de Koch dans le COVID-19, car ils sont trop restrictifs et suggèrent une association plutôt qu’une causalité. Koch a également abandonné ses postulats lorsqu’il a découvert un portage asymptomatique. Les critères de Bradford-Hill sont plus couramment utilisés lorsqu’il s’agit d’associer un virus à une maladie. Il convient toutefois de noter que le SARS-CoV-2 répond aux postulats de Koch, comme le démontre l’article suivant, où un modèle animal a été utilisé » 190.

Comme cela a été souligné plus haut dans cette section de l’essai, il est absurde de prétendre que les postulats pourraient être satisfaits alors que l’existence du microbe postulé n’a jamais été établie. En outre, l’article de 2020 auquel Throup fait référence est « The pathogenicity of SARS-CoV-2 in hACE2 transgenic mice » 191 (La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2). Cet article n’a jamais établi qu’il y avait un virus dans ses échantillons, n’avait pas de contrôles valides, ne suivait pas les postulats de Koch et présentait d’autres aspects de la fraude192. Cependant, Throup a continué à promouvoir des absurdités virologiques en prétendant qu’une autre étude193 « démontre l’évolution de la maladie COVID-19, à partir du moment où une personne rencontre pour la première fois le SRAS-CoV-2, tout au long de l’infection jusqu’au moment où le virus est apparemment éliminé ». Une fois de plus, l’article affirmait simplement qu’il y avait un virus dans leurs échantillons et n’avait aucun contrôle valide, sans parler des autres aspects non scientifiques de l’étude qui ont été traités ailleurs, y compris la réfutation complète de l’article par ViroLIEgy alors qu’il s’agissait d’un avant-tirage194 (([42] NdT : tirage avant publication officielle ou grand public)). En d’autres termes, les politiciens tels que Throup répètent les absurdités de la virologie et soumettent ainsi leurs électeurs à une gamme obscène de conséquences inutiles et parfois mortelles.

Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?

L’ambition réductionniste de la biologie moléculaire ne risque-t-elle pas d’être contrariée par le volume des données qu’elle produit, voire par l’intérêt passionnant de leur collecte ?

Sir John Maddox195

Le coût du séquençage a chuté de façon spectaculaire depuis 2001, lorsqu’il s’élevait à plus de 5 000 $ US par mégabase brute (Mb), jusqu’en 2007, lorsqu’il était d’environ 500 $ US par Mb, après quoi il a chuté précipitamment à 0,005 $ US par Mb vers le milieu de l’année 2021196. En outre, l’émergence du séquençage de nouvelle génération (NGS) vers 2005 a entraîné une réduction massive du temps nécessaire au séquençage des génomes. Comme l’indique un article paru en 2017 dans Biology and Medicine,

Le génome humain, par exemple, est constitué de 3 milliards de paires de bases… le séquençage du génome humain à l’aide du séquençage Sanger a pris près de 15 ans, a nécessité la coopération de nombreux laboratoires dans le monde entier et a coûté environ 100 millions de dollars US, alors que le séquençage par des séquenceurs NGS à l’aide du 454 Genome Sequencer FLX a pris deux mois et a coûté environ un centième de ce coût197.

Le même document poursuit en indiquant que « malheureusement, les NGS sont incapables (sic) de lire la séquence d’ADN complète du génome, ils sont limités au séquençage de petits fragments d’ADN et génèrent des millions de lectures. Cette limite reste un point négatif, en particulier pour les projets d’assemblage du génome, car elle nécessite des ressources informatiques importantes. »

Il est souligné qu’en ce qui concerne la virologie, une préoccupation bien plus importante que les « ressources informatiques » est qu’un processus qui peut être utilisé pour le séquençage du matériel génétique de provenance connue (par exemple les cellules humaines, bactériennes et fongiques) s’est transformé en un assemblage algorithmique de fragments génétiques de provenance inconnue. C’est sur cette base que les chasseurs de virus identifient ce qu’ils prétendent être des virus. Les ressources informatiques ne sont plus un problème pour les virologues, car ils extraient des informations de leurs méthodologies totalement anti-scientifiques de « pipeline de laboratoire humide » impliquant des échantillons bruts et introduisent ces lectures non filtrées générées dans leur « pipeline de laboratoire sec » théorique et ses modèles in silico. (([43] NdT : le « laboratoire humide » est le laboratoire habituel utilisé par les biologistes et qui comporte donc des arrivées d’eau, des fioles, etc.. Le « laboratoire sec » c’est tout simplement une salle qui contient des ordinateurs.))

Il semblerait que la combinaison de coûts de séquençage massivement réduits et de délais raccourcis ait accéléré la descente de la virologie vers une antiscience supplémentaire, pour laquelle l’humanité paie un prix très élevé pour des virus inexistants qui sont inventés à volonté et utilisés comme excuses pour des interventions fallacieuses et la réduction en esclavage. Une publication d’octobre 2019 dans Critical Reviews in Microbiology (Revisions critiques en microbiologie) affirme que « le mNGS (NGS métagénomique) donne de bons résultats dans l’identification de pathogènes rares, nouveaux, difficiles à détecter et coinfectés directement à partir d’échantillons cliniques » 198. Cependant, « donne de bons résultats » en ce qui concerne l’identification de nouveaux « pathogènes viraux » n’a pas de sens, car ils sont également tombés dans le tourbillon du raisonnement circulaire de la virologie. La plupart des « nouveaux agents pathogènes » qu’ils ont énumérés dans leur article étaient des virus dérivés de la technique moderne « indépendante de la culture » prétendument avantageuse de la mNGS. Cependant, une fois de plus, si personne ne peut cultiver ou isoler physiquement de prétendus virus, comment peut-on prétendre que les diverses séquences génétiques présentes dans les échantillons environnementaux proviennent de ces virus ? Comme cela a été souligné, la déclaration de Fan Wu et coll. d’un « nouveau coronavirus » à Wuhan était entièrement basée sur de telles séquences génétiques. La tentative de la virologie de faire passer cette méthodologie pour une preuve de l’existence de particules virales a introduit une hypothèse non réfutable qui n’est pas conforme à la méthode scientifique.

Figure 10. Le système MiniSeq d’Illumina — comment l’équipe de Fan Wu et d’autres chercheurs trouvent des « virus » in silico au 21e siècle grâce à des algorithmes informatiques. Ce processus se déroule dans le cadre d’un laboratoire sec, sans qu’il soit nécessaire de démontrer l’existence d’une particule infectieuse à l’origine d’une maladie.

La spécialisation (et l’automatisation croissante) du processus génomique conduit à une situation où peu de personnes peuvent apprécier le tableau d’ensemble, depuis l’évaluation clinique d’un patient jusqu’aux séquences de nucléotides générées sur un écran d’ordinateur. Les virologues invalident le processus du « génome du virus » dès la première étape en n’établissant jamais qu’ils disposent d’une particule répondant à la définition d’un virus. Ils ne démontrent certainement jamais que les séquences qu’ils prétendent être « virales » proviennent de l’intérieur d’une telle particule imaginaire. Au lieu de cela, ils prétendent que de telles déclarations peuvent être faites par consensus, que les séquences soient qualifiées de « non humaines » ou de « nouvelles » et qu’elles correspondent à des séquences « virales connues » qui ont été précédemment déposées dans les banques de données génétiques. Cependant, la Nature n’obéit pas aux histoires créées par l’homme.

Le processus métagénomique permet l’invention de novo de telles séquences virales et a permis au manège de la virologie de continuer à tourner au 21e siècle. Cependant, en raison de l’incapacité de la virologie à respecter ses propres postulats au cours du siècle dernier, il est presque certain que son avenir sera entièrement construit autour de cette mauvaise utilisation, ou du moins de cette mauvaise application, de la métagénomique. On peut espérer que l’incapacité récente de plusieurs organisations à prouver qu’elles effectuent des expériences de contrôle valables indique que les pandémies virales sont à bout de souffle sur le plan scientifique. Elles ne pourront se propager qu’aussi longtemps que cette dernière fraude sera cachée au public. On peut s’attendre à ce que, dans le dernier souffle de la virologie, la métagénomique continue d’être vendue de manière trompeuse comme un « progrès technologique » et prétendant, de manière commode, comme ayant rendu obsolètes les preuves scientifiques appropriées.

Comme nous l’avons souligné, les folies de ces « avancées technologiques » peuvent généralement être mises en évidence en posant une simple question pour vérifier si elles respectent la méthode scientifique. Par exemple, en 2020, une équipe canadienne a affirmé qu’elle comparait diverses techniques pour « le séquençage du génome entier du SRAS-CoV-2 » à partir d’écouvillons nasaux prélevés sur deux personnes prétendument atteintes du COVID-19199. L’un des auteurs était le Dr Andrew McArthur, professeur agrégé de biochimie et de sciences biomédicales à l’université McMaster, au Canada. Il lui a été demandé s’ils avaient « (essayé) d’extraire l’ARN de témoins sains (personnes saines ou échantillons PCR négatifs) ou de surnageants non infectés, mais exempts de virus », pour voir s’ils pouvaient également assembler un « génome SARS-CoV-2 » grâce à leur méthodologie ?

McArthur a répondu que « nous n’avions pas d’écouvillons de témoins sains, mais l’étude comprenait des contrôles négatifs pour les applications/bibliothèques, c’est-à-dire qu’aucun échantillon d’ARN n’était inclus » 200. En effet, il n’y avait qu’une seule mention d’un « contrôle » dans l’article où il était dit : « une bibliothèque de contrôle négatif sans extrait d’ARN du SARS-CoV-2 a été incluse en utilisant l’amplification de l’ARTIC ». Une fois de plus, l’absence d’un contrôle valable, à savoir un échantillon d’origine humaine dépourvu du prétendu « virus », place cet article dans les vastes archives des absurdités métagénomiques de la virologie. Ironiquement, leur article affirme également que « COVID-19 est causé par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2), un nouveau coronavirus apparu en décembre 2019 », en citant l’article de Peng Zhou et coll. dont la fraude a été exposée plus haut dans cet essai.

Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre ?

L’auteur a observé et a été en contact avec un certain nombre de personnes du mouvement « Health Freedom » (([44] NdT : mouvement pour la Liberté de la Santé, coalition libertaire qui s’oppose à la réglementation des pratiques de santé et plaide pour un accès accru aux soins de santé « non traditionnels »)) qui soutiennent qu’il est inutile de discuter de la question de savoir si l’existence du SRAS-CoV-2 ou de tout autre virus pathogène a été démontrée. Parmi les arguments avancés, on peut citer le fait que cela détourne l’attention des crimes commis contre l’Humanité, qu’il s’agit d’une erreur stratégique, car cela crée davantage de divisions, et que si l’hypothèse virale (ou la « théorie » des germes au sens large) est contestée, une théorie alternative doit être présentée. Il n’est pas nécessaire de dresser une liste exhaustive des personnes qui avancent de telles affirmations, mais le Dr Roger Watson, universitaire britannique, a déclaré en mars 2022 : « Il est difficile de comprendre comment Sam Bailey parvient à ses opinions et il n’est pas nécessaire de nier l’existence du virus pour critiquer vivement la façon dont la pandémie a été gérée » 201. La critique de Watson illustre ce que l’on espère avoir démontré comme étant une opinion mal informée qui repose sur la répétition des affirmations de la virologie. Notre point de vue ne devrait pas être difficile à comprendre pour ceux qui ont mené des enquêtes approfondies sur l’histoire, les méthodologies anti-scientifiques et les déclarations des virologues, y compris la déclaration d’un « nouveau coronavirus » en 2020, et qui se sont efforcés de communiquer cette fraude au public dans un langage clair.

Dans certains cas, ces critiques affirment que tout ce qui concerne la pandémie est une fraude, à l’exception de l’affirmation des virologues (et de l’OMS) selon laquelle le SARS-CoV-2 a une existence physique en tant que particule pathogène. Ils ne voient pas que la base même de la fraude est également une fraude. La difficulté pour certains, même ceux qui font partie du mouvement pour la liberté, pourrait être que la répudiation de l’existence du virus se ferait au prix de la remise en question d’une grande partie du travail de toute une vie. Cependant, au cours d’une enquête, il ne faut pas s’arrêter pour des raisons de commodité ou parce que l’état actuel des connaissances ne permet pas d’aller plus loin. Au contraire, c’est une grave erreur de laisser les « faits » fondamentaux être dictés par l’establishment de la virologie. Le cœur de la fraude du COVID-19 repose sur les affirmations de la virologie. Ce n’est pas une erreur stratégique que d’orienter notre énergie vers la mise en évidence des faiblesses de la virologie, sinon le fait de mettre en échec les réponses au COVID-19 tout en laissant intactes les absurdités de la virologie ouvre la porte à toutes sortes de « pandémies virales » à l’avenir. La compréhension de l’ensemble de la fraude élimine la peur infondée de la contagion et permet d’emprunter une voie plus solide vers une liberté durable.

Post-scriptum

Quelle que soit la longueur d’un essai sur ce sujet, il y aura toujours plus de questions sous la forme de « mais qu’en est-il de… ? ». Le désir d’adapter les phénomènes observés au modèle viral est fortement programmé à de nombreux niveaux. Cet essai n’avait pas pour but d’expliquer les observations périphériques ou la cause de diverses maladies dans des organismes tels que l’homme. Comme cela a été détaillé, il suffit de démontrer que l’hypothèse virale s’est réfutée d’elle-même. Les virologues n’ont fourni aucune preuve directe de l’existence de virus pathogènes et ont eu recours à des observations indirectes qui ne sont pas valables en raison de la nature incontrôlée des expériences (([45] NdT : Sans faire les expériences de contrôle)). De plus, en adhérant à la méthode scientifique, nous ne sommes pas obligés de fournir une autre explication à ces phénomènes — lorsqu’une hypothèse a été réfutée, ne serait-ce qu’une seule fois, c’en est fini d’elle. Tragiquement, les explications à de nombreuses questions du type « mais qu’en est-il de… ? » ont déjà trouvé une réponse ailleurs, mais la séduction du « virus » et le poids des intérêts qui l’entourent ont créé une barrière de connaissances artificielle pour de nombreuses personnes. Dans cette optique, je me suis efforcé de servir le but le plus élevé que je connaisse et j’espère que mes contributions aideront l’Humanité à se débarrasser une fois pour toutes des chaînes virales imaginaires.

Le progrès consiste non pas à accroître la vérité, mais à la libérer de ses enveloppes. La vérité s’obtient comme l’or, non pas en la faisant grossir, mais en la débarrassant de tout ce qui n’est pas de l’or.

Léon Tolstoï202

Au sujet de l’auteur

Dr Mark Bailey MB ChB, PGDipMSM, MHealSc (Otago), est un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Traduction Jean Bitterlin 24 décembre 2023

INDEX




Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

[via santeglobale.world]

Rien de biologique dans les vaxxins, que des nanotechnologies métalliques. L’être humain est « hacké », implanté, hybridé avec des matériaux synthétiques… on fabrique des transhumains ! La pandémie de graphène est en route.

À 1 h 15 Dominique GUILLET (Xochipelli) apporte sa vision du danger de la graphénisation de l’humanité. Depuis un siècle, les vaxxins sont des armes léthales. Il montre que Raoult, Fouché, Henrion-Caude et d’autres n’ont rien compris au vrai problème : le graphène et autres particules métalliques qui sont partout et ont pour but de génocider l’humanité (avec la 5G).

Delgado (Quinta Columna) : il y a des « prédateurs invisibles », des « entités énergétiques » (les Archontes) qui se nourrissent des émotions négatives et de la souffrance humaine et agissent à travers la franc-maçonnerie et les gouvernements. Il s’agit d’une « lutte pour les âmes ». Les prédateurs passent inaperçus en contrôlant les institutions et en traitant de « non scientifiques » ceux qui leur résistent.

Ceux qui occultent le graphène sont les jouets des forces sataniques… Graphène et 5G sont des outils pour neuromoduler ou tuer les êtres humains.

D’autres civilisations avant la nôtre ont été implantées, domestiquées, manipulées, parasitées…

Tout le monde a été trompé, sur toute la planète, avec la supercherie vaxxinale.

Combien faut-il de millions de gens conscients pour lever enfin le « Secret Défense » qui règne encore ?

Chacun, ayant reçu ces informations capitales, doit se repositionner et sortir de cette « usine du mensonge ». Aucune entité ne peut vous dominer si vous vous reliez à votre souveraineté pour dire NON à leur domination.

Note de TAL : cette vidéo est IMPORTANTE, faites circuler !! Le temps est venu de montrer la vérité du combat titanesque entre les forces de l’ombre et les forces de la lumière, qui ne peuvent que gagner lorsque les consciences s’éveillent !

[NDLR En complément,
voir les dossier 5G et ondes pulsées
et Vaccins et virus]

Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet




[Source : xochipelli.fr]




Les nouvelles PRÉDICTIONS de Jacques ATTALI !

[Source : Juste Milieu.]




La Ligue de renseignement du cyberespace (CTIL) contre la liberté d’expression

[Source : adnm.live]



Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour « influencer » l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendès France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.

On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.

Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.

Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.


Avant de commencer, il est important de se rappeler certaines choses à propos de la relation entre la liberté d’expression et l’industrie de la censure en France, car ce qui suit dans cet article/vidéo, est en lien direct avec la corruption des institutions, et le concept polarisant de la pensée unique, que certains défendent à tout prix. Voici 2 articles à lire absolument pour bien comprendre pourquoi, nous sommes là devant le plus grand scandale lié à la liberté d’expression depuis carrément l’Allemagne nazie (et je pèse bien mes mots).

Blanchiment d’informations, l’entreprise des factcheckeurs exposée

Les factcheckeurs ne sont rien d’autre que des « tueurs » (d’image publique) à gages, payés par des commanditaires malsains. Nous faisons un récapitulatif et nous vous demandons de partager au maximum.

Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)

Connaissez-vous les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre.

La semaine dernière, je vous ai proposé de regarder ce film (que j’insiste, qu’il faut le regarder, et surtout, le conseiller à tous ceux qui croient encore que les gouvernements sont au service du peuple) :

Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l’aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre.

Source : Allociné

Ce film devient pertinent à nouveau, car il semblerait que les États-Unis et l’Angleterre ont remis une nouvelle couche à la manipulation des masses pour des raisons criminelles. Accrochez-vous, ça va secouer pas mal. Voici l’origine des Twitter Files, Facebook Files, YouTube Files, et tous les « files » qui parlent de censure forcée par les gouvernements, à travers un plan machiavélique. Les documents qui exposent cette vérité absurde, mais vérité quand même, sont des documents officiels et authentiques, rendus publics par un lanceur d’alerte.

THE CTIL FILES

Thread original datant du 28/11/23 par Michael Shellenberger

LES DOSSIERS CTIL (« CTIL-FILES ») # 1

NDLR : Cyber Threat Intelligence : Service des Renseignements sur les Cyber-menaces

Un lanceur d’alerte vient de présenter une nouvelle série de documents explosifs, dont l’ampleur et l’importance ne sont pas encore pleinement compréhensibles. L’article ci-dessous que j’ai adapté pour la France parle de tous les contournements intellectuels et légaux qui ont été utilisés, pour mettre en place une machine industrielle de censure agressive, qui a été utilisée par l’ensemble de l’occident. On en parle parce que ce scandale implique aussi la France, qui semble avoir utilisé ce protocole complexe de censure (médias, factcheckeurs, secteur privé…) au bénéfice d’Emmanuel Macron aussi. Le nom du président français est mentionné dans le dossier, en tant qu’un des plus gros utilisateurs de « la machine » industrielle de censure.

Il est important de noter que les éléments ci-dessous ont été apportés au Congrès américain, lors d’une audience qui a eu lieu le jeudi 30 novembre 2023, donc le sujet est à prendre très au sérieux :

WASHINGTON, D.C. — La sous-commission spéciale qui enquête sur l’utilisation du gouvernement fédéral comme arme politique tiendra une audition le jeudi 30 novembre 2023, à 10 heures (heure de l’Est). L’audition, qui aura lieu un an après le premier rapport Twitter Files, examinera l’implication du gouvernement fédéral dans la censure des médias sociaux, ainsi que les récentes attaques contre le journalisme indépendant et la liberté d’expression.
TÉMOINS :

Matt Taibbi, journaliste et auteur des Twitter Files — Michael Shellenberger, journaliste, auteur et écologiste — Rupa Subramanya, journaliste basé au Canada pour The Free Press et d’autres médias.

Dossiers CTIL #1 : Les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents

Un lanceur d’alerte met à la disposition du public et du racket une foule de nouveaux documents montrant la naissance du complexe industriel de la censure en réaction au Brexit et à l’élection de Trump en 2016

L’entrepreneur militaire américain Pablo Breuer (à gauche), la chercheuse en défense britannique Sara-Jayne « SJ » Terp (au centre), et Chris Krebs ℹ️, ancien directeur de l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures du ministère américain de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHSCISA).

CTIL Files #1 : De nouveaux documents montrent que les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018

Par @shellenberger @galexybrane @mtaibbi :

Un lanceur d’alerte s’est présenté avec une nouvelle série de documents explosifs, rivalisant ou dépassant les Twitter Files 🔗 et les Facebook Files 🔗 en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL 🔗) (Ligue du renseignement sur les cybermenaces), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS ℹ️).

Les documents de la CTI League offrent les réponses du chaînon manquant aux questions clés qui n’ont pas été abordées dans les Twitter Files et les Facebook Files. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur de la « lutte contre la désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.

Code of Conduct | CTI League

This Code of Conduct explains expectations for anyone participating in these discussion groups and activities, and defines the consequences of unacceptable…

Les documents du lanceur d’alerte décrivent tout, de la genèse des programmes modernes de censure numérique au rôle de l’armée et des agences de renseignement, en passant par les partenariats avec les organisations de la société civile et les médias commerciaux, et l’utilisation de multi-compte (sock puppet ℹ️) et d’autres techniques offensives.

Un document explique que si de telles activités à l’étranger sont « généralement » menées par « la CIA ℹ️, la NSA ℹ️ et le ministère de la Défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés par des partenaires privés parce que le gouvernement n’en a pas « l’autorité légale ».

Le lanceur d’alerte allègue qu’un dirigeant de CTI League 🔗, un « ancien » analyste du renseignement britannique, était « dans la pièce » à la Maison-Blanche d’Obama en 2017 lorsqu’elle a reçu les instructions pour créer un projet de contre-désinformation afin d’empêcher une « répétition de 2016. »

Au cours de l’année écoulée, les enquêteurs du Congrès et d’autres ont documenté la montée du complexe industriel de la censure, un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et organisations non gouvernementales qui travaillent ensemble pour inciter les plateformes de réseaux sociaux à la censure et diffuser de la propagande sur des personnes, des sujets et des récits entiers défavorisés.

L’Agence pour la cybersécurité et la sécurité de l’information (CISA) du ministère américain de la Sécurité intérieure a été le centre de gravité d’une grande partie de la censure, la fondation nationale pour la science finançant le développement d’outils de censure et de désinformation et d’autres agences du gouvernement fédéral jouant un rôle de soutien.

Les courriels des ONG et réseaux sociaux partenaires de la CISA montrent que celle-ci a créé l’Election Integrity Partnership (EIP) (Partenariat pour l’intégrité des élections) en 2020, qui impliquait le Stanford Internet Observatory (SIO) (lObservatoire de l’Internet de Stanford) et d’autres sous-traitants du gouvernement américain. L’EIP et son successeur, le Virality Project (VP), ont exhorté Twitter, Facebook et d’autres plateformes à censurer les publications sur les réseaux sociaux des citoyens ordinaires comme des élus.

Renee DiResta 🔗 ℹ️

Malgré les preuves accablantes de la censure parrainée par le gouvernement, l’origine de l’idée d’une telle censure de masse n’a pas encore été déterminée. En 2018, Renee DiResta 🔗 ℹ️, fonctionnaire de l’AIR et ancienne collaboratrice de la CIA, a fait la une des journaux nationaux avant et après avoir témoigné devant le Sénat américain de l’ingérence du gouvernement russe dans l’élection de 2016.

Mais que s’est-il passé entre 2018 et le printemps 2020 ? L’année 2019 a été un trou noir dans les recherches du complexe industriel de la censure jusqu’à présent. Lorsque l’un d’entre nous, Michael, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis au sujet du complexe industriel de la censure en mars de cette année, l’année entière était absente de sa chronologie.

Une date de début précoce pour le complexe industriel de la censure

Sara-Jayne « SJ » Terp

Aujourd’hui, un grand nombre de nouveaux documents, notamment des documents stratégiques, des vidéos de formation, des présentations et des messages internes, révèlent qu’en 2019, des sous-traitants des services militaires et de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, dirigés par une ancienne chercheuse de la défense britannique, Sara-Jayne « SJ » Terp 🔗, ont mis au point le cadre général de la censure. Ces sous-traitants ont codirigé le CTIL, qui s’est associé à la CISA ℹ️ au printemps 2020.

En vérité, la construction du complexe industriel de la censure a commencé encore plus tôt — en 2018.

Des messages Slack ℹ️ internes de CTIL montrent que Terp, ses collègues et des fonctionnaires du DHS et de Facebook travaillent tous en étroite collaboration dans le processus de censure.

Le cadre du CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni allaient mettre en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et des programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et la pression exercée sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles retirent des informations ou prennent d’autres mesures afin d’empêcher le contenu de devenir viral.

Au printemps 2020, le CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus désavoués sur les réseaux sociaux, tels que les récits anti-confinement comme « tous les emplois sont essentiels », « nous ne resterons pas à la maison » et « ouvrez l’Amérique maintenant. » Dans le cadre de ces efforts, le CTIL a créé un canal destiné aux forces de l’ordre pour signaler les contenus. L’organisation a également fait des recherches sur les individus qui postent des hashtags anti-confinement comme #freeCA et a tenu une feuille de calcul avec des détails de leurs bios Twitter. Le groupe a également discuté de la demande de « takedowns » (Suppression) et du signalement de nom de domaines ℹ️ de sites web aux bureaux d’enregistrement.

L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags ℹ️, de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.

Dans une liste de questions suggérées pour l’enquête, CTIL propose de demander aux membres ou aux membres potentiels :

« Avez-vous déjà travaillé sur des opérations d’influence (par exemple, désinformation, discours haineux, autres préjudices numériques, etc.). » L’enquête demandait ensuite si ces opérations d’influence comprenaient des « mesures actives » et des « opérations psychologiques ».

Ces documents nous sont parvenus par l’intermédiaire d’un lanceur d’alerte très crédible. Nous avons pu en vérifier la légitimité de manière indépendante en recoupant les informations avec des sources accessibles au public. Le lanceur d’alerte a déclaré avoir été recruté pour participer à la CTIL lors de réunions mensuelles sur la cybersécurité organisées par le DHS.

Le FBI s’est refusé à tout commentaire. La CISA n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Terp et les autres principaux dirigeants du CTIL n’ont pas non plus répondu à nos demandes de commentaires.

Mais une personne impliquée, Bonnie Smalley 🔗, a répondu sur Linked In ℹ️, en disant :

« Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai rejoint la ligue CTI, qui n’est affiliée à aucune organisation gouvernementale, parce que je voulais lutter contre “les injections d’eau de Javel” en ligne pendant la Covid… Je peux vous assurer que nous n’avons rien à voir avec le gouvernement ».

Pourtant, les documents suggèrent que des employés du gouvernement étaient des membres engagés du CTIL. Justin Frappier, qui travaillait pour le DHS, était extrêmement actif au sein du CTIL, participant à des réunions régulières et dirigeant des formations.

Le but ultime duCTIL, a déclaré le lanceur d’alerte, « était de faire partie du gouvernement fédéral. Lors de nos réunions hebdomadaires, ils nous expliquaient clairement qu’ils construisaient ces organisations au sein du gouvernement fédéral, et que si vous construisiez la première itération, nous pourrions vous trouver un emploi ».

Le plan de Terp, dont elle a fait part lors de présentations à des groupes de sécurité de l’information et de cybersécurité en 2019, consistait à créer des « communautés Misinfosec (Mésinformation ℹ️) » qui incluraient le gouvernement.

Les archives publiques et les documents du lanceur d’alerte suggèrent qu’elle y est parvenue. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de la CISA, a annoncé sur Twitter et dans de multiples articles, que la CISA s’associait à CTIL. « Il s’agit en réalité d’un échange d’informations », a déclaré Chris Krebs.

Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l’intermédiaire d’un groupe appelé MisinfoSec Working Group (Groupe de travail de Mésinformation), dont faisait partie DiResta, ont créé une stratégie de censure, d’influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques (AMITT) (Tactiques et Techniques de Désinformation et d’Influence Adverses). Ils ont rédigé AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE 🔗, une importante entreprise de défense et de renseignement qui dispose d’un budget annuel de 1 à 2 milliards de dollars financé par le gouvernement.

MITRE ℹ️ est une organisation à but non lucratif américaine dont l’objectif est de travailler pour l’intérêt public. Ses domaines d’intervention sont l’ingénierie des systèmes, la technologie de l’information, les concepts opérationnels, et la modernisation des entreprises.

Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».

Un élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT a été d’insérer le concept de « sécurité cognitive » (en gros, si notre cerveau peut-être piraté, il a besoin d’une « sécurité ») dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information.

L’ensemble des documents donne une image claire d’un effort hautement coordonné et sophistiqué des gouvernements américain et britannique pour mettre en place un effort de censure national et des opérations d’influence similaires à celles qu’ils ont utilisées dans des pays étrangers. À un moment donné, Terp a ouvertement fait référence à son travail « en arrière-plan » sur les questions de réseaux sociaux liées au Printemps arabe ℹ️. Une autre fois, selon le lanceur d’alerte, elle a exprimé sa propre surprise apparente à l’idée d’utiliser de telles tactiques, élaborées pour des ressortissants étrangers, contre des citoyens américains.

Selon le lanceur d’alerte, environ 12 à 20 personnes actives impliquées dans le CTIL travaillaient au FBI ou à la CISA. « Pendant un certain temps, ils avaient le sceau de leur agence — FBI, CISA, peu importe — à côté de leur nom », sur le service de messagerie Slack, a déclaré le lanceur d’alerte. Terp « avait un badge CISA qui a disparu à un moment donné », a précisé le lanceur d’alerte.

Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà du simple fait d’exhorter Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des personnes sur des listes noires.

Le cadre d’AMITT appelle à discréditer les individus comme condition préalable à la demande de censure à leur encontre. Il préconise la formation d’influenceurs pour diffuser des messages (pour la France, pensez à l’arrivée des William Audureau (Les Décodeurs du Monde), La Tronche en Biais, Antoine Daoust, et toute la fachosphère qui prétend posséder la vérité unique…). La chronologie du travail de CISA avec CTIL, qui a précédé son travail avec EIP et VP, suggère fortement que le modèle des opérations de censure public-privé peut avoir été créé à partir d’un cadre créé à l’origine par des entrepreneurs militaires. De plus, les techniques et le matériel décrits par le CTIL ressemblent beaucoup au matériel créé plus tard par la Countering Foreign Intelligence Task Force et l’équipe Mis-, Dis-, and Maliformation (Mésinformation/Désinformation/Malinformation 🔗)de la CISA.

Fausses informations
Désinformation La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. « C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants ».
Mésinformation La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie.
Malinformation La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays.
Source

À présent, nous devons examiner de plus près ce qui s’est passé en 2018 et 2019, menant à la création de CTIL, ainsi que le rôle clé de ce groupe dans la formation et la croissance du complexe industriel de la censure.

Créer des communautés Misinfosec

Traduction ci-dessous 👇🏻

COVID-19 CTI League

Mesures actives
L’histoire secrète de la désinformation et de la guerre politique

par Thomas Rid

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
@Ici — groupe de lecture dans un peu plus d’une heure… BigBook indique que nous sommes sur le livre de Thomas Rid ℹ️ « Active Measures », Chapitres 1 & 2″ aujourd’hui…

US Macmillan
Mesures actives | Thomas Rid | Macmillan
« Cette histoire révélatrice et dramatique de la désinformation retrace la montée en puissance des opérations secrètes de tromperie organisées depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. de la période de l’entre-deux-guerres jusqu’à l’époque contemporaine. contemporaine… »

Bonnie L Smalley
OH J’ai parlé à mon médecin de l’AAPS et elle a été horrifiée.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Ah oui. Tant de travail à faire.

Bonnie L Smalley
Je connais beaucoup de gens du milieu médical grâce à mon travail contre Dupont ℹ️, donc le fait d’exposer au grand jour les objectifs de cette organisation de merde leur ouvre les yeux, et maintenant je commence à découvrir que certains des professionnels de la médecine qui ont dit que cette substance et cette chose chez Dupont étaient tout à fait acceptables, sont ou étaient associés à l’AAPS. Ce groupe m’aide donc dans mon autre croisade.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Bien.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead a été ajouté à disinformation-triage par SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab).

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLl, CogSecColab)
Oui, oui. Je sais. C’est bien ficelé, j’ai vérifié.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead
MDR, bonjour depuis l’autre coté.

« Bénévoles » et « anciens » agents du gouvernement

Bloomberg ℹ️, le Washington Post ℹ️ et d’autres ont publié des articles crédules au printemps 2020, affirmant que la CTI League était simplement un groupe d’experts bénévoles en cybersécurité. Ses fondateurs étaient : un « ancien » agent du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg 🔗 ; un « responsable de la sécurité » de Microsoft ℹ️, Nate Warfield 🔗 ; et le chef des opérations de sécurité de DEF CON ℹ️, une convention de pirates informatiques, Marc Rogers 🔗. Les articles affirment que ces professionnels de la cybercriminalité hautement qualifiés ont décidé d’aider des hôpitaux d’une valeur d’un milliard de dollars, sur leur temps libre et sans rémunération, pour des raisons strictement altruistes.

En un mois seulement, de la mi-mars à la mi-avril, le CTIL, censé être entièrement bénévole, comptait « 1 400 membres approuvés dans 76 pays et dans 45 secteurs différents », avait « aidé à démanteler légalement 2 833 actifs cybercriminels sur Internet, dont 17 conçus pour usurper l’identité d’organisations gouvernementales, des Nations unies ℹ️ et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) » et avait « identifié plus de 2 000 vulnérabilités dans des établissements de soins de santé de plus de 80 pays ».

À chaque occasion, les hommes (travaillant pour CTIL) ont souligné qu’ils étaient simplement des bénévoles motivés par l’altruisme.

« Je savais que je devais faire quelque chose pour aider », a déclaré M. Zaidenberg. « Il y a un appétit très fort pour faire le bien dans la communauté », a déclaréRogerslors d’un séminaire en ligne de l’Institut Aspenℹ️.

Pourtant, l’un des objectifs clairs des dirigeants du CTIL était de renforcer le soutien à la censure au sein des institutions chargées de la sécurité nationale et de la cybersécurité. À cette fin, ils ont cherché à promouvoir l’idée de « sécurité cognitive » pour justifier l’implication du gouvernement dans les activités de censure. « La sécurité cognitive est la chose que vous voulez avoir », a déclaré M. Terp lors d’un podcast en 2019. « Vous voulez protéger cette couche cognitive. Fondamentalement, il s’agit de pollution. La désinformation est une forme de pollution sur Internet. »

Terp et Pablo Breuer, un autre dirigeant du CTIL, comme Zaidenberg, avaient des antécédents militaires et étaient d’anciens entrepreneurs militaires. Tous deux ont travaillé pour SOFWERX 🔗, « un projet de collaboration entre le commandement des forces spéciales américaines et l’Institut Doolittle ». Ce dernier transfère au secteur privé la technologie de l’armée de l’air, par l’intermédiaire du laboratoire de ressources de l’armée de l’air.

Selon la biographie de Mme Terp sur le site web d’une société de conseil qu’elle a créée avec M. Breuer, « elle a enseigné la science des données à l’université de Columbia ℹ️, a été directrice technique de l’équipe “big data” des Nations unies, a conçu des algorithmes d’apprentissage automatique et des systèmes de véhicules sans pilote pour le ministère britannique de la Défense ».

Pablo Breuer

Pablo Breuer ℹ️ est un ancien commandant de la marine américaine. Selon sa biographie, il a été « directeur militaire du groupe Donovan 🔗 du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, conseiller militaire principal et responsable de l’innovation auprès de SOFWERX 🔗, de l’Agence nationale de sécurité et du Commandement cybernétique des États-Unis, ainsi que directeur du C4 au Commandement central des forces navales des États-Unis ». Sur sa page LinkedIn 🔗, Breuer est indiqué comme ayant été dans la marine lors de la création de CTIL.

En juin 2018, Terp a assisté à un exercice militaire de dix jours organisé par le US Special Operations Command ℹ️, où elle dit avoir rencontré Breuer pour la première fois et discuté des campagnes de désinformation modernes sur les réseaux sociaux. Wired a résumé les conclusions qu’ils ont tirées de leur réunion : « Ils ont réalisé que la désinformation pouvait être traitée de la même manière : comme un problème de cybersécurité. C’est ainsi qu’ils ont créé CogSec 🔗 avec David Perlman 🔗 et un autre collègue, Thaddeus Grugq 🔗, à leur tête. En 2019, Terp a coprésidé le groupe de travail Misinfosec au sein de CogSec. »

Breuer a admis dans un podcast que son objectif était d’amener les tactiques militaires à être utilisées sur les réseaux sociaux aux États-Unis. « Je porte deux chapeaux », a-t-il expliqué. « Je suis le directeur militaire du Donovan Group et l’un des deux responsables de l’innovation chez Sofwerx 🔗, une organisation à but non lucratif 501c3 ℹ️ non classifiée, financée par le commandement des opérations spéciales des États-Unis. »

M. Breuer a ensuite décrit la manière dont ils pensaient contourner le premier amendement. Son travail avec Terp, a-t-il expliqué, était un moyen de réunir des « partenaires non traditionnels dans une même pièce », y compris « peut-être quelqu’un de l’une des sociétés de réseaux sociaux, peut-être quelques opérateurs des forces spéciales, et quelques personnes du département de la sécurité intérieure… pour parler dans un environnement ouvert, sans attribution, de manière non classifiée, afin que nous puissions collaborer mieux, plus librement et vraiment commencer à changer la façon dont nous abordons certaines de ces questions. »

Le rapport Misinfosec préconise une censure gouvernementale radicale et une contre-mésinformation. Au cours des six premiers mois de 2019, les auteurs disent avoir analysé des « incidents », développé un système de signalement et partagé leur vision de la censure avec « de nombreux États, traités et ONG ℹ️ ».

Dans chaque incident mentionné, les victimes de la désinformation appartenaient à la gauche politique, et il s’agissait notamment de Barack Obama ℹ️, John Podesta ℹ️, Hillary Clinton ℹ️ et Emmanuel Macron ℹ️.

Le rapport n’a pas caché que les deux tremblements de terre politiques de 2016 l’ont motivé à lutter contre la désinformation : Le Brexit ℹ️ et l’élection de Trump.

« Une étude des antécédents de ces événements nous a amenés à réaliser qu’il y a quelque chose de déréglé dans notre paysage de l’information », ont écrit Terp et ses coauteurs. « Les idiots utiles et les cinquièmes colonnes habituels — auxquels s’ajoutent désormais des robots automatisés, des cyborgs et des trolls humains — s’emploient à manipuler l’opinion publique, à attiser l’indignation, à semer le doute et à ébranler la confiance dans nos institutions. Et maintenant, ce sont nos cerveaux qui sont piratés ».

Là, vous avez un cas typique d’inversion accusatoire, où Terp et ses coauteurs mettent sur le dos des innocents, les crimes contre la liberté qu’ils commettent eux-mêmes.

Le rapport Misinfosec se concentre sur les informations qui « modifient les croyances » par le biais de « récits » et recommande de contrer la désinformation en s’attaquant à des maillons spécifiques d’une « chaîne de mise à mort » ou d’une chaîne d’influence à partir de l’ »incident » de désinformation avant qu’il ne devienne un récit à part entier.

Le rapport déplore que les gouvernements et les grands médias n’aient plus le contrôle total de l’information. « Pendant longtemps, la capacité d’atteindre un public de masse appartenait à l’État-nation (par exemple, aux États-Unis, par le biais des licences de diffusion accordées à ABC ℹ️, CBS ℹ️ et NBC ℹ️). »

Un rappel important et pertinent :

« Aujourd’hui, cependant, le contrôle des instruments d’information a été dévolu aux grandes entreprises technologiques qui se sont montrées complaisantes et complices, en facilitant l’accès au public pour les opérateurs d’information à une fraction de ce que cela leur aurait coûté par d’autres moyens », dit Terp. En gros, elle regrette le fait que nous pouvons utiliser les réseaux sociaux pour échanger de l’information.

Les auteurs préconisent l’implication de la police, de l’armée et des services de renseignement dans la censure, dans tous les pays de la zone des cinq yeux, et suggèrent même l’implication d’Interpol ℹ️.

Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Source

Le rapport propose un plan pour AMITT et pour la collaboration en matière de sécurité, de renseignement et d’application de la loi, et plaide pour une mise en œuvre immédiate. « Nous n’avons pas besoin, et nous ne pouvons pas nous permettre, d’attendre 27 ans pour que le cadre AMITT (Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques — Tactiques et techniques de désinformation et d’influence adverses) soit mis en œuvre. »

Les auteurs préconisent de placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel », après la sécurité physique et la cybersécurité, devrait être « la dimension cognitive ».

Le rapport souligne la nécessité d’une sorte de pré-bunking pour « vacciner préventivement une population vulnérable contre les messages ». Le rapport souligne également la possibilité d’utiliser les Centres de Partage et d’Analyse de l’Information (ISAC) financés par le ministère de la Sécurité intérieure pour orchestrer la censure publique-privée, et affirme que ces ISAC devraient être utilisés pour promouvoir la confiance dans le gouvernement.

C’est ici que nous voyons l’idée de l’EIP et du VP : « Bien que les réseaux sociaux ne soient pas identifiés comme un secteur critique et ne remplissent donc pas les conditions requises pour un ISAC, un ISAC de désinformation pourrait et devrait alimenter les ISAC en indications et en avertissements. »

Le point de vue de M. Terp sur la « désinformation » est ouvertement politique.

« La plupart des informations erronées sont en fait vraies », a noté M. Terp dans le podcast de 2019, mais elles sont placées dans le mauvais contexte. Terp explique avec éloquence la stratégie consistant à utiliser les efforts de « lutte contre la désinformation » pour mener des opérations d’influence.

« La plupart du temps, vous n’essayez pas de faire croire à des mensonges. La plupart du temps, vous essayez de modifier leurs croyances. Et en fait, plus profondément, vous essayez de changer, de modifier leurs récits internes… l’ensemble des récits qui constituent la base de votre culture. Cela pourrait donc être la base de votre culture en tant qu’Américain ».

À l’automne, Terp et d’autres ont cherché à promouvoir leur rapport. Le podcast que Terp a réalisé avec Breuer en 2019 est un exemple de cet effort. Ensemble, Terp et Breuer ont décrit le modèle « public-privé » de blanchiment de la censure que le DHS, l’EIP et le VP allaient adopter.

Breuer a parlé librement, déclarant ouvertement que le contrôle de l’information et de la narration qu’il avait à l’esprit était comparable à celui mis en œuvre par le gouvernement chinois, mais qu’il était plus acceptable pour les Américains (et occidentaux en général). « Si vous parlez au citoyen chinois moyen, il est absolument convaincu que la Grande Muraille de Chine ℹ️ n’est pas là pour censurer. Ils pensent qu’elle est là parce que le Parti Communiste Chinois ℹ️ veut protéger les citoyens et ils sont absolument convaincus que c’est une bonne chose. Si le gouvernement américain essayait de faire passer ce message, nous perdrions la tête et nous dirions :

« Non, non, il s’agit d’une violation de nos droits au titre du premier amendement ».

Les messages du groupe intérieur et ceux du groupe extérieur doivent donc être souvent différents.

Traduction ci-dessous 👇🏻

L’ENVIRONNEMENT DE L’INFORMATION

Dimension physique – Où l’environnement de l’information et le monde physique se chevauchent
– Systèmes d’information et réseaux
– Caractéristiques principales : ordinateurs et systèmes de communication, et infrastructures de soutien
Dimension informationnelle – Lieu de collecte, de traitement, de stockage, de diffusion, d’affichage et de protection de l’information.
– Double nature — l’information elle-même et le support
– Liens entre les dimensions physiques et cognitives
– Caractéristiques clés : contenu et flux de l’information, qualité de l’information flux, qualité de l’information
– Lieu de la prise de décision automatisée
Dimension cognitive – Lieu de la prise de décision automatisée
– Dimension des éléments intangibles tels que la morale, la cohésion de l’unité, l’opinion publique, la connaissance de la situation.
– Caractéristiques clés : perceptions, émotions, sensibilisation et compréhension

MITT Blue : Cadre de contre-mesures
(Illisible)

Campagnes — Incidents – Récits
Artéfacts

⬇ Attaquant — ⬆ Défenseurs

« L’école de Poudlard de la désinformation »

« SJ nous appelait l’“école Poudlard ℹ️ de la désinformation et des fausses informations” », raconte le lanceur d’alerte. « Ils étaient les super-héros de leur propre histoire. Et à cet effet, vous pouvez toujours trouver des bandes dessinées sur le site de la CISA ».

La CTIL, selon le lanceur d’alerte, « avait besoin de programmeurs pour décortiquer les informations provenant de Twitter, Facebook et YouTube. Pour Twitter, ils ont créé un code Python ℹ️ afin de récupérer les informations. »

Les dossiers du CTIL fournis par le lanceur d’alerte illustrent exactement la façon dont le CTIL fonctionnait et suivait les « incidents », ainsi que ce qu’il considérait comme de la « désinformation ». Ils ont repéré les affiches appelant à des manifestations contre le confinement comme des artefacts de désinformation.

« Nous aurions dû le voir venir », ont-ils écrit à propos des manifestations. « En fin de compte, pouvons-nous arrêter la propagation, avons-nous suffisamment de preuves pour arrêter les super propagateurs et y a-t-il d’autres choses que nous pouvons faire (y a-t-il des contre-messagers que nous pouvons envoyer par ping, etc. »

Le CTIL a également réfléchi à des contre-messages pour encourager les gens à porter des masques, par exemple, et a discuté de la création d’un réseau d’amplification. « La répétition est la vérité », a déclaré un membre du CTIL lors d’une formation.

Le CTIL a travaillé avec d’autres personnalités et groupes du complexe industriel de la censure. Les notes de réunion indiquent que l’équipe de Graphika 🔗 a envisagé d’adopter AMITT et que le CTIL souhaitait consulter DiResta pour obtenir des plateformes qu’elles suppriment des contenus plus rapidement.

Lorsqu’on lui a demandé si Terp ou d’autres dirigeants de CTIL avaient discuté de leur violation potentielle du premier amendement, le lanceur d’alerte a déclaré :

Exemple de visage généré par Intelligence Artificielle depuis le site :
this-person-does-not-exist.com

« Ils ne l’ont pas fait… L’éthique était que si nous nous en tirons, c’est légal, et qu’il n’y a pas de problèmes liés au premier amendement parce que nous avons un “partenariat public-privé” — c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces problèmes. Les personnes privées peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer la direction et la coordination ».

Malgré leur confiance dans la légalité de leurs activités, certains membres du CTIL ont pu prendre des mesures extrêmes pour garder leur identité secrète. Le manuel du groupe recommande d’utiliser des téléphones jetables, de créer des identités pseudonymes et de générer de faux visages d’IA à l’aide du site Web « this-person-does-not-exist » (« Cette personne n’existe pas »).

En juin 2020, indique le lanceur d’alerte, le groupe secret a pris des mesures pour dissimuler encore plus leurs activités (juste avant la campagne de vaccination donc).

Un mois plus tard, en juillet 2020, le directeur du SIO, Alex Stamos ℹ️, a envoyé un courriel à Kate Starbird 🔗 du Center for an Informed Public 🔗de l’université de Washington ℹ️, dans lequel il écrit :

Kate Starbird

« Nous travaillons sur certaines idées de surveillance des élections avec laCISAet j’aimerais avoir vos commentaires informels avant que nous n’allions trop loin dans cette voie […]. [Ce qui aurait dû être assemblé il y a un an est en train de se mettre en place rapidement cette semaine ».

Cet été-là, la CISA a également créé la Countering Foreign Influence Task Force, dont les mesures reflètent les méthodes du CTIL/AMITT et comprennent un « vrai faux » roman graphique qui, selon le lanceur d’alerte, a d’abord été présenté au sein du CTIL.

Le cadre « DISARM », inspiré par AMITT, a été officiellement adopté par l’Union européenne et les États-Unis dans le cadre d’une « norme commune pour l’échange d’informations structurées sur les menaces de manipulation et d’interférence de l’information étrangère ».

Jusqu’à présent, les détails des activités du CTIL n’ont guère retenu l’attention, même si le groupe a fait l’objet d’une publicité en 2020. En septembre 2020, Wired ℹ️ 🔗a publié un article sur le CTIL qui se lit comme un communiqué de presse d’entreprise. L’article, comme les articles de Bloomberg ℹ️ et du Washington Post ℹ️ au printemps, accepte sans discussion que le CTIL soit réellement un réseau « bénévole » d’« anciens » fonctionnaires des services de renseignement du monde entier.

Mais contrairement aux articles de Bloomberg et du Washington Post, Wired décrit également le travail de « lutte contre la désinformation » du CTIL. Le journaliste de Wired ne cite aucun détracteur des activités du CTIL, mais suggère que certains pourraient y voir un problème. « Je l’interroge [Marc Rogers, cofondateur du CTIL] sur l’idée de considérer la désinformation comme une cybermenace.

« Tous ces mauvais acteurs essaient de faire la même chose », répond M. Rogers. Selon lui, le lien entre la prévention de la cybercriminalité et la « lutte contre la désinformation » est fondamentalement le même, car il s’agit dans les deux cas de lutter contre ce que le DHS et la CTI League appellent les « acteurs malveillants », synonymes de « méchants ».

« Comme Terp, Rogers adopte une approche holistique de la cybersécurité », explique l’article de Wired. « Il y a d’abord la sécurité physique, comme le vol de données d’un ordinateur sur une clé USB. Ensuite, il y a ce que nous appelons généralement la cybersécurité, c’est-à-dire la protection des réseaux et des appareils contre les intrusions indésirables. Enfin, il y a ce que Rogers et Terp appellent la sécurité cognitive, qui consiste essentiellement à pirater des personnes en utilisant des informations ou, plus souvent, des informations erronées. »

Le CTIL semble avoir fait parler de lui au printemps et à l’automne 2020 pour la même raison que l’EIP : prétendre plus tard que son travail avait été fait au grand jour et que quiconque suggérait qu’il était secret s’engageait dans une théorie du complot.

Global Volunteer Cyberthreat Community-CERT | CTI League

The CTI League is the first Global Volunteer Community-CERT, defending and neutralizing cybersecurity threats and vulnerabilities to the life-saving sectors related to the current COVID-19 pandemic.

« Le Partenariat pour l’intégrité des élections a toujours fonctionné de manière ouverte et transparente », a affirmé l’EIP en octobre 2022. « Nous avons publié de nombreux articles de blog publics pendant la période précédant l’élection de 2020, organisé des webinaires quotidiens immédiatement avant et après l’élection, et publié nos résultats dans un rapport final de 290 pages et dans plusieurs revues académiques évaluées par des pairs. Toute insinuation selon laquelle les informations sur nos opérations ou nos résultats étaient secrètes jusqu’à présent est réfutée par les deux années de contenu public et gratuit que nous avons créées ».

Mais comme les messages internes l’ont révélé, une grande partie de ce que l’EIP a fait était secrète, ainsi que partisane, et exigeant la censure des plateformes de réseaux sociaux, contrairement à ses affirmations contraires.

L’EIP et le VP ont ostensiblement pris fin, mais le CTIL est apparemment toujours actif aujourd’hui. Plusieurs de ses membres mentionnent le CTIL comme une organisation toujours active sur leurs pages LinkedIn 🔗.

Traduction ci-dessous 👇🏻

Poster « A »

Si les commandes pour rester à la maison sont prolongées au-delà du 30 avril, notre économie ne se relèvera pas, notre économie ne se redressera pas. Il n’y a pas assez de pour soutenir les chômeurs américains. Rejoignez-moi et d’autres Américains pour rouvrir notre économie. Les décès des répercussions de l’économie dépasseront de manière exorbitante les décès dus au virus lui-même. #NousNeResteronsPasÀLaMaison

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Samedi 2 mai 2020 de 14 h à 17 h

Dans tous les hôtels de ville, les parcs publics et les centres-villes dans tous les pays : organisez votre famille et vos amis et venez tout simplement ! Filmez et marchez dans vos rues. Sortez et montrez-leur que nous ne vivrons pas dans la peur. Vivre dans la peur. Téléchargez vos histoires, car nous sommes plus nombreux qu’eux !

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Poster « B »

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Dimanche 12 avril, de 14 h à 17 h

Dans chaque mairie, piazza de village ou mairie dans tous les pays : organisez des amis et montrez-vous, filmez, défilez dans vos rues & téléchargez vos histoires parce que nous sommes plus nombreux qu’eux !!!*

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Passer des alertes aux actions

Processus d’incident de désinformation

Alerte

  • Humains (groupes, flux)
  • Slack (Incident go/nogo)

Organisation et analyse

  • HIVE (analyse des tâches liées aux incidents)
  • Enrichissement (FrankCode)

Collecte

  • DKAN (données d’incident, données de base)
  • GITHUB ℹ️ (données d’incident)
  • MISP (objets de l’incident)

Action

  • Slack (Rapports, Contre-mesures)

Calendrier du WT

  • Décembre 2018 — Janvier 2019
    Création du GT et énoncé de mission
  • Février 20119
    Rédaction du document WWW
  • Mars 2019
    Création d’une liste d’incidents
  • Avril 2019
    Création d’une liste de techniques
  • Mai 2019
    Atelier de l’équipe rouge
  • Juin 2019
    AMITT affiné
  • Juillet 2019
    Mise en ligne du repo d’AMITT
  • Août 2019
    Présentation BlackHat ℹ️
  • Septembre 2019
    STIX SEP entre en vigueur
  • Octobre 2019
    Remplissage de la liste des compteurs
  • Novembre 2019
    Atelier de l’équipe bleue
  • Décembre 2019
    Affiner les compteurs

J’ai hâte de témoigner devant le Congrès, ce jeudi, sur la menace claire et actuelle que représente le complexe industriel de la censure pour les États-Unis d’Amérique et les autres démocraties libérales occidentales, et sur la manière dont nous pouvons y mettre un terme.

🚨

AVIS D’AUDITION : @mtaibbi, @shellenberger, @rupasubramanya.

Jeudi. 4 h (UTC).

Michael Shellenberger ℹ️ 🔗
Auteur du Thread



La médecine spirituelle — Soigner l’âme pour guérir le corps

[Source : luc-bodin.fr]

Une conférence de Luc Bodin, dans le cadre de la 3e rencontre entre médecines conventionnelle et naturelle. [2021]

Devant le grand nombre de maladies chroniques que la médecine soigne (ce qui n’est déjà pas si mal) sans arriver à les guérir, il serait temps de se demander si les causes physiques sont véritablement l’origine première des maladies… si elles ne seraient pas qu’un maillon de la chaine… si derrière elles, ne se cacherait pas une origine plus profonde au-delà même du sens symbolique des maladies.

La maladie serait ainsi un rappel de notre être pour nous indiquer la direction à prendre dans notre existence. La guérison passerait par cette compréhension et les changements qu’elle impose dans notre mode de vie, nos fonctionnements, nos pensées et nos décisions… qui nous ferait (re)prendre notre chemin de vie qui n’est autre que le chemin du bonheur.

« La maladie est une réponse saine du corps face à une situation déséquilibrée. »

Dr Luc Bodin

« Selon le nouveau paradigme, les maladies proviennent de déséquilibres (par excès ou par déficience) sur un ou plusieurs plans de l’existence : chimiques, physiques, vitaux, émotionnels, affectifs, mentaux, psychologiques, psychiques, et même spirituels. Sur le plan purement concret, les perturbateurs possibles sont nombreux : pesticides, additifs alimentaires, détergents, substances toxiques que sont de nombreux ingrédients cosmétiques, des médicaments et des « vaccins », polluants atmosphériques, contaminants de diverses industries (dont la pétrochimie), etc., mais aussi toutes les formes d’ondes artificielles, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (radars, Wi-Fi, radio, télévision, téléphonie sans fil — dont la récente 5G —, Bluetooth, etc.), à cause de leur interaction avec la nature électrique sensible des organismes vivants du fait des multiples courants électriques de faible intensité qui les parcourent en permanence (et pas seulement au niveau des nerfs et des neurones pour les espèces dotées d’un système nerveux). Mais il existe aussi des perturbateurs émotionnels (produisant notamment la peur et la colère, nocives pour l’organisme physique et amenant des excès dhormones), affectifs, mentaux, etc. »

Note de Joseph dans Alerte sur le Beyfortus®

[Voir aussi :
Communication entre organismes vivants par biophotons]

https://www.editions-tredaniel.com/la-medecine-spirituelle-p-8641.html