N’ayez pas peur, le Grand Reset de Davos n’aura pas lieu !

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Merci à la mathématicienne et enseignante Karen Brandin, pour son nouvel appel à sauvetage des jeunes actuellement sacrifiés sur tant de plans, en particulier éducatifs, mais aussi sociaux, culturels, etc..

La tribune https://nouveau-monde.ca/des-machines-et-des-profs/ appelle à écho par des témoignages et propositions d’autres professeurs, mais aussi d’élèves, parents, intellectuels, artisans, ouvriers, etc. afin que se lève un grand mouvement de protestation et surtout de reconstruction, sur des bases fondamentales, de l’ÉCOLE, que de nombreux « vivants » connaissent encore et ont animé, et seraient encore capables rapidement de remettre sur pied.

La grande table rase du Grand Reset n’est pas inéluctable et n’aura pas lieu(([1] « Ce projet est le Great Reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde. Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde » Le Grand Reset n’aura pas lieu – broché – Roland Hureaux – Achat Livre ou ebook | fnac.))

Au moins si nous le décidons.

Contrairement à ce que voudraient les défenseurs du Grand Reset et singulièrement les milliardaires de Davos qui pensent qu’en se protégeant avec 5000 policiers pour 2500 participants, ils auront les moyens de faire taire près de huit milliards d’individus sur terre (même en ayant sacrifié un bon nombre via les injections volontairement funestes), ILS SE TROMPENT.

Non, il faut que chacun d’entre nous arrête de croire que le pire est inévitable, inéluctable et que l’ancien monde civilisé (si riche de différents types de civilisations) va nécessairement disparaître, parce que quelques sbires richissimes déversant leurs milliards sur quelques fous faciles à trouver qui déboulonnent statues et monuments l’ont décidé, tout en tentant de se protéger eux-mêmes et leurs familles des dangers diffusés largement sur les populations.

Rappelons à cette occasion que Bill Gates n’a jamais vacciné ses enfants et que les participants à Davos viennent en jet privé piloté par des pilotes indemnes de l’injection covid(([2] Un pilote révèle : L’élite veut être pilotée par des pilotes non vaccinés – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) )). On a eu récemment la confirmation de distribution d’injections anticovid via des lots répertoriés et différents dont certains réservés à l’élite étaient, semble-t-il, sans effet(([3] https://nouveau-monde.ca/la-drole-de-repartition-des-injections-selon-catherine-austin-fitts/)).

Comme l’explique clairement Roland Hureaux (ibid 1), il ne faut pas confondre prévision avec prophétie autoréalisatrice qui conduit à penser qu’on ne peut plus rien faire, qu’ils sont « trop forts » qu’ils vont forcément gagner… et donc effacer de la terre toutes ces « bouches inutiles » et rester entre eux, entre pervers narcissiques pour profiter des biens de ce monde.

Quelle suffisance et quelles vanités, qui leur font oublier le principe de réalité ! Non, vouloir tuer des milliards de personnes avec une injection poison n’a pas marché, même si elle a réussi à en supprimer des millions et en rendre handicapés à vie d’autres millions… Ils peuvent espérer l’injecter dans quelques années via des poissons « vaccinés » ou les disperser via des nuages déversés par des avions complices ou trompés, ils ne pourront qu’échouer. Le génome constitué en milliards d’années avant de devenir celui d’un humain est probablement beaucoup plus solide que ces disciples de Satan ne l’imaginent.

Il ne suffit pas d’être cruel pour être efficace sur de larges populations. Les chimères chinoises n’ont pas survécu plus que les hommes-chèvres ou autre invention maléfique.

Le projet du Grand Reset consistait à faire disparaître tout ce qui existait « avant » : nos cultures, nos monuments, tout notre patrimoine,(([4] Qu’y gagne Mme Bachelot ancienne ministre de la Santé puis de la « culture » pour oser envisager de détruire nos églises pour dix milliards d’euros ? Son poste peut-être ? Quelle tristesse !… Nos églises sont notre culture bimillénaire et cette tentation qui rappelle celle des talibans en Syrie et ailleurs fait trembler l’athée que je suis car cela n’a aucun rapport avec nos croyances ou non-croyances, mais avec le patrimoine de l’Humanité comme les pyramides égyptiennes ou les temples chinois, etc.)) notre Histoire, jusqu’à l’héritage de nos grands écrivains et penseurs, de Victor Hugo à Stendhal, etc……..Qui est cet animateur de radio cancel qui souhaitait détruire le château de Versailles ?

Cette volonté de faire disparaître ce qui existait avant elles est la marque des idéologies totalitaires et des extrémistes religieux : chrétiens des premiers siècles qui ont martelé les fresques de la religion pharaonique, islamistes d’Afghanistan qui ont dynamité les bouddhas de Bamiyan, nazis qui ont brûlé les livres…

L’outil théorie du genre de la cancel culture pour détourner l’attention

Et la « cancel culture » venue directement des USA n’a d’autre objectif que de faire disparaître, familles, homme, femme, enfant. L’épouvantable « théorie du genre » qui agresse nos enfants(([5] « la théorie du genre agresse nos enfants, appel à la résistance » coll. avenir de la culture.)) se répand comme une peste intellectuelle depuis quelques années et s’introduit dans nos écoles. Des militants fanatiques tentent d’imposer chez nos jeunes enfants l’idée que le sexe de naissance n’a aucune importance et que dès le plus jeune âge, il appartiendrait à chacun de décider d’être femme ou homme, en fonction de l’envie du moment et que ce serait possible sans les informer que le taux de suicide des transgenres atteint 40 % (20 fois plus élevé que celui de la population hétéro sexuelle).

Il existe aux USA des « camps » transgenres pour petits garçons et, surtout dans le monde occidental dont la France, se multiplient les structures dites médicales qui consistent à prendre en charge un petit dès 3 ou 4 ans pour aller dans le sens de son désir présent, quitte à le mutiler définitivement par des gestes chirurgicaux abusifs et des injections hormonales dont les effets ne seront pas ou très peu réversibles. Business is business et de l’idéologie woke bien adaptée au marketing médical financièrement très rentable.

Comme pour l’ensemble des conséquences de l’idéologie woke, rien n’est perdu et nous devons refuser la prophétie autoréalisatrice que nous imposent les médias aux ordres, eux aussi très bien subventionnés. Près de quatre milliards d’euros de subventions à l’audiovisuel public selon le récent coup de gueule de Cyril Hanouna sur C8 menacé par la ministre de la « Culture » franco-libanaise qui prévoit de le priver d’antenne. Car bien évidemment le wokisme ne peut s’imposer qu’à l’aide d’une propagande et d’une censure forcenée dont RT France et France Soir sont déjà des victimes expiatrices. Mais la prise en main de Twitter par Elon Musk a jeté un sacré pavé dans la mare.

Ainsi comme le suggère Karen Brandin, défendons nos enfants, et adolescents et exigeons de revenir à un enseignement de qualité dispensé par des humains capables de « sentir » et ressentir le vécu de l’élève pour le mettre sur la bonne voie. À l’évidence cette résistance à la négation de l’humain dans l’acquisition du savoir doit se développer, tant dans les matières dites scientifiques que pour la philosophie et l’histoire géographie, et bien évidemment les langues étrangères, mais aussi les langues mortes dont ceux qui ont pu en bénéficier (avant notre génération de boomers…) en disent tant de bien. Et ce ne semble pas être que de la nostalgie.

Nicole Delépine





Reset ou pas Reset ?

Par Joseph Stroberg

D’un côté, il y a des optimistes qui pensent que le Forum Économique Mondial ne parviendra pas à mettre en œuvre sa Grande Réinitialisation. C’est le cas de Roland Hureaux :

[Source : editions-harmattan.fr]

Depuis 1971, se réunissent à Davos, luxueuse station hivernale suisse, les hommes les plus riches et les puissants du monde. Le Forum de Davos a été fondé par Klaus Schwab qui le préside encore. Après le début de la crise du Covid, il a écrit, avec Thierry Malleret, un livre appelé Covid : La Grande réinitialisation (Forum Publishing) devenu la Bible des mondialistes.

Selon les auteurs, les mesures censées contrôler la pandémie, comme le confinement ou les autres restrictions des libertés ou de l’activité économique, ne sont qu’un galop d’essai avant les mesures encore plus radicales, qu’ils jugent nécessaires pour combattre le réchauffement climatique, réchauffement dont ils ne retiennent que les hypothèses les plus extrêmes et les plus controversées. Ce projet est le Great reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde.

Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde.


De l’autre, il y a des personnes plus pessimistes qui pensent que le Forum Économique Mondial participe pleinement à la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et implique la plupart des nations du monde.

Voici la liste des participants pour la réunion de Davos en 2023
[Source : https://dossier.substack.com/p/exclusive-the-dossier-acquires-confidential] :

Figures publiques
Participants

On peut noter que la Russie et l’Iran ne participent pas et que les pays participants couvrent tous les continents (sauf l’Antarctique). De nombreux chefs d’États ou de gouvernements y participent, ainsi que des têtes couronnées.

Et voici le conseil d’administration du Forum Économique Mondial

[Source : https://www.weforum.org/events/world-economic-forum-annual-meeting-2023]

Le Forum est présidé par le fondateur et président exécutif, le professeur Klaus Schwab. Il est guidé par un conseil d’administration, des personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs, et supervisent le travail du Forum dans la promotion d’une véritable citoyenneté mondiale.

Mukesh D. Ambani Président et directeur général, Reliance Industries

Marc Benioff Président et co-chef de la direction, Salesforce
Peter Brabeck Letmathe Vice-président du conseil d’administration, Forum économique mondial
Thomas Buberl Président-directeur général, AXA
Laurence D. Fink Président-directeur général, BlackRock
Chrystia Freeland Vice-premier ministre et ministre des Finances, Cabinet du vice-premier ministre du Canada
Orit Gadiesh Président, Bain & Company
Kristalina Georgieva Directeur général, Fonds monétaire international (FMI)
Fabiola Gianotti Directeur général, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN)
Al-Gore vice-président des États-Unis (1993-2001); Président et cofondateur, Generation Investment Management LLP
André Hoffmann
Président, Massellaz
Paula Ingabire Ministre des Technologies de l’Information, de la Communication et de l’Innovation, Ministère des Technologies de l’Information, de la Communication et de l’Innovation du Rwanda
Joe Kaeser Président du Conseil de surveillance, Siemens Energy
Christine Lagarde Président, Banque centrale européenne
Yo-Yo Ma Violoncelliste
Patrice Motsepe Fondateur et président exécutif, African Rainbow Minerals
Ngozi Okonjo-Iweala Directeur général, Organisation mondiale du commerce (OMC)
Lubna S.Olayan Président du comité exécutif, Groupe financier Olayan
Sa Majesté la Reine Rania Al Abdullah du Royaume Hachémite de Jordanie Reine du Royaume hachémite de Jordanie, Cabinet de Sa Majesté la Reine Rania Al Abdullah
L. Raphaël Reif Président, Massachusetts Institute of Technology
David M. Rubenstein Co-fondateur et co-président, Carlyle
Marc Schneider Président-directeur général, Nestlé
Klaus Schwab Fondateur et président exécutif, Forum économique mondial
Tharman Shanmugaratnam Ministre principal, Gouvernement de Singapour
Jim Hagemann Snabe Président, Siemens
Julie Douce Président et chef de la direction, Accenture
Feike Sybesma Président du Conseil de Surveillance, Royal Philips
Heizo Takenaka Professeur émérite, Université Keio
Zhu Min Président, Institut national de recherche financière



Décès d’Élisabeth II, un obstacle au RESET levé. Refondation de la France

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Le roi Charles, portant la couronne des Objectifs de Développement durable de l’Agenda 2030
à la rencontre du World Economic Forum de 2020. La veille de la « pandémie » covidienne.

Élisabeth II est décédée ce 8 septembre 2022 à l’âge de 96 ans. Avec elle disparaît une figure de poids qui n’aurait pu cohabiter avec l’officialisation de la Nouvelle gouvernance associée au Nouveau Monde [NDLR plus précisément au Nouvel Ordre Mondial, car le prétendu Nouveau Monde promu par les élites n’a rien de nouveau, mais n’est que l’aboutissement de leur plan de longue haleine vers un totalitarisme planétaire en tant que généralisation et amélioration des tyrannies passées, dont celle de Nimrod]. Sa fonction est incompatible avec l’organisation transversale mondiale.

C’est en ce même 8 septembre qu’une campagne médiatique française a annoncé la mise en place d’un Conseil National pour la Refondation du pays. Ce hasard de calendrier aidera grandement à atténuer les réactions populaires au lancement de ce projet.

[NDLR C’est aussi le 8 septembre qu’est fêtée la Nativité de Marie.]

Le décès de la reine, un moment historique

Le décès de la reine constitue un évènement historique des plus importants. Cette dame qui semblait si fragile ces derniers mois était l’une des personnes les puissantes de la planète. Au-delà de son royaume britannique, elle dirigea et étendit depuis son accession au trône la structure ultra-puissante telle que le Commonwealth of Nations, qui est un dérivé des Conférences impériales.

Elizabeth II, en 1951
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2022/09/08/la-reine-elizabeth-ii-etait-la-plus-ancienne-cheffe-d-etat-du-monde_6140789_3382.html

Constituée formellement à Londres en 1949, la reine Élisabeth II fut la cheffe à vie du Commonwealth of Nations. Sous son règne, l’organisation s’est fortement étoffée passant de 10 États en 1956 à 53 en 2018 (une globalisation des ressources et des États avant l’heure), dont 16 lui étaient rattachés en direct. Un royaume quasi planétaire donc dont le territoire affiche 30 millions de km2 générant un PIB de 10 trillions $ [10 mille milliards de dollars]. La taille de la population est tout aussi impressionnante avec près de 2,4 milliards d’individus.

Ainsi Elisabeth II était la reine d’un tiers de l’humanité.

Et même si nous pouvons discuter longuement du rôle joué par la Banque d’Angleterre et son indéfectible alliée qu’est la Réserve Fédérale, le colonialisme et autres événements que nous pouvons décrier ici, Élisabeth II a eu une attitude maternelle envers les populations sur lesquelles elle régnait. Et une partie de ces gens qui n’ont que faire de la liberté la pleurent aujourd’hui. Nous pouvons imaginer que comme tous les dirigeants paternalistes, Élisabeth II avait de l’affection pour son royaume, pour ses sujets, et pour toutes les traditions fortes qui s’y rattachent.

Cela pour dire que la reine vivante, le projet supranational de réorganisation de la planète autour d’un système complexe de réseaux digitalisés, propulsés par les technologies de l’information et de la communication, et s’appuyant sur la blockchain, ne pouvait être finalisé officiellement. Sa présence à ce niveau de responsabilité d’une organisation, on ne peut plus pyramidale, serait entrée en conflit avec le nouveau modèle d’organisation transversale et matricielle de l’espace terrestre. On se devait d’attendre la disparition de la reine avant de reconnaître ouvertement l’atomisation des États, à laquelle la Grande-Bretagne sera aussi soumise.

Ainsi le décès de cette personnalité particulière est un jalon fondamental dans la marche vers le Nouveau Monde. Et nous pouvons oser imaginer qu’avec son départ, la Grande Révolution par le haut va pouvoir enfin concrétiser au grand jour sa feuille de route que tout le monde connaît aujourd’hui sous le nom de Great Reset.

Ici le Covid présenté comme cause qui nécessite un Nouvel ordre mondial…
https://www.aubg.edu/events/covid-19-towards-a-new-world-order

L’annonce de la refondation de la France sera éclipsée par le décès de la reine

Comme le hasard fait bien les choses, le président français Macron a annoncé ce mois de septembre son Conseil national de la refondation. Et les médias s’en sont emparés précisément ce 8 septembre. (Pourquoi pas avant ?)

Avant de balayer d’un revers de la main ce que certains considèrent comme un bidule, nous allons prendre au sérieux les mots inscrits et en particulier le mot refondation.

La refondation est une réforme en profondeur (Le Robert). Cela revient à vouloir définir à nouveau les valeurs, principes et bases sur lesquels repose la France. Ce n’est nullement une lubie !

Refondation est le mot français pour RESET.
Avec le CNR, le président français appelle à redéfinir la France.
Le CNR n’est certainement pas un bidule.



Voici les thèmes que le CNR doit refonder. Il s’agit des thématiques essentielles de la vie sociétale :

https://www.bfmtv.com/politique/elysee/tout-comprendre-a-quoi-va-servir-le-conseil-national-de-la-refondation-d-emmanuel-macron_AD-202209080015.html

Tous ces points visent la réorganisation, ou révolution, de la société prévue par le Programme de Transformation du monde à l’horizon 2030. Un programme signé par l’ensemble des États de la planète, dont l’Agenda est de changer l’ensemble des bases qui constituent lesdits États afin de les unifier, une fois atomisés, dans un grand ensemble constitué d’une myriade de sous-ensembles locaux. L’Agenda a certainement été précédé de toutes sortes d’études, rapports et autres conventions planétaires dont le fil directeur était le Développement durable.

François Bayrou, Haut commissaire au Plan ET responsable de la Refondation

Et qui a été nommé à la tête du CNR? François Bayrou. Et quelle fut l’activité de ce monsieur ces dernières années? Haut commissaire au Plan, comme dans les belles années de certains régimes dont l’économie est dirigée et autoritaire. Et à quoi s’intéresse le plan de M Bayrou?

En France, le haut-commissaire au plan est chargé d’animer et de coordonner les travaux de planification et de réflexion prospective conduits pour le compte de l’État et d’éclairer les choix des pouvoirs publics au regard des enjeux démographiques, économiques, sociaux, environnementaux, sanitaires, technologiques et culturels.

Wikipédia

Nous retrouvons dans les thèmes ciblés par le Haut Commissariat au Plan, des thèmes similaires à ceux du CNR, à ceux de l’Agenda 2030, et à ceux du Great Reset. Ce commissariat est un organisme facilitateur de la mise en place du Plan du World Economic Forum.

https://www.lepoint.fr/politique/francois-bayrou-nous-allons-vers-la-crise-la-plus-grave-que-la-france-ait-connue-depuis-la-guerre-24-08-2022-2487214_20.php

Or, fait important, ce haut commissariat ne dépend pas du gouvernement. Une structure parallèle comme elle existe en Suisse depuis de très nombreuses années.

Comment mettre en place une refondation en passant par les organes habituels de l’État (Assemblée générale, Sénat, etc.)? En fait c’est impossible parce que la refondation promeut une structure totalement différente de celle de l’État actuel. D’où la nécessité d’une refondation et de l’adoption d’une constitution réformée.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/25/une-constitution-universelle-pour-un-etat-global-et-financiarise-sous-les-couleurs-de-lagenda-2030/

France Stratégie, un think tank, qui a des idées collectivistes du patrimoine des Français

Petite réflexion sur cette structure du haut commissariat au Plan (avec majuscule). Il compte dans son giron France-Stratégie. Et voici les conseils prodigués en 2017 par ce think tank, un satellite autonome qui dépend de M Bayrou:

« Sans aide extérieure, la seule voie possible pour renforcer la soutenabilité d’une dette publique excessive est d’augmenter la capacité de l’État à lever l’impôt, sans pour autant mettre en danger sa trajectoire de croissance future. Pour ce faire, l’État pourrait décréter qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels, à hauteur d’une fraction limitée de leur valeur. Concrètement, il deviendrait ainsi créditeur d’une somme annuelle correspondant à la rémunération du droit d’occupation du sol. Tout propriétaire serait redevable de cette somme, mais il pourrait choisir de ne pas la payer. Dans ce cas, l’État récupérerait la somme due lors de la première transaction qui interviendrait sur le bien immobilier (vente ou transmission). Une telle mesure s’apparenterait donc en pratique à une augmentation de la fiscalité sur l’immobilier et sur les transmissions patrimoniales. À titre d’illustration, si l’Italie appliquait cette mesure à hauteur d’un quart de la valeur des terrains résidentiels, elle re-solvabiliserait sa dette publique instantanément de 40 points de PIB.

Cette deuxième voie soulèverait certes des difficultés politiques, mais en cas de crise elle serait moins porteuse d’instabilité que les autres alternatives : coupes budgétaires drastiques et augmentation généralisée des impôts, ou défaut de paiement et sortie en catastrophe de la zone euro. En effet, l’impact à court terme sur la demande serait faible : le transfert en capital toucherait davantage les ménages les plus fortunés et le fait que la rente annuelle à payer puisse être différée jusqu’à la vente ou la transmission du bien permettrait de ne pas affecter le revenu courant des ménages. »

« Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? » France Stratégie, Octobre 2017.

Un banquier à la tête de France Stratégie
Gilles de Margerie a été nommé commissaire général de France Stratégie lors du Conseil des ministres du 12 janvier 2018. Lire Un banquier à la tête de France stratégie, le think tank qui a donné l’idée de la nationalisation d’une partie du parc immobilier.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/06/un-banquier-a-la-tete-de-france-strategie-le-think-tank-qui-a-donne-lidee-de-la-nationalisation-dune-partie-du-parc-immobilier/

France Stratégie promeut une attaque de la part du marché de la haute finance internationale contre ce qui reste de bourgeoisie locale avec la bénédiction d’un gouvernement qui fait office de facilitateur. Il est bon de rappeler que la dette publique détenue par l’élite oligarchique est un concept qui n’a aucune justification rationnelle. Le transfert du seigneuriage monétaire vers des privés a permis le retour d’un certain féodalisme non pas royaliste, mais affairiste…

Bref, si on met ensemble le fait que les créateurs de monnaie compliquent l’octroi ou le renouvellement de crédits immobiliers, si on repense à la guerre fiscale que le président Macron livre aux propriétaires de biens immobiliers, et si on intègre ce que disaient les penseurs de France Stratégie, nous comprenons que la propriété privée vit ses derniers jours…

La propriété privée vit ses derniers jours, ce qui est compatible avec l’Agenda 21 qui collectivise les terres.

Vendre le Plan de la refondation aux Français

Le haut commissariat au Plan, comme son nom l’indique, détient un Plan inconnu du grand public qui en est pourtant le principal intéressé. Et maintenant, il va falloir le vendre au peuple français via le Conseil National pour la refondation. D’où l’importance de créer un espace transversal (à l’image de la structure du modèle de la Nouvelle Société) pour que les Français y adhèrent d’eux-mêmes… En tout cas, à ce stade, il s’agit de les amener au consentement qu’il soit spontané ou manipulé.

La reine est morte, vive le roi Charles III

Retour en Grande-Bretagne. La reine Élisabeth II décédée, vive le roi Charles III. On pourrait imaginer qu’il a hérité de sa mère sa volonté de défendre la royauté britannique. En fait, pas trop. Charles III (et/ou son successeur) sera partie prenante de très haut niveau du Nouveau Monde. Soit il secondera le nouveau chef mondial que planète finance prépare, soit il est lui-même (ou son successeur) ce fameux chef.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/23/surprise-le-prince-charles-est-partie-prenante-du-big-reset-les-financiers-aussi/

En 2021, lors de la COP 26 à Glasgow, le prince Charles avait réclamé des trillions pour modifier l’ensemble des secteurs industriels de la planète.



Des relais stratégiques pour planifier l’industrie mondiale

À côté de cette quête de financement du projet pour refonder les processus industriels, il existe des organismes qui s’en chargent concrètement sur le terrain. La World Benchmarking Alliance est l’une d’elles.

Au sujet de la WBA, le site explique que les alliés représentent des organisations travaillant aux niveaux mondial, régional et local pour façonner les contributions du secteur privé à la réalisation des ODD. Faisant écho au véritable esprit de SDG17 — Partenariats pour les objectifs, nos alliés sont attachés à la mission, à la vision et aux valeurs de WBA, et croient au pouvoir des références et des partenariats intersectoriels pour stimuler les progrès systémiques sur les ODD. (ODD= Objectifs de Développement durable de l’Agenda 2030 de l’ONU)

Nous croyons fermement que notre alliance multipartite joue un rôle important en aidant WBA à devenir une organisation mondiale vraiment efficace et à conduire la transformation du système pour atteindre les ODD.

https://www.worldbenchmarkingalliance.org/the-alliance/

Cherie Blair préside cette Alliance, activité peu connue du public, car non promue… King Charles III pourra certainement compter sur ce genre de personnes pour accomplir sa vision décrite à la COP 26.

https://www.worldbenchmarkingalliance.org/team/cherie-blair/

Le décès de la reine est très certainement un jalon important pour le coming-out du Nouveau Monde.

LHK

Annexes:

Un banquier à la tête de France stratégie, le think tank qui a donné l’idée de la nationalisation d’une partie du parc immobilier.



Les technocrates du Grand Reset ont-ils vraiment réfléchi à tout cela ?

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Alors que le Programme alimentaire mondial des Nations unies annonce que quelque 270 millions de personnes dans le monde sont aujourd’hui menacées de famine, le débat actuel sur les véritables objectifs de la technocratie est profond. La question est de savoir si leur objectif tend plutôt vers une réduction majeure de la population, ou plutôt vers un nouveau type d’esclavage.

Il semble que les questions philosophiques et pratiques à long terme restent un mystère. Nous soutiendrons que le mal, et pas simplement l’influence de la base sur la superstructure, est au cœur de cette entreprise. Nous avons défini le mal comme le fait d’infliger le plus haut degré de douleur au plus grand nombre de sujets qui résistent. En bref, nous avons défini le mal comme un sadisme, qui consiste à infliger le mal parce qu’il apporte une satisfaction à ceux qui l’infligent.

Parce que le mal est fondamentalement une force destructrice, il ne peut rien créer : rien en lui n’est vraiment nouveau ni utile à l’humanité. Ses plaisirs sont éphémères et fallacieux. Il est insoutenable, autodestructeur et mène finalement à l’autodestruction.

Nous avons évalué de manière adéquate, à partir d’un certain nombre de sources, que des intérêts néfastes sont derrière ce processus, qui cherchent à faire en sorte que le processus concerne également l’exercice du pouvoir, en plus de plusieurs autres objectifs (rester au pouvoir, exercer le pouvoir d’une manière conforme à leurs croyances occultes sur le mal, etc.) Nous comprenons qu’ils sont « maléfiques » parce qu’ils impliquent un type de « pouvoir sur » (par opposition au pouvoir avec/consentement) qui tire ce pouvoir de l’apologie de la peur et du terrorisme sur la population. Le terrorisme est défini ici comme l’utilisation opérationnelle de la peur, de la douleur et d’autres blessures à des fins socio-politiques.

Si leurs plans n’avaient pas été ancrés dans le mal, ils auraient utilisé des tactiques de pouvoir doux, comme la fabrication du consentement, pour arriver à leurs fins.

Le but du Grand Reset est de transformer l’oligarchie ploutocratique au pouvoir en une oligarchie technocratique. La base de la ploutocratie est la finance, et l’introduction de l’IA et de l’automatisation élimine la base de la finance comme fondement d’une économie d’échelle. En effet, l’automatisation et la déflation évoluent en tandem, faisant des nouvelles technologies des perdants nets. Il faut donc introduire un nouveau paradigme qui tienne compte de cette « quatrième révolution industrielle » post-financière.

Comparaison côte à côte d’une chaîne de montage automobile : 1920 contre 2020 – « Les humains n’ont pas besoin de s’appliquer ».

Mais l’idéologie du Grand Reset est fondée sur le vieux paradigme financier, qui est celui de l’externalisation des coûts. Lorsque les êtres humains ne sont plus impliqués dans le processus de valorisation de la production de biens et de services, alors l’humanité elle-même est le coût qui doit être externalisé – éliminé.

Mais comment se fait-il que le sadisme soit devenu la religion occulte de la classe dirigeante, c’est une question du type « la poule ou l’œuf ». C’est-à-dire, est-ce que l’idéologie corporative a muté en sadisme occulte, ou est-ce que le sadisme occulte a trouvé son expression à travers l’idéologie corporative ? Cette question servira sans doute de base à une enquête ultérieure.

Nous nous référons souvent à des motivations ou à des processus néfastes en termes de « cupidité », d’« intérêt personnel », d’« obsession du pouvoir » ou de « crise de l’accumulation du capital », de « bulles spéculatives ».

Et cela ne suffit pas en dernière analyse, même si cela fournit un pouvoir explicatif. Le problème se pose en termes de pouvoir prédictif, car si nous sommes confrontés à une crise des rendements décroissants due à l’automatisation (comme la tendance croissante à la perte nette sur les nouveaux investissements en capital), les besoins psychologiques réels qui motivent la ploutocratie actuelle en tant que groupe de pouvoir sont en fait sapés par une réduction significative et soudaine de la population, ou par de nouvelles technologies post-coercitives qui éliminent l’action humaine. Cela peut sembler contre-intuitif, mais à la lumière d’une compréhension de la nature autodestructrice du mal, nous allons explorer cette question.

Lorsque nous établissons les probabilités de trois vecteurs politiques qui se croisent, nous pouvons encore mieux comprendre cette question. Ces vecteurs politiques sont
a.) le lien neuralink/l’IA/les implants neuraux/les protéines magnétiques et le transhumanisme qui y est associé,
b.) la dépopulation dans le cadre des objectifs déclarés de l’Agenda 2030,
c.) l’automatisation/la robotisation, le 4IR et l’IoT.

Cela fera suite à notre dernier article sur le sujet, La moralité du Grand Reset : L’euthanasie de l’inessentiel :

Implants neuronaux

Le développement et l’introduction d’implants neuronaux, de protéines magnétiques, etc. peuvent prendre de nombreuses directions. Certains de ces types d’implants promettent de donner aux élites des capacités cognitives « surhumaines ». Toutefois, une autre application très pratique consisterait à exiger que ces implants soient utilisés sur le grand public afin de les handicaper ou de contrôler leurs pensées d’une manière ou d’une autre.

En ce sens, les implants neuronaux peuvent fonctionner comme les produits pharmaceutiques utilisés en psychiatrie. Dans la création de cette sorte de « Meilleur des Mondes » huxleyien, nous pouvons facilement voir la continuation d’un paradigme qui existe déjà aujourd’hui. Il s’agit d’un paradigme où il est courant de trouver diverses dépressions, angoisses et névroses prévisibles causées par les conditions sociales contemporaines, mais traitées par la psychiatrie au lieu d’être résolues par la socio-économie.

Les implants neuronaux peuvent également remplir une fonction similaire, mais vont encore plus loin. Au-delà des émotions ou de l’effet de base sur la recapture de certaines hormones comme la sérotonine, etc., les implants neuronaux peuvent diriger les pensées ou modifier des processus cognitifs entiers. Au-delà des sentiments, des pulsions et des impulsions, les implants neuronaux promettent de produire des pensées réelles dans l’esprit du sujet.

Vanessa Tolosa, ingénieure au LLNL, présente un implant cérébral – crédit : Extreme Tech Magazine, juillet 2014.

Entre les deux, il existe une forme hybride – les nanotechnologies et la chimiogénétique travaillant avec l’optogénétique. Comme le système d’administration au cerveau peut se faire par injection, les nanolipides et autres composés peuvent se présenter sous forme de piqûres. Ils peuvent être administrés dans le cadre d’un régime de « vaccination » obligatoire (dans la mesure où ce terme a été redéfini), les nanotechnologies étant déjà présentes dans la piqûre du Covid-19.

Elles peuvent donc être incluses – qu’elles soient divulguées ou non au public – dans les vaccinations obligatoires.

Leur développement semble toutefois être une technologie qui soutiendrait l’esclavage, mais n’exclut pas le génocide. Il est certain que la capacité de contrôler les pensées d’une population atténuerait considérablement le risque aux yeux de l’appareil d’État, en particulier lorsqu’il s’oriente vers le génocide.

La dépopulation : Mythes et faits

Le contrôle et la réduction de la population font depuis longtemps partie des politiques de diverses institutions et groupes de réflexion engagés dans la gouvernance mondiale, de l’ONU au Forum économique mondial. Ils faisaient partie des objectifs du millénaire de l’ONU et, depuis l’aube du XXIe siècle, de l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il est important d’introduire maintenant un cadre permettant de comprendre le problème de la population à la lumière du développement économique. On a longtemps pensé que le développement économique entraînait une stagnation, voire un déclin, de la population. L’idée ici est que l’éducation et l’urbanisation sont des processus qui conduisent à une meilleure connaissance de la planification familiale de base, parallèlement à un meilleur accès à l’avortement et au contrôle des naissances.

Le postulat sous-jacent est que les gens ne veulent naturellement pas être encombrés d’enfants, que les enfants sont un affront à la liberté dans l’abstrait. La formule est la suivante : à mesure que les gens sont mieux éduqués, qu’ils ont un travail plus intéressant et une vie plus riche, ils savent comment prévenir les grossesses et n’ont plus de penchant « primitif » pour les familles nombreuses.

Cette mythologie s’est construite autour de l’idée que les gens sont fondamentalement intéressés au sens le plus étroit du terme, à l’exclusion de tout autre désir, besoin ou impulsion. Ils sont présentés comme la norme afin de créer une culture plus large qui s’oppose à la procréation.

Au contraire, le véritable mécanisme qui pousse à la stagnation de la population dans le premier monde est la pression accrue du travail et l’augmentation du coût de la vie. Plutôt que d’attribuer la stagnation de la population à l’amélioration des conditions de vie, il s’agit plutôt de conditions austères imposées par la modernité tardive. Le coût de la propriété, des loyers, de la nourriture, ainsi que la baisse de la qualité des biens en raison de l’obsolescence planifiée accrue, ont accru la pression économique sur les individus et les couples. Elle a conduit à l’obligation pour les deux membres d’un ménage de travailler à temps plein. Et même avec cela, l’accession à la propriété dans les centres cosmopolites est pratiquement impossible pour la plupart. L’austérité a également entraîné une stagnation de l’espérance de vie.

Cette vérité est exposée dans de véritables documents d’orientation comme « Nouvelles stratégies pour ralentir la croissance démographique » (1995). Ici, le double langage est évident, avec des phrases facilement déchiffrables : « …réduire les grossesses non désirées en développant les services qui favorisent le choix reproductif et une meilleure santé, réduire la demande de familles nombreuses en créant des conditions favorables aux petites familles… ». Qu’est-ce que l’on peut bien entendre par « créer des conditions favorables aux petites familles » ?

Le développement économique ne réduit pas la population, mais si on y ajoute l’austérité et des obligations professionnelles exigeantes et rigides, on tombe sur une réponse. La prospérité économique, comme elle l’a fait depuis des temps immémoriaux, promet d’augmenter fortement la population en l’absence d’un programme de réduction de la population. Parce qu’un 4IR organique non introduit par la technocratie diminuerait les obligations de travail et augmenterait les marqueurs de qualité de vie, nous nous attendons à un boom démographique.

Par conséquent, les projections selon lesquelles la population atteindra un peu moins de 10 milliards d’habitants dans les années 2060 sont aussi erronées que linéaires. Sans une technocratie travaillant à réduire activement la population, comme ils le croient, une économie basée sur l’automatisation et l’IA verrait une explosion démographique.

Conclusion

Il est toujours probable que les technocrates en puissance ont effectivement réfléchi à la finalité et qu’il existe un grand nombre de possibilités qui leur permettront de récolter un plaisir sadique dans le cadre de l’exercice d’un pouvoir absolu, à perpétuité. Cela pourrait signifier augmenter la peur de l’extermination bien au-delà de la réduction réelle de la population. Cela pourrait signifier le maintien de nombreux aspects de l’agence pour la population contrôlée, de sorte que leurs douleurs soient intériorisées de manière multivariée et complexe, incluant des sentiments confus d’auto-culpabilité, d’identification à l’agresseur, de ressentiment, de regret, ainsi que des violations de la volonté et de la dignité. Encore une fois, si la volonté n’est pas un facteur, alors tous ces domaines potentiels de douleur psychologique ne sont pas présents.

Pour encadrer ce qui suit, il est fondamental de comprendre que dans une civilisation post-travail, le statut de l’humanité n’existe plus selon une mesure d’utilité. Soit la civilisation existe pour améliorer la condition humaine, soit pour augmenter la souffrance humaine. Il n’y a pas de compromis ou de coûts. La société est soit bonne, soit mauvaise.

Mais le mal est de courte durée et peu clairvoyant, et voici pourquoi : La réduction soudaine de la population est un pétard, il n’explose qu’une fois. Le plaisir que procure le processus d’éradication de milliards de personnes, ainsi que la peur, la douleur et la souffrance qui en découleraient, en l’espace de quelques années, ne peut être ressenti qu’une seule fois. C’est un rituel sacrificiel sur l’autel de Moloch qui ne peut être exécuté qu’une seule fois.

De même avec les technologies post-coercitives : Sans agence, contrôler les gens ne sert à rien en termes de violation de leur propre volonté ou désir. Faire souffrir un sujet qui ne résiste pas parce qu’il n’a pas de volonté donne au sadique beaucoup moins de plaisir que de faire souffrir un sujet contre sa volonté.

De plus, la position d’élite est relative à un certain nombre de facteurs tels que la distribution de la richesse, du pouvoir et/ou des privilèges, et le simple nombre en termes de population sur lequel on possède ces avantages.

S’il ne reste que des élites, elles n’auront fait qu’introduire un nouveau type de société égalitaire sur la base de la surabondance et d’une population humaine minuscule. Si les conditions de vie d’une humanité existante peuvent être considérablement réduites, alors le privilège et le luxe relatifs dont jouissent les élites augmentent dans la même proportion.

En l’absence d’une technologie radicale de prolongation de la vie, il est concevable que la science et la technologie aient déjà atteint le point zénithal auquel les privilèges et le luxe ne peuvent plus être améliorés. Une solution raisonnable consisterait à réduire les conditions de vie des autres afin d’améliorer leur propre privilège relatif. Plus le nombre de personnes qui vivent dans des conditions réduites est important, plus la position de privilège de chacun est réelle.

De même, il semblerait que le maintien d’une partie de la population humaine en tant que « possession » servirait à accroître la propriété des êtres humains, qui sont peut-être le type de possession le plus précieux, car ils sont conscients d’être possédés – mais seulement si cela les humilie. Car quel autre but pourrait avoir l’esclavage, dans un monde sans travail humain ?

A-t-il un sens, ou obtient-on une quelconque satisfaction, en gouvernant des personnes sans la possibilité d’avoir la volonté de consentir ou, au contraire, d’en vouloir au dirigeant ? Dans ce cas, nous pouvons le comprendre de la manière suivante : la possibilité de l’agence signifie que le gouvernement peut se faire avec leur soutien, ou contre leur volonté.

Mais le contrôle des processus cognitifs par les implants neuronaux élimine la possibilité de la volonté, ce qui priverait les technocrates du plaisir de gouverner avec ou contre la volonté des gouvernés.

Par conséquent, le cadre maléfique destructeur de ceux qui sont derrière la Grande Réinitialisation est révélé. L’utilisation de la stratégie, de la planification et de la ruse pour atteindre le résultat souhaité est prédominante. Mais ont-ils examiné les fondements de leurs désirs ? Comprennent-ils ce que leur victoire leur apporterait ?

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Pour ces raisons, il est probable que certaines élites ont vu le problème dans cette fin de partie. Cela expliquerait le conflit inter-élite que nous avons exploré précédemment, et sur lequel nous reviendrons dans un avenir proche.




Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

[Source : Epoch Times France]

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.

Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.

Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.

Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.

Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ? Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Esprits de Liberté a rencontré Philippe Herlin pour répondre à ces questions.




Le Grand Reset, un pacte suicidaire

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Le 8 février 2021 – Source Club Orlov

[NdNM : Dmitry Orlov est doué d’un type d’humour, éventuellement noir, plus ou moins sarcastique et particulièrement drôle pour ceux qui y sont sensibles.]

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le « Grand Reset ». Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que « Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux. » L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. « Mais qu’en est-il de l’Europe ? ! » s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. « M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? ! » « Peut-être », dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le « Grand Reset » : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du « Grand Reset » de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la Grande Peste que je pensais, pas au « Grand Reset » – je confonds toujours les deux…

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le sida – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature« les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement. » Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le « Grand Reset » ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle « la fenêtre d’opportunité » et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de « Grand Reset ». Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie « l’État social » : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de « Grand Reset », et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question « Qu’est-ce que le « Grand Reset », vraiment ? » Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, « Reconstruire en mieux » est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

Ce qu’ils appellent le « Grand Reset » est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que « le coronavirus l’a fait ! » de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil

[Source : Sott.net]

Alexander Dugin — Geopolitica.ru

Sur le plan géopolitique [russe – NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c’est encore le cas aujourd’hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd’hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.

La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l’autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d’exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.

Cette fois, il n’y a pas eu d’élections mais un coup d’État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd’hui, les États-Unis sont sous le contrôle d’une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.

Mais c’est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d’autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu’ils sont. Et c’était déjà le cas avant même qu’ils n’approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd’hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C’est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d’un moment donné, le mensonge vous utilisera.

La lutte principale se situe désormais clairement au niveau international. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd’hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l’Occident et l’Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.

Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu’un dernier service rendu à l’État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d’une vraie liberté et d’une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu’étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu’orientales.

Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n’existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s’agit donc d’un même combat mené à l’échelle mondiale.

Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censureIl nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d’un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction – NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux – NdT]. Ils prouvent désormais qu’ils sont bel et bien le message [et non le messager – NdT]. Et le message s’avère être unilatéral.

Je ne suis pas d’accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l’assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d’une 5e colonne. Non. Il s’agissait d’une réponse symétrique de l’autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n’a pas le privilège dans l’organisation de guerres mimétiques et dans l’usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s’attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d’émeutes. Ce qui s’est produit sur la colline du Capitole n’était qu’une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l’existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l’aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n’a jamais envoyés.

Note du traducteur : En ce qui concerne l’existence d’une 5e colonne ou pas, il n’en reste pas moins qu’une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d’une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l’image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu’il affirme l’avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l’inverse ? N’est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion… Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l’esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L’auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l’évidence.

© Inconnu

Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l’Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.

Le vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs… Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu’ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu’ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu’ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d’entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu’ils le font avec nous. Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l’humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n’a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l’hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n’est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l’intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.

Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c’est l’abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d’Ashley Babbitt n’est que la première goutte.

Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma – NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.

Le Mal ultime s’est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l’enfer.

Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru
Traduction : Sott.net




Le « reset » des globalistes est-il un échec ?

[Source : Le Saker Francophone]


Les élites ont peut-être surjoué leur main


Par Brandon Smith − Le 9 décembre 2020 − Source Alt-Market

Un aspect des narcissopathes (sociopathes narcissiques) qu’il est important de rappeler est qu’ils vivent dans leur propre petit monde dans lequel leurs désirs et leurs dysfonctionnements bizarres sont normalisés. Ils se croient supérieurs à la plupart des gens parce qu’ils sont des prédateurs, et ne souffrent pas de blocages gênants comme l’empathie et la conscience. La plupart du temps, ils ont tendance à croire qu’ils ont réussi à tromper tout le monde. Ils pensent que vous êtes un idiot soumis, et que lorsqu’ils aboient un ordre, vous allez sauter simplement au garde-à-vous parce que vous « croyez ».

Presque tous les aspects des globalistes et de leur comportement indiquent qu’ils sont un club ou un culte de narcissopathes. Leur besoin obsessionnel de contrôler, de corrompre et de détruire pour obtenir ce qu’ils veulent n’est pas le prolongement d’une simple cupidité, c’est un aspect profondément ancré de ce qu’ils sont en tant qu’êtres [humains ?]. C’est un mécanisme au cœur de leur caractère. Ce sont des monstres du monde réel, comme des vampires qui tentent de se fondre dans une population qui ne se doute de rien.

Dans leur arrogance, ils ont alors tendance à penser qu’ils peuvent vampiriser le public à volonté sans qu’on leur résiste ou qu’on les expose. Le problème, c’est que dès qu’ils commencent à se nourrir et à détruire, ils attirent l’attention sur eux. Ils finiront par attirer les soupçons du public, ainsi que de certains chasseurs de vampires. À moins qu’ils ne trouvent un moyen de se cacher, ils finiront un pieu dans le cœur, c’est inévitable.

J’écris sur les menaces du globalisme et du « reset » depuis de nombreuses années maintenant, et j’ai noté depuis un certain temps deux dilemmes distincts ; l’un touchant le mouvement pour la liberté et l’autre les globalistes :

1) Premièrement, les criminels ont tendance à se vanter de leurs crimes lorsqu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit à leur sujet. J’ai prédit que les globalistes seraient très ouverts pour révéler leur programme au moment où ils se croiraient « intouchables ». Pour le public épris de liberté, cela signifie qu’en 2020, à l’horizon 2021, les élites doivent penser qu’il n’y a rien à faire pour arrêter la machine ; elles sont si flagrantes dans leurs appels au « reset » global, à une société sans cash, à des verrouillages totalitaires et à un état de surveillance que personne sain d’esprit ne peut plus prétendre que ces notions sont « une théorie du complot ».

Le fait est que les « théoriciens de la conspiration » avaient raison depuis le début, et maintenant plus rien n’est ignoré par des quidams à ce sujet.

2) Deuxièmement, j’ai également fait valoir dans le passé que la poussée globaliste en faveur d’un « nouvel ordre mondial » est une arme à double tranchant qui pourrait très bien finir par les anéantir. Alors qu’ils tentent de lancer leur programme de reset, ils sont de plus en plus exposés ; ils ne peuvent plus se cacher dans la sécurité de l’ombre et il n’y a pas de retour en arrière une fois le processus lancé. Une fois que les globalistes se sont fait connaître, ils doivent soit prendre rapidement le contrôle par un chaos artificiel et un effondrement, soit faire face à un châtiment qui pourrait éliminer une cabale qu’ils ont mis des siècles à construire. Les vampires doivent faire du reste du monde un endroit sombre avant de quitter l’ombre, sinon ils risquent de mourir à la lumière du jour.

Il existe deux écoles de pensée dans le mouvement pour la liberté ; l’une suggère que l’agenda globaliste est fixe et imparable et que le mieux que l’on puisse faire est de survivre. La seconde suggère que le reset peut être arrêté et que les globalistes peuvent être traduits en justice. Je suis dans les deux camps.

Certains aspects du reset sont en effet fixes et ne peuvent pas être annulés. Par exemple, de nombreuses économies nationales, dont les États-Unis, sont en plein effondrement de type stagflation et rien ne peut être fait pour y remédier. Il y a dix ans, nous aurions peut-être pu changer de cap, mais aujourd’hui, il est trop tard. La douleur peut être réduite si les gens mettent rapidement fin à leur dépendance vis-à-vis du système et créent leurs propres réseaux commerciaux localisés, mais l’économie telle que nous la connaissons actuellement est morte et ne reviendra pas de sitôt.

Je ne vois cependant pas cela comme une victoire pour les élites. Faire s’effondrer l’économie est une chose, la reconstruire dans une dystopie collectiviste qu’ils souhaitent désespérément en est une autre. Tout dépend de ceux qui reconstruisent ; peut-être que ce sera eux, peut-être que ce sera nous.

Je vois ces jours-ci des signes encourageants qui montrent que le reset des globalistes n’est pas une chose sûre, et ceux qui connaissent mon travail savent que je n’ai jamais été d’un optimisme mal placé. Plus précisément, l’exploitation de la réponse à la pandémie comme moyen d’imposer de nombreuses restrictions draconiennes ne semble pas se dérouler exactement comme les élites l’avaient prévu.

Je dois me pencher sur l’Event 201 pour vraiment évaluer l’état du jeu, car ce que les élites ont prévu et ce qui s’est passé ne correspond pas complètement. Pour ceux qui ne le savent pas, l’Event 201 était une sorte de « jeu de guerre«  organisé par les globalistes du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates. Le scénario ? Une pandémie d’un coronavirus qui se propagerait comme un feu de forêt et tuerait 65 millions de personnes, selon les prévisions. La simulation s’est déroulée quelques mois seulement avant que la réalité ne se produise au début de l’année 2020.

Dans l’année qui a suivi l’épidémie, les globalistes ont tenté d’appliquer presque tous les plans qui ont été exposés lors de l’Event 201, y compris l’utilisation des médias sociaux pour censurer ou restreindre toute nouvelle, ou information, en dehors du récit approuvé par l’establishment (oui, le contrôle du récit a été discuté en détail à l’occasion). Klaus Schwab, du Forum économique mondial, a constamment et avec enthousiasme applaudi la crise pandémique comme une « parfaite opportunité » d’instituer le « reset » dont les globalistes parlent depuis des années.

Malheureusement pour eux, le virus n’a pas été aussi meurtrier qu’ils semblaient l’espérer. Avec un taux de mortalité bien inférieur à 1% pour toute personne en dehors d’une maison de retraite avec des conditions morbides préexistantes, l’establishment a maintenant été forcé de gonfler les chiffres de l’infection comme moyen de terroriser la population, car les chiffres de la mortalité ne sont pas suffisants pour convaincre les gens de céder volontairement leurs libertés. Le taux de mortalité par infection (IFR) pour la Covid-19, sans compter les décès dans les maisons de retraite avec des conditions préexistantes, n’est que de 0,26% des personnes infectées.

Un mémo de propagande est diffusé ces jours-ci, qui tente d’exagérer le danger de décès dû à la maladie de la Covid, et il se présente un peu comme suit :

La Covid-19 a tué plus de gens que la guerre du Vietnam et les guerres du Golfe réunies en une seule année, c’est pourquoi vos libertés sont suspendues…

C’est un sujet de discussion idiot, mais heureusement, personne n’y croit. Plus de 40 % des décès dus à la maladie de la Covid-19 sont des personnes qui sont déjà malades et sur le point de mourir de toute façon. Et non, refuser de porter un masque n’est pas la même chose que d’approuver les « sélections de la mort », car un panel de la mort, ce sont les socialistes qui refusent de traiter les personnes à risque en raison de leur âge. Personne ne suggère de refuser un traitement aux personnes âgées, et elles ont toujours la possibilité de rester en quarantaine si elles craignent d’être infectées. Elles sont déjà à la retraite et bénéficient de la sécurité sociale. Peut-être que si nous voulons stimuler, l’argent du renflouement devrait aller aux personnes les plus à risque afin que le reste d’entre nous puisse continuer à mener une vie normale ?

Des centaines de milliers de personnes meurent chaque année de maladies et d’affections telles que la grippe, le rhume et la pneumonie. Pourtant, la perspective d’abandonner la Déclaration des droits, de se soumettre à des fermetures économiques et de porter une muselière sur le visage, où que nous allions, n’a jamais été évoquée auparavant.

Pourquoi devrions-nous demander à 99,7% des Américains ou du monde d’accepter la tyrannie médicale juste pour que 0,26% de la population se sente en sécurité ? Les personnes qui remettent en question les obligations sont qualifiées d’« égoïstes », mais même si je faisais partie des personnes susceptibles d’être contaminées par le virus, je n’exigerais jamais que 99% de la population s’incline devant le totalitarisme pour me permettre de vivre encore un peu. Ce serait égoïste.

Alors que de plus en plus d’études et de données sont publiées, l’exigence des masques est également remise en question. Bien que les multinationales de la Big Tech aient cherché à supprimer ou à censurer les études qui vont à l’encontre du discours dominant, cela n’a fait qu’amener davantage de personnes à s’interroger sur les motivations des gouvernements qui font pression sur les obligations. Après tout, les grands médias continuent de dire que nous devrions « écouter la science », mais ils ignorent ou censurent la science. Ainsi, si la réponse à la pandémie n’est pas basée sur la science, alors il ne peut s’agir que de contrôle des populations.

Beaucoup d’Américains ne sont pas aussi stupides que les élites le pensent. Ils voient les incohérences dans la rhétorique et les données et ils sont de plus en plus enclins à refuser de s’y conformer. C’est peut-être la raison pour laquelle l’establishment se précipite soudainement sur au moins deux vaccins Covid en l’espace de six mois ; ils doivent mettre en route la phase de vaccination du Reset avant que trop de gens ne sautent du train de la panique en marche.

La ruée vers le vaccin et les allégations d’efficacité de 94% à 95% de Pfizer et de Moderna sont suspectes. L’efficacité moyenne de la plupart des vaccins est d’environ 50 % ou moins, et il s’agit de vaccins ayant fait l’objet de centaines d’essais et ayant été utilisés pendant des années. D’une manière ou d’une autre, Pfizer et Moderna ont tous deux réussi à produire un vaccin contre un virus de type SRAS alors que plusieurs gouvernements ont essayé pendant plus d’une décennie de produire des vaccins contre le SRAS en Chine sans succès, et qu’ils ont pu atteindre une efficacité de 95% ?

Beaucoup de gens ne croient pas à l’histoire du vaccin, et c’est peut-être la raison pour laquelle les élites se lancent si rapidement dans la vaccination. Considérez ce fait :

De nombreux sondages indiquent qu’au moins un Américain sur trois prévoit de refuser le vaccin Covid lorsqu’il sera mis à la disposition du grand public. 60% des Américains ont déclaré dans les sondages qu’ils ne prendront pas le vaccin à moins qu’il soit prouvé qu’il est efficace à 75% au moins.

Je pense que nous avons ici notre explication de la manne vaccinale. Les élites savent qu’un tiers des Américains (et probablement des Européens) ne prendront pas le vaccin, quelle que soit la propagande qu’ils diffusent. Elles savent également que 60 % des Américains ne prendront probablement pas le vaccin s’ils ne peuvent pas démontrer un taux d’efficacité d’au moins 75 %. Ni Moderna ni Pfizer n’ont en fait produit de preuve que leurs vaccins sont capables d’empêcher une maladie grave ou la mort de la Covid-19, de sorte que leur taux d’efficacité est basé sur des « projections » de succès selon leurs essais minimaux. En d’autres termes, le taux d’efficacité de 95% est totalement arbitraire et fantaisiste.

Pourquoi ont-ils choisi un chiffre aussi élevé au lieu d’un taux plus réaliste de 50 à 60% ? Parce que les sondages disent qu’ils ont besoin d’un taux d’efficacité épique pour convaincre les Américains de prendre le vaccin. Je pense que c’est vraiment aussi simple que cela.

Les Américains sont sceptiques à l’égard des vaccins pour un certain nombre de raisons. Le fait qu’ils soient testés de façon minimale et qu’ils soient distribués à la hâte en moins d’un an est l’une des raisons. Le fait que le gouvernement et les médias ont été pris à censurer ou à mentir sur les données de Covid est une autre raison. Les gens ne font tout simplement pas confiance aux élites, et qui peut les blâmer ? Qui ferait confiance à une cabale de psychopathes pour leur injecter un cocktail viral inconnu ? Peut-être que leurs intentions ne sont pas aussi pures ?

Le public a raison de se méfier. Un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, parmi d’autres professionnels de la santé, a récemment averti que les vaccins n’ont pas été correctement testés et qu’il existe un risque de « stérilité indéfinie » pour les femmes qui prennent le vaccin Covid actuel en raison d’une réponse auto-immune dommageable. En d’autres termes, le vaccin pourrait rendre de nombreuses femmes stériles et incapables d’avoir des enfants.

C’est peut-être ce que Bill Gates voulait dire lorsqu’il a déclaré dans son Ted Talk que « les vaccins et les services de reproduction » pourraient contribuer à réduire la population de la Terre de 10 à 15 % afin de « stopper le réchauffement climatique ».

https://youtu.be/Gc16H3uHKOA

Pourquoi Bill Gates mentionnerait-il les vaccins en même temps que les « services de reproduction » en référence à la réduction de la population ? Les vaccins ne sont-ils pas censés aider les gens à vivre plus longtemps ? Eh bien, l’avertissement du vice-président de Pfizer concernant le vaccin Covid me rappelle quelque chose. Peut-être que le vaccin Covid ne vous rendra pas malade, ou ne vous tuera pas. Peut-être que vous vivrez longtemps sans coronavirus, mais vous découvrirez quelques années après avoir pris le vaccin que vous ne pourrez jamais avoir d’enfants.

Regardez le film « Children Of Men » pour avoir une idée de ce que sera l’avenir si les globalistes obtiennent ce qu’ils veulent.

En attendant, les élites essaient par tous les moyens de convaincre le public qu’il doit abandonner les notions de libertés civiles au nom de la survie et du « bien commun ». Elles parlent déjà du fait que les choses ne reviendront jamais à la normale et que les changements apportés aujourd’hui resteront en place pendant de nombreuses années.

Les gouvernements sont actuellement dans les médias en train de déclarer que les vaccins « ne seront pas obligatoires ». C’est un mensonge. Dans le même temps, ils mettent en place des mandats pour vous obliger à prouver que vous êtes vacciné afin de pouvoir vous rendre dans des lieux publics et même d’aller travailler. En gros, vous vous faites vacciner ou vous mourez de faim. Ce n’est pas un choix.

Mais je vois des millions d’Américains s’opposer à ce programme. Je vois des shérifs et des policiers dans tout le pays qui refusent d’appliquer ce programme, même dans les États Démocrates comme la Californie. Je vois des protestations dans des États où l’on verrouille tout, comme le Michigan, la Californie et New-York. Je vois des protestations de masse en Europe. Je vois que le programme du Reset est exposé et que la vérité s’impose au grand public. Je vois quelque chose remonter à la surface et je sens l’odeur de poudre de la rébellion, et j’aime ça.

Je ne suis pas pessimiste quant à l’avenir. Je sais qu’un accident est en train de se produire. Je sais qu’un combat est à venir. Mais pour l’instant, je vois un combat qui peut être, et sera, gagné par ceux qui respectent les principes de la liberté. Les globalistes ont peut-être surjoué leur main.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par jj pour le Saker Francophone




Le Grand Reset pour les nuls

[Source : Le Saker Francophone]

Où allons-nous ?


Par Tessa Lena − Source Tessa SubStack

Les paysans s’engraissent, et ils se reproduisent ! Oh non.

Qu’est-ce que le « Grand Reset » ? Le « Grand Reset«  est un projet massivement financé, désespérément ambitieux, coordonné au niveau international, mené par certaines des plus grandes multinationales et [des plus importants] acteurs financiers de la planète et réalisé par des organismes publics et des ONG coopérants. Son âme est une combinaison de science-fiction du début du XXe siècle, d’affiches soviétiques idylliques, de l’obsession d’un comptable dérangé avec une dépendance au jeu, et d’une version numérique améliorée de la « Destinée Manifeste ».

La raison mathématique du « Grand Reset » est que grâce à la technologie, la planète est devenue petite, et le modèle économique d’expansion infinie est foutu – mais de toute évidence, les super riches veulent continuer à rester super riches, et ils ont donc besoin d’un miracle, d’une autre bulle, plus un système chirurgicalement précis pour gérer ce qu’ils perçoivent comme « leurs ressources limitées ». Ainsi, ils veulent désespérément une bulle qui leur apporte une nouvelle croissance sortant littéralement de nulle part, tout en cherchant à serrer la ceinture des paysans, un effort qui commence par une « modification du comportement », c’est-à-dire le « reset » du sentiment des paysans occidentaux qu’ils ont droit à un niveau de vie élevé et à des libertés (ces horribles « privilèges »).

La raison psychologique du « Grand Reset » est la peur de perdre le contrôle de leur propriété, la planète. Je suppose que si vous possédez des milliards et que vous en déplacez des milliers de milliards, votre perception de la réalité devient étrange, et ce qu’il y a tout en bas ressemble à une fourmilière qui n’existe que pour vous servir. Juste des fourmis et des chiffres… votre patrimoine.

Ainsi, l’objectif pratique du « Grand Reset » est de restructurer fondamentalement l’économie mondiale et les relations géopolitiques en se basant sur deux hypothèses : premièrement, que chaque élément de la nature et chaque forme de vie fait partie de l’inventaire global (géré par l’État prétendument bienveillant, qui, à son tour, est détenu par plusieurs personnes riches devenues soudainement bienveillantes, via la technologie) – et deuxièmement, que tout l’inventaire doit être strictement comptabilisé : être enregistré dans une base de données centrale, être lisible par un scanner et facilement identifiable, et être géré par l’IA, en utilisant la « science » la plus récente. L’objectif est de compter puis de gérer et de contrôler efficacement toutes les ressources, y compris les personnes, à une échelle sans précédent, avec une anxiété et une précision numériques sans précédent – tout cela pendant que les maîtres continuent de s’adonner à leurs loisirs, profitant de vastes étendues de nature préservée, à l’abri des paysans souverains inutiles et de leur imprévisibilité. Le monde du roi se sent beaucoup plus prévisible et détendu lorsque le chaos de la subjectivité humaine est contenu pour de bon.

De plus, en guise de parenthèse potentiellement lucrative, une partie de ces « actifs » étroitement gérés peut également être transformés en de nouveaux instruments financiers et vendus. Le jeu continue !

En d’autres termes, c’est un féodalisme mondial « efficace » qui va bien plus loin que son frère médiéval puisque le scanner est un système de vision globale : chaque personne, chaque pierre et chaque baie est étiquetée et suivi numériquement. Dans ce cadre, chaque paysan a une fonction qui découle non pas du mystère de la vie, et non pas de sa vocation intérieure, mais de l’IA, le maître de l’efficacité et le serviteur du roi. Idéalement, les paysans peuvent être convaincus que c’est bon pour eux (ou nécessaire pour être en sécurité, voir « traçage des contacts ») et que c’est à cela que ressemblent le progrès et le bonheur – mais sinon, il y a d’autres moyens, de la violence classique aux prisons virtuelles en passant par les « pilules de la moralité« .

La réforme en question est censée bouleverser tous les domaines de la vie, à l’échelle planétaire : gouvernement, relations internationales, finances, énergie, alimentation, médecine, emploi, urbanisme, immobilier, application de la loi et interactions humaines – et elle commence par changer la façon dont nous nous considérons et dont nous entretenons notre relation avec le monde. En particulier, la vie privée est une énorme épine dans le pied de nos « grands resetters » – et au moment où je tape ces lignes, ils insistent sur le fait que la vie privée est un concept vraiment dépassé – en particulier lorsqu’il s’agit des données médicales des personnes, par exemple – et que nous ne pouvons tout simplement pas aller de l’avant vers un avenir radieux si des personnes stupides continuent à s’accrocher à leur vie privée.

Je passerai brièvement en revue les différents éléments de cette réforme glissante dans une seconde – mais pour résumer, le résultat final souhaité est un gigantesque convoyeur mondial, sans joie, hautement contrôlé, de tout et de tous, où la vie privée est extrêmement coûteuse, la dissidence est impensable et la soumission spirituelle est obligatoire. C’est comme une réalité médicamenteuse 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sauf que les médicaments sont à la fois chimiques et numériques, et qu’ils vous signalent au vaisseau-mère, qui peut alors vous punir pour mauvais comportement en bloquant, par exemple, votre accès à certains endroits ou en bloquant votre compte bancaire numérique – peut-être sans aucune intervention humaine.

Ainsi, sur le plan sensoriel – en ce qui concerne l’argent et le pouvoir – ce convoyeur est une tentative des super riches d’organiser et de monétiser leurs « actifs », y compris les personnes, plus efficacement que jamais auparavant. Sur le plan théologique, l’initiative est façonnée par le transhumanisme, un système de croyance formel enraciné dans un sentiment pathologique d’être repoussé par tout ce qui est naturel – et une vision résultante des formes biologiques comme des robots défectueux, qui sont rendus parfaits, des tueurs en série parfaits, en se fusionnant avec les machines d’une manière qui redéfinit le sens de la vie et défie la mort elle-même.

Je voudrais souligner que nous ne devrions jamais sous-estimer l’importance des sentiments subjectifs et de la théologie dans la formation des événements historiques. Toute notre histoire est une somme de choix subjectifs – où les choix des plus puissants et des plus motivés pèsent plus lourd. Et la réforme religieuse, qui découle généralement de la préférence subjective de divers individus puissants pour ce à quoi devrait ressembler l’ensemble du tableau, a été un moteur de changements sociaux, économiques et culturels à grande échelle sur cette planète pendant des siècles. Ce que nous voyons ici, c’est une nouvelle religion – et même si je veux croire à la propreté et à la rationalité générales du système – à un niveau plus élevé, nous n’avons pas affaire à une tentative rationnelle, scientifique, honnête, bienveillante – ou même malavisée – d’améliorer les choses. Lorsqu’il s’agit des cerveaux du « Grand Reset », nous avons affaire à une combinaison d’avidité standard et de pathologie émotionnelle de fous agités et pourris qui paniquent devant la sauvegarde de leurs biens dans cette nouvelle ère, et qui en veulent à leur nature biologique en tant que telle et veulent être des dieux. Malheureusement, les fous sont riches et ont de bonnes relations, et ils peuvent engager un million de sous-fifres pour faire une présentation extérieure convaincante et rationnelle de leur nouvelle religion. Et pour soudoyer les médias. Et les politiciens. Et les universitaires. Et les organisateurs de campagne. Et les organisations à but non lucratif. Et n’oublions pas mes frères, les artistes, qui, par faim et par indignité, créeront alors de belles publicités artistiques et émouvantes pour tout ce qui rapporte. Et lorsque la boucle est bouclée, nous avons une toute nouvelle opinion publique et, techniquement, toujours une « démocratie » ! Si seulement ces théoriciens de la conspiration s’en allaient…

Alors, qui sont les personnes à la tête de cet effort et comment cet effort est-il coordonné ?

À première vue, ce sont les suspects habituels : les principaux capitalistes du monde, les dynasties historiquement riches de différentes parties de la Terre, les membres de la royauté laïque et religieuse, les milliardaires, etc. – en d’autres termes, ce sont les gens qui ont assez d’argent pour sentir que ce monde leur appartient, les 0,0001% – et peut-être aussi les gens qui se trouvent immédiatement en dessous d’eux qui cherchent à gravir les échelons. Certains visages familiers, d’autres que nous n’avons jamais vus.

De toute évidence, ils ne constituent pas une masse monolithique, et je suis sûr qu’ils ne sont pas d’accord entre eux sur tout et qu’ils se disputent probablement le droit de manger plus de paysans. Il y a certainement une rivalité entre les élites américaines et chinoises, par exemple, ou entre les élites américaines et russes – ainsi qu’entre les différents super requins à titre individuels. Mais dans l’ensemble, même s’ils sont en compétition, ils ont des intérêts et des messages communs, et il y a plus de camaraderie stratégique et de terrain d’entente entre eux qu’entre eux et les paysans. Par exemple, aucun d’entre eux n’est susceptible de refuser l’idée de créer une nouvelle classe d’actifs financiers pour gagner de l’argent ! En outre, ils ont aussi des conseillers qui, à leur tour, sont en concurrence les uns avec les autres pour obtenir le meilleur salaire, en essayant de faire passer leurs idées. Tous ces conseillers sont subjectifs, mais ils sont aussi largement et coûteusement coordonnés dans les domaines où ils partagent des intérêts communs.

Et actuellement, le concept « gagnant » du jour semble être un monde rempli d’abréviations : IA, 5G, IoT, et ainsi de suite. Un monde où l’argent est numérique, la nourriture cultivée en laboratoire, où tout est compté et contrôlé par des monopoles géants, et où les gens sont largement privés de leur libre arbitre. Un monde où chaque élément de la nature et chaque être vivant est soit un producteur de données, soit une source d’énergie – ou les deux. Un monde où le flux quotidien des paysans est micro-géré par une IA qui enregistre les pensées et les sentiments avant même que les gens n’aient la possibilité de les faire leurs. Un monde où la vie elle-même est sous-traitée à la machine, et où l’être humain est essentiellement un costume de viande.

Maintenant, je ne pense pas que cette vision exacte se réalisera jamais complètement. Il est probable qu’elle implose avant d’arriver à mi-chemin – et une partie de ce que je viens de décrire n’est rien d’autre que le rêve éveillé d’un esprit malade. Mais les puissants fous font de leur mieux pour que ce cauchemar devienne réalité. Ainsi, le danger n’est pas d’être dépassé par une IA prenant soudainement conscience d’elle même, mais de perturber la vie normale et de provoquer la misère totale que les fous peuvent causer à nos esprits et à nos corps alors qu’ils se précipitent pour découper le monde en morceaux, en utilisant diverses expressions pratiques telles que « crise sanitaire mondiale » ou « changement climatique ».

Et oui, il y a bien une coordination et une continuité, comme il y a une continuité dans les dynasties et les courants philosophiques. Certaines sont plus éphémères, d’autres plus concrètes. Du côté éphémère, la vision des « resetters » est liée aux idées futuristes qui étaient populaires au début du 20e siècle, au rêve d’un monopole mondial des entreprises qui a soutenu la révolution bolchevique de 1917, et à la volonté générale de contrôler le monde avec la technologie, ce qui a été tenté et a échoué en Union soviétique dans les années 60 – en utilisant un langage très similaire à celui d’aujourd’hui. Sur le plan concret, le « Grand Reset » (qui, soit dit en passant, est très bien coordonnée, dans la mesure où Biden et Johnson utilisent les mêmes mots codés proposés par le WEF) est issue des efforts déployés après la Seconde Guerre mondiale pour maintenir un équilibre des pouvoirs « acceptable » dans le monde, et une récolte les bénéfices « acceptable » des intérêts financiers.

Le langage de la « durabilité », qui est un pilier important du kit de marketing du « Grand Reset », a été initialement créé dans le cadre de divers programmes des Nations unies, tels que l’« Agenda 21«  et l’« Agenda 2030« , et je suis sûr que lors de la production de ces programmes, les deux éléments – conspiration et bienveillance – étaient présents. Ce sont tous deux des ensembles de documents extrêmement secs et ennuyeux sur la gestion des ressources et la justice, qui se lisent comme quelque chose écrit par un professeur soviétique fatigué et formaté, maîtrisant bien les termes bureaucratiques, écrit surtout pour justifier le salaire des bureaucrates et l’existence des Nations unies. Ce qui est intéressant dans ce dernier cas, c’est qu’en général, les Nations unies sont plutôt inutiles, ce qui signifie que les gens se réunissent, discutent, produisent de longs documents bureaucratiques et des résolutions non contraignantes – et qu’ensuite, il ne se passe rien d’essentiel. Mais pas cette fois-ci. Pas maintenant. Le programme est lancé ! Il doit donc être important pour quelqu’un qui paie. Et oui, je suis cynique. Dans tout ce qui se passe, il y a toujours une combinaison de bonnes intentions, d’avidité, d’ambition, de relations personnelles, d’intérêts financiers, d’illusions, etc. Les politiciens parlent aux financiers, les généraux parlent aux politiciens, quelqu’un est l’oncle de quelqu’un d’autre, et c’est ainsi que les choses se font. Malheureusement, moins le message est direct et plus la propagande est abondante, moins les bonnes intentions ont de valeur et plus il est facile pour les méchants de réaliser des absurdités.

Et bien sûr, des initiatives d’une telle ampleur peuvent passer par de très longues et tranquilles « phases de planification », au cours desquelles les idées souhaitées sont plantées dans la tête des personnes désirées par le biais de conversations privées, de petites réunions, de recherches financées, de conventions industrielles, etc. Ainsi, au moment où l’on appuie sur le bouton « action », on a l’impression qu’une tendance est déjà là. Et permettez-moi de répéter encore une fois qu’absolument tout dans l’histoire est le résultat de choix subjectifs faits par des personnes subjectives. La façon dont tout se passe dans l’histoire est que les gens se réunissent, décident de ce qu’ils veulent faire et le font. Lorsque des personnes importantes agissent, l’impact est plus visible. Donc, d’une certaine manière, tout est une « conspiration », parce que tout vient de l’action humaine. Et souvent, les personnes importantes dissimulent leurs actes. Cela ne devrait pas être une idée radicale.

Et oui, à l’heure actuelle, les principaux détenteurs du pouvoir en Occident ont compris qu’il est plus rentable et moins laborieux pour eux de simplement soudoyer les médias « officiels », les scientifiques, les universitaires, les politiciens et même l’« opposition contrôlée » – de convaincre les paysans à leur place – que de contrôler tout et tout le monde par la force. Et d’ailleurs, si le sommet de cette tour est une conspiration sérieuse, dans un sens où il s’agit d’un effort coordonné où les cerveaux agissent en général en alignement les uns avec les autres, sans révéler leurs véritables objectifs à long terme aux paysans, le reste de la tour est probablement l’affaire habituelle des humains, multipliée par le manque de sens des responsabilités morales, à l’ancienne. Plus on se rapproche du fond, plus l’ignorance et les intentions sont bonnes – car la plupart des gens croient qu’ils font le bien – mais cela ne change rien à la trajectoire tragique de la cavalcade du « reset ».

D’accord, mais attendez, il y a une vraie crise, et les riches se sont réveillés parce qu’ils veulent vivre ? Et s’il n’y avait pas de conspiration en soi, et qu’ils avaient simplement réalisé que la planète était en désordre, et qu’ils voulaient maintenant s’attaquer aux problèmes de la surpopulation et de la pollution parce qu’il y a vraiment trop de gens sur la planète qui consomment et polluent à l’excès ? Que répondez-vous à cela ?

Je suis heureux que vous posiez la question, alors parlons-en.

Il est absolument vrai que l’approche sans âme et utilitaire de la nature, de la vie et des autres êtres vivants a été extrêmement destructrice – la destruction la plus immédiate et la plus visible étant externalisée vers les « pays du tiers monde » et les personnes les moins fortunées financièrement en Occident. (Voyez les décharges, les allées du cancer, et les aliments non biologiques malsains et empoisonnés). Il est vrai que le consumérisme massif et l’utilisation de produits jetables (apportés par plus ou moins les mêmes partis qui réprimandent maintenant les gens pour leur consumérisme) ont créé beaucoup de désordre. Il est vrai que nos océans et nos poumons sont remplis de plastique, que le nombre de maladies chroniques monte en flèche et que de nombreuses espèces meurent. Il est vrai que notre sol, notre nourriture et notre corps sont contaminés par du glyphosate hautement toxique. Il est vrai qu’il s’écoule généralement des décennies entre le moment où les fabricants réalisent la toxicité de leur produit et celui où le dire dans une conversation cesse d’être une théorie du complot. Tout cela est vrai. Cependant, il est également vrai que les personnes qui pointent du doigt les maux sociaux et nous disent que nous avons besoin d’un « Grand Reset » sont issues des mêmes camps et lignées qui en sont à l’origine. Il est vrai que sous le langage de leurs brochures de marketing, il y a une toxicité et des ravages qui dépassent largement ce que nous avons aujourd’hui. Ainsi, ils sont soit des idiots, soit des menteurs – et je crains que ce soit le dernier cas. Aussi riches soient-ils, ils ne sont même pas moralement qualifiés pour réparer quoi que ce soit dans ce monde. Et quoi que nous choisissions de faire pour soigner notre relation avec la nature et entre nous, ça ne sera certainement pas le « Grand Reset » techno-fasciste et néo-féodal.

Une métaphore : Si le chef du Parti des violeurs proposait une plate-forme contre le viol qui n’arrêterait pas le viol mais qui donnerait une nouvelle image à l’acte même en disant que si l’on utilise un gode rose en plastique recyclé pour pénétrer, alors ce n’est pas un viol… penseriez-vous que c’est une plate-forme contre le viol pour de vrai ?

Alors non, ce ne sont pas eux qui doivent montrer la voie (regardez cette idée de poubelle dans l’espace). Si nous suivons, nous finirons par avoir un monde qui ressemble à ça :

En parlant de solutions, il y a beaucoup d’activistes et de leaders locaux, comme Vandana Shiva, par exemple, qui trouvent des moyens de guérir notre relation avec la nature. Il y a des lanceurs d’alerte. Il y a des avocats qui se battent contre les géants des entreprises et qui gagnent parfois. Il y a des médecins qui risquent leur carrière pour protéger leurs patients. Il y a des agriculteurs locaux. Il y a des artistes qui mettent leur âme à nu. Il y a des diseurs de vérité. Il y a de la dignité, et il y a du respect si nous insistons sur eux. Je crois que les bonnes solutions à long terme viennent de l’honnêteté et de la paix intérieure, et que chacun d’entre nous possède le génie unique qui nous aide à trouver la pièce du puzzle qui, en fin de compte, guérit le monde.

En ce qui concerne le fait qu’il y ait trop de gens sur la planète, je pense que même cela est une erreur. En fait, Vandana Shiva a produit une analyse de l’agriculture industrielle par rapport à l’agriculture locale traditionnelle en termes de chiffres, et il semble que « Big Agro » nous ait également menti sur leur importance. De plus, le plus grand « problème démographique » de l’Occident en ce moment est le nombre croissant de personnes âgées par rapport aux jeunes [un problème qui se règle tout seul et naturellement, NdT]. Et même dans le « monde en développement », les tendances semblent être différentes de ce que l’on nous apprend à penser. De plus, la planète en a assez pour tout le monde, et la raison pour laquelle nous sommes confrontés à la pénurie est que 0,0001% des gens contrôlent beaucoup de choses. Ironiquement, ce sont ces mêmes personnes qui s’inquiètent du fait qu’il n’y en a pas assez, qui poussent l’idée de surpopulation – souvent en se reproduisant avec enthousiasme – et qui infectent les jeunes cerveaux avec l’idée de surpopulation, au point que maintenant, certains jeunes de la classe moyenne ne veulent pas avoir d’enfants, « pour sauver la planète ». C’est vraiment la pagaille ?

Et oui, l’idée de surpopulation inquiète les dirigeants depuis quelques décennies. Je dirais qu’à certains moments, leurs pensées ont eu des connotations eugéniques (voir, par exemple, ce rapport Kissinger de 1974 qui se vante d’« inciter » les hommes en Inde à subir des vasectomies). Et non, il ne serait pas complètement fou d’affirmer que l’eugénisme n’a pas tout à fait disparu depuis qu’Hitler a ruiné la marque, et que quiconque se croit propriétaire du monde ne serait probablement pas contre une gestion un peu plus chirurgicale des tendances démographiques. Puis-je lire dans leurs pensées ? Non. Je ne peux pas dire qui pense quoi exactement, et heureusement pour moi, je ne suis pas invité à leurs réunions – mais de temps en temps, des personnalités comme Gates ou le Prince Charles disent des choses qui semblent tout à fait hitlériennes, et cela me fait réfléchir. D’un autre côté, je ne trouve pas cela particulièrement choquant parce que la nature humaine n’a pas changé depuis l’époque où l’eugénisme était socialement acceptable dans la « société respectable ». Ainsi, ma théorie est que certaines personnes puissantes du monde sont vraiment mauvaises et qu’elles tripotent probablement l’eugénisme – et certaines sont probablement simplement indifférentes aux désirs des paysans – mais de mon côté, je ne me soucie pas vraiment de savoir de quel côté ils penchent. Méchants ou indifférents, je ne veux pas qu’ils détruisent mon monde. Est-ce trop demander ?

Mon travail est de distribuer des poisons.
Ma condition est
La haine des formes biologiques.
On me traite de dérangé
Mais je suis le plus sain de tous.
On me traite de tueur impitoyable,
Un sadique, un robot, un roi.
Mais je ne suis qu’un perfectionniste.

Mon métier est distributeur de poisons.
Ma religion est
La haine des formes imprévisibles.
Mon poison vous trouvera
Dans les mots,
Dans l’eau que vous buvez,
Dans l’alimentation,
Dans l’air que vous respirez,
De cette façon ou d’une autre,
Il vous trouvera.

Mon travail est distributeur de poisons.
Un travail très concret.
Vous êtes le bienvenu.

Maintenant, examinons rapidement les zones qui, selon le plan du « Grand Reset », doivent être perturbées et complètement réaménagées. C’est un sujet gigantesque en soi, et je ne l’aborderai qu’en surface, en me concentrant particulièrement sur le langage utilisé et sur la manière dont il recoupe la « réponse à la pandémie ». Je vous encourage vivement à vous rendre sur le site du Forum économique mondial et à y jeter un coup d’œil.

État et gouvernance

Dans le nouveau monde, les pays existent toujours, mais ils obéissent tous à un ordre central. C’est « coopératif ». De nombreuses fonctions gouvernementales sont automatisées et déléguées à l’IA. Les décisions sont basées sur des données et des algorithmes. Il n’y a pas de vie privée, et il y a beaucoup plus de fluidité en ce qui concerne les migrations (donc malheureusement, le sentiment très humain d’être gentil avec les migrants qui est promu dans les médias n’est peut-être pas une question de gentillesse, ce qui est une déception pour moi personnellement). Il y a aussi une possibilité de remplacer les gouvernements humains par l’IA, mais pas immédiatement. Le raisonnement est simple : Pour que les super riches puissent gérer l’inventaire mondial, les gouvernements individuels doivent agir davantage comme des gestionnaires de niveau intermédiaire responsables devant les autorités internationales que comme des gouvernements fédéraux indépendants.

Vous vous rappelez comment les « magasins familiaux » ont été écartés du marché et remplacés par des chaînes de magasins ? Même chose ici, sauf que dans ce cas, ces « magasins du coin » sont des pays.

L’Amérique traditionnelle, aujourd’hui, s’y oppose fortement. Son habitude de la consommation généreuse et de la libre expression, sa politique étrangère égocentrique, son sentiment de droit et ses grandes maisons de banlieue sont une évidence. Une Amérique traditionnelle, indépendante et forte est un obstacle. Dans cette optique – et avec une mise en garde selon laquelle je ne pense pas qu’il existe un empire juste – j’ai le sentiment qu’il y a un effort actif pour « réduire l’Amérique », pour coopter son gouvernement, pour détruire les fermes et les petites entreprises – en particulier celles qui ne sont pas compatibles avec cet avenir entièrement numérique – et pour déchoir la classe moyenne qui y a droit, en particulier dans les carrières « dépassées ». On a l’impression que nous sommes actuellement en pleine « révolution colorée », un coup d’État en douceur. Habituellement, les élites américaines le font à d’autres nations, mais maintenant, cela se passe sur le sol national. On a l’impression que le programme du « Grand Reset », par ses messagers et par son argent, façonne à la fois la « réponse au Covid-19 » schizophrène et le mouvement « justice sociale / climat » soudainement généralisé et bien financé des super-entreprises, qui sont tous à ce stade entremêlés en termes de messages.

Tous deux prétendent promouvoir le bien public, et tous deux utilisent habilement des armes pour régler de vrais problèmes et faire monter en puissance des gens qui ont un réel amour de l’équité dans leur cœur – tout cela pour ouvrir la voie aux objectifs financiers des « grands resetters », tels que l’érosion complète de la vie privée (avec le traçage des contacts), le déplacement de toutes les activités humaines en ligne (eh bien, tout), l’application de la loi et la précriminalité basées sur l’IA (voir « définancer la police »), et ainsi de suite. Et oui, l’Amérique a de nombreux vrais problèmes. Mais ce n’est pas comme si les structures actuelles étaient remplacées par un conseil d’anciens indigènes sages et spirituellement ancrés qui sont profondément connectés à la Terre et qui ne blesseront aucune vie innocente. Ce que l’on tente – même si l’on dissimule mal le marketing – est bien pire, bien moins humain et bien plus destructeur que ce que nous avons aujourd’hui. Je n’aime pas cela.

La finance

C’est de la monnaie numérique, de la cryptographie et des paiements par téléphone portable tout le temps. Les citoyens doivent être totalement transparents et laisser une trace de tout ce qu’ils font, vous vous souvenez ?

La nourriture

Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que vous aimez la viande de cafard, parce que ça vient.

Remarques cyniques mises à part, le « futur de la nourriture » est un désastre. Les menteurs sur les chaises hautes ont le culot d’utiliser de bons mots comme « développement durable » mais il n’y a rien de durable dans cette chose. C’est du « Big Agro » sous stéroïdes, très toxique. Et, accessoirement, c’est aussi consommateur d’énergie car tous ces robots, capteurs et centres de données ne sont pas gratuits, mais qui compte.

De plus, les fermes d’aujourd’hui doivent disparaître. Non seulement les fâcheux fermiers traditionnels locaux sont en concurrence avec les aliments cultivés en laboratoire et les OGM brevetés, ainsi qu’avec les sols brevetés, mais ils prennent également la place nécessaire aux aires de loisirs de nos seigneurs, ainsi qu’aux parcs d’éoliennes et de panneaux solaires (qui prennent tous beaucoup de place, d’ailleurs). Et que savez-vous, peut-être que les rois veulent vraiment « conserver » certaines parcelles de la nature en la gardant libre de toute présence humaine. C’est leur inventaire, après tout, il est logique de bien l’entretenir.

Pas étonnant que la « réponse Covid-19 » frappe si durement les fermes, les obligeant à faire faillite…

Agriculture

Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya, montre que derrière la bonne image de la Fondation Gates se cache une philosophie toxique de philanthro-capitalisme qui repose sur le rachat par les entreprises de nos semences, de notre agriculture, de notre alimentation, de nos connaissances et de la santé mondiale.

La cupidité de Bill Gates est l’une des personnes les plus riches de la planète et le fondateur de la plus grande organisation philanthropique au monde, la Fondation Bill et Melinda Gates. Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya International, montre que derrière l’image de bon augure de la Fondation Gates se cache une entreprise toxique …

organicconsumers.org

L’éducation

En ligne.

Médecine

Télé-

Jusqu’à présent, tant en terme médecine qu’en terme d’éducation, nous sommes sur la bonne voie, grâce à la pandémie mondiale …

L’énergie

Celui-ci est intéressant. Parce que les combustibles fossiles, le diable du marketing actuel, sont vraiment mauvais. Il est vrai que l’extraction du pétrole est abusive pour la planète. Les déversements créent beaucoup de dégâts, et ils se produisent tout le temps. Les barons du pétrole sont des bandits. Les gens qui vivent à proximité des raffineries tombent malades. Le plastique, qui provient du pétrole, pollue tout, des océans à nos estomacs et à nos poumons. Cependant, les combustibles fossiles sont également la seule source d’énergie – en dehors du nucléaire – qui soit actuellement capable de soutenir les niveaux de consommation de la population mondiale. De plus, si vous regardez sous le capot du « vert », ce n’est pas si vert que ça, à moins que nous parlions de la couleur de l’argent. Les panneaux solaires prennent beaucoup d’espace, ils se dégradent rapidement et se transforment en amas toxiques.

solar power

Retour à la nature @backt0nature

Une ferme solaire étonnante

Les éoliennes prennent également beaucoup de place et ont leurs propres problèmes. Elles sont toutes deux très dépendantes du temps et ne fournissent pas suffisamment d’énergie. Il est également à noter que le récent film de Michael Moore, « Planète des Humains », qui explorait certains des aspects pas si verts de l’« énergie verte » et faisait la lumière sur une partie de la corruption du mouvement environnemental, a été attaqué par les leaders écologistes de manière vicieuse et si uniforme que le film a été retiré des principales plateformes et a en quelque sorte disparu de l’attention du public.

Quoi qu’il en soit, que se passera-t-il si les combustibles fossiles disparaissent ? Au fait – et c’est un point important – je ne suis pas convaincu que les « resetters » aient l’intention de faire disparaître les combustibles fossiles. Je pense que nous pourrions envisager un acte de repositionnement de l’image de marque. Jusqu’à récemment, je pensais qu’ils voulaient vraiment « démanteler » les combustibles fossiles, mais j’ai ensuite examiné la « technologie climatique » et maintenant je pense que les choses sont plus complexes, que cela pourrait être une manœuvre géopolitique stratégique. Je ne sais pas. Il existe des chevauchements technologiques particuliers entre les combustibles fossiles et l’énergie « verte », mais le temps nous le dira. En tout cas, s’ils disparaissent ou font semblant de disparaître, nous découvrirons rapidement que l’éolien et le solaire ne sont pas à la hauteur – et nous rencontrerons alors notre nouveau roi de l’énergie « verte », la fusion nucléaire, oui !!.

Quand cela arrivera, notre ami, le célèbre philanthro-capitaliste, viendra à notre secours. Il est très investi dans les réacteurs à fusion nucléaire – en fait, son projet préféré, selon lui. (En fait, il se trouve qu’il est très impliqué dans à peu près tous les points de la liste « Grand Reset », quel génie des affaires il est). Mais attendez, pour rendre l’intrigue encore plus intéressante, l’OMS, qui bénéficie bien sûr de son généreux financement, s’est donné beaucoup de mal dans le passé pour minimiser le bilan sanitaire d’incidents nucléaires tels que Tchernobyl et Fukushima.

Parlant d’énergie et de finances, parlons de « capital humain ». Dans le nouveau monde, le « capital humain » n’est pas seulement une métaphore pour les ressources humaines ou le travail. Microsoft, par exemple, a déposé un brevet pour une méthode permettant de transformer le comportement humain en crypto-monnaie, ce qui se fait grâce à un dispositif non spécifié couplé à un serveur qui enregistre l’activité du corps et « mine » la crypto. Puisque dans le cadre de la Nouvelle Normalité, le numérique et la cryptographie sont censés devenir courants, cela ressemble étrangement à un outil qui peut être utilisé à la fois pour contrôler étroitement le comportement des pauvres qui peuvent en dépendre pour leurs revenus et pour miner littéralement les corps des personnes dépendantes de l’aide sociale / recevant un revenu de base pour l’énergie (qui, soit dit en passant, est une chose réelle, croyez-le ou non).

En outre, ce brevet pourrait potentiellement être utilisé pour créer un nouvel instrument financier car, si elles sont exploitées pour l’énergie, ces personnes deviennent des « actifs » qui pourraient éventuellement être regroupés dans des portefeuilles virtuels et échangés virtuellement. Vous voyez comme c’est peaufiné ? Maintenant, nous parlons de véritable servage ! Et oui, cela fait très science-fiction, mais n’oublions pas que certains « visionnaires » milliardaires ne pensent pas comme les gens normaux, ou alors les travailleurs des entrepôts d’Amazon ne porteraient pas des couches pour sauter les pauses toilettes. N’oublions pas non plus qu’aujourd’hui, il y a des échanges d’objets très théoriques ainsi que des paris sur la météo. Beaucoup d’argent dans ce monde est gagné sur des choses étranges et arbitraires !

En parlant de la météo, le « Grand Reset » légitime également l’atrocité dangereuse et envahissante de la géo-ingénierie, et la rend potentiellement « cool » et « salvatrice », tout comme le font certains livres blancs sur le « mouvement pour le changement climatique ». J’ai remarqué cela et j’ai fait le deuil de ce fait il y a quelques années, en criant sur tous les toits à quel point c’était le bordel. Pulvériser de la merde toxique dans l’air, c’est cool et « vert » ? Quel acte de tromperie linguistique.

Un mot aussi sur le carbone. Je ne vais pas entrer dans le vif du sujet parce que l’article est déjà long, mais il semble que, quelle que soit l’histoire du carbone à sa naissance, elle s’est transformée en un outil permettant de créer un marché à partir de rien, et un tas d’instruments financiers permettant de gagner de l’argent, également à partir de rien. Prenez par exemple ce plan, soutenue par Gates et quelques géants du pétrole. Ce que je préfère, c’est qu’une fois le dioxyde de carbone éliminé de l’atmosphère à l’aide d’un cocktail de produits chimiques, l’une des façons de stocker le butin est de brûler un bouquet d’arbres (pardon, « biomasse »). Oui, c’est tout à fait logique, car qui peut gagner de l’argent en laissant simplement les arbres tranquilles et en les laissant faire le travail, gratuitement ? Quel genre d’idiot permettrait cela ?

Je voudrais également souligner le fait que lorsqu’il est stocké, il l’est en profondeur, comme jamais auparavant. (Que font les processus internes de la planète ? Quelqu’un a-t-il bien réfléchi à la question ?) Il faut aussi construire des pipelines pour transporter le dioxyde de carbone d’un endroit à l’autre, un peu comme on transporte du pétrole. Et enfin, le captage et le stockage du carbone sont incroyablement gourmands en énergie, et cette énergie provient de… combustibles fossiles ? Du nucléaire ? D’éoliennes qui doivent alors occuper la moitié de la surface de la planète ? Oh je ne sais pas… Et en parlant de langage, l’objectif n’est pas « Zero Carbon Emissions », mais « Net Zero Carbon Emissions », ce qui signifie que nous pouvons continuer à polluer, et ensuite construire une nouvelle industrie lucrative par-dessus, tout en créant un nouveau type de pollution. En d’autres termes, les affaires comme d’habitude…

Par ailleurs, alors que nous sommes sur le thème du « développement durable vert », la construction de technologies et d’infrastructures de surveillance – qui sont toutes extrêmement consommatrices d’énergie, sans parler des déchets – ne va-t-elle pas à l’encontre de l’idée écologique ? J’y ai pensé il y a quelque temps lorsque j’ai lu, avec beaucoup d’enthousiasme au début, le texte de la proposition de loi sur le Green New Deal.  justice oui !! … droits des indigènes, oui !! … attendez … des réseaux électriques « intelligents » ? N’est-ce pas exactement ce que veut la Big Tech, et cela n’implique-t-il pas un besoin de capteurs intelligents qui viennent avec plus d’infrastructures et de satellites, plus de tours, une perte de vie privée, et un nouveau type de pollution sans fil produisant des effets non testés sur la santé ? Cela m’a empêché d’avancer et m’a obligé à me pencher sur diverses initiatives « vertes » et, par conséquent, à découvrir divers squelettes dans le placard. Et puis je suis tombé par hasard sur le travail de Cory Morningstar, et je me suis dit : « ouahh ! Mon instinct était bon, ce n’est pas exactement ce qu’il semble ! »

Voilà une belle transition vers la façon dont le récit de la « crise sanitaire mondiale » s’inscrit dans le « Grand Reset ».

Tout d’abord, quelques notes de ménage.

Comme je l’ai déjà dit, le « Grand Reset » est un plan extrêmement ambitieux de restructuration de l’économie mondiale – et de la notion même de ce que signifie être en vie. (Est-ce qu’un zombie poussé par l’IA dont la prise de décision est externalisée est vraiment vivant ?) Sans une population qui coopère, cette réforme économique et religieuse ambitieuse ne peut pas réussir.

Quelle est la meilleure façon de faire coopérer la population à cette très étrange réforme ? C’est la peur, car les promesses de plaisir ne suffisent pas pour réaliser un changement aussi massif et bizarre. Il faut donc que ce soit la peur et le stress, que ce soit à cause d’un ennemi extérieur, d’une perspective de catastrophe naturelle ou d’une maladie.

N’oublions pas qu’avant 2020, il y a déjà eu un récit de la peur très coûteux, soutenu par plus ou moins les mêmes acteurs qui font maintenant pression pour le « Grand Reset ». Je parle bien sûr du récit militarisé du « changement climatique ». Et alors qu’il y a de nombreux problèmes environnementaux qui doivent être résolus dès que possible, le mouvement des entreprises en faveur du « changement climatique » s’est étrangement concentré sur des messages qui coïncident grosso modo avec ceux de la campagne pour le « Grand Reset », servant leurs objectifs financiers – et les trajectoires de financement se chevauchent également. Il semble donc que les intérêts financiers derrière la campagne du « Grand Reset » aient d’abord essayé d’utiliser le « mouvement climatique », mais cela n’a pas généré les niveaux de peur souhaités assez rapidement. Les gens ne s’en sont pas suffisamment souciés. J’ai personnellement suivi une formation et je connais bien l’« organisation » et les astuces de programmation neurolinguistique qui sont censées rendre le public très inquiet au sujet du climat. Le message est très bien pensé et bénéficie d’un généreux soutien financier, ce n’est pas un mouvement hippie de base – même si beaucoup de personnes y mettent sincèrement du leur. Tout comme les témoins de Jéhovah de la base qui frappent à votre porte peuvent être extrêmement sincères.

En tant qu’être humain, je ne fais confiance à aucune entité qui, froidement et de manière calculée, essaie de me faire peur et de déclencher une réaction de stress. Les personnes que j’ai écoutées ne semblaient pas elles-mêmes très effrayées. Ils étaient bien nourris, de classe moyenne, et pas sous-employés. Ils n’avaient pas peur d’être arrêtés lors d’une manifestation – et en fait ils ont cherché à être arrêtés, sans aucune crainte pour leur futur emploi. Après avoir vu cela, j’ai commencé à poser des questions sur les raisons pour lesquelles ils voulaient que j’aie peur, et sur ce qu’ils voulaient que je fasse. Lorsque j’ai commencé à poser des questions et à faire des recherches, il s’est avéré que la trajectoire des « solutions » comprenait des choses comme les réseaux intelligents, les voitures électriques (qui ne sont pas écologiques à distance) et la géo-ingénierie. Cela, pour moi, n’était pas acceptable. Cela signifiait également qu’ils ne respectaient pas vraiment la planète, car s’ils le faisaient, ils ne voudraient pas coller des tours partout ou pulvériser des saletés dans l’atmosphère pour bloquer le soleil. Maintenant, il est très possible que le mouvement environnemental ait été bon et honnête lorsqu’il a commencé – mais une grande partie a été détournée depuis, d’une manière très furtive où les gens sur le terrain ne se rendent même pas compte qui ils servent. Et encore une fois, permettez-moi de répéter : il y a un besoin énorme de vraie durabilité, c’est juste que les mesures pratiques qu’implique le langage codé du marketing ne sont pas du tout durables !

En tout cas, le fait d’effrayer les gens avec le récit officiel de l’urgence climatique a certainement créé une vague dans la conscience des gens et un certain degré d’anxiété environnementale, en particulier dans la Génération Z – mais cela n’a pas suffi à paralyser ou à mobiliser. Mais lorsque le virus est apparu, comme par magie, les choses ont commencé à se mettre en place rapidement – ce qui était impensable auparavant. Non, je ne dis pas que le virus n’est pas réel. Et je ne fais aucune déclaration définitive sur son origine ou sur la façon dont il est apparu. J’ai mes théories, mais il y a des choses que je ne peux pas savoir et que je ne peux pas changer. Mais ce que je sais, c’est que la réaction a été absurde, sans précédent, et étrangement conforme aux mesures qui étaient déjà à l’ordre du jour. En parlant d’urgence, Woodstock s’est produit pendant une grande pandémie…

Voyons donc

Avons-nous déplacé avec force la plupart des activités – telles que l’éducation, la médecine, le shopping, le sexe et les loisirs – en ligne pour l’instant, alors que nous travaillons à « numériser » le monde physique, pour faciliter le suivi et la surveillance ?

Validé.

Avons-nous, malgré le confinement des paysans en col blanc, poursuivi les travaux de construction, y compris la construction très robuste de nouvelles structures de télécommunications et d’antennes cellulaires, nécessaires pour soutenir l’Internet des Objets ?

Validé.

Avons-nous réussi à presque détruire les moyens de subsistance de nombreux agriculteurs indépendants qui étaient en concurrence avec nos nouveaux produits « comestibles », et aussi à perturber les chaînes d’approvisionnement alimentaire traditionnelles ?

Validé.

Avons-nous également réussi à détruire un bon nombre de petites entreprises locales ?

Bien sûr !

Les salles de concert et les théâtres ?

C’est certain.

Travaillons-nous à remplacer les services répressifs par l’IA ?

Bien sûr ! Définancez ! Définancez ! Définancez !

Essayons-nous de légitimer l’érosion complète de la vie privée et l’accès facile aux données de santé privées ?

Oui ! Parce qu’il y a urgence sanitaire.

Sommes-nous sur la bonne voie lorsqu’il s’agit de suivre chaque mouvement de chaque personne ?

Traçage des contacts, oui ! Mais certains pays sont encore à la traîne.

Une carte d’identité médicale numérique est-elle désormais exigée pour les voyages internationaux ?

Oui, le Common Pass est en ligne !

Avons-nous réussi à perturber les procédures politiques et juridiques et à créer le chaos ?

Oui, Monsieur !

Plus important encore, avons-nous réussi à perturber la pensée et les relations humaines au point que nous, le robot, l’agresseur, sommes maintenant le seul ami de tout le monde ?

Nous y travaillons encore, mais nous sommes proches.

Sommes-nous en bonne voie de préparer les gens à un large déploiement de vêtements intelligents ?

Oui. Portez votre masque.

Contrôlons-nous légalement la vie sexuelle des gens ?

Oui !

En parlant de cela, le contrôle par l’État du corps et de la sexualité des gens est un signe classique de réforme religieuse. Chaque fois que cela se produit, faites attention.

Ou alors, prenons des mesures d’enfermement, par exemple. Le confinement et les restrictions de mouvement et de contact physique sont d’excellents outils de modification du comportement – et la modification du comportement, également connue sous le nom d’ingénierie sociale, est certainement une forme d’art très respectée parmi les puissants. Un ingénieur social qui se respecte planifie dix étapes à l’avance et crée des situations dans lesquelles les cibles demandent les changements souhaités ! Je postule qu’actuellement, nous sommes soumis à une danse Sado&Maso involontaire. Nous sommes au milieu d’un rituel destiné à créer un sentiment de confusion, d’insécurité et de dépendance – qui sera finalement résolu par nos maîtres, ce dont nous serons très reconnaissants car nous voudrons juste que la tension insupportable soit résolue. Déjà, beaucoup ont développé le syndrome de Stockholm, se mettant du côté de l’agresseur. Les mesures sont totalement arbitraires – mais peu importe, on attend de nous que nous nous y pliions et que nous acceptions que nos souffrances et nos privations soient pour notre propre bien. Cela fait de nous une « meilleure personne ».

Aux yeux d’un psychopathe, il n’y a pas de joie.

Aux yeux d’un esclave, il y a acceptation d’un étrange sentiment d’engourdissement là où l’âme se trouvait auparavant.

Où allons-nous à partir de là ?

Pour ma part, je ne pense pas que nous devrions accepter l’obscurité. Je pense que notre meilleure option est d’insister sur la dignité et de trouver notre cœur. Nos cœurs nous diront quoi faire ensuite.

Tessa Lena

Liens et références

Histoire
Finance
Gouvernance
Modification du comportement
Alimentation et agriculture

https://ieep.eu/news/how-to-deliver-on-the-eu-farm-to-fork-s-protein-transition-objectiveshttps://interestingengineering.com/the-explosion-of-insect-proteinhttps://www.cnbc.com/2020/02/14/bug-protein-how-entrepreneurs-are-persuading-americans-to-eat-insects.htmlhttps://www.ibm.com/blockchain/solutions/food-trust

Éducation

Énergie et environnement
Reconstruire en mieux

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La « Réinitialisation mondiale » (« Global Reset ») – Désactivée. « L’État profond ».

[Source : Mondialisation.ca]

Par Peter Koenig

Imaginez, vous vivez dans un monde dans lequel on vous dit qu’il est une démocratie – et vous pouvez même le croire – mais en fait votre vie et votre destin sont entre les mains de quelques oligarques ultra-riches, ultra-puissants et ultra-inhumains. Ils peuvent être appelés État profond, ou simplement « la Bête », ou n’importe quoi d’autre d’obscur ou d’introuvable – peu importe. Ils sont inférieurs à 0,0001%.

Faute d’une meilleure expression, appelons-les pour l’instant les « individus obscurs » (“obscure individuals”).

Ces « individus obscurs » qui prétendent diriger notre monde n’ont jamais été élus. Nous n’avons pas besoin de les nommer. Vous découvrirez qui ils sont, et pourquoi ils sont célèbres, et certains d’entre eux totalement invisibles. Ils ont créé des structures, ou des organismes sans aucun format légal. Ils agissent totalement hors de la légalité internationale. Ils sont à l’avant-garde de « la Bête ». Il y a peut-être plusieurs « bêtes » en concurrence. Mais elles ont le même objectif : Un nouvel ordre mondial ou un seul ordre mondial (NWO, ou OWO).

Ces « individus obscurs » dirigent, par exemple, le Forum économique mondial (FEM – représentant la Grande industrie, la Grande finance et de Grande renommée), le Groupe des 7 – G7, le Groupe des 20 – G20 (les dirigeants des nations les plus « fortes » économiquement). Il existe également quelques entités de moindre importance, appelées la Société Bilderberg, le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations, CFR), Chatham House et d’autres encore.

Les membres de toutes ces entités se chevauchent. Et même ce front élargi représente moins de 0,001 %. Ils se sont tous superposés à des gouvernements nationaux souverains élus et constitutionnels, et à LA multinationale mondiale, les Nations unies, l’ONU.

En fait, ils ont coopté l’ONU pour faire leur travail. Les directeurs généraux de l’ONU, ainsi que les directeurs généraux des multiples sous-organisations de l’ONU, sont choisis pour la plupart par les États-Unis, avec le consentement de leurs vassaux européens – en fonction du profil politique et psychologique du candidat. Si sa « performance » à la tête de l’ONU ou de l’une de ses sous-organisations échoue, ses jours sont comptés. L’Union européenne, les organisations de Bretton Woods, la Banque mondiale et le FMI, ainsi que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) – et – ne vous y méprenez pas – la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, ont également été cooptés ou créés par la ou les « Bête(s) ». Elle n’a pas de pouvoir réel. Uniquement pour s’assurer que la loi est toujours du côté des hors-la-loi.

Outre les principales institutions financières internationales, la Banque mondiale et le FMI, il existe ce que l’on appelle les banques régionales de développement et autres institutions financières similaires, qui contrôlent les pays de leurs régions respectives.

 En fin de compte, c’est l’économie financière ou de la dette qui contrôle tout. Le banditisme néolibéral occidental a créé un système dans lequel la désobéissance politique peut être punie par l’oppression économique ou le vol pur et simple des biens nationaux dans les territoires internationaux. Le dénominateur commun de ce système est le dollar US (toujours) omniprésent.

Les « individus non élus »

La suprématie de ces « individus obscurs » non élus est de plus en plus évidente. Nous, « le Peuple », considérons qu’il est « normal » qu’ils prennent les décisions, et non pas ce que nous appelons – ou étions autrefois fiers d’appeler – nos nations souveraines et nos gouvernements souverainement élus. Ils sont devenus un troupeau de moutons obéissants. « La Bête » a progressivement et tranquillement pris le dessus. Nous n’avons pas remarqué. C’est la tactique du salami : vous le coupez tranche par tranche et quand le salami a disparu, vous vous rendez compte qu’il ne vous reste plus rien, que votre liberté, vos droits civils et humains ont disparu. À ce moment-là, il est trop tard. Le Patriot Act étasunien en est un bon exemple. Il a été préparé bien avant le 11 septembre. Une fois le 11 septembre « arrivé », le Patriot Act a été adopté par le Congrès en un rien de temps – pour la protection future du peuple – les gens l’ont réclamé par peur – et – bingo, le Patriot Act a privé environ 90% de la population étasunienne de sa liberté et de ses droits civils. Pour de bon.

Nous sommes devenus esclaves de « la Bête ». « La Bête » décide de l’essor ou de l’effondrement de nos économies, de qui devrait être endetté, quand et où une pandémie devrait éclater, et des conditions de survie à la pandémie, par exemple le confinement social. Et pour couronner le tout, les instruments que « la Bête » utilise, très astucieusement, sont un minuscule ennemi invisible, appelé virus, et un monstre énorme mais aussi invisible, appelé LA PEUR. Cela nous empêche d’aller dans la rue, de retrouver nos amis, d’aller au théâtre, de faire du sport ou de pique-niquer dans le parc.

Bientôt, « la Bête » décidera qui vivra et qui mourra, littéralement – si nous la laissons faire. Ce n’est peut-être pas si loin. Une autre vague de pandémie et les gens pourraient ainsi supplier, crier et hurler pour obtenir un vaccin, pour sonner le glas et pour le super profit des grandes sociétés pharmaceutiques – et pour atteindre les objectifs des eugénistes qui parcourent ouvertement le monde – voyez ceci. Il est encore temps de dire NON collectivement. Collectivement et solidairement.

Prenez le dernier cas d’imposture flagrante. Comme par hasard, après le passage de la première vague de Covid-19, au moins dans le « Nord global », où se prennent les grandes décisions mondiales, au début du mois de juin 2020, le président non élu du FEM, Klaus Schwab, a annoncé « La grande Réinitialisation » (“The Great Reset”). Profitant de l’effondrement économique – le choc de la crise, comme dans « La doctrine du choc » – M. Schwab, un des leaders de « la Bête », annonce ouvertement ce que le FEM va discuter et décider pour le monde à venir lors de son prochain Forum de Davos en janvier 2021. Pour plus de détails, voir ceci.

Nous, le peuple, accepterons-nous l’ordre du jour des individus du FEM non élus ?

Le FEM se concentrera de manière opportune sur la protection de ce qui reste de la Terre Mère ; évidemment, au centre se trouvera le « Réchauffement climatique », basé sur le CO2 produit par l’humain. L’instrument de cette protection de la nature et de l’humanité sera l’Agenda 2030 des Nations unies – qui équivaut aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Il sera axé sur la manière de reconstruire l’économie mondiale délibérément détruite, tout en respectant les principes (« verts ») des 17 ODD.

Mais attention, tout est relié. Il n’y a pas de coïncidences. Le tristement célèbre Agenda 2021, qui coïncide avec et complète le soi-disant Agenda 2030 des Nations unies, sera dûment inauguré par la déclaration officielle du FEM de « The Great Reset », en janvier 2021. De même, la mise en œuvre de l’agenda de « The Great Reset » a commencé en janvier 2020, avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus – prévue depuis des décennies, les derniers événements visibles étant le rapport Rockefeller de 2010 avec son « Lockstep Scenario » (le Scénario du verrouillage), et l’événement 201, du 18 octobre à New York qui a simulé par ordinateur une pandémie de coronavirus, laissant en 18 mois 65 millions de morts et une économie en ruine. Cela a été programmée quelques semaines seulement avant le lancement de la véritable pandémie de COVID-19.
Voir COVID-19, We Are Now Living the « Lock Step Scenario »,
voir en français La farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel» 
et ceci et ceci (et en français ceci).

Les émeutes raciales

Des émeutes raciales, initiées par le mouvement Black Lives Matter (financé par la Fondation Ford et l’Open Society Foundation de Soros), à la suite de l’assassinat brutal de l’Afro-Américain George Floyd par une bande de policiers de Minneapolis se sont répandues comme un feu de brousse en un rien de temps dans plus de 160 villes dans le monde, d’abord aux États-Unis, puis en Europe. Ces émeutes ne sont pas seulement liées à l’agenda de « la Bête », mais elles constituent une déviation bien commode de la catastrophe humaine provoquée par la  pandémie Covid-19. Voir aussi ceci.

Le plan infâme de « la Bête » pour mettre en œuvre ce qui se cache réellement derrière l’Agenda 2030 des Nations unies est l’Agenda ID2020 qui demeure méconnue du grand public. Voir La pandémie du coronavirus COVID-19 : Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». Cet agenda a été créé et financé par le gourou de la vaccination Bill Gates, tout comme la GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunizations), l’association des grandes entreprises pharmaceutiques – qui a participé à la création des vaccins coronavirus et qui finance avec la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) une part importante du budget de l’OMS

La « Grande réinitialisation » (« Great Reset »), telle qu’annoncée par Klaus Schwab du FEM, est censée être mise en œuvre par l’Agenda ID2020. C’est plus que ce que l’on pourrait croire. L’Agenda ID2020 est même intégré aux SDG, puisque la SDG 16.9 « d’ici 2030, fournira une identité légale [numérique] pour tous, y compris l’enregistrement gratuit des naissances« . Cela s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de la SDG 16 : « Promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives pour un développement durable, fournir un accès à la justice pour tous et mettre en place des institutions efficaces, responsables et inclusives à tous les niveaux ».

Suivant la voie officielle de l’Agenda 2030 des Nations unies pour la réalisation des SDG, l’Agenda ID2020 « mise en oeuvre » – qui est actuellement testé sur des écoliers au Bangladesh – fournira des cartes d’identité numérisées, éventuellement sous la forme de nanopuces implantées en même temps que les programmes de vaccination obligatoires, encouragera la numérisation de l’argent et le déploiement des 5G – qui seraient nécessaires pour télécharger et contrôler les données personnelles sur les nanopuces et pour contrôler la population. L’Agenda ID2020 inclura très probablement aussi des « programmes » – par la vaccination ? – de réduction significative de la population mondiale. L’eugénisme est une composante importante du contrôle de la population mondiale future dans le cadre d’un NOW / OWO – voir aussi Georgia Guidestones, mystérieusement construit en 1980.

L’élite dirigeante a utilisé le confinement comme instrument pour mener à bien ce programme. Sa mise en œuvre se heurterait naturellement à des protestations massives, organisées et financées selon les mêmes modalités que les protestations et manifestations du BLM. Il se peut qu’elles ne soient pas pacifiques – et qu’elles ne soient pas planifiées comme telles. En effet, pour contrôler la population aux États-Unis et en Europe, où l’on s’attendrait à la plupart des manifestations de la société civile, une militarisation totale de la population est nécessaire. Cela est en cours de préparation.

Dans son essai « The Big Plantation« , John Steppling rapporte, à partir d’un article de NYT, que

« Depuis 2006, un minimum de 93 763 mitrailleuses, 180 718 cartouches de chargeur, des centaines de silencieux et un nombre inconnu de lance-grenades ont été fournis aux services de police d’État et locaux aux États-Unis. Cela s’ajoute à au moins 533 avions et hélicoptères, et 432 MRAP – véhicules blindés de 9 pieds de haut, de 30 tonnes, protégés contre les embuscades et dotés de tourelles à canon et de plus de 44 900 pièces d’équipement de vision nocturne, régulièrement utilisés lors de raids nocturnes en Afghanistan et en Irak ».

Il ajoute que cette militarisation s’inscrit dans une plus vaste tendance. Depuis la fin des années 1990, environ 89 % des services de police étasuniens desservant des populations de 50 000 personnes ou plus disposaient d’une PPU (unité paramilitaire de police), soit près du double de ce qui existait au milieu des années 1980. Il appelle ces polices militarisées la nouvelle Gestapo.

Même avant la pandémie COVID-19, environ 15 à 20 % de la population se trouvait sur ou sous le seuil de pauvreté aux États-Unis. L’anéantissement économique post-covidien va au moins doubler ce pourcentage – et augmenter proportionnellement le risque de révoltes civiles et d’affrontements avec les autorités – ce qui renforce encore le raisonnement en faveur d’une force de police militarisée.

Le Crypto RMB chinois

Bien entendu, aucun de ces scénarios ne sera présenté au public par le FEM en janvier 2021. Il s’agit de décisions prises à huis clos par les acteurs clés de « la Bête ». Cependant, ce plan grandiose de la « Grande Réinitialisation » (« Great Reset ») ne va pas nécessairement se réaliser. La moitié au moins de la population mondiale et certains des pays les plus puissants, économiquement et militairement – comme la Chine et la Russie – y sont opposés. « Reset » peut-être oui, mais pas dans ces termes occidentaux. En fait, une réinitialisation de ce type est déjà en cours, la Chine étant sur le point de lancer une nouvelle monnaie cryptographique basée sur une chaîne de blocs, le RMB cryptographique, ou yuan. Il ne s’agit pas seulement d’une monnaie forte basée sur une économie solide, elle est également soutenue par l’or.

Alors que le président Trump continue de fustiger la Chine pour ses pratiques commerciales déloyales, pour sa mauvaise gestion de la pandémie de grippe (COVID-19), pour avoir volé des droits de propriété – une campagne sans fin contre la Chine -, pour avoir affirmé que la Chine dépend des États-Unis et que ces derniers vont couper les liens commerciaux avec la Chine – ou les couper complètement – la Chine appelle cela du bluff. La Chine se réoriente discrètement vers les pays de l’ANASE plus le Japon (oui, le Japon !) et la Corée du Sud, où le commerce représente déjà aujourd’hui environ 15 % de l’ensemble des échanges commerciaux de la Chine et devrait doubler au cours des cinq prochaines années.

Malgré le verrouillage et la perturbation des échanges commerciaux, les exportations globales de la Chine se sont rétablies avec une augmentation de 3,2 % en avril (par rapport à avril 2019). Cette performance globale des exportations chinoises s’est néanmoins accompagnée d’une baisse spectaculaire des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine. Les exportations chinoises vers les États-Unis ont diminué de 7,9 % en avril (par rapport à avril 2019).

Il est clair que la grande majorité des industries étasuniennes ne pourraient pas survivre sans les chaînes d’approvisionnement chinoises. La dépendance occidentale à l’égard des fournitures médicales chinoises est particulièrement importante. Sans parler de la dépendance de la Chine à l’égard des consommateurs étasuniens. En 2019, la consommation totale des États-Unis, soit environ 70 % du PIB, s’élevait à 13,3 billions de dollars, dont une bonne partie est directement importée de Chine ou dépend des ingrédients provenant de Chine.

Les maîtres du FEM sont confrontés à un véritable dilemme. Leur plan dépend beaucoup de la suprématie du dollar qui continuerait à permettre l’application de sanctions et la confiscation des actifs des pays qui s’opposent à la domination des États-Unis ; une hégémonie du dollar qui permettrait d’imposer les composantes du programme « The Great Reset » (la Grande réinitialisation), comme décrit ci-dessus.

À l’heure actuelle, le dollar est une monnaie fiduciaire, une dette créée de toutes pièces. Il ne bénéficie d’aucun soutien. Par conséquent, sa valeur en tant que monnaie de réserve se dégrade de plus en plus, en particulier vis-à-vis du nouveau crypto-yuan de Chine. Afin de concurrencer le yuan chinois, le gouvernement étasunien devrait s’éloigner de son système monétaire Ponzi, en se séparant du Federal Reserve Act de 1913 et en imprimant sa propre monnaie de l’économie étasunienne et éventuellement de l’or (crypto) – et non pas de la monnaie fiduciaire de la FED, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela impliquerait de couper les liens plus que centenaires avec la FED, propriété du clan Rothschild et Cie, et de créer une véritable banque centrale appartenant aux citoyens. Ce n’est pas impossible, mais grandement improbable. Ici, deux « bêtes » pourraient s’affronter, car une puissance mondiale est en jeu.

Pendant ce temps, la Chine, avec sa philosophie de création sans fin, continuerait d’avancer de façon imparable avec son gigantesque plan de développement socio-économique du 21e siècle, l’Initiative ceinture et route (la Nouvelle route de la soie) reliant la Chine au reste du monde avec des infrastructures de transport terrestre et maritime, avec des projets de recherche et industriels communs, des échanges culturels – et surtout, un commerce multinational (multinational trade) avec des caractéristiques « gagnant-gagnant », l’égalité pour tous les partenaires – vers un monde multipolaire, vers un monde avec un avenir commun pour l’humanité.

Aujourd’hui déjà, plus de 120 pays sont associés à l’ICR – et le projet en chantier est libre pour que d’autres pays s’y joignent – et pour défier, démasquer et « désactiver » la Grande réinitialisation (Great Reset) de l’Occident.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Conspiracy Theory

The Global Reset – Unplugged. “The Deep State”, publié le 17 juin 2020.

Traduit par Maya pour Mondialisation

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[À propos de l’auteur]

Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO), RT, Countercurrents, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance.
Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2020




Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle

[Source : Sott.net]

[Auteur :] Brian Shilhavy – Health Impact News

[Image d’en-tête : © World Economic Forum
Dans chaque crise, il y a une opportunité]

Notre monde continue de changer sous nos yeux à la vitesse de l’éclair. Comme nous l’avons déjà signalé, il y a un plan derrière tout ce qui se passe, et ce plan est celui d’un Nouvel ordre mondial qui n’est même plus une théorie « conspirationniste », puisque les dirigeants mondiaux qui le planifient et le mettent en œuvre l’ont divulgué et ouvertement rendu public.

Un événement majeur se produit en ce moment et ne fait pas beaucoup la Une des journaux ; c’est le montant sans précédent d’argent « frais » que la Réserve fédérale crée de toutes pièces et injecte dans l’économie.

Il ne s’agit pas d’un « stratagème » nouveau, mais d’un phénomène que nous avons déjà observé par le passé, notamment en 2007 et 2008 avec les plans de relance économique qui ont permis de renflouer les banques.

Mais observez ce graphique publié dans Economic Policy Journal qui montre à quel point ce mouvement est sans précédent, et ce n’est encore que le début ! Au moment où j’écris ces lignes, un autre plan de relance économique de 1 000 milliards de dollars est en cours.

© EPJ
Croissance de la masse monétaire M2NSA annualisée sur 13 semaines de 1981 à 2020

L’hyperinflation est généralement imminente lorsque l’on injecte autant d’argent dans l’économie, ce qui, dans le passé, a principalement consisté à soutenir les entreprises en difficulté jugées « trop grandes pour faire faillite ». Et nous en voyons peut-être les premiers signes, puisque, aujourd’hui dimanche 7 juin, le Economic Policy Journal rapporte que les tarifs aériens vont doubler : États-Unis – Europe 2 200 $ en classe économique.

Mais cette fois-ci, nous n’assistons pas seulement à un renflouement des entreprises, mais aussi à un énorme transfert de richesse avec des centaines de milliards offerts à l’industrie pharmaceutique, principalement pour développer de nouveaux vaccins Covid.

Commentaire : Voir aussi :

Puisque toutes ces crises sont manifestement planifiées dans un but précis, de la pandémie aux récentes émeutes dans les villes américaines qui ne semblent pas vouloir s’éteindre et qui se poursuivent, la grande question est : quelle est la finalité de tous ces transferts de richesses ?

Eh bien, nous n’avons plus besoin de nous poser la question, car les Globalistes viennent de se réunir en Suisse, dans le cadre du Forum économique mondial, le même groupe qui a travaillé avec la fondation Bill et Melinda Gates à la fin de l’année dernière au Johns Hopkins Center for Health Security et a réalisé une simulation pour prédire l’épidémie de Covid-19 avant même qu’elle ne commence (voir Bill Gates & le Forum économique mondial ont-ils prédit l’épidémie de coronavirus ? [en anglais – NdT])

Commentaire : « Pendant des mois, nous avons vu notre mode de vie changer radicalement. On nous a répété à maintes reprises que les choses ne seront plus jamais les mêmes et que nous devions accepter la nouvelle normalité. Aujourd'hui, les ingénieurs sociaux ont révélé leur jeu et ont officiellement lancé leur solution à cette crise. La solution proposée est le Grand Reset. » Spiro Skouras

Un officiel allemand divulgue un rapport dénonçant le coronavirus comme une « fausse alerte mondiale

Sur le site Web du World Economic Forum dans un article daté du 3 juin 2020 — dont est issue l'image du début de notre article — En voici la conclusion :

« La crise du Covid-19 touche toutes les facettes de la vie des populations dans tous les recoins du monde. Mais la tragédie ne doit pas être son seul héritage. Au contraire, la pandémie représente une occasion rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinventer notre monde pour créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère. »
© World Economic Forum
« Explorez la carte de la Grande Transformation grâce au Reset »
Le Forum Économique Mondial de Davos n'est pas seulement un lieu ou les puissants du monde politique, économique et financier font leur exercice de communication devant les décideurs pendant trois jours. C'est également un producteur imposant de projets, de rapports, de recommandations aux décideurs politiques dont l'analyse permet de cerner les tendances pour l'année en cours et celles à venir.

Voir notre article Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal
© Sott.net
N'oublions pas que la panique du coronavirus et ses « remèdes » sont un coup de fouet géant pour promouvoir l'agenda mondialiste du Nouvel ordre mondial :

Cette « remise à plat » de l’économie mondiale comprendra le passage à la monnaie numérique et la suppression des espèces, une redistribution des richesses et la réduction de la taille de la population mondiale pour « lutter contre le réchauffement climatique » et inaugurer le Nouvel ordre mondial. Elle comprend également le lancement de la Quatrième révolution industrielle, qui vise à intégrer les ordinateurs et l’intelligence artificielle aux êtres humains, que l’on nomme plus communément « transhumanisme ». [Voir plus bas pour la vidéo – NdT]

Un grand merci à Spiro Skouras qui a produit une courte vidéo couvrant tout cela sur Activist Post. Elle ne dure que 22 minutes, et j’encourage tout le monde à la visionner.



Le système économique du Nouvel ordre mondial

Le plan pour le système économique du Nouvel ordre mondial est en place depuis quelques années maintenant, attendant simplement la bonne occasion d’être lancé. C’est la menace mondiale [fabriquée – NdT] d’un Coronavirus exploité pour créer peur et panique dans le monde entier qui leur a fourni l’occasion parfaite pour commencer à mettre ce plan en œuvre.

Voici ce qu’ils ont publié la semaine dernière [le même article dont il est fait mention dans notre commentaire précédent – NdT] :

Les confinements dus au Covid-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’inquiétude concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable.

Pour obtenir un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent participer et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d’un « Grand Reset » du capitalisme.

Voici le plan en trois étapes selon leurs propres déclarations :

L’agenda du Grand Reset comporterait trois éléments principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination — par exemple, en matière de politique fiscale, de réglementation et d’imposition — moderniser les accords commerciaux et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes ». À une époque où l’assiette fiscale diminue et où la dette publique monte en flèche, les gouvernements sont fortement incités à prendre de telles mesures.

En outre, les gouvernements devraient mettre en œuvre des réformes attendues depuis longtemps qui favorisent des résultats plus équitables. Selon les pays, ces réformes peuvent inclure des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence.

Le deuxième volet d’un programme de Grand Reset permettrait de s’assurer que les investissements font progresser les objectifs communs [les leurs, pas les nôtres – NdT], tels que l’égalité et la durabilité. Dans ce domaine, les programmes de dépenses à grande échelle que de nombreux gouvernements mettent en œuvre représentent une opportunité majeure de progrès. La Commission européenne, par exemple, a dévoilé des plans pour un fonds de relance de 750 milliards d’euros — 826 milliards de dollars. Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également des plans de relance économique ambitieux.

Plutôt que d’utiliser ces fonds, ainsi que les investissements des entités privées et des fonds de pension [dites adieu à vos retraites – NdT], pour combler les lacunes de l’ancien système, nous devrions les utiliser pour en créer un nouveau qui soit plus résistant, plus équitable et plus durable à long terme. Cela implique, par exemple, de construire des infrastructures urbaines « vertes » et d’inciter les industries à améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

La troisième et dernière priorité d’un programme de Grand Reset est d’exploiter les innovations de la Quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, en particulier en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du Covid-19, les entreprises, les universités et d’autres acteurs ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs.
[Oui, merci, on imagine assez bien – NdT]

Nous commençons donc à comprendre pourquoi tant d’argent est créé de toutes pièces et transféré à l’industrie pharmaceutique. Ils veulent reconstruire la société selon leur propre programme pour créer ce Nouvel ordre mondial.

La mise en œuvre de la Quatrième révolution industrielle est probablement l’aspect le plus inquiétant de ce plan. Ils ont produit une vidéo en 2016 qui décrit exactement à quoi ressemble cette nouvelle « révolution industrielle », et vous devriez la regarder pour comprendre exactement où ils veulent tous nous emmener pour la mettre en œuvre.

L’idée même que nous nous faisons de l’être humain, une sorte de concept naturel, a vraiment été modifiée. Nos corps seront tellement sophistiqués que nous ne pourrons plus vraiment distinguer ce qui est naturel de ce qui est artificiel.

Vous pourriez vous demander : « Pouvons-nous vraiment devenir des super humains ? »



Si vous avez lu mes précédents articles récemment publiés, dans lesquels je démasque les responsables du mouvement vers un Nouvel ordre mondial, vous apprendrez peut-être qu’il existe au sein d’une société secrète appelée « Les Illuminati » un groupe de personnes très riches et très influentes au niveau mondial.

Dans les années 1700, ce groupe a nommé deux hommes pour écrire deux idéologies opposées qui ont depuis lors été utilisées tout au long de l’Histoire récente pour créer des conflits de classe qui ont traditionnellement été étiquetés gauche contre droite, ou conservateur contre libéral. Karl Marx a écrit le Manifeste du Parti communiste, tandis que Karl Ritter a élaboré un plan selon lequel la race aryenne pourrait dominer d’abord l’Europe, puis le monde entier.

La forme extrême de la « gauche », ou du socialisme, est donc le « communisme », tandis que la forme extrême de la « droite », ou du fascisme, est le « nazisme ». C’est la base de la plupart des conflits humains aujourd’hui, et des guerres qui ont été menées depuis la Première Guerre mondiale.

Veuillez lire ces deux articles importants si vous ne les avez pas encore lus [en anglais – NdT] :

Dans la vidéo décrivant la Quatrième révolution industrielle, ils admettent d’emblée que c’est le cas depuis le début, car ils présentent leurs propres solutions à cet ancien conflit.

Nous avons besoin d’un modèle économique différent. Je n’entends pas par là le capitalisme contre le communisme.

Ce dont je parle, c’est d’un changement de système. Dans la lignée des deux grands changements qui se sont produits au XXe siècle.

Le keynésianisme a mis l’accent sur la santé et l’éducation, ainsi que sur le rôle du gouvernement dans les affaires.

Le néo-libéralisme a ensuite suivi à la fin du siècle, en réaction au précédent, et dans lequel l’accent était mis sur la libéralisation des marchés, la liberté de l’individu et l’élimination des gouvernements.

Nous devons passer à un nouveau système qui nous permettra de répondre aux besoins fondamentaux de chaque être humain sur la planète dans les limites des moyens planétaires. Cela signifie que le monde sera plus équitable et que son objectif principal ne sera pas la croissance en soi, mais la maximisation du bien-être humain [leur bien-être, pas le nôtre – NdT].

Et l’Histoire nous enseigne qu’un changement de valeurs est déclenché par la création d’un nouveau scénario quant à la façon dont nous voulons vivre.

~ Stewart Wallis, New Economics Foundation

Cela vous effraie-t-il ? Ça devrait…

Lorsque l’on regarde la vidéo qu’ils ont produite sur la Quatrième révolution industrielle, on peut noter que des idées très nobles y sont présentées quant aux perspectives que peut, selon eux, proposer la technologie, une technologie qui ferait marcher à nouveau les estropiés, et rendrait la vue aux aveugles.

Mais n’oubliez pas que tout aussi nobles que soient ces affirmations prononcées par ces technocrates, elles ne se sont pas encore concrétisées et nous n’avons aucune raison scientifique de croire qu’elles le seront un jour.

Même le désir de produire des armes biologiques de destruction massive a jusqu’à présent presque totalement échoué. Il existe des preuves qu’un virus étudié en laboratoire était en cours d’élaboration dans un laboratoire de Wuhan avant l’apparition du Covid, mais nous savons maintenant qu’il n’existe même pas de test précis permettant d’identifier ce prétendu « nouveau » virus, et que la réaction à la pandémie n’a été qu’une farce, car il s’agissait juste d’une autre mauvaise saison de la grippe, telle que nous en avons presque chaque année pendant la même période.

Commentaire : Toutefois, il nous faut mitiger ce que dit l'auteur : « des épidémiologistes et des pharmacologues japonais et taïwanais ont déterminé que le nouveau coronavirus pourrait être originaire des États-Unis, puisque ce pays est le seul connu pour avoir les cinq souches - dont toutes les autres doivent être issues. Wuhan, en Chine, n'a qu'une seule de ces souches, ce qui en fait, par analogie, une sorte de « branche » qui ne peut exister par elle-même sans être d'abord issue d'un tronc commun. »

Par ailleurs, « Daniel Lucey, un expert en maladies infectieuses de l'université de Georgetown à Washington, a déclaré dans un article du magazine Scienceque la première infection humaine a été confirmée comme ayant eu lieu en novembre 2019 (et pas à Wuhan), ce qui suggère que le virus est venu d'ailleurs et s'est ensuite propagé aux marchés de Wuhan. Un groupe a mis en évidence l'origine de l'épidémie dès le 18 septembre 2019 ».
Le COVID-19 a-t-il échappé à un essai de vaccin à Fort Detrick ? Les preuves que le virus provient d'un laboratoire d'armes biologiques américain

Sans oublier que des vagues de maladies pulmonaires se sont produites avant même l'épidémie en Chine :
Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Au lieu de cela, ce qui s’est réellement passé à Wuhan, comme nous l’avons déjà signalé, c’est que le gouvernement chinois a convaincu plus de 50 millions de personnes de s’auto-confiner volontairement en raison de la PEUR d’un nouveau virus, et cette décision est devenue le plan directeur mis en œuvre dans le monde entier pas les mondialistes.

Les nouveaux vaccins modifiant l’ADN constituent-ils la prochaine étape ?

Les nouveaux vaccins constituent une grande partie des plans pour un Nouvel ordre mondial. Dans le cadre du programme transhumaniste, la course actuelle au développement d’un vaccin contre le Covid-19 est également une course au développement du premier vaccin qui modifie l’ADN.

Le Dr Sherri Tenpenny a récemment écrit à ce sujet. Voir [en anglais – NdT] : Un vaccin Covid-19 sera-t-il le premier vaccin à modifier l’ADN humain pour faire progresser le transhumanisme ?

Si ce nouveau vaccin expérimental peut être un moyen de tester leur capacité à modifier l’ADN humain, il pourrait très bien être aussi un moyen de tuer une partie importante de la population, ou de rendre les filles stériles, pour faire avancer leur objectif de réduire la population mondiale. Voir [en anglais – NdT] : Dr Judy Mikovits et Dr Sherri Tenpenny – Le nouveau vaccin contre le Covid-19 pourrait tuer 50 millions de personnes aux États-Unis

Commentaire : Voire de prévenir toute velléité d'évolution spirituelle en s'assurant au passage un contrôle dictatorial sanitaires sur les populations humaines :

La majeure partie de la population mondiale a déjà subi un lavage de cerveau et a été conditionnée à croire que les vaccins sont responsables de l’éradication de la plupart des maladies infectieuses, une affirmation qui ne peut être prouvée et qui n’est étayée par aucune preuve historique, montrant que presque toutes ces maladies étaient déjà en déclin bien avant que les vaccins ne soient mis sur le marché.

Les vaccins sont présentés comme « sûrs et efficaces », même s’il existe une loi spéciale qui protège la responsabilité juridique des fabricants en cas de décès et de préjudices dus aux vaccinations, et qu’un tribunal spécial vaccins a versé des milliards de dollars de dommages et intérêts.

Commentaire : « Sûrs et efficace » ?
Un peu d'historique :

Les médecins sont formés pour ne jamais considérer les vaccins comme la cause d’une maladie auto-immune, et donc si un vaccin contre le Covid-19 se met à provoquer la mort de nombreuses personnes, il faut s’attendre à ce que la communauté médicale trouve une autre cause présumée de ces décès, comme une « seconde vague » du Corornavirus, pour lequel il n’existe même pas de test fiable permettant de l’identifier.

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 juin 2020 : Health Impact News
Traduction
: Sott.net




« Vous aurez un QR code » : Les JO de Paris inaugurent la ville-prison de l’Agenda 2030

[Source : olivierdemeulenaere.wordpress.com]

Restrictions de circulation, dérogations, QR code, biométrie… Le passeport sanitaire, rebaptisé fort à propos « pass nazitaire » par les complotistes, était bien un test grandeur nature pour la mise en place des « villes 15 minutes » du Great Reset. Je rappelle que Paris, où se dérouleront les Jeux olympiques qui vont donc servir d’alibi aux mondialistes pour imposer la reconnaissance faciale, les QR codes et la mobilité réduite, est membre des C40 Cities qui font « la course vers zéro »

Olivier Demeulenaere

« Vous aurez un QR code » : une dérogation sera nécessaire pour circuler dans Paris lors des JO 2024

Par Ariel Guez

Automobilistes et piétons ne pourront pas circuler librement dans certaines zones de la capitale et en Île-de-France cet été. Sauf s’ils inscrivent sur une plateforme numérique dédiée, annonce Laurent Nunez.

Une attestation comme lors des confinements ? À quelques mois du début des Jeux olympiques de Paris, le préfet de Police dévoile auprès de nos confrères du Parisien les contours du dispositif de sécurité qui sera en vigueur à l’été 2024. Laurent Nunez annonce notamment qu’une dérogation sera nécessaire pour circuler librement dans Paris lors de la compétition.

« Il faudra s’enregistrer en amont sur une plateforme numérique en fournissant un certain nombre de justificatifs, de domicile mais pas que », prévient-il dans les colonnes du quotidien régional.

Toutes les personnes qui souhaitent ou qui doivent s’approcher des nombreux sites olympiques à Paris et en Île-de-France seront concernées : « Vous aurez un QR code à présenter lors des contrôles », dit Laurent Nunez.

« Le principe est l’interdiction à la circulation motorisée »

Concrètement, explique le préfet de Police, si un Parisien habite à proximité de la Seine et souhaite inviter des amis pour suivre depuis sa fenêtre la cérémonie d’ouverture, « il faut les inscrire sur la plateforme ».

Idem si vous souhaitez passer la soirée de la cérémonie d’ouverture dans un restaurant à proximité de la Seine.

« Le principe c’est de laisser ouvert. Mais oui, il faudra justifier du fait qu’on rentre dans le périmètre pour se rendre dans un restaurant et donc, il y aura forcément une inscription sur la plate-forme ».

« Pour les personnes les plus vulnérables, celles qui n’ont pas accès à Internet, la ville de Paris, avec laquelle nous travaillons étroitement, a prévu la possibilité d’obtenir un macaron ou justificatif. D’autres collectivités sont sur la même idée de proximité », indique Laurent Nunez.

Le préfet annonce qu’une consultation va être lancée jusqu’à mi-janvier « afin de valider nos hypothèses auprès d’un public qui sera reçu à Paris et dans les préfectures des départements d’Île-de-France accueillant des épreuves olympiques et paralympiques ». « Le principe est l’interdiction à la circulation motorisée, et l’exception, la dérogation », résume Laurent Nunez.

Quelles sont les zones concernées ?

Autour de chaque site, les autorités ont délimité quatre périmètres de sécurité. Le premier « à proximité immédiate du site, est le périmètre organisateur où ne rentrent que les gens accrédités ou munis d’un billet ».

Se trouve ensuite le périmètre de protection (dénommé « Silt »). « Pour y entrer, tout le monde est fouillé », explique Laurent Nunez, qui assure que cette délimitation « n’englobe en général pas de riverains, sauf pour la cérémonie d’ouverture et de manière limitée pour quelques sites ».

Deux autres « périmètres de circulation » existent, où les restrictions ne concerneront pas les piétons ou cyclistes, mais que les véhicules motorisés. « Au plus près du site, le rouge : le principe est l’interdiction de circulation, sauf dérogation ».

Le « bleu », dernier périmètre, est un périmètre de réglementation de la circulation. « Nous ne voulons laisser entrer en voiture que ceux qui y vivent, travaillent ou veulent se rendre dans un commerce ou un restaurant ».

Le préfet de police annonce que des cartes seront mises en ligne. Nos confrères du Parisien indiquent toutefois dans une infographie qu’une large zone englobant la Tour Eiffel, les Invalides et la place de la Concorde notamment sera comprise dans le périmètre bleu.

Lire la suite sur bfmtv.com

Rappels :

NEW WORLD ORDER : Et voilà, l’OMS veut lancer un pass “sanitaire” mondial !

« La folie du Covid n’était qu’un test. La prochaine étape, ce sont les ghettos du quart d’heure » (Christine Anderson)

Le Forum économique mondial crache le morceau : le Covid était un « test » !

Les banques centrales du monde entier sont lancées dans une course effrénée vers les monnaies numériques, tandis que les villes se convertissent aux infrastructures « intelligentes » : un réseau de surveillance et de contrôle est en train de se mettre en place sous nos yeux

Habitants d’Oxford : à l’avenir, élevage en enclos avec sorties limitées

La ville de 2030 : une prison à ciel ouvert


[Voir aussi :
Le Pacte mondial des maires et les villes de 15 minutes
La vision mondialiste : Les villes-prisons « 15 minutes » et la fin de la propriété privée
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable]




L’étrange famille royale d’Angleterre : sous le soleil de Satan ?

[Source : nice-provence.info]

Par Pierre-Émile Blairon

Ce vendredi 5 avril 2024, la chaîne C8 (Groupe Bolloré) proposait un documentaire sur le couple princier d’Angleterre, intitulé « Kate et William, anges ou démons, qui sont-ils… ».
Cette émission n’apporte pas la réponse à sa propre question. Au contraire, il nous est bien montré que le couple est obsédé par son image dans les médias qu’il surveille comme le lait sur le feu.
Nice Provence Info a donné carte blanche à Pierre-Émile Blairon pour répondre librement à la question : alors… anges ou démons ?

Georges Gourdin

Sous le soleil de Satan : c’est le titre de l’ouvrage le plus fameux de l’écrivain catholique Georges Bernanos qui décrit la vie tourmentée d’un jeune prêtre aux prises avec l’impiété de ses ouailles et leurs péchés pas toujours bien cachés ni avoués. Atmosphère ténébreuse, relents de tombes fraîchement creusées, de turpitudes sexuelles, de personnages torturés — ou pas — par le besoin de faire le mal.
La famille royale d’Angleterre, après la mort de la reine Élisabeth, passe actuellement par une zone de grandes turbulences ; est-elle en train de faire son « great reset » ?
Elle suivrait en cela tous les « grands » personnages et tous les puissants de la planète qui s’y activent afin de conserver leurs prébendes et d’aboutir à leurs sombres desseins concernant l’avenir de la population planétaire1

Satan, le prince de ce monde

S’il y a un roi d’Angleterre, Satan, lui, est le « Prince » de ce monde. Il n’est pas nécessaire de faire partie de la mouvance chrétienne pour évoquer (ou, pour certains, invoquer) son nom. Nous avons souligné, dans un précédent article2 sur ce même site, l’origine commune du nom Satan avec celui de Titan, l’un procédant de la tradition chrétienne et l’autre de la mythologie grecque, les deux ayant la même fonction, ou mission, celle de défier Dieu, voire de le remplacer.

Sous le soleil de Satan : il y a comme une contradiction dans ce titre, le « prince de ce monde » étant considéré comme le « prince des ténèbres », que vient faire ici le soleil ? C’est que, à l’origine, Satan était Lucifer, en latin, le « porteur de lumière ».

Dans l’Apocalypse (22:16), Jésus dit :

« Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin ».

Ainsi, le Christ lui-même associe d’une part l’étoile brillante du matin, qui, chez les Romains, est Lucifer représentant Vénus, l’astre du matin, qui brille encore avant le lever du soleil et, d’autre part, son ascendance royale juive, se proclamant l’héritier du roi David, filiation que revendiquent également les souverains anglais.

Lucifer, celui qui veut trop briller, atteint par l’hubris, la vanité, voulant rivaliser avec Dieu, est expulsé du ciel, rejeté dans le monde matériel, la Terre, avec les anges rebelles qui le suivaient ; il deviendra alors Satan, l’ange déchu, mais aussi le maître de notre monde.

« Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent. »

(Genèse 6 : 1–4.)

Cette histoire fait partie du corpus de légendes, de mythes, de croyances, qui peuplent les traditions non seulement des religions du Livre, mais aussi de celles de l’Antiquité et d’anciennes civilisations antédiluviennes qui remplacent les « anges » par des êtres venus de la mer ou de l’espace qu’ils appellent « dieux ».

Et « les fils de Dieu », les anges déchus, firent des enfants aux terriennes. Et l’on suppose que ces enfants très spéciaux ont constitué, au fil des siècles, une dynastie, une caste ou une secte, les « belles femmes terriennes » ne servant plus alors qu’à engendrer les enfants des anges rebelles, des démons, coincés dans ce tout petit morceau d’univers qu’est notre planète, bien trop petit pour satisfaire leur orgueil démesuré.
Depuis quelques dizaines d’années, les humains (?) qui dirigent le monde : caste des oligarques, des ploutocrates, sectes pédosatanistes, transhumanistes ou, maintenant, transhumains, tentent de nous persuader qu’ils existent bien, que ce sont eux les maîtres, qu’ils ont décidé pour nous de notre destin et qu’il ne nous reste plus qu’à nous soumettre ou à disparaître, ou les deux. Quitte à vivre dans ce que ces privilégiés considèrent cependant comme une prison, autant y vivre en tant que gardiens plutôt qu’en tant que détenus.

Les Windsor sont-ils liés à ces gens ? Et ont-ils les mêmes ambitions, les mêmes méthodes, les mêmes intérêts et les mêmes origines ? Nous n’en savons rien ; nous pouvons juste constater que les quelques indices que nous avons en notre possession ne plaident certes pas en leur faveur. Il semble, en effet, que les Windsor se croient obligés de fournir des gages d’allégeance à une entité diabolique, qu’elle soit réelle ou existant seulement dans leurs cerveaux dérangés, comme s’y sont soumis les représentants des diverses sectes au Pouvoir comme nous l’évoquions dans un article précédent (La France, laboratoire de la secte mondialiste) ; quelques exemples : Macron, quand il parle de la « bête de l’événement », Bill Gates quand il numérote ses brevets avec le 666Christine Lagarde quand elle utilise la numérologie occulte pour annoncer les projets du FMI, etc.

Les dames de la cour

Depuis l’arrivée au trône de la dynastie des Windsor, peu de femmes, gravitant autour de la famille royale, ou même en faisant partie, sont sorties indemnes de cette accointance ou de ce statut, sauf à quitter à temps le cercle pernicieux : divorces, accident, maladies précoces, séparations, exils.
Je ne vais donner ici que quelques exemples emblématiques.

Kate Middleton

La nouvelle toute récente qui a le plus ému le peuple anglais a été d’apprendre que Kate Middleton souffre d’un cancer. Kate Middleton est une roturière dont les parents s’étaient enrichis grâce à la création d’une société de production d’articles de fête qu’ils ont revendue récemment, car leur entreprise s’était fortement endettée et pour tenter de résoudre leurs propres difficultés financières qui sont rapidement apparues.

Kate a connu le prince William, fils du prince Charles (actuel roi) et de Diana, à l’université avant de l’épouser en 2011.
Kate Middleton a hérité à son mariage du titre de princesse de Galles, tout comme l’infortunée et regrettée princesse Diana. En janvier 2024, elle aurait été opérée, dans une clinique londonienne, de l’abdomen. Elle n’est pas réapparue en public depuis sauf par l’intermédiaire de photos (qu’on lui a reproché d’avoir retouchées, mais est-elle à l’origine de cette manipulation, qu’elle a reconnue ?) ou d’une vidéo qui la présente seule le 22 mars 2024, assise sur un banc, afin d’annoncer le cancer dont elle souffre qui a été détecté au cours de l’opération ; cette vidéo est contestée par certains internautes qui doutent de son authenticité, suggérant qu’il pourrait s’agir d’une création de l’intelligence artificielle, et donnant comme preuve le fait que la bague qu’elle porte au doigt disparaît pendant un court moment pour réapparaître ensuite (minute 1, 19 secondes de la vidéo ci-dessous).

Les internautes s’étonnent également que leur princesse, admirée pour son élégance, ait ressorti, lors de cette importante communication, un pull marinière qu’elle avait déjà porté 7 ans auparavant lors d’une précédente prise de vues !
Ses proches, dont son mari, assurent qu’elle a demandé de rester seule pour se reposer et que c’est pour cette raison qu’elle n’a pas assisté à la messe traditionnellement suivie à Pâques par l’ensemble de la famille royale. On peut estimer qu’elle aurait pu se montrer ne serait-ce qu’un court instant pour couper court aux rumeurs3.

La princesse Kate arborant la même robe que Rosemary dans le célèbre film de Roman Polansky. Il est impossible qu’il s’agisse d’une coïncidence. Les satanistes envoient des codes afin de prouver aux initiés leur attachement au diable.

Sarah Ferguson

C’était l’ancienne femme du prince Andrew. Elle était déjà divorcée lorsque cette aristocrate, née en 1959, rencontre le prince. Ils se marieront en 1986, auront deux filles, se sépareront en 1992 (Sarah avait été photographiée avec un amant au bord d’une piscine dans une attitude non équivoque) et divorceront en 1996 ; pour autant, Andrew et Sarah vivent toujours sous le même toit du beau manoir de Royal Lodge, non loin du château de Windsor, se félicitant d’une amitié réciproque.

« Et les derniers événements vécus n’ont fait que consolider cette amitié entre les anciens amants terribles. Sarah Ferguson peut compter sur Andrew pour la soutenir alors qu’elle a été touchée récemment par deux cancers, du sein et de la peau. Quant au duc d’York, il a toujours trouvé chez son ex-femme une indéfectible alliée lorsqu’il était embourbé dans la sale affaire Epstein — d’autant qu’elle a bénéficié elle-même des largesses du milliardaire pour éponger ses dettes, ce qui l’a contrainte à présenter publiquement des excuses. »

(Par Marc FournyLe Point, 16 mars 2024).

Le prince Andrew se promène ostensiblement avec Jeffrey Epstein

Nous pouvons être surpris de cette proximité de Sarah Ferguson avec le pédophile milliardaire opportunément « suicidé » dans sa prison en 2019, alors que son mari était censé rester discret sur ses propres liens avec Epstein.
Mais l’histoire de ce couple tumultueux ne s’arrête pas là : selon une information parue dans le Daily Mail en mars de cette année, le roi Charles a donné son accord à la demande pour le moins étonnante des deux amants devenus amis : ils veulent se remarier. Pourquoi ?

Lady Diana

Nous n’allons pas revenir sur le destin hors-norme de celle qui est devenue l’un des personnages les plus célèbres de la fin du XXe siècle — et les plus aimés, au moins dans sa patrie — tant par sa beauté, son charisme, ses amours orageuses (et controversées) que par sa fin tragique.

Nous allons plutôt nous concentrer sur ce dernier épisode de sa vie dont elle avait elle-même prédit, ou prévu, les circonstances dans lesquelles il allait se dérouler.

Le 31 août 1997, Diana perdait la vie dans un accident de voiture sous le pont de l’Alma à Paris ; elle était en compagnie de Dodi Al Fayed, fils du milliardaire égyptien Mohamed Al-Fayed, de leur chauffeur Henri Paul, et de Trevor Rees-Jones, le garde du corps de Dodi Al-Fayed, seul rescapé de l’accident.

Le chauffeur, Henri Paul, est le directeur de la sécurité du Ritz, l’hôtel où le couple vient de dîner ; leur chauffeur attitré a servi de leurre pour les paparazzi en stationnant le véhicule du couple devant l’entrée du Ritz alors que la Mercédès fournie par l’hôtel va démarrer devant une issue de secours. À l’entrée du tunnel sous le pont de l’Alma, la voiture fait une embardée et va s’écraser dans un pilier non protégé à l’époque. Le chauffeur et le compagnon de Diana meurent sur le coup, Diana pendant son transport à l’hôpital.
L’enquête aboutira à la responsabilité du chauffeur, qui roulait trop vite et qui avait trop bu.

Le père de Dodi, lui, pense que son fils et Lady Di ont été assassinés par les services secrets britanniques du M16 et que la famille royale d’Angleterre est commanditaire de cet assassinat, car elle n’approuve pas le mariage envisagé de Diana avec son fils ; la contre-enquête qu’il a diligentée n’aboutira pas à prouver ses dires.

Diana avait divorcé du prince Charles un an avant sa mort, à trois jours près, le 28 août 1996. Deux mois après son divorce, elle avait confié à son majordome, Paul Burrel, une lettre adressée à son avocat, mais pas envoyée, qui constituait « une assurance au cas où », avait-elle dit à Burrel.

Cette lettre disait ceci :

« Je suis assise aujourd’hui à mon bureau en octobre, dans l’attente de quelqu’un qui me prenne dans ses bras et me pousse à rester forte et à garder la tête haute. Cette étape particulière de ma vie est la plus dangereuse — mon mari planifie actuellement “un accident” avec ma voiture, une défaillance des freins et une grave blessure à la tête afin de lui laisser la voie libre pour épouser Tiggy » (la nourrice de ses deux enfants, Alexandra Legge-Bourke), avant de poursuivre en évoquant le nom de la maîtresse (officielle ?) de son époux, Camilla Parker Bowles. « Camilla n’est rien d’autre qu’un leurre et nous sommes toutes les deux utilisées par cet homme ».

Cette dernière phrase s’applique-t-elle seulement à ses déboires amoureux ?

Burrell va confier cette lettre au Daily Mirror qui la fera paraître en 2003. Lucia Flecha, une amie proche de Diana, ne croyait pas à l’authenticité de cette lettre manuscrite. « Le majordome savait parfaitement imiter l’écriture de Lady Diana et pourrait en fait être l’auteur de la lettre. Je n’y crois toujours pas […]. Je ne pense pas qu’elle craignait pour sa vie, encore moins le prince Charles, le futur roi du pays », avait-elle déclaré.

Rien de plus simple que de faire vérifier l’authenticité de la lettre par un graphologue compétent, ce que n’ont pas manqué de faire les enquêteurs, puisqu’ils se sont permis, forts de cette analyse apparemment, d’aller interroger le prince Charles sur ce sujet en 2005, en tant que témoin, lequel a répondu benoîtement qu’« il ne savait pas pourquoi son épouse avait écrit cette lettre ». Autrement dit : « Circulez, y a rien à voir. »

Le journal québécois Le devoir du 7 janvier 2004, sous le titre : « Sitôt ouverte, l’enquête sur la mort de la princesse Diana est ajournée », écrivait alors :

« Une nouvelle enquête sur le décès de Diana a été officiellement ouverte hier à Londres — et immédiatement ajournée — au moment où un journal populaire anglais révélait que la princesse avait accusé son époux Charles d’intentions meurtrières. “J’ai demandé à la police de faire des recherches. Leur résultat aidera à déterminer si de telles questions entrent dans le cadre des enquêtes”, a encore précisé M. Burgess. Le chef de Scotland Yard, John Stevens, a ainsi été saisi de l’affaire.
Peu après son ouverture, l’enquête britannique sur la mort de Diana a été ajournée pour 12 à 15 mois en raison de la complexité de l’affaire. Le coroner attend notamment de recevoir un dossier de 6000 pages déjà refermé par la justice française. Il espère obtenir “la permission d’utiliser sans entraves” ce dossier français et décidera sur cette base qui sera appelé à témoigner. M. Burgess a précisé que son enquête avait une base commune avec celle menée côté français, mais qu’elle restait limitée à l’examen des circonstances détaillées de la mort de Diana et de Dodi. »

Autrement dit : « Circulez, y a rien à voir », bis. On attend toujours.

L’homme de la cour
Thomas Kingston

Thomas Kingston a été découvert sans vie le 27 février 2024 par son père dans une dépendance verrouillée (on suppose : de l’intérieur) de la demeure de ses parents. Il était marié à Gabriella Windsor, fille unique de Michael de Kent, cousin germain de la reine Élisabeth II. Thomas Kingston était lui-même le petit-cousin par alliance du roi Charles III. Vous voulez en savoir plus ? Voilà qui sera difficile.

L’unanimité psittaciste des revues people est remarquable : Point de vue, Gala, Paris Match, Histoires royales, Closer, Vanity fair… ont toutes écrit à peu près les mêmes phrases au sujet du supposé suicide de Thomas Kingston sans se poser aucune question. Voici la version de Closer, laquelle a le mérite quand même de titrer sous forme d’interrogation :

Thomas Kingston s’est-il suicidé ? : « C’est un drame qui a endeuillé la Couronne britannique. Le 27 février dernier, Thomas Kingston est mort à l’âge de 45 ans. Le mari de Lady Gabriella Windsor a été retrouvé sans vie dans sa propriété du Gloucestershire. Une enquête a tout de suite été ouverte pour faire la lumière sur cette tragédie et déterminer ses circonstances. “Il n’y a pas de circonstances suspectes et aucune autre partie n’est impliquée”, annonçait rapidement la police. Quelques jours après, de nouvelles informations inquiétantes ont été dévoilées. Katy Skerrett, procureure principale du Gloucestershire, a indiqué que l’ex-compagnon de Pippa Middleton était mort après avoir subi une “blessure traumatique à la tête”. Une arme à feu aurait également été trouvée près de son corps. Selon elle, il s’agirait d’un “incident tragique”. D’après les premières informations, Thomas Kingtson s’était rendu dans la maison de ses parents, situé dans les Cotswolds, dans le Gloucestershire. Le dimanche 25 février, il aurait déjeuné avec eux et son père serait ensuite sorti pour promener les chiens. À son retour, l’analyste financier “n’était pas dans la maison” et sa mère aurait tenté de le chercher. Le père de famille aurait ensuite forcé l’entrée dans une dépendance verrouillée. Il aurait alors fait une terrible découverte. »

Publié le 05/03/2024 par Lou Ducreux.

Nous avons là, dans cette affaire, un chef‑d’œuvre d’incohérence, de non-dit, de non-police, de non-justice et de non-journalisme où des gens sont payés pour ne rien faire, ne rien voir et ne rien dire.
« Il n’y a pas de circonstances suspectes » annonçait rapidement la police. Quelle diligence !
Kingston est mort après avoir subi une « blessure traumatique à la tête » selon la procureure.
Une arme à feu aurait été trouvée près de son corps.

Le magazine Paris-Match ne s’embarrasse pas de détails, lui : La thèse du suicide est privilégiée puisqu’une arme à feu a été retrouvée près du corps. Ben voyons ! CQFD. C’est aussi simple que ça !

Blessure traumatique, arme à feu près du corps, personne ne parle de la balle que Kingston se serait tiré dans la tête. Une blessure traumatique n’est pas forcément un trou effectué par une balle. Surtout, pas de risque et pas de vagues, moins on en dit, mieux ça vaut. Aucun détail sur l’arme ni sur la balle (éventuelle) après autopsie.
Kingston était dépressif ? Non, selon ses proches.

« Circulez, y a rien à voir », ter.

Alors ? Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup. Règlement de compte à OK Balmoral ?
Y aurait-il un lien autre que chronologique avec la disparition que nous espérons momentanée de Kate Middleton depuis le mois de janvier 2024 (pour cause supposée de maladie) que Kingston devait nécessairement connaître puisqu’il avait assidûment fréquenté sa sœur Pippa avant son mariage avec Gabriella ?

Les pédophiles

Trois pédophiles sont dûment répertoriés pour avoir fréquenté les ors de la monarchie anglaise et ce ne sont pas des petites pointures : le prince AndrewJeffrey Epstein et Jimmy Savile.
Nous ne parlerons pas ici de William et Harry, les fils du roi et de Diana dont les noms sont seulement cités dans une nouvelle affaire de pédophilie qui monte en puissance aux États-Unis parce qu’ils ont participé à au moins une soirée organisée par le rappeur P. Diddy, accusé de viol et de trafic sexuel à grande échelle4.

Le prince Andrew, duc d’York

« À tout seigneur, tout honneur », disions-nous autrefois pour commencer une liste, quand les mots avaient un sens et que les expressions étaient populaires.
Effectivement, Andrew est le « seigneur » local, mais l’« honneur » n’est pas sauf.

S’il y a un lien entre les Windsor et les diverses sectes ploutocratiques, transhumanistes et pédosatanistes qui polluent le monde — question que je posais un peu plus avant – ce lien pourrait être le prince Andrew, lien facilité à l’époque d’avant l’affaire Epstein, lorsqu’il était « représentant spécial du gouvernement pour le commerce international ».

On connaît assez bien son implication dans l’affaire Epstein qui lui a coûté assez cher ; il a perdu nombre de ses prérogatives de fonction, mais aussi de l’argent : il a dédommagé grassement Virginia Giuffre, l’un de ses victimes, âgée maintenant de 38 ans, mais qui était mineure au moment des faits, pour qu’elle retire sa plainte : environ 14 millions d’euros payés en grande partie par la reine, car Andrew était, paraît-il, son fils préféré… et désargenté !

Bien qu’il s’en soit défendu, Andrew était parfaitement au courant des activités d’Epstein ; il a d’ailleurs fréquenté de la même façon une sorte de clone d’Epstein, Peter Nygard, un milliardaire finno-canadien ayant fait fortune dans le domaine de la mode qui, comme Epstein, recevait ses invités dans son île des Bahamas où il organisait pour eux ce qu’on appelait autrefois des parties fines avec, là encore, la présence de très jeunes filles mineures.

Le prince Andrew en compagnie de Peter Nygard aux Bahamas

De même qu’Epstein5, il avait son Lolita Express, en l’occurrence un… Boeing 727 ! Il sera arrêté fin 2019 à la suite de nombreuses plaintes de jeunes femmes pour viol, trafic sexuel (y compris d’enfants), évasion fiscale… Le Daily Mail a publié une photo du prince Andrew en compagnie de Nygard sur son île en l’an 2000 ; sa femme, Sarah Ferguson, et ses deux filles auraient également été prises en photo sur l’île du milliardaire qui a maintenant 82 ans et séjourne en prison.

Pour couronner le tout et pour ne laisser aucune ambiguïté sur le statut du prince en tant que prédateur sexuel, le « Sun » a publié le témoignage d’une kinésithérapeute Emma Gruenbaum, introduite auprès de son mari par Sarah Ferguson. Cette femme le décrit comme un « pervers sexuel » qui multipliait les avances et les allusions salaces… « J’avais beaucoup de clients prestigieux et j’allais souvent dans leur villa, raconte-t-elle. Mais Andrew était très différent. C’était un pervers sexuel permanent ». Dès le début, le prince l’agresse verbalement par des questions salaces sur ses préférences sexuelles. « Ce n’est pas votre putain d’affaire », lui lance-t-elle sans se démonter. « Tu ne peux pas me parler comme ça », réplique Andrew, visiblement surpris par son aplomb. « Dieu merci, j’avais 34 ans à l’époque et j’étais capable de faire face à cette situation », explique Emma Gruenbaum dans le Sun.

« Mais ce n’est tout simplement pas acceptable pour un homme de sa position. » Elle est d’autant plus gênée que le prince se présente toujours nu, avec une simple serviette pour cacher son intimité. « Je détournais les yeux quand il montait sur la table et je m’assurais qu’il avait sa serviette couvrant sa pudeur, se souvient la kiné. Mais tout au long du massage, il ne parlait que de sexe anal et faisait des blagues à ce sujet. Il me demandait quand j’avais eu mon dernier rapport sexuel… »

(Le Point, 14 février 2022, Marc Fourny)

Jeffrey Epstein

Tout le monde connaît « l’affaire Epstein ». Ce personnage n’est intéressant dans cette liste que par les liens qu’il entretenait avec la famille royale, ainsi que sa compagne Ghislaine Maxwell, fille du magnat de la presse britannique Robert Maxwell, introduits à la cour par le prince Andrew. On voit sur une photo Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell assis ensemble sur le banc d’une véranda à Balmoral, l’une des résidences de la reine. Ghislaine Maxwell a été condamnée à 20 ans de prison en 2022 pour complicité de trafic sexuel. On attend toujours des réactions de la justice aux premiers noms de personnalités importantes piochés dans son carnet d’adresses. On connaît le destin de Jeffrey Epstein : « suicidé », lui aussi, en prison le 10 août 2019 avant son procès.

Trial of Ghislaine Maxwell : Briton and Jeffrey Epsteins at Queen’s Balmoral Estate in new photos shown in court.
(Procès de Ghislaine Maxwell : des photos de Briton et Jeffrey Epstein au domaine royal de Balmoral présentées au tribunal) [source]

Jimmy Savile

Né à Leeds en 1926 et mort dans la même ville en 2012, Jimmy Savile a effectué la majeure partie de sa carrière à la télévision grâce à laquelle il est devenu une vedette très populaire auprès du peuple anglais ; les premiers soupçons sur ses agissements pédophiles sont apparus grâce à une enquête du Sun lancée en 2008 qui l’aurait lié à une affaire sordide concernant un orphelinat où les enfants auraient été maltraités, violés, torturés. Mais l’enquête conduit à un non-lieu à l’époque, ce qui n’est pas surprenant. C’est seulement après sa mort que des plaintes d’abus sexuels, des centaines, sont déposées à l’encontre de Savile.

Un documentaire Netflix datant de 2022, « Jimmy Savile : A British Horror Story » met en cause le prince Charles, car il révèle ses liens d’amitié avec le pédophile qu’il a fréquenté pendant 20 ans, reçu à la cour (photo) et pris comme « conseiller » de communication entre 1986 et 2006.

Saville deviendra aussi le conseiller du prince Andrew ! Bien évidemment, le prince Charles a déclaré qu’il ignorait tout des agissements sordides de Savile6. Cependant, on peut faire remarquer que la moindre secrétaire embauchée dans un ministère fait l’objet d’une enquête de moralité ou bien l’on vérifie, pour le moins, que son casier judiciaire est vierge. Le prince Charles disposait de tous les moyens pour diligenter une recherche, même superficielle, sur Savile, avant d’en faire le conseiller du futur roi.

La dynastie des Windsor : des frankistes, des juifs, des nazis ?

La dynastie des Windsor est née du nom d’un château construit, initialement par Guillaume le Conquérant, à partir du XIe siècle ; habituellement, c’est le château qui porte le nom d’une dynastie et non le contraire.
Le changement de nom de la famille royale anglaise, autrefois dynastie de Hanovre ou de Saxe-Cobourg et Gotha, où la branche allemande était prépondérante, s’est effectué par ordre du roi George V en 1917 pour éviter toute ambiguïté pendant la guerre contre l’Allemagne.

Des frankistes ?

Le frankisme est une secte religieuse juive sabbatéenne7 hérétique, apparue au XVIIIe siècle avec son fondateur, Jacob Frank (1726−1791) qui rassembla jusqu’à 20 000 adeptes, principalement des Juifs polonais, la doctrine frankiste rejetant les tabous juifs et incluant même dans ses rituels des pratiques orgiaques. Les successeurs de Frank « connurent une ascension fulgurante, le mouvement se transforma en secte hérétique qui dévia vers le nationalisme et l’antisémitisme », selon le livre de Charles Novak.
Et nous avons là peut-être l’explication de cette curieuse cohabitation de deux termes qui semblent antinomiques : juif et nazi, à propos des Windsor.

Le nom de Mountbatten vient de l’allemand Battenberg : berg, montagne en allemand, mount, montagne en anglais. L’obligation décrétée par George V d’angliciser les noms d’origine allemande s’appliquant alors à Lord Mountbatten, originellement Battenberg. L’origine des Battenberg provenant elle-même d’une alliance de la famille allemande de Hesse, Alexandre, avec Julie, fille du comte Hauke, converti frankiste, devenant alors princesse de Battenberg, petite ville de la province de Hesse-Nassau.

De Battenberg à Mountbatten : Mairie de Battenberg (bâtiment jaune à gauche qui est l’ancien pavillon de chasse de la famille de Hesse), l’église et la place situées sur le Neuburg, à l’emplacement du vieux château de Battenberg)

Des Juifs ?

Nous sommes ici obligés de donner des détails qui peuvent paraître scabreux.
Dans son livre Le suppléant, un titre qui veut tout dire, le prince Harry nous donne des indications sur son anatomie intime.

« Lorsque de retour du pôle Nord, le prince Harry a dû parler de son anatomie avec son père, le roi Charles III, son pénis ayant été gelé, il a réalisé que cette partie de lui si intime avait déjà été une “affaire publique”, “une véritable curiosité”. “Un nombre incalculable de livres et de journaux (même le New York Times) avaient mentionné que Willy et moi n’étions pas circoncis”, écrit le père d’Archie et Lilibet. Et ce, selon eux, sur un véto de Lady Diana. “Selon eux, Maman l’avait interdit”, partage le prince Harry à ce sujet. Et rétablit la vérité sur son pénis, laissant planer le doute sur celui de son frère. “S’il est tout à fait vrai que les risques d’engelures péniennes sont bien plus importants en l’absence de circoncision, l’information me concernant était fausse. J’ai été circoncis bébé”, partage le prince Harry dans Le suppléant. »

Pure People, Ari Guardiola, 31 janvier 2023.

Nous ne doutons pas que les risques d’engelures péniennes seraient moins importants, du fait même d’un volume réduit de la partie concernée. Nous sommes plus intéressés par le fait que les enfants (en tout cas, au moins un) de la famille royale admettent qu’ils sont bien circoncis, ce qui est, habituellement, mais pas exclusivement, une coutume directement liée à une éventuelle judaïté et, d’une manière plus élargie, aux Sémites, cette pratique incluant donc les musulmans.
La tradition remonte bien plus loin, comme nous l’explique le magazine juif Alliance :

« Les garçons de la famille royale britannique sont toujours circoncis par un rabbin. Le père de Will, le prince Charles, a été circoncis au palais de Buckingham en 1948 par le rabbin Jacob Snowman, le mohel officiel de la communauté juive de Londres. Mais Snowman n’était pas le premier mohel, circonciseur royal. La tradition remonte au roi George Ier, qui a régné de 1714 à 1727. Des années plus tard, croyant descendre directement du roi David, la reine Victoria fit également circoncire tous ses fils. Et la reine Elizabeth II a perpétué la tradition. La tradition s’est poursuivie jusqu’à Edward VII, le duc de Windsor et le prince Charles, qui a été circoncis par Jacob Snowman GP au palais de Buckingham en 1948. Ses frères Andrew et Edward ont également subi la même procédure. » 

Alliance, 10 septembre 2022, Claudine Rouillet.

Il semble bien que la circoncision, en l’occurrence, ne relève pas de la religion, mais de l’idéologie confondue avec la religion. On ne comprend pas bien pourquoi des Celtes auraient eu un ancêtre juif, le roi David, à des milliers de kilomètres de leurs contrées.
En bref, si l’antisémitisme supposé des Windsor semble provenir de la partie juive de leur origine (le frankisme), leur philosémitisme provient, a contrario, dirons-nous, de la partie indo-européenne et celte. Ce qui, vous en conviendrez, complique de beaucoup la situation et les conclusions que nous pourrions en tirer. Mais il y a des exceptions.

Des nazis ?

Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha (1884−1954) a traversé les deux guerres mondiales.
Petit-fils de la reine Victoria, cousin germain du dernier empereur allemand Guillaume II. Il sera désigné par sa grand-mère comme héritier du Duché de Saxe-Cobourg et Gotha par le jeu des alliances. Il se trouvera donc soutenir l’Allemagne au moment de la Première Guerre mondiale contre les Anglais et banni de ce fait de sa patrie natale. Il rejoindra plus tard, en 1935, le parti nazi au sein duquel il exercera de hautes fonctions. Il se rapprochera du roi Edouard VIII à son avènement.

[Source : archives fédérales d’Allemagne ‑bild-146‑2007-0184]

Édouard VIII, fils du roi d’Angleterre George V, monte sur le trône en janvier 1936, après la mort de son père et abdique 326 jours après, afin d’épouser l’Américaine Wallis Simpson, divorcée d’un premier mari et en instance de divorce d’un second. Ce que ne peuvent accepter les structures politiques de l’époque, invoquant l’incompatibilité de cette situation avec le statut du roi, chef de l’Église d’Angleterre. C’est tout au moins le prétexte qu’elles ont invoqué pour le faire abdiquer, la véritable raison étant qu’Édouard VIII avait de fortes sympathies pour le régime hitlérien ainsi que sa future femme.
Pour l’anecdote, ces deux personnages ne seront pas les seuls de la famille royale à manifester des sympathies pour le régime hitlérien : c’est ainsi que seront exhumés une photo et un film montrant la future reine d’Angleterre, Élisabeth, sa sœur Margaret, leur mère et leur oncle, le futur Édouard VIII, faisant le salut nazi :

On sait que trois des sœurs de Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg, mari d’Élisabeth II, étaient membres du parti nazi et, enfin, la photo du prince Harry déguisé en officier nazi de l’Africa Korps en janvier 2005 soulèvera un grand émoi dans la presse.

Kali-Yuga

Julius Evola écrivait, dans Chevaucher le tigre :

« Dans le monde classique, on parle d’une descente progressive de l’humanité de l’Âge d’or jusqu’à celui qu’Hésiode appela l’Âge de fer. Dans l’enseignement hindou correspondant, l’Âge final est appelé le Kali-Yuga (l’âge sombre), et l’on en exprime le caractère essentiel en soulignant que ce qui est propre au kali-yuga, c’est précisément un climat de dissolution — le passage à l’état libre et chaotique des forces individuelles et collectives, matérielles, psychiques et spirituelles qui, auparavant, avaient été contenues, de diverses manières, par une loi venant d’en haut et par des influences d’ordre supérieur. Les textes tantriques ont donné une image suggestive de cette situation en disant qu’elle correspond au complet “éveil” d’une divinité féminine — Kâlî — symbolisant la force élémentaire et primordiale du monde et de la vie, mais se présentant, sous ses aspects “infernaux”, comme une déesse du sexe et des rites orgiaques. “Endormie” jusque là — c’est-à-dire latente quant à ces derniers aspects — elle serait, durant l’“âge sombre”, complètement éveillée et agissante. »

Il semble que les Windsor aient au moins retenu de leur colonie hindoue la figure de l’une des principales déesses de son panthéon, Kâlî. Tout comme l’avait fait le célèbre groupe de rock britannique, les Rolling Stones, qui avaient choisi comme logo un détail de la représentation de la déesse : son énorme langue rouge, signe sans équivoque adressé comme un défi à notre monde finissant.

Pierre-Émile Blairon

Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un certain nombre de livres liés à l’Histoire, notamment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle.





« UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité

Suite de Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara

Manifeste original de Unabomber, Theodore Kaczynski :

Voici le nœud gordien

celui qui explique et cause la détresse de dizaines de milliers de fermiers, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs en France et en Europe et donne l’explication en détail de leur ruine programmée (et de la nôtre) par L’AGENDA 2030/GREAT RESET des Globalistes.

Toujours présenté pour le « bien de tous », pour la planète et luttant contre le C02 et le « Changement climatique ».

FARM TO FORK — UE:

https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en

Document :

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52020DC0381
[Ci-dessous, la capture PDF de la page du document :]

« Farm to fork » [« de la ferme à la fourchette »] ou aussi Green Deal, approuvé par le gouvernement français, est ce programme européen (et mondial) au cœur de la colère et de la détresse de nos éleveurs, paysans, agriculteurs.

« Farm to fork » exige une BAISSE de la production agricole Européenne de FRANÇAISE de 20 % pour s’adapter à la COP 28, au « Changement climatique » Agenda 2030 visant à faire baisser drastiquement « les émissions de CO2 » d’ici 2050.

Bien sûr l’Agriculture et l’Élevage sont VISÉS avec les mêmes MENSONGES à l’appui que j’ai décryptés dans mon article : Partie 1 de Unabomber 2030 le Great Reset des pommes de terre et des vaches :

Agenda 2030 basé sur une fausse science « climatique » toute acharnée contre le CO2, qui est avant toute chose l’Élément de la VIE, un agenda canular asséné aux masses depuis 40 ans.

https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

Bien que de nombreux points semblent très positifs, dans « Farm to Fork » : réduction des pesticides, produits chimiques, de la pollution… Il faut bien tout lire, en détail…

Il faut décoder le double langage, car tout cela est promu au nom du « zéro net carbone » en 2050, pas juste de « la fin des plastiques dans les océans ! »

Or, « ZÉRO NET » est une fausse théorie très dangereuse, une ABSURDITÉ SCIENTIFIQUE conduisant à l’Extinction des ressources de la terre et de ses espèces et non à leur préservation.

LE BUT RÉEL

Brimer et faire disparaître des milliers d’élevages de fermes, d’exploitations ? Pourquoi ?

Pour le contrôle absolu sur la Nourriture pour l’humanité par quelques-uns, avec une main de fer face au petit humain qui doit bien se nourrir tous les jours

Le But est d’asseoir le Règne des grandes entreprises de bio technologie et génétique sur l’Agriculture et l’Alimentation en général et mettre l’IA au cœur d’un nouveau système alimentaire mondial Transnaturel.

Tout cela au nom de « la nature et de l’écologie », au nom d’un « système agricole et élevage durable » triple mensonge, au service de « cette nouvelle Humanité responsable et consentante pour sauver la Planète. »

Nos agriculteurs (hormis les très gros), éleveurs de vaches, moutons, chèvres, poulets fermiers ou de terroir, les pêcheurs, les laiteries de Normandie et fromagers de France sont les premiers à en souffrir et à aller vers leur expropriation, ou la vente de leurs terres, causées par la ruine, taxes, règlements draconiens, jachères, importation de produits toxiques à bas prix, venant d’autres pays par Traités de libre-échange UE, règles bureaucratiques « au nom du Climat » sans fin, menant à une production réduite par ces règles, pas achetée ou achetée à ZÉRO gain, que de la perte ! Et c’est pareil dans tous les pays européens et ailleurs aussi (INDE, CANADA, etc.. )

Seuls les très gros exploitants adhérents au Programme se développent ou font du profit, mais des milliers de petites et moyennes exploitations sont abandonnées, vendues, ou alors les exploitants se suicident !

De plus les cheptels, les volailles, les bêtes sont soumises à des contrôles sanitaires incessants sous prétexte de suspicion de « grippe aviaire » ou autre maladie des bovins par exemple, avec pour RÉSULTAT, en tant que « Prévention des épidémies » par l’OMS, qu’à la moindre suspicion réelle ou supposée d’un poulet ou une vache patraque, des MILLIONS de bêtes sont abattues en France et dans le monde et toutes les autres « vaccinées » dare-dare, avec les nouveaux vaccins vétérinaires à ARN ou ADN. (Qui contiennent aussi du GRAPHÈNE, des HYDROGELS ET de la BIOLOGIE SYNTHÉTIQUE).

SANS OUBLIER LES POISSONS

Ils « vaccinent » sur une chaîne automatisée le poisson norvégien sauce ADN :



« Chaque dose de 0,05 ml contient : Substance active : ADN plasmidique pUK-SPDV-poly2 # 1 codant pour les protéines du virus de la maladie du pancréas du saumon : 6,0 à 9,4 μg. »

LA DÉTESTATION DE LA VIANDE ET DE L’ÉLEVAGE
même traditionnel

est répétée tout au long des documents de Farm to Fork.

Alors que NOUS, demandons la FIN des monstrueux élevages industriels de torture avec millions de poulets ou vaches dans des conditions sanitaires et des conditions de non-vie INNOMMABLES et CRUELLES, en cages, nous demandons la préservation des élevages traditionnels à taille humaine respectant le bien être des animaux, leur accès à la terre, au mouvement en liberté, à l’herbe, aux pâturages, au soleil, à l’air libre, avec une nourriture SAINE et naturelle pour chaque espèce.

Dans Farm to Fork :

la Viande, même l’élevage fermier ou même l’élevage laitier et fromages, sont désignés comme Le problème, l’ENNEMI NUMÉRO UN, avec un record de « gaz à effet de serre » CO2 et de méthane émis et donc designés directement responsables à un haut degré du « Changement climatique » sur Terre.

( FURIEUX MENSONGE au niveau de la réalité et de la SCIENCE)

Or, les obèses, ne changeront rien à leur addiction, les addicts au fast food idem, les Hallal épris de mouton rôti ne changeront rien, les végans hystériques non plus ne changeront rien, les « bio plus que bio » ne changeront rien, les Français épris de bœuf bourguignon non plus, ou pas de sitôt.

COMMENT CONTRAINDRE LES CONSOMMATEURS ?

L’uniformisation industrielle et bio technologique de la nourriture et les « pass carbone » coercitifs feront accepter n’importe quoi, si :

  • 1 ) le prix est assez BAS
  • 2 ) les points carbone du mois sont épuisés en quelques jours par 1 vrai steak et 4 vrais œufs pour votre famille !
  • 3 ) ÇA RESSEMBLE à de la viande ou à des plats traditionnels.

VERS UNE NOURRITURE DE SYNTHÈSE et de LABOS

Sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (Farm fo Fork document).

3- 1 Recherche, innovation, technologie et investissements

La recherche et l’innovation (R&I) sont des facteurs essentiels pour accélérer la transition vers des systèmes alimentaires durables, sains et inclusifs de la production primaire à la consommation.

La R&I peut contribuer à mettre au point et tester des solutions, à surmonter les obstacles et à mettre au jour de nouvelles perspectives commerciales
Dans le cadre du programme Horizon 2020, la Commission prépare un appel à propositions supplémentaire concernant les priorités du pacte vert pour 2020 pour un montant total approximatif de 1 milliard d’euros.

Dans le cadre du programme Horizon Europe, elle propose de consacrer 10 milliards d’euros à la R&I dans les domaines de l’alimentation, de la bioéconomie, des ressources naturelles, de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de l’environnement,

Ainsi que d’utiliser des technologies numériques et des solutions naturelles dans le secteur agroalimentaire.
L’un des principaux domaines de recherche concernera le microbiome, les denrées alimentaires provenant des océans, les systèmes alimentaires urbains ainsi que l’augmentation de la disponibilité et des sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (de synthèse).

https://www.kla.tv/GenieGenetique/25436
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=C.

(D’où j’en déduis que la dernière marotte de BILL GATES sur le MICROBIOME n’est pas arrivée par hasard)
du PDF :
https://food.ec.europa.eu/document/download/472acca8-.
https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork.
[ou https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en?prefLang=fr&etrans=fr en traduction française]

Il est clair que la révolte agricole Française légitime a été rondement menée sous un contrôle de Syndicats alliés du gouvernement, qui eux adhèrent à l’UE, aux règles, à l’Agenda 2030 ONU et à FARM TO FORK UE, pour tenter de désamorcer la possible révolte incontrôlable de la base, des petits et moyens exploitants, qui eux, sont ruinés par cet agenda.

Le Salon de l’Agriculture survolté et en révolte depuis le 24 février 2024 à PARIS démontre que les agriculteurs et éleveurs n’ont pas été dupes des magouilles et des mensonges du gouvernement et certains comprennent progressivement l’énormité et l’insanité pour eux et pour toute l’HUMANITÉ des plans cachés dans les documents de l’UE et du WEF

UN « GREAT RESET » ANTI NATURE :

Extrait de la vidéo de Ernst Wolff Kla.TV :

« Nous vivons actuellement dans le monde entier un changement d’époque économique et social, l’entrée dans l’ère numérique. Une infime minorité nous y conduit toutefois. Et ce, sans que la majorité ait le moindre droit de regard. Cette minorité, un cartel de puissants groupes financiers et informatiques, poursuit plusieurs objectifs, désormais connus sous le nom de “Great Reset”. Elle veut nous enregistrer tous de manière biométrique, elle veut nous imposer une nouvelle monnaie, c’est-à-dire la monnaie numérique de la banque centrale, et elle veut transformer l’agriculture de fond en comble.

Et ce, grâce à ce qu’on appelle “le smart farming” [l’agriculture intelligente]. Cela comprend l’automatisation du travail des tracteurs et des outils, l’utilisation de drones ou de robots de travail et l’utilisation de l’intelligence artificielle, par exemple par l’application d’algorithmes à la production végétale. Mais ce n’est pas tout.

Le Great Reset dans le domaine de l’agriculture mise avant tout sur les découvertes de la biologie synthétique, c’est-à-dire sur les semences génétiquement modifiées et, depuis peu, sur la viande de laboratoire. Les protagonistes du Great Reset nous vendent tout cela comme des mesures prises dans notre intérêt pour lutter contre le changement climatique.

Les semences doivent soi-disant être manipulées pour rendre les plantes résistantes au changement climatique. Et la viande de laboratoire doit remplacer la viande normale. Puisque les bovins, les porcs et les moutons émettent trop de méthane. Tout cela n’est pas une satire, mais une amère réalité.

Derrière tout cela se cache un business de plusieurs milliards de dollars dans lequel de nombreux grands investisseurs se sont déjà lancés. Mais cela signifie également la soumission totale de l’agriculture à ces investisseurs. Car les licences et les brevets, aussi bien sur les semences résistantes au climat que sur la viande de laboratoire neutre pour le climat, ne reviennent évidemment pas aux agriculteurs, mais aux représentants du cartel.

Le smart farming, soyons clairs à ce sujet, ne contribuera pas plus à sauver le monde que tout le reste de l’agenda climatique.

Le smart farming n’est rien d’autre qu’un énorme business au profit d’une infime minorité et, en outre, la fin de l’agriculture telle que nous la connaissons. La politique joue un rôle particulièrement peu glorieux dans cette évolution fatale, car elle s’est presque entièrement soumise à l’agenda du Great Reset. »

https://www.kla.tv/28044

Viande de Laboratoire :

« Après Singapour, les États-Unis sont le deuxième pays au monde à autoriser la consommation humaine de viande produite artificiellement. Cela pourrait signifier la percée de cette nouvelle technologie. Le marché mondial de la “viande artificielle” est déjà estimé à 247 millions de dollars, avec un taux de croissance annuel de plus de 50 % d’ici 2030. »

Le FOND :

https://www.kla.tv/27996

LES COUPABLES : ONU, OMS et le FEM

Les trois ont déclaré conjointement la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » :

https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire »

de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’humanité.

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs bio technologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO2, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de Heiko Schöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” »

ARN ET ADN contaminant les Nourritures et les Vaccins proposes par ONE HEALTH

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté.

Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

Théara :

L’ÉLEVAGE AU NIVEAU MONDIAL doit être « VACCINÉ » AVEC DES NOUVEAUX « VACCINS à ARN et ADN »

PROGRAMME ONE HEALTH

Extrait :

« D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN »

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1

https://www.intvetvaccnet.co.uk/blog/taking-a-one-health-approach-to-tackling-infectious-diseases

Suite article L’Arme Alimentaire :

« Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. »

« Les “vaccins autodisséminés”, des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission. »

« De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [Tracking Devices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce “code-barres ADN”, comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — “généralement inoffensives” ! »

« Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! »

« Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la “régulation” de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. »

food.ec.europa.eu
Farm to Fork Strategy

SVP lire partie 1 :
https://wordpress.com/post/lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/4787
SUR NOUVEAU MONDE :
https://nouveau-monde.ca/unabomber-2030-le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches/

Article rédigé par Theara Truth News FRANCE
le 4 février 2024, mis à jour le 25/02/2024
avec de nombreux passages d’émissions de Kla.TV en vidéos et par écrit.




Objectif euromondialiste : destruction du Travail à l’horizon 2030

[Source : E&R via SOTT]

Beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du plan d’ensemble qui s’abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s’abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années : le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

https://twitter.com/p_duval/status/1668945736594071559

Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi — rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté —, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.

Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat — la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône —, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.

Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?

Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… L’une après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites… lorsque l’intelligence artificielle et les robots ont assumé une grande partie de notre travail… »

https://youtu.be/sswNp9sV-0g

Il ne restera plus que la classe dominante, une classe de servants technologiques du Système, les gardiens armés de l’ensemble, et une foule hétéroclite d’assistés, d’esclaves, de margoulins, d’artistes et de dingos (le surplus non productif sera un jour déporté sur Mars ou éliminé par des pandémies ciblées). On peut penser que les drogues de synthèse seront en vente libre, ça fait partie du projet d’anesthésie des masses et de leur colère potentielle. On approche de la dystopie hollywoodienne de bas étage.

Les trois piliers de notre société — et de notre civilisation — étaient le travail, la famille et la patrie. Tous ont été rongés par le travail de sape des forces occultes qui se cachent de moins en moins. Le travail disparaît, suite à la mondialisation, au choc robotique et à l’extension de l’IA ; la famille éclate sous les coups de boutoir du féminisme, de la liberté sexuelle (qui remplace la liberté d’expression) et de la dés-éducation ; enfin, la patrie est fondue dans un ensemble plus grand – L’Europe — mais aussi plus flou aux frontières ouvertes à la misère humaine. Les euromondialistes parlent d’un milliard de migrants climatiques. L’Europe des peuples est devenue l’otage des disciples de Schwab et Attali, tout est cohérent, la boucle est bouclée, le piège parfait.

Macron ne fait qu’appliquer à marche forcée la méthode Thatcher des années 80, remplacer l’appareil productif avec son emploi salarié de masse par une économie de services comprenant finance, banques et assurances. La révolte des Gilets jaunes — cette classe productive de base — a été matée dans le sang, comme celle des mineurs en Angleterre. Le président français ne fait qu’obéir à ses maîtres, Schwab et Rothschild.

Le discours de l’employée étasunienne Leyen au forum de Davos 2023 ne laisse plus de place au doute : le changement sera brutal.

La transition vers une industrie neutre en carbone entraîne déjà d’énormes transformations sur le plan industriel, économique et géopolitique — de loin les plus rapides et les plus marquées que nous ayons connues de notre vivant. Elle transforme la nature du travail et la configuration de notre industrie. […]

C’est maintenant que s’écrit l’histoire de l’économie des technologies propres. Durant toutes ces années où je suis venue à Davos, j’ai souvent entendu dire que nous sommes à l’aube d’une de ces périodes de destruction créatrice dont parlait 

l’économiste Joseph Schumpeter. Il pensait que l’innovation et la technologie remplacent l’ancien, entraînant l’abandon à la fois de l’industrie précédente et des emplois qui y étaient liés. Cette dynamique s’applique, de bien des manières, à la révolution des technologies propres de demain.






Nous prépare-t-on une prochaine « plandémie » ?

[Source : Décoder l’éco]

Ce 30 janvier, le World Economic Forum annonce 3 priorités pour « se préparer à la prochaine pandémie ». On espère que vous êtes conscients de n’en être qu’au début de votre carte de fidélité. En tout cas, le WEF, lui, se prépare pour la prochaine fois. Il faut dire que Klaus Schwab, en se citant lui-même dans le Great Reset, nous apprend que la pandémie « représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». Accessoirement, elle fut l’occasion d’enrichir considérable quelques partenaires du WEF dont Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson&Johnson. C’est fou comme la philanthropie rapporte. La récompense divine se mesure finalement en milliards de dollars en provenance direct des impôts des gens.


[Source : aubedigitale.com]

Après Davos, l’une des principales conférences sur la centralisation mondiale est le sommet annuel mondial des gouvernements à Dubaï, un lieu où les élites de l’establishment peuvent s’exprimer à voix haute sur des programmes qu’elles gardaient hautement secrets il y a seulement dix ans. La conférence de 2023 offre une flopée de discours révélateurs, dont un exposé de Ian Bremmer, président et fondateur d’Eurasia Group. Cette organisation est un « cabinet de conseil en risques politiques » qui considère la gouvernance mondiale comme la solution à la majorité des problèmes du monde.

L’extrait suivant du discours de Bremmer est un autre exemple d’un mondialiste qui dit tout haut ce qui est silencieux : il considère les événements de crise comme utiles à la poursuite de la centralisation, et Bremmer inclut la pandémie de covid dans sa liste de catastrophes précieuses. Il ne donne pas de détails, mais il est probable que les catastrophes provoquent la peur du public, et la peur est facile à exploiter. Bien que Bremmer semble condamner la montée du « protectionnisme » et du nationalisme ces dernières années, il est clair qu’il considère les tensions nationales comme un outil précieux pour le jeu final : Un gouvernement mondial.




Dites à vos proches de se préparer pour la Grande Réinitialisation

[Source : businessbourse.com]

Dites à vos proches de se préparer pour le grand reset – Robert Kiyosaki, Warren Buffet

Le Great Reset — ou Grande réinitialisation — pourrait sortir la planète de la crise dans laquelle elle est plongée, selon le Forum économique mondial de Davos. Quand certains voient dans ce projet une future gouvernance mondiale liberticide ou encore une vaste opération de marketing vert, d’autres y voient au contraire l’opportunité de propulser la quatrième révolution industrielle et refonder le capitalisme. Décryptage du « monde d’après Covid » souhaité par les dirigeants économiques de la planète.

La « Grande réinitialisation » promue par le Forum de Davos depuis juin 2020 est une somme de pratiques et de réformes à mettre en place au niveau mondial afin de créer une nouvelle donne économique, environnementale et sociale face à la crise sanitaire. Ce projet a pour ambition de créer un monde futur meilleur : « Il s’agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclu­sif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivi­ons à l’ère pré-pandémique. Ne rien faire, ou trop peu, revient à avancer aveuglément vers toujours plus d’inégalités sociales, de déséquilibres économiques, d’injustice et de dégradation de l’environnement », explique l’organisation sur son site web. La nouvelle session annuelle du Forum économique mondial, traitant de la Grande Réinitialisation, a été repoussée à l’été à cause de la pandémie de Covid-19. Du 25 au 29 janvier, le Forum organisera de façon virtuelle les « Dialogues de Davos ».

https://youtu.be/0bOOoqk2LSM
Robert Kiyosaki : « Les banques centrales font partie du marxisme.
La banque centrale, c’est le communisme, l’économie contrôlée par la centrale. »

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Stratégie du choc et ingénierie de la soumission : vers un « blackout » programmé au service du Reset ?
La cabale mondialiste promeut un régime à base d’insectes — et de cannibalisme
Rayons vides, ruptures d’approvisionnement : La France au bord d’une pénurie alimentaire de grande ampleur dans les prochaines semaines ?
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
Quelques autres articles évoquant Maurice Strong :
Racines nazies de la famille royale britannique ?
La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »
La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
D’autres concernant Klauss Schwab, la Grande Réinitialisation, l’agenda 2030 ou encore Yuval Harari, un intellectuel influant du Forum Économique Mondial :
Qui a « construit » Klaus Schwab ? Qui sont ses mentors ?
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Yuval Noah Harari, l’architecte du plan
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Qu’est-ce que le « Conseil pour le capitalisme inclusif » ? C’est le Nouvel Ordre Mondial
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
La cabale mondialiste promeut un régime à base d’insectes — et de cannibalisme
L’ONU et le Forum économique mondial sont à l’origine de la « guerre contre les agriculteurs »
LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale
Bien comprendre ce que Schwab et la clique de Davos nous préparent
La grande Réinitialisation passe par la grande Dépossession commencée il y a des décennies!
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Klaus Schwab de la lignée Rothschild
Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Etc.
D’autres articles autour de ces sujets peuvent être trouvés à partir des thèmes RéinitialisationKlaus SchwabNouvel Ordre MondialBill Gates et Transhumanisme ou par recherche avec des mots clefs appropriés comme « Agenda 2030 ».]




Marc-Gabriel Draghi : « La révolte des peuples devra être massive, spontanée et solidaire pour réussir »

[Source : lemediaen442.fr]

Marc-Gabriel Draghi est spécialiste de l’histoire du droit. En fin observateur, il a suivi en 2020 la mise en place de la dictature sanitaire et son caractère disproportionné édicté par les gouvernements contrôlés par l’oligarchie financière. A la lecture de son dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial », on pourrait se dire que notre mise en esclavage est presque consommée. Et pourtant, le Nouvel Ordre Mondial est bel et bien fragilisé dans sa mise en place finale, car les peuples n’ont plus le choix, s’ils veulent continuer d’exister. Great Resist contre Great Reset !


“Il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché”

Le Média en 4-4-2 : Bonjour, Marc-Gabriel, et merci d’avoir accepté notre invitation à un entretien autour de votre dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial ». Celui-ci est une synthèse d’articles que vous avez écrits en 2020 et il nous permet de « comprendre comment notre monde a basculé définitivement dans ce que Emmanuel Macron a appelé « Le monde d’après… ». Et dès votre introduction, vous annoncez très clairement la couleur : « L’année 2020 nous a prouvé qu’il n’y avait pas de complot. Il y a un programme, un plan minutieux énoncé clairement et officiellement par l’oligarchie financière transnationale depuis des décennies. » Pouvez-vous nous résumer ce programme qui est bel et bien en marche ?

Marc-Gabriel Draghi : Le programme politique derrière le slogan de Grande Réinitialisation est en définitive l’instauration du Nouvel ordre mondial. Pour être plus clair, il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché. D’un point de vue historique, il s’agit de la victoire finale du monde de l’argent contre les institutions protectrices des individus, la famille et la Nation, qui doivent être désormais totalement liquidées. Le Great Reset est l’application concrète de la volonté de l’hyper classe mondialisée (dont le Forum économique mondial et Klaus Schwab sont les symboles). L’establishment, par ce nouveau paradigme, vise à accélérer les tentatives d’asservissement des populations à leur profit, tout en leur faisant croire que la construction de ce Monde d’Après (Build Back Better) est réalisée pour leur propre bien (sécurité, liberté, santé, survie de la planète, etc.).

La Grande Réinitialisation se structure autour de différentes phases de sidération des peuples (contrôle par la peur). De la pandémie à la guerre, en passant par le climat, les pénuries, etc., l’establishment maîtrise l’Agenda (horizon 2030) et, après avoir créé les problèmes, impose ensuite les solutions (vaccins, pass sanitaire-carbone, rationnement, crédit social, monnaie numérique de banque centrale, etc.). On l’a constaté à l’occasion du narratif covidien, ce programme politique est exécuté par la quasi-totalité des « décideurs » mondiaux (plus spécifiquement en Occident).

Ainsi, presque officiellement, par le quoi qu’il en coûte, les taux négatifs, puis l’hyperinflation, les véritables dirigeants sont désormais les firmes obscures du capitalisme financier (BlackRock pour ne citer qu’elle) qui, par la dette et la concentration totale du capital, dictent les actions à entreprendre aux gouvernements mondiaux et autres grands acteurs (firmes transnationales, ONG, institutions internationales). Le Grand Reset est la proclamation de la victoire du grand capital nomade et apatride sur les populations.

 

Le Média en 4-4-2 : Concernant BlackRock, une des firmes qui dirigent donc ce monde, vous écriviez en janvier 2020 que vous ne voyiez pas le « navire Macron » couler suite au scandale BlackRock en pleine crise des retraites et du mouvement des Gilets Jaunes. Nous sommes nombreux à percevoir Macron comme « un obligé des grandes puissances financières » qui sont encore derrière lui et qui le soutiennent toujours. Comment celles-ci ont-elles réussi à le sauver et à le reconduire pour cinq ans malgré les nombreux scandales et révélations ?

Marc-Gabriel Draghi : Les puissances financières qui soutiennent Macron ont simplement détourné l’attention du grand public par l’intermédiaire des médias de masse (TV, grande presse) en soulevant des sujets peu importants, mais crispants, servant à faire diversion et à diviser (LGBTisme, wokisme, faits divers, etc.). De plus, la pandémie, qui est parvenue à « hypnotiser » une large partie de la population, a également permis à Macron de sauver sa tête. Sans cette crise sanitaire organisée, qui nous a tous préoccupés à des degrés divers sur les atteintes aux libertés publiques les plus élémentaires (confinements, couvre-feu, fermetures de certaines activités, vaccinations, passes, etc.), il n’est pas certain que l’illusion Macron aurait perduré dans un contexte social tendu (réactivation des Gilets Jaunes).

Le Great Reset, proclamé en mars 2020, a vraisemblablement sauvé Macron, en sidérant aussi les franges de la population les plus contestataires. Emmanuel Macron, qui se présente lui-même comme le « hedge » (couverture) de David de Rothschild, fédère autour de lui les grandes puissances d’influence qui comptent dans la gestion des « affaires » en France (lobby bancaire, américain, israélien…). Les BlackRock, Vanguard, etc., actionnaires majoritaires de la plupart des grands groupes français (CAC40, médias, construction, agroalimentaire, etc.) ont la capacité d’imposer une narration médiatique moins défavorable à Emmanuel Macron. Car sans parler des interrogations sur l’organisation des scrutins de cette année 2022, Macron au printemps dernier, a été élu par défaut, face à une opposition politique inconsistante et à côté de la plaque sur la plupart des grands sujets. Les Zemmour, Le Pen, Mélenchon se sont tous couchés et rangés derrière la posture belliciste et otanesque de Macron, sans parler de leurs programmes économiques et politiques qui ne posent jamais les vraies questions de souveraineté et se résument à des demi-mesures.

Néanmoins, même avec ce « narratif » médiatique très favorable, l’ancien associé-gérant de chez Rothschild et Young Global leader de 2016 est sorti fragilisé des élections (notamment les législatives). Son maintien à la tête de l’Élysée n’est rendu possible que par l’obéissance grandissante des populations et leur acceptation du récit médiatique qui leur est proposé (sanitaire, guerrier, énergétique, climatique, etc.)

« L’effondrement financier va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023 »

Le Média en 4-4-2 : Cette obéissance des populations permet également à l’oligarchie de poursuivre son programme notamment au niveau économique. En mars 2020, vous écriviez que « avant un grand effondrement sous contrôle, les nations du monde vont connaître des épisodes d’inflation, puis d’hyperinflation ». Où en sont-ils selon vous dans leur programme ? Quand vont-ils ordonner et provoquer l’effondrement général de l’économie mondiale ?

Marc-Gabriel Draghi : On peut présupposer que l’effondrement financier (grand krach c’est-à-dire l’éclatement des différentes bulles : immobilier, marchés actions, produits dérivés, cryptomonnaies, Tech et surtout obligataire) va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023. Cela serait assez logique, puisque tout est en place au niveau du narratif (crise énergétique/économie de guerre selon Macron). Aujourd’hui on parle d’inflation (10 à 20 % officiellement), mais demain nous pourrions voir des taux approchant et même dépassant les 50 %. Certains pays connaissent déjà cette situation. Le cataclysme financier devrait donc intervenir entre 2022-2024 comme l’avait d’ailleurs théorisé Piero San Giorgio dans son best-seller « Survivre à l’effondrement à l’économique ».

“Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau monde numérique à la devanture verte, soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire”

Le Média en 4-4-2 : Quels conseils pouvez-vous nous donner pour nous préparer à cet effondrement financier, que ce soit au niveau économique, logistique ou humain ? Mais d’ailleurs, est-ce irréversible ? On imagine que oui, vu l’échéance que vous nous annoncez…

Marc-Gabriel Draghi : Oui l’effondrement est désormais irréversible. Il a même déjà commencé il y a plusieurs années. On le constate notamment avec la destruction des services publics et le colossal transfert de richesse au profit de l’establishment transnational. Il sera officialisé sous peu. Pour s’y préparer d’un point de vue financier, je recommande une débancarisation par la transformation de son épargne en monnaie fiat, en stocks de métaux précieux (argent, or). Plus spécifiquement l’argent métal (actif sous-évalué et populiste par excellence), car c’est par lui que se fera la destruction de la Bête (système financier alchimique). Pour l’or, ce dernier va jouer un rôle important dans le reset monétaire international, donc ceux qui en détiendront un peu seront certainement favorisés.

Au niveau de la sécurité individuelle, il est, à mon sens, préférable de fuir les futures smart cities (grandes métropoles) en cas de troubles graves. Il est plus facile de s’organiser dans les villes petites et moyennes et à la campagne. Le contrôle social et politique sera aussi moins important. Cependant si l’on est à la campagne, il faut disposer de biens à forte valeur d’usage (filtres à eau, batterie nomade avec petit panneaux photovoltaïques, outils, armes, serre, potager, chauffage au bois, stocks de nourriture, etc.). Et enfin il faut avoir un groupe élargi d’amis/famille et impérativement s’entendre avec ses voisins. On ne résistera pas seul avec son revolver magnum et un bunker. S’organiser, échanger en réseau comme le fait notamment le Collectif Réinfo Covid depuis deux ans. Ce sont des conseils de bon sens, mais qui peuvent constituer les premières protections contre l’effondrement.

[Voir aussi ce que propose Alexandre Juving-Brunet en France
(Quelques vidéos en ordre chronologique) :
Résilience et Résistance pour la France
Arrêtez de subir ! Agissez pour reprendre votre liberté maintenant !
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Lancement de la BFL — Banque de France Libre
Quelle souveraineté sans liberté ?
Les Francs Libres sont prêts]

La question politique du Monde d’Après se fera autour de la reconstruction après destruction (Build Back Better). C’est à la fois un défi et une chance pour notre génération. Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau Monde numérique à la devanture verte (CBDC [cryptomonnaie], crédit social, pass carbone, etc.), soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire. C’est à nous de choisir. Et qu’on se le dise, la France et surtout son peuple auront un rôle politique important à jouer. Ce n’est pas pour rien que l’élite nomade et apatride cherche à tout prix à ancrer Macron au plus haut sommet de l’État. Il est le grand liquidateur et il ne reculera devant rien pour appliquer la Grande Réinitialisation de ses maîtres.

Le Média en 4-4-2 : Avec ces « liquidateurs » qu’il a placés dans de nombreux pays, « le capitalisme financier anglo-saxon veut notre mort, car il sait que dans nos esprits latins nous détenons la clé, celle qui peut détruire le projet de mise en esclavage et de domination mondiale de nos Shylock (usuriers) modernes ». L’effondrement est irréversible, mais ce n’est pas pour autant qu’ils vont atteindre leurs objectifs… Quelle est cette clé que nous possédons et que nous devons absolument utiliser ?

Marc-Gabriel Draghi : L’argent métal qui est notre vraie monnaie historique (synonyme de liberté), mais aussi notre histoire qui nous permet de nous définir comme Nation. Ce sont pour moi les deux armes à utiliser contre la Bête de l’Événement.

« Les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort »

Le Média en 4-4-2 : Concernant l’argent liquide, vous écriviez en octobre 2020 que ce « dernier bastion de liberté financière va nous être retiré par l’establishment. Et c’est par l’illusion de la cryptomonnaie que nous allons voir disparaître le dernier vestige de l’arme monétaire ». Deux ans plus tard, où en sont-ils dans leur processus de disparition de l’argent liquide ?

Marc-Gabriel Draghi : La disparition de l’argent liquide en France, et plus globalement en Occident, se fait de manière naturelle. Depuis 2020 et un rapport officiel de la Banque de France sur l’usage des espèces : le nombre de DAB [distributeur automatique de billets] a baissé de 3,2 % et 4 % en 2019 et 2020. Il y a une altération constante de l’accès aux espèces pour la population : 52 451 DAB en décembre 2018 à 48 710 en décembre 2020.

De plus, par leurs politiques et règles adressées aux usagers, les banques limitent de plus en plus les dépôts et les retraits de cash avec des montants de plus en plus bas. Mais c’est surtout l’usage des espèces chez les consommateurs qui est en chute libre. Dans nos pays latins, c’est le secteur privé qui va être et est chargé de faire disparaître les espèces (grandes multinationales, banques commerciales). Le krach financier qui vient va également avoir pour conséquence possible des Bank Run. Des gens vont vouloir malgré l’inflation, disposer d’espèces en cas de pénuries diverses. On le voit aujourd’hui avec l’essence, la peur du manque conduira des masses à retirer leur argent des comptes bancaires dans la plus large mesure possible. 

Les sociétés feront ensuite des ristournes pour un achat effectué de manière dématérialisée. De même pour ce qu’il restera des petits commerçants qui pourraient voir ces services de paiement numérique faciliter les paiements des petites sommes (c’est déjà le cas), en plus de bénéficier d’une garantie de sécurité (plus de vols ou fraudes). En réalité depuis une décennie au moins, par l’usage intempestif de la carte bancaire (aller chercher du pain-boire un café), les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort.

« Les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang, donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants »

Le Média en 4-4-2 : Vous nous expliquez que « nos politiques ont compris qu’ils allaient devoir se montrer encore plus subtils et malins pour continuer à tromper la partie amorphe et contenir la colère du peuple éveillé ». Ils vont donc détourner l’attention vers « de faux débats qui favorisent les luttes horizontales (guerres raciales, confessionnelles, etc.) » pour ne pas que le peuple se penche sur la « question de la dette, qui n’est jamais remise en question » et qui est selon vous « le point crucial ». Comment expliquer à notre entourage que cette dette est un instrument pour nous contrôler et nous faire culpabiliser ? Peut-on d’ailleurs la remettre en cause ?

Marc-Gabriel Draghi : La question de la Dette (qui est le cœur de notre système financier actuel et l’arme de nos élites nomades) est à la fois complexe et simple. La seule façon de l’appréhender est de faire un effort intellectuel pour la compréhension des vrais rapports de force. La perception des conséquences sur le long terme de la Dette est presque un travail de l’âme, un rapport au temps, il s’agit de comprendre comment on peut vendre une chose qui n’appartient qu’à Dieu, et qui est gratuit en réalité (le temps). On ne peut pas obliger quelqu’un à s’éveiller sur ces questions, si ça ne vient pas de sa propre volonté personnelle. Je conseille cependant le travail de l’ex-trader Anice Lajnef qui arrive parfaitement à vulgariser et expliquer les conséquences de la Dette sur nos sociétés politiques. La Dette peut du jour au lendemain être remise en cause. La question fondamentale que l’on doit se poser collectivement est : qui doit payer prioritairement la facture de l’effondrement ? Les peuples ou les élites corrompues ? Le Capital ou le Travail ? Les modalités (liquidation, annulation) sont secondaires. Mais oui, la Dette, donc la question monétaire, peuvent être posées à tout moment par la masse (peu vraisemblable) ou un petit groupe de personnes motivées et au service de l’intérêt général, ou un homme seul bien guidé.

Détruire la Dette perpétuelle et éternelle sera un mal pour un bien. De toute façon les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants. Si l’on se défait de la Dette, on retire l’arme la plus puissante à nos ennemis de l’hyper classe. C’est la question d’aujourd’hui et de demain. La culpabilité et la charge des intérêts doivent changer de tête…

Le Média en 4-4-2 : Ce petit groupe de personnes motivées pourrait d’ailleurs être inspiré d’aller « prendre d’assaut la Banque centrale européenne de Francfort ». Pouvez-vous expliquer pourquoi à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre ouvrage ? Ce serait aussi l’occasion d’expliquer le rapport entre cette Banque centrale et la repentance éternelle…

Marc-Gabriel Draghi : La Banque centrale européenne est à la fois le vrai lieu institutionnel des décisions monétaires/économiques, mais aussi un symbole. Si des Gilets Jaunes ou une manifestation internationale de grande ampleur ciblait ce lieu de pouvoir, l’hyper classe et son narratif (l’Europe protège et elle est aimée des Européens) seraient attaqués en plein cœur. Le principal responsable de l’effondrement économique de l’Europe est bien la BCE par l’intermédiaire de l’euro. Et cette institution est surtout un lieu symbolique que je compare à la prison de la Bastille de 1789, pour le pouvoir nomade et apatride qui dirige les Européens. Si les peuples veulent changer le narratif, il est impératif de dépasser le cadre des protestations nationales. De plus comme je l’explique dans le livre, les dirigeants de la BCE et de l’euro système dans leurs discours relaient les mantras de l’oligarchie en imposant une Dette perpétuelle, qui est elle-même légitimée par une repentance éternelle (mais envers qui ?). Pour les détails et la réponse à cette question, je préfère garder le suspens et laisser les futurs lecteurs découvrir ce qu’il en est… La plupart auront déjà deviné de qui je parle…

Le Média en 4-4-2 : « La société du futur qui va nous être proposée repose sur des principes assez simples : travail, salariat, discipline, consommation, surveillance et censure généralisée. » Tout ceci est bien entendu présenté dans un joli emballage : c’est pour notre bien et pour la planète, si bien que nous ne sommes qu’une petite part de la population à y voir un énorme danger. Comment se fait-il d’ailleurs que l’énorme arnaque ne saute pas aux yeux d’un plus grand nombre ? Ou pourquoi, nous qui sommes qualifiés de « complotistes », avons-nous compris l’entourloupe ?

Marc-Gabriel Draghi : La plupart des éveillés le sont en raison de multiples facteurs. Il est difficile de définir quel élément a permis à un individu de ne plus avaler la propagande et le lavage de cerveau médiatique (événement tragique, éducation, sentiment de déclassement, bon sens, capacité d’analyse, instinct, etc.). La propagande est paradoxalement à la fois grossière et sophistiquée. Elle permet aussi de diviser et complexifier les problématiques et situations, ce qui pour la plupart d’entre nous entraîne un sentiment de surcharge cérébrale qui a pour conséquence de choisir le confort du narratif officiel. La peur, comme l’a évoqué Yuval Noah Harrai, est aussi un des facteurs essentiels de manipulation des masses. Le déclin de la spiritualité (la vraie, pas le marqueur identitaire de certains groupes religieux en voie de développement) dans nos sociétés modernes explique aussi le poids de la peur de la mort chez la plupart des individus. Pandémie, guerre, destruction de la planète et misère sont des sujets de « récits » efficaces pour imposer et accroître le contrôle des populations. Apprendre à ne plus avoir peur n’est pas un exercice facile et anodin. C’est souvent la foi en un Dieu ou en la Providence qui permet de s’extraire de nos petites conditions matérielles. Étrangement, dans nos sociétés alchimiques (magiques), c’est la matière qui nous empêche de lever la tête et de garder notre esprit clair.

« Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur le thème du climat »

Le Média en 4-4-2 : Après avoir agité depuis deux ans la peur du Covid, celle de la guerre, des pénuries, et on en oublie, les voici jouer la carte du réchauffement climatique. Le sujet est bien entendu travaillé depuis bien longtemps et les populations semblent être prêtes à avaler le narratif et à accepter de nouvelles restrictions et pertes de liberté… Comment voyez-vous cette partie « climatique » du programme de Klaus Schwab et ses amis ?

Marc-Gabriel Draghi : Le climat et les politiques zéro carbone sont les thèmes centraux du Grand Récit Davosien des futures années. Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur ce thème. Ce narratif est pourtant ancien, il a été développé depuis les années 70, à la suite des premières crises énergétiques (1973-1979) comme je l’ai expliqué dans mon premier ouvrage. Après le cataclysme financier, tout notre système politico-financier pourrait être structuré autour de l’Agenda Vert. On a déjà les prémices actuelles avec les ESG, les NAC, crédits carbone portés par la City et Wall Street ou encore les débats autour du futur Green Pass (pass carbone). L’oligarchie et leurs valets, les Mark Carney, Al Gore, John Kerry, etc., vont légitimer l’effondrement financier qui vient par la surconsommation et la mort prochaine de la planète. Alors qu’en vérité, la Terre ne va pas mourir, c’est le système capitaliste nomade et apatride qui sème le chaos, la destruction, le gaspillage et la pollution. Et évidemment ce système de concentration des richesses au profit des 0,1 % ne va évidemment pas être remis en cause. Il va au contraire se renforcer. L’objectif final est d’écraser les peuples avec ce motif vert culpabilisant et génocidaire (0 carbone = mort), au profit de l’hyper classe tout en sauvegardant ce système destructeur fondé sur l’hubris et la corruption.

Le Média en 4-4-2 : Un des objectifs de l’oligarchie est donc de liquider ce qu’il nous reste de liberté, et de propriété ! Sous couvert d’une « fausse annulation des dettes contre droit de propriété », l’oligarchie va donc nous retirer progressivement notre droit de posséder une terre ou un bien immobilier. Selon vous, quand cette spoliation mondiale de la propriété va-t-elle réellement commencer ? Et comment vont-ils s’y prendre ?

Marc-Gabriel Draghi : La spoliation mondiale a déjà commencé à l’occasion du covid avec l’énorme concentration du capital (notamment via les gestionnaires d’actifs comme BlackRock et The Vanguard Group). Cependant dans le narratif davosien, c’est bien la Grande Dépression 2.0 et la Guerre latente qui servira de motif à la Grande Spoliation. Nous sommes déjà entrés dans le récit de l’économie de guerre. L’hyper classe, grâce à l’hyperinflation, aux pénuries, aux rationnements, nous proposera comme solution les CBDC (monnaie numérique de banque centrale), le revenu universel et la fin de la petite propriété privée. Mais je le répète tout cela est un programme politique. Tout ne se passera pas comme l’agenda le souhaite. Il y aura des adaptations et même des reculs sur certains points. Le contrôle de l’information va également être un facteur clé pour la réussite du Great Reset. L’espoir d’une résistance des peuples n’est pas mort. Loin de là. Chaque jour des gens se rendent compte des manipulations de l’hyper classe. Le Great Reset peut très bien échouer partiellement et/ou totalement.

« La guerre des prochains mois sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent ».

Le Média en 4-4-2 : Dans les pays occidentaux, l’oligarchie contrôle la colère des peuples avec « du pain et des jeux ». En effet, beaucoup de nos concitoyens ont compris tout ou une partie du programme, mais ne veulent pas réagir, car finalement, ils ne sont pas si mal que ça dans leur vie actuelle. Avec la crise financière à venir, la classe moyenne va glisser dans la pauvreté et va donc se réveiller : comment nos élites ont-elles préparé cette révolte ?

Marc-Gabriel Draghi : Les élites ont déjà tout prévu. En contrôlant la narration, ils vont imposer des rationnements pour soi-disant éviter les pénuries, mais surtout les révoltes. Et ce rationnement (prise de contrôle) nécessitera la mise en place d’un système de crédit social couplé à une identité numérique et l’instauration progressive des monnaies numériques de banque centrale. C’est déjà le cas au Sri Lanka. Le gouvernement, influencé par le Forum Économique mondial, utilise déjà les QR Code testés grâce au covid pour organiser le rationnement du carburant. La révolte des peuples devra donc être massive, spontanée et solidaire pour réussir.

Mais surtout c’est le contrôle du narratif, du récit et donc de l’information qui va être important dans les mois qui viennent. Le discours alternatif et résistant du genre Réinfo Covid ne doit plus exister. Ils essaieront de censurer toujours plus de contenu en le motivant sur le contexte de guerre (agents russes, terrorisme, appel à la haine). C’est pourquoi il est important d’aider massivement et de relayer nos médias indépendants et alternatifs comme vous, Le Média en 4-4-2. La guerre des prochains mois va vous concerner prioritairement, elle sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent. 

« Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous »

Le Média en 4-4-2 : Merci, Marc-Gabriel, pour le temps que vous nous avez consacré ! On espère que notre entretien donnera envie à nos lecteurs d’en savoir plus en se plongeant dans vos travaux. Nous vous laissons le mot de la fin.

Marc-Gabriel Draghi : Je vous remercie pour cet entretien et je vous encourage dans votre travail de résistance. Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous… Cependant nous n’avons pas d’autres choix que celui de lutter contre l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Il en va de la survie de nos nations, familles, et même pour certains d’entre nous de nos vies… Merci.

Retrouvez Marc-Gabriel Draghi sur son compte Twitter, ainsi que ses articles sur le site Géopolitique Profonde.

Pour se procurer l’ouvrage : « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial »




À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…

[Source : LHK]

Par LHK

Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du Great Reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE.

Devant une tour de Babel, flanquée de 11 étoiles inversées, se trouvent des « humains ». À les regarder de plus près, on imagine que ce sont des personnages de Lego. Or, ces gens seraient les « Nouveaux » européens. Autant de transhumains ?

L’eugénisme est une étape importante du transhumanisme. Les concepteurs de cette sordide vision divisent le monde en 2 catégories. D’un côté, vous avez les dieux milliardaires qui aspirent à devenir immortels et de l’autre vous avez les descendants du grand singe selon le non moins sinistre Charles Darwin et son cousin Galton. Deux eugénistes de référence que les grandes universités ont décidé d’ériger en gravant leurs délires dans le marbre.

Alors l’hypothèse de travail forte serait pour nous la suivante : vous avez d’un côté des dieux qui veulent défendre leur pré carré ; et de l’autre une population qui se chiffre en milliards pour laquelle le groupe détenteur (capteur par ruse ou par semi-vérité) des ressources n’a d’autre considération que sa capacité à muter en robots humanoïdes et à les produire en quantité et en qualité pour satisfaire leurs besoins divins.

On peut supposer qu’il est tout à fait normal que l’ultra-minorité ultra-riche cherche à contrôler la population qu’elle considère envahissante avec un nombre trop élevé de bouches à nourrir en comparaison de ses propres besoins.

Le narratif de l’urgence climatique due à l’activité humaine telle que présentée par Greta est pourtant battue en brèche par un nombre important de scientifiques…

https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/25/1200-scientifiques-disent-quil-ny-a-pas-durgence-climatique/

Elle essaye de le faire au travers d’au moins 3 étapes démontrables:

1.- Rendre l’humain infertile. Vous pouvez le constater dans ce film révoltant

Voici une vidéo émouvante sur la vaccination contre le tétanos qui a fait perdre à un nombre inconnu de femmes leur capacité de reproduction. Bref, elles souffrent depuis d’infertilité. https://infertilitymovie.org/infertilite-un-programme-diabolique-francais/

Les femmes éthiopiennes sont victimes de manigances contraceptives depuis un bout de temps. Elles sont les cobayes des laboratoires de la haute finance:

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

L’Inde est aussi un terrain de prédilection pour les développeurs de vaccins. Ici une publication de 1989…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2665354/

… avec une volonté de contrôler la population jamais très loin:

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/27/comment-bill-gates-met-des-millions-dindiens-sous-surveillance-video/

Nous rappelons aussi que le vaccin anticovid a été dénoncé, et continue de l’être, en tant que source potentielle d’infertilité par nombre de scientifiques indépendants

https://www.bitchute.com/video/8MoNTpHbGbVg/

Des commentaires qui contrastent sévèrement avec ceux de cette professeure (vidéo ci-dessous) qui a pu affirmer l’innocuité des injections bien avant les résultats des industriels ! Principe de précaution jeté aux orties par les représentants de la faculté !

(Intrigant ce masque porté alors qu’elle est dans une pièce seule face à une caméra)

2.- Réduire la présence de personnes à faible apport productif

Si la question de l’impact du vaccin sur la vie de la population est brûlante…

Et ces chiffres sont largement sous-estimés puisque peu de liens directs sont possibles. Imaginons une personne qui développe une maladie auto-immune violente qui aboutit au décès. On vous dira que c’est la maladie qui a causé le décès, et ne sera pas reporté ici. Prenez un autre exemple une personne de plus de 80 ou 90 ans qui décède subitement après le vaccin, on vous dira que c’est à cause de l’âge et ne figurera pas dans ce genre de relevé…
https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

… elle l’est encore plus sur la population vulnérable. On se souvient de l’augmentation de la mortalité à Monaco qui a suivi la vaccination des personnes « qui en avaient le plus besoin ». Évidemment, le décès de ces personnes n’était pas si inquiétant puisqu’elles n’étaient pas en grande forme.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/03/les-personnes-vulnerables-semblent-penalisees-par-le-vaccin-pourquoi-persister-sont-ils-devenus-des-indesirables/

3.- Mettre en place l’ingénierie de la procréation : faire des bébés transhumains sur mesure

Les pseudo-dieux ont besoin d’un certain quota de serviteurs qui assument les tâches de leur quotidien. Problème, ils ont besoin de certains profils d’individus obéissants, hautement productifs, corvéables à souhait. Mais pas seulement. Ces individus ne vont pas être destinés à accomplir tous les mêmes activités. Par conséquent, il faut qu’ils puissent les « bricoler » en fonction de la finalité de leur « création ».

Et là une entreprise comme Moderna est très fière d’avoir hacké le corps humain.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/

Or, celui qui hacke est capable de reprogrammer les individus en fonction de son rôle dans l’organisation visée par le Great Reset. Une organisation où la vie sociale et privée n’est pas à l’ordre du jour. L’individu sera connecté exclusivement via le numérique après qu’il ait fusionné avec la machine. On parle de transhumain. La spirale dynamique montre bien que l’homme idéal du Nouveau Monde est pris au milieu d’une myriade d’interactions. Il a perdu au cours de son « évolution » ces relations qui en faisaient un être social. Les ordres auxquels il appartenait ont eux aussi explosé au passage, à savoir l’ordre politique, social, communautaire, ou familial.

Dans ce contexte où le couple lui-même est voué à disparaître, les bébés fabriqués naturellement par des parents très moyens n’intéressent pas. Ils seront autant de bouches inutiles à nourrir. Et dans ces cas, l’infanticide est souhaité derrière des arguments tendancieux.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/

À quoi sert le vaccin anticovid?

Voici la grande question du jour: à quoi sert le vaccin anti-Covid? À l’heure actuelle, même les grands fans de vaccination se posent des questions sur la finalité de ce dernier. Nombre d’entre eux ne sont plus très enclins à se déplacer pour recevoir leur pseudo booster.

https://twitter.com/JCPEREZCODEX/status/1563534738312564739/photo/1

Même Pfizer fait profil bas. Une honnêteté un peu tardive!

https://nouveau-monde.ca/le-retropedalage-de-pfizer-en-vue-des-proces/

En attendant, la santé des populations semble dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.

J’espère que le fait de la relayer ne provoquera pas la censure de sa chaîne… J’espère qu’elle a un back up ailleurs.

Dans ce lot de nouvelles peu réjouissantes, il y des bonnes. Dverses études sont publiées et montrent par a+b à quel point les « études » publiées en 2020 par les industriels étaient fausses. De plus, on nous confirme que ce vaccin est une source potentielle d’inflammation du système immunitaire et de maladies auto-immunes. Nous y reviendrons.

Bref, la science avance, mais APRÈS avoir envoyé au casse-pipe des centaines de millions d’individus. Un crime contre l’humanité qui sera très probablement sanctionné dans le cadre d’une opération de séduction que ne manqueront pas de promouvoir les nouveaux dirigeants.

LHK




La grande Réinitialisation passe par la grande Dépossession commencée il y a des décennies!

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Table des matières de Dépossession. Ce qu’il se passe aujourd’hui est la suite logique d’un processus multi-niveaux de confiscation voire d’expropriation à venir. Publié en 2018

Planète finance prépare les esprits au scénario apocalyptique qui est intimement lié au Great Reset de Klaus Schwab. Pour mettre en place le nouveau paradigme cryptomonétaire, il faut faire table rase de l’ancien. Cela semble évident n’est-ce pas ?

Voici donc le patron de JP Morgan en envoyé spécial auprès du grand public, à l’image de Bill Gates, le grand spécialiste des virus ou de Klaus Schwab porteur de la bonne parole transhumaniste.

Et que dit Jamie Dimon, le CEO de JP Morgan (banque cofondatrice de la société eugéniste – Cf notre publication précédente)? Il nous appelle à nous préparer à « un ouragan financier »

« En ce moment, il fait plutôt beau, les choses vont bien. Tout le monde pense que la Fed peut gérer cela », a déclaré

Dimon lors d’une conférence de Bernstein. « Cet ouragan est juste là-bas sur la route qui vient vers nous. » « Nous ne savons tout simplement pas si c’est mineur ou Superstorm Sandy. Vous feriez mieux de vous préparer », a déclaré Dimon, ajoutant que JPMorgan Chase ( JPM ) se prépare à un « environnement non bénin » et à de « mauvais résultats ».

https://edition.cnn.com/2022/06/01/economy/jamie-dimon-jpmorgan-chase-economy/index.html

On retiendra deux choses de cette intervention. D’abord, il semblerait que planète finance soit en train de se préparer à appuyer sur RESET. le cas de l’Espagne est éloquent. Ce pays est en train de transgresser le tabou et ose préparer la population à la confiscation de toutes sortes de biens. Le Blog à Lupus relaie la chose dans un article le passage suivant:

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

L’Espagne est non seulement l’un des pays européens où l’hystérie du covid a été mise en œuvre avec succès, mais aussi le cinquième pays le plus endetté au monde. La faillite de l’État semble être à portée de main. C’est pourquoi le gouvernement socialiste de gauche est en train de faire passer une loi autorisant les expropriations de la propriété privée et un « corralito ». (…)

À l’époque, le portail affirmait encore que cela ne concernerait que les sommes supérieures à 100 000 euros. Mais de l’eau a coulé sous les ponts : Le 26 mai 2022, le gouvernement socialiste de gauche de Pedro Sánchez a annoncé que le fisc pourrait désormais confisquer toutes les économies dépassant le salaire minimum.

Un « corralito » pourrait être ordonné du jour au lendemain, comme cela a déjà été fait en Argentine, à Chypre, en Grèce ou récemment au Sri Lanka, a prévenu la semaine dernière l’avocat espagnol Aitor Guisasola. (…)

Le fait que la faillite de l’État soit un objectif déclaré des décideurs politiques est actuellement également démontré par le fait que Sánchez et ses partisans poussent encore plus loin les dépenses publiques afin de pouvoir justifier les expropriations et le « corralito ». Le 24 mai 2022, El País a rapporté que le gouvernement a publié une « offre record » pour les emplois publics, avec 44 788 postes disponibles dans les ministères, la justice, la police et l’armée.

« Plus ils embauchent de fonctionnaires, plus ils seront soutenus dans la mise en œuvre de leurs plans », a souligné Guisasola.

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

Or, il suffirait que l’Espagne nous claque dans la main pour que la chose se répercute par effet domino sur l’ensemble des banques centrales (c’est-à-dire NOUS) qui participent au système TARGET.

Voir notre dossier d’il y a de nombreuses années sur le sujet https://lilianeheldkhawam.com/target-dossier/

Et voilà ce que donne l’arme de destruction massive ET systémique qu’est Target 2:

http://www.eurocrisismonitor.com/

Vous voyez sur ce graphique que l’Espagne a les moyens d’entraîner les banques centrales européennes au fond de l’enfer. Mais elle n’est pas seule. L’Italie présente un déficit de sa balance TARGET encore pire que l’espagnol.

Et par ricochet, la courbe allemande s’écroulera au moment même où M Dimon et ses amis annonceront la faillite de l’Espagne, de l’Italie, voire des deux simultanément. Les pertes germaniques seront actées à ce moment précis! Les bilans des banques centrales seront immédiatement amputés de leurs créances espagnoles ou italiennes et les braves contribuables devront passer à la caisse.

Maintenant, si nous parlons des germaniques, il nous faut inclure les liquidités considérables que la BNS a mises au service de la Bundesbank via sa sous-traitante SECB, la banque responsable du trafic des paiements suisses en euro et sise sur sol allemand. Ce n’est pas par hasard que l’UBS est chapeauté de près par l’ancien patron de la Bundesbank. Oui, il y a un émouvant entre-soi entre les financiers de Francfort et ceux de Zurich. Une chose que le petit peuple maintenu dans l’ignorance ne peut comprendre.

Cet article de 2015 n’avait ému personne. Aujourd’hui, nous paierons le prix fort. https://lilianeheldkhawam.com/2015/03/02/la-politique-monetaire-suisse-serait-elle-vassalisee-par-lallemagne-liliane-held-khawam/

Le TARGET allemand inclut les liquidités mises à disposition par la BNS via le marché des REPOS

https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/15/et-si-la-bns-faisait-faillite/

Le deuxième point que je voulais relever de l’intervention de Dimon est le fait de prétendre qu’il ne sait pas si cet ouragan sera mineur ou Superstorm Sandy. Eh bien nous pensons qu’il connait exactement le jour et l’heure du collapse définitif. Il est juste en train de préparer les esprits comme le fait si bien Bill Gates avec les pandémies qui se présentent dans une synchronicité impressionnante!

La preuve que M Dimon ment, c’est que nous savons sur ce site depuis des années que ce qui est en train de se passer a été longuement préparé par certains politiques corrompus.

Voici une publication très détaillée sur les préparatifs des dirigeants suisses et européens qui vont leur permettre le moment venu d’activer lois et directives à l’exacte image de ce qui s’est passé avec la Loi sur les épidémies de M Berset. Zéro hasard donc.

https://lilianeheldkhawam.com/2015/12/03/confiscations-bancaires-conseil-federal-cherche-couverture-democratique-vincent-held/

LHK

Retour sur les bases légales qui ont été jetées il y a de nombreuses années pour pouvoir aujourd’hui confisquer tranquillement l’épargne du déposant. Extrait du livre Une civilisation en crise, paru en janvier 2020

Un « tsunami financier » aux allures de décision politique

Les lois de confiscation de l’épargne adoptées « en toute discrétion » par le Parlement européen au printemps 20141 n’ont en réalité absolument rien d’un secret. De même, la possibilité de ponctionner les épargnants en-dessous du seuil « garanti » de 100’000 euros est tout aussi connue… dans les milieux politiques, tout au moins !

Le 24 juin 2015, la députée française Marine Le Pen avait en effet expliqué – devant plus de 600 autres parlementaires européens ! – que les avoirs des petits épargnants pourraient, eux aussi, être confisqués :2

« L’article 6 de ce texte3 permet à la Commission européenne de baisser ce seuil de spoliation de l’épargne de 100’000 euros à […] 20’000, 10’000, 5’000 ou zéro euros […] Je vous relis rapidement l’article 6 pour vous vous rafraîchir la mémoire : le montant [de] 100’000 euros […] fait l’objet d’un réexamen périodique, en tenant compte notamment de l’évolution du secteur bancaire et de la situation économique et monétaire […] Ce réexamen n’aura pas lieu avant le 3 juillet 2020, sauf si des événements imprévus le rendent nécessaire à une date plus rapprochée. »4

En 2015, les Grecs n’ont subitement plus eu accès ni à leurs comptes, ni même à leurs coffres en agence bancaire…

En clair, le seuil théorique de 100’000 euros pouvait être abaissé à tout moment, pour peu qu’un « événement imprévu » vienne justifier la généralisation des confiscations bancaires. Une affirmation spectaculaire, que personne au cours de la séance n’allait pourtant ni commenter, ni contredire !

Il y a là une similarité frappante avec le cas du député suisse Oskar Freysinger, dont la motion « Non à la confiscation des fonds privés par les banques » allait être classée sans suite par le Parlement fédéral en décembre 2015.5 Sans le moindre débat !

Quelques années plus tard, un professeur d’économie monétaire allait remettre cette question délicate sur la place publique. Au cours d’une émission à grande écoute de la chaîne publique suisse RTS, le Prof. Sergio Rossi devait expliquer que la « garantie » supposée de 100’000 francs sur les dépôts bancaires n’était en réalité qu’un mythe médiatique :

« C’est clair que l’on va toucher 1’000 ou 1’500 francs si une banque part en faillite. »6

Sans que, là non plus, quiconque n’ose le contredire, ni pendant l’émission (qui était diffusée en direct), ni par la suite.7

Force est dès lors de le constater : nos lois bancaires ont été délibérément conçues de manière à pouvoir exproprier même les petits épargnants au bénéfice des grandes banques en difficulté. Et c’est précisément là ce qui va causer le « tsunami financier » annoncé par tant de personnalités éminentes !

Car les confiscations bancaires ne peuvent avoir qu’un seul effet : la déflation, c’est-à-dire une hausse de la valeur de la monnaie. Un authentique scénario catastrophe !

Exemple : avec une déflation de -50%, toutes vos dettes (hypothèques, leasing-auto, crédit à la consommation…) doublent de valeur. Le montant de votre dette reste le même, mais sa valeur réelle explose. Il vous devient beaucoup plus difficile – et peut-être même impossible – de payer vos intérêts – et de rembourser le capital emprunté.

Les confiscations bancaires représentent donc un mécanisme de destruction monétaire imparable, qui permettra aux banques centrales d’imposer leurs monnaies numériques – et d’obtenir ainsi un contrôle total sur l’ensemble de nos comptes et flux financiers. Ceci sous prétexte d’assurer le versement d’un revenu universel, dont la population aura alors le plus grand besoin.

Tout sera alors en place pour nous imposer, à l’improviste, le système de crédit social « à la chinoise » qui est déjà dans les cartons de l’UE.

Vincent Held

Notes

1 Dixit Le Figaro (« Les banques en faillite pourront désormais ponctionner les comptes des déposants », 22/12/2015)

2 Il s’agissait d’un débat plénière auquel participaient très précisément 604 députés (cf. « Votes par appel nominal », PV du 24/06/2015 – europarl.europa.eu)

3 La Directive de « refonte du système de garantie des dépôts », votée le 16 avril 2014.

4 Préparation du Conseil européen (25 et 26 juin 2015) (débat) – Intervention de Marine Le Pen, europarl.europa.eu, 24/06/2015

5 Motion n°14.3201, parlament.ch, 20.03.2014

6 « Spécial votation – Monnaie pleine : un remède contre les crises financières ? », RTS (Infrarouge), 23/05/2018

7 Le caractère illusoire de la supposée « garantie » de 100’000 francs a été démontré – références à l’appui – dans un édito du grand magazine L’Illustré (08/07/2019). Sans que, là non plus, quiconque n’ose démentir cette analyse !

Complément



Ajout




Alexandre Douguine : « La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial »

[Source : E&R]

Par Alexandre Douguine

Ce n’est pas une guerre contre l’Ukraine. C’est une confrontation contre le globalisme en tant que phénomène planétaire intégral.

C’est une confrontation à tous les niveaux – géopolitique et idéologique.

La Russie rejette tout dans le mondialisme : l’unipolarisme, l’atlantisme, d’une part, et le libéralisme, l’anti-tradition, la technocratie, en un mot, le Great Reset, d’autre part.

Il est clair que tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste.

La Russie est désormais exclue des réseaux mondialistes. Elle n’a plus le choix : soit construire son monde, soit disparaître.

La Russie a tracé une voie pour construire son monde, sa civilisation. Et nous sommes en guerre contre cela. D’où leur réaction légitime.

Et maintenant, la première étape a été franchie. Mais le souverain face au mondialisme ne peut être qu’un grand espace, un État-continent, un État-civilisation. Aucun pays ne peut résister longtemps à une déconnexion complète.

La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial.

Sa victoire serait une victoire pour toutes les forces alternatives, de droite comme de gauche, et pour tous les peuples. Nous entamons, comme toujours, les processus les plus difficiles et les plus dangereux.

Mais quand on gagne, tout le monde en profite. Ça devrait être comme cela. Nous créons les conditions d’une véritable multipolarité. Et ceux qui sont prêts à nous tuer maintenant seront les premiers à profiter de notre entreprise demain.

Qu’est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l’Occident ? C’est le salut.

L’Occident moderne, où triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde.

Ce n’est plus l’Occident de la culture méditerranéenne gréco-romaine, ni le Moyen Âge chrétien, ni le XXe siècle violent et contradictoire.

C’est un cimetière des déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation.

Et plus tôt et plus complètement la Russie s’en détache, plus tôt elle revient à ses racines. À quoi ? Aux racines chrétiennes, gréco-romaines, méditerranéennes, européennes… C’est-à-dire aux racines communes au véritable Occident.

Ces racines – les leurs ! – l’Occident moderne les a supprimés. Et elles sont restés en Russie.

La Russie n’est pas l’Europe occidentale. La Russie a suivi les Grecs, Byzance et le christianisme oriental. Et elle suit toujours cette voie. Oui, avec des zigzags et des détours. Parfois dans des impasses. Mais ça bouge.

La Russie est née pour défendre les valeurs de la Tradition contre le monde moderne. C’est précisément cette « révolte contre le monde moderne ». Vous comprenez ?

L’Europe doit rompre avec l’Occident, et les États-Unis doivent aussi suivre ceux qui rejettent le mondialisme. Et alors tout le monde comprendra la signification de la guerre moderne en Ukraine.

Beaucoup de gens en Ukraine l’ont compris. Mais la terrible propagande colérique libérale-nazie n’a rien laissé de côté dans l’esprit des Ukrainiens.

Ils reviendront à la raison et se battront avec nous pour le royaume de la lumière, pour la tradition et une véritable identité chrétienne européenne. Les Ukrainiens sont nos frères. Ils l’étaient, ils le sont et ils le seront.

La rupture avec l’Occident n’est pas une rupture avec l’Europe. C’est une rupture avec la mort, la dégénérescence et le suicide.

Alexandre Douguine


https://twitter.com/Kontre_Kulture/status/1499387881512648711



Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le G20 et ses conclusions sont passés à peu près inaperçus. Il faut dire que le grand public n’a pas encore compris en quoi le Great Reset avait donné une importance particulière, et nouvelle, à cette instance qui se contentait d’ordinaire de grandes incantations. Progressivement, une gouvernance mondiale se met en place, qui s’arroge un droit de regard sur l’ensemble des politiques publiques. Pour illustrer cette ambition « holistique » du multilatéralisme et de la caste mondialisée qui le nourrit, nous reprenons ici tous les points abordés par le G20 de Rome la semaine dernière : tout simplement vertigineux !

Le G20 qui s’est tenu à Rome (et qui regroupe, comme son nom l’indique, le 20 économies du monde les plus puissantes) a été particulièrement actif. Il débouche sur une série de décisions qui méritent d’être relevées et bien méditées pour comprendre la suite des décisions politiques dans le monde. Ce G20 a en effet intégré toutes les prescriptions du Great Reset de Klaus Schwab. Nous en donnons ici une énumération précise. 

On notera d’ailleurs que la déclaration commence par une citation des “efforts communs pour mieux nous relever de la crise du COVID 19”, litanie désormais rituelle de tout sommet multilatéral. On se souvient ici que la base du Great Reset est l’instrumentalisation de l’épidémie pour favoriser les progrès du multilatéralisme contre les Etats nations, et tout particulièrement son utilisation pour accélérer des mesures supposées lutter contre le réchauffement climatique. 

Au paragraphe 2, la déclaration enfonce le clou avec cette phrase emblématique : “Soulignant le rôle crucial du multilatéralisme dans la recherche de solutions efficaces et partagées, nous sommes d’accord pour renforcer notre réponse commune à la pandémie, et pour paver la route vers une relance globale, avec une attention particulière aux besoins des plus vulnérables (…). Nous sommes d’accord sur une vision partagée du combat contre le réchauffement climatique (…).” L’essentiel du Great Reset est résumé. 

Le G20 et la mondialisation de l’économie

Forcément, la déclaration du G20 commence par la phrase rituelle : “En 2021, l’activité économique mondiale a repris à un rythme soutenu, grâce à la production de vaccins et au soutien politique suivi.” Mais ce mantra religieux ne cache pas plusieurs inquiétudes sur la reprise économique “solide”.

  • le G20 s’inquiète des retards dans la croissance, notamment dans certains pays
  • il s’inquiète aussi de l’inflation et rappelle que les banques centrales devront agir pour en limiter les effets
  • il s’inquiète aussi des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement

Questions de santé et de gouvernance sanitaire mondiale

Le chapitre sur la santé réaffirme l’ambition d’arriver à vacciner 70% de la population mondiale à la mi-2022. Dans cet objectif, la déclaration finale enchaîne les propositions, qui constituent un véritable bingo pour Pfizer, Moderna et Astra Zeneca.

Le G20 annonce son intention :

  • de multiplier (aux frais des Etats) les sites de production de vaccins
  • de supprimer tous les freins aux importations de vaccins
  • de mobiliser les bailleurs de fonds internationaux pour aider à l’achat de vaccins.

Les actionnaires seront contents. 

Mais d’autres pistes sont creusées :

  • le renforcement d’une gouvernance sanitaire mondiale, que nous avons déjà évoquée dans nos colonnes,
  • l’amélioration du financement de l’OMS et le développement de ses actions sanitaires directes dans le monde
  • la mise en place d’un programme One Health qui consisterait à confier à un organisme mondial le combat contre les microbes, notamment en raccourcissant le cycle de production des vaccins (de 1 an à 3 mois),

Nous retrouvons ici l’influence des théories d’un Bill Gates. 

Développement durable

Ce chapitre, qui inclut l’industrialisation de l’Afrique, semble assez peu préoccuper le G20, qui y consacre quelques lignes, dont l’essentiel consiste à rappeler les engagements pris par l’Agenda d’Addis-Abeba. 

Soutien aux pays vulnérables

Le G20 approuve la création d’un droit de tirage spécial du FMI, décidé le 23 août 2021, à hauteur de 650 milliards $. Il se déclare favorable à un abondement de cette enveloppe pour faciliter le développement des “pays vulnérables”. 

Le G20 soutient par ailleurs une politique de développement de ces pays. 

Architecture financière internationale

Sur ce point, le G20 se montre plutôt frileux, en se contentant d’annoncer son intérêt pour la réallocation des quota du FMI. Mais… la question de la finance est en réalité disséminée tout au long de la déclaration, et l’on reviendra plus loin sur le sujet des crypto-monnaies. 

Sécurité alimentaire

Le sommet du G20 rappelle les engagements pris à Matera et tous les objectifs énumérés dans ce domaine, notamment la lutte contre le gaspillage. 

Environnement

Le G20 réaffirme son ambition d’atteindre les objectifs déjà fixés en matière d’environnement : décennie de la restauration de l’écosystème lancée par l’ONU, réduction volontaire de 50% de la dégradation des sols d’ici à 2040, protection de 30% des océans et des sols d’ici à 2030.

Le G20 insiste par ailleurs sur les réalisations du sommet présidé par l’Arabie Saoudite dans le domaine de la protection maritime. 

Villes et économie circulaire

Le G20 rappelle son engagement en faveur de l’Agenda Habitat III New Urban et sa volonté de rendre les villes plus écologiques. 

Energie et climat

Bien entendu, le G20 annonce son intention de favoriser le succès de la COP 26 de Glasgow. “Nous maintenons l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation mondiale mondiale de températion bien au-dessous de 2°C et de poursuivre les efforts pour la limiter à 1,5°C sous les niveaux pré-industriels”. 

Pour atteindre cet objectif, le G20 n’hésite pas à marcher sur les plate-bandes de la COP 26 en énonçant par exemple :

Nous produirons des plans nationaux de relance et de sortie de crise qui prévoient, selon les contextes nationaux, un partage ambitieux des ressources financières pour limiter et adapter le changement climatique.

Le G20 décline sur ce point l’ensemble de ces engagements, sans oublier un financement de 100 milliards $ par an pour les pays vulnérables. Il rappelle également la question des émissions de gaz à effets de serre, notamment du fait des méthane et rappelle le lien étroit avec la question énergétique. 

Politiques de transition et finance durable

Le G20 salue l’introduction d’un Pilier dédié à la protection de la planète dans le plan d’action du G20.

Finance durable

Le G20 valide les propositions du Sustainable Finance Working Group (SFWG) et sa batterie d’actions disséminées dans une comitologie complexe. 

Taxation internationale

Le G20 valide le principe d’une Solution à deux piliers pour relever le défi fiscal face à la digitalisation de l’économie. Ce point est au demeurant relativement mineur dans l’ensemble de l’accord, mais il occupe beaucoup la presse subventionnée. 

Égalité des sexes et capacitation des femmes

Le G20 répète son engagement dans ce domaine et salue le lancement de la première conférence du G20 sur la capacitation (empowerment) des femmes. 

Emploi et protection sociale

Le G20 remarque que la pandémie à exacerber les inégalités sur le marché du travail, et affirme : “nous adopterons des approches politiques centrées sur l’humain pour promouvoir le dialogue social et assurer une plus grande justice sociale”. Les soignants suspendus sans traitement faute d’être vaccinés apprécieront la plaisanterie…

Éducation

Dans le domaine éducatif, le G20 réaffirme les efforts nécessaires pour “rendre les systèmes éducatifs inclusifs, agiles et résilients”, pour améliorer la coordination entre les politiques éducatives, sociales et du travail. Mais il ajoute ce point : “Nous reconnaissons le rôle critique de l’éducation dans le développement durable, gérance environnementale incluse”. 

Éducation et développement durable…

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés. 

Transport et voyage

Le G20, discrètement, rappelle l’utilité de la vaccination obligatoire pour les personnels des compagnies aériennes, et appelle de ses voeux à une harmonisation des conditions d’entrée dans les différents pays. 

Régulation financière

Le G20 réitère sa confiance dans la régulation financière internationale, non seulement dans le secteur bancaire, mais aussi la finance non intermédiée par les banques. On notera en particulier cette phrase : “Nous encourageons le Comité des Paiements et des Infrastructures de Marché, l’Innovation Hub de la Banque des Règlements Internationaux, le FMI et la Banque Mondiale à continuer à approfondir l’analyse du rôle potentiel des monnaies digitales de banque centrale dans le développement des transactions transfrontalières et leurs implications plus larges pour le système monétaire international”. 

Commerce et investissement

Le G20 empile ici les déclarations d’intention sur un système de commerce international “ouvert, juste, équitable, soutenable, non-discriminatoire et inclusif, fondé sur des règles multilatérales”. Il ajoute : “Nous soulignons l’importance d’une concurrence loyale”. 

Investissement dans les infrastructures

Le G20 rappelle l’importance de l’amélioration des infrastructures, sujet traité par le Great Reset de Klaus Schwab. 

Productivité

Ce chapitre fourre-tout, très court, rappelle l’importance de “booster” la productivité et reconnaît l’utilité d’une bonne gouvernance d’entreprise. 

Économie digitale, enseignement et recherche

Le G20 s’intéresse ici surtout au développement de l’intelligence artificielle, en rappelant l’importance des échanges de données entre les nations. “Nous réaffirmons le rôle des data pour le développement”. 

Inclusion financière

Le G20 s’engage à développer des moyens pour améliorer l’accès à la compréhension sur Internet. 

Gap des données

Le G20 promeut la publication de données publiques, et le passage à l’administration digitale. 

Tourisme

Le G20 préconise un redémarrage rapide du tourisme. 

Culture

Le G20 rappelle ses différents objectifs en matière de protection et de développement de la culture. 

Anti-corruption

Le G20 rappelle sa tolérance zéro en matière de corruption publique ou privée, et adopte le plan d’action anti-corruption pour 2022-2024. 

Les prémisses d’un gouvernement mondial

On le voit à cette énumération : le G20 sert d’abord à “coordonner” les politiques nationales dans tous les domaines. Si le G20 ne nie pas l’existence de particularités nationales, il rappelle dans chaque domaine de l’action publique les grands objectifs à atteindre ou les orientations à suivre pour rester dans le concert des nations. 

C’est donc l’embryon d’une gouvernance mondiale qui prend forme ici, avec des plans d’action en cascades, plus ou moins contraignants, qui substituent à la volonté des peuples une sorte de mainstream sans alternative possible. 




Euro numérique, saisie des comptes bancaires au delà de 3000 €, Eric Verhaeghe nous explique

[Source : Eric Verhaeghe]

Ancien haut-fonctionnaire, énarque, auteur du Courrier des Stratèges, spécialiste du Great Reset, Éric Verhaeghe nous explique notre futur proche:
– création de l’euro numérique par la BCE, une cryptomonnaie du type bitcoin;
– saisie des comptes bancaires au delà de 3000 euros pour éviter que les gens soient autonomes;
– fin de la propriété individuelle, on sera tous locataires;
– extension du passe sanitaire à tous les domaines de la vie;
– généralisation du contrôle numérique à reconnaissance faciale.

Y a-t-il un lien entre le pass sanitaire et l’euro numérique? – 09.09.2021, Sputnik France (sputniknews.com)






Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





La conspiration des imbéciles

Par Alain Nicolaï

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Le site Lifesite a publié le 1er juillet 2021 un article détaillant une publication tirée du site internet du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) un des sites quasiment officiels de la finance et du nouvel ordre mondial qui a sorti l’an dernier son plan machiavélique pour l’avenir de la planète « The Great Reset » calqué en grande partie sur l’agenda 2030 de l’ONU.

Voici le lien de l’article original publié par le FEM qui vous permettra de vous rendre compte que les termes et les propos du FEM ont été parfaitement respectés par le journaliste de LifeSiteNews
(https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/).

Ci-dessous la première partie de l’article uniquement consacré à ce que propose le Forum Économique Mondial pour encourager la population à se faire vacciner.

Article de Michael Haynes publié sur LifeSiteNews le 1er juillet 2021

« Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 » est « le plus grand défi de communication marketing de notre vie », a déclaré récemment un article sur le site Web du Forum économique mondial (WEF).

L’article a été rédigé par trois professionnels du marketing : Rohit Deshpandé, professeur de marketing Sebastian S. Kresge à la Harvard’s Business School ; Ofer Mintz de l’Université de technologie de Sydney; et Imram Currim, professeur de marketing à la Paul Merage School of Business, Université de Californie, Irvine.

Les chercheurs veulent utiliser la psychologie pour promouvoir les vaccins, en notant comment les clients prennent des décisions dans un processus de réflexion, de ressenti et d’action. L’ensemble du processus est répliqué lorsqu’un individu doit décider de recevoir une injection de COVID-19, ont déclaré les auteurs.

Le groupe avait mené des recherches sur la façon de lutter contre ce qu’ils ont décrit comme un « problème de demande » pour les injections de COVID, l’offre dépassant la demande. Cela les a amenés à suggérer « de créer et de mettre en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication sur le vaccin COVID-19 »

Alors que l’accent a été mis sur la promotion de la troisième partie de ce processus – le « faire » ou l’événement de vaccination lui-même – le groupe a déploré le fait que beaucoup de travail était encore nécessaire pour convaincre réellement ceux décrits comme « le vaccinateur procrastinateur, hésitant et populations de rejet.

Afin de convaincre ce segment de la population, « nous devons nous concentrer sur les étapes de « penser » et de « ressentir » de la prise de «décision», ont déclaré les experts en marketing.

À ce titre, Deshpandé, Mintz et Currim ont élaboré trois recommandations « pour éradiquer les hésitations vaccinales ».

Connaissance et désinformation

Les trois auteurs ont appelé à une campagne contre la « désinformation » sur le vaccin, expliquant comment aborder la façon dont les gens pensent du vaccin. Notant que beaucoup de ceux qui hésitaient à propos de l’injection pensaient qu’elle était « précipitée, avec des effets secondaires sous-déclarés », le groupe a suggéré une politique de confrontation directe avec ces personnes.

« Cela peut être résolu par les dirigeants locaux qui contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. »

Cela seul n’a cependant pas été jugé suffisant : des « approches plus affirmées » ont été demandées dans la lutte contre la soi-disant « désinformation sur les vaccins, en particulier sur les réseaux sociaux ». Pour ce faire, une « formation et un financement » devraient être fournis pour aider les professionnels de la santé ou les groupes à but non lucratif.

La guerre des sentiments

Ceux qui se sont opposés à l’injection ont de forts sentiments contre elle, ont déclaré les trois auteurs, et en tant que tels, « l’utilisation de sources d’informations auxquelles ces personnes ont confiance pourrait améliorer leurs sentiments à propos du vaccin ».

Dans ce contexte, le WEF a énuméré les « prestataires médicaux, les dirigeants politiques et religieux », mais a également souligné l’importance des « communautés ».

Les trois auteurs ont suggéré une forme d’alarmisme émotionnel à utiliser contre les « sceptiques vis-à-vis des vaccins ». « Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vaccins est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), à la fois socialement et économiquement », a écrit le groupe.

Promotion incessante du vaccin

La dernière étape concerne la disponibilité pratique du vaccin, car les auteurs lui ont présenté une série de suggestions à la population.

« Les incitations peuvent fonctionner », ont-ils écrit. Les entreprises et les États pourraient lancer un programme d’incitation aux vaccins en « fournissant des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie ».

Certaines des suggestions du WEF ont déjà été mises en œuvre dans un certain nombre d’États. Le gouverneur de New York Andrew Cuomo (D) a offert un billet de loterie « vax and scratch » gratuit avec un jackpot de 5 millions de dollars. Les billets coûtent généralement 20 $.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, Mike DeWine, a offert aux résidents de son État la chance de gagner 1 million de dollars pour se présenter pour un vaccin COVID, tandis que les résidents de Virginie-Occidentale de moins de 35 ans recevront un bon d’épargne de 100 $ pour se faire vacciner.

« Nous pensons que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale », ont écrit Deshpandé, Mintz et Currim. « Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques. »


Constat

Sans rentrer dans les détails techniques plus complexes, il s’avère que :

  1. tous ces produits n’ont obtenu qu’une mise sur le marché conditionnelle.
    https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
  2. aux USA, aucun de ces produits n’a pas été approuvé par la Food Drug Administration. Celle-ci poursuit ses investigations et donnera son avis en 2021 ou en 2022.
  3. tous ces produits sont injectés chez les humains alors que la phase III, phase d’expérimentation chez les animaux, était en cours. Les phases IV et V (phase clinique) obligatoires pourtant pour tous les vaccins ont été supprimées, violant ainsi tous les principes légaux et de précautions.
  4. ceux qui se font injecter ces produits dans le corps signent avant une décharge exemptant le fabricant qui l’a conçu de toute poursuite. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la composition de ces injections n’est pas portée à la connaissance des patients.

Conclusion

Ce qu’ils appellent désinformation est en fait de l’information que les médias à leurs ordres censurent.

Ce qu’ils appellent hypocritement marketing n’est en fait que de la propagande. Propagande encore plus pernicieuse que celle que notre pays a connue sous la botte allemande. Plus pernicieuse, puisque nos ennemies n’ont pas d’uniformes, mais se font passer pour d’authentiques républicains qui défendent nos intérêts. Sournoise, puisqu’une grande partie de la population fait confiance aux injonctions des autorités politiques relayées à longueur de journée par les médias, ne réfléchit plus, mais suit un mouvement qui vient d’en haut.

Vous ne remarquez pas ce bourrage de crâne incessant ? Vous ne trouvez pas suspects ces spots publicitaires de Santé France payés par vos impôts et qui vous poussent à vous faire injecter des solutions dont vous ne connaissez même pas la nature, mais qui vous rendront soi-disant libres ?

Braves gens, sachez que maintenant il est prouvé qu’il existe d’autres solutions très efficaces pour guérir du covid19, comme l’ivermectine ou le protocole Raoult bien appliqué. Ces traitements ont sauvé de nombreuses vies notamment en Afrique et aux Indes, mais actuellement ils n’en ont que pour la vaccination.

Vous devez comprendre que les variants dont le gouvernement et les médias vous serinent, tôt ou tard, entraîneront des rappels, « des mises à jour. »

Un point capital, qui devrait vous interpeller : avez-vous entendu depuis le début de l’épidémie en 2020 sur les chaînes publiques ou privées, au Parlement, au Sénat… d’honnêtes débats contradictoires comme l’exige impérativement la démocratie ? Cette absence de dialogue est extrêmement révélatrice de l’émergence d’un système dictatorial. (Voir le lien 3)

Réalisez une fois pour toutes que l’on vous trompe, que l’on vous prend pour des imbéciles. Ne restez pas là sans rien faire, mais ne cherchez pas à attaquer en justice Pfizer, Moderna… Ils sont couverts. Non. Mais attaquez en justice les membres du gouvernement qui vous ont sciemment amenés dans ce traquenard, et les hauts fonctionnaires qui ont suivi aveuglément les ordres, même s’ils étaient contraires à la déontologie. Leur pouvoir est temporel et ils en ont abusé sans vergogne. La roue tourne, ils ne pourront pas éternellement fuir leurs responsabilités. De nombreux collectifs d’avocats vous attendent. Certains ont près de 70000 membres. Comme beaucoup de choses censurées actuellement, vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. Deux  adresses email de collectifs parmi ceux qui reçoivent encore des adhérents : reaction19fr@gmail.com et contact@mysmartcab.fr

Définitivement, il faut leur faire comprendre qu’en France il y a des lois et que l’on n’est pas au Far West.

Ils se croient intouchables, ils vont sentir leur douleur…

Compléments

  1. https://nouveau-monde.ca/nous-sommes-en-guerre-ou-linversion-de-toutes-les-valeurs/
  2. Vaccination Covid-19 – Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  3. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-dr-amine-umlil-defie-olivier-veran-de-venir-debattre-contre-lui-sur-un-plateau



Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !

[Source : New Eastern Outlook (journal-neo.org)]

[Traduction : Le Grand Changement]

Par F. William Engdahl

La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de technocrates corporatistes, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – la soi-disant Grande Réinitialisation (Great Reset) ou l’Agenda 2030 de l’ONU – n’est pas une proposition future.
Elle est en bonne voie d’actualisation, alors que le monde reste enfermé dans un enfermement insensé pour un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des lockdowns [Ndlr : confinements et fermetures économiques] mondiaux du coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG [Ndlr : pour Environnement, valeurs Sociales et Gouvernance]. Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace de façon spectaculaire les flux de capitaux mondiaux vers un groupe restreint d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser le dystopique Agenda 2030 des Nations Unies ou le programme Great Reset du WEF. Cette évolution est l’un des changements les plus dangereux et les moins bien compris depuis au moins le siècle dernier. Le programme d' »économie durable » de l’ONU est réalisé en toute discrétion par les mêmes banques mondiales qui ont provoqué les crises financières de 2008. Cette fois-ci, elles préparent la grande réinitialisation du WEF de Klaus Schwab en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliers de milliards, d’investissements vers leurs entreprises « réveillées » triées sur le volet, au détriment de celles qui ne le sont pas, comme les compagnies pétrolières et gazières ou le charbon. Les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont créé une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » et les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance). Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux avec lequel elle embauche des cadres et des employés de sexe différent, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour utiliser le terme des Nations unies.

La façon dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG, et pourrait inclure n’importe quoi, des dons d’entreprises à Black Lives Matter au soutien d’agences de l’ONU comme l’OMS. L’objectif central crucial des stratèges du GNE est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du zéro carbone. Les grandes institutions financières et les banques centrales du monde entier sont à l’origine de ce mouvement. Elles ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.Plus de 100 articles scientifiques ont conclu : le CO2 a un Effet Minuscule sur le Climat !

En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Celui-ci s’est rapidement développé en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site internet, ils déclarent , »Le PCAF se fonde sur la position de l’Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale doit s’efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et la société doit se décarboniser et atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050. » En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barcylays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d’autres. Plusieurs des banques membres de la PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d’argent. Elles se sentent maintenant investies d’un nouveau rôle de modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est un « observateur » ou un consultant du PCAF. En août 2020, le PCAF a publié un projet de norme décrivant une proposition d’approche pour la comptabilité carbone mondiale. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables pour évaluer l’empreinte carbone ou le profil écologique d’une entreprise.

Mark Carney s’exprime à Mansion House (Reuters)

Le rôle central de Mark Carney : Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l’agenda vert 2030 de l’ONU derrière la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial de Davos, où il est membre du conseil d’administration. Il est également conseiller du secrétaire général des Nations unies en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Il a décrit le plan du PCAF comme suit : »Pour atteindre le zéro net, nous avons besoin d’une transition de l’ensemble de l’économie – chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles d’affaires, développer des plans crédibles pour la transition et les mettre en œuvre. Pour les entreprises financières, cela signifie qu’elles doivent examiner plus que les émissions générées par leur propre activité commerciale. »Elles doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles elles investissent et auxquelles elles prêtent. Le travail du PCAF pour standardiser l’approche de la mesure des émissions financées est une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. » En tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, M. Carney a joué un rôle clé dans le soutien des banques centrales mondiales à l’Agenda Vert du programme 2030 des Nations unies.  Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur banque faîtière, la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles, comme les entreprises pétrolières et gazières, qu’elle juge « non durables. » Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d’Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail sur la communication financière relative au climat (TCFD). Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg, elle comprenait, outre BlackRock, JP MorganChase, Barclays Bank, HSBC, Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, la banque chinoise ICBC, Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore.

Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a fait remarquer : « Nous sommes déterminés à faire en sorte que les risques et les opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et que nous collaborions avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquent comment ces risques sont gérés. » Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques dans leur portefeuille de prêts immobiliers en procédant à « une analyse des risques physiques aigus sur un portefeuille échantillon de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu un score basé sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, inondation fluviale, inondation éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête d’hiver. » De même, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné selon les critères de la TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme étant liés au CO2, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que l’émission de CO2 par l’homme est sur le point de détruire notre planète par le réchauffement climatique. Les preuves de l’activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela ne préoccupe pas les intérêts financiers qui vont récolter des billions de dollars au cours de la prochaine décennie. Un autre élément clé de la préparation financière de la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d’une économie à forte intensité énergétique en une économie à faible intensité et économiquement inefficace, est le Conseil des normes comptables de durabilité (SASB). Le SASB affirme qu’il « fournit un ensemble de normes claires pour la communication d’informations sur la durabilité dans un large éventail de domaines… ». Cela semble rassurant jusqu’à ce que l’on regarde qui compose les membres du SASB qui donneront l’imprimatur favorable au climat.Parmi les membres figurent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7.000 milliards de dollars sous gestion), les fonds Vanguard, Fidelity Investments, State Street Global, Goldman Sachs, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques comme Bank of America et UBS.Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008. Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site web, « Depuis 2011, nous travaillons à un objectif ambitieux : développer et maintenir des normes comptables de durabilité pour 77 industries. » L’objectif est de créer un réseau d’entités financières mondiales qui contrôlent la richesse combinée, y compris les assurances et les fonds de pension, pour une valeur de 100.000 milliards de dollars. Elles fixent les règles et définiront une entreprise, voire un pays, en fonction du degré d’émission de carbone qu’elle crée. Si vous êtes propre et vert, vous pouvez potentiellement obtenir des investissements. Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone, comme c’est le cas aujourd’hui pour les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux vous désinvestiront ou éviteront de vous financer. La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon.

Les hydrocarbures attaqués ! La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prévoient qu’au cours des cinq prochaines années, voire moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde vont chuter de façon spectaculaire. « Compte tenu de la place centrale qu’occupera la transition énergétique dans les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan expliquant comment leur modèle économique sera compatible avec une économie nette zéro », a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre aux PDG de 2021. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde, avec plus de 7.000 milliards de dollars à investir. Un autre dirigeant de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie que « là où BlackRock va, les autres suivront ». « Pour continuer à attirer les capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d’actifs avantageux de base – des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham, vice-président de l’exploration mondiale chez WoodMac, une société de conseil en énergie. Le saviez-vous ? La mégacorporation BlackRock vient de prendre le contrôle du Trésor américain et de la Réserve fédérale. L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles locations sur les terres fédérales et en mer, ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur du pétrole et du gaz et ses dérivés tels que la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes entreprises pétrolières et gazières du monde, y compris les entreprises publiques et cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5.400 milliards de dollars en 2015. Alors qu’une nouvelle administration Biden pousse son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde verra un déclin précipité des investissements dans le pétrole et le gaz. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers de l’ESG est de garantir cela.

Et les perdants seront nous. Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ce fut le cas lors des récents blizzards au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industriels deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais soyez rassurés. Tout cela fait partie de la grande réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un interviewer : »…Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… »Le Great Reset du WEF (Davos) n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant aux ravages économiques du coronavirus. Elle a été planifiée depuis longtemps par les maîtres de l’argent.

F. William Engdahl, consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».




Deep State et Deep Church: le programme commun

[Source : Benoit et Moi (benoit-et-moi.fr)]

Mgr Vigano a accordé une longue interview à Deutsche wirtschafts nachrichten (« Actualités économiques allemandes »), un site consacré, comme son nom l’indique, aux nouvelles économiques. Il y expose (comme l’annonce le « chapeau » de l’article), « sa vision des développements politiques et sociaux actuels », autour du covid et du fameux Great Reset. Une grande partie est plus ou moins constituée de redites par rapport à de précédentes interventions du prélat, mais ici dans le contexte inédit d’un journal non religieux. Inutile de crier au complotisme, les arguments de l’archevêque (dont il faut saluer le courage, il en faut pour ramer ainsi publiquement à contre courant) sont évidemment à lire avant tout à la lumière de la foi, et les rejeter en le faisant passer pour un illuminé n’est tout simplement pas une réponse.

Un monde dans lequel l’État profond devait prévaloir réaliserait les pires scénarios décrits par l’Apocalypse, les Pères de l’Église et les mystiques.

Un royaume infernal dans lequel tout ce qui rappelle, même de loin, la société chrétienne – de la religion aux lois, de la famille à l’école, de la santé au travail – doit être banni et renversé, perverti

Archevêque Carlo Maria Viganò: L’État profond et l’Église profonde ont le même programme 

(Duc in Altum, 7 mars 2021, ma traduction)

Deutsche wirtschafts nachrichten – Votre Excellence, comment vivez-vous personnellement la crise du coronavirus ?

Carlo Maria Viganò – Mon âge, mon statut d’archevêque et mon habitude d’une vie retirée ne sont peut-être pas représentatifs de ce que la majorité des gens doivent endurer; néanmoins, je me suis moi-même trouvé depuis un an dans l’impossibilité de voyager pour rendre visite à des personnes qui ont besoin d’un mot de réconfort. S’il y avait eu une véritable pandémie, je n’aurais eu aucun problème à accepter de bon gré les décisions des autorités civiles et ecclésiastiques, car j’aurais reconnu en elles la volonté de protéger les personnes contre l’infection. Mais pour qu’il y ait pandémie, il faut d’abord que le virus soit isolé, qu’il soit grave et qu’il ne puisse pas être traité à temps, et que les victimes du virus représentent une grande partie de la population. Nous savons cependant que le Sars-CoV-2 n’a jamais été isolé, mais seulement séquencé; qu’il aurait pu être traité à temps, en utilisant les thérapies disponibles, mais qu’au contraire l’OMS et les autorités sanitaires locales ont boycottées, imposant des protocoles absurdes et des vaccins expérimentaux; que le nombre de décès en 2020 est absolument conforme à la moyenne des années précédentes. Ce sont des faits qui sont maintenant acceptés par la communauté scientifique, dans le silence d’omertà des médias.

Nous avons été témoins d’un plan qui n’a rien de scientifique et qui devrait susciter l’indignation universelle. Nous savons, de l’aveu même des personnes concernées, que cette pseudo-pandémie a été planifiée depuis des années, d’abord en sapant les systèmes de santé nationaux et en limitant les plans de lutte contre la pandémie. Nous savons qu’un scénario très précis a été suivi, conçu pour donner une réponse unique dans tous les États membres et pour standardiser le diagnostic, l’hospitalisation, le traitement et, surtout, les mesures de confinement et l’information des citoyens au niveau mondial. Un metteur en scène continue de gérer le Covid-19 dans le seul but d’imposer par la force des restrictions aux libertés naturelles, aux droits constitutionnels, à la libre entreprise et au travail.

Le problème n’est pas le Covid lui-même, mais l’utilisation qui en a été faite pour réaliser le Great Reset que le Forum économique mondial avait annoncé il y a quelque temps et qui est maintenant mis en œuvre point par point, avec l’intention de rendre inévitables ces changements sociaux qui autrement auraient été rejetés et condamnés par la majorité de la population. Comme la démocratie, tellement vantée tant qu’elle pouvait être pilotée grâce à l’influence des médias, n’aurait pas permis de mener à bien ce projet d’ingénierie sociale voulu par l’élite mondialiste, il fallait la menace d’une pandémie – présentée comme dévastatrice par le mainstream – pour convaincre la population mondiale de subir des confinements, des lockdowns, c’est-à-dire de véritables assignations à résidence, l’arrêt des activités, la suspension des cours et même l’interdiction de pratiquer un culte; et tout cela a été réalisé avec la complicité de toutes les parties concernées, en particulier les dirigeants, les responsables de la santé et la hiérarchie de l’Église elle-même.

Les dommages qui en ont résulté et qui continuent à en résulter sont énormes et, à bien des égards, irréparables. Je ressens une douleur indescriptible en pensant aux conséquences dévastatrices de la gestion de cette pandémie: des familles détruites, des enfants et des jeunes dont l’équilibre psychophysique a été affecté et qui ont été privés du droit aux relations sociales, des personnes âgées qu’on a laissé mourir seules dans les maisons de retraite, des cancéreux et des personnes souffrant de maladies graves complètement négligées, des entrepreneurs acculés à la faillite, des fidèles privés des sacrements et de l’assistance à la messe… Mais ce sont les effets d’une guerre, et non d’un syndrome de grippe saisonnière qui, s’il est traité à temps, donne un taux de survie de 99,7% chez des sujets non touchés par des maladies antérieures. Et il est significatif que dans cette course folle vers l’abîme, même les principes de base d’une vie saine soient ignorés, juste pour affaiblir notre système immunitaire: nous sommes confinés chez nous, tenus à l’écart de la lumière du soleil et de l’air frais, pour subir passivement le terrorisme médiatique de la télévision.

Avec quelle sévérité seront-ils jugés, ceux qui ont sciemment interdit des traitements et prescrit des protocoles de traitement manifestement erronés afin d’obtenir un nombre de décès qui légitiment l’alarme sociale et des mesures d’endiguement absurdes? Ceux qui ont délibérément créé les conditions d’une crise économique et sociale mondiale, pour détruire les petites et moyennes entreprises et faire croître les multinationales; ceux qui ont boycotté ou interdit les traitements disponibles au profit des entreprises pharmaceutiques; ceux qui ont présenté des sérums génétiques comme des vaccins, soumettant la population à une expérience dont les résultats sont encore inconnus et dont les effets secondaires sont certainement plus graves que les symptômes mêmes du Covid; ceux qui soutiennent le récit apocalyptique dans les sièges des parlements et dans les rédactions des médias, à quelle punition seront-ils soumis? Et comment les sommets de la hiérarchie catholique, qui se sont rendus complices de cette grotesque farce, se justifieront-ils devant Dieu, lorsqu’ils se présenteront devant Lui pour être jugés ?

D. W. – Dans une lettre que vous avez envoyée au président des États-Unis d’alors, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » [/Deep State] – terme qui est devenu très courant – mais aussi à une « Église profonde » [/Deep Church]. Pouvez-vous expliquer ce que vous entendez par là?

C. M. V. – L’expression « État profond » rend très bien l’idée d’un pouvoir parallèle, dépourvu de légitimité mais opérant néanmoins dans les affaires publiques pour la poursuite d’intérêts particuliers. Au bien commun que l’État a le devoir de promouvoir, l’État profond oppose le profit de l’élite. De façon analogue, nous ne pouvons pas ne pas reconnaître qu’au cours des dernières décennies, un pouvoir similaire a été consolidé dans la sphère ecclésiale, que j’ai appelée l’Église profonde, et qui fait passer la poursuite de ses propres intérêts avant les fins propres à l’Église du Christ, en premier lieu le salus animarum.
Ainsi, tout comme dans les affaires publiques il existe des pouvoirs occultes qui guident les choix des gouvernements et suivent l’agenda mondialiste, dans l’Église catholique il y a un lobby très puissant qui usurpe l’autorité de la Hiérarchie avec les mêmes objectifs. En substance, l’État et l’Église sont occupés par un pouvoir illégitime qui a pour but ultime leur destruction et l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Et il ne s’agit pas de théories de conspiration ou de politique-fiction: ce qui se passe sous nos yeux le prouve au-delà de tout doute raisonnable, au point que le Secrétaire général des Nations unies a récemment déclaré que le virus a été utilisé pour réprimer la dissidence.

D. W. – Dans quelle mesure Deep State et Deep Church se recoupent-ils, au moins dans le monde occidental?

C. M. V. – Le recoupement entre Deep State et Deep Church s’articule sur plusieurs fronts. Le premier est sans aucun doute d’ordre idéologique: la matrice révolutionnaire, anticatholique et fondamentalement maçonnique de la pensée mondialiste est la même, et ne date pas de 2013. Pour être honnête, il suffirait de considérer la concomitance temporelle significative entre la célébration du Concile œcuménique Vatican II et la naissance du mouvement dit étudiant: l’aggiornamento doctrinal et liturgique a représenté pour les nouvelles générations une poussée propulsive qui a eu des répercussions immédiates dans les sphères sociales et politiques.
Le second front réside dans la dynamique interne du Deep State et de la Deep Church: tous deux comptent parmi leurs membres des personnages déviants non seulement intellectuellement et spirituellement, mais aussi moralement. Les scandales sexuels et financiers qui ont impliqué de très hauts représentants à la fois de la politique, des institutions et de la hiérarchie catholique montrent que la corruption et le vice sont d’une part un élément qui les unit, et d’autre part un moyen de dissuasion efficace en raison du chantage commun auquel ils sont tous soumis. Les perversions de politiciens et de prélats connus les obligent à obéir à l’agenda mondialiste même lorsque leur coopération semble déraisonnable, inconsidérée ou contraire aux intérêts des citoyens et des fidèles. C’est pourquoi il y a des dirigeants à la botte de l’élite qui détruisent l’économie et le tissu social de leur pays; c’est pourquoi, symétriquement, il y a des cardinaux et des évêques qui propagent la théorie du gender et un faux œcuménisme au scandale des catholiques: tous deux servent les intérêts de leur maître, trahissant leur mission au service de la nation ou de l’Église.
D’autre part, le projet d’établissement du Nouvel Ordre Mondial ne peut pas ne pas se donner une religion universelle d’inspiration maçonnique, à la tête de laquelle doit se trouver un leader religieux œcuménique, paupériste, écologiste et progressiste. Qui mieux que Bergoglio pour ce rôle, sous les applaudissements de l’élite et l’enthousiasme insensé des masses endoctrinées dans le culte idolâtre de la pachamama ?

D. W. – Quelles sont les preuves ou les indices ?

C. M. V. – Je pense que la manifestation la plus évidente s’est produite en même temps que la pandémie. L’alignement du sommet de la Hiérarchie sur la gestion insensée de l’urgence Covid – une urgence provoquée à dessein et amplifiée servilement par les médias du monde entier – a été jusqu’à interdire les célébrations liturgiques avant même que l’autorité civile ne le demande; interdire l’administration des Sacrements même aux mourants; de ratifier avec des cérémonies surréalistes la narration mainstream, en répétant ad nauseam tout le lexique du néo-langage: résilience, inclusion, rien ne sera plus jamais pareil, nouvelle Renaissance, build back better, etc.; parrainer comme un « devoir moral » un sérum produit avec du matériel fœtal provenant d’avortements, qui est encore en cours d’essai et dont les effets secondaires à long terme sont inconnus. Et ce n’est pas tout: le Conseil pour un capitalisme inclusif promu par les leaders mondialistes avec la participation du Vatican, donne la ratification officielle au Great Reset du Forum économique mondial, incluant le revenu universel et la transition écologique. À Santa Marta, ils ont même commencé à parler de transhumanisme, ignorant obstinément le caractère anti-chrétien de cette idéologie afin de montrer leur obéissance à la dictature de la pensée unique. Tout cela est horrifiant et on se demande combien de temps encore le Seigneur tolérera un tel affront de la part de ses ministres.

D’autre part, l’insistance obsessionnelle sur l’écologisme malthusien a conduit à la nomination de personnalités notoirement anti-catholiques à l’Académie pontificale pour la vie, partisanes du déclin démographique par la stérilisation, l’avortement et l’euthanasie. Tous, sous la direction d’un prélat à la loyauté bergoglienne avérée, ont complètement déformé les objectifs de l’Académie fondée par Jean-Paul II, en fournissant à l’idéologie dominante un soutien autorisé et prestigieux comme celui de l’homme qui, même s’il l’usurpe, détient toujours l’autorité dans l’Église catholique. Il n’est pas surprenant que la liste des universitaires ait récemment inclus le professeur Walter Ricciardi, un des soi-disant « experts » qui, en Italie, a préconisé jusqu’au bout le lockdown et l’utilisation de masques, en l’absence de toute preuve scientifique de leur efficacité et contre les recommandations mêmes de l’OMS. Hier, il a été rapporté que le médiateur des contrats d’approvisionnement chinois pour l’urgence Covid en Italie, Mario Benotti, a été recommandé par le cardinal Pietro Parolin (…)

Tout cela révèle la connivence de l’État profond et de l’Église profonde, dans une combinaison vile destinée à détruire la souveraineté nationale d’une part et la mission divine de l’Église d’autre part. Des liens inquiétants apparaissent avec la fraude électorale américaine, avec le virus créé dans le laboratoire de Wuhan, et enfin avec les relations commerciales avec la dictature chinoise, principal fournisseur de masques (non conformes aux normes communautaires) à l’Italie et à de nombreux autres pays. Il me semble que nous sommes bien au-delà des simples indices.

D. W. – Une objection de ceux qui rejettent une telle chose comme théorie du complot serait la suivante: comment est-il possible que dans pratiquement tous les pays du monde, presque tous les hommes politiques participent à ce jeu? Qui pourrait avoir tant de pouvoir et d’influence qu’il pourrait mettre la moitié du monde à l’isolement?

C. M. V. – Je vais répondre par un exemple. L’Église est une institution supranationale, présente dans le monde entier avec des diocèses, des paroisses, des communautés, des couvents, des universités, des écoles, des hôpitaux. Tous ces organismes reçoivent leurs ordres du Saint-Siège, et lorsque le Pape ordonne une prière ou un jeûne, tous les catholiques du monde obéissent [il vaudrait mieux dire « doivent obéir », ndt]; si un dicastère de la Curie romaine donne des directives, tous les catholiques du monde les suivent [idem]. Le contrôle est capillaire et immédiat, grâce à une structure hiérarchique efficace. La même chose se produit, limitée aux frontières nationales, également dans les États: lorsque le législateur légifère, les organes responsables exécutent.
De la même façon, l’État profond et l’Église profonde fonctionnent ainsi: tous deux se servent d’une structure fortement hiérarchisée, dans laquelle la composante « démocratique » est pratiquement absente. Les ordres sont donnés d’en haut et celui qui les reçoit les exécute immédiatement, conscient que sa propre désobéissance peut déterminer l’échec professionnel, la condamnation sociale et, dans certains cas, même la mort physique. Cette obéissance découle du chantage: je te promeus, je te donne du pouvoir, je te rends riche et célèbre, mais en échange tu fais ce que je te dis. Si tu obéis et fais preuve de loyauté, ton pouvoir et ta richesse augmentent; si tu désobéis, tu es fini. J’imagine que pour les lecteurs allemands, la référence au Faust de Goethe est spontanée.

Les hommes politiques qui dirigent les nations aujourd’hui font tous, à de rares exceptions près, partie de l’État profond. Si ce n’était pas le cas, ils ne seraient pas là où ils sont. Pensons au cas des élections présidentielles américaines du 3 novembre dernier: le président Trump n’étant pas considéré comme aligné sur la pensée unique, il a été décidé de l’évincer par une fraude électorale d’une ampleur sans précédent, et contre la volonté même du peuple. Les procès en cours aux États-Unis confirment la fraude et les irrégularités, et dans les mois à venir, je pense que de nouvelles preuves de cette fraude apparaîtront, qui se trouve avoir amené à la Maison Blanche un démocrate, un catholique progressiste, parfaitement en phase avec le programme du Great Reset. A y regarder de plus près, la démission de Benoît XVI et l’élection de Jorge Mario Bergoglio semblent répondre à la même dynamique et obéir au même lobby de pouvoir.

En Allemagne aussi des rapports sont apparus qui montrent que des données ont été falsifiées dans la gestion de la pandémie afin de légitimer la violation des droits des citoyens. Et malgré le nombre alarmant de personnes qui ont souffert d’effets secondaires ou sont décédées à la suite du soi-disant vaccin, le martèlement constant sur la vaccination obligatoire continue, alors qu’il est maintenant clair qu’elle ne garantit pas l’immunité et n’évitera ni la distanciation sociale ni les masques obligatoires.

Il y a des raisons de croire que la gestion de Covid a été organisée sous une seule « régie » et avec un seul scénario. Il y a quelques jours à peine, le gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo, a admis qu’il avait reçu de l’Imperial College de Londres, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates l’instruction d’admettre des personnes âgées dans les RSA [Résidence sanitaire assistancielle (en italien Residenza sanitaria assistenziale) ; sortes d’EPHAD]- des personnes âgées qui sont mortes à la suite de protocoles de traitement erronés, intubées et sous assistance respiratoire -. Et comme par hasard, les parrainages du « philanthrope » américain concernent de nombreuses instances nationales – même gouvernementales – qui dépendent financièrement d’un particulier qui théorise le dépeuplement de la planète par une pandémie.

Vous me demanderez: qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour pouvoir envoyer la moitié du monde dans l’isolement? Ceux qui disposent d’énormes ressources, comme certaines personnalités connues, parmi lesquelles Bill Gates et George Soros, se distinguent; ceux qui sont capables de financer l’OMS elle-même, en dirigeant ses décisions et en réalisant de très gros bénéfices, étant également actionnaires de sociétés pharmaceutiques.

D. W. – Dans votre lettre au président d’alors, Donald Trump, vous parlez d’un affrontement entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Si vous regardez maintenant l’année 2020, comment cette confrontation a-t-elle évolué jusqu’à présent ?

C. M. V. – Comme toujours dans les événements terrestres, la guerre entre le bien et le mal, entre les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres, semble toujours pencher en faveur de ces derniers. Satan, qui est princeps hujus mundi, a de nombreux adeptes très organisés et une infinité de serviteurs. A l’inverse, les bons semblent numériquement inférieurs et mal organisés, souvent anonymes et presque toujours dépourvus de tout pouvoir ou de moyens économiques qui leur permettraient d’agir avec la même efficacité que leurs ennemis. Mais il en a toujours été ainsi, car la victoire n’appartient pas au bien, mais au Christ. Ego vici mundum: c’est moi qui ai vaincu le monde, nous avertit Notre Seigneur. Nous donnons notre pauvre contribution, parfois même héroïque, mais sans la grâce de Dieu nous ne pouvons rien: sine me nihil potestis facere.

L’année 2020 nous a obligé à regarder dans les yeux la Méduse mondialiste, nous montrant à quel point il est facile pour l’État profond d’imposer une tyrannie sanitaire à des milliards de personnes. Un virus non isolé, avec un taux de survie très élevé, a été accepté comme instrumentum regni, avec la complicité des dirigeants, des médias, de la hiérarchie ecclésiastique elle-même. La crise économique déclenchée par les lockdowns doit rendre inévitable l’annulation de la dette et l’établissement d’un revenu universel, en échange de la renonciation à la propriété privée et de l’acceptation du suivi par le passeport santé. Ceux qui refusent le vaccin peuvent être internés dans des camps de détention qui sont déjà prêts dans de nombreux États, dont l’Allemagne. Les violations des droits constitutionnels et religieux seront tolérées par les tribunaux, au nom d’une urgence éternelle qui prépare les masses à la dictature. C’est ce qui nous attend, selon les aveux des auteurs du Great Reset eux-mêmes.

Mais cette succession d’exacerbations, motivées par des raisons désormais risibles et démenties par l’évidence, est en train de fissurer de nombreuses certitudes, auxquelles les masses ont jusqu’à présent donné un assentiment fidéiste souvent proche de la superstition. Les premières accusations de « négationnisme » à l’encontre de ceux qui contestent les absurdités des soi-disant « experts » ont fait comprendre à beaucoup de gens que le Covid se voit présenter les connotations d’une religion précisément pour ne pas être remis en question, car d’un point de vue scientifique il devrait être considéré comme tous les autres coronavirus des années passées. Ces contradictions ouvrent les yeux de nombreuses personnes, même face à la complaisance servile éhontée des médias et à la multiplication de la censure des dissidents sur les réseaux sociaux.

D. W. – Que serait le monde si les forces que vous appelez des ténèbres devaient l’emporter?

C. M. V. – Un monde dans lequel l’État profond devait prévaloir réaliserait les pires scénarios décrits par l’Apocalypse, les Pères de l’Église et les mystiques. Un royaume infernal dans lequel tout ce qui rappelle, même de loin, la société chrétienne – de la religion aux lois, de la famille à l’école, de la santé au travail – doit être banni et renversé, perverti. Hétérosexuels persécutés, familles hommes-femmes interdites, enfants nés par mères porteuses, histoire censurée, religion discréditée, honnêteté et discipline bafouées, honneur pointé du doigt comme un concept fasciste, virilité condamnée comme « toxique », maternité déplorée comme « non durable », vieillesse forcée à l’euthanasie, maladie considérée uniquement comme une opportunité de profit, santé considérée avec suspicion. Et il nous faudra aussi voir répudier, après deux siècles d’endoctrinement, la fameuse démocratie au nom de laquelle ceux qui nous gouverneront le feront sans élections, au nom de la santé publique.
Ce n’est que dans le royaume du Christ qu’il peut y avoir la paix et la vraie concorde; dans la tyrannie de Satan, il y a la terreur, la répression, la guerre contre le bien et la licence des vices les plus infâmes.

D. W. – Selon vous, que peut-on faire pour éviter une telle évolution ?

C. M. V. – Nous devons veiller à ce que ce qui s’est passé jusqu’à présent ne puisse pas atteindre son but final. Nous pouvons et devons dénoncer les tromperies et les mensonges dont nous sommes nourris chaque jour par ceux qui nous considèrent comme des serviteurs stupides et pensent qu’ils peuvent nous soumettre sans aucune réaction de notre part. S’il existe des lois qui protègent les droits naturels des citoyens, nous devons tous élever la voix et protester avec courage, en exigeant du pouvoir judiciaire que les responsables de ce coup d’État mondial soient jugés et condamnés.
Nous ne pouvons pas permettre, sous la menace d’une pandémie fabriquée, que les nations soient prostrées par une crise économique et sociale induite, ni que les peuples soient soumis à des restrictions de leurs libertés en violation de la loi et du bon sens lui-même. Si nous pouvons rester fermes et ne pas reculer face à ces répétitions générales de la dictature, l’État profond se retirera et attendra des temps plus propices, et nous aurons le temps d’éviter l’instauration de la tyrannie. Si nous le laissons faire, nous rendrons ce plan infernal irréversible.
N’oublions pas, en tant que catholiques, que nous avons une très grande responsabilité, tant envers nos pasteurs qu’envers nos dirigeants. Notre obéissance peut et doit échouer lorsqu’on nous demande d’obéir à des lois injustes ou contraires au Magistère immuable de l’Église. Si notre opposition est aussi ferme et courageuse qu’au temps des Martyrs, nous aurons fait notre part pour obtenir du Ciel ces grâces qui peuvent changer la destinée de l’humanité et retarder la persécution des derniers temps.

C’est pourquoi nous prions avec confiance la Sainte Vierge, Reine des victoires et Secours des chrétiens, afin qu’elle soit notre chef de file dans cette bataille historique. Que le glorieux Archange Michel soit à ses côtés, chassant Satan et les autres mauvais esprits en enfer, qui ad perditionem animarum pervagantur in mundo.


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres]




De l’Union Européenne à l’Union de l’Enfermement

Par Jean-Michel Grau

À Coralie Delaume (1976-2020)

Après avoir décrit le rôle joué par Klaus Schwab, grand architecte du Great Reset [la grande réinitialisation] avec le Covid 19 construit et planifié de toutes pièces au sein du forum de Davos dans lequel barbotte ce grand crocodile mondialiste, et le rôle de son ingénieur en chef, Christian Drosten, conseiller-virologue apprenti sorcier d’Angela Merkel, suffisamment influent au point d’imposer à tout le monde occidental des décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses, il est temps de dévoiler maintenant au grand jour le rôle de l’architecture carcérale qui a permis à la dictature sanitaire de Klaus Schwab de se réaliser : l’Union Européenne.

« L’Europe, c’est la paix »

Telle est la ritournelle que l’on serine à tous les peuples européens à tous les temps et sur tous les modes depuis la 2e guerre mondiale et ses 60 millions de morts suite à la chute du IIIe Reich. Oui, mais voilà, c’est oublier que la paix a été avant tout construite sur la dissuasion nucléaire après la défaite japonaise suite aux bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, prélude à la guerre froide et à la division du monde Est-Ouest jusqu’à la chute du mur de Berlin.

Comme le disait très justement Coralie Delaume, étoile trop tôt disparue dans la nuit européenne :

« Faire advenir la paix ne suffit pas à constituer un projet politique et n’a pas empêché la multiplication des institutions technocratiques chargées de le mettre en œuvre. Aujourd’hui, ces institutions se sentent désormais suffisamment fortes pour s’affranchir des États européens et contribuer à vider progressivement de leur substance les États membres de l’Union, trop heureux de pouvoir se défausser de leurs responsabilités sur Bruxelles ou Francfort. Cette démission des politiques s’accompagne désormais d’une crise économique redoutable. Une situation que les peuples acceptent de moins en moins, sentant bien qu’au nom de “la paix”, on leur demande d’entériner tout à la fois leur appauvrissement et l’abandon de leur souveraineté. » (1)

À tel point qu’après avoir bafoué les non au référendum de 2005 en France et aux Pays-Bas, les parlements ont entériné la constitution européenne avec le traité de Lisbonne deux ans plus tard. Aujourd’hui, l’Union européenne franchit un pas supplémentaire en mettant en œuvre toutes ses forces de coercition et de chantage à la peur contre les peuples européens pour le plus grand bonheur de l’oligarchie mondialiste à l’origine de cette gigantesque prise d’otages de masse avec un virus létal à 0,05 %. Pour bien comprendre comment on en est arrivé là, il faut faire un bref retour en arrière aux origines de l’Union européenne.

Celui qu’on a appelé et qu’on appelle encore abusivement « le père de l’Europe », Jean Monnet, obscur négociant en cognac adoubé par les Américains dans les années 30 via les banques et la finance internationale, avait conscience que l’Europe ne devait être qu’une première étape vers le mondialisme dont il était un chaud partisan. Avec l’apparition d’un marché mondial sans un état de droit mondial, la création de l’Euro était donc bien un piège, et l’adopter mettait la main dans un engrenage conduisant à un nouvel ordre mondial sans avoir à donner la parole aux peuples.

Ainsi, selon l’historien Éric Branca,

« dès 1952, lors de l’entrée en vigueur de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA), Jean Monnet avait-il préconisé cet effet d’engrenage,

à savoir un transfert “en douceur”, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples. » (2)

Le rôle abject de l’UE dans la crise grecque, bras armé de la troïka avec l’Allemagne à la manœuvre, n’en est que le meilleur exemple.

Ainsi, Giscard d’Estaing, considéré aujourd’hui comme le « père de la constitution européenne » s’acharnera-t-il à réaliser le programme de Jean Monnet, à savoir « la fusion progressive des nations européennes en un État fédéral expérimental, prélude d’un gouvernement mondial » Sous son septennat sera créé le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, puis sera décidée, en 1977, l’élection du Parlement européen au suffrage universel et en 1979 sera créé le Système monétaire européen, matrice d’où sortira avec le traité de Maastricht en 1992, l’instauration d’une monnaie unique européenne, le 1er janvier 1999.

L’Europe est donc tellement peu la paix, qu’elle fera dire en 2015 à son président de la Commission européenne d’alors, Jean-Claude Juncker :

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021, nous vivons le dernier avatar de l’Union européenne, à savoir la mise en coupe réglée des peuples européens pris en otage dans des confinements à répétitions pour en faire des esclaves dociles afin de mettre en place le programme totalitaire de l’oligarchie mondialiste grâce à la peur d’un virus savamment entretenue par les médias mainstream. En témoigne la dernière injonction faite aux européens en date du 24 janvier par la geôlière commissaire en chef d’imposer des tests PCR négatifs, ausweis obligatoire pour franchir les frontières carcérales européennes malgré la reconnaissance récente par l’OMS de l’invalidité des protocoles de tests PCR recommandés par le Dr Drosten.

Mais surtout, l’exemple de la crise sanitaire montre bien le rôle central joué par l’UE dans la destruction méthodique des États européens : la Commission européenne, dans sa volonté hystérique de réduire les dépenses dans les différents États européens, continuait à préconiser en pleine crise du Coronavirus de réduire les dépenses de santé alors que la diminution drastique des lits d’hôpitaux depuis plus de 10 ans en France est à l’origine du désastre sanitaire que nous connaissons depuis un an et du nombre quatre fois plus élevé de décès du Covid qu’en Allemagne.
Martin Schirdewan, député européen, rappelle à juste titre qu’à 63 reprises entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé aux États membres de l’UE de privatiser des pans entiers du secteur de la santé et de réduire les dépenses publiques en matière de santé.

Ainsi, la France a-t-elle supprimé 100 000 lits d’hôpitaux en 20 ans ! (3)

Le professeur Didier Raoult dans sa dernière communication, enfonce le clou :

« Le niveau d’équipement biomédical dans ce pays, en particulier dans les CHU est beaucoup trop faible : il était tellement indécent il y a vingt ans pour manipuler les bactéries pathogènes que vous n’arriviez même pas à faire ce qu’on fait à Kinshasa ! » (4)

Comme le rapportent très justement deux professeurs de l’ESSEC, Marc Guyot et Radu Vranceanu dans La Tribune :

« Ce n’est pas le virus qui a créé la crise économique, mais la façon avec laquelle le gouvernement mène sa politique sanitaire, étant donné l’état déplorable des infrastructures médicales en termes de capacité d’hospitalisation. Ce comportement irresponsable a mené à cette situation de confinements à répétitions en train d’anéantir toute l’économie française. » (5)

Il est maintenant clair que les directives européennes en matière de santé comme dans tant d’autres domaines promouvant le dumping social et fiscal sous prétexte de « concurrence libre et non faussée » mènent droit à la destruction programmée des pays de l’Union. La volonté de l’UE de créer des zones à risque jusqu’au rouge foncé pour entretenir la peur, et un passeport vaccinal réclamé par plusieurs États membres pour créer des citoyens de seconde zone selon la feuille de route de Klaus Schwab devrait nous ouvrir définitivement les yeux sur la finalité de l’Union : l’enfermement qui en rappelle un autre : celui des untermenschen il y a 80 ans.

Qu’en conclure d’autre aujourd’hui sinon que cette Europe, c’est la guerre ?

Nous sommes les 99 %. RESISTANCE !

Notes

(1) Coralie Delaume, Europe, les États désunis, Michalon

(2) Éric Branca, Le dilemme français, Le Spectacle du Monde

(3) topsante.com/medecine/votre-sante-vous/professionnels-de-sante/urgences-en-crise-100-000-lits-ont-ete-supprimes-en-20-ans-632559

(4) youtube.com/watch?v=9LA6Jmf2IzQ

(5) latribune.fr/opinions/tribunes/de-la-crise-sanitaire-a-la-crise-economique-846712.html




Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus

[Source : Horizons et débats via Mondialisation.ca]

Photo Wikipedia

Par Diana Johnstone*

[Image d’entête :]
© World Economic Forum, Flickr, CC BY-NC-SA 2.0
Visionnement du film en réalité virtuelle « Collisions » lors d’une session du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, en janvier 2016.


Le grand prétexte qui doit nous conduire vers la dystopie

Dans leur étude « Covid-19. The Great Reset » (« Covid-19 : La grande réinitialisation ») publiée par le Forum économique mondial/World Economic Forum (WEF/FEM), les économistes Klaus Schwab et Thierry Malleret nous donnent à entendre la voix de la future gouvernance mondiale.

En intitulant leur dernière publication au sein du WEF « Covid-19 : The Great Reset », les auteurs associent la pandémie à leur propositions futuristes de façon à provoquer un concert de hauts cris d’illuminations soudaines. Dans le climat de confusion et de méfiance qui règne actuellement, l’enthousiasme avec lequel les économistes Klaus Schwab et Thierry Malleret saluent en la pandémie un signe avant-coureur du bouleversement socio-économique qu’ils présagent laisse à penser que si celui-ci ne s’était pas déclaré tout seul par hasard, ils auraient volontiers créé le Covid-19 de toutes pièces.

En effet, Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial, a déjà vigoureusement prôné la « Grande Réinitialisation » en utilisant le changement climatique comme facteur déclencheur de la crise, avant que la toute récente éclosion du Corona virus ne lui fournisse un prétexte encore plus direct de promotion pour ses projets de restructuration du monde.

D’emblée, les auteurs commencent par clamer que

« le monde tel qu’il était dans les premiers mois de 2020 n’existe plus »,

(éd. allemande p. 12)

que des changements radicaux vont façonner une

« nouvelle normalité ».

(id. p. 12)

Nous allons nous-mêmes en être transformés :

« Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler vont être réduites à néant au cours de ce processus ».

(id. p. 13)

Tout au long du livre, les auteurs semblent se réjouir des effets supposés des nombreuses « angoisses » suscitées par le virus, lesquelles sont censées conditionner les gens à désirer les changements radicaux qu’eux-mêmes (les auteurs) appellent de leurs vœux.

Ils utilisent le jargon technocratique pour proclamer que la pandémie est déjà à l’œuvre, modifiant la mentalité humaine afin que celle-ci se conforme à la nouvelle réalité qu’ils croient inévitable.

« Notre crainte sous-jacente et peut-être persistante d’être infecté par un virus (Corona ou autre) […] va donc accélérer la marche implacable de l’automatisation […] ».

(id. p. 183)

Vraiment ?

« En raison de la forte appréhension – provoquée par le Coronavirus – qu’on éprouve à rester assis dans un espace fermé en compagnie de parfaits inconnus, il se peut que beaucoup de gens décident qu’ils préfèrent regarder le dernier film ou la dernière représentation d’opéra à la maison parce qu’au fond c’est ce qu’il y a de mieux à faire ».

(id. p. 234)

« Il y a d’autres effets immédiats qui sont beaucoup plus faciles à prévoir, dont la propreté par exemple. La pandémie va certainement mettre davantage l’accent sur l’hygiène. En particulier, la nouvelle obsession de l’hygiène entraînera la création de nouveaux emballages. Nous serons invités à ne plus toucher aux produits que nous désirons acheter.

Les plaisirs simples, comme sentir un melon ou toucher un fruit, seront mal vus et pourraient même appartenir au passé »

(id. p. 234)

Voilà bien la voix des derniers postulants à la gouvernance-mondiale ! Du haut de leur condescendance les experts décident des « besoins » des masses. Ces désirs supposés sont destinés à correspondre aux objectifs de rentabilité colportés par ces mêmes experts. Leurs plans tournent autour de l’innovation numérique, de l’automatisation massive grâce à « l’intelligence artificielle » et enfin de « l’amélioration » des humains qui seraient alors artificiellement dotés de certaines des caractéristiques des robots : par exemple, pouvoir résoudre des problèmes sans s’embarrasser de considérations éthiques.

Klaus Schwab, ingénieur et économiste de formation, est né à Ravensburg en 1938. Il a fondé son Forum économique mondial (FEM) en 1971, massivement sponsorisé par les multinationales. Ce groupe se réunit une fois par an à Davos, en Suisse – la dernière fois c’était en janvier 2020 et cela aurait dû avoir lieu l’année prochaine en mai, mais sera reporté pour cause de Covid-19.

Klaus Schwab accueille les participants
au premier Symposium De Gestion européen en 1971.
Otto von Habsburg (à gauche) a prononcé le discours principal
lors de la séance d’ouvertureUn puissant lobby

De quoi s’agit-il au juste ? Je décrirais volontiers le FEM comme une combinaison de cabinet-conseil capitaliste et de lobby géant. Ses visions futuristes sont conçues pour piloter les investisseurs dans les domaines rentables de ce que M. Schwab appelle la « Quatrième Révolution industrielle » (4IR) pour ensuite, une fois ces domaines définis, faire pression sur les gouvernements afin qu’ils soutiennent ces investissements au travers de subventions, d’allégements fiscaux, de marchés publics, de réglementations et de lois.

En bref, le FEM est le lobby des nouvelles technologies, de tout ce qui est numérique, de l’intelligence artificielle et du transhumanisme.

Cette organisation est actuellement devenue puissante parce qu’elle opère dans l’environnement du capitalisme d’État, dans lequel le rôle de l’État (surtout aux États-Unis, un peu moins en Europe) a été largement réduit à un rôle de réponse positive aux demandes de ces lobbies, surtout dans le secteur financier.

Puisqu’ils se sentent immunisés contre les obscures aspirations des gens ordinaires par les contributions financières à leurs campagnes électorales, la plupart des hommes politiques d’aujourd’hui sont quasiment dépendants des conseils de lobbies comme le WEF afin qu’on leur dise ce qu’ils doivent faire.

Au XXème siècle, en particulier pendant le New Deal, le gouvernement américain était sous la pression d’intérêts contradictoires. Le succès économique de l’industrie de la défense pendant la Seconde Guerre mondiale a donné naissance au Complexe militaro-industriel (CIM) qui est devenu un facteur structurel permanent de l’économie américaine.

C’est le rôle dominant du CIM et les lobbies qui ont finalement transformé la nation en un capitalisme d’État en lieu et place de l’institution républicaine initiale.

La preuve de cette transformation est l’unanimité avec laquelle le Congrès ne se prive jamais d’approuver des budgets militaires grotesquement gonflés. Le CIM a donné naissance à des médias et à des groupes de réflexion endoctrinant sans cesse le public sur la nécessité existentielle de continuer à investir les richesses de la nation dans la production d’armes de guerre. À moins que les électeurs ne se mettent d’accord, ils ne peuvent trouver aucun moyen d’expression politique face à des élections monopolisées par deux partis pro-MIC.

Le FEM peut être considéré comme le pendant du CIM. Il entend mobiliser les gouvernements et les leaders d’opinion pour promouvoir la « 4IR » qui dominera l’économie et la vie civile au quotidien elle-même.

La pandémie est donc juste un prétexte éphémère ; la nécessité de « protéger l’environnement » va devenir un prétexte plus pérenne. Tout comme le CIM sera présenté comme absolument nécessaire pour « protéger nos libertés », la 4IR sera présentée comme absolument nécessaire pour « sauver l’environnement » – et dans les deux cas, beaucoup des mesures préconisées auront l’effet inverse de celui recherché.

Jusqu’à présent, la tyrannie technologique de la 4IR de M. Schwab n’a pas encore trouvé sa place au sein du capitalisme d’État américain. Mais il semble que ses perspectives soient prometteuses. La Silicon Valley a massivement contribué à la campagne de Joe Biden, ce dernier s’est empressé d’intégrer ses grands pontes dans son équipe de transition.

Mais le vrai danger dans tout cela, à savoir la réinitialisation du pouvoir en entier, ne réside pas dans ce qui est là, mais dans ce qui n’y est pas : une quelconque opposition politique sérieuse.

Jens Stoltenberg, Ursula von der Leyen et John Kerry
au Forum économique mondial

Peut-on rétablir la démocratie ?

Un boulevard est en train de s’ouvrir au Great Reset pour la simple et bonne raison que rien ne s’y oppose. Pas de prise de conscience généralisée des problèmes en cause ni d’organisation politique populaire efficace, rien. C’est pour cette même raison que la dystopie (en tant que véritable anti-utopie) de M. Schwab fait peur.

L’élection présidentielle de 2020 vient d’illustrer la dépolitisation presque totale du peuple américain. Cela peut paraître bizarre si l’on tient compte de la virulence des réactions des partisans politiques en présence. Mais tout cela n’a rien été d’autre que beaucoup de bruit pour rien.

Il n’y a pas eu de véritable débat sur les thèmes d’importance, on n’a soulevé aucune question politique d’envergure, que ce soit au sujet de la guerre ou des orientations du futur développement économique.

Les arguments assez vicieux n’ont visé que les personnes et non pas la politique. Donald Trump, souvent incapable, s’est vu traiter « d’Hitler » tandis que les bellicistes démocrates de Wall Street ont été qualifiés de « socialistes » par les Trumpistes. Mensonges, insultes et chaos ont été omniprésents.

Un renouveau de la démocratie ne peut résulter que d’un engagement organisé et ciblé sur les questions soulevées par les planificateurs de Davos, d’où se dégagerait une opinion publique bien informée qui se prononcerait sur ses choix quant aux innovations technologiques socialement acceptables et celles qui ne le sont pas.

Les signaux d’alarme lancés à la marge n’influenceront pas le rapport de force intellectuel. Ce qu’il faut, c’est que tous les citoyens du monde se réunissent pour étudier les problèmes et se forger une opinion véritablement documentée sur les objectifs et les méthodes de développement du futur.

Tant qu’ils ne seront pas confrontés à des critiques bien informées et précises, la Silicon Valley et ses alliés commerciaux et financiers continueront simplement à faire tout ce qu’ils s’imaginent pouvoir faire, quelles qu’en soient les implications sociales.

Une analyse rigoureuse de la situation devra aboutir aux choix entre les innovations potentiellement utiles et celles qui sont inopportunes afin d’éviter que des notions populaires ne soient abusées pour faire accepter par tous une quelconque « avancée technologique », aussi désastreuse soit-elle.

Redéfinir les questions importantes

Les divergences politiques entre la Gauche et la Droite et entre les républicains et les démocrates se sont accentuées, alors que ces mêmes divergences viennent de se révéler incohérentes, déformées et non pertinentes, fondées davantage sur des préjugés idéologiques que sur des faits avérés. Il faudrait définir de nouvelles orientations politiques plus constructives en abordant des questions spécifiques et concrètes.

Le Prince de Galles et Klaus Schwab à Davos en janvier

Reprenons donc, une par une, les propositions divulguées du Great Reset en les examinant d’un point de vue à la fois pragmatique et éthique.

1 – Du fait de la pandémie, le recours aux conférences téléphoniques via Skype, Zoomou d’autres nouvelles plateformes a fortement augmenté

Le FEM se félicite de cette tendance. Faut-il en conclure que c’est une mauvaise chose ? Pour être juste, cette innovation est positive en ce qu’elle permet à de nombreuses personnes d’assister à des conférences sans les frais, les tracas et le coût environnemental induits par le transport aérien. En revanche, le côté négatif est que cela empêche tout contact humain direct. Il s’agit là d’un problème simple où les aspects positifs semblent l’emporter sur les aspects négatifs.

2 – Faudrait-il que l’enseignement supérieur devienne accessible en ligne, les professeurs dispensant des cours aux étudiants sur Internet ?

Il s’agit d’une question beaucoup plus complexe qui devrait être débattue en profondeur par les établissements d’enseignement eux-mêmes et les communautés dont ils sont tributaires, en pesant le pour et le contre et en gardant à l’esprit que ceux qui fournissent la technologie veulent la vendre et se soucient peu de la valeur du contact humain dans l’éducation – non seulement le contact humain entre l’étudiant et le professeur, mais aussi les contacts entre les étudiants eux-mêmes, qui sont souvent déterminants dans l’existence. Les cours en ligne peuvent être très utiles pour des étudiants géographiquement isolés, mais la disparition de la communauté universitaire serait un pas de plus vers la destruction de la communauté humaine dans son ensemble.

3 – La santé et le « bien-être »

C’est sur ce point précis qu’il faudrait approfondir la réflexion :

« Dans l’ère post-pandémique », disent Schwab et Malleret, « trois industries (au total) vont prospérer : la haute technologie, la santé et le bien-être ».

(id. p. 241)

Pour les planificateurs de Davos, ces trois éléments se recoupent.

Ceux qui croient que le bien-être est essentiellement auto-généré et qu’il dépend des mentalités, des activités et du choix des modes de vie, passent à côté de l’essentiel.

« La combinaison de l’IA [intelligence artificielle], des objets du quotidien connectés à l’internet, des capteurs et de la technologie mobile apportera de nouvelles connaissances sur le bien-être des individus en matière de santé. Ces systèmes surveilleront notre état de santé et nos sentiments, […] fourniront des informations précises sur notre empreinte carbone, notre impact sur la biodiversité, la toxicité des ingrédients que nous consommons et les environnements ou le contexte des espaces au sein desquels nous nous déplaçons, ce qui entraînera des progrès significatifs dans la prise de conscience du bien-être collectif et individuel ».

(id. p. 243s.)

Question : Souhaitons-nous vraiment, ou avons-nous réellement besoin, de tout ce narcissisme cybernétique ? Ne pouvons-nous pas simplement profiter de la vie en aidant un ami, en caressant un chat, en lisant un livre, en écoutant Bach ou en regardant un coucher de soleil ? Nous ferions mieux de décider par nous-mêmes avant que ces gens ne nous chamboulent l’esprit.

4 – La nourriture

Pour ne pas me couper l’appétit, je vais faire l’impasse sur cette question. Les magiciens de la technologie veulent se débarrasser des agriculteurs, de leurs sols souillés et de leurs animaux malpropres et produire industriellement des aliments artificiels créés et améliorés dans de beaux laboratoires bien propres – à partir de quoi, au fait ? Le thème central : le genre humain considéré comme « homo faber ».

5 – Qu’en est-il du travail accompli par l’homme ?

« Selon toute vraisemblance, la récession déclenchée par la pandémie entraînera une forte augmentation de la substitution en matière de main-d’œuvre, c’est-à-dire que le travail physique accompli par l’homme sera remplacé par des robots et des machines « intelligentes », ce qui entraînera des changements permanents et structurels sur le marché du travail ».

(id. p. 61s.)

Ce remplacement est déjà à l’œuvre depuis des décennies. Conjugué à la sous-traitance et à l’immigration, il a de toute façon affaibli le pouvoir collectif du travail. Mais il ne fait aucun doute que les industries technologiques sont prêtes à aller plus loin, bien plus loin encore et également plus vite pour supplanter les humains et les priver de leur travail.

« La crise du Covid-19 et les mesures de distance spatiale qui l’ont accompagnée ont brusquement accéléré ce processus d’innovation et de changement technologique. Les chatbots (les dialogueurs automatiques) qui s’appuient souvent sur la même technologie de reconnaissance vocale que l’Alexa d’Amazon, ainsi que d’autres logiciels capables d’effectuer des tâches à la place du personnel humain, se sont imposés à toute vitesse. Ces innovations, motivées par la nécessité (comme par exemple les mesures d’hygiène), vont bientôt se traduire par la perte de centaines de milliers, voire de millions d’emplois ».

(id. p. 62)

La réduction des coûts de main-d’œuvre a longtemps été le leitmotiv de ces innovations, de même que la volonté interne de l’industrie technologique de « […remplacer en] faisant tout ce qui est en son pouvoir ». On met alors au point des prétextes d’utilité sociétale pour justifier ce procédé. Comme par exemple celui-ci :

« Comme il est fort probable que les consommateurs privilégient dans un avenir proche les services automatisés aux contacts physiques, ce qui se passe actuellement dans le secteur des centres d’appel se produira inévitablement aussi dans d’autres domaines ».

(id. p. 62)

« Comme il est fort probable que les consommateurs privilégient … » ! Tous les gens que je connais se plaignent de l’exaspération ressentie lorsqu’on essaie de joindre une banque ou une compagnie d’assurance afin de leur exposer une situation d’urgence et qu’au lieu d’un véritable interlocuteur on se trouve confronté à une voix dépersonnalisée et à une sélection de numéros non pertinents sur lesquels il faut cliquer. Je sous-estime peut-être le niveau d’hostilité envers ses semblables qui imprègne la société actuelle, mais j’ai l’impression qu’il existe de la part du public une forte demande implicite en faveur de moins de services automatisés et davantage de contacts directs avec des personnes réelles qui peuvent penser en dehors de l’algorithme et comprendre réellement le problème, plutôt que de se contenter de recracher des corrections d’erreurs préprogrammées.

Dans ce domaine l’insatisfaction est massive. Mais nous n’en entendons pas parler car nos médias veulent nous persuader qu’actuellement notre plus gros problème existentiel réside dans la confusion ressentie par un quelconque individu confronté à l’indétermination de l’orientation sexuelle d’un autre individu.

En cela, je soutiens que la demande des consommateurs se conjugue au besoin désespéré des individus capables et désireux de gagner leur vie. Les technocrates, eux, gagnent très bien leur vie en privant d’autres personnes de la possibilité de gagner la leur.

Et voici une autre de leurs idées lumineuses :

« Dans des villes aussi différentes que Hangzhou, Washington DC et Tel-Aviv, par exemple, on s’efforce de passer de programmes pilotes à des opérations à grande échelle capables de mettre en place une armée de robots de livraison dans les rues et dans les airs ».

(id. p. 185)

Quelle superbe alternative au salaire versé aux livreurs humains, leur moyen de subsistance !

En outre, remarquons au passage qu’un homme qui roule sur un vélo de livraison utilise une énergie renouvelable. Mais tous ces robots et ces drones ? Des piles, des piles et encore des piles ! Fabriquées à partir de quels matériaux, provenant d’où et produites de quelle façon ? Fabriquées par d’autres robots ? D’où vient l’énergie qui remplace non seulement les combustibles fossiles mais aussi l’effort physique humain ?

Lors de la dernière réunion de Davos, l’intellectuel israélien Yuval Harari a lancé un puissant avertissement :

« Alors que par le passé, les gens devaient lutter contre l’exploitation, au XXIème siècle, la véritable lutte d’envergure se fera contre l’insignifiance. […] Ceux qui échouent dans la lutte contre l’insignifiance formeront une nouvelle « classe inutile » – non pas du point de vue de leurs amis et de leur famille, mais inutile du point de vue du système économique et politique. Et cette classe inutile sera séparée de l’élite de plus en plus puissante par un fossé toujours plus large ».[1]

6 – Et enfin, parlons de l’armée

Nos prophètes de malheur du capitalisme prédisent l’effondrement partiel de l’aviation civile et de l’industrie du transport aérien, car les gens vont tous décider de rester chez eux, collés à leurs écrans. Mais ne vous en faites pas !

« Cela fait du secteur aérospatial de la défense une exception et un refuge relativement sûr ». Sûr pour l’investissement en capital, cela s’entend. Au lieu de vacances passées sur des plages ensoleillées, nous pouvons nous attendre à des guerres spatiales. Cela pourrait arriver bien plus tôt que prévu, car, comme le conclut la Brookings Institution dans un rapport de 2018 sur « la façon dont l’intelligence artificielle (IA) transforme le monde », tout va plus vite maintenant, y compris la guerre :

« L’analyse des Big Data associée à l’IA aura un impact profond sur l’analyse du renseignement, car de vastes quantités de données sont passées au crible en temps quasi réel […], ce qui permet aux chefs militaires et à leur état-major d’atteindre des niveaux d’analyse et de productivité sans précédent dans le domaine du renseignement. Les fonctions de commandement et de contrôle subiront un impact similaire, car les responsables humains délèguent certaines décisions de routine et, dans des circonstances particulières, des décisions clés à des plates-formes d’IA, ce qui réduit considérablement le temps nécessaire pour lier la décision à l’action qui en découle ».[2]

Donc, pas de danger qu’un officier au grand cœur hésite à déclencher la troisième guerre mondiale par attachement sentimental envers l’humanité. Si la plateforme IA considère que c’est une opportunité, on fonce !

« En fin de compte, la guerre n’est plus qu’une compétition sur le temps de réaction, dans lequel le camp le plus apte à décider rapidement et à passer le plus vite à l’action l’emportera pratiquement toujours. En effet, les systèmes de renseignement en intelligence artificielle, en liaison avec les systèmes de commandement et de contrôle assistés par l’IA, peuvent agir sur les supports décisionnels ainsi que sur la prise de décision en les faisant passer à une vitesse largement supérieure à celle des méthodes de guerre traditionnelles.

Ce processus sera si rapide, en particulier quand il sera couplé à des décisions automatiques de déploiement de systèmes d’armes autonomes dotées d’intelligence artificielle aux conséquences mortelles, qu’un nouveau terme a été spécifiquement créé pour désigner la vitesse à laquelle la guerre pourrait désormais être livrée : Hyperwar ».[3]

Les Américains ont le choix. Soit ils continuent à se chamailler à propos de futilités, soit ils se réveillent – se réveillent vraiment, reconnaissent la réalité planifiée pour ce qu’elle est et agissent en conséquence.

L’avenir sera déterminé, pour une partie considérable, par les choix en matière d’investissement. Non pas par des discours inconvenants et plutôt peu en recourant au vote électoral, mais essentiellement par les choix d’investissement.

Si le peuple veut reprendre le pouvoir, il doit réaffirmer son contrôle sur la façon dont le capital est investi et à quelles fins.

Et si le capital privé rechigne, il faudra le nationaliser. C’est la seule révolution possible – et c’est aussi le seul conservatisme, la seule façon de préserver des conditions de vie décentes. C’est en cela que consiste la véritable politique.

Notes :

https://www.weforum.org/agenda/2020/01/yuval-hararis-warning-davos-speech-future-predications/
https://www.brookings.edu/research/how-artificial-intelligence-is-transforming-the-world/
3 Op. cit.

Cet article a été publié [en anglais] à consortiumnews, le 24 novembre 2020.

* [À propos de l’auteur]

Diana Johnstone vit à Paris. Son dernier livre est «Circle in the Darkness: Memoirs of a World Watcher» (Mémoires d’un observateur du monde). Atlanta 2020. (ISBN 978-1-949762-13-6). Ell a également publié: «La Croisade des fous: Yougoslavie, première guerre de la mondialisation». Montreuil 2005. (ISBN 2841095339). «Hillary Clinton. La reine du chaos». Paris 2016. (ISBN 978-2-915854-85-5). Elle a écrit par ailleurs une préface et un commentaire aux mémoires de son père, Paul H. Johnstone, ancien analyste principal au sein du groupe Strategic Weapons Evaluation Group(WSEG) au Pentagone. Les mémoires ont été publiées sous le titre «From MAD to Madness. Inside Pentagon Nuclear Planning» en 2017.
Vous pouvez joindre Mme Johnstone à l’adresse électronique : diana.johnstone@wanadoo.fr


[Voir aussi : La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend]




Le célèbre patriote roumain Iurie Roșca risque d’être emprisonné !

Par le docteur Calistrat M. Atudorei

Les laquais moldaves du mondialisme se précipitent intensément ces jours-ci pour faire taire Iurie Roșca, qui a créé pendant des décennies un fort courant d’opinion qui a systématiquement exposé l’agenda criminel de la ploutocratie transnationale.

Pendant près de 30 ans, après avoir quitté la première phase de la politique de la République de Moldavie, Iurie Roșca a révélé, avec une remarquable capacité de compréhension, une force d’expression et une facilité enthousiaste, presque tous les mouvements et stratégies par lesquels la pieuvre mondialiste cherche à asservir le monde. Ses articles, ses livres et surtout ses transmissions vidéo ont éveillé à la réalité des centaines de milliers de personnes de Roumanie/Moldavie, ainsi que de nombreux autres pays. Des ressorts cachés de la politique intérieure et internationale, au génocide de la « pandémie » Covid ou à l’agenda transhumaniste, rien d’essentiel n’a échappé à la fine analyse de l’ex-politicien de Chisinau. Toutes ces analyses, portées à un niveau de compétence exceptionnel, s’appuient sur un énorme volume d’études portant sur les travaux des auteurs les plus pertinents dans chaque domaine abordé. Ces études et recherches s’ajoutent à sa longue expérience (près de 20 ans) en tant qu’homme politique : président du Parti chrétien-démocrate populaire, vice-président du Parlement et vice-premier ministre de la République de Moldavie.

De quoi Iurie Roșca est-il exactement accusé ?

Les accusations lancées par les gouverneurs ont été particulièrement nombreuses au fil du temps. Plusieurs dossiers criminels ont été montés contre lui, il a été interdit d’entrée en Roumanie (seul cas de ce type), des tentatives d’assassinat ont eu lieu contre lui, de nombreux sites où il publie ses articles ont été fermés. Mais le procès qui semble avoir été préparé avec une grande détermination dans le but précis de le faire tomber est qualifié de « dossier de trafic d’influence ». Une accusation absurde, portée sans aucune preuve en 2017 par une simple dénonciation. Le dénonciateur, un ancien administrateur d’une société commerciale, a affirmé qu’en 2009 Roșca lui avait demandé un million d’euros (!!) pour le sauver (l’administrateur qui est devenu plus tard l’accusateur) d’un litige économique. L’administrateur en question affirme aujourd’hui qu’après avoir été reconnu coupable par un tribunal, il aurait donné une partie de l’argent à Roșca, mais que la situation n’ayant pas été « résolue »…, il a demandé à récupérer son argent par le biais d’une action en justice.

Le fait que le dossier soit une très mauvaise contrefaçon est évident même à partir de la simple observation du processus judiciaire. Iurie Roșca n’a été notifié de l’accusation qu’en 2018, un an après la constitution du dossier, sans qu’aucune enquête pénale n’ait été diligentée contre lui dans l’intervalle. Comment le dénonciateur a-t-il pu attendre tant d’années sans déposer une éventuelle plainte ?! Pourtant, en 2018, le dossier avance, à une vitesse telle que les procureurs ont esquivé les étapes de la procédure d’enquête pénale et ont transmis en urgence le dossier au tribunal. Cette précipitation les a amenés à sauter l’audition des témoins de la défense, à refuser tout délai pour la présentation des preuves, et également à refuser de procéder à l’expertise complémentaire prévue par la loi. Il est intéressant de noter qu’après l’ouverture du procès, afin d’instiller des confusions bureaucratiques, l’affaire est passée entre les mains de trois juges. Dans tout ce processus, la seule « preuve » invoquée par les procureurs était la déclaration de ce dénonciateur. Sur les deux témoins de la défense, les tribunaux n’en ont admis qu’un seul, mais comme il n’était pas dans le pays, il a été demandé à Iurie Roșca (illégalement) de faire des déclarations judiciaires devant le témoin qui ne pouvait pas venir. Puisque Roșca a invoqué la nécessité de se conformer à la procédure, le tribunal l’a privé de manière hallucinante du droit de faire des déclarations dans sa propre affaire pénale, ce qui, selon son avocat, représente une « absurdité législative ».

Un autre élément qui montre la hâte et la fureur aveugle du Système intervient dans le contexte du fait qu’à la date judiciaire du 18 juin 2024, Iurie Roșca n’a pas pu se présenter au tribunal parce qu’il était hospitalisé en raison d’une dépression nerveuse et d’autres problèmes de santé. Cependant, le juge a ordonné qu’il soit amené de force au tribunal, malgré le fait que la défense ait présenté le certificat médical concernant l’hospitalisation.

Le prochain délai a été fixé au 26 juin 2024, mais la date et l’heure ont été choisies exactement au moment où l’avocat de Roșca devait assister un client dans une autre affaire pénale. La procédure établie par le juge dans la présente affaire n’a pas respecté les normes juridiques relatives à la satisfaction des conditions de participation, ce qui était manifestement délibéré.

Le célèbre dissident de Chisinau

Je pense que les informations présentées sur la manière dont le procès d’Iurie Roșca est instrumentalisé ne laissent pas de place à trop de doutes. Le constat qui se dégage est que nous avons affaire à un procès de type stalinien dans lequel le verdict est fixé à l’avance et les autres étapes législatives ne sont que des formalités insignifiantes. Voici qu’en République de Moldavie, sur ordre de quelques éminences grises, de tels processus sont encore possibles.

La raison de cette répression brutale, qui est en cours (!), est que, compte tenu de l’accélération dramatique actuelle des événements internationaux, le Système estime que la voix et les actions d’Iurie Roșca ne peuvent plus être tolérées.

Dans ce contexte, il est nécessaire de noter une initiative particulièrement impactante que le journaliste, écrivain et analyste politique Iurie Roșca mène avec beaucoup de succès depuis 2018, c’est-à-dire l’année exacte où le procès actuel a été mis sur la table. L’initiative, extrêmement dérangeante, consiste à organiser une série de conférences sous l’égide du « Forum de Chisinau », qui bénéficie d’une large participation internationale. Les présentations sont à chaque fois retransmises en direct et en différé sur de multiples canaux médiatiques à travers le monde. La session de mai de cette année, par exemple, avait pour thème « Unrestricted War—A Holistic Approach to the Great Reset » (La guerre sans restriction — une approche holistique de la grande réinitialisation) et a réuni des personnalités de près de 20 pays. Pour n’en citer que quelques-uns, je mentionnerai Daniel Estulin, Meryl Nass, James Roguski, Ana-Maria Mihalcea, Todd Callender, Olle Johansson, Fred Nazar ou Alex Newman. Les présentations ont apporté des éclaircissements déterminants sur les crises majeures auxquelles l’Humanité est actuellement confrontée. Les échos des informations diffusées à cette occasion continuent de résonner dans les médias alternatifs aujourd’hui.

[Voir notamment :
Quelques éléments sur les stratégies de contrôle mental des masses
Forum de Chisinau 2023 — Une urgence humaine
Forum de Chisinau 2023 — Remarques introductives
Le sens de l’Histoire et son évolution vers le totalitarisme technocratique avant la libération de l’Humanité
LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation
« Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique
La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire
César, Mammon et Dieu, quel choix ferons-nous ?
Une métapolitique contre l’Antéchrist
L’Antéchrist : l’accomplissement de la mondialisation]

Afin de mieux cerner l’activité d’Iurie Roșca, je mentionnerai également quelques-uns des ouvrages qu’il a écrits et publiés ces dernières années : « De la chute de l’URSS à l’UE », « Orthodoxie et nationalisme économique », « La conspiration des démons rouges », « L’intérêt national comme modus vivendi », « Notes d’un optimiste chrétien », « Exercices de lucidité », « Sortir des ténèbres », « Les dinosaures du régime soviétique, les Tartares de la corruption moldave », « L’humanité 2.0 — dépeuplée et augmentée ».

*

Ces lignes se veulent un signal d’alarme concernant la situation actuelle très difficile d’une personnalité qui représente un repère important de la culture et de la dignité de la nation roumaine. Iurie Roșca est réellement en danger d’être lynché par les serviteurs de la Mafia internationale, cette clique démoniaque qu’il a démasquée avec un courage presque insensé. Il serait souhaitable que ceux qui ont encore un peu de respect pour les valeurs authentiques du peuple roumain (peuple dans lequel j’inclus également les frères d’au-delà de la rivière Prut) créent une sorte de pression publique par laquelle les soi-disant « autorités » de Chisinau montreraient ne serait-ce qu’un minimum de décence. Il s’agit d’un homme qui a façonné la vie et la conception de milliers de ses semblables et qui, pendant des décennies, n’a rien fait d’autre que de dire tout haut des vérités que d’autres n’osaient même pas chuchoter.

Personnellement, j’exprime mon respect et ma gratitude envers Iurie Roșca, que je considère comme un frère, un mentor et un modèle d’attitude face aux défis eschatologiques que nous vivons à l’heure actuelle.

Bucarest,

le 28 juin 2024


Chaîne Telegram EASTERN APPROACHES — ALEX THOMSON

Iurie Roșca, que j’ai interviewé (https://www.ukcolumn.org/video/iurie-rosca-the-christian-optimist-part-1) l’année dernière, risque d’être emprisonné par le régime moldave. Son opposition persistante et raisonnée à l’adhésion de la Moldavie à l’Union européenne est bien connue et a été exprimée dans une série de livres, ainsi que lors de campagnes et de discours publics.

Il y a tout juste deux semaines, la présidente Maia Sandu a donné son accord à une loi sur la trahison qui muselle les critiques (https://www.euractiv.com/section/enlargement/news/moldovan-president-signs-treason-law-denounced-by-opposition-amnesty-international/) de la politique du gouvernement moldave à l’égard de l’UE et de l’OTAN, et au début de cette semaine, l’Union européenne a officiellement ouvert les négociations (https://www.consilium.europa.eu/en/press/press-releases/2024/06/25/eu-opens-accession-negotiations-with-moldova/) sur l’adhésion de la Moldavie.

Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi Iurie Roșca a reçu des convocations au tribunal au cours des deux dernières semaines, malgré un certificat médical de mauvaise santé. Il n’y a aucune urgence apparente dans cette affaire ; les accusations pénales portent sur une allégation datant de 2009 et ont été déposées il y a sept ans ! (Toutefois, il n’en a pas été informé la première année).

Calistrat Atudorei a souligné le caractère grotesque (https://geopolitika.ro/articles/the-well-known-romanian-patriot-iurie-rosca-is-in-danger-of-being-imprisoned) de l’accusation pénale de « trafic d’influence » portée contre lui.

Je demande instamment à ceux qui lisent ces lignes de faire connaître cette persécution d’un dissident chrétien par un pays candidat à l’adhésion à l’UE. L’emprisonnement en Moldavie peut être une condamnation à mort de plusieurs manières désagréables. Il serait très utile qu’un grand nombre de personnes contactent l’ambassade de Moldavie dans leur pays ou tout organe judiciaire ou étatique moldave dont elles ont connaissance, pour signaler que ce qui est fait à Iurie Roșca est surveillé de près.

https://t.me/EastApp

Alex Thomson


LUIS CARNEIRO, PORTUGAL

En tant que citoyen portugais et européen, je suis profondément préoccupé par les poursuites injustes dont fait l’objet Iurie Roșca, un auteur et journaliste indépendant de Moldavie qui risque d’aller en prison pour son engagement sans crainte à dire la vérité au pouvoir.

Iurie Roșca est un patriote et un homme d’intégrité morale, dont les convictions chrétiennes guident ses positions de principe. Il n’a pas peur de critiquer l’Union européenne et la Fédération de Russie. Son dévouement à sa nation et à sa foi devrait être célébré, et non criminalisé.

Un référendum national sera organisé en Moldavie le 20 octobre 2024 pour décider si la Constitution doit être modifiée afin de refléter le souhait des citoyens d’adhérer à l’Union européenne. Pourtant, aujourd’hui, les voix critiques à l’égard de l’Union européenne sont non seulement tolérées, mais aussi activement intégrées dans l’espace du dialogue européen et de l’action commune. La présence de l’euroscepticisme au sein même des institutions européennes en est un exemple clair.

Il est contradictoire avec l’état actuel du dialogue européen d’étouffer les critiques à l’égard de l’Union européenne, en particulier lorsque de multiples perspectives, y compris celles qui critiquent l’UE elle-même, bénéficient d’une tribune au sein de ses propres institutions.

Dans une Europe d’États-nations souverains et autodéterminés, nous apprécions les voix divergeantes et dissidentes. C’est un signe de force et de dynamisme lorsque les acteurs politiques sont autorisés à exprimer des points de vue critiques et sont jugés publiquement sur la base du bien-fondé de leurs idées, au lieu d’être réduits au silence par la persécution.

Envoyons un message clair aux autorités de Moldavie et de toute l’Europe : nous ne resterons pas les bras croisés alors qu’un auteur et un journaliste honnête, indépendant et respectueux des principes est injustement poursuivi.

Je suis aux côtés d’Iurie Roșca, pour la justice et la liberté.

Luís Carneiro, chercheur universitaire et ancien professeur adjoint en études politiques à l’université de Porto, au Portugal.




Au Royaume-Uni, les enseignants sont priés de diffuser les opinions de Bill Gates et de George Soros

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le COVID a largement cristallisé une insurrection à bas bruit, insurrection légale, numérique, mais qui a conduit de nombreux citoyens à se rebeller contre la mise en place d’un crédit social plus brutal qu’en Chine, appelé passe sanitaire. La caste a largement puisé dans les techniques de contre-insurrection, théorisées en Occident, notamment aux USA, pour combattre cette insurrection balbutiante qui n’a pas dit son nom. Mais… l’opération n’est sans doute pas terminée. Au point que, au Royaume-Uni (en pointe sur les techniques de contre-insurrection), les enseignants vont désormais être chargés d’inculquer à leurs élèves les grandes thématiques de la contre-insurrection, telles qu’elles sont formalisées par Soros et Gates. La France devrait rapidement suivre ce modèle. Une pratique qui fleure bon la rééducation en mode communiste.

L’affaire est révélée par le Guardian : les enseignants britanniques vont disposer de guides rédigés par les pouvoirs publics pour lutter contre le « complotisme ».

  • Les guides à destination des enseignants sont rédigés par des organismes directement liés à la caste mondialiste, dont Full Fact, financé par George Soros, et l’Institute for Strategic Dialogue, notamment financé par la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • Ces organismes sont également financés par les GAFAM.
  • Leur objectif est de donner des arguments aux enseignants face aux théories complotistes, notamment vis-à-vis du COVID et des vaccins à ARN messager, mais aussi vis-à-vis de la consommation d’insectes, du réchauffement climatique ou du Great Reset.
  • Cette opération signale l’échec de la stratégie de contre-insurrection fondée sur l’infiltration des réseaux sociaux.
  • Les structures d’enseignement devraient être, de façon grandissante, la cible d’opérations de « réinformation » menées par la caste.
  • La France ne devrait pas tarder à suivre, sous une forme ou sous une autre.



Grande Réinitialisation : la menace terrible des villes intelligentes et de l’IA

[Source : @geopolitique-profonde]

Le concept de « Great Reset » [Grande Réinitialisation] évoque à la fois fascination et appréhension, proposant une transformation profonde de notre société sous la houlette de forums influents comme celui de Davos. Ce plan envisage une refonte de la gouvernance globale et intègre les technologies de pointe au sein des futures « smart cities » [villes intelligentes].

Ces métropoles futuristes, souvent idéalisées comme des paradis technologiques, sont au cœur de l’Agenda 2030. Toutefois, au-delà de leurs avantages proclamés en matière de durabilité et d’efficacité, elles révèlent des aspects moins reluisants tels qu’une surveillance étendue et une manipulation comportementale subtile. Paris, dirigée par des leaders tels que Macron et influencée par des théoriciens comme Klaus Schwab, n’échappe pas à cette tendance.

Les fondements de ces villes intelligentes reposent sur la gouvernance numérique, qui utilise la technologie pour optimiser la gestion urbaine, mais introduit également des risques de surveillance type crédit social, évaluant les comportements des individus.

L’omniprésence de la surveillance s’appuie sur l’intelligence artificielle et des robots patrouilleurs dotés de reconnaissance faciale, constituant de vastes bases de données personnelles. La période de confinement a vu l’accélération de cette dynamique, avec l’adoption de mesures de contrôle strictes justifiées par la santé publique.

Bien que l’intelligence artificielle et la robotique soient louées pour leurs bénéfices, elles présentent également des risques lorsqu’elles sont utilisées pour augmenter le contrôle social et la manipulation. Ces technologies, combinées à des techniques d’ingénierie sociale, modèlent les comportements et les opinions, modifiant insidieusement les normes sociales sans un consentement démocratique.

Dans ce cadre, la cybersécurité et les identités numériques deviennent des questions essentielles. Avec la numérisation rapide de notre existence, protéger les données personnelles et combattre la surveillance de masse sont des priorités impératives.

Les smart cities, vitrines de l’initiative de Davos et de l’Agenda 2030, illustrent une vision future où la technologie et la gouvernance numérique dominent. Cependant, derrière le vernis de l’innovation, il est crucial de rester vigilant. L’espoir d’un futur amélioré ne doit pas faire oublier les dangers d’une surveillance généralisée et d’une diminution de l’autonomie. Équilibrer le progrès technologique avec le respect des libertés individuelles est un enjeu capital pour notre temps.

[À partir de 58:45 pour l’intervention sur les « smart cities » et l’IA.]